- ENTREE de SECOURS -



samedi 4 novembre 2017

Crise climatique : la puissance de la falsification de la science avec la modélisation par ordinateur.

Lorsque je sévissais tant bien que mal dans la recherche fondamentale en biologie, l’un des thèmes abordés fut l’étude de la compartimentation de l’acide glutamique dans les divers espaces intra-cellulaires et des mécanismes de transport de cet amino-acide essentiel pour le métabolisme cellulaire. Il n’y avait pas d’ordinateur dans le laboratoire tout simplement parce que ces grosses machines étaient réservées aux grands centres de recherche de l’armée ou du secteur de l’énergie. Nous ne disposions que d’une calculatrice dont la vitesse de calcul était désespérément lente. Il fallait parfois une nuit entière pour effectuer une régression linéaire alors qu’aujourd’hui avec un simple « clic » le résultat s’affiche avec la possibilité d’imprimer ce dernier immédiatement avec n’importe quel petit ordinateur portable. À cette époque il n’existait naturellement pas d’imprimante et tous les graphiques devaient être effectués à la main avec de l’encre de chine sur du papier spécial « calque ». Ces conditions de travail n’empêchaient nullement les scientifiques de faire progresser leurs travaux. Aujourd’hui on peut faire tout ce que l’on désire avec le moindre ordinateur de table dont la puissance de calcul et les possibilités graphiques sont sans aucune mesure avec ces outils préhistoriques que les universitaires utilisaient dans les années 1960-1970 comme les bruyants calculateurs à cartes perforées.

J’aurais vraiment apprécié à cette époque de pouvoir effectuer des modélisations des résultats de mes travaux comme c’est maintenant le cas pour tout et n’importe quoi. Par exemple on « modélise » l’évolution de la population mondiale, l’évolution des marchés financiers, le design de nouveaux réacteurs nucléaires et les ingénieurs peuvent aller jusqu’à imaginer à partir d’une simple idée un avion aux formes bizarres qui sera parfaitement capable de voler bien que d’un aspect défiant toutes les lois de l’aérodynamisme, et « ça marche » ! Quant à la biologie n’en parlons même pas, les spécialistes dans ce domaine établissent n’importe quelle corrélation entre une maladie et un gène et la recherche ne se fait plus avec des tubes à essais et des pipettes mais avec des ordinateurs et des robots …

Dans le domaine de l’évolution du climat, c’est exactement le même cas de figure. Tout ce que les médias aux ordres de groupes financiers influents et obscurs voire occultes clament à longueur de journée au sujet de l’évolution du climat est strictement basé sur des modélisations à l’aide de puissants ordinateurs comptant parmi les plus gros du monde. Et n’importe qui ose appeler ce genre d’approche de la science pure et dure. En réalité il ne s’agit pas de science au sens strict du terme mais de pseudo-science qui a ouvert la voie à la manipulation de données et d’observations disparates pour programmer l’ordinateur à la réalisation de calculs conformes à ce que l’on veut obtenir au final. Le cas de la modélisation de l’évolution du climat est emblématique car tenter de modéliser un phénomène au cours duquel interviennent plus de 6 paramètres interdépendants est déjà tout simplement impossible mathématiquement. Et dans le cas du climat ce sont a minima pas moins de 20 paramètres qui doivent être pris en considération. Certes, des lecteurs perfides de ce billet clameront qu’il est possible de modéliser un processus industriel complexe comme par exemple le design d’un nouveau type de réacteur nucléaire. Je mentionne cet exemple car un réacteur nucléaire fait partie des « objets » industriels les plus sophistiqués que l’homme ait jamais créé. Pourtant une telle machine rassemble diverses technologies qui peuvent être parfaitement traitées séparément les unes des autres de manière simplifiée car elles n’interagissent que très peu ou nullement entre elles. Ce n’est pas du tout le cas du climat et de son évolution.

D’autre part – et très curieusement – ces beaux modèles concluant tous à un réchauffement catastrophique à venir n’ont jamais été utilisés pour expliquer le climat passé et ceci pour une simple raison : ils sont faux ! L’intérêt d’une modélisation serait de pouvoir l’utiliser avant et après un instant t or tous ceux qui ont été décrits par l’organisme onusien IPCC ne peuvent pas « remonter » le temps.

Le fait d’incriminer le gaz carbonique dans l’évolution du climat résulte d’une modélisation que les « spécialistes » dans ce domaine ont bien voulu lui faire dire ce qu’ils attendaient initialement. Pour ma part ainsi que pour un nombre croissant de climatologues ce n’est pas de la science mais de l’imposture car tous les modèles utilisés sont systématiquement incomplets pour les raisons exposées ci-dessus. Dans une publication parue il y a quelques semaines (lien en fin de billet), l’Australien Anthonie Bastiaan Ruighaver*, expert en sécurité informatique de son état, décrit en détail l’histoire progressive de cette imposture d’autant plus que certains articles scientifiques – qui ne sont pas, eux, adossés à des simulations informatiques – décrivent le  gaz carbonique comme un gaz susceptible au contraire de participer à la dissipation de l’énergie solaire reçue par la Terre vers l’espace ! (voir note en fin de billet).

* Il est surprenant en effet qu’un expert en sécurité informatique se soit intéressé au problème du climat et de l’effet de serre du gaz carbonique. Je ne suis qu’un modeste ancien biologiste et j’ai très rapidement détecté il y a plusieurs années qu’il y avait quelque chose de pas très orthodoxe dans cette histoire. C’est la même raison qui a stimulé Ruighaver à écrire un article très critique sur les manipulations en tous genre que permettent les ordinateurs.
L’histoire a débuté quand des pseudo-climatologues (ou pseudo-scientifiques y compris James Hansen pourtant un spécialiste de l’atmosphère de Vénus) ont rapproché l’évolution de la température moyenne à la surface de la planète très précisément provoquée par une augmentation continue de l’activité solaire depuis la fin des années 1940 – le deuxième optimum climatique moderne après celui des années 1900-1930 – avec l’évolution de la teneur en gaz carbonique dans l’atmosphère qui a également continué à croître de manière continue depuis la fin de la seconde guerre mondiale en raison de l’activité industrielle et économique foisonnante d’après-guerre. Ces deux courbes se superposaient presque parfaitement jusqu’au milieu des années 1990 puis plus rien. La théorie de l’effet de serre du gaz carbonique était pourtant née et il fallait l’étayer avec de belles modélisations pour que l’argument du réchauffement climatique global d’origine humaine devienne crédible et puisse être accepté par tous les pays du monde.

L’évidence de cette théorie était donc uniquement basée sur le rapprochement fallacieux et totalement fortuit entre ces évolutions parallèles des températures et de la teneur en  gaz carbonique! Il n’y avait plus qu’à faire chauffer de gros ordinateurs pour conforter cette théorie avec des modèles tous aussi faux les uns que les autres pour bien faire avaler la pilule : se serrer la ceinture, devenir si possible végétalien, éteindre les lumières dans les pièces inoccupées, changer les ampoules à incandescence, emprunter des transports en commun quand il y en a ou alors pédaler sur un vélo, se chauffer l’hiver parcimonieusement, faire moins d’enfants, etc, etc … en d’autres termes régresser et consommer moins de combustibles fossiles quitte à mettre l’ensemble de l’économie (surtout occidentale) en péril. 

L’autre conséquence de cette théorie absurde est tout aussi terrifiante et il faut qu’il en soit ainsi : crises agricoles à venir, érosion des côtes, disparition des coraux, acidification de la mer, montée des eaux océaniques qui finiront par inonder New-York et rayer de la carte les îles Maldives et la Micronésie, effets délétères sur la santé des humains et des animaux dont certains disparaitront comme l’ours blanc ou le manchot empereur, bref, un pot-pourri bien servi sur le plateau des télévisions pour que le public s’en gave le cerveau et se sente culpabilisé et ainsi payer sa dime sans protester pour le sauvetage du climat.

Cette théorie mensongère a fait le délice des écologistes politiques et l’Organisation des Nations-Unies s’est emparée du mensonge pour encore plus asseoir sa crédibilité via l’IPCC. Comme le disait si opportunément Goebbels « plus le mensonge est gros plus il est facilement accepté » ou quelque chose de ce genre.

Quand une personne formule une théorie, son contenu doit conduire à une hypothèse de travail qui pourra ultérieurement être vérifiée (ou non) expérimentalement et par l’observation, c’est la démarche normale de toute science. Dans le cas de l’effet de serre il y a d’abord la négation des principes fondamentaux de la thermodynamique qui n’avaient jamais été remis en cause par l’expérience auparavant mais il y a aussi et surtout une absence totale de support expérimental ou observationnel pour confirmer cette théorie. C’est la raison pour laquelle le fameux « hiatus » du réchauffement qui s’est soudain arrêté il y a maintenant près de 20 ans – une observation incontestable – énerve ces climatologues d’opérette de l’IPCC. Car en parallèle le taux de gaz carbonique atmosphérique ne cesse d’augmenter, alors conformément à cette théorie pourquoi la température moyenne de la planète ne continue-t-elle pas à évoluer vers la hausse ?

La démarche de l’IPCC est donc fondamentalement anti-scientifique et doit par conséquent être classée dans la catégorie des pseudo-sciences. Utiliser des modélisations quelles qu’elles soient comme finalité expérimentale est une déviance contraire à l’éthique scientifique et ce n’est pas la voix d’un petit blogueur comme votre serviteur qui permettra d’influencer le monde politique qui n’a qu’un objectif : rançonner le plus de petites gens avec un kilowatt-heure hors de prix pour financer les énergies renouvelables à « empreinte carbonée » faible ou nulle et détruire des pans entiers de l’économie.

Le monde entier nage donc dans la plus incroyable imposture des temps modernes et tout concoure pour qu’il n’y ait plus aucune possibilité de marche arrière à moins que nous assistions à une chute brutale et prononcée des températures en raison d’une diminution significative de l’activité magnétique du Soleil, un risque bien réel prédit par de nombreux géophysiciens spécialistes du Soleil mais qu’aucun politicien n’a l’air de prendre en considération sérieusement. Ces spécialistes indépendants de l’IPCC n’ont pas basé leurs prédictions sur des modélisations à l’aide de gros ordinateurs mais au contraire sur la périodicité de l’activité solaire parfaitement connue et analysée à l’aide d’équations mathématiques relativement simples qui peuvent être résolues avec un petit ordinateur de bureau. Le refroidissement généralisé du climat annoncé pour le début des années 2020 sera infiniment dévastateur alors qu’un doublement de la concentration en gaz carbonique dans l’atmosphère n’aura aucun effet significatif sur la putative accélération du réchauffement.

Je conseille très vivement à mes lecteurs anglophones de lire cet article de Ruighaver, doi: 10.13140/RG.2.2.28331.34084
Notes. 1. Le gaz carbonique contribue à la dissipation d’énergie depuis la Terre vers l’espace comme cela avait déja été mentionné sur ce blog en 2015 et ce gaz n’a aucune influence sur la température au niveau du sol ou des océans :

Quatre-cent-quinze publications parues dans des revues scientifiques à comité de lecture contredisent la théorie de l’effet de serre du gaz carbonique depuis le début de l’année 2017. Avis à mes honorables lecteurs : pas de billet dimanche 5 et lundi 6 novembre, je serai quelque part dans les airs entre le Japon et les Iles Canaries. À mardi prochain pour de nouvelles aventures.

4 commentaires:

  1. L'administration Trump publie un rapport concluant que le changement climatique est réel et provoqué par l'homme


    par Tyler Durden
    3 novembre 2017 18h38


    "Cette évaluation conclut, sur la base de preuves abondantes, qu'il est extrêmement probable que les activités humaines, en particulier les émissions de gaz à effet de serre, soient la cause dominante du réchauffement observé depuis le milieu du 20ème siècle. Aucune autre explication convaincante étayée par l'étendue de la preuve observationnelle:

    - Extrait des «Faits saillants des conclusions du Rapport spécial sur les sciences du climat du Programme de recherche sur les changements climatiques aux États-Unis», le 3 novembre 2017

    Surprenant de nombreux observateurs du climat, l'administration Trump a publié vendredi un rapport fédéral sur le climat qui a commencé sous le président Barack Obama et conclut que les humains sont le principal moteur du changement climatique, causant des températures plus élevées, une élévation du niveau de la mer et des problèmes agricoles en plus. Le rapport - dont le seul résumé analytique est de 34 pages - a révélé que la Terre subissait sa période la plus chaude "dans l'histoire de la civilisation moderne", alimentée principalement par des niveaux croissants de gaz carbonique. Il a été publié par le Programme de recherche sur le changement global des États-Unis, mandaté par le Congrès pour rendre compte tous les quatre ans de l'état du changement climatique.

    L'étude massive - qui est le premier volume de la Quatrième évaluation climatique nationale, a été des années en cours et a impliqué des contributions de plus d'une douzaine d'agences fédérales - est censée être une évaluation faisant autorité de l'état actuel de la science du changement climatique.

    Cependant, ce qui a surpris les experts, c'est que de nombreuses conclusions du rapport contredisent directement les positions publiques de l'administration Trump sur le changement climatique.

    Exemple: Des responsables de Donald Trump comme Scott Pruitt, chef de l'EPA, et Rick Perry, secrétaire à l'Énergie, ont déclaré ne pas savoir si les gaz à effet de serre anthropiques comme le gaz carbonique sont la principale cause du changement climatique. Et pourtant, l'évaluation du climat indique clairement que c'est le cas. "Cette évaluation conclut, sur la base de preuves abondantes, qu'il est extrêmement probable que les activités humaines, en particulier les émissions de gaz à effet de serre, sont la cause dominante du réchauffement observé depuis le milieu du 20ème siècle", dit-il. "Pour le réchauffement au cours du siècle dernier, il n'y a pas d'explication alternative convaincante soutenue par l'étendue de la preuve observationnelle."

    "La moyenne annuelle de la température de l'air à la surface a augmenté d'environ 1,8 degré Fahrenheit ou 1 degré centigrade au cours des 115 dernières années", a déclaré David Fahey, scientifique atmosphérique à l'Administration nationale océanique et atmosphérique (NOAA) et l'un des principaux auteurs du rapport, a déclaré aux journalistes. "Cette période est maintenant la plus chaude de l'histoire de la civilisation moderne."

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  2. Tout en admettant que la croissance des émissions de gaz à effet de serre a ralenti ces dernières années, elle conclut qu'il ne suffit pas de maintenir les températures à plus de 2 degrés Celsius, limite à laquelle les scientifiques s'attendent à ce que les effets du changement climatique soient irréversibles.

    Le rapport cite également «des milliers d'études menées par des chercheurs du monde entier» qui montrent des signes de réchauffement du globe, notamment «des changements dans les températures de surface, atmosphériques et océaniques; la fonte des glaciers; la diminution de la couverture de neige; la glace de mer qui rétrécit; élévation du niveau de la mer; L'acidification des océans; et l'augmentation de la vapeur d'eau atmosphérique. "L'étude comprend également de terribles avertissements sur l'impact du changement climatique sur les activités humaines.

    Les fortes pluies, qui provoquent des inondations, devraient augmenter au cours du reste du siècle, et les vagues de chaleur deviendront plus fréquentes. Les phénomènes météorologiques violents tels que les incendies de forêt et la sécheresse deviendront plus fréquents et les niveaux de la mer augmenteront d'au moins plusieurs pouces dans les 15 prochaines années et de 1 à 4 pieds d'ici à 2100. "

    Les phénomènes météorologiques violents tels que les incendies de forêt et la sécheresse deviendront plus fréquents et les niveaux de la mer augmenteront d'au moins plusieurs pouces dans les 15 prochaines années et de 1 à 4 pieds d'ici à 2100. "

    L'étude est la quatrième fois au cours de ce siècle que les scientifiques fédéraux ont préparé un rapport sur les impacts du changement climatique dans le monde et aux États-Unis.

    Ce qui a dérouté les analystes, c'est ce qui a été contenu dans l'étude, ou plutôt ce qui ne l'était pas: l'évaluation de cette année intervient alors que la Maison-Blanche s'inquiète de ce que les conclusions de l'étude soient sapées. Comme nous l'avons signalé à l'époque, les scientifiques ont partagé une version préliminaire de l'étude avec le New York Times en août, cherchant une publicité supplémentaire pour ses conclusions dans l'espoir de repousser toute tentative pour l'atténuer.

    "Bien sûr, il y a peut-être des craintes, nous sommes tous des citoyens et des scientifiques en même temps, mais je pense que les craintes que nous avions n'ont pas été réalisées", a déclaré Fahey, scientifique de la NOAA. "Le mot" interférence "aurait pu être une menace, mais il ne s'est jamais matérialisé, ce rapport dit ce que les scientifiques voulaient dire."

    Dans une tentative de préserver une certaine ambivalence, la Maison Blanche

    Dans une tentative de préserver une certaine ambivalence, la Maison Blanche a publié une déclaration que "le climat a changé et change constamment" et a souligné qu'une ligne dans le rapport qui conclut l'avenir du changement climatique dépend principalement de "l'incertitude restante dans la sensibilité de Climat de la Terre à [émissions de gaz à effet de serre]. "

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  3. Le rapport dit, avec "une confiance très élevée", que l'ampleur du changement climatique dépendra aussi de la "quantité de gaz à effet de serre émis globalement" au cours des prochaines décennies.

    «L'administration soutient des analyses et des débats scientifiques rigoureux et encourage le public à commenter les projets de documents publiés aujourd'hui. Pour lutter contre le changement climatique et d'autres risques, les États-Unis continueront à promouvoir l'accès à l'énergie abordable et fiable nécessaire à leur croissance économique. soutenir la technologie, l'innovation et le développement d'infrastructures modernes et efficaces qui réduiront les émissions et nous permettront d'ajouter

    Le résultat, et ce qui peut susciter des controverses parmi les partisans de Trump, est que la prémisse centrale du rapport, que le changement climatique est réel et que les humains sont à blâmer, contredit les déclarations antérieures du président Donald Trump et de nombreux membres haut placés de son administration, qui ont remis en question les résultats scientifiques concernant le changement climatique. L'EPA n'a pas de commentaire immédiat.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-11-03/trump-administration-issues-report-concluding-climate-change-real-and-man-made

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    1. (...) les humains sont le principal moteur du changement climatique, causant des températures plus élevées, une élévation du niveau de la mer et des problèmes agricoles en plus.(...)

      'les humains sont le principal moteur du changement climatique': FAUX ! Depuis des millions d'années les volcans ont pollué l'atmosphère des millions de fois plus que toute l'industrie humaine... et pourtant... l'homme est apparu sur Terre ! Çà alors !
      TOUS LES GAZ SE RECYCLENT ! TOUS !

      'causant des températures plus élevées', FAUX ! AUCUNE preuve de hausses de températures constatées !

      'une élévation du niveau de la mer' !!! HAHAHAHAHAHA ! PLUS CON QUE ÇA Y A PAS ! NON, Y A PAS !
      Depuis des millions d'années des milliards de km3 d'eaux (venues des pluies, des fleuves et des rivières) se sont déversés dans les océans (et continuent à le faire !!)... SANS QU'ILS NE MONTENT !!! Çà alors !! Mais que fait la police ?? HAHAHAHA !

      Le nouveau chef de l'État (à la Maison Blanche) s'est promu 'scientifique hors pairs' !!! C'est-à-dire que SANS AVOIR FAIT LA MOINDRE ÉTUDE désormais, n'importe qui, peut se nommer scientifique !!! (le caducée dans le cul !).

      A savoir que 'Le rapport cite également «des milliers d'études menées par des chercheurs du monde entier»' Hahahaha ! FAUX scientifique anonymes ! Car, TOUT scientifique qui viendrait à contredire les résultats véridiques de la science serait rayé immédiatement par les pairs du corps scientifique.
      C'est pour cela que les scientifiques sont interdits sur les plateaux de télévision et micro de radios comme colonnes de journaux ! Ils sont remplacés par des météorologues (présentateur météo sans aucune étude scientifique), des nuageologues et carbonologues scientologues ! Hahahaha !

      A noter que, depuis plus de 2000 ans les chinois observent le soleil. Ils ont noté que chaque fois qu'il y a des taches sur l'astre, il s'ensuit 11 années de grands froids. Et, actuellement, le soleil a des taches.

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