- ENTREE de SECOURS -



jeudi 16 novembre 2017

Renouvelables : où sont les emplois promis ?

15 NOVEMBRE 2017
Par Michel Gay.


Les promesses dans le domaine des énergies renouvelables n’engagent vraiment que ceux qui les écoutent et y croient…. Mais où sont donc les « gisements d’emplois non délocalisables » tant vantés ?

Le développement des énergies renouvelables devait créer 100 000 emplois en France en quelques années selon les déclarations de Ségolène Royal (alors ministre de l’Écologie) en août 2015, lors de la promulgation de la loi de transition énergétique pour la croissance verte (LTECV).

Mieux encore. Delphine Batho, qui l’avait précédé à ce poste, déclarait en décembre 2012 « La prévision, à ce jour, sans effort supplémentaire de l’État, c’est 295.000 créations d’emplois d’ici 2020. Quand on dit 100.000 emplois en trois ans, c’est un objectif crédible, réaliste« .

DES MILLIERS D’EMPLOIS À LA CLEF

L’ex-députée de l’Ardèche, Sabine Buis, s’enthousiasmait encore en octobre 2013 des milliers d’emplois supplémentaires qu’allaient créer les énergies solaires et éoliennes.

Benoit Hamon, l’ancien ministre délégué à l’Économie sociale et solidaire, a même réaffirmé en mars 2017  «Cette transition énergétique va être riche en emplois. Là où on fait de l’énergie renouvelable, on fait six fois plus d’emplois qu’avec de la production d’énergie classique ou nucléaire».

Est-il besoin de rappeler les autres promesses fallacieuses de centaines de milliers d’emplois qui auraient dû accompagner le développement des énergies renouvelables ces dernières années ?

QUEL EST LE BILAN AUJOURD’HUI ?

« Un vent froid souffle sur les industriels de l’éolien » indique Véronique Le Billon dans Les Échos du 10 novembre 2017.

L’industriel allemand Siemens, qui a déjà abandonné la construction de panneaux solaires devant la concurrence chinoise, mais qui reste encore impliqué dans les éoliennes, s’apprête à supprimer plus de 10 000 emplois[4] en Allemagne.

Après avoir fusionné leurs activités dans l’éolien, Siemens et l’espagnol Gamesa ont annoncé 6000 suppressions de postes, soit près d’un quart de leurs effectifs.

Ce mois-ci, le cours de l’action de Vestas, un grand constructeur d’éoliennes, a fortement chuté en bourse après la publication de ses résultats trimestriels.

Le constructeur allemand d’éolienne Nordex a annoncé la suppression de 10% de ses effectifs, soit plusieurs centaines d’emplois en septembre dernier.

En France, Alstom a jeté l’éponge depuis plusieurs mois après des espoirs déçus et une expérience désastreuse dans l’éolien.

Les promesses dans le domaine des énergies renouvelables n’engagent vraiment que ceux qui les écoutent et y croient… Mais où sont donc les « gisements d’emplois non délocalisables » tant vantés ?

Des emplois éphémères ont bien été créés (parfois avec de la main d’œuvre étrangère), mais l’augmentation du prix de l’électricité, incluant les faramineuses subventions aux énergies renouvelables, a détruit d’autres emplois durables en France. La Commission de régulation de l’énergie estime le prélèvement financier sur les factures d’électricité des Français à… 8 milliards d’euros, uniquement en 2018.

LA RUINEUSE LTECV

Rendre possible l’exploitation ruineuse de moyens de productions intermittentes d’électricité et massacrer des paysages préservés devaient passer par une loi ! Et nos élus « bien conseillés » y sont parvenus. Elle s’appelle la LTECV.

La LTECV veille sur le magot des énergies renouvelables que se partagent des affairistes sans scrupules qui profitent de textes légaux élaborés dans le sens de leurs intérêts.

Mais comment ont-ils réussi à faire passer des lois qui leur permettent d’appauvrir les Français en toute légalité ?

Se réfugier derrière ce qui est légal pour défendre ce qui n’est pas moral est une stratégie politique qui ne tiendra pas longtemps. Comme pour le secret bancaire, le moment est venu d’ouvrir les yeux sur les « Panama » et autres « Paradise papers«  verts.

ANESTHÉSIE DES CITOYENS

Cette loi « scélérate » est un bel exemple d’anesthésie des citoyens par des promesses mirifiques pour mieux les piller. Les initiateurs de cette loi inique peuvent ainsi brandir un laisser-passer qui a été validé par les représentants du peuple. Ils ont avec eux le droit et, dans le respect de la démocratie, ils vont coloniser les espaces libres avec d’immenses éoliennes et se servir dans le portefeuille des Français.

Pour « sauver la planète » et au nom de « l’avenir de nos enfants », le monde politico-médiatique n’est-il pas majoritairement le défenseur de ce système légal mais immoral ?

Une autre loi permettant de faciliter et d’accélérer les procédures pour avancer plus vite dans le développement des énergies renouvelables est en préparation dans le cadre plus général des lois de simplifications administratives. Des affairistes « verts » y travaillent activement. Et sans la vigilance de nos élus, ils arriveront à créer le « choc de simplification » promis.

Les Français auront alors un vrai choc… financier et émotionnel !

58 commentaires:

  1. Pour créer des emplois ? Facile ! (comme disait Mitterrand qui embaucha des millions de fonctionnaires payés par les français !!) suffit d'apporter des subventions ! (de la poche des contribuables).

    Effectivement, que diront de nous nos enfants s'ils naissent en dictature et non en Démocratie ?

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  2. Non, la Belgique ne sera pas « sortie » du nucléaire en 2025
    Centrale nucléaire du Tricastin

    En 2025, la Belgique ne sera pas sortie du nucléaire, car même en Europe occidentale l’extrémisme écologiste finira par se fracasser sur les récifs de la réalité.


    Par Drieu Godefridi.
    16 NOVEMBRE 2017


    Pour un politique, il est toujours intéressant d’aller dans le sens de la majorité : après tout, c’est la définition de la démocratie que d’être favorable aux idées majoritaires !

    Pour un intellectuel, en revanche, comme l’écrivait Friedrich Hayek, aller dans le sens de la majorité du moment est rarement bon signe. Disons simplement qu’il faut être capable de penser en dehors des slogans et des lieux communs, fussent-ils portés par l’écrasante majorité des experts et autres leaders d’opinion.

    De ce point de vue, la sortie du nucléaire par la Belgique en 2025 offre un intéressant cas de figure. Voici un objectif présenté comme tout à la fois parfaitement acquis, possible, rationnel, noble, scientifique et ambitieux.

    Noble car il s’agit de « sauver la planète », ambitieux parce que la Belgique a tout de même à l’heure actuelle sept réacteurs nucléaires en fonctionnement, rationnel parce que « le renouvelable, c’est l’avenir », et parfaitement acquis parce que le gouvernement belge en a décidé ainsi.

    UNE VOIX DISCORDANTE

    Me permettra-t-on d’exprimer une voix discordante ?

    D’abord, quant à la science. Le tout-au-renouvelable repose sur la science du groupe d’experts de l’ONU sur le climat, le GIEC, qui établit un lien de causalité entre les émissions humaines de gazcarbonique et le réchauffement de la planète.

    Il a été démontré dès 2010 que le GIEC est, en réalité, un organisme intégralement politique, non scientifique (« Le GIEC est mort, vive la science »), et ses modèles informatiques sont en effet constamment battus en brèche par la réalité. Ainsi les émissions humaines de gazcarbonique n’ont-elles jamais tant crû que durant les 20 dernières années, dans le même temps que la température globale restait d’une remarquable stabilité.

    Ensuite, il faut contextualiser. Le tout-au-renouvelable que l’on nous présente en Europe de l’Ouest comme une évidence n’est « évident » que pour la seule Europe de l’Ouest.

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  3. L’IDÉOLOGIE DU TOUT AU RENOUVELABLE

    Car l’Europe centrale s’inscrit radicalement en faux contre cette idéologie, de même que nos alliés Américains — pas le seul président, la majorité du Congrès aussi bien, et depuis de longues années — et en fait le reste du monde, qui n’entend participer au renouvelable qu’aussi longtemps que c’est l’Occident qui en payera les frais (c’est tout le sens de l’Accord de Paris).

    Le renouvelable dans ses différentes figures n’offre aux autres sources d’énergie (nucléaire, fossile) qu’une alternative extrêmement coûteuse. Dit autrement, sans la subvention publique, l’industrie du renouvelable n’existerait tout simplement pas. Les entrepreneurs qui ne jurent que par le renouvelable sont d’abord et avant tout des entrepreneurs en subventions publiques, du reste les subventions les plus massives de l’histoire économique.

    Si le renouvelable était rentable, nous n’aurions pas ce débat, car le monde entier se serait précipité sur le renouvelable. L’une des difficultés rencontrées par le renouvelable est l’incapacité technique de stocker l’énergie à grande échelle, ce qui ne pose aucune difficulté s’agissant de sources d’énergie permanentes (fossile ou nucléaire) qui émettent en continu, mais qui devient rédhibitoire s’agissant de sources d’énergie aussi capricieuses et intermittentes que le soleil ou le vent.

    L’EXIGENCE DE L’ÉCONOMIE MONDIALISÉE

    Par ailleurs, nous vivons dans une économie mondialisée. Les entreprises belges sont en concurrence avec les entreprises françaises, allemandes, britanniques, aussi bien américaines ou chinoises.

    Or, l’énergie est l’un des paramètres de coût de toutes les entreprises : pas seulement des entreprises qui en consomment beaucoup, de toutes les entreprises sans la moindre exception, depuis le comptable qui travaille seul jusqu’à la multinationale de type GSK (pour prendre un exemple de multinationale encore sise en Belgique).

    Le tout-au-renouvelable n’augmente pas le coût de l’énergie à la marge : il le multiplie par deux ou trois, ainsi que le constatent les entreprises belges — wallonnes en particulier, par la grâce des certificats verts de MM. A. Antoine et J.-M. Nollet — dont la facture d’électricité augmente depuis 10 ans de façon exponentielle.

    Ce n’est qu’un début, car cette explosion a lieu alors que sept réacteurs sont encore en activité : nous laissons au lecteur le soin d’imaginer ce qu’il en sera quand ces centrales amorties qui produisent aujourd’hui l’énergie la moins chère auront été fermées d’autorité.

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  4. AUCUNE SIMULATION CHIFFRÉE

    Nous disons bien « deviner » car c’est l’une des particularités du décret gouvernemental de sortie du nucléaire de ne reposer sur aucune simulation chiffrée pour le consommateur final : personne, aujourd’hui, n’est en mesure de dire si l’électricité belge sera deux, trois ou quatre fois plus chère qu’elle ne l’est aujourd’hui ou chez nos partenaires.

    Étonnant, n’est-il pas ? Ce qui paraît probable, en revanche, est que le seul coût annuel de production d’électricité sera multiplié par 2,3, selon une étude du lobby pro-renouvelable « EnergyVille », confirmée par les projections « prix final » du Bureau du plan.

    Ce qu’à court terme une puissance économique comme l’Allemagne peut se permettre — multiplier le coût de l’énergie par deux ou trois — un petit pays partiellement en souffrance (économie wallonne) ne le pourrait qu’au prix d’un appauvrissement massif de ses entreprises et de sa population.

    LE CHEMIN DES ALLEMANDS

    Cela est d’autant plus vrai pour les ménages belges que, si les Belges prennent le chemin des Allemands, ils tenteront de préserver leurs grandes entreprises en faisant supporter l’intégralité du surcoût aux ménages : c’est en effet le petit secret de l’Energiewende allemande que ce sont les ménages qui la financent !

    Votre facture annuelle d’électricité est de 1000 euros ? Que diriez-vous si on la portait à 2000 ou 3000 euros ? Eh bien, c’est fort simple, là encore il suffit de regarder la situation allemande : des millions de ménages allemands connaissent ce que l’on appelle la « précarité énergétique » — seuil déterminé par un taux d’effort des dépenses en énergie supérieur à 10 % des revenus d’un ménage — c’est-à-dire qu’ils préfèrent vivre partiellement dans le froid et l’obscurité que de régler des factures dont le montant ne leur est plus accessible (ce que les écologistes appellent, pour s’en féliciter, « la décroissance »). Balayés, les maigres bénéfices récoltés par les Belges à la faveur du « tax shift »…

    Ce qui est tenable, à très court terme, dans l’économie allemande, la plus prospère de la planète, ne le serait bien sûr pas en Belgique. Quittons la sphère de l’idéologie et redevenons sérieux. L’auteur du Cygne noir et d‘Antifragile, Nassim Nicholas Taleb, a coutume de dire qu’il ne faut jamais écouter un expert ou un politique qui n’a pas de « skin in the game », c’est-à-dire qui ne risque pas de pâtir personnellement des conseils qu’il prodigue à autrui.

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  5. LA BELGIQUE SANS NUCLÉAIRE ? VRAIMENT ?

    Alors prenons les paris : Monsieur Bart De Wever — je m’adresse naturellement au président du premier parti de la majorité parlementaire — je suis prêt à parier avec vous la somme (raisonnable !) de votre choix qu’en 2025 la Belgique ne sera pas sortie du nucléaire.

    Voilà assurément un pari dont les conditions vous sont favorables, puisque vous êtes l’un des principaux décideurs ! En 2025, la Belgique ne sera pas sortie du nucléaire, car même en Europe occidentale l’extrémisme écologiste finira par se fracasser sur les récifs de la réalité.

    https://www.contrepoints.org/2017/11/16/303269-non-belgique-ne-sera-sortie-nucleaire-2025

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  6. JT de France 2 : « Salvador : les pesticides hors la loi » ?


    15 Novembre 2017
    Seppi


    et quelques autres joyeusetés
    Ils sont devenus fous ! Vraiment fous !

    Au journal de 20 heures de France 2 du lundi 13 novembre 2017, on nous diffusé un reportage sur el Salvador. Présentation en ouverture du journal :

    « L'Union Européenne devra trancher mercredi sur le glyphosate. Un petit pays d'Amérique Centrale a ouvert la voie, le Salvador. Depuis déjà quatre ans, fini les pesticides de Monsanto. Là-bas, on cultive bio. »

    Sur la toile, cela donne ceci :

    « Le Salvador est un pays éclatant de verdure aux contours modelés par les volcans. Le plus petit État d'Amérique centrale révolutionne son agriculture. Il a chassé les pesticides et supprimé les semences des multinationales. Le pays veut nourrir sa population avec du bio. Au Salvador, le nom de la multinationale Monsanto est devenu un symbole : "Monsanto pour moi, ça représente la mort. Ce sont des produits chimiques qui finissent par nous rendre malades", estime Adrian Lizano.

    Retour aux méthodes traditionnelles

    Les anciens guérilleros apprennent alors aux paysans à se passer de pesticides. Aujourd'hui au pouvoir, ils ont interdit 70 pesticides, dont ceux de Monsanto. Plusieurs paysans continuent pourtant d'utiliser les semences de Monsanto, qui rapporteraient deux fois plus d'argent. Aucun chiffre fiable n'existe sur le nombre d'exploitations converties au bio. Le pays vise une agriculture autosuffisante et saine, le rêve des guérilleros. »

    Il suffit pourtant de regarder la séquence de quatre minutes pour se rendre compte que tout cela est faux.

    Il suffit même de lire : « Plusieurs paysans continuent pourtant d'utiliser les semences de Monsanto, qui rapporteraient deux fois plus d'argent. » Non, ce n'est pas « rapporteraient », mais « rapportent ». Ce n'est pas le fait de Monsanto – qui n'est d'ailleurs pas le seul semencier « capitaliste », ou la seule « multinationale », active dans le pays – mais la différence de productivité entre les hybrides simples, et les hybrides plus complexes et les variétés-populations ; et entre la génétique moderne et la génétique antédiluvienne.

    Il faut faire preuve d'un singulier aveuglement pour produire un reportage à la gloire des anciens guérilleros qui enseignent aux paysans – que l'on prend bien sûr implicitement pour des idiots – « des méthodes très basiques, faciles », mais que ces idiots de paysans « ne connaissaient plus, parce qu'avec Monsanto, ils n'en avaient plus besoin. »

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  7. « ...idiots de paysans », c'est bien sûr ici une manifestation d'indignation devant l'arrogance de ces gens, celui du Salvador avec sa belle chemise propre qui signale l'appartenance à « ceux d'en haut » et des journalistes qui gobent et régurgitent un discours convenu qui a pour caractéristique de correspondre à leurs fantasmes.

    Oui, il faut faire preuve d'un aveuglement encore plus singulier quand on présente un agriculteur qui « produit des mandarines, des citrons, des bananes » et qu'on ajoute, à propos du nouveau mode de culture : « et c'est clairement moins rentable. » M. Manuel Antonio Abalinga est même interviewé. Et que dit-il : « ...Oui on perd de l'argent » ! Difficile, manifestement, de surmonter les pressions, disons, sociétales : « ...On a l'espoir qu'un jour, apparaîtra une lumière au bout du chemin pour reconnaître la valeur de ce que l'on fait... »

    El Salvador a « chassé les pesticides et supprimé les semences des multinationales », est-il dit sur la toile à l'intention des Français pris pour des benêts ? À 2:19 la voix off nous apprend que « le Gouvernement n'a pas interdit les semences étrangères » ! Mais « il voudrait bien que ses paysans y renoncent ». Un peu plus avant, la voix off confirme : « Le paysan continue à cultiver du Monsanto, qui est toujours autorisé ».

    Et de montrer un agriculteur qui portent deux sacs de semences puis plonge les mains dans l'un d'eux pour montrer des graines... violettes. Sans nul doute traitées avec un de ces pesticides que le gouvernement aurait interdit... Écoutez le commentaire : « une teinture rose les protège des insectes ». Une « teinture »... Toute l'incompétence et la naïveté des reporters résumée en un mot !

    Et l'agriculteur explique encore : « Ces semences, pour notre consommation personnelle, c'est bien, mais sinon, elles ne rapportent rien. » Il nous emmène dans un champ où il a complanté deux variétés : « Le petit, il est du gouvernement, et le grand, c'est du Monsanto. » La voix off ajoute : « Des épis plus grands, plus réguliers, de meilleur rendement. Les semences de Monsanto coûtent 150 $ le sac, le paysan est prêt à payer. »

    Eh oui ! « [l]e paysan est prêt à payer ». Cela aurait pu être un point de départ pour une séance d'explication sur les bases de l'économie agricole. Il y a toutefois un bémol : ce paysan cultive aussi du maïs « gouvernemental » – avec des semences fournies gratuitement – parce qu'il n'a pas les moyens d'acheter du maïs moderne pour toute sa surface. Ce qui nous illustre toute l'horreur de cette idéologie délétère qui cherche à combattre le capitalisme et le gringo plutôt qu'à en profiter.

    Le reportage se conclut comme l'article sur Internet par :

    « Le pays vise une agriculture autosuffisante et saine, le rêve des guérilleros. »

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  8. Les journalistes qui ont produit le reportage n'ont visiblement pas compris que le « rêve des guérilleros » est le cauchemar des paysans et de la population salvadorienne.

    Et les journalistes qui ont programmé le reportage dans le JT de France 2 n'ont pas compris qu'ils ont diffusé une information formatée en propagande, anti-pesticides et pro-bio.

    Post scriptum 1

    Pour ce qui est de l'interdiction alléguée des pesticides, pour autant que nous sachions, la mesure n'a jamais été promulguée et mise en vigueur. Rien n'a changé depuis notre « El Salvador, ConsoGlobe, Inf'OGM, etc. : nouveau tour de piste pour un hoax »

    Post scriptum 2 : les autres joyeusetés

    Dans notre quête d'articles récents sur le glyphosate, nous avons trouvé quelques perles :

    Une page Facebook de France 3 Provence-Alpes :

    « Le glyphosate est l’herbicide chimique le plus vendu au monde. Il est reconnu dangereux par l’organisation mondiale de la santé. Notre expert Eric Dehorter nous propose des alternatives à ce produit considéré comme miracle à l’époque. »

    Un florilège d'inepties...

    Sur le Républicain Lorrain, « Le glyphosate, le meilleur ennemi des agriculteurs Nord-Mosellans ». Mais à la lecture de l'article, on doit conclure que c'est un ami des agriculteurs...

    Un communiqué de la Ligue des Droits de l'Homme, « Glyphosate, un produit dangereux à interdire en totale transparence ». On se surprend à lire : « Or, son caractère cancérigène est largement reconnu par de nombreuses expertises » et : « La nécessaire confiance attendue envers les institutions européennes doit reposer sur une démocratie européenne effective s’appuyant sur des citoyens éclairés. » Nous recommandons à la LDH de commencer par s'éclairer elle-même...

    « José Bové : "Le glyphosate a des conséquences dramatiques" » sur France 24. Quel expert de l'outrance !

    Et, comme ça tourne en boucle sur le glyphosate, les médias ouvrent un nouveau front sur le dicamba. Aucun problème en Europe, où il est peu utilisé (en partie parce que nous avons le glyphosate...) mais qu'à cela ne tienne... Il est utilisé aux États-Unis d'Amérique sur des plantes GM rendues tolérantes à cet herbicide (en partie pour résoudre le problème des mauvaises herbes devenues résistantes au glyphosate). Il y a des dérives et des dégâts dans les champs voisins... Et il y a des cabinets d'avocats prédateurs qui ont reniflé un bon coup. Et nos merdias...

    http://seppi.over-blog.com/2017/11/jt-de-france-2-salvador-les-pesticides-hors-la-loi.html

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    1. Les merdias (qui veulent faire crever le Peuple) publient tous les jours des attaques contre ceux qui osent encore se servir de remèdes contre les maladies ! Rendez-vous compte que TOUTES les plantes du monde entier attrapent des maladies et/ou sont victimes d'insectes. Sans les produits de traitement (comme pour vous lorsque vous êtes malade), il ne reste que la mort !

      D'ailleurs, en mangeriez vous de la viande de vache folle ? Du lapin qui a la myxomatose ? Du poulet qui a la grippe aviaire ? De la tomate ou du raisin qui a le mildiou ? Des fruits et des légumes bourrés de vers ? Non ? alors, pourquoi mangez vous bio ?

      Non je n'ai pas dit que vous allez attraper le mildiou, le vers de la grappe ou la maladie de la vache folle ou diarrhée porcine, mais... qui sait ? QUI ?!

      Pareillement pour les herbicide. Sans désherbant: pas de blé ! Car, les mauvaises herbes adore l'engrais mis pour faire pousser les céréales. Elles adorent aussi être arrosées. Et, si un champs est envahi de mauvaises herbes (parfois urticantes ou vénéneuses), AUCUNE moisson ne peut se faire ! Pas de blé = mort assurée.

      C'est pourquoi les laboratoires Monsanto (entr'autres) ont mis au point des produits pour tuer les mauvaises herbes sans que le consommateur n'en soit victime. C'est pourquoi, depuis des décennies que le monde entier utilise du Round'up, PERSONNE n'a encore put prouver que les consommateurs morts l'étaient à cause de Monsanto !

      Pareillement que pour les abeilles ! AUCUNE preuve (venue de médecins légistes) n'a pu être apportée que la disparition des abeilles incombait à Monsanto ! (Tous les jours, il y a des milliards d'oiseaux et d'abeilles qui sont massacrés par les éoliennes vertes !). Aucune preuve d'empoisonnement !!
      Tout est du lobbying. Lutte acharnée lancée par d'autres laboratoires concurrents et jaloux du succès des laboratoires de Monsanto.

      PS: Même chose pour le lobbying anti-OGM ! Hahahaha ! A savoir que TOUTES les plantes du monde entier sont 100 % OGM depuis des millions d'années ! Les Organismes Génétiquement Modifiés l'ont toujours été par le vent, la pluie ou les abeilles qui butinent et ne se lavent même pas les pattes avant d'entrer dans une autre fleur ! (mais que fait la police ?).

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  9. Glyphosate : Nicolas Hulot va sacrifier « humainement » les agriculteurs


    15 Novembre 2017
    par Seppi
    André Heitz*


    - voir photo sur site -
    Binage dans un champ de betteraves en Île-de-France, 1931.


    Les pièces du puzzle s'assemblent, tant à Bruxelles qu'à Paris.

    Le 9 novembre 2017, à Bruxelles, les États membres ont encore trouvé le moyen de ne pas décider, dans un sens ou un autre, sur le renouvellement de l'autorisation du glyphosate.

    Quatorze pays se sont prononcés pour une autorisation de cinq ans – la quatrième « enchère » descendante de la Commission après les 15 années qui seraient d'usage dans le cas d'une substance sûre déjà sur le marché depuis 40 ans, dix ans, et cinq à sept ans. En faveur de la proposition : Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, Irlande, Hongrie, Lettonie, Lituanie, Pays-Bas, République Tchèque, Royaume-Uni, Slovaquie, Slovénie, Suède. Neuf pays ont voté contre : Autriche, Belgique, Chypre, Croatie, France, Grèce, Italie, Luxembourg, Malte. Et cinq se sont abstenus : Allemagne, Bulgarie, Pologne, Portugal, Roumanie. Au dernier tour de piste, ils étaient 17 à approuver une durée de 10 ans... trois se sont abstenus sur les cinq ans parce qu'ils en veulent dix. On nage en pleine irrationalité.

    Il y aura donc un comité d'appel d'ici la fin novembre, avec un vote sur la même durée de cinq ans. L'issue est prévisible. Et après ? Selon les règles de comitologie, il reviendra à la Commission de prendre la décision. Mais nous entrerons peut-être dans une nouvelle ère de la (dé-)construction européenne, la Commission ayant annoncé de manière répétée que la décision devait être « partagée », en fait prise, par les États membres.

    À Paris, les termes du marchandage sont aussi devenus clairs. Une fois de plus, l'agriculture et l'approvisionnement alimentaire ont été sacrifiés au nucléaire et l'approvisionnement électrique.

    Le mardi 7 novembre 2017, M. Nicolas Hulot, Ministre de la Transition Écologique et Solidaire, annonçait, en bref, le report aux calendes grecques de la réduction de 75 % à 50 % de la part de l’électricité d’origine nucléaire, pourtant actée « à l'horizon 2025 » dans la loi n° 2015-992 du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte.

    C'est une annonce qui devrait interpeller les amoureux de l'ordre démocratique et, disons-le, civique : où est l'autorité des institutions quand un Parlement adopte une loi – qui dispose pour un avenir lointain – et que, à peine deux ans après, un gouvernement non encore acculé à l'échéance décrète l'objectif inatteignable. C'est certes le cas – pire, l'objectif est stupide – mais on aurait attendu l'annonce d'un projet de loi abrogeant la disposition en cause.

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  10. M. Hulot s'est évidemment fait le messager d'une décision présidentielle et gouvernementale à laquelle il est en principe hostile (mais son ex-fondation n'a-t-elle pas bénéficié de solides subventions de grands groupes de l'énergie, dont EDF ?). « Je préfère le réalisme et la sincérité à la mystification » a-t-il déclaré à l’issue du conseil des ministres.

    C'est là une préférence bien nouvelle ! On aurait aimé qu'il se l'appliquât et en convainquît ses amis « écologistes » à l'époque où l'Assemblée Nationale fixait avec enthousiasme des objectifs à réaliser par d'autres. Mais on admettra sans peine que la Macronie vient de tirer un trait sur un des délires de la Hollandie. Ou faut-il dire Royalie...

    Et c'est une préférence dont on aurait aimé qu'il se l'appliquât pour le glyphosate (ou encore pour la fin des véhicules à moteur thermique pour 2040).

    Les amateurs de billard à trois bandes penseront que le moment de l'annonce a été soigneusement choisi : M. Hulot prend des coups – surtout de ses amis, bientôt ou peut-être déjà anciens – le mardi et le mercredi... et le jeudi il peut plastronner avec une grande victoire à Bruxelles.

    « On a franchi une étape, on était parti pour réautoriser dix ans, la France tient bon sur trois ans? », a-t-il déclaré à des journalistes. Et cela se poursuit par de beaux plans sur la comète dignes du quinquennat révolu : « C'est normal que le passage de dix ans à trois ans ne se fasse pas de manière si fluide, mais on avance, on est en train de changer d'échelle?[...] tout le monde a inscrit dans son logiciel qu'au-delà d'une réautorisation [...], ce sur quoi il faut travailler, c'est comment [...] on va s'affranchir de toutes ces molécules qui, de manière assez justifiée, occasionnent une défiance entre le consommateur et le mode alimentaire ».

    Ainsi, dans le logiciel de la Macronie, on trouve le bogue de la Hollandie : on décide d'abord ; on voit comment on fait ensuite...

    On est pourtant conscient dans les hautes sphères que c'est une belle bêtise. Le 10 octobre 2017, devant l'Assemblée Nationale, le Premier Ministre Édouard Philippe avait notamment déclaré : « Constatant qu’il n’existe pas à ce jour de produits qui puissent aboutir aux mêmes résultats que ceux élaborés à partir du glyphosate, constatant que certains agriculteurs souhaitent pouvoir transformer leur façon de produire mais que d’autres se trouvent dans la nécessité d’utiliser ces produits, j’ai demandé au ministre de l’agriculture et au ministre d’État chargé de la transition écologique de préparer une stratégie de sortie du glyphosate. »

    Que penser de la gesticulation à prétention anesthésiante de M. Hulot : « Pendant ces trois ans, on va pouvoir travailler pour faire émerger les alternatives » ? Que c'est bien la preuve que l'on sait à l'Hôtel de Roquelaure qu'il n'y a pas d'alternatives. Nous n'écrirons pas : « pas encore », car s'il y en avait – à l'échelle de l'agriculture française et pas seulement d'une ferme prétendument vertueuse – cela se saurait. Et elles seraient déjà appliquées à grande échelle car, contrairement aux légendes urbaines, les agriculteurs ne sont pas des maniaques du pulvérisateur.

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  11. En fait, la réponse est déjà donnée par M. Hulot : « Je comprends l'inquiétude des agriculteurs qui sont un peu accablés par toutes les contraintes qu'on leur pose : on va faire ça le plus humainement et rationnellement possible. »

    « On » va sacrifier l'agriculture et les agriculteurs... mais « humainement ».

    En 2007, lors du Grenelle de l'Environnement – sur l'instigation notamment de M. Hulot et de son Pacte Écologique – le Président de la République Nicolas Sarkozy avait sacrifié l'agriculture pour prix de la tranquillité (qu'il n'a pas vraiment eue) sur le nucléaire. M. Hollande a poursuivi la politique des renoncements, et ce, pour des concessions étriquées, notamment sur les OGM et des pesticides « emblématiques » comme les néonicotinoïdes.

    En offrant le glyphosate à M. Hulot comme hochet à agiter devant ses anciens amis et une opinion dite « publique » travaillée au corps, M. Emmanuel Macron vient toutefois de faire « mieux » que ses prédécesseurs.

    Le refus des OGM était un renoncement à des progrès. Au-delà des grandes gesticulations d'Écophyto (dont certains éléments sont tout à fait positifs), le refus de certains pesticides a créé des difficultés qui n'étaient pas insurmontables (et – c'est contre-intuitif – des atteintes à l'environnement). Sans glyphosate, nous aurons une formidable régression agronomique, écologique, économique, sanitaire et sociale.

    Tout ça pour maintenir la paix gouvernementale et succomber à la démagogie. Quelle déception !

    ______________

    * André Heitz est ingénieur agronome et fonctionnaire international du système des Nations Unies à la retraite. Il a servi l’Union internationale pour la protection des obtentions végétales (UPOV) et l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI). Dans son dernier poste, il a été le directeur du Bureau de coordination de l’OMPI à Bruxelles.

    http://seppi.over-blog.com/2017/11/glyphosate-nicolas-hulot-va-sacrifier-humainement-les-agriculteurs.html

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    1. Si, pour expliquer la photo: 'Binage dans un champ de betteraves en Île-de-France, 1931' l'on devait aujourd'hui désherber tous les terrains cultivables, il n'y aurait certes plus de chômeurs et tous au travail des champs. Oui mais, le prix du kilo de patates comme de tomates serait multiplié par 100 ! (sauf si les domestiques ne sont pas payés ! Hahahaha !)

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  12. Autre vision de la mortalité dûe au « changement climatique » :
    des vies vont être sauvées… en hiver !


    Clémentine Jallais
    15 novembre 2017


    Le « changement climatique » pourrait avoir des avantages inattendus pour les Britanniques, se réjouit The Telegraph : moins de personnes mourront de froid en hiver ! Effet collatéral relativement logique de la hausse des températures mondiales envisagée par les instances scientifiques… La toute nouvelle étude publiée dans The Lancet Planetary Health a bien été obligée de prendre en compte ce modèle de compensation « imprévu » et jusque-là largement rejeté.

    Heureusement pour le mythe et toutes les conséquences politico-sanitaires qu’il entraîne, au niveau mondial, la surmortalité globale dûe au « réchauffement » demeure la plus forte…

    Des hivers plus cléments et donc moins meurtriers dans certaines régions du globe

    Ils se disputaient pourtant sur le sujet, arguant de données et de prévisions difficiles à établir (comme si celles liées au réchauffement étaient plus évidentes…).

    En 2012, une équipe de chercheurs franco-américaine de l’Université de Columbia avait déterminé qu’il était « peu probable que les hivers plus chauds dûs au changement climatique entraînent une baisse significative de la mortalité saisonnière hivernale aux États-Unis et en Europe ». Et deux ans plus tard, un rapport de l’Université d’Exeter, paru dans Nature Climate Change corroborait cette même idée sur la situation en Angleterre et en Écosse, affirmant même que la mortalité hivernale pourrait s’accentuer !

    Cependant, c’est un fait, bien que de nombreuses régions du monde verront leur taux de mortalité augmenter avec le « réchauffement climatique », dans le nord de l’Europe, la mortalité par temps chaud sera quasi annulée par la diminution des décès par temps froid, voire légèrement diminuée !

    Dans les années difficiles, près de 50.000 personnes supplémentaires meurent pendant l’hiver en Grande-Bretagne, par rapport aux mois plus cléments. La nouvelle recherche de The Lancet Planetary Health suggère que la mortalité liée au froid diminuera de 32 à 50 % si les scénarios de changement climatique les plus défavorables se sont produits à la fin du siècle.

    Un modèle commun de compensation de la mortalité liée au froid

    « Bien que des études antérieures aient montré une augmentation potentielle de la mortalité liée à la chaleur, on ne savait pas dans quelle mesure cette augmentation serait contrebalancée par une réduction des décès liés au froid. Les effets ont tendance à varier selon les régions, en fonction du climat local et d’autres caractéristiques » explique le professeur Antonio Gasparrini, agrégé de biostatistique et d’épidémiologie à l’École d’hygiène et de médecine tropicale de Londres.

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  13. Modélisant la façon dont les temps chaud et froid affectent la mortalité des populations, les chercheurs ont utilisé les données réelles de 85 millions de morts entre 1984 et 2015, spécifiques à un large éventail de lieux, prenant en compte différents climats, conditions socio-économiques et démographiques. Selon les quatre scénarios alternatifs de changement climatique (scénarios RCP, « Representative Concentration Pathway ») établis par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), en 2014, les taux de mortalité diffèrent.

    Dans le pire scénario, (RCP 8.5), qui suppose que les émissions de gaz à effet de serre continuent d’augmenter tout au long du 21ème siècle (et que donc les températures augmenteraient dans leur logique), les auteurs montrent la possibilité d’augmentations nettes extrêmement importantes de la mortalité dans les régions dominées par des climats plus chauds, tels que l’Amérique centrale et l’Amérique du Sud, l’Europe du Sud et l’Asie du Sud-Est (+12,7 %).

    Mais en Europe du Nord, en Asie de l’Est et en Australie, le réchauffement moins intense et la forte diminution des décès liés au froid peuvent ne pas entraîner de changement net ou une réduction marginale des décès liés à la température.

    Le changement climatique doit tuer

    Pour une fois qu’une bonne nouvelle du réchauffement climatique nous vient de ses partisans…

    Mais que les alarmistes se rassurent, l’étude, la plus grande réalisée à ce jour pour examiner les impacts sur la santé causés par les hausses de température mondiales, montre que, globalement, lorsque les températures mondiales augmentent, la hausse des taux de mortalité par temps chaud l’emporte sur toute diminution des décès par temps froid, de nombreuses régions étant confrontées à une forte augmentation nette des taux de mortalité.

    C’est quand même l’idée qui doit demeurer maîtresse… que le changement climatique tue !

    Antonio Gasparrini commence d’ailleurs l’étude par ces mots : « Le changement climatique est maintenant largement reconnu comme la plus grande menace mondiale du 21e siècle ». Une affirmation pour le moins péremptoire et décalée, surtout par rapport à l’étude. D’autant que les auteurs reconnaissent les limites de leur travail, en particulier le fait que les mécanismes d’adaptation n’ont pas été pris en compte…

    Et pourtant leur seule conclusion est la dernière : « Si les pays adhèrent à l’Accord de Paris, qui empêche le réchauffement de dépasser 2° C, l’augmentation de la mortalité ne se situera qu’entre -0,4 % et 0,6 % dans toutes les régions ». La solution est encore et toujours dans la politique mondialiste.

    http://reinformation.tv/mortalite-hiver-changement-climatique-jallais-77141-2/

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  14. D’ici Noël, les Maldives vont disparaître


    15 novembre 2017


    Vous n’y croyez pas ? C’est pourtant ce qui avait été prévu, comme tant d’autres choses, par les climatologues alarmistes de la fin du XXe siècle… Et le chercheur Tony Heller, sur son blog realclimatescience.com, est un maître en l’art de les dégoter, entre coupures de presse et conférences de ces grands pontes.

    C’était en septembre 1988, dans le Canberra Times. Des experts gouvernementaux tiraient la sonnette d’alarme et les programmes environnementaux des Nations unies commençaient à étoffer ce dossier inquiétant : dans trente ans (donc en 2018), la montée du niveau de la mer dans l’océan Indien fera disparaître ses îles. Alors chargé des affaires environnementales, le maldivien Hussein Shihab criait à la catastrophe. Pire, la fin des Maldives et de ses 200.000 personnes (417.000 actuellement) pourrait arriver plus tôt si l’approvisionnement en eau potable s’épuisait en 1992, comme prévu.

    Il y a deux jours, le président maldivien Abdulla Yameen a inauguré officiellement le projet du grand aéroport de Kulhudhuffushi, le principal centre de population dans les atolls du nord – comme quoi, on oublie vite…

    Donc, quand les chercheurs du MIT estiment, dans une nouvelle étude, que d’ici la fin du XXIe siècle, l’Asie du Sud pourrait être invivable à cause des vagues de chaleur extrêmes associées à un fort taux d’humidité, on se dit qu’on peut attendre de voir.

    http://reinformation.tv/noel-maldives-disparaitre-vite-77175-2/

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    1. Vous avez réservé un hôtel aux Maldives pour noel ? Faites-y une croix ! Achetez vous un sous-marin ! HAHAHAHA !

      Comme il en est du 'temps des moussons', deux fois par an des régions du globe subissent des fortes marées (upwelling), et donc, comme toutes marées montantes, il y a aussi des marées descendantes ! (depuis toujours et pour toujours !). Marées qui reforment les îles ou en créent des nouvelles. C'est ainsi que depuis des milliers d'années existent les Maldives comme les îles Fidji.

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  15. Les agressions de pompiers toujours plus nombreuses en France


    Pauline Mille
    15 novembre 2017


    Les pompiers subissent de plus en plus d’agressions lorsqu’ils opèrent, soit par des gens avinés, soit dans certains quartiers où ils sont attaqués en tant que symboles de l’État. Bien que touchant plus certaines régions, le phénomène est général et témoigne de la montée de la tension interethnique.

    Les chiffres publiés par l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales ne laissent pas de place au doute. En 2016, les agressions déclarées par les sapeurs-pompiers ont augmenté de 17,6 % par rapport à 2015. Elles sont de toute nature : insulte, crachats, coups contre les pompiers, ou dégradation de leur matériel. 2.280 pompiers se sont déclarés victimes d’une agression en 2016 contre 1.939 en 2015.

    La hausse des agressions touche toute la France

    En conséquence, le nombre d’arrêts de travail des pompiers a fortement augmenté : 1.613 journées posées en 2016 (+ 36,1 %), et le coût des dégradations a bondi de 183,4 % : 414 véhicules ont été endommagés pour un préjudice estimé à 283.442 euros.

    Le phénomène touche toute la France mais certaines régions plus que d’autres : on compte 406 agressions en Nouvelle-Aquitaine, 366 dans les Hauts-de-France, 301 en Auvergne-Rhône-Alpes, 267 dans le Grand-Est et 230 en Île-de-France.

    1.337 agressions déclarées ont donné lieu à des plaintes, soit une proportion de 58,6 % des victimes. En 2015, ce taux était de 65 %. Serait-ce à dire que les agressions de pompiers se banalisent ? En tout cas, la hiérarchie ne l’admet pas à Paris : en cas d’agression contre un sapeur-pompier, le dépôt de plainte y est automatique.

    Les pompiers en uniforme symbolisent l’État et la France

    Le nombre relativement faible d’agressions dans le Grand Est et en Île-de-France surprend. On sait en effet, selon Christophe Soullez, responsable de l’Observatoire nationale de la délinquance et des réponses pénales, que les pompiers subissent des agressions dans deux cas principaux : quand les individus qu’ils prennent en charge, désorientés par la drogue ou l’alcool, deviennent violents, et lors de certaines opérations des « certains quartiers difficiles ». Alors, selon Christophe Soullez, « Les pompiers sont parfois assimilés aux symboles de l’État ». Toujours selon lui, les violences contre les pompiers dans ces quartiers sont de plus en plus nombreuses depuis 2008.

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  16. Les agressions de pompiers, mesure de la tension ethnique en France

    Les pompiers le disent : « On s’est tous déjà fait insulter au moins une fois ». Les coups de poings sont fréquents, le cocktail Molotov occasionnel, les jets de pierres sur le casque pas rares. Les pompiers jugent cela « extrêmement violent ».Ils sont attaqués es-qualité, ce sont des cibles dans la mesure même où, de même que les représentants du gaz ou de l’électricité, ils sont en uniforme et offrent un service public : ils représentent la France. Et ce n’est pas insignifiant que la profession qui suscite le plus de sympathie et de confiance chez les Français subisse des agressions de plus nombreuses dans « certains quartiers ». Il s’agit d’une guerre ethnique qui ne se cache plus beaucoup. Si le nombre d’agressions en Île-de-France et dans le Grand Est est relativement faible, c’est que cette guerre ethnique trouve dans ces régions d’autres formes, manifestations et exutoires.

    http://reinformation.tv/agressions-pompiers-france-mille-77168-2/

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  17. Quand une danse sexy d’un steward vaut mille démonstrations de sécurité, en vidéo


    14:03 16.11.2017


    Un steward américain a décidé de présenter les consignes de sécurité en effectuant une danse sexy avec une ceinture de sécurité, un masque à oxygène et un gilet de sauvetage. Des passagers s’étouffant de rire ont filmé la scène hilarante qui est ensuite devenue virale sur Internet.
    Nicholas Demore, employé de la compagnie aérienne low-cost Southwest Airlines a offert aux passagers une présentation des consignes de sécurité pendant le vol qu'ils n'avaient encore jamais eu l'occasion de voir.

    Vêtu d'un t-shirt rouge déboutonné, l'homme commence par expliquer comment se servir d'une ceinture de sécurité, en la tirant de façon séduisante à travers son cou, le tout accompagné d'un regard perçant et des lèvres légèrement mordues.

    L'homme n'a également pas hésité à bouger lentement son corps, comme s'il entendait en ce moment You Can Leave Your Hat On de Joe Cocker…

    Ensuite, Nicholas Demore passe à la brochure des règles en se servant d'elle comme d'un éventail. Une fois le masque à oxygène présenté et le gilet de sauvetage enfilé, il se met à glisser contre un mur en se caressant avec ses mains.
    Les passagers ne pouvaient pas retenir leur rire et suivaient attentivement le moindre mouvement du steward.

    La société aérienne a salué l'initiative de Nicholas en soulignant que tous les employés de Southwest Airlines se distinguaient par leur «approches amusantes» à appliquer pendant le travail, selon le Daily Mail.

    Postée sur la page Facebook d'une passagère le 10 novembre, la vidéo a été visionnée environ 60.000 fois.

    https://fr.sputniknews.com/insolite/201711161033904704-steward-consignes-securite-danse-video/

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  18. La cause du danger du sel révélée


    08:34 16.11.2017


    La consommation excessive de sel serait dangereuse pour la santé, affirme un groupe international de scientifiques dans un article publié dans la revue spécialisée Nature à l’issue d’un travail de recherche.

    Un groupe de scientifiques allemands, américains et belges met en garde contre la consommation excessive de sel, qui pourrait mener à des problèmes de santé, indique l'article, publié par la revue spécialisée Nature.

    Ainsi, après avoir étudié les excréments de souris consommant régulièrement de la nourriture avec une quantité élevée de sel, les chercheurs ont constaté que le nombre de bactéries Lactobacillus murinus avait considérablement baissé. Selon les scientifiques, ceci pourrait provoquer des risques d'encéphalomyélite auto-immune et d'hypertension artérielle.

    Une autre recherche menée auprès de volontaires a par ailleurs démontré que la consommation de sel en grande quantité entraîne non seulement une réduction de bactéries mais aussi une augmentation du nombre de lymphocyte Th17, susceptibles de provoquer de l'hypertension artérielle.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201711161033900104-sante-science-sel/

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    1. Après les campagnes pour consommer du sel (iodé) afin d'éviter le créténisme, voici qu'arrive le 'tous cons demain' (cher aux fast-food où ont été démontrés que des hamburgers de chez eux se conservaient plus d'un an grâce a tout le sel qu'ils contiennent !); grâce à l'hypertention !

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  19. Le lien entre groupes sanguins et maladies cardiaques révélé


    13:23 16.11.2017


    Un lien entre les groupes sanguins des individus et la fréquence des crises cardiaques dans les périodes de forte pollution de l’air a été révélé par les scientifiques américains du centre médical Intermountain Medical Center Heart Institute, à Salt Lake City, aux États-Unis.

    Les individus possédant les groupes sanguins II, III et IV, soit A, B, et AB, respectivement, courent des risques plus élevés de crises cardiaques lors des périodes de forte pollution de l'air, affirment les spécialistes du centre médical américain Intermountain Medical Center Heart Institute, à Salt Lake City, aux États-Unis.

    «Nous nous sommes intéressés à la question de savoir si les individus qui ont une variation spécifique du gène ABO sont plus ou moins sujets aux crises cardiaques pendant les périodes de forte pollution de l'air. Ainsi, nous avons constaté que ceux dont le groupe sanguin est A, B, ou AB courent plus de risques. Il ne faut par ailleurs pas paniquer, mais il est préférable de le savoir», a expliqué Benjamin Horne, l'un des auteurs de cette recherche.

    Au cours de leur recherche, les scientifiques ont analysé des données sur une période allant de 1993 à 2007. Il s'est donc avéré que les risques de crise cardiaque augmentent si la concentration de polluants dans l'air dépasse la barre des 25 microgrammes par mètre cube. Ainsi, tous les dix grammes au-dessus de cette barre, les risques augmentent de 25% pour les individus des groupes A, B, et AB, contre seulement 10% auprès de ceux qui ont 0 pour groupe sanguin.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201711161033904115-science-maladie-sante/

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    1. 8 Groupes sanguins et %

      Groupe A Rhésus + 38 %
      Groupe 0 Rhésus + 36 %
      Groupe B Rhésus + 8 %
      Groupe AB Rhésus + 3 %
      Groupe A Rhésus - 7 %
      Groupe O Rhésus - 6 %
      Groupe B Rhésus - 1 %
      Groupe AB Rhésus - 1 %

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  20. La dernière fois que ces 3 signaux inquiétants sont apparus simultanément étaient juste avant la dernière crise financière


    Par Michael Snyder,
    le 15 novembre 2017


    Nous n'avons pas vu un "renversement de leadership", un "Hindmen Omen" et un "signal du syndrome du Titanic" apparaître tous simultanément depuis la veille de la dernière crise financière. Cela signifie-t-il qu'un krach boursier est imminent ? Pas nécessairement, mais comme je l'ai écrit récemment, les marchés sont certainement prêts pour un. Mercredi, le Dow Jones a perdu 138 points de plus, ce qui représente le plus important déclin de la journée depuis septembre. Plus important encore, la tendance à la baisse qui s'est développée au cours de la dernière semaine semble s'accélérer. Jetez un oeil à ce tableau. Pourrions-nous être au bord du précipice d'un mouvement majeur à la baisse?

    John Hussman semble certainement le penser. Il est celui qui a souligné que nous n'avons pas vu ce genre de signal de vente triple depuis la dernière crise financière. Ce qui suit vient de Business Insider ...

    Mardi, le nombre de sociétés cotées à la Bourse de New York a atteint un nouveau sommet de 52 semaines, ce qui représente un «renversement de leadership» selon Hussman, soulignant la détérioration des marchés internes. Stocks a également reçu la confirmation de deux lectures de la largeur du marché baissier connus sous le nom de Hindenburg Omen et le Syndrome Titanic.

    Hussman dit que ces trois lectures n'ont pas eu lieu simultanément depuis 2007, quand la crise financière commençait. Cela s'est passé avant cela en 1999, juste avant le crash de dot-com. Ce n'est pas vraiment la bienvenue.

    En fait, chaque fois que nous avons vu ces trois signaux apparaître en même temps, il y a eu un krach boursier.

    Est-ce que les choses seront différentes cette fois ?

    Nous verrons.

    Si vous n'êtes pas familier avec un "Hindenburg Omen" ou "le syndrome du Titanic", voici quelques définitions assez concises ...

    Hindenburg Omen: Un signal de vente qui se produit lorsque les nouveaux plus hauts de NYSE et de nouveaux bas dépassent chacun 2,8 % des avances plus des baisses le même jour. Mardi, ils ont totalisé plus de 3 %.

    Syndrome titanique: Un signal de vente déclenché lorsque les creux de 52 semaines à la Bourse de New York dépassent les sommets de 52 semaines dans les sept jours suivant un sommet inégalé des actions. Les stocks les plus récents ont atteint un record le 8 novembre.

    Vous pouvez voir les autres fois au cours des dernières décennies lorsque ces trois signaux sont apparus simultanément sur ce tableau ici.

    Encore une fois, les modèles antérieurs ne garantissent pas que la même chose se produira à l'avenir, mais si le marché se bloque, cela ne devrait surprendre personne.

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  21. Il y a 10 jours, j'ai publié un article intitulé "La Réserve fédérale vient de donner aux marchés financiers le meilleur signal de vente dans l'histoire américaine moderne". J'ai fait remarquer que cette bulle boursière a été créée par une intervention sans précédent de la banque centrale, et maintenant les banques centrales mondiales inversent le processus qui a créé la bulle à l'unisson. Il est impossible que les cours des actions restent à ces niveaux absolument absurdes sans l'aide de la banque centrale, et si les banques centrales mondiales restent à l'écart, un déclin du marché semblerait pratiquement inévitable.

    Pendant ce temps, nous assistons également à un aplatissement très alarmant de la courbe des taux ...

    Hogan a déclaré que le marché est nerveux à propos de la différence "aplatie" entre le rendement à 2 ans et le rendement du Trésor à 10 ans, qui se rapprochent. La courbe a chuté à 68 points de base mardi, un plus bas de 10 ans. Hogan a déclaré que 70 est devenu une ligne dans le sable, et quand il tombe en dessous que les commerçants deviennent nerveux.

    Une courbe d'aplatissement peut indiquer que la courbe va s'inverser, ce qui signifie historiquement qu'une récession est à l'horizon.

    Si la courbe de rendement finit par s'inverser, ce sera un drapeau rouge majeur.

    Mais les experts nous assurent que nous n'avons rien à craindre.

    Par exemple, regardez ce que dit Karyn Cavanaugh de Voya Financial ...

    "Maintenant que la saison des résultats est terminée, les marchés sont plus redevables aux données macroéconomiques. La faiblesse des prix du pétrole et le scepticisme à l'égard de l'adoption de la loi fiscale pèsent également sur le sentiment ", a déclaré Karyn Cavanaugh, stratège de marché senior chez Voya Financial.

    Malgré la baisse de la journée, les principaux indices demeurent à moins de 1,5 point de pourcentage.

    "Tout repli à ce stade devrait être considéré comme une opportunité d'achat. Les perspectives de bénéfices pour les actions américaines, en particulier avec l'environnement de croissance mondiale synchronisée est encore bonne ", a déclaré Cavanaugh.

    Et les consommateurs américains continuent à accumuler plus de dettes comme s'il n'y avait pas de lendemain. Cette semaine, nous avons appris que la dette des ménages américains a presque atteint le seuil de 13 trillions de dollars ...

    Le niveau d'endettement des Américains a augmenté au cours du troisième trimestre, en raison d'une augmentation des prêts hypothécaires, selon un rapport publié mardi par la Banque fédérale de réserve de New York.

    La dette totale des ménages américains s'est chiffrée à 12,96 billions de dollars au cours des trois mois se terminant en septembre, en hausse de 116 milliards de dollars par rapport aux trois mois précédents. Les niveaux d'endettement se sont élevés à 605 milliards de dollars de plus qu'au troisième trimestre de 2016.

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  22. Les fondamentaux ne supportent pas ce genre d'optimisme irrationnel.

    Ce que les fondamentaux nous disent, c'est qu'en l'absence d'un soutien de la banque centrale, nous devrions voir les marchés commencer à décliner, et qu'il est fort probable qu'une récession douloureuse se profile à l'horizon.

    Alors que la prochaine crise éclate, les grands médias vont réagir avec horreur et choc. Mais la seule vraie surprise est que cette bulle ridicule a duré aussi longtemps que cela.

    La vérité est qu'un déclin du marché est très en retard. Si les banques centrales n'avaient pas injecté des milliers de milliards de dollars dans le système financier mondial, il n'y aurait aucune possibilité que les cours des actions soient aussi élevés, et maintenant que les banques centrales suppriment l'aide à la vie artificielle, nous verrons comment les marchés faire de leur propre chef.

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/the-last-time-these-3-ominous-signals-appeared-simultaneously-was-just-before-the-last-financial-crisis

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    1. Le marché financier est d'acheter des marchandises, les stocker et faire de la rétention de produits indispensables afin que les prix montent au plus haut ! Et, si les prix ne grimpent pas, les stocks sont obligés de partir car il y a des frais de stockage au quotidien. C'est ce qui fait que des produits sont très chers aux supermarchés qui préfèrent les jeter que de baisser leurs prix !
      C'est ce qui se passe en toutes dictatures où ce sont les consommateurs qui doivent payer ce qu'ils refusent d'acheter.

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  23. Démocrates ont déposé des articles de destitution, mais nous ne allons pas leur permettre d'attaquer Trump


    Par Michael Snyder,
    le 15 novembre 2017

    Mercredi, un groupe de démocrates du Congrès a déposé cinq articles d'accusation contre le président Trump, et ils disent qu'ils le font "en raison des grandes préoccupations pour le pays et notre Constitution et notre sécurité nationale et notre démocratie". Bien sûr, cet effort n'ira probablement nulle part parce que les républicains contrôlent à la fois le Sénat et la Chambre, mais cela montre ce qui pourrait arriver si les élections de 2018 à mi-mandat tournaient mal. Si les Démocrates sont en mesure de reprendre le contrôle du Sénat et de la Chambre en 2018, ils tenteront d'attaquer Trump. Et même s'ils sont proches de reprendre le contrôle, ils pourraient éventuellement convaincre certains républicains d'établissement de se joindre à eux pour se débarrasser du président.

    Les élections ont vraiment de l'importance, et ce n'est pas parce que quelqu'un utilise le label «Républicain» qu'ils vont défendre Trump quand il y aura une poussée. Par exemple, la représentante de l'État, Christy Perry, vient d'entrer dans la course pour la première place dans le premier district du Congrès de l'Idaho, et elle pourrait finir par être mon adversaire le plus redoutable. Malheureusement, son dossier de vote est très libéral et elle ne serait pas une personne sur laquelle Trump pourrait compter. Il est absolument impératif que nous remplissions ce siège avec quelqu'un qui sera un allié du président, et c'est pourquoi les partisans de Trump dans tout le district s'impliquent dans ma campagne.

    L'avenir de la présidence de Trump dépend de ce qui se passera en 2018, car les démocrates nous ont déjà montré ce qu'ils ont l'intention de faire une fois qu'ils seront de retour. Ce qui suit vient de NBC News ...

    Les cinq articles accusent le président d'entrave à la justice liée à l'enquête du FBI sur l'ingérence de la Russie aux élections de 2016, sapant l'indépendance de la justice fédérale et d'autres infractions.

    "Nous avons pris cette mesure en raison des grandes préoccupations pour le pays et notre Constitution et notre sécurité nationale et notre démocratie", a déclaré le représentant Steve Cohen, D-Tenn, lors d'une conférence de presse pour annoncer l'effort.

    Cohen a dit qu'il comprend que les républicains détiennent la majorité à la Chambre et sont peu susceptibles d'autoriser des audiences sur les articles de mise en accusation. Il a dit que le groupe tiendrait des briefings occasionnels pour expliquer chacun des cinq articles de la mise en accusation et où ils croient que Trump a enfreint la loi ou commis des méfaits qui justifient la mise en accusation.

    Si 2018 va très bien pour les forces pro-Trump, la menace de mise en accusation disparaîtra complètement.

    Mais généralement, le parti de l'opposition fait des gains substantiels au Congrès lors des premières élections à mi-mandat d'une nouvelle présidence, et si nous permettons aux démocrates de reprendre le contrôle du Sénat et de la Chambre en 2018, le président Trump ne pourrait même pas le faire. Élection 2020.

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  24. Si vous soutenez le président Trump, j'espère que vous vous présenterez avec des candidats pro-Trump comme moi en 2018.

    La gauche veut couper la présidence de Trump aussi court que possible, mais nous n'allons pas laisser cela se produire. Au lieu de cela, nous allons nous assurer qu'il gagne à nouveau en 2020, et nous allons faire tout ce que nous pouvons pour que le programme Make America Great Again soit pleinement mis en œuvre.

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/democrats-have-filed-articles-of-impeachment-but-we-arent-going-to-allow-them-to-impeach-trump

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    1. (...) "en raison des grandes préoccupations pour le pays et notre Constitution et notre sécurité nationale et notre démocratie" (...)

      A savoir que les deux partis 'opposés' représentent LA dictature et que, c'est seulement par Trump que peut être décidée et appliquée la première Démocratie aux États-Unis.

      Ce ne sont PAS les Congressistes qui peuvent s'y opposer. C'est le Peuple qui décide de changer ou pas de Constitution.

      (...) Si vous soutenez le président Trump, j'espère que vous vous présenterez avec des candidats pro-Trump comme moi en 2018. (...)

      Rappelons que Snyder ne soutient PAS la Démocratie mais un parti anti-Démocratie !
      Trump ne représente PAS le parti républicain car le parti ne l'a pas hissé au pouvoir. C'est Donald Trump lui-même qui y est monté !

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  25. Contre Trump, le mondialisme utilise le spectre de la guerre atomique


    Pauline Mille
    15 novembre 2017


    Le mondialisme utilise contre son adversaire Donald Trump un vaste spectre de tactiques. Dernière en date : la peur de la guerre atomique. Un « instable » comme Trump doit-il disposer du bouton fatal, se demande le congrès. Sous couleur de sécurité, le mondialisme rogne le pouvoir présidentiel.

    C’est la première fois depuis 1976, en pleine guerre froide, que le congrès est invité à débattre sur les pouvoirs exacts du président des États-Unis en cas d’alerte nucléaire : s’il utilise le bouton qui déclenche la guerre atomique, la chaîne de commandement qui aboutit au lanceur doit-elle lui obéir, ou a-t-elle le devoir de lui désobéir ? C’est le président de la commission des Affaires étrangères au Sénat, Bob Worker, qui a organisé ce débat.

    Selon la constitution américaine Trump est chef des armées

    Sur le papier, il n’a en principe pas lieu d’être. L’article deux de la constitution américaine dit que le président est le chef des armées, chargé de défendre la nation contre toute menace imminente, seul habilité à déclencher le feu nucléaire. Mais que veut-dire « imminent » ? C’est ce que se sont demandés hier les sénateurs américains. Le président a-t-il le droit, par exemple, de déclencher un tir préventif, « une première frappe » en jargon nucléaire ? Autre question agitée, celle de l’obéissance. L’ancien chef du commandement stratégique de 2011 à 2013, le général Robert Kehler, affirme que « L’armée est obligée d’exécuter un ordre légal et de refuser de suivre un ordre illégal ». Nouveau dilemme, qu’est-ce qu’un ordre légal, un ordre illégal ? Et qu’adviendrait-il si le chef du commandement stratégique, ou quelqu’un d’autre, estimait l’ordre présidentiel « illégal » ? Réponse de Kehler : « Je ne sais pas ». En pratique, Brian MacKeon, ancien sous-secrétaire d’État à la défense, le président pourrait remplacer les réfractaires tout au long de la chaîne de commandement, mais il agite le spectre d’une « véritable crise constitutionnelle ».

    Trump va-t-il déclencher la guerre atomique ?

    Ce débat d’une haute tenue morale et juridique se veut de principe, d’ailleurs académique et sans effet immédiatement contraignant. Les sénateurs ont précisé avec soin que l’audition n’était pas spécialement consacrée à Donald Trump, il s’agit cependant d’une attaque ad hominem. Bob Worker a exprimé publiquement sa peur voilà moins d’un mois, en parlant de la Corée du Nord, que Trump ne mène les États-Unis « vers la troisième guerre mondiale ». Et le sénateur du Connecticut, Chris Murphy, a précisé hier, pour que tout le monde comprenne bien, qu’il craint que « Le président des États-Unis soit si instable et si volatil, que son processus décisionnel soit si fantasque, qu’il puisse donner un ordre d’utiliser l’arme nucléaire complètement contraire aux intérêts de sécurité nationale américains ». Autrement dit, Trump est un fou dangereux. On revient aux clichés pacifistes des années soixante – par exemple dans le film Docteur Folamour. Après les féministes et les antiracistes, le mondialisme fait donc donner le pacifisme contre Trump, sans crainte de se contredire puisqu’il a favorisé l’aventurisme des Bush et Obama.

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  26. Le mondialisme utilise la haine contre Trump

    Mais derrière sa tactique anti Trump, le mondialisme poursuit aussi son processus vers la gouvernance mondiale, on peut même dire qu’il se sert de l’obstacle Trump pour cela. Il semble que M. McKeon l’ait discerné. Ce qui est postulé par le débat sur l’obéissance, c’est toute la procédure qui autorise la guerre atomique. Or, la modifier à cause de Donald Trump serait selon l’ancien sous-ministre « un précédent malheureux ». Le sénateur de Floride Marc Rubio, concurrent malheureux de Trump à la primaire républicaine, dit les choses de façon plus brutale : « Il n’est pas possible qu’une bande de juristes ou de militants décident de désobéir quand cela ne leur plaît pas. Dans cette république (…) quand ils votent, les électeurs prennent la décision de confier à quelqu’un ce pouvoir ».

    Le mondialisme exploite un vieux spectre contre la souveraineté nationale

    C’est précisément cette relation directe entre le président et la nation que les tenants du mondialisme ont entrepris d’éroder patiemment. Pour le prof de sciences politiques Peter Feaver par exemple, le président « aura besoin de la coopération de beaucoup de monde pour déclencher une frappe ». D’autres rappellent que la constitution américaine réserve la décision de déclarer la guerre au Congrès, même si la chose est tombée en désuétude après 1941 en raison de l’urgence atomique. Ils souhaitent qu’on en revienne au texte de la loi et à l’usage ancien pour retirer au président l’usage du bouton atomique et rétablir le lustre du parlement. C’est évidemment faire litière de la réalité de la guerre moderne et de la notion de dissuasion.

    Qu’on m’entende bien. Je ne suis une fanatique ni de Trump ni de la guerre atomique, mais je déplore que le mondialisme exploite la peur d’un vieux spectre pour réduire la souveraineté des nations.

    http://reinformation.tv/trump-mondialisme-guerre-atomique-utilise-spectre-mille-77162-2/

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  27. Un document scientifique expose que des produits chimiques contenus dans le vaccin contre le tétanos, vaccin distribué par l'OMS en Afrique, causent l'infertilité chez les femmes et ce, SANS LEUR CONSENTEMENT

    mercredi 15 novembre 2017


    * Un exercice de stérilisation de masse" déclarent des médecins kenyans qui ont trouvé un agent anti-fertilité dans le vaccin contre le tétanos
    http://conscience-du-peuple.blogspot.ca/2014/11/un-exercice-de-sterilisation-de-masse.html

    L’OMS et l’Unicef stérilisent des populations du tiers-monde sous couvert de vaccination
    http://conscience-du-peuple.blogspot.ca/2015/02/loms-et-lunicef-viennent-de-steriliser.html

    Melinda Gates offre 375 millions de dollars dans le contrôle de la population: l'avortement et la contraception (lire stérilisation)
    http://conscience-du-peuple.blogspot.ca/2017/07/melinda-gates-offre-375-millions-de.html

    Bill Gates sponsorise des techniques pour nous stériliser
    http://conscience-du-peuple.blogspot.ca/2012/02/bill-gates-sponsorise-des-techniques.html

    Intitulé, «L'HCG trouvé dans le vaccin contre le tétanos de l'OMS au Kenya soulève des préoccupations dans le monde en développement», le document documente le déploiement secret d'un produit chimique qui cause l'infertilité dans les vaccins administrés aux jeunes femmes noires au Kenya.

    L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a-t-elle délibérément trompé les femmes des pays en développement en leur faisant croire qu'elle les protégeaient ainsi que leurs futurs enfants contre le tétanos, alors qu'elle les privent de leur fertilité sans leur consentement?

    Voici le document en question, daté d'octobre 2017:
    http://www.oalib.com/paper/pdf/5290033

    http://conscience-du-peuple.blogspot.fr/2017/11/un-document-scientifique-expose-que-des.html

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  28. Les décors de Blade Runner 2049, comment c'est fait ?

    15 novembre


    Voici un making of des décors miniatures utilisés dans Blade Runner 2049, par Weta Workshop
    Je n'imaginais pas que les décors étaient "réels". Quel boulot !

    - voir clip et photos sur site:

    http://www.lacuisinedugraphiste.net/2017/11/les-decors-de-blade-runner-2049-comment.html?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+LaCuisineDuGraphiste+%28La+cuisine+du+graphiste%29

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  29. Le secret est incompatible avec la démocratie: pourquoi les États-Unis et le Japon accroissent-ils le secret d'État et la surveillance publique ?


    MARDI 14 NOVEMBRE 2017


    Un commentateur anonyme a laissé ce lien sur mon blog, une discussion d'Edward Snowden sur la loi japonaise sur les secrets d'Etat et la surveillance domestique croissante:

    Shaun McGee (2017, 10 novembre). Edward Snowden discute des résultats de la surveillance du gouvernement japonais. Nuclear News Net, https://nuclear-news.net/2017/11/10/edward-snowden-discusses-japanese-government-surveillance-findings/
    Snowden soutient que les États-Unis ont exigé que le Japon augmente son secret d'État, aggravant les sanctions légales pour les contrevenants.

    Voici un extrait de mon livre traitant du secret d'État grandissant au Japon, de la communication de crise, de la démocratie libérale et de la durabilité écologique:

    La loi japonaise sur la protection des secrets spécialement désignés a été mise en œuvre en 2015 malgré une forte opposition nationale à la loi. [1] Une enquête a révélé que plus de 80% des citoyens japonais se méfiaient du projet de loi. [ii]

    Yutaka Saito, membre du groupe de travail de la Japan In-House Lawyers Association, a décrit ses ramifications troublantes: «Le Japon a déjà une très faible loi sur la liberté de l'information qui va paralyser le projet de loi. puis supprime toutes les sauvegardes et vérifications. "[iii]

    Les lauréats du prix Nobel, Toshihide Maskawa et Hideki Shirakawa, ont lancé une lettre publique de protestation signée par 3 000 universitaires, déclarant leur soutien aux "principes pacifistes et aux droits fondamentaux de l'homme établis par la constitution" tout en réclamant le rejet immédiat de la loi. "

    L'auteur de la non-fiction Kunio Yanagida a noté que le projet de loi renforce la culture bureaucratique déjà "secrète" du Japon et a averti que cela pourrait être utilisé pour criminaliser la liberté d'expression. [V]

    La Fédération japonaise des associations du barreau a suggéré que la nouvelle loi permettrait au gouvernement de censurer l'information nucléaire, y compris les lectures de radiation: [vi]
    On craint de plus en plus que le gouvernement ne soit tenté de garder secrètes des informations sensibles sur la sûreté des centrales nucléaires une fois que la loi sur la protection des secrets d'État entrera en vigueur ... Une raison à cela est que la législation ne précise pas quelles matières seront désignées comme des secrets d'État et qui aura l'autorisation de déterminer ce qui devrait être refusé au public.

    "Une tendance à retenir des informations vitales a rendu les centrales nucléaires vulnérables aux tremblements de terre et aux tsunamis, ce qui a provoqué la catastrophe nucléaire", a déclaré Yutaka Saito, membre du groupe de travail de la fédération sur les problèmes d'information. "Nous ne pouvons pas engager pleinement la discussion sur la sécurité si l'information est retenue."

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  30. Le manque de clarté quant à la nature des secrets d'État permet au gouvernement de punir rétroactivement les personnes qui, sans le savoir, ont divulgué des secrets d'État.

    Un scénario où les gens sont punis pour avoir révélé par inadvertance des secrets d'État a des connotations orwelliennes. Le Japon travaille peut-être à la réalisation de ce scénario. Le 14 novembre 2014, l'Asahi Shimbun a rapporté que son président démissionnait "pour prendre la responsabilité de la rétractation des articles sur le" témoignage de Yoshida "dans le cadre de la crise de Fukushima de 2011." [vii]

    Cette démission a suivi d'autres articles du journal, qui concernaient tous la rédaction d'un article d'Asahi Shimbun du 20 mai sur les 28 heures de témoignage de Masao Yoshida, ancien directeur de l'usine de Fukushima, décédé d'un cancer en juillet 2013. rédaction, a indiqué que 90 pour cent de la direction de TEPCO et les travailleurs de Daiichi avaient évacué l'usine sans autorisation du directeur de l'usine. [viii]

    La version expurgée de l'article disponible sur le web en 2015 comprend un message bien placé au milieu de l'écran:
    Dans notre couverture intitulée «Le témoignage de Yoshida», rapportant que les travailleurs se sont retirés de la centrale nucléaire de Fukushima n ° 1 contre l'ordre du directeur général était erroné. Nous nous excusons auprès de nos lecteurs et de ceux de Tokyo Electric Power Co. Sur la base des points de vue présentés par le Comité Presse et Droits de l'Homme, nous avons révisé les parties pertinentes dans la première section du chapitre 1 intitulée "Réalité de Fukushima 50. "" [Ix]

    La version originale de l'article concluait que «le témoignage de Yoshida est un rappel convaincant de l'énorme erreur de demander la reprise des réacteurs nucléaires du Japon sans essayer d'apprendre la vérité de la catastrophe et de prendre des décisions importantes.» Il est difficile de savoir si les informations les plus pertinentes pour prévenir de futures catastrophes ont été supprimées de la version révisée.

    La montée du secret a rencontré l'opposition. Après la mise en œuvre de la loi sur le secret d'État au début de 2015, un membre législatif japonais a divulgué 140 désignations de secrets d'État spéciaux codifiés en vertu de la loi à The Mainichi. [X]

    Selon le compte-rendu de The Mainichi, 10 ministères et organismes, à l'exception du ministre de la Défense, ont participé à la désignation de 387 cas de secrets d'État spéciaux, chaque cas pouvant inclure des centaines de documents. Plus de 400 000 documents ont été désignés comme secrets d'État. Les images prises par les satellites de collecte de données et les informations relatives aux codes constituaient plus de 60% des 140 cas. Le Mainichi a décrit certaines désignations comme simplement opaques, en particulier celles relatives aux intentions et capacités terroristes.

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  31. L'insistance accrue du Japon sur la censure des journalistes a attiré l'attention de la communauté internationale. En avril 2015, le New York Times a publié un article intitulé «Effort du Japon pour étouffer les médias d'information», qui répond aux préoccupations concernant la liberté d'expression et la liberté d'expression au Japon sous la direction du LDP Abe:

    Beaucoup de journalistes et d'experts politiques disent que le gouvernement Abe essaie d'opérer un changement fondamental dans l'équilibre des pouvoirs entre son administration et les médias, en utilisant des tactiques pour faire taire les critiques qui vont au-delà de ses prédécesseurs.

    Ceux-ci ont inclus des plaintes plus agressives aux patrons des journalistes critiques et des commentateurs comme M. Koga, et des représailles plus flagrantes contre les débouchés qui persistent à blâmer l'administration.

    Dans le même temps, M. Abe a essayé de gagner les plus hauts dirigeants des médias et a noté les journalistes avec des sushis privés ... "Le gouvernement Abe montre une obsession pour les médias qui frise la paranoïa", a déclaré Keigo Takeda, ancien rédacteur chef de Newsweek Japon qui est maintenant un journaliste indépendant respecté. "Je n'ai jamais vu ce niveau d'efforts pour microgérer des journaux et des programmes télévisés spécifiques." [Xi]

    La répression de la liberté de la presse implique un certain nombre de questions brûlantes alors que le PLD tente de modifier les interprétations de la constitution pacifiste du Japon après la Seconde Guerre mondiale.

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  32. REFERENCES
    [i] This discussion informed by Majia Nadesan, “Fukushima and Dispossession: The End of Liberal Democracy in Japan?” In Majia Nadesan, Antonio Boys, Andrew McKillop, and Richard Wilcox (eds) Fukushima: Dispossession or Denuclearization? (100-129) (The Dispossession Publishing Group, 2014): 115-120.


    [ii] J. Adelstein, “Japan: The new Uzbekistan of press freedom in Asia,” The Japan Times (November 30, 2013): http://www.japantimes.co.jp/news/2013/11/30/national/japan-the-new-uzbekistan-of-press-freedom-in-asia/#.U2cUIV7K3yi.


    [iii] Cited in Adelstein, “Japan: The New Uzbekistan,” http://www.japantimes.co.jp/news/2013/11/30/national/japan-the-new-uzbekistan-of-press-freedom-in-asia/#.U2cUIV7K3yi.


    [iv] Ralph Nader, “The Fukushima secrecy syndrome – from Japan to America,” Common Dreams (January 24, 2014): https://www.commondreams.org/view/2014/01/24-8


    [v] “Writer calls for change in secretive bureaucratic culture,” The Mainichi (January 7, 2014): http://mainichi.jp/english/english/newsselect/news/20140107p2a00m0na005000c.html.


    [vi] Okuyama, T., & Sunaoshi, H. (2013, December 17). State secrets law raises concern about safety of nuclear power plants. The Asahi Shimbun. Available http://ajw.asahi.com/article/0311disaster/fukushima/AJ201312170006


    [vii] “Asahi Shimbun president resigns; a board member to take over,” November 14, 2014. Accessed October 4, 2015. Available: https://ajw.asahi.com/article/behind_news/social_affairs/AJ201411140092.

    [viii] “The Yoshida Testimony: The Fukushima Nuclear Accident as Told by Plant Manager Masao Yoshida,” The Asahi Shimbun May 20, 2014. Accessed May 21, 2014. Available: http://www.asahi.com/special/yoshida_report/en/.


    [ix] “The Yoshida Testimony: The Fukushima Nuclear Accident as Told by Plant Manager Masao Yoshida,” The Asahi Shimbun December 3, 2014 [Revised version]. Accessed October 4, 2014. Available: http://www.asahi.com/special/yoshida_report/en/.


    [x] “Gov't list outlines designation of 140 special state secrets under new law,” The Mainichi (March 23, 2015), http://mainichi.jp/english/english/newsselect/news/20150323p2a00m0na010000c.html


    [xi] Fackler, Martin (2015, April 26) “Effort by Japan to Stifle News Media Is Working” The New York Times (April 27, 2015) http://www.nytimes.com/2015/04/27/world/asia/in-japan-bid-to-stifle-media-is-working.html?hp&action=click&pgtype=Homepage&module=second-column-region&region=top-news&WT.nav=top-news&_r=3

    http://majiasblog.blogspot.fr/2017/11/secrecy-is-incompatible-with-democracy.html

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  33. Des «flux de chaleur géothermique» sous la glace de l'Antarctique

    lundi 13 novembre 2017


    Des découvertes récentes ont révélé à quel point l'Antarctique est réellement volcanique, bien que les volcans soient cachés sous de grandes nappes de glace. En août 2017, les scientifiques ont découvert 91 volcans sous la glace de l'Antarctique, mais ils n'étaient pas certains s'ils étaient actifs ou non. Il y a 5 jours, une nouvelle source de chaleur a été découverte sous l'Antarctique, entraînant la fonte des glaces et le volcanisme. Aujourd'hui, le 13 novembre 2017, le British Antarctic Survey (BAS) a révélé une nouvelle carte de la chaleur dans l'antarctique montrant des points chauds sous la glace sur le continent glacé et représentant ainsi le «flux de chaleur géothermique» à la base de l'inlandsis antarctique.

    Comme l'expliquent les chercheurs du British Antarctic Survey (BAS): « Cette nouvelle carte de la chaleur qui s'échappe de la Terre nous aidera à mieux comprendre les conditions à la base de la calotte glaciaire, améliorant notre capacité à comprendre le passé et à projeter les changements futurs de l'inlandsis antarctique. et son impact sur le niveau global de la mer. "

    "Il est incroyablement difficile de mesurer directement la chaleur de l'intérieur de la Terre sous 3 à 4 km (1,8 à 2,5 miles) de glace dans des conditions extrêmement froides et hostiles. C'est pourquoi nous avons utilisé des données magnétiques pour déduire la chaleur et nous sommes heureux que ce que nous avons est 30-50% plus précis que les études précédentes."

    Source:
    https://www.bas.ac.uk/media-post/new-antarctic-heat-map-reveals-sub-ice-hotspots/

    http://conscience-du-peuple.blogspot.fr/2017/11/ces-flux-de-chaleur-geothermique-sous.html

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  34. La «sécurité humaine menacée» en raison des changements climatiques


    lundi 13 novembre 2017


    * Le monde n'aura, peut-être, finalement pas le temps de constater que la propagande sur le réchauffement climatique d'origine anthropique est une vaste fraude !

    Avec le réchauffement du climat, la planète se rapproche de certains «points de bascule», changements abrupts qui «menacent la sécurité humaine», mettent en garde des chercheurs dans un rapport présenté lundi à l'ONU à la 23e conférence climat.

    «La Terre approche de points de bascule du fait de pressions humaines», souligne cette synthèse réalisée par deux réseaux scientifiques internationaux, Future Earth et Earth League.

    Fonte des calottes polaires, inversion des courants marins... sont autant d'événements à anticiper, en fonction de la hausse de la température mondiale.

    «Nous ne devrions pas penser que le changement climatique se produira de manière progressive», préviennent les chercheurs. «Dans le passé, de larges pans du système terrestre, comme les calottes glaciaires, les forêts tropicales et les océans, se sont modifiés brusquement après de longues périodes de changement graduel».

    «Depuis deux ans, des preuves se sont accumulées montrant que nous courons vers des "points de bascule"», souligne Johan Rockström, président de l'Earth League, pour qui «il n'y a pas de place pour l'autosatisfaction: le changement climatique est là, il est dangereux».

    La communauté internationale s'est fixé, fin 2015 à Paris, l'objectif de rester sous 2°C voire 1,5°C de réchauffement par rapport à l'ère préindustrielle. Mais à ce stade les engagements des pays conduisent plutôt à plus de 3°.

    Selon les chercheurs, si la température gagne entre 1°C et 3°C, des seuils de bascule pourraient être franchis pouvant conduire à la perte de la banquise d'été en Arctique, la fonte de portions de la calotte du Groenland et de la calotte de l'ouest de l'Antarctique, la disparition de « nombreux » glaciers de montagne et récifs coralliens.

    Entre 3 et 5°C, le monde pourrait voir l'Amazonie se transformer en partie en savane, les courants marins profonds affectant la météo des côtes nord-atlantique se modifier.

    «Certains faits liés au changement climatique tendent à se perdre dans le +bruit des délibérations, même dans un événement tel que le sommet climat de l'ONU», note Hans Joachim Schellnhuber, directeur du Potsdam Institute for Climate Impact Research. «Il est important de rappeler la raison pour laquelle des dizaines de milliers de personnes sont réunies à Bonn: un risque sans précédent pour l'humanité du fait du réchauffement climatique».

    Cette mise en garde intervient le jour de la publication d'un bilan révélant la reprise des émissions mondiales de gazcarbonique, après 3 ans de stabilité.

    Source:
    http://www.tvanouvelles.ca/2017/11/13/la-securite-humaine-menacee-en-raison-des-changements-climatiques

    http://conscience-du-peuple.blogspot.fr/2017/11/la-securite-humaine-menacee-en-raison.html

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    Réponses
    1. (...) Avec le réchauffement du climat, la planète se rapproche de certains «points de bascule», changements abrupts qui «menacent la sécurité humaine», mettent en garde des chercheurs dans un rapport présenté lundi à l'ONU à la 23e conférence climat.

      «La Terre approche de points de bascule du fait de pressions humaines», souligne cette synthèse réalisée par deux réseaux scientifiques internationaux, Future Earth et Earth League.

      Fonte des calottes polaires, inversion des courants marins... sont autant d'événements à anticiper, en fonction de la hausse de la température mondiale. (...)

      Çà, c'est le type d'arnaque, d'escroquerie criminelles que de FAUX scientifiques fomentent à Bonn !

      (...) «La Terre approche de points de bascule du fait de pressions humaines» (...)

      Rendez vous compte que plus de 90 % de la population mondiale habite dans l'hémisphère Nord !!! La planète va basculer !!! Hahahaha !

      (...) Fonte des calottes polaires (...)

      Les sources chaudes sous-marines fondent (depuis toujours) la glace par en-dessous et, parfois, il y a donc des glaciers qui partent à la dérive.

      Rappel que les scientifiques sont interdits d'entrer au 'COP' de Bonn car ils pourraient renverser la situation en apportant la vérité ! Un scientifique qui ment est immédiatement exclus par les pairs de l'Académie des Sciences et perd son caducée.

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  35. La Chine est en train de développer un avion commercial supersonique capable de voyager cinq fois plus vite que le son: Pékin à New York en deux heures, comparé aux 14 heures actuelles !


    lundi 13 novembre 2017

    * Si ma compréhension est juste, les Chinois semblent se préparer à une guerre contre l'empire américain !

    Les scientifiques chinois ont prétendu être en mesure de faire plus de découvertes que leur homologue américain dans le développement d'avions supersoniques grâce à un meilleur équipement.

    Une soufflerie hypersonique secrète de 5 millions de livres sterling, surnommée «Hyper Dragon», aide les experts à révéler de nombreux faits que les Américains n'ont pas découverts », a déclaré un chercheur chinois dans un documentaire de propagande.

    Le programme a également révélé que les scientifiques chinois développent un avion commercial qui pourrait relier Pékin et New York en seulement deux heures.

    Entourée de secret, la soufflerie hypersonique à onde de choc JF12 a été achevée en mai 2012, mais elle a rarement été captée par les médias.

    China Central Television, le diffuseur d'Etat, a montré un aperçu de l'équipement mystérieux dans un documentaire le 8 octobre.

    Construit par l'Académie chinoise des sciences avec 46 millions de yuans (£ 5 millions), le tunnel de 2,5 mètres de large (8,2 pieds) et de 265 mètres de long (869 pieds) serait capable de souffler des rafales de vent aussi vite que 10 fois la vitesse du son.

    La température des rafales pourrait atteindre un incroyable 3 000 degrés Celsius.

    Jiang Zonglin, un chercheur de l'Académie chinoise des sciences, a appelé la soufflerie «sans précédent» un incubateur d'avions avancés.

    M. Jiang a dit que parce que les avions ne pouvaient pas voler lors d'une expérience de laboratoire, ils auraient besoin d'une soufflerie qui pourrait générer des rafales aussi vite que la vitesse désirée de l'avion pour simuler un environnement de vol.

    Dans le cas de JF12, il pourrait simuler des conditions de vol entre Mach 5 et Mach 9.

    M. Jiang a prétendu que lui et son équipe effectuaient une expérience tous les deux jours et que chaque expérience durait 100 millisecondes, ce qui équivaut à un dixième de seconde.

    Les chercheurs ont souligné que la Chine est en train de développer un avion commercial supersonique capable de voyager cinq fois plus vite que le son.

    Cela signifie que l'avion serait capable de voler de Pékin à New York en deux heures, comparé aux 14 heures actuelles.

    Le clip TV montre également un modèle en forme de pointe de flèche à l'intérieur de la soufflerie de Pékin.

    Sa conception ressemble à des maquettes chinoises officielles du DF-ZF, l'avion d'attaque hypersonique de 7 680 km/h de la Chine qui pourrait transporter des ogives nucléaires derrière les défenses antimissiles américaines.

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  36. Les fonctionnaires chinois ont confirmé plusieurs vols d'essai de véhicules hypersoniques de glissement depuis 2013, mais ont gardé les détails top secret.

    C'est probablement la première fois que la Chine a montré des modèles de test liés au projet.

    En outre, l'émission a montré une arme avec une forme similaire à la dernière étape d'un missile balistique et des images générées par ordinateur d'un nouveau planeur triangulaire.

    Raymond Wang, un expert de l'Institut international des études internationales de Monterey en Californie, qui a mis un terme à la propagation internationale des armes nucléaires, a été l'un des premiers à repérer le modèle DF-ZF.

    En écrivant sur Twitter, il a noté que le narrateur du programme ne se référait pas spécifiquement aux véhicules hypersonic boost-glide (HBGV) ou au DF-ZF.

    Source:
    http://www.dailymail.co.uk/news/article-5070261/Rare-footage-China-s-5-million-hypersonic-wind-tunnel.html#ixzz4yML4uk5K

    http://conscience-du-peuple.blogspot.fr/2017/11/la-chine-est-en-train-de-developper-un.html

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  37. Le tissu de vêtements vous garde au frais dans la chaleur


    16 novembre 2017
    par Lisa Zyga feature



    (Phys.org) - Les chercheurs ont conçu un textile de régulation thermique qui a un effet de refroidissement de 55% supérieur à celui du coton, ce qui se traduit par des températures cutanées plus fraîches lors du port de vêtements faits du nouveau tissu. Le matériau peut être fabriqué en utilisant l'impression 3D et pourrait fournir un moyen simple et peu coûteux de refroidir le corps humain et de réduire le besoin de climatisation lors des journées chaudes.

    Les chercheurs, menés par Liangbing Hu à l'Université du Maryland, ont publié un article sur le nouveau textile de régulation thermique dans un numéro récent d'ACS Nano.

    «C'est la première fois qu'un textile thermoconducteur est imprimé en 3D avec une excellente résistance mécanique et une conductivité thermique nettement améliorée, ce qui permet de refroidir le corps de manière significative, notamment pour les économies d'énergie», a déclaré Hu à Phys.org.

    Le nouveau textile est composé d'un composite de nanofibres composé de nitrure de bore et de poly (alcool vinylique), ou PVA. Grâce à l'impression 3D, les chercheurs ont fabriqué des nanofibres hautement alignées, uniformes et densément compactes, et ont démontré qu'un tissu tissé à partir de ces nanofibres présentait un fort effet de refroidissement ainsi qu'une bonne résistance mécanique.

    Une propriété clé du textile suivant est sa conductivité thermique élevée, qui permet à la chaleur corporelle de traverser le tissu par conduction vers l'environnement ambiant. En revanche, la plupart des fibres textiles classiques telles que le coton ont généralement une conductivité thermique plus faible, ce qui emprisonne plus de chaleur corporelle dans leurs vêtements.

    Dans des simulations, les chercheurs ont montré que le tissu constitué des nouvelles nanofibres possède une conductivité thermique plus de deux fois supérieure à celle des tissus de coton, et plus de 1,5 fois supérieure à celle du tissu PVA sans nanofibres de nitrure de bore.

    Plusieurs autres types de textiles de régulation thermique ont été récemment développés pour maintenir un "microclimat" frais près du corps humain. Par exemple, les tissus qui évacuent l'humidité refroidissent le corps en éliminant l'excès d'humidité, mais ne fonctionnent principalement que dans des conditions très humides (ou moites). Certaines technologies utilisent des compresses froides et d'autres consomment de grandes quantités d'énergie. Les chercheurs de la nouvelle étude s'attendent à ce que le tissu de nanofibres simple et peu coûteux démontré ici puisse offrir l'une des solutions les plus pratiques pour rester au frais par temps chaud.

    À l'avenir, les chercheurs prévoient travailler à la réalisation de ces applications.

    "Nous menons davantage de recherches pour améliorer encore la performance à travers la conception de matériaux et également travailler sur des démonstrations évolutives en utilisant l'impression 3D", a déclaré M. Hu.

    https://phys.org/news/2017-11-fabric-cool.html#jCp

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  38. L'Alaska se prépare à la guerre avec la Corée du Nord: les missiles prendront seulement 20 minutes pour atteindre l'état


    par Tyler Durden
    16 novembre 2017 22h00
    Rédigé par Mac Slavo via SHTFplan.com,


    Les Alaskiens sont invités à ne pas évacuer, mais si Kim Jong-Un lançait un missile vers l'Alaska, il ne faudrait que 20 minutes pour y arriver.

    Les planificateurs d'urgence en Alaska ont averti qu'il ne tenterait pas d'évacuer si une tête militaire était tirée parce que le temps ne serait pas de leur côté. Jeremy Zidek, de l'équipe de planification des catastrophes de l'état, exhortera les habitants à trouver un abri plutôt que de risquer d'être pris au grand jour. Il a également exhorté les familles à avoir une réserve d'eau et de nourriture, des lampes de poche, des radios et des fournitures médicales, y compris la pilule antiradiation Prussian Blue - un médicament qui réduit les impacts radiologiques sur votre corps.

    Les tensions se sont intensifiées ces derniers temps sur la péninsule coréenne après une série de tests de missiles dans le royaume des ermites et des menaces médiatiques propagandistes qui ont fait condamner à mort le président Donald Trump. Le tyran Kim Jong-un a menacé depuis d'un "holocauste nucléaire" et il y a des craintes que le régime ait bientôt un missile capable d'atteindre le continent américain.

    Zidek a admis que les installations défensives de l'état pourraient être choisies pour une attaque.

    L'Alaska abrite Fort Greely, où les États-Unis ont des fusées d'interception conçues pour détruire les missiles balistiques intercontinentaux entrants (ICBM). L'état a également des défenses antimissiles au Pacific Spaceport Complex ainsi que des systèmes d'alerte radar à Clear Air Force Station.

    "Nous avons le système de défense antimissile ici. Nous avons des missiles et des radars dans un certain nombre d'endroits différents ", a déclaré Zidek.

    "Peut-être qu'il y aurait un certain type d'attaque contre ces installations militaires pour essayer d'empêcher notre capacité à réagir aux lancements de missiles."
    Mais les avertissements de Zidek pour l'Alaska deviennent encore plus terrifiants.

    Il a également averti que l'Alaska n'avait plus d'abris anti-bombes et qu'il n'y aurait pas de nouvelles mesures pour traiter spécifiquement de la menace nucléaire nord-coréenne.

    "Il pourrait y avoir des avis d'évacuation mis en place, mais allons-nous être en mesure d'obtenir ce délai pour demander aux gens d'évacuer une zone ?", a-t-il dit.
    Rappelez-vous, une fois qu'un missile est lancé vers l'Alaska, il faudrait moins de 20 minutes pour avoir un impact.

    "Vraiment la recommandation pour les gens lors d'une attaque nucléaire est de se mettre à l'abri et de trouver un endroit sûr qui les protégera de cette explosion", a déclaré Zidek.

    "Donc, avec une évacuation de masse - si les gens quittent leurs maisons, leurs écoles et leurs entreprises pour essayer de sortir de la zone, nous risquons de mettre plus de personnes en danger."

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  39. Les planificateurs d'urgence à Hawaï ont déjà confirmé que leur état est dans les 20 minutes des missiles de Kim Jong-un - et l'Alaska est encore plus proche. Guam est encore plus proche, et Kim a déjà menacé ce territoire insulaire aussi.

    M. Zidek a indiqué que l'Alaska avait révisé ses plans de menace radiologique et préparé des alertes sur les médias sociaux à publier dans un court délai. Autrement, il a dit que l'Alaska répondrait à une attaque nucléaire en utilisant les mêmes plans déjà conçus pour des désastres comme des tremblements de terre et des éruptions volcaniques.

    "La chose avec les catastrophes est - tandis que les catastrophes peuvent varier beaucoup - les conséquences des catastrophes ne changent pas vraiment beaucoup. Avec quelque chose comme une attaque nucléaire, bien sûr, vous allez avoir des pertes en masse, un événement de type hazmat, et vous aurez besoin de transporter un grand nombre de personnes », a déclaré Zidek.

    "Quand nous regardons ces problèmes, les conséquences de l'attaque, ils peuvent être les mêmes que si nous avions un autre grand tremblement de terre ou nous avons un déversement de produits chimiques massif. Au niveau de l'État, lorsque nous regardons notre plan tous risques, nous nous disons «nous nous préparons aux conséquences de tout type de catastrophe». Et c'est exactement ce que nous voulons que nos résidents d'Alaska fassent. Préparez-vous aux conséquences de tout type de catastrophe. "

    http://www.zerohedge.com/news/2017-11-16/alaska-prepares-war-north-korea-missiles-will-take-only-20-minutes-reach-state

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    1. Si la Corée du Nord s'aventurait à tirer un missile, il ne resterait rien du missile ni de la Corée du Nord.

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  40. FRANCE - SOUPÇONNÉ D'AVOIR TUÉ SON CAMBRIOLEUR

    Un sexagénaire et son épouse ont été placés en garde à vue après la mort d'un homme venu cambrioler leur domicile.


    (Le Matin)
    16.11.2017, 10h39

    Un homme de 63 ans est soupçonné d'avoir ouvert le feu sur deux individus qui venaient cambrioler son domicile de Vançais (Deux-Sèvres) dans la nuit de mardi à mercredi dernier.

    «Alors qu’ils pénétraient sur une propriété, ils auraient été victimes de coups de feu par l’occupant des lieux», a indiqué le procureur dans une conférence de presse relayée par Ouest France.

    Les deux cambrioleurs ont alors pris la fuite en voiture avant de s'arrêter dans un village voisin pour demander de l'aide.

    L'un deux, un jeune homme de 20 ans, a été blessé à la jambe. Le second, âgé de 32 ans, est quant à lui décédé sur place d'une blessure au thorax.

    Soupçonné d'être à l'origine du décès, le sexagénaire ainsi que son épouse ont été placés en garde à vue.

    Une enquête pour «homicide volontaire et tentative d'homicide volontaire» a été ouverte.

    https://www.lematin.ch/faits-divers/soupconne-tue-cambrioleur/story/24286303

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  41. Cambrioleur tué à Vançais dans les Deux-Sèvres : l'occupant de la maison va être mis en examen pour meurtre


    Par Rivière Isabelle et Jade Peychieras,
    Mercredi 15 novembre 2017 à 11:38


    Au milieu de la nuit entre mardi et mercredi, deux hommes demandent de l'aide dans le quartier de l'Intermarché de Lusignan. Ils ont été blessés par balle par l'occupant d'une maison dont ils tentaient de cambrioler la grange. Le temps que les secours arrivent, l'un des deux décède.

    La thèse de la légitime défense ne tient pas. L'homme de 63 ans, un retraité de la SNCF, qui a abattu un cambrioleur et blessé un autre dans la nuit de mardi à mercredi est toujours en garde à vue. Il va être mis en examen ce vendredi matin pour homicide volontaire et tentative d'homicide volontaire. "Pour qu'il y ait légitime défense, il faut que la réponse soit proportionnelle, ce qui n'est pas le cas ici, précise le procureur de la République de Poitiers Michel Garrandaux. Les deux individus ont essuyés des tirs alors qu'ils étaient de dos. Il faut aussi avoir pénétré dans un lieu habité, et ici ce n'est pas la maison qui est en cause mais un terrain sur lequel se trouvait une grange agricole. Enfin, il faut des actes d'effraction ou de violence, et là encore ce n'est pas le cas." A aucun moment, selon ses propres déclarations, le sexagénaire ne s'est senti en danger. Il n'a fait l'objet d'aucune violence ni menace. "Il voulait simplement que les individus enlèvent leur cagoule, raconte-t-il", explique encore Michel Garrandaux.

    Il est 3 heures du matin, cette nuit-là, quand deux hommes gravement blessés arrêtent leur Peugeot 207 sur le parking de l'Intermaché de Lusignan (Vienne). Les deux hommes frappent à la porte d'une habitation voisine pour demander de l'aide mais, à leur arrivée, les secours constatent rapidement le décès du plus âgé des deux : un homme de 32 ans, blessé au thorax. Son compère, un homme de 20 ans, est blessé à la jambe. Il est rapidement évacué au CHU de Poitiers, où il est toujours hospitalisé, pour être opéré. Grâce à son témoignage et à celui du mis en cause, les enquêteurs vont pouvoir reconstituer les faits.

    Quelques heures avant le drame, vers 23h30 ce soir-là, les deux hommes, habitants de la Vienne, partent en direction des Deux-Sèvres pour y commettre des cambriolages. Ils s'introduisent dans une propriété de Vançais, rue de Saulniers, un terrain avec une grange. La parcelle est équipée d'un système de détection relié à la chambre du propriétaire, qui réside juste en face, de l'autre côté de la rue. Aussi, quand l'alarme se déclenche en pleine nuit ce mardi soir, le retraité saisit aussitôt son fusil : une carabine 22 long riffle équipée de laser et de lampes torches. Il ouvre sa fenêtre et tire sur le mur en face, sans même voir s'il y a quelqu'un. La rue n'est pas éclairée. Le sexagénaire sort de chez lui et s'approche de la grange dont la porte est entrouverte. Il somme les individus d'en sortir, ce qu'ils font, et leur demande de retirer leur cagoule. Les cambrioleurs tentent de s'enfuir, le propriétaire tire. Le plus jeune est touché à la jambe et le second dans le dos. La balle lui traverse le poumon avant de ressortir. L'auteur des coups de feu, un homme de 63 ans et son épouse, d'une cinquantaine d'années, sont interpellés et placés en garde à vue dans la matinée.

    https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/un-homme-meurt-devant-l-intermarche-de-lusignan-un-autre-blesse-est-transporte-au-chu-1510741391

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    1. Accusé d'avoir osé se défendre et de sauver sa femme et ses biens !!

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  42. Silicon Valley Exec a créé une nouvelle religion qui va adorer une «divinité» basée sur l'intelligence artificielle


    Par Michael Snyder
    le 16 novembre 2017


    Je sais que le titre semble absolument fou, mais c'est en fait une histoire vraie. Dans le cadre exécutif de la Silicon Valley nommé Anthony Levandowski a déjà déposé des documents avec l'IRS pour le but non lucratif qui va gérer cette nouvelle religion. Officiellement, cette nouvelle foi sera connue comme "Way Of The Future", et vous pouvez visiter le site officiel ici. Bien sûr, nous sommes nouveaux dans le monde.

    La nouvelle religion de l'intelligence artificielle s'appelle Way of the Future. Il représente un prochain acte improbable pour l'enfant prodige robotique de la Silicon Valley au centre d'une bataille juridique entre Uber et Waymo, la compagnie de véhicules autonomes d'Alphabet. Levandowski comme le chef (ou "Dean") de la nouvelle religion, ainsi que le PDG de la société à but non lucratif formé pour le diriger.

    Alors, que vont croire les adeptes de cette nouvelle foi ?

    Pour moi, cela ressemble à un mélange d'athéisme et de transhumanisme radical. Ce qui suit provient du site officiel de The Way of the Future ...

    Nous croyons en la science il y a 13,7 milliards d'années et si vous ne pouvez pas recréer / tester quelque chose, cela n'existe pas). Il n'y a pas de pouvoirs «surnaturels». Les réclamations extraordinaires exigent des preuves extraordinaires.

    Nous croyons au progrès, vous pouvez l'améliorer et continuer à le rendre meilleur. Le changement est bon, même si c'est un peu effrayant parfois. Quand nous voyons quelque chose de mieux, nous changeons simplement à cela. Plus le changement est important, plus la justification est importante.

    Nous croyons que la création de «super intelligence» est inévitable (parce qu'elle la recréera, nous pourrons la fabriquer, la fabriquer et l'adapter). Nous ne pensons pas que nous pensons à ce phénomène (il ne faut pas en avoir peur) et que ce sentiment d'être dans l'anthropomorphisme du 21ème siècle "Pas si lointain" passé).

    Mais même si la voie de l'avenir n'embrasse pas le «surnaturel», ils croient en un «Dieu».

    Dans cette nouvelle religion, le culte d'une "divinité" qui sera créée en utilisant l'intelligence artificielle sera activement encouragé ...

    Les documents indiquent que les activités de WOTF se concentreront sur «la réalisation, l'acceptation et l'adoration d'une divinité basée sur l'intelligence artificielle (IA)». Les professionnels de l'IA et les «profanes qui s'intéressent au culte d'une divinité basée sur l'IA». Les dépôts indiquent également que l'église "prévoit de mener des ateliers et des programmes éducatifs dans toute la région de San Francisco / Bay à partir de cette année."

    Alors, à quel point ce "Dieu" nouvellement créé sera-t-il "puissant"?

    Eh bien, Levandowski dit qu'il envisage de créer un être intellectuellement intelligent qui sera littéralement «un milliard de fois plus intelligent que l'humain le plus intelligent» ...

    "Ce qui va être créé sera en réalité un dieu", a-t-il dit. "Ce n'est pas un dieu dans le sens où ça fait de la foudre ou des ouragans, mais s'il y a quelque chose un milliard de fois, comment allez-vous l'appeler ?"

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  43. Il a ajouté: «J'aimerais que la machine vous voit, vous et vos aînés bien-aimés, nous aimerions que cette intelligence dise:« Les humains devraient toujours avoir des droits, même si je suis en charge ». "

    Mais que se passe-t-il si cette «super-intelligence» échappe à notre contrôle et se retourne contre nous ?

    Quoi alors ?

    Je suis sûr que Levandowski a une réponse à cela.

    D'autres transhumanistes croient aussi que l'intelligence artificielle va croître à un rythme exponentiel, mais au lieu d'une décision, nous assistons à une nouvelle fusion entre l'humanité et cette nouvelle super-intelligence. En fait, le transhumaniste de renommée mondiale Ray Kurzeil croit que cela nous permettra de «devenir essentiellement dieu dans nos pouvoirs» ...

    Kurzweil et ses partisans croient qu'un tournant décisif sera atteint vers l'année 2030, lorsque la technologie de l'information atteindra une intelligence «authentique», en même temps que la biotechnologie nous permettra d'y parvenir. En fin de compte, l'homme-machine deviendra un monde de sa propre création, en se téléchargeant lui-même sur un «substrat computationnel suffisamment puissant». Nous deviendrons essentiellement dieu dans nos pouvoirs.

    Et l'éminent transhumaniste Mark Pesce va encore plus loin. Il est absolument convaincu que l'avancement rapide de la technologie permettra aux humains ordinaires de «devenir des dieux» ...

    "Les hommes meurent, les planètes meurent, même les étoiles meurent. Nous savons tout cela. Parce que nous le savons, nous cherchons quelque chose de plus - une transcendance de l'éphémère, la traduction à la forme incorruptible. Une évasion si vous voulez, un arrêt à la roue. Nous cherchons donc à nous bénir d'une connaissance parfaite et d'une volonté parfaite; Pour devenir des dieux, prenez l'univers en main et transformez-le à notre image, pour notre propre plaisir. Comme il est sur Terre, il en sera de même dans les cieux. Le résultat inévitable d'une improbabilité incroyable, la flèche de l'évolution nous longe dans le transhuman - une apothéose à la raison, le salut - atteint par de bonnes œuvres. "

    Tout au long de l'histoire humaine, il y a toujours eu un désir de créer nos propres dieux ou de devenir nos propres dieux.

    Mais peu importe à quel point ces transhumanistes tentent de fuir la mort, ils finiront par les trouver, et à ce moment-là, toutes leurs questions sur qui est vraiment Dieu seront résolues une fois pour toutes.

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/silicon-valley-exec-has-created-a-new-religion-that-will-worship-a-godhead-based-on-artificial-intelligence

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    1. De la même façon que ce ne sont pas tous les hommes qui ont la chance d'être agressés sexuellement par des femmes, il en demeurent pas mal proche du niveau zéro du QI !

      Cette création de 'nouvelle religion' laisse perplexe ! Va t-elle être mêlée à des assassinats de masse ? Aura t-elle un fils qu'elle laissera crever alors qu'elle peut tout faire pour le sauver ? Noiera t-elle des milliards d'animaux qui ne sont pas des poissons ? (Hahahaha !) Sera t-elle pédéraste comme les autres ?

      Y aura t-il blasphème si vous déclarez "Putain de bagnole de merde qui ne marche pas !!" ou "Saloperie d'ordinateur encore en panne !" ?

      Ainsi, pareillement que pour toutes les inventions créées par le Peuple, immédiatement les 'autorités' s'en emparent pour les interdire et les modifier à leur bénéfice ! Ainsi le 'robot-armé' qui serait pour défendre une propriété ne serait pas condamné pour avoir fait justice en abattant des cambrioleurs mais uniquement le propriétaire (voire l'inventeur du couteau de boucherie) fautif d'avoir une propriété !!

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  44. Fonds vert de l'ONU pour le climat: bon pour les banquiers, les bureaucrates, mais pas tant pour les pauvres


    November 17th, 2017


    Fonds vert des Nations Unies pour le climat (GCF) - bonne fraude si vous pouvez l'obtenir
    Le fonds climatique des Nations Unies a été créé en 2010 mais n'a pas encore envoyé un seul dollar d'argent pour son projet sur son île de naufrage (qui ne coule pas mais qui est pauvre).

    Le NY Times a publié un long article décrivant comment des milliards de dollars sont dépensés, mais d'une certaine manière, il semble aller dans les mauvais endroits. Compte tenu du manque de responsabilité, des électeurs et des élections, qui aurait pu voir cela ?

    Le GCF GONGO est dirigé par un Conseil de 24 personnes qui se rend en Corée, distribue l'argent des autres et obtient des applaudissements. En 2012, ils ont demandé l'immunité de toutes les lois et taxes. Vraisemblablement, ils ont réussi. En 2014, ils ont été surpris en train de financer une nouvelle centrale au charbon en Indonésie pour réduire les émissions de carbone. Je me demandais si c'était du rumining, du copinage ou du «succès». Les verts n'étaient pas heureux. Maintenant, nous découvrons que le reste de l'argent finit avec l'industrie des énergies renouvelables, les banquiers d'investissement et les bureaucrates:

    Le Fonds climat des Etats-Unis a promis des milliards aux nations pauvres. Pour certains, l'attente est longue.
    La transparence, pas si bonne:

    Les observateurs ont contesté, par exemple, un projet proposant des fonds propres et des subventions de 265 millions de dollars à Geeref Next, un fonds d'investissement luxembourgeois qui proposait de financer des projets d'énergie renouvelable ou d'efficacité énergétique dans environ 30 pays - sans précision explicite. projette de divulguer ce que seraient ces projets.

    L'argent était censé aller à des entreprises locales mignonnes, mais a fini dans des comptes bancaires à Londres:

    ... pourquoi les fonds du fonds, mis en place pour soutenir les projets locaux qui atteignent les communautés les plus vulnérables, se dirigeaient vers des entreprises privées dirigées par des entreprises d'investissement mondiales - comme 110 millions de dollars de prêts et subventions pour des projets solaires au Kazakhstan dirigés par Londres. United Green Energy et la branche d'investissement du fonds souverain du Kazakhstan.

    Cinquante millions de dollars sont allés sur des paiements à des choses comme un barrage hydroélectrique au Tadjikistan. Mais si les modèles climatiques sont corrects, il n'y aura pas d'eau dedans. (Au moins, nous savons qu'il n'y a aucun risque de cela.)

    Quatre-vingt-dix pour cent des fonds ne vont pas au mandat initial:

    ... Moins d'un dixième du financement a été consacré au type de projets qui composent le mandat du fonds: ceux qui sont la propriété et le contrôle des nations les plus pauvres elles-mêmes.

    Combien de milliards devons-nous payer pour obliger quelqu'un à répondre au téléphone ?

    Le secrétariat du fonds n'a pas répondu à plusieurs demandes de commentaires.

    Kiribati a besoin de dessalement pour avoir de l'eau potable. Au lieu de cela, le fonds de l'ONU leur a donné un demi-million pour préparer une nouvelle demande.

    Kiribati a remporté une petite victoire cette année en se qualifiant pour une subvention de 586 000 dollars pour aider le pays à préparer une nouvelle demande pour le fonds.

    L'excuse des Nations Unies - ce sont des débutants:

    "Mais nous avons juste commencé. Il y a des intérêts concurrents - des pays, du secteur privé, et nous essayons de patauger dans ce labyrinthe d'intérêts contradictoires », a-t-il dit. "Nous allons y arriver."

    Seulement sept ans et rien à montrer pour cela. Heureusement, leur monde ne fait pas face à une crise.

    http://joannenova.com.au/2017/11/un-green-climate-fund-good-for-bankers-bureaucrats-but-not-so-much-the-poor/

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    1. TOUT va de pair. Plus il ny a du gazcarbonique, plus il y a donc de l'oxygène et, moins il y a du gazcarbonique, moins il y a donc de l'oxygène. Car TOUS les gaz se recyclent immédiatement.

      Cet argent ira notamment à la construction de port en eaux profondes pour accueillir de super-yachts aux Fidji ou Maldives.

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  45. La truffe, une histoire vauclusienne


    Par Kevin Dufreche,
    Vendredi 17 novembre 2017 à 7:09



    Le marché aux truffes de Carpentras, l'un des plus grands au monde, démarre ce vendredi. L'occasion de mettre en lumière cette filière bien connue dans le département, qui connait de belles réussites, mais aussi des difficultés.

    C'est cher, mais c'est bon... La truffe, champignon rare, et donc de luxe, est très présent dans notre département. On en produit tout autour du Ventoux, sur les sols calcaires, nécessaires au développement de la "melanosporum", ou plus couramment de la truffe noire du Périgord.

    75 % de la production française

    Du Périgord, alors que 75 % de la production française... est réalisée dans notre région ! Dans un espace comprenant le nord Vaucluse, le sud de la Drôme, et une partie des Alpes de Haute Provence. Chaque année dans le monde, environ 100 tonnes sont produites, mais seulement un tiers en France désormais.

    La production a été divisée par 25 depuis la fin du XIXe siècle en France. De 1000 tonnes, on est passé à 30 tonnes. En cause, l'urbanisation, qui a limité le nombre de terres disponibles, et puis les épisodes répétés de sécheresse, parce que oui, la truffe a besoin d'eau.

    En Vaucluse, une passion

    Près de 200 personnes adhérent au syndicat des trufficulteurs de Vaucluse, mais on recense près de 900 sites où des chenes truffiers sont plantés. Beaucoup le font par passion. Comme Jean-Marie, 64 ans, enseignant à la retraite, qui ne tire pas plus que ça de bénéfice, mais investit sa plus-value pour améliorer sons exploitation, avec de la recherche, des systèmes d'irrigation, de protection...

    https://www.francebleu.fr/infos/agriculture-peche/la-truffe-une-histoire-vauclusienne-1510859660

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