(...) Il y en avait sept cents à Paris en 1879. Ils étaient presque tous Auvergnats.
La Mi-Carême était jadis la fête patronale des porteurs d'eau. C'était également la fête des blanchisseuses et des débitants de charbon.
Le métier de porteur d'eau a survécu à Paris jusqu'au début du xxe siècle.
Dans les lavoirs existait une catégorie de porteurs d'eau appelés également garçons de lavoir qui portaient les seaux d'eau chaude aux blanchisseuses.(...)
Rappel que la pauvreté culturelle (issue de la monarchie/république) en France (comme ailleurs !) ne permettait même pas d'avoir (depuis l'invention du fer !!!) des tuyaux chez soi où passerait de l'eau sur un feu de cheminée et chaufferait ainsi toutes les pièces d'une maison ! Il a donc fallut attendre le 20 ème siècle pour voir apparaître le premier chauffage central !!
RépondreSupprimerDe plus, l'eau transportée en seaux n'était pas forcément propre !!
Une cyberattaque de grande ampleur se prépare
RépondreSupprimerPAR JOAN PLANCADE
Plus d’un million d’entreprises et de particuliers auraient été ciblés par les pirates afin de détourner une armée d’objets connectés et de paralyser des sites commerciaux. La Suisse n’est pas à l’abri.
Le malware, programme malveillant, répond au nom évocateur de «Reaper» -la faucheuse. Sa méthode n’est pas nouvelle, mais l'ampleur de la cyberattaque à venir pourrait être sans précédent. Ce sont plus d’un million d’organisations qui auraient d’ores et déjà été «scannées» par les hackers, à la recherche d’objets connectés mal protégés, selon le constat rendu public la semaine passée par la société Checkpoint.
Lire aussi: Des milliers d'ordinateurs victimes de la nouvelle cyberattaque
On ignore encore le nombre d’objets infectés, mais des routeurs, téléviseurs, thermostats, ainsi que des caméras des marques GoAhead, D-Link, TP-Link, AVTECH, NETGEAR, MikroTik, Linksys ont été signalés.
L'explosion du nombre d'attaques sur les adresses IP fait craindre plusieurs milliers d'objets infectés
Lire aussi: Piratage informatique: comment communiquer ?
Des objets connectés vulnérables et de plus en plus nombreux
Le principe: prendre le contrôle de ces appareils en nombre -dans le cas présent, 70 % seraient détenus par des particuliers- et les utiliser pour solliciter simultanément le site internet d’une entreprise, souvent de vente en ligne. Conséquence de cette attaque par déni de service (DDoS), le site est alors saturé et empêché de fonctionner normalement, occasionnant des pertes commerciales, et souvent suivis d’une demande de rançon des attaquants pour un retour à la normale.
Pour Stephane Koch, expert en cyber-sécurité et vice-président de la société High-Tech Bridge, le phénomène s’explique par le fait que les mentalités en termes de sécurité informatique n’ont pas suivi la progression de la digitalisation: «L’augmentation de l’interaction des objets du quotidien n’a pas été accompagnée de la nécessaire maîtrise de la protection de ces objets et des données personnelles qu'ils produisent. Quand on achète une caméra par exemple, elle dispose d’un mot de passe constructeur par défaut, unique pour toute la série. Beaucoup de gens ne le changent pas. Dans le cas du Botnet Mirai, attaque d’ampleur sur le même principe, une soixantaine de mot de passes étaient tentés lors d’un scan. Si l’un d’entre eux fonctionnait, alors l’objet connecté devenait «zombie», sous le contrôle de l’attaquant.» Une démarche facilitée par une surface d’attaque en progression exponentielle, avec plus de sept milliards d’objets connectés aujourd’hui.
RépondreSupprimerLa Suisse n’est pas à l’abri
Les Etats-Unis seraient susceptibles de constituer une cible prioritaire comme dans le cas du botnet Mirai en 2016, où une société gérant la bande passante pour plusieurs sites commerciaux avait été prise pour cible. Toutefois la Suisse a été atteinte à plusieurs reprises par des attaques par déni de service (DDoS) avec demande de rançon, comme ce fut le cas début 2016 pour LeShop, digitech ou encore Galaxus sous le feu du groupe Armada Collective.
Pour Marc Henauer, responsable des opérations au Centre fédéral d’analyse pour la sécurité de l’information (MELANI), et qui suit le développement de Reaper, il est envisageable que des entreprises ou des entités publiques soient attaquées de nouveau: «Le botnet n’est qu’un outil. Ici, quand la majorité des bots sont des objets comme une télévision ou une caméra et ne sont pas utilisées «comme» des ordinateurs, le plus probable reste donc l’attaque par déni de service. En revanche, on ne connait pas la manière dont les attaquants vont le monnayer. Par exemple, le spécialiste Brian Krebs a estimé que Mirai était utilisé pour saturer le site de jeux en ligne Minecraft. On peut aussi choisir directement l’extorsion. Tant qu’on ignore les cibles et le mode opératoire, on ne peut pas exclure que des entreprises suisses soient aussi impactées.» La «location» d’un bot à une entreprise pour saturer un site concurrent et le discréditer est également un modus operandi utilisé dans certains cas de hacking.
Melani se concentre sur la surveillance des installations critiques du pays. Marc Henauer, reconnait que «Melani ne peut pas scanner tout l’internet Suisse», et qu’il n’est pas toujours possible de voir de l’extérieur si les sites sont protégées contre les attaques DDos. Une série de mesures est donc recommandée aux entreprises pour prévenir et réagir en cas d’attaque et également une marche à suivre pour configurer des objets connectés.
RépondreSupprimerReste la responsabilisation individuelle. Stephane Koch, expert en cyber-sécurité, estime que davantage devrait être fait pour sensibiliser aux risques que font courir une protection insuffisante des objets connectés: «Il n’y a pas de stratégie dans l’instruction publique pour apprendre à mieux maitriser son environnement connecté, une situation regrettable. En protégeant mal un objet connecté, on peut contribuer indirectement à une attaque. C’est une responsabilité morale.»
http://www.bilan.ch/bilan-techno/une-cyberattaque-de-grande-ampleur-se-prepare
Sans parler des pays prostitués qui ont acceptés les 'compteurs intelligents' qui se dérèglent tout seul et surfacturent les heureux propriétaires !
SupprimerLa délégation suisse dresse un bilan intermédiaire mitigé à la COP23
RépondreSupprimer13 Novembre 2017
PAR AWP
Le chef de la délégation suisse Franz Perrez dresse un bilan mitigé à mi-chemin de la COP23, certains pays essayant "ralentir le processus de négociation et même de le remettre en question".
La Conférence des Nations unies sur les changements climatiques à Bonn (COP23) est à mi-chemin de ses deux semaines de négociations. Le chef de la délégation suisse Franz Perrez dresse un premier bilan très mitigé. Les ONG expriment aussi leur déception.
La conférence de Bonn est censée établir les règles permettant la mise en oeuvre de l'Accord sur le climat de Paris, approuvé en décembre 2015. Elle "a connu un début laborieux", a affirmé dimanche à l'ats M. Perrez. Si le déroulement des négociations ne le surprend pas complètement, M. Perrez le trouve néanmoins "décourageant".
Son espoir est qu'à la fin de la deuxième semaine de la conférence, il y ait au moins "un bon cadre fixé dans tous les domaines". "Cela doit pouvoir se faire, déclare-t-il. Ensuite, il s'agira de négocier l'adoption d'un règlement sur l'application des objectifs de protection du climat lors de la COP24, prévue dans une année à Katowice (Pologne).
Beaucoup de tactiques
Le groupe des économies émergentes (LMDC), mené par la Chine, l'Inde, l'Arabie saoudite et l'Iran, a rouvert de vieilles tranchées avec de nouvelles propositions, selon le Suisse. Ces pays "ont essayé de ralentir le processus de négociation et même de le remettre en question", explique-t-il. Du coup, il est beaucoup question de tactique dans les pourparlers, surtout du côté des LMDC et du groupe des Etats arabes.
L'Accord 'de Paris' sur le changement climatique était un "compromis très délicat", rappelle M. Perrez. Par exemple, les objectifs nationaux de réduction des émissions de gaz à effet de serre ne sont pas contraignants. En revanche, les Etats se sont engagés à rendre leurs efforts transparents.
Quant au Fonds vert pour le climat (GCF), qui soutient à la fois des projets d'adaptation au changement climatique et de diminution des émissions de gaz à effet de serre, il donne comme prévu pas mal de matière à débattre. A partir de 2020, il devrait recevoir 100 milliards de dollars chaque année. Mais, là non plus, aucun engagement concret n'est inscrit dans l'accord parisien.
La COP23 est présidée par les Iles Fidji. Elle se tient à Bonn, siège du secrétariat du Conseil climatique de l'ONU, pour des raisons financières. Son but principal est d'établir un corpus de règles permettant la mise en oeuvre des objectifs de Paris, à savoir le maintien du réchauffement climatique en-dessous de 2°C et si possible à 1,5°C.
RépondreSupprimer"Dynamique négative"
Le groupe LMDC exige désormais que les pays émergents fixent leurs objectifs de financement tous les cinq ans. Ils ont également demandé que les règles soient discutées avant l'entrée en vigueur de l'Accord de Paris, c'est-à-dire jusqu'en 2020.
Cela donne à la conférence une "dynamique négative", selon le chef de la délégation helvétique. Pour les pays industrialisés, ce serait un abus de confiance si les accords précédents étaient ignorés et si de nouvelles demandes étaient faites, juge-t-il. M. Perez s'inquiète de nouveaux blocages à Bonn et met en garde contre "l'illusion" d'efforts supplémentaires faits l'an prochain dans la lutte contre le changement climatique d'ici 2020.
Le responsable de l'Office fédéral de l'environnement (OFEV) plaide encore pour un engagement clair de la partie ministérielle de la conférence de Bonn à l'Accord de Paris. "Ce sera important", insiste M. Perrez. Réponse la semaine prochaine. La présidente de la Confédération Doris Leuthard représentera officiellement la Suisse.
"Opportunité manquée"
Alliance Sud, la communauté de travail des oeuvres d'entraide suisses, dénonce elle un manque de décisions de confiance dans les discussions de Bonn. L'ONG helvétique souhaiterait des signaux positifs pour les pays les plus pauvres, comme une décision historique sur le Fonds d'adaptation (FA) pour des projets de prévention dans des pays souffrant du changement climatique.
"Bonn aurait dû parler plus concrètement de la question de l'indemnisation des pertes et des dommages dus au changement climatique. Cela aurait renforcé la confiance des pays en développement envers les pays industrialisés, dit à l'ats Jürg Staudenmann d'Alliance Sud.
La présidence fidjienne, dont les ONG attendaient beaucoup, est jusqu'ici "décevante". Les Fidji ne sont pas en mesure d'exercer la pression nécessaire sur les pays industrialisés. Sa présidence est une "opportunité manquée", selon Alliance Sud.
http://www.bilan.ch/economie/delegation-suisse-dresse-un-bilan-intermediaire-mitige-a-cop23
Le mot de la fin appartient au président fidjien qui a une "opportunité manquée" de se ranger du côté des voleurs et des assassins plutôt que de reconnaître que tout cela ne sont que des mensonges que de présenter les îles Fidji 'sous l'eau' lors des grandes marées (upwelling). Car, ces images 'épouvantables' d'îles inondées jusqu'au haut des palmiers a bien fait rigoler le monde ! Hahahaha ! vu que ce sont les 7 milliards d'habitants qui connaissent la vérité contre le nano-groupuscule nazional socialiste qui prétend que 'la mer monte !' (et même dernièrement ils ont dit que la mer ne montait pas pareil de partout !! malgré les vases communicants et que les pôles seraient plus susceptibles d'être envahi par les eaux et les poissons noyés ! Hahahahaha !).
SupprimerLe marché de l'électricité n'a pas besoin d'un nouveau modèle, selon une étude
RépondreSupprimer10 Novembre 2017
PAR AWP
La sécurité de l'approvisionnement en électricité en Suisse est garantie par le concept actuel. Une étude mandatée par la Confédération montre toutefois qu'il existe un potentiel d'amélioration.
Les discussions politiques pour une nouvelle conception du marché de l'énergie sont en cours. Elles concernent notamment la sécurité de l'approvisionnement par les énergies renouvelables et des mesures de soutien pour les centrales hydrauliques.
L'étude publiée vendredi par l'Office fédéral de l'énergie (OFEN) a analysé les conditions-cadres et les mécanismes de marché pertinents pour assurer l'approvisionnement toute l'année. En Suisse, où les aménagements hydroélectriques sont dominants, le problème de pénurie se pose surtout à la fin de l'hiver et au printemps, lorsque les barrages sont vides.
Modèle actuel adapté
Dans l'étude, les auteurs ont analysé la conception actuelle du marché de l'électricité et une série de modèles complémentaires proposés notamment par la branche. Le système actuel permet de garantir la sécurité de l'approvisionnement, concluent-ils.
Les fournisseurs doivent s'assurer d'être en mesure d'approvisionner leurs clients même lorsque la quantité d'électricité disponible sur le marché est faible et que les prix augmentent. Ils doivent notamment conserver assez d'eau dans les réservoirs des centrales à accumulation à la fin de l'hiver pour produire l'énergie nécessaire en période critique.
Lorsque les acteurs du marché ne respectent pas les conditions, ils doivent s'acquitter d'une facture d'énergie d'ajustement, soit les coûts associés aux différences de charge par rapport aux prévisions. Des améliorations pourraient être apportées par une meilleure mise à disposition des informations et par un renforcement des signaux des prix pendant les situations critiques.
En cas d'événement inattendu, comme l'arrêt subit d'une centrale électrique, les acteurs du marché doivent toutefois pouvoir faire du négoce d'électricité plus facilement, notent les auteurs de l'étude. Ils pourront ainsi acquérir l'électricité manquante directement sur le marché, même lorsque les délais sont très courts.
Ouverture du marché
Selon les auteurs, une libéralisation du marché pourrait augmenter la sécurité de l'approvisionnement. Cela permettrait aux nouveaux acteurs de proposer des produits innovants et avantageux aux petits consommateurs, comme les compteurs intelligents.
Les auteurs proposent également la constitution d'une réserve stratégique. Un organe central serait chargé de garantir une réserve pour les situations de crise. Cette production d'électricité serait exclusivement utilisée dans le pays en cas de pénurie physique.
Modèles inadaptés
RépondreSupprimerLes mécanismes de capacité globaux ne sont en revanche pas nécessaires, selon l'étude. Ils présentent des risques pour le bon fonctionnement du marché et sont coûteux.
Le modèle "contract for difference" ainsi que celui d'approvisionnement et de marché climatique sont également inadaptés (MAMC), relève l'étude. Ils ne permettent pas de contrôler les quantités d'électricité globalement produites dans le pays. De plus, ils n'offrent aucune garantie de capacité supplémentaire en Suisse en cas de pénurie.
Le "contract for difference" soutient financièrement les centrales hydroélectriques. Les exploitants reçoivent la différence entre les coûts totaux de production et les prix du marché, si ceux-ci sont inférieurs, ou payent la différence dans le cas contraire.
Le MAMC vise à soutenir la production d'électricité sans émission de gazcarbonique. Mais, en mélangeant les objectifs climatiques et de sécurité, ce modèle engendre des coûts supplémentaires. Certaines technologies qui pourraient assurer l'approvisionnement à moindre coût pourraient être exclues d'un soutien financier, car elles ne respectent pas le critère de l'absence d'émission, exemplifient les auteurs.
http://www.bilan.ch/economie/marche-de-lelectricite-na-besoin-dun-nouveau-modele-selon-une-etude
La Démocratie exemplaire en Suisse permet au peuple de répondre et contrer les assaillants nazional socialistes qui voudraient détruire tous les barrages qui osent retenir de l'eau pour y implanter des millions d'éoliennes (qui massacrent tous les jours des millions d'oiseaux et d'abeilles) et des panneaux solaires eux aussi incapable d'apporter de 'l'énergie gratuite' non-payante ! Hahahaha !
SupprimerLa population allemande des sans-abri explose d'un tiers en 2016 alors que la crise des migrants prend son péage
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
15 novembre 2017 05:00
Selon une estimation récente publiée par l'association fédérale pour l'assistance pour les sans-abri, le nombre de sans-abri vivant dans les rues de l'Allemagne a augmenté de 33% en quelques années, à 52.000. Pendant ce temps, comme le note The Local, le nombre d'Allemands qui ne peuvent pas payer leur propre maison et ont été contraints de compter sur la générosité de la famille et des amis pour un endroit où dormir chaque nuit a également augmenté de 26% à plus de 400 000 gens.
En 2016, environ 52 000 personnes vivaient dans les rues allemandes, soit une augmentation d'un tiers sur les 39 000 personnes qui vivaient dans la brousse en 2014.
Le rapport affirme également que le nombre total de personnes en Allemagne qui n'ont pas leur propre maison a fortement augmenté, passant de 335 000 en 2014 à 422 000 l'année dernière.
La plupart des personnes qui n'ont pas leur propre foyer vivent dans un logement collectif ou doivent dépendre de la charité des partenaires ou de la famille.
Thomas Specht, chef de l'Association fédérale pour l'aide aux sans-abri, a blâmé les responsables allemands en leur expliquant que l'explosion de la crise des sans-abri expliquait l'offre limitée de logements, la hausse des loyers et la stagnation des salaires.
"Les chiffres présentés aujourd'hui sur le sans-abrisme sont choquants", a déclaré Ulrike Mascher, présidente de l'association sociale VdK.
"À notre avis, cela prouve que de plus en plus de gens sont incapables de payer leurs loyers à cause des bas salaires et du surendettement."
Thomas Specht, chef de l'Association fédérale pour l'assistance aux sans-abri, a déclaré que la hausse des loyers n'était qu'une des causes du développement négatif.
Il a fait remarquer que depuis 1990, le nombre de logements collectifs avait chuté de 60 %, à 1,2 million, parce que les conseils locaux avaient vendu de nombreuses propriétés à des investisseurs privés.
"Les autorités ont perdu le contrôle du stock de logements abordables", a-t-il dit
Cela dit, d'autres ont pointé du doigt la politique «Portes ouvertes» d'Angela Merkel qui a accueilli près d'un million de réfugiés de Syrie, Libye, Afghanistan et autres zones de guerre en 2015, soit cinq fois plus que l'année précédente.
Un nombre croissant de personnes vivant dans les rues allemandes sont des migrants d'Europe de l'Est. Specht a toutefois déclaré que même si la migration avait mis la pression sur les installations pour les sans-abri, ce n'était en aucun cas le seul facteur.
Karin Kühn, présidente de BAG Help for the Homeless, a exigé une action immédiate du gouvernement.
Bien sûr, l'afflux de migrants est devenu un sujet brûlant lors des récentes élections après que les réfugiés nouvellement accueillis ont remboursé Merkel pour son «ouverture» en commettant 142 500 crimes au cours des six premiers mois de 2016, y compris plusieurs agressions sexuelles très médiatisées.
Malheureusement, alors que la réaction publique a finalement convaincu Mme Merkel que l'Allemagne ne pouvait pas résoudre tous les problèmes du monde, la décision de limiter les admissions de réfugiés à 200 000 par an (nous en avons discuté ici: Merkel Seeks Nouvelles limites sur les réfugiés) ...
RépondreSupprimerLe bloc a accepté de limiter à 200 000 le nombre de personnes autorisées à entrer en Allemagne pour des raisons humanitaires. Les conservateurs ont promis en même temps que les gens ne seraient pas refoulés à la frontière allemande, exprimant leur soutien au droit de demander l'asile en Allemagne et à la convention de Genève sur les réfugiés qui stipule que les pays devraient protéger ceux qui fuient la guerre et l'expulsion, et ceux qui sont politiquement persécutés.
"Nous poursuivons nos efforts pour réduire de manière permanente le nombre de personnes fuyant vers l'Allemagne et l'Europe afin d'éviter une répétition de la situation comme en 2015" lorsque l'Allemagne a accueilli 890 000 demandeurs d'asile, a déclaré lundi Mme Merkel journalistes.
Elle a indiqué que les parties ont convenu de mesures qui garantiront que le nombre total d'admissions ne dépassera pas 200 000 personnes par an. Il s'agit notamment de traiter avec les nouveaux arrivants demandeurs d'asile en Allemagne dans des centres centralisés où leurs demandes seront rapidement tranchées. Les demandeurs d'asile déboutés seront rapidement renvoyés dans leur pays d'origine. Avec cette initiative, les parties espèrent accélérer les procédures d'asile et augmenter le nombre d'expulsions.
La possibilité d'autoriser jusqu'à 200 000 migrants à entrer dans le pays chaque année pourrait être modifiée par le Parlement allemand si une crise internationale le justifie, a indiqué le compromis.
La capitulation stupéfiante suit une manifestation embarrassante par les démocrates chrétiens de Merkel pendant les élections fédérales de septembre. Alors que le parti a de nouveau reçu la plus grande part des voix, son soutien a diminué de plus de 8 % par rapport aux élections précédentes dans la pire performance de Merkel. Pendant ce temps, le parti de l'Alternative de droite pour l'Allemagne (AfD) obtenait 13 % des suffrages sans précédent, ce qui lui permettait de se faire représenter au parlement - la première fois qu'un parti d'extrême droite était élu au Parlement allemand depuis la Seconde Guerre mondiale.
... L'épiphanie de Merkel n'est apparemment pas venue assez vite pour éviter une crise du logement qui pousse maintenant les citoyens allemands dans les rues en nombre record.
http://www.zerohedge.com/news/2017-11-14/german-homeless-population-explodes-one-third-2016-migrant-crisis-takes-its-toll
(...) La population allemande des sans-abri (...)
SupprimerPrimo, la situation n'expose en rien d'où viennent ces 'sans-abri'. Sont-ils allemands foutus dehors pour laisser de la place aux immigrés ou sont-ils des journalistes qui ont montés le coup pour la photo ?
Secundo, les 'bas salaires' seraient mis en cause. Les salaires ont-ils baissés ? NON ! Ce sont les charges (obligation de payer l'énergie 'gratuite' de la "éolienne's nazional socialiste" !) qui ont augmenté !
La fortune mondiale augmente, le nombre de millionnaires aussi
RépondreSupprimer14 Novembre 2017
PAR AWP
La fortune mondiale a augmenté de 6,4% à 280'000 milliards de dollars entre mi-2016 et mi-2017. En Suisse, la fortune des ménages a bondi de 35 % depuis 2000.
La fortune mondiale a nettement progressé en 2017, portée par l'envolée des marchés actions mais aussi d'autres actifs non-financiers, a constaté mardi Credit Suisse dans son huitième "Global Wealth Report 2017". Le nombre de millionnaires n'a également cessé de croître, principalement aux Etats-Unis, mais aussi en Europe et en Asie. Cette tendance doit se poursuivre à moyen terme.
Après avoir enregistré des taux de croissance à deux chiffres avant la crise financière, la progression de la richesse mondiale a marqué le pas à partir de 2008 et a même été négative en 2014 et 2015. Depuis 2016, le taux de croissance a modestement progressé de 3,9 % et a atteint 6,4 % en 2017, a résumé la banque aux deux voiles dans son étude annuelle.
Pendant la période sous revue, soit de mi-2016 à mi-2017, les avoirs mondiaux ont augmenté de 16'700 mrd USD à 280'000 mrd. La hausse a été particulièrement forte en Amérique du Nord (+9,9 %), qui concentre la plus grande part des richesses mondiales, en Inde (+9,9 %), en Europe (+6,4 %) et en Chine (+6,3 %), mais a été plutôt modeste en Asie-Pacifique (+0,7 %) et en Afrique (+0,9 %).
Par pays, les plus importants taux de croissance de la richesse ont été enregistrés aux Etats-Unis, en Chine, en Allemagne, en France et en Australie.
Les avoirs financiers ont principalement porté cette croissance, là aussi essentiellement en Amérique du Nord, représentant la moitié de la croissance enregistrée cette année.
Encore plus de riches
Le nombre de millionnaires a quant à lui augmenté de 2,3 mio à 36,1 mio de personnes, dont près de la moitié aux Etats-Unis. En Europe, l'appréciation de l'euro face au dollar a également relevé le nombre de millionnaires (en billet vert) de 620'000 en Allemagne, en France, en Italie et en Espagne. Quelque 200'000 nouveaux riches sont venus étoffer l'Australie et autant la Chine.
A l'inverse, le Royaume-Uni a perdu 34'000 millionnaires et le Japon 300'000 en raison principalement d'effets de change négatifs.
En Suisse, la fortune des ménages a bondi de 35 % depuis 2000, correspondant à une croissance annuelle de 1,8%. Avec des avoirs moyens par adulte de 528'000 CHF en 2017, les Helvètes restent les plus riches au monde, selon l'étude.
Plus de deux-tiers des adultes vivant en Suisse disposent d'un patrimoine supérieur à 100'000 USD et 8,8 % d'entre-eux sont millionnaires en dollars. L'établissement zurichois estime que 2780 personnes établies dans le pays affichent une fortune supérieure à 50 mio USD, qui dépasse 100 mio pour 1070 d'entre-eux.
Le taux de croissance de la fortune mondiale devrait rester à peu près identique sur les cinq prochaines années, la richesse totale devant atteindre 341'000 mrd USD en 2022. Le nombre de millionnaires doit quant à lui atteindre 44 mio et celui des ultra-riches (UHNWI) 193'000.
http://www.bilan.ch/economie/fortune-mondiale-augmente-nombre-de-millionnaires
Sans que les humains travaillent plus et mieux qu'avant (ce serait même le contraire !), ils se sont laissés doubler par leurs esclaves de ferraille. Les robots, machines-outils et les ordinateurs ont démultiplié les tâches courantes résolues et rapporté des chiffres d'affaire records !
SupprimerDonald Trump dévoile une moisson d'accords commerciaux en Chine
RépondreSupprimerCOMMERCE 9 Novembre 2017
Donald Trump a dévoilé jeudi à Pékin une vertigineuse moisson d'accords commerciaux pour plus de 250 milliards de dollars: de quoi plaire au président américain qui a promis un rééquilibrage des échanges bilatéraux, même si leur concrétisation pourrait s'avérer aléatoire.
Ces accords, signés lors de la première visite de M. Trump en Chine, ont été annoncés en fanfare lors d'un sommet avec son homologue chinois Xi Jinping, sous les ors du Palais du Peuple.
Les secteurs concernent l'énergie, l'aéronautique, l'agroalimentaire ou l'électronique; le montant total (253,4 milliards de dollars) donne le tournis; et des géants américains, Boeing, DowDuPont, Caterpillar ou Qualcomm, en bénéficient.
Tout sourire, M. Trump, qui avait fait de l'excédent commercial chinois l'un des boucs émissaires de sa campagne présidentielle, a assuré qu'il ne jetait pas la pierre à Pékin.
"Qui peut reprocher à un pays de profiter d'un autre pays pour le bien de ses citoyens ?" a-t-il lancé.
L'avalanche d'accords a été qualifiée de "véritable miracle" par le ministre chinois du Commerce, Zhong Shan.
Mais pour James McGregor, président pour la Chine du cabinet APCO Worlwide, c'est surtout "de la politique à l'ancienne: un dirigeant arrive et tire prestige d'une série d'accords déjà en cours, auxquels d'autres sont ajoutés pour arriver à un gros chiffre".
Pékin a déroulé le tapis rouge et Donald Trump "pourra tweeter qu'il est un formidable négociateur", a-t-il indiqué à l'AFP.
Derrière les chiffres, "la plupart des annonces concernent des protocoles d'accord plutôt que des contrats fermes. Il est judicieux de se demander ce qui va réellement se concrétiser", avertit Christopher Balding, professeur à l'Université de Pékin, pointant des annonces "vagues".
Gaz en Alaska
"Certains accords pourraient ne mener à rien, il est facile d'être cynique. Mais d'autres sont assez substantiels", insiste néanmoins James McGregor.
Ainsi, à l'heure où Pékin s'efforce de diversifier ses approvisionnements d'hydrocarbures, trois organismes étatiques, dont le fonds CIC, ont conclu un accord pour exploiter des gisements de gaz naturel liquéfié (GNL) en Alaska, avec jusqu'à 43 milliards de dollars d'investissements prévus.
Cela pourrait réduire le déficit commercial américain de 10 milliards de dollars par an, selon les services du gouverneur de l'Alaska.
Pour autant, de l'avis des observateurs, la salve d'accords ne devrait rééquilibrer que marginalement la balance commerciale et ne fait rien pour résoudre le protectionnisme de Pékin que dénonce volontiers Washington.
Donald Trump a de nouveau dénoncé jeudi les transferts de technologies imposés aux firmes étrangères et les restrictions d'accès à de nombreux secteurs. Les Etats-Unis ont récemment imposé des droits antidumping sur l'aluminium chinois et enquêtent sur la politique de Pékin en matière de propriété intellectuelle.
RépondreSupprimer"Rester grand ouvert, voilà notre stratégie de long terme", a rétorqué Xi Jinping devant une délégation d'hommes d'affaires américains. Sans qu'aucun progrès ne soit dévoilé sur ce terrain.
"Honnêtement, dans l'ensemble, ce que nous avons accompli jusqu'à présent (en matière commerciale) reste limité. Il y a encore beaucoup de travail", a reconnu le secrétaire d'Etat Rex Tillerson.
Les Etats-Unis sont le deuxième partenaire commercial de la Chine et pâtissent avec le géant asiatique d'un déficit commercial annuel d'environ 350 milliards de dollars dans les échanges de biens, selon Washington.
Boeuf du Montana
Parmi les annonces, figure un accord entre le fabricant américain d'engins de chantier Caterpillar et le mastodonte China Energy, portant sur des ventes d'équipements miniers -- mais sans détail financier.
De son côté, le fabricant de semi-conducteurs Qualcomm a signé des accords avec trois grands producteurs de smartphones chinois, Xiaomi, Oppo et Vivo, assurant pouvoir leur vendre "environ 12 milliards de dollars" de puces en trois ans.
Boeing a signé un accord portant sur l'achat de 300 avions pour un prix catalogue de 37 milliards de dollars -- sans préciser si toutes ces commandes étaient nouvelles.
L'agrochimiste DowDuPont s'est lui entendu avec la startup des vélos partagés Mobike pour développer des matériaux plus légers -- ce qui pourrait doper les exportations américaines de polyuréthane.
Enfin, dans l'agroalimentaire, JD.com, spécialiste chinois de la vente en ligne, s'est engagé à acheter pour quelque 2 milliards de dollars de produits aux Etats-Unis sur les trois prochaines années -- dont 1,2 milliard de dollars de viande, notamment du boeuf auprès de l'association d'éleveurs du Montana.
http://www.bilan.ch/economie/donald-trump-devoile-une-moisson-daccords-commerciaux-chine
Marche de l’Indépendance de Varsovie : tsunami de “fake news” dans les grands médias gauchistes et libéraux-libertaires internationaux
RépondreSupprimerOlivier Bault
14 novembre 2017
La Marche de l’Indépendance de samedi à Varsovie suscite depuis vendredi un tir de barrage des grands médias internationaux à coups de fausses nouvelles, les fameux fake news. Pour discréditer ce qui est devenu depuis quelques années la plus grosse manifestation patriotique en Europe, les médias ont sorti les gros calibres. Les dizaines de milliers de patriotes polonais venus célébrer ensemble leur Fête de l’Indépendance à la marche organisée par les nationalistes sont sans doute aujourd’hui stupéfaits d’apprendre qu’ils sont au mieux des fascistes et au pire des nazis. En cause, le passage, sur une centaine de milliers de marcheurs, d’un (1) groupe de jeunes brandissant deux (2) banderoles avec les inscriptions suivantes : « Europe blanche de peuples frères » sur la première et « Sang pur, esprit lucide » / « L’Europe sera blanche ou elle sera déserte » sur la deuxième banderole.
La caméra de TV Libertés et du Visegrád Post qui a enregistré le passage de l’ensemble de la manifestation (38 minutes d’enregistrement) n’a vu passer que ces deux banderoles racistes (à la 23e minute). Ces slogans ont été largement condamnés dans la journée de dimanche et lundi à la fois par le gouvernement PiS, notamment en la personne du vice-premier ministre Piotr Glinski, et par les organisateurs nationalistes qui ont tenu à rappeler que leur concept de la nation est et a toujours été culturel et non pas racial. La police polonaise a ouvert une enquête pour identifier les personnes qui tenaient ces banderoles.
Les “fake news” ont commencé dans certains médias dès la veille de la Marche de l’Indépendance de Varsovie
Mais de toute façon, certains n’avaient pas attendu la manifestation patriotique du 11 novembre pour parler de fascistes polonais. C’est ainsi que le site du journal britannique The Independent titrait dès le 10 novembre : Fascists to stage “world’s biggest” far-right march in Warsaw on Polish Independence Day (les fascistes organisent la plus grosse marche d’extrême droite du monde à Varsovie pour la Fête de l’Indépendance polonaise).
Sputnik, le site d’information internationale de l’Etat russe, n’était pas en reste, car quand la Pologne est attaquée il aligne généralement sa ligne éditoriale sur le mainstream occidental. Sputnik titrait donc la veille de la Marche de l’Indépendance : Hate Finds a Home: Polish Far-Right March Goes Global (la haine se trouve une maison : la marche d’extrême droite polonaise se mondialise). Ceci en référence à la venue à la marche varsovienne de représentants de partis d’extrême droite généralement plutôt bien vus en Russie, où ils se rendent pour beaucoup assez régulièrement. Mais ici, la priorité c’est de montrer la Pologne comme un pays de fascistes, ce que sont apparemment tous les pays qui s’opposent à la politique russe dite « de l’étranger proche ». Cette rhétorique n’a visiblement pas changé avec la chute du communisme, et les Ukrainiens en savent d’ailleurs quelque chose avec leur « junte fasciste de Kiev ». Pour l’anecdote, le propriétaire du journal britannique The Independent est Alexandre Lebedev, un riche oligarque russe qui est aussi, comme Vladimir Poutine, un ancien du KGB
CNN gagne la palme d’or dans la catégorie du “fake news” le plus efficace
RépondreSupprimerMais n’y voyons pas un complot russe pour ne pas tomber dans la banalité. Du reste, si l’on devait octroyer une palme d’or du meilleur fake news, c’est à un média américain qu’il faudrait le décerner, celui que le président américain appelle le média des très fausses nouvelles : CNN. CNN a en effet utilisé une méthode de propagande classique mais très efficace : dans un article publié sur son site, le média américain a publié la photo d’une banderole déployée sur un pont avec une inscription en langue polonaise appelant à prier pour un Holocauste islamique (« Pray for Islamic Holocaust »), et il a affirmé que cette photo avait été prise à la Marche de l’Indépendance du 11 novembre 2017 à Varsovie. Or il s’agissait d’un incident datant de 2015 et survenu à 300 km de là dans la ville de Poznan, sans aucun rapport avec la manifestation patriotique organisée par les nationalistes chaque année dans la capitale polonaise. Tout le monde peut se tromper, n’est-ce pas ? CNN a donc corrigé son « erreur », et a indiqué en bas de son article : « Correction: This story has been corrected to reflect the content of the banners displayed in Warsaw. » (Correction : cet article a été corrigé de manière à refléter le contenu des banderoles déployées à Varsovie). De toute façon la fausse nouvelle avait déjà été reprise dans d’autres médias (Washington Post, The Guardian, et bien d’autres) qui n’ont pas, eux, eu à corriger puisqu’ils citent leur source (CNN où un autre média qui a déjà repris la nouvelle) et s’en lavent les mains.
Quand le Désintox de Libération cherche à savoir si l’accusation de fascisme et de nazisme est justifiée
Puisque tant de médias parlent, au mépris de la réalité, d’une marche fasciste et néonazie, les journalistes de Libération, dont on connaît l’honnêteté et l’impartialité, ont voulu analyser la chose dans leur rubrique Désintox. Citant les autres médias de désinformation, Libération énumère donc les arguments. L’on apprend donc, toujours au mépris de la réalité, que les nationalistes polonais revendiquent toujours l’antisémitisme des nationalistes d’avant-guerre. L’on apprend aussi que le slogan « Un coup de marteau, un coup de faucille, contre la racaille rouge », largement repris à la manifestation, n’est pas qu’anticommuniste mais aussi antirusse, ce qui est faux puisqu’il s’adresse aussi aux gauchistes polonais comme à ceux du monde entier. Cependant, c’est très utile pour pouvoir affirmer sans échouer au détecteur de mensonges que les slogans xénophobes étaient omniprésents à la manifestation de samedi. Comble de l’absurde, le mot d’ordre « Nous voulons Dieu » est pour les journalistes areligieux de Libération un slogan contre l’islam ! Equilibre oblige, « tous les participants à la manifestation ne se réclamaient pas du groupe néonazi et n’étaient pas d’extrême droite », explique le Désintox de Libé. De quel groupe néonazi, au fait ? Il n’y en avait en réalité aucun à la Marche de l’Indépendance, car l’indépendance de la Pologne s’est faite contre les nazis et contre les communistes et les nationalistes polonais dont se réclament les organisateurs de la Marche de l’Indépendance n’ont pas démérité pendant la Deuxième guerre mondiale.
Plus c’est gros, plus ça passe, ont dû se dire les journalistes du “Monde”
Un tel tsunami de fake news pour une simple manifestation qui n’a donné lieu à aucune violence donnera peut-être un jour naissance à un livre. En ce qui nous concerne, il est impossible de tous les citer ici et l’on s’arrêtera donc à un article qui devrait valoir au site du Monde une pastille rouge dans le Décodex… du Monde. « Il se joue actuellement en Pologne quelque chose qui ne fait réagir personne » : tel est le titre inquiétant du texte du Monde où ce journal décidément très à gauche et peu soucieux de la vérité explique, dans l’introduction, que samedi « à l’unisson, les manifestants ont scandé des slogans appelant à la violence et à la xénophobie, tels que “La Pologne pure, la Pologne blanche”. » Ceux qui comprennent le polonais pourront aisément constater que c’est archifaux en visionnant le film du passage de la marche. Mais la plupart des lecteurs du Monde ne pouvant pas vérifier cela par eux-mêmes, c’est encore un fake news qui tient la route. Un bon point, donc, pour Le Monde aussi. Plus c’est gros, plus ça passe, comme on dit…
RépondreSupprimerhttp://reinformation.tv/marche-independance-varsovie-fake-news-medias-lenoir-77107-2/
Pétunias « OGM » : le ridicule exposé et expliqué
RépondreSupprimer14 Novembre 2017
par Seppi
Giovanni Tagliabue*
Il y a quelques mois, un biologiste des plantes finlandais de l'Université d'Helsinki se promenait dans la ville, lorsqu'il a remarqué des pétunias oranges dans des jardinières sur une place publique. Il était intrigué, car il n'y a pas de variété naturelle de pétunia de cette couleur. Une histoire vieille de 20 ans d'une expérience de recombinaison de gènes lui est alors venue à l'esprit. Il a acheté les mêmes plantes dans un magasin, les a analysées et a découvert qu'elles étaient des « descendantes » des produits d'une vieille expérience : d'une manière ou d'une autre, ces semences étaient devenues disponibles sur le marché, probablement depuis des années.
Une fois l'histoire rendue publique, une ruée vers la localisation et la destruction des graines et des fleurs « OGM » a été déclenchée par les agences de régulation, de la Finlande au Royaume-Uni, de l'Australie aux États-Unis et d'autres pays.
Voici la transcription d'un dialogue entre un Extraterrestre Rationnel, qui visite la Terre, et un Agent de l'État d'un pays où les « OGM » sont légalement persécutés.
Extraterrestre Rationnel (E.R.) – De belles fleurs que vous avez là dans cette boîte, Monsieur l'agent. Les emmenez-vous au marché ?
Agent de l'État – Non. Je viens de les saisir dans ce magasin. Elles vont être détruites.
E.R. – Oh je vois. Elles doivent être toxiques ou quelque chose comme ça ?
A.E. – Eh bien... pas du tout. Mais elles sont « OGM ».
E.R. – Excusez-moi ?
A.E. – C'est une abréviation pour « Organisme Génétiquement Modifié ».
E.R. – Euh... Pardonnez-moi, je suis perplexe : vos scientifiques savent depuis des décennies que tout être vivant – tout organisme – est génétiquement modifié par définition !
A.E. – C'est le point de vue scientifique. Mais, selon la loi, ces fleurs sont différentes – en fait, illégales. Elles ne doivent pas exister.
E.R. – Permettez-moi une question : quelle est la justification d'une telle règle ?
A.E. – Elles sont transgéniques, car un gène du maïs leur a été ajouté pour créer la couleur orange.
E.R. – Euh... et alors ? Il est bien connu que les gènes peuvent « sauter » d'un organisme à un autre, lorsque différentes espèces se mélangent au fil des générations : si le résultat n'a pas d'effet négatif sur la sécurité ou l'environnement
(www.evira.fi/en/plants/current-issues/2017/evira-removes-genetically-modified-orange-petunias-from-sale/,
www.aphis.usda.gov/aphis/ourfocus/biotechnology/brs-news-and-information/unauthorized_petunia ),
mais qu'il crée un jolie nouvelle plante...
A.E. – C'est peut-être vrai : mais dans ce cas, l'ADN étranger a été tracé, et on a vérifié qu'il a été inséré intentionnellement ; cette opération rend le résultat – les fleurs – illégal.
E.R. – J'ai peur que ce pseudo-concept d'ADN « étranger » soit assez douteux. Mais : et si la source du gène qui dicte la couleur orange provenait d'une autre variété de pétunias ? Le produit résultant serait-il condamné ?
RépondreSupprimerA.E. – Cela dépend : si le gène a été introduit par hybridation, ou induction de polyploïdie, ou culture de tissus, ou un certain nombre de techniques de sélection acceptées ; ou si l'ADN a été modifié par « bombardement » chimique ou radiologique, de nombreux agents dans de nombreux pays du monde ne feraient pas la chasse à ces fleurs et graines dans des milliers de magasins et d'entrepôts d'obtenteurs. Au lieu de cela, le même effet phénotypique a été obtenu par une technique « OGM » – j'ai ici une liste de méthodes interdites –, et alors les magasins ne peuvent pas les vendre et les gens ne devraient pas les planter !
E.R. – …
A.E. – Monsieur, s'il vous plaît, ne me regardez pas comme si j'étais un idiot : je fais juste mon travail ! Vous venez d'une planète rationnelle, je sais que les us et coutumes terrestres peuvent sembler étranges...
E.R. – Excusez-moi, juste pour comprendre : j'ai appris que l'humanité vit dans un monde de ressources limitées, et encore plus en ce qui concerne la lutte de la société contre le crime. Ne serait-il pas plus... euh... rationnel de consacrer l'argent des contribuables qui est maintenant gaspillé pour courir après la gaffe « OGM » à l'accomplissement de tâches importantes – par exemple la sécurité alimentaire et la protection de l'environnement ?
A.E. – Entre nous : personnellement, je suis d'accord. Mais la loi est la loi, et je suis obligé de l'appliquer.
E.R. – J'ai lu une ancienne devise romaine : Summum jus, summa injuria. En clair : une application excessive de la loi conduit à l'injustice. Heureusement, dans ce cas, les seuls sujets lésés sont ces jeunes plantes innocentes...
A.E. – Sans commentaires.
E.R. – Je dois également dire que vos médias négligent leur devoir d'informer le public correctement : par exemple, il semble inapproprié de demander à un type opposé aux biotechnologies de faire un commentaire, et pas à un biologiste ou un généticien – en plus dans la section « Science » d'un journal ! (www.telegraph.co.uk/science/2017/05/09/gm-petunias-could-harm-wildlife-britains-gardens-warn-campaigners).
A.E. – Vous savez, trop souvent, les journalistes ne recherchent pas des sources bien informées... avez-vous déjà entendu parler de « post-vérité » ou de « faits alternatifs » ?
E.R. – À mon humble avis, des rapports équilibrés devraient raconter l'histoire de cette tempête « pétuniastique » dans un verre d'eau, en soulignant qu'une telle agitation préjudiciable n'a pas de sens !
A.E. – Trop souvent, ça ne marche pas comme ça sur cette planète : toute occasion de déblatérer sur « l'invasion des OGM » et de telles conneries est rapidement exploitée (www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-4528436/Advice-gardenders-facing-GM-invasion.html) : le sensationnalisme et la peur font vendre !
E.R. – Souvent dans votre histoire – à ce que je lis – certains dissidents ont choisi de défier les lois injustes par des actes de désobéissance civile : ne serait-ce pas bien que quelques personnes déclarent publiquement, dans des manifestations publiques, qu'elles vont garder des graines de ces fleurs, ou même les semer ?
A.E. – Laissez-moi vous le murmurer : c'est exactement ce que j'ai pensé faire : garder des graines... juste pour ressentir le frisson d'être un hors-la-loi ! Mais après, je suis revenu à la raison... eh bien, pour ainsi dire... j'accomplirai mon devoir !
RépondreSupprimerE.R. – Merci pour votre temps, Monsieur l'agent : maintenant je vais vous laisser procéder à l'éradication de ces Fleurs du Mal...
A.E. – Je ne savais pas que les Extraterrestres pouvaient être ironiques : je pensais que vous étiez froids, des entités rationnelles.
E.R. – Nous le sommes normalement, oui. Mais parfois, Homo sapiens nous oblige à utiliser l'ironie comme seule réaction possible à leur folie...
Si quelqu'un possède des pétunias interdits, regardez s'il vous plaît cette vidéo éducative sur la façon de les détruire :
https://www.youtube.com/watch?time_continue=8&v=5wPuKaccMKs
Cet article satirique a été approuvé par les scientifiques suivants :
Ammann, Klaus – U. Berne
Burachik, Moisés – U. Buenos Aires
Charles, Trevor – U. Waterloo
Chassy, ??Bruce – U. Illinois
Costantino, Paolo – U. Roma La Sapienza
DeGregori, Thomas R. – U. Houston
Defez, Roberto – Institut des Biosciences et des Bioressources, Naples
Fedoroff, Nina – Penn State U.
Giddings, Val – PhD, ProméthéeAB, Inc.
Guruswamy, Lakshman – U. Colorado Boulder
Jany, Klaus-Dieter – Wadi Intl U.
McHughen, Alan – U.C. Riverside
Milanesi, Gabriele – U. Milan
Miller, Henry – Stanford U.
Morandini, Piero – U. Milan
Niederhuth, Tchad – Géorgie
Parrott, Wayne – Géorgie
Prakash, C. S. – Arizona
Roberts, Richard J. – New England Biolabs (lauréat du prix Nobel 1993)
Sági, László – Académie hongroise des sciences
Teeri, Teemu – U. Helsinki
Twardowski, Tomasz – Académie polonaise des sciences
Wager, Rob – U. Île de Vancouver
Winkler, Matt – Asuragen
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* Giovanni Tagliabue est un chercheur indépendant basé en Italie ; il étudie la philosophie des sciences de la vie et des sciences politiques.
Source : https://geneticliteracyproject.org/2017/10/19/gmo-petunias-ridiculousness-exposed-explained/
http://seppi.over-blog.com/2017/11/petunias-ogm-le-ridicule-expose-et-explique.html
Les douches chaudes interdites au Parlement européen pour des raisons de santé
RépondreSupprimerBaptiste Lambert
15 novembre 2017
Les douches chaudes sont pour l’instant interdites au Parlement européen. La raison ? Un risque de légionellose, une maladie parfois mortelle qui pourrait se propager à cause des vapeurs d’eau chaude.
Fini les douches réconfortantes au bureau après des réunions houleuses. Les membres du Parlement européen (MEP) vont dorénavant devoir se contenter de douches froides s’ils veulent éviter d’attraper la maladie (parfois mortelle) de la légionellose. Politico a mis la main sur un mail interne de l’administration européenne révélant qu’en raison “d’un risque trop élevé pour la santé, il a été recommandé de fermer définitivement le circuit d’eau chaude dans les bureaux des membres du Parlement”. Le risque, c’est que les bactéries de légionellose viennent se poser sur leurs poumons lors d’inhalation des vapeurs de douche.
Les bactéries de légionellose se propagent dans les eaux douces et artificielles maintenues à une température tiède (entre 25 et 45°C). Ces petites bêtes meurent au contact de l’estomac mais peuvent provoquer des pneumonies graves, voire mortelles, au contact des poumons. Actuellement, le Portugal fait face à une épidémie de légionellose et cette maladie a déjà fait 5 morts en 2017.
Il faut croire que les eurodéputés ne prennent pas suffisamment de douches. Du coup, l’eau stagne, se refroidit et atteint la température critique. Conséquence: les bactéries se propagent dans les circuits d’eau chaude de l’Alberto Spienielli, l’impressionnant bâtiment abritant le Parlement européen à Bruxelles. Selon l’avis du service médical du Parlement européen et d’un expert indépendant, ces circuits “contiennent des “tuyaux sans issue” entraînant un risque permanent pour la santé lié à la croissance potentielle de bactéries nocives
Alors, plutôt que de remplacer la tuyauterie ou d’envoyer une équipe de décontamination, les eurodéputés ont choisi l’option eau froide. Pourquoi ? En dessous des 25°C, les bactéries meurent.
https://fr.express.live/2017/11/15/douches-chaudes-interdites-parlement-europeen-raisons-de-sante/
SupprimerAvant-goût de ce que les représentants de la dictature comptent faire pour empêcher les températures extrêmes ( + de 5°C) dans les foyers cet hiver !
Des contrôles inopinés seront fait (thermomètre en main) où seront verbalisés ceux qui affichent leur corps à 37,2°C le matin !
Le vilain secret de la libération de Raqqa : Une vidéo de 7 minutes glaçante
RépondreSupprimerAudrey Duperron
15 novembre 2017
Après la reconquête de Raqqa par les forces alliées, l’État islamique est maintenant un califat sans capitale. Dans le cadre d’un accord de cessez-le-feu, 200 à 300 combattants de l’État islamique ont pu fuir sans obstacle des zones libérées. C’est ce qu’avaient rapporté des médias occidentaux le 18 octobre.
Mais la vérité serait totalement différente, montre un excellent rapport de Quentin Somerville, le correspondant au Moyen-Orient de la chaîne publique britannique BBC. Une vidéo glaçante de 7 minutes révèle aussi les images d’une ville totalement détruite.
Les détails de l’accord de cessez-le-feu réel
Des centaines de combattants de l’EI ont quitté Raqqa en compagnie de leurs familles. Au total, on aurait dénombré 50 camions, 13 bus et plus de 100 véhicules privés. Le convoi faisait près de 7 km de long, et comptait 4000 personnes.
Contrairement à ce qui a été dit, les djihadistes étaient armés jusqu’aux dents lors de leur fuite.
Des combattants ont également pu fuir à l’étranger.
La plupart d’entre eux sont aujourd’hui en Turquie.
Selon un djihadiste français, la plupart des combattants français de l’EI sont rentrés en France, où ils prépareraient une « journée de la colère ».
La coalition contre l’État islamique, qui est dirigée par les États-Unis, et dont notre pays fait partie, était au courant de l’affaire, mais a tout fait pour l’étouffer. Les chauffeurs de camions qui ont participé à cette évacuation ont été payés contre leur silence, mais la BBC a parlé à plusieurs témoins qui ont confirmé ces informations.
https://fr.express.live/2017/11/15/raqqa-fuite-combattants-etat-islamique/
SupprimerIls vont bientôt passer chez vous avec leurs calendriers montrant des femmes aux bras coupés, égorgées ou brûlées vive en public dans une cage en fer arrosée d'essence !
CANTON DE FRIBOURG - LES DÉPUTÉS S'OCTROIENT UNE HAUSSE D'INDEMNITÉ
RépondreSupprimer15.11.2017, 12h22
Le défrayement passe de 57 francs à 78 francs par heure à partir de janvier 2018. Cette adaptation représente pour l'Etat une hausse des dépenses de 265'000 francs.
Le Grand Conseil fribourgeois augmente les indemnités versées aux députés pour leur travail parlementaire: leur défrayement passe de 57 francs (48,81 €) à 78 francs (66,79 €) par heure à partir de janvier 2018. La dernière adaptation remontait à 2006.
Les députés ont décidé cette auto-augmentation par 88 voix contre 4 (3 abstentions). La proposition est venue du Bureau du Grand Conseil. Conscient que le sujet est politiquement sensible, il juge toutefois nécessaire de revaloriser le travail des parlementaires.
Il estime que c'est une juste compensation du temps consacré à l'analyse des dossiers, ainsi qu'à la préparation des séances en commission et en plénum. L'augmentation permet aussi de couvrir partiellement la perte financière que subissent les députés à cause de leurs absences professionnelles quand ils participent aux séances.
Cette adaptation représente pour l'Etat une hausse des dépenses de 265'000 francs. C'est une adaptation raisonnable, a argumenté le rapporteur Roland Mesot (UDC). Les députés fribourgeois sont «en bas de l'échelle» en comparaison intercantonale, a-t-il souligné.
Autres cantons mieux lotis
En Suisse romande, seuls les collègues jurassiens sont derrière avec 37 francs (31,68 €) par heure, a expliqué Roland Mesot. Les indemnités atteignent 64 francs pour les députés neuchâtelois, 87 pour les valaisans, 88 pour les vaudois et même 110 (94,20 €) pour les genevois.
Il n'est certes pas facile d'aborder un tel sujet alors qu'il y a eu pour le canton des temps plus sombres, où tout le monde a dû se serrer la ceinture, note le socialiste Pierre Mauron. Mais il s'agit simplement d'adapter la rémunération au coût de la vie. On doit se demander s'il est normal qu'un député soit moins bien payé que les personnes qui nettoient la salle du Grand Conseil après la session.
En effet, en calculant le nombre réel d'heures de travail d'un député, le salaire horaire atteint souvent moins de 20 francs (17,12 €), a commenté Sylvie Bonvin-Sansonnens (Vert Centre Gauche). Ce serait donc du «populisme» de dire que la hausse est injustifiée. Et d'ajouter que pour un petit groupe comme le sien, le travail est souvent doublé comparé à d'autres groupes de plus grande taille.
Le parlement a balayé l'amendement de l'UDC Nicolas Kolly qui préconisait de reporter l'entrée en vigueur à 2022. Une hausse en début de législature donne «l'impression de nous servir avant d'avoir servi la population», a dit le député. Il a aussi relevé que certains cantons comparables avec Fribourg en taille, comme Lucerne, Soleure ou la Thurgovie, ont des indemnités inférieures. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/suisse/deputes-s-octroient-hausse-dindemnite/story/12377702
Supprimer2012: Les conseillers fédéraux reçoivent un salaire d'environ 400'000 francs suisse par année. Et les ministres qui quittent leurs fonctions après au moins 4 ans d'activités reçoivent une retraite équivalente à la moitié du salaire d'un conseiller en fonction.
Le salaire d'un conseiller fédéral s’élève à 443'000 francs par an, auxquels s’ajoute un forfait de 30'000 francs pour les frais. Le ou la présidente a par ailleurs une indemnité spéciale de 12'000 francs, soit un total de 485 000 francs.
Le salaire de Barack Obama est lui de 400'000 dollars (378'000 francs) plus 169'000 dollars de frais (159'000 francs).
Niklaus Schneider-Ammann, le président Suisse (a touché en 2016:) 445'163 francs. (Mandat présidentiel helvétique d'un an).
La première nation flottante au monde conçue pour «libérer l'humanité des politiciens» apparaîtra dans l'océan Pacifique d'ici 2020
RépondreSupprimerDaily Mail
15 novembre 2017
La première nation flottante du monde devrait apparaître dans l'océan Pacifique au large de l'île de Tahiti en 2020.
Une poignée d'hôtels, de maisons, de bureaux, de restaurants et d'autres encore seront construits au cours des prochaines années par l'Institut Seasteading à but non lucratif, qui espère «libérer l'humanité des politiciens».
Les plans radicaux, financés par le fondateur de PayPal, Peter Thiel, pourraient voir la création d'une nation indépendante qui flottera dans les eaux internationales et opérera dans le cadre de ses propres lois.
Dans une nouvelle interview, Joe Quirk, président de l'Institut de Seasteading, a déclaré qu'il voulait voir «des milliers» de villes flottantes voyous d'ici 2050, chacun d'entre eux «offrant différentes manières de gouverner».
La première nation flottante au monde devrait apparaître dans l'océan Pacifique au large de l'île de Tahiti en 2020 (impression d'artiste). Une poignée d'hôtels, de maisons, de bureaux, de restaurants et d'autres encore seront construits dans les prochaines années par l'Institut de Seasteading à but non lucratif, qui espère «libérer l'humanité des politiciens»
La première nation flottante au monde devrait apparaître dans l'océan Pacifique au large de l'île de Tahiti en 2020 (impression d'artiste). Une poignée d'hôtels, de maisons, de bureaux, de restaurants et d'autres encore seront construits dans les prochaines années par l'Institut de Seasteading à but non lucratif, qui espère «libérer l'humanité des politiciens»
«Les gouvernements ne vont tout simplement pas mieux», a déclaré M. Quirk au New York Times.
Ils sont coincés dans les siècles précédents. C'est parce que la terre incite un monopole violent à le contrôler.
La première île est financée par une offre de pièces de monnaie, un nouveau concept gagnant en popularité dans la Silicon Valley, dans lequel l'argent provient de la «foule» en créant et en vendant une monnaie virtuelle.
Le but non lucratif espère lever environ 60 millions de dollars d'ici 2020 pour construire une douzaine de bâtiments.
Les structures présenteront des «toits verts» couverts de végétation et la construction utilisera du bambou local, de la fibre de noix de coco, du bois et du métal et du plastique recyclés.
D'abord révélé en janvier, les plans ont été approuvés par le gouvernement de la Polynésie française, qui est en train de créer une zone économique spéciale afin que la nation flottante puisse fonctionner selon ses propres lois commerciales.
La nation minuscule, une collection de 118 îles dans le Pacifique Sud avec une population d'un peu plus de 200 000, a accordé à l'Institut Seasteading 100 acres de front de mer pour opérer.
La Polynésie française est intéressée par le projet car la zone est menacée par l'élévation du niveau de la mer.
Cela peut sembler un plan ambitieux, mais le groupe estime que les villes semi-indépendantes seraient l'endroit idéal pour essayer de nouveaux modes de gouvernement et de nouvelles méthodes agricoles.
M. Quirk et son équipe ont maintenant créé une nouvelle société, Blue Frontiers, qui construira et exploitera les îles flottantes en Polynésie française.
https://www.lewrockwell.com/2017/11/no_author/the-worlds-first-floating-nation-designed-to-liberate-humanity-from-politicians-will-appear-in-the-pacific-ocean-by-2020/
(...) La Polynésie française est intéressée par le projet car la zone est menacée par l'élévation du niveau de la mer. (...)
SupprimerMême s'il peut exister une île de bateau, elle est rattachée à la Polynésie française (république) et est donc sous une dictature et non une Démocratie. Par contre, en ce qui concerne 'l'élévation du niveau de la mer' !!! HAHAHAHAHAHA !
Plus con que çà y a pas ! Çà, c'est du Daily Mail !
Depuis des millions d'années il y a des milliards de km3 d'eaux (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se sont déversés dans les océans... sans qu'ils ne montent !!! Çà alors !!
Ce pq anglais ne cherche qu'à nuire aux citoyens.
La ville flottante ne relève plus de la science-fiction
RépondreSupprimerArnaud Lefebvre
15 novembre 2017
La Polynésie française pourrait devenir le premier endroit du monde où est installé une ville flottante. Le gouvernement de cet archipel du Pacifique Sud vient de signer un accord avec le Seasteading Institute, une organisation sans but lucratif.
Basée à San Francisco, cet institut étudie depuis une dizaine d’années la faisabilité des villes flottantes.
La construction du Floating Island Project devrait débuter d’ici 2020. Cette ville flottante comprendra des maisons, des hôtels, des bureaux et des restaurants. L’investissement initial se situe à hauteur de 60 millions de dollars.
Les promoteurs ont bénéficié d’une zone économique spéciale pour le projet.
« Ces dernières années, l’Institut de Seasteading a tenté de convaincre le public que les villes flottantes pouvaient être plus qu’un fantasme », écrit The New York Times.
Au début de cette année, le gouvernement de Polynésie française a accepté que l’institut commence ses premiers tests dans ses eaux territoriales. Les premiers bâtiments pourraient être habitables d’ici quelques années.
Nouvelles nations
« Si vous débutez la construction d’une ville flottante, il s’agira dans un premier temps d’un pays « startup » », explique Joe Quirk, président de l’Institut de Seasteading. Quirk espère que le concept de ville flottante sera complètement acquis à la moitié de ce siècle.
L’Institut Seasteading a été fondé il y a neuf ans par Patri Friedman, petit-fils de l’économiste Milton Friedman. A l’université, Patri Friedman avait déjà fondé des « communautés intentionnelles ». En 2008, il démissionne de chez Google pour se consacrer à l’expansion de l’institut.
Son organisation a bénéficié de l’investissement de Peter Thiel, milliardaire libertarien cofondateur de PayPal. Ce financement a attiré l’attention des médias car les projets « techno-utopiques » de Thiel ne se sont jamais vraiment concrétisés. En 2010, un prototype de ville flottante dans la baie de San Francisco ne verra jamais le jour.
Toutefois, au fil des années, l’idée selon laquelle une ville flottante dans les eaux internationales pourrait offrir aux personnes une chance pour réorganiser la société et les gouvernements, a gagné de plus en plus d’adeptes.
Indépendance
Selon Quirk, la ville flottante est une opportunité pour réécrire les règles de la société. « Les gouvernements font peu de progrès et sont restés coincés dans les siècles passés », explique-t-il.
La propriété foncière encourage un monopole violent sur le contrôle du territoire. Quirk croit que les conflits disparaîtront sans la propriété foncière.
Le gouvernement de la Polynésie française a garanti l’indépendance et l’autonomie du Floating Island Project de l’Institut de Seasteading. Blue Frontiers, la société mise en place pour coordonner les travaux de construction, a également reçu une superficie d’une cinquantaine d’hectares à terre.
Pour financer la première phase de construction, l’équipe développe une offre initiale de pièces de monnaie. Les structures seront construites en bois local, des fibres de bambou et de noix de coco. En outre, du métal et du plastique recyclés seront également utilisés.
https://fr.express.live/2017/11/15/villes-flottantes-ne-relevent-plus-de-science-fiction/
Notez bien que Premièrement cette 'île flottante' n'a pas choisi un lieu hors des eaux territoriales (donc: soumise à l'État français), et, Deuxièmement que les architectes ni les investisseurs ne parlent de Démocratie (puisque dépendante à 100 % de la dictature territoriale ! HAHAHAHA !).
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