- ENTREE de SECOURS -



mercredi 8 novembre 2017

Transition énergétique (écologique) à la française : un fiasco annoncé !

le 8 novembre 2017


Le ministricule d’Etat Hulot doit se sentir très mal dans ses snikers depuis la publication du rapport prévisionnel de RTE (réseau de transport d’Électricité de France) sur l’avenir à moyen terme de la production d’éléctricité sur le sol français qui précise, je cite : « l’atteinte de l’objectif des 50 % de nucléaire dans la production d’électricité en 2025 conduit systématiquement à une augmentation des émissions de gaz carbonique du système électrique français«. Les ingénieurs de RTE ont les pieds sur terre et leur mission est d’assurer un transport sécurisé de l’électricité sur tout le territoire de France et également d’assurer les exportations d’énergie électrique, un des rares secteurs industriels français qui rapporte des devises au pays.

La montée en puissance annoncée et souhaitée par les écologistes des énergies renouvelables afin de pouvoir diminuer la part du nucléaire dans la production électrique – source d’électricité qui ne produit pas de gaz carbonique, faut-il le rappeler – nécessite la mise en place de centrales électriques brûlant du gaz naturel, donc produisant du gaz carbonique, pour pallier aux instabilités incontournables de ces énergies renouvelables, éolien et solaire. Hulot ne connait donc visiblement pas son dossier et il n’agit qu’en écologiste politisé : la France est le pays développé le « plus propre » du monde en terme de production électrique après la Finlande. Mais non, Hulot feint d’ignorer cet état de fait puisqu’il veut remplacer les centrales nucléaires dites « vieillissantes » par des moulins à vent. J’ai écrit « vieillissantes » car tous les réacteurs du type 900 MWe ont été ou seront certifiés par l’ASN pour fonctionner encore 10, 20 voire trente années supplémentaires et plus encore. La plupart des équipements essentiels pour le bon fonctionnement de ces usines ont été changés ou en voie de l’être comme en particulier les générateurs de vapeurs ainsi que les dispositifs de sécurité et les systèmes de pilotage qui ont été améliorés ces dernières années à la suite de l’accident de Fukushima-Daiichi.

Pour preuve qu’Hulot ne connaît pas son dossier, voici ce qu’il a déclaré à la suite du Conseil des Ministres de ce mardi 7 novembre 2017, je cite : « Si l’on veut maintenir la date de 2025 pour ramener dans le mix énergétique le nucléaire à 50 %, ça se fera au détriment de nos objectifs climatiques. Et ça se fera au détriment de la fermeture des centrales à charbon et probablement que si l’on voulait s’acharner sur cette date, il faudrait rouvrir d’autres centrales thermiques« . À la suite de cette déclaration de Hulot, Greenpeace a déclaré, je cite toujours l’AFP : « Nicolas Hulot, ne vous trompez pas de combat ! Ce n’est pas en reculant sur le nucléaire que la lutte contre les dérèglements climatiques s’accélèrera. La France doit enclencher sa transition énergétique en propulsant le développement des énergies renouvelables. Or ces dernières ne peuvent se développer qui si la part du nucléaire est réduite dans le mix électrique français« . L’argumentation de Greenpeace ne tient pas la route non plus : cette organisation semble aussi ignorer que l’énergie nucléaire ne produit pas de gaz carbonique et la peur viscérale de Greenpeace pour l’uranium est remise au goût du jour dans une perspective totalement fallacieuse.

Il suffit de constater dans quel bourbier carboné l’Allemagne s’enfonce avec sa décision d’abandonner le nucléaire. Ce pays est le troisième émetteur de gaz carbonique après les USA et la Chine dans le monde malgré les dizaines de milliers d’éoliennes qui recouvrent le nord du pays. Pas de quoi pavoiser ! Un récent rapport du cabinet McKinsey souligne le fiasco de la transition énergétique en Allemagne. Le réseau électrique est instable, la réduction des émissions de gaz carbonique est infime voire nulle, le prix du MWh (308 euros) y est de 103 euros supérieur à la moyenne européenne et il inclut la subvention aux énergies renouvelables de 69 euros par MWh. Ce sont essentiellement les consommateurs particuliers qui paient pour mener à bien cette transition vers la catastrophe. Le gouvernement allemand, sous la pression des « Verts », avait été pourtant averti par la Cour des Comptes allemande dès 2014 qui considérait que la transition énergétique était onéreuse, désorganisée et incohérente. Mais non, vérité en deçà du Rhin, erreur au delà doit se dire Hulot. Un immense fiasco à venir que tous les consommateurs français paieront au prix fort avec une mise à genoux de l’ensemble de l’économie. Merci messieurs les écolos !

Sources : AFP et SFEN, illustrations AFP et SFEN

11 commentaires:

  1. Le FAUX prix du baril de pétrole (ajusté deux fois par jour) en fait une MP embringuée dans le lobbyisme pro-destruction de la planète avec des millions d'éoliennes (qui massacrent tous les jours des millions d'oiseaux et d'abeilles) et autant de panneaux solaires qui eux-aussi ne servent à rien mais ruinent les derniers idiots de l'investissement comme la totalité des consommateurs taxés sur tous les produits.

    Bientôt, plus personne n'osera aller à la mer l'été à cause de la vue gâchée par les éoliennes bruyantes pour faire fuir les touristes. Et, ce qui risque de se passer et que, ces touristes qui choisissaient avant soit de rester au pays ou d'aller en des pays limitrophes, aillent au bout du monde, déménagent avec tout leur barda et demeurent loin de cette merde imposée par la dictature.

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  2. Combien de tireurs de masse ont été membres de la NRA ?


    Par Michael Snyder,
    le 7 novembre 2017


    La gauche utilise la tragédie de Sutherland Springs pour diaboliser la NRA. Personnellement, je suis si malade et fatigué de ces attaques incessantes, et je suis fier de soutenir la NRA, les Gun Owners Of America et toutes les autres organisations qui travaillent dur pour défendre nos droits 2nd amendement. Comme vous le verrez ci-dessous, c'était en fait l'intervention d'un instructeur de la NRA nommé Stephen Willeford qui a sauvé d'innombrables vies à Sutherland Springs. Et voudriez-vous savoir combien de tireurs de masse ont été membres de la NRA ? La réponse est zéro ...

    Basé sur la définition arbitraire d'un tir impliquant au moins quatre morts, il y avait eu 130 fusillades massives aux États-Unis au 6 juin 2017, remontant au cours des 51 dernières années. (Cela n'inclut pas les meurtres de gangs, les meurtres qui ont commencé comme d'autres crimes tels que les vols et les meurtres qui ne concernaient que la famille du tireur.)

    Les informations sur la façon dont les armes ont été obtenues sont incomplètes, mais 248 armes différentes ont été utilisées, dont au moins 141 ont été obtenues légalement et au moins 39 d'entre elles ont été obtenues illégalement; les armes de poing étaient les armes les plus couramment utilisées, généralement plus d'une, chacune d'entre elles prenant environ deux secondes pour recharger, ce qui constitue un inconvénient mineur en ce qui concerne les chargeurs limités (souvent communément appelés «clips»). Aucun des tireurs n'était connu pour être membre de la NRA.

    Les méchants de notre société vont toujours trouver des moyens d'obtenir des armes à feu. Regardez par exemple ce qui se passe au Honduras. Ils ont certaines des lois les plus strictes sur les armes à feu sur la planète entière, et pourtant leur nation entière est devenue une zone de guerre.

    Certains disent que nous avons un «problème de maladie mentale», mais je le décrirais comme un problème de désintégration morale et sociale. La culture compte vraiment, et notre culture a été dans les toilettes pendant des décennies. Si nous ne faisons rien pour lutter contre la dégradation rampante de notre société, la violence continuera de s'aggraver.

    Et comme la violence ne cesse d'augmenter, je veux que le plus grand nombre possible de citoyens armés soient responsables. Au lieu de vilipender la NRA, nous devrions être reconnaissants que des hommes comme Stephen Willeford soient prêts à agir comme des héros ...

    Tellement pour ceux qui veulent vilipender la NRA à la suite du massacre du Texas à Sutherland Springs, au Texas, dimanche: Stephen Willeford, l'homme qui a tiré et chassé l'homme qui a tué 26 personnes dans une église du Texas, est un instructeur NRA. Willeford a insisté, "je ne suis pas un héros; Je ne suis pas. Je pense que mon Dieu, mon Seigneur, m'a protégé et m'a donné les compétences pour faire ce qui devait être fait. "

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  3. Il est un fait que la plupart des tireurs de masse ont tendance à être à gauche sur le spectre politique, et la plupart de ceux qui ont tenté d'attaquer les présidents à travers l'histoire ont également été sur la gauche. Jetez un coup d'œil à cette liste ...

    Andrew Jackson - abattu par Richard Lawrence (complot présumé démocrate, pas de preuve.)
    Abraham Lincoln - 3 tentatives - Démocrates, Baltimore, 1861; Démocrates confédérés, août 1864, Tir d'une embuscade; abattu par J.W. Booth, démocrate, avril 1865
    James A. Garfield - tué par Charles J. Guiteau, communiste utopiste. (Moderne progressif.)
    William McKinley - abattu par Leon Czolgosz, Parti socialiste d'extrême gauche
    Theodore Roosevelt - tir, blessé, par John F. Schrank, motif anti-troisième terme.
    Franklin D. Roosevelt - Abattu par Giuseppi Zangara, marxiste, (Il a raté et tué le maire de Chicago, Anton Cermak.)
    Harry S. Truman - attaqué par Oscar Collazo, Griselio Torreslo, révolutionnaires gauchistes qui voulaient un Porto Rico socialiste.
    John F. Kennedy - abattu par Lee H. Oswald, communiste.
    Richard Nixon - Samuel Byck pensait que Nixon opprimait les pauvres, a tenté de détourner un avion pour s'écraser sur la Maison Blanche.
    Gerald Ford - Lynette Fromme, anarchiste, fille de Manson, a agité le pistolet, a manqué de le charger correctement; Sara Brady, abattu sur le président, socialiste progressiste, coup bas.
    Je me suis engagé à ne jamais bouger d'un pouce quand il s'agit de défendre nos droits de 2e amendement, et je demande à tous mes partisans de se tenir à mes côtés. La gauche fait du contrôle des armes l'une de ses plus hautes priorités, et nous ne devons jamais, jamais reculer.

    J'aime vraiment comment Charlie Daniels a fait ce point dans sa dernière chronique ...

    Les politiciens opportunistes se précipitent au jugement pour écrire des lois insensées qui bouleverseraient les eaux, et les idéologues gauchistes qui ne connaissent pas le .22 d'un .357 condamnent tous les fusils et les propriétaires d'armes, voulant interdire toutes les armes à feu, laissant les méchants qui obtiennent leur les armes illégalement pour continuer le chaos tandis que les citoyens ordinaires seraient laissés sans moyen de protéger leurs familles.

    Les mêmes personnes qui insistent avec pudeur pour avoir des villes sanctuaires pour les contrevenants sont celles qui crient le plus fort pour plus de contrôle des armes à feu, ignorant complètement leur potentiel d'héberger des meurtriers dans leur milieu.

    Nous avons besoin de milliers de leaders supplémentaires comme Charlie Daniels dans tout le pays.

    Et nous avons besoin de millions de propriétaires d'armes à feu plus responsables, comme Stephen Willeford, pour nous protéger des fous furieux comme Devin Patrick Kelley qui semblent se multiplier dans notre société.

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  4. La NRA et les propriétaires d'armes à feu de l'Amérique ne sont pas le problème.

    La vérité est qu'ils sont une grande partie de la solution, et ceux qui les attaquent devraient avoir honte d'eux-mêmes.

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/how-many-mass-shooters-have-been-members-of-the-nra

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    1. C'est toujours à cause de la dictature qui les opprimait que la tendance au 'ras-le-bol' s'est intensifiée.

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  5. Racisme, xénophobie : la Hongrie recrute des chasseurs de migrants


    Le Parisien
    mar., 07 nov. 2017 07:33 UTC


    En Hongrie, la police recrute des volontaires pour surveiller les frontières. Nous avons rencontré des membres de cette brigade, symptôme de la politique nationaliste du gouvernement de Viktor Orban.

    En une minute, il l'a plaqué au sol. Le tibia sur la nuque de son partenaire, il lui écrase le visage sur le tatami. Des chaînes de menottes crissent dans le gymnase de police de la paisible ville de Szeged. Dans ce chef-lieu du sud-est de la Hongrie, 22 futurs « chasseurs frontaliers » suivent, en binômes, un cours d'« autodéfense ». Comprendre : mener à bien une arrestation musclée de migrants.

    « Chasseurs frontaliers », c'est le nom officiel de ce nouveau corps de police magyar. Le gouvernement a annoncé sa création en août 2016, en pleine campagne du référendum anti-migrants. L'objectif affiché est de recruter 3 000 personnes pour faire face à « la pression de l'immigration clandestine ». Depuis le 2 mai, elles assistent les plus de 10 000 policiers et militaires déjà déployés aux frontières serbe et croate du pays.

    Combattre le « poison »

    Dans la cour du gymnase, une autre classe passe un examen. Trois rangées d'uniformes bleus défilent. Après six mois d'entraînement - la formation d'un policier en Hongrie dure généralement deux ans -, ces volontaires de 30 ans en moyenne vont patrouiller, armés d'un spray de gaz poivré, d'une matraque et d'un revolver. « Des techniques d'arrestation aux cours de tir, en passant par les règlements de Schengen, on leur enseigne tout pour assurer la défense de la frontière, dans le respect de la loi », affirme Mihaly Varga, lieutenant-colonel chargé du recrutement. Depuis le début de la crise des migrants en 2015, les réformes se sont multipliées. Cette année-là, l'entrée dans le pays sans autorisation est devenue un crime, passible de trois ans de prison. En mars dernier, le Parlement a réintroduit la détention systématique des demandeurs d'asile et approuvé le renvoi en Serbie des non-demandeurs migrants. Un texte qui « viole les obligations de la Hongrie vis-à-vis des lois internationales et de l'Union européenne » selon le HCR, l'agence de l'ONU pour les réfugiés. « Le but, c'est de les maîtriser », dit-on au centre de formation de Szeged - les mots « migrant » ou « réfugié » n'y sont jamais prononcés.

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  6. Le service de presse local nous interdit de poser des questions aux élèves sur ce sujet. Lors des prestations de serment des « chasseurs », comme dans ses discours, le Premier ministre, Viktor Orban, nationaliste et populiste, préfère les termes « immigration illégale », « poison » ou « cheval de Troie du terrorisme ». Alexandra, 29 ans, fait partie des 15 % de femmes parmi les 110 admis à Szeged. « J'ai hâte de commencer ! » dit-elle. Ancienne hôtelière, elle ne voit pas de contradiction entre l'accueil des touristes et l'expulsion des migrants : « C'est un boulot garanti et bien payé. » Les élèves sont rémunérés dès le début de leur formation. Au bout de deux mois, la rétribution mensuelle passe de 500 à plus de 700 euros brut, le double du salaire minimum en Hongrie. C'est d'ailleurs le premier argument avancé par les autorités sur les fascicules et affiches destinés à recruter.

    Des vidéos de promotion sur Facebook

    Depuis huit mois, la police mène une campagne de sensibilisation active : elle édite un magazine avec les témoignages d'un ex-pizzaïolo, d'un concessionnaire ou d'une championne d'arts martiaux devenus « amoureux de l'uniforme », prêts « à défendre le pays » après avoir entendu une annonce à la radio. Des vidéos de promotion, montées comme des bandes-annonces de films d'action, sont diffusées sur Facebook ; des opérations de recrutement sont menées dans des supermarchés, des lycées, sur les places publiques.

    Tout est mobilisé pour faire vibrer la corde nationaliste. Ce dimanche 30 avril, à Kelebia, bourgade conservatrice du Sud, l'ambiance est à la fête. Lancers de bottes, courses de brouettes, marmites de goulasch fumant, on rit à gorge déployée sur fond de rock américain des années 1970. Dans un coin, deux policiers tentent d'attirer de nouvelles recrues. Sans succès. Quatre amis regardent les agents s'en aller. « Il n'y a que ça, ici, des policiers ! » dit Tibor (un pseudonyme), 23 ans, en sirotant une bière, main dans la main avec sa copine. De tous les « chasseurs », agents, psychologues et syndiqués de police que nous avons approchés, il est le seul qui ait répondu à toutes nos questions, sans condition. Les autres, de peur de perdre leur emploi, nous ont renvoyés vers l'office de communication de la police nationale - office qui nous a barré la route dès que nous entrions en contact avec des « chasseurs » ou leurs proches en dehors de sa surveillance. « On n'a pas le droit de parler », explique Tibor. Lui aussi dit avoir postulé pour le salaire, sans grande conviction. Sur les migrants, il tient les mêmes propos que Viktor Orban : « On ne doit pas les accueillir. Ils sont incapables de s'intégrer à la culture européenne. Ils sont agressifs. » Sa copine acquiesce : « Depuis qu'il s'est engagé, j'ai peur qu'il se fasse attaquer. »

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  7. Plus de 900 millions d'euros investis

    Des migrants, ils n'en ont jamais rencontré. Ils citent volontiers les heurts avec les forces de l'ordre au moment où la Hongrie fermait ses portes, en 2015. Ces images, qui ont tourné en boucle à la télévision - contrôlée en partie par le gouvernement -, semblent les avoir convaincus. Un ami de Tibor, Daniel, 25 ans, lève les yeux au ciel. Travailleur saisonnier dans un hôtel en Suisse, il est le seul de la bande à avoir vécu à l'étranger. Le seul, aussi, à critiquer le mur et les « chasseurs ». « Tout cet argent, on aurait dû le consacrer à l'emploi ! » Plus de 900 millions d'euros ont été investis dans les infrastructures, selon le secrétaire d'État à l'Intérieur.

    Deux jours plus tard, Tibor, Alexandra et 578 autres effectuent leur première patrouille sous un soleil de plomb, aux confins de l'espace Schengen. Sur la plaine d'Alföld se dresse la double clôture d'acier qui sépare la Hongrie de la Serbie. L'hostilité du pays se mesure à l'épaisseur de la frontière érigée en 2015 : 6 mètres de large, 4 mètres de haut et 175 kilomètres de long. Fin avril, le secrétaire D'État à l'Intérieur est venu officialiser la fin des travaux du second rideau, équipé de caméras thermiques, de haut-parleurs et de fils de tension. Au bout du mur, entre la Hongrie, la Serbie et la Roumanie, un « chasseur » veille avec deux militaires dans un silence de mort. « On bronze ! » ironise l'un des soldats. Personne en vue. Le pays est en « état d'urgence dû à une immigration massive », décrété il y a deux ans et renouvelé jusqu'en septembre prochain. Début septembre 2015, au plus fort de la crise, ils étaient près de 3 000 par jour à traverser illégalement la frontière, selon le ministère de l'Intérieur. Depuis janvier 2017, ils sont à peine deux par jour.

    https://fr.sott.net/article/31359-Racisme-xenophobie-la-Hongrie-recrute-des-chasseurs-de-migrants

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    1. (...) Ils sont incapables de s'intégrer à la culture européenne. Ils sont agressifs. » Sa copine acquiesce : « Depuis qu'il s'est engagé, j'ai peur qu'il se fasse attaquer. » (...)

      Vrais qu'ils sont racistes et xénophobes mais viennent pour les allocations, voler, violer et tuer les autochtones !

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  8. Un «mur virtuel» qui améliore la sécurité et les performances sans fil


    8 novembre 2017



    Une équipe de chercheurs dirigée par le Dartmouth College a peut-être finalement résolu le problème de savoir comment améliorer à moindre coût la force du signal sans fil pour les espaces intérieurs comportant plusieurs pièces. La même technologie pour améliorer les signaux Wi-Fi domestiques et de bureau peut également être utilisée pour renforcer la sécurité sans fil.

    La recherche, qui sera présentée le mercredi 8 novembre à BuildSys 2017 de l'ACM à Delft, aux Pays-Bas, repose sur l'impression 3D pour produire un réflecteur personnalisé bon marché qui dirige les signaux sans fil là où les utilisateurs en ont le plus besoin.

    "Grâce à cette solution unique, nous répondons à un certain nombre de défis qui affligent les utilisateurs sans fil", a déclaré Xia Zhou, professeur assistant en informatique à Dartmouth. "Non seulement nous renforçons les signaux sans fil, nous rendons ces mêmes signaux plus sûrs."

    La personnalisation de la couverture des réseaux sans fil à l'intérieur des bâtiments est essentielle pour que les utilisateurs améliorent la réception du signal dans les zones souhaitées tout en affaiblissant les signaux dans les autres. En façonnant les signaux, les utilisateurs peuvent augmenter l'efficacité sans fil en réduisant l'impact d'atténuation des signaux des matériaux de construction et des aménagements intérieurs.

    Un tel système peut également rendre plus difficile pour les attaquants en ajoutant aux mesures de sécurité existantes comme le cryptage à travers des signaux sans fil physiquement confinant à des espaces limités. Cela conduit également à une interférence réduite.

    Atteindre l'objectif d'améliorer les performances sans fil est particulièrement difficile à l'intérieur en raison des interactions complexes des signaux radio avec l'environnement. Les approches existantes pour optimiser les signaux sans fil reposent sur des antennes directionnelles pour concentrer les signaux, mais cet équipement est soit difficile à configurer, soit en proie à des coûts élevés.

    Grâce à des expériences présentées dans le document de recherche, l'équipe améliore les études antérieures qui ont placé une canette de boisson gazeuse en aluminium derrière un point d'accès Wi-Fi pour renforcer le signal dans une direction. La recherche actuelle généralise cette idée en présentant une approche systématique de l'optimisation des formes de réflecteurs pour permettre un ensemble plus développé de distributions de signaux.

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  9. Après avoir évalué les dispositions intérieures et les zones cibles pour renforcer ou affaiblir la force du signal, l'équipe de recherche de Dartmouth a placé un réflecteur de signal «optimisé par ordinateur» autour d'un routeur sans fil. Le réflecteur, composé uniquement de plastique et d'une fine couche de métal, redirige les signaux sans fil vers les zones de couverture souhaitées.

    Après avoir testé l'approche dans deux intérieurs différents pour la force et la vitesse du signal, les chercheurs ont rapporté que les réflecteurs 3D optimisés offrent de nombreux avantages, notamment: sécurité physique forte, faible coût et facilité d'utilisation pour les utilisateurs non experts.

    Les chercheurs ont testé le réflecteur avec une variété de points d'accès Wi-Fi prêts à l'emploi, y compris ceux utilisant le dernier protocole Wi-Fi 802.11ac.

    "Avec un investissement simple d'environ 35 $ et en spécifiant les exigences de couverture, un réflecteur sans fil peut être fabriqué sur mesure pour surpasser les antennes qui coûtent des milliers de dollars", a déclaré Zhou.

    Pour créer la technologie, la recherche a conçu un algorithme qui optimise la forme 3D d'un réflecteur pour cibler la couverture sans fil. L'équipe a également développé une approche pour simuler comment les signaux radio se propagent et interagissent avec les objets dans leur environnement.

    Avec des informations sur un espace intérieur spécifique, les emplacements des points d'accès sans fil et la zone cible souhaitée, le système calcule une forme de réflecteur optimisée en seulement 23 minutes. Les chercheurs ont constaté que les réflecteurs peuvent diminuer la force jusqu'à 10 dB lorsque le signal n'est pas désiré et augmenter la force de 6 dB là où on le souhaite. Le réflecteur est également relativement facile à placer.

    Parce que le design actuel est limité par sa forme statique, l'équipe de recherche va maintenant étudier des réflecteurs faits de différents matériaux afin que l'appareil puisse automatiquement adapter sa forme lorsque l'aménagement intérieur change. L'équipe examinera également des bandes de fréquences plus élevées telles que les ondes millimétriques et la lumière visible.

    - voir clip sur site:

    https://techxplore.com/news/2017-11-virtual-wall-wireless.html

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