Pas une plante d'herbe ! Monsanto est passé par là ?
https://www.youtube.com/watch?v=zJpdgTdgEJg
Ramassage Paille d'Orge Juin 2017
à Theuley (Hte Saone) entre Colmar et Dijon.
Océane au volant !
https://www.youtube.com/watch?v=KYjH_szICXk
Ramassage des bottes de paille et de foin
dans le Pas de Calais
Florine au volant !
https://www.youtube.com/watch?v=VT-dRx4lwlY
Le ministère de la santé veut imposer 11 vaccins
RépondreSupprimerJean-Marc Dupuis
Santé Nature Innovation
jeu., 08 déc. 2016 19:28 UTC
Cette fois, je me suis dit que la folie s'était emparée des autorités de santé.
Mercredi dernier, le 30 novembre, après une année de pseudo « consultations démocratiques », le comité sur la vaccination a rendu son rapport, dans lequel il préconise de :
faire passer de trois à onze le nombre de vaccins obligatoires pour les nourrissons (plus les rappels) [1].
Cela ressemble au dernier coup de poignard de la ministre de la Santé, Marisol Touraine.
Ainsi, dans son esprit :
puisque les gens demandent le retour du bon vieux vaccin DT-Polio sans aluminium ;
puisqu'ils n'ont pas l'air contents qu'on injecte à la place à leurs bébés un super-vaccin avec aluminium et trois vaccins non obligatoires supplémentaires,
alors la solution la plus simple, selon elle, est de :
rendre obligatoires tous les vaccins présents dans le super-vaccin
et, tant qu'on y est, rendre obligatoires encore cinq vaccins supplémentaires (pneumocoque, méningocoque C et triple vaccin ROR).
Un tel abus de pouvoir paraîtrait déjà inimaginable.
Et pourtant, ce n'est pas tout.
Ce n'est pas tout
Pour nous « assaisonner » jusqu'au bout, le comité recommande de :
mettre à la charge de la collectivité (c'est-à-dire vous et moi) les inévitables accidents qui découleraient de la généralisation des vaccins, par un « régime d'indemnisation pris en charge par la solidarité nationale », plutôt qu'à celle de l'industrie pharmaceutique (voir page 32 du rapport) ;
« la mise en œuvre sans délai de l'ensemble de ces recommandations » afin de ne pas nous laisser le temps de réagir (page 32 du rapport) ;
envisager le « changement de statut » - c'est-à-dire rendre obligatoire- du très controversé vaccin contre le papillomavirus (contre le cancer du col de l'utérus), et même d'étendre la vaccination « aux jeunes garçons » (page 33 du rapport) !
Que cherchent-ils à faire ?
RépondreSupprimerÀ mettre le feu aux poudres ?
À déclencher un sentiment d'injustice et de révolte, et perdre le peu de crédibilité qui leur reste ?
Une vaste mascarade
Déjà, la crédibilité de cette consultation prétendument « démocratique » sur les vaccins avait été ébranlée en février lorsqu'un haut fonctionnaire avait claqué la porte du ministère de la Santé.
Ancien diplômé de Sciences-Po Paris, secrétaire général de la Conférence nationale de santé (CNS), Thomas Dietrich a démissionné pour dénoncer la « vaste mascarade » que constitue la « démocratie en santé » [2].
Il dénonçait, en particulier, le fait que le débat public sur la vaccination ait été confié à un institut faussement démocratique, fondé en 2015 et géré par une des anciennes conseillères de Marisol Touraine, l'Institut pour la démocratie en santé.
« Il lui fallait s'assurer que la démocratie en santé serait à sa botte », a-t-il expliqué au sujet de Marisol Touraine, selon « la volonté de la ministre de cadenasser l'ensemble des moyens d'expression de la démocratie en santé ».
De son côté, le quotidien Libération s'étonnait que « l'élaboration de cette parole citoyenne s'est faite en l'absence de toute publicité [3] ».
Je vous le confirme : au cas où vous vous seriez posé la question, je n'ai pas eu la possibilité de participer à ces débats prétendument ouverts, et personne dans mon entourage non plus !
La voix de son maître
Je n'ai pas été surpris de constater que les conclusions de la « consultation citoyenne » sur les vaccins reflétaient dans les plus menus détails la position personnelle de la ministre Marisol Touraine, qui avait fameusement déclaré : « La vaccination, ça ne se discute pas [4]. »
Néanmoins, je ne m'attendais pas à une telle agressivité, une telle hâte d'aller à l'encontre de la volonté des citoyens, un tel manque de respect pour les légitimes préoccupations de la population.
Personne ne souhaite le retour des grandes épidémies. Personne ne souhaite exposer ses enfants à des maladies. Il est faux également de taxer de dangereux « antivaccins » les personnes qui interrogent la politique vaccinale française.
Nous nous rappelons tous que, lorsque nous avons demandé le retour du vaccin DT-Polio avec l'IPSN et le professeur Joyeux, les accusations « d'antivaccins » n'ont pas tardé à fuser.
RépondreSupprimerCela ressemblait à une tactique pour empêcher le débat. Pourtant, aucun acte médical n'est anodin et ce n'est pas un crime que de réfléchir et de débattre.
Au contraire, selon la loi Kouchner du 4 mars 2002, « aucun acte médical, ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne ».
Est-on encore libre si l'État vous menace de rétorsion, d'exclusion, de répression en cas de désaccord ?
Ce n'est pas ma définition de la liberté.
Il est logique, normal et sain de se poser des questions avant de vacciner contre l'hépatite B et le papillomavirus des petits enfants qui n'ont aucun risque d'attraper ces maladies.
Quant aux autres, c'est à voir au cas par cas. Dès qu'on aborde le sujet des vaccins, on agite le chiffon rouge du retour des grandes maladies infectieuses, des hécatombes. On oublie un peu vite que :
les pays qui n'ont aucune vaccination obligatoire n'ont pas plus d'épidémies que la France (l'Allemagne et l'Espagne notamment) ;
la fin de l'obligation de vacciner contre la tuberculose n'a donné lieu à aucune recrudescence de la maladie chez les enfants.
Dernier coup de poignard de Marisol Touraine : agissez pour l'en empêcher
La question est de savoir maintenant si Marisol Touraine va oser mener l'offensive jusqu'au bout pour faire passer dans la précipitation ces nouvelles obligations vaccinales.
Sachant que les élections sont dans six mois et qu'elles signeront de façon presque certaine la fin de son ministère, il est à craindre, en effet, qu'elle ne tente de passer en force.
D'un autre côté, cette affaire de « rapport sur les vaccinations » était certainement pour elle aussi un moyen de sonder l'opinion, et de tester les résistances.
C'est pourquoi nous devons nous mobiliser, chacun à son niveau, pour manifester haut et fort notre totale opposition à ces procédés indignes d'une démocratie.
Une immense mobilisation citoyenne doit avoir lieu pour protester contre ces mesures dangereuses et injustes. Je sais que l'Institut pour la protection de la santé naturelle est sur le coup. Ses pétitions ont régulièrement dépassé le million de signatures.
Mais il ne faut pas qu'il soit seul à réagir. Le mouvement doit être divers, solidaire, multiple, et atteindre si possible plusieurs millions de personnes, stoppant net ce dernier « coup de poignard » de Marisol Touraine.
J'appelle tous les citoyens à réagir. Montrons-lui que nous ne sommes pas des moutons. Et que nous sommes aussi nombreux que déterminés !
RépondreSupprimerEnvoyez-moi vos initiatives (rassemblements, lettres ouvertes, manifestations, pétitions) en cliquant ici. Je les relayerai auprès de tous les lecteurs de Santé Nature Innovation.
Je compte sur vous.
Tous ensemble, nous pouvons changer le cours de l'histoire !
À votre santé !
-- Commentaire : Une technique de manipulation bien connue des vendeurs consiste à faire dans un premier temps une proposition inacceptable pour faire dire oui au but réel qui était fixé un peu en dessous. Donc on peut imaginer au final une loi imposant 9 vaccins et une ministre disant « le comité recommandait 11 vaccins, je me suis battu pour que seulement 9 soient obligatoires... »
Autre manipulation : faire miroiter « à terme » une hypothétique levée de l'obligation vaccinale, mais seulement quand les Français seront rentrés dans le rang, c'est-à-dire quand tout le monde aura accepté de se faire injecter des substances potentiellement toxiques sans rechigner. Une façon de dire : vous aurez la liberté de choisir quand vous serez tellement conditionnés que vous ne verrez même plus l'utilité d'user de cette liberté de choix. Plus besoin de lois ou de garde-chiourmes, puisque les gens iront se faire shooter aux métaux lourds de leur plein gré. Pervers, n'est-ce pas ?
Voir aussi :
Dr Marc Vercoutère - La face cachée des Vaccins --
https://fr.sott.net/article/29575-Le-ministere-de-la-sante-veut-imposer-11-vaccins
Wisconsin Firm Microchips Employés: "Il est inévitablement la prochaine chose ... Et nous voulons en faire partie"
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
24 juillet 2017 17h05
En avril, nous avons noté que la société suédoise Epicenter avait commencé à implanter des puces RFID dans les mains des travailleurs ... et les travailleurs l'ont adoré ... Cela ouvre les portes et achète des smoothies si faciles et pratiques, et tes collègues vont même faire une fête pour toi une fois Vous faites tremper pour devenir cyborg.
Les injections sont devenues si populaires que les travailleurs d'Epicenter tiennent des partis pour ceux qui veulent se faire implanter.
"Le plus grand avantage, je pense, c'est la commodité", a déclaré Patrick Mesterton, cofondateur et PDG d'Epicenter. En guise de démonstration, il ouvre une porte en brandissant près de lui. "Il remplace fondamentalement beaucoup de choses que vous avez, d'autres périphériques de communication, qu'il s'agisse de cartes de crédit ou de clés".
Les travailleurs semblent bien avoir l'idée. Dans l'article, l'attitude générale est peut-être mieux prise en compte par le commentaire d'un travailleur de 25 ans:
"Je veux faire partie du futur".
Et maintenant, comme l'indique ABC5, une entreprise du Wisconsin est sur le point de devenir la première aux États-Unis à proposer des implants microchip à ses employés.
"C'est la prochaine chose qui va inévitablement se produire, et nous voulons en faire partie", a déclaré Todd Westby, directeur général de Square Square.
Plus de 50 employés de Three Square Market disposent des dispositifs implantés à partir de la semaine prochaine. Chaque puce a environ la taille d'un seul grain de riz.
La société conçoit des logiciels pour les marchés de la salle de rupture qui se trouvent généralement dans les complexes de bureaux. Tout comme les gens peuvent acheter des articles sur le marché à l'aide de téléphones, Westby veut faire la même chose en utilisant une micropuce implantée dans la main d'une personne.
"Nous allons monter, numériser l'élément", at-il expliqué, tout en montrant comment le processus fonctionnera dans un kiosque de marché réel. "Nous allons payer le paiement avec une carte de crédit, et il est demandé de glisser mon paiement de proximité maintenant. Je vais tenir ma main, tout comme mon téléphone portable, et ça va payer mon produit".
Westby a ajouté que les données sont à la fois cryptées et sécurisées.
"Il n'y a pas de suivi GPS du tout", a-t-il déclaré.
Westby a décrit la microchipping comme la «prochaine évolution» dans les systèmes de paiement et a suggéré que la technologie pourrait remplacer un jour le passeport.
RépondreSupprimer«Nous prévoyons l'utilisation de la technologie RFID pour tout faire, faire des achats dans notre marché de la salle de repos du bureau, ouvrir les portes, utiliser des copieurs, ouvrir une session dans nos ordinateurs de bureau, déverouiller des téléphones, partager des cartes de visite, [et] stocker des informations médicales / sanitaires . "
Bien sûr, cela se traduit par un bénéfice pour tous - pensez à la commodité - mais comme Michael Snyder l'a conclu précédemment, si la microchipation répandue de la population commence, la première sera probablement purement volontaire. Mais une fois que la population commence à adopter l'idée, il sera très facile pour le gouvernement de la rendre obligatoire.
Imaginez un monde où l'argent physique était une chose du passé et vous ne pouviez pas acheter, vendre, obtenir un emploi ou ouvrir un compte bancaire sans l'identification de microchip émis par le gouvernement.
Voulez-vous que vous-même et votre famille soient ébréchés lorsque ce jour arrive ?
Sinon, comment allez-vous manger ?
Comment vas-tu survivre ?
Que feras-tu quand tes enfants viendront vous pleurer pour la nourriture ?
Je ne dis certainement pas que vous devriez vous permettre d'être ébréché. Je sais que personne ne m'échappe jamais. Mais ce que je dis, c'est que les gens vont être confrontés à des choix absolument incontournables.
http://www.zerohedge.com/news/2017-07-24/wisconsin-firm-microchips-employees-its-inevitably-next-thing-and-we-want-be-part-it
SupprimerAprès la suppression de l'argent en espèces, l'obligation d'être vacciné contre la vie et l'envahissement d'immigrants et de la drogue gratuite distribuée dans les écoles, voici - pour votre sécurité - une puce RFID destinée à vous suivre pour vous protéger !
Bientôt la fin des piqûres ?
RépondreSupprimerArnaud Lefebvre
24 juillet 2017
Plusieurs entreprises et laboratoires universitaires développent actuellement des solutions alternatives afin de rendre la vaccination plus commode et pratique.
Le Georgia Institute of Technology’s Laboratory a développé des patchs pourvus d’aiguilles minuscules. D’autres entreprises travaillent à la conception d’injecteurs sans aiguilles capables d’injecter une dose de vaccin à travers votre peau en un fraction de seconde.
Patch de micro-aiguilles
Les patchs sont composés d’une centaine d’aiguilles de moins d’un millimètre. Placé sous le bras et activé par pression, ces micro-aiguilles se dissolvent après l’injection de la dose.
Actuellement, un vaccin contre la grippe n’est pas encore disponible pour le public. Cependant, une version développée par le Georgia Institute of Technology’s Laboratory a abouti à des résultats prometteurs lors d’un essai clinique chez l’homme, indique une étude publiée dans The Lancet.
100 participants ont participé à l’étude du Georgia Institute of Technology’s Laboratory. Un groupe s’est vu apposer un patch-vaccin, un autre groupe a reçu un vaccin standard et enfin, un autre groupe a reçu un placebo via un patch.
Six mois plus tard, hormis quelques rougeurs et démangeaisons, les participants avec patchs à micro-aiguilles n’ont connu aucun effet secondaire majeur. Par ailleurs, 70% des patients ayant participé à l’expérience ont préféré le patch à l’injection standard, a expliqué Yasmine Gomaa, directrice du laboratoire. Selon Gomaa, ce patch pourrait être particulièrement utile dans les pays en voie de développement car il ne doit pas être aussi froid que les vaccins réguliers. Le patch peut être stocké à des températures allant jusqu’à 104 degrés Fahrenheit et ce, pour un an maximum. En outre, ce dispositif peut être administré par des personnes qui ne sont pas des professionnels de la santé.
En 2015, le Georgia Institute of Technology’s Laboratory a reçu 2,5 millions de dollars de subventions de la Fondation Bill et Melinda Gates afin de concevoir un patch pour la vaccination contre la poliomyélite. Yasmine Gomaa espère que les patchs seront moins cher que la vaccination standard.
Autres types de vaccins novateurs
D’autres entreprises adoptent une approche différente et développent des dispositifs sans aiguilles appelés injecteurs à jet. Cette méthode existait déjà dans les années 60 et a été utilisée lors de campagnes de vaccination contre la variole. A l’époque, cette technologie s’est avérée plus douloureuse qu’une aiguille ou une seringue. Ces appareils utilisaient un flux de fluide injecté à haute pression sous la peau.
Cependant, les dispositifs actuels ont été améliorés, explique Ron Lowry, PDG de PharmaJet, société conceptrice d’un injecteur à jet approuvé par la FDA, la Food and Drug Administration. Aujourd’hui, les injections sont plus douces et ne durent qu’un dixième de seconde. Aux Etats-Unis, des centaines de milliers de personnes auraient déjà été vaccinées contre la grippe via un injecteur de PharmaJet.
Via son dispositif, PharmaJet espère pouvoir réduire le coût d’une campagne de vaccination. Selon la société, son kit de vaccin de contre la grippe peut vacciner 500 personnes pour 900 dollars.
RépondreSupprimerEnfin, AstraZeneca a développé un vaccin contre la grippe délivré sous forme de spray nasal, massivement utilisé aux Etats-Unis.
https://fr.express.live/2017/07/24/voici-vaccins-futur/
N’ayez plus peur : la généralisation de l’IA, ce n’est pas pour demain
RépondreSupprimerAudrey Duperron
24 juillet 2017
Rodney Brooks, un expert en robotique moderne, conteste les rapports concernant l’imminence d’une généralisation de l’automatisation des activités humaines. Même si les robots sont déjà là, ils ne sont pas sur le point de s’imposer, parce que l’intelligence artificielle (IA) n’est pas encore assez puissante.
Brooks cite l’exemple des voitures véritablement autonomes, qui, à en croire les médias, devraient arriver dans 5 ans. Mais il affirme qu’il ne s’agit que d’une illusion, nourrie par la tendance des entreprises à exagérer leur recours à l’IA. Mais la réalité est toute autre et tôt ou tard, elle éclatera : « Dans 20 ou 30 ans, il y aura encore des conducteurs humains ».
L’exemple des voitures automotrices
A ce jour, l’autonomie de la plupart des voitures qualifiées « d’automotrices » ne dépasse pas le niveau 1 ou 2, et l’on ne recense qu’un seul modèle de voiture de niveau 3 sur les routes : l’Audi A8.
Les véhicules autonomes de niveau 5, qui ne réclameront plus aucune intervention humaine dans la conduite, n’apparaîtront pas avant 2030. Et il faudra réaliser de grands progrès pour y parvenir. « Compte tenu des équipements dont nous disposons actuellement, on peut même se demander si l’on y parviendra », dit Austin Russell, le CEO de Luminar, une firme qui produit les sondes Lidar qui équipent les voitures autonomes.
Erik Brynjolffsen et Andrew McAfee, deux chercheurs du MIT, ont récemment donné une explication à cette exagération de la présence de l’IA dans les descriptifs des entreprises de technologie : elle permettrait de faciliter les levées de fonds…
La loi de Moore
Comment expliquer notre crédulité collective ? Elle viendrait de notre propension à croire que la valeur ne peut que grandir.
Mais d’après Brooks, nous sommes aussi influencés par la loi de Moore. Comme les performances des puces ont doublé tous les 18 mois depuis les années 1960, nous nous attendons à ce que les progrès techniques – dont ceux qui portent sur l’IA – s’accélèrent de plus en plus.
En réalité, personne n’a encore créé de robot capable de faire de façon fiable quelque chose de plus compliqué que de dupliquer des tâches simples. Et nous en sommes encore loin.
https://fr.express.live/2017/07/24/rapports-exageres-generalisation-ia/
Baisse vertigineuse du QI moyen en Occident : des études tirent la sonnette d'alarme
RépondreSupprimer24 juil. 2017, 23:35
Entre 1999 et 2009, les Britanniques ont perdu en moyenne 14 points de QI, et les Français près de 4 points. Après un siècle d'augmentation constante, ce recul pourrait être lié à des facteurs écologiques, mais aussi à des questions démographiques.
Plusieurs études parues conjointement dans la revue scientifique Intelligence tirent une conclusion pour le moins préoccupante : le quotient intellectuel (QI) moyen de la population des pays occidentaux connaîtrait une chute spectaculaire depuis une quinzaine d'années.
Lire aussi
Les amateurs d'humour noir seraient à la fois plus intelligents et moins agressifs que les personnes peu réceptives au cynisme, d'après une étude Selon une étude, l'humour noir serait synonyme de haute intelligence
La chute la plus impressionnante du QI moyen touche les Britanniques qui ont perdu environ 14 points entre 1999 et 2009, pour atteindre un score moyen de 100. Les Français, eux, accuseraient un recul de 3,8 points entre le début des années 2000 et aujourd'hui, pour s'établir autour de 98, comme le notent Les Echos. Si les avis sur la pertinence de la notion de QI et sur le test permettant de l'évaluer divergent fortement, la tendance observée dans de nombreux pays, principalement européens, est bien réelle.
Cette baisse tendancielle est d'autant plus frappante que le XXe siècle a été marqué par une forte et constante augmentation du QI moyen en Occident, principalement sous l'effet de l'amélioration des conditions sanitaires et de la généralisation de l'accès à l'éducation. Cette augmentation linéaire a été analysée par James Flynn, un chercher néo-zélandais et porte aujourd'hui le nom d'«effet Flynn» : c'est également lui qui a été parmi les premiers à s'alarmer du renversement de cette tendance.
Aucune des explications avancées jusqu'ici ne permet d'établir une corrélation suffisamment forte avec la baisse du QI moyen pour satisfaire la communauté scientifique. L'une des explications avancées concerne la prolifération des perturbateurs endocriniens, ces micro-particules dont l'un des effets néfastes est d'entraver l'action de l'iode, élément essentiel dans le développement du cerveau. Mais le lien de cause à conséquence reste difficile à établir.
Les explications sociologiques restent elles aussi relativement insatisfaisantes. Ainsi, les pays frappés par ce recul disposent de système d'éducation très différents, qui ne semblent pas se répercuter sur les observations de l'évolution du QI moyen. L'avènement d'une ère technologique, où la plupart des tâches de calcul simple ainsi que les démarches cognitives jadis exclusivement dévolues au cerveau sont désormais assurés par des objets intelligents, ne semble pas non plus fournir d'explication solide. En effet, les pays affichant les taux de QI les plus élevés en moyenne se trouvent tous en Asie, où la prolifération des objets connectés est pourtant très importante.
RépondreSupprimerReste alors la piste démographique :les individus bénéficiant d'un QI élevé, généralement engagés dans des études supérieures longues, ont en moyenne moins d'enfants. Leur représentation parmi la population totale tendrait donc à diminuer. Cette hypothèse semble confirmée par une étude génétique menée sur plus de 100 000 Islandais nés entre 1910 et 1990 et parue en décembre 2016 dans la revue PNAS. Là encore, les conclusions demeurent incertaines, et les chercheurs ne sont encore parvenus à aucun consensus sur la question.
Lire aussi : Les candidats à l'ENA ont des «problèmes de lecture et de compréhension» selon un rapport du jury
https://francais.rt.com/international/41323-baisse-vertigineuse-qi-moyen-occident-etudes-sonnette-alarme
Comme si le trop d'idiots qui regardent la télé ne suffisait pas, les écoles sont envahies par des hordes d'étrangers qui veulent imposer leurs enseignement !
SupprimerIdiotie à l'horizon ? Baisse vertigineuse du QI moyen en Occident
SupprimerRT
mar., 25 juil. 2017 18:00 UTC
Entre 1999 et 2009, les Britanniques ont perdu en moyenne 14 points de QI, et les Français près de 4 points. Après un siècle d'augmentation constante, ce recul pourrait être lié à des facteurs écologiques, mais aussi à des questions démographiques.
© Inconnu
Plusieurs études parues conjointement dans la revue scientifique Intelligence tirent une conclusion pour le moins préoccupante : le quotient intellectuel (QI) moyen de la population des pays occidentaux connaîtrait une chute spectaculaire depuis une quinzaine d'années.
La chute la plus impressionnante du QI moyen touche les Britanniques qui ont perdu environ 14 points entre 1999 et 2009, pour atteindre un score moyen de 100. Les Français, eux, accuseraient un recul de 3,8 points entre le début des années 2000 et aujourd'hui, pour s'établir autour de 98, comme le notent Les Echos. Si les avis sur la pertinence de la notion de QI et sur le test permettant de l'évaluer divergent fortement, la tendance observée dans de nombreux pays, principalement européens, est bien réelle.
Cette baisse tendancielle est d'autant plus frappante que le XXe siècle a été marqué par une forte et constante augmentation du QI moyen en Occident, principalement sous l'effet de l'amélioration des conditions sanitaires et de la généralisation de l'accès à l'éducation. Cette augmentation linéaire a été analysée par James Flynn, un chercheur néo-zélandais et porte aujourd'hui le nom d'« effet Flynn » : c'est également lui qui a été parmi les premiers à s'alarmer du renversement de cette tendance.
Aucune des explications avancées jusqu'ici ne permet d'établir une corrélation suffisamment forte avec la baisse du QI moyen pour satisfaire la communauté scientifique. L'une des explications avancées concerne la prolifération des perturbateurs endocriniens, ces micro-particules dont l'un des effets néfastes est d'entraver l'action de l'iode, élément essentiel dans le développement du cerveau. Mais le lien de cause à conséquence reste difficile à établir.
Commentaire : Lire aussi :
SupprimerCe que vous ne saviez pas sur l'iode - mais qui pourrait sauver votre vie
L'iode - La connaissance cachée qui peut changer votre vie
La carence en iode est liée au cancer de la thyroïde et du sein, à la maladie fibrokystique du sein, à l'infertilité, à l'obésité, à un retard mental et à la toxémie halogénure
Les explications sociologiques restent elles aussi relativement insatisfaisantes. Ainsi, les pays frappés par ce recul disposent de systèmes d'éducation très différents, qui ne semblent pas se répercuter sur les observations de l'évolution du QI moyen. L'avènement d'une ère technologique, où la plupart des tâches de calcul simple ainsi que les démarches cognitives jadis exclusivement dévolues au cerveau sont désormais assurées par des objets intelligents, ne semble pas non plus fournir d'explication solide. En effet, les pays affichant les taux de QI les plus élevés en moyenne se trouvent tous en Asie, où la prolifération des objets connectés est pourtant très importante.
Reste alors la piste démographique : les individus bénéficiant d'un QI élevé, généralement engagés dans des études supérieures longues, ont en moyenne moins d'enfants. Leur représentation parmi la population totale tendrait donc à diminuer. Cette hypothèse semble confirmée par une étude génétique menée sur plus de 100 000 Islandais nés entre 1910 et 1990 et parue en décembre 2016 dans la revue PNAS. Là encore, les conclusions demeurent incertaines, et les chercheurs ne sont encore parvenus à aucun consensus sur la question.
Commentaire : Lire aussi :
De l'idiotie universelle repandue par l'occident
Les Etats-Unis, l'Empire le plus stupide du monde
https://fr.sott.net/article/30903-Idiotie-a-l-horizon-Baisse-vertigineuse-du-QI-moyen-en-Occident
Se protéger soi-même de la maladie d’Alzheimer
RépondreSupprimerPlus d’1/3 des démences pourraient être évitées par des mesures de prévention. Neuf facteurs de risques ont en effet été découverts, sur lesquels nous pouvons agir par nous-mêmes et pour nos proches, sans attendre les programmes collectifs.
Par Richard Guédon.
47 millions de personnes souffrent de démence aujourd’hui dans le monde, dont 900 000 en France, et elles pourraient être 115 millions en 2050. Pour l’essentiel, ces démences sont dues à la maladie d’Alzheimer (70%) et à l’altération des vaisseaux du cerveau (15%).
Ces prévisions inquiétantes, l’absence de traitement curatif et l’importance des ressources mobilisées expliquent que cette maladie est l’une des priorités de santé publique. Une commission de 24 experts internationaux a publié le 20 juillet dernier dans la revue médicale anglophone mondialisée The Lancet un point scientifique complet sur le sujet.
9 FACTEURS DE RISQUES, 1/3 DES MALADES
Ce travail mérite qu’on s’y arrête car il comporte des éléments nouveaux qui doivent être connus du grand public. Il révèle que plus d’1/3 des démences pourraient être évitées par des mesures de prévention échelonnées tout au long de la vie.
9 facteurs de risques de démence modifiables ont en effet été identifiés avec précision dans l’enfance, au milieu de la vie et chez les seniors :
Dans l’enfance, le manque d’éducation scolaire explique à lui seul une fraction des démences futures de la classe d’âge considérée. Le mécanisme de cette fragilité tiendrait au manque de « réserve cognitive » au début de la maladie, autrement dit la disponibilité de nombreuses connexions cérébrales ouvertes depuis l’enfance par l’éducation permettrait de résister aux conséquences cognitives des lésions cérébrales.
Au milieu de la vie, entre 45 et 65 ans, 3 facteurs de risques ont été identifiés : la perte d’audition, qui retranche les personnes de la communication sociale, l’hypertension artérielle et l’obésité, qui exercent une action délétère sur la circulation du sang dans le cerveau.
Chez les seniors, après 65 ans, 5 facteurs de risques peuvent être repérés et traités : le tabagisme, directement toxique sur les neurones et sur les vaisseaux, la dépression, qui effondre les liens sociaux, le manque d’activité physique, probablement par défaut d’oxygénation cérébrale, l’isolement social qui réduit les échanges cognitifs et le diabète qui lèse rapidement les vaisseaux s’il n’est pas traité.
Pourquoi est-il important que chacun soit informé de l’existence de ces facteurs de risques ?
RépondreSupprimerAGIR SANS ATTENDRE, POUR SOI ET SES PROCHES
D’abord parce que, comme on le voit, plusieurs d’entre eux sont modifiables par des moyens simples par nous-même et pour notre entourage. Le tabagisme, l’activité physique, l’obésité, la perte d’audition sont à la portée de nos propres décisions.
L’éducation de nos enfants dépend de nous, l’isolement social et, à un moindre degré, la dépression ou la perte d’audition dépendent des relations que nous avons avec nos ascendants et proches.
Hypertension et diabète sont des diagnostics médicaux mais la réussite des traitements dépend aussi beaucoup de notre détermination à les suivre. Mieux vaut être informé de l’existence de ces risques et agir individuellement contre eux que d’attendre passivement les programmes collectifs.
UNE MALADIE QUI ÉPUISE ET RUINE LES AIDANTS
Ensuite parce que les démences, et la maladie d’Alzheimer, sont des maladies très graves, qui atteignent l’identité même des malades dont la personnalité s’évanouit sous les yeux de leur entourage.
Ceux qui ont une personne atteinte dans leur famille savent à quel point la situation d’aidant est épuisante physiquement, psychologiquement et ruineuse financièrement. En l’absence de traitement curatif, la possibilité d’éviter à 300 000 personnes de tomber malades chaque année en France n’a pas de prix.
DES GÈNES DE PRÉDISPOSITION
Il faut également savoir que certains d’entre nous ont génétiquement plus de risques de devenir déments en vieillissant. Si l’un de nos parents est porteur du gène de prédisposition ApoE e4 (15% de la population) notre risque est multiplié par 3 ; si les 2 parents en sont porteurs (5% de la population) il est multiplié par 11. Ces personnes doivent éviter les facteurs de risques modifiables pour essayer d’éviter le pire.
CARTE DES RISQUES ET CHEMINS DE VIE
Enfin cette carte des risques de la démence, dans laquelle chacun est libre de tracer son propre chemin de vie, sera régulièrement enrichie les prochaines années par les progrès de la génomique et des bases de données géantes. Il en sera de même pour toutes les maladies chroniques.
https://www.contrepoints.org/2017/07/25/295450-se-proteger-soi-meme-de-maladie-dalzheimer
Traits d'Alzheimer
Supprimerhttp://huemaurice5.blogspot.fr/2015/06/abeilles-atteintes-dalzheimer-la.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/06/pas-plus-loin-que-le-bout-de-leur-nez.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/06/analyses-deau-de-pluie-tres.html
https://www.youtube.com/watch?v=4TFlLhhARhc
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/09/un-tiers-du-peuple-britannique-ne-en.html
Comment « le système » impose la « vérité »
RépondreSupprimerGilbert Doctorow, Consortium News
Les Crises
lun., 24 juil. 2017 19:43 UTC
Un nouveau paradigme de la « liberté de la presse » a pris possession du monde occidental, imposant le récit officiel de l'establishment comme la « vérité », et écartant les analyses contradictoires en les qualifiant de « fake news », ce qui rompt avec le « marché des idées » du siècle des Lumières, affirme Gilbert Doctorow.
Au cours du dernier quart de siècle ou plus, la politique étrangère occidentale a affirmé être guidée par la promotion des « valeurs démocratiques », parmi lesquelles aucune ne brille plus intensément que la liberté de parole et la liberté de la presse liée à cette dernière. Les institutions de l'Union Européenne ont été promptes à dénoncer les régimes autoritaires de l'Europe élargie, pour l'arrestation ou le meurtre de journalistes, et pour la fermeture de médias, une ligne rouge que quelques gouvernements ont franchie.
L'année dernière, la Turquie de Recep Tayyip Erdogan était en haut de la liste de Bruxelles pour ce type d'infraction, spécialement après la répression qui a suivi la tentative de coup d'État l'été dernier. Les supposés gardiens européens d'une presse libre ont également placé la Russie de Vladimir Poutine sur la liste des pays où le journalisme est réputé être sévèrement contrôlé.
Cependant, contrastant avec la posture moraliste de l'Europe, on trouve des exemples troublants de la manière dont l'Union Européenne elle-même traite les journalistes qui remettent en cause la pensée majoritaire. L'Union Européenne trouve ses propres excuses pour étouffer la dissidence au travers de manœuvres bureaucratiques sans avoir à faire couler la moindre goutte de sang.
Par exemple, en avril 2016, j'ai décrit comment la diffusion d'un documentaire remettant en cause le récit officiel des circonstances de la mort du critique du Kremlin Sergei Magnitsky en 2009 avait été bloquée au parlement Européen à Bruxelles, en Belgique.
Le blocage de dernière minute du documentaire, « Les dessous de l'affaire Magnitsky », a été conçu par des avocats pour William Browder, l'influent président du fond d'investissement Hermitage Capital, et associé de Magnitsky.
Basé à Londres, Browder a mené une incessante croisade pour imposer des sanctions aux officiels russes supposés être impliqués dans la mort de Magnitsky en prison. Browder est parvenu à pousser le congrès à approuver le « Magnitsky act » en 2012, et a également fait du lobbying auprès du parlement de l'Union Européenne afin de faire voter une mesure punitive similaire.
Puis, en avril 2016, Browder a accompli une démonstration de force en organisant l'annulation du documentaire sur « l'affaire Magnitsky » quelques minutes seulement avant que les invités n'entrent dans l'auditorium du Parlement européen pour la projection.
RépondreSupprimerBrowder a bloqué le documentaire, dirigé par Andrei Nekrasov, parce qu'il analysait en détail les éléments factuels de cette affaire, et soulevait des doutes quant à l'histoire narrée par Browder selon laquelle Magnitsky était une victime innocente de la répression russe. Les responsables au sein de l'Union Européenne, qui avaient totalement gobé l'histoire de Browder au sujet de Magnitsky, n'ont rien fait pour empêcher Browder d'étouffer toute voix dissidente.
Parmi les éléments de la nouvelle approche occidentale envers l'information, il apparaît que seuls les récits approuvés par l'establishment peuvent être présentés au public ; et les analyses contradictoires qui tentent de raconter l'autre facette d'une histoire sont écartées en tant que « fausses nouvelles ». (Lorsque le documentaire sur Magnitsky a été projeté une unique fois au Newseum de Washington, un éditorial du Washington Post a mal décrit son contenu et l'a écarté au motif qu'il s'agissait de « Russian agitprop », de la propagande russe agitatrice, ce qui était assez facile à faire car pratiquement personne n'a pu visionner son contenu.)
Renvoyé de bureau en bureau
J'ai moi-même goûté à la résistance bureaucratique de l'Union Européenne à la dissidence, lorsque j'ai soumis une demande d'accréditation aux médias de la commission Européenne le 2 mars, désireux d'obtenir un badge presse pour agir en tant que reporter pour Consortiumnews.com à Bruxelles.
Ce comité émet les accréditations pour toutes les institutions européennes, y compris la seule ayant un intérêt à mes yeux, le Parlement européen. Le comité est au-dessus des lois, c'est une entité bureaucratique sans visage qui traite uniquement les demandes faites en ligne, et vous renvoie des e-mails anonymes. Le processus de demande comprend plusieurs étapes, déjà marquées de points rouges sur ce que veut dire, au XXIe siècle, faire partie de la « presse » ou être un « journaliste » méritant une accréditation.
Premièrement, selon les règles de la commission, un journaliste doit être salarié d'un des médias acceptés. Cette condition ne peut généralement pas être satisfaite par les « pigistes » ou les « freelancers », qui sont payés à la mission ou à l'histoire, un accord de paiement qui a existé tout au long de l'histoire du journalisme mais qui est devenu commun aujourd'hui, utilisé par les médias mainstream comme par les médias alternatifs, qui payent généralement peu ou rien. J'ai satisfait ce critère avec un relevé de virement bancaire Paypal de Consortiumnews.
RépondreSupprimerLa Commission doit aussi trouver le média sur sa liste approuvée. Concernant Consortiumnews, un magasine d'investigation sur internet fondé en 1995 et opérant dans la zone de Washington, la commission n'était pas sûre de ce qu'elle devait faire.
Donc, comme toute institution bureaucratique, la commission jouait avec le temps. C'est seulement le 6 juin que j'ai reçu le retour de ma demande. Le constat était que 1) je devais présenter davantage de preuves que mon employeur me payait régulièrement, pas juste une fois, et 2) je devais fournir davantage d'articles afin de montrer que je n'étais pas juste publié régulièrement, comme il ressortait des articles envoyés dans la demande initiale, mais que j'étais publié précisément sur le sujet des activités des institutions européennes.
J'étais confiant qu'après la livraison de ces preuves et la réalisation de ma requête, je pourrais demander une accréditation ad hoc « aux institutions concernées pour des événements de presse spécifiques que vous souhaitez couvrir ».
En fait, j'avais omis dans ma demande, mon éditorial le plus récemment publié sur une table ronde du Parlement européen, consacrée à la censure des prétendues « fake news » répandues par la Russie. Ce débat était conduit par un député européen polonais, ancien ministre des Affaires étrangères du parti résolument anti-russe des Kaczynskis. Le titre de mon éditorial était « L'Europe est en état de mort cérébrale et sous perfusion ». J'avais la sensation que cet article ne soutiendrait pas vraiment la cause de ma carte de presse.
Cependant, l'insincérité de la réponse du comité d'accréditation de la presse de l'U.E. à ma demande était évidente. Un journaliste peut écrire sur les institutions européennes quand il ou elle a l'accès libre au parlement via une carte de presse et peut évaluer ce qui est digne d'intérêt. Sans carte de presse, vous ne savez pas qui ou quoi vaut la peine d'être couvert.
Dans ce contexte, « les événements de presse spécifiques » sont, parmi les choses se déroulant dans l'U.E., les moins désirables pour les desseins d'un journaliste authentique. Ils sont utiles seulement aux journalistes paresseux qui envoient à leurs rédactions le communiqué de presse et quelques citations en boîte obtenues en se montrant à une conférence de presse au moment des cafés et des sandwichs.
RépondreSupprimerEn bref, je ne recevrai pas d'accréditation et le Comité ne se dérangera pas pour répondre à la véritable raison de son refus : Consortiumnews ne figure pas sur la liste des médias acceptables par le Comité. N'ayons pas peur des mots, c'est ainsi que la bureaucratie de l'U.E. gère les médias sceptiques et étouffe les voix dissidentes.
La nouvelle star de NBC, Vladimir Poutine
Pendant ce temps, les médias occidentaux mainstream continuent de marteler à domicile leurs récits de propagande, notamment concernant la Russie. Une autre étude de cas s'est déroulée la semaine dernière avec la nouvelle journaliste vedette de NBC, Megyn Kelly, qui a interviewé le président russe Vladimir Poutine le 2 juin en marge du Forum économique international de Saint-Pétersbourg.
Ce dernier crime de NBC contre le journalisme professionnel devient évident lorsqu'on compare la version complète de l'interview telle qu'elle a été diffusée sur le réseau RT en Russie et la version éditée que NBC a diffusée pour son public américain. L'écart le plus choquant se trouve dans une séquence où Kelly interrogeait agressivement Poutine sur ce qui, selon elle, était la compréhension par les Américains de son gouvernement, à savoir tuer des journalistes, supprimer l'opposition politique, être rongé par la corruption, etc.
Dans la version de NBC, la réponse de Poutine a été réduite à une déclaration liminaire creuse selon laquelle « la Russie est sur le point de devenir une démocratie », flanquée d'une phrase de clôture également creuse. Dans la version complète et non coupée, Poutine répond aux allégations de Kelly point par point, puis retourne la question en demandant de quel droit les États-Unis et l'Occident mettent en cause le bilan de la Russie, alors qu'ils ont activement fait bien pire que ce que Kelly reproche. Il a demandé où est Occupy Wall Street aujourd'hui, pourquoi les États-Unis et la police européenne utilisent des matraques et des gaz lacrymogènes pour briser les manifestations, alors que la police russe ne fait rien de tel, et ainsi de suite.
Autrement dit, NBC a intentionnellement fait en sorte que Poutine ressemble à un despote creux, alors qu'il est en fait un débatteur très sophistiqué ; il l'avait démontré plus tôt dans la journée lors d'une table ronde ouverte avec Kelly, où elle était devenue la risée de tous. En ce qui concerne l'interview caviardée, le management de NBC porte la première responsabilité pour avoir déformé le document et trompé ses téléspectateurs.
RépondreSupprimerLes entretiens par des organes d'information sérieux peuvent être des « discussions difficiles », comme dans le programme hebdomadaire de la BBC du même nom [hard talk]. Le journaliste en charge peut contester directement et gravement un leader politique ou autre personnalité publique et insister sur un point litigieux jusqu'à obtenir une réponse exhaustive, permettant aux téléspectateurs de tirer leurs propres conclusions.
Cependant, dans l'entretien qui nous occupe et lors de la table ronde qui l'avait précédé, Kelly a répété la même question sur l'ingérence présumée de la Russie lors des élections américaines, même après avoir reçu une réponse exhaustive de Poutine à plusieurs reprises. De toute évidence, elle lisait un script qui lui avait été donné par la direction et n'était pas autorisée à réagir à ce qui se produisait lors de l'échange.
Étant donné que les réponses de Poutine ont ensuite été mises en pièces dans la salle de montage de NBC, nous pouvons expliquer les objectifs des cadres de NBC comme suit : se présenter au public américain, ainsi que le journaliste en vedette, comme étant respectés par le Kremlin au point que le président russe leur accorde un entretien exclusif ; deuxièmement, montrer au public américain qu'ils ont profité de cette opportunité non pour permettre au président russe de donner son avis au public américain, mais au contraire pour lui lancer toutes les accusations d'actes répréhensibles qui se sont accumulées dans l'arène politique américaine.
En d'autres termes, NBC devait exhiber la soi-disant hardiesse de Kelly et le faux patriotisme de la chaîne tout en évitant au peuple américain d'entendre les réponses complètes de Poutine.
Bien que le paradigme émergent consistant à supprimer immédiatement tout ce qui défie les récits mainstream semble être la tendance de l'avenir - avec des algorithmes Internet renforçant éventuellement la censure moderne - certaines voix protestent contre cet attentat à la confiance des Lumières en la raison humaine pour trier les fausses affirmations et avancer vers la vérité des faits.
A la cérémonie de remise des diplômes du 25 mai à l'Université de Harvard à Cambridge, au Massachusetts, la présidente de Harvard, Drew Faust, a prononcé une défense passionnée de la liberté d'expression. Elle a parlé de l'institution et de ses obligations en tant que créatrice et protectrice de la « vérité » et de l'accès à la connaissance par le libre débat et le défi des idées.
Cela ne veut pas dire que son message était d'une clarté parfaite. Elle m'a laissé, moi et d'autres participants, quelque peu incertain quant au droit à la libre parole qu'elle défendait, et contre quel type d'enjeu. Compte tenu de la sensibilité politique des étudiants et des facultés, à savoir à mi-parcours vers l'aile progressiste du Parti Démocrate, on pourrait penser qu'elle avait à l'esprit des affaires aussi célèbres que les attaques verbales en cours contre Linda Sarsour, une musulmane (palestinienne) conférencière à l'Université de la Ville de New York.
RépondreSupprimerEn effet, dans son discours, Drew Faust a désigné les membres les plus vulnérables du corps étudiant, ceux des minorités, ceux des étudiants de première année qui pourraient être intimidés par un discours blessant dirigé contre eux. Mais il est plus probable qu'elle ait rédigé son discours en tenant compte de la controverse de ce printemps sur le campus, concernant le droit de conférenciers diffusant des idées détestables à venir sur le campus. Cette question a été soulevée à maintes reprises dans le journal étudiant The Crimson, et on peut dire que cela date du scandale de l'UC Berkeley concernant l'annulation de la venue de l'ancien porte-parole controversé de l'extrême droite, Milo Yiannopoulos.
Cependant, je crois que la force principale de son argumentation visait autre chose. Principalement, les processus par lesquels on détermine ce qui est la vérité. Elle défendait la pertinence d'un débat pointu et de l'expression d'opinions pouvant être intensément détestées sur le campus :
« Les universités doivent façonner l'engagement envers cette conception de la vérité comme ne pouvant être simplement revendiquée, mais devant être établie - établie par des arguments raisonnés, des évaluations et même des défis parfois inconfortables qui constituent son fondement. »
Bien que cette idée soit au cœur des Lumières, elle s'est affadie ces dernières années, où diverses forces politiques et médiatiques préfèrent simplement rejeter les preuves et les analyses contraires en stigmatisant les messagers et, chaque fois que cela est possible, en passant sous silence le message. Cette approche est maintenant courante dans les médias majeurs qui regroupent des cas de théories du complot dépourvues de faits et des « fausses nouvelles » délibérées, avec des informations bien documentées et des analyses sérieuses qui jurent avec les conceptions conventionnelles.
Pas d'aspérités
RépondreSupprimerPar mon expérience d'organisateur d'événements publics au cours des cinq dernières années, j'ai appris que le mot « débat » trouve peu de défenseurs ces jours-ci. Le débat suggère le conflit plus que le consensus. Le terme politiquement correct pour des discussions publiques sur des questions même chaudes est celui de « tables rondes ». Aucun angle aigu n'est permis.
Mais Faust a déclaré : « Assurer la liberté d'expression ne consiste pas seulement à permettre la parole. Il s'agit de créer activement une communauté où tout le monde puisse contribuer et s'épanouir, une communauté où l'argument est réintégré, et non pas craint. La liberté d'expression n'est pas seulement la liberté de ne pas être censuré ; c'est la liberté de se joindre activement au débat en tant que participant complet. Il s'agit de créer le contexte dans lequel un véritable débat peut se produire. »
Outre la validité du débat honnête comme méthode de validation de la vérité, Faust a également noté que la suppression de la diversité des opinions peut empêcher ceux qui la suppriment de voir le trouble croissant du grand public, allusion apparente à l'élection surprise de Donald Trump.
Faust a poursuivi : « Passer des idées sous silence ou se délecter d'une orthodoxie intellectuelle indépendante de tous faits ou preuves, barre la route aux idées nouvelles et meilleures, et empêche le rejet total et argumenté des mauvaises. Au moins depuis le temps de Galilée, on peut voir comment la répression des idées apparemment hérétiques a empêché les sociétés et les nations d'acquérir la connaissance et la compréhension approfondies dont dépend le progrès.
« Beaucoup plus récemment, on peut voir ici à Harvard comment notre inattention au pouvoir et à l'attrait des voix conservatrices a laissé une grande partie de notre communauté stupéfiée - aveuglée par le résultat des élections de l'automne dernier. Nous devons veiller à ce que les universités ne deviennent pas des bulles isolées des préoccupations et des discours de la société qui les entoure. »
Bien sûr, la vérité gênante est que l'Université de Harvard a longtemps été une telle « bulle », en particulier dans le domaine de la recherche politique qui m'intéresse le plus et qui peut se révéler vitale pour éviter une catastrophe nucléaire : à savoir les études russes.
Au cours des dernières années de confrontation croissante entre les États-Unis et la Russie, vilipendant le Président russe et le peuple russe, y compris à présent l'hystérie du « Russie-gate », on a refusé à plusieurs reprises à des collègues ayant une expérience longue et largement reconnue dans les affaires russes, y compris l'ambassadeur Jack Matlock et le professeur Stephen Cohen, toute possibilité de participer à des « tables rondes » dédiées aux relations avec la Russie qui pourraient être organisées au Kennedy Center de Harvard ou au Davis Center.
Ces centres politiques sont devenus des chaires exposant la stricte orthodoxie selon le consensus de Washington. Ainsi, l'argumentation flasque et la complaisance envers la politique étrangère des États-Unis sont assistées et encouragées par cette université de premier plan qui, avec Columbia, a créé la discipline même des études russes en 1949. Ainsi, en se complaisant dans ce groupe de réflexion axé sur le consensus, Harvard contribue à des politiques dangereusement biaisées qui pourraient conduire à la troisième guerre mondiale. Dans ce cas, la vérité - ou comme Harvard pourrait dire, Veritas - ne serait pas la seule victime.
RépondreSupprimerIl ne fait aucun doute qu'il y a d'autres facultés à Harvard qui ont désespérément besoin de renouvellement suite à l'appel au débat et à la liberté d'expression de la présidente Drew Faust. Néanmoins, la célébration du débat ouvert et de la liberté d'expression du docteur Faust représente un reconstituant bienvenu contre l'étroitesse d'esprit de la stigmatisation actuelle de la Russie .
Son discours est d'autant plus remarquable qu'il marque l'un des premiers moments, pour les libéraux et les piliers du Parti démocrate, de reconnaître que ceux que Hillary Clinton a condamnés comme « déplorables » doivent être entendus et rendus à la raison, si la démocratie américaine veut devenir grande à nouveau.
Gilbert Doctorow est un analyste politique indépendant basé à Bruxelles.
Source : Gilbert Doctorow, Consortium News, 12-062017
Traduit par les lecteurs du site www.les-crises.fr. Traduction librement reproductible en intégralité, en citant la source.
https://fr.sott.net/article/30898-Comment-le-systeme-impose-la-verite
Trump arrête la « révolution » syrienne de la CIA
RépondreSupprimerBill Van Auken
WSWS
lun., 24 juil. 2017 20:03 UTC
La nouvelle publiée pour la première fois par le Washington Post le 19 juillet - que l'Administration Trump arrête une opération vieille de cinq ans et formellement secrète de la CIA pour former, armer et même payer les salaires des milices islamistes en Syrie - a encore alimenté la guerre politique féroce à Washington sur les allégations de « collusion » entre Trump et Moscou.
Le sénateur John McCain, président républicain du Comité des services armés du Sénat, a publié une déclaration depuis l'Arizona, où il se rétablit d'une chirurgie liée au cancer du cerveau, selon laquelle « toute concession à la Russie, en l'absence d'une stratégie plus large pour la Syrie, est irresponsable et peu clairvoyante ».
Une dénonciation plus hystérique est venue du chroniqueur du Washington Post et ancien rédacteur de discours de George W. Bush, Michael Gerson, qui a accusé Trump d'effectuer une « reddition complète aux intérêts russes en Syrie » et d'agir « précisément comme s'il avait été acheté et vendu par un rival stratégique » avec sa « coupure ignoble de l'aide aux intermédiaires des États-Unis ».
Les allégations selon lesquelles fermer le robinet des armes et de l'argent aux prétendus « rebelles » en Syrie représenterait une sorte de capitulation stratégique face à la Russie, sont ridicules. La décision, prise par Trump avec son conseiller national en matière de sécurité, le général H.R. McMaster et le directeur de la CIA, Mike Pompeo, avant le sommet du G20 à Hambourg, était acquise d'avance.
Ce que l'on appelait « l'armée syrienne libre » a cessé de jouer un rôle majeur en Syrie. Les forces gouvernementales syriennes, soutenues par des milices alignées sur l'Iran et, depuis le mois de septembre 2015, les forces aériennes russes, ont fait fuire les « rebelles » de tous les grands centres urbains vers les zones rurales de la province d'Idlib, où ils ont été engagés dans une guerre intestine les uns contre les autres.
La reprise de l'est d'Alep par le gouvernement en décembre 2016 a exprimé la débâcle finale de la stratégie américaine consistant à mener une guerre pour le changement de régime en utilisant les milices islamistes sunnites soutenues par la CIA comme mandataires de Washington.
Cette stratégie criminelle a été initiée à la suite de la guerre des États-Unis en 2011 pour un changement de régime qui a renversé le gouvernement de la Libye et a fini par le meurtre par une foule de lyncheurs de son chef Mouammar Kadhafi. Des combattants islamistes et d'énormes quantités d'armes ont été canalisés de Benghazi, ville portuaire de la Libye orientale, vers la Syrie.
En 2013, cela s'est transformé comme l'a décrit un responsable américain au New York Times en une « cascade spectaculaire d'armes » transférées en Syrie par la CIA, en collaboration avec des régimes de droite comme l'Arabie saoudite et les autres monarchies pétrolières du Golfe et la Turquie. Des dizaines de milliers de combattants islamistes de l'étranger ont également pu s'y rendre librement pour mener une guerre civile sectaire sanglante, dont les victimes se comptent aujourd'hui en centaines de milliers de morts et en millions de réfugiés déplacés. Certains de ces mêmes individus, dont le passage des frontières internationales a été facilité par les services de renseignement occidentaux, sont revenus pour mener des attaques terroristes en Europe.
RépondreSupprimerLa CIA a prétendu avoir « examiné » quelque 40 « milices rebelles modérées » aptes à recevoir les armes et l'argent américains. En réalité, la plupart de ces groupes étaient largement similaires aux groupes comme le Front d'Al-Nusra, et soit ils se alliés avec cette filiale syrienne d'Al-Qaïda, soit ils leurs ont abandonnés leurs armes américaines.
La défaite des « rebelles » soutenus par la CIA était une conséquence non seulement de la puissance de feu accrue fournie par la Russie et l'Iran, mais aussi de l'hostilité envers ces milices venant de couches larges de la population syrienne qui voyaient le régime d'Assad, malgré la répression et la corruption, comme le moindre mal.
Contrairement à la propagande lancée par le ministère américain des affaires étrangères et ses apologistes de la pseudo-gauches, les rebelles n'étaient pas les champions d'une lutte pour la démocratie ou la « révolution », mais plutôt des gangsters sectaires de droite qui ont systématiquement pillé les zones sous leur contrôle et décapité ceux qui ont exprimé leur opposition à leur idéologie obscurantiste.
La fin de l'armement et du financement par la CIA des « rebelles » liés à Al-Qaïda qui sont pratiquement à bout de souffle ne signale pas la fin du conflit en Syrie ni un quelconque rapprochement important avec Moscou, elle fait en réalité partie des préparatifs d'une guerre plus large.
Le Pentagone continue de former et d'armer ses propres forces par procuration, à la fois les prétendues forces démocratiques syriennes - composées principalement de la milice du YPG kurde syrien - au nord et des milices sunnites au sud-est, près de la base des forces spéciales des États-Unis établie à Al-Tanf près d'un poste frontière syrien stratégique avec l'Irak et la Jordanie.
RépondreSupprimerCe n'est là qu'une des nombreuses bases établies par l'armée américaine dans ce qui revient à une invasion et une occupation furtives de la Syrie. L'agence de presse officielle turque, reflétant l'hostilité du régime d'Ankara envers l'alliance américaine avec les Kurdes syriens, a publié un article mettant en évidence l'emplacement de 10 bases américaines secrètes au nord de la Syrie ainsi que des informations détaillées sur le nombre de soldats et le type d'armement et d'équipement déployés dans chacun d'eux. Plus tôt ce mois-ci, l'Administration Trump a demandé au Congrès de voter son approbation pour la construction de nouvelles bases « temporaires » en Irak et en Syrie.
Pendant ce temps, le Pentagone continue de mener des attaques aériennes mortelles contre les cibles syriennes, avec le groupe de surveillance indépendant Airwars faisant état d'au moins 415 civils tués par des bombes et des missiles américains rien que le mois dernier. Cette estimation laisse sans aucun doute beaucoup de morts inconnus, et les chiffres augmenteront de façon spectaculaire alors que les États-Unis renforcent le siège de Raqqa.
Si l'Agence de presse Reuters a cité un responsable américain qui disait que la mise au rebut du programme de la CIA était un « signal » à la Russie que Washington veut rénover leurs liens, le véritable objectif est d'introduire un motif de discorde entre Moscou et l'Iran afin de mieux se préparer à la guerre contre ce dernier. C'est l'objectif central de l'accumulation par les États-Unis de moyens militaires en Syrie et en Irak, pays où l'influence iranienne a progressivement augmenté.
Ceux qui définissent la politique du gouvernement Trump, en grande partie la cabale de généraux en service ou à la retraite, qui détiennent tous les postes de sécurité clés, considèrent l'Iran comme le principal obstacle à la campagne sanglante et prolongée des États-Unis pour s'établir comme « puissance hégémonique » sur le Moyen-Orient et l'Asie centrale. Les hauts responsables militaires américains sont particulièrement amers du fait que la guerre d'agression de Washington en Irak a largement contribué à renforcer l'influence iranienne dans la région.
Deux jours avant le reportage dans le Washington Post sur la fin de l'aide aux « rebelles », l'Administration Trump a fourni une attestation officielle selon laquelle l'Iran est en conformité avec l'accord nucléaire que ce pays a négocié avec les États-Unis et cinq autres pays impérialistes. Cela ne fut reconnu qu'après des heures de querelles à la Maison-Blanche, et Trump a accepté d'établir l'attestation à contrecœur, uniquement sur la base d'une décision d'imposer une nouvelle série de sanctions américaines unilatérales contre Téhéran qui sont en violation de l'accord et visent à provoquer un affrontement.
Washington devrait également mettre en place une campagne pour faire pression sur les puissances européennes afin de faire avancer la ligne américaine en adoptant une politique punitive envers Téhéran. Mais les autres signataires de l'accord, la Grande-Bretagne, la France, l'Allemagne, la Chine et la Russie, cherchent à conclure d'importants accords commerciaux et d'investissement en Iran, le conglomérat énergétique français Total étant en tête avec un accord à 1 milliard de dollars pour développer la production de gaz.
RépondreSupprimerDe telles tensions avec l'Europe ne feront qu'alimenter la tendance de Washington à une guerre plus large. Face au déclin de sa domination économique et politique mondiale, la classe dirigeante américaine, parasite et criminelle, si bien personnifiée par la figure de Trump, considère de plus en plus la guerre comme la seule issue aux crises économiques et sociales pour lesquelles elle n'a aucune solution progressiste à offrir.
Une guerre américaine contre l'Iran, une nation de plus de 77 millions de personnes, irait bien plus loin dans l'horreur que les bains de sang réalisés par le Pentagone et la CIA en Irak et en Syrie, et elle poserait en outre le risque bien réel d'une troisième guerre mondiale nucléaire.
(Article paru d'abord en anglais le 22 juillet 2017)
https://fr.sott.net/article/30899-Trump-arrete-la-revolution-syrienne-de-la-CIA
SupprimerPareillement qu'en France Marine Le Pen aurait rencontré une opposition sanglante (si elle avait été élue) par des dizaines de millions d'immigrés lui imposant d'être payés (allocations) pour acheter des armes et d'imposer la religion islamique sur tout le pays, le président Trump, force le pouvoir de 'derrière le rideau' (5è colonne) à retirer les troupes americaines des faux conflits à l'extérieur.
Cédric Herrou et José Bové escortent 200 migrants à Nice pour leur faire obtenir l'asile (IMAGES)
RépondreSupprimer24 juil. 2017, 17:23
200 migrants ont été emmenés en train depuis la frontière franco-italienne jusqu'à la ville de Nice par Cédric Herrou et des activistes. Le parlementaire européen José Bové participait aussi à l'opération, qui a suscité l'ire de Christian Estrosi.
Des activistes de l'association d'aide aux migrants Roya citoyenne ont fait transiter 200 migrants en train vers la ville de Nice où ils souhaitaient rejoindre la plateforme d'aide aux demandeurs d'asiles, afin d'obtenir le statut de réfugié, selon Nice-Matin. Le quotidien régional précise que l’association a dépensé 1 000 euros pour financer cette opération.
Le militant Cédric Herrou, condamné en février à une peine d'amende de 3 000 euros avec sursis pour avoir fait passer des migrants d'Italie en France, accompagné de l'eurodéputé écologiste José Bové, encadrait les migrants.
Mais ces derniers, escortés par des membres de l'association et l'eurodéputé, se sont vu interdire l'accès à un parc de Nice sur décision du maire de la ville Christian Estrosi.
Dans un communiqué, celui-ci dénonce une «provocation inadmissible», assurant que cette «opération coup de force» constitue un «délit d'aide à la circulation et au séjour de personnes en situation irrégulière». Christian Estrosi a saisi le procureur de Nice afin qu'il se saisisse du cas de Cédric Herrou, «qui nuit au travail des forces de l'ordre et cherche à dévoyer le droit d'asile».
José Bové appelle à «ouvrir les frontières»
La présence de l'eurodéputé lors de l'opération a aussi suscité la réaction du député Les Républicains des Alpes-Maritimes Eric Ciotti, qui a dénoncé une démarche «dangereuse et irresponsable», faisant passer l'Europe pour une «passoire».
Par ailleurs, José Bové aurait été ceinturé par les forces de l'ordre en gare de Menton-Garavan alors qu'il voulait faire obstruction à une opération de police visant à la reconduite à la frontière d'un migrant. D'après l'élu, il s'agissait d'un mineur ne pouvant être expulsé.
Le 23 juillet, José Bové avait appelé Emmanuel Macron à accepter «d'ouvrir» les frontières françaises et à accueillir «un nombre de réfugiés qui corresponde à notre pays». «Le travail des associations dans la vallée de la Roya mériterait d'avoir le prix Sakharov des droits de l'homme», avait-il ajouté.
Depuis le 1er mai, l'association «Roya Citoyenne» a aidé près d'un millier de migrants à entamer des démarches d'asile. Située à quelques kilomètres de la frontière italiennes, où des centaines de migrants vivent dans un camp de fortune à Vintimille, la vallée de la Roya est devenu un lieu de de passage de prédilection pour les clandestins.
La justice doit examiner en octobre une demande de dissolution de cette association demandée en urgence par un élu apparenté Front national, Olivier Bettati.
Lire aussi : Une association proche de Cédric Herrou achemine 130 migrants dans le centre-ville de Nice
https://francais.rt.com/france/41312-cedric-herrou-jose-bove-escortent-migrants-nice
SupprimerLe faux-paysan français qui passe son temps à voyager en la France et Israel veut faire inonder la France par l'islam et lui-même (sans doute) participer à la charia !
Petite devinette
RépondreSupprimerle 20 juillet 2017
Hasard de mes lectures, je suis tombé sur ce passage qui n’est pas sans faire étrangement écho à la question climatique. Devinette : quel en est l’auteur ?
La leçon du développement intellectuel de l’humanité est pourtant claire : les sciences se sont toujours montrées d’autant plus fécondes et, par la suite, d’autant plus serviables, finalement, à la pratique — qu’elles abandonnaient plus délibérément le vieil anthropocentrisme du bien et du mal. On rirait aujourd’hui d’un chimiste qui mettrait à part les méchants gaz, comme le chlore, des bons comme l’oxygène. Mais, si la chimie à ses débuts avait adopté ce classement, elle aurait fortement risqué de s’y enliser, au grand détriment de la connaissance des corps.
Pour la réponse, il faut
Il s’agit de Marc Bloch, le grand cofondateur de l’École des Annales, dans son Apologie pour l’Histoire de 1949. Un livre indispensable, écrit dans un style magnifique.
Le passage ci-dessus se trouve à la page 82 de cette version pdf réalisée par les bons soins de l’irremplaçable bibliothèque des classiques des sciences sociales de l’université du Québec à Chicoutimi. (Un conseil : ne cliquez pas sur ce dernier lien, il contient tellement de choses passionnantes que vous n’en ressortiriez plus.)
Confusion de la dialectique du bien et du mal avec celle du vrai et du faux, mise au ban du méchant gaz carbonique… Pour le coup, Bloch ne s’est-il pas fait sans le savoir historien de l’avenir ?
https://mythesmanciesetmathematiques.wordpress.com/2017/07/20/petite-devinette/
Les banques cherchent à dominer une future société sans pépite
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
24 juillet 2017 11h20
Autorisé par Shaun Bradley via TheAntiMedia.org,
Visa a récemment annoncé son nouveau programme Cashless Challenge, qui offre 10 000 $ aux restaurants prêts à passer à accepter uniquement les paiements numériques. En tant que processeur de carte de crédit le plus important aux États-Unis, il n'est pas surprenant que Visa soit à la tête de cette campagne.
Sous l'apparence d'une transparence et d'une efficacité croissantes, ils se sont associés avec des gouvernements du monde entier pour aider à convertir les systèmes financiers en modèles sans numéraire, mais leur véritable incitatif est les milliards de dollars en frais de transaction supplémentaires qu'il générerait.
"Nous déclarons la guerre en espèces", a déclaré Andy Gerlt, le porte-parole de Visa, fièrement proclamé après l'annonce du programme.
Les petites entreprises à but lucratif visées par Visa sont parmi celles qui bénéficient le plus de l'acceptation de l'encaisse auprès des clients. Lorsque les transactions correspondent à des montants inférieurs à 10 $, les frais facturés réduisent considérablement les bénéfices. Seulement 28% des camions d'alimentation acceptent actuellement les paiements par carte de crédit en raison des pertes énormes qu'ils subissent. Le pot-de-vin de Visa peut sembler attrayant à l'avant, mais sera principalement remboursé au cours des prochaines années en honoraires seuls.
Liz Garner, vice-président du Merchant Advisory Group, qui représente plus de 100 des plus grandes entreprises des États-Unis, explique quelques-uns des obstacles rencontrés lors de la gestion des réseaux de cartes:
«Pour de nombreuses entreprises, grandes et petites, le coût d'acceptation des cartes plastiques et d'autres formes de paiement électronique est l'un de leurs coûts d'exploitation les plus élevés. La plupart des propriétaires d'entreprises n'ont aucun scrupule à payer des frais raisonnables pour les services aux entreprises, et ils le font tous les jours pour des articles tels que des services de nettoyage, des systèmes de sécurité, de Wi-Fi et d'autres besoins de base. Cependant, ils ont la possibilité de négocier pour ces services sur un marché juste et transparent, qu'ils ne possèdent pas avec les deux principaux réseaux de cartes de crédit et de débit ... Les cartes de crédit et les frais de carte de débit sont dictées directement par Visa et MasterCard et sont imposées sur La majorité des commerçants dans une mode take-it-or-leave-it. La plupart des entreprises estiment que le fait de ne pas accepter ces marques de cartes majeures n'est pas une option concurrentielle afin qu'elles continuent d'accepter des paiements électroniques même si les coûts réduisent leurs activités et que les règles d'acceptation inflexibles surviennent face à l'entreprise de marché libre "
Cette pression continue pour une société sans numéraire en Europe, en Asie et dans les Amériques est bien plus que simplement éliminer le papier-monnaie - il s'agit de planificateurs centraux qui renforcent le contrôle de la richesse du public. Cette fusion continue des intérêts de l'entreprise et du gouvernement est la définition du capitalisme de copains. Indépendamment de la collusion flagrante, les choix faits par les individus décideront finalement de l'orientation vers l'avenir. L'achat de biens matériels à crédit est devenu un style de vie pour des millions, mais les coûts à long terme de ces décisions doivent être compris s'il y a des chances de progrès.
RépondreSupprimerLes Américains ont commis une énorme erreur en corrigeant 1 billion de dollars de dette de carte de crédit avec un taux d'intérêt moyen supérieur à 16%. Grâce au système de la Réserve fédérale, des sociétés comme Mastercard, Discover et American Express peuvent émettre des obligations payant des taux d'intérêt extrêmement faibles aux investisseurs tout en prêtant de l'argent aux détenteurs de cartes de crédit à des tarifs élevés. Les entreprises profiteront toujours des possibilités d'accroître les profits, mais la volonté des gens de continuer à emprunter à eux est au coeur du problème.
L'accès au capital bon marché a été étendu aux plus grandes sociétés depuis plus d'une décennie, mais lorsqu'il s'agit de petites entreprises ou d'individus, il existe un ensemble de normes complètement différent. La pression pour augmenter constamment les revenus et les cours des actions a conduit à une relation parasite non naturelle entre ces entreprises et leurs clients. L'argent comptant est l'une des dernières options qui permet aux gens d'éviter de faire face à ce type de shakedown.
Plus de 30% de tous les paiements aux États-Unis sont toujours effectués en espèces, mais les intermédiaires financiers qui facturent des frais de traitement se joignent à l'État et aux banques centrales pour s'assurer que le public n'a pas le droit d'innover. Les cartes de crédit et de débit ont été le moyen le plus pratique de faire des achats depuis plus d'une décennie, mais la concurrence émergente les rend peu pertinents.
Bitcoin et les plates-formes de contrats intelligents ont introduit un marché entièrement nouveau pour les entreprises et les individus en dehors de la domination de l'ancienne avant-garde financière. Des dizaines de grandes entreprises ont fondé l'Enterprise Ethereum Alliance pour développer un soutien pour d'autres technologies de chaînes de blocs alternatives en dehors de Bitcoin. Cette évolution continue vers des paiements entre pairs finira par condamner des entreprises comme Visa au même sort que Blockbuster. Ceux qui sont au pouvoir peuvent défendre les avantages d'aller sans numéraire, mais l'absence de banque peut être la seule façon de sortir de cette matrice d'extorsion.
Les efforts des gouvernements et de l'industrie financière pour éliminer l'argent ne vont que s'intensifier. Ceux qui s'adaptent au nouveau paradigme des paiements par les pairs vont se développer, alors que ceux qui n'en ont pas auront à extraire leur argent durement gagné pour soutenir un système défaillant. L'illusion de la sécurité des banques aurait dû être brisée après la crise de 2008, mais finalement, la réalité de l'instabilité des institutions actuelles apparaîtra. Éduquer les entrepreneurs et les entreprises sur les avantages de Bitcoin et d'autres options décentralisées est la seule façon de détourner cette économie du contrôle des planificateurs centraux et vers un marché libre et volontaire.
RépondreSupprimerhttp://www.zerohedge.com/news/2017-07-24/banks-are-scheming-dominate-future-cashless-society
Comment le nucléaire peut-il être heureux ?
RépondreSupprimerL’industrie nucléaire constitue un atout pour une politique énergétique efficace compatible avec la transition énergétique et la création d’emplois non délocalisables.
Par Michel Gay.
25 JUILLET 2017
Le terme écologiste a un chapeau trop large. Un écologiste peut aimer la nature, le vent, le soleil, les petits oiseaux, trier ses déchets, et être pro-nucléaire. L’écologie n’appartient à personne. Elle n’est pas le monopole des opposants au nucléaire.
Cette évidence est masquée par la propagande de puissantes associations antinucléaires qui ont portes ouvertes dans les médias. Elles se sont emparées du concept d’écologie qui se doit d’être antinucléaire.
LE NUCLÉAIRE : UN ENNEMI » FÉDÉRATEUR
En effet, une énergie idéale (abondante, durable, bon marché, propre, avec des risques maîtrisés) rendrait caduque les discours catastrophistes aux relents de repentance. Ce serait une calamité pour les partis politiques verts / antinucléaires.
Tous leurs efforts de culpabilisation seraient anéantis et les slogans clamant que « l’austérité est inéluctable » perdraient leur impact. Chacun se tournerait spontanément vers cette énergie salvatrice.
Plus besoin, alors, des conseils des partis verts et des organismes non gouvernementaux (ONG) qui prospèrent en cultivant la peur. Certains idéologues de la décroissance veulent détruire ce pilier de la production d’électricité bon marché car il favorise le monde industriel, source honteuse de création de richesses. De plus, le nucléaire est un « ennemi fédérateur » bien commode pour souder un parti politique.
Être écologiste et soutenir le développement de la production d’électricité d’origine nucléaire n’est pas une originalité puisqu’il existe même une Association des Écologistes Pour le Nucléaire (AEPN) qui compte plusieurs dizaines de milliers d’adhérents.
JOUER SUR LA PEUR PAR IDÉOLOGIE
Il n’y a pas de solutions miracles aux défis énergétiques, pas plus qu’il n’y a de solutions diaboliques. La peur est facile à répandre. C’est un réflexe naturel de protection ancestrale contre l’inconnu. Elle ne se combat qu’en faisant comprendre la réalité afin que chacun puisse exercer son libre arbitre. Mais c’est difficile.
Informer posément, avec des arguments, demande du temps dans une société qui n’en a guère et qui « zappe » rapidement. Et c’est si peu vendeur… face aux prophètes du malheur et aux charlatans qui promettent monts et merveilles en quelques mots (demain, l’humanité vivra du vent et du soleil). La lutte contre l’obscurantisme est permanente depuis des siècles.
À quoi sert de dire la vérité
RépondreSupprimerQuand le premier militant venu,
« Expert » braillard et trop écouté,
L’écrase et l’empêche d’être entendue ?
Il faut attendre que le temps passe,
Et la réalité fait surface.
Mais quelques lignes en bas d’un journal
N’extrairont pas le germe du mal
Planté tout au fond de la conscience
D’une population en mal de science.
La consommation d’énergie, et notamment d’électricité, augmente dans le monde avec une population aspirant à plus de confort (notamment dans les pays émergents).
Produire cette énergie avec de l’uranium et du thorium disponibles pour des millénaires dans la terre, deviendra une nécessité pour diminuer notre dépendance aux énergies fossiles.
Parvenir à « sortir du fossile » implique de modifier nos habitudes de consommation d’énergie en recourant massivement à l’électricité d’origine nucléaire et, en partie, à l’hydraulique et à la biomasse, là où c’est possible.
Refuser toute idée de nucléaire civil semble désormais relever d’un choix idéologique et non d’un raisonnement rationnel. C’est priver notre pays d’un atout essentiel, source de développement pour nos industries et pour l’humanité.
L’ATOUT NUCLÉAIRE
L’industrie nucléaire constitue un atout pour une politique énergétique efficace compatible avec la transition énergétique et la création d’emplois non délocalisables.
Proportionnellement à sa production d’électricité, le nucléaire a un faible impact sur l’environnement. Il permet de répondre en grande partie aux besoins en énergie des sociétés modernes, et aussi à certains pays en développement qui aspirent légitimement à un niveau de confort élevé.
Ils bénéficieront ainsi d’une énergie abondante, décarbonée et sûre. Les autres pays pourront ainsi bénéficier plus longtemps des énergies fossiles économisées par les premiers pour atteindre un niveau de développement technique compatible avec l’utilisation du nucléaire.
La France doit donc soutenir l’industrie nucléaire pour bénéficier des retombées économiques de son extraordinaire potentiel de croissance et d’emploi à travers le monde. Elle devrait aussi éviter de se perdre dans l’impasse technique, économique et écologique du photovoltaïque et de l’éolien.
RépondreSupprimerSon excellence technologique dans le nucléaire ouvre des opportunités de développement commercial qui permettront d’exporter un savoir-faire face à la concurrence qui se prépare (Russie, Inde, Chine, États-Unis, Corée du Sud).
Dans l’intérêt supérieur de la Nation, et donc dans l’intérêt général des Français, la France doit s’engager résolument sur la voie du nucléaire.
L’énergie, c’est la vie !
Alors vive la transition énergétique vers le nucléaire, vive l’écologie nucléaire, et vive le nucléaire… heureux !
Michel Gay est l’auteur de Vive le nucléaire heureux !
https://www.contrepoints.org/2017/07/25/295436-nucleaire-etre-heureux
Questions et réponses Pourquoi implémentez-vous des micro-puces dans les mains de vos employés ?
RépondreSupprimerLe marché de Three Sqaure basée au Wisconsin servira les employés avec une microchip le 1er août. Le marché de Three Sqaure basé sur le Wisconsin implantera à des employés disposés à accepter une micropuce le 1er août
Par Alexa D'Angelo
Vous n'oublierez jamais votre badge de travail s'il est implanté dans votre chair.
C'est la pensée chez Three Square Market, une société de logiciels de vente automatique de Wisconsin qui propose d'injecter des micro-puces dans des employés afin qu'ils puissent ouvrir des portes de bureau, se connecter à des ordinateurs, partager des cartes de visite et même acheter des collations avec juste une vague de main.
Le directeur général, Todd Westby, a parlé avec The Times de son adoption des puces d'identification par radiofréquence et de son entreprise entièrement volontaire le 1er août impliquant un événement "écaillage". Cette interview a été éditée pour plus de clarté et de continuité.
Comment se fait-on «ébréché»?
C'est comme un piercing d'oreille. La procédure n'est pas chirurgicale; La puce est injectée. Un professionnel agréé le met dans la peau entre le doigt du pointeur et le pouce. Si vous ne le voulez plus, vous pouvez l'enlever comme un ruban.
Le fait de diminuer le corps humain semble être un grand départ des distributeurs automatiques. Pourquoi votre entreprise expérimente-t-elle le biohacking ?
Ce n'était pas quelque chose que nous allions chercher. Nous travaillions en Europe et l'un de nos opérateurs avait la technologie de la puce ... Et puis, l'idée d'apporter cette technologie à notre entreprise est passée à partir de là. Nous sommes une société de technologie, donc je ne pense pas que personne ne l'a surpris, surtout parce que cela peut être utilisé avec notre technologie.
Chipping est comme des voitures auto-conduisant, qui auraient pensé il y a 15 ans, ce serait autour ?
Nous ne pouvons pas suivre quand vous allez dans les toilettes, nous ne pouvons pas suivre quand et où vous allez et allez - c'est purement pour la commodité.
- Le directeur général de Three Square Market Todd Westby
Les employés doivent-ils être ébréchés ?
C'est totalement volontaire, le seul incitatif est de ramasser tous les coûts associés. Il y a environ 55 personnes désireuses d'être ébréché la semaine prochaine, mais je pense qu'avec tous les buzz autour d'elle, ça passera à 100.
RépondreSupprimerPouvez-vous suivre le lieu où se trouvent les employés? Y a-t-il des préoccupations concernant la vie privée ?
Non, absolument pas. C'est une puce passive, ce n'est pas comme une puce dans votre chien. Il n'y a pas de suivi GPS. Nous ne pouvons pas suivre quand vous allez dans les toilettes, nous ne pouvons pas suivre quand et où vous allez et allez - c'est purement pour la commodité.
Le piratage est-il un risque ?
C'est vraiment inexistant. Il est 100 % chiffré, de sorte qu'il est plus sécurisé que d'autres choses liées aux lecteurs RFID, comme les téléphones ou les cartes de crédit. Il existe un cryptage de 256 bits et la seule manière dont vous pourriez vous rapprocher du piratage devrait être à moins de six pouces de la puce - mais même alors, les données seraient brouillées.
Qu'est-ce que l'assureur de santé de votre entreprise pense à cela ?
La compagnie d'assurance ne sait pas parce que c'est comme obtenir un piercing. La puce est approuvée par la FDA et il n'est donc pas nécessaire de les impliquer.
Que se passe-t-il si un employé est licencié ou quitte l'entreprise ?
Nous désactiverons le compte de la personne. Ce n'est pas différent d'une carte de crédit. Nous n'allons pas obliger les gens à sortir la puce car ils peuvent être utilisés avec des choses différentes, mais cela ne leur permettra pas d'accéder à notre bâtiment ou à nos ordinateurs.
Prévoyez-vous d'être ébréché ?
Oui. En fait, ma famille entière le fait. Ma femme, mon fils qui est un junior au collège et ma fille qui est au lycée, vont tous les chercher la semaine prochaine avec moi. Je vais l'utiliser pour allumer les lumières dans ma maison - toute notre maison est automatisée. Donc, lorsque je scanne ma main qui arrive dans la porte d'entrée, elle allume les lumières dont j'aurai besoin et allume ma station de télévision préférée.
http://www.latimes.com/business/technology/la-fi-tn-32market-chipping-20170724-htmlstory.html
SupprimerCette puce RFID est déjà injectée lors des vaccinations ! la micro-pute se trouve DANS l'aiguille fixée sur la seringue (et non dans le vaccin).
Elle peut être repérable au scanners et enlevée par une simple incision. Elle est aussi facilement piratable comme reprogrammable afin de se faire soit passer pour quelqu'un d'autre (comme pour les cartes bancaires piratées), soit pour en modifier partiellement son identité.
C’est désormais prouvé: la Lune est riche en eau
RépondreSupprimer08:48 25.07.2017
Une équipe internationale d’astrophysiciens a réussi à démontrer que les profondeurs lunaires étaient étonnamment riches en eau.
Jupiter
Les futurs explorateurs pourront-ils se désaltérer avec de l'eau de la lune ? Selon des travaux publiés lundi dans la revue Nature géosciences, les profondeurs de l'astre seraient étonnamment riches en eau.
«Nous avons trouvé la signature de l'eau partout dans les profondeurs de la Lune en utilisant des données satellitaires», explique Shuai Li de l'Université Brown à Providence aux États-Unis, et coauteur de l'étude.
Rappelons au passage que pendant longtemps, on a perçu la Lune comme un astre aride, d'«une magnifique désolation» ou encore «complétement sèche».
Mais la présence d'eau sur l'astre ne fait maintenant plus débat. En 2008 déjà, des chercheurs avaient trouvé des molécules d'eau à l'intérieur de magma ramené par des astronautes des missions Apollo.
«Restait à savoir si ces échantillons reflétaient les conditions générales des entrailles de la Lune ou représentaient plutôt des régions riches en eau exceptionnelles, anormales dans un manteau "sec"», note Ralph Milliken, également de l'Université Brown à Providence et coauteur de l'étude.
En utilisant des données satellitaires, les deux chercheurs ont mis en évidence que des dépôts volcaniques contenaient des quantités exceptionnellement élevées d'eau, venant des profondeurs de la Lune.
A sa naissance, la Lune était une terre très hostile
«Ces gisements riches en eau sont répartis sur la surface, ce qui prouve que l'eau trouvée dans les échantillons d'Apollo n'est pas un cas unique», explique Ralph Milliken.
L'hypothèse la plus largement répandue sur l'origine de la formation de la Lune et celle d'une énorme collision entre la Terre et un corps de la taille de Mars, peu après la formation du système solaire.
Cette découverte fait naître une question: comment l'hydrogène nécessaire à la formation d'eau a pu survivre aux températures extrêmes induites par l'impact ?
Selon l'étude, les gisements contiennent peu d'eau (moins de 0,05%), mais ils sont énormes, pouvant atteindre jusqu'à 1.000 km2. L'astre serait donc finalement «étonnamment riche en eau», selon les chercheurs.
Une découverte qui pourrait avoir une application concrète dans l'avenir: «L'eau pourrait être utilisée comme ressource in situ lors d'une futur exploration», selon Shuai Li.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201707251032363298-lune-eau-etude-preuves/
Après des déclarations de Mike Pompeo, Maduro accuse la CIA de préparer un complot pour le renverser
RépondreSupprimer25 juil. 2017, 08:14 -
Avec AFP
Le dirigeant vénézuélien a demandé à Donald Trump de prendre des mesures contre le directeur de la CIA Mike Pompeo. Ce dernier avait déclaré s'être rendu en Colombie et au Mexique pour évoquer la transitions politique au Venezuela.
Le président vénézuélien Nicolas Maduro a exigé le 24 juillet des gouvernements américain, mexicain et colombien des explications concernant leur implication supposée dans un complot que la CIA préparerait selon lui pour le renverser.
«Je demande au président Trump de clarifier les mots insolents, interventionnistes du directeur de la CIA, qui pense être le gouvernement mondial», a déclaré Nicolas Maduro lors d'une cérémonie militaire.
Le président vénézuélien a accusé le directeur de la CIA, Mike Pompeo, d'avoir fait savoir que Washington travaillait «en collaboration directe avec le gouvernement mexicain et le gouvernement colombien afin de renverser le gouvernement du Venezuela», selon les termes de Nicolas Maduro.
Lire aussi
Le président vénézuélien Nicolas Maduro Le président vénézuélien Maduro reprend le tube «Despacito» pour promouvoir les élections (VIDEO)
Le 20 juillet, le directeur du renseignement américain avait déclaré, lors d'une conférence au forum sur la sécurité qui s'est tenu à Aspen, aux Etats-Unis : «Nous avons bon espoir qu'il puisse y avoir une transition politique au Vénézuela et nous, la CIA, faisons de notre mieux pour comprendre la dynamique sur place [...] J'étais à Bogota et à Mexico, il y a deux semaines, et j'ai précisément évoqué ce thème [une transition politique au Venezuela], en essayant de les aider à comprendre ce qu'ils pourraient faire pour obtenir de meilleurs résultats dans ce coin du monde.» Les propos de Mike Pompeo ont été relayés sur le site internet du forum d'Aspen.
«J'exige [...] du gouvernement mexicain et du gouvernement colombien qu'ils clarifient ces déclarations du directeur de la CIA et qu'ils prennent des sanctions politiques et diplomatiques à la hauteur de cette insolence», a lancé Nicolas Maduro.
Le ministère colombien des Affaires étrangères a assuré, le 24 juillet, qu'il n'était jamais intervenu dans les affaires intérieures du Venezuela. Le gouvernement mexicain n'a pas réagi dans l'immédiat.
Le Vénézuela entame une semaine décisive, l'opposition multipliant les initiatives pour tenter de bloquer l'élection prévue le 30 juillet de l'assemblée constituante voulue par le président Maduro.
RépondreSupprimerDepuis près de quatre mois, des manifestations de l'opposition, qui estime que le scrutin favorise les chavistes (partisans de l'ex-président vénézuélien Hugo Chavez, dont Nicolas Maduro est l’héritier) ont lieu au Venezuela. 103 morts et des milliers de blessés sont à déplorer, tant du côté des partisans du président que de celui de ses opposants.
Lire aussi : «Brûlez-la vive !» : Une journaliste américaine témoigne des violences des manifestants au Venezuela
https://francais.rt.com/international/41324-maduro-accuse-cia-preparer-complot-renverser-declarations-mike-pompeo
La CIA comme le FBI, la presse et les Congressistes constituent un État DANS l'État !
SupprimerCes mercenaires sont partout et inondent le monde à la recherche de chefs d'États à faire tomber pour voler ses ressources minières, pétrolières ou autres comme la Liberté qui était en Libye au bon temps de Kadhafi ou actuellement au Venezuela riche aussi en pétrole.
Mais, sachant que Maduro représente le Peuple de tout le Venezuela et que CHAQUE VÉNÉZUELIEN est un président Maduro n°2 ou 3, ou 4, etc comme chacun EST un Chavez, il ne sera pas facile d'intenter une révolution. Reste à mettre un chef d'Etat criminel venu de l'étranger (comme en Libye actuellement) et de faire régner la dictature au Venezuela !
Crise climatique : les supercheries de l’IPCC dévoilées les unes après les autres
RépondreSupprimerle 25 juillet 2017
La propagande réchauffiste continue à empoisonner l’opinion mais également à infléchir les prises de décision du pouvoir politique dans de nombreux pays occidentaux. Si la Chine a été très claire après le fumeux traité de Paris sur le climat – pas de réduction des émissions de CO2 avant 2030 – d’autres pays comme l’Allemagne ou encore la Suisse ont décidé d’abandonner l’énergie nucléaire et le pitre dangereux qui est en charge du climat en France suit l’exemple désastreux de l’Allemagne en ce qui concerne cette source d’énergie. Et pourtant l’IPCC a menti depuis plus de 20 ans, un mensonge collectif, organisé et assumé par » 97 % des scientifiques spécialistes du climat « . En dépit du risque de ne plus trouver d’argent public pour continuer leurs travaux de recherche des scientifiques courageux publient néanmoins des résultats qui sont diamétralement opposés aux conclusions des rapports de l’IPCC.
Prenons l’exemple de l’Antarctique dont les médias viennent de s’occuper activement avec l’annonce faite à grands renforts de photos et d’alarmisme du détachement d’une grande langue glaciaire flottante. Certains quotidiens que je ne nommerai pas tant leur mauvaise foi est évidente alors qu’ils sont reconnus comme sérieux ont même titré que le niveau des océans allait monter pour cette raison de plusieurs centimètres. Ces journalistes peu scrupuleux ignorent que la glace flotte car sa densité est inférieure à celle de l’eau. Mais là n’est pas le sujet de ce billet. Il concerne l’évolution des températures dans la région antarctique qui englobe non seulement le continent lui-même mais également toutes les mers du sud jusqu’à une latitude de 60° sud.
Les carottes de glace très soigneusement étudiées et provenant de divers forages du glacier antarctique ont permis de reconstruire les températures passées en se basant sur les teneurs en isotopes de l’oxygène. Puisque c’est un peu compliqué et je doute que le piteux pitre ministre d’Etat du climat français ait disposé un jour de suffisamment de sagacité intellectuelle pour comprendre comment les scientifiques (dont il n’a jamais fait partie) ont pu très précisément reconstituer ces températures passées, je me fais ici un plaisir d’exposer aussi clairement et succinctement que possible de quoi il s’agit.
L’oxygène que nous respirons est constitué de deux isotopes naturels l’oxygène-16, le plus abondant à raison de 99,8 %, et d’oxygène-18 pour les 0,2 % restants. Les échanges de température entre les océans et l’atmosphère sont essentiellement assurés par les changements de phase de l’eau au cours desquels l’eau se transforme en vapeur par évaporation des océans puis la vapeur d’eau se condense en gouttelettes d’eau formant les nuages. Ce changement de phase gaz vers liquide s’accompagne d’un fort dégagement de chaleur qui va échauffer les autres constituants gazeux de l’atmosphère, essentiellement l’azote et l’oxygène. Ultimement ces gouttelettes se transforment en glace – la neige – pour encore réchauffer au cours de cet autre changement de phase l’air environnant. Toute cette chaleur se dissipera ensuite vers les hautes couches de l’atmosphère puis se perdra dans l’espace selon le deuxième principe de la thermodynamique qui stipule, en résumant à l’extrême, qu’un corps chaud ne peut pas transmettre d’énergie thermique sous forme de rayonnement vers un autre corps plus chaud.
RépondreSupprimerOn peut donc dire, toujours en résumant, que c’est grâce à la vapeur d’eau que la Terre n’est pas une fournaise car la chaleur apportée par le Soleil est constamment dissipée par ce processus de changements de phase de la vapeur d’eau. Au cours de l’évaporation de l’eau océanique qui dépend évidemment de la température la faible différence de poids entre une molécule d’eau ne contenant que de l’oxygène-16 et une molécule d’eau contenant un atome d’oxygène-18, 11 % tout de même, suffit pour enrichir la vapeur d’eau en eau (O-18) s’il fait plus chaud. En d’autres termes il faut plus d’énergie pour qu’une molécule d’eau contenant l’isotope 18 de l’oxygène s’évapore autant que pour son équivalent ne contenant que de l’oxygène 16. Dans le même ordre d’idées l’eau « lourde », également 11 % plus lourde que l’eau dite légère, utilisée comme modérateur de neutrons dans les réacteurs nucléaires de type CANDU au Canada, contient deux atomes de deutérium, l’isotope lourd de l’hydrogène, et cette eau bout à 101,4 degrés au lieu de 100 °C pour l’eau « normale », une vérification de ce qui vient d’être énoncé.
Par conséquent l’analyse de la teneur en ces deux isotopes dans la glace des carottes glaciaires de l’Antarctique permet de recalculer l’évolution de la température des océans et de l’atmosphère au cours du temps. Il s’agit d’un des « proxys » permettant aux scientifiques de se faire une idée très précise de l’évolution des températures passées au niveau de la mer mais également de l’atmosphère étant entendu que la circulation atmosphérique entre les zones intertropicales et les pôles est restée stable au cours du temps, un point qui n’a jamais été contesté par les spécialistes.
- voir graphique sur site -
RépondreSupprimerIl faut noter ici que cette même approche a été réalisée avec les concrétions calcaires des grottes et avec les coquillages et a conduit aux mêmes résultats. Dans le cas des carottes issues des forages des glaces de l’Antarctique, c’est très clair : la température moyenne de la surface des océans et de l’atmosphère n’a pas évolué au cours du XXe siècle. La reconstruction de cette évolution est visualisée comme une anomalie de température par rapport à la moyenne des températures durant toute cette période, ce qui est beaucoup plus parlant pour le néophyte dont je suis. Seules les données brutes des teneurs en oxygène-16 et -18 ont été utilisées pour construire ce graphique. Comme il est aisé de le remarquer il existe une incertitude de +/- 0,5 degrés matérialisée en grisé dans ce graphique mais en dehors de l’optimum de températures des années 1920-1940 (qui a conduit à une accélération du retrait des glaciers alpins, par exemple, 30 ans plus tard) et de ce qu’il est courant d’appeler l’optimum moderne, en gros les 20 dernières années du XXe siècle comme cela apparaît clairement dans cette illustration, les températures moyennes globales de l’Antarctique et donc des océans du sud et de l’atmosphère calculées uniquement par cette méthode, à l’exclusion de toute autre observation, sont restées remarquablement stables.
Il n’y a donc pas de souci à se faire au sujet des manchots empereurs dont la disparition a été prédite récemment par certains alarmistes du climat, la glace antarctique n’est pas sur le point de fondre et le niveau des océans n’a pas changé significativement depuis les années 1900. Cette approche strictement « isotopique » a enfin permis d’éliminer les manipulations scandaleuses de calculs des températures moyennes de surface à partir de stations météorologiques judicieusement placées dans des parkings de grandes villes ou à proximité des pistes de décollage des avions dans les aéroports, pour ne citer que ces exemples caricaturaux qui n’ont pas éveillé les soupçons des « scientifiques » de l’IPCC car ça les arrangeaient pour répandre leur propagande mensongère de réchauffement. Heureusement qu’il y a encore de nombreux spécialistes du climat qui ont le courage de clamer la réalité au risque de mettre leur carrière en danger. Et je me permets de vivement les remercier ici.
Source : Journal of Geophysical Research, doi : 10.1002/2016JD026011 , illustration tirée d’un billet du blog de Pierre Gosselin, l’auteur de l’article cité en référence n’ayant pas daigné (ou oublié de) m’envoyer une copie électronique de son article sur ma demande. L’autre illustration provenant de la Nasa est le détachement de la banquise Larsen C dans l’Antarctique.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/07/25/crise-climatique-les-supercheries-de-lipcc-devoilees-les-unes-apres-les-autres/
SupprimerRappelons tout de même (en le soulignant) que les pôles Nord & Sud ne sont PAS EXEMPTS de sources chaudes (comme le sont tous les océans et parfois les lieux terrestres) et que, il arrive que ces sources d'eaux chaudes sous-marines provoquent des détachements de glaciers parfois aidés par des tremblements de terre non-publiés pas plus que les océaniques qui ne remettent en cause la sécurité des terriens comme des navigateurs. Donc, ces détachements de glaciers, NE PEUVENT PAS être venus d'une température de surface élevée mais SEULEMENT d'une température sous-marine élevée.
Suivi de la grande évasion du comté de Cook et de l'Illinois
RépondreSupprimerPar Mish
25 juillet 2017 4:04:45
Cook County Illinois a la plus grande perte de population de n'importe quel pays dans le pays. Chicago représente un peu plus de la moitié de la population du comté de Cook.
Voici un graphique que j'ai rassemblé du "Great Escape" de l'Illinois.
Points forts
Entre 2013 et 2016, la population de l'Illinois a chuté de 77 966. La population du comté de Cook a diminué de 36 739.
Entre 2001 et 2016, la population de l'Illinois a augmenté de 313 084. La population du comté de Cook a diminué de 122 759.
À partir de 2013, la «grande évasion» est à peu près égale à celle du comté de Cook et du reste de l'état.
Faits saillants
Le 23 juillet, j'ai noté que huit États, dont Illinois, n'ont pas récupéré les emplois perdus dans les récessions antérieures. Les États sont l'Alabama, le Connecticut, l'Illinois, le Michigan, le Mississippi, le Nouveau-Mexique, l'Ohio et le Wyoming.
L'Illinois, l'Ohio et le Michigan sont toujours inférieurs aux niveaux d'emploi établis en 2000. Voici un nouveau graphique que j'ai créé en comparant l'Illinois au Michigan et à l'Ohio.
- voir graphique sur site -
Au moins l'Illinois n'est pas le dernier dans chaque catégorie.
Chômage dans le secteur métropolitain: quels États sont en marche arrière ? Spotlight Illinois
L'Illinois compte 12 zones métropolitaines, dont aucune n'a des taux de chômage inférieurs à la moyenne nationale.
L'Illinois s'est aggravé entre 1998 et 2007, puis de 2007 à 2017.
Les États voisins sont maintenant meilleurs que l'Illinois
Illinois vs États voisins
- voir graphique sur site -
Pour plus de détails, voir le chômage de la zone métropolitaine: quels états sont en marche arrière ? Spotlight Illinois.
À chaque décennie qui passe, la situation du chômage en Illinois a empiré.
Ce n'est pas surprenant. L'état a passé son premier budget dans trois exercices financiers, avec des hausses d'imposition massives. Le budget est requis par la Constitution pour être équilibré, mais ce n'est pas le cas.
Un exode d'entreprises et de citoyens privés est en cours. Les réformes sont désespérément nécessaires, mais aucune ne vient avec le passage du budget.
Rauner 0-44
RépondreSupprimerLe gouverneur Rauner est 0 pour 44 dans les réformes qu'il a entrepris d'accomplir. En fait, les hausses d'impôt sur les entreprises et les particuliers ont mis le score réel à -2 sur 44.
Les villes sans caisse souffrent en vertu des lois sur les salaires en vigueur et des promesses de retraite insoutenables.
Les sociétés souffrent des pires lois sur l'indemnisation des travailleurs dans la nation.
Les citoyens souffrent des taxes foncières les plus élevées dans le pays.
Il est trop tard pour sauver l'Illinois de l'insolvabilité. Plutôt que de résoudre le problème, les nouvelles hausses d'impacte aggraveront les choses.
Cinq réformes désespérément nécessaires
1 Législation municipale en faillite
2 Réforme des pensions
3 Législation du droit au travail
4 Fin des lois salariales en vigueur
5 Réforme de l'indemnisation des accidents du travail
Le numéro un de ma liste des réformes de l'Illinois est la législation sur la faillite. C'est la seule issue pour de nombreuses villes de l'Illinois, dont les mains sont liées par les lois sur les salaires et les régimes de retraite parrainés par les syndicats.
Moody's a tenté de dégrader l'état de l'Illinois en cas de mauvaise état, mais les ordures sont cuites au gâteau tôt ou tard. Le budget ne corrige rien.
https://mishtalk.com/2017/07/25/tracking-the-great-escape-from-cook-county-and-illinois/#more-47001
Nicolas Hulot ou le dogmatisme à l’épreuve des faits
RépondreSupprimerLa foi aveugle de Nicolas Hulot dans les énergies renouvelables est-elle dès à l’épreuve des faits ? Il est permis d’en douter.
Par Arnaud Daguin.(non scientifique)
Dix-sept réacteurs à fermer. Le chiffre, on s’en souvient, avait été avancé sans réel fondement, un peu à la louche, par le ministre de la Transition écologique, Nicolas Hulot, au début du mois de juillet 2017 sur RTL.
À l’appui de cette déclaration, l’ancien écologiste de rappeler que la France était engagée dans un processus de verdissement de son économie, et qu’il lui fallait réduire sa part de nucléaire dans la production énergétique à 50 % au profit des renouvelables. « Ça va nous obliger mécaniquement à fermer un certain nombre de réacteurs […] peut-être jusqu’à 17 réacteurs, il faut qu’on regarde » avait-il lâché.
EDF A DÉJÀ ENGAGÉ SON « GRAND CARÉNAGE »
Le parc nucléaire français, le deuxième plus grand du monde derrière celui des États-Unis, dispose de 58 réacteurs en activité répartis sur 19 centrales.
Aujourd’hui, il permet de produire jusqu’à 75 % de l’électricité, décarbonée – contrairement aux centrales à charbon, par exemple, extrêmement polluante – et au faible coût de revient. Des avantages que veut préserver le groupe EDF, exploitant du parc, détenu à 83 % par l’État, qui a engagé en 2008 le programme du « grand carénage ».
Trois quarts des réacteurs franchiront la barre des quarante années de vie d’ici 2027 et l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), le gendarme en la matière, exige de l’électricien tricolore qu’il engage des travaux de maintenance pour autoriser une éventuelle prolongation.
Ce qu’il a commencé à faire, par exemple, dans la centrale de Cattenom (Moselle), avec la rénovation du condensateur, qui permet le refroidissement du cycle de génération de l’électricité.
Si l’ASN ne se prononcera définitivement qu’à l’horizon 2019 sur le rallongement de la durée de vie des centrales, il est dores et déjà permis d’affirmer que le « grand carénage » entre en contradiction avec les objectifs, adoptés ultérieurement, de la transition énergétique.
La raison du récent bégaiement de M. Hulot à l’antenne ? Le dossier, en tout cas, est brûlant. Les anti-nucléaire notoires, en France, se sont félicités de la sortie, même approximative, du ministre de la Transition écologique. Mais est-ce réellement une bonne nouvelle pour la France ?
LE PROBLÈME DES RENOUVELABLES : LEUR INTERMITTENCE
RépondreSupprimerCar force est de constater, pour l’instant, que rien ne peut remplacer la force productrice du nucléaire dans l’Hexagone. C’est un fait tout ce qu’il y a de plus objectif.
L’ancien animateur d’Ushuaïa de plaider pour le recours massif aux énergies renouvelables, sources vertes par excellence parce qu’à peine émettrices de gaz à effet de serre (GES), principal responsable du réchauffement climatique ; sauf que « la génération d’électricité d’origine nucléaire n’émet pas plus de GES, sur un cycle complet de vie, que l’éolien terrestre ou le photovoltaïque et moins que l’éolien en mer » a réagi Jean-Pierre Schaeken Willemaers, président du Pôle énergie, climat et environnement de l’Institut Thomas More, le 15 juillet dernier.
Pour l’auteur de L’utopie du tout renouvelable, l’abandon – voire la diminution – du nucléaire n’est économiquement pas viable. « Les centrales nucléaires amorties produisent une électricité bon marché et de manière continue […] contrairement à l’électricité renouvelable intermittente ».
Sans compter qu’en matière de capacités hydrauliques, notamment, la France ne dispose que peu de marge de manœuvre ; elles représentent déjà 70 % de la production électrique d’origine renouvelable et constituent la deuxième source, après le nucléaire, de production d’électricité.
C’est pourquoi, selon M. Schaeken Willemaers, « sans le tiers des réacteurs nucléaires, l’équilibre du système électrique ne peut être assuré qu’en augmentant considérablement la pénétration de l’éolien et du photovoltaïque, source intermittente d’électricité requérant de lourds investissements […] », dans les capacités de stockage par exemple, qu’il faudrait considérablement améliorer.
Aujourd’hui, bien que les technologies s’améliorent d’année en année, il est impossible de répondre aux fluctuations de la demande électrique en ayant simplement recours aux renouvelables. Le soleil et le vent ne se commandent pas, après tout.
DES « CONTRATS DE TRANSITION » INAPPLICABLES POUR LES SALARIÉS DE L’ATOME
Et même si c’était le cas, la disparition de 17 réacteurs impliquerait des chantiers faramineux pour substituer à leur force productrice des installations renouvelables.
Le 10 juillet dernier, des journalistes du journal Le Parisien se sont prêtés au jeu des comparaisons et, le moins que l’on puisse dire, c’est que les résultats sont, au mieux, décourageants, au pire, irréalisables.
Si l’on prend les 17 réacteurs les plus anciens du parc français, c’est une capacité totale de 15 GWe qu’il faut compenser » selon eux. Ce qui correspond « à la production de 1 400 installations hydroélectriques, de près de 6 600 éoliennes terrestres ou encore de 3 730 000 installations solaires.
La foi aveugle de Nicolas Hulot dans les énergies renouvelables est-elle dès lors à l’épreuve des faits ? Il est permis d’en douter : énergétiquement, les sources vertes ne peuvent donc rivaliser avec l’atome ; économiquement, leur coût serait catastrophique non seulement pour EDF, mais, partant, pour toutes les personnes qui dépendent de l’électricité nucléaire. « La Cour des comptes avait calculé qu’une fermeture anticipée priverait EDF de plus de 5 milliards d’euros de résultat opérationnel par an » pointait récemment Vincent Beaufils, directeur de la rédaction de la revue Challenges.
RépondreSupprimerDe quoi certainement se réjouir chez les militants anti-nucléaire, qui omettraient simplement, tout comme Nicolas Hulot, la réalité des faits, certes terre-à-terre et moins idéaliste – mais la réalité tout de même.
Plus de 220 000 personnes sont aujourd’hui employées par la filière nucléaire. Le ministre de la Transition écologique a beau avoir proposé un « contrat de transition » pour les salariés de la filière charbon – dont les centrales fermeront d’ici 2022 –, celui-ci est difficilement transposable à l’atome.
Cela voudrait dire que la France peut créer plusieurs centaines de milliers d’emplois dans les énergies vertes, et ce en quelques années à peine, alors que la technologie balbutie encore et que l’hydraulique, notamment, arrive au terme de ses capacités.
Sans compter que les prix de l’électricité augmenteront nécessairement avec l’abandon du nucléaire – qui est une mesure farouchement anti-démocratique et, donc, politiquement très mauvaise. Emmanuel Macron voulait éviter les vagues dans son gouvernement ; le dogmatisme de son ministre écologiste pourrait créer un raz-de-marée.
https://www.contrepoints.org/2017/07/26/295518-nicolas-hulot-dogmatisme-a-lepreuve-faits
Visualiser les sources d'énergie qui alimentent le monde ?
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
26 juillet 2017 1 heure du matin
Il existe de nombreux types de cartes là-bas, mais l'une des plus révélatrices est une simple image satellite de la Terre la nuit. Comme l'écrit Jeff Desjardins sur ces images puissantes, l'obscurité est une toile vierge pour les lumières lumineuses de la ville qui représentent la vaste étendue de la géographie humaine. Les points forts nous permettent de comprendre la répartition de la population, ainsi que de quelles régions du monde sont généralement plus riches et plus urbaines. Pendant ce temps, les grandes taches sombres - telles que la nature sauvage dans le nord du Canada, le bassin amazonien ou au Niger - montrent des zones qui ne sont pas densément peuplées ou plus rurales.
Voici une image basée sur ce principe. Il vient de la NASA et est un composite composé de 400 images satellitaires distinctes depuis 2012:
Image composite satellite de la Terre
- voir graphique sur site -
Source: Visual Capitalist
Comment ces lumières sont-elles alimentées ?
Mais que faire si nous pouvions nous différencier, en éteignant les lumières alimentées par certaines sources d'électricité ?
Les visualisations d'aujourd'hui proviennent d'un site Web interactif conçu par GoCompare.com, et ils décomposent l'électricité mondiale par source: les combustibles fossiles, les énergies renouvelables ou la fission nucléaire.
Combustibles fossiles
Pour commencer, voici les lieux sur Terre alimentés par des combustibles fossiles.
- voir graphique sur site -
Combustibles fossiles seulement
Source: Visual Capitalist
À l'échelle mondiale, les combustibles fossiles représentent environ les deux tiers de l'utilisation de l'électricité. Il est également intéressant de noter que les combustibles fossiles constituent également la majorité des sources non électriques nécessaires pour des choses comme les automobiles, les avions et les navires, qui ne sont pas affichés sur la carte.
Pour plus d'intérêt, nous avons déjà montré l'évolution au fil du temps de l'utilisation totale d'énergie des États-Unis, ainsi qu'une ventilation détaillée de l'utilisation actuelle des États-Unis - tous deux dominés par des combustibles fossiles tels que le pétrole, le gaz naturel et le charbon.
Seulement nucléaire
Voici les endroits sur Terre alimentés par la fission nucléaire.
- voir graphique sur site -
Nucléaire seulement
Source: Visual Capitalist
Le nucléaire représente environ 10% de l'utilisation de l'électricité à l'échelle mondiale - et la France est le pays le plus enraciné du monde, ce qui représente environ 74% de son mélange de puissance nucléaire. Il convient également de souligner que le Japon, qui a changé sa principale source d'électricité, du nucléaire aux combustibles fossiles depuis l'incident de Fukushima en 2011.
Le nucléaire est également une source d'énergie majeure dans le reste de l'Europe.
RépondreSupprimerBelgique (51%), Suède (43%), Hongrie (51%), Slovaquie (55%), République tchèque (35%), Slovénie (33%), Ukraine (43%) et Finlande (33%) Attirer des quantités importantes de leur électricité à partir de réacteurs nucléaires.
Renouvelables
Le dernier, mais pas le moindre, sont les énergies renouvelables.
- voir graphique sur site -
Les énergies renouvelables seulement
Source: Visual Capitalist
Il est important de rappeler ici que l'hydroélectricité est la plus grande source d'énergie renouvelable de loin, et que des pays comme le Canada et le Brésil comptent largement sur l'hydroélectricité.
En dehors de l'hydroélectricité, l'Italie est un chef de file en génie solaire (6% de l'électricité). Pendant ce temps, seulement huit pays accueillent plus de 80% de l'énergie éolienne installée: la France, le Canada, le Royaume-Uni, l'Espagne, l'Inde, l'Allemagne, les États-Unis et la Chine.
Enfin, il convient de noter qu'il y a quatre pays plus petits qui obtiennent tout ou presque leur électricité à partir de sources renouvelables. Ceux-ci incluent l'Islande (72% hydroélectrique, 28% géothermique), l'Albanie (100% hydro), le Paraguay (100% hydro) et la Norvège (97% d'hydroélectricité, 2% de combustibles fossiles et 1% d'autres).
http://www.zerohedge.com/news/2017-07-25/visualizing-what-energy-sources-power-world
About free energy
SupprimerMonday, October 1, 2012
http://huemaurice5.blogspot.fr/2012/10/la-crise-politico-financiere.html
Paul Craig Roberts sur "La conspiration pour enlever le tronc de la présidence"
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
25 juillet 2017 11:55 PM
Édité par Paul Craig Roberts,
Les services de renseignement des États-Unis, le Parti démocratique, certains républicains, y compris les membres du gouvernement du président Trump, et les médias américains médiatiques sont en conspiration contre la démocratie américaine et le président des États-Unis.
Nous le savons d'une lettre publique à Trump publiée aujourd'hui, le 24 juillet 2017, sur consortiumnews.com par Veteran Intelligence Professionals for Sanity.
MÉMORANDUM POUR: Le Président
DE: Veteran Intelligence Professionals for Sanity (VIPS)
SUJET: Le "Hack Russe" était-il un travail à l'intérieur?
Résumé
Les études judiciaires du «piratage russe» dans les ordinateurs du Comité national démocratique l'année dernière révèlent que, le 5 juillet 2016, les données ont été divulguées (non piratées) par une personne ayant un accès physique aux ordinateurs DNC, puis ont été traitées pour incriminer la Russie.
Après avoir examiné les métadonnées de l'intrusion "Guccifer 2.0" le 5 juillet 2016 dans le serveur DNC, les cyber-enquêteurs indépendants ont conclu qu'un initié a copié les données DNC sur un périphérique de stockage externe et que des "signes indicateurs" impliquant la Russie ont ensuite été insérés.
L'une des principales conclusions des enquêtes judiciaires indépendantes est la conclusion selon laquelle les données DNC ont été copiées sur un périphérique de stockage à une vitesse qui dépasse de loin une capacité Internet pour un hack à distance. De la même importance, les médecins légistes montrent que la copie et le doctorat ont été effectués sur la côte est des États-Unis. Jusqu'à présent, les médias traditionnels ont ignoré les résultats de ces études indépendantes [voir ici et ici].
L'analyste indépendant Skip Folden, un gestionnaire de programme IBM à la retraite pour les technologies de l'information aux États-Unis, qui a examiné les conclusions récentes de la médecine légale, est co-auteur de ce mémorandum. Il a rédigé un rapport technique plus détaillé intitulé «Enquête cyber-judiciaire de« Hack Russe »et Disclaimers de la Communauté de renseignements manquants», et l'a envoyé aux bureaux du Conseiller spécial et du Procureur général. Le membre VIPS William Binney, ancien directeur technique de l'Agence de sécurité nationale et d'autres anciens élèves de la NSA dans VIPS témoignent du professionnalisme des résultats forensaux indépendants.
Les récentes études judiciaires complètent l'écart critique. Pourquoi le FBI a-t-il négligé d'effectuer des recherches judiciaires indépendantes sur le matériel original "Guccifer 2.0"? Il reste un mystère, de même que le manque de signes que les «analystes sélectionnés à la main» du FBI, de la CIA et de la NSA, qui ont écrit «Intelligence Community Assessment "du 6 janvier 2017, a attiré l'attention sur la médecine légale.
RépondreSupprimerREMARQUE: Il y a eu tellement de confusion quant aux accusations de piratage que nous souhaitons rendre très clair l'objet principal de ce Mémorandum. Nous nous concentrons spécifiquement sur le «hack» de Guccifer 2.0 du 5 juillet 2016 du serveur DNC. Dans les notes antérieures de VIPS, nous nous sommes adressés à l'absence de toute preuve reliant les pirates allégués de Guccifer 2.0 et WikiLeaks, et nous avons demandé au Président Obama de divulguer toute preuve que WikiLeaks a reçu des données DNC des Russes [voir ici et ici].
S'agissant de ce point lors de sa dernière conférence de presse (18 janvier), il a décrit «les conclusions de la communauté du renseignement» comme «non concluant», même si l'évaluation de la communauté du renseignement du 6 janvier a exprimé une «haute confiance» que l'intelligence russe Acquis de la DNC ... à WikiLeaks ".
L'admission d'Obama ne nous a pas surpris. Il nous a été clair depuis longtemps que la raison pour laquelle le gouvernement américain manque de preuves concluantes d'un transfert d'un «hack russe» à WikiLeaks est qu'il n'y avait pas de transfert de ce genre. Basé principalement sur l'expérience technique cumulative unique de nos anciens collègues de la NSA, nous avons dit depuis près d'un an que les données de DNC ont atteint WikiLeaks via une copie / fuite par un initié de DNC (mais presque certainement pas la même personne qui a copié les données de DNC Le 5 juillet 2016).
D'après les informations disponibles, nous concluons que le même processus de copie / fuite à l'intérieur-DNC a été utilisé à deux moments différents, par deux entités différentes, pour deux objectifs distinctement différents:
- (1) une fuite à l'intérieur de WikiLeaks avant que Julian Assange n'annonce le 12 juin 2016 qu'il avait des documents DNC et prévoyait de les publier (ce qu'il a fait le 22 juillet) - l'objectif présumé étant d'exposer un fort indice de DNC envers Clinton candidature; et
- (2) une fuite distincte le 5 juillet 2016, afin de détecter de manière préventive tout WikiLeaks pourrait ensuite publier en "montrant" qu'il provien d'un "hack russe".
Contrairement à la CIA, la NSA et le FBI, les professionnels du renseignement vétérans ont effectué des enquêtes judiciaires. Ils ont trouvé des preuves concluantes que l'intrusion alléguée "Guccifer 2.0" 5 juillet 2016 dans le serveur DNC [ce sont les courriels qui montrent que la DNC travaille pour Hillary contre Sanders] n'a pas été piraté, mais a été divulgué.
RépondreSupprimerLes documents divulgués ont été copiés sur un périphérique de stockage externe et ont été traités avec un travail coupé et coller pour impliquer la Russie comme ayant piraté les documents.
En d'autres termes, le hack allégué était plutôt une copie de l'intérieur qui a ensuite été traitée pour refléter l'origine russe.
Les professionnels du vétéran de l'intelligence estiment que cela a été fait afin de détourner l'attention du contenu embarrassant des courriels, en mettant plutôt l'accent sur «l'ingérence russe dans les élections présidentielles américaines».
Comme je le vois, le succès de cette histoire fausse et orchestrée de piratage russe, pour laquelle il n'y a pas de fragments de preuve, a révélé au complexe militaire / de sécurité l'opportunité de supprimer Trump et de protéger ainsi le budget et le pouvoir surdimensionnés de l'armée / Complexe de sécurité qui est menacé par l'intention de Trump de normaliser les relations avec la Russie.
Il a révélé aux forces de Hillary l'occasion de se défendre avec l'argument selon lequel la Russie a volé les élections pour Trump.
Il a révélé à Israël l'opportunité de mettre fin au retrait par Trump de l'ingérence des États-Unis au Moyen-Orient, permettant ainsi à Israël de continuer à utiliser l'armée américaine pour éliminer les obstacles à l'expansion israélienne.
Il a fourni aux titulaires de presse, qui détestent Trump et "les déplorables" qui l'ont élu, avec une histoire principale pendant des mois et des mois à suivre dans leurs attentes avec l'histoire du retrait de Trump de la présidence.
Les professionnels du renseignement à la retraite sont trop prudents pour dire au président Trump qu'il y a une conspiration en cours pour l'enlever, soit par une mise en accusation ou un assassinat par un «lionceau isolé» de droite enflammé contre le traître, mais cela semble être le message entre les lignes. Comme j'ai fourni le lien vers la lettre, vous pouvez le lire et en arriver à votre propre conclusion.
http://www.zerohedge.com/news/2017-07-25/paul-craig-roberts-conspiracy-remove-trump-presidency
Le président de la Bolivie déclare "l'indépendance totale" de la Banque mondiale et du FMI
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
25 juillet 2017 18h10
Via The American Herald Tribune,
Le président de la Bolivie, Evo Morales, a souligné l'indépendance de son gouvernement à l'égard des organisations internationales de prêt d'argent et leur impact néfaste sur la nation, a rapporté la télévision Telesur.
"Un jour comme aujourd'hui en 1944 a mis fin à la Conférence économique de Bretton Woods (États-Unis), dans laquelle le FMI et la Banque mondiale ont été créés", a déclaré Morales.
"Ces organisations ont dicté le sort économique de la Bolivie et du monde. Aujourd'hui, nous pouvons dire que nous en avons totalement l'indépendance".
Morales a déclaré que la dépendance passée de la Bolivie à l'égard des agences était si grande que le Fonds monétaire international avait un bureau au siège du gouvernement et même participé à leurs réunions.
La Bolivie est maintenant en train de devenir membre du marché commun du Sud, le Mercosur et Morales ont assisté au sommet du groupe en Argentine la semaine dernière.
L'insurrection populaire de la Bolivie, connue sous le nom de The Cochabamba Water War en 2000 contre la Bechtel Corporation basée aux États-Unis sur la privatisation de l'eau et les politiques associées de la Banque mondiale, met en lumière certains des problèmes de dette auxquels la région est confrontée.
Certaines des plus grandes luttes de résistance de la Bolivie au cours des 60 dernières années ont ciblé les politiques économiques menées par le Fonds monétaire international et la Banque mondiale.
La plupart des protestations ont porté sur l'opposition aux politiques de privatisation et aux mesures d'austérité, y compris les réductions des services publics, les décrets de privatisation, la réduction des salaires, ainsi que l'affaiblissement des droits du travail.
Depuis 2006, un an après que Morales est arrivée au pouvoir, les dépenses sociales en santé, en éducation et en programmes de lutte contre la pauvreté ont augmenté de plus de 45 pour cent.
L'administration de Morales a fait d'énormes transformations dans la nation andine. Les chiffres parlent d'eux-mêmes: la nationalisation des hydrocarbures, la réduction de la pauvreté de 60% à moins de 40%, une diminution du taux d'analphabétisme de 13% à 3%, triplant le PIB avec une croissance moyenne de 5% par an, le Le quadruplement du salaire minimum, l'augmentation de la couverture de l'État sur tous les fronts et le développement de l'infrastructure dans les communications, les transports, l'énergie et l'industrie.
Et surtout, la stabilité, un mot inhabituel dans l'histoire politique troublée de la Bolivie, dont aujourd'hui, avec le ralentissement économique rencontré par de nombreux pays de la région, est un véritable privilège.
http://www.zerohedge.com/news/2017-07-25/bolivias-president-declares-total-independence-world-bank-and-imf