Un autre "connu" de la police : Que sait-on de l'assaillant de Hambourg ?
RT sam., 29 juil. 2017 15:47 UTC
L'homme de 26 ans qui a tué au couteau une personne et en a blessé plusieurs autres vendredi 28 juillet à Hambourg, en Allemagne, était connu des forces de police en tant qu'islamiste, a révélé le 29 juillet, le ministre de l'Intérieur de la ville, Andy Grote
La police qui connaissait le radical
Selon lui, en revanche, rien ne laissait croire que l'assaillant était un djihadiste. L'élu a encore souligné qu'à ce stade, certaines indications laissaient croire à des motivations islamiste, mais que l'agresseur souffrait aussi de problème psychologiques.
Un porte-parole de la police a précisé « ne pas pouvoir confirmer » en l'état que l'agresseur était un islamiste. « Nous enquêtons dans toutes les directions », a-t-il dit.
Le quotidien berlinois Tagesspiegel, citant des sources proches des services de sécurité, affirme que l'agresseur, né en 1991, était connu de la police comme un islamiste et était arrivé dans le pays comme réfugié. Selon plusieurs témoins l'agresseur a crié à plusieurs reprises « Allah Akbar » lors des faits.
La police a également revu légèrement à la hausse le bilan de l'attaque, soulignant qu'en plus de la personne décédée, six personnes avaient été blessées, dont certaines grièvement.
Changement
Il s'était récemment vêtu d'habits religieux musulmans, récitait des sourates du Coran dans son foyer et avait changé, selon les autorités locales.
Le ministre local de l'Intérieur a fait état, à ce stade de l'enquête, de liens avec des motivations religieuses, islamistes pour le passage à l'acte.
Mais dans le même temps, il a aussi parlé d'une instabilité psychologique de l'homme. En fin du compte la situation reste confuse et il n'est pas encore possible de savoir lequel des éléments a constitué l'élément déclencheur, a souligné Andy Grote.
Suite à un signalement à la police sur sa radicalisation, l'assaillant, arrivé en 2015 en Allemagne comme demandeur d'asile, avait reçu la visite de policiers. Ces derniers n'avaient pas décelé toutefois de danger immédiat de passage à l'acte.
-- Commentaire : Il était radicalisé donc potentiellement dangereux mais la police n'a absolument rien fait. Bien. --
Une chose paraît établie: il a agi seul vendredi. « Il n'y a pas d'éléments sur l'existence d'un réseau », a souligné une responsable de la police locale.
L'homme a d'abord fait irruption dans un supermarché, a volé un couteau de cuisine avec une lame de 20 centimètres et s'est jeté sur un homme de 50 ans en le poignardant mortellement. L'homme a ensuite blessé deux autres clients à l'intérieur du magasin puis a pris la fuite dans la rue, où il a encore blessé à coups de couteau plusieurs passants.
La politique migratoire remise en question
Sur le plan politique, les interrogations autour de l'accueil des migrants ressurgissent dans le pays, qui a accueilli plus d'un million de demandeurs d'asile depuis 2015. Angela Merkel se voit depuis accusée par la droite nationaliste d'avoir fait entrer des djihadistes en puissance en Allemagne.
Débouté de sa demande, l'agresseur de Hambourg n'avait pu être reconduit à la frontière.
« Il s'agit manifestement d'un étranger en instance de départ mais qui ne pouvait pas être expulsé parce qu'il n'avait pas de documents d'identité », a expliqué le maire de Hambourg Olaf Scholz.
Politiquement, ce point est délicat pour les autorités allemandes, dans un contexte chargé du fait de la proximité des élections législatives du 24 septembre, où Angela Merkel briguera un quatrième mandat.
Le lien a commencé en effet à être fait en Allemagne avec l'attentat djihadiste au camion-bélier contre le marché de Noël à Berlin en décembre ayant fait 12 morts.
Il avait été commis par un demandeur d'asile tunisien, Anis Amri, qui était dans une situation juridique identique : débouté mais non expulsable car sans documents en règle.
Le maire de Hambourg a réclamé un nouveau tour de vis. « Il est urgent que ce type d'obstacles pratiques et juridiques aux expulsions soient levés »", a-t-il dit.
-- Commentaire : Toujours le même discours, n'est-ce pas ? Les mêmes excuses, toujours les mêmes paroles, promesses, une façon de se laver les mains de la situation. Et de faire en sorte que la population se sente insécure, fragile non seulement face a des possibles attentats de toutes sortes mais face à un groupe d'individus qui n'est pas capable de protéger les citoyens de rien. Que la peur, donc, règne partout ! --
Un attentat visant à faire tomber un avion déjoué en Australie
30 juil. 2017, 06:42 - Avec AFP
Les forces de l'ordre australiennes ont déjoué un complot terroriste présumé islamiste visant à faire tomber un avion avec un engin explosif improvisé, et quatre personnes ont été arrêtées à Sydney, selon le Premier ministre Malcolm Turnbull.
«Je peux annoncer que la nuit dernière une importante opération de contre-terrorisme a eu lieu pour déjouer un complot terroriste visant à faire tomber un avion», a déclaré le Premier ministre australien Malcolm Turnbull à des journalistes. Dans la foulée, les mesures de sécurité ont été renforcées dans les principaux aéroports du pays.
«La menace terroriste est bien réelle», a averti le Premier ministre, précisant que le projet d'attaque semblait plus relever d'un «complot élaboré» que de l'œuvre d'un loup solitaire.
«Des personnes opérant comme des loups solitaires demeurent la principale menace pour l'Australie. Cependant, il est également possible que des personnes mènent des projets et des attaques plus sophistiqués», a déclaré à des journalistes le ministre de la Justice Michael Keenan.
Lire aussi Le lieu de la prise d'otages à Melbourne Prise d’otages à Melbourne : «événement terroriste» revendiqué par Daesh
Les quatre hommes, qui n'ont pas été formellement inculpés et dont l'âge n'a pas été révélé, ont été arrêtés le 29 juillet, lorsque la police a pris d'assaut des maisons dans au moins quatre quartiers différents de Sydney, dont le centre-ville. Ils sont soupçonnés d'être liés à un complot «d'inspiration islamique», selon le commissaire Andrew Colvin, de la police fédérale australienne. «Nous pensons qu'il s'agit de terrorisme d'inspiration islamique. Nous devons enquêter de manière approfondie sur ce qui se cache exactement derrière cela», a expliqué le commissaire.
Il a ajouté que ce sont des informations recueillies au cours des derniers jours qui ont mis les forces de l'ordre sur la piste d'une possible attaque terroriste utilisant un engin explosif improvisé, préparée par des personnes à Sydney.
Lire aussi : Australie : cinq terroristes qui préparaient un attentat pour le jour de Noël arrêtés
L'aviation, cible potentielle
Des éléments «d'un grand intérêt pour la police» ont été recueillis lors des interpellations, mais pour autant, elle ne dispose pas pour l'instant de beaucoup d'informations concernant cette attaque, le lieu, la date ou l'heure, selon Andrew Colvin. Il estime que l'enquête promet d'être très longue.
«Nous examinons des informations indiquant que l'industrie aéronautique était une cible potentielle de l'attaque», a-t-il fait savoir.
Lire aussi Bientôt un Guantanamo australien ? L’Australie envisage de détenir indéfiniment les individus représentant un danger terroriste
Les autorités n'ont pas précisé si l'attaque visait un vol national ou international, mais selon le journal Sydney's Daily Telegraph, elle avait pour cible un vol domestique.
La chaîne de télévision ABC a cité une femme qui affirmait que son fils et son mari avaient été arrêtés, mais qui niait tout lien avec le terrorisme.
Les autorités australiennes craignent de nouvelles attaques djihadistes après plusieurs attentats, dont le meurtre d'un employé de la police à Sydney par un adolescent de 15 ans, qui ont visé le pays ces dernières années.
Avant cette annonce, douze attaques avaient été déjouées et une soixantaine de personnes inculpées depuis que le niveau d'alerte a été relevé, en septembre 2014.
Que se passerait-il si quelqu’un ouvrait la porte d’un avion en plein vol ?
21:57 29.07.2017
Le pilote, Patrick Smith, a expliqué ce qui se passerait si quelqu'un décidait d'ouvrir la porte d’un avion volant à une altitude de 11.000 mètres. Alerte spoiler : rien de bon ni pour celui qui oserait le faire ni pour le reste des passagers.
Chacun d'entre nous qui a déjà pris l'avion connaît l'annonce de sécurité avant le vol durant laquelle on nous explique comment il faut manipuler les masques à oxygène: «Pour amorcer le flux d'oxygène, tirez le masque doucement vers vous». Cela paraît simple et agréable. Mais, voilà ce qui se passerait vraiment dans la cabine d'un avion dans le cas d'une dépressurisation subite à plus de 9.000 mètres d'altitude provoquée, par exemple, par l'ouverture volontaire d'une des portes de l'appareil.
«La personne se trouvant près de la porte serait immédiatement aspirée dans le vide, la température dans la cabine s'effondrerait rapidement à un niveau insupportable, l'avion commencerait à se fendre», a expliqué le pilote d'une compagnie aérienne, Patrick Smith à The Telegraph.
La plupart des dépressurisations incontrôlées se produisent en raison de défauts de structure des carcasses des avions et d'un manque d'entretien. Heureusement, ces cas sont extrêmement rares.
Mais, si cela se produit, les passagers restent conscients pendant 15 à 20 secondes ce qui leur laisse le temps de tirer leurs masques à oxygène et d'aider les enfants assis à côté d'eux. S'ils ne placent pas le masque sur leur visage, la respiration devient impossible, les oreilles et les dents font fortement mal. Ensuite vient l'hypoxie et la perte inévitable de la conscience, qui est fatale. C'est pourquoi saisir rapidement le masque à oxygène tombé automatiquement du panneau sur le siège est extrêmement important.
Mais quand même, ne vous inquiétez trop: il est extrêmement difficile d'ouvrir la porte d'un avion, volant à grande vitesse. Et les hublots peuvent résister à une pression énorme.
Les homicides dans Baltimore Top 200, record de récurrence prévu
Par Tyler Durden 29 juillet 2017 19h20 Via StockBoardAsset.com,
Un homme de 23 ans a été tué mercredi après-midi dans un double tir sur le bloc 1200 de l'avenue Greenmount de Baltimore dans la tête du 200e homicide de la ville. Jusqu'à présent, 30 homicides ont été signalés pour le mois de juillet dans l'attente d'une accélération supplémentaire dans les derniers mois d'été.
The Economist semble penser que Baltimore "peut voir plus de 400 meurtres cette année". Ceci est basé sur leurs chiffres d'après les tendances saisonnières saisonnières de 17 janvier à 17 mai. Néanmoins, cela indiquerait que Baltimore est dirigé vers une année record en termes de nombre d'homicides.
Plus tôt cette année, le maire de Baltimore impliquait essentiellement le gouvernement fédéral pour l'aide, car le taux d'assassinat de sa ville était «hors de contrôle». Par CBS Baltimore:
"Je demande toute l'aide que nous pourrions obtenir, car je ne peux pas imaginer entrer dans nos mois d'été avec notre taux de criminalité où il est aujourd'hui, ce que cela ressemblera à la fin de l'été", explique le maire Catherine Pugh. "Le meurtre est hors de contrôle", dit Pugh. "Nous recherchons toute l'aide que nous pouvons obtenir", dit-elle. Pendant ce temps, l'expert en sécurité publique de Baltimore, Rob Weinhold, n'est pas sûr que le seul gouvernement fédéral résolue la descente de Baltimore dans le chaos. Voici ce qu'il avait à dire:
"Je ne pense pas que compter sur les ressources fédérales est une nouvelle stratégie, en fait, je pense que le diable est dans le détail. Vous pouvez parler du FBI et c'est très bien, mais j'aimerais beaucoup voir davantage l'accent sur l'administration de l'application des drogues, ATF et le service Marshall pour obtenir ces gens qui sont recherchés par des mandats de la rue "
Tous les yeux sur Baltimore selon CBS: "Le taux d'assassinat de Baltimore dépasse plus que Chicago, ce qui a suscité une attention internationale pour sa violence". Ne soyez pas choqué si le prochain tweet de Trump sur les villes intérieures de l'Amérique cible Baltimore ...
RépondreSupprimerUn autre "connu" de la police : Que sait-on de l'assaillant de Hambourg ?
RT
sam., 29 juil. 2017 15:47 UTC
L'homme de 26 ans qui a tué au couteau une personne et en a blessé plusieurs autres vendredi 28 juillet à Hambourg, en Allemagne, était connu des forces de police en tant qu'islamiste, a révélé le 29 juillet, le ministre de l'Intérieur de la ville, Andy Grote
La police qui connaissait le radical
Selon lui, en revanche, rien ne laissait croire que l'assaillant était un djihadiste. L'élu a encore souligné qu'à ce stade, certaines indications laissaient croire à des motivations islamiste, mais que l'agresseur souffrait aussi de problème psychologiques.
Un porte-parole de la police a précisé « ne pas pouvoir confirmer » en l'état que l'agresseur était un islamiste. « Nous enquêtons dans toutes les directions », a-t-il dit.
Le quotidien berlinois Tagesspiegel, citant des sources proches des services de sécurité, affirme que l'agresseur, né en 1991, était connu de la police comme un islamiste et était arrivé dans le pays comme réfugié. Selon plusieurs témoins l'agresseur a crié à plusieurs reprises « Allah Akbar » lors des faits.
La police a également revu légèrement à la hausse le bilan de l'attaque, soulignant qu'en plus de la personne décédée, six personnes avaient été blessées, dont certaines grièvement.
Changement
Il s'était récemment vêtu d'habits religieux musulmans, récitait des sourates du Coran dans son foyer et avait changé, selon les autorités locales.
Le ministre local de l'Intérieur a fait état, à ce stade de l'enquête, de liens avec des motivations religieuses, islamistes pour le passage à l'acte.
Mais dans le même temps, il a aussi parlé d'une instabilité psychologique de l'homme. En fin du compte la situation reste confuse et il n'est pas encore possible de savoir lequel des éléments a constitué l'élément déclencheur, a souligné Andy Grote.
Suite à un signalement à la police sur sa radicalisation, l'assaillant, arrivé en 2015 en Allemagne comme demandeur d'asile, avait reçu la visite de policiers. Ces derniers n'avaient pas décelé toutefois de danger immédiat de passage à l'acte.
-- Commentaire : Il était radicalisé donc potentiellement dangereux mais la police n'a absolument rien fait. Bien. --
Une chose paraît établie: il a agi seul vendredi. « Il n'y a pas d'éléments sur l'existence d'un réseau », a souligné une responsable de la police locale.
L'homme a d'abord fait irruption dans un supermarché, a volé un couteau de cuisine avec une lame de 20 centimètres et s'est jeté sur un homme de 50 ans en le poignardant mortellement. L'homme a ensuite blessé deux autres clients à l'intérieur du magasin puis a pris la fuite dans la rue, où il a encore blessé à coups de couteau plusieurs passants.
RépondreSupprimerLa politique migratoire remise en question
Sur le plan politique, les interrogations autour de l'accueil des migrants ressurgissent dans le pays, qui a accueilli plus d'un million de demandeurs d'asile depuis 2015. Angela Merkel se voit depuis accusée par la droite nationaliste d'avoir fait entrer des djihadistes en puissance en Allemagne.
Débouté de sa demande, l'agresseur de Hambourg n'avait pu être reconduit à la frontière.
« Il s'agit manifestement d'un étranger en instance de départ mais qui ne pouvait pas être expulsé parce qu'il n'avait pas de documents d'identité », a expliqué le maire de Hambourg Olaf Scholz.
Politiquement, ce point est délicat pour les autorités allemandes, dans un contexte chargé du fait de la proximité des élections législatives du 24 septembre, où Angela Merkel briguera un quatrième mandat.
Le lien a commencé en effet à être fait en Allemagne avec l'attentat djihadiste au camion-bélier contre le marché de Noël à Berlin en décembre ayant fait 12 morts.
Il avait été commis par un demandeur d'asile tunisien, Anis Amri, qui était dans une situation juridique identique : débouté mais non expulsable car sans documents en règle.
Le maire de Hambourg a réclamé un nouveau tour de vis. « Il est urgent que ce type d'obstacles pratiques et juridiques aux expulsions soient levés »", a-t-il dit.
-- Commentaire : Toujours le même discours, n'est-ce pas ? Les mêmes excuses, toujours les mêmes paroles, promesses, une façon de se laver les mains de la situation. Et de faire en sorte que la population se sente insécure, fragile non seulement face a des possibles attentats de toutes sortes mais face à un groupe d'individus qui n'est pas capable de protéger les citoyens de rien. Que la peur, donc, règne partout ! --
https://fr.sott.net/article/30917-Un-autre-connu-de-la-police-Que-sait-on-de-l-assaillant-de-Hambourg
Un attentat visant à faire tomber un avion déjoué en Australie
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- Avec AFP
Les forces de l'ordre australiennes ont déjoué un complot terroriste présumé islamiste visant à faire tomber un avion avec un engin explosif improvisé, et quatre personnes ont été arrêtées à Sydney, selon le Premier ministre Malcolm Turnbull.
«Je peux annoncer que la nuit dernière une importante opération de contre-terrorisme a eu lieu pour déjouer un complot terroriste visant à faire tomber un avion», a déclaré le Premier ministre australien Malcolm Turnbull à des journalistes. Dans la foulée, les mesures de sécurité ont été renforcées dans les principaux aéroports du pays.
«La menace terroriste est bien réelle», a averti le Premier ministre, précisant que le projet d'attaque semblait plus relever d'un «complot élaboré» que de l'œuvre d'un loup solitaire.
«Des personnes opérant comme des loups solitaires demeurent la principale menace pour l'Australie. Cependant, il est également possible que des personnes mènent des projets et des attaques plus sophistiqués», a déclaré à des journalistes le ministre de la Justice Michael Keenan.
Lire aussi
Le lieu de la prise d'otages à Melbourne Prise d’otages à Melbourne : «événement terroriste» revendiqué par Daesh
Les quatre hommes, qui n'ont pas été formellement inculpés et dont l'âge n'a pas été révélé, ont été arrêtés le 29 juillet, lorsque la police a pris d'assaut des maisons dans au moins quatre quartiers différents de Sydney, dont le centre-ville. Ils sont soupçonnés d'être liés à un complot «d'inspiration islamique», selon le commissaire Andrew Colvin, de la police fédérale australienne. «Nous pensons qu'il s'agit de terrorisme d'inspiration islamique. Nous devons enquêter de manière approfondie sur ce qui se cache exactement derrière cela», a expliqué le commissaire.
Il a ajouté que ce sont des informations recueillies au cours des derniers jours qui ont mis les forces de l'ordre sur la piste d'une possible attaque terroriste utilisant un engin explosif improvisé, préparée par des personnes à Sydney.
Lire aussi : Australie : cinq terroristes qui préparaient un attentat pour le jour de Noël arrêtés
L'aviation, cible potentielle
Des éléments «d'un grand intérêt pour la police» ont été recueillis lors des interpellations, mais pour autant, elle ne dispose pas pour l'instant de beaucoup d'informations concernant cette attaque, le lieu, la date ou l'heure, selon Andrew Colvin. Il estime que l'enquête promet d'être très longue.
«Nous examinons des informations indiquant que l'industrie aéronautique était une cible potentielle de l'attaque», a-t-il fait savoir.
Lire aussi
Bientôt un Guantanamo australien ? L’Australie envisage de détenir indéfiniment les individus représentant un danger terroriste
Les autorités n'ont pas précisé si l'attaque visait un vol national ou international, mais selon le journal Sydney's Daily Telegraph, elle avait pour cible un vol domestique.
RépondreSupprimerLa chaîne de télévision ABC a cité une femme qui affirmait que son fils et son mari avaient été arrêtés, mais qui niait tout lien avec le terrorisme.
Les autorités australiennes craignent de nouvelles attaques djihadistes après plusieurs attentats, dont le meurtre d'un employé de la police à Sydney par un adolescent de 15 ans, qui ont visé le pays ces dernières années.
Avant cette annonce, douze attaques avaient été déjouées et une soixantaine de personnes inculpées depuis que le niveau d'alerte a été relevé, en septembre 2014.
https://francais.rt.com/international/41508-attentat-visant-avion-dejoue-asutralie
Que se passerait-il si quelqu’un ouvrait la porte d’un avion en plein vol ?
RépondreSupprimer21:57 29.07.2017
Le pilote, Patrick Smith, a expliqué ce qui se passerait si quelqu'un décidait d'ouvrir la porte d’un avion volant à une altitude de 11.000 mètres. Alerte spoiler : rien de bon ni pour celui qui oserait le faire ni pour le reste des passagers.
Chacun d'entre nous qui a déjà pris l'avion connaît l'annonce de sécurité avant le vol durant laquelle on nous explique comment il faut manipuler les masques à oxygène: «Pour amorcer le flux d'oxygène, tirez le masque doucement vers vous». Cela paraît simple et agréable. Mais, voilà ce qui se passerait vraiment dans la cabine d'un avion dans le cas d'une dépressurisation subite à plus de 9.000 mètres d'altitude provoquée, par exemple, par l'ouverture volontaire d'une des portes de l'appareil.
«La personne se trouvant près de la porte serait immédiatement aspirée dans le vide, la température dans la cabine s'effondrerait rapidement à un niveau insupportable, l'avion commencerait à se fendre», a expliqué le pilote d'une compagnie aérienne, Patrick Smith à The Telegraph.
La plupart des dépressurisations incontrôlées se produisent en raison de défauts de structure des carcasses des avions et d'un manque d'entretien. Heureusement, ces cas sont extrêmement rares.
Mais, si cela se produit, les passagers restent conscients pendant 15 à 20 secondes ce qui leur laisse le temps de tirer leurs masques à oxygène et d'aider les enfants assis à côté d'eux. S'ils ne placent pas le masque sur leur visage, la respiration devient impossible, les oreilles et les dents font fortement mal. Ensuite vient l'hypoxie et la perte inévitable de la conscience, qui est fatale. C'est pourquoi saisir rapidement le masque à oxygène tombé automatiquement du panneau sur le siège est extrêmement important.
Mais quand même, ne vous inquiétez trop: il est extrêmement difficile d'ouvrir la porte d'un avion, volant à grande vitesse. Et les hublots peuvent résister à une pression énorme.
https://fr.sputniknews.com/insolite/201707291032447830-que-passerait-si-quelquun-ouvrait-porte-avion-plein-vol/
Les homicides dans Baltimore Top 200, record de récurrence prévu
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29 juillet 2017 19h20
Via StockBoardAsset.com,
Un homme de 23 ans a été tué mercredi après-midi dans un double tir sur le bloc 1200 de l'avenue Greenmount de Baltimore dans la tête du 200e homicide de la ville. Jusqu'à présent, 30 homicides ont été signalés pour le mois de juillet dans l'attente d'une accélération supplémentaire dans les derniers mois d'été.
The Economist semble penser que Baltimore "peut voir plus de 400 meurtres cette année". Ceci est basé sur leurs chiffres d'après les tendances saisonnières saisonnières de 17 janvier à 17 mai. Néanmoins, cela indiquerait que Baltimore est dirigé vers une année record en termes de nombre d'homicides.
Plus tôt cette année, le maire de Baltimore impliquait essentiellement le gouvernement fédéral pour l'aide, car le taux d'assassinat de sa ville était «hors de contrôle». Par CBS Baltimore:
"Je demande toute l'aide que nous pourrions obtenir, car je ne peux pas imaginer entrer dans nos mois d'été avec notre taux de criminalité où il est aujourd'hui, ce que cela ressemblera à la fin de l'été", explique le maire Catherine Pugh. "Le meurtre est hors de contrôle", dit Pugh. "Nous recherchons toute l'aide que nous pouvons obtenir", dit-elle.
Pendant ce temps, l'expert en sécurité publique de Baltimore, Rob Weinhold, n'est pas sûr que le seul gouvernement fédéral résolue la descente de Baltimore dans le chaos. Voici ce qu'il avait à dire:
"Je ne pense pas que compter sur les ressources fédérales est une nouvelle stratégie, en fait, je pense que le diable est dans le détail. Vous pouvez parler du FBI et c'est très bien, mais j'aimerais beaucoup voir davantage l'accent sur l'administration de l'application des drogues, ATF et le service Marshall pour obtenir ces gens qui sont recherchés par des mandats de la rue "
Tous les yeux sur Baltimore selon CBS: "Le taux d'assassinat de Baltimore dépasse plus que Chicago, ce qui a suscité une attention internationale pour sa violence". Ne soyez pas choqué si le prochain tweet de Trump sur les villes intérieures de l'Amérique cible Baltimore ...
http://www.zerohedge.com/news/2017-07-29/homicides-baltimore-top-200-expected-break-record