Les températures pourraient atteindre -15 degrés localement sur le Grand Est.
Ce n'est pas encore une alerte formelle mais Météo France a lancé un avertissement ce mercredi en raison du grand froid qui va s'abattre sur le pays en fin de semaine, avant un radoucissement attendu à partir de dimanche. Selon l'organisme, «une puissante descente d'air froid en provenance de Scandinavie s'écoulera en direction du centre de l'Europe à partir de jeudi (...) Les régions de l'est de la France seront touchées par des gelées généralisées et fortes vendredi et samedi. Le thermomètre pourrait descendre jusqu'à -8/-10°C en plaine d'Alsace, voire -15°C « localement », parfois sur des sols enneigés, ce qui pourrait compliquer les déplacements.
Un grand froid qui n'a toutefois rien d'exceptionnel, selon Météo-France, qui rappelle les épisodes bien plus intenses des mois de janvier 1945, 1963 et 1985, où les températures ont parfois frôlé les -30 degrés sur l'hexagone.
https://fr.sott.net/article/29768-Rechauffement-Alerte-au-grand-froid-sur-la-France-en-fin-de-semaine
Les courriels d’Hillary Clinton disparaissent «par hasard» des archives de la NARA
RépondreSupprimer11:23 04.01.2017
Le disque dur contenant des données sur les courriers électroniques d’Hillary Clinton a mystérieusement disparu de la National Archives and Records Administration (NARA). Tout sauf un hasard, souligne WikiLeaks, qui promet 20.000$ de récompense à quiconque pourrait jeter une lumière crue sur cette affaire.
L'ONG WikiLeaks estime que le disque dur contenant des informations cruciales sur les courriers électroniques de l'ancienne secrétaire d'État Hillary Clinton a disparu de la National Archives and Records Administration (NARA). « Le disque dur de 2 TB contenant des informations sur les courriers électroniques d'Hillary Clinton, aurait été volé à la National Archives and Records Administration », a publié WikiLeaks sur Twitter. D'après l'ONG, sa disparition est loin de dater d'hier: le vol, s'il a jamais eu lieu, serait survenu le 24 mars dernier.
« Quiconque ayant des informations capitales sur la personne qui a pu commettre ce crime pourra bénéficier de 20 000$ de récompense », poursuit WikiLeaks. Rappelons que les services de renseignement américain ont accusé les hackers russes d'avoir attaqué les serveurs d'organisations politiques américaines lors de la campagne électorale afin d'aider Donald Trump. Toutefois, le directeur du FBI James Comey n'a pas partagé cet avis, et aucune preuve n'a été présentée à cette fin.
Fin 2016, l'administration d'Obama a imposé des sanctions contre neuf établissements russes, dont les services de renseignement, pour avoir été prétendument impliqués dans les cyberattaques visant à influencer les résultats du vote. Moscou a qualifié les démarches de Washington de « provocatrices, visant à saper davantage les relations russo-américaines ».
https://fr.sputniknews.com/international/201701041029458625-courriels-clinton-NARA-archives-disparition-vol/
Environ 200 euros de frais bancaires en 2017 ? Une étude l'affirme
RépondreSupprimer5 janv. 2017, 07:32
Les frais bancaires augmentent sans arrêt depuis quelques années et en 2017, l'addition sera salée
Une enquête de Panorabanques pour Le Parisien publié le 3 janvier nous apprend que les frais bancaires coûteront en moyenne 193,80 euros en 2017. Cela représente une hausse de 1,7% sur un an et de 4,2% sur deux ans d’après l’étude.
Déjà très impopulaires dans l’Hexagone, les banques ne risquent pas de voir leur image s'améliorer après la publication de la dernière étude Panorabanques. Que ce soit les frais de tenue de compte, de retrait dans un distributeur d’une autre banque ou la simple détention d’une carte bleue, tout augmente en 2017. Et la facture est salée : 193,80 euros selon l’étude. Sur deux ans, cela représente une augmentation de 4,2%...
Les fameux «frais de tenue de compte»
A la première marche de ce désagréable podium on trouve les frais de tenue de compte. Et il devient de plus en plus difficile d’y échapper. D’après Guillaume Clavel, porte-parole de Panorabanques, ces frais polémiques sont dorénavant prélevés par «neuf banques sur dix». En 2016, ils étaient en moyenne de 18,10 euros. En 2017, ils devraient augmenter de 11%.
La Tribune pense savoir pourquoi ces frais énervent autant les clients. Dans un article publié le 4 janvier sur son site, le média spécialiste de l’économie explique que ces frais sont «la plupart du temps facturés sans prévenir le client [...] les frais de tenue de compte reviennent à rendre payant un service de base, le compte de dépôt, alors que l'Union européenne a fait du droit au compte un droit universel».
Seul bon élève : Axa Banque. Selon La Tribune, l’établissement a décidé de ne plus les facturer. Avant cette élan de bonté, ils étaient d’environ 12 euros.
Pour la directrice générale de la Fédération bancaire française, les prix ne s’envolent pas
Mais les dépenses inhérentes à la tenue de votre compte ne seront pas les seules à augmenter cette année. Avoir une carte bancaire coûte de plus en plus cher. Comme l’explique Guillaume Clavel au Parisien, «sur la période 2013-2017, les cotisations de cartes bancaires ont augmenté de 4,4%, soit deux fois plus vite que l'inflation».
Lire aussi : Etats-Unis : un père Noël distribue des bonbons puis attaque la banque (VIDEOS)
Si vous êtes détenteur de cartes à débit immédiat, l’addition sera encore plus déplaisante : pour ces dernières, l’augmentation est en moyenne de 2% rien que pour 2017.
Retirez du liquide à un distributeur qui n’appartient pas au réseau de votre banque va également vous coûter plus cher. Pas moins de 33 établissements bancaires ont pris la décision d’augmenter leurs tarifs.
RépondreSupprimerMais, paradoxalement, c’est ceux qui sont dans la difficulté qui souffriront le plus de cette envolée des prix. Chèque sans provision, découvert, opération alors que vous êtes dans le rouge : tout coûtera davantage. Gare aux agios et aux commissions d’interventions. Une personne ayant du mal à boucler ses fins de mois se voit donc infligée des tarifs bien supérieurs à un individu qui jouit d’un compte bien alimenté.
Invitée de France Info le 2 janvier, Marie-Anne Barbat-Layani, directrice générale de la Fédération bancaire française (FBF), assurait pourtant que «nous ne sommes pas face à une explosion» des frais. On vous laisse juge. L’année ne fait que commencer.
https://francais.rt.com/economie/31800-environ-200-euros-frais-bancaires-2017-selon-etude
Terrorisme : François Hollande aurait autorisé une «quarantaine» d'exécutions extrajudiciaires
RépondreSupprimer4 janv. 2017, 22:13
François Hollande avait admis quatre assassinats ciblés dans le livre révélations «Un président ne devrait pas dire ça...». Selon un nouveau livre enquête, il s'agirait plutôt de quarante, en Syrie, au Sahel et en Irak. En dehors de cadre légal réel.
Dans le livre enquête Erreurs fatales dont Le Monde publie les bonnes feuilles, l'auteur, Vincent Nouzille, expose et reconstitue la façon dont les assassinats ciblés, les opérations dites «homo» – pour «homicides» dans le jargon du renseignement et des états-majors militaires – sont décidés. Mais, surtout, comment la liste nominative des cibles, les «High Value Targets» (HVT) ou encore les «High Value Individuals» (HVI), est dressée. Ce qui permettrait d'estimer le nombre de combattants et «terroristes», ou qualifiés comme tels, à une «quarantaine».
«Feu vert» pour tuer à l'étranger
«François Hollande a donc donné des consignes claires aux états-majors militaires et à la DGSE sur le sujet : ils ont son feu vert pour tuer à l'étranger, y compris clandestinement, des chefs terroristes et d'autres ennemis présumés de la France», explique Vincent Nouzille. Ce dernier décrit notamment comment les conseillers et les services de communication de l'Elysée collaborent afin de donner un semblant de cadre légal à ce qui reste, en l'absence de tout jugement des individus ciblés, des exécutions extrajudiciaires.
Car la plupart de ces opérations ont lieu en «zones grises», c'est-à-dire en marge des conflits, en dehors des lois de la guerre. « Depuis son élection en mai 2012, François Hollande entend incarner une politique plus martiale que ses prédécesseurs, quitte à en payer le prix et à sortir du strict cadre de la légalité», écrit Vincent Nouzille.
Zones grises, zones de non-droit ?
A la décharge de l'exécutif, à l'ère du terrorisme et des guerres asymétriques – conflits où les Etats ne s'opposent pas à d'autres Etats mais à des groupes armés diffus et souvent sans territoire, les déclarations de guerre en bonne et due forme se font rares.
Faut-il pour autant se résoudre à l'arbitraire et à, de facto, l'administration de la peine de mort, sans jugement et par le «fait du prince» ? D'autant que le droit international pénal a prévu ce type d'action et la qualifie de crime de guerre. A cela, les états-majors ne font valoir qu'un principe, assez fragile du point de vue juridique, celui de la «légitime défense collective», dont la définition revient, de fait, à l'exécutif, lequel se retrouve juge et partie.
«Trente ans d'erreurs» face au terrorisme
RépondreSupprimerLire aussi
François Hollande Destitution de François Hollande : «Il se trompe sur tous les sujets qu’il aborde»
Vincent Nouzille, journaliste d'investigation indépendant, et auteur d'une première enquête en 2015 (Les tueurs de la République), publie ainsi un livre à charge, logeant à la même enseigne tous les dirigeants français :
«Que ce soit par aveuglement, naïveté ou passivité, nos présidents successifs ont, depuis plus de trente ans, commis des erreurs fatales face au terrorisme, avec des conséquences graves pour notre sécurité», accuse la quatrième de couverture d'Erreurs fatales. «Improvisations après les attentats, réformes ratées ou bâclées, gestion chaotique des prises d'otages, marginalisation des juges, déni de la montée du djihadisme intérieur, failles du renseignement, confusions diplomatiques, faux pas militaires, comme en Libye ou en Syrie, dérapages en Afrique : la liste est longue», accable-t-il.
Irresponsabilité du chef de l'Etat ?
En la matière, en raison de l'«irresponsabilité» du chef de l'Etat prévue par la constitution et le statut pénal particulier appliqué au président de la République, seule la Cour pénale internationale est compétente. C'est pourquoi, à la suite des révélations verbatim d'Un président ne devrait pas dire ça..., une partie de l'opposition, emmenée par le député Pierre Lellouche, avaient tenté de faire passer une résolution pour diffusion «d'informations secrètes concernant la sécurité nationale».
La manœuvre a rapidement été contrée, le texte n'étant pas même parvenu au vote des députés. Le Bureau de l'Assemblée nationale, par treize voix contre huit a jugé la résolution non recevable. Pierre Lellouche avait alors jugé la décision «scandaleuse», et regretté qu'on ne puisse «faire la lumière sur le détail des informations transmises par François Hollande aux journalistes».
Lire aussi : Centrafrique : les soldats français accusés de viols, un coup monté ?
https://francais.rt.com/france/31795-terrorisme-francois-hollande-autorise-assassinats-cibles
Slovaquie : le Premier ministre demande aux dirigeants de l'UE de ne plus organiser de référendums
RépondreSupprimer4 janv. 2017, 19:47
Alors que le séisme politique déclenché en Europe par le Brexit ne s'estompe pas, le chef du gouvernement slovaque, visiblement inquiet pour l'avenir de l'UE et de l'euro, ne veut plus entendre parler de référendums dans les pays-membres de l'UE.
Le Premier ministre slovaque Robert Fico a lancé une bombe le lundi 2 janvier en déclarant : «Je demande aux dirigeants de l'Union européenne d'arrêter les aventures comme les référendums britannique et italien... sur des questions intérieures qui constituent une menace pour l'UE.»
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Des manifestants brûlent un drapeau européen à Athènes. Vers la fin des référendums ? «Une priorité donnée à l'Union européenne sur la volonté des peuples»
«La Grande-Bretagne n'est pas un pays de la zone euro mais l'Italie a un énorme impact sur le secteur bancaire, sur l'euro. Que ferons-nous s'il y a un référendum en Italie sur l'euro et que les citoyens italiens décident qu'ils n'en veulent plus ?», a ajouté le Premier ministre slovaque en faisant référence de manière explicite au référendum britannique du 23 juin sur la sortie du Royaume-Uni de l'UE aisni qu'au rejet de la réforme constitutionnelle en Italie lors du référendum du 4 décembre.
Si le Premier ministre ne veut plus entendre parler de référendums, c'est pourtant au travers de ce type de scrutin que les Slovaques ont validé en 2003 l'adhésion de leur pays à Union Européenne.
En juin 2016, le Parti du Peuple Slovaque a lancé une pétition demandant la tenue d'un référendum sur la sortie du pays de l'Union européenne. Si le gouvernement de Robert Fico a d'ores et déjà balayé cette demande, le souffle du Brexit ne semble néanmoins pas retomber en Europe. Les élections françaises et néerlandaises de cette année laissent par exemple entrevoir de possibles turbulences pour l'Union européenne et l'euro.
Ainsi, dans une récente interview accordé en décembre au journal grec Dimokratia, Marine Le Pen, la candidate du Front national aux élections présidentielles françaises, a notamment déclaré : «Le Frexit est dans mon programme : le peuple doit avoir l'opportunité de voter pour la libération de l'esclavage et du chantage imposé par les technocrates de Bruxelles, afin de retrouver la souveraineté de son pays.»
De même, des hommes politiques néerlandais d'envergure ont déjà fait savoir qu'ils étaient en faveur du «Nexit», le retrait des Pays-Bas hors de l'Union européenne. Le patron du Parti de la Liberté (PVV), Geert Wilders a par exemple déclaré : «L'UE ne nous laisse pas la liberté de déterminer nos propres lois sur l'immigration et le droit d'asile. Le Nexit est nécessaire.»
Matthew Goodwin, politologue britannique et professeur à l'université de Nottingham et du Kent a expliqué à RT dans une interview détaillée ce qu'il pense être sous-entendu dans la déclaration du Premier ministre slovaque. Selon Matthew Goodwin, la position de Robert Fico «implique que l'on doit désormais marginaliser l'opinion publique au profit de l'Union européenne. C'est une priorité donnée à l'UE sur la volonté des peuples».
RépondreSupprimerPour le politologue britannique, ce genre d'appel visant à mettre un terme aux référendums est en réalité «un aveu clair du déficit démocratique au cœur même des institutions européennes». Selon ses propos, les partis nationalistes bénéficieraient «d'un soutien populaire grandissant» en raison justement de la capacité de ces partis à offrir «aux électeurs des référendums qui dans la plupart des cas remettent en cause l'adhésion à l'UE ou à l'euro et qui veulent revenir à des Etats-nations souverain».
Lire aussi : A Maastricht, Jean-Claude Juncker met en garde contre l'euroscepticisme des nations
https://francais.rt.com/international/31791-slovaquie-premier-ministre-demande-dirigeants-union-europeenne-arreter-organiser-referendums
Vers la fin des référendums ? «Une priorité donnée à l'Union européenne sur la volonté des peuples»
RépondreSupprimer4 janv. 2017
Le Premier ministre slovaque a appelé les dirigeants européens à mettre fin aux scrutins par référendum qui peuvent menacer l'Europe. Pour le politologue Matthew Goodwin, cette «déclaration condescendante» est un aveu du déficit démocratique de l'UE.
Matthew Goodwin est un politologue britannique, professeur à l'université de Nottingham et du Kent. Il est spécialisé dans l'étude des partis de la droite radicale du Royaume-Uni et de l’euroscepticisme.
RT : Le Premier ministre de la Slovaquie Robert Fico a demandé le 2 janvier aux dirigeants des pays membres de l'Union européenne «de mettre un terme à leurs scrutins aventureux comme les référendums au Royaume-Uni ou en Italie sur des questions nationales qui pourraient menacer l'Europe.» Est-ce démocratique de demander aux dirigeants de ne plus recourir à un vote censé représenter la volonté du peuple ?
Matthew Goodwin (M. G.) : Il est intéressant de souligner que le Premier ministre slovaque parle «d'aventures» pour décrire le fait de demander aux citoyens de s'exprimer sur des sujets précis et locaux. Nous avons vu en Europe - aussi bien au Royaume-Uni qu'en Hongrie - que les référendums avaient été lancés pour permettre au peuple de donner son avis sur différentes questions. La réponse donnée par les citoyens a mis les élites européennes dans l'embarras. Leur réaction consiste désormais à appeler à la fin de ce type de scrutin, ce qui a pour conséquence principale de faire sortir les citoyens des débats politiques. C'est pour moi un aveu clair du déficit démocratique au cœur même des institutions européennes.
La position de Robert Fico implique que l'on doit désormais marginaliser l'opinion publique au profit de l'Union européenne
RT : Robert Fico décrit les référendums sur des questions nationales comme une menace. Pourquoi des questions à l'échelle d'un pays peuvent-elles être vues comme dangereuses ? Pourquoi refuser toute souveraineté des Etats ?
M. G. : Ses propos interviennent après une série de scrutins en Europe, dont notamment le référendum italien, où l'instabilité politique qui fait suite au résultat peut mettre en péril l’euro-zone. En clair, le Premier ministre slovaque explique qu'aucun référendum sur des questions nationales ne devrait être permis quand il pourrait potentiellement toucher l'intégrité de l'UE. Cette position implique que l'on doit désormais marginaliser l'opinion publique au profit de l'Union européenne. C'est une priorité donnée à l'UE sur la volonté des peuples. Or cela intervient au moment-même où l'Europe souffre d'un manque de légitimité aux yeux des électeurs, qui, ces dix-quinze dernières années, ont perdu de plus en plus confiance non seulement en l'UE et son parlement mais également en ses dirigeants nationaux. Si vous voulez mon avis, une telle déclaration condescendante envers les citoyens n'est pas très constructive en cette période de crise dans la construction européenne.
La colère est particulièrement forte chez les électeurs qui viennent de passer deux décennies difficiles au sein de l'UE
RT : A en croire les résultats des derniers référendums, les citoyens lambda ne soutiennent plus vraiment l'UE et ses politiques : le référendum grec contre les réforme de la troïka, le Brexit... Que doit-on en retenir sur les sentiments des Européens vis-à-vis de leurs institutions ?
RépondreSupprimerM. G. : Il y a un phénomène politique qui est très clair et certainement clé face à cette défiance, c'est le soutien populaire grandissant pour des partis ouvertement nationalistes. Ces partis veulent offrir aux électeurs des référendums qui dans la plupart des cas remettent en cause l'adhésion à l'UE ou à l'euro et qui veulent revenir à des Etats-nations souverains. La plupart de ces mouvements politiques ont été encouragés par le vote pour le Brexit et par l'élection de Donald Trump aux Etats-Unis. Ils utilisent ces victoires comme des arguments séduisants d'un retour du pouvoir dans les mains du peuple qui devrait avoir à choisir le destin de l'Europe.
Les institutions européennes répondront probablement à cela - on est déjà en train de le voir avec ce genre de déclaration - en essayant de repousser cette colère populaire. Le problème c'est que cette dernière est particulièrement forte chez les électeurs qui viennent de passer deux décennies difficiles au sein de l'UE. Ceux qui ont le sentiment qu'ils n'ont bénéficié ni de l'intégration économique, ni des revenus de la croissance de l’euro-zone. Ils se sentent aujourd'hui laissés pour compte par leurs dirigeants mais aussi par la tournure que prend la construction européenne.
Lire aussi : Brexit à Hollywood : la Warner Bros veut faire un film sur la campagne victorieuse de Nigel Farage
Les opinions, assertions et points de vue exprimés dans cette section sont le fait de leur auteur et ne peuvent en aucun cas être imputés à RT.
https://francais.rt.com/opinions/31785-vers-fin-referendums-priorite-donnee-union-europeenne-volonte-peuples
Beppe Grillo propose des jurys populaires pour lutter contre les «fake news» des médias de masse
RépondreSupprimer4 janv. 2017, 17:11 - Avec AFP
Le chef de file du Mouvement Cinq étoiles (M5S), l'ex-comique Beppe Grillo, a provoqué un tollé dans l'establishment italien en proposant l'instauration de «jurys populaires» pour recadrer les médias «fabricants de fausses informations».
En cas de mensonge détecté par des jurys populaires dans la presse ou la télévision, accusées de fabriquer des informations pour discréditer le M5S, «l'éditeur devra, tête courbée, présenter publiquement des excuses et publier une version correcte en début de programme ou en première page du journal», a proposé Beppe Grillo sur son blog le 3 janvier.
Lire aussi
Le site d'information suisse Romandie.com a interpellé l'AFP pour son manque de professionnalisme dans une nouvelle affaire de fausse information antirusse Quand l'AFP se fait corriger par sa consœur suisse après avoir diffusé des «fake news» sur la Russie
«Les journaux et la télévision sont les plus gros fabricants de fausses nouvelles dans le pays, dans le but de s'assurer que ceux qui ont le pouvoir le gardent», a-t-il affirmé.
Les médias italiens ainsi pointés du doigt ont aussitôt manifesté leur colère et leur indignation.
Le directeur de l'information de la chaîne privée La 7, Enrico Mentana, a promis de porter plainte contre Beppe Grillo tandis que la fédération de la presse italienne, la FNSI, a dénoncé ce «lynchage» des journalistes.
Ce que Beppe Grillo propose «s'appelle le fascisme et ceux qui le minimisent se font complices», a lancé de son côté Stefano Esposito, sénateur du Parti démocrate (PD, centre-gauche), dirigé par l'ex-chef du gouvernement italien Matteo Renzi.
BeppeGrillo veut un «minCulPop 2.0», a estimé de son côté Forza Italia, le parti de centre-droit fondé par Silvio Berlusconi, en référence au ministère de la Culture populaire chargé de la propagande sous le régime fasciste de Benito Mussolini.
La polémique ouverte par le fondateur du M5S éclate en plein débat sur les ravages des fausses informations colportées sur internet, dont certains commentateurs estiment qu'elles ont joué un rôle dans la victoire du milliardaire Donald Trump aux Etats-Unis ou des partisans du Brexit en Grande-Bretagne.
Le pape François s'en était pris le mois dernier à la «désinformation» et avait comparé la presse à scandales à la coprophilie, ses lecteurs étant assimilés à des mangeurs d'excréments.
«La désinformation est probablement le plus grand mal qu'un média puisse infliger, parce qu'elle oriente l'opinion dans une seule direction, en omettant une partie de la vérité», avait alors déclaré le pape.
Lire aussi : L’«indépendante» chasse aux «fake news» sur Facebook... ne sera menée que par des groupes americains
https://francais.rt.com/international/31784-beppe-grillo-propose-jurys-populaires-fake-news
«Omniprésence religieuse» et licenciements : quand Jean-Christophe Lagarde provoque une polémique
RépondreSupprimer4 janv. 2017, 17:04
L'usine PSA d'Aulnay-sous-Bois a été fermée en décembre 2013 par l'entreprise malgré l'opposition de la CGT
Le député-maire de Drancy, en liant la fermeture de l'usine PSA d'Aulnay-sous-Bois en 2013 à une «omniprésence religieuse» a provoqué une tempête médiatique. La CGT, le groupe PSA ainsi que le FN ont réagi aux propos du président de l'UDI.
Interrogé sur les dérives communautaristes liées à l’islam, le député-maire de Drancy Jean-Christophe Lagarde a lancé lors d'une interview sur France Info le 3 janvier : «Il y a eu des difficultés y compris dans mon département, par exemple à Aulnay-sous-Bois. On ne l’a jamais dit, mais une partie de la fermeture de PSA était liée aussi à l’omniprésence religieuse et au fait qu’il y avait des exigences religieuses dans le travail, d’arrêt de travail, de baisse de productivité, et dans le choix de PSA de fermer Aulnay, il y a eu aussi cet aspect-là.»
L'annonce par Jean-Christophe Lagarde, par ailleurs président de l'UDI, liant la fermeture de l'usine PSA d'Aulnay-sous-Bois à une «omniprésence religieuse» a immédiatement suscité une violente polémique, certains croyant y déceler une attaque contre l'islam.
Le député-maire de Drancy a confirmé ses propos lors d'une nouvelle interview le 3 janvier sur Europe 1 en affirmant que la fermeture de l’usine PSA d’Aulnay-sous-Bois avait été «en partie guidée par les difficultés relationnelles, syndicales, sociales qui existaient mais également à ce que [les dirigeants de PSA] estimaient être une omniprésence du fait religieux au travail».
«Je ne cherchais pas à briser un tabou, mais je ne vais certainement pas me taire parce que ça existe aussi. Je pense que la religion n’a pas sa place au travail», a encore martelé Jean-Christophe Lagarde.
Réactions immédiates de la CGT, de PSA et de politiques
Interrogé le 4 janvier par France 3 Paris Ile-de-France, Jean-Pierre Mercier, délégué syndical de la CGT du groupe PSA Peugeot-Citroën, a qualifié de «saloperie» la déclaration de l'élu de Seine-Saint-Denis. Le syndicaliste a précisé que «les principaux aménagements du temps de travail étaient prévus pour les fêtes chrétiennes (Pâques, Noël…)», avant d'ajouter : «Seule la rupture du jeûne pour le Ramadan était prise en compte avec une pause plus longue pour tous les employés … et rattrapée ensuite sur le temps de travail».
Une autre syndicaliste, interrogée par Europe 1, a quant à elle pointé une contradiction dans le raisonnement du député-maire de Drancy : «PSA construit en ce moment une usine au Maroc. Vous voyez bien que c'est une histoire de pognon, pas de religion».
Le groupe PSA a, pour sa part, refusé de commenter directement les propos de Jean-Christophe Lagarde. Dans l'hebdomadaire Marianne, Pierre-Olivier Salmon, porte-parole du constructeur automobile a ainsi déclaré : «Je n’ai aucun commentaire à faire sur ce point. Cette affirmation ne relève que de la responsabilité de celui qui l’a formulée». Il a toutefois apporté des éléments de réponse sur les causes de la fermeture du site en précisant : «La fermeture de l’usine d’Aulnay-sous-Bois est à mettre en perspective avec la situation du groupe entre 2010 et 2013. Il a fallu prendre des mesures pour en assurer la pérennité.»
Le Parti communiste français a également réagi au travers d'un communiqué de la fédération PCF de Seine-Saint-Denis. Dans ce texte il qualifie la déclaration de Jean-Christophe Lagarde «d'islamophobe» et décalre que des «milliers de salariés de PSA Aulnay, musulmans ou non, se sont battus ensemble pour sauver leur emploi ou avancer vers leur reclassement, comme l'a révélé le documentaire "Comme des Lions"» (en référence au documentaire réalisé par Françoise Davisse en 2016). Le PCF tance par ailleurs vertement le député-maire de Drancy : «[Les salariés] n'ont pas eu votre soutien [Jean-Christophe] Lagarde et vous venez les insulter trois ans après».
RépondreSupprimerJordan Bardella, responsable départemental du Front national en Seine-Saint-Denis, a également réagi sur Twitter en déplorant, selon ses mots, la menace que ferait peser l'islamisme sur l'identité nationale et l'emploi.
La fermeture du site PSA d'Aulnay liée à "l'omniprésence religieuse". Après avoir menacé notre identité, l'islamisme détruit nos emplois ! pic.twitter.com/kkmoBKCGj5
Les réactions ne se sont pas fait attendre sur Twitter. Certains utilisateurs n'ont pas hésité à rebondir sur les propos de Jean-Christophe Lagarde pour poser à leur tour la question du rapport entre l'islam et le travail.
@journalPresent @VilledeDrancy islam et travail sont deux mots antagonistes. Déjà.
Des utilisateurs ont également lié la fermeture du site à l'islam en général et à l'immigration.
Ils ont voulu plus d'immigration pour faire baisser les salaires. PSA ferme à Aulnay à cause de l’omniprésence de l'islam !
D'autres utilisateurs ont néanmoins moqué l'argument «d'omniprésence religieuse» en rappelant l'ouverture programmée d'une usine PSA au Maroc.
Peugeot aurait fermé ses portes à Aulnay à cause de l'Islam.
C'est pour ça que PSA ouvre une usine au.. MAROC.
L’usine PSA d’Aulnay employait un grand nombre de travailleurs de confession musulmane. A l'instar d'autres sites de production du groupe PSA, l'usine abritait également une salle de prière depuis les années 1980 et les pauses déjeuners étaient aménagées pendant le ramadan.
PSA Peugeot Citroën a fermé en décembre 2013 son usine d’Aulnay-sous-Bois, qui employait encore 3 000 salariés à l’été 2012. Depuis le 1er janvier 2013, l'entreprise a supprimé 17 000 des 57 000 emplois que compte sa branche automobile en France.
Lire aussi : Courbe du chômage : «les chiffres sont trafiqués», dénoncent certains politiques
https://francais.rt.com/france/31783-omnipresence-religieuse-licenciements-quand-jean-christophe-lagarde-provoque-polemique
La coalition occidentale a épargné les sites pétroliers de Daesh, affirme la Défense russe
RépondreSupprimer4 janv. 2017, 16:36
Le porte-parole du ministère de la Défense russe a démenti les déclarations de Washington qui prétend avoir ciblé les installations pétrolières de l’EI en Syrie et accuse les USA de n'avoir bombardé que les infrastructures syriennes.
«Miraculeusement, seuls les champs pétroliers capturés par Daesh qui ont permis aux terroristes de gagner des dizaines millions de dollars chaque mois grâce à la vente illégale du pétrole et de recruter des mercenaires autour du monde ne sont pas tombés sous le feu de la coalition occidentale menée par les Etats-Unis», a déclaré le porte-parole du ministère de la Défense russe Igor Konachenkov. Plutôt dans la journée, le chef de la CIA, John Brennan avait accusé la Russie d’avoir pratiqué «une tactique de terre brûlée» en Syrie.
«La coalition internationale, dirigée par Washington, a méthodiquement détruit l'infrastructure syrienne, depuis 2012, afin d'affaiblir son gouvernement légitime et ce, en dépit de la menace pour la population civile», a-t-il poursuivi.
Selon le général Igor Konachenkov, Washington essaie ainsi de «couvrir ses arrières pour l'avenir», se rendant compte que les Etats-Unis seraient bientôt jugés responsables des actes de la coalition.
«John Brennan [directeur de la CIA] est parfaitement au fait des résultats réels des actions russes en Syrie. A l'attention particulière de la CIA et d’autres services spéciaux de ce type, nous les avions annoncés lors de la conférence finale de l’année du ministère de la Défense russe», a-t-il souligné en rappelant que la Russie, la Turquie et l’Iran avaient signé un accord de cessez-le-feu en Syrie et entamé des préparations aux négociations de paix à Astana.
La coalition internationale dirigée par les Etats-Unis déclare avoir frappé les positions de Daesh en Syrie depuis 2014 sans autorisation des autorités de Damas. Entretemps, les forces spéciales américaines ont soutenu des groupes armés de l’opposition dite «modérée» en lutte contre le gouvernement syrien.
Lire aussi : La coalition menée par les Etats-Unis admet avoir tué au moins 188 civils en Syrie et en Irak
https://francais.rt.com/international/31779-defense-russe-coalition-menee-etats-unis-detruit-infrastructure-syrienne
Les livraisons d'armes américaines aux rebelles sont le « Fruit d'une volonté de pourrir encore la situation »
RépondreSupprimerRT
mer., 04 jan. 2017 20:49 UTCCarte
La décision de Barack Obama de lever les restrictions sur l'aide militaire à l'opposition syrienne est un acte incompréhensible, car les Etats-Unis savent que les armes peuvent se retrouver dans des mains inconnues, selon l'analyste Frédéric Pichon.
RT France : Comment, à votre avis, la décision de Barack Obama de lever l'embargo sur la livraison des armes aux rebelles en Syrie va influencer la situation en Syrie ?
Frédéric Pichon (F. P.) : Cette décision est incompréhensible dans la mesure où les Etats-Unis savent très bien, avec le recul, que beaucoup d'armes livrées par les Etats-Unis ont fini en de mauvaises mains. Les leçons n'ont pas été tirées et ils continuent de vendre des armes dont on n'est pas sûr des destinations. Quand on voit l'échec cuisant du programme de formation des rebelles syriens qui a coûté 500 millions de dollars aux Etats-Unis pour avoir enfin des rebelles sûrs à qui on pourrait délivrer des armes sans risque, quand on voit qu'à la fin ils n'en ont formé probablement qu'une demi-douzaine, ce genre de décision est assez incompréhensible. Elle est compréhensible si l'on imagine que de la part de l'administration américaine il s'agit de prolonger cette guerre pour entraver en quelque sorte son dénouement, notamment par l'implication de la Russie dans un processus, en attendant peut-être aussi que Donald Trump prenne ses fonctions. Le dernier s'est déclaré plutôt favorable à ce que la Russie règle le problème syrien. A chacun son terrain de jeu, les Américains en Irak et la Syrie pour la Russie. C'est à la fois incompréhensible et en même temps, je pense que c'est le fruit d'une volonté de pourrir encore la situation, alors qu'elle est en train de se clarifier depuis la chute d'Alep Est.
« Les Etats-Unis sont obligés d'avouer qu'ils ont échoué ou qu'ils n'ont jamais vraiment aidé cette rébellion »
RT France : La décision de lever l'embargo sur l'aide militaire aux rebelles, pourrait-elle être provoquée par le succès de l'armée syrienne à Alep ?
F. P. : Oui, ce sont des gages donnés à certains alliés des Etats-Unis, ceux du Golfe en particulier, pour faire semblant de dire que l'Amérique n'abandonne pas le terrain à Bachar el-Assad, mais dans la réalité c'est ce qui est en train de se passer et les Etats-Unis sont obligés d'avouer qu'ils ont échoué ou qu'ils n'ont jamais vraiment aidé cette rébellion. A mon avis, c'est vraiment un gage donné aux Saoudiens et peut-être aux Turcs, car la Turquie reste dans l'OTAN et les Etats-Unis ne savent pas trop comment faire.
« C'est un tournant en termes d'information, de réalité de ce qui se passe sur le terrain et c'est aussi un tournant politique »
RT France : Pensez-vous que le fait qu'Alep soit progressivement libéré par l'armée syrienne puisse constituer un tournant dans la guerre syrienne ?
F. P. : Tout le monde s'en rend bien compte, d'abord parce que la libération d'Alep va permettre aussi et a déjà permis que soit dissipé un certain nombre de narratifs occidentaux. Prenez pour preuve la surestimation faite de la population qui vivait encore à Alep Est, on a entendu parler des 250 000 habitants, il est probable qu'on est à beaucoup moins de 100 000, même 50 000. Et puis, la qualité même des rebelles qui tenaient Alep, on nous a vendu une rébellion démocratique, elle est quand même dominée par les djihadistes du Front al-Nosra. C'est un tournant en termes d'information, de réalité de ce qui se passe sur le terrain et c'est aussi un tournant politique, vu le fait que ni les Etats-Unis, ni personne n'est venu au secours de ces fameux rebelles montre bien qu'il y a un consensus international, y compris américain, je crois, pour que Bachar el-Assad se maintienne au pouvoir. Pour ce dernier c'est une manière de prouver qu'il est là et qu'il n'abandonnera pas tout ce territoire utile de la Syrie à une rébellion qui n'a jamais été capable de se faire un contrepoids politique ou d'être compétente dans l'administration du territoire entier.
RépondreSupprimer« L'histoire jugera durement cette séquence diplomatique française »
RT France : Pensez-vous que la coalition occidentale puisse parvenir à un accord avec la Russie concernant le consensus avec Bachar el-Assad ? Pourrait-on aboutir à un consensus entre tous les alliés, alors que la France tient une réunion ministérielle du groupe des pays affinitaires sur la Syrie demain ?
F. P. : La France c'est un cas à part. A la limite, les Etats-Unis sont plus réalistes que la France sur le dossier syrien. La réunion qu'organise Paris dans les jours qui viennent c'est la démonstration de cet aveuglement, acharnement à continuer à jouer un mauvais cheval et à s'enserrer dans une position qui est évidemment politiquement contre-productive et qui en réalité ne donnera rien, sinon l'impression de plus en plus croissante que nous avons aligné notre diplomatie sur celle des pays du Golfe. Je ne suis pas le seul à le dire, il y a des ouvrages qui sont sortis en France récemment qui le dénoncent et le disent. On donne encore une fois le spectacle de cette soumission étrange. L'histoire jugera durement cette séquence diplomatique française.
Frédéric Pichon est docteur en Histoire contemporaine et enseigne la Géopolitique. Auteur d'une thèse sur la Syrie, il est chercheur associé à l'équipe Monde Arabe et Méditerranée de l'Université François Rabelais de Tours. Il donne régulièrement des conférences sur des questions liées à la géopolitique du moyen-orient.
https://fr.sott.net/article/29771-Les-livraisons-d-armes-americaines-aux-rebelles-sont-le-Fruit-d-une-volonte-de-pourrir-encore-la-situation
Le Titanic a mis le voile
RépondreSupprimerle 5 Janvier 2017
Juge Andrew P. Napolitano
Au cours du week-end du Nouvel An, le conseiller politique du président Barack Obama et stratège le plus proche, Valérie Jarrett, a déclaré à un animateur de talk-show que son patron aurait un heureux héritage parce qu'il n'y avait pas de scandale dans son administration. Quand j'ai entendu cette affirmation absurde, j'ai pensé que j'avais mal entendu. Pourtant, il est apparemment vrai que le président Obama et son équipe en quelque sorte peut négliger l'histoire récente et se comporter comme si des événements avec lesquels nous sommes tous familiers ne s'est jamais produit.
Voici l'histoire de retour.
Quand Obama est devenu président en 2009 et a bénéficié d'importantes majorités démocrates dans les deux chambres du Congrès, lui et ses collègues se sont entièrement consacrés à une question nulle part dans la Constitution - les soins de santé. Ils n'ont pas abordé d'autres questions chères à eux et à leur base, comme les armes à feu, l'avortement, les impôts, la guerre, les emplois et les libertés civiles. Ils cherchaient plutôt à modifier radicalement la relation entre le gouvernement fédéral et toute personne en Amérique en imposant à chacun d'entre nous l'obligation d'acheter un produit, à savoir l'assurance maladie, que nous le voulions ou non.
Le statut abominable qu'ils ont promulgué, qui a causé des millions de gens à perdre leur médecin de soins primaires et des millions de plus pour voir leurs primes monter en flèche et encore des millions de plus pour voir leurs emplois à temps plein devenir à temps partiel, a obtenu le surnom Obamacare.
Au lieu de réduire les impôts ou les règlements ou de dépenser pour plus de gens aurait des emplois mieux rémunérés, le président et ses gens étaient déterminés à nous dire tout comment rester en bonne santé. Obamacare a adopté un vote de parti-ligne, avec pas un seul vote pour épargner au Sénat.
Au moment où il a été promulgué, le président a fait valoir avec acharnement que la conséquence financière de ne pas obtenir d'assurance maladie - la peine pour avoir désobéi à la loi - n'était pas une taxe. Il a fait cet argument parce qu'il avait promis aux démocrates - dont beaucoup avaient perdu leurs sièges au Congrès pour aller de pair avec son expérience utopique - qu'il n'augmenterait pas les impôts pour atteindre ses objectifs.
Lorsque la loi a été contestée devant les tribunaux fédéraux et que les différents défis ont été consolidés devant la Cour suprême, les challengers n'ont pas contesté l'allégation selon laquelle la sanction n'était pas une taxe. Un tribunal ne peut pas prendre en considération des arguments ou des éléments de preuve qui ne lui ont pas été soumis. Par exemple, dans un accident d'automobile, si tous les témoins omettent qu'un feu de circulation en question était vert au moment de la collision, le tribunal peut ne pas constater qu'il était rouge.
Malgré l'accord entre les parties devant la Cour suprême et malgré l'absence de toute preuve que la pénalité était une taxe, la Cour suprême a fait une nouvelle loi en déclarant cette taxe non fiscale comme une taxe, puis statuant que le Congrès peut taxer tout ce qu'il veut - afin que le Congrès peut vous forcer à acheter un produit que vous ne voulez pas en taxant vous si vous ne parvenez pas à faire l'achat.
RépondreSupprimerRien de tout cela n'est nouveau. C'est l'héritage connu du président. C'est un héritage de l'échec colossal de la planification centrale d'un cinquième de l'économie. Il en a résulté une expansion des pouvoirs fédéraux et une réduction de la disponibilité des fournisseurs de soins de santé et est un autre rejet flagrant de la Constitution comme la loi suprême de la terre.
Tandis que tout cela se passait, les scandales que Jarrett négligeait brassaient. Opération rapide et furieux, qui a commencé dans l'administration de George W. Bush, a explosé sous Obama, lorsque les canons que les fédéraux ont intentionnellement laissé tomber dans les mains des gangs mexicains ont été utilisés pour tuer un des leurs.
Viennent ensuite la Libye, où les armements lourds que les Fédéraux avaient secrètement passés aux mains de terroristes masqués comme rebelles ont été utilisés pour tuer l'ambassadeur des États-Unis et renverser un gouvernement amical.
Puis la saisie des enregistrements téléphoniques des journalistes critiques de l'administration par le ministère de la Justice, qui a secrètement convaincu un juge fédéral que parler à un dénonciateur et de rendre compte de son comportement douteux en quelque sorte était de rendre compte des reporters impliqués criminellement dans ce comportement.
Puis est venu le ciblage par l'IRS des groupes conservateurs de défense en leur refusant le statut d'exonération fiscale pour des raisons politiques.
Puis, le scandale des services secrets, au cours duquel des dizaines d'agents ont été surpris lors de voyages à l'étranger dans des hôtels où le président séjournait - des rencontres qui ont entraîné la perte d'ordinateurs portables et des itinéraires et menacé la sécurité physique du président - de supprimer des emplois.
Viennent ensuite les révélations d'Edward Snowden que le gouvernement captait chaque coup de touche de chaque personne utilisant chaque ordinateur et dispositif mobile aux États-Unis encore ne parvenait pas à nous maintenir en sécurité et qu'un haut fonctionnaire d'Obama avait menti sous serment. Et tout cela a été fait sans l'approbation du Congrès, en utilisant un tribunal secret qui a rationalisé son chemin autour de la Constitution.
RépondreSupprimerAlors que tout cela se passait, le président utilisait secrètement des drones pour tuer des Américains et d'autres dans des pays étrangers - des gens jamais accusés de crimes - utilisant l'autorité légale risible comme justification. En outre, la secrétaire d'État Hillary Clinton a exposé des secrets d'État - y compris les noms et le lieu où se trouvaient des agents américains en civil - à des amis et des ennemis, et le FBI a refusé de recommander des poursuites. Et tandis que Clinton était sous enquête, son mari, l'ancien président Bill Clinton, avait une réunion privée sur un aérodrome de l'aéroport avec le procureur général - qu'il avait jadis nommé un avocat américain - à laquelle ils prétendent qu'ils ont discuté de leurs petits-enfants.
Quel héritage est pire, échec ou scandale ? Est-il étonnant que Donald Trump ait puisé dans les nerfs bruts des gens que le président et les démocrates ont oubliés et monté leur colère à la victoire ? Les Américains d'aujourd'hui sont moins libres, moins prospères, moins sûrs et trillions de plus endettés que nous étions il y a huit ans. Est-ce que Trump peut effectivement changer de cap après tant de dégâts ? Nous le saurons bientôt.
http://www.judgenap.com/post/the-titanic-has-set-sail
Les Suisses préfèrent l’argent liquide
RépondreSupprimerAudrey Duperron
5 janvier 2017
Alors que partout ailleurs dans le monde, on observe une tendance vers la disparition de l’argent liquide et la généralisation des paiements électroniques, la Suisse reste remarquablement fidèle aux espèces, écrit le Wall Street Journal.
De nombreux Suisses préfèrent encore payer en espèces, même pour des transactions de montants importants, tels que l’achat d’une voiture. La facture d’électricité est également souvent réglée en espèces au bureau de poste et même lorsqu’ils voyagent à l’étranger, les touristes suisses emportent de l’argent liquide avec eux.
La lutte contre le blanchiment d’argent
Ces habitudes compliquent la lutte contre la fraude financière. Depuis le début l’année dernière, le pays a cédé à la pression internationale pour lutter contre les pratiques de blanchiment d’argent, et décidé que les paiements en espèces ne seraient plus admis au-delà d’un plafond de 100 000 Fr. suisses (environ 95 000 €).
Au-dessus de ce montant, l’identité doit être vérifiée et les paiements suspects doivent être signalés aux autorités. Dans d’autres pays européens, cette limite est beaucoup plus faible, souvent de l’ordre de 1000 ou 2000 €.
Le groupe d’actions financières (GRAFI), qui contrôle la lutte internationale contre les pratiques de blanchiment d’argent, déplore également que la limite suisse pour les paiements en espèces soit aussi élevée.
Le caractère tangible
Cependant, plusieurs raisons expliquent pourquoi les Suisses préfèrent l’argent liquide. « Le pays est relativement sûr, ce qui signifie que les risques de vols sont limités », rappellent les experts. En outre, la Suisse est à majorité rurale, ce qui signifie que les transactions ont tendance à être réalisées en face à face, et que l’on apprécie de pouvoir toucher les billets et les pièces, et d’éprouver leur caractère tangible.
En conséquence, les Suisses portent plus d’argent sur eux que les citoyens de tout autre pays. Ils conservent chez eux en moyenne 9214 $, contre 4433 $ aux États-Unis et 3575 $ en moyenne au sein de l’UE.
Pourtant, on note une baisse notable. Au début des années nonante, les liquidités représentaient environ 90 % de l’argent utilisé. Mais il y a 2 ans, elles sont tombées à environ 60 %.
https://fr.express.live/2017/01/05/suisse-preferent-argent-liquide/
Supprimer(...) Alors que partout ailleurs dans le monde, on observe une tendance vers la disparition de l’argent liquide et la généralisation des paiements électroniques (...) !!!!!
Partout !!!... à l'intérieur des chiottes présidentiels où ils s'enculent tous les jours !
Or, question à se poser est: Qu'en est-il de l'argent dit 'sale' qui serait présenté comme étant majoritaire dans les transactions !!? Il en est que tout argent dépensé profite aux nouveaux bénéficiaires qui en feront tourner des millions de commerces sans (sauf incendie) que cet 'argent-papier' n'en soit affecté dans sa valeur (si 'valeur' il y a du 'tiré-à-la-machine').
L’Allemagne a enregistré plus de demandes d’asile que le reste de l’UE
RépondreSupprimerMylène Vandecasteele
5 janvier 2017
988 000 demandes d’asile ont été enregistrées au total dans l’UE au cours des 9 premiers mois de l’année dernière. L’Allemagne, qui en a totalisé 658 000, est le pays qui en a reçu la plus grande majorité.
C’est ce que rapporte le journal allemand Die Welt, sur la base des données d’Eurostat, l’office européen de statistiques. En seconde position, on trouve l’Italie avec 85 000 demandes, suivie par la France avec 62 000 demandes.
Cependant, le nombre de demandes d’asile pour 2016 ne reflète pas nécessairement le nombre de réfugiés qui sont entrés dans le pays au cours de la même période. En effet, un grand nombre des personnes qui ont sollicité l’asile année dernière étaient déjà entrées dans le pays l’année précédente. Selon le gouvernement, 272 000 personnes sont arrivées au cours des 9 premiers mois de l’année 2016, d’après les enregistrements du système électronique.
Responsabilité
« La notion souvent évoquée selon laquelle l’Europe rejette la responsabilité de l’accueil des réfugiés sur les pays du Sud ne tient plus quand on regarde les chiffres », a déclaré Johannes Singhammer, l’un des vice-présidents du parlement allemand. Selon lui, de tels chiffres montrent aussi « clairement que la crise des réfugiés en Allemagne n’a pas été surmontée ».
Le journal Die Welt souligne également que la plupart des états membres de l’Union européenne ont durci leur politique à l’égard des réfugiés et qu’ils ont admis moins d’immigrants de ce fait. Le Danemark, par exemple, où 21 000 demandes d’asile avaient été déposées en 2015, n’en a enregistré que 5 300 au cours des 9 premiers mois de 2016. Ce pays a aussi renforcé les contrôles à ses frontières et durci les conditions d’obtention du droit d’asile.
On estime que l’année dernière, 15 millions de personnes au total ont sollicité l’asile au sein de l’UE, un chiffre est similaire à celui de l’année précédente.
https://fr.express.live/2017/01/05/demandes-dasile-allemagne-ue-2016/
SupprimerAlors que la langue parfaitement incompréhensible (telle que le chinois ou l'arabe) empêche toute discution avec qui que se soit à l'étranger, seule compte l'allocation promise à tout terroriste arrivant à en franchir la frontière vers le pays !
(...) On estime que l’année dernière, 15 millions de personnes au total ont sollicité l’asile au sein de l’UE (...)
Le 'on estime' devrait ajouter un zéro à 15 millions pour être plus juste et décrire exactement les pays préférés des terroristes !
Publication de «Mein Kampf»: après le succès allemand, retour sur la polémique française
RépondreSupprimer11:21 05.01.2017
Franc succès de « Mein Kampf » en Allemagne ! 85 000 exemplaires de l'édition dûment commentée de l’ouvrage ont été écoulés en tout juste un an. En France, c'est Fayard qui avait annoncé s'atteler à la tâche pour 2016, non sans créer la polémique, avant de reporter la parution à 2018.
« Nous avons 85 000 ventes !» L'institut für Zeitgeschichte, un centre de recherche d'histoire contemporaine de l'université de Munich, semble le premier surpris du succès rencontré en librairie de « Mein Kampf » (mon combat). Initialement tirée à 4 000 exemplaires, leur publication d'une édition du seul livre du futur dictateur, en est à sa sixième réédition. Le tout un an seulement après sa parution, les droits d'auteurs étant tombés dans le domaine public le 31 décembre 2015, soit 70 ans après la mort de son auteur.
Un ouvrage de 2000 pages, agrémenté de pas moins de 5 000 notes, que l'institut tenait à inscrire dans une démarche scientifique, afin de rendre disponible pour le public allemandimmédiatement après la fin des droits d'auteurs, un ouvrage critique et pédagogique.
Devant le succès inattendu du livre, L'institut für Zeitgeschichte envisage d'ailleurs d'en sortir une version française. Vont-ils couper l'herbe sous le pied de Fayard ? En effet, cette filiale du groupe Hachette travaille depuis 2011 à une édition similaire de Mein Kampf. Elle devrait notamment comporter une longue introduction et un important appareil critique. Rien que la traduction mise à jour de ce pavé de près de 800 pages dans sa version originale, paru en Allemagne en deux volumes, en juillet 1925 et décembre 1926, est un travail de titan.
Contrairement à ce que beaucoup pensent, la publication de « Mein Kampf » n'est pas interdite en France, elle est simplement mise à l'Index et doit contenir un avertissement de huit pages, conformément à l'arrêt du 11 juillet 1979 de la cour d'appel de Paris. Ainsi, depuis 1934, Les Nouvelles Éditions latines proposent dans la langue de Molière un pavé de 699 pages du brûlot d'Hitler qui s'écoule chaque année dans l'hexagone entre 2 et 3 000 exemplaires.
Une publication en français du « texte intégral et non censuré » qui avait énervée en premier lieu… Adolf Hitler, qui avait saisi la justice française. En effet, la traduction de l'ouvrage, sans passages édulcorés par la maison d'édition du Führer (Eher-Verlag), permettait à un public français un tant soit peu curieux d'apprendre les fondamentaux de l'idéologie de l'ancien putschiste. Le prisonnier autrichien qui allait devenir Chancelier puis Führer y dévoilait notamment le sort peu enviable qu'il réservait aux français.
Hitler partageait une haine obsessionnelle tant pour les juifs et les « bolcheviques » que pour les français… la France « l'ennemi mortel et impitoyable […] qui nous hait si rageusement » pour n'en citer qu'un passage. Une France qui, pour le coup, entendait bien limiter au maximum le pouvoir de nuisance de son puissant voisin au sortir de deux guerres désastreuses. Pour en revenir à l'édition commentée du texte qu'envisageait Fayard, l'éditeur pensait la sortir en 2016. Mais si son pendant outre-Rhin fut accueilli « de manière très positive par la communauté scientifique » —soulignait en juin dernier le Point — la perspective d'une telle publication en France ne réjouissait pas tout le monde, loin de là.
Dès octobre 2015, Jean-Luc Mélenchon adressait une lettre ouverte à la maison d'édition afin qu'elle renonce à son projet, sobrement intitulée "Non ! Pas 'Mein Kampf' quand il y a déjà Le Pen" ! Une lettre qui n'avait pas laissé indifférent Christian Ingrao, historien du nazisme et chercheur au CNRS, qui s'était insurgécontre une démarche contre-productive, une démarche visant à« empêcher un projet scientifique de venir à terme ».
RépondreSupprimerIl rappelait que « le livre est immédiatement disponible à quiconque veut le trouver », soulignait par ailleurs que « la recherche « Mein Kampf PDF » est la deuxième plus populaire quand on tape les premiers mots du titre dans Google ». L'historien déclarait dans les colonnes de Libération: « Editer Mein Kampf, c'est précisément lutter contre cette mise en tabou, c'est refuser de sacraliser négativement ce texte si pataud. C'est lui opposer le savoir et l'éclairage historiens en muselant véritablement un texte dont on sent bien que son halo excède de très loin l'effet de sa lecture. »
Quelles que soient les motivations de Fayard pour reporter la publication, qui nous a formellement signifié qu'il n'y aurait aucun commentaire au sujet de ce livre avant sa publication fin 2017 — début 2018 (soit après les élections présidentielles) nous restons donc en France avec une version brute de Mein Kampf. Pourtant Fayard, dans sa démarche, soulignait l'importance du travail de critique envisagé autour du texte. « Le danger c'est précisément qu'il n'y ait pas d'édition commentée et que ce texte circule à l'état brut », racontait aux InRocks Olivier Mannoni, le traducteur sollicité par Fayard sur le projet dès 2011.
C'est pourtant bien ce qui se passera, suite à ce report obtenu par la levée de boucliers d'une partie de la bien-pensance. Une version brute, c'est exactement ce que souhaitait la maison d'édition bavaroise, Schelm-Verlag, proche de l'extrême droite, qui avait annoncé mi-mai 2016 une version du livre « sans commentaires ennuyeux des braves gens ». Et si finalement, l'engouement des allemands pour « Mein Kampf » n'était pas dû à la montée de l'extrême droite dans le pays, dans un contexte de crise migratoire, mais simplement dû à une volonté des allemands de comprendre. Comprendre pourquoi et comment était né ce chaos, qui après avoir emporté l'Europe, de Brest aux faubourgs de Moscou, avait fini par emporter, aussi, leur pays.
D'autant plus que Mein Kampf n'a pas attendu 2016 et la montée des populismes en Europe pour devenir un best-seller à travers le monde. Que cela soit en Italie où sur les 10 000 titres d'ouvrages proposés à près de 3,5 millions d'élèves, dans le cadre d'un sondage du Ministère de l'éducation, le brûlot hitlérien est arrivé dans le top 10. Les pays arabes ne sont pas en reste. Les Frères Musulmans, qui déjà lors de la Seconde Guerre mondiales trouvèrent chez les Nazis de généreux mécènes, continuent encore aujourd'hui de publiquement faire l'apologie de l'ancien dictateur.
Le Point rappelle une anecdote éloquente : le 30 janvier 2009, sur Al-Jazeera, Youssef Qaradawi, figure emblématique des Frères Musulmans, avait qualifié l'extermination des juifs par les nazis de « châtiment divin », espérant qu'avec « l'aide de Dieu » l'épisode se reproduise de la « main des croyants ». Le site de l'hebdomadaire français soulignait que suite à ces déclarations« Aucune des 27 organisations islamiques européennes, notamment l'Union des organisations islamiques de France (UOIF), n'a pris ses distances avec ce théologien. »
https://fr.sputniknews.com/international/201701051029464212-publication-mein-kampf-allemagne-polemique-francaise/
SupprimerPrimo: la publication en Allemagne est en langue allemande et, la même publication en France... n'est pas traduite !!! HAHAHAHA !
Secundo, le juif autrichien n'a jamais été contre les juifs mais seulement contre l'excision et ceux qui la tolère ou en soutiennent la propagande.
Trump travaille sur un plan de restructuration, Pare Back La CIA et l'agence espion Top de l'Amérique
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Jan 4, 2017 21h40
Juste au cas où les accusations que le président élu Donald Trump est une marionnette du Kremlin, l'intention de déstabiliser et d'affaiblir les États-Unis n'étaient pas assez fort, il y a quelques instants le WSJ a assuré qu'ils atteindraient un niveau sans précédent avec un rapport que Trump, un dur Critique des agences de renseignement américaines, travaille avec des conseillers de haut niveau sur un plan qui restructurerait et paralyserait le principal organisme d'espionnage du pays, le Bureau du directeur du renseignement national, inspiré par la croyance qu'il est devenu "gonflé et politisé".
Le Bureau du directeur du renseignement national, ou ODNI, a été créé en 2004 en grande partie pour renforcer la coordination entre les services de renseignement suite aux attaques terroristes du 11 septembre 2001.
La planification intervient dans une période de turbulences entre Trump et les agences de renseignement américaines: le président élu a lancé une série d'attaques des médias sociaux ces derniers mois et ces derniers jours contre l'appareil de renseignement américain, parfois rejetant et se moquant de leur évaluation - peut-être Après tout, il n'y a toujours aucune preuve - que le gouvernement russe a piraté des emails des groupes démocrates et John Podesta et les a ensuite divulgués à WikiLeaks et à d'autres dans un effort pour aider Trump à gagner la Maison Blanche.
Selon le Journal, parmi les personnes qui ont aidé à conduire le plan de M. Trump pour restructurer les services de renseignement, il est son conseiller à la sécurité nationale, le lieutenant-général Michael Flynn, qui avait été directeur de la Defense Intelligence Agency jusqu'à ce qu'il soit expulsé par DNI James Clapper Et d'autres en 2013. Également impliqué dans la planification est Rep. Mike Pompeo (R., Kan.), Dont M. Trump a choisi d'être son directeur de la CIA.
Ce n'est pas seulement l'ODNI: l'un des gens au courant de la planification de Trump a dit au WSJ que ses conseillers travaillent également à un plan de restructuration de l'Agence centrale de renseignement, réduisant le personnel à son siège de Virginie et poussant plus de personnes dans les postes de campagne autour du monde. La CIA a refusé de commenter le plan.
"La vision de l'équipe Trump est que le monde du renseignement [est] devenu complètement politisé", a déclaré l'individu, qui est proche de l'opération de transition Trump. "Ils ont tous besoin d'être affinés. L'accent sera mis sur la restructuration des agences et leur interaction. "
Trump peut avoir un point: après tout ce sont les démocrates qui ont accusé le FBI d'être tellement politisé que la réouverture de Comey de l'affaire Clinton serveur de messagerie est ce qui lui a coûté la présidence. Alternativement, Trump a énuméré ses raisons d'alléguer que la CIA est également «politisée», cependant dans l'autre direction.
Certes, il a été très ouvert sur ses sentiments à ce sujet. Dans l'un de ses tweets du mercredi, Trump a fait référence à une interview que WikiLeaks rédacteur en chef Julian Assange a donné à Fox News dans lequel il a nié la Russie avait été sa source pour les milliers de hacker Podest et DNC emails. Comme rapporté plus tôt, Trump a tweeté: "Julian Assange a dit 'un jeune de 14 ans pourrait avoir piraté Podesta'-pourquoi DNC si négligent ? Aussi dit que les Russes ne lui ont pas donné l'info ! "
En réponse, Trump a été critiqué par les législateurs démocrates et républicains et par les services de renseignement et d'application de la loi pour avoir félicité le président russe Vladimir Poutine pour avoir attaqué les agences américaines de renseignement et pour avoir embrassé M. Assange longtemps dédaigné par les fonctionnaires et les législateurs.
RépondreSupprimer"Nous avons deux choix: un homme vivant dans une ambassade en fuite de la loi ... qui a l'histoire de miner la démocratie américaine et de divulguer des informations classifiées pour mettre nos troupes en danger, ou les 17 agences de renseignement juré de nous défendre", a déclaré Le sénateur Lindsey Graham. Je vais avec eux.
En outre, les conseillers de Trump disent qu'il a longtemps été sceptique quant à l'exactitude de la CIA, et le président élu mentionne souvent des renseignements défectueux en 2002 et 2003 concernant les programmes d'armes de l'Irak. Mais il a concentré son scepticisme des agences carrément sur leurs évaluations russes, ce qui a secoué les analystes qui sont habitués à plus de cohésion avec la Maison Blanche.
Le reste de l'histoire est largement familier: voici le résumé du WSJ
Les hauts fonctionnaires des agences de renseignement des États-Unis, ainsi que les dirigeants républicains et démocrates au Congrès, ont dit que la Russie orchestré les attaques informatiques qui ont piraté et filtré les emails du Parti démocrate l'an dernier. Le président Barack Obama a ordonné aux agences de renseignement de produire un rapport sur l'opération de piratage, et il est attendu pour présenter les résultats jeudi.Russia a longtemps nié toute participation à l'opération de piratage, bien que M. Poutine a déclaré libérer les e-mails volés servis Un service public.
Les dirigeants de la CIA, du Bureau fédéral des enquêtes et du directeur de l'Intelligence nationale, James Clapper, devraient informer M. Trump des résultats de cette enquête vendredi. M. Trump a tweeté mardi soir que cette réunion avait été retardée et a suggéré que les agences ont encore besoin de temps pour "construire une affaire" contre la Russie.
Les fonctionnaires de la Maison Blanche ont indiqué que M. Trump serait informé du rapport de piratage dès qu'il serait prêt. Les fonctionnaires de la Maison Blanche ont été de plus en plus frustrés par les confrontations de M. Trump avec les responsables du renseignement.
"C'est épouvantable", a déclaré le responsable. "Aucun président n'a jamais pris la CIA et sortir à la recherche bonne."
Dans ce que certains peuvent voir comme un contre-coup préemptif contre les éléments hostiles, le WSJ note que Trump partage la vue de Flynn et Pompeo que la position de la communauté de renseignement que les Russes ont essayé d'aider sa campagne est une tentative de saper sa victoire ou dire qu'il didn 'T gagner, le fonctionnaire proche de la transition dit.
RépondreSupprimerFlynn dirigera le Conseil national de sécurité de la Maison Blanche, lui donnant une grande influence dans les décisions militaires et de renseignement dans tout le gouvernement. Il est également convaincu de la rotation des services de renseignement de haut niveau sur le terrain et de la réduction du personnel du siège.
Pendant ce temps, les anciens et anciens responsables des services de renseignement et d'application de la loi ont réagi avec un mélange d'indignation et d'indignation à la suite de la série de tirs de M. Trump aux espions des États-Unis. "Ils sont furieux à ce sujet", a déclaré un ancien haut fonctionnaire du renseignement, ajoutant qu'un cortège de hauts fonctionnaires qui pensaient rester dans une administration Hillary Clinton réévaluent maintenant leurs plans suite à l'élection de M. Trump.
En outre, les fonctionnaires actuels et anciens ont dit qu'il était particulièrement frappant de voir la citation de Trump Assange dans les tweets. "C'est assez horrible pour moi qu'il se range avec Assange au sujet des agences de renseignement", a déclaré un ancien responsable de l'application de la loi.
Et cela peut expliquer pourquoi Trump a décidé de réviser l'ensemble de l'appareil de sécurité américain de la base.
Paul Pillar, un vétéran de 28 ans de la CIA qui a pris sa retraite en 2005, a dit qu'il était perturbé par les tweets de Trump et craignait qu'une grande partie des évaluations de la communauté de renseignement puisse être filtrée par le lieutenant général Flynn, choisi par M. Trump comme sa sécurité nationale conseiller.
«Je suis plutôt pessimiste», dit-il. "C'est en effet inquiétant que le président devrait entrer avec cette vision négative des agences couplé avec ses habitudes sur la façon dont il absorbe l'information et ainsi de suite qui ne fournissent pas beaucoup d'espoir pour le changement.
À la suite de la révision sans précédent de l'appareil de renseignement américain, Trump a prévu d'entendre bientôt les appels les plus forts pour que Trump commette encore une trahison.
http://www.zerohedge.com/news/2017-01-04/trump-working-plan-restructure-pare-back-cia-and-americas-top-spy-agency
L'intelligence artificielle: Mettre en échec l'AI
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
4 janv. 2017 20h50
Soumis par Andrew Orlowski via The Register,
Les «nouvelles fausses» ont beaucoup agacé les classes médiatiques en 2016, mais le monde de la technologie a perfectionné l'art il y a longtemps. «Internet» n'est plus un véhicule crédible pour les fantaisies sauvages de la Silicon Valley et l'intimidation intellectuelle d'autres industries - Internet ne fonctionne clairement pas pour les gens - L'«AI» a pris sa place.
Presque tout ce que vous lisez sur l'AI est une fausse nouvelle. La couverture AI provient d'un média disposé lui-même dans l'esprit d'un enfant de trois ans, afin d'être impressionné.
Par exemple, combien d'emplois humains AI a-t-il remplacé en 2016 ? Si vous avez donné aux experts professionnels une question à choix multiples énumérant ces trois réponses: 3 millions, 300 000 et aucun, je soupçonne très peu de choisir la bonne réponse, qui est bien sûr «aucun».
De même, si vous interrogez des spécialistes de la technologie, la récente découverte théorique ou technique pourrait expliquer l'augmentation de la couverture de l'IA, encore moins pourraient répondre correctement que «il n'y en a pas eu».
Comme avec les hypnose les plus cyniques (ou dérangés) Internet, le battage médiatique "AI" actuel a un grain de vérité qui le sous-tendent. Aujourd'hui, les réseaux neuronaux peuvent traiter plus de données, plus rapidement. Les chercheurs n'habituent plus leurs modèles. La reconnaissance de la parole en est un bon exemple: elle s'est améliorée tranquillement pendant trois décennies. Mais les gains ne correspondent nullement à la bataille: ils sont spécialisés et très limités dans l'utilisation. Donc pas tout à fait inutile, juste largement overhyped. En tant que tel, il ressemble plus à «IoT», où les choses ennuyeuses se passent tranquillement pendant des années, plutôt que «Digital Transformation», qui ne signifie rien du tout.
Les chercheurs les plus honnêtes me le reconnaissent, du moins hors du dossier.
"Ce que nous avons vu dernièrement, c'est que si les systèmes peuvent apprendre des choses qu'ils ne sont pas explicitement dit, c'est surtout en vertu d'avoir plus de données, pas plus de subtilité sur les données. Alors, ce qui semble AI, Combiné avec un UX sophistiqué ", un vétéran m'a dit.
Mais qui peut les blâmer de se taire quand l'argent est soudainement coulé dans leur dos, qui a été démodé depuis plus de deux décennies, depuis le dernier battage de l'IA s'est effondré comme un souffle ? Ce qui s'est passé cette fois est que la définition de l'«AI» a été étirée de sorte qu'elle généreusement englobe à peu près tout avec un algorithme. Les algorithmes ne semblent pas aussi sexy, n'est-ce pas ? Ils ne sont pas artificiels ou intelligents.
La bulle n'a pas encore éclaté parce que les exemples de nouveauté d'IA n'ont pas vraiment été examinés de près (nous constatons qu'ils sont hilarant inepte quand nous le faisons), et ils ne fonctionnent pas encore de services. Par exemple, jetez un oeil à l'incroyable «karaoke névralgique» que les chercheurs de l'Université de Toronto ont développé. S'il vous plaît faire: il a fait le pire record de Noël jamais.
RépondreSupprimerIl est très polyvalent: il peut écrire les pires chansons non-Noël que vous avez jamais entendu, aussi.
- voir clip sur site -
Karaoké névralgique. La pire chanson jamais garantie
Ici, je vais vous proposer trois raisons pour lesquelles l'engouement de l'IA de 2016 commencera à se dévoiler en 2017. C'est une hypothèse prudente - beaucoup de ce qui est annoncé comme une percée aujourd'hui sera bientôt le sujet de dérision virale ou la cause de grands litiges. Il y a des raisons quotidiennes qui montrent comment une fois qu'une application d'IA est hors de l'environnement de laboratoire / PR, où il a été nourri et choyé comme un enfant gâté, alors il trouve le monde réel est beaucoup plus impitoyable. Les gens ne le veulent pas vraiment.
3. Responsabilité: Vous êtes donc trop intelligent à échouer ?
Il y a neuf ans, la plus grande catastrophe financière depuis les années 1930 a frappé le monde, et précisément zéro banquier est allé en prison pour elle. Beaucoup gardaient leurs avantages et leurs pensions. Les gens ne sont pas si heureux à ce sujet.
Alors, comment pensez-vous une allusive "chat a mangé mes devoirs" excuse va aller vers le bas avec le public, ou des actionnaires ? Une IA qui fonctionne avec succès - celle qui a fait ce qu'elle a dit à l'heure actuelle - poserait de sérieux défis aux cadres de responsabilité criminelle. Quand quelque chose ne va pas, comme un accident de voiture ou un échec de la banque, qui mettez-vous en prison ? Le Conseil, le PDG ou le programmeur, ou les deux ? "Aucune des réponses ci-dessus" ne va pas être une option cette fois.
Je crois que ce seul facteur empêchera l'AI de prendre des décisions critiques où des vies et de grandes quantités d'argent d'autrui sont en jeu. Certainement, certaines personnes vont essayer de déployer des algorithmes dans des cas importants. Mais finalement, il y a des victimes: le public et les actionnaires, et l'appétit du public d'entendre une autre excuse porte très mince. Nous allons vérifier comment la détection de pré-détection de style de rapport Minority est en cours. En fait, ne le faisons pas.
Après "Too Big To Fail", personne ne va acheter "Too Smart to Fail".
2. Le consommateur ne veut pas
RépondreSupprimer2016 a vu l'"AI" étant déployé sur les consommateurs expérimentalement, provisoirement, et les signes sont déjà là pour quiconque se soucie de voir. Il n'a pas été un grand succès.
La manifestation la plus hype d'un meilleur traitement du langage est le chatbots. Les Chatbots sont les nouveaux UX, dont beaucoup comprennent Microsoft et Facebook espoir. Oren Etzoni à l'Institut Paul Allen prédit qu'il deviendra une «industrie trillion dollar» Mais il admet aussi «mon 4 YO est beaucoup plus intelligent que tout programme d'IA que j'ai jamais rencontré».
Hmmm, merci Oren. Donc ce que vous dites, c'est que nous devons maintenant nous habituer à bavarder avec quelqu'un plus bête qu'un enfant de quatre ans, juste parce qu'ils peuvent rendre le logiciel plus stupide qu'un de quatre ans. Bzzt. Prochain...
Mets le comme ça. Combien de fois avez-vous lancé un centre d'appels récemment et souhaité que vous aviez parlé à quelqu'un encore plus épais, ou rendu par des processus encore plus incapable de résoudre le différend, que le salaire minimum offshore staffer que vous avez réellement parlé avec? Lorsque les chatbots viennent, alors que vous fermez le [X] sur une autre heure fantastique improductive gaspillée, vous vous consolez joyeusement avec la pensée: «C'était terrible, mais au moins MegaCorp fera des marges plus élevées cette année ! Ils sont à la fine pointe de l'IA! "?
Dans un marché de services sain et compétitif, le mauvais service signifie perte d'activité. Les premiers utilisateurs de chatbots d'IA vont découvrir cela de la manière la plus difficile. Il se peut qu'il n'y ait pas d'adopteurs postérieurs une fois que les premiers adoptants sont devenus des mèmes d'Internet pour un service terrible.
L'autre zone où des exploits apparemment impressionnants de «AI» ont été déchaînés sur le public ont été subtiles. Unbidden, indésirables AI "aide" commence à pop out à nous. Google numérise vos photos personnelles et plus tard, si vous avez un téléphone Android va apparaître "utile" rappels de l'endroit où vous avez été. Les gens trouvent presque universellement cette horreur. Nous pourrions appeler cela un problème "Clippy The Paperclip", après l'intrusif Office Assistant qui ne voulait aider. Clippy va harceler AI en 2017. Cela va en fait être pire que n'importe qui à l'intérieur du culte d'IA réalise tout à fait.
Jusqu'à présent, les services Web réussis sont basés sur un échange économique. Les géants de l'Internet slurp vos données, et vous donner des choses gratuites. Nous n'avons pas pensé plus étroitement à ce que ces données valent. Pour le consommateur, cependant, ces intrusions d'AI non sollicitées simplement attirer notre attention sur la façon intrusive de la slurp de données est vraiment. Il pourrait tout gâcher. Personne n'a pensé à cela ?
1. AI est un monde de faire croire peuplé de fous, et personne ne veut en faire partie
RépondreSupprimerJusqu'à présent, le battage médiatique de l'IA s'est appuyé sur une collusion entre deux groupes de personnes: une offre et une demande. L'industrie de la technologie, l'industrie de la prévision et les chercheurs fournissent une offre illimitée de battage post-humain.
La demande provient des médias et des classes politiques, maintenant incapables ou peu disposés à s'engager dans la politique avec les masses, à se livrer à des fantasmes sauvages sur les humains étant remplacé par des robots. Pour moi, ce dernier reflète une activité de déplacement: les professions sont déjà en train de céder l'autonomie dans leur travail au managérialisme technocratique. Ils ont fait des robots hors d'eux-mêmes et maintenant craindre d'être remplacé par des robots. (Passez le hankie, je suis désemparé.)
Il y a un fossé culturel entre les promoteurs d'AI et le public qu'Asperger seul ne peut pas expliquer. Il n'y a pas de moyen poli pour exprimer cela, mais l'IA appartient à la triste tradition californienne de générer des cultes, et d'incuber culte-comme la pensée. La plupart des gens peuvent en nommer quelques-uns des hippies ou post-hippie ans - EST, ou la famille, ou l'armée de libération Symbionese - mais en fait, les Californiens ont été il à elle plus longtemps que tout le monde réalise.
Il n'y a rien de bizarre au sujet de Mark. Avancez et inclinez le Chatbot.
Aujourd'hui, cet esprit vit sur la Silicon Valley, où des nerds épouvantables comme Mark Zuckerberg et Elon Musk peuvent accomplir leurs désirs de «jouer Dieu et être étonnés par la magie», les deux grandes choses qu'ils manquent depuis leur enfance. Regardez la maison de Zuckerberg, par exemple. Ce que ces gens veulent n'est pas ce que vous ou je veux. Je serais prudent de leur courir un club après l'école.
Out dans le monde réel, les gens veulent un meilleur service, pas pire service; Plus humains et moins robotiques avec les services, pas plus d'échanges robotiques "post-humains". Mais personne à l'intérieur du culte de l'IA ne semble s'inquiéter de cela. Ils pensent que nous sommes aussi étonnés qu'ils sont. N'étaient pas.
Les «chefs de la technologie» conduisant l'IA font tout ce qu'ils peuvent pour nous alerter sur le fait qu'aucune personne saine ne les chargerait de conduire quoi que ce soit. Pour cela, je suppose, nous devrions être reconnaissants.
http://www.zerohedge.com/news/2017-01-04/artificial-intelligence-putting-ai-fail
SupprimerPrimo, sachant que plus de 97 % des transmissions de messages se font par fibres optique (câbles sous-marins) et donc moins de 3 % par satellites réservés aux militaires, cartographie et transmissions 'en mer et en air', il n'est pas interdit de penser que tout ce que vous dites ou recevez sera de même à son arrivée qu'à son départ ! (because NSA !), idem pour l'Intelligence Artificielle qui conduit depuis des décennies la 'valeur' des actions en Bourses !!!
Donc, comme je l'ai longuement rappelé dans ces blogs:
http://huemaurice5.blogspot.fr/2013/06/touchez-pas-cest-collector.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/06/accord-commercial-secret-couvrant-68.html
est expliqué seulement maintenant dans l'IA qui envahit nos jours !
La centrale nucléaire de Diablo Canyon est citée pour le problème du système de refroidissement
RépondreSupprimer4 janvier 2017
par legitgov
30 déc 2016
(San Luis Obispo, CA) /à plus de 300 km Nord LA
Les régulateurs fédéraux ont cité la centrale nucléaire de Diablo Canyon pour un problème qui peut avoir assommé un système de refroidissement de réacteur pendant un an et demi. La Tribune de San Luis Obispo a signalé que la Commission de réglementation nucléaire a publié jeudi une «constatation blanche» ... Lors d'un essai en mai, les travailleurs ont découvert qu'un système de refroidissement d'urgence pour l'un des deux réacteurs ne fonctionnait pas - N'étaient pas en exploitation depuis sa dernière vérification en octobre 2014.
http://www.legitgov.org/Diablo-Canyon-nuclear-plant-cited-cooling-system-problem
Par 'système de refroidissement d'urgence' il faut entendre 'pompes de secours destinées à apporter de l'eau aux réacteurs en cas de défaillance des pompes principales qui puisent l'eau dans l'océan'.
SupprimerSarah Palin s'excuse pour "Condemning" Julian Assange
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
4 janvier 2017 17h05
Par la page Facebook de Sarah Palin ...
A Julian Assange: Je m'excuse.
Veuillez regarder l'interview de Sean Hannity avec Julian Assange (Wikileaks).
... à partir de 49:08 ...
- voir clip sur site -
Exposant la vérité sur: la gauche ayant été oh-si-coupable d'actes atroces et les attitudes dont ils ont accusé faussement les autres. La collusion médiatique qui a caché ce que beaucoup sur la gauche ont soutenu est choquant. Cette information importante qui a finalement ouvert les yeux des gens sur les candidats et les agents démocrates n'aurait pas été exposée si ce n'était pas pour Julian Assange.
Je m'excuse de condamner Assange quand il a publié mes messages infâmes (et éprouvés non controversés, relativement ennuyeux) il ya des années.
Comme je l'ai dit au moment de la ciblage et de ma condamnation subséquente, la ligne doit être tracée avant que nos troupes ou des vies innocentes qui méritent une protection ne soient mises en danger à la suite des courriels publiés.
Julian, je m'excuse.
- Sarah Palin
Ps Si vous en avez l'occasion, prenez le film "Snowden." Ce film et l'interview d'Hannity ce soir sont très instructifs.
http://www.zerohedge.com/news/2017-01-04/sarah-palin-apologizes-condemning-julian-assange
Judith Curry démissionne - "bataille de l'intégrité scientifique contre le suicide de carrière"
RépondreSupprimerJanuary 5th, 2017
Il est triste de voir que Judith Curry ne poursuivra pas ses recherches. La main morte de buracademia chasse le meilleur.
De Mark Steyn, qui ne tient pas:
"... distinguée scientifique du climat Judith Curry avait décidé de démissionner de son poste à Georgia Tech:
La raison superficielle est que je veux faire d'autres choses ...
Les raisons plus profondes ont à voir avec mon désenchantement croissant avec les universités, le domaine universitaire de la science du climat et les scientifiques.
La Dr Curry développe:
Un facteur décisif a été que je ne sais plus quoi dire aux étudiants et aux postdoctoraux sur la façon de naviguer dans le CRAZY dans le domaine de la science du climat. La recherche et d'autres activités professionnelles ne sont récompensées que si elles sont canalisées dans certaines directions approuvées par un établissement universitaire politisé - financement, facilité de publication de vos articles, recrutement dans des postes de prestige, nominations à des comités et conseils prestigieux, reconnaissance professionnelle, etc.
La façon dont les jeunes scientifiques doivent naviguer dans tout cela est au-delà de moi, et il devient souvent une bataille d'intégrité scientifique contre le suicide de carrière (j'ai travaillé à travers ces questions avec un certain nombre de jeunes scientifiques sceptiques).
Par «suicide de carrière», le Dr Curry veut dire que si vous êtes en désaccord avec l'orthodoxie de Big Climate, des agents de harcèlement comme le Dr Michael E Mann vous prendront le bâton de hockey jusqu'à ce qu'il n'y ait plus rien ...
Lisez l'intégralité du billet. Mark Steyn n'a pas peur de Michael Mann:
http://www.steynonline.com/7661/the-craziness-of-the-climate-science-echo-chamber
http://joannenova.com.au/2017/01/judith-curry-resigns-battle-of-scientific-integrity-versus-career-suicide/
SupprimerUne 'victime de plus de l''AI' ?
Les Etats-Unis ont commencé à amasser des troupes sur la frontière russe
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Jan 5, 2017 10:16
Soumis par Darius Shahtahmasebi via TheAntiMedia.org,
La Lituanie a confirmé la présence de forces spéciales américaines sur son territoire, déclarant que le but du déploiement est de former les forces locales et d'agir comme un moyen de dissuasion contre l'agression russe. Vladimir Poutine a, semble-t-il, déployé des missiles nucléaires dans la province russe de Kaliningrad, zone frontalière avec la Pologne, la Biélorussie et la Lituanie. Cette initiative a incité les pays baltes voisins à être «très inquiets» de l'activité militaire russe.
"Les Etats-Unis ont été les premiers à offrir des mesures supplémentaires d'assurance de la sécurité aux pays baltes suite à la détérioration de la situation de sécurité dans la région après l'annexion de la Crimée", a déclaré la porte-parole du ministère de la Défense lituanien, Asta Galdikaite, International Business Times.
La Russie a clairement indiqué que son déploiement de missiles dissuade l'OTAN d'étendre ses frontières. C'est effectivement un jeu de chat et de souris qui continue d'être joué avec des conséquences catastrophiques.
«Pourquoi réagissons-nous à l'expansion de l'Otan de façon émotionnelle ? Nous sommes préoccupés par la décision de l'OTAN ... Nous devons prendre des contre-mesures, c'est-à-dire frapper avec nos systèmes de missiles les cibles qui, à notre avis, commencent à nous menacer ", a déclaré Poutine dans une interview avec Oliver Stone en novembre dernier.
Au printemps de cette année, l'OTAN devrait envoyer des bataillons de 800 à 1200 soldats dans chacun des pays baltes et en Pologne. Les médias dominants ont même qualifié l'accumulation récente de l'OTAN du «plus grand accroissement militaire sur les frontières russes depuis la guerre froide». Même la Grande-Bretagne enverra des chasseurs ainsi que des troupes en Roumanie pour contrer la Russie dans la région.
Lors d'une conférence à Sotchi, Poutine a déclaré précédemment qu'il était "stupide et irréaliste" de penser que la Russie attaquerait n'importe qui en Europe. Ses homologues américains sont bien conscients de cela, mais poursuivent l'expansion de l'OTAN, de toute façon. Pourquoi ?
La Russie est intervenue au Moyen-Orient et a rendu le rôle des États-Unis à la fois comme gardien et destructeur du monde musulman largement redondant. La Russie a été une force spectaculaire pour les gardiens et les destructeurs à la place des États-Unis, bombardant sans relâche les rebelles affiliés à Al-Qaïda à Alep et en tuant des civils dans le processus. Maintenant, il y a de vrais espoirs qu'un accord de paix durable pourrait effectivement se former en Syrie, un développement que Washington n'avait pas la main dans la production.
RépondreSupprimerNous avons tous vu cette histoire avant, sauf que cette fois, il est fait plus ouvertement que l'OTAN manque désespérément d'options.
En 2013, Obama a promis que le président syrien, Bashar al-Assad, devait être puni pour son utilisation présumée d'armes chimiques (les preuves attestant les forces d'Assad étaient douteuses à l'époque). La Russie est intervenue, déjouant les plans de Washington pour le changement de régime. Peu de temps après, les États-Unis se sont mis au travail et ont planifié pour renverser le gouvernement de Viktor Ianoukovitch en Ukraine, qui a finalement été remplacé par les néonazis et, finalement, Petro Poroshenko, qui a travaillé comme «initié» pour le Département d'Etat des États-Unis.
Essentiellement, les actions de la Russie, qui interfèrent avec les plans de Washington au Moyen-Orient, attirent des activités indésirables à travers ses frontières - une dure vérité que la Russie devra accepter pour avoir son mot à dire dans les affaires mondiales.
http://www.zerohedge.com/news/2017-01-05/us-has-begun-amassing-troops-russian-border
Le fait que les États-Unis aient massé leurs troupes armées dans de nombreux pays d'Europe fera - qu'en cas d'agression US envers la Russie - la Russie répliquera immédiatement vers les pays d'où viennent les bombardements. C'est ainsi que - peut-être avant le 21 Janvier (pas après) - la France (entr'autres) recevra ses premiers obus et, la IIIè Guerre Mondiale commencera.
SupprimerLe nord de l'Allemagne sous les eaux après le passage de la tempête Axel (PHOTOS, VIDEO)
RépondreSupprimer5 janv. 2017, 19:32
Les villes côtières de la mer Baltique en Allemagne se sont retrouvées sous les eaux
La plus grosse tempête subie par l'Allemagne depuis 2006 a plongé les villes qui bordent la mer Baltique sous les eaux. Températures glaciales et vents violents ont accompagné l'intempérie.
La tempête Axel qui a touché la Pologne, l'Allemagne et dont les effets ont été ressentis jusqu'au Luxembourg dans la nuit du 4 au 5 janvier, a provoqué les plus grosses inondations que l'Allemagne ait connu depuis 10 ans. Les habitants en ont profité pour poster des photos de leurs mésaventures sur les réseaux sociaux.
Les villes côtières comme Lübeck, Rostock, Kiel et Flensburg en Allemagne ont été inondées, laissant les voitures à la dérive dans les rues. La température est passée sous les -20 degrés Celsius et les vents violents ont dépassé les 120 km/h.
La mer Baltique est montée de 1,7 mètre au dessus de son niveau habituel. Elle est redescendu dans la journée du 5 janvier mais une nouvelle tempête pourrait toucher l'Allemagne et les pays de l'est de l'Europe, jusqu’en Biélorussie, dans la nuit du 5 au 6 janvier.
Lire aussi : Athènes se réveille enneigée et les Grecs s'en émerveillent sur les réseaux sociaux (IMAGES, VIDEO)
https://francais.rt.com/international/31830-nord-allemagne-sous-eaux-apres-passage-tempete-axel
Ancien membre de la CIA : «La Russie fait un parfait méchant de Hollywood»
RépondreSupprimer5 janv. 2017
Selon Larry Johnson, si des preuves du piratage russe des emails du camp démocrate existaient, elles auraient déjà été publiées. Pour lui, les accusations du gouvernement de Barack Obama relèvent avant tout d'une «colère mal dirigée» et facile.
Larry Johnson est consultant en matière de sécurité et de lutte contre le terrorisme. Ancien membre de la CIA et du département d'Etat pendant 15 ans, il intervient dans de nombreux médias comme CNN, la BBC ou FoxNews et tient un blog d'analyse géopolitique.
RT : La Maison Blanche a déclaré qu'il y avait des preuves sur le prétendu piratage des emails par la Russie. Etes-vous convaincu par les informations fournies par le rapport conjoint mené par le FBI et la Sécurité intérieure ?
Larry Johnson (L. J.) : Non. Ce dont on est certain pour l'instant c'est qu'il y avait des mails sur le serveur du Comité national des démocrates (DNC) et sur celui de John Podesta. Mais nous ne savons pas si ces serveurs ont été piratés ou si on a eu affaire à une fuite. C'est-à-dire à quelqu'un au sein du DNC qui a téléchargé ces emails sur un disque dur avant de les envoyer à Wikileaks. L'autre certitude qu'on peut avoir c'est que ces documents ont été diffusés justement par Wikileaks. Mais on ne sait pas combien de temps a pu passer entre le moment où le site a reçu ces documents et celui où il les a publiés, ni comment ils ont pu être transmis à l'équipe de Wikileaks.
Julian Assange affirme que sa source ne vient pas de Russie et n'est en aucun cas lié au pays. Je suis plutôt enclin à le croire. Vu ce que l'on sait de la NSA et de ses capacités en matière de surveillance, si ces mails avaient été hackés par des agents russes, elle aurait été capable très rapidement d'en présenter des preuves concrètes.
Souvenez-vous d'ailleurs que le premier de ces soi-disant piratages sur le serveur du DNC a eu lieu en 2015. L'administration de Barack Obama a attendu un long moment avant de réagir. D'ailleurs, la seule fois où ils ont vraiment réagi et avaient intérêt à en parler c'était après la défaite d'Hillary Clinton à la présidentielle. Depuis ils n'ont pas pu présenter ne serait-ce que l'ombre d'une preuve d'un lien entre les fuites de Julian Assange et le gouvernement russe.
Ironie : dans les emails de John Podesta, on découvre qu'un salarié du DNC a conseillé à ce dernier d'utiliser les liens supposés entre Vladimir Poutine et Donald Trump
Lire aussi
Barack Obama Lutte anti-propagande aux USA : l'Occident ressemble à la caricature qu'il fait de la Russie
RT : Pourquoi ajouter de nouvelles sanctions contre la Russie s'il n'y a pas de lien prouvé entre les hackers et le gouvernement du pays ?
L. J. : Cela me fait penser à un homme saoul dans une pièce vide avec un chien et qui choisit de le frapper car c'est la chose la plus proche disponible. Il y a une sorte de folie, presque une psychose en ce moment aux Etats-Unis. J'ai 61 ans ; j'ai vécu la Guerre froide et je me souviens de la crise des missiles à Cuba. L'animosité et la rivalité avec la Russie que l'on voit aujourd'hui, c'est une colère mal dirigée. La Russie est devenu l'épouvantail idéal. On joue sur l'ignorance des Américains qui en savent peu sur la Russie, peu sur Vladimir Poutine et peu également sur l'histoire de nos relations. La réalité c'est que la Russie fait un parfait méchant de Hollywood. C'est plus facile de diaboliser la Russie que de reconnaître ce qui se passe en Amérique.
RépondreSupprimerLors de la première semaine de publications des emails, le Washington post n'a publié que neuf articles dessus et la moitié expliquait pourquoi il n'y avait rien de sérieux dedans. En comparaison cette même semaine, ils ont publié 194 papiers qui critiquaient et attaquaient Donald Trump. Donc si on regarde de manière purement mathématique cette information, on se rend compte qu'il y a eu un ouragan d'informations négatives propagées sur Donald Trump et peu sur Hillary Clinton. Blâmer la Russie de faire de l'ingérence dans l'élection américaine me semble seulement un moyen pour désorienter les électeurs. Ce qui est extrêmement ironique c'est que dans les emails de John Podesta, on découvre qu'un salarié du DNC a conseillé à ce dernier d'utiliser les liens supposés entre Vladimir Poutine et Donald Trump comme arme pour décrédibiliser le candidat républicain. Les démocrates eux-mêmes s'étaient recommandés cet angle d'attaque. Cela ne venait pas de la Russie.
Lire aussi : Sanctions antirusses de Barack Obama : une réaction «impulsive, infantile, inutile»
https://francais.rt.com/opinions/31828-ancien-membre-cia-russie-fait-parfait-mechant-hollywood
Les agressions sexuelles en Europe, nouvelle tradition du réveillon ?
RépondreSupprimerINTERNATIONAL 18:31 05.01.2017
Après la terreur de la nuit du Nouvel An 2016 à Cologne, cette fois-ci, c’est au tour de la ville autrichienne d’Innsbruck de prendre le relais de cette triste tradition d’agressions sexuelles, une vingtaine de femmes ayant porté plainte.
Dix-huit plaintes ont été déposées auprès de la police de la ville autrichienne d'Innsbruck, capitale du Land du Tyrol en Autriche, suite aux agressions sexuelles, commises lors du rassemblement de la Saint-Sylvestre par un groupe de jeunes hommes étrangers actuellement non identifiés contre 19 femmes de 19 à 25 ans, selon les médias autrichiens. Le Nouvel An en Autriche. La police d'Innsbruck ouvre l'enquête sur les agressions sexuelles. Innsbruck à la place de Cologne ?
« La législation en vigueur doit être durcie face aux migrants illégaux, qui doivent être expulsés, évidemment, conformément aux accords avec leurs pays d'origine. Ceux-ci doivent pour leur part les accueillir », a martelé Barbara Kappel, membre du Parti de la liberté d'Autriche (FPÖ) et élue au Parlement européen, dans une interview accordée à la chaîne de télévision RT.
Selon elle, les statistiques du ministère autrichien de l'Intérieur montrent que 90 % des migrants illégaux ne se donnent pas la peine de trouver un asile dans le pays, ce qui représente un problème important.
« C'est la première fois que cela nous arrive. Nous avons réussi à identifier que les agresseurs étaient des étrangers. L'enquête se poursuit », a déclaré de son côté le juge d'instruction principal Ernst Kranebitter au quotidien local Tiroler Tageszeitung. Selon lui, les migrants présumés dansaient autour des victimes, ensuite ils leur ont saisi la poitrine ou leur ont mis les mains entre les jambes. Des vidéos amateurs, filmées au milieu de cette foule de 25 000 personnes, sont de mauvaise qualité et ne permettent pas d'identifier les agresseurs.
Ernst Kranebitter a également affirmé que l'opération de recherche concerne cinq ou six ressortissants de l'Asie centrale, de l'Asie du Sud ou du Maghreb. ?Cette histoire a suscité une réaction rapide de la part des médias locaux et mainstream, ainsi que des internautes, qui se sont d'ailleurs limités à partager l'actualité elle-même ou à la comparer avec la nuit de terreur à Cologne il y a un an. ?
Tous les criminels ont un faciès du Sud et moins de 30 ans. Plus de questions. Ça ne changera pas sous ce gouvernement ! Ça changera, peut-être, si cela arrive aux proches de ces dirigeants. Cependant, Martin Kirchler, le chef de la police locale, s'est félicité des mesures efficaces sans précédent lors des festivités du réveillon, ajoutant que tous les malfaiteurs seront interpellés.
Par contre, malgré le nombre de policiers porté à 90 personnes pour protéger les gens le 31 décembre, Martin Kirchler a évoqué la nécessité de mesures de sécurité supplémentaires dans le futur.
Les agressions sexuelles survenues à Innsbruck s'ajoutent aux tristes images des incidents précédents, survenus lors de la nuit de la Saint-Sylvestre 2015 en Allemagne. En tout, plus de 1 200 femmes avaient été victimes d'agressions sexuelles à Cologne, à Hambourg, à Stuttgart, à Düsseldorf, à Weil am Rhein et à Francfort-sur-le-Main.
https://fr.sputniknews.com/international/201701051029468681-agressions-reveillon-legislation-parlement-migrants/
Puisqu’on vous dit que l’éolien c’est mieux que le nucléaire !
RépondreSupprimerle 6 janvier 2017
Si les futurs dirigeants de la France n’ont pas le courage d’arrêter rapidement la politique ruineuse liée à l’éolien, c’est tout un pan de l’économie qui va s’écrouler.
Par Michel Gay et Jean-Louis Butré.
Aujourd’hui, 7 000 éoliennes, réparties en 950 regroupements d’aérogénérateurs (appelés « parcs » ou « fermes »), couvrent déjà la France pour fournir moins de 5% de notre électricité.
Et ce n’est pas fini !
Plus de 10 000 nouvelles éoliennes terrestres mesurant 185 mètres de haut sont prévues (1500 éoliennes implantées par an) pour un total de 30 milliards d’euros… d’importation.
Environ 500 sociétés prospectent quotidiennement notre pays pour « sécuriser » des terrains en faisant signer des baux aux propriétaires. Rien n’est épargné (forêts, montagnes, parcs naturels ..). Les communes sont harcelées par des promoteurs soutenus activement par les collaborateurs de l’ADEME.
Même les préfets ont des ordres pour autoriser l’implantation d’éoliennes à partir de 500 mètres des premières habitations.
C’est mieux que le nucléaire !
La plupart des médias sont acquis aux éoliennes. L’argument principal qu’ils ressassent est : « C’est mieux que le nucléaire !« .
Que l’éolien entraîne une corruption internationale gigantesque, du blanchiment d’argent, et le développement de mafias n’est pas important puisque « c’est mieux que le nucléaire ! »
Des affairistes sont partis avec plus d’un milliard d’euros en spoliant des petits épargnants ? « C’est mieux que le nucléaire ! »
Les infrasons de ces machines rendent des habitants malades parce que leur domicile est trop proche de ces nouveaux totems ? « C‘est mieux que le nucléaire ! »
Ces machines tuent les oiseaux et les chauves souris ? « Aucune importance, c’est mieux que le nucléaire ! »
Les éoliennes produisent une électricité fatale, intermittente, non pilotable. Elles obligent à construire de nouvelles lignes à haute tension et des centrales à gaz pour écouler les surplus et combler les absences de production ? « Pffff, menteur. De toute façon, c’est mieux que le nucléaire ! »
Le business de l’éolien
Cette transition énergétique, qui fait suite au Grenelle de l’environnement, est fondée sur le business éolien dirigé par le Syndicat des énergies renouvelables (SER), et par celui des éoliennes, France énergie éolienne (FEE).
Les banques (Crédit Agricole, Société Générale, et Crédit Mutuel en tête) sont entrées dans le circuit des financements des éoliennes. Des villes achètent des « parcs éoliens » avec l’argent des contribuables. Des citoyens prennent des actions dans de futurs parcs éoliens « participatifs ».
Plus dure sera la chute.
RépondreSupprimerSi les futurs dirigeants de la France n’ont pas le courage d’arrêter rapidement cette politique ruineuse, c’est tout un pan de l’économie qui va s’écrouler.
L’éolien est uniquement une affaire de gros sous et d’asservissement idéologique de responsables politiques à un groupuscule vert. L’écolo-business s’enrichit au détriment de l’ensemble des Français, comme l’avoue Yves Cochet dans le reportage de France 3 « Éoliennes : le vent du scandale » (vers la minute 43).
Aucune justification politique, économique ou environnementale n’est acceptable pour soutenir cette folie de « transition énergétique » fondée, notamment, sur le développement scandaleux des éoliennes.
Pour l’avenir, le nucléaire c’est mieux que l’éolien !
https://www.contrepoints.org/2017/01/06/276886-puisquon-dit-leolien-cest-mieux-nucleaire
Comme tous physiciens serait capables de l'expliquer (voire un enfant de 5 ans), un moulin en papier ou feuille de plastique tourne devant l'enfant qui y soufle dessus. Remarque importante: les 4 pales se rejoignent et ne laissent donc pas passer l'air.
SupprimerOr, contrairement à ce schéma anodin, les 'experts' de l'éolienne n'ont dessiné que... 3 pales ! Çà alors ! Donc: l'air passe entre les pales ! De plus les pales sifflent en tournant ce que ne feront jamais les bras d'un moulin à vent. De plus, ces engins aussi monstrueux qu'inutiles ont des pales gigantesques pour aller chercher le vent fort en altitude. Or, premièrement, plus une pale est longue plus elle pèse (Çà alors !), donc: elle tournera moins vite. De plus, les pales en haut reçoivent une forte poussée. Elles plient. Puis, arrivées en bas, faute de vent, elles se redressent. Puis, arrivées en haut elles plient, etc, etc et... se cassent. Çà alors !
Deuxièmement, elles tuent tous les jours des milliards d'oiseaux et d'abeilles tout en ne fournissant que de l'énergie en 'coups-de-vent'. Or, de charger une batterie avec des différence fait que la batterie... ne dure pas. (Essayez de charger une batterie avec du 300 v puis 220, puis 50, puis 580, puis 2000, puis 3 ! ou de faire marcher un appareil électrique avec des hausses et des baisses de tension ! Hahahaha !), d'où la nécessité de bobinages et donc de perte d'énergie non enregistrable.
Car il faut dire que les moulins à vent de nos grands-pères servaient à pomper de l'eau et à remplir des bassins sans que personne ne s'en occupe ou à moudre du grain. Et, personne ne s'en plaignait !
C'est pourquoi ces éoliennes de merde n'ont JAMAIS marché, ne marchent pas et ne marcheront JAMAIS même avec des milliards pour dire le contraire !
http://lebulldozerdanslatete.over-blog.com/article-14000-eoliennes-abandonnees-aux-etats-unis-120464979.html