le 23 janvier 2017
À la suite du grand tsunami qui dévasta le 11 mars 2011 un grande partie des zones côtières de l’île de Honshu au Japon faisant plus de 20000 morts et disparus et provoquant l’accident de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi, l’Allemagne décida sous l’impulsion des partis écologistes de fermer dans un délai de dix ans toutes ses installations électronucléaires qui fournissaient le cinquième de l’électricité du pays fin 2010. En 2022 et selon les décisions du gouvernement de Madame Merkel prises en 2011 toutes les centrales nucléaires du pays seront définitivement à l’arrêt. Or l’Allemagne a aussi ratifié le protocole de Paris issu de la COP21 de 2015. Il est donc devenu urgent pour le pays de développer de manière aussi rapide et massive que possible des installations de production électrique dites propres. Parmi ces énergies « vertes » ou propres (comme vous l’entendez) renouvelables de surcroît et sans danger pour l’atmosphère et le climat, selon les directives de l’IPCC, il y a les moulins à vent. Or l’Allemagne se trouve face à un problème toujours pas résolu et qui ne le sera jamais : il y a du vent « exploitable » dans les länders proches de la Mer du Nord alors que l’industrie est essentiellement concentrée au sud du pays, là où le vent est beaucoup plus capricieux.
De plus, en 5 ans le prix du kWh pour les particuliers a doublé en raison du coût exorbitant des sources d’énergie verte, particuliers qui se trouvent donc de facto pénalisés pour maintenir une industrie, nerf de l’économie allemande, à qui les compagnies d’électricité octroient des tarifs préférentiels sur ordre du gouvernement de Berlin. L’ensemble des consommateurs allemands financent donc l’industrie indirectement. Mais ce n’est pas tout ! Les grandes firmes industrielles impliquées dans les énergies vertes comme par exemple Siemens (qui a totalement abandonné ses activités nucléaires) maintiennent une pression constante pour installer le plus possible de moulins à vent, épaulés en ce sens par les partis verts ultra-puissants en Allemagne.
De plus, en prenant en compte le fait qu’un moulin à vent off-shore coûte 5 fois plus cher que son équivalent terrestre et que les espaces disponibles pour installer de nouveaux moulins sur la terre ferme s’est considérablement réduit il va falloir trouver une solution rapidement et ce d’ici la fin de l’année 2022. Il reste en effet aujourd’hui 8 réacteurs de 1300 MW électriques en fonctionnement ayant tous été construits entre 1984 et 1988, deux BWR et 6 PWR. Selon les critères de sécurité américains ces installations pourraient sans danger fonctionner encore 40 ans. Il faut donc remplacer 10900 MW électriques par des sources d’énergie propre et fiable avant 2022.
La loi allemande de protection de la faune interdit l’utilisation des moulins à vent entre le 1er mars et le 30 août afin de préserver la vie des oiseaux migrateurs dans les zones, plutôt mal définies, de passage de ces oiseaux, mouvements migratoires vers la Scandinavie justement très intenses dans les régions septentrionales de l’Allemagne. En dépit du fait que les observateurs de la Deutsche Wildtier Stiftung, La Fondation Allemande pour la Nature, a répertorié la mort de 250000 chauve-souris et 12000 rapaces chaque année y compris dans les zones où les moulins à vent sont interdits de fonctionnement entre les dates précisées ci-dessus, qu’à cela ne tienne, les Verts font paradoxalement pression pour que cette interdiction de fonctionnement (loi fédérale de protection de la nature § 44, section 1 No.1) soit aménagée pour assurer une plus importante production d’électricité éolienne ! De plus, et en Allemagne on n’est plus à un paradoxe près, la destruction de forêts entières a été autorisée, comme par exemple dans le Schleswig-Holstein et le Mecklenburg, deux länders du nord du pays particulièrement boisés, pour y installer des moulins à vent.
Plus paradoxal encore, les partis verts s’opposent à la construction de lignes électriques à très haute tension pour acheminer l’énergie « verte » depuis les länders du nord vers ceux, industriels, du sud, Rhénanie, Bade-Würtenberg et Bavière. Tous ces exemples illustrent donc l’incohérence totale de la politique énergétique allemande et les dégâts irréversibles sur l’environnement qui en résultent.
Les générations futures apprécieront d’autant plus que l’énergie nucléaire est considérée à juste titre comme la seule alternative à la consommation de combustibles fossiles et malgré le fait que de plus en plus de scientifiques de valeur incontestable s’accordent pour affirmer que le gaz carbonique n’a aucun effet notoire sur le climat et que l’optimum climatique moderne est maintenant terminé …
Source partielle: blog de Pierre Gosselin (notrickszone.com) avec sa permission.
Pourquoi cette 'langue de bois' perpétuelle constatée chez certains scientifiques qui n'osent dire qu'une partie de la vérité ?
RépondreSupprimerLe 11 Mars 2011 il y a eu un tremblement de terre (magn. 9) au large de Fukushima occasionnant un raz de marée qui a soufflé la plupart des habitations construites en bordures de l'océan. Tremblement de terre qui a provoqué un effondrement souterrain (galeries de rivières ?) sous la centrale électrique et, en particulier, sous le réacteur n°4 qui s'est déstabilise et penché. Inclinaison qui a fait basculer une grue intérieure (pont-roulant servant à l'entrée ou sortie de l'eau des paniers de tuyaux contenant des pastilles d'Uranium) et occasionné quelques dégâts parmi les crayons percutés. Mais, le 'grand malheur' ne vient pas de là car ce n°4 aurait pu continuer à fonctionner !
Ce qui n'a JAMAIS été dit dans la presse gouvernementale dans le monde est que l'accident qui devait faire plus tard parler de lui est d'origine du non-approvisionnement en eau des réacteurs !
Comme quoi, si l'eau avait pu continué à arriver, Fukushima n'aurait fait que '2 lignes' dans les journaux et zéro le lendemain !
Donc, lors du tremblement de terre, les tuyaux serpentant à-même le sol entre les réacteurs et l'océan où l'eau est pompée, se sont rompus. Brisés parce que ces tuyaux n'avaient pas été montés sur vérins !!!
Rendez-vous compte dans quelle merde ce sont retrouvés les Directeurs de centrales nucléaire dans le monde entier qui ont le même modèle d'installations dites 'd'ingénieurs' !!
Donc, l'eau ne pouvant plus être pompée et amenée aux réacteurs, ces derniers ce sont asséchés au fil des heures rendant leur incandescence intérieure insupportable !
Effectivement, telle une 'casserole vide d'eau sur le feu', la température est passé de 300 à 3000°C en quelques heures provoquant à la fois la fonte des tuyaux verticaux renfermant l'Uranium et le cuvier en fond de réacteur. D'où la confiture brûlante s'écoulant vers le sol de la centrale puis sous-sol de ce curium vers les nappes phréatique.
Fonte des milliers de 'crayons' qui a provoqué une évasion d'hydrogène et explosion qui a déchapeauté (l'un après l'autre) les réacteurs de la centrale nucléaire de Fukushima.
D'où donc la libération de particules radioactives dans le ciel japonais, puis, jet-stream venant, traversée de l'océan Pacifique vers le Canada, Etats-Unis et Nord-Mexique (puis traversée de l'Atlantique-Nord et Europe).
De plus, en 2011, ces particules transportées par le jet-stream vers l'Amerique ont 'bizarrement' disparue des compteurs Geiger aux côtes californiennes pour cause de détournement (grâce à la technologie scalaire) vers le pôle Nord après une quinzaine de jours de semences sur le haut du continent.
Notons aussi que les particules radioactives de Tchernobyl ne sont pas arrêtées aux frontières (ni ukrainiennes, ni françaises), et donc, que ce n'est pas en refusant d'avoir une énergie propre et bon marché que les autres en feraient autant ! Hahahaha ! (Plus de 40 nouveaux réacteurs sont en constructions en Chine !).
Fermeture de Fessenheim : idéologie mensongère maintenant prouvée …
Supprimerle 24 janvier 2017
Six ans après le grand tremblement de terre suivi par un terrifiant tsunami qui ravagea la côte est de l’île japonaise de Honshu des scientifiques japonais ont eu l’honnêteté de remettre les pendules à l’heure, preuves indéniables à l’appui, et c’est une grande surprise qui ne plaira pas à tout le monde, en particulier aux détracteurs de l’énergie nucléaire qui sévissent en Europe et en particulier en Allemagne, pays où les tout-puissants écologistes ont finalement obtenu la fermeture d’une centrale électrique jouxtant leur frontière – je parle du CPN de Fessenheim – qui se trouvait malencontreusement trop près de leur pays ! Un fait que n’a cessé de rappeler Corinne Lepage, une opportuniste notoire qui a usé de toutes les ressources possibles pour se faire valoir sur la scène politico-écologiste européenne. Bref, la centrale nucléaire de Fessenheim qui pourrait encore fonctionner sans aucun incident durant encore au moins 30 ans va finalement s’éteindre et avec elle ce qu’ont payé les contribuables français pour son édification ira à la poubelle. Ils apprécieront …
J’étais un honnête contribuable lors du développement de l’énergie nucléaire française et j’ai participé modestement et à ma mesure à la mise en place de l’indépendance énergétique de mon pays. Il serait de mon droit de demander des comptes à l’Etat Français à la vue de cet immense gâchis programmé par le Président Hollande sous la pression des écologistes allemands relayés par la mère de ses enfants, Mademoiselle Ségolène Royal, la putain de la République. C’est déjà arrivé dans l’histoire de France que des femelles s’occupent de ce qui ne les regardent pas mais Ségolène a dépassé les limites du supportable !
Bref, revenons donc à l’accident nucléaire de Fukushima-Daiichi qui fut provoqué par un gigantesque tsunami, un évènement qui a provoqué un levier de bouclier anti-nucléaire en Allemagne et par voie de conséquence en France avec l’introduction dans le programme de François Hollande de la fermeture de la « plus vieille » centrale nucléaire française, un doux euphémisme car cette usine bénéficie paradoxalement des améliorations les plus modernes en matière de pilotage et de sécurité …
Les Japonais, à la suite de l’accident provoqué par le tsunami du 11 mars 2011 à 14h45 heure locale, ont pris des mesures drastiques de précaution de la population complètement surréalistes ayant pour conséquence la déportation forcée de près de 100000 personnes en raison des mesures de radioactivité au sol relevées par des hélicoptères de l’armée américaine. C’est vrai ! Ce sont les Américains qui depuis 1945 ont disséminé des bases militaires sur tout le territoire du Japon et se sont d’abord et surtout soucié de leurs ressortissants. Les Japonais n’avaient qu’une importance secondaire à leurs yeux. J’insiste sur ce fait car il s’agit véritablement d’un coup monté comme la lecture de ce billet le montrera. Les autorités japonaises n’avaient aucun moyen au mois de mars 2011 de mesurer la radioactivité effectivement présente autour de la centrale électronucléaire de Fukushima-Daiichi et ils ont fait entièrement confiance aux relevés effectués par l’armée américaine.
Il se trouve que les autorités de la ville de Daté, située à 60 kilomètres au nord-ouest de la centrale nucléaire, ont mis en place quelques jours après le tsunami un réseau de surveillance systématique des radiations provoquées par les retombées de césium-137. Les scientifiques de l’Université de la ville de Fukushima travaillant conjointement avec celle de Tokyo se sont aperçu avec surprise que les données aériennes des radiations effectuées par les Américains et prises à la lettre par le gouvernement japonais et reprises par les médias du monde entier ne correspondaient absolument pas avec celle relevées au sol à l’aide des dosimètres distribués aux enfants et aux femmes enceintes dès les premiers jours suivant l’accident.
SupprimerCes données n’ont pas pu être exploitées immédiatement car il s’agit de détecteurs de rayons gamma qu’il faut renouveler chaque mois et ensuite dépouiller les résultats sur un échantillon significatif afin qu’elles soient réputées fiables. Près de 60000 personnes furent contraintes de porter 24/24 h un dosimètre et l’envoyer chaque mois au centre sanitaire de la ville en notant scrupuleusement combien de temps durant la journée ils avaient évolué à l’extérieur de leur logement. Il apparut à la suite du dépouillement et de l’analyse minutieuse des résultats que la radioactivité au sol avait été très largement surestimé – d’un facteur 5, ce qui est considérable – par les premiers relevés de l’armée américaine qui conduisit le gouvernement japonais à prendre des mesures d’évacuation totalement injustifiées provoquant un désastre sociétal considérable. Un facteur 5 est une erreur telle qu’elle ne peut être considérée que comme une manipulation préméditée !
Cette affaire constitue un véritable scandale non pas seulement pour les populations locales de la préfecture de Fukushima mais pour les retombées internationales subséquentes, en particulier pour l’industrie nucléaire allemande (dont j’ai dit un mot dans un précédent billet) mais aussi en ce qui concerne les velléités de fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim dont les motifs ne sont finalement fondés que sur cette erreur grossière d’appréciation de la radioactivité au sol dans les environs de l’installation électrique de Fukushima-Daiichi quelques semaines seulement après le tsunami. Cette information fut reprise par François Hollande dans son programme électoral et on en connait la déplorable conséquence.
J’ose espérer que les prochains gouvernements tant français qu’allemands tiendront compte de ces donnée scientifiques sans aucune orientation idéologique de simples faits limpides incontestables (on peut douter des bonnes intentions des gouvernements à venir) comme mes lecteurs pourront le constater à la lecture de l’article cité en fin de billet.
Source : doi : 10.1088/1361-6498/37/1/1
https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/01/24/fermeture-de-fessenheim-ideologie-mensongere-maintenant-prouvee/
L'adresse inaugurale du président Trump déclare la guerre à l'élite dirigeante alors que les médias et les manifestants déclarent la guerre à lui
RépondreSupprimerPar Joachim Hagopian
24 janvier 2017
Deux paradigmes extrêmes, très polarisés, sont apparus lorsque le président Donald Trump prend le commandement de la Maison Blanche. Après les espoirs brisés et la fraude perpétrée par le premier président noir d'Amérique-exploitant d'espoir, les partisans de Trump naïvement croient qu'ils ont élu leur «grand espoir blanc» d'un président qui «rendra l'Amérique encore grande», prenant au visage sa «Amérique vient Première "rhétorique. Beaucoup voient Trump comme une figure moderne de George Washington, menant des Américains dans leur deuxième révolution, luttant pour reprendre leur pays des globalists. Mais les légions de partisans de Trump ne parviennent pas à réaliser que la machine à courant retranché qui semble à contrecœur et secrètement être derrière l'ascendant de Trump en même temps s'opposer à chaque tour est en fait la même élite du pouvoir qui a soutenu son adversaire tout le long - -Obama-Bush DC établissement cabal.
En effet, l'image forgée "outsider établissement" qui a gagné Trump la présidence dément le fait qu'en réalité, il est un initié de l'établissement qui jusqu'à présent n'a tout simplement pas occupé des fonctions politiques. Contrairement à la nouvelle circonscription électorale du nouveau président, la vision du monde anti-Trump, «libéral», pro-Clinton-Soros-CIA, insiste résolument sur le fait que Donald Trump et Vladimir Poutine le diable s'est incarné. Pour faire une réinitialisation réelle avec la Russie (contrairement à la fausse d'Obama il y a 8 ans) et cesser la poussée insensée des néocons pour la Seconde Guerre mondiale, en quelques semaines, le président Trump rencontrera Poutine dans la capitale de l'Islande. Bien sûr, les ennemis de Trump verront cela comme une "preuve" que les deux étaient en coups tout le long de «voler» l'élection. Les imbéciles aux yeux bandés resteront imbéciles, voyant toujours ce qu'ils veulent voir.
Prix actuels sur les formes populaires de lingots d'argent
Pendant ce temps, l'Amérique n'a jamais été cette nation divisée depuis la guerre entre les États il y a plus d'un siècle et demi. Avec les lignes de bataille actuelles si amèrement et farouchement dessinées, les dirigeants planétaires rient de nouveau dans leurs demeures après avoir si efficacement divisé et conquis les Américains que leur fiable go-to formule pour renforcer leur pouvoir et le contrôle sur les masses, indépendamment de qui occupe La Maison Blanche, ouvrant la voie à la seconde guerre civile en Amérique et à la contrepartie européenne.
La spéculation entre ceux qui suivent l'argent derrière ces deux camps politiques polarisés posent une lutte de pouvoir interne de Hatfield contre McCoy au sein de l'élite mondiale actuellement en cours entre la foule Clinton-Bush-Obama-Soros soutenue par le cartel Rothschild et un Trump-Netanyahu / Sheldon Adelson-Kissinger-soft contre-fusions fusionné soutenu par la cabale de Rockefeller, et que la vraie histoire powerline ici pourrait être le Rothschild contre la rivalité de Rockefeller concurrençant et rivalisant pour l'augmentation de puissance et de contrôle aux dépens de l'autre. Pourtant, cela aussi est beaucoup plus susceptible d'être plus de tour de passe-passe pour projeter une illusion de différence entre les camps de Trump et de Clinton. Bottom line - l'argent de poche à la fois de la Rothschild et Rockefeller dynasties ont été le financement à la fois Hillary et Trump. Même la confrontation entre l'Occident et l'Est conduisant l'humanité vers la troisième guerre mondiale pourrait être secrètement les machinations pré-tracées entre les oligarques occidentaux et les oligarques orientaux. Combien de cette division économique et géopolitique est réelle ou irréelle est extrêmement difficile à déterminer et à prouver ou à réfuter. Avec des éclats élitistes contrôlant à la fois les médias traditionnels ainsi que la plupart des médias alternatifs, déchiffrer la vérité réelle devient presque impossible. Peut-être une méthode utile de rechercher la vérité peut être facilement trouvé sur les médias traditionnels "fausses nouvelles" liste que les listes noires 200 actuels sites d'actualité alt qui, ironiquement, plus étroitement s'approcher et constamment livrer la vérité.
RépondreSupprimerCela dit, la vérité dont nous sommes sûrs, c'est que depuis plus d'un siècle, l'élite dirigeante a soutenu et promu les deux côtés à toutes les grandes guerres qu'elle fabrique, tout comme elle a choisi, appuyé et promu tous les candidats à deux partis qui finissent Son président, le mot clé étant «son» président comme aucun président au cours de la dernière moitié de siècle a clairement agi dans le meilleur intérêt des citoyens américains. Nous avons vécu dans une oligarchie où une poignée de courtiers du pouvoir contrôlent les masses parce qu'ils possèdent et contrôlent pratiquement tous les représentants élus qui fonctionnent en leur nom explicite plutôt que le nom de leurs électeurs constitutifs. Et malheureusement, il a été opérant de cette façon en Amérique depuis très longtemps.
Le 20 janvier, Donald Trump a ouvert sa présidence avec un discours inaugural de 16 minutes qui, en résumé, a encapsulé sa campagne de 18 mois, en lançant son message populiste populiste. Ayant dit qu'il écrirait lui-même son discours d'inauguration, dans sa première exposition présidentielle oratoire, en substance le tout nouveau commandant en chef vient de déclarer la guerre contre l'élite dirigeante:
Pendant trop longtemps, un petit groupe dans la capitale de notre pays a récolté les fruits du gouvernement alors que le peuple a supporté le coût. Washington a prospéré, mais le peuple n'a pas partagé sa richesse.
Donald Trump poursuit en décrivant «des mères et des enfants prisonniers de la pauvreté dans nos villes, des usines rouillées» partout dans notre pays, un système d'éducation privant les étudiants «de toutes les connaissances» et «le crime et les gangs et les drogues» volant notre pays De tant de potentiel non réalisé. Ce carnage américain s'arrête ici et s'arrête maintenant. "Trump suit avec:
Nous sommes une nation, et leur douleur est notre douleur. Leurs rêves sont nos rêves, et leur succès sera notre succès. Nous partageons un cœur, une maison et un destin glorieux. Le serment d'office que je prends aujourd'hui est un serment d'allégeance à tous les Américains.
RépondreSupprimerContrairement à ses critiques qui prétendent que Trump n'offre pas des mots qui unifient la nation divisée, les observations précises du président d'une nation en déclin ont été suivies immédiatement par des déclarations qui touchent et incluent les millions d'Américains oubliés et opprimés qui ont été laissés par Un écart toujours croissant de l'inégalité qui profite seulement à la classe riche. Pourtant, l'examen du consensus par les médias traditionnels qui s'oppose avec véhémence à Trump a répondu de façon prévisible, en le qualifiant de «combatif», «divisif», «polarisant» et «sombre».
Répondant à des millions de ses haineux libéraux insistant depuis le premier jour de sa candidature que Trump n'est rien d'autre qu'un dictateur raciste aspirant à rivaliser avec la tyrannie de sang-froid d'Hitler, le nouveau président assermenté prédit:
Une nouvelle fierté nationale nous stimulera, soulevera nos regards et guérira nos divisions. Il est temps de se souvenir de la vieille sagesse que nos soldats n'oublieront jamais: que nous soyons noirs ou bruns ou blancs, nous saignons tous le même sang rouge des patriotes.
Plutôt que de faire écho aux sentiments habituels que les discours inauguraux précédents livrent habituellement, épousant les prétextes politiquement corrects clichés appelant à réparer les différences tout en utilisant à plusieurs reprises des références florales au glorieux passé de l'Amérique, Trump une fois de plus défie la tradition, en colère lutter contre l'élitisme statu quo. Mais son ton contentieux n'était manifestement pas dirigé vers le peuple américain, mais limité aux initiés de Washington, dont beaucoup assis dans l'auditoire apparaissant mal à l'aise Trump attaque directement pour presque détruire l'Amérique à faire eux-mêmes et les riches plus riches et le reste de nous plus pauvre. En revanche, Trump a déclaré:
Qu'une nation existe pour servir ses citoyens ... Nous n'accepterons plus les politiciens qui sont tous des discours et aucune action, se plaignent constamment mais ne font jamais rien à ce sujet.
Fidèles à leur répulsion fortement biaisée envers Trump, les principaux pressistes n'ont pas hésité à écraser le premier discours présidentiel de Trump. Un jour plus tard, samedi, le nouveau secrétaire de presse de la Maison Blanche, Sean Spicer, a tenu une première conférence de presse impromptue pour repousser la couverture de la journée d'inauguration défectueuse, citant un faux tweet affirmant que Trump avait enlevé un buste de Martin Luther King du Bureau Ovale et du New York Times Disputant la taille de la foule d'inauguration basée sur une photo tweeté de la Maison Blanche. Spicer a déclaré Trump est d'essayer d'unifier le pays, mais il exige des rapports équitables par la presse que sur son tout premier jour a été manifestement manque. Avec la presse et Trump juré ennemis avant l'inauguration, la guerre ne deviendra plus volatile. Et avec Trump haineux la majorité dominante dans les médias et une peau mince réactionnaire pour le président, les feux d'artifice ont tout juste commencé.
Les méga médias se sont tous assurés d'insister à maintes reprises sur le fait que Trump souffre de la plus faible note d'approbation à 40% pour tout président entrant dans l'histoire. Ironiquement, les trois présidents précédents qui vont dans cette même histoire américaine pour presque détruire l'Amérique - Bill Clinton, Bush junior et Obama - tous avaient des cotes d'approbation à leur départ de 20% ou plus que Trump. Obama, peut-être le pire président de l'histoire, est entré à la Maison Blanche avec une approbation de 79%. Et si ce sondage ressemble à tous les sondages pré-électoraux, il est aussi truqué comme Trump est prompt à le signaler. MSM a également mis l'accent sur la façon dont près de 70 politiciens du Parti démocrate dans la protestation symbolique a refusé d'assister à la cérémonie d'inauguration et comment la fréquentation a été à peu près la moitié de l'inauguration Obama 2009.
RépondreSupprimerLe faux-jet presse bien sûr fonctionne en tandem avec le faux Hollywood industrie du divertissement. Ainsi, les médias sont sortis de sa façon de présenter tous les célébrités qui ont publiquement refusé de se produire à Trump grand jour des événements de début. Lors de la veille d'inauguration, tous les célébrités de la liste A ont rejoint des milliers de New-Yorkais, Michael Moore et leur maire protestant devant la Trump Tower de Manhattan. Les forces d'opposition de Trump se sont rassemblées dans la Big Apple et dans le Washington Mall. Le jeudi soir à New York, Madonna, Cher, Robert Deniro et leur chef, Michael Moore, ont mené la contre-offensive avec ses "100 premiers jours de résistance", conçus pour faire pleuvoir leurs maux de propagande sur le défilé de Trump. Intéressant de noter que c'est le sociopathe certifiable Obama dont l'agenda a été de plonger l'Amérique dans la Grande Guerre avec la Russie que tous ces anti-Trumpsters culte Tandis que le but du nouveau président est d'empêcher la guerre contre Poutine comme un événement potentiel d'extinction de la vie. Mais alors ces gens passent commodément ces petits détails.
Plutôt que de réfléchir à cette réalité, les «nouvelles fausses» des HSH préfèrent concentrer tous leurs regards sur le soi-disant mouvement de résistance, doté de 10 millions de dollars de changeur de régime mondialiste George Soros. Peu importe que les Soros aient engagé une brigade anti-Trump gauchiste violente, c'est ce qu'on leur paie. À Washington, ils ont de nouveau affronté et blessé une demi-douzaine de policiers en tenue antiémeute contre le grenier à poivre et les grenades à commotion. Lorsque les mercenaires Soros ne bloquaient pas les anciens combattants de la Force aérienne lors de la cérémonie d'inauguration, ils étaient occupés par des vandales qui brisaient un certain nombre de vitrines, incendiaient une limousine et causaient des dégâts matériels importants qui ont fait 217 arrestations. Ceux balayés dans la tourmente et détenus à Washington sont apparemment détenus sur des accusations d'émeutes criminelles punissables jusqu'à dix ans de prison. La police locale a été rejointe par un déploiement des unités de la garde nationale et de la sécurité intérieure. Il semble que l'état de police sous Obama reste l'état de police sous Trump. En outre, 15 arrestations ont été effectuées à la Nouvelle-Orléans après deux fenêtres de voiture de patrouille ont été brisées et deux policiers ont été blessés. Armés de bouteilles, de rochers et de chauves-souris, les manifestants anti-Trump ont montré leurs vraies couleurs. Cette même violence a été observée ailleurs, entraînant cinq arrestations à Portland, Oregon et trois à Oakland, en plus d'un homme abattu lors d'une manifestation à Seattle.
Et tandis que samedi, les marches des femmes à plusieurs villes étaient hypnotiques dans la presse nationale, Madonna était à nouveau, en tirant vers le haut de la foule de DC avec peu de pierres précieuses de cocktail de Molotov comme «J'ai pensé beaucoup à souffler la maison blanche» mais Heureusement pour le Donald, elle sait que "cela ne changera rien." Étant une célébrité, elle doit avoir pensé qu'elle pourrait s'en tirer avec la menace de tuer le président des États-Unis. Le service secret a pris sa menace violente sérieusement et Madonna se trouve maintenant sous enquête. Les officiels affirment qu'un demi-million de personnes ont défilé où Trump a été assermenté la veille. Le soi-disant mouvement anti-Trump a été présenté comme un événement mondial avec des «marches sœurs» qui ont lieu dans 600 endroits à travers l'Amérique ainsi qu'au Myanmar, Sydney, Copenhague, Berlin et Prague.
RépondreSupprimerPendant ce temps, recevoir peu d'attention MSM a été le fait que les femmes d'un groupe pro-vie qui étaient à l'origine un co-commanditaire de samedi "l'unité" mars ont été interdits de participation. Ainsi, ceux qui ne partagent pas le même dogme politique que les organisateurs de la marche ont été expressément interdits, laissant en pleine apparence l'incohérence hypocrite de pratiquer le même comportement d'exclusion attribué à Trump qui était censément le but même de la manifestation.
De toute évidence, le message inclusif dans le discours de Trump a été totalement ignoré par ces mêmes manifestants anti-Trump et les médias de masse. Il est étonnamment étonnant que les «progressistes, aussi inclusifs» aient quitté, prêchant toujours l'unité tout en professant être de tels anti-globalistes, anti-TPP, pacifiques anti-interventionnistes, mais sur Soros cue ils peuvent tourner dangereusement violents, en commençant par Des émeutes et des menaces de faire sauter la Maison Blanche. Puis ils adorent des politiciens comme Obama et les Clintons qui ont poussé l'agenda globaliste plus que tout autre dirigeant américain dans l'histoire. Et maintenant que nous avons enfin un président engagé dans l'anti-mondialisme et le non-interventionnisme, autre que l'élimination des terroristes qu'Obama et Hillary ont créés, la gauche progressiste est déterminée à le faire tomber.
Le dernier président des États-Unis qui a exercé toute la conscience réelle et la résolution de secouer l'establishment du pouvoir en agissant dans les meilleurs intérêts du peuple américain jamais fait passé son premier mandat. Et la même opération criminelle qui a fait tomber les principaux acteurs de la JFK au sein de la CIA, du CFR et de l'administration Kennedy, y compris son propre VP LBJ, ces mêmes éléments omniprésents du gouvernement restent encore vivants et pleinement au pouvoir aujourd'hui. À titre d'exemple, cette même CIA a faussement accusé Trump de s'être mis en collusion avec Poutine pour renverser le résultat de l'élection, qui s'est avéré faux. Pourtant, les démocrates qui perdent mal sont toujours faussement réclamer le mensonge dans le désespoir de délégitimer et de saper la présidence Trump. Et finalement, la même CIA coupable de complot et d'assassinat de JFK est encore intriguant et complotant la disparition du président Donald J. Trump.
La perspective très réelle de l'assassinat de Trump pendant sa présidence a été maintes fois maintenue sur la table, principalement exprimée en termes hypothétiques derrière des vœux à peine contenus par des hordes de faux experts et de commentateurs représentant la même cabale criminelle encore au pouvoir. Des menaces non voilées à la vie d'Trump ont été incroyablement répétées à plusieurs reprises par les six géants des méga médias appartenant à l'oligarchie et contrôlés ainsi que l'élite de Washington. De toute évidence, beaucoup de personnes à la fois dans et hors des sièges de pouvoir ne veulent Trump mort.
En février dernier, un chroniqueur du New York Times a "plaisanté" à propos de l'arrêt final de la campagne présidentielle de Trump par l'assassinat. Plusieurs semaines plus tard, l'animateur conservateur Glenn Beck a menacé de "frapper à coups de couteau" à plusieurs reprises. En juin, trois mois plus tard, un citoyen britannique de 20 ans a effectivement tenté d'assassiner Trump, essayant de tirer un fusil sur un officier de police Holster à un rassemblement de Las Vegas. Depuis la fin de l'année 2015, quand l'ennemi Trump est apparu comme le chef de file républicain pour de bon, en dehors des menaces de mort continues de la gauche sur les médias sociaux, un rappeur et un couple de stratèges d'établissement du GOP ont également appelé à l'assassinat de Trump apparemment en toute impunité . Mais maintenant que le président Trump, tout cela a changé. Oui Reporter un problème Posez une question à Madonna. Récemment, plus de préoccupations d'assassinat ont été exprimées par les théoriciens du complot autour de l'inauguration prochaine de Trump. Comme peut-être le plus flagrant anti-Trump mainstream faux nouvelles du réseau, CNN a notoirement porté le flambeau d'assassinat jusqu'à la journée d'inauguration. C'est comme si CNN et d'autres comme Madonna sont subliminalement la plantation de la graine pour inciter d'autres cerveaux boiteux dans MK réaction Ultraviolent de prendre le 45e président américain. Et avec tant d'individus mentalement instables là-bas, et les techniques de contrôle de l'esprit en utilisant ops noirs armes électromagnétiques, sans doute plus de tentatives sur la vie de Trump sont tenus d'être en magasin.
RépondreSupprimerUn autre résidu vieillissant lié à l'assassinat de Kennedy est toujours vivant George H.W. Bush qui, en tant que jeune agent de la CIA Skull & Bones, a été photographié devant le bâtiment dépositaire de livres à Dallas le même jour où Kennedy a été assassiné. Et le fils de la guerre de HW encore vivant de la guerre a été observé toujours souriant, riant et plaisantant avec ses compatriotes camarades de guerre criminels de guerre les Clintons et Obama à l'inauguration, juste avant le seul homme qui a échoué avec succès la dynastie Bush-Clinton-Obama après près Quatre décennies, ont commencé à les sortir comme des traîtres. Soudain, le sourire disparut.
Après avoir ouvert son discours inaugural donnant des compliments à Barack Obama pour avoir été si gracieusement utile lors de la transition présidentielle, le juste juré du président Trump a ensuite exposé le Congrès et tous les anciens présidents présents pour tourner le dos au peuple américain, De les appeler traîtres de l'Amérique de l'intérieur, ce qui bien sûr, ils sont clairement. Le discours de Trump était son premier coup à travers l'arc comme le shérif tout neuf dans la ville, blâmer directement ceux dans Washington pour vendre l'Amérique dehors aux intérêts étrangers, vendant des ouvriers américains à offshore des usines étrangères et des offres commerciales globales «libres», L'infrastructure aux coûteuses guerres hégémoniques à l'étranger, la vente de la sécurité nationale américaine et les droits civiques des citoyens pour la guerre permanente illégale d'Obama qui nous a rendus beaucoup moins sûrs avec une politique frontalière ouverte invitant les cellules terroristes à prospérer sur le sol américain. Des classes pour la sécurité industrielle militaire complexe de profit et de la cupidité, et la vente de l'Amérique à un média de masse mondialisée faux. Dans son discours d'inauguration, Trump a présenté un plan pour arrêter le saignement et renverser les dégâts, réitérant toutes ses priorités de campagne en tant que nationaliste, opposant clairement le mondialisme comme son ennemi. Pour des millions d'Américains, longtemps oubliés, victime d'une victime vilipendée des dirigeants élitiste, ses paroles sont venues comme de la musique à leurs oreilles, renforçant leur conviction que finalement un président est arrivé qui les regarde une fois de plus. Attention ne porte pas vos espérances trop haut, mais simplement en tenant Trump à sa parole.
RépondreSupprimerBien sûr, il y a huit ans, après avoir survécu à huit années de douloureuses années sous le règne de Bush et de Cheney, Obama a promis de mettre fin à des guerres étrangères inéluctables et de rendre la présidence la plus ouverte et transparente de l'histoire américaine, À nos oreilles. Bientôt, cependant, nous avons appris que les politiques nationales et étrangères d'Obama étaient à peu près les mêmes que celles de ses prédécesseurs et que voter un démocrate ou un républicain à la Maison Blanche n'a pas vraiment d'importance quand la marionnette en charge n'est jamais en charge. Comme le relooking tous les huit ans, la mémoire à court terme de l'Amérique nous oblige à revivre le cauchemar désillusionnant de déjà vu encore une fois ... que le nouveau patron se révèle être le même que le vieux patron tout simplement parce qu'il n'a jamais été le patron pour commencer. La figure de proue occupant la Maison Blanche a toujours pris ses ordres de marche directement de l'élite dirigeante. Peut-être que la conception globaliste pour étourdir les Américains a été si réussie que nous ne pouvons jamais apprendre cette leçon d'histoire critique, même si les conséquences sont dures.
Si Trump ne veut vraiment pas dire des affaires et tente de faire bon sur sa promesse de campagne pour «drainer le marécage», terminant le travail que JFK a commencé par abolir la CIA, Trump a certainement son travail coupé pour lui. Une fois qu'il a terminé cette tâche, il doit passer à détruire les monstres destructeurs et asservis comme la Réserve fédérale, la Sécurité intérieure et la DEA, réduisant drastiquement la bureaucratie cancéreuse et le copinage auto-profitant d'un grand gouvernement toujours en expansion. En plus d'étouffer la graisse du Fédéral, les priorités du président Trump doivent également inclure l'élimination de la surabondance parasitaire de milliers de contractants privés, bardant des milliards de plus de contribuables. Trump doit également normaliser les relations avec la Russie (ainsi avec la Chine et l'Iran), et en partenariat comme mentionné dans son inaugural, éradiquer le proxy de la cabale allié les terroristes "sur la surface de la terre." Trump doit révoquer tous les ordres exécutifs inconstitutionnels d'Obama ainsi que de démanteler et d'abroger un certain nombre d'Obama a adopté des lois, y compris le rétablissement de la Smith-Mundt Act de tenir une fois de plus tous les faux HSH responsable de la propagation des mensonges illégaux et de la propagande fausse.
RépondreSupprimerPeut-être plus important que toute autre chose, le président Trump a besoin de rétablir la Constitution des États-Unis comme État de droit de l'Amérique et notre gouvernement à une république démocratique. Le site Web de Trump promet d'honorer et de défendre notre Constitution en prenant son serment d'exigences de bureau. Cela signifie qu'il doit immédiatement commencer à faire reculer la tyrannie totalitaire de la police et la violation invasive de nos libertés constitutionnelles déjà démolies sous le régime Bush-Obama. Enfin, Trump a construit toute sa campagne sur la promesse de lancer l'économie nationale sans vie en créant des opportunités d'emploi massives pour des millions d'Américains sous et sans emploi, promettant de créer 25 millions d'emplois au cours de la décennie. Il dit aussi qu'il va inciter de nombreuses entreprises à revenir aux États-Unis ainsi que de ressusciter notre base de fabrication perdue et la classe moyenne en baisse. Un ordre grand, voire impossible, que nous devons encore le tenir à la tâche.
Peu de temps après que le président Kennedy ait averti le gouvernement de l'ombre et l'a fait savoir qu'il était commis à un cours de paix au lieu de la guerre (en demandant le retrait de tous les conseillers militaires américains du Vietnam), éliminant la CIA (avant de l'éliminer) Ordre 11110 qui menaçait de couper l'autorité de la Federal Reserve banksters en retournant la responsabilité de la fourniture de l'argent de l'Amérique au Trésor américain, le président Kennedy a été soudainement abattu. Sur un parcours parallèle, Trump insiste sur le fait qu'il n'ira pas à la guerre avec la Russie ou ne s'ingérera dans les affaires intérieures des autres pays, et la semaine dernière il a appelé l'OTAN «obsolète», un départ radical de la politique étrangère unipolaire hyper-agressive des États-Unis. Il a également fait des ouvertures pour mettre fin à la Réserve fédérale et la CIA, tous rappellent notre dernier président assassiné. Pour Trump, pour éviter ce même sort tragique et vaincre en «drainer le marécage», il devra se déplacer graduellement, de façon constante et discrète, en exerçant une extrême prudence et prudence tout en naviguant dans le champ de mines géopolitique et économique formidable que ses puissants ennemis ont posé lui.
La Réserve fédérale va bientôt augmenter les taux d'intérêt qui va resserrer les portefeuilles des Américains déjà corrompus, dont 76% vivent un chèque de paie loin de l'itinérance. Les taux d'intérêt à travers les conseils sur les prêts hypothécaires de logement ainsi que les cartes de crédit et les prêts bancaires va augmenter de manière significative en 2017. La politique de l'élite ces dernières années a été de lancer la canette sur la route temporairement éviter le crash financier imminent, Trump devient président. L'agenda de la semaine dernière à Davos a certainement mis la touche finale au calendrier globaliste pour imploser la maison des cartes d'affaires cette année. Soyez prêt pour les 3 cents de plus sur notre dollar depuis que la Réserve fédérale a pris le contrôle en 1913 pour se rétrécir encore plus loin dans l'oubli que la crise financière s'approfondit, et le dollar américain / pétrodollar comme monnaie de réserve internationale glisse dans son agonie. L'hyperinflation entrera en jeu et bientôt les États-Unis suivront probablement le même chemin sombre que les pays comme le Venezuela et le Zimbabwe il ya 15 ans. Par conception globaliste la démonetisation de la monnaie se produisant au Venezuela et en Inde arrivera bientôt aux États-Unis. Après tout, la surveillance et le contrôle absolu des ONM ne peuvent être atteints que s'ils vivent dans une société sans numéraire.
RépondreSupprimerAvec la dette nationale à la hausse à près de 20 billions de dollars, lorsque le SHTF, comme à Chypre et en Autriche, s'attendre à la probabilité de renflouements où vous vous réveillez un jour pour trouver votre vie personnelle économies volées de votre compte bancaire privé. Les prix du gaz, de l'énergie et des denrées alimentaires augmenteront et, en période de crise, les étagères d'épicerie se videront rapidement. Les Américains sont assez nerveux et nerveux ces jours-ci. Lorsque plus tôt ce mois-ci une tempête d'hiver mineure a traversé le sud et le sud-est des États-Unis, il a causé la panique publique. Si une crise majeure réelle frappe soudainement, vous pouvez imaginer le résultat. Sur les estomacs affamés, l'agitation civile se transforme rapidement en violence incivilisée qui pourrait balayer la nation, en particulier dans les grandes zones urbaines. Et bien sûr, maintenant que nous avons un nouveau président déjà sur un terrain ténu comme l'élite désignée chute, le président Trump sera blâmé. Bouclez les gens, le 2017 se forme pour être un enfer d'un tour cahoteux. Restez alerte et informé, soyez préparé pour le pire, et espérez pour le meilleur.
https://www.lewrockwell.com/2017/01/joachim-hagopian/trump-declares-war-ruling-elite/
Imaginons que toute cette actualité [élection] qualifiée de 'révolutionnaire', ne soit pas une surprise pour les 'Dirigeants' mais une perspective/solution irrévocable cachée ! Bien sûr là vous me direz que tous les 'Dirigeants' prévoient eux aussi le jour où ils peuvent en connaître le pire, c'est pourquoi, c'est avec circonspection que l'on observera les promesses et les actes même si aucun président précédant (aux USA comme ailleurs) n'a jusqu'ici tenu ses promesses électorales du 'demain on rase gratis' !
SupprimerMais, tout de même, comme Donald Trump n'est pas issu de cette dictature qui fonctionne depuis des siècles avec des œillères, l'on peut espérer qu'il n'utilisera pas les prompteurs débilisants où ne figurent pas ses propres discours mais des textes soumis/obligé par 'les hommes de l'ombre'.
Même si l'on ne doute pas de l'honnêteté du tout nouveau président, je ne pense pas qu'il faille s'attendre à ce qu'il fasse enfermer ses prédécesseurs pour crimes contre l'humanité ou qu'il explique la réalité des 'avions du 11 Septembre' qui ont pu couper des piliers verticaux en acier avec de simples ailes en aluminium !! (Hahahaha !).
Fessenheim : EDF accepte la fermeture de la centrale nucléaire contre indemnisation
RépondreSupprimer24 janv. 2017, 12:24 - Avec AFP
Le conseil d'administration d'EDF a adopté le protocole d'indemnisation du groupe pour la fermeture anticipée de Fessenheim, enclenchant la procédure d'arrêt de la doyenne des centrales nucléaires françaises a-t-on appris de source proche du dossier.
Les six représentants des salariés ont voté contre la fermeture anticipée de la centrale nucléaire objet à controverse, dans la lignée de l'avis négatif rendu par le comité central d'entreprise le 10 janvier, tandis que les six administrateurs indépendants se sont prononcés en faveur du protocole négocié avec l'Etat français. Parmi ces derniers, figurait le PDG Jean-Bernard Lévy, dont la voix est prépondérante.
Lire aussi
La centrale nucléaire EDF du Bugey près de Lyon Conseil constitutionnel: EDF pourra bien être indemnisée si elle ferme ses centrales nucléaires
Promesse de campagne du président François Hollande en 2012, la fermeture de Fessenheim est fixée à l'horizon 2018 lorsqu'EDF prévoit de mettre en service l'EPR de Flamanville (Manche), la loi de transition énergétique plafonnant les capacités de production nucléaire à leur niveau actuel de 63,2 gigawatts (GW).
La validation de l'indemnisation est un préalable au dépôt par EDF d'une demande d'abrogation de l'autorisation d'exploiter Fessenheim, dont le vote par le conseil d'administration a été reporté à plus tard, selon la source proche.
Le gouvernement devra ensuite entériner la fermeture en prenant un décret d'abrogation.
EDF a obtenu de l'Etat français, son actionnaire à 85,6%, de nouvelles garanties dans le cadre de la fermeture de la centrale alsacienne, selon des sources concordantes.
La première consiste en une extension du délai de l'autorisation de création de l'EPR en construction à Flamanville, qui arrive à échéance en avril prochain, alors que le réacteur n'entrera pas en service avant la fin 2018 du fait des retards sur le chantier.
L'électricien a également obtenu l'assurance de pouvoir redémarrer le réacteur n°2 de la centrale de Paluel (Seine-Maritime), à l'arrêt depuis mai 2015 alors que la loi de transition énergétique prévoit qu'un réacteur à l'arrêt depuis plus de deux ans soit considéré comme en arrêt «définitif».
Sur le plan financier, l'accord conclu à l'été 2016 entre EDF et l'Etat au sujet de Fessenheim prévoit une indemnisation de 446 millions d'euros au moins dont un premier versement d'environ 100 millions d'euros lors de l'arrêt de la centrale. Le solde sera constitué d'une part fixe et d'une part variable tenant compte d'un éventuel manque à gagner pour EDF jusqu'en 2041.
En août 2015, le Conseil Constitutionnel avait validé le principe d'indemnisation d'EDF en cas de fermeture anticipée des centrales nucléaires françaises afin de se conformer à la loi de transition énergétique.
Lire aussi : Les Allemands, les Verts et Mélenchon déçus que la France reporte la fermeture de Fessenheim en 2018
https://francais.rt.com/france/32899-fessenheim-edf-accepte-fermeture-centrale-nucleaire
SupprimerAlors que les rigueurs de l'hiver commencent à se faire sentir de partout en Europe (ce qui laisse présager une rentrée d'argent de multi-milliardaire pour edf) et qu'une jeune centrale n'est même pas en chantier !!!! (d'où le souci à se faire pour les français qui pourraient mourir de froid dans les hivers prochains faute d'énergie venant des putains d'éoliennes et des ordures de panneaux solaire), les consommateurs seront donc invités à multiplier leurs factures par 3 ou 4, compte tenu que l''EPR de Flamanville (Manche)' n'est PAS opérationnel et est situé à plus de 1000 km de l'Alsace ! (Rappel qu'un tiers de l'énergie produite par une centrale ne sert qu'à pousser le courant sur les câbles, le second tiers se perd en cours de route "Ne pas s'approcher des lignes a haute tension" et, le troisième tiers, lui, il arrive chez les consommateurs).
Le Premier ministre néerlandais durcit le ton sur l'immigration, Geert Wilders lui répond
RépondreSupprimer24 janv. 2017, 11:38
A deux mois des législatives néerlandaises, le chef du gouvernement a soigné son électorat de droite en tenant un discours sévère sur la question migratoire. Le leader du parti anti-immigration PVV, Geert Wilders, dénonce une supercherie.
«[Les étrangers qui] refusent de s'adapter, et qui critiquent nos valeurs [devraient] se comporter normalement, ou aller ailleurs», a lancé le chef du gouvernement des Pays-Bas Mark Rutte, dans une lettre ouverte à ses citoyens du dimanche 22 janvier, alors que les élections législatives néerlandaises approchent à grand pas.
Dans ce message officiel, le dirigeant a témoigné du malaise croissant que les Néerlandais éprouvent, selon lui, face à certains étrangers harcelant les homosexuels, sifflant les femmes en mini-jupes ou encore qualifiant les Hollandais de racistes. Le Premier ministre, qui brigue un troisième mandat, a enfoncé le clou : «Si vous n'aimez pas ce pays, partez. [...] Si vous vivez dans un pays où la façon dont nous traitons les gens vous rend fous, alors vous avez le choix. Vous n'êtes pas obligés de rester ici.»
L'insistance de Mark Rutte sur cette question migratoire et sécuritaire vise, à n'en pas douter, à attirer les électeurs de droite vers le parti de centre-droit au pouvoir, le Parti populaire libéral et démocrate (VVD), en prévision des élections législatives de mars 2017. Les sondages donnent en effet le VVD au coude-à-coude avec le Parti pour la liberté (PVV), qui tient, lui, un discours ouvertement anti-immigration et anti-islamisation.
Sans citer explicitement le PVV dans sa lettre, le Premier ministre prend soin de préciser que «la solution [aux problèmes migratoires et sécuritaires] n'est pas de jeter tout le monde dans le même sac, d'insulter ou d'expulser des communautés entières du pays».
Geert Wilders : Mark Rutte est «l'homme de l'immigration de masse»
Geert Wilders, le flamboyant leader du PVV, a répondu aux propos de la lettre de Mark Rutte lundi 23 janvier, en assurant que le chef du gouvernement était «l'homme des frontières ouvertes, du tsunami des demandes d'asile, de l'immigration de masse, des mensonges et de la supercherie», cité notamment par la presse britannique.
Lors d'une réunion de partis eurosceptiques à Coblence (Allemagne) samedi 21 janvier, le leader de la formation anti-immigration avait exprimé son optimisme quant à la victoire des forces politiques souverainistes européennes, dans la foulée du vote pour le Brexit et de la victoire de Donald Trump. «Il y a de la lumière au bout du tunnel [...] le vent est en train de tourner», avait-il lancé avec enthousiasme, évoquant un «printemps patriotique».
Lire aussi : La Belgique et les Pays-Bas ne veulent pas accueillir de réfugiés algériens ou marocains
https://francais.rt.com/france/32896-premier-ministre-neerlandais-immigration
SupprimerTout montre bien que les excisés ont du souci à se faire ! Hahahaha !
Terrorisme : le nombre de mineurs mis en examen a presque quadruplé en un an
RépondreSupprimer24 janv. 2017, 09:41 - Avec AFP
La France a connu une hausse impressionnante des dossiers terroristes parmi les mineurs depuis l’année dernière, a révélé le procureur de la République de Paris. Il a aussi prévenu du risque du retour du Moyen-Orient des djihadistes français.
Le nombre de mineurs mis en examen dans des dossiers terroristes en France a presque quadruplé en un an, passant de 13 à 51, selon des chiffres communiqués par le procureur de la République de Paris.
Il s'agit soit d'adolescents «partis dans le cadre d'une filière irako-syrienne pour y mener le jihad, soit de mineurs velléitaires qui, empêchés de partir, ont des projets d'action violente sur le territoire national», a détaillé le procureur François Molins lors de l'audience de rentrée du tribunal de grande instance de Paris.
Lire aussi
La France serait le premier fournisseur de combattants européens à Daesh, selon le chef de la lutte antiterroriste Loïc Garnier Le chef de la lutte anti-terroriste estime à 700 les Français membres de Daesh en Syrie et en Irak
Une dizaine d'entre eux sont poursuivis pour leur lien avec le djihadiste français Rachid Kassim qui, via la messagerie cryptée Telegram, les a incités depuis la zone irako-syrienne à passer à l'acte en France.
«Face à cette évolution qui a véritablement émergé à l'été 2016, sept juges des enfants sur quinze ont spontanément accepté de se spécialiser dans le traitement de ces dossiers alors qu'aucun d'entre eux n'avait pu sérieusement envisager une telle perspective l'année précédente», a relevé Jean- Michel Hayat, président du tribunal de grande instance de Paris.
A ce jour, 1 236 personnes sont dans le viseur de la justice : 355 ont été mises en examen, dont 112 femmes, les autres sont recherchées et font l'objet de mandat d'arrêt ou de mandat de recherche.
Face à ce qui est devenu «un véritable contentieux de masse», des réponses pénales rapides ont été mises en place comme la possibilité de comparution immédiate pour les affaires d'apologie et de consultation de sites djihadistes, a relevé François Molins.
Le procureur est aussi revenu sur «la menace du retour» des djihadistes français actuellement en zone irako-syrienne. «Daesh est affaibli ; ses combattants sont moins nombreux ; la zone qu'il occupe se rétrécit régulièrement [...] le jour viendra où nous devrons faire face au retour des survivants», a-t-il souligné, précisant que 693 Français - dont 288 femmes et 20 mineurs - avaient été identifiés à ce jour comme combattants dans les rangs de l'EI.
https://francais.rt.com/france/32891-terrorisme-nombre-mineurs-quadruple-an-france
SupprimerFaut dire que, d'une part sont considérés comme français toutes personnes arrivant en France ou désireuse d'y aller !!! et que, tous criminels ayant prouvé ses actes (à l'étranger comme en terre d'accueil) est protégé par les lois sur le racisme et l'homophobie ! (avec allocations de milliardaires en enveloppes).
L'abandon du TPP : «Une grande victoire personnelle de Donald Trump»
RépondreSupprimer24 janv. 2017
La sortie du Partenariat Transpacifique, un accord de libre-échange Promu par Barack Obama qui s'était «mis d'accord avec les Républicains», sera une victoire personnelle de Donald Trump, considère Gerald Celente, du Trends Research Institute.
Gerald Celente est un spécialiste des tendances américain, fondateur et directeur du Trends Research Institute.
RT : Pour Donald Trump le TPP est une «catastrophe». Il y a également eu de très importantes manifestations contre ce projet. Qu’y a-t-il exactement dans cette affaire pour susciter une telle opposition ?
Gerald Celente (G. C.) : On ne nous laisse pas en savoir grand-chose. Souvenez-vous : cela a été fait en toute discrétion pendant ces sept années de présidence de Barack Obama qui, en arrivant à la Maison Blanche, avait promis un gouvernement très transparent… Nous, le peuple, nous en savons peu à ce sujet, mais ils ont fait la présenté ce projet comme «l'accord commercial le plus progressif de l’histoire américaine». Ce n’est pas très progressif [...] il ne s’agit pas d’un accord commercial ; il s’agit plutôt de donner le droit aux multinationales étrangères de contourner le cadre gouvernemental. C’est la grosse affaire du TPP. Mais nous, le peuple, on ne nous laissera jamais voir tout cela.
Donald Trump va renégocier l'ALENA ; je ne pense pas qu’il le supprime
RT : Les autres pays de la région du Pacifique pourraient-ils adopter une autre version du TPP – sans les Etats-Unis ?
G. C. : Souvenez-vous des premiers débats des Républicains avec Donald Trump – il a accusé la Chine d'y participer, alors que ça n'était pas le cas. Voilà donc ce que cela va donner : la Chine se concentrera sur d’autres pays asiatiques. Cela va mener à un nouvel accord. En effet, quand l’Australie est sortie des négociations après la victoire de Donald Trump, elle a dit vouloir négocier avec la Chine.
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Donald Trump ne chôme pas pour ses débuts à la Maison Blanche A peine à la Maison Blanche, Donald Trump fait feu de tout bois
RT : Trump est également très critique à l'égard de l'ALENA - pensez-vous qu'il abandonnera d'autres accords commerciaux auxquels les Etats-Unis participent ?
G. C. : Il va certainement le restructurer. Il en a le pouvoir – il n’a pas besoin du Congrès pour faire quoi que en soit avec l'ALENA. De 1997 à 2015, à peu près, nous avons perdu plus de cinq millions d’emplois dans le secteur de production aux Etats-Unis. Ensuite il y a toutes ces déclarations des producteurs, surtout dans l’industrie de l’automobile, qui disent que nous allons faire revenir la production aux Etats-Unis. Cela a été l’une des questions principales au Forum de Davos la semaine dernière. Donc oui, il va renégocier l'ALENA ; mais je ne pense pas qu’il le supprime.
RT : Beaucoup d'entreprises américaines pourraient bénéficier du TPP, y compris les exportateurs de produits alimentaires, qui actuellement font face à des taxes élevées lorsqu'ils vendent en Asie. Comment pensez-vous qu'ils vont réagir ?
G. C. : Ca n'est pas vraiment le cas, car, une fois de plus, ce que le TPP visait était de donner aux sociétés étrangères la souveraineté sur celle de leur Etat. Autre chose : Barack Obama s’est mis d’accord avec les Républicains pour promouvoir le TPP. Ceci [la suppression du TPP] n’est donc pas une victoire républicaine, mais celle de Donald Trump.
RépondreSupprimerLire aussi : Retrait immédiat du TTP et autres mesures annoncées par Trump pour le début de son mandat
https://francais.rt.com/opinions/32888-abandon-tpp-grande-victoire-donald-trump
Le cruel destin des chars américains en Pologne
RépondreSupprimerINTERNATIONAL
11:19 24.01.2017)
L’armée américaine s’est heurtée à des difficultés inattendues lors du transfert de ses blindés depuis l’Allemagne vers la Pologne.
Se référant à ses propres sources, le Wall Street Journal signale que plusieurs blindés américains ont été endommagés au cours du trajet entre le port de Bremerhaven et la Pologne : ils ont percuté des ponts dont la hauteur a été surestimée par les militaires.
Cinq véhicules blindés restent en Allemagne : le commandement n'a pas encore trouvé de moyen de les transporter.
Plus encore, le général Ben Hodges, commandant des forces des États-Unis en Europe, a annoncé que les batteries de plusieurs chars américains arrivés en Europe étaient hors-service.
Il a avoué que Washington n'était pas bien informé de l'infrastructure des pays de l'Otan qui faisaient jadis partie du bloc soviétique et a signalé la nécessité de « rétablir les points d'appui » dans l'est de l'Europe.
Les États-Unis transfèrent en Europe de l'Est 87 chars Abrams, 144 véhicules de combat d'infanterie M2 Bradley, 18 canons automoteurs M109 Paladin et 4 000 militaires pour soutenir l'opération Atlantic Resolve dont le but de contenir la Russie.
Il ne s'agit pas de la première mésaventure des militaires américains en Pologne. Samedi 21 janvier, un camion transportant des obus de char destinés aux forces américaines en Pologne s'est renversé sur une route de l'ouest du pays, provoquant un embouteillage monstre.
https://fr.sputniknews.com/international/201701241029748896-defis-logistiques-militaires-americains-pologne/
Ce qui laisse présager qu'en cas d'intervention... les résultats auraient été les mêmes !! Hahahaha !
SupprimerVol MH370: troublante découverte sur l’ordinateur d’un des pilotes
RépondreSupprimerINTERNATIONAL
15:07 23.07.2016
Le FBI a fait une troublante découverte amalysant des disques durs du pilote du vol MH370 disparu.
Un des pilotes du vol MH370 de Malaysia Airlines, Zaharie Ahmad Shah, avait réalisé sur son simulateur un vol d'entraînement dans la région précise où l’avion a par la suite disparu moins d'un mois plus tard, annonce The New York Magazine, se référant aux documents de la police malaisienne dont il a obtenu une copie.
Selon les documents, la police malaisienne a livré au FBI des disques durs où figuraient les simulations de vols réalisées par le pilote sur son ordinateur. Le FBI a réussi à reconstituer six points de l'itinéraire sauvegardés grâce au programme Flight Simulator X quelques semaines avant la disparition de l'avion.
Disparition du Boeing MH370: l'hypothèse scientifique
"En se basant sur l'expertise criminalistique de cinq disques durs (…) nous avons découvert une trajectoire qui menait dans la partie sud de l'océan Indien", indique un document cité par le magazine.
L'analyse de tous les paramètres du vol simulé démontre que celui-ci se termine au-dessus de l'océan Indien au moment où l'avion a une panne de carburant.
Selon le magazine, l'itinéraire du vol simulé coïncide en grande partie avec celui probablement suivi par le Boeing 777 avant sa disparition.
Le Boeing 777, reliant Kuala Lumpur à Pékin, a disparu en plein vol le 8 mars 2014 avec 239 personnes à son bord. Il a disparu des écrans des radars après avoir inexplicablement dévié de plusieurs milliers de milles nautiques de sa trajectoire de vol. Parmi les passagers du vol MH370 figuraient des citoyens de 13 pays, notamment la Russie, l'Australie, la Chine, la Malaisie, l'Indonésie, la France, la Nouvelle-Zélande, le Canada, l'Ukraine, les Etats-Unis, l'Italie, les Pays-Bas et l'Autriche.
https://fr.sputniknews.com/international/201607231026939923-Boeing-disparition-pilote/
VIDÉO: LE JUGE NAPOLITANO APPELLE L'ORDRE EXÉCUTIF DE TRUMP SUR OBAMACARE "VRAIMENT RÉVOLUTIONNAIRE"
RépondreSupprimerJANVIER 23, 2017
LILY DANE, LE CHEVAL QUOTIDIEN
Quelques heures après avoir prêté serment vendredi, le président Donald Trump a signé un décret ordonnant aux organismes fédéraux d'utiliser leur pouvoir pour libérer les particuliers, les entreprises, les gouvernements des États et d'autres personnes des charges économiques de la Loi sur les soins abordables.
Cette mesure peut même inclure le mandat extrêmement impopulaire (ahem, extorsion) qui exige la plupart des Américains d'acheter une assurance.
L'article 1 de l'ordonnance se lit comme suit:
La politique de mon administration consiste à demander l'abrogation rapide de la Loi sur la protection des patients et les soins abordables (Loi 111-148), telle que modifiée (la «Loi»). Dans l'intervalle, en attendant cette abrogation, il est impératif que le pouvoir exécutif veille à ce que la loi soit appliquée efficacement, qu'il prenne toutes les mesures compatibles avec la loi pour réduire au minimum les charges économiques et réglementaires injustifiées de la Loi et La flexibilité et le contrôle pour créer un marché de la santé plus libre et ouvert.
Au cours de sa campagne, Trump a promis de démanteler l'ACA s'il était élu, et il semble qu'il va faire ce qu'il peut pour tenir cette promesse.
Il est important de comprendre, cependant, que cet ordre exécutif n'exclut pas réellement Obamacare: seul le Congrès peut abroger la loi. Mais l'ordre dit au gouvernement fédéral de prendre le plus de marge de manœuvre possible pour «soulager les fardeaux» des individus, des États et de l'industrie de la santé.
Le juge Andrew Napolitano a qualifié l'ordre exécutif «vraiment révolutionnaire»:
Le juge Napolitano a déclaré que Trump a dit aux agences gouvernementales de procéder avec l'espoir que la loi sera abrogée bientôt, en particulier en ce qui concerne les sanctions fiscales.
Il est temps.
- voir clip sur site:
http://www.thedailysheeple.com/video-judge-napolitano-calls-trumps-executive-order-on-obamacare-truly-revolutionary_012017
Boom de l'emploi: 10 entreprises qui ont promis d'ajouter des emplois aux États-Unis depuis que Trump a été élu
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
le 23 janvier 2017
Une des principales choses que la présidence Trump sera jugé sur sa capacité à encourager la création d'emplois bien rémunérés pour les travailleurs américains, et jusqu'à présent les résultats ont été très prometteurs. Depuis la victoire surprise de Trump en novembre, de nombreuses entreprises ont promis de ramener des emplois dans le pays ou se sont engagées à en créer de nouvelles. En fin de compte, le temps nous dira si ces emplois se concrétisent, mais pour le moment il ya un énorme optimisme dans l'air. En fait, je ne sais pas si nous avons déjà vu quelque chose comme ça au début d'une nouvelle présidence. Ce qui suit sont 10 entreprises qui ont promis d'ajouter des emplois aux États-Unis depuis l'élection de Donald Trump ...
# 1 Kroger dit qu'il a l'intention de combler 10.000 postes permanents aux États-Unis cette année.
# 2 IBM a annoncé qu'elle embauchera 25 000 travailleurs supplémentaires aux États-Unis au cours des quatre prochaines années.
# 3 Foxconn envisage de mettre en place une usine de 7 milliards de dollars aux États-Unis qui créerait entre 30 000 et 50 000 emplois.
# 4 Amazon.com s'est engagé à ajouter 100 000 emplois à temps plein aux États-Unis d'ici la mi-2018.
# 5 Wal-Mart a annoncé qu'elle envisage d'ajouter environ 10 000 emplois au détail aux États-Unis en 2017.
# 6 Sprint a annoncé que 5.000 emplois seront ramenés aux États-Unis au lieu d'aller à l'étranger.
# 7 Après avoir rencontré Trump, le PDG de SoftBank a déclaré son intention de créer 50.000 nouveaux emplois aux États-Unis.
# 8 Après un appel téléphonique de Trump, la fabrication industrielle Carrier géant a promis de garder des centaines d'emplois aux États-Unis au lieu de les déplacer hors du pays.
# 9 Hyundai a promis de dépenser 3,1 milliards de dollars en soutenant leurs usines actuelles en Géorgie et en Alabama, et ils ont dit qu'ils envisagent maintenant d'ajouter une usine supplémentaire aux États-Unis ainsi.
# 10 GM s'est engagé à investir un milliard de dollars dans les usines américaines et à ajouter ou garder 7 000 emplois aux États-Unis.
Contrairement à la plupart des politiciens, jusqu'à présent, Donald Trump semble déterminé à garder effectivement bon nombre des promesses qu'il a faites au cours de la campagne. Et lundi, il a tenu une promesse très importante en retirant les États-Unis du Partenariat transpacifique. Si vous n'êtes pas familier avec le Partenariat Trans-Pacifique, voici un très bon résumé de USA Today ...
Le PPT est un accord commercial complet entre 12 pays du Pacifique, à l'exclusion de la Chine, qui a été signé l'année dernière par le président Obama après sept ans de négociations. Mais le Sénat ne l'a pas encore ratifiée. Le pacte de 30 chapitres, qui devait également être ratifié par d'autres pays avant l'ordre de Trump lundi, vise principalement à stimuler les exportations, supprimer les barrières tarifaires et non tarifaires, ouvrir l'accès à davantage de marchés et instaurer une transparence dans les règles commerciales.
RépondreSupprimerLes 12 pays qui devaient être inclus dans le Partenariat transpacifique représentent collectivement environ 40% du PIB mondial. Donc, ça allait être un gros problème, et Barack Obama travaillait depuis des années.
Mais d'un coup de stylo, c'est fini, et comme je vais vous expliquer ci-dessous, c'est une très bonne chose.
Trump a également promis de maintenir son engagement à renégocier l'ALENA ...
Sur Nafta, Trump a déclaré dimanche qu'il rencontrerait le Premier ministre canadien Justin Trudeau et le président mexicain Enrique Pena Nieto pour commencer à discuter de l'affaire, qu'il a systématiquement blâmé pour la perte d'emplois aux États-Unis bien qu'il y ait peu de changement à l'emploi aux États-Unis Plusieurs années après son entrée en vigueur. Trump a signalé qu'il était prêt à travailler avec les voisins les plus proches des États-Unis.
«Nous allons commencer à renégocier le Nafta, l'immigration et la sécurité à la frontière», a déclaré M. Trump au début d'une cérémonie d'assermentation du personnel de la Maison Blanche. "Je pense que nous allons avoir un très bon résultat pour le Mexique, pour les États-Unis, pour tous les intervenants. C'est vraiment très important.
Personne ne suggère que nous ne devrions pas commercer avec le reste du monde, mais ce que Donald Trump comprend que tant d'autres politiciens ne pas est que beaucoup de ces «accords de libre-échange» ont été extrêmement destructeurs pour l'économie des États-Unis.
Pendant des années, nous avons acheté beaucoup, beaucoup plus du reste du monde qu'ils ont été d'acheter chez nous. En raison de nos déficits commerciaux massifs, il ya eu un flux continu d'argent, d'emplois et d'entreprises quittant le pays.
Au cours des dernières décennies, anciennement grandes villes manufacturières telles que Detroit ont été réduits à hellholes urbains. Pendant ce temps, la Chine est devenue extrêmement riche et brillant nouvelles usines ont germé comme des champignons dans leur citi majeur
Au cours des dernières décennies, anciennement grandes villes manufacturières telles que Detroit ont été réduits à hellholes urbains. Pendant ce temps, la Chine est devenue extrêmement riche et brillante nouvelles usines ont germé comme des champignons dans leurs grandes villes.
Cela ne s'est pas produit par hasard.
Les mauvaises décisions conduisent à de mauvais résultats. Et si nous avions continué à faire les mêmes choses, nous aurions continué à appauvrir systématiquement notre nation.
Depuis plus de sept ans, je me fais remarquer que nos politiques commerciales nous ont absolument tués. Je suis donc très reconnaissant que nous ayons enfin un président qui comprenne ces choses.
RépondreSupprimerBien sûr, il ya beaucoup plus à la fixation de notre économie que de simplement traiter de nos accords commerciaux. Comme je l'ai dit hier, notre dette en croissance rapide est en train de devenir une crise majeure, et cela va présenter un véritable défi pour Trump.
Mais pour l'instant, nous devrions certainement célébrer le fait que Trump nous a retirés du PPT et qu'il envisage de renégocier l'ALENA.
Donald Trump comprend les affaires, et il va être fascinant de regarder comment un homme d'affaires gère la position de la présidence. Cela ne fait que quelques jours, mais déjà certains de ses anciens critiques semblent venir un peu plus loin. Par exemple, il suffit de considérer ce que dit Mark Cuban ...
Le propriétaire et entrepreneur de Dallas Mavericks est «jouer à l'oreille» quand il s'agit de l'effet politiques du président Donald Trump aura sur le marché boursier. Mais il pense qu'il y a possibilité de hausse.
"Je pense que les programmes économiques discutés sont potentiellement un grand plus pour les entreprises publiques et l'économie dans son ensemble", a déclaré M. Cuban dans un courriel lundi matin.
Les politiques potentielles M. Cuban est optimiste sur: la réduction des impôts des sociétés; Se débarrasser de la «friction» pour les petites entreprises; Et réduire et simplifier les activités administratives.
Compte tenu de notre trajectoire actuelle et de l'immense dommage à long terme qui a été fait pendant les années Obama, il est difficile d'être optimiste quant à l'avenir de l'économie américaine.
Cependant, je suis certainement prêt à donner à Donald Trump une chance de montrer ce qu'il peut faire.
Au moins, il fait les choses différemment de ce que faisaient ses prédécesseurs, et cela doit être grandement applaudi parce que la route sur laquelle nous nous trouvions aurait clairement abouti à l'oubli économique.
Nous pouvons très bien finir là de toute façon, mais il n'y a certainement rien de mal à espérer que Trump peut en quelque sorte changer les choses.
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/employment-boom-10-companies-that-have-promised-to-add-jobs-in-the-united-states-since-trump-was-elected
Big win: Turnbull a gaspillé des milliards, mais maintenant soutient le charbon super critique, copies sceptiques 5 ans plus tard
RépondreSupprimerJanuary 24th, 2017
En 2011, Anton Lang, Tony Cox, et moi avons écrit ici pourquoi l'Australie serait mieux avec des générateurs de charbon chauds super critiques (que la Chine utilise déjà, et que même l'Indonésie se présentera devant nous). Non seulement nous avons une puissance fiable à bon marché, mais ce serait une meilleure façon de réduire nos émissions (si nous voulons faire semblant de changer le temps).
Maintenant, enfin, en 2017, Malcolm Turnbull dit la même chose que les sceptiques, il se moquait il y a des années. C'est ainsi que le «climat même» meurt, un échec non reconnu à la fois. Peu à peu, toutes les positions sceptiques sont reprises, des années plus tard et après avoir brûlé des milliards à l'autel de la "climatisation". C'est une grande victoire pour les sceptiques, mais ne vous attendez pas Turnbull ou l'ABC à être assez honnête pour le dire. Cela marque un tournant majeur dans la discussion sur le charbon en Australie qui n'a pour la plupart jamais dépassé le «charbon est en train de mourir» et les «biens échoués» inanity qui impliquait que le charbon n'a pas d'avenir et nos réserves massives de charbon étaient inutiles au lieu d'être notre Grande industrie d'exportation.
La semaine dernière Tony Abbott, ancien Premier ministre, a appelé à l'arrêt des subventions pour l'énergie éolienne - une fin aux certificats RET (Renewables Energy Target) qui arrêtent la concurrence normale sur le marché électrique et nous obligent tous à acheter une puissance que nous ne voulons pas Prix ??beaucoup plus élevés que nous devons payer. Cette semaine, sans reconnaître que Tony Abbott a raison, Turnbull fait un grand sur le visage. Il appelle ce «charbon plus propre», mais il n'a rien à voir avec le fantasme futile de capture du carbone. C'est le nouveau charbon de haute technologie que les Verts détesteront (parce qu'il fonctionne et il résout le problème de faux qu'ils prétendent s'inquiéter).
Turnbull soutient un charbon plus propre pour atteindre des objectifs renouvelables
Comme l'a révélé l'Australien hier, des recherches commandées par le gouvernement de Turnbull ont estimé que les émissions du pays seraient réduites de 27% si la production d'électricité à base de charbon fonctionnait sur des «ultra-super-critiques» utilisées dans d'autres parties du monde.
Réalisée par le ministère de l'Industrie, de l'Innovation et de la Science, la recherche a montré que les émissions seraient encore plus réduites - jusqu'à 34% - si la technologie actuellement en développement était adoptée en Australie.
Turnbull attaque l'énergie éolienne maintenant, mais il n'a pas averti de cette épave de train venant comme les sceptiques ont fait:
M. Turnbull a reconnu que le charbon ferait partie du mix énergétique mondial «pendant très, très longtemps» alors qu'il attaquait l'Etat ouvrier de l'Australie-Méridionale, qui génère 40 pour cent de son énergie par le vent, pour avoir «le plus cher et le plus d'électricité la moins fiable dans le pays".
Si Turnbull avait dit cela en 2009, il aurait été PM en 2010 et nous aurions économisé des milliards et ont maintenant l'électricité bon marché:
«Nous sommes le plus grand exportateur de charbon au monde. Si quelqu'un a un intérêt direct à démontrer que le charbon propre et le charbon plus propre avec les nouvelles technologies peuvent apporter une grande contribution à notre mix énergétique tout en réduisant nos émissions en termes nets - c'est nous », a déclaré M. Turnbull.
RépondreSupprimerVoici Turnbull prétendant être pragmatique au sujet de l'énergie, mais la seule chose Turnbull est un peu pragmatique est sa propre position politique:
«Notre approche et notre approche de l'énergie sont absolument pragmatiques et pratiques ... Les énergies renouvelables ont un rôle à jouer. Les combustibles fossiles ont un rôle à jouer. Chaque type d'énergie - le stockage, tout cela - a un rôle important à jouer. "
Les nouvelles centrales au charbon réduisent les émissions de 50% par rapport aux installations existantes (vraisemblablement les plus anciennes centrales brunes) et sont aussi «propres» que les centrales à gaz, selon le Minerals Council of Australia, selon les prévisions du ministère des Industries. Gardez à l'esprit que cela en soi est extrêmement important - la puissance du charbon en gros est de 3 à 4 c KWhr. (Je ne connais pas le coût de la nouvelle puissance du charbon "chaud" parce que ces grandes usines coûtent beaucoup à construire). Mais le gaz est de 7 à 8 c par KWhr. Plus la puissance du charbon signifie une électricité beaucoup moins chère.
Combien nous remercions Donald Trump pour cette transformation ? Beaucoup. L'écriture est sur le mur, l'Australie perdra plus d'emplois, de profits et d'entreprises aux États-Unis s'ils ont une énergie bon marché, et c'est l'une des priorités absolues de Trumps. Maintenant, si nous pouvons juste tuer le RET.
http://joannenova.com.au/2017/01/big-win-turnbull-wasted-billions-but-now-backs-super-critical-coal-copies-skeptics-5-years-later/
SupprimerComme nous le savons tous, la combustion du charbon se transforme en oxygène et l'oxygène en gaz carbonique/charbon depuis des milliards d'années, et cela ne va pas changé demain.
Ainsi, que vous rejetiez de l'eau propre ou sale dans les rivières ou océans où les poissons chient dedans, l'eau des sources sortira toujours propre !
Si SA obtient plus de "l'énergie libre" tout le monde ira à la casse
RépondreSupprimerJanuary 24th, 2017
Une chose drôle se produit quand les gouvernements mettent "l'énergie libre" dans un réseau électrique. Les éoliennes font baisser les prix de gros, mais la facture d'électricité de tous augmente.
Ces électrons bon marché vert semblent si séduisants, mais la publicité masque l'effet que l'électricité intermittente, instable a sur l'ensemble du système.
Armada Funds Management gère 400 millions de dollars américains de magasins australiens. Regardez le choc des prix de ces gestionnaires de petites entreprises sont de traiter avec 1200 $ par mois, un employé:
Le pic de puissance atteint les centres commerciaux australiens
L'Australien, Jan 18:
Chris Monaghan, directeur général d'Armada [a déclaré] ... les coûts d'achat d'électricité pour les centres commerciaux en Australie-Méridionale avaient augmenté de 87% pendant les périodes de pointe de l'année dernière et de 101% pendant les périodes creuses. Les coûts augmenteraient cette année encore de 57% en période de pointe et de 15% en période creuse.
Le coût supplémentaire total pour les propriétaires pourrait se heurter à des centaines de milliers de dollars.
Nino Pilaia, qui exploite Meats-N-More Carvery & Spuds ... Son entreprise a été parmi les personnes touchées par les pannes d'électricité l'année dernière et les coûts croissants de l'énergie. "Pour ce petit endroit ici d'environ 30sq m, il est d'environ 1200 $ par mois, ce qui est ridicule", a déclaré M. Pilaia. "Le coût croissant du pouvoir nous a frappés durement, mais vous ne pouvez pas continuer à répercuter les coûts pour les consommateurs - vous devez essayer de l'absorber. C'est de l'argent de ma poche, c'est aussi simple que ça.
«J'emploie une autre personne à temps partiel. Je ne peux pas me permettre d'employer quelqu'un d'autre ... Les coûts d'électricité sont un tueur d'affaires. "
L'Australie méridionale a la proportion la plus élevée d'énergie éolienne de n'importe quel état sans 6 interconnecteurs. D'une certaine façon, le premier ministre donne accidentellement la bonne réponse:
Le Premier ministre australien Jay Weatherill a déclaré la semaine dernière à la radio ABC que le manque de concurrence était à blâmer pour les prix élevés de l'électricité, une revendication rejetée par l'industrie.
C'est un manque de concurrence, mais ce n'est pas sur la concurrence au détail - un gars de plus vendant un chien mort ne fait pas vivre à nouveau. Ce dont ont besoin les Sud-Australiens, c'est le droit d'acheter n'importe quelle électricité qu'ils aiment. Ils ont besoin de la concurrence entre les générateurs: pas de RET, pas de régimes sans subventions - et peut le meilleur gagner. Tous Jay Weatherill a à faire est de sortir de la voie, et les consommateurs et les sociétés d'énergie va le comprendre.
Apportez-le, et regardez les prix de l'électricité chute, puis regarder la grande industrie, les magasins, tout le monde clame d'y vivre.
http://joannenova.com.au/2017/01/if-sa-gets-any-more-free-energy-everyone-will-go-broke/
En diffusant le sujet sur le meurtre de Donald Trump, CNN «rend son dernier souffle»
RépondreSupprimer24 janv. 2017
Le sujet de CNN sur le meurtre de Trump est dangereux, voire même criminel, compte tenu de la facilité avec laquelle il est possible de manipuler l'esprit humain, explique Lionel, expert juridique et analyste des médias.
Lionel (né Michael Lebron) est avocat, lauréat d'un Emmy award, auteur, analyste juridique et essayiste américain.
RT : Juste à la veille de l'investiture de Donald Trump, CNN a diffusé un sujet sur les événements qui pourraient avoir lieu, si le président élu était assassiné. Un tel récit n'aurait-il pas pu provoquer quelque idée morbide à certains ?
Lionel (L.) : Pas seulement morbide. C’est absolument irresponsable et, si j’ose dire, criminel. Avez-vous une idée de combien de cinglés se baladent par ici, qui n’ont absolument rien à faire, qui ont été mis en pétard au sujet de ce président élu que d’aucuns ont qualifié d’«illégitime» ? Ceux à qui on a constamment rappelé, chaque jour – non seulement sur les réseaux sociaux régis par la loi de la jungle mais aussi dans le monde vénéré de CNN – quelle horreur la journée d'investiture allait être. Et vous avez ce programme où on vous fournit grosso modo quasiment les instructions clé en main. Au final, leur message peut se résumer ainsi : «Vous savez, c’est ce qui se passerait si, Dieu nous en préserve, quelqu'un était sur le point d’éliminer le président et le vice-président... Et si cela arrive, tout serait alors comme avant...»
CNN est en train de mourir. Ils sont en morceaux. Cette chaîne horrible et rance rend son dernier souffle
Savez-vous comme il est facile de manipuler un loup solitaire en manque d’attention, quelqu'un de dément, un fou psychopathe et meurtrier et de le pousser à abattre quelqu'un ? Tout ceci est absolument inconcevable.
RT : Bien sûr, mais pourquoi pensez-vous qu'ils l'ont fait ?
L. : Parce qu’ils sont en train de mourir. Ils sont en morceaux. Cette chaîne horrible et rance rend son sernier souffle. Récemment, il y a eu un entretien entre AT&T et Time Warner sur un rachat, une fusion. Savez-vous ce qui a été suggéré pour rendre cet accord plus attrayant ? Se débarrasser de CNN. Ils sont comme cette jambe ballante qu’il faut amputer. Elle cause plus de problèmes que jamais. Elle est l’objet de la risée de tous. CNN est l’organisation qui avait Donna Brazile, qui était à la tête du Comité National Démocratique.
Lire aussi
Le président américain Donald Trump «Certains médias américains qui méprisent Trump... ont aidé à le faire élire»
Elle était, en sa qualité de commentatrice, à même de fournir à Hillary Clinton les questions à l'avance. Je veux dire, ils sont totalement malades. Ecoutez, laissez-moi vous expliquer quelque chose : est-ce que RT ferait une chose pareille ? Non. Est-ce que quiconque ferait une chose pareille ? Non. Savez-vous de combien de choses nous pourrions débattre à la télé ? Hey, comme ça serait facile de tuer un enfant ! Vous ne faites pas une chose pareille.
RépondreSupprimerC’est comme en physique où il y a matière et antimatière : en politique américaine, il y a Trump et anti-Trump
RT : Plus globalement, Lionel, les relations actuelles entre la presse et Donald Trump ne sont pas bonnes. Pensez-vous qu’il aurait pu en faire plus pour calmer les choses ?
L. : Permettez-moi de répondre à cette question de cette façon : oui. Oui. Ecoutez, je ne fais pas l’apologie de Trump – il n'a pas besoin de moi, et je ne suis ni un acolyte, ni un apôtre de Trump. Je n’ai pas voté pour lui, en fait, j’ai voté pour moi-même, qu’on se le dise. Donc je ne suis pas ici pour le mettre en avant. Il est le président élu, mon président élu, que ça vous plaise ou non. Mais laissez-moi vous dire quelque chose sur ce type : quand vous le frappez dur, il riposte. Il ne pourchasse pas les gens qui se contentent de le déranger.
En fait, il a fait ce que le public américain a voulu pendant très longtemps. Parce que nous en avons assez et nous sommes fatigués, non seulement des «fausses informations», mais de tout le reste. Ce groupe de gens incroyablement incohérents qui sont motivés politiquement non pas par une idéologie de gauche, progressiste ou libérale, mais par le fait d’être anti-Trump. C’est comme en physique où il y a matière et antimatière : en politique américaine, il y a Trump et anti-Trump.
La momie Washington Post ou l’anachronique New York Times pensent encore comme dans les années 1950
Ce que Trump a fait est encore mieux. Il a pris son téléphone, il s’est mis sur Twitter et il les a détruits – et ils n'ont pas aimé. En parlant d'eux, il les a éclaté, on peut dire. Et par cela, il a apporté une tranquillité d'esprit : vous pouviez entendre les applaudissements ce jour-là, parce que, croyez-moi, nous en avons marre. Il y a une révolution qui a lieu dans le monde. Oh oui. CNN, de nos jours, alors que nous parlons d’eux, et Wolf Blitzer et sa galerie de «journalistes» : ils ont des audiences qui rivalisent avec celles d'un babyphone ! Je veux dire, ils font à peine frémir l’audimat. Il y a un monde nouveau, avec de nouvelles personnes, et les médias ont changé aussi. Mais vous avez la momie Washington Post ou encore l’anachronique New York Times, qui pensent encore comme dans les années 1950. Ils font partie du tableau d’ensemble.
Du même auteur : Quand une opinion devient-elle de la propagande ?
https://francais.rt.com/opinions/32928-sujet-meurte-donald-trump-cnn-dernier-souffle
Refoulée au camp de Grande-Synthe, Marine Le Pen dénonce la «folle politique d'immigration»
RépondreSupprimer24 janv. 2017, 21:09
La visite du camp de migrants ne figurait pas sur son agenda, et les autorités ont décidé de lui interdire l'accès. La présidente du Front national a dénoncé une présence migratoire organisée, selon elle, par les élus eux-mêmes.
Marine Le Pen s'est rendue par surprise au camp de Grande-Synthe. Mais au motif que le campement de migrants se situe sur un terrain communal, le maire écologiste (EELV) Damien Carême, a tout simplement interdit à l'élue européenne l'accès au chemin communal y menant. Ce dernier a posté un tweet où il assumait sa décision en raison, selon lui, du «manque d'humanité» de la candidate à la présidentielle.
«Les gens qui rentrent sont tous habilités. Elle n'a pas à venir comme ça dans ce camp. Ce n'est pas un zoo. Il est hors de question qu'elle fasse du buzz en venant à Grande-Synthe», s'est enflammé le maire écologiste.
Avant de pousuivre pour justifier le refoulement de Marine Le Pen : «Elle vient faire quoi ? Elle tient constamment des propos de haine, de division. On est à l'opposé complet, elle et moi. Je n'allais quand même pas la laisser entrer !»
«Démocratie à la française»
«C'est la démocratie à la française. On n'accepte que les élus pro-immigration», aurait déploré Marine Le Pen, selon une journaliste de BFMTV sur place. «Que le maire de Grande-Synthe ait le souhait d'accueillir des migrants sur sa commune est une chose, mais que les habitants en soient victimes en est une autre», a-t-elle ajouté.
Louis Alliot, compagnon et l'un des vice-présidents du FN a dénoncé une entrave faite à un député européen.
Alors que le camp de Grande-Synthe compte quelque 1 200 migrants selon les associations qui gèrent le camp, Marine Le Pen a dénoncé la «folle politique d'immigration» des pouvoirs publics.
«Ces élus irresponsables, qui sont jusqu'à la tête de l'Etat, est-ce qu'on va continuer à les laisser faire ?», a-t-elle lancé à l'endroit de Damien Carême et la maire de Calais Les Républicains Natacha Bouchart, avant de prévenir que sans changement de politique, selon elle, les camps de migrants ne cesseront de se remplir.
Lire aussi : L’Unicef sonne l’alarme : 23 000 enfants de migrants pourraient mourir à cause du froid en Europe
https://francais.rt.com/france/32932-grande-synthe-marine-pen-denonce-immigration
(...) L’Unicef sonne l’alarme : 23 000 enfants de migrants pourraient mourir à cause du froid en Europe (...)
SupprimerPieds nus et venus parfois à genoux rampant sur des milliers de kilomètres dans la neige de leur plein gré, ils ont décidé de quitter volontairement leurs pays chauds pour connaître 'le pôle Nord' de leur rêve !
Les médias officiels américains deviennent fous après que le journaliste Ben Swann se soit penché sur l'affaire #PizzaGate - Examinez les preuves par vous-même
RépondreSupprimerBrently Kopopolous
Sott
ven., 20 jan. 2017 17:40 UTC
De nos jours, le média lui-même est devenu un sujet brûlant. Du temps où les enquêteurs des sites Internet Reddit et 4chan ont commencé à creuser dans les courriels fuités de Podesta, le directeur de campagne de Hillary Clinton, ils ont trouvé quelque chose d'un peu bizarre. Des références étranges aux pizzas, au ping-pong, et un petit endroit dans le nord-ouest du District de Columbia où se trouve Washington, appelé « Comet Ping Pong ». Les enquêteurs ont alors commencé à naviguer sur le profil Instagram de James Alefantis, le propriétaire du « Comet Ping Pong » et ont trouvé des images plutôt inquiétantes avec des commentaires qui semblaient suggérer une connexion à la pédophilie.
Peu de temps après, le Washington Post a publié une énorme histoire avec le titre : « L'effort de propagande russe a contribué à diffuser de "fausses nouvelles" lors des élections, d'après les experts » et alors, immédiatement, tout ce dont l'ordre établi ne voulait pas discuter est devenu des fausses nouvelles. Le timing est à noter : ce n'est qu'après que le PizzaGate ait gagné en popularité sur Internet, faisant un lien entre les hauts fonctionnaires démocrates et la pédophilie à cause de leurs propres mots et des images qu'ils ont utilisés, que les médias ont commencé à crier aux fausses nouvelles.
Par une ironie de l'histoire, les grands médias eux-mêmes sont devenus les plus grands fournisseurs de nouvelles factuellement inexactes (la Russie a piraté les élections, la Russie a piraté le réseau électrique du Vermont et la Russie a du matériel de chantage sur Trump parmi quelques exemples) et dans un renversement de situation, les gens à travers le monde ont commencé à utiliser ce terme pour des médias comme le New York Times, le Washington Post et CNN - alors qu'il s'agit du super canal de diffusion, entériné par des décennies d'histoire, qui les nouvelles aux Américains.
De toute évidence, ils n'ont pas vu cela venir. Le Washington Post a alors décidé qu'il était temps de « retirer » le terme « fausses nouvelles », parce que diable, si l'arme que vous avez inventée se retourne contre vous, vous devriez essayer de vous en débarrasser, et vite ! Mais cela ne semble pas non plus avoir fonctionné. Une fois que la boîte de Pandore est ouverte, il n'y a aucun moyen de revenir en arrière
Cela m'amène à la dernière analyse du Pizzagate. Le journaliste Ben Swann, connu pour ses émissions intitulées « Vérification de la Réalité » diffusées à la télé et sur Internet, a produit un reportage dans lequel il a examiné les preuves sur ce sujet et en a discuté aussi ouvertement qu'il le pouvait à la télévision. J'intègre la vidéo ici, sous-titrée en français, au cas où vous ne l'auriez pas encore vu :
- voir clip sur site -
Ben Swann présentant son reportage
La réaction des médias « libéraux » a été de devenir complètement fou. Nous allons commencer par le Washington Post, car leur réputation de propagande parrainée par la CIA est bien établie. L'article d'Erik Wemple, qui pose la bonne question « Pourquoi aucune enquête policière sur les allégations du Pizzagate ? » possède un titre apparemment inoffensif, mais quand nous entrons dans le vif du sujet, nous trouvons de jolies distorsions. Dans les trois premiers paragraphes, il compare le journaliste Ben Swann à Edgar Welch, un homme qui est allé lui même voir à la Comet Pizza s'il y avait des enfants enfermés dans le sous-sol. Il était armé, a été arrêté et a été ensuite utilisé par les médias pour démontrer « à quel point ces gens dénonçant le pizzagate sont fous ».
RépondreSupprimerPoursuivons, Erik Wemple examine l'analyse de Swann, et tente d'attaquer chaque bribe avec une vigueur telle que l'on pourrait croire qu'il y a eu une offense personnelle. L'article entier transpire le « Comment OSE-t-il !? » avec son utilisation trop fréquente des points d'exclamation et la suggestion qu'il y a une « transmission de sous-entendus ». Il reconnaît qu'il y a des liens entre les suspects du PizzaGate et Dennis Hastert - un pédophile condamné - mais il tourne rapidement la page en disant : « nous n'entrerons pas dans ces détails ici. » Bien sûr, si vous écrivez un article ad hominem tape-à-l'œil pour enterrer une histoire, vous ne voulez pas entrer dans les détails qui pourraient vous faire ressembler à un pédo-apologiste.
Vient ensuite le Daily Beast, et, oh mon dieu, ils y sont allés à fond : leur article de Ben Collins intitulé « Rencontrez Ben Swann, le républicain débunker du Pizzagate présentateur des informations de nuit d'Atlanta sur CBS » suintant l'indignation bien-pensante et la tentative de salir Swann en creusant dans son histoire. Le point principal de Collins est que Ben Swann avait travaillé pour la chaîne RT et que donc, il n'est pas de confiance ! Et surtout, il est ami avec les républicains (argh !).
Dans sa dernière apparition à la chaîne d'état « Russia Today en 2015, il a déclaré qu'« aucune preuve crédible ne semble exister » que la Russie ait abattu le vol Malaysia Airlines N°17, simplement que cela "colle avec la narration que l'administration américaine espérait." Sur sa propre chaîne YouTube, il a dit qu'il avait "des problèmes majeurs avec la théorie que" la fusillade d'Aurora dans une salle de cinéma et les coups de feu de l'école élémentaire Sandy Hook fussent conduits par des « individus seuls ».
- voir photo sur site -
Plus d'attaques ad hominem, cette fois c'est « UN THÉORICIEN DU COMPLOT »
En fait il n'importe pas que toutes les opinions de Ben Swann sur ces sujets soient assez raisonnables et fondées sur les preuves disponibles. (Dans la citation ci-dessus, j'ai ajouté des liens vers des sources fiables pour le lecteur intéressé).
Le reste de l'article du Daily Beast est composé de plusieurs paragraphes qui relient Ben Swann aux républicains, comme si l'association lui faisait du tort.
Un autre article tape-à-l'œil a été écrit par Bryan Menegus à Gizmodo, qui sort en balançant le titre "L'imbécile de CBS vient de raviver les flammes du Pizzagate sans raison valable". Bryan Menegus a opté pour l'approche russo-bashing, en affirmant que « la Russie s'est jouée de nous » et que « l'Amérique de Trump sera vouée à la malédiction » et à nouveau relie Ben Swann à Edgar Welch, insinuant que les reportages de Swann sont à blâmer pour les actions d'autres personnes.
L'article de Menegus est plein de sarcasmes où il répond à ses propres questions comme s'il était une autorité sur la question, tout en ignorant commodément les faits qui ont engendré l'histoire du pizzagate. Le seul fait qui soit effectivement discuté dans l'un de ces articles tape-à-l'œil est le fait que Besta Pizza, une autre pizzeria proche de la Comet Ping Pong, avait utilisé un symbole connu pour signifier « amour de garçon » dans le logo officiel de l'entreprise. Bien sûr, dans l'article cela est rejeté comme une pure coïncidence, mais regardez les symboles :
RépondreSupprimer- voir photo sur site -
Besta Pizza à changé son logo récemment.
Est-ce que vous devinez pourquoi ?
Non seulement le symbole était-il presque identique, mais l'agent légal enregistré pour Besta Pizza, Andrew Kline, était un procureur spécial impliqué dans les enquêtes et la formation d'autres personnes sur la façon d'enquêter sur la traite des êtres humains. Avec de tels pouvoirs, c'est une coïncidence assez grande .
Conseiller spécial en matière de litige, Andrew Kline, membre nommé par M. Clinton avec une maîtrise en droit de la « Havard's Kennedy School of Government » était l'un des quatre avocats de l'Unité des poursuites pour la traite des êtres humains du ministère de la Justice. Il est revenu au personnage à cheveux bouclés, et à lunettes, Kline, (maintenant conseiller principal au bureau exécutif du président Obama), et à un autre de ses collègues, de fournir aux avocats des États-Unis une formation sur la poursuite des affaires de traite.
Soyons francs, un réseau de trafic humain « de haut niveau » spécialisé dans les esclaves sexuels enfants, placerait ses membres en position d'autorité afin d'arrêter ou de contrôler toute enquête. Évidemment, ils ne géreraient pas un réseau de prostitution dans un lieu public comme la Comète Ping Pong. En supposant que ces gens aient de bons contacts (et ils semblent les avoir), ils auraient des gens également dans les médias pour s'occuper du contrôle des dommages. Flute, avec tous ces « retardés de libéraux » piaffant d'impatience pour intervenir et régurgiter la ligne du parti, il ne devrait même pas y avoir beaucoup de travail à faire. Mais je divague.
Alors, que diriez-vous que nous jetions un coup d'œil par nous même à certaines de ces preuves du pizzagate ? Je suis un grand fan de laisser le lecteur décider par lui-même contrairement à des gens comme Bryan Menegus, Ben Collins, et Erik Wemple qui préfèrent dire à tout le monde ce qu'il faut penser.
Pour commencer, le rédacteur en chef de Sott, Harrison Koehli, a jeté un coup d'œil au PizzaGate quand l'histoire a éclaté et a conclu - tout comme Benn Swann - que nous n'avons pas l'arme du crime. Son article « Valeurs libérales progressives : le goût effrayant de Tony Podesta - qui est le frère du directeur de campagne de Hillary Clinton - dans l'art, les gens effrayants qu'il traîne avec, et le Pizzagate » contient beaucoup de photos intéressantes qui montrent clairement que les Podestas ont un goût un peu épouvantable dans le domaine de l'art, pour ne pas dire plus. On semble être dans un hommage à Jeffrey Dahmer (probablement involontaire de la part de l'artiste, Louise Bourgeois).
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A gauche, Tony Podesta avec son 'art' / A droite - Photo d'une des victimes de Jeffrey Dahmer
Alors que la pose n'est pas exactement la même, on ne peut toutefois pas s'empêcher de remarquer la similitude. En outre, le regard d'une joie relative sur le visage de Tony Podesta alors qu'il pose avec cette œuvre en dit long, à moi tout du moins. Il possède également des images du peintre serbe Biljana Djurdjevic, qui semble s'intéresser à peindre des enfants légèrement vêtues avec des visages qui suggèrent qu'ils ont souffert d'horreurs et d'abus.
RépondreSupprimerVoici un exemple, j'hésite à poster plus :
Ensuite, regardez les images Instagram d'Alefantis dont tout le monde à fait un tel raffut. Depuis que l'histoire a éclaté, Alefantis a rendu son Instagram privé, mais pas avant que beaucoup d'images aient pu été enregistrées par les internautes et archivées sur tout le web. Je vais en présenter quelques-unes ici.
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L'image ci-dessus montre à quel point « l'enquête » sur le PizzaGate est troublante. Le T-shirt de l'homme dit « J'aime L'Enfant », ce qui est presque trop beau pour être vrai pour quiconque voit des pédophiles autour de chaque coin de rue. Mais ils ignorent le fait que L'Enfant est le nom du Café où la photo ci-dessus a été prise. Là où certains voient une publicité de base, d'autres voient des insinuations irréfutables, comme ceux qui soulignent, haletant, que la prononciation avec l'accent américain de « J'aime l'enfant » se rapproche de la prononciation du nom « James Alefantis » ignorant le fait que c'est son véritable nom.
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Les images ci-dessus semblent inoffensives, mais d'autres y voient une atmosphère étrange comme Ben Swann l'exprime dans son reportage. Regardez ce dernier et lisez les commentaires.
Une chose que Ben Swann n'a pas évoquée était le fait que l'avatar d'instagram d'Alefantis est une référence à la pédérastie. Interprète cela comme vous voulez.
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A halloween 'performance' at Comet
Quand on considère certains des groupes d'artistes qui se produisent régulièrement à la Comet pizza et la sexualité débridée qu'ils utilisent dans leur musique et qu'ils s'expriment en ligne sur leurs réseaux sociaux, cela soulève la question de savoir si ces personnes devraient ou non partager le lieu avec des enfants.
Dans son rapport, Ben Swann a également mentionné 'Heavy Breathing' et 'Sex Stains' comme deux groupes qui jouent à la Comet pizza.
Dans ce clip de la bande 'Heavy Breathing', nous voyons beaucoup d'images bizarres et de la bêtise en général, mais le mot pédophile apparaît pendant l'interaction de deux personnages, où l'on demande à l'autre s'il s'agit d'un pédophile. OK, ce n'est pas grave, non ?
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Un autre détective du net a trouvé cette vidéo où 'Heavy Breathing' est en train de jouer (que ce soit à la Comet pizza ou ailleurs n'est pas déterminé). Mais ici, l'interprète Majestic Ape, blague sur la pédophilie après que quelqu'un au hasard dans le public intervient sur le fait que Jared Fogle aime les petits garçons. « Nous avons tous nos préférences », déclare-t-elle.
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RépondreSupprimerLe narrateur mentionne alors que les pédophiles ont parfois défendu leur comportement comme s'il s'agissait d'une préférence sexuelle légitime. En fait, il existe des organisations partout dans le monde qui font exactement cela.
L'autre groupe mentionné par Ben Swann était 'Sex Stains', et voici la vidéo qu'il a référencée dans son reportage :
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Certes, j'ai eu du mal à la regarder dans son intégralité, mais encore une fois, nous voyons le symbole de la spirale, du triangle et des adultes habillés et qui se comportent comme des enfants. Le groupe a mis en place une clause de non-responsabilité sur la vidéo qui indique en partie :
Il n'y avait absolument aucune CONSPIRATION à utiliser délibérément des symboles offensifs ou à se payer de la la tête des gens. Il y avait un intérêt ZERO dans tout ce qui concerne les enfants. Personne dans la bande n'avait aucune connaissance du symbolisme horrible du triangle / spirale. Nous sommes choqués et dégoûtés par la théorie que nous soyons en quelque sorte reliés aux réseaux de pédophiles ou aux cultes sataniques, et aussi par les commentaires haineux et les accusations que nous avons reçus. NOUS NE SOMMES PAS des pédophiles et ne le soutenons pas ou ne les promouvons pas. POINT. Encore une fois, nous ne sommes qu'un groupe punk rock.
Joshua Ryan Vogelsong était un DJ et un barman à la Comet Pizza, et son compte Instagram est plein d'images sexuellement explicites basées sur des pizzas. Encore une fois, il travaille dans un endroit qui est considéré comme familial et pourtant il utilise cette association pour promouvoir des images extrêmement basiques et graphiques.
Je ne prétends pas que toutes ces personnes sont des pédophiles, et je ne prétends pas non plus que la Comet Pizza est une halte pédophile. Ce que je veux faire, c'est démontrer que les gens ont le droit de poser des questions, surtout quand il s'agit de la sécurité des enfants. Nous avons le droit d'être informés. Il y a beaucoup de fumée ici, et généralement là où il y a de la fumée, il y a du feu. C'est pourquoi j'applaudis Ben Swann pour avoir soulevé la question et posé ces questions. A ce stade, je pense que nous pouvons appeler à ignorer les sycophantes dans les médias néolibéraux. Leur seul travail est d'agir comme un portier pour les « intérêts spéciaux » et malheur à tous ceux qui osent contester leur monopole sur la vérité.
Cela semble être le gros problème ici. Les médias de l'establishment refusent absolument de nous laisser penser par nous-mêmes. Ils insistent pour contrôler le récit sur pratiquement tout et sont probablement payés par la CIA pour le faire. Zut alors, dès 1975, les représentants de l'agence ont admis lors d'une audience publique par le Comité de renseignement de la Chambre, que l'agence utilise activement la désinformation contre le public.
Il y a un peu plus d'un mois, Obama a signé la Loi pour « lutter contre la désinformation et la propagande » qui permet aux contribuables de dépenser de l'argent pour générer plus de propagande néolibérale afin de combattre les gens qui cherchent la vérité par l'intermédiaire de médias alternatifs. C'est l'argent des États-Unis dépensé pour générer de la propagande parce que l'Etat Profond psychopathique actuellement eà l'oeuvre dans le pays derrière le rideau, a peur des points de diffusion indépendants qui analyse les événements comme le PizzaGate et exposent à quel point ces gens sont malades et tordus.
Les gens connaissent et apprécient le travail de Ben Swann. Si vous allez sur sa vidéo YouTube et parcourez les commentaires, il semble que les gens s'expriment et exigent une enquête plus approfondie.
RépondreSupprimer-- Commentaire : Pour plus d'information sur la pédophilie parmi les élites consultez :
Corey Feldman : « La pédophilie, problème n°1 à Hollywood »
Psychopathie en action : une conférence pour débattre des moyens de légaliser la pédophilie
Pédophilie : une ex-pop star arrêtée dans le scandale Savile
Epidémie de pédophilie dans le gouvernement des Etats-Unis
Pédophilie des élites - Affaire Emmanuel Verdin - Dépôt de plainte contre François Hollande et Pierre Moscovici pour non-dénonciation de crime
Jean Pierre Mocky sur la pédophilie institutionnalisée --
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Brently Kopopolous (Profile)
Brently est chercheur en science, écrivain et un lecteur avide. Il vit à New York et a passé la dernière décennie à percer les mystères de l'histoire secrète, de la biologie moléculaire, de l'alimentation et de la nutrition ainsi qu'à sonder les profondeurs de la psychopathie et son impact sur la société. Il aime le bacon, le chocolat, batifoler dans la nature et se promener avec des chiens.
https://fr.sott.net/article/29905-Les-medias-officiels-americains-deviennent-fous-apres-que-le-journaliste-Ben-Swann-se-soit-penche-sur-l-affaire-PizzaGate-Examinez-les-preuves-par-vous-meme
Base US de Diego Garcia: la sombre histoire dont les médias ne parlent pas
RépondreSupprimerINTERNATIONAL
23:20 24.01.2017
Existant depuis 1986, la base militaire de Diego Garcia dans l'océan Indien a fait l'objet du livre «L'île de la honte» et a été soupçonnée d'implication dans le crash du vol MH370. Sa mise en place a été éprouvantable, notamment à cause du peuple local, les Chagossiens. Et malgré cela, elle ne semble pas intéresser les médias.
L'installation de la base militaire de Diego Garcia sur l'île homonyme a été précédée par un schéma complexe: le peuple local, les Chagossiens, en a été expulsé, donnant ainsi sa terre natale en location aux Américains. Le bail expirant en 2016, les Chagos espéraient regagner leur île natale mais l'accord anglo-américain a été prorogé pour 20 ans, soit jusqu'au 30 décembre 2036.
Qui sont les Chagossiens ?
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Base militaire américaine en Syrie: «Un pas vers la guerre»
Les Chagossiens ou Chagos, groupe ethnique créole originaire de l'archipel des Chagos dans l'océan Indien, ont vécu en paix sur l'île de Diego Garcia, un bout de terre de 30 kilomètres carrés, pendant quelque deux siècles. Leur vie paisible a pris fin lorsque dans les années 1960 ils en ont été expulsés par le gouvernement britannique pour que les États-Unis puissent y mettre en place une base militaire. Les Chagos ont été obligés de s'installer, temporairement comme ils le croyaient, sur l'île Maurice et aux Seychelles.
Du coup, « réclamé comme les autres îles Chagos par Maurice depuis le 7 juillet 1980, l'atoll de Diego Garcia risque de rester pendant longtemps encore un "super porte-avions britannique" ancré au cœur de l'océan Indien et puissamment armé par les Américains pour le compte de l'Occident », estime André Oraison, professeur, juriste et politologue, membre du Comité solidarité Chagos La Réunion.
Selon lui, la décision n'est pourtant pas une surprise. Les experts ont toujours été convaincus que le traité anglo-américain, signé à Londres le 30 décembre 1966, serait automatiquement prolongé pour 20 ans. À l'époque, le bail était censé assurer la protection des « autoroutes des hydrocarbures et des matières premières stratégiques » traversant l'océan Afro-asiatique pour une période de 50 ans.
Mais M. Oraison est presque le seul à aborder le dossier. Sujet croustillant, pourtant la base de Diego Garcia n'intéresse pas le monde médiatique. La grogne des Chagossiens ne fait pas non plus couler beaucoup d'encre.
L'avis des Chagossiens
Une cinquantaine d'année après la signature du traité, le gouvernement britannique a annoncé être contre le retour des Chagossiens sur leur île natale. Sans rester les bras croisés face à la grogne croissante, le Royaume-Uni a tenté de l'apaiser par une somme de 40 millions de livres sterling (46 M EUR), déboursée pour les Chagos sur une période de dix ans afin d'améliorer leur vie en exil.
Pourtant, l'offre a été catégoriquement déclinée.
« Les 40 millions de livres sterling proposés par les Britanniques est une atteinte aux droits fondamentaux des Chagossiens », a fustigé le leader du Groupe Réfugiés Chagos Olivier Bancoult.
Une base militaire sous-marine découverte en Grèce
RépondreSupprimerParmi les principales raisons du renouvèlement du bail, on trouve la sécurité, la défense et un coût élevé du repeuplement des Chagossiens et de leurs descendants, sur l'île de Diego Garcia, apprend-t-on de l'Express Maurice. Ainsi, un total de 10 000 Chagos déracinés vit actuellement à Maurice, aux Seychelles et au Royaume-Uni.
D'après M. Oraison, c'est pour « pour la défense de leurs intérêts » que les États-Unis et le Royaume-Uni ont jugé nécessaire de laisser la base militaire opérationnelle dans l'océan Indien surtout face à l'ambiance tendue dans la région proche-orientale.
Entre-temps, les journalistes français de la chaîne France 2 ont soupçonné que l'avion disparu de la compagnie Malaysia Airlines effectuant le vol MH370 puisse être tombé près de la base de Diego Garcia, qui serait ainsi impliquée dans la catastrophe. Or, les recherches ont pris fin et il y a peu à espérer que cette théorie soit réfutée ou confirmée.
Qu'est-ce que les États-Unis ont fait sur l'île depuis 1966 ?
Depuis la signature du traité, les États-Unis ont investi plus de trois milliards de dollars dans la création, la modernisation, l'entretien et l'utilisation de la base de Diego Garcia.
Vol MH370: les recherchent ont pris fin, mais le mystère reste entier
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Cette base est l'une des installations américaines les plus importantes du point de vue stratégique pour les États-Unis. Située au cœur de l'océan Indien et atteignable uniquement par transports militaires, cette base peu connue a été engagée dans des opérations militaires depuis l'époque de la guerre froide jusque celle de la lutte antiterroriste d'aujourd'hui.
Le plus curieux, c'est les missions dont la base est chargée: comme l'indique le professeur américain agrégé d'anthropologie David Vine dans son livre « L'île de la honte », l'île pourrait abriter une prison top-secrète de la CIA où les suspects de terrorisme seraient placés, interrogés et torturés.
« Crime contre l'humanité »
Quoi que soit la mission, les États-Unis et le Royaume-Uni persistent dans leur envie de laisser la base en activité. Le référendum sur le Brexit semble d'ailleurs avoir joué son rôle en la matière: si initialement le Royaume-Uni n'avait pas exclu la possibilité du retour du peuple Chagossien sur son île natale, après le changement de gouvernement suite au vote, tout projet a été rejeté. Du coup, la décision de proroger le bail a été prise, malgré qu'elle ait été qualifiée de « violation des droits humains fondamentaux ». La grogne des Chagossiens a évolué en une manifestation, avec Olivier Bancoult à sa tête, mais n'a pas entraîné la révision du sujet.
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La base militaire US restera dans la préfecture japonaise d’Okinawa
Sept prix Nobel ont de plus appelé Barack Obama à rendre justice aux Chagossiens avant son départ le 20 janvier.
En outre, le droit à la réinstallation des Chagossiens sur les îles Chagos a été reconnu par la Haute Cour de justice de Londres le 3 novembre 2000, rappelle M. Oraison. Le droit a été d'ailleurs confirmé par cette même juridiction dans un jugement du 11 mai 2006 et par la Cour d'Appel de Londres le 23 mai 2007.
Selon l'article 7(d) du statut de Rome de la Cour pénale internationale (CPI), la « déportation ou transfert forcé de population » est un crime contre l'humanité dans le cas où « elle est commise dans le cadre d'une attaque systématique contre une population civile, en connaissance de l'attaque ». Cependant, la force juridique de la CPI n'est pas rétroactive et les « crimes » commis avant la date du 1er juillet 2002 ne peuvent pas être jugés aux termes de cet article.
RépondreSupprimerCe crime contre l'humanité fait l'objet du film « Une nation volée » où le journaliste australien John Pilger a donné la parole aux Chagos. En colère, M. Pilger appelle à mettre un terme à de telles actions de gouvernements à l'endroit des peuples de petits pays.
Du coup, le refus britannique de reconnaître le soi-disant droit au retour des Chagossiens est inacceptable, ce notamment au regard des Nations unies. Concrètement, l'article 9 de la Déclaration universelle des droits de l'Homme adoptée en 1948 dispose que « nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ou exilé ».
« Nous devons rester plus que jamais mobilisés et à l'écoute des doléances de la communauté chagossienne, une communauté qui a été et reste, sans conteste, l'une des premières victimes collatérales de la querelle idéologique et politique est-ouest et plus précisément encore la victime des desseins méphistophéliques des autorités gouvernementales américaines et britanniques au cœur du bassin central de l'océan Indien », résume M. Oraison.
https://fr.sputniknews.com/international/201701241029763643-base-usa-diego-garcia-peuple-chagossien/
Trump signe des ordres exécutifs limitant l'immigration, commande le mur de frontière mexicain
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Jan 24, 2017 7:58 PM
Après avoir pris sur le pipeline Keystone et le secteur manufacturier en difficulté de l'Amérique dans une foule d'actions exécutives mardi, il ya quelques instants rapporté Reuters, citant plusieurs aides du Congrès et les experts en immigration informés sur la question, que mercredi Donald Trump signera plusieurs ordonnances restreignant l'immigration. Le président devrait signer les ordres au siège de Washington du département de la Sécurité intérieure, dont les responsabilités incluent l'immigration et la sécurité aux frontières.
Les ordres de Trump impliqueraient de restreindre l'accès aux États-Unis pour les réfugiés et certains détenteurs de visa de sept nations majoritairement musulmanes, dont l'Irak, l'Iran, la Libye, la Somalie, le Soudan, la Syrie et le Yémen.
Les restrictions imposées par Trump aux réfugiés sont susceptibles d'inclure une interdiction de plusieurs mois sur les admissions de tous les pays jusqu'à ce que le Département d'Etat et le Département de la Sécurité intérieure puissent accroître l'intensité du processus de sélection.
En outre, comme AP a signalé pour la première fois et le NYT confirmé, parmi les ordres exécutifs sera annonce de Trump pour les plans pour construire un mur le long de la frontière des États-Unis, quelque chose Trump lui-même insinué dans un tweet soir.
... une annonce qui a fait courir le peso mexicain en fin de séance.
Au cours de sa campagne présidentielle, Trump initialement proposé une interdiction temporaire sur les musulmans entrant aux États-Unis pour protéger les Américains contre les attaques djihadistes. De nombreux partisans de Trump ont condamné la décision du président démocrate Barack Obama d'augmenter le nombre de réfugiés syriens admis aux États-Unis par crainte que ceux qui fuient la guerre civile du pays ne mèneraient des attaques. Cependant, depuis lors, Trump et son prête-nom pour le procureur général, Jeff Sessions, ont dit qu'ils allaient concentrer les restrictions sur les pays dont les émigrés pourraient constituer une menace plutôt que de placer une interdiction sur les personnes qui suivent une religion spécifique.
Comme l'indique Reuters, pour empêcher l'entrée des pays désignés, Trump devrait probablement demander au Département d'Etat des États-Unis d'arrêter de délivrer des visas à des personnes de ces pays, selon des sources familières avec le processus de visa. Il pourrait également demander aux autorités douanières des États-Unis et à la protection des frontières d'empêcher les titulaires de visa actuels de ces pays d'entrer aux États-Unis. Le porte-parole de la Maison-Blanche, Sean Spicer, a déclaré mardi que les départements de l'État et de la Sécurité intérieure travailleraient sur le processus de vérification une fois que le candidat de Trump à la tête du département d'Etat, Rex Tillerson, serait installé.
D'autres mesures pourraient inclure la direction de tous les organismes pour terminer le travail sur un système d'identification biométrique pour les non-citoyens entrant et sortant des États-Unis et une répression sur les immigrants frauduleusement recevoir des avantages du gouvernement, selon les aides du Congrès et les experts en immigration.
RépondreSupprimerDonc, pour récapituler: en plus de restreindre l'immigration de sept pays, le ministre mexicain de l'Economie, Ildefonso Guajardo, rencontrera les responsables américains à Washington mercredi et jeudi pour discuter de l'avenir du Nafta, comme on l'a signalé plus tôt, Annoncer ses plans pour commencer à construire un mur, que le Mexique a dit est une «ligne rouge» à tout accord potentiel.
La valeur de divertissement de Trump's Day 3 peut être le plus élevé encore.
http://www.zerohedge.com/news/2017-01-24/trump-sign-executive-order-restricting-immigration-seven-nations
Trump: «Nous allons construire le mur !»
RépondreSupprimerINTERNATIONAL
08:25 25.01.2017
Ce mercredi s’annonce chargé pour le chef de la Maison Blanche Donald Trump, qui devrait se prononcer sur d’importantes questions de sécurité nationale, comme la construction du mur le long de la frontière avec le Mexique et l’immigration.
La volonté de Trump d'améliorer les relations avec Moscou conforme aux intérêts des USA
Le président américain Donald Trump a promis de prendre aujourd'hui des décisions importantes dans le domaine de la sécurité nationale, notamment concernant sa proposition de longue date visant à construire un mur le long de la frontière terrestre avec le Mexique.
« Journée chargée sur la sécurité nationale prévue demain. Parmi beaucoup d'autres choses, nous allons construire le mur! », a annoncé M. Trump via son Twitter.
La Maison Blanche a confirmé mardi soir que Donald Trump se rendrait au département de la Sécurité intérieure des États-Unis. Il pourrait y signer des décrets sur l'immigration.
Plus tôt, l'agence Reuters a fait savoir que le numéro un américain avait l'intention de signer des décrets mettant fin à l'accueil de réfugiés aux États-Unis ainsi interdisant d'entrée sur le territoire américain les ressortissants de certains pays.
Suspendue de la chaîne NBC pour s'être moquée du fils de Trump
Selon des sources au sein du Congrès qui ont souhaité garder l'anonymat, les décrets devraient interdire l'entrée aux États-Unis des réfugiés et des personnes en possession de visas en provenance de pays comme l'Irak, l'Iran, la Libye, la Somalie, le Soudan, la Syrie et le Yémen.
La question des règles d'entrée des étrangers aux États-Unis est une préoccupation de longue date du nouveau président.
https://fr.sputniknews.com/international/201701251029764661-trump-decrets-migration-mur/
Voici la liste des projets d'infrastructure «prioritaires» de Donald Trump
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Jan 24, 2017 7:56 PM
Après le rapport du NYT, les démocrates soutiendraient Trump s'ils approuvaient leur liste d'environ 1 billion de dollars en projets d'infrastructure, ce qui créerait jusqu'à 15 millions d'emplois, le Kansas City Star et The News Tribune Ont élaboré une présentation - basée sur des documents internes de la Maison-Blanche - d'une cinquantaine de projets d'infrastructures à l'échelle nationale qui constituent la «liste prioritaire» des projets d'infrastructure américains dans les années à venir.
Comme le rapporte McClatchy, les documents diffusés au sein des milieux d'affaires et du Congrès donnent un premier aperçu des projets qui pourraient être financés si Trump poursuit sa promesse électorale de renouveler les routes, les aéroports, les barrages et les ponts.
Parmi les projets potentiels se trouvent un nouveau terminal pour l'aéroport de Kansas City, des améliorations à l'Interstate 95 en Caroline du Nord et la construction d'un train à grande vitesse de Dallas à Houston. Le document obtenu par l'Étoile propose de financer les projets en partenariats public-privé, dont la moitié provient d'investissements privés.
La liste prioritaire des «Projets d'urgence et de sécurité nationale» a été établie par l'équipe Trump, a déclaré un assistant principal du Congrès à Kansas City Star. Elle inclut des estimations de coûts et des chiffres d'impact sur l'emploi. Un projet ou une version finale.
En décembre, l'Association nationale des gouverneurs a diffusé une liste semblable à celle des fonctionnaires de l'État en demandant d'autres suggestions. Tous les projets, sauf deux, sont identiques sur les deux listes. Certains projets suggérés par les gouverneurs - en Californie et dans l'État de Washington en particulier - ne figurent pas encore sur l'une ou l'autre liste. L'association des gouverneurs a reçu 43 réponses d'États et de territoires à ce jour, a déclaré Elena Waskey, une porte-parole de l'association.
«Le nombre total de projets est de plus de 300», a déclaré Waskey. «Nous travaillons à rassembler l'information pour le plus grand nombre d'États possible que nous allons ensuite transmettre à l'administration.» La Maison Blanche n'a pas répondu à une demande de commentaires.
Parmi les projets énumérés est une proposition de 10 milliards de dollars pour remplacer le système de contrôle de la circulation aérienne basé sur le radar de la nation avec un appelé NextGen, basé sur des satellites. Le document prévoit que le projet pourrait créer 2 300 emplois directs.
Pour ceux qui sont préoccupés par le parti pris partisan parmi les projets proposés, voici quelques statistiques: dans certains États, comme le Missouri, plus d'un projet est répertorié, alors que d'autres États semblent avoir vécu vide. Aucun des deux documents ne fait état de projets au Kansas, par exemple. L'Association des gouverneurs nationaux a demandé aux bureaux des gouverneurs le mois dernier de participer à une liste préliminaire des projets d'infrastructure compilés par l'équipe Trump, a déclaré Jaime Smith, porte-parole du gouverneur démocrate de Washington Jay Inslee.
«Ils cherchent des exemples de projets d'infrastructure prioritaires qui pourraient être intégrés dans un futur programme d'investissement dans les infrastructures», a déclaré la lettre de l'association des gouverneurs datée du 16 décembre. «Plus précisément, l'équipe de transition recherche 3 à 5 suggestions de projets de chacun Déclarent qu'ils seraient vétérinaire pour inclusion dans un nouveau programme. "La lettre dit que le contrôle serait effectué par une commission d'infrastructure bipartisane superviser les investissements.
RépondreSupprimer"Les dépenses initiales pour ces projets pour 2017 devraient être de 150 milliards de dollars, et l'équipe de transition espère que ce type de projet sera poursuivi au cours des deux prochaines années", selon la lettre. La lettre mentionnait également que toute contribution faite par les gouverneurs ne serait pas contraignante et qu'il s'agissait «d'une simple demande initiale de collecte d'informations».
Une fois que l'administration Trump a officiellement pris ses fonctions, la lettre dit, "il y aura un processus plus formel pour les États à soumettre des informations. Les projets seront choisis dans le cadre d'un processus plus formel. »Les projets doivent répondre à des critères spécifiques:
Une «urgence» de sécurité nationale ou de sécurité publique.
"Prêt à la pelle", avec au moins 30 pour cent de la conception initiale et le travail d'ingénierie terminée.
Créateur d'emplois directs.
Projet avec un potentiel d'augmentation de la fabrication des États-Unis.
La lettre de l'association des gouverneurs comprenait une liste de projets déjà examinés, avec la demande que les gouverneurs l'utilisent comme modèle pour les soumissions.
La liste récapitulative des 50 projets proposés est la suivante:
- voir longue liste sur site -
Le bureau du gouverneur de la Californie, Jerry Brown, a envoyé neuf exemples de grands projets prêts à pelleter en Californie, dont le projet de protection de la rivière de la rivière Sacramento et les projets de banlieue et de fret de la région de la baie. Cette liste préliminaire semble être similaire au document obtenu par McClatchy's Star, avec deux différences: La liste préliminaire comprend le Pipeline de l'Alaska et le projet de GNL au lieu du Texas Central Railway et il liste le Fort Mojave Solar Project au lieu du Tunnel Howard Street.
La liste préliminaire et le document plus détaillé obtenu par l'étoile incluent un nouveau terminal pour l'aéroport international de Kansas City. Le document détaillé indique que le projet coûterait 972 millions de dollars et générerait 1 000 emplois. L'aéroport de Kansas City est l'un des trois projets d'aéroport sur le document de l'équipe Trump. Les autres sont des agrandissements du Lambert-St. Louis et de l'aéroport international Seattle-Tacoma.
«Les affaires d'un nouveau terminal ont été renforcées après que Southwest et les autres compagnies aériennes aient déclaré au conseil municipal le 26 avril qu'elles allaient financer le nouveau terminal de près d'un milliard de dollars qui sera construit là où se trouve le terminal A», , Qui soulève word-for-word un passage dans un article du 24 juin dans The Star. En Caroline du Nord, le projet I-95 apportera des améliorations urgentes à l'une des plus anciennes sections de l'interstate la plus achalandée de la nation, selon le document. Le coût est coté à 1,5 milliard de dollars, et le projet produirait environ 5 400 emplois, indique le document.
RépondreSupprimerLe train à grande vitesse de 250 milles au Texas permettrait aux navetteurs de voyager entre Houston et Dallas / Fort Worth en moins de 90 minutes, selon le document. C'est une proposition de 12 milliards de dollars qui créerait 40 000 emplois directs, indique le document.
D'autres propositions comprennent la reconstruction I-395 en Floride et un projet de Conservation de l'eau, de récupération et de stockage de la vallée de Cadix, conçu pour conserver des milliards de gallons d'eau souterraine renouvelable dans le désert de Mojave en Californie.
La présentation complète de 50 projets proposés se trouve ci-dessous (lien):
http://www.zerohedge.com/news/2017-01-24/here-list-donald-trumps-priority-infrastructure-projects
Microsoft part en guerre contre la surveillance gouvernementale omniprésente
RépondreSupprimerINTERNATIONAL
21:35 24.01.2017
La Cour fédérale de Seattle devient une arène de litiges juridiques spectaculaires entre la société Microsoft et le département américain de la Justice. Le géant technologique défend sa possibilité d’avertir ses utilisateurs dans le cas où une agence gouvernementale demanderait leurs informations personnelles.
La société Microsoft est résolue à continuer ses efforts de lutte contre la surveillance gouvernementale omniprésente. Les débats ont été lancés à la Cour fédérale de Seattle, dans l'État de Washington, pour décider si le gouvernement devra interdire au géant technologique d'avertir ses utilisateurs quand une agence gouvernementale lui demandera leurs informations personnelles.
« Microsoft a signalé qu'elle avait reçu plus de 5 000 demandes fédérales concernant des informations d'utilisateurs, entre septembre 2014 et mars 2016. Près de la moitié de ces demandes ont été accompagnées d'indications obligeant Microsoft à ne pas avertir les utilisateurs concernant le fait que le gouvernement ait demandé leurs données. La majorité de ces indications n'avait pas de limites de temps », a indiqué l'Union américaine pour les libertés civiles (ACLU) dans une déclaration.
Selon Microsoft, les demandes gouvernementales concernant les informations des utilisateurs, demandes accompagnées d'indications sans délais précis, violent le premier et le quatrième amendements de la Constitution américaine.
Microsoft présente ses excuses pour ses «zombies racistes»
Le géant informatique signale que les individus et les entreprises peuvent stocker leurs documents sur des serveurs de tiers, tels que des services de cloud (nuage), pour y avoir accès depuis tous les appareils.
Selon Microsoft, le transfert de données dans le « nuage » n'annule pas l'obligation constitutionnelle fondamentale obligeant le gouvernement, à quelques exceptions, à notifier quand il cherche ou saisit des informations de personnes physiques ou morales.
Selon Ars Technica, le département américain de la Justice estime, pour sa part, que Microsoft ne subit aucun dommage en n'informant pas ses utilisateurs que le gouvernement a demandé leurs données personnelles.
https://fr.sputniknews.com/international/201701241029762606-microsoft-litiges-departement-americain-justice/