26 janvier 2017
Près d'un siècle après sa théorisation, les scientifiques de Harvard ont réussi à créer le matériau le plus rare - et potentiellement l'un des plus précieux - sur la planète.
Le matériau - l'hydrogène métallique atomique - a été créé par Thomas D. Cabot Professeur des Sciences Naturelles Isaac Silvera et Ranga Dias post-doctoral. En plus d'aider les scientifiques à répondre aux questions fondamentales sur la nature de la matière, le matériau est théorisé pour avoir une large gamme d'applications, y compris comme un supraconducteur à température ambiante. La création du matériel rare est décrite dans un article du 26 janvier publié dans Science.
"C'est le Saint-Graal de la physique à haute pression", a déclaré Silvera. «C'est le tout premier échantillon d'hydrogène métallique sur Terre, alors quand vous le regardez, vous regardez quelque chose qui n'a jamais existé auparavant.
Pour le créer, Silvera et Dias ont pressé un petit échantillon d'hydrogène à 495 gigapascal, soit plus de 71,7 millions de livres par pouce carré - plus grand que la pression au centre de la Terre. A ces pressions extrêmes, a expliqué Silvera, l'hydrogène moléculaire solide - qui se compose de molécules sur les sites du réseau du solide - se décompose, et les molécules étroitement liées se dissocient pour se transformer en hydrogène atomique, qui est un métal.
Bien que le travail offre une nouvelle fenêtre importante dans la compréhension des propriétés générales de l'hydrogène, il offre également des allusions alléchantes à potentiellement révolutionnaires de nouveaux matériaux.
"Une prédiction qui est très importante est l'hydrogène métallique est prédit être méta-stable", a déclaré Silvera. "Cela signifie que si vous retirez la pression, il restera métallique, similaire à la façon dont les diamants se forment à partir de graphite sous une chaleur et une pression intense, mais reste un diamant lorsque cette pression et la chaleur est éliminée.
Comprendre si le matériau est stable est important, a dit Silvera, parce que les prédictions suggèrent que l'hydrogène métallique pourrait agir comme un supraconducteur à température ambiante.
"Ce serait révolutionnaire", a t-il dit. "Jusqu'à 15 % de l'énergie est perdue à la dissipation pendant la transmission, donc si vous pouviez faire des fils à partir de ce matériel et les utiliser dans le réseau électrique, il pourrait changer cette histoire."
Parmi les sains grails de la physique, un supraconducteur à température ambiante pourrait, selon M. Dias, changer radicalement notre système de transport, rendre possible la lévitation magnétique de trains à grande vitesse et rendre les voitures électriques plus efficaces et améliorer les performances de nombreux appareils électroniques.
Le matériau pourrait également apporter des améliorations majeures dans la production d'énergie et de stockage - parce que les supraconducteurs ont une énergie de résistance nulle pourrait être stocké en maintenant les courants dans les bobines supraconductrices, puis être utilisé lorsque nécessaire.
L'hydrogène métallique, une fois la théorie, devient réalité
Bien qu'il ait le potentiel de transformer la vie sur Terre, l'hydrogène métallique pourrait également jouer un rôle clé en aidant les humains à explorer les lointains de l'espace, comme le propulseur de fusée le plus puissant encore découvert.
«Il faut énormément d'énergie pour fabriquer de l'hydrogène métallique», a expliqué Silvera. «Et si vous le convertissez en hydrogène moléculaire, toute cette énergie est libérée, ce qui en ferait le propulseur de fusée le plus puissant connu de l'homme, et pourrait révolutionner la fusée".
Les carburants les plus puissants utilisés aujourd'hui sont caractérisés par une «impulsion spécifique» - une mesure, en secondes, de la vitesse à laquelle un propulseur est tiré du dos d'une fusée - de 450 secondes. L'impulsion spécifique pour l'hydrogène métallique, par comparaison, est théorisée à 1700 secondes.
"Cela vous permettrait facilement d'explorer les planètes extérieures", a déclaré Silvera. "Nous serions en mesure de mettre des roquettes en orbite avec une seule étape, contre deux, et pourrait envoyer des charges plus importantes, ce qui pourrait être très important."
Pour créer le nouveau matériau, Silvera et Dias se sont tournés vers l'un des matériaux les plus durs sur la Terre - le diamant.
Mais plutôt que le diamant naturel, Silvera et Dias ont utilisé deux petits morceaux de diamant synthétique soigneusement polis qui ont ensuite été traités pour les rendre encore plus durs, puis montés l'un en face de l'autre dans un dispositif connu comme une cellule d'enclume de diamant.
"Les diamants sont polis avec de la poudre de diamant, et qui peuvent gouger / creuser le carbone de la surface," a déclaré Silvera. "Lorsque nous avons examiné le diamant à l'aide de la microscopie à force atomique, nous avons trouvé des défauts, ce qui pourrait causer son affaiblissement et de rupture."
La solution, a-t-il dit, était d'utiliser un procédé de gravure ionique réactive pour raser une couche minuscule - seulement cinq microns d'épaisseur, soit environ un dixième d'un cheveu humain - de la surface du diamant. Les diamants ont ensuite été revêtus d'une mince couche d'alumine pour empêcher l'hydrogène de se diffuser dans leur structure cristalline et de les fragiliser.
Après plus de quatre décennies de travail sur l'hydrogène métallique, et près d'un siècle après sa première théorie, voir le matériel pour la première fois, a dit Silvera, était passionnant.
"C'était vraiment excitant," dit-il. "Ranga était en train de faire l'expérience, et nous avons pensé que nous pourrions y arriver, mais quand il m'a appelé et dit:« L'échantillon est brillant », je suis allé courir là-bas, et il était de l'hydrogène métallique.
"J'ai immédiatement dit que nous devons faire les mesures pour le confirmer, alors nous avons réorganisé le laboratoire ... et c'est ce que nous avons fait", a t-il dit. «C'est un exploit formidable, et même s'il n'existe que dans cette cellule d'enclume à haute pression, c'est une découverte très fondamentale et transformatrice.
(...) un petit échantillon d'hydrogène à 495 gigapascal, soit plus de 71,7 millions de livres par pouce carré - plus grand que la pression au centre de la Terre. (...)
RépondreSupprimerL'hydrogène métallique !
SupprimerAinsi, après la création de nano-matériaux (1 milliardième de mètre, 1 millionième de centimètre ou 1 millième de millimètre), voici qu'arrive l'hydrogène métallique par compression plus importante jamais subi par le centre de la Terre !
L'équipe découvre la clé de la restauration d'une grande saveur de tomate
RépondreSupprimer26 janvier 2017
par Brad Buck
Qu'est-ce qui ne va pas avec la tomate de supermarché ? Les consommateurs disent qu'elles manque de saveur, alors un chercheur de l'Université de Floride a dirigé une équipe mondiale sur une mission pour identifier les facteurs importants qui ont été perdus et les remettre dans les tomates modernes.
Dans une étude publiée aujourd'hui dans la revue Science, Harry Klee, le professeur de sciences horticoles à l'UF Institute of Food and Agricultural Sciences, identifie les combinaisons chimiques pour une meilleure saveur de tomate.
«Nous ne faisons que corriger ce qui a été endommagé au cours du dernier demi-siècle pour les repousser vers l'endroit où ils étaient il y a un siècle», a déclaré Klee, soulignant que cette technique implique la génétique classique et non la modification génétique. "Nous pouvons faire le goût de tomate supermarché nettement mieux."
La première étape consistait à déterminer laquelle des centaines de produits chimiques dans une tomate contribue le plus au goût.
Les tomates modernes manquent de sucres et de produits chimiques volatils essentiels à une meilleure saveur, a déclaré Klee. Ces traits ont été perdus au cours des 50 dernières années parce que les éleveurs n'ont pas eu les outils pour systématiquement écran pour la saveur, dit-il.
Pour aider, les chercheurs ont étudié ce qu'ils appellent «allèles», les versions de l'ADN dans un gène de tomate qui lui donnent ses traits spécifiques. Klee a assimilé le concept à l'ADN chez l'homme. Chacun a le même nombre de gènes dans leur ADN, mais une version particulière de chaque gène détermine des traits tels que la taille, le poids et la couleur des cheveux.
«Nous voulions identifier pourquoi les variétés de tomates modernes sont pauvres en ces produits chimiques aromatiques», a déclaré Klee. "C'est parce qu'ils ont perdu les allèles plus souhaitables d'un certain nombre de gènes."
Les scientifiques ont ensuite identifié l'emplacement des bons allèles dans le génome de la tomate, dit-il. Cela exigeait ce qu'on appelle une étude d'évaluation à l'échelle du génome. Là, les scientifiques ont cartographié les gènes qui contrôlent la synthèse de tous les produits chimiques importants. Une fois qu'ils les ont trouvés, ils ont utilisé l'analyse génétique pour remplacer les alleles mauvais dans les variétés de tomates modernes avec les allèles bons, Klee dit.
Les États-Unis sont deuxièmes seulement à la Chine dans la production mondiale de tomate, selon le département américain de l'Agriculture. La Floride et la Californie représentent de deux à trois quarts de toutes les tomates fraîches commercialisées dans les États-Unis. Les producteurs produisent 33 000 acres de tomates d'une valeur de 437 millions de dollars annuellement à partir de 2014, selon la recherche économique UF / IFAS.
Parce que la reproduction prend du temps, et les scientifiques étudient cinq gènes ou plus, Klee dit que les traits génétiques de sa dernière étude peut prendre trois à quatre ans pour produire dans de nouvelles variétés de tomates.
https://phys.org/news/2017-01-team-key-great-tomato-flavor.html#jCp
SupprimerÉvaluation bien tendancieuse que cette découverte dite de restauration ! Si nous avons pu observer l'humain depuis son origine, il apparait qu'il a évolué suivant les régions où il a vécu. Ce comportement est aussi observable chez le plant de vigne: un plant de cépage bordelais ne va pas donner un vin 'de Bordeaux' s'il est planté en Provence, en Italie ou en Chine.
Donc, depuis la création du monde, les tomates (par exemple) ont été disséminées 'aux quatre coins' de la planète (par transports venteux, océanique ou à bord d'animaux), ce qui a résulté par des variétés différentes suivant les lieux de germination. Or, de vouloir recombiner xxxx plants de tomates (venus 'des 4 coins du monde') n'est PAS forcément LA méthode pour retrouver LA tomate d'origine éparpillée car... on ignore son premier lieu de naissance !!
Pour Trump, Madonna est «dégoutante» et fait «honte» au pays
RépondreSupprimerINTERNATIONAL
11:18 27.01.2017
Le président américain Donald Trump estime que le discours plein de grossièretés de Madonna à l’occasion de la marche des femmes est honteux pour le pays et va même à l’encontre de l’esprit de cette manifestation.
Le président américain Donald Trump a commenté le discours de Madonna lors de la marche des femmes lors duquel elle a avoué avoir « pensé des milliers de fois à faire sauter la Maison Blanche» et n’a pas pu arrêter de jurer, dans un entretien accordé à Fox News.
« Honnêtement, elle est dégoûtante. Je pense qu'elle s'est fait (par ses propos, ndlr) beaucoup de mal. Je pense qu'elle a sapé toute cette cause », a déclaré le président à Fox News.
« Elle a fait honte à tout le pays », a-t-conclu.
La Reine de la Pop qui dit vouloir défendre la « dignité des femmes » et qui n’a pas cessé de jurer durant son intervention à la marche des femmes, après avoir promis lors de l’élection une fellation à tous ceux qui voteraient pour Hillary Clinton, a expliqué sur Instagram que ses propos devaient être pris au second degré. Des métaphores bien filées, donc.
https://fr.sputniknews.com/international/201701271029805245-madonna-degoutante-pour-trump/
SupprimerL'Amerique n'est pas une pute ou un trou de cul comme madona !
Jamais vu en 5000 ans d’histoire…
RépondreSupprimervendredi, 27 janvier 2017 08:46
Bon 2017 étant bien entamée, il est temps de regarder ce qui va pas pour miser sur ce qui devrait aller
Les taux négatifs historiques
Vous connaissez maintenant, plus de 100 éditos publiés sur Objectifeco.
Vous savez que je vais vous parler des petites leçons que l’histoire nous enseigne.
Eh bien la leçon, c’est qu’en 5000 ans d’histoires économiques il n’y a JAMAIS eu de taux d’intérêts négatifs pendant plus d’une année !
Oui vous avez bien lu, vous devriez être conscient que vous vivez un moment historique que peut-être ni vos enfants ni vos petits enfants n’auront l’occasion de connaître.
Ni les Egyptiens, les Babyloniens, les Grecs, les Romains, les Mérovingiens, les Capétiens, les Républicains et les premiers communistes n’ont connu ça.
Vous voulez encore des chiffres qui font peur ?
Il y a 11.7 trillions investis dans de la dette souveraine qui paie des taux négatifs.
Ce qui est un impôt déguisé contre les petites gens qui ne possèdent pas d’actifs financiers.
Mais je vais poser la question qui fâche…
Si nous sommes dans la première « ère » des taux d’intérêts négatifs, sommes nous aussi dans la PIRE phase économique que le monde ait jamais porté depuis 5000 ans…
Je sais, je sais, je vous vois déjà rétorquer mais voyons Tim, cela ne va pas si mal que ça.
Les patrimoines moyens des ménages augmentent chaque année et en plus on a évité le pire.
Ma réponse : la variable n°1 qui fait bouger l’économie dans le sens d’un accroissement du niveau de vie c’est l’augmentation de la productivité
Si ces gains de patrimoine étaient le résultat d’un gain de productivité conséquent, il n’y aurait pas besoin de maintenir les taux d’intérêts dans le négatif…
La vérité c’est qu’il se prépare quelque chose.
Quelque part, chacun de vous le sens au fond de lui sans pouvoir se l’expliquer rationnellement
Moi non plus, je ne sais pas quoi exactement, ni la vitesse, ni les répercussions
Mais quand je vois que les taux suisses à 30 ans par exemple paient du négatif, cela veut dire que les investisseurs projettent 30 ans de taux négatif …
C’est une bonne blague…. Aucune économie, aucune société, aucun équilibre ne peut se maintenir durant une si longue période de temps.
Donc première des certitudes : tendance globale à horizon 5 ans pour la remontée des taux (donc opportunité de business pour les sociétés qui bénéficieront d’une remontée des taux)
http://www.objectifeco.com/economie/dettes/dettes-usa/jamais-vu-en-5000-ans-d-histoire.html
(...) Vous voulez encore des chiffres qui font peur ?
SupprimerIl y a 11.7 trillions investis dans de la dette souveraine qui paie des taux négatifs. (...) !!!!!!
Vous voulez des chiffres qui font peur ? Depuis 5000 ans il n'y a JAMAIS eu autant de monde sur Terre connectés à internet !!!
Çà alors !!!
Mais il 'rectifie':
(...) La vérité c’est qu’il se prépare quelque chose.
Quelque part, chacun de vous le sens au fond de lui sans pouvoir se l’expliquer rationnellement
Moi non plus, je ne sais pas quoi exactement, ni la vitesse, ni les répercussions (...) !!!
'Moi non plus, je ne sais pas quoi exactement' !!! QUAND ON NE SAIT PAS ON FERME SA GUEULE !!
Incroyable mais vrai : en 2017, il y a toujours de la glace en Arctique !
RépondreSupprimerEloge de la complexité
jeu., 05 jan. 2017 05:04 UTC
-- Comment: Souvenons-nous des prophéties hystérico-AlGoresques de la décénnie précédente : en 2013, c'est sûr, il n'y aura plus de glace au Groenland... Bien sûr, en 2017, la glace est plus présente que jamais, et l'on continue à se cailler, là-haut, au pôle nord. Hélas pour nous, le bourrage de crâne des politiciens, des médias-carpettes et des scientifiques corrompus a eu le temps de faire des dégâts :
(...) Or, en France, mais aussi en Grande-Bretagne et, plus généralement, à l'échelle européenne, nos politiques continuent de promouvoir des programmes, au mieux ruineux et au pire liberticides, au nom de la sacro-sainte lutte contre les émissions de gaz carbonique, promu au rang de danger numéro un pour l'avenir du monde. Des éoliennes au double vitrage et à la construction BBC en passant par l'automobile, des pans entiers de l'industrie ont structuré leur action récente et future autour des politiques carbocentristes et des très généreuses subventions qui les accompagnaient. Tout notre droit des sols est rigidifié au nom de la lutte contre le besoin de mobilité et l'étalement urbain, accusés d'être générateurs d'émissions de gaz carbonique.
Tout cela, sans aucun doute, pour RIEN. Car à l'évidence, si notre climat dépend des rhumes du soleil, nous n'avons d'autre choix que de nous y adapter.
Nos dirigeants devront très vite changer de cap, ou, s'ils persistent dans l'absurde voie carbo phobique, prêter le flanc à des accusations d'incompétence grave, ou, pire, de corruption et d'inféodation aux oligarchies financières, qui, à ce jour, prétendent tirer profit de l'économie verte, fut-ce en rackettant les contribuables occidentaux. Un changement de cap permettrait peut être de réorienter nos ressources, qui ne sont pas infinies, vers la résolution de problèmes réels. Enfin, les gouvernements siégeant à l'ONU doivent d'urgence prononcer la dissolution du GIEC, dont les dysfonctionnements et vices de conception sont largement documentés et qui a été l'organe de propagation déterminant d'une des plus ruineuses escroqueries économiques jamais perpétrée. Le climat doit être géré comme n'importe quel champ scientifique, sans qu'il soit besoin d'un organisme politique supranational pour dicter aux scientifiques les "bons" et les "mauvais" chemins à suivre. --
A la fin de l'année 2016 l'arctique a connu pendant plusieurs jours des températures anormalement élevées en même temps que l'Eurasie du Nord se refroidissait. Les alarmistes y ont vu une double confirmation de leurs thèses : celle de l'amplification arctique et celle plus récente dite « Warm Arctic, Cold Continents » selon laquelle le réchauffement de l'Arctique conduirait au refroidissement des continents. L'arctique a déjà connu au vingtième siècle une période de réchauffement de 20 ans (1920-1940), suivie d'une période de refroidissement qui s'est prolongée jusque dans les années 1970. Certes la banquise a régressé en extension (à son minimum du moins de septembre) mais elle est plus épaisse en 2016 qu'elle ne l'était en 2011. De plus le bilan masse des glaces continentales est positif. Des phénomènes chaotiques se produisent en hiver alors que la période estivale est caractérisée par une grande stabilité des températures, ce qui fait dire au Climatologue Richard Lindzen « le gaz carbonique
n'est pas, de manière évidente, un facteur déterminant ». La focalisation sur l'effet de serre empêche (ou retarde) les travaux sur les causes naturelles possiblement à l'œuvre en arctique notamment la bascule arctique/antarctique et l'influence des oscillations océaniques multi décennales.
Un réchauffement qui n'est pas sans précédents
RépondreSupprimerLa courbe ci-dessous (établie par la NOAA[2]) montre que la zone arctique (60-90°N) s'est réchauffée plus rapidement que la moyenne globale dans les 15 dernières années. Ce phénomène est qualifié d'amplification arctique parce que un réchauffement initial mettrait en route une boucle de rétroaction positive banquise-albedo.
Anomalies annuelles moyennes annuelles de la température de l’air de surface (SAT) (en ° C) pour la période 1900-2016 par rapport à la moyenne 1981-2010. (stations terrestres au nord de 60 ° N)
Ce réchauffement n'est pas inédit
Dans une étude publiée en 2009 dans Geophysical Research Letters[3], Chlylek and al ont mis en évidence deux périodes de réchauffement de l'Arctique (1910-1940 et 1970-2008). Dans une étude publiée en 2006[4] ces mêmes auteurs estimaient que le réchauffement de la période (1920-1930) avait été de plus important que celui de la période 1995-2005. Plus récemment (juin 2012), une publication de Nature Geoscience intitulée « Une vue aérienne des fluctuations liées au climat des glaciers du Sud-Est Groenlandais durant 80 ans » montre des photos aériennes exhumées des archives de la septième expédition de Thulé dirigée à l'époque (à partir de 1932), par le Dr. Knud Rasmussen. Ces photos révèlent que de nombreux fronts de glaciers ont subi dans les années 1930 un recul d'une ampleur comparable à celle de l'actuel au sud-est du Groenland.
Régression de la banquise, stabilité du volume des glaces
La situation de l'arctique n'est évaluée qu'à l'aune de l'étendue de la banquise. Or si la fonte de la banquise est spectaculaire elle est sans influence sur le niveau des mers ; plus silencieuse, donc moins commentée est l'évolution des glaces continentales qui est plus importante dans ses conséquences : si les deux à trois kilomètres épaisseur de glace qui couvrent le Groenland fondaient le niveau des mers s'élèverait d'environ six mètres. Or le volume des glaces semble évoluer de façon plutôt favorable.
Régression de l'étendue de la banquise
Depuis le début des années 2000, la superficie résiduelle de la banquise en septembre accuse une nette dérive négative : -19% sur la période 2000-1016 (5,057 millions de km2) par rapport à la période 1981-2010 (6,275 km2). La courbe ci-dessous compare la surface de la banquise des quatre dernières années (2012-à 2016) à la moyenne 1981-2010.
On ne note pas d'accélération de la tendance à la régression, le point bas de l'année 2012 s'expliquant par un événement météorologique extrême (une puissant cyclone qui a ravagé la couverture glacée de la mer arctique en Août 2012) qui ne parait pas représentatif d'une tendance à long terme. De plus les observations satellitaires n'ont commencé qu'en 1978, donc à la fin d'une longue phase de refroidissement ce qui pourrait signifier que ces mesures ont un point de départ élevé.
Mais extension de son épaisseur
RépondreSupprimerLe satellite Cryosat de l'Agence Spatiale Européenne fournit en plus de l'extension spatiale de la banquise des informations sur son épaisseur et donc le volume de glace (superficie X épaisseur moyenne). Or ces relevés montrent une augmentation du volume de la banquise arctique : à la fin de l'été 2016 la glace était plus épaisse que la plupart des autres années (116 cm en moyenne), comme le montre le graphique ci-dessous.
- voir sur site -
Et augmentation des glaces continentales
La courbe ci-dessous établie par le site danois DMI montre l'évolution du bilan de masse surfacique (en Gt) à partir de son point bas du premier septembre. Elle montre une augmentation en 2015 et 2016 par rapport au niveau moyen de la période 1990-2013.
Il neige plus qu'il ne fond au Groenland, le bilan masse de surface est donc positif même si le vêlage des icebergs serait la cause de la perte d'environ 200 Gt/an de glace. Rapporté au volume total de glace (estimé à 3 + ou- 0,4 millions de kilomètres cubes) cette perte annuelle ne représente que 0,007 %. Selon certains auteurs elle serait d'autre part surestimée : Shepherd et al. (2012) estiment cette perte à 142 ± 49 gigatonnes, D.H. Bromwich et J.-P. Nicolas (2010) la divise carrément par deux.
Des causes naturelles sous estimées
La focalisation sur l'effet de serre éclipse les études envisageant des causes naturelles au réchauffement de l'arctique. Le site DMI[8] montre une remarquable stabilité des températures arctiques en été et une grande variabilité en hiver, comme le montre la courbe ci-dessous mise à jour depuis 1958.
Le climatologue Richard Lindzen[9] donne l'explication suivante : en été, quand il y a la lumière du soleil, les températures sont en grande partie déterminées par l'équilibre radiatif local; en revanche pendant la nuit d'hiver il y a des transports de chaleur venant des latitudes plus basses provoqués par des convections turbulentes ou des tempêtes. L'interprétation des températures de l'arctique nécessite la compréhension de la raison pour laquelle ces tempêtes pénètrent en arctique de manière erratique. Richard Lindzen conclut :
« Au vu du comportement des températures estivales, le gaz carbonique n'est pas, de manière évidente, un facteur déterminant ».
L'analyse des carottes de glace a montré une évolution de l'arctique et de l'antarctique en opposition de phase (quand l'antarctique se refroidit, l'arctique se réchauffe et vice-versa) au cours des deux dernières périodes glaciaires. Ce phénomène connu sous le nom de « bascule polaire » a également observé tout au long du vingtième siècle : dans une étude publiée en 2010 par la revue Geophysical research letters [10] Chylek et al ont montré que l'alternance de périodes plus chaudes et plus froides se corrèle de façon frappante avec l'Oscillation Atlantique Multi décennale AMO, comme le montre la courbe ci-dessous extraite de cette étude.
Une étude de 2013 publiée dans la revue Climate of the past [11] a reconstitué les anomalies de températures au Groenland au cours des 800 dernières années et montre une variabilité régionale influencée par des changements du régime de circulation atmosphérique induits par l'activité solaire. Plus récemment (2016) une publication dans la revue Nature[12] établit un lien entre le réchauffement de l'Arctique et l'oscillation pacifique décennale (PDO) : ce réchauffement serait plus important pendant la phase négative de la PDO. Comme le remarque le site GWPF dans un billet du 21 novembre 2016[1] :
RépondreSupprimer« Tant que ne cessera pas le battage médiatique et les spéculations non scientifiques sur l'Arctique, la science ne pourra pas expliquer ce qu'il s'y passe réellement. »
Notes :
[1] A brief history of arctic Angst
[2] Source NOAA (http://arctic.noaa.gov/Report-Card/Report-Card-2016/ArtMID/5022/ArticleID/271/Surface-Air-Temperature)
[3] Contribution of sea-ice loss to Arctic amplification is regulated by Pacific Ocean decadal variability (http://climateresearch.lanl.gov/source/orgs/ees/ees14/pdfs/09Chlylek.pdf)
[4] Greenland warming of 1920 - 1930 and 1995 - 2005 (http://88.167.97.19/temp/Greenland_warming_of_1920%E2%80%931930_and_1995%E2%80%932005_Chylek.pdf)
[5] NSIDC (http://nsidc.org/arcticseaicenews/
[6] http://www.esa.int/Our_Activities/Observing_the_Earth/CryoSat/Arctic_freeze_slows_down
[7] https://www.dmi.dk/en/groenland/maalinger/greenland-ice-sheet-surface-mass-budget/
[8] http://www.osi-saf.org
[9] Conférence donnée de R. Lintzen (10 février 2010) au FermiLab (laboratoire des hautes énergies US) » La curieuse question du réchauffement climatique »
[10] Geophysical research letters Petr Chylek et al (2010) : twentieth century bipolar seesaw of the Arctic and Antarctic surface air temperatures (http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1029/2010GL042793/abstract)
[11] http://www.clim-past.net/9/583/2013/
[12] http://www.nature.com/nclimate/journal/v6/n9/full/nclimate3011.html
https://fr.sott.net/article/29917-Incroyable-mais-vrai-en-2017-il-y-a-toujours-de-la-glace-en-Arctique
Les variations orbitales de la Terre et la glace de mer synchronisent les périodes glaciaires
RépondreSupprimer26 janvier 2017
par Kevin Stacey
La Terre est actuellement ce que les climatologues appellent une période interglaciaire, un pouls chaud entre de longues périodes de glace froide où les glaciers dominent les latitudes plus élevées de notre planète. Depuis un million d'années, ces cycles glaciaires-interglaciaires se sont répétés à peu près sur un cycle de 100 000 ans. Maintenant, une équipe de chercheurs de l'Université Brown a une nouvelle explication pour ce moment et pourquoi le cycle était différent avant un million d'années.
En utilisant un ensemble de simulations informatiques, les chercheurs montrent que deux variations périodiques dans l'orbite de la Terre se combinent sur un cycle de 100 000 ans pour provoquer une expansion de la glace de mer dans l'hémisphère sud. Comparée aux eaux de l'océan, cette glace reflète plus de rayons du soleil dans l'espace, réduisant considérablement la quantité d'énergie solaire absorbée par la planète. En conséquence, la température globale refroidit.
«Le rythme de 100 000 ans des périodes glaciaires et interglaciaires a été difficile à expliquer», a déclaré Jung-Eun Lee, professeur adjoint au Département d'études terrestres, environnementales et planétaires de Brown et auteur principal de l'étude. «Ce que nous avons pu démontrer, c'est l'importance de la glace de mer dans l'hémisphère sud et des forçages orbitaux pour établir le rythme du cycle glaciaire-interglaciaire».
La recherche est publiée dans la revue Geophysical Research Letters.
Orbite et climat
Dans les années 1930, le scientifique serbe Milutin Milankovitch a identifié trois changements récurrents différents dans le modèle orbital de la Terre. Chacun de ces Cycles Milankovitch peut influer sur la quantité de soleil que la planète reçoit, ce qui peut influer sur le climat. Les changements se produisent tous les 100 000, 41 000 et 21 000 ans.
Le problème est que le cycle de 100 000 ans seul est le plus faible des trois dans le degré auquel il affecte le rayonnement solaire. Alors pourquoi ce cycle serait celui qui fixe le rythme du cycle glaciaire est un mystère. Mais cette nouvelle étude montre le mécanisme par lequel le cycle de 100 000 ans et le cycle de 21 000 ans travaillent ensemble pour conduire le cycle glaciaire de la Terre.
Le cycle de 21 000 ans porte sur la précession - le changement d'orientation de l'axe de rotation basculé de la Terre, qui crée les saisons changeantes de la Terre. Lorsque l'hémisphère nord est incliné vers le soleil, il obtient plus de lumière du soleil et l'été expériences. Dans le même temps, l'hémisphère sud est inclinée, donc il obtient moins de lumière du soleil et l'hiver expériences. Mais la direction que l'axe pointe change lentement - ou précession - par rapport à l'orbite de la Terre. Par conséquent, la position dans l'orbite où les saisons changent migre légèrement d'année en année. L'orbite terrestre est elliptique, ce qui signifie que la distance entre la planète et le soleil varie en fonction de l'endroit où nous sommes dans l'ellipse orbitale. Donc, la précession signifie essentiellement que les saisons peuvent se produire lorsque la planète est la plus proche ou plus éloignée du soleil, ou quelque part entre les deux, ce qui modifie l'intensité des saisons.
En d'autres termes, la précession cause une période pendant le cycle de 21 000 ans où l'été de l'hémisphère Nord se produit autour du moment où la Terre est la plus proche du soleil, ce qui rendrait ces étés un peu plus chaud. Six mois plus tard, lorsque l'hémisphère sud aura son été, la Terre serait à son point le plus éloigné du soleil, rendant les étés de l'hémisphère sud un peu plus frais. Tous les 10 500 ans, le scénario est le contraire.
RépondreSupprimerEn termes de température moyenne mondiale, on peut ne pas s'attendre à ce que la précession importe beaucoup. Quel que soit l'hémisphère est plus proche du soleil en été, l'autre hémisphère sera plus loin pendant son été, de sorte que les effets se laveront eux-mêmes. Cependant, cette étude montre qu'il peut effectivement y avoir un effet sur la température globale s'il ya une différence dans la manière dont les deux hémisphères absorbent l'énergie solaire, ce qui est le cas.
Cette différence a à voir avec la capacité de chaque hémisphère à cultiver la glace de mer. En raison de l'arrangement des continents, il ya beaucoup plus de place pour la glace de mer à croître dans l'hémisphère sud. Les océans de l'hémisphère nord sont interrompus par les continents, ce qui limite la mesure dans laquelle la glace peut se développer. Ainsi, lorsque le cycle précessionnel provoque une série d'étés plus frais dans l'hémisphère sud, la glace de mer peut se développer de façon spectaculaire, car il y a moins de fonte d'été.
Les modèles climatiques de Lee reposent sur l'idée simple que la glace de mer reflète une quantité importante de rayonnement solaire dans l'espace qui serait normalement absorbé dans l'océan. Cette réflexion du rayonnement peut abaisser la température globale.
Les variations orbitales de la Terre et la glace de mer synchronisent les périodes glaciaires
L'hémisphère sud a une plus grande capacité de croissance de la glace de mer que l'hémisphère Nord, où les continents bloquent la croissance. De nouvelles recherches montrent que l'expansion de la glace de mer de l'hémisphère Sud
Les modèles climatiques de Lee reposent sur l'idée simple que la glace de mer reflète une quantité importante de rayonnement solaire dans l'espace qui serait normalement absorbé dans l'océan. Cette réflexion du rayonnement peut abaisser la température globale.
Les variations orbitales de la Terre et la glace de mer synchronisent les périodes glaciaires
L'hémisphère sud a une plus grande capacité de croissance de la glace de mer que l'hémisphère Nord, où les continents bloquent la croissance. De nouvelles recherches montrent que l'expansion de la glace de mer de l'hémisphère sud pendant certaines périodes dans les cycles orbitaux ... plus
"Ce que nous montrons, c'est que même si l'énergie entrante totale est la même tout au long du cycle de précession, la quantité d'énergie absorbée par la Terre change avec la précession", a déclaré M. Lee. «La grande glace de mer du sud de l'hémisphère qui se forme lorsque les étés sont plus froids réduit l'énergie absorbée.
Mais cela laisse la question de savoir pourquoi le cycle de la précession, qui se répète tous les 21 000 ans, entraînerait un cycle glaciaire de 100 000 ans. La réponse est que le cycle orbital de 100 000 ans module les effets du cycle de précession.
Le cycle de 100 000 ans traite de l'excentricité de l'orbite de la Terre, c'est-à-dire de son écart par rapport à un cercle. Sur une période de 100 000 ans, la forme orbitale va de presque circulaire à plus allongée et de retour. Ce n'est que lorsque l'excentricité est élevée - ce qui signifie que l'orbite est plus elliptique - qu'il y a une différence significative entre le point le plus éloigné de la Terre du soleil et son plus proche. En conséquence, il ya seulement une grande différence dans l'intensité des saisons en raison de la précession quand l'excentricité est grande.
RépondreSupprimer"Quand l'excentricité est petite, la précession n'a pas d'importance", a déclaré Lee. «La précession ne compte que lorsque l'excentricité est importante. C'est pourquoi nous voyons un rythme plus fort de 100 000 ans qu'un rythme de 21 000 ans».
Les modèles de Lee montrent que, aidés par l'excentricité élevée, les étés frais de l'hémisphère sud peuvent diminuer jusqu'à 17 pour cent la quantité de rayonnement solaire d'été absorbée par la planète sur la latitude où la différence dans la distribution de la glace de mer est suffisante pour causer des dommages globaux importants. Le refroidissement et créant potentiellement les conditions favorables à une époque glaciaire.
Outre la réflexion sur le rayonnement, il peut y avoir des retours de refroidissement supplémentaires lancés par une augmentation de la glace de mer du sud, Lee et ses collègues disent. Une grande partie du gaz carbonique - un gaz à effet de serre essentiel - exhalé dans l'atmosphère des océans provient de la région polaire sud. Si cette région est en grande partie couverte de glace, elle peut contenir le gaz carbonique comme un bouchon sur une bouteille de soda. En outre, l'énergie coule normalement de l'océan pour réchauffer l'atmosphère en hiver aussi bien, mais la glace de mer isole et réduit cet échange. Donc, avoir moins de carbone et moins d'énergie transférée entre l'atmosphère et l'océan ajouter à l'effet de refroidissement.
Expliquer un changement
Les résultats peuvent également aider à expliquer un changement déroutant dans le cycle glaciaire de la Terre. Depuis un million d'années environ, le cycle glaciaire de 100 000 ans a été le plus important. Mais avant un million d'années, les données paléoclimatiques suggèrent que le rythme du cycle glaciaire était plus proche d'environ 40 000 ans. Cela suggère que le troisième cycle de Milankovitch, qui se répète tous les 41 000 ans, dominait alors.
Alors que le cycle de précession traite de quelle direction l'axe de la Terre pointe, le cycle de 41 000 ans traite de la mesure dans laquelle l'axe est incliné. L'inclinaison - ou obliquité - passe d'un minimum d'environ 22 degrés à un maximum d'environ 25 degrés. (C'est à 23 degrés à l'heure actuelle.) Lorsque l'obliquité est plus élevée, chacun des pôles reçoit plus de soleil, ce qui tend à réchauffer la planète.
Alors pourquoi le cycle d'obliquité serait-il le plus important avant un million d'années, mais devient moins important plus récemment ?
Selon les modèles de Lee, cela a à voir avec le fait que la planète a été généralement plus fraîche au cours des millions d'années passées qu'il ne l'était avant. Les modèles montrent que, lorsque la Terre était généralement plus chaude qu'aujourd'hui, l'expansion de la glace de mer liée à la précession dans l'hémisphère sud est moins probable. Cela permet au cycle d'obliquité de dominer la signature de température globale. Après un million d'années, quand la Terre est devenue un peu plus froide en moyenne, le signal d'obliquité commence à prendre un siège arrière au signal de précession / excentricité.
RépondreSupprimerLee et ses collègues croient que leurs modèles présentent une nouvelle explication solide pour l'histoire du cycle glaciaire de la Terre - expliquant à la fois le rythme plus récent et la transition troublante il ya un million d'années.
Quant à l'avenir du cycle glaciaire, cela reste incertain, dit Lee. Il est difficile à ce stade de prédire comment les contributions humaines aux concentrations de gaz à effet de serre de la Terre pourraient altérer l'avenir des glaciations terrestres.
https://phys.org/news/2017-01-earth-orbital-variations-sea-ice.html#jCp
(...) La Terre est actuellement ce que les climatologues appellent une période interglaciaire, un pouls chaud entre de longues périodes de glace froide où les glaciers dominent les latitudes plus élevées de notre planète. Depuis un million d'années, ces cycles glaciaires-interglaciaires se sont répétés à peu près sur un cycle de 100 000 ans. (...)
SupprimerEnfin ! pour la première fois sont publiées des réalités que la Terre est en cycle de refroidissement et non de 'réchauffement' (non-dit !).
Par contre, ce qui est écrit en dessous est totalement faux:
(...) Comparée aux eaux de l'océan, cette glace reflète plus de rayons du soleil dans l'espace, réduisant considérablement la quantité d'énergie solaire absorbée par la planète. En conséquence, la température globale refroidit. (...)
dans la mesure où plus il y a de glace = plus il y a de glace. Donc, comment pourrait-on (un jour ?) envisager la fonte des glaces ? Hahahaha !
(...) «Le rythme de 100 000 ans des périodes glaciaires et interglaciaires a été difficile à expliquer», a déclaré Jung-Eun Lee, professeur adjoint au Département d'études terrestres, environnementales et planétaires de Brown et auteur principal de l'étude. (...) !!!
(...) Une grande partie du gaz carbonique - un gaz à effet de serre essentiel - exhalé dans l'atmosphère des océans provient de la région polaire sud. Si cette région est en grande partie couverte de glace, elle peut contenir le gaz carbonique comme un bouchon sur une bouteille de soda. (...)
Complètement faux ! 'gaz carbonique - un gaz à effet de serre essentiel' ! Le gaz carbonique n'a JAMAIS été un 'gaz a effet de serre' ! (même s'il n'en situe qu'une 'grande partie' !!).
Puis (à la fin), il rectifie:
(...) Il est difficile à ce stade de prédire comment les contributions humaines aux concentrations de gaz à effet de serre de la Terre pourraient altérer l'avenir des glaciations terrestres. (...) !!! HAHAHAHA !
Un 'gène de survie' empêche les souches de tuberculose de se transformer en 'superbactéries'
RépondreSupprimer27 janvier 2017
Les scientifiques ont découvert un «gène de survie» clé qui empêche les souches de tuberculose (TB) de se transformer en «superbactéries» pharmacorésistantes.
Dans une étude conjointe, publiée aujourd'hui, vendredi 27 janvier 2017, dans la revue Nature Communications, des scientifiques du Centro Nacional de Biotecnología de Madrid et de l'Université de Sussex à Brighton, rapportent la découverte d'un gène appelé NucS qui réduit considérablement les taux de mutation dans Mycobactérie - le microbe infectieux qui cause la tuberculose (TB).
La tuberculose, qui se propage d'une personne à l'autre dans l'air, est l'une des 10 principales causes de décès dans le monde, avec 1,8 million de personnes décédées de la maladie l'année dernière. Les souches résistantes aux médicaments de la tuberculose ont déjà été identifiées dans 105 pays et les chercheurs impliqués dans cette étude croient que l'identification d'un gène clé, nécessaire pour supprimer les taux de mutation dans les mycobactéries, constitue une étape importante pour comprendre comment se développent les «superbactéries».
Les chercheurs ont découvert qu'une enzyme de réparation de l'ADN, produite par le gène NucS, a été mise en évidence de façon spectaculaire par l'utilisation d'un écran génétique, qui impliquait l'élimination individuelle de presque tous les gènes (11 000 gènes) dans les mycobactéries et le dépistage des souches mutantes sur un antibiotique spécifique (rifampicine) Réduit les mutations.
Les chercheurs ont également découvert que les variations génétiques dans le gène NucS influencent significativement les taux de mutation dans les souches cliniquement isolées de mycobactéries. Plus de travail doit être fait, mais les scientifiques croient que cette découverte pourrait également jouer un rôle dans la compréhension du développement de la résistance aux antibiotiques chez les patients souffrant déjà de la tuberculose.
Le professeur Aidan Doherty, de l'Université du Sussex, a déclaré: «L'augmentation de la résistance aux antibiotiques est une menace majeure pour la santé mondiale et, si nous voulons limiter son impact sur les maladies infectieuses, nous devons d'abord identifier les mécanismes qui empêchent les bactéries de muter En premier lieu, ce qui nous permettra de mieux comprendre comment les pathogènes se transforment en «superbactéries».
Par conséquent, la découverte que le gène NucS réduit la vitesse à laquelle les mutations se produisent dans ces pathogènes est une première étape cruciale vers l'identification des facteurs génétiques qui influencent l'apparition de la maladie. Ce qui permettra aux scientifiques et aux cliniciens de dépister les souches les plus susceptibles de développer une pharmacorésistance et d'élaborer des stratégies pour s'attaquer à cette grave menace ».
RépondreSupprimerLe professeur Jesús Blázquez, du Centro Nacional de Biotecnología, a déclaré: "Non seulement cette étude identifie que les mutations peuvent être inversées dans les mycobactéries, elle révèle que la perte de ce processus de réparation de l'ADN peut provoquer une énorme augmentation des taux de mutation, La probabilité de ces agents pathogènes d'acquérir des mutations - qui peuvent causer une résistance aux antibiotiques.
«Maintenant, nous savons que NucS réduit considérablement les taux de mutation dans les mycobactéries - il est vital que nous en profitons et travaillons à exploiter cette découverte pour aider les médecins et les microbiologistes à prédire et prévenir le développement de la résistance aux antibiotiques pendant les traitements.
L'étude publiée dans Nature Communications est intitulée, «Une voie de réparation non correspondante canonique dans procaryotes».
https://medicalxpress.com/news/2017-01-survival-gene-strains-tuberculosis-mutating.html#jCp
La biometrie sans numéraire et l'expérience de démonetisation de l'Inde
RépondreSupprimer... l'effort pour enregistrer biométriquement la population et l'effort de transition vers une économie sans numéraire sont, en fait, intimement liés ... Et vous ne le savez pas, le dernier mot du Forum économique mondial de Davos est que l'Inde va sauter droit sur les paiements sans numéraire par carte et aller directement aux paiements électroniques biométriques.
James Corbett
7 janvier 2017
Eh bien, ça n'a pas pris longtemps. Dans le sillage de la démonétisation de l'Inde des 500 et 1000 roupies en novembre dernier, j'ai écrit un éditorial (Crisitunity in India's Cash Crunch) où j'ai noté qu'une des raisons importantes de la décision drastique était la chance de freiner la grande économie informelle de l'Inde :
"En Inde, ils appellent l'argent comptant dégagé des activités contre-économiques« argent noir. »Il n'est pas connu du gouvernement, il n'est pas stocké dans les banques, et il n'est pas taxé. En d'autres termes, c'est le pire cauchemard des soi-disant seigneurs technocratiques. Il est impossible de connaître la taille de cette réserve d'argent noir (pouvons-nous appeler quelque chose de plus frais, comme les «fonds pour la liberté» ou quelque chose comme ça ?), Mais on estime à 20% la taille de l'économie indienne. Maintenant, la grande majorité de ces gains obtenus librement étant ramenés dans le système bancaire (ou échangés avec une forme valide d'identification du gouvernement), il reviendra sous la tutelle de Big Brother et son ami, l'oncle Taxman.
À première vue, ce mois-ci, le département de l'impôt sur le revenu indien a commencé à demander aux banques des données sur les dépôts bancaires de leurs clients entre avril et novembre de l'année dernière afin de mieux analyser les liquidités qui étaient affectées à des signes d'activité «suspecte» . Et maintenant, le dernier du Hindustan Times:
«Les personnes qui ont déposé d'énormes sommes d'argent dans leurs comptes bancaires après l'exercice de démonétisation du Centre peuvent recevoir plusieurs avis du service de l'impôt sur le revenu jusqu'au reste de l'année.
"Le département - qui a commencé à envoyer des avis à ceux qui ont déposé la monnaie sur Rs 2 lakh [200 000 roupies, ou environ 3000 $ US] après le 9 novembre - a ordonné à ses fonctionnaires de s'assurer que les« vrais »cas sont dissous au plus tôt. Des sondages seraient ensuite entrepris contre ceux qui ont trouvé des sources de revenus «floues». L'exercice gigantesque pourrait se poursuivre jusqu'à l'exercice suivant, selon des sources.
L'article poursuit en disant que «en utilisant l'analyse de données basée sur le risque des dépôts en espèces dans les comptes bancaires pour distinguer les cas authentiques et non réels, le service fiscal est devenu capable de cibler même les opérateurs débutants». Apprennent maintenant que «le gouvernement a commencé à analyser les dépôts dans les nouveaux comptes et les remboursements de prêts ainsi que les transferts aux portefeuilles électroniques et les versements anticipés pour les importations au cours des 10 derniers jours de la date limite pour virer des billets junked.
En d'autres termes, les plus pauvres parmi les pauvres et les non-bancarisés ont maintenant été dûment identifiés et étiquetés comme des bovins d'impôt, mûrs pour le fleecing (pour mélanger une métaphore). Pas de surprise.
RépondreSupprimerEn effet, comme l'a souligné Satya Sagar dans notre récente conversation sur le plan de démonétisation, si ce schéma visait réellement la lutte contre la «monnaie noire», c'est un échec colossal. Seulement 6% de ce que l'on appelle l'argent noir est effectivement détenu en espèces, car ceux qui cherchent à échapper au fisc l'investissent dans l'immobilier, l'or ou les comptes bancaires étrangers, et une grande partie de l'argent «illicite» qui coule autour Le système est utilisé comme fonds de slush, les pots de vin et les pots de vin à des politiciens corrompus.
Au lieu de cela, cette campagne peut être considérée comme une tentative pour accomplir, entre autres choses, l'identification et l'enregistrement des masses précédemment non bancarisées et non taxées, et le coup d'envoi de l'économie naissante de paiements cashless de l'Inde.
Le premier objectif est particulièrement intéressant à la lumière des efforts continus de l'Inde pour forcer ses 1,2 milliards de résidents dans la plus grande base de données biométriques du monde. Et le second objectif est particulièrement intéressant à la lumière du rapport récent de Norbert Häring sur la façon dont un programme de l'USAID peu remarqué semble avoir été le «catalyseur» de cette expérimentation de démonétisation:
"Ni même quatre semaines avant cette attaque contre les Indiens, l'USAID avait annoncé la création de« Catalyst: Inclusive Cashless Payment Partnership », dans le but d'effectuer un saut quantique en Inde. La déclaration de presse du 14 octobre indique que Catalyst «marque la prochaine phase du partenariat entre l'USAID et le ministère des Finances pour faciliter l'inclusion financière universelle».
Mais l'effort pour enregistrer biométriquement la population et l'effort de transition vers une économie sans numéraire sont en fait intimement liés. Comme l'indique Häring, Alok Gupta, «directeur de l'incubation de projets» de Catalyst, était un membre original de l'équipe qui a développé le système d'identification biométrique du gouvernement indien Aadhaar. Et vous ne le savez pas, le dernier mot du Forum économique mondial à Davos est que l'Inde va sauter droit sur les paiements sans numéraire par carte et aller directement aux paiements électroniques biométriques. Selon biometricupdate.com:
"Le directeur général du principal organisme de développement économique de l'Inde a déclaré aux participants au Forum économique mondial de Davos que le pays pourrait introduire des paiements biométriques dans les trois ans, éliminant ainsi le besoin de liquidités et de moyens de paiement électroniques typiques, Cartes de débit et de crédit. "
C'est vrai, Amitabh Kant, le directeur de l'Institution nationale pour la transformation de l'Inde, un institut de politique géré par gouvernement, a dit aux globalistes rassemblés à Davos que l'Inde sauterait directement sur l'économie de cartes et dans le monde des paiements biométriques. Comme il a été cyniquement cité par CNN: "Chacun d'entre nous en Inde sera un guichet ambulant."
C'est la direction que les choses vont en Inde. Et, comme je le discuterai plus tard cette semaine, ce qui se déroule en ce moment en Inde n'est qu'une épreuve d'essai pour ce qui sera bientôt mis en œuvre dans le monde entier si les mondialistes réussissent.
RépondreSupprimerhttp://theinternationalforecaster.com/topic/international_forecaster_weekly/cashless_biometrics_and_indias_demonetization_experiment
Bien-sûr que 'la démonétisation dans un pays d'attardés' (comme en Afrique) n'est PAS une référence !! et ne peut donc 'servir d'exemple', d'où la mélangitude (comme dirait l'autre connasse) entre le nombre d'habitants (1 milliard 252 millions d'hab.), et le nombre de personnes intelligentes (qui ne croient donc pas en d'yeux pour les y voir/même pas chez les grecs !) ! Et ceci est à retenir ! Ils [les 'Dirigeants-de-mes-deux'] seraient à dire que '5,52 milliards personnes seraient prêtes à suivre des cons' !! qui acceptent de se faire mettre !
SupprimerVoir pour cela le nombre d'handicapés qui ont couru vers des banques pour se défaire de leurs valeurs (roupies) pour les confondre en chiffres sur l'ordinateur !!! Hahahaha ! sans qu'ils n'aient compris que c'est EUX les vrais valeurs et non les 'Awards/Trophées/Coupe ou merdailles' en tout genre !
Donald Trump, Révolutionnaire
RépondreSupprimerJudge Andrew P. Napolitano
le 26 Janvier 2017
Dans les quatre heures qui suivirent la présidence des États-Unis, Donald Trump a signé un décret visant à limiter immédiatement les effets de la Loi sur la protection des patients et les soins abordables (Obamacare) de façon révolutionnaire.
Avec le coup d'une plume, le président a agressé le cœur de la loi qui était la pièce maîtresse domestique de l'administration de son prédécesseur. Comment est-ce arrivé ? Comment un président des États-Unis, qui a prêté serment de faire respecter les lois fidèlement, intestin l'un d'eux simplement parce qu'il n'est pas d'accord avec elle ?
Voici l'histoire de retour.
Lorsque Obamacare a passé par le Congrès en 2010, tous les démocrates au Congrès a soutenu et tous les républicains du Congrès ont été opposés. Le point crucial de leur désaccord était le commandement de la loi que tout le monde aux États-Unis d'obtenir et de maintenir l'assurance maladie - un commandement qui est venu à être connu comme «le mandat individuel».
Les républicains ont soutenu que le Congrès n'avait pas le pouvoir de contraindre les gens à entrer sur le marché en achetant un produit - que de telles décisions devraient être librement prises par des individus et que cette liberté était protégée de l'ingérence gouvernementale par la Constitution. Les démocrates ont soutenu que la clause commerciale de la Constitution, qui permet au Congrès de réglementer le commerce entre les États, lui permet également de contraindre l'activité commerciale de la part des individus qui constituent une composante hautement réglementée du commerce interétatique.
Pour assurer la conformité avec le mandat individuel, la loi prévoyait que l'IRS percevrait la juste valeur marchande d'une police d'assurance sans risque de la part de ceux qui n'obtenaient pas et ne maintenaient pas une seule. Le gouvernement prend alors cet argent et achète une police d'assurance maladie pour cette personne qui a rejeté le commandement de la loi.
Bien que le Congrès ne l'appelle pas une taxe et les avocats du gouvernement a uniformément et systématiquement nié dans tous les tribunaux où il a été contesté que c'était une taxe et le président Barack Obama a rejeté l'idée que c'était une taxe et même les avocats pour les challengers ont nié une taxe, une majorité de 5 à 4 dans la Cour suprême a caractérisé l'argent recueilli par l'IRS de personnes non conformes comme une taxe.
Cela est profondément significatif à des fins constitutionnelles parce que même si le Congrès ne peut pas réglementer quoi que ce soit, le Congrès peut taxer tout ce qu'il veut, tant que la taxe tombe également sur ceux de la classe de personnes qui le paient. Cette caractérisation inouïe d'une taxe non fiscale était nécessaire pour sauver Obamacare devant la Haute Cour parce qu'une majorité différente de 5-4 dans la même affaire a statué que l'argument du Congrès républicain était essentiellement correct - que la clause de commerce ne Habiliter le Congrès à forcer l'activité commerciale.
Tout cela a été discuté fort et longtemps depuis la loi a été promulguée en 2010, validée par la Cour suprême en 2012 et est entré dans les réticules de Trump dans les primaires présidentielles républicaines et encore une fois dans la campagne électorale générale.
Trump a soutenu que le gouvernement ne peut pas obliger l'activité commerciale, même dans le cadre d'un vaste régime de réglementation, parce que la Constitution protège le droit de chacun d'acheter un bien légal ou de ne pas en acheter un. Il a également affirmé que Obamacare n'a pas de sens économique parce que sa réglementation de la pratique de la médecine et son administration de l'assurance maladie ont entraîné une diminution des choix pour les consommateurs, ce qui a augmenté les primes, ainsi que les franchises et chassé des soins primaires Médecins du marché. Le mantra d'Obama que vous pourriez garder votre médecin et votre assurance santé sous Obamacare s'est avéré être manifestement faux, Trump argumenté.
RépondreSupprimerQuand Trump a promis qu'en tant que président - le «premier jour» - il commencerait à démanteler Obamacare, certains républicains, de nombreux membres de la presse et la plupart des Démocrates riaient de lui. Ils ne rient plus parce que la première ordonnance qu'il a signée le 20 janvier a dirigé ceux du gouvernement fédéral qui font respecter Obamacare en attendant qu'il n'existe bientôt pas.
Il a ordonné que les règlements déjà en place soient appliqués avec un ton plus doux et plus bénéfique et il a ordonné qu'aucune pénalité, amende, compensation ou taxe ne soit imposée par l'IRS à toute personne ou entité qui ne respecte pas le mandat individuel, Les impôts sur le temps sont dus le 15 avril, l'IRS sera sans autorité pour imposer ou percevoir la taxe non fiscale, comme le mandat individuel n'existera plus. Pourquoi prendre l'argent des gens qui seront bientôt retournés?
Puis, il a ordonné un acte véritablement révolutionnaire, comme je n'ai jamais vu dans les 45 ans que j'ai étudié et suivi les lois du gouvernement et son administration. Il a ordonné que, lorsque les bureaucrates qui administrent et appliquent la loi disposent d'un pouvoir discrétionnaire en ce qui concerne le temps, le lieu, la manière et la gravité de son exécution, ils doivent exercer ce pouvoir discrétionnaire en faveur des individus et contre le gouvernement.
Cela est radical à partir de n'importe quel président dans l'ère moderne de gouvernement-can-do-no-wrong. Il est bien plus Thomas Jefferson, le champion du petit gouvernement avec qui Trump n'a jamais été associé, que c'est Theodore Roosevelt, le super-régulateur que Trump a déclaré qu'il admire. Il reconnaît la primauté et la dignité de l'individu et la faillibilité de l'État. Il reconnaît la disparition probable d'Obamacare. Il est absolument sans précédent depuis la présidence de Jefferson.
L'acte révolutionnaire de Trump est une brise de liberté sur une mer de régulation. Il reconnaît quelque chose que les gouvernements modernes n'admettent jamais - qu'ils peuvent être et ont été mauvais. C'est exactement ce que Trump avait promis.
http://www.judgenap.com/post/donald-trump-revolutionary
SupprimerDans le 'Comment en est-on arrivé là ?' (outre que Personne n'a rien fait sauf Donald Trump), question est à se poser du comment comprendre ce qui n'a jamais été appris aux habitant(e)s de ce monde. Primo, ce que vous en savez du 'monde' comme de vous-mêmes est une chose décrite dans les merdias (qui ne connaissent rien et inventent ce qu'ils disent ou écrivent) comme étant résultante (de leurs analyses) et non de la votre par vous-mêmes. D'où la distance à prendre entre la merde rencontrée sur votre chemin et l'analyse de l'élément singulier morphologique que représente la nazional socialiste en dehors de quelques chiottes.
La Chine veut devenir leader sur le marché cinématographique mondial
RépondreSupprimerINTERNATIONAL
18:30 27.01.2017
La holding chinoise Dalian Wanda Group a annoncé l’achat de Nordic Cinema Group, le plus grand réseau de cinémas dans les pays scandinaves et baltes. Ainsi, la Chine confirme ses intentions de devenir leader sur le marché cinématographique mondial.
Selon le journal hongkongais South China Morning Post, l'homme d'affaires chinois Wang Jianlin s'apprête à ajouter Nordic Cinema Group, le plus grand réseau de cinémas dans les pays scandinaves et baltes, à son empire cinématographique.
Plus de 730 millions d'internautes en Chine
Le contrôle sur 118 cinémas avec 664 salles en Estonie, Finlande, Lettonie, Lituanie, Norvège et Suède sera acheté pour un montant total de 930 millions de dollars (870 millions d'euros).
Les parties sont parvenues à un accord après l'appel lancé par Wang Jianlin au Forum économique mondial de Davos à ouvrir la voie aux investissements chinois à Hollywood.
Lors d'une discussion à Davos, l'homme d'affaires chinois a confirmé un intérêt pour l'achat de studios hollywoodiens de haut niveau. Il estime également que si l'administration du président américain Donald Trump durcit les mesures concernant les investissements chinois dans l'industrie des loisirs américaine, cela nuira aux deux parties.
Les réseaux neuronaux viennent en aide au monde du cinéma
Par ailleurs, selon le magazine The Hollywood Reporter, la polémique autour de la destitution du chef de Legendary Entertainment Thomas Tull, dont les activités ont été hautement évaluées par Dalian Wanda, a également influencé la situation. Il ne faut pas oublier que c'est sur le marché américain que Dalian Wanda avait pour la première fois manifesté ses intentions de devenir un leader de l'industrie cinématographique.
« Ses activités chinoises ont deux facettes. L'une est commerciale, parce que la Chine s'est lancée dans la course au renforcement des investissements dans les actifs étrangers. Et la deuxième facette consiste à influencer le caractère de la production cinématographique, de manière générale, la production artistique, qui est créée dans le monde. Il ne s'agit pas de tourner des films qui seraient de la propagande en faveur de la Chine. Ce serait trop rude. Le but est de stopper l'apparition des films où la Chine ou ce qui y touche sont décrits de façon négative », signale l'expert de l'Institut de l'Extrême-Orient Alexandre Larine dans un commentaire pour Sputnik.
La Chine n'est pas seulement un grand acheteur de studios et de cinémas à travers le monde entier, elle est aussi un marché énorme pour les films : c'est pourquoi les demandes chinoises concernant le côté artistique de la production sont considérées comme importantes par l'industrie du secteur.
https://fr.sputniknews.com/international/201701271029817955-chine-marche-cinematographique-mondial/
La meilleure armée de la planète ?
RépondreSupprimerPar Le Saker
Le 18 janvier 2017
Dans mon récent article, Les risques et les chances pour 2017, j'ai fait une déclaration qui a choqué de nombreux lecteurs. J'ai écrit :
La Russie est maintenant le pays le plus puissant de la planète. [...] l'Armée russe est probablement la plus puissante et la plus capable sur terre (bien qu'elle ne soit pas la plus grande) [...] la Russie est le pays le plus puissant sur la terre pour deux raisons : elle rejette et dénonce ouvertement le système politique, économique et idéologique mondial, régnant dans le monde entier, que les États-Unis ont imposé à notre planète depuis la Seconde Guerre mondiale, et parce que Vladimir Poutine jouit d'un soutien solide comme le roc de quelques 80% de la population russe. La plus grande force de la Russie en 2017 est morale et politique ; c'est la force d'une civilisation qui refuse de jouer selon les règles que l'Occident a réussi à imposer au reste de l'humanité. Et maintenant que la Russie les a « rejetées » avec succès, d'autres suivront inévitablement (de nouveau, en particulier en Asie).
Si certains ont rejeté ceci comme une hyperbole assez ridicule, d'autres m'ont demandé d'expliquer pourquoi j'arrive à cette conclusion. Je dois admettre que ce paragraphe est quelque peu ambigu : d'abord j'affirme quelque chose de spécifique sur les capacités de l'Armée russe puis les « preuves » que je présente sont de nature morale et politique ! Pas étonnant que certains aient exprimé des réserves.
Effectivement, ce qui figure ci-dessus est un bon exemple de l'une de mes pires faiblesses : j'ai tendance à supposer que j'écris pour des gens qui feront les mêmes hypothèses que moi, considéreront les problèmes de la même manière que moi et comprendront ce qui est implicite. C'est ma faute. Donc aujourd'hui, je vais tenter de préciser ce que je voulait dire et clarifier mon point de vue sur cette question. Pour cela, cependant, un certain nombre de prémisses doivent, je pense, être énoncées explicitement.
Tout d'abord, comment mesure-t-on la qualité d'une armée et comment les armées de divers pays peuvent-elles être comparées ?
La première chose à écarter immédiatement est la pratique totalement inutile connue sous le nom de « décompte des haricots » : compter le nombre de chars, de véhicules blindés pour le transport des troupes, des véhicules blindés de combat d'infanterie, de pièces d'artillerie, d'avions, d'hélicoptères et de navires pour le pays A et le pays B et en déduire lequel des deux est le plus « fort ». Cela n'a absolument aucun sens. Ensuite, deux autres mythes doivent être détruits : que la haute technologie gagne les guerres et que l'argent gagne les guerres. Comme j'ai analysé ces deux mythes en détail ailleurs (ici), je ne le répéterai pas.
Ensuite, je soutiens que le but d'une armée est d'atteindre un objectif politique spécifique. Personne n'entre en guerre uniquement au nom de la guerre, et la « victoire » n'est pas un concept militaire, mais politique. Donc oui, la guerre est la continuation de la politique par d'autres moyens. Par exemple, réussir à dissuader un agresseur potentiel pourrait être compté comme une « victoire » ou, au moins, comme une réussite de votre armée si son but était la dissuasion. La définition de la « victoire » peut comprendre la destruction de l'armée de l'autre, bien sûr, mais ce n'est pas une obligation. Les Britanniques ont gagné la guerre des Malouines/Falklands même si les forces argentines étaient loin d'être détruites. Quelquefois, le but de la guerre est le génocide, et dans se cas se contenter de vaincre une armée ne suffit pas. Prenons un exemple récent : selon une déclaration officielle de Vladimir Poutine, les objectifs officiels des interventions de l'armée russe en Syrie étaient 1) stabiliser l'autorité légitime et 2) créer les conditions d'un compromis politique. Il est indéniable que les forces armées russes ont totalement atteint ces deux objectifs, mais elles l'ont fait sans que cela nécessite une « victoire » impliquant une destruction totale des forces ennemies. En fait, la Russie aurait pu utiliser des armes nucléaires et des tapis de bombes pour balayer Daech, mais cela aurait eu pour résultat une catastrophe politique pour la Russie. Est-ce que cela aurait été une « victoire militaire » ? Dites-le-moi !
RépondreSupprimerDonc si le but de l'armée d'un pays est d'atteindre des objectifs politiques particuliers, cela implique directement qu'il est absurde de dire que l'armée d'un pays peut tout faire, partout et tout le temps. Vous ne pouvez pas avoir une armée indépendamment d'un ensemble de circonstances très spécifiques :
1) Où : Espace/géographique.
2) Quand : moment/durée.
3) Quoi : objectif politique.
Pourtant, ce que nous voyons, notamment aux États-Unis, est une approche diamétralement opposée. C'est quelque chose comme ça : nous avons l'armée la mieux formée, la mieux équipée et la mieux armée sur la terre ; aucun pays ne peut rivaliser avec nos bombardiers furtifs perfectionnés, nos sous-marins nucléaires, nos pilotes sont les mieux entraînés sur la planète, nous avons des capacités de guerre réseau-centrées sophistiquées, d'intervention globale, de reconnaissance et de renseignement basé dans l'espace, nous avons des porte-avions, notre Delta Force peut vaincre n'importe quelle force terroriste, nous dépensons plus d'argent que tout autre pays, nous avons plus de navires que toute autre nation, etc. etc. etc. Cela ne signifie absolument rien. La réalité est que l'armée étasunienne a joué un rôle secondaire dans la Seconde Guerre mondiale sur le théâtre européen et qu'après cela, les seules « sortes de victoire » que les États-Unis ont remportées sont extrêmement embarrassantes : Grenade (à peine), Panama (presque sans opposition. Je vous accorderai que l'armée étasunienne a réussi à dissuader une attaque soviétique, mais je soulignerai immédiatement que les Soviétiques ont ensuite également dissuadé une attaque étasunienne. Est-ce une victoire ? La vérité est que la Chine non plus n'a pas subi d'attaque soviétique ou américaine ; cela signifie-t-il qu'elle a réussi à dissuader les Soviétiques ou les Américains ? Si vous répondez « oui », alors vous devrez admettre qu'elle l'a fait pour une fraction des coûts américains ; donc quelle armée était la plus efficace - celles des États-Unis ou celle de la Chine ? Ensuite, observez toutes les autres interventions militaires étasuniennes, il y en a une liste convenable, et ce que ces opérations militaires ont réellement atteint. Si je devais choisir la « moins mauvaise », je choisirais à contrecœur Tempête du Désert qui a libéré le Koweït des Irakiens, mais à quel prix et avec quelles conséquences ?
Dans la grande majorité des cas, lorsqu'on évalue la qualité de l'armée russe, c'est toujours par comparaison avec les forces armées étasuniennes. Mais cela a-t-il un sens de comparer l'armée russe à une armée qui a une longue histoire d'échec à atteindre les objectifs politiques spécifiques qu'elle s'était fixés ? Oui, les forces armées américaines sont énormes, boursouflées, ce sont les plus chères de la planète, les plus technologiques, et leurs performances effectives assez médiocres sont systématiquement occultées par la machine de propagande la plus puissante de la planète. Mais tout cela les rend-elles efficaces ? Je soutiens que loin d'être efficaces, elles sont fantastiquement gaspilleuses et extraordinairement inefficaces, au moins d'un point de vue militaire.
RépondreSupprimerVous doutez encore ?
Okay. Prenons le « meilleur du meilleur » : les forces spéciales américaines. Nommez-moi s'il vous plaît trois opérations réussies exécutées par les forces spéciales américaines. Non, les petites escarmouches contre des insurgés du Tiers Monde peu entraînés et pauvrement équipés, tués dans une attaque-surprise, ne comptent pas. Quel serait l'équivalent américain de, disons, Operation Chtorm-333, ou la libération de l'ensemble de la péninsule de Crimée sans qu'une seule personne soit tuée ? En fait, c'est une des raisons pour lesquelles la plupart des blockbusters de Hollywood sur les forces spéciales américaines sont basés sur de terribles défaites comme La Chute du faucon noir ou 13 Hours.
Quant à la haute technologie américaine, je ne pense pas avoir besoin de me pencher trop à fond sur les cauchemars du F-35 ou du destroyer de classe Zumwalt, ou expliquer comment des tactiques bâclées ont permis à la défense aérienne serbe d'abattre un F-117A super furtif et censément « invisible » en 1999, en utilisant un ancien missile S-125 datant de l'ère soviétique déployé pour la première fois en 1961 !
Il n'y a aucune Schadenfreude pour moi à me rappeler tous ces faits. Ce que je cherche, c'est briser le réflexe mental qui conditionne tant de gens à considérer l'armée américaine comme une sorte de mètre étalon permettant de mesurer ce que réalisent les autres armées dans le monde. Ce réflexe est le résultat de la propagande et de l'ignorance, pas d'une raison rationnelle. Il en va de même, d'ailleurs, pour les autres armées faisant l'objet d'une hyper-propagande : les FDI israéliennes dont les troupes blindées, les pilotes et les fantassins sont toujours présentés comme extraordinairement bien entraînés et compétents. La réalité est bien sûr qu'en 2006, les FDI n'ont même pas pu sécuriser la petite ville de Bint Jbeil située à seulement 2 km de la frontière israélienne. Pendant 28 jours, les FDI ont tenté d'arracher le contrôle de Bint Jbeil aux forces de second plan du Hezbollah (celui-ci gardait ses meilleures forces au nord de la rivière Litani pour protéger Beyrouth) et ont totalement échoué, en dépit de leur immense supériorité numérique et technologique.
J'ai personnellement parlé à des officiers étasuniens qui se sont formés avec les FDI et je peux vous dire qu'ils n'étaient pas du tout impressionnés. Exactement comme les guérilleros afghans sont totalement unanimes lorsqu'ils disent que le soldat soviétique est bien meilleur que le soldat américain.
RépondreSupprimerParlons de l'Afghanistan
Vous souvenez-vous que la 40e Armée soviétique, qui était chargée de combattre les « combattants de la liberté » afghans, était généralement sous-équipée, sous-entraînée et peu soutenue en termes logistiques ? Alors lisez cet effroyable rapport sur les conditions sanitaires de la 40e Armée et comparez-le avec les 20 milliards de dollars par an que les États-Unis dépensent en air conditionné en Afghanistan et en Irak ! Ensuite comparez les occupations étasunienne et soviétique en termes de performances : non seulement les Soviétiques contrôlaient la totalité du pays le jour (la nuit, les Afghans contrôlaient la plus grande partie des campagnes et les routes), mais ils contrôlaient aussi toutes les grandes villes 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. En revanche, les États-Unis tiennent difficilement Kaboul et des provinces entières sont aux mains des insurgés. Les Soviétiques ont construit des hôpitaux, des barrages, des ponts, etc., alors que les Américains n'ont absolument rien construit. Et comme je l'ai déjà dit, dans toutes les interviews que j'ai vues, les Afghans sont unanimes : les Soviétiques étaient des ennemis beaucoup plus coriaces que les Américains.
Je pourrais continuer sur des pages et des pages, mais arrêtons-nous là et acceptons simplement que l'image de relations publiques de l'armée étasunienne (et israélienne) n'a rien à voir avec leurs capacités et leurs performances effectives. Il y a des choses que l'armée américaine fait très bien (déploiement à longue distance, guerre sous-marine en eaux tempérées, opérations de transport, etc.), mais son efficacité et son efficience sont assez faibles.
Donc qu'est-ce qui rend l'armée russe si bonne ?
D'une part, sa mission, défendre la Russie, est proportionnée aux ressources de la Fédération de Russie. Même si Poutine le voulait, la Russie n'a pas les capacités de construire dix porte-avions, de déployer des centaines de bases outre-mer ou de dépenser plus pour la « défense » que le reste de l'humanité. L'objectif politique spécifique confié à l'armée russe est très simple : dissuader ou repousser toute attaque contre la Russie.
RépondreSupprimerD'autre part, pour accomplir cette mission, l'armée russe doit être capable d'attaquer et de l'emporter à une distance maximale de 1 000 km, ou moins, de la frontière russe. La doctrine militaire russe officielle fixe les limites d'une opération offensive stratégique un peu plus loin et inclut la défaite totale des forces ennemies et l'occupation de leur territoire à une profondeur de 1 200 à 1 500 km, 2011, p.155), mais en réalité cette distance serait beaucoup plus courte, en particulier dans le cas d'une contre-attaque défensive. Ne vous y trompez pas, cela reste une tâche redoutable à cause de l'immense longueur de la frontière russe (plus de 20 000 km), qui traverse presque tous les types de géographie, depuis les déserts et les montagnes arides jusqu'à la région du pôle Nord. Et c'est là l'extraordinaire : l'armée russe est actuellement capable de vaincre n'importe quel ennemi imaginable tout le long de ce périmètre. Poutine lui-même l'a dit récemment lorsqu'il a déclaré que « nous pouvons le dire avec certitude : nous sommes maintenant plus forts que tout agresseur potentiel, quel qu'il soit ! » Je réalise que pour la plus grande partie du public américain, cela sonne comme le baratin typique que tout officier ou politicien étasunien doit dire à chaque occasion publique, mais dans le contexte russe, c'est assez nouveau : Poutine n'avait jamais dit quelque chose de semblable auparavant. Les Russes préfèrent se plaindre de la supériorité qu'ils prêtent à leurs adversaires (eh bien, ils le sont, en nombre - ce que tout analyste militaire russe sait ne rien vouloir dire).
Numériquement, les forces russes sont en effet beaucoup plus modestes que celles de l'OTAN et de la Chine. En fait, on pourrait dire que par rapport à la taille de la Fédération de Russie, son armée est assez petite. C'est vrai. Mais elle est redoutable, bien équilibrée en termes de capacités et fait un usage maximum des caractéristiques géographiques uniques de la Russie.
Aparté La Russie est un pays bien plus « nordique » que, disons, le Canada ou la Norvège. Voyez où se situent la grande majorité des villes et des villages au Canada ou en Scandinavie. Puis regardez une carte de la Russie et les latitudes où sont situées les villes russes. La différence est assez frappante. Prenez par exemple Novossibirsk, qui est considérée en Russie comme une ville méridionale de Sibérie. Elle est presque à la même latitude qu'Edimbourg en Écosse, Grande Prairie en Alberta ou Malmö en Suède.
C'est pourquoi tout l'équipement utilisé par les Forces armées russes doit être opérationnel à des températures allant de -50° à +50°. La plupart des engins occidentaux ne peuvent pas opérer à des températures aussi extrêmes. Bien sûr, il en va de même pour le soldat russe, qui est aussi formé pour agir dans cette gamme de températures.
Je ne pense pas qu'il y ait une autre armée qui puisse prétendre posséder de telles capacités, et très certainement pas les forces armées américaines.
Un autre mythe qu'il faut détruire est celui de la supériorité de la technologie occidentale. Alors qu'il est vrai que dans certains domaines spécifiques, les Soviétiques n'ont jamais été capables de rattraper l'Occident, les micro-puces par exemple, cela ne les a pas empêchés d'être les premiers à développer une grande liste de technologies militaires telles que les radars à réseau en phase sur des intercepteurs, des viseurs montés sur des casques pour les pilotes, des missiles sous-marins à sous-cavitation, des chargeurs automatiques sur les chars, des véhicules blindés déployables en parachute, des sous-marins d'attaque à double coque, des missiles balistiques mobiles, etc. En général, les systèmes d'armement occidentaux tendent à avoir plus de haute technologie, c'est vrai, mais ce n'est pas dû au manque de capacités des Russes, mais à une différence fondamentale dans la conception. En Occident, les systèmes d'armement sont conçus par des ingénieurs qui bricolent ensemble les dernières technologies puis conçoivent une mission autour d'elles. En Russie, l'armée définit une mission puis cherche les technologies les plus simples et les meilleurs marchés susceptibles d'être utilisées pour l'accomplir. C'est pourquoi le MiG-29 russe (1982) n'avait pas de « commande de vol électrique » comme le F-16 américain (1978) mais pratiquait de « vieux » contrôles mécaniques du vol. J'ajouterai qu'un fuselage plus sophistiqué et deux moteurs au lieu d'un pour le F-16 ont donné au MiG-29 un domaine de vol supérieur. En cas de besoin, cependant, les Russes ont utilisé des commandes de vol électrique, par exemple sur le Su-27 (1985).
RépondreSupprimerEnfin, les forces nucléaires russes sont actuellement plus modernes et beaucoup plus performantes que la triade nucléaire américaine, vieillissante en comparaison. Même les Américains l'admettent.
Donc qu'est-ce que tout cela signifie ?
Cela signifie qu'en dépit d'une tâche immensément difficile, l'emporter contre n'importe quel ennemi le long des 20 000 km de la frontière russe et jusqu'à une profondeur de 1 000 km, l'armée russe a constamment démontré qu'elle est capable de dissuader ou de vaincre un ennemi potentiel, que ce soit une insurrection wahhabite (que les experts occidentaux qualifiaient d'« imbattable »), une armée géorgienne entraînée et équipée par l'Occident (en dépit d'un nombre de combattants inférieur pendant les heures cruciales de la guerre avec d'importants problèmes et la faiblesse du commandement et du contrôle), le désarmement de plus de 25 000 soldats ukrainiens (prétendument des cracks) en Crimée sans tirer un seul coup de feu et, bien sûr, l'intervention militaire russe dans la guerre en Syrie où une toute petite force russe a changé le cours de la guerre.
Pour conclure, je veux revenir à ma déclaration sur la Russie comme étant le seul pays qui ose ouvertement rejeter le modèle de civilisation occidental et dont le dirigeant, Vladimir Poutine, jouit du soutien de plus de 80% de la population. Ces deux facteurs sont déterminants dans l'évaluation de l'armée russe. Pourquoi ? Parce qu'ils illustrent le fait que les soldats russes savent exactement pour quoi (ou contre quoi) ils combattent et que quand ils sont déployés quelque part, ils ne le sont pas comme des instruments de Gazprom, Norilsk Nickel, Sberbank ou toute autre entreprise russe : ils savent qu'ils combattent pour leur pays, leur peuple, pour leur liberté et leur sécurité. En outre, le soldat russe sait aussi que l'usage de la force armée n'est pas l'option première et préférée de son gouvernement, mais la dernière à laquelle celui-ci recourt lorsque toutes les autres ont été épuisées. Il sait que le Haut Commandement russe, le Kremlin et l'état-major général ne sont pas déterminés à trouver quelque petit pays à tabasser uniquement pour faire un exemple et faire peur aux autres. Enfin, le soldat russe est prêt à mourir pour son pays en exécutant tous les ordres. Les Russes sont très conscients de cela et c'est pourquoi l'image ci-dessous a récemment circulé sur le Runet [l'Internet russe, NdT] :
RépondreSupprimerLe texte sous les photos dit : « Soldat de l’armée US vs soldat de l’Armée russe, sous contrat, déployés dans une zone de combat. » Le texte central en dessous dit : « L’un des deux doit être nourri, vêtu, armé, payé, etc. À l’autre on doit seulement ordonner « Par là » et il remplira sa mission. À tout prix. »
À la fin, le résultat de toute guerre est décidé par la volonté, je le crois fermement et je crois aussi que c'est le « simple » soldat d'infanterie qui est le facteur le plus important dans une guerre, non le superman super entraîné. En Russie, on les appelle parfois « makhra » - les jeunes gars de l'infanterie, qui ne sont pas beaux, pas particulièrement mâles, sans équipement ni formation spéciaux. Ce sont eux qui ont vaincu les wahhabites en Tchétchénie, à un coût élevé, mais ils l'ont fait. Ce sont eux qui fournissent un nombre impressionnant de héros, étonnant leurs camarades et leurs ennemis par leur ténacité et leur courage. Ils ne font pas bien dans les parades et ils sont souvent oubliés. Mais ce sont eux qui ont vaincu plus d'empires que quiconque et qui ont fait de la Russie le plus grand pays sur la terre.
Donc oui, la Russie dispose aujourd'hui de l'armée la plus performante sur la planète. Il y a beaucoup de pays qui ont aussi d'excellentes armées. Mais ce qui rend celle de la Russie unique est la portée de ses capacités, qui vont des opérations anti-terroristes à la guerre nucléaire internationale, combinée avec la résilience et la volonté étonnantes du soldat russe. Il y a une masse de choses que l'armée russe ne peut pas faire, mais contrairement aux forces armées étasuniennes, l'armée russe n'a jamais été conçue pour faire tout, partout, tout le temps (c'est-à-dire « gagner deux guerres et demie » n'importe où sur la planète).
Pour le moment, les Russes observent comment les États-Unis n'arrivent même pas à prendre une petite ville comme Mossoul, même s'ils ne font que renforcer les forces locales avec beaucoup de « soutien » étasunien et de l'OTAN, et ils ne sont pas impressionnés, c'est le moins qu'on puisse dire. Mais Hollywood fera sûrement un grand blockbuster de cet échec embarrassant et il y aura plus de médailles décernées que de militaires impliqués (c'est ce qui est arrivé après le désastre de Grenade). Et la foule de téléspectateurs sera rassurée que « bien que les Russes aient fait quelques progrès, leurs forces sont encore très loin de celles de leurs homologues occidentaux ». Qui s'en soucie ?
RépondreSupprimerTraduit par Diane, vérifié par Wayan, relu par Cat pour le Saker francophone
http://lesakerfrancophone.fr/la-meilleure-armee-de-la-planete
Imaginez... que les troupes russes soient massées aux frontières de l'Amérique
RépondreSupprimer27 janv. 2017
Inversant le rôle des protagonistes de nombres de crises en cours, le journaliste Neil Clark fustige l'air supérieur et les deux poids deux mesures que l'Occident applique à son analyse de toute l'actualité internationale.
Neil Clark est un journaliste, écrivain et blogueur écossais. Il a écrit pour de nombreux journaux et magazines au Royaume-Uni et dans d'autres pays, dont The Guardian, Morning Star et d'autres. Il est le co-fondateur de la campagne pour la propriété publique PublicOwnership.
Ce qu’il suffit de faire pour mettre en évidence l'énorme hypocrisie et les deux poids deux mesures qui caractérisent la politique, intérieure comme étrangère, c’est d'intervertir les noms.
Les mesures prises par les pays et acteurs approuvés par l’establishment occidental et considérées comme totalement irréprochables auraient été vues comme «absolument scandaleuses» si elles avaient été appliquées contre eux-mêmes.
Voici quelques exemples :
Imaginez... qu’un proche allié de la Russie, dont les troupes avaient été formées par la Russie, bombarde le pays le plus pauvre du Moyen-Orient, avec des bombes à fragmentation fournies par Moscou. En outre, dans le pays attaqué, une famine menace la vie de millions de personnes.
Eh bien, le pays le plus pauvre du Moyen-Orient c’est le Yémen. Il est bombardé et réduit en cendres par l'un des pays les plus riches, l'Arabie saoudite – proche allié de la Grande-Bretagne et qui utilise des bombes à fragmentation britanniques. Et vous savez quoi ? La brigade occidentale des «il faut faire quelque chose!», qui a exprimé tant de préoccupations «humanitaires» à l’égard des combats visant à chasser les terroristes d'Al-Qaïda / Al-Nosra d’Alep, garde le silence. Comme c'est étrange.
Imaginez... qu’un avion transportant les membres d'un célèbre chœur militaire français se soit écrasé le jour de Noël, tuant tous ceux qui étaient à bord et que, très peu de temps après, un important «magazine satirique» russe se soit moqué de la tragédie, dessinant des caricatures du chœur chantant pour «un nouveau public» au fond de la mer, accompagné d’une légende regrettant que la seule «mauvaise nouvelle» soit le fait que le président François Hollande n'ait pas été à bord. Cela aurait provoqué, j'en suis certain, beaucoup de débats «supérieurs» dans les médias occidentaux sur la «dépravation morale» et l'«âme sombre» des Russes. Mais l'avion qui s'est écrasé avait à bord des chanteurs russes. Et c'est le magazine Charlie Hebdo, approuvé par les élites, qui s’est moqué des morts.
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C’est Donald Trump qui a remportée l'élection le 8 novembre, et non Hillary Clinton, il peut donc être visé par le «Deep State»
Il n'y a donc pas eu d’indignation en Occident. Ni d'accusations de «racisme».
Imaginez... que l'OTAN ait été dissoute à la fin de la vieille Guerre froide et non le Pacte de Varsovie. Si, ensuite, la Russie, en rompant les promesses faites au président américain, avait étendu le Pacte de Varsovie jusqu'aux frontières des Etats-Unis, déployant des milliers de troupes et des dizaines de chars et autres matériels militaires au Mexique et au Canada. Les commentateurs de «respectables» revues de l’establishment, auraient-ils qualifié cela d’«agression américaine» ? Je ne pense pas.
RépondreSupprimerImaginez ... qu’un haut responsable politique de l'ambassade de Russie à Londres ait été filmé disant qu’il fallait «chasser de son poste» un ministre britannique des Affaires étrangères jugé trop critique vis-à-vis de la Russie et à l'origine de «beaucoup de problèmes» dans le pays. Qu'il y ait un groupe appelé «Les amis de la Russie du Labour» dont le responsable politique déclarerait que l'ambassade russe a un fonds de plus d'un million de livres pour eux ? On peut être sûr que de tels révélations conduiraient au moins à des expulsions diplomatiques, à l'annonce d'une enquête gouvernementale complète, ainsi qu'à une série d'articles sur l'ingérence «scandaleuse» de la Russie dans les affaires politiques britanniques. Mais le haut fonctionnaire politique filmé travaillait pour Israël, et l'intrigue concernant le «retrait» potentiel d’un ministre britannique de son poste a été considérée comme une information finalement pas si importante. Considérée ainsi par, plus ou moins, les mêmes personnes qui nous auraient dit qu’il s’agissait d’une histoire très importante si la Russie avait été impliquée.
Imaginez... qu’en novembre dernier Hillary Clinton ait remporté les élections présidentielles américaines à la place de Donald Trump et que les partisans de Trump se comportent comme ceux de Clinton. Que les responsables du renseignement aient tenté de délégitimer la victoire de Hillary en revendiquant l'ingérence de l'Arabie saoudite dans l'élection, et a fourni, en tant que preuve, un document attirant l'attention sur la position dite «pro-Clinton» de la télévision saoudienne.
Ensuite, une semaine avant l'inauguration prévue de Hillary Clinton, que les médias américains auraient publié un dossier compilé par un ex-officier du renseignement d'un autre pays affirmant que l'Arabie saoudite faisait chanter Clinton, même si le dossier n’a pas été vérifié et qu'il contient des erreurs factuelles. Les journaux – j’en suis certain – seraient remplis de commentaires des experts «libéraux», furieux à cause d’un «coup d’Etat» et des tentatives anti-démocratiques de refuser les résultats des élections. Cependant, c’est Donald Trump qui l’a remportée le 8 novembre, et non Hillary Clinton, il peut donc être visé par le «Deep State». Tout cela au nom de la «démocratie».
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Imaginez... que la Russie ait dépensé cinq milliards de dollars pour tenter d'organiser un changement de régime au Canada
RépondreSupprimerImaginez... que le chef du Parti travailliste britannique Jeremy Corbyn ait exhorté les députés socialistes à soutenir un projet de «Missile de la paix» qui coûterait au contribuable britannique au moins 31 milliards de livres sterling et peut-être jusqu'à 205 milliards de livres sterling pour toute la durée de vie du missile. Que Corbyn ait loué le «Missile de la paix» comme «valant chaque penny dépensé» et étant absolument essentiel pour le Royaume-Uni et pour la paix dans le monde. Qu’ensuite, après que le vote du Parlement en faveur du projet, on apprenne que le missile de la paix aurait raté un test et que Corbyn aurait gardé le silence à ce sujet. A quatre reprises il aurait été interrogé par Andrew Marr de la BBC pour savoir s'il était au courant de l'échec du test raté, et, à quatre reprises, il aurait évité de répondre à la question.
A coup sûr les appels à la démission de Corbyn auraient été assourdissants. Il y aurait également eu de redoutables dénonciations de «l'énorme gaspillage» de l'argent des contribuables pour ce «projet issu de la vanité socialiste». Un nouveau vote sur le «Missile de la paix» aurait lieu. Mais c’est le Trident approuvé par les élites et non un «Missile de la paix» socialiste qui a échoué. La réponse a donc été bien différente.
On nous dit que ce dysfonctionnement de la «dissuasion nucléaire indépendante» de la Grande-Bretagne et le fait que le gouvernement ne parvienne pas à l'évoquer avant que le Parlement ne vote son renouvellement – ce n'est pas grave. Que l'échec du Trident vaut encore la peine de dépenser des milliards de livres des contribuables à une époque d'austérité. Et, bien sûr, il n'est absolument pas nécessaire que le Parlement débatte à nouveau de la question...
Imaginez... que la Russie ait dépensé cinq milliards de dollars pour tenter de favoriser un changement de régime au Canada, des néonazis étant à l'avant-garde des manifestations anti-gouvernementales. Que les néo-nazis et les ultra-nationalistes – en souvenir des divisions SS des temps de guerre – fassent des manifestations aux flambeaux dans le nouveau Canada «démocratique».
Nous pourrions nous attendre à des condamnations et à des dénonciations des «liens» de la Russie avec l'«extrême droite». Mais c’est ce qu'il se passe en Ukraine. Et, devinez quoi ? La brigade fasciste occidentale n'est pas du tout intéressée.
Lire aussi : Quand Washington veut un cessez-le-feu, ce ne peut pas être bon pour la paix
https://francais.rt.com/opinions/33081-imaginez-troupes-russes-frontieres-amerique
L'Allemagne a consacré plus de 21 milliards d'euros pour absorber les migrants en 2016
RépondreSupprimer27 janv. 2017, 14:49
Le ministère des Finances allemand a publié un rapport mensuel sur lequel le «Spiegel» s'est penché. Selon le magazine, Berlin aurait ainsi consacré des dizaines de milliards d'euros depuis 2015, soit plus de 96 milliards d'ici à 2020 au total.
Selon un rapport du ministère des Finances allemand publié ce 27 janvier 2017, le gouvernement d'Angela Merkel a dépensé quelque 21,7 milliards d'euros pour faire face à la crise migratoire. Et pour 2017, 21,3 milliards sont d'ores et déjà provisionnés.
Cela comprend les frais d'accueil, d'enregistrement des migrants mais aussi de logement, soit plus de 3 milliards d'euros, auxquels il faut ajouter 9,3 milliards versés directement aux régions allemandes, les Länders, pour faire face plus localement et directement à la même tâche.
Plan de «relance économique» ?
Le gouvernement fédéral allemand présente la dépense comme un «paquet de mesures de stimulus économique, mais si l'argent est bel et bien injecté dans l'économie selon la doctrine keynésienne, où il est censé générer de l'activité, il vient tout de même de la poche du contribuables.
«Vous pouvez le voir aussi comme un plan de relance économique», estime Ferdinand Fichtner, chef de l'Institut allemand de recherche économique, le DIW, et cité par le magazine allemand Der Spiegel, précisant qu'une grande part des sommes versées par l'Etat fédéral ont été dépensées en approvisionnement de nourriture et en logements pour les migrants, faisant travailler les entrepreneurs et les fournisseurs locaux.
Selon les chiffres officiels, l'Allemagne a accueilli quelque 890 000 migrants en 2015 pour ensuite réduire le flux à 600 000 en 2016 selon les chiffres de l'agence Reuters, et 400 000 prévus pour 2017.
Angela Merkel en difficulté quant à sa politique migratoire
La politique de «porte ouverte» à l'immigration de masse d'Angela Merkel fait l'objet de nombreuses critiques en Allemagne, du parti souverainiste Alternative pour l'Allemagne (AfD) jusque dans les rangs même du parti de la chancelière, alors que cette dernière brigue un quatrième mandat en 2017. A la tête de l'Etat fédéral allemand même, Sigmar Gabriel, vice-chancelier allemand a appelé en janvier 2017 à tolérance zéro à l'égard de l'islamisme et à la fermeture des mosquées salafistes.
Angela Merkel a, pour sa part, reconnu des erreurs dans sa politique migratoire, après la série d'attaques qu'a connue l'Allemagne. Après la vague d'agressions sexuelles de Cologne du 31 décembre 2015 à l'attentat au camion du marché de Noël de Breitscheidplatz à Berline un an plus tard, en passant par les nombreuses attaques de l'été 2016, les lignes ont bougé en Allemagne, concernant le bien-fondé du «multi-culturalisme». Pour espérer l'emporter la chancelière a dû amender ses positions sur la question et se montrer plus dure, au risque de brouiller son message.
Lire aussi : La Turquie pourrait annuler l'accord sur les migrants après le refus grec d'extrader ses militaires
https://francais.rt.com/economie/33074-allemagne-depense-21-milliards-migrants
Non, les Russes ne sont pas soudainement autorisés à battre leurs femmes !
RépondreSupprimer27 janv. 2017, 19:56
La loi sur la dépénalisation des violences conjugales, adoptée par le Parlement russe le 25 janvier, a provoqué un tollé. Signerait-elle le retour de la Russie dans le Moyen Age ? Explications.
Qui aime bien châtie bien. Les parlementaires russes semblent suivre la sagesse populaire dans leur manière d'envisager la loi. Pourtant, la mesure juridique récemment prise au sujet des violences domestiques devrait bel et bien profiter aux victimes de violences conjugales.
La nouvelle responsabilité administrative
Les gestes sans incidence sur la santé à l’égard des membres de la famille ne sont plus punis d'une peine pouvant aller jusqu’à deux ans de prison, mais relèvent désormais de l'ordre de la responsabilité administrative et sont sanctionnés par 15 jours d’arrêts administratifs, d’une amende de 30 000 roubles (476 euros) ou de 180 heures de travaux d’intérêt général.
Ainsi, les violences conjugales, définies comme les gestes sans incidence sur la santé précités, sont désormais, d'un point de vue juridique, ramenés au même niveau qu’une bagarre de rue qui vous aurait causé quelques bleus et écorchures (sans plus !). Comme ce fut le cas pour le jeune Breton qui a giflé Manuel Valls.
Dépénalisation totale ? Pas si vite
Mais alors, le droit pénal russe protège-t-il toujours les victimes de violences conjugales ? Bien évidemment.
Si les violences infligent un dommage quelconque à la santé d'une personne – de gravité légère, moyenne ou grave, ce qui doit être défini par un médecin – elles restent sanctionnées par le Code pénal.
De plus, selon les nouveaux amendements, la responsabilité pénale pourra être engagée même en l’absence de dommage à la santé, en vertu du simple fait que l'auteur du délit a déjà été sous le coup d'une sanction administrative pour violences conjugales.
Dans tous ces cas, la peine pourra toujours aller jusqu’à deux ans d'emprisonnement.
Faciliter l'arrestation des agresseurs familiaux
Le problème que soulèvent les défenseurs des droits des femmes est que peu de victimes de violences conjugales portent plainte – que ce soit à cause de la peur d’être stigmatisée comme une «femme qui a mis son mari en prison» ou par peur de ne pas réussir à prouver les violences – présomption d’innocence, que voulez-vous, et complexité de la procédure pénale.
Plus précisément, près de 70% des victimes de violences domestiques ne portent pas plainte, indique le directeur adjoint du Centre national russe de prévention de la violence «Anna», Andreï Sinelnikov, cité par le quotidien russe RBK.
Désormais tout va se simplifier : la police ne sera plus empêchée, en vertu des règles complexes de procédure pénale, d'intervenir dans les cas des violences familiales et d'éloigner l’agresseur du lieu où le délit a été constaté, et ce pour 15 jours.
La fin d'une discrimination
RépondreSupprimer«Nous avions une situation épouvantable où les violences conjugales relevaient de la responsabilité pénale, alors que si des violences du même ordre étaient infligées par quelqu'un d'autre qu'un membre de la famille (un voisin, un passant dans la rue ou un camarade d’école), elles relevaient d’une responsabilité administrative», a expliqué à l’agence Interfax l’avocat et membre de la Chambre civile Anatoli Koutcherena. Pour lui, la nouvelle législation est, contrairement à ce que disent les critiques de la loi, une sorte de «prévention» des violences conjugales.
79% des Russes condamnent les violences conjugales
Selon les statistiques du ministère russe de l’Intérieur un meurtre sur onze a lieu dans une famille. Sur la période allant de janvier 2015 à septembre 2016, 19 000 meurtres ont été recensés en Russie et, dans 1 700 cas, le meurtrier et la victime était des parents proches. Sur la même période 539 femmes et 56 enfants sont morts des suites de violences au sein de la famille. Malgré la gravité de ces situations et l'absolue nécessité de prévenir de tels drames, on est loin des 10 000 femmes russes tombant sous les coups de leur mari dont parlent les journalistes de Marianne.
Les Russes, selon les informations du Centre d’étude de l’opinion publique, condamnent à 79% les violences conjugales. Cependant, 59% d’entre eux étaient pour un assouplissement de la législation existante, estimant que la nouvelle mesure pourrait avoir un impact positif pour combattre les phénomènes de violence conjugale.
https://francais.rt.com/international/33099-non-russes-ne-sont-pas-autorises-battre-femmes
«Meurtre à la Maison Blanche» : quand un patron de presse allemand recommande l'assassinat de Trump
RépondreSupprimer27 janv. 2017, 18:38
Qui veut la peau de Donald Trump ? Devant les lenteurs administratives que pourrait entraîner une procédure de destitution, un directeur de rédaction a suggéré une solution peu orthodoxe : l'assassinat du président américain à la Maison Blanche.
Josef Joffe, le directeur de la rédaction du journal allemand Die Zeit, a provoqué une polémique après avoir suggéré que le seul moyen d'empêcher la «catastrophe Trump» était de tuer le président américain à la Maison Blanche.
Lire aussi
La vidéo a causé un scandale sur les réseaux sociaux Un prof de lycée américain fait scandale en mimant l'assassinat de Trump dans sa classe
La scène a eu lieu le 25 janvier lors d'un épisode du «Presse Club», un show retransmis par le radiodiffuseur public allemand ARD. La publiciste Constanze Stelzenmüller répondait à une auditrice qui s'enquerrait des voies légales et des détails juridiques permettant la destitution de Donald Trump. Dans son explication, Constanze Stelzenmüller indiquait notamment que la procédure officielle d'impeachment était longue et complexe.
«Une majorité qualifiée des deux tiers du Sénat doit voter en faveur de la destitution pour que cela arrive. Il y a un certain nombre d'obstacles politiques et juridiques, il faudrait que beaucoup de choses se passent pour en arriver là», était-elle en train d'expliquer lorsque Josef Joffe lui a coupé la parole.
Suggérant un moyen plus simple de se débarrasser de l'encombrant Donald Trump, l'éminent journaliste a déclaré : «Un meurtre à la Maison Blanche, par exemple».
Boutade ou appel au meurtre à peine déguisé ? La pique mordante contre le président américain n'a peut-être pas surpris le public à cause du parti anti-Trump défendu par son journal, Die Zeit. Néanmoins, cette petite phrase présentant in fine comme positif l'assassinat de Donald Trump a beaucoup choqué.
Par ailleurs, le site d'information Breitbart, dont l'ancien responsable Stephen Bannon est désormais stratège en chef de Donald Trump, a indiqué que les propos de Josef Joffe pourraient entraîner une enquête de la police allemande à son encontre.
En effet, une loi allemande encadre et restreint les insultes proférées contre les chefs d'Etats étrangers. C'est par exemple en vertu de cette loi qu'a été réalisée, l'année dernière, une enquête sur le comédien Jan Böhmermann qui avait déclamé un poème qualifié d'insultant par le président turc, Recep Tayyip Erdogan.
Toutefois, le ministre allemand de la Justice a récemment qualifié cette loi «de non-nécessaire et obsolète», indiquant qu'elle pourrait être abrogée ou modifiée.
Lire aussi : CNN accusée d'inciter au meurtre de Donald Trump après la diffusion d'un sujet catastrophe
Ce n'est pas la première fois que des appels au meurtre «parodiques» ont lieu à l'encontre du président américain.
La chaîne d'information en continu CNN, a par exemple été critiquée pour avoir réalisé un reportage sur une possible vague d'assassinats lors de l'investiture de Donald Trump. Beaucoup d'internautes y avaient vu une incitation au meurtre.
RépondreSupprimerLire aussi : Issu d'une famille proche des Clinton, il est arrêté pour avoir menacé d'assassiner Donald Trump
https://francais.rt.com/international/33092-meurtre-maison-blanche-quand-patron-presse-allemand-recommande-assassinat-trump
Un prof de lycée américain fait scandale en mimant l'assassinat de Trump dans sa classe
RépondreSupprimer27 janv. 2017, 13:49
La vidéo a causé un scandale sur les réseaux sociaux
L'enseignante d'un lycée de Dallas a été suspendue après avoir posté une vidéo d'elle sur Instagram en train de mettre en scène l'assassinat de Donald Trump avec un pistolet à eau dans une salle de classe. La vidéo a fait scandale.
Enseignante dans un lycée de Dallas, Payal Modi a provoqué un scandale en pointant un pistolet à eau sur la projection d'une image du président américain durant sa cérémonie d'investiture en hurlant : «Meurs !»
D'abord postée sur son compte Instagram avec le commentaire «Je regarde l'investiture dans ma classe... #Non #Stop #déni #pistoletàeau #hypocrisie #impuissant #sauveznous #apprenezleur #aumoinscestvendredi», la vidéo a été supprimée, et son compte rendu privé.
Lire aussi : Investiture de Trump : ni assassinat sauce CNN ni destitution à prévoir mais un discours d'unité
Certains sont toutefois parvenus à la télécharger avant de la reposter sur d'autres plateformes, afin que l'affaire devienne virale.
Des voix peuvent être entendues au fond de la salle, mais pour le moment l'administration de l'établissement scolaire n'a pas été capable de déterminer si des élèves étaient présents lors du tournage.
Le service en charge de l'éducation à Dallas a publié un communiqué sur le sujet, affirmant qu'une enquête était en cours. «Aujourd'hui nous avons découvert un contenu sur les réseaux sociaux impliquant un professeur du lycée W. H. Adamson High School. Le professeur a été placé en congé administratif et le district a ouvert une enquête», a-t-il fait savoir.
Lire aussi : CNN accusée d'inciter au meurtre de Donald Trump après la diffusion d'un sujet catastrophe
https://francais.rt.com/international/33071-etats-unis-meurs-professeur-lycee-trump-assassinat
L'Europe propose "Restrictions sur les paiements en espèces"
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Jan 27, 2017 9h36
Après avoir abandonné sa production de billets de 500 euros, il semble que l'Europe se charge du rêve utopique d'une société sans numéraire. Quelques jours après que les élites de Davos aient discuté de la raison pour laquelle le monde avait besoin de «se débarrasser de la monnaie», la Commission européenne a présenté une proposition imposant des «restrictions sur les paiements en espèces».
Avec Rogoff, Stiglitz, Summers et al. Tous appelant à la fin de l'argent comptant - parce que seuls les terroristes et les trafiquants de drogue ont besoin d'argent (rien du tout à voir avec le contrôle totalitaire sur la richesse d'une nation) - nous ne sommes pas surpris que cette proposition de la Commission européenne (sanctuaire de l'étatisme) ...
La Commission a publié le 2 février 2016 une communication au Conseil et au Parlement sur un plan d'action visant à intensifier la lutte contre le financement du terrorisme (COM (2016) 50). Le plan d'action s'appuie sur les règles européennes existantes pour s'adapter aux nouvelles menaces et vise à actualiser les politiques de l'UE conformément aux normes internationales. Dans le cadre de l'action de la Commission visant à étendre le champ d'application du règlement relatif au contrôle des liquidités entrant ou sortant de la Communauté, il est fait référence à la pertinence d'examiner la pertinence des limites supérieures potentielles des paiements en espèces.
Le Plan d'action prévoit que «les paiements en espèces sont largement utilisés dans le financement d'activités terroristes ... Dans ce contexte, la pertinence des limites supérieures potentielles des paiements en espèces pourrait également être explorée. seuil."
L'argent a l'avantage important d'offrir l'anonymat aux transactions. Un tel anonymat peut être souhaité pour des raisons légitimes (par exemple, la protection de la vie privée). Mais cet anonymat peut également être utilisé à des fins de blanchiment d'argent et de financement du terrorisme. La possibilité de réaliser d'importants paiements en espèces facilite les activités de blanchiment d'argent et de financement du terrorisme en raison de la difficulté de contrôler les transactions de paiement en espèces.
...
Les restrictions potentielles aux paiements en espèces seraient un moyen de lutter contre les activités criminelles entraînant d'importantes transactions de paiement en espèces par les réseaux criminels organisés. La restriction des paiements importants en espèces, en plus des déclarations en espèces et autres obligations en matière de LBC, entraverait l'exploitation des réseaux terroristes et d'autres activités criminelles, c'est-à-dire un effet préventif. Il faciliterait également la poursuite des enquêtes afin de suivre les transactions financières dans le cadre d'activités terroristes. Les enquêtes efficaces sont entravées car les opérations de paiement en espèces sont anonymes. Ainsi, les restrictions aux paiements en espèces faciliteraient les enquêtes. Toutefois, au fur et à mesure que les transactions au comptant sont transférées au système financier, il est essentiel que les institutions financières disposent de contrôles et de procédures adéquats leur permettant de connaître la personne avec laquelle ils travaillent. Une diligence raisonnable suffisante sur les clients nouveaux et existants est un élément clé de ces contrôles, conformément à l'AMLD.
Les terroristes utilisent l'argent comptant pour soutenir leurs activités illégales, non seulement pour les transactions illégales (par exemple l'acquisition d'explosifs), mais aussi pour les paiements qui sont en apparence légal (par exemple les transactions d'hébergement ou de transport). Si une restriction des paiements en espèces serait certainement ignorée pour les transactions qui sont en tout cas déjà illégales, la restriction pourrait créer un obstacle important à la conduite d'opérations accessoire aux activités terroristes.
RépondreSupprimer...
Le crime organisé et le financement du terrorisme se fondent sur des fonds pour les paiements liés à la réalisation de leurs activités illégales et à leur bénéfice. En limitant les possibilités d'utilisation de liquidités, la proposition contribuerait à perturber le financement du terrorisme, car la nécessité d'utiliser des moyens de paiement non anonymes dissuaderait l'activité ou contribuerait à faciliter sa détection et son enquête. Une telle proposition viserait également à harmoniser les restrictions à l'échelle de l'Union, créant ainsi des conditions égales pour les entreprises et éliminant les distorsions de concurrence sur le marché intérieur. Elle favoriserait en outre la lutte contre le blanchiment d'argent, la fraude fiscale et le crime organisé.
Et puis à la fin, ils mentionnent les «droits fondamentaux» ...
Bien que le fait d'être autorisé à payer en espèces ne constitue pas un droit fondamental, l'objectif de l'initiative, qui est d'empêcher l'anonymat que les paiements en espèces permettent, pourrait être considéré comme une atteinte au droit à la vie privée consacré par l'article 7 de la Charte européenne Droits fondamentaux. Toutefois, comme cela est complété par l'article 52 de la Charte, les limitations peuvent être assujetties au principe de proportionnalité si elles sont nécessaires et répondent réellement aux objectifs d'intérêt général reconnus par l'Union ou à la nécessité de protéger les droits et libertés d'autrui. Les objectifs de restrictions potentielles aux paiements en espèces pourraient correspondre à cette description. Il convient également d'observer que les restrictions nationales aux paiements en espèces n'ont jamais été contestées avec succès en raison d'une atteinte aux droits fondamentaux.
Proposition complète ci-dessous ...
Voici quelques réflexions récentes sur la question de Simon Black, de Sovereignman, qui a précisé auparavant que la guerre contre les liquidités se produisait plus vite que nous ne l'aurions pu imaginer, et de façon prévisible, repose sur des mensonges.
Chaque fois que nous nous tournons, il semble, il ya un autre assaut majeur dans la guerre contre l'argent. L'Inde est l'exemple le plus frappant - la débâcle embarrassante il y a quelques semaines où le gouvernement, au lendemain, «démonetisé» ses deux plus grandes coupures d'argent, laissant toute une nation dans le chaos. Mais il ya eu beaucoup d'exemples plus petits.
Dans la ville américaine de la Nouvelle-Orléans, le gouvernement local a décidé plus tôt ce mois-ci d'arrêter d'accepter les paiements en espèces des conducteurs à l'Office of Motor Vehicles. Comme je vous l'ai écrit récemment, plusieurs succursales de Citibank en Australie ont cessé de traiter en espèces tout à fait. Et l'ancien secrétaire américain au Trésor, Larry Summers, a publié un article la semaine dernière déclarant que «rien dans l'expérience indienne ne nous permet de recommander qu'aucune note plus importante ne soit créée aux États-Unis, en Europe et dans le monde. Le chaos de l'Inde, Summers pense que nous devrions encore réduire la facture de 100 $.
RépondreSupprimerLe conclave des grands prêtres de la politique monétaire chante presque invariablement le même refrain: seuls les criminels et les terroristes utilisent de fortes deniers de trésorerie. Ken Rogoff, professeur à Harvard et ancien fonctionnaire du Fonds monétaire international et de la Réserve fédérale, a récemment publié un livre intitulé The Curse of Cash. Ben Bernanke a qualifié cela de «livre fascinant et important».
Et, choquant, un certain nombre de commentaires sur Amazon.com éloge «brillant» Rogoff «concepts visionnaires» dans son «excellent livre». Rogoff, comme la plupart de ses collègues, soutient que les grands projets de loi tels que la note de 100 ou 500 euros ne sont utilisés que dans le commerce de la drogue, l'extorsion, les pots-de-vin, la traite des êtres humains. . . "En fait, ils se plaisent à se référer à la note de 500 euros comme le" Ben Laden ", car il est apparemment utilisé uniquement par des terroristes.
Laisse-moi tranquille. Mon équipe et moi avons fait des recherches à ce sujet et avons trouvé des données assez intéressantes. Il s'avère que les pays qui ont des deniers alimentaires plus élevés ont en réalité des taux de criminalité beaucoup plus bas, y compris les taux de criminalité organisée.
La recherche était simple; Nous avons examiné le classement concurrentiel du Forum économique mondial qui évalue les niveaux de criminalité organisée des pays ainsi que les coûts directs des entreprises pour faire face à la criminalité et à la violence.
La Suisse, avec ses 1000 francs suisses (environ 1 000 USD), compte parmi les niveaux les plus bas de criminalité organisée dans le monde selon le FEM. Idem pour Singapour, qui a une note de 1 000 dollars de Singapour (environ 700 $ US). La plus haute dénomination de devise du Japon est de 10 000 yens, soit 88 dollars aujourd'hui. Pourtant, le Japon a aussi des taux de criminalité extrêmement faibles. Idem pour les Emirats Arabes Unis, dont la plus haute dénomination est le 1 000 dirham (272 $).
Si l'on examine les pays où les deniers sont très faibles, c'est le contraire qui est vrai: les taux de criminalité, et en particulier les taux de criminalité organisée, sont extrêmement élevés. Considérez le Venezuela, le Nigeria, le Brésil, l'Afrique du Sud, etc. Le crime organisé est répandu. Pourtant, chacun d'eux a une devise dont la dénomination maximale est inférieure à 30 $.
Il en va de même pour la corruption et l'évasion fiscale.
RépondreSupprimerHier, nous vous écrivions au sujet de la Géorgie, un petit pays de la mer Noire dont la taxe forfaitaire a incité la conformité fiscale (et les recettes fiscales) à monter en flèche. Il est considéré comme l'un des endroits les plus efficaces pour faire des affaires avec de très faibles niveaux de corruption. Et pourtant, la plus haute note de dénomination en Géorgie est le projet de loi de 500 lari, une valeur d'environ 200 $. C'est beaucoup d'argent dans un pays où le salaire moyen est de quelques centaines de dollars par mois. Comparez cela à la Malaisie ou l'Ouzbékistan, deux pays où la corruption abonde. Malaisie note de trésorerie supérieure est de 50 ringgit, la valeur d'environ 11 $. Et les 5 000 som de l'Ouzbékistan vaut à peine 1,57 $.
En bout de ligne, les établissements politiques et financiers veulent que vous accepter volontiers à bord avec l'idée d'abolir, ou du moins de réduire, de trésorerie.
Et ils répandent toutes sortes de propagande pour le faire, en essayant d'amener les gens à assimiler le crime et la corruption avec de fortes denrées d'argent.
Autrement dit, les données ne confirment pas leur affirmation. C'est juste un autre canular qui leur donnera plus de pouvoir au détriment de votre vie privée et la liberté.
H / t @fiatcurrency
http://www.zerohedge.com/news/2017-01-27/europe-proposes-restrictions-payments-cash
SupprimerAlors que l'europe doit disparaître dans son union non-votée par ses habitants et ses 'dirigeants' non-élus par eux, et que l'euro doit être abandonné cette année, voila qu'ils proposent de faire main-basse sur la totalité de l'argent sur compte en interdisant les billets !
Migrant noyé à Venise : On ne peut pas accueillir «la moitié du monde», dit le maire
RépondreSupprimer27 janv. 2017, 23:06
L'édile de la ville italienne a annoncé qu’il prendra en charge l’enterrement du jeune migrant africain mort noyé sous les insultes racistes le 22 janvier. Il souligne cependant que l'Italie ne peut plus faire face à une telle vague d'immigration.
Pateh Sabally, gambien d’une vingtaine d’années installé en Italie depuis 2015, aurait tenté de mettre fin à ses jours en sautant dans le Canal Grande de Venise le 22 janvier. Il n’a pas survécu. Plus que les motivations de son geste, ce sont les circonstances de sa mort qui ont ému en Italie et plus largement à l’étranger. En effet, des enregistrements vidéos de la scène montrent que, non seulement, la majorité des témoins n’ont pas tenté de lui venir en aide mais qu’en plus, certains d’entre eux lui ont lancé des moqueries. «Il est stupide. Il veut mourir», «Vas-y, rentre chez toi», «Laissez-le mourir à ce moment», pouvait-on notamment entendre sur les différentes vidéos qui ont circulé.
La police traite l’affaire comme un suicide mais a ouvert une enquête après le visionnage de ces extraits pour les moins dérangeants. Les autorités s’affairent en ce moment à regarder en détails les données contenues dans quatre téléphones mobiles et les enregistrements fait par CCTV dont des membres se trouvaient sur les lieux.
Geste de respect mais fermeté
L’événement a fait scandale. Le 27 janvier, un prêtre local a organisé un événement pour rendre hommage à Pateh Sabally. Le maire de la cité des Doges, Luigi Brugnaro, a annoncé quant à lui qu’il prendrait en charge les funérailles du jeune homme. Les fonds nécessaires seront prélevés sur l’allocation personnelle de l’édile. Il a affirmé que ceci constitue «un geste de respect de la part de Venise envers Pateh Sabally et ses rêves brisés».
Nous ne pouvons continuer à nourrir les espoirs de la moitié du monde
«La mort de ce jeune homme nous a tous attristé et nous ressentons de la pitié pour ceux qui, après avoir affronté les difficultés de la vie, ne trouvent plus la force de lutter contre le désespoir», a-t-il ajouté.
Cependant, Luigi Brugnaro a averti qu’il ne fallait pas politiser la mort du jeune migrant qu’il a décrit comme «un acte personnel motivé par le désespoir». Il s’en est pris à ceux qui souhaitent récupérer le drame pour provoquer la controverse.
Le maire de Venise a tenu à faire passer un message aux «bienfaiteurs» : «Nous ne pouvons continuer à nourrir les espoirs de la moitié du monde qui vient en Italie. Tout le monde a besoin de réaliser que c’est impossible pour notre pays de continuer à gérer un phénomène à si grande échelle de la manière dont cela a été fait jusqu’à maintenant.» Avant d’ajouter : «Nous avons besoin de comprendre, à l’avenir, ce que tout ceci implique, au-delà des tragédies et des souffrances des migrants et des réfugiés.»
https://francais.rt.com/international/33103-venise-paiera-funerailles-migrant-noye-sous-insultes-racistes
SupprimerRéfugié kenyan de CasaBlanca ?
Trump signe un décret destiné à stopper l'entrée aux Etats-Unis de terroristes islamiques radicaux
RépondreSupprimer27 janv. 2017, 22:58 - Avec AFP
Le président des Etats-Unis Donald Trump a annoncé le 27 janvier avoir pris un décret en matière d'immigration prévoyant des contrôles renforcés aux frontières destinés à stopper l'entrée éventuelle de terroristes islamiques radicaux.
Et un nouveau décret. Depuis son entrée à la Maison Blanche, Donald Trump ne lâche plus le stylo.
Le 27 janvier, il a signé un nouveau décret imposant des contrôles plus strictes afin d'empêcher les terroristes étrangers d'entrer aux Etats-Unis.
Nous voulons seulement accueillir dans notre pays ceux qui nous soutiennent et aiment profondément notre peuple
«J'établie de nouvelles règles en matière d'immigration afin de maintenir les terroristes islamistes en dehors des Etats-Unis d'Amérique», a déclaré le 45ème président américain lors d'une cérémonie au Pentagone. «Nous voulons seulement accueillir dans notre pays ceux qui nous soutiennent et aiment profondément notre peuple», a-t-il ajouté.
Donald Trump a également signé un texte censé redessiner l'armée américaine «en développant de nouveaux avions, navires, ressources et outils pour nos hommes et femmes sous les drapeaux».
https://francais.rt.com/international/33102-trump-prend-decret-pour-stopper-islamistes-radicaux
Comment vaincre le système Globalist
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Jan 27, 2017 10:00 PM
Soumis par Brandon Smith via Alt-Market.com,
Dans mes deux derniers articles, «Comment les internationalistes prédisent votre comportement» et «Comment prédire le comportement des mondialistes», j'ai expliqué les bases fondamentales derrière un concept avec lequel la plupart des gens ne sont pas familiers. Ils sont tellement peu familiers avec elle, en fait, que je n'ai pas pris la peine de le nommer. Dans cet article, j'espère l'expliquer, mais je recommande vivement les gens de lire les articles précédents de cette série avant d'aller de l'avant.
Ce que j'ai décrit, essentiellement, était un cours de débutants sur la guerre de 4e génération. Cette méthodologie est difficile à résumer, mais je vais énumérer ici ce que je crois être certains de ses principes fondamentaux.
La guerre de quatrième génération est basée sur une leçon primaire dans l'art de la guerre de Sun Tzu. Sun Tzu soutient dans le tome militaire classique que les plus grands stratèges gagnent des guerres en ne luttant pas, ou du moins en ne luttant pas ouvertement et directement contre leurs adversaires. C'est-à-dire qu'ils gagnent en convainquant leurs adversaires que la lutte est futile et que la reddition est préférable, ou qu'ils convainquent leurs adversaires de se détruire par le biais de conflits internes et de sabotage psychologique. Sun Tzu a estimé que cette méthode était bien supérieure à l'engagement dans le combat direct dans un espace de combat du monde réel.
Bien que cela puisse paraître bizarre pour certains, il devient de plus en plus évident (à mon avis) que la guerre de 4ème génération est maintenant l'arme irréprochable pour les globalistes. Vaincre le système établi par les globalistes, un système prévalent depuis des décennies, est une tâche impossible à moins que la guerre de 4ème génération est comprise.
Un exemple classique d'une forme éprouvée de 4ème Génération attaque est d'initier une guerre civile au sein d'une population cible, et dans la plupart des cas, le contrôle de la direction des deux côtés de ce conflit. Une autre méthode consiste à conjurer un ennemi, une menace extérieure qui peut être légitime ou entièrement fabriquée, et utiliser cet ennemi pour pousser une population cible à s'unifier sous une bannière particulière qui profite à la cabale mondialiste à long terme. La quatrième génération exige de la patience avant tout.
En fait, je dirais que la quatrième génération est l'armement de la patience.
Une attaque de 4e Génération n'est pas effectuée sur des jours, des mois, mais des années. Trouver une expérience comparable est difficile, mais je dirais que les gens qui ont la ténacité ont l'intention d'apprendre comment les snipers militaires fonctionnent. Pouvez-vous vous entraîner pendant des années à maîtriser le tir à distance, ramper pendant des heures à partir d'un point d'insertion à un point d'observation, puis vous asseoir dans un trou dans le sol (si vous avez la chance d'avoir un trou dans le sol) Un coup, peut-être le seul coup important que vous prendrez jamais en combat, à une cible vitale, et le faire avec certitude que vous ne manquerez pas ?
La quantité de planification, la précision intense et la prévoyance qui va dans une opération de sniper est beaucoup comme le genre d'effort et de calme nécessaire pour compléter une mission de la 4e génération de psy-ops. Ce type de guerre est dominé par les «think tanks», et tous ceux qui espèrent contrer ces tactiques se penchent sur l'histoire d'un groupe de réflexion particulier - RAND Corporation, et leur premier outil psy-ops - la théorie du choix rationnel.
RépondreSupprimerChaque fois que j'entends quelqu'un affirmer qu'une complot de globalistes ne pourrait pas exister parce que «ces plans seraient trop élaborés et exigent trop de pouvoir pour mener à bien dans la vie réelle», je dois rire et évoquer RAND, qui a presque illimité financement de Globalist fondations comme la Fondation Ford et a été construit spécifiquement pour développer non seulement les armes de prochaine génération, mais 4ème Gén plans de guerre psychologique. L'influence de RAND est partout, de la politique, aux sciences sociales, aux applications militaires et même à Hollywood. Après avoir étudié leurs efforts pendant de nombreuses années, je peux dire que ces gens sont vraiment intelligents. Certains d'entre eux ne sont peut-être pas conscients des conséquences majeures qu'ils ont des idées de jeu de guerre pour dominer le public, et certains d'entre eux sont sans doute moralement en faillite, mais ils sont toujours intelligents, et ne doit pas être sous-estimée.
Un autre point de référence que je suggérerais aux chercheurs serait un document appelé From Psyop To Mindwar: The Psychology Of Victory écrit par Michael Aquino et Paul Vallely pour le Pentagone. Dans ce texte, ils montrent clairement que les méthodes de guerre de 4e génération ne se limitent pas aux ennemis étrangers. En fait, ils sont recommandés pour l'utilisation par les gouvernements contre leurs propres populations. Encore une fois, le but de la méthodologie était de manipuler une population cible à se subjuguer, de sorte que la force n'était pas nécessaire. Aquino et Vallely notent que ce serait un meilleur résultat pour toutes les personnes impliquées, car cela aiderait à éviter le bain de sang de l'insurrection et de la contre-insurrection.
Je suis sceptique que ces gens s'inquiètent du sang ou des dommages collatéraux, mais je pense qu'ils aimeraient beaucoup que le processus de centralisation totalitaire soit moins fastidieux. Les élites espèrent rationaliser la tyrannie en convainquant le public que la mondialisation doit être embrassée pour «le plus grand bien du plus grand nombre». Mais pour accomplir ce vaste changement dans la société et l'inconscient collectif, ils ont besoin de crise et de calamité. Ils se voient comme des créateurs, mais pour eux, la création est sur la destruction. En d'autres termes, le vieux monde doit être détruit afin qu'ils puissent utiliser les blocs de construction restants pour faire quelque chose de nouveau.
Si nous n'adoptons pas leur solution de la centralisation mondiale qui sort des cendres, ils croient qu'ils ont une réponse à ce problème aussi. Lisez mon article «Quand les élites gagnent la guerre sur l'Amérique, voilà comment ils vont le faire»; Plus précisément, la section sur Max Boot du Council on Foreign Relations. Boot est l'expert de l'insurrection résident du CFR, et même si je questionne sa capacité à appliquer des modèles académiques aux conflits de mots réels, comme si la théorie s'apparente à la pratique en guerre, il suffit de connaître l'état d'esprit de ces élitistes.
Le travail de Boot met l'accent sur un modèle particulier de quarantaine des insurgés de la population non-combative, basé sur les méthodes britanniques utilisées contre la guérilla communiste en Malaisie. En fait, Max semble se délecter des efforts britanniques pour cataloguer les citoyens malaisiens et les déplacer dans les grandes villes qui équivalaient à des camps de concentration. Cela a rendu le recrutement difficile pour les insurgés et les a empêchés de se cacher parmi les centres civils. Il a également concentré la production alimentaire dans des zones très gérées et a donné l'effet de levier britannique sur la population. Avec cette séparation, il était beaucoup plus facile pour les autorités «d'éduquer» les habitants sur les menaces de l'insurrection et de gagner leur soutien.
RépondreSupprimerDonc, la question est de savoir si cet éventail de tactiques va s'adresser à des partisans de la liberté et des peuples libres aux États-Unis en particulier, avec un potentiel croissant pour que les choses deviennent bien pires à court terme.
Tout d'abord, je dois souligner une tendance inquiétante dans le mouvement de la liberté, qui est la propension des militants à montrer beaucoup plus d'intérêt à parler du problème que de parler de solutions. Au cours des années, j'ai remarqué une baisse constante du lectorat sur les articles ayant trait à des solutions et stratégies spécifiques; Pas seulement mes propres articles, mais beaucoup d'autres analystes aussi. Il est beaucoup plus populaire d'écrire sur la réalité de la crise imminente plutôt que d'écrire sur ce que les individus peuvent faire pour brouiller le bord de l'événement. Je ne serais pas surpris si cet article reçoit seulement la moitié du lectorat mes autres articles reçoivent.
La première étape de la lutte dans une guerre de 4e génération est de reconnaître qu'il n'y a pas de solution facile. Il n'y a aucun moyen de changer le système corrompu de l'intérieur. Il n'y a aucun moyen d'utiliser la politique et le gouvernement à notre avantage. Malgré tous les espoirs que les activistes ont, Trump ne va pas vous sauver, ou l'Amérique. La Chambre et le Sénat contrôlés par les républicains ne vont pas nous sauver. Il n'y a rien qu'ils pourraient faire, même s'ils le voulaient.
J'écrirai plus en détail à ce sujet dans mon prochain article, mais des mesures telles que la fermeture de la Fed seule sont des mesures à moitié qui vont réellement exacerber une crise à court terme, plutôt que de désamorcer un. Un jubilé de la dette (une autre fausse solution couramment mentionnée) n'a aucun sens lorsque la valeur de votre monnaie de réserve mondiale sur le marché mondial est toujours détruite dans le processus et vos obligations du Trésor ne sont plus souhaitables. Pousser les entreprises à créer quelques milliers d'emplois de fabrication ici et là est une goutte dans le seau en considérant les 95 millions de personnes ne sont plus comptés dans la main-d'œuvre des États-Unis au-dessus des millions encore considérés officiellement chômeurs. Il n'y a pas d'arrêt de l'effondrement économique en cours d'exécution de son cours. Nous devrons prendre nos médicaments éventuellement, et cela se produira plus tôt que tard.
Voici ce qui peut être fait, cependant, pour atténuer les dommages et se battre contre l'établissement ...
Séparation du système
RépondreSupprimerLes gens recherchent toujours des solutions grandioses et cinématographiques pour lutter contre les mondialistes, mais les vraies solutions sont beaucoup moins romantiques. Vaincre le «nouvel ordre mondial» exige que les individus à prendre des mesures plus petites dans leur vie quotidienne. Devenir plus autonome, la capacité de fournir ses propres nécessités, la capacité de se défendre soi-même et sa famille, de s'éloigner de la dépendance de la grille, d'éduquer à la maison vos enfants, d'un scepticisme sain des technologies liées au web et de l'Internet des choses, etc.
Cela ne signifie pas que vous devez aller construire une cabane dans les bois et commencer à taper un manifeste, mais cela signifie que vous devrez sacrifier certains conforts modernes et des commodités et de gérer votre vie d'une manière qui pourrait se sentir étrange au premier abord. Pour dire simplement, cela signifie que vous devrez apprendre à commencer à faire la plupart des choses pour vous-même et peut-être apprendre à vivre avec moins de «choses» et moins de stimulation mainstream.
Je connais beaucoup de gens qui ont entrepris cet effort tout en vivant ce que vous pourriez appeler des «vies normales». En bout de ligne, si vous êtes dépendant du système, vous ne pourrez jamais combattre le système.
Séparation des technologies invasives
Enlevez la surveillance active de votre vie. Arrêtez de transporter un téléphone cellulaire autour avec vous partout où vous allez, ou au moins tirer la batterie jusqu'à ce que vous en avez besoin. Couvrez ou retirez les caméras informatiques. Désactivez les microphones lorsqu'ils ne sont pas utilisés. Refusez d'acheter des appareils dotés d'une connectivité Web intégrée. Refuser de participer à des programmes de réseaux intelligents. Enlevez les modules GPS de vos véhicules. Cessez de poster des photos en permanence sur Facebook et partagez votre vie entière sur les réseaux sociaux. Donnez à l'ennemi moins d'informations pour travailler avec.
Construisez une vraie communauté
Cesser d'essayer de construire des amitiés creuses avec des gens de l'autre côté du pays par un moyen froid comme l'Internet et commencer à établir des relations avec les gens qui vivent dans votre propre quartier ou ville. La seule chose que les élites craignent plus que toute autre chose est les gens qui organisent des groupes qui sont en dehors de leur influence. Plus il y a de groupes communautaires, petits et grands, plus il faut d'efforts, d'argent et de ressources pour se tenir au courant de tous. Avec des groupes localisés peuplés de membres qui se connaissent et ont vécu dans un endroit pendant longtemps, l'infiltration est une perspective difficile et la co-option est presque impossible.
Établir d'autres communications
RépondreSupprimerAssurez-vous que votre groupe ou communauté a au moins un expert en radio-jambon. La résistance à la tyrannie exige des communications indépendantes. Sans cette capacité, vous n'aurez pas accès à l'information en cas de crise et donc, vous n'aurez rien. Ham radio peut être utilisé pour diffuser des informations à travers le pays et peut même atteindre d'autres parties du monde. Dans le cas d'une panne de civilité, le jambon peut être utilisé pour envoyer du courrier électronique et des fichiers, et ces fichiers peuvent être chiffrés.
Les pères fondateurs ont eu le tour de minuit, nous avons de la radio-jambon.
Refuser de participer à la gestion des ressources
Dans le cas d'un plus grand effondrement, la gestion des ressources sera le nom du jeu. Pour que les élites puissent s'imposer à une population, elles doivent isoler l'insurrection (peuple aimant la liberté) de la population régulière (subjuguée), puis ils doivent confisquer autant de ressources que possible pour fournir des «loyalistes» tout en affamant des indésirables .
Je crois qu'une rébellion réussie exigerait que les communautés rurales maintiennent un contrôle complet sur leurs ressources et refusent de permettre au gouvernement de dicter comment ces ressources sont dispersées. En fin de compte, afin de briser une domination de l'établissement sur la population à travers la méthode de Max Boot de camps de concentration "amicaux", la tactique devrait être inversée. Les ressources peuvent devoir être coupées à ces endroits entièrement. Cela supprimera l'effet de levier que les gouvernements auront en termes de besoins, sans laisser aucune raison de vouloir rester dans ces sortes de zones vertes à nouveau.
Vigilante Justice
Je ne suis pas en train d'approuver ou de critiquer ce genre de développement, mais je souligne qu'il est inévitable. Si les grands mondialistes continuent à utiliser l'économie comme une option nucléaire contre le public, ainsi que leurs nombreux autres crimes, alors les individus avec les compétences appropriées seront probablement les chercher avec l'intention de les ventiler. Je pense que le danger des vigilants de loup-loup agissant sans contact de groupe et sans avertissement est terrifiant pour les globalistes.
Ils sont habitués à pouvoir coopter des groupes ennemis ou à exploiter des informateurs pour s'infiltrer et transmettre des informations. Avec un loup solitaire, il n'y a aucun chemin à suivre et les individus sont décidément plus difficiles à prédire dans leur comportement et leurs plans que les groupes sont. Je ne serais pas surpris de voir des éminents mondialistes vivant aux États-Unis quitteront soudain le pays en masse au moment même où les troubles sociaux s'accroîtront. Et, je ne serais pas surpris de voir certains mondialistes tués de toute façon par les citoyens marreaux qui soudainement snap et prendre les choses en main.
Notre fenêtre de temps est courte
RépondreSupprimerGardez à l'esprit que la génération millénaire est à environ 10 ans de devenir la force culturelle dominante dans ce pays, et ces précieux flocons de neige sont comme une autre espèce. La plupart d'entre eux désirent le collectivisme, et ils travaillent avec diligence pour étouffer la dissidence dans les collèges et les écoles publiques. Le grand danger est que, dans dix à quinze ans, beaucoup de personnes au sein des mouvements conservateurs pourraient être trop vieux pour lutter efficacement, et tandis que nous traitons avec la catastrophe économique, ce seront des millénaires imprégnés de marxisme culturel qui sont élevés dans le cadre de la solution globaliste .
Quoi que nous finissions par faire, je crois que nous avons environ 10 ans avant de frapper le point de non retour (avec une crise ample et de la lutte à partir de maintenant jusqu'à ce moment). Après cela, nous aurons soit les globalistes en prison ou sur le terrain, soit nous aurons une réinitialisation économique massive et un nouvel ordre mondial. Le choix est à nous, même si certaines personnes ne veulent pas l'accepter.
http://www.zerohedge.com/news/2017-01-27/how-defeat-globalist-system
Trump ne peut pas tout faire seul - Six choses que les Américains doivent faire pour que le vrai changement se produise
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Jan 27, 2017 21h05
Soumis par Jeremish Johnson (nom de plume d'un béret vert à la retraite des forces spéciales de l'armée américaine) via SHTFPlan.com,
L'une des meilleures choses est le fait que nous pouvons maintenant dire «le président Trump». Fawning médias experts et ces armées de libéraux qui adore la propriété utilisera le terme «président» pour s'adresser à son prédécesseur; Cependant, il est juste «Obama», simple et simple. C'est bon de se débarrasser de lui. Maintenant, le vrai travail peut être fait.
Le point de mire du peuple américain d'une perspective de priorités devrait être de convaincre le président de rallier le Congrès d'une part, et d'utiliser les ordres exécutifs de l'autre pour inverser les dégâts causés par Obama au cours des huit dernières années. C'est là où il faudra aux citoyens américains pour obtenir le ballon roulant sur ce point. Pour ceux qui peuvent penser qu'il ne peut pas être fait, regardez Prohibition. Cette loi odieuse a été abrogée et, sous ce point de vue, les maux ont poussé au Congrès quand les démocrates l'ont contrôlé et les bureaucrates et les cadres exécutifs qui nous ont été ramenés peuvent également être annulés.
Des actions comme l'abrogation de tous les charlatans horribles et édits draconiens suivent une série logique d'étapes à accomplir. Le président a assez de temps, cependant, lui et le Congrès doivent travailler rapidement. Voici comment il peut procéder:
Les questions les plus urgentes (comme Obamacare, la clôture de la frontière pour les étrangers illégaux, etc.) doivent être portées à la fois au Congrès et au Président ... dans une liste ... une pétition
Cette pétition doit également être complétée par des lettres, des courriels et des appels téléphoniques à chaque membre du Congrès et sénateur au sujet de ces questions.
Les organisations qui sont à l'échelle nationale doivent mener ces «campagnes» de changement de la législation existante et les pièces odieux de règles bureaucratiques et les statuts ... de la manière dont ils ont fait campagne pour le président avant les élections. Avec l'unité des différents groupes (tels que les groupes de vote, les organisations d'anciens combattants et les associations de partis politiques), l'attention du Congrès et du Président peut être obtenue
Les pétitions et les lettres doivent être envoyées au Président en double exemplaire, afin qu'il soit au courant de ces questions qui doivent être modifiées et que le Congrès (les représentants et les sénateurs) est invité à agir sur ces questions
La législation peut être initiée, et des mesures peuvent être prises pour abroger Obamacare, par exemple.
Si elle devait frapper un stalle d'une manière ou d'une autre, le président peut influencer et peut-être prendre ces mêmes mesures exécutives que Obama brandissait pendant près d'une décennie avec impunité.
En définitive, le Président a promis d'abroger la législation existante et d'engager lui-même les changements, mais il n'est pas seul responsable de cela: le peuple américain (qui le tient responsable devant les stands) ne doit pas oublier qu'il est de son devoir de suivre ses progrès Et de l'aider.
Voici l'affaire. Vers le mois de novembre, les membres du Congrès et les sénateurs commenceront à faire campagne. Ils auront une année d'affilée et, pour garder leurs sièges aux élections de mi-mandat de novembre 2018, il faudra avoir un bon bilan pour l'année prochaine, avec des résultats visibles dans les 6 à 8 mois. Il n'y a pas non plus d'excuse, maintenant. Le parti républicain détient la Chambre et le Sénat. Il n'y a rien, du point de vue législatif, que le président ne puisse accomplir, du moins pour l'année qui vient et neuf mois.
RépondreSupprimerBien sûr, cela prendra la solidarité au sein du Parti républicain, et les républicains n'ont pas eu un très bon dossier dans ce département ... avec le Président de la Chambre Paul Ryan étant le premier exemple. Ryan a refusé de soutenir le président avant les élections quand Hillary Clinton menait la campagne de "diffamation" avec la ligne conga de garde-robe de "demoiselles en détresse" vidéos et "boo-hoo" entrevues. Puis, quand le président a gagné, Ryan a fait un complet-180.
Cette solidarité ne peut pas être convoitée, mais elle peut être contrainte, par le peuple avec le pouvoir de leur vote. Cela va prendre des mesures: par des individus écrivant et téléphonant en masse, et par des groupes (comme mentionné précédemment) et des organisations.
Lorsque ces représentants et sénateurs se rendront compte que leurs emplois sont sur la ligne, ils agiront: pas pour le bien de la question, mais pour garder leur emploi.
Donc, le président a un bon départ. Nous devons lui souhaiter autant de succès que possible. Nous devons aussi l'aider. Comment? En étant proactif avec les congressistes et les sénateurs de nos États pour attirer leur attention sur les questions. L'élection est terminée, et Donald Trump est maintenant le président, mais le véritable travail commence à peine. Si les gens ne poussent pas ces politiciens avec la correspondance soutenue avec le pouvoir du vote, alors les politiciens prendront une position mérovingienne et resteront assis autour d'idly. Nous, les gens ont une chance de faire un changement, et il est entre nos mains. Le président est éteint, mais même un champion de course a besoin d'un jockey pour la direction, et le jockey dans ce cas est un public informé et actif qui le maintiennent sur le bon chemin: celui qui reflète la volonté du peuple.
http://www.zerohedge.com/news/2017-01-27/trump-cant-do-it-all-alone-six-things-americans-must-do-make-real-change-happen
Sanctuaire villes sont-elles plus violentes ?
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Jan 27, 2017 7:00 PM
Soumis par Salil Mehta via le blog Statistical Ideas,
Avec la bataille qui se développe dans les villes du sanctuaire pour s'écarter de la stratégie du président Trump sur le droit de l'immigration, il est intéressant de voir un autre sujet que nous suivons de près: le taux de criminalité violente dans les grandes villes américaines. Cela se produit bien sûr lorsque le président Trump s'engage de façon menaçante avec le maire de Chicago, Rahm Emmanuel, dans un échange de twitter qui réitère l'utilisation du terme «carnage» pour suggérer le chaos de guerre qui se produit là.
- voir sur site la carte qui fait peur -
Par définition, les villes sanctuaires sont généralement des villes (démocratiques) libérales qui s'opposent aux politiques conservatrices actuelles pour opprimer la plupart des immigrants. Les 14 villes américaines les plus peuplées représentent 30 millions d'Américains (soit 9% des 319 millions d'habitants des États-Unis). Sur ces 14 villes, 9 sont des villes sanctuaires (64%) et 5 sont des villes non sanctuaires (36%). Comme nous le démontrons ci-dessous, on est nettement plus sûr de crimes violents dans les villes de sanctuaire, mais pour quelques exceptions notables (c.-à-Chicago, Philadelphie). Ci-dessous, nous allons distinguer ces deux types de villes:
Près de 2 000 meurtres se produisent chaque année dans ces villes (> 70%), tandis que moins de 1 000 meurtres se produisent dans les villes non sanctuaires (<30%).
Tandis que chaque vie est trop prise, les statistiques de mortalité conduisent ces nombres de grande mort dans le contexte de probabilité. Donc, avec la population beaucoup plus grande des villes du sanctuaire (collectivement ou en moyenne), le taux d'homicide (par 100k) il y a «juste» 5, alors qu'il est de 9 dans les villes non-sanctuaire !
Il est vrai que les taux de meurtre sont arrivés dans la plupart des villes des États-Unis, mais encore une fois ces taux sont inacceptablement élevés, d'autant plus que certaines villes sont beaucoup plus féroces que leurs pairs !
Le taux de meurtres mélangés des 14 grandes villes est entre-temps à 8, ce qui est également juste moins de deux fois la moyenne nationale est de 4.
Maintenant, nous pouvons voir un graphique de ces 14 villes sur cette carte ci-dessous, où la taille de la circulaire est liée à la population de la ville, et la couleur du texte du taux d'assassinat est bleu pour les villes de sanctuaire; Rouge pour les villes non-sanctuaires. Le bleu sur la carte des régions représente les zones qui ont majoritairement voté pour Hillary Clinton (comme indiqué ci-dessus, il était principalement limité à méga-villes), tandis que le rouge indique le reste du pays où Donald Trump dominé complètement le vote populaire.
- voir la carte sur site -
En utilisant une pratique mathématique semblable à la botte-cerclage, nous montrons plus loin ci-dessous, la distribution pondérée population-taux de meurtre pour les 14 villes. En outre, 4 des 9 villes (44%) ont connu un taux de meurtre supérieur à la moyenne dans les grandes villes, alors que 2 des 5 (40%) des villes non sanctuaires avaient un taux de meurtre supérieur à la moyenne. Bien que cette différence - allant vers les villes sanctuaires - n'est pas statistiquement significative (moins de ½ écart-type, ou?).
Entre-temps, la différence de taux de meurtre de 4 (9 v 5), entre les villes non sanctuaires et les villes sanctuaires, est statistiquement significative, compte tenu de la population en millions de personnes discutée au début de cet article. Mais la chance qu'une ville non sanctuaire donnée soit plus meurtrière que celle d'un sanctuaire n'est pas statistiquement significative (moins de 1 ?). Principalement avec de telles jumbo-métropoles bénignes, comme New York avec leur «faible» taux de meurtre de 4 (en dépit de l'itinérance sans domicile), contre Houston (la plus grande ville non-sanctuaire du comté) avec leur taux d'assassiner de 11.
RépondreSupprimerEn bout de ligne, il y a un biais mineur vis-à-vis de plus de violence dans les villes non sanctuaires, les zones généralement alignées sur les politiques conservatrices et les armes à feu. C'est là que les Américains auront généralement une probabilité plus élevée d'être tués (expressément jeunes hommes noirs dans les centres-villes qui sont abattus par d'autres dans la même communauté, par opposition à la police - dont plusieurs directeurs à l'échelle nationale suivre ce site). Bien que les grandes villes ne soient pas facilement séparables en généralisations de masse, c'est aussi pourquoi il est facile pour le président Donald Trump de blâmer les pires régions du pays. Depuis là, nous avons des caractéristiques hétérogènes de la violence, de nos grandes villes sanctuaires.
http://www.zerohedge.com/news/2017-01-27/are-sanctuary-cities-more-violent