(Désormais, vous ne regarderez plus votre mobile de la même façon)
Rendez-vous compte qu'aujourd'hui, pratiquement tous les téléphones portables sont munis de caméra ! Donc: si la NSA capte le son... elle peut aussi conserver (en se marrant) des 'photos exclusives' de "Angèla téléphone du chiotte" (comme de "Caroline à la plage ou s'achète un sextoy" !) ou des 'rencontres inattendues de chef d'État favorable à la pédérastie et qui se (...) derrière le rideau' !
Ainsi, le choc des photos dépasse t-il la force des mots !
(A quand la version en braille pour les aveugles ?).
Imaginez que deux personnes au gouvernement se parlent au téléphone du qu'est-ce qu'ils vont manger ce midi à la cantine et, qu'en même temps, ils filment involontairement des 'papiers posés sur la table' révélant des plans secrets d'une prochaine attaque dans un aéroport de la côte ouest des Etats-Unis, ou des post-it collés sur l'ordi, ou tel ou telle qui un peu plus loin se gratte le cul et fait signe de raccrocher et qu'elle en a rien à branler de ce que l'autre raconte !
Ainsi, la petite souris de l'Utah (modèle déposée entre deux tapettes) saurait tout des bergers allemands, des poulets de Bresse, des poupées russes, des chocolats suisses ou belges livrés au vatican ou des oiseaux qui s'envolent dans les chambres d'hôtel !
Le pire étant qu'il n'y a pas qu'une caméra de posée ! (Hahaha !) et, qu'au travers de la vitre du mobile ou de votre ordi écran plat existe bel et bien de quoi vous surprendre tout autant que les 'décodeurs' TNT, boxes pour Internet, etc ! Et ceci bien-sûr 24/7 même en lui ôtant la batterie ! (puisque si vous le faites, vous vous apercevrez que toutes les fonctions sont gardées et qu'il existe bien une batterie supplémentaire à l'intérieur !).
De quoi faire un press-book de type encyclopédique ou déraste (le son & l'image !) dont la valeur comme le vin augmenterait au fil des ans ! Sans parler des 'confidences sur l'oreiller' où des cons sont jusqu'à dormir avec leur téléphone à côté d'eux !!
D'où aussi le monde qui se presse à travailler à Salt Lake City et qui doivent bien se plier en deux à voir sur grands écrans les images en direct du patinage en eurovision ! D'où la présence aussi fortuite des agences de notation sur place déclassant tel ou tel qui n'a pas tenu un quart d'heure sur la femme de l'autre ou du con qui s'adressant au standard lui demande de lui passer sa femme ! Hahaha !
Rassurez-vous si vous perdez votre téléphone... il savent très bien qui l'a pris et où il est puisqu'ils ont sa photo jusqu'à l'iris de ses yeux et ses empreintes digitales quand il forme un numéro ! D'ou (puisqu'il y a du rable) le terme évocateur de complice de vols et de meurtres à ajouter à celui d'espion qui 'écoute aux portes' dévoilé par Snowden.
http://lebulldozerdanslatete.over-blog.com/article-photos-exclusives-120909606.html
Le mufti d’Arabie saoudite s’insurge contre le cinéma et les concerts, «sources de dépravation»
RépondreSupprimer14 janv. 2017, 15:55
La plus haute autorité religieuse de la monarchie s'est élevée contre un projet des autorités saoudiennes visant à introduire quelques divertissements dans un pays où ils sont déjà rares, au prétexte qu’il ne faut pas «ouvrir la porte au diable».
Le cinéma et les concerts constituent «un appel à la mixité entre les sexes» qui «corrompra la morale et détruira les valeurs», a confié le grand mufti d’Arabie saoudite, Abdel Aziz al-Cheikh, au site d’information proche du gouvernement saoudien Sabq, rapporte l'AFP.
«Nous savons que les concerts de chanteurs et le cinéma sont une source de dépravation», a ajouté le haut dignitaire religieux, concernant le projet de l'Autorité saoudienne du divertissement, un organisme culturel dépendant du pouvoir.
Si le mufti est inquiet, c’est qu’il estime que les cinémas «pourraient montrer des films libertins, obscènes, immoraux et athées car ils feront appel à des films importés pour changer notre culture». Appelant les autorités à «ne pas ouvrir la porte au diable», le religieux a toutefois jugé que «le divertissement par le biais de canaux scientifiques et culturels était acceptable».
Abdel Aziz al-Cheikh est connu pour ses positions rétrogrades. Il a récemment défendu l’interdiction faite aux femmes de conduire une voiture dans le royaume ultra-conservateur, assurant que la conduite pouvait «nuire à leurs ovaires» et les exposer «au diable».
Précédemment, le grand mufti avait confirmé que les filles étaient prêtes au mariage à partir de l’âge de dix ans, une information rapportée par le site Huffington Post. La même source rappelle en outre qu'il avait aussi appelé à détruire toutes les églises chrétiennes qui se trouvent dans les pays du Golfe..
En avril 2016, le vice-prince héritier Mohammed ben Salmane a lancé le plan Vision 2030, qui doit introduire des loisirs et des divertissements dans le pays, où les salles de cinéma sont inexistantes et les concerts particulièrement rares.
Lire aussi : Arabie saoudite : le grand mufti appelle la population à faire des dons pour la guerre au Yémen
https://francais.rt.com/international/32311-mufti-arabie-saoudite-insurge-cinema-concerts-sources-depravation
Deux Allemands sur trois pensent qu'un dossier racial pour les migrants faciliterait les enquêtes
RépondreSupprimer14 janv. 2017, 15:01
D’après le sondage mené par le service YouGov, la moitié des personnes interrogées ont déclaré soutenir la décision de la police de Cologne de vérifier les papiers de quelque 2 000 Africains et Arabes lors des célébrations du Nouvel An.
Dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier dernier, le fait que la police ait arrêté des personnes dont le visage laissait croire qu'elles étaient d'origine africaine ou arabe, pour vérifier leurs documents d'identité, a provoqué un tollé dans les médias. Pourtant, le sondage mené par le service YouGov a montré que la moitié des personnes interrogées soutenaient une telle incitative.
De plus, près de 69% des sondés sont en faveur de la proposition des policiers d’ouvrir un dossier racial pour tous les migrants. Ils prétendent que ces dossiers pourraient favoriser la résolution de certaines affaires.
39% des personnes interrogées croient que les vérifications des papiers lors des célébrations du Nouvel An étaient «justifiées» tout en reconnaissant que «certaines mesures avaient un caractère problématique».
8% seulement des sondés se disent hostiles à ces contrôles, expliquant que cette façon de procéder de la police se basait sur une discrimination raciale.
Lors des célébrations du Nouvel An 2016, à Cologne, environ 1 200 femmes avaient été agressées pendant cette seule nuit. D’après les estimations de la police, au moins 2 000 hommes coupables se trouvaient dans les rues ce soir-là, dont la plupart étaient d’origine maghrébine. Pour éviter que cette situation ne se reproduise en 2017, les autorités de la ville de Cologne ont déployé 2 000 policiers dans les rues de la ville le 31 décembre en les autorisant à vérifier les papiers de toute personne leur semblant suspecte.
https://francais.rt.com/international/32308-deux-allemands-sur-trois-pensent-dossier-racial-pour-migrants-faciliterait-enquetes
La leçon que peu d’entre vous appliquera
RépondreSupprimerTim Sanchez
samedi, 14 janvier 2017 18:31
Un gérant de portefeuille qui gérait un fond de 150 millions d’euros m’a dit un jour que la moitié de mes lectures financières étaient bonnes à mettre à la poubelle.
Tu réduis tes lectures de moitié et tu doubles ton rendement horaire.
Je le regarde goguenard.
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Le point central qu’il voulait faire ressortir c’est que la plupart des recherches étudient le passé en les projetant sur le futur ce qui est d’un point de vue opérationnel une aberration totale.
En revanche d’un point de vue académique cela fait du sens.
Cela n’empêche pas la plupart d’entre nous de lire, cliquer sur une nouvelle après l’autre, dans un enchaînement sans fin jusqu’à finir épuisé.
Après tout lire est plus facile que penser et cela permet d’impressionner les copains dans les dîners mondains.
La grande différence entre lire par curiosité et lire pour obtenir un résultat c’est que les lecteurs en recherche de rendement horaire devront apprendre à détecter rapidement la soupe médiatique, des publications de résultats pertinentes et les « prévisions » des économistes qui viennent titiller les frontières du burlesque, des études statistiques sérieuses.
La peur fait vendre, l’étude des faits rationnels, chiffrés, mis en perspective est une activité vieillissante pour la presse shootée aux hormones.
Comment s’en sortir alors ?
Commencer par vous poser ces 2 questions :
1/L’article/vidéo est-elle basé(e) sur des faits ou sur une opinion ?
2/L’article contient-il une hypothèse qui est testable dans le présent ?
Une fois ceci fait, voici quelques astuces complémentaires :
Identifier le consensus et miser contre lui si et seulement si les chiffres prouvent que l’irrationalité est trop forte pour être réelle encore longtemps
Baser tous vos raisonnements sur des chiffres, les banques de données doivent devenir vos amis et les tabloïds vos ennemis
http://www.objectifeco.com/bourse/trading/sentiment-de-marche/la-lecon-que-peu-d-entre-vous-appliquera.html
Sans aller jusqu'à la numérologie burlesque, certains pensent que "parce qu'une chose s'est produit: elle se reproduira" ! Hahahaha ! Parlant de cycles et que l'historique l'aurait déjà montré, et gna-gna-gna et gna-gna-gna !
SupprimerLes sports de l'extrême me stupéfient
RépondreSupprimersamedi, 14 janvier 2017 16:00
Enfin pas en eux-mêmes, mais en ce qui concerne leur intégration symbolique dans notre société. Je veux dire que je ne vois pas bien la nécessité d’organiser des activités où la moindre erreur se traduit par la mort instantanée et d’appeler cela un sport, d’en faire une activité dite de loisir en s’adressant au plus grand nombre par la participation ou le voyeurisme.
Pourquoi singer ainsi la vraie vie dans un divertissement ? C’est la question que je me pose, il me semble qu’elle mérite un peu d’attention.
Sans être un sportif de l’extrême, loin s’en faut, j’ai été élevé à une époque ou la moindre erreur dans la vie de tous les jours entrainait de graves conséquences.
Cela pouvait être en moto où nous n’avions pas de casque, en voiture qui ne restait sur la route que par miracle, mais aussi face à la maladie ou au travail quand la moindre erreur vous entrainait dans une misère sans aide et sans retour. Tout cela nous paraissait normal.
En fait, tout cela était normal. Ce qui n’est pas normal, qui est un vrai drame, c’est qu’il en est toujours ainsi pendant que l’on fait croire à la foultitude qu’il en serait autrement.
La déviance de nos démocraties.
Pour obtenir démocratiquement le pouvoir et ses avantages, politiques et administration, main dans la main, font croire aux électeurs de nombreux pays, dont le notre, que la vie ne serait que facilités et que, grâce à eux, tout danger serait écarté, que toute attention au danger serait superflue, tout prise de risque inutile.
La foule s’installe dans cette béatitude de sécurité, croit pouvoir l’exiger.
Du coup, formatés génétiquement pour affronter les dangers de la vie, certains jeunes gens des nouvelles générations se croient obligés de jouer cette dernière à pile ou face lors des sports de l’extrême. Cette attitude est pure perte, une simple masturbation collective du risque mortel de la vie.
Alors que perdre la vie devrait avoir au moins un sens, être à minima un profit pour l’humanité, cette perte est gratuite dans les sports de l’extrême. C’est un sacrilège.
Tout cela est ridicule.
La sécurité collective que l’on nous vend n’est qu’une propagande, une façade, un leurre. Or est-il un danger plus grand, plus terrible, que celui qui consiste à se croire protégé quand on ne l’est pas ?
Mais il y a encore pire.
Cette apparence de sécurité a un coût organisationnel, très important. Ce leurre, cette abstraction, doivent être financés sociologiquement.
C’est là que la décadence commence.
Pour donner l’illusion de cette sécurité, donc pour protéger les plus exposés, les plus maladroits, les moins compétents, il n’est pas d’autre solution que de prélever les moyens sur ceux qui sont les plus solides en les dépossédant de leurs propres protections, celles qu’ils ont ou vont construire pour protéger leur propre vie.
La tromperie est une question d’échelle.
En fait l’apparence de sécurité offerte au groupe l’est à partir d’un déséquilibre des sécurités individuelles naturelles.
C’est-à-dire qu’une collectivité à l’apparence sécuritaire sacrifie la solidité et la compétence de ses individualités pour le prix de cette apparence.
C’est pourquoi, les individus en arrivent à tester leur résistance, inemployée ou démotivée, à l’occasion de jeux où ils cherchent à étalonner leur adresse, leur solidité, sans le retour du risque pris au bénéfice du progrès pour la collectivité.
La résistance individuelle au risque est utilisée pour rien, dénaturée de son sens, des réalités, elle devient inutile alors qu’elle est vitale.
Conclusion
RépondreSupprimerL’impression de sécurité du groupe se nourrit de l’insécurité individuelle, car elle entraine la perte d’aptitude des individus aux réflexes vitaux.
Or, un groupe n’est que la somme des capacités de ses individus. Ainsi la perte des réflexes sécuritaires, utilisés exclusivement pour des jeux, est la certitude pour le groupe pratiquant une telle insouciance d’exploser à la première vraie difficulté rencontrée.
Nos sociétés apparemment sécurisées sont les plus fragiles qui aient jamais existé. Les quelques éléments tenant à étalonner leur résistance et leur courage ne peuvent le faire qu’à l’occasion de jeux, partout ailleurs le risque est déconsidéré, voire interdit et sanctionné. Pas d’entrainement, pas d’expérience aux vrais risques de la vie = danger.
Bien cordialement. H. Dumas
http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/liberalisme/les-sports-de-l-extreme-me-stupefient.html
Cà, c'est pas nouveau et çà s'appelle Le sport.
SupprimerLe sportif va passer des heures et des heures tous les jours à s'entrainer, battre des records chez lui puis, le jour des 'jeux olympique' patatras, il n'y arrive pas. Déception du con (ou de la conne qui avait ses règles ce jour-là).
Je dis con et conne parce que il n'y a aucun sportif/sportive centenaire ! Faut dire que le corps est un moteur qui peux faire 2000 km par an comme 20 000. Et donc, quand c'est foutu c'est foutu.
D'un côté y a les pédales et, de l'autre, les antilopes.