- ENTREE de SECOURS -



samedi 21 janvier 2017

"Nous transférons le pouvoir aux gens"

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"Nous transférons le pouvoir aux gens" - Discours inaugural complet de Trump


Par Tyler Durden
Jan 20, 2017 1:12 PM


Dans un discours inaugural qui a fait appel aux principes fondamentaux prêchés lors de sa campagne présidentielle, teinté d'une nuance de colère palpable et d'une suggestion de protectionnisme, Trump a revu les thèmes qui l'ont amené à la Maison Blanche et a promis de ramener des emplois, Les frontières et de restaurer la richesse de l'Amérique, tout en transférant le pouvoir de Washington et de le rendre à «vous, le peuple."

"Aujourd'hui, nous ne sommes pas simplement de transférer le pouvoir d'une administration à une autre ou d'une partie à l'autre", a déclaré Trump dans son discours d'inauguration. "Nous transférons le pouvoir de Washington, D.C. et nous le rendons au peuple."

Dans son discours, Trump a décrit une Amérique déchirée par le crime et le tumulte social, comme Obama assis à proximité.

"Ce carnage américain s'arrête ici et s'arrête maintenant", a déclaré Trump.

«Les hommes et les femmes oubliés de notre pays ne seront plus oubliés», dit Trump alors que la pluie tombait. "Tout le monde vous écoute maintenant."

Les marchés peuvent avoir été effrayés par le soupçon de protectionnisme de Trump comme suit: «Nous devons protéger nos frontières contre les ravages d'autres pays fabriquant nos produits, volant nos entreprises et détruisant nos emplois.

Trump a décrit les usines fermées comme des «pierres tombales» qui parsèment le comté et dit que le gouvernement fédéral a dépensé des milliards de défendre «les frontières d'autres nations tout en refusant de défendre les nôtres.

Le président républicain a déclaré que les États-Unis "affronteront les difficultés, mais nous allons faire le travail."

En rompant avec la tradition établie par son prédécesseur, qui avait l'habitude de se mentionner souvent dans ses discours, Trump ne se mentionnait que trois fois en deux phrases, tout en se référant au "nous" le peuple américain 45 fois selon DC. La première fois que Trump s'est référé à lui-même a eu lieu à mi-parcours du discours, quand il a dit: «Le serment d'office que je prends aujourd'hui est un serment d'allégeance à tous les Américains.

Les autres deux références de Trump à lui-même sont venues peu après. "Je vais me battre pour vous avec chaque souffle dans mon corps - et je ne vous décevrai jamais," dit Trump. Telle était la mesure dans laquelle Trump s'est donné n'importe quelle mention dans son discours inaugural.

Alternativement, il a parlé de «nous» le peuple américain 45 fois au cours de l'adresse, y compris une chaîne de mentions à la fin de son discours, jouant de son "Make America Great Again" slogan: «Ensemble, nous ferons l'Amérique Fort encore. Nous ferons l'Amérique riche encore. Nous ferons l'Amérique fier encore. Nous allons rendre l'Amérique sûre à nouveau. Et, oui, ensemble, nous ferons l'Amérique grand encore.

Trump a conclu en promettant que le serment d'office qu'il vient de prendre «est un serment d'allégeance à tous les Américains» et a dit que le pays va partager «un destin glorieux».

«Ensemble, nous ferons de nouveau l'Amérique forte. Nous allons rendre l'Amérique riche à nouveau. Nous ferons l'Amérique fier encore. Nous allons rendre l'Amérique sûre de nouveau », a déclaré Trump dans son discours. "Et, oui, ensemble nous ferons l'Amérique grand encore."

Transcription complète ci-dessous:

Le juge en chef Roberts, le président Carter, le président Clinton, le président Bush, le président Obama, les autres Américains et les gens du monde, je vous remercie. Nous, les citoyens d'Amérique, nous sommes maintenant engagés dans un grand effort national pour reconstruire notre pays et rétablir sa promesse pour tous nos peuples. Ensemble, nous déterminerons le cours de l'Amérique et du monde pendant de nombreuses et nombreuses années à venir. Nous serons confrontés à des défis. Nous allons affronter les difficultés, mais nous allons faire le travail. Tous les quatre ans, nous nous réunissons sur ces étapes pour effectuer un transfert de pouvoir ordonné et pacifique, et nous sommes reconnaissants au président Obama et à la première dame Michelle Obama pour leur gracieuse aide tout au long de cette transition. Ils ont été magnifiques. Je vous remercie.

La cérémonie d'aujourd'hui a cependant une signification toute particulière, car aujourd'hui, nous ne transférons pas seulement le pouvoir d'une administration à une autre ou d'une partie à une autre, mais nous transférons le pouvoir à Washington et nous le rendons. Pendant trop longtemps, un petit groupe dans la capitale de notre pays a récolté les fruits du gouvernement alors que les gens en ont supporté le coût. Washington a prospéré, mais le peuple n'a pas partagé sa richesse. Les politiciens ont prospéré, mais les emplois sont partis et les usines ont fermé leurs portes. L'établissement s'est protégé, mais pas les citoyens de notre pays. Leurs victoires n'ont pas été vos victoires. Leurs triomphes n'ont pas été vos triomphes, et pendant qu'ils célébraient dans la capitale de notre nation, il y avait peu à célébrer pour les familles qui luttent partout dans notre terre.

Tout a changé en commençant ici et maintenant, parce que ce moment est votre moment. Il vous appartient. Il appartient à tout le monde réuni ici aujourd'hui, et tout le monde à regarder, à travers l'Amérique. C'est votre journée. C'est votre célébration, et ceci, les États-Unis d'Amérique, est votre pays.

Ce qui importe vraiment, ce n'est pas quel parti contrôle notre gouvernement, mais si notre gouvernement est contrôlé par le peuple. Le 20 janvier 2017 sera rappelé comme le jour où les gens sont devenus les dirigeants de cette nation à nouveau. Les hommes et les femmes oubliés de notre pays ne seront plus oubliés. Tout le monde vous écoute maintenant. Vous êtes venus par les dizaines de millions pour faire partie d'un mouvement historique, comme le monde n'a jamais vu auparavant.

Au centre de ce mouvement est une conviction cruciale, qu'une nation existe pour servir ses citoyens. Les Américains veulent de grandes écoles pour leurs enfants, des quartiers sûrs pour leur famille et de bons emplois pour eux-mêmes. Ce sont des exigences justes et raisonnables des justes et d'un public juste, mais pour un trop grand nombre de nos citoyens une réalité différente existe. Des mères et des enfants emprisonnés dans la pauvreté dans nos villes, des usines rouillées comme des pierres tombales à travers le paysage de notre nation, un système d'éducation plein de liquidités, mais qui laisse nos jeunes et beaux étudiants privés de toute connaissance et du crime Les gangs et les drogues qui ont volé trop de vies et ont volé notre pays de tant de potentiel non réalisé. Ce carnage américain s'arrête ici et s'arrête maintenant.

Nous sommes une nation, et leur douleur est notre douleur. Leurs rêves sont nos rêves, et leur succès sera notre succès. Nous partageons un cœur, une maison et un destin glorieux. Le serment d'office que je prends aujourd'hui est un serment d'allégeance à tous les Américains. Pendant de nombreuses décennies, nous avons enrichi l'industrie étrangère aux dépens de l'industrie américaine, subventionné les armées d'autres pays, tout en permettant la très triste épuisement de nos militaires. Nous avons défendu les frontières des autres nations tout en refusant de défendre les nôtres. Et a dépensé des trillions et des milliards de dollars à l'étranger tandis que l'infrastructure de l'Amérique est tombée dans le délabrement et la désintégration. Nous avons enrichi d'autres pays alors que la richesse, la force et la confiance de notre pays se sont dissipées à l'horizon. L'une après l'autre, les usines ont frissonné et ont quitté nos côtes, sans même penser aux millions et aux millions d'ouvriers américains qui ont été laissés derrière. La richesse de notre classe moyenne a été arrachée de leurs foyers puis redistribuée à travers le monde, mais c'est le passé, et maintenant nous ne regardons que vers l'avenir.

Nous sommes rassemblés ici aujourd'hui, émettant un nouveau décret pour être entendu dans chaque ville, dans chaque capitale étrangère et dans chaque salle du pouvoir, à partir de ce jour, une nouvelle vision régira notre terre, à partir de ce jour, il va être Seulement l'Amérique d'abord. L'Amérique d'abord. Chaque décision sur le commerce, sur les impôts, sur l'immigration, sur les affaires étrangères sera faite pour bénéficier aux ouvriers américains et aux familles américaines. Nous devons protéger nos frontières contre les ravages d'autres pays qui fabriquent nos produits, volent nos entreprises et détruisent nos emplois. La protection mènera à une grande prospérité et à la force. Je combattrai pour vous avec chaque souffle dans mon corps, et je ne vous laisserai jamais tomber. L'Amérique va recommencer à gagner, gagnant comme jamais auparavant. Nous rapporterons nos emplois. Nous ramènerons nos frontières.

Nous ramènerons nos richesses, et nous ramènerons nos rêves. Nous allons construire de nouvelles routes, routes et ponts, ainsi que des aéroports, des tunnels et des chemins de fer, partout dans notre merveilleuse nation. Nous allons libérer notre peuple de l'aide sociale et du travail, reconstruire notre pays avec les mains américaines et le travail américain. Nous suivrons deux règles simples - acheter américain, et embaucher américain.

Nous chercherons l'amitié et la bonne volonté avec les nations du monde, mais nous le faisons en sachant que c'est le droit de toutes les nations de mettre

Leurs propres intérêts en premier. Nous ne cherchons pas à imposer notre mode de vie à quiconque, mais plutôt à le laisser briller comme un exemple, nous allons briller pour tout le monde à suivre. Nous allons renforcer les anciennes alliances et en former de nouvelles, et vous nuit le monde civilisé contre le terrorisme islamique radical, que nous éradiquerons complètement de la face de la Terre. Au fond de notre politique sera une allégeance totale aux États-Unis d'Amérique, et par notre loyauté envers notre pays, nous redécouvrirons notre loyauté les uns aux autres. Quand vous ouvrez votre cœur au patriotisme, il n'y a pas de place pour les préjugés. La bible nous dit combien il est bon et agréable que les gens de Dieu vivent ensemble dans l'unité. Nous devons parler ouvertement de nos esprits, débattre honnêtement de nos désaccords, mais toujours chercher la solidarité. 

Quand l'Amérique est unie, l'Amérique est totalement imparable. Il ne devrait pas y avoir de peur. Nous sommes protégés et nous serons toujours protégés. Nous serons protégés par les grands hommes et femmes de nos forces armées et de l'application de la loi. Et le plus important, nous serons protégés par Dieu. Enfin, nous devons penser grand et rêver encore plus grand. En Amérique, nous comprenons qu'une nation ne vit que tant qu'elle s'efforce. Nous n'accepterons plus les politiciens qui sont tous des discours et aucune action, se plaignant constamment mais ne faisant jamais n'importe quoi. Le temps pour la causerie vide est fini. Maintenant arrive l'heure de l'action. Ne laissez personne vous dire qu'il ne peut pas être fait. Aucun défi ne peut égaler le cœur et la lutte et l'esprit de l'Amérique.

Nous ne manquerons pas. Notre pays prospérera et prospérera de nouveau. Nous sommes à la naissance d'un nouveau millénaire, prêt à débloquer les mystères de l'espace, à libérer la Terre des misères de la maladie et à exploiter les industries et les technologies de demain. Une nouvelle fierté nationale fera vibrer nos âmes, soulevera nos visions et guérira nos divisions. Il est temps de se souvenir de la vieille sagesse que nos soldats n'oublieront jamais, que nous soyons noirs, bruns ou blancs, nous saignons tous le même sang rouge des patriotes. Nous jouissons tous des mêmes libertés glorieuses, et nous saluons tous le même grand drapeau américain.

Et si un enfant est né dans l'étalement urbain de Detroit ou dans les plaines balayées par le vent du Nebraska, ils regardent vers le même ciel nocturne, ils remplissent leur cœur avec les mêmes rêves, et ils sont imprégnés avec le souffle de vie par le même tout-puissant créateur. Donc, à tous les Américains, dans chaque ville proche et lointain, petits et grands, de la montagne à la montagne, de l'océan à l'océan, entendre ces mots. Vous ne serez jamais ignoré à nouveau. Votre voix, vos espoirs et vos rêves définiront notre destinée américaine, et votre courage, votre bonté et votre amour nous guideront à jamais sur le chemin.

Ensemble, nous ferons de nouveau l'Amérique forte. Nous allons rendre l'Amérique riche à nouveau. Nous ferons l'Amérique fier quand elle. Nous ferons l'Amérique en sécurité à nouveau, et oui, ensemble nous ferons l'Amérique grand encore. Je vous remercie. Dieu te bénisse. Et Dieu bénisse l'Amérique. Je vous remercie.

http://www.zerohedge.com/news/2017-01-20/trumps-inugural-address-full-transcript

46 commentaires:

  1. (...) Ce qui importe vraiment, ce n'est pas quel parti contrôle notre gouvernement, mais si notre gouvernement est contrôlé par le peuple. Le 20 janvier 2017 sera rappelé comme le jour où les gens sont devenus les dirigeants de cette nation à nouveau. (...)

    C'est là un grand moment historique JAMAIS connu en Amérique évoqué le 20 Janvier 2017 par le 1er président des États-Unis d'Amérique !

    (...) Pendant trop longtemps, un petit groupe dans la capitale de notre pays a récolté les fruits du gouvernement alors que les gens en ont supporté le coût. Washington a prospéré, mais le peuple n'a pas partagé sa richesse. Les politiciens ont prospéré, mais les emplois sont partis et les usines ont fermé leurs portes. (...)

    Rare moment où un homme non-politique pour la première fois est autorisé à s'exprimer en public en un discours très Pétainiste.

    D'où la différence entre 'Donald le canard' et 'Le canard de Donald'

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  2. Le plan économique de Trump: créer 25 millions d'emplois, augmenter le PIB à 4%, réduire les impôts pour tous les Américains


    Par Tyler Durden
    Jan 20, 2017 12:47 PM


    Le plan économique du président Trump créera 25 millions de nouveaux emplois au cours de la prochaine décennie, «retour à 4% de croissance économique annuelle», «taux plus bas pour les Américains dans chaque tranche d'imposition, simplification du code des impôts et réduction du taux d'imposition des sociétés américaines». Déclaration juste posté sur la maison blanche wesbite.

    Il a également proposé «un moratoire sur les nouveaux règlements fédéraux et ordonne aux chefs des agences et des ministères fédéraux d'identifier les règlements sur l'abolition du travail».

    La déclaration a également annoncé le retrait des États-Unis du Partenariat transpacifique et qu'il s'engage à renégocier l'ALENA. «Si nos partenaires refusent une renégociation qui donne aux travailleurs américains une entente équitable, le président donnera avis de l'intention des États-Unis de se retirer de l'ALENA».

    Du site de la Maison Blanche

    Rétablissement des emplois et de la croissance
     
    Depuis la récession de 2008, les travailleurs et les entreprises américains ont souffert de la reprise économique la plus lente depuis la Seconde Guerre mondiale. Au cours de cette période, les États-Unis ont perdu près de 300 000 emplois dans le secteur manufacturier, tandis que la part des Américains dans la main-d'œuvre a chuté à des niveaux inférieurs à ceux des années 1970, la dette nationale a doublé et la classe moyenne a diminué. Pour redresser l'économie, le président Trump a esquissé un plan audacieux pour créer 25 millions de nouveaux emplois américains au cours de la prochaine décennie et revenir à une croissance économique annuelle de 4%.
     
    Le plan commence par une réforme de la fiscalité en faveur de la croissance afin d'aider les travailleurs et les entreprises américains à conserver davantage de dollars durement gagnés. Le plan du président réduira les taux pour les Américains dans toutes les tranches d'imposition, simplifiera le code des impôts et réduira le taux d'imposition des sociétés américaines, qui est l'un des plus élevés au monde. La fixation d'un code fiscal dépassé, trop complexe et trop onéreux libérera l'économie américaine, créera des millions de nouveaux emplois et stimulera la croissance économique.
     
    En tant que créateur d'emplois et homme d'affaires, le président sait aussi combien il est important d'éloigner Washington des petites entreprises, des entrepreneurs et des travailleurs de l'Amérique. En 2015 seul, les règlements fédéraux coûtent à l'économie américaine plus de 2 billions de dollars. C'est pourquoi le président a proposé un moratoire sur les nouveaux règlements fédéraux et ordonne aux chefs des organismes et ministères fédéraux d'établir des règlements qui devraient être abrogés.

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  3. Avec des décennies d'expérience en matière de négociation, le président comprend également à quel point il est essentiel de négocier les meilleurs accords commerciaux possibles pour les États-Unis. En renégociant les accords commerciaux existants et en prenant une position ferme sur les futurs, nous veillerons à ce que les accords commerciaux apportent des emplois bien rémunérés à nos rivages et soutiennent l'industrie américaine, l'épine dorsale de notre économie. Le président a l'intention de montrer aux partenaires commerciaux des États-Unis que nous entendons les affaires en assurant des conséquences pour les pays qui se livrent à des pratiques commerciales illégales ou injustes qui nuisent aux travailleurs américains.
     
    En se tenant côte à côte avec les travailleurs et les entreprises américaines, les politiques du président libérera la croissance économique, créera 25 millions de nouveaux emplois et aidera à rendre l'Amérique encore une fois.

    La Maison Blanche a également affiché la déclaration suivante sur le commerce.

    Travailler pour tous les Américains
     
    Pendant trop longtemps, les Américains ont été forcés d'accepter des accords commerciaux qui mettent les intérêts des initiés et de l'élite de Washington sur les hommes et les femmes qui travaillent dur de ce pays. En conséquence, les villes et les villages de cols bleus ont vu leurs usines fermer et les emplois bien rémunérés se déplacent à l'étranger, tandis que les Américains font face à un déficit commercial croissant et une base de fabrication dévastée.
     
    Avec toute une vie d'expérience en matière de négociation, le président comprend combien il est essentiel de placer les travailleurs et les entreprises américains au premier plan en matière de commerce. Avec des accords durs et équitables, le commerce international peut servir à faire croître notre économie, à rendre des millions d'emplois aux rivages de l'Amérique et à revitaliser les communautés qui souffrent de notre pays.
     
    Cette stratégie commence par se retirer du Partenariat transpacifique et s'assurer que les nouveaux accords commerciaux sont dans l'intérêt des travailleurs américains. Le président Trump s'est engagé à renégocier l'ALENA. Si nos partenaires refusent une renégociation qui donne aux travailleurs américains une entente équitable, le président fera part de l'intention des États-Unis de se retirer de l'ALENA.
     
    En plus de rejeter et de retoucher les accords commerciaux échoués, les États-Unis vont réprimer les nations qui violent les accords commerciaux et nuisent aux travailleurs américains dans le processus. Le président ordonnera au secrétaire du Commerce d'identifier toutes les violations du commerce et d'utiliser tous les outils mis à la disposition du gouvernement fédéral pour mettre fin à ces abus.
     
    Pour mener à bien sa stratégie, le président nomme les plus durs et les plus intelligents de son équipe commerciale, en veillant à ce que les Américains aient les meilleurs négociateurs possibles. Pendant trop longtemps, les accords commerciaux ont été négociés par et pour les membres de l'establishment de Washington. Le président Trump veillera à ce que ses politiques commerciales soient mises en œuvre par et pour le peuple et placera l'Amérique au premier rang.
     
    En luttant pour des ententes commerciales justes mais difficiles, nous pouvons ramener des emplois sur les rivages de l'Amérique, augmenter les salaires et appuyer la fabrication américaine.

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  4. De plus, le site Web de la Maison Blanche a été mis à jour avec la section intitulée «Renforcer les forces armées», sur la politique étrangère, l'application de la loi et sur l'énergie, dont la plupart semblent être des répétitions de son plan.

    Finalement, la section de la Maison Blanche sur le changement climatique semble maintenant disparaître.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-01-20/trumps-economic-plan-create-25-million-jobs-grow-gdp-4-lower-taxes-all-americans

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    1. (...) Finalement, la section de la Maison Blanche sur le changement climatique semble maintenant disparaître. (...)

      OUF ! Voici la fin de l'escroquerie de 97 lancée par le démocrate al Gore à Kyoto sur le 'Global Warming' !

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  5. Trump tempête avec l'approche businessmans, l'Amérique se fait une mauvaise affaire ...

    Le lendemain matin: C'est probablement le meilleur jour pour les citoyens sains, honnêtes et sceptiques au cours des 30 dernières années. Dans le long débat sur le climat, il s'agit de l'événement politique le plus important - avec plus de possibilités de rétablir la place de la science et de la liberté d'expression. La démocratie n'est-elle pas une grande chose? Ceux qui n'aiment pas Trump dire qu'il était «populiste» et une répétition de son discours de campagne. D'autres personnes disent "il est temps".

    Trump rassemble un paquet pour ses clients et dit à la concurrence que les États-Unis ne donneront rien.

    MISE À JOUR: et le changement climatique disparaît du site Web de la maison blanche. Déjà Trump est en contrôle du site de Whitehouse.gov et selon Jason Koebler "le changement climatique a été supprimé". Il écrit: «Il est habituel que www.whitehouse.gov revienne à la nouvelle administration exactement à midi, mais la seule mention du climat sur le nouveau site Web du président Trump est sous sa page« Plan Amérique première énergie », dans laquelle il promet de Détruire le plan d'action climatique du président Obama. Une recherche sur le site Web n'a trouvé aucune mention du "réchauffement ...

    Depuis son discours d'inauguration:

    «Aujourd'hui, nous ne transférons pas seulement le pouvoir d'une administration à une autre, ou d'une partie à une autre, mais nous transférons le pouvoir à Washington DC et nous le rendons, les gens», a-t-il déclaré.

    "Pendant trop longtemps, un petit groupe dans la capitale de notre pays a récolté les fruits du gouvernement alors que les gens ont supporté le coût. Washington a prospéré, mais le peuple n'a pas partagé sa richesse. Les politiciens ont prospéré, mais les emplois sont partis et les usines ont fermé. L'établissement s'est protégé, mais pas les citoyens de notre pays.

    "Que tous les changements ...

    ...

    Aujourd'hui, je prête serment d'allégeance à tous les Américains. Pendant de nombreuses décennies, nous avons enrichi l'industrie étrangère aux dépens de l'industrie américaine, subventionné les armées d'autres pays, tout en permettant la triste épuisement de notre propre armée.

    Nous avons défendu les frontières des autres nations tout en refusant de défendre les nôtres.

    Et dépensé des billions et des trillions de dollars à l'étranger alors que l'infrastructure de l'Amérique est tombée dans le délabrement et la désintégration

    ...

    "Au centre de ce mouvement est une conviction cruciale qu'une nation existe pour servir ses citoyens", at-il dit.

    "Pour un trop grand nombre de nos citoyens, une réalité différente existe. Des mères et des enfants prisonniers de la pauvreté dans nos villes; Usines rouillées, dispersées comme trop de pierres à travers le paysage, pierres tombales de notre nation; Un système éducatif riche en liquidités, mais qui laisse nos jeunes et beaux étudiants privés de tout savoir; Et le crime et les gangs et les drogues qui ont volé trop de vies et ont volé notre pays de tant de potentiel non réalisé.

    Ce carnage américain s'arrête ici et s'arrête maintenant. "

    ....

    Juste un peu différent de l'inauguration d'Obama:

    Et ainsi, à tous les autres peuples et gouvernements qui regardent aujourd'hui, des plus grandes capitales au petit village où mon père est né, sachez que l'Amérique est un ami de chaque nation, et chaque homme, femme et enfant qui cherche un avenir De paix et de dignité. Et nous sommes prêts à diriger encore une fois. - Obama

     H / t Robert W.

    http://joannenova.com.au/2017/01/trump-takes-the-businessmans-approach-america-is-getting-a-bad-deal/#more-52743

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  6. À l'instar de la campagne de Clinton, les manifestations de l'inauguration de Much-Hyped finiront-elles par être un échec gigantesque pour la gauche ?


     Par Michael Snyder,
    Le 19 janvier 2017


    Au cours des deux derniers mois, la gauche radicale a été interminablement hyping les protestations contre Donald Trump le 20 janvier et le 21 janvier. On nous a dit que la moitié de la population détestait absolument Donald Trump et que Washington D.C. sera rempli de manifestants en colère qui sont prêts à reprendre leur pays. Alors, où sont-ils ? La gauche radicale a tendance à parler un bon jeu, mais quand vient le temps pour l'action, ils viennent souvent jusqu'à court. À ce stade, il semble que la très-hyped «guerre dans les rues» qu'ils promettaient va être un géant doute.

    Des rapports de ceux qui sont sur la scène en D.C. indiquent qu'il ya très peu de manifestants qui courent. Oui, quelques centaines d'activistes LGBT ont dansé devant la maison de Mike Pence mercredi soir. Et oui, la police a tiré du poivre aérosol aux manifestants à un point le jeudi soir ...

    La police et les manifestants anti-Donald Trump se heurtent à un rassemblement qui a commencé à l'extérieur du Trump International Hotel à Washington D.C.

    La protestation a commencé à l'hôtel, et a ensuite défilé par D.C. au Club national de presse à plusieurs pâtés de maisons. Une fois là-bas ... le spray au poivre a été tiré dans la foule, et les manifestants ont commencé à essayer de percer les lignes de police.

    Un manifestant a obtenu un peu de sang pendant l'incident de poivre, mais jusqu'ici cela a été.

    Alors, où sont les "protestations style Ferguson" qui nous avait été promises ?

    Bien sûr, la vérité est que ces gauchistes radicaux n'ont jamais eu une grande chance en premier lieu. Les autorités chargées de l'application de la loi les ont regardées comme un faucon et le coeur de Washington D.C. a été transformé en une «forteresse» pour les festivités inaugurales.

    Selon Reuters, des permis ont été accordés pour au moins 30 rassemblements anti-Trump en D.C., mais jusqu'à présent, il semble que l'armée des manifestants que beaucoup rêvaient de ne s'est pas matérialisée.

    Et les autorités en D.C. semblent tout à fait prêtes à gérer tout ce qui est lancé leur chemin. De nombreux médias ont utilisé aujourd'hui le terme «forteresse» pour décrire le niveau de sécurité qui entoure immédiatement le Capitole des États-Unis ...

    Environ 28 000 agents de sécurité, des kilomètres d'escrime, des barrages routiers, des barricades de rue et des camions à benne chargés de sable font partie du cordon de sécurité d'environ 3 miles carrés (près de 8 kilomètres carrés) du centre de Washington.

    Mais même à cette heure tardive, les médias traditionnels continuent à exagérer la possibilité du chaos et de la violence. Par exemple, l'Association nationale des photographes de presse annonce des émeutes de style Ferguson le vendredi ...

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  7. L'Association nationale des photographes de presse a publié des lignes directrices à l'intention des journalistes qui reflètent quasiment les messages envoyés lors des émeutes de Ferguson en 2014.

    Les reporters sont invités à «maintenir la conscience de la situation» et ont «un plan de sortie si la situation devient hostile».

    Le groupe souligne également que les journalistes doivent «se diriger vers le policier le plus proche en supposant qu'ils pourraient vous protéger contre les manifestants hostiles ou violents».

    D'autres médias ont discuté ouvertement de la possibilité d'une sorte d'attaque terroriste catastrophique pendant l'Inauguration. Si vous pouvez le croire, le Today Show a effectivement passé du temps à parler de la possibilité qu'un bombardement drone puisse se produire pendant que Trump est inauguré ...

    Les médias sont soulevant des inquiétudes au sujet d'un bombardement drone à la 58ème présidentielle d'inauguration vendredi.

    Dans le cadre du programme «Today» de jeudi, un rapport indiquait que les services secrets des États-Unis avaient mis en place plusieurs efforts anti-drones en raison du fait qu'un «IED volant» inspiré par l'I se ferait entendre dans la foule.

    Le rapport citait un responsable de DroneShield, une firme de contre-mesures de drones, disant que l'inauguration "n'est pas quelque chose que je me sentirais en sécurité."

    Avez-vous déjà entendu ce genre de rapports juste avant l'inauguration d'Obama?

    Bien sûr que non.

    C'est presque comme si certains dans les médias traditionnels essayaient réellement d'inciter à la violence. Par exemple, CNN est fortement critiqué pour avoir dirigé un rapport de Wolf Blitzer qui a suggéré qu'une personne de l'administration d'Obama pourrait devenir président si Donald Trump et Mike Pence étaient «effacés» à l'inauguration. Ce qui suit vient de Breitbart ...

    Blitzer a présenté le segment, en disant: «Et si un nouveau président et ses successeurs immédiats étaient effacés le premier jour ?» Et de là, le contributeur CNN Brian Todd a pris le relais de la ligne de succession si une attaque a fait sauter le estrade inaugural, Tuant à la fois Trump et Pence.

    Le résultat était que, dans le cas des deux chefs d'État tués, le secrétaire d'État prendrait le relais. Actuellement, cet homme est le secrétaire d'État John Kerry, mais dans le cas où certains objectaient parce que son bureau prendrait fin aussi à partir de midi le jour de l'inauguration, alors ce serait le Président de la Chambre - Paul Ryan républicain - ou même sous- Tom Shannon.

    Pourquoi parler d'une telle chose ?

    En diffusant cela à la télévision nationale juste avant l'inauguration, CNN est potentiellement donner des idées de personnes malades et tordus qu'ils n'auraient pas considéré autrement. Si vous n'avez pas encore vu ce rapport profondément inquiétant, vous pouvez le consulter sur YouTube ici ...

    - voir sur site -

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  8. Et les médias internationaux parlent ouvertement de la possibilité que quelque chose arrive à Trump aussi. L'exemple suivant vient d'Egypte ...

    "L'affrontement vraiment effrayant viendra après que Trump lance une campagne pour purger les ministères du gouvernement américain, y compris le ministère de la Défense [ie] le Pentagone, [et d'éliminer] les gangs qui se cachent au sein des agences de renseignement et de sécurité qui sont les Centre de conspirations mondiales, afin de retirer les démocrates et de les remplacer par des républicains dont il a confiance », écrit Hani 'Asl, chroniqueur du quotidien égyptien Al-Ahram.

    "Dans ces [cercles] il y aura peut-être quelqu'un qui tentera d'éliminer le problème [appelé Trump] avec une seule balle afin de protéger leurs intérêts et de réjouir Obama et Hillary, [peut-être] même sous le slogan de défendre la démocratie et les Etats-Unis "

    Sans aucun doute, il y a beaucoup parmi l'élite qui déteste absolument Trump. Prions donc pour sa sécurité et pour la sécurité de tous ceux qui assisteront à l'inauguration.

    Le 20 janvier est le début d'une nouvelle journée pour l'Amérique, et il devrait être un temps de grande célébration pour l'ensemble du pays. Malheureusement, il ya des gens là-bas qui aimeraient beaucoup pleuvoir sur notre défilé, et nous espérons que tous leurs efforts sont complètement déjoués.

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/like-clintons-campaign-will-the-much-hyped-inauguration-protests-end-up-being-a-giant-failure-for-the-left

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    1. Ne confondons ses propres désirs pour des réalités ! Le sens donné aux 'opposants' à une élection parfaitement légitime est plus que déjà suspect ! Arrive donc 'sur place' les merdias trous de cul (inondant de papier toilettes les kiosques à journaux) qui dénoncent la non efficacité de leur stratagème nano-groupusculaire face au peuple dont ils n'en décrivent la réalité faute d'en faire partie !

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  9. Tandis que TRUMP prenait le pouvoir, les politiciens autour des États-Unis se mobilisent pour protester contre l'illégalité


    20 JANVIER 2017
    LES ANTI-MEDIA
    Par Sarah Cronin



    L'Indiana a adopté un projet de loi mercredi qui autorise les policiers à fermer la route protestant "par tous les moyens nécessaires." S.B. 285, comme on le sait, oblige un agent public à dépêcher tous les agents disponibles dans les 15 minutes qui suivent la découverte d'un rassemblement de 10 personnes ou plus qui font obstruction à la circulation des véhicules.

    Le projet de loi autorise alors les agents en cause à déminer les routes «par tous les moyens nécessaires».

    Les critiques l'appellent «projet de loi Block Traffic and You Die», un nom apte pour un projet de loi qui a coopté l'expression «tout moyen nécessaire», utilisé de façon célèbre dans le discours prononcé par Malcolm X pendant le mouvement des droits civils, Une menace contre la dissidence du gouvernement (sans la conscience apparente de l'ironie).

    S.B. 285 fait partie d'une collection de lois de plus en plus hostiles «anti-obstruction» qui ont été discrètement soumises dans les états autour de la nation au cours des derniers mois. Un rapport de The Intercept publié mercredi suivi de cinq de ces lois anti-protestation introduit par les législateurs républicains dans différents états, dont quatre sont actuellement en instance.

    L'un des plus inquiétants d'entre eux est le projet de loi de la Chambre n o 1203, un projet de loi déposé plus tôt ce mois-ci par le législateur du Dakota du Nord Keith Kempenich en réponse aux réclamations Dakota Access Pipeline. Le projet de loi exonérerait les automobilistes qui ont frappé les manifestants avec leurs voitures de toute responsabilité dans les cas où les victimes «obstruent la circulation des véhicules sur une voie publique, rue ou autoroute.» Cette prise tordue sur la criminalisation de protestation vient court de tolérer l'homicide involontaire comme un moyen viable Du contrôle des foules.

    Aussi ce mois-ci, la représentante de l'État du Minnesota, Kathy Lohmer, a dirigé l'effort de soumettre le HF 322, un projet de loi qui re-classifierait l'obstruction du trafic autoroutier d'un délit à un «délit grave» et autoriserait les unités gouvernementales à poursuivre les manifestants pour " Liées à des assemblées illégales. "

    Le projet de loi rappelle de façon frappante la proposition du sénateur de l'État de Washington Eric Ericksen de punir les manifestants en tant que «terroristes économiques», dont Anti-Media a fait rapport en novembre.

    Toutes les lois proposées partagent un trait commun en ce qu'elles ont toutes été adoptées en réponse à une manifestation de protestation majeure dans cet état. H.F. 322 a été présenté peu de temps après qu'un juge a rejeté les charges d'émeutes contre les manifestants qui ont pris à l'Interstate de Saint-Paul en juillet dernier dans une manifestation contre le tir de police de Philando Castille. L'annonce du projet de loi Ericksen sur le «terrorisme économique» est arrivée quelques jours après que des manifestants anti-fracking ont bloqué les voies ferrées à Olympia, à Washington. Les protestations de DAPL ont inspiré les projets de loi d'Indiana et de Dakota du Nord.

    Ces réactions rétroactives au nom des législateurs républicains sont également perçues comme des grèves préventives contre la menace de manifestations accrues pendant la présidence de Trump.

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  10. Comme Lee Rowland, l'avocat de l'ACLU, a exprimé dans une entrevue avec The Intercept, ces soi-disant «factures d'obstruction» ne sont que de minces efforts déguisés pour écraser toute dissidence du gouvernement.

    "Une loi qui permettrait à l'État de facturer 10 000 $ à un manifestant pour avoir marché au mauvais endroit ou d'inciter un conducteur à s'enfuir avec l'homicide involontaire parce que la victime protestait, est une chose: une protestation effrayante", a déclaré Rowland.

    Les tensions croissantes entre les représentants du gouvernement et les manifestants devraient s'accentuer le jour de l'inauguration en C.-B., où il y aura déjà de nombreux obstacles pour limiter les manifestations.

    D'abord et avant tout, la loi fédérale sur l'aménagement des terrains et des bâtiments de 2011, connue sous le nom de H.R 347.

    H.R.-347 est une révision d'une loi fédérale sur les intrusions de 1971 qui commettait le crime de «volontairement et sciemment» demeurer dans une zone sous la protection de la sécurité secrète. H.R. 347 supprime le mot «volontairement», une technicité juridique qui abaisse effectivement la barre sur l'état mental requis pour être déclaré coupable en vertu de la loi.

    Comme l'explique l'American Civil Liberties Union:

    "Dans la langue originale de la loi, vous deviez agir volontairement et sciemment en commettant le crime. Bref, il fallait savoir que votre conduite était illégale. En vertu de l'article H. 347, vous devrez simplement agir «sciemment», ce qui signifie que vous savez que vous êtes dans une zone réglementée, mais pas nécessairement que vous commettez un crime.

    En vertu de la loi fédérale en vigueur, le fait de protester à proximité d'un fonctionnaire élu sous la protection du Service secret, y compris le président Trump, est punissable d'une amende et d'une peine pouvant aller jusqu'à dix ans de prison.

    Les protestations au cours de l'inauguration de Trump sont accompagnées de complications supplémentaires, car le National Park Service réserve une grande partie de la route inaugurale du défilé le long de Pennsylvania Ave et Freedom Plaza pour la vente de billets sous la discrétion exclusive du Trump's Presidencial Inaugural Committee (PIC). Ce

    Les protestations au cours de l'inauguration de Trump sont accompagnées de complications supplémentaires, car le National Park Service réserve une grande partie de la route inaugurale du défilé le long de Pennsylvania Ave et Freedom Plaza pour la vente de billets sous la discrétion exclusive du Trump's Presidencial Inaugural Committee (PIC). Cela signifie que le PIC peut refuser d'autoriser les manifestants le long de l'itinéraire.

    Un groupe militant appelé Act Now pour mettre fin à la guerre et à la fin du racisme (Answer) est engagé dans une bataille juridique avec le National Park Service depuis 2005, arguant que la privatisation de l'Inauguration est une tentative de «désinfecter» les rues de la dissidence.

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  11. Alors que le Service des parcs nationaux a délibérément mis de côté les billets pour le CIP depuis 1980, le problème a suscité plus d'attention cette année quand on a découvert que le trottoir devant l'hôtel Trump International, un site important pour les manifestants, serait une partie de Zone réservée aux billets de PIC.

    Ajoutant un autre niveau de bureaucratie, le Washington Post a rapporté que l'hôtel et la place en face sont effectivement sous le contrôle de l'agence immobilière de Trump, ce qui signifie que les manifestants devraient littéralement «demander la permission» de rester dans l'espace.

    À mesure que la semaine prend fin, il devient évident que la dissidence est criminalisée non seulement à l'échelle nationale, mais à de multiples fronts. Des réglementations accrues apparaissent qui limitent les espaces publics qui peuvent être légitimement occupés en guise de protestation. En attendant, une législation est également introduite pour augmenter les conséquences négatives pour les protestations nouvellement illégales. Si plus d'États suivent l'exemple de l'Indiana, les manifestants se trouveront bientôt paradoxalement protestant pour leur droit de protester du tout.

    http://www.thedailysheeple.com/as-trump-takes-power-politicians-around-the-us-move-to-make-protesting-illegal_012017

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    1. La disparition du juif adolf hitler ne veut pas dire la fin des excisés !

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  12. Airbus testera une voiture volante d’ici la fin de cette année


    Sarah Liénart
    20 janvier 2017


    Le CEO du groupe aérospatial Airbus a annoncé lundi dernier que la société allait tester son prototype de voiture volante sans conducteur d’ici la fin de l’année.

    Ce projet fait suite à la création l’année dernière d’une division nommée Urban Air Mobility, chargée de développer des projets de transports aériens. L’objectif est de commercialiser une voiture volante autonome comparable à un hélicoptère, capable de transporter plusieurs passagers. Ceux-ci l’appelleront au moyen d’une application, selon un système comparable à celui utilisé par Uber.

    Airbus a assurément les yeux tournés vers le ciel – comme l’a annoncé le CEO Tom Enders récemment lors d’une conférence à Munich : « Il y a une centaine d’années, le transport urbain est passé sous terre. A présent, nous avons les moyens techniques pour nous élever dans les airs ». Celui-ci a également ajouté qu’il espère qu’Airbus pourra faire voler un prototype de démonstration conçu pour transporter une seule personne d’ici la fin de l’année.

    Selon Enders, le concept de la voiture volante permettra également de réduire les coûts de planification, car il ne sera plus nécessaire d’investir dans la construction d’infrastructures telles que des routes et les ponts.

    Le souci de produire des appareils moins polluants

    Airbus se préoccupe également de l’empreinte écologique de ces nouvelles technologies afin d’éviter d’ajouter de la pollution aux villes déjà encombrées.

    Enders a expliqué qu’en tant que plus grand fabricant d’hélicoptères commerciaux dans le monde, Airbus désire investir pour tirer profit au maximum des nouvelles technologies comme la conduite autonome et l’intelligence artificielle : « Si nous ignorons ces développements, nous serons évincés de segments importants des transports ».

    https://fr.express.live/2017/01/20/airbus-voiture-volante-autonome/

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  13. Fichier TES : menace pour notre vie privée ?


    le 21 janvier 2017

    Bien que cela ne soit pas formellement prévu, il arrivera, certainement, le moment où les caméras de vidéosurveillance, combinées à l’utilisation du fichier TES, permettront de suivre un quidam dans tous ses déplacements. Quel effet sur la vie privée ?

    Par Alexandre Marraud des Grottes.


    Suite à mon précédant article abordant le sujet délicat du fichier TES, une actualisation est aujourd’hui de rigueur suite à la mise en ligne de l’Audit du système « Titres Electroniques Sécurisés » commandé le 17 novembre 2016 par le Ministre de l’Intérieur, et mené par la DINSIC (Direction Interministérielle du Numérique et du Système d’Information et de communication de l’Etat) et l’ANSSI (Agence Nationale de la Sécurité et des Systèmes d’Information) du 28 novembre 2016 au 15 janvier 2017. Cet audit avait pour but de solliciter l’avis des deux organismes susnommés sur la sécurité du système face aux risques de fraude, d’intrusion, de compromission ou de destruction, et sur les mécanismes de sécurité prévus pour garantir l’impossibilité de détourner le système de ses finalités.

    Dans leur propos liminaires, la DINSIC et l’ANSSI relèvent donc que l’objectif fixé de l’audit n’a pas été de concevoir un nouveau système de gestion des cartes nationales d’identité (CNI), fondé sur d’autres type d’architectures techniques et logicielles, potentiellement plus distribuées et couplées à des moyens techniques différents, notamment en matière de capture des données biométriques, en dépit des demandes formulées par la CNIL.

    Historique

    Cet audit est la résultante des recommandations du Conseil National du Numérique – formulées dans son communiqué de presse du 7 novembre 2016 faisant suite au décret n°2016-1460 publié le 30 novembre 2016 au beau milieu du weekend prolongé de la Toussaint portant sur l’instauration d’un nouveau fichier des Titres électroniques sécurisés (TES) d’une ampleur inégalée. Balayant la restriction de la captation d’informations à caractère personnel, faisant fi de la proportionnalité de la détention d’informations sur un quidam fonction des risques qu’il peut faire courir à la société, il suffit de détenir une carte d’identité ou un passeport pour figurer dans ce fichier électronique conservé dans une base centralisée. Cela concerne près de 60 millions de français.

    Dans son communiqué, pour mémoire, le Conseil National du Numérique appelait le Gouvernement à suspendre la mise en œuvre de cette base de données, et s’autosaisissait pour examiner des alternatives techniques plus modernes et respectueuses des droits et libertés, déplorant en premier lieu le caractère administratif de cette décision, prise sans aucune concertation, et minimisée dans ses conséquences depuis lors par le Gouvernement. Par ailleurs, le Conseil rappelait qu’à un mois du Sommet de Paris sur le Partenariat pour un gouvernement ouvert (PGO) présidé par la France pendant un an, cette opacité contrastait fortement avec les objectifs affichés par les pouvoirs publics en matière de transparence, sans compter qu’elle s’inscrivait à rebours de la démarche de consultation initiée par Axelle Lemaire sur les décrets d’application de la loi pour une République numérique.

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  14. Dans un second temps, le Conseil s’inquiétait des dérives aussi probables qu’inacceptables inhérentes à l’existence de ce fichier ; du recul démocratique qui pourrait résulter d’un élargissement potentiel et prévisible de ses finalités initiales. Aussi légitimes que soient ces finalités, cette centralisation de données biométriques est à même de susciter des appétits et leur détournement massif. Quoi qu’il en soit, la compilation de ces données permettrait à terme l’identification systématique de la population avec les moyens de la reconnaissance faciale ou de la reconnaissance d’image, à des fins policières ou administrative.

    Enfin, le choix de la centralisation revenait, pour le Conseil, à créer une cible d’une valeur inestimable dont les premières menaces apparaîtront dès la mise en ligne du fichier. Pour mémoire, en 2009, un registre de la population israélienne contenant des informations confidentielles sur près de 9 millions de citoyens s’est retrouvé sur Internet à la suite d’une négligence d’un sous-traitant. Au mois d’avril dernier, une faille de sécurité avait entraîné une fuite massive de données relatives à 55 millions d’électeurs philippins. Le même mois, c’était une base de données tirée du recensement de la population turque qui était mise en ligne avec noms et adresses.

    En l’occurrence, ce décret arrive à un moment où les cybermenaces se font redoutables dans le monde. La défaite d’Hillary Clinton à la présidentielle américaine est, à titre d’exemple, arguée avoir été facilitée, voire découle des piratages opérés par Wikileaks, qui a su démontrer qu’en matière de sécurité informatique, aucun système n’est imprenable. Il est, à ce titre, à noter la phrase de Jean-Jacques Urovoas en 2012 soulignant, au sujet de la proposition de loi qui a, semble-t-il, inspirée ce décret, que les défenses érigées comme des lignes Maginot finissent immanquablement par tomber, que ce n’est qu’une question de temps.

    Le Conseil National du Numérique estime alors qu’au vu de ces menaces, les réponses juridiques ne suffisent plus et doivent s’accompagner de garanties techniques permettant d’assurer la sécurité des données des citoyens. A ce titre, des alternatives sont proposées par la CNIL ou le Conseil constitutionnel à l’instar de la conservation des données biométriques sur un support individuel exclusivement détenu par la personne concernée.

    Ces alternatives, qui s’inscrivent dans la logique d’autodétermination informationnelle consacrée par la loi numérique, permettent d’atteindre les objectifs de lutte contre la fraude documentaire tout en étant respectueuses de la vie privée des citoyens.

    Aussi, dans leur communiqué de presse du 10 novembre 2016, Bernard Cazeneuve et Axelle Lemaire assuraient que « le Gouvernement a ouvert un dialogue constructif avec le Parlement et la société civile et s’est engagé à impliquer de manière continue les organes d’expertise techniques, les autorités indépendantes et à rester à l’écoute des attentes de la société civile, notamment celles issues de la consultation engagée par le Conseil national du numérique, sur le sujet de l’identité numérique qui représente un enjeu majeur de modernisation et de protection pour nos concitoyens. Des pistes d’évolution du dispositif ont par ailleurs été ouvertes : d’une part, en garantissant la possibilité pour tout individu de refuser le versement de ses empreintes ; d’autre part, en prévoyant une homologation de la sécurité du système et des procédures par l’Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information (ANSSI) et la Direction interministérielle du numérique et du système d’information et de communication de l’État (DINSIC). »

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  15. Les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent. En effet, de par l’article 27 de la loi Informatique et Libertés de 1978, l’Exécutif a la faculté d’instituer, par un simple décret, tous traitements de données à caractère personnel pour le compte de l’État, ou touchant à la sécurité nationale. Et depuis 2004, les données biométriques sont soumises au même régime, en dépit de leur sensibilité. L’on assiste donc, impuissants, à l’absence de contrôle parlementaire sur la création de fichiers concernant les données personnelles des citoyens par l’Exécutif.

    Quoi qu’il en soit, dès leur propos liminaires, la DINSIC et l’ANSSI annoncent l’étendue de la mission qui a été la leur au cours de cet audit, en l’occurrence, une analyse des fonctionnalités du système TES, de son architecture, de sa gouvernance et de son organisation, ainsi qu’en un test d’intrusion visant à apprécier le niveau de sécurité réel du système.

    Un bilan présenté comme positif

    Bruno Le Roux se réjouit des conclusions de cet audit, écrivant prendre « pleinement acte des conclusions de ce rapport, qui établissent clairement que le système « TES » est « compatible avec la sensibilité des données qu’il contient », dans son architecture comme dans ses conditions d’usage. [Il] ajoute que le rapport établit que les usages de ce système par les agents de préfecture et ceux de l’Agence nationale des titres sécurisés, le cas échéant à la demande de la police judiciaire ou des autorités judiciaires, sont pleinement conformes aux textes qui régissent ce traitement de données ».

    Dès lors, une commission d’homologation qui associera pour avis l’ANSSI et la DINSIC devrait être réunie sous un mois pour se prononcer sur l’analyse des risques et la conformité des mesures de maîtrise de ces risques.

    Bruno le Roux relève d’ailleurs à la suite de ce rapport les apports positifs de la réforme de la délivrance des cartes nationales d’identité portée par le ministère de l’Intérieur. [Qu’] en effet, le nouveau dispositif :

    Est utile en matière de lutte contre la fraude et l’usurpation d’identités ;
    Apporte une plus-value réelle en termes de simplification des démarches des usagers ;
    Va soutenir la réforme du service public dans les communes comme dans les préfectures, en permettant des gains d’efficience et d’efficacité.

    Le Ministre de l’Intérieur prend enfin bonne note des observations des auditeurs soulignant que la sécurité des systèmes informatiques n’est jamais un absolu, et que des risques résiduels sont inévitables, notamment au regard de l’évolution des pratiques et normes techniques.

    Ne pas prendre les gens pour des cons mais ne pas oublier qu’ils le sont (les Inconnus)

    Bien que l’ANSSI et la DINSIC n’aient pas été sollicitées pour se prononcer sur autre chose que des considérations techniques portant sur la sécurité informatique des données et l’architecture du fichier TES, les auditeurs relèvent néanmoins plusieurs aspects fondamentaux du point de vue des libertés individuelles, que Bruno Le Roux n’a pas jugé bon de mentionner dans ses présentation et lettres au Président de l’Assemblée nationale et au Président du Sénat.

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  16. Tout d’abord, et c’est essentiel car l’on est sur de la sémantique, ce n’est pas tant, comme l’écrit le Premier Ministre, « le système TES [qui] est compatible dans son architecture et ses conditions d’usage, à la sensibilité des données qu’il recueille », que « l’audit [qui] a montré que, du point de vue de la sécurité informatique, les principes de conception du système TES sont compatibles avec la sensibilité des données qu’il contient ». Vous me reprocherez peut-être d’être tatillon, de jouer sur les mots, pourtant Bruno Le Roux le fait et la différence entre les conclusions des auditeurs et l’assertion qu’il reprend à son compte est de taille. Un système et ses principes de conception sont deux choses différentes : l’on passe de la théorie à la pratique sans transition aucune ni test. Or, ce contresens tend à dédramatiser le constat de l’audit et les recommandations faites par l’ANSSI et la DINSIC.

    En effet, « les principes de conception du système TES sont compatibles avec la sensibilité des données qu’il contient, cependant TES est un système complexe, incluant de multiples parties prenantes et de nombreux composants matériels et logiciels, d’où la nécessité d’une vigilance particulière pour assurer un niveau de sécurité homogène sur l’ensemble de son périmètre. A ce titre, et au regard de l’évolution des technologies et de la menace cyber, l’audit a mis en évidence que la sécurité globale du système TES est perfectible. »

    La différence est notable. Bruno Le Roux nous assure un fichier TES compatible dans son architecture et ses conditions d’usages, alors que manifestement, le système est encore perfectible tant que les recommandations de l’ANSSI et de la DINSIC n’auront pas dépassé le stade de la mise en œuvre d’un plan d’action.

    Les auditeurs rappellent également que le système ne pourra en aucun cas être garanti inviolable et qu’in fine, cette question de la sécurité du système TES renvoie à l’arbitrage que doit faire l’Etat en matière d’acceptation des risques résiduels inévitables liés à la mise en œuvre de ce système au regard des bénéfices escomptés pour la gestion des titres. »

    En effet, et les auditeurs le relèvent, le fichier TES soulève des interrogations éthiques importantes. Notamment par son croisement avec les méga-données (Big data) et d’autres textes normatifs à l’instar du Décret n°2016-1955 du 28 décembre 2016 cosigné par Bernard Cazeneuve, Bruno Leroux, Jean-Jacques Urvoas et Ericka Bareigts venant modifier la liste des infractions pouvant être sanctionnées à distance via des caméras ou des radars automatiques. Entré en vigueur le 31 décembre 2016, il vient consacrer une vidéo-verbalisation à la volée permettant, à partir d’images fournies par des radars automatiques ou des caméras de vidéosurveillance installées sur la voie publique, de dresser un PV électronique, envoyé au titulaire de la carte grise. Cette technique n’est en soit pas nouvelle dans la mesure où certaines villes ont déjà adopté de dispositif, cependant circonscrit essentiellement aux feux rouges, circulation dans des voies réservées et stationnement. Toutefois, ce décret vient enrichir la liste des infractions pouvant être sanctionnées à distance, notamment le défaut de port de ceinture de sécurité, l’usage du téléphone au volant, l’usage de voies et chaussées réservées à certaines catégories de véhicules (bus, taxis…), l’arrêt, le stationnement ou la circulation sur les bandes d’arrêt d’urgence, le non-respect des distances de sécurité, …

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  17. Concrètement, l’ANSSI et la DINSIC estiment à ce titre que du point de vue des usages, l’audit a constaté que le système TES peut être détourné à des fins d’identification, malgré le caractère unidirectionnel du lien informatique mis en œuvre pour relier les données d’identification alphanumériques aux données biométriques. Cet usage illicite peut-être atteint ne serait-ce que par reconstitution d’une base de données complète à partir du lien unidirectionnel existant. »

    Bien que les recommandations développées aient pour but d’encadrer les usages du fichier et de limiter aux informations strictement nécessaires les données véhiculées, il existera toujours un risque de dévoiement, de détournement de l’usage fait du fichier TES.

    Vers une inexorable fin de la l’anonymat et de la vie privée ?

    Bien que cela ne soit pas formellement prévu, il arrivera, certainement, le moment où les caméras de vidéosurveillance, combinées à l’utilisation du fichier TES, permettront de suivre un quidam dans tous ses déplacements – à pieds ou véhiculés – et d’avoir instantanément accès à toutes ses informations : nom, prénoms, âge, taille, empreintes digitales, couleur des yeux, adresse, lieux de voyages, filiation, voitures, compagnie d’assurance, et, par croisements de données stockées à d’autres endroits sur Internet (grâce au Méga-données) : tout. Un logiciel de reconnaissance faciale suffisamment élaboré pourrait permettre de tout savoir sur chacun de nous.

    La généralisation des moyens de collecte et de traitement des informations ; la banalisation de la biométrie désormais utilisée par les industries de grande consommation ; la demande croissante de services de plus en plus personnalisés ; la demande de sécurité, de confort ; l’effort de simplification et de maîtrise des coûts au sein de l’Etat comme dans de nombreuses industries, conduiront à la démultiplication du recours à l’identification, à l’authentification.

    Ces questions-là portent sur des valeurs essentielles et parfois contradictoires : sécurité, efficacité, protection des libertés fondamentales, souveraineté, croissance économique, confiance des citoyens et des consommateurs, et ne peuvent donc, du fait de leur caractère universel – de par le nombre de personnes concernées -, être tranchées sans un important débat de société préalable au cours duquel les citoyens se verraient éduquer sur le sujet pour en saisir les tenants et aboutissants. Une telle problématique ne peut être, en effet, avalisée que par un référendum, car c’est bien de nos données personnelles qu’il s’agit, de notre identité, et il semble tout à fait anormal que le seul pouvoir Exécutif puisse, par simple décret et en vertu de la loi, décider du sort de nos information personnelles.

    Il paraît que les gens sont cons mais n’aiment pas être considérés comme tel …Quand cesserons-nous alors d’être étonnés, offusqués, dégoutés pour enfin faire une crise de raison et prendre conscience de la force immense d’un peuple en branle, de la société civile consternée concernée ? Nous sommes à un tournant de notre Histoire, aux prémices d’une révolution technologique d’une ampleur incommensurable qui est amenée à changer notre rapport au monde.

    Et la société nouvelle qui se dessine le sera avec ou sans nous.

    https://www.contrepoints.org/2017/01/21/278417-fichier-menace-vie-privee

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    1. Pareillement qu'en France où les gens votent pour le moins pire des candidats (qui font que l'élu est le malaimé de tous les français), l'élection aux États-Unis, s'est déroulée dans de similaires conditions où le candidat ne reflétait que lui-même et non un parti !

      C'est donc cet apolitisme qui est retenu comme étant la première flamme de Liberté. Notons que les USA (comme la France entr'autres) sont composés de 3 bases: l'Etat (chef et Gouvernement), les merdias gouvernementaux et le Peuple.

      C'est pourquoi, JAMAIS, une personne du Peuple n'a été représentée ni n'a pu s'exprimer dans la presse (télés, radios, journaux). C'est donc l'autocratie merdiatique qui gouverne et dit ce qu'elle veut et interprète tout comme elle le veut sans être le reflet du peuple ni celui de 'ses élus'.

      Donald Trump le prouve bien: il est milliardaire ! S'est fait de lui-même et a bâti son empire tout seul. Donc, il a pu s'acheter xxx passages télés-radios-journaux afin de développer ses pensées personnelles sans demander à un quelconque parti ce qu'il en pensait et son approbation !!

      Ainsi, la majorité (y compris actuellement les indiens d'origine) entr'aperçoit ce que peut être le bien-être à découvrir et la politique voguant entre l'affectif et l'infectif.

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  18. Iceberg géant en Antarctique : la crevasse s'étend


    7sur7.be
    sam., 21 jan. 2017 09:56 UTCCarte


    La fissure menaçant de générer en Antarctique un des plus gros icebergs jamais vus a gagné 10 km en trois semaines, ont annoncé vendredi des chercheurs de l'Université de Swansea (Royaume-Uni).

    Surveillée depuis des années, cette crevasse qui fissure un énorme pan de glace attaché à l'ouest de l'Antarctique, s'est allongée de 10 km depuis le 1er janvier, après avoir pris 18 km en décembre.

    Elle est aujourd'hui longue de 175 km, selon des données satellitaires rapportées dans un communiqué de l'Université.

    Il ne reste ainsi plus que 20 km avant que la glace se détache pour devenir un des plus gros icebergs jamais connus (plus de 5.000 km2, soit 85 fois l'île de Manhattan).

    La glace "va probablement se briser dans les mois à venir -- je serais étonné que cela ne se produise pas", a déclaré Adrian Luckman, professeur à la Swansea University (Pays de Galles), qui dirige le projet britannique Midas, consacré aux formations glaciaires dans l'Antarctique Ouest. "Elle est si près de la rupture que je pense que c'est inévitable", a-t-il déclaré à l'AFP.

    Une fois libéré, l'iceberg n'aura pas d'impact sur le niveau des océans car cette glace flotte déjà sur l'eau.

    Une gigantesque barrière de glace flottante

    Mais il compose une gigantesque barrière de glace flottante, baptisée "Larsen C", qui retient des glaciers capables, eux, de faire gagner 10 cm aux mers du monde s'ils finissaient par se trouver à terme exposés à l'océan Antarctique, selon ces chercheurs.

    Ce détachement d'iceberg "changera fondamentalement le paysage de la péninsule Antarctique" et "rendra tout Larsen C vulnérable", assurent-ils.

    Selon eux, "Larsen C pourrait au final suivre l'exemple de Larsen B", qui s'était désintégré de façon spectaculaire en 2002 au terme du même type de processus. Un 3e segment, Larsen A, a, lui, disparu en 1995.

    https://fr.sott.net/article/29890-Iceberg-geant-en-Antarctique-la-crevasses-etend

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    1. Notons que l'Antarctique comporte une vingtaine de sources chaudes recensées qui font que 'de temps en temps' une immensité de glace se décroche donc de ses fonds marins pour aller flotter sur les courants porteurs.

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  19. Photo : Déluge de neige sur Capracotta dans le centre de l'Italie


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    ven., 20 jan. 2017 20:06 UTCCarte

    - voir photo 2 m de neige dans une rue -

    https://fr.sott.net/article/29888-Photo-Deluge-de-neige-sur-Capracotta-dans-le-centre-de-l-Italie

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  20. (...) «Les hommes et les femmes oubliés de notre pays ne seront plus oubliés», dit Trump alors que la pluie tombait. "Tout le monde vous écoute maintenant." (...)

    PS: Ce jour à 12:00 à Washington la pluie se mit à tomber !
    Plutôt bizarre que lors d'une manifestation de cette importance il puisse y avoir un incident climatique malencontreux alors que quels que soient les autres évènement intervenaient les 'technologies scalaires' et qu'il y avait du beau temps !

    Notons que nombreuses sont les vidéos publiés ces jours deniers qui ont été fermées cause à... leurs diffusions !

    Petits rappels aussi (à propos du '9-11') que l'examen des poussières émises lors de la destruction volontaire des tours 1, 2 et 7, que leur calibre nano correspondait bien à une modification depuis Gakona.

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  21. Comment le New York Times joue avec l'histoire


    Par Tyler Durden
    Jan 21, 2017 10:00 PM
    Présenté par Robert Parry via The Strategic Culture Foundation,


    Chaque fois que le New York Times ou un autre grand centre de presse se présente comme un parangon du journalisme professionnel - en agitant un doigt sur certaines «fausses nouvelles» pro-Trump ou sur une «théorie de la conspiration» sur Internet - je me réticule à l'auto-illusion et hypocrisie.

    Personne ne déteste les fausses nouvelles et les théories de conspiration libres de faits plus que moi, mais la triste vérité est que la presse grand public a ouvert la porte à de telles fantasmes en perdant la confiance du peuple américain et en devenant peu plus que le porte- , Qui tourne ses propres récits autoportants et raconte ses propres mensonges.

    Plutôt que d'agir comme un chien de garde contre ces tromperies, le Times et ses compagnons de route se sont transformés en peu plus que les apologistes et les propagandistes de l'Établissement.

    Si l'Irak est "l'ennemi", on nous raconte des histoires sauvages sur la façon dont les armes de destruction massive inexistantes en Iraq constituent un danger pour nous tous. Si la Syrie est à la croisée de Washington, on nous donne un compte rendu unilatéral de ce qui se passe là, des chapeaux noirs pour le «régime» et des chapeaux blancs pour les «rebelles»?

    Si le Département d'Etat soutient un coup d'Etat en Ukraine pour évincer un dirigeant élu, on se réjouit des histoires de sa corruption et de la façon dont le renversement d'un leader démocratiquement choisi est en quelque sorte «promotion de la démocratie». Le gouvernement américain se loge contre la Russie.

    Pourtant, si cette crise du journalisme américain s'est aggravée ces dernières années, le schéma n'est pas entièrement nouveau. Elle se reflète dans la façon dont les médias traditionnels ont manqué beaucoup des histoires les plus importantes de l'histoire moderne et a, le plus souvent, été un obstacle à obtenir à la vérité.

    Puis, si la preuve devient finalement si écrasante que les démentis continus ne sont plus tenables, les grands médias tentent de récupérer sa crédibilité déchiquetée en s'emparant de quelques nouvelles preuves et en déclarant que tout ce qui précède n'était que des rumeurs mais maintenant nous pouvons prendre la Longue histoire chuchotée sérieusement - parce que le Times le dit.

    Par exemple, le cas du sabotage de Richard Nixon sur les pourparlers de paix du président Lyndon Johnson, en 1968, pour se donner un coup de pouce crucial dans une course présidentielle serrée contre le vice-président Hubert Humphrey. En «temps réel» - comme Nixon exécutait sa manœuvre et dans les années immédiatement après - il y avait des rapports de journaux de second rang et de journalistes indépendants dans ce que Johnson nommé en privé «trahison» de Nixon, mais le Times et d'autres «journaux d'archives "Traite l'histoire comme un peu plus qu'une théorie du complot.

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  22. Au fil des ans et le cas de la culpabilité de Nixon s'est renforcé et renforcé, l'histoire n'a toujours pas réussi à franchir le seuil pour les Big Media de prendre au sérieux.

    Preuve définitive

    Il y a plusieurs années, j'ai compilé un récit détaillé des événements de 1968 des documents déclassifiés par la bibliothèque présidentielle de Johnson et j'ai publié le matériel sur Consortiumnews.com. Non seulement j'ai tiré des enregistrements récemment disponibles des appels téléphoniques de Johnson, mais d'un fichier d'écoutes secrètes - étiqueté "l'enveloppe de X" - que Johnson avait ordonné à son conseiller de sécurité nationale, Walt Rostow, de retirer de la Maison Blanche avant L'inauguration de Nixon.

    L'enveloppe "X" de Walt Rostow "

    J'ai aussi retracé comment la paranoïa de Nixon au sujet du dossier manquant de la Maison Blanche et qui pourrait posséder l'a conduit à assembler une équipe de cambrioleurs, connue sous le nom de Plombiers, dont les activités plus tard ont fait surface dans le scandale de Watergate.

    En d'autres termes, en déchiffrant le mystère de la «trahison» de Nixon en 1968, vous changez les récits de la guerre du Vietnam et du Watergate, deux des questions essentielles de l'histoire américaine moderne. Mais les principaux médias des États-Unis ont soigneusement ignoré ces nouvelles révélations.

    Juste en novembre dernier, dans un examen des cas passés de "Surprise d'octobre" - dans le contexte du directeur du FBI James Comey dire au Congrès que le FBI avait rouvert son enquête sur les courriels d'Hillary Clinton - le Times a offert ce résumé de l'affaire 1968:

    "Le président Lyndon Baines Johnson a annoncé l'arrêt du bombardement du Nord-Vietnam, fondé sur sa prétention que les pourparlers de paix avaient« entamé une nouvelle phase et beaucoup plus d'espoir »et il a invité le gouvernement du Vietnam du Sud et le Viet Cong à participer Dans les négociations. L'annonce semblait renforcer la position dans les sondages du vice-président Hubert H. Humphrey, le candidat démocrate à la présidentielle, mais Humphrey n'a toujours pas répondu aux élections contre l'ancien vice-président Richard M. Nixon, Républicain."

    En d'autres termes, le Times a traité Johnson attentat de bombardement et la revendication de la paix-talk progrès que la «Surprise Octobre» pour tenter d'influencer l'élection en faveur de Humphrey. Mais l'évidence est maintenant claire qu'un accord de paix était à portée de main et que la «surprise d'octobre» était le sabotage de Nixon des négociations en persuadant le président vietnamien Nguyen van Thieu de boycotter les pourparlers de Paris.

    Le Times a eu l'histoire à l'envers en ne réexaminant pas l'affaire à la lumière des nouvelles preuves convaincantes qui étaient disponibles depuis des années, bien que circulant en dehors du courant dominant.

    Cependant, enfin, ce dédain pour l'histoire peut se dissiper. Plus tôt ce mois-ci, le Times a souligné dans un op-ed et un article de nouvelles de suivi des notes cryptiques de la campagne de Nixon de 1968 révélant les instructions de Nixon à l'aide H.R. Haldeman.

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  23. Les notes de Haldeman - découvertes à la bibliothèque présidentielle de Nixon par l'historien John A. Farrell - révèlent Nixon disant à Haldeman «Gardez Anna Chennault travaillant sur SVN», signifiant le Sud Viet Nam et se référant au émissaire principal de la campagne au gouvernement sud-vietnamien, Émigrée Anna Chennault.

    Le gambit de Nixon était de faire passer Chennault au président sud-vietnamien Thieu que, s'il boycottait les pourparlers de paix de Johnson à Paris - déraillant ainsi les négociations - Nixon assurait que Thieu continuait son soutien militaire à la guerre.

    Monkey Wrench It

    Une autre note de Haldeman a révélé l'intention de Nixon d'amener le leader de la minorité du Sénat Everett Dirksen, R-Illinois, à réprimander Johnson au sujet d'une halte projetée de bombardement tandis que Nixon recherchait «n'importe quelle autre manière de la clé de singe? Tout ce que RN [Richard Nixon] peut faire. "

    Bien que le griffonnage de Haldeman soit parfois difficile à déchiffrer, l'entrée suivante fait référence à «SVN» et ajoute: «dites-lui de tenir ferme» - le même message qu'Anna Chennault a ensuite transmis aux hauts fonctionnaires sud vietnamiens dans les derniers jours de la campagne de 1968 .

    Bien que la découverte de Farrell soit certainement digne d'intérêt, sa plus grande importance peut être qu'elle a servi de point de bascule qui a finalement forcé le Times et les médias traditionnels à passer au-delà de leurs démissions de longue date de cette «théorie du complot».

    Le Times a donné à Farrell l'espace sur sa page d'opinion du 1er janvier pour expliquer sa découverte et le Times a suivi avec une histoire à l'intérieur du papier sur les notes de Haldeman. Cette histoire comprenait quelques commentaires favorables de grands écrivains, comme l'ancien chef du bureau de Newsweek Evan Thomas disant Farrell «cloué ce qui a été parlé depuis longtemps.

    Bien sûr, l'histoire du sabotage du discours sur la paix au Vietnam de Nixon a été plus que "discutée depuis longtemps". Une série de journalistes ont reconstitué les preuves, dont certaines au fur et à mesure que le schéma se déroulait, Comme ils sont devenus disponibles au cours des dernières décennies.

    Mais les grands journaux ont surtout écarté cette accumulation de preuves apparemment parce qu'elle a contesté leur récit «autoritaire» de cette époque. Aussi étrange et vicieux que le comportement paranoïaque de Nixon ait pu être, il semble avoir été un pont trop loin pour suggérer qu'il a mis ses ambitions politiques devant la sécurité d'un demi-million de soldats américains dans la zone de guerre du Vietnam en 1968.

    On a dit au peuple américain que la vérité inquiétante aurait pu profondément ébranler leur confiance dans l'Établissement, étant donné la mort de 58 000 soldats américains dans la guerre du Vietnam, plus le meurtre de plusieurs millions de Vietnamiens. (Près de la moitié des morts ont été tués après les négociations de paix de Johnson a échoué et que Nixon a vécu jusqu'à son engagement à Thieu en étendant le rôle de combat direct des États-Unis pour quatre autres années).

    [Pour plus de détails, consultez Consortiumnews.com "X-File" de LBJ sur Nixon "Trahison" et "The Heinous Crime Behind Watergate."]

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  24. Une reprise

    Mais la dissimulation par les grands médias de la «trahison» de Nixon n'était pas un problème autonome en termes de distorsion de l'histoire récente des États-Unis. Si le peuple américain avait réalisé à quel point certains hauts fonctionnaires des États-Unis iraient pour réaliser leurs ambitions politiques, ils auraient été plus disposés à croire d'autres allégations sérieuses d'actes répréhensibles du gouvernement.

    Le président Ronald Reagan, prononçant son discours inaugural le 20 janvier 1981, alors que les 52 otages américains en Iran sont simultanément libérés

    Par exemple, la preuve est presque aussi écrasante que la campagne de Ronald Reagan a repris le gambit de Nixon de 1968 en 1980 en sapant les négociations du président Jimmy Carter pour libérer 52 otages américains alors détenus en Iran, un autre document bien documenté "surprise d'octobre" Étiquette une «théorie du complot».

    Avec plus de deux douzaines de témoins - dont des responsables américains, iraniens, israéliens et autres - qui décrivent des aspects de cet accord républicain en coulisse, la réalité de cette «préquelle» Largement accepté comme un véritable morceau de l'histoire américaine moderne.

    Mais une demi-hearted enquête du Congrès en 1991-93 naïvement a donné alors le président George H.W. Bush le travail crucial de rassembler les registres internes du gouvernement des États-Unis pour confirmer les allégations - en dépit du fait que Bush était un suspect principal dans l'opération 1980.

    Il y a plusieurs années, j'ai découvert des documents de la bibliothèque présidentielle de Bush à College Station, au Texas, montrant comment le personnel de la Maison Blanche de Bush a organisé un dissimulation pour dissimuler des preuves clés et cacher un témoin clé de l'enquête.

    Un mémorandum d'un avocat de Bush a révélé que la Maison Blanche avait reçu la confirmation d'une allégation d'octobre sur surprise - un voyage secret par le président de campagne (et plus tard le directeur de la CIA) William Casey à Madrid - mais a retenu cette information des enquêteurs du congrès. Les documents ont également montré la Maison Blanche tentatives frustrantes d'interviewer l'ancien officier de la CIA Donald Gregg, un témoin clé.

    Un autre document énonçait brutalement l'objectif de la Maison Blanche: «tuer / rayer cette histoire» pour protéger les chances de réélection de Bush en 1992.

    Après avoir découvert la confirmation de Madrid il ya plusieurs années - et envoyé le document à l'ancien député Lee Hamilton, qui avait dirigé l'enquête du Congrès qui avait conclu qu'il n'y avait aucune preuve crédible étayant les allégations - il a été stupéfait par la trahison apparente de sa confiance .

    "La Maison Blanche [Bush-41] ne nous a pas informé qu'il [Casey] avait fait le voyage" à Madrid, m'a dit Hamilton dans une interview. Demandé si la connaissance que Casey avait voyagé à Madrid pourrait avoir changé la conclusion de Surprise surprise d'octobre de l'enquête, Hamilton a dit oui, parce que la question du voyage de Madrid était centrale à l'enquête.

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  25. Pourtant, à ce jour, les médias de droite et les médias traditionnels citent les résultats non concluants de l'enquête comme leur argument central pour défendre Reagan et son héritage. Cependant, si le gambit de Nixon en 1968 - mettant en péril la vie d'un demi-million de soldats américains - avait été accepté comme une histoire authentique plus tôt, la preuve que Reagan mettait en danger le personnel des ambassades américaines aurait pu sembler beaucoup plus facile à croire.

    Comme ces dissimulations de longue date se lèvent lentement et commencent à s'effriter, l'histoire sérieuse derrière eux a commencé à montrer à travers dans les médias grand public. Par exemple, le 3 janvier, au cours d'une table ronde du CNN sur l'ingérence dans les élections présidentielles américaines, l'historien populaire Doug Brinkley a ajouté: «Un point: 1980, Ronald Reagan prenait Jimmy Carter; En Iran. William Casey, les gens de l'administration Reagan étaient en train de s'ingérer dans la politique étrangère en disant: «Gardez les otages jusqu'à l'élection». Ce n'est pas seulement Nixon ou Donald Trump.

    [Pour plus de détails sur l'affaire de 1980, voir Robert Parry's America's Stolen Narrative ou Trick or Traason: The October October Surprise Mystery ou Consortiumnews.com's "Second Thoughts on October Surprise."]

    Scandale de Contra-cocaïne

    Mais le déni d'actes répréhensibles sérieux meurt durement. Par exemple, le New York Times, le Washington Post et d'autres grands points de presse ont longtemps refusé d'accepter l'évidence écrasante que les rebelles nicaraguayens réclamés de Reagan s'engagent dans le trafic de cocaïne sous le regard bienveillant de la Maison Blanche et de la CIA.

    Mon collègue de l'Associated Press Brian Barger et moi-même avons rassemblé beaucoup de ces preuves en 1985 pour la première histoire de ce scandale, ce qui a miné les affirmations de Reagan selon lesquelles il combattait une guerre implacable contre les drogues. À l'époque, le Times allait aussi battre pour l'Établissement. Basé sur des informations intéressantes du ministère de la Justice de Reagan, le Times a renversé nos rapports AP. Et, une fois que le Times a été saisi par ses sources officielles, elle et d'autres publications grand public ont effectué des vendettas contre quiconque osait contredire la sagesse acceptée.

    Alors que le journaliste de San Jose Mercury News, Gary Webb, a relancé l'histoire de la contre-cocaïne en 1996 - avec des preuves qu'une partie de cette cocaïne avait alimenté la «épidémie de crack» - le Times et d'autres grands journaux ont sabré les articles de Webb et détruit sa carrière. Pas même un aveu institutionnel de la CIA en 1998, qui avait été conscient de la contrebande de drogue généralisée et regardé de l'autre, était suffisant pour secouer la fausse sagesse conventionnelle des médias traditionnels sur l'innocence des Contras et de la CIA.

    Après que l'inspecteur général de la CIA eut atteint ses conclusions condamnantes en admettant la connaissance de la drogue-courant, le Times a couru une histoire en reconnaissant qu'il y avait peut-être plus aux allégations que le journal avait cru auparavant, mais le même article a maintenu le bashing de Webb , Qui a été battu hors du journalisme et, presque sans le sou, s'est suicidé en 2004.

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  26. Malgré les admissions de la CIA, The Washington Post a également continué à nier la réalité Contra-cocaïne. Quand un film sur l'épreuve de Webb, "Kill the Messenger", a été publié en 2014, Jeff Leen, rédacteur en chef de la publication, a poursuivi le déni de la réalité sur le Web avec une nouvelle attaque méchante sur Webb.

    L'histoire de Leen a été approuvée par l'ancien rédacteur en chef de Post, Leonard Downie Jr., qui a diffusé le retrait de Webb de Leen avec le commentaire ajouté: «J'étais au Washington Post à l'époque où il a enquêté sur les histoires de Gary Webb et Jeff Leen est exactement droite. Cependant, il est trop gentil avec un film qui présente un mensonge comme un fait. "

    [Pour en savoir plus sur le succès de Leen, voir Consortiumnews.com "WPost's Slimy Assault sur Gary Webb." Pour en savoir plus sur l'histoire de Contra-cocaïne, voir "The Sordid Contra-Cocaine Saga."]

    Mentiras en tant que vérité

    Le fait que les «vedettes» des médias traditionnels reposent sur l'idée de mentir - ou ils ne peuvent pas distinguer les faits et les mensonges - a contribué à une dangereuse panne de la capacité du public à trier ce qui est et ce qui n'est pas réel.

    Essentiellement, le problème est que les grands médias ont cherché à protéger l'intégrité de l'Établissement en écartant les cas réels de criminalité institutionnelle et d'abus de pouvoir. Toutefois, en renforçant ces défenses - plutôt que de contester les actes répréhensibles systémiques - les médias grand public a vu sa propre crédibilité éroder.

    On pourrait espérer que quelqu'un en position de pouvoir au sein des grandes organisations de presse reconnaîtrait ce danger et lancerait une réforme radicale qui pourrait commencer par reconnaître certaines des réalités historiques longtemps enfouies, même si elle met des icônes d'Établissement comme Ronald Reagan et George HW Bush, sous une lumière négative.

    Mais ce n'est clairement pas la direction que les principaux médias d'information des États-Unis se dirigent. Au lieu de cela, le Times, la Poste et d'autres points de vente traditionnels continuent à prendre toutes les sources de l'Établissement distribuer - maintenant y compris les allégations de renseignements douteuses et bizarres des États-Unis sur la Russie et le président élu Donald Trump.

    Plutôt que de se joindre à la demande de preuves réelles à l'appui de ces revendications, les médias dominants semble vouloir canaliser simplement le mépris de l'établissement pour la Russie et Trump. Donc, tout ce qui est dit - peu importe comment peu probable - mérite les titres de première page.

    Le résultat final, cependant, est de pousser de plus en plus d'Américains dans un état de confusion sur ce qu'il faut croire. Alors que certains citoyens peuvent chercher le journalisme indépendant honnête pour obtenir ce qu'ils manquent, d'autres seront sûrement la proie de nouvelles fausses et théories du complot.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-01-21/how-new-york-times-plays-history

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    1. Le pouvoir des journalistes (élus par personne !) est qu'avec des milliards pour monopoliser la transmission d'informations, ils peuvent faire croire de partout tous les mensonges qu'ils veulent. Or, depuis l'arrivée de l'Internet, des milliards de preuves se sont répandues à travers le monde (textes & vidéos censurés sur Google) et, les merdias gouvernementaux qui jusque là avaient supporté n'importe qui (sauf si ce n'importe qui se dit être le représentant du peuple), se voient obligés de reculer et faire profil bas jusqu'à se faire Madonna entre les fesses tous les jours ! Hahahaha !

      LE MOUVEMENT ANTILOPES EST EN MARCHE !!!

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  27. Donald Trump le Révolutionnaire ?


    Oscar Fortin
    ven., 20 jan. 2017 20:52 UTCCarte


    J'ai lu et relu le discours de Donald Trump à son peuple au moment d'assumer la présidence des États-Unis d'Amérique. Un discours que bien des chefs d'État des pays émergents en Amérique latine et ailleurs dans le monde pourraient faire leur sur de nombreux points.


    Le diagnostique, trop sombre pour certains, qu'il fait sur l'état de la Nation met en évidence les faiblesses d'un système qui a servi les intérêts d'une certaine élite, mais qui a laissé dépérir les conditions des travailleurs et du peuple.

    « Pendant des décennies, nous avons enrichi l'industrie étrangère aux dépens de l'industrie américaine; subventionné les armées d'autres pays tout en permettant le très triste appauvrissement de notre armée; nous avons défendu les frontières d'une autre nation tout en refusant de défendre les nôtres; et dépensé des milliards de milliards de dollars à l'étranger pendant que les infrastructures de l'Amérique se sont délabrées et abîmées. »

    C'est le genre de diagnostique que font bien des pays du Tiers-monde qui ont souffert de la colonisation de pays puissants venus s'enrichir au dépens des populations et avec la complicité d'une certaine élite nationale corrompue et de politiciens soumis.

    Que l'on pense à Fidel Castro qui s'est porté au secours de son peuple, soumis à la dictature de Batista et aux multinationales qui en ratissaient les richesses. Que l'on pense au Chili d'Allende soucieux de redonner à son peuple son indépendance et les richesses de son pays pour vaincre la pauvreté, assurer des écoles gratuites, des services de santé et redonner espoir et confiance à tous et à toutes. C'est également le cas de la Bolivie d'Évo Morales, de l'Équateur de Rafael Correa, du Venezuela d'Hugo Chavez et de Maduro. Tous veulent redonner le pouvoir à leur peuple et lui assurer la priorité sur ses propres richesses, son indépendance, l'accès à l'éducation, à la santé et à un niveau de vie respectueux de la personne humaine.

    N'en va-t-il pas de même avec Donald Trump ?

    « Les Américains veulent de bonnes écoles pour leurs enfants, des quartiers sûrs pour leurs familles et de bons emplois pour eux-mêmes.

    Ce sont des revendications légitimes et raisonnables pour un public juste. »
    Comment ne pas partager ce point de vue et vouloir qu'il en soit ainsi pour tous les peuples de la terre ?

    Ces objectifs comportent toutefois des mesures concrètes qui ne seront pas sans affecter ceux et celles qui s'accommodaient bien du système existant.

    « Chaque décision sur le commerce, les impôts, l'immigration, les affaires étrangères sera prise au bénéfice des familles et des travailleurs américains.
    Nous devons protéger nos frontières des ravages des autres pays fabriquant nos produits, spoliant nos entreprises et détruisant nos emplois. La protection conduira à une grande force et prospérité. »

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  28. Ces mesures ne sont pas sans nous rappeler celles prises par plusieurs pays émergents dans le monde. De nombreuses nationalisations se sont avérées nécessaires pour que les pays concernés puissent retrouver leur plein pouvoir sur leurs richesses. Il y eut également l'expulsion de diplomates, d'organisations humanitaires aux objectifs malveillants. Des mesures que les grandes puissances qui en bénéficiaient n'apprécièrent guère.

    Un des points, sans doute le plus important sur le plan des relations internationales, est celui de reconnaître que chaque peuple dispose de ces mêmes droits et qu'il n'est pas dans sa politique d'intervenir par la force ou les menaces dans les affaires internes des autres peuples.

    « Nous rechercherons l'amitié et la bonne volonté des autres nations du monde, mais nous le ferons avec l'idée que c'est le droit de tout pays de mettre ses propres intérêts en avant.

    Nous ne cherchons pas à imposer notre mode de vie, mais plutôt à le rendre éclatant comme un exemple à suivre. »
    Si Donald Trump donne suite à cette promesse, bien des peuples, victimes de l'interventionnisme étasunien, lui en seront grandement reconnaissants. Il en va de même pour ces centaines de bases militaires qui s'imposent à de nombreux peuples à travers le monde. Le rapatriement de ces bases militaires lui permettra de faire de grandes économies pour son peuple tout en redonnant aux nations concernées leur indépendance.

    La vision que nous livre Donald Trump le rapproche davantage d'un monde multipolaire que d'un monde unipolaire. À ce titre, il se montre ouvert au respect de chaque peuple au droit de chacun de travailler en priorité pour ses propres intérêts. Dans une telle optique, le monde des échanges se convertira en gagnant-gagnant, chacun y trouvant ses propres intérêts. Un principe avancé par le Président chinois au sommet tout récent de Davos.

    L'avenir nous dira si les paroles de Donald Trump seront suivies d'actions concrètes et cohérentes avec ces dernières. La non-intervention dans les affaires internes des autres pays fait partie de celles-là. À y donner suite, les relations internationales entre les peuples en seront profondément modifiées pour le mieux-être de ces peuples.

    Ses rencontres à venir avec Vladimir Poutine et le Président chinois nous donneront une première idée jusqu'où il est prêt à aller dans cette révolution.

    -- Commentaire : Evidemment Trump n'est pas seul à décider et certains sont bien décidés à lui savonner la planche pour garder leurs privilèges. --

    https://fr.sott.net/article/29893-Donald-Trump-le-Revolutionnaire

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  29. Le «Je vous aime» de Trump à la CIA


    INTERNATIONAL
    07:49 22.01.2017


    Donald Trump a assuré samedi les employés de la CIA qu'il était « à 1000% » derrière eux, tentant d'apaiser la polémique née suite à ses propos très critiques à l'encontre de l'agence de renseignement avant sa prise de fonction.

    La CIA met en ligne 13 millions de pages d'archives

    Le président des États-Unis Donald Trump s'est rendu samedi au siège de la CIA, un déplacement chargé en symboles après les propos très critiques de ce dernier à l'encontre des agences américaines de renseignement.

    « Je suis complètement avec vous. Je vous aime, je vous respecte », a-t-il déclaré lors d'une visite au siège de la célèbre agence près de Washington, au cours de laquelle il s'est livré une violente diatribe contre les médias.

    « Personne n'est aussi attaché à la communauté du renseignement et à la CIA que Donald Trump », a-t-il ajouté, parlant de lui-même à la troisième personne.

    « Nous sommes sur la même longueur d'onde, nous allons faire des choses fantastiques », a-t-il ajouté au lendemain de sa prestation de serment, évoquant en particulier la lutte contre le groupe Daech.

    « Nous n'avons pas utilisé les capacités réelles dont nous disposons. Nous devons nous débarrasser de Daech, nous n'avons pas le choix », a-t-il martelé.

    Expert allemand: «Nous observons une lutte entre la CIA et le FBI»

    Evoquant sa « guerre » en cours contre les médias, le 45e président des Etats-Unis a affirmé que les journalistes faisaient partie « des êtres humains les plus malhonnêtes de la terre. »

    Notons au passage que Mike Pompeo, choisi par M. Trump pour diriger la CIA, n'a pas encore été confirmé par le Congrès. Agé de 52 ans, ce parlementaire républicain « faucon », adversaire farouche de l'Iran des mollahs, était un opposant déterminé et mordant de l'administration Obama.

    Le chef sortant de l'agence, John Brennan, a de son côté conseillé il y a une semaine au nouveau président de « se discipliner », au nom de la sécurité des États-Unis.

    « Le président Trump doit comprendre que les enjeux dépassent sa personne, il s'agit des États-Unis et de leur sécurité nationale. Il va avoir l'occasion de passer à l'action, ce qui n'a rien à voir avec le fait de parler et tweeter », a-t-il notamment affirmé.

    M. Trump avait réagi avec véhémence à la publication dans la presse de documents à l'authenticité incertaine affirmant que les services russes d'espionnage disposeraient d'informations compromettantes sur lui.

    Il avait en particulier jugé « scandaleux que les agences de renseignement aient permis (la publication) d'une information qui s'est révélée être erronée ». «C'est le genre de choses que l'Allemagne nazie faisait », avait-il tweeté.

    https://fr.sputniknews.com/international/201701221029715870-trump-cia-discours-medias/

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  30. Le porte-parole de la Maison Blanche détraque les médias au sujet des «comparaisons de la taille des foules» dans Bizarre First Briefing


    Par Tyler Durden
    21 janvier 2017 18h50


    Dans un bizarre premier briefing, le secrétaire de presse de la Maison Blanche, Sean Spicer, a déchargé samedi une attaque fulgurante sur les médias et l'a accusé de faux rapports sur la question autrement non pertinente de pourquoi la foule d'inauguration de Trump était visiblement plus petite que celle d'Obama.

    Spicer a utilisé pratiquement tout le temps lors de sa première apparition officielle dans la Salle de presse pour dénoncer l'accent des organisations de presse sur la taille de la foule inaugurale, en disant que «ces tentatives pour réduire l'enthousiasme de l'inauguration sont honteuses et fausses.

    Nous n'utiliserions pas nécessairement les mots suivants: le ridicule devrait suffire car si Trump voulait vraiment «défendre» pourquoi il y avait moins de personnes à son inauguration, il peut simplement dire que beaucoup de ses partisans sont employés et doivent travailler vendredi, Soit Obama 2009 ou 2013 événements d'inauguration.

    Cependant, le secrétaire de presse a décidé que l'hyperbole est la meilleure partie de la valeur et a déclaré: "C'était le plus grand public à jamais assister à une inauguration, la période, à la fois en personne et dans le monde"

    Spicer a fait l'allégation en dépit des photographies de l'événement a clairement montré que le centre commercial n'était pas plein dans les sections décrites par Spicer, avec la diminution de la foule inexistante près du Smithsonian Institution Building et à l'ouest vers le monument de Washington. Il y avait aussi une faible fréquentation le long de la route du défilé du Capitole à la Maison Blanche. Il a allégué que certaines photos de l'inauguration ont été "intentionnellement encadrées d'une manière" qui a minimisé la foule, sans fournir des exemples ou des preuves.

    Aucun organisme officiel ne fournit d'estimations de la taille des rassemblements sur le centre commercial. Mais les photos prises à partir du même point de vue à peu près à la même heure montrent que la foule était beaucoup plus petite que pour la première inauguration du président Barack Obama, que les responsables de la ville de Washington estimait à 1,8 millions de personnes.

    En fin de compte, l'ensemble de l'épisode de la conférence de presse a eu un ton surréaliste, celui dans lequel Trump, par l'intermédiaire de son orateur, semble continuer à troll la presse, maintenant à la Maison Blanche.

    Comme un professeur de journalisme NYU, apparemment perturbé, Jay Rosen l'a résumé "Wow. Sean Spicer est monté sur le podium, déchargé sur les médias pour avoir des préjugés, a accusé des journalistes de malhonnêteté.
    La réaction du reste de la presse était similaire.

    Spicer n'a pas posé de questions aux journalistes et il n'a pas précisé combien de personnes, selon la Maison Blanche, ont participé à l'inauguration. Il a dit que trois grandes sections du centre commercial qui chacun détenait au moins 200 000 personnes étaient «pleines quand le président a prêté serment de bureau.

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  31. Plus tôt samedi, dans des remarques au siège de la CIA à Langley, Trump a déclaré que, de son point de vue sur le podium, «il ressemblait à un million, million et demi de personnes. Ils ont montré un champ où il n'y avait pratiquement personne debout là-bas, et ils ont dit Donald Trump n'a pas bien dessiné. "Trump a également dit parties du National Mall" tout le chemin du retour au Monument de Washington "ont été" emballés ".

    Cité par Bloomberg, l'ancien porte-parole de la Maison-Blanche, Ari Fleischer, a déclaré sur Twitter après les remarques de Spicer: «C'est ce qu'on appelle une déclaration que le président vous dit de faire.

    Il est en effet, et ce qu'il voit, c'est qu'il contrôle une fois de plus le récit médiatique, qui se concentre sur une question très immatérielle et arbitraire, au lieu de consacrer du temps au travail d'enquête et de rendre compte de questions beaucoup plus graves concernant la nouvelle administration d'Trump .

    Clip complet ci-dessous:

    http://www.zerohedge.com/news/2017-01-21/white-house-spokesman-slams-media-over-crowd-size-comparisons-bizarre-first-briefing

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    1. C'est la presse américaine et mondiale qui se chie dessus ! Du Madonna à plein chiottes ! Hahahaha !

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  32. Trois «f*ck» en trois minutes : le discours (trop) fleuri de Madonna à la Women's March (VIDEO)


    21 janv. 2017, 22:25


    La chanteuse Madonna avait soutenu Hillary Clinton pendant la campagne : elle a pris la parole lors de la Women's March pour mettre en garde contre la politique de Donald Trump
    Montant au créneau pour défendre la «dignité des femmes», la chanteuse qui avait promis une fellation à chaque électeur d'Hillary Clinton n'a pas pu s'empêcher de jurer. Un peu trop au goût des télés américaines, qui ont stoppé la retransmission.

    Il y a les discours politiques poignants, pleins de lyrisme et à la rhétorique finement travaillée... et puis il y a les interventions de Madonna. La chanteuse, à l'occasion d'une prise de parole lors de la Women's March de ce 21 janvier à Washington, a opté pour un ton pour le moins sans ambages.

    «Bienvenus à la révolution de l'amour, de la rébellion, de notre refus en tant que femmes d'accepter cette nouvelle ère de tyrannie», a-t-elle commencé, devant une foule d'environ 500 000 personnes. Rapidement, le ton de son discours s'est corsé : «Il nous aura fallu cet horrible moment de ténèbres pour nous réveiller, put*in !» a-t-elle déclaré, mettant en garde contre la menace à l'encontre de «la dignité des femmes» que constituerait l'élection de Donald Trump.

    En direct sur plusieurs chaînes de télévision, la chanteuse a renchéri quelques secondes plus tard : «A nos détracteurs qui pensent que cette marche ne se concrétisera jamais, allez vous faire enc*ler !», avant d'employer le mot en F une troisième fois. Estimant que la ligne rouge était franchie, les chaînes CNN et MSNBC ont alors cessé leur retransmission en direct de l'événement.

    Habituée des provocations, la chanteuse Madonna avait ouvertement soutenu Hillary Clinton pendant la campagne présidentielle. A l'époque, moins regardante quant aux droits des femmes, elle avait promis une fellation à chaque électeur de la candidate démocrate.

    https://francais.rt.com/international/32761-trois-fck-trois-minutes-discours-fleuri-madonna-women-march

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  33. Soros veut créer l'« Armageddon financier et de déchaîner l'enfer » pour faire tomber Trump


    AlterInfo
    sam., 21 jan. 2017 20:34 UTCCarte


    George Soros, le milliardaire mondialiste de triste notoriété, a menacé publiquement qu'il allait « démolir le Président Trump ». Il a aussi affirmé à l'assistance du Forum économique mondial de Davos, que le Nouvel Ordre Mondial fait les préparatifs nécessaires pour anéantir complètement tous les projets de Trump.

    S'adressant à un public rassasié lors de son dîner annuel au Forum économique mondial de Davos, Soros a conseillé aux grandes multinationales de remettre à plus tard leurs activités aux USA, jusqu'à ce qu'il ait mis fin à la présidence Trump - ou bien d'en assumer les conséquences.

    Interrogé sur les conseils qu'il donnerait aux entreprises qui se préparent au choc de la nouvelle présidence, il a dit : « Je m'en tiendrai aussi loin que possible. »

    Gestionnaire de fonds spéculatifs et criminel condamné, devenu célèbre pour avoir gagné un milliard de dollars en pariant sur la dévaluation de la livre en 1992, Soros aurait perdu près d'un milliard de dollars à cause du ralliement du marché boursier à Trump, après sa victoire.

    M. Soros a attribué la poussée des marchés à la promesse de M. Trump de réduire la réglementation et les taxes, mais il a dit aux zélites réunies au Forum économique mondial, que le bon temps sous Trump ne durera pas. Soros a dit qu'après l'arrivée de Trump - en moins de 24 heures - , « la réalité prévaudra. »

    Soros, un collaborateur nazi juif, s'est dit assuré que les pouvoirs de M. Trump seront limités par le Congrès. « Il ne pourra pas se permettre de jouer au dictateur, » a-t-il ajouté.

    Les commentaires de Soros devant les zélites économiques internationales en Suisse, viennent après que les analystes de Wall Street ont commencé à parler de lui comme d'une « bête blessée », et prévenu qu'il « est prêt à tout pour se venger » de la défaite électorale de sa candidate.

    Ces dernières semaines, les pontes et les analystes du marché ont gardé un œil attentif sur la « bête blessée », afin d'estimer quelle sera sa prochaine démarche, et des rapports disent à présent que les fonds gaspillés par Soros pour Clinton sont négligeables par rapport à la somme d'argent qu'il dépense maintenant sur le marché obligataire.

    Il projette de créer l'« Armageddon financier et de déchaîner l'enfer » qui entraînera le monde occidental, et en particulier les USA, au bord de la ruine. Des flammes surgiront un phénix et ce sera l'apparition du Nouvel Ordre Mondial de Soros.

    Soros pense que le marché est le point faible de Trump. Il affirme que Trump n'a « aucune chance » de survivre à sa prochaine attaque contre le marché, et se réjouit parce que le futur Président des USA sera démoli et incapable de se focaliser sur la reconstruction de la grandeur des USA.

    Selon un analyste de Wall Street, « Un jour, la façon dont Soros a brisé la Banque d'Angleterre et ruiné l'économie malaise, sera juste considérée comme des échauffements pour le déclenchement de son Armageddon financier mondial. »

    Your News Wire, Baxter Dmitry, 20 janvier 2017

    Original : yournewswire.com/soros-take-down-trump/
    Traduction Petrus Lombar

    https://fr.sott.net/article/29892-Soros-veut-creer-l-Armageddon-financier-et-de-dechainer-l-enfer-pour-faire-tomber-Trump

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    1. La Victoire de Donald Trump c'est la victoire de l'argent propre face à l'argent sale. La victoire de la vérité sur le mensonge.

      Le pouvoir de Soros c'est la lutte de l'argent sale contre la démocratie.

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  34. Visualisation de la guerre mondiale contre l'encaisse


    Par Tyler Durden
    Jan 21, 2017 7:30 PM


    Il y a une poussée mondiale par les législateurs pour éliminer l'utilisation de l'argent physique partout dans le monde. Ce mouvement est souvent désigné sous le nom de «La guerre contre la trésorerie», et il y a trois acteurs majeurs impliqués:

    1. Les initiateurs
    Qui ? Gouvernements, banques centrales.
     
    Pourquoi? L'élimination des liquidités facilitera le suivi de tous les types de transactions, y compris celles faites par des criminels.
     
    2. L'ennemi
    Qui ? Criminels, terroristes
     
    Pourquoi? De grandes dénominations de billets de banque rendent les transactions illégales plus faciles à réaliser et accroissent l'anonymat.
     
    3. Le feu croisé
    Qui ? Citoyens
     
    Pourquoi ? L'élimination coercitive de l'argent physique aura des répercussions potentielles sur l'économie et les libertés sociales.

    - voir tableau explicatif sur site -

    L'argent est toujours roi ?

    L'argent a toujours été roi - mais à partir de la fin des années 1990, la commodité des nouvelles technologies a contribué à rendre les transactions sans effet de trésorerie pour devenir plus viable:

    Services bancaires en ligne
    Téléphones intelligents
    Technologies de paiement
    Chiffrement
    En 2015, il y avait 426 milliards de transactions sans numéraire dans le monde - une augmentation de 50% par rapport à cinq ans auparavant.

    Et aujourd'hui, il existe de multiples façons de payer numériquement, y compris:

    Banque en ligne (Visa, Mastercard, Interac)
    Téléphones intelligents (Apple Pay)
    Intermédiaires (Paypal, Square)
    Cryptocurrency (Bitcoin)
    Les premiers coups de feu
    Le succès de ces nouvelles technologies a incité les législateurs à postuler que toutes les transactions devraient maintenant être numérique.

    Voici leur cas pour une société sans numéraire:

    L'élimination de la haute valeur nominale des factures de la circulation rend plus difficile pour les terroristes, les trafiquants de drogue, les blanchisseurs d'argent et les fraudeurs d'impôts.

    1 million de dollars en billets de 100 $ pèse seulement un kilogramme (2,2 livres).
    Les criminels déplacent chaque année 2 000 milliards de dollars par année dans le monde.
    Le billet US $ 100 est la note la plus populaire au monde, dont 10 milliards en circulation.
    Cela donne également aux régulateurs plus de contrôle sur l'économie.

    Plus d'argent traçable signifie des recettes fiscales plus élevées.
    Cela signifie qu'il existe un tiers pour toutes les transactions.
    Les banques centrales peuvent dicter des taux d'intérêt qui encouragent (ou découragent) les dépenses pour essayer de gérer l'inflation. Cela inclut les politiques ZIRP ou NIRP.
    Les transactions sans numéraire sont plus rapides et plus efficaces.

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  35. Les banques engageraient moins de coûts en n'ayant pas à gérer de trésorerie.
    Il facilite également la conformité et les rapports.
    Selon certains experts, le «fardeau» des liquidités peut atteindre 1,5% du PIB.
    Mais pour que cela soit possible, ils disent que l'argent comptant - en particulier les grandes factures de dénomination - doit être éliminé. Après tout, l'argent comptant est toujours utilisé pour environ 85% de toutes les transactions dans le monde entier.

    Déclaration de guerre

    Les gouvernements et les banques centrales se sont rapidement déplacés dans des dizaines de pays pour commencer à éliminer les liquidités.

    Quelques exemples clés ? L'Australie, Singapour, le Venezuela, les États-Unis et la Banque centrale européenne ont tous éliminé (ou ont proposé d'éliminer) des billets à forte valeur nominale. D'autres pays comme la France, la Suède et la Grèce ont ciblé l'ajout de restrictions sur la taille des transactions en espèces, la réduction du nombre de guichets automatiques dans les campagnes ou la limitation de la quantité d'argent qui peut être détenue en dehors du système bancaire. Enfin, certains pays ont franchi un pas de plus: la Corée du Sud a pour objectif d'éliminer le papier-monnaie dans son intégralité d'ici à 2020.

    Mais en ce moment, la «guerre contre la trésorerie» ne peut pas être mentionné sans invoquer des images d'alignements d'un jour en Inde. En novembre 2016, le Premier ministre indien Narendra Modi a démonetisé 500 et 1000 billets de roupie, éliminant 86% des billets du pays pendant la nuit. Alors que les Indiens pouvaient théoriquement échanger 500 et 1000 billets de roupie pour des dénominations plus élevées, ce n'était que jusqu'à une limite de 4.000 roupies par personne. Les sommes au-dessus de ce montant devaient être acheminées via un compte bancaire dans un pays où seulement 50% des Indiens ont un tel accès.

    L'hindou a rapporté qu'il y avait maintenant 112 morts rapportés associés à la démonetisation indienne. Certaines personnes se sont suicidées, mais la plupart des décès proviennent de personnes âgées qui attendent dans les files d'attente bancaires pendant des heures ou des jours pour échanger de l'argent.

    Pris dans le feu croisé
    Les coups de feu tirés par les gouvernements pour lutter contre la guerre contre l'argent comptant peuvent avoir plusieurs victimes involontaires:

    1. Confidentialité

    Les transactions sans numéraire incluraient toujours un intermédiaire ou un tiers.
    Accroissement de l'accès du gouvernement aux transactions et aux dossiers personnels.
    Certains types de transactions (jeux de hasard, etc.) pourraient être interdits ou gelés par les gouvernements.
    La cryptochronisation décentralisée pourrait être une alternative pour de telles transactions

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  36. 2. Économies

    Les épargnants ne pouvaient plus avoir la liberté individuelle de stocker la richesse «à l'extérieur» du système.
    L'élimination des liquidités rend les taux d'intérêt négatifs (PIRN) une option réalisable pour les décideurs.
    Une société sans numéraire signifie également que tous les épargnants seraient «sur le crochet» pour les scénarios de cautionnement bancaire.
    Les épargnants auraient des capacités limitées à réagir à des événements monétaires extrêmes comme la déflation ou l'inflation.

    3. Droits de l'homme

    La démonetisation rapide a violé les droits des gens à la vie et à la nourriture.
    En Inde, le retrait des billets de 500 et 1 000 rupias a causé de multiples tragédies humaines, y compris les patients se voir refuser le traitement et les gens ne pouvant pas se permettre de se nourrir.
    La démonetisation nuit aussi aux personnes et aux petites entreprises qui vivent dans les secteurs informels de l'économie.

    4. Cybersécurité

    Avec toutes les richesses stockées numériquement, le risque potentiel et l'impact de la cybercriminalité augmente.
    Le piratage ou le vol d'identité pourraient détruire les économies de toute la vie des gens.
    Le coût des violations des données en ligne devrait déjà atteindre 2,1 billions de dollars d'ici 2019, selon Juniper Research.
    À mesure que la guerre contre la trésorerie s'accélère, de nombreux coups de feu seront tirés. La question est: qui va prendre la majorité des dommages?

    * * *

    The Money Project est une collaboration continue entre Visual Capitalist et Texas Precious Metals qui cherche à utiliser des visualisations intuitives pour explorer les origines, la nature et l'utilisation de l'argent.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-01-21/visualizing-global-war-cash

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    1. La vérité est qu'un peuple sans numéraire peut être ruiné en moins d'une seconde tandis que les banques privées diront qu'il s'agit de pirates !!

      Pareillement que des criminels qui gouvernent peuvent s'attribuer des sommes inimaginables sans que PERSONNE ne le sache.

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  37. Robot mobile fabriqué en Chine pour commencer la production de masse


    Chine Daily, 21 janvier 2017


    Un robot mobile fabriqué en Chine devrait commencer la production de masse pour les consommateurs plus tard cette année.

    Ninebot (Pékin) Tech Co Ltd, soutenu par le fabricant de téléphones intelligents Xiaomi, a dévoilé son robot à deux roues auto-équilibrant jeudi à Beijing.

    Nommé «Loomo», le robot a été transformé du scooter de la série Mini de Ninebot, qui a été lancé en octobre 2015, des mois après que la compagnie a annoncé l'acquisition de Segway, un pionnier des scooters à bascule américain âgé de 12 ans. Est devenu l'un des plus grands détenteurs de brevets de l'industrie.

    L'acquisition a suivi un investissement de 80 millions de dollars dans Ninebot par Xiaomi, Sequoia Capital et d'autres investisseurs.

    http://www.china.org.cn/business/2017-01/21/content_40149977.htm

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