le 26 janvier 2017
Si ma mémoire est encore bonne, le nobélisé de la paix Al Gore était bien vice-président de Bill Clinton. J’ai appris le samedi 21 janvier de l’an nouveau 2017 que la fondation « caritative » Clinton venait de mettre la clé sous le paillasson. Bill Clinton a licencié sans préavis 22 personnes et tout simplement fermé la porte à double tour car la fondation n’a plus un cent (de dollar) sur son compte. Alimentée par un scandaleux trafic d’influence lorsque l’épouse de Bill était à la tête de la diplomatie américaine sous la législature d’Obama (qui a fermé les yeux sur les turpitudes d’Hillary) cette fondation dont a largement profité Al Gore pour promouvoir la véracité mensongère du réchauffement climatique d’origine humaine est devenue une coquille vide. Il est tout à fait vraisemblable que le sinistre Al Gore soit poursuivi par le FBI dans les prochaines semaines, sinon les prochains jours.
L’arrivée de Donald Trump dans le bureau ovale de la Maison-Blanche promet un développement très intéressant. Le nouveau président américain a bien précisé qu’il ne croyait pas un mot de la théorie du réchauffement climatique d’origine humaine et il va certainement faire le ménage en profondeur.
Ce sera une occasion inespérée de dévoiler l’imposture mondiale de ce supposé réchauffement que tous les Européens sont en train à l’évidence de constater …
Source partielle : investors.com
Changements Terrestres
RépondreSupprimerSnowflake Cold
Une mini-période glaciaire pourrait frapper la Terre à partir de 2030
William Plummer
Le Figaro
lun., 13 juil. 2015 20:01 UTC
D'après des scientifiques britanniques, le Soleil pourrait être confronté, dès 2030, à un phénomène appelé « minimum de Maunder ». Celui-ci pourrait provoquer une nette baisse des températures sur Terre.
La Terre va-t-elle connaître de nouveau un «petit âge glaciaire»? D'après une étude menée par la Royal Astronomical Society, un organisme de recherche astronomique britannique, l'activité du Soleil pourrait brutalement chuter de 60% d'ici les années 2030-2040, provoquant une baisse de température généralisée comme de 1645 à 1715. Une période appelée «Minimum de Maunder», se traduisant par un nombre de taches solaires - de petites régions sombres où la température est plus basse que celle de son environnement - très faible.
Pour avancer cette hypothèse, l'organisme se base sur la mise au point d'un nouveau modèle des cycles solaires qui permet «des prédictions d'une précision sans précédent», commente l'organisme. Le modèle repose sur l'analyse de la circulation des champs magnétiques à l'intérieur et à la surface du Soleil, un phénomène appelé «effet dynamo».
«Nous avons remarqué que les deux vagues magnétiques qui circulent à l'intérieur du Soleil ont pour origine deux différentes couches de matière. Elles ont toutes deux une fréquence d'environ 11 années, même si elles sont légèrement différentes et sont parfois décalées. Au cours d'un cycle, les vagues fluctuent entre les hémisphères nord et sud du Soleil. En combinant les effets des vagues et en les comparant avec les données réelles du cycle du soleil, nos prévisions montrent une exactitude de 97%», a expliqué le professeur Valentina Zharkova, lors d'une présentation devant l'Assemblée nationale de l'astronomie à Llandudno, au nord du Pays de Galles.
Pour Etienne Parizot, professeur à l'université Paris Diderot et astrophysicien au laboratoire AstroParticule et Cosmologie (APC), cette découverte est à prendre avec des pincettes. «Ce nouveau modèle est intéressant puisque le groupe de scientifiques a manifestement identifié un niveau de complexité supérieur par rapport aux précédents modèles. Mais de là à prédire un petit âge glaciaire, restons prudents», commente-t-il. «L'étude du Soleil est une science complexe. L'activité magnétique a certes une incidence sur les rayons cosmiques, c'est certain. Mais est-ce que les rayons cosmiques ont une incidence sur le climat et les températures? C'est moins sûr, des expériences sont en cours à ce propos, et les résultats sont semi-concluants», explique l'astrophysicien.
Un minimum de Maunder d'ici quinze ans
RépondreSupprimerToutefois pour le groupe de scientifiques britanniques, les prochaines prévisions sont sans équivoque. «Lors du 26eme cycle, qui couvre la décennie 2030-2040, les deux vagues magnétiques seront complétement désynchronisées et cela va provoquer une réduction significative de l'activité solaire. Les deux champs magnétiques se reflèteront exactement. Il y aura un pic d'activité en même temps dans les deux hémisphères opposés (...). Nous prévoyons que cela va conduire à des propriétés d'un «minimum de Maunder», a déclaré Zharkova.
En 2014, la NASA alertait déjà sur la possibilité d'un tel phénomène mais avec beaucoup moins de certitude. Les scientifiques estimaient à 20% «la probabilité que les températures évoluent vers des 'modifications majeures'», révélait Atlantico. «Nous allons tout droit vers des hivers très rudes, vers un mini âge de glace» confiait Richard Harrison du Rutherford Appleton Laboratory à la BBC, s'appuyant sur la nette diminution des taches solaires depuis 2011.
Le précédent «minimum de Maunder» remonte à la période de 1645 à 1715. A l'époque les hivers étaient tellement rudes que certains fleuves d'Europe, comme la Tamise ou bien la Seine, et d'Amériques avaient entièrement gelé. «Plusieurs peintures de l'époque montrent la Tamise gelée», raconte Etienne Parizot et ajoute: «Pendant plusieurs décennies les températures ont été plus froides que la moyenne». En France durant cette période, les températures pouvaient descendre jusqu'à -25°C.
-- Commentaire : Voir aussi cet article qui prédit une période glacière pour plus tôt encore (2020) :
Le grand gel planétaire - Prédiction que dans 4 ans surviendra un âge de glace de 15 ans, le soleil se préparant à « hiberner » --
https://fr.sott.net/article/29908-Une-mini-periode-glaciaire-pourrait-frapper-la-Terre-a-partir-de-2030
La mission de Trump est de reprendre le Pouvoir usurpé depuis le 11 septembre 2001
RépondreSupprimerThierry Meyssan
Réseau Voltaire
mar., 24 jan. 2017 18:54 UTC
Donald Trump a refusé d'endosser les habits présidentiels de ses prédécesseurs et a consacré son discours d'investiture à brocarder le Système et à annoncer un changement de paradigme. Il a constitué son équipe de Sécurité autour de deux thèmes : l'éradication de Daesh et l'opposition au 11-Septembre ; deux caractéristiques qui visent à mettre un terme au processus de globalisation.
Le président Donald Trump a été investi, le 20 janvier 2017. Alors qu'il venait juste de prêter serment et n'a donc pas pu faire quoi que ce soit de bien ou de mal, les sponsors d'Hillary Clinton ont organisé le lendemain une gigantesque manifestation contre lui à Washington.
Preuve que ce qui est en jeu ne concerne pas uniquement les États-Unis, des manifestations identiques ont eu lieu dans de nombreux pays, notamment au Royaume-Uni. Bien sûr, les manifestants ne réagissent à aucun acte en particulier, mais se contentent d'exprimer leur angoisse. Beaucoup portaient des pancartes : « Je suis terrifié ».
Donald Trump, que ses adversaires présentent comme un personnage fantasque, dépourvu de ligne de conduite, a indiqué depuis longtemps ce qu'il compte faire. Il l'a d'abord montré, puis l'a dit, de manière à la fois allusive et claire : il entend restituer au Peuple états-unien le Pouvoir qui lui a été confisqué le 11 septembre 2001 [1].
Avant même de se lancer dans la compétition électorale, Donald Trump a tenté d'ouvrir le dossier de ce Pouvoir usurpé en sponsorisant le mouvement pour la vérité sur la naissance du président Barack Obama [2] Il a montré, en s'appuyant sur le témoignage de la grand-mère du président, puis sur l'absence d'enregistrement dans les registres d'Hawaï, puis encore sur les irrégularités du certificat officiel, que celui-ci est né sujet de la Couronne britannique au Kenya.
Pourtant, au cours de la campagne électorale, lorsqu'il a acquis l'impression qu'il pouvait la gagner, il a clos ce dossier et s'est abstenu de toute provocation à l'égard du président. Il a cessé toute allusion à la dyarchie du Pouvoir. Il a par contre concentré son message sur l'usurpation du Pouvoir réel par une coterie dont Hillary Clinton est la porte-parole visible.
Ses prises de position qui n'ont aucun sens au regard des clivages traditionnels, que ce soit en matière de politique extérieure —est-il interventionniste ou isolationniste ?— ou d'économie —est-il libre-échangiste ou protectionniste ?—, sont au contraire limpides pour ceux qui souffrent de l'usurpation du Pouvoir [3].
Il n'a cessé de répéter, de manière assez claire pour être soutenu par ses concitoyens, mais de manière assez allusive pour éviter le choc frontal, que toutes les décisions prises depuis le 11-Septembre étaient illégitimes. Ce qui n'a rien à voir avec l'antagonisme entre Républicains et Démocrates, puisque ces décisions ont été avalisées par le Républicain Bush Jr. et le Démocrate Obama. Au contraire, cela à voir avec un clivage civilisationnel ancien entre la caste qui a fermé les yeux sur le 11-Septembre et ceux qui s'en sont trouvés écrasés, entre les adeptes du Puritanisme du Mayflower et ceux de la Liberté [4].
Contrairement à ses prédécesseurs, il a écrit lui même son discours d'investiture et l'a centré sur ceci :
RépondreSupprimer« La cérémonie d'aujourd'hui a un sens très particulier, car il ne s'agit pas seulement de transférer le pouvoir d'une administration à une autre ou d'un parti à un autre. (...) Ce qui compte vraiment, ce n'est pas qui détient le pouvoir au gouvernement, mais le fait que le gouvernement est entre les mains du peuple américain » [5].
Dès le premier jour, et contrairement à la tradition US, il a mis en place une équipe de Sécurité nationale composée de grands soldats : les généraux James Mattis, John Kelly et Michaël Flynn. Alors que la presse la présente comme un ramassis incohérent de personnalités choisies indépendamment les unes des autres, il l'a au contraire composée pour reprendre le Pouvoir confisqué par une faction du complexe militaro-industriel.
Le nouveau secrétaire à la Défense, le général James Mattis, a été confirmé par le Sénat et a prêté serment. Il est considéré par ses pairs comme un érudit et un des meilleurs stratèges de sa génération. Durant la campagne électorale, il avait été sollicité pour se présenter au nom du Parti républicain contre Trump. Il avait un instant hésité, avait découvert les dessous de la politique à Washington, puis s'était retiré de la compétition sans explications [6]. Son retour a été chaleureusement accueilli au sein des armées, d'autant que les militaires ont voté aux deux-tiers pour Donald Trump. Durant les deux dernières années, Mattis était chercheur à la Hoover Institution (think-tank républicain basé à l'université de Stanford). Il y a poursuivi une étude sur les relations entre civils et militaires qui atteste de sa volonté de remettre les armées au service du Peuple.
À son arrivée au Pentagone, Mattis a diffusé un court Mémorandum dans lequel il affirme que « les militaires et les agences de Renseignement sont les sentinelles et les gardiens de la Nation » ; une phrase qui vise à la fois à apaiser le conflit qui a opposé Trump à propos de la Russie au directeur sortant de la CIA, John O. Brennan, et à réorienter le travail des forces de sécurité vers la défense de la Nation plutôt que la poursuite de la chimère impériale ou la protection des intérêts des multinationales [7].
Le directeur de la CIA, Mike Pompeo, étant toujours en attente de sa confirmation par le Congrès, le président Trump s'est lui-même déplacé à la CIA. Tout en parlant de choses et d'autres, il a clairement fixé le cap : « éradiquer le terrorisme islamique de la surface de la Terre » [8]. Il a semblé connaître les débats qui ont agité l'Agence depuis quatre ans sur la folie de soutenir Daesh ; des débats qui valurent à son conseiller de Sécurité nationale, le général Michaël Flynn, son poste de directeur du Renseignement militaire. Trump n'a pas fait mention de la polémique sur une éventuelle ingérence russe dans la campagne électorale états-unienne et encore moins sur le rôle d'« agents russes » que la presse a attribué à son ancien directeur de campagne, Paul Manafort, et à deux autres de ses conseillers, Carter Page et Roger Stone.
En l'absence de Pompeo, le président n'a pas abordé la question de la réforme structurelle de la CIA. Le Mémorandum du général Mattis, la présence du général Flynn aux côtés de Trump et la manière dont ce dernier a fait l'éloge de Pompeo —brillant élève de l'académie militaire de West Point—, donnent l'impression que cette nouvelle équipe entend placer la CIA dans l'orbite du Pentagone plutôt que dans celle du secrétariat d'État ; une option qui vise à couper les moyens d'intervention d'Hillary Clinton, toujours influente dans son ancien secrétariat.
RépondreSupprimerDonald Trump a demandé à une cinquantaine de membres de l'administration Obama de rester à leur poste. Parmi eux :
- Brett McGurk, l'envoyé spécial auprès de la Coalition anti-Daesh ;
- Adam Szubin, le sous-secrétaire au Trésor chargé de lutter contre le financement du terrorisme ;
- Nicholas J. Rasmussen, le directeur du Centre national anti-terroriste ;
- Dab Kern, chef de l'état-major particulier de la Maison-Blanche.
Il semble donc que la Maison-Blanche tienne à disposer immédiatement d'une équipe en capacité de lutter contre Daesh.
Le chef d'état-major interarmées, le général Joe Dunford, a annoncé qu'il se tenait prêt pour présenter au président Trump diverses options d'attaque de Daesh. L'une d'entre elles consiste à prendre Rakka avec 23 000 mercenaires arabes, déjà formés par le Pentagone. Dunford était à Paris, le 16 janvier, où il a présidé une réunion des chefs d'état-major de la Coalition.
Quoi que décide Donald Trump, il lui faudra tenir compte du fait que le Califat a été lourdement armé par l'administration Obama. Daesh dispose en outre d'une expérience du combat dont les nouveaux mercenaires du Pentagone sont dépourvus. En outre, avant d'attaquer Rakka, il devra décider quel avenir il entend favoriser en Irak et en Syrie.
Le président Trump a nommé son secrétaire à la Sécurité de la Patrie, le général John Kelly, qui a été confirmé par le Sénat et a pris ses fonctions. Selon la presse US —une source dans l'ensemble peu fiable et à prendre avec grande précaution— cet ancien patron du SouthCom aurait été choisi en raison de sa connaissance de la frontière mexicaine et des enjeux qui s'y rapportent. Peut-être.
Cependant il pourrait y avoir une autre raison : Kelly était l'adjoint de Mattis en Irak. En 2003, tous deux sont entrés en conflit avec Paul Bremer III, le patron de l'Autorité provisoire de la Coalition —qui, contrairement à ce que laisse supposer son appellation ne dépendait pas de la Coalition, mais des hommes qui organisèrent le 11-Septembre [9]—. Ils se sont également opposés à la guerre civile que John Negroponte avait décidé d'organiser pour détourner la Résistance irakienne de la lutte contre l'Occupant en créant l'Émirat islamique en Irak (futur Daesh). Au contraire, Mattis & Kelly ont tenté d'honorer les chefs des tribus du centre de l'Irak afin de ne plus être perçus comme des occupants. Ils se sont alors appuyés sur le chef du renseignement militaire US en Irak, Michaël Flynn. Les trois hommes s'étaient finalement inclinés devant les ordres de la Maison-Blanche.
Le général Michaël Flynn a été nommé conseiller de Sécurité nationale de Donald Trump. Ce poste n'ayant pas à être approuvé par le Sénat, il est immédiatement entré en fonctions. Nous l'avons déjà présenté à nos lecteurs comme le défenseur des États-Unis en tant que Nation, et à ce titre, comme le principal opposant à l'usage du terrorisme islamique par la CIA [10].
RépondreSupprimerCherchant par tous les moyens à diminuer son autorité, Hillary Clinton et son directeur de campagne John Podesta ont fait courir le bruit que lui ou son fils, Michaël Flynn Jr., ne sauraient pas tenir leur langue et nous auraient aidés à rédiger un article sur la réforme du Renseignement [11]. Au cas où cette imputation gratuite ne suffirait pas, ils ont utilisé un tweet de Michaël Jr. renvoyant à un de nos articles pour accuser les deux hommes de « conspirationnisme » —c'est-à-dire de vouloir faire la lumière sur les évènements du 11-Septembre— [12].
Contrairement à ce que prétend la presse états-unienne, les généraux Flynn, Mattis & Kelly se connaissent depuis longtemps et servent le même objectif —ce qui ne veut pas dire que les relations seront toujours faciles entre eux—. Seuls des officiers supérieurs de cette envergure sont capables d'aider le président Donald Trump à reprendre le Pouvoir usurpé depuis le 11 septembre 2001. Pour réussir, il leur faudra nettoyer le Pentagone et les institutions internationales qui ont été noyautées, l'Otan, l'Union européenne et l'Onu.
Les millions de gens qui ont manifesté contre le président Donald Trump ont eu raison de dire leur frayeur. Non pas que le nouvel hôte de la Maison-Blanche soit misogyne, raciste et homophobe —ce qu'il n'est pas—, mais parce que nous arrivons au moment du dénouement. Il est plus que probable que le Pouvoir usurpé ne se laisse pas démettre sans réagir.
Cet affrontement n'aura pas lieu cette fois au Moyen-Orient élargi, mais bien en Occident et particulièrement aux États-Unis.
Notes :
[1] L'Effroyable Imposture suivi de Le Pentagate, par Thierry Meyssan, Editions Demi-Lune, première édition 2003.
[2] « La Cour suprême appelée à suspendre l'élection de Barack Obama », « En 1979, l'administration US considérait Obama comme étranger », « Barack Obama publie un certificat de naissance retouché sur le site de la Maison-Blanche », Réseau Voltaire, 9 décembre 2008, 16 février 2010 et 5 mai 2011.
[3] « 15 ans de crimes », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 12 septembre 2016.
[4] « Les États-Unis vont-ils se réformer ou se déchirer ? », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 25 octobre 2016.
[5] « Discours d'investiture de Donald Trump », par Donald Trump, Réseau Voltaire, 21 janvier 2017.
[6] « Mattis contre Trump », par Thierry Meyssan, Al-Watan (Syrie) , Réseau Voltaire, 3 mai 2016.
[7] "James Mattis Memo", by James Mattis, Voltaire Network, 21 January 2017.
[8] "Donald Trump at CIA Headquaters", by Donald Trump, Voltaire Network, 21 January 2017.
[9] « Qui gouverne l'Irak ? », par Thierry Meyssan, intervention à la Conférence internationale de solidarité avec la Résistance irakienne, Réseau Voltaire, 13 mai 2004.
[10] « Michael T. Flynn et l'islam », par Thierry Meyssan, Al-Watan (Syrie) , Réseau Voltaire, 22 novembre 2016.
[11] « La réforme du Renseignement selon le général Flynn », par Thierry Meyssan, Contralínea (Mexique) , Réseau Voltaire, 27 novembre 2016.
[12] « Podesta & Clinton contre Flynn », Réseau Voltaire, 18 janvier 2017.
https://fr.sott.net/article/29907-La-mission-de-Trump-est-de-reprendre-le-Pouvoir-usurpe-depuis-le-11-septembre-2001
En quoi consiste la « défense » des États-Unis : chiffres
RépondreSupprimerManlio Dinucci
Mondialisatin Canada
mer., 25 jan. 2017 14:19 UTC
Face à l'accusation du président nouvel élu Trump contre l'administration Obama, parce qu'elle n'aurait à peu près rien obtenu des alliés en échange de la « défense » que les Etats-Unis leur assurent, le New York Times est descendu dans l'arène. Il a publié le 16 janvier une documentation, fondée sur des données officielles, pour démontrer ce qu'a fait l'administration Obama pour « défendre les intérêts des USA à l'étranger ».
Ont été stipulés avec plus de 30 pays des traités qui « contribuent à apporter de la stabilité dans les régions économiquement et politiquement les plus importantes pour les Etats-Unis ». A cet effet les USA ont déployé en permanence outremer plus de 210 mille militaires.
En Europe, ils maintiennent environ 80 mille militaires, plus la Sixième Flotte basée en Italie, pour « défendre les alliés OTAN » et comme « dissuasion contre la Russie ». En échange ils ont obtenu l'engagement des alliés OTAN de « défendre les Etats-Unis » et la possibilité de garder leurs propres bases militaires proches de Russie, Moyen-Orient et Afrique, dont le coût est assumé pour 34% par les alliés. Ce qui permet aux USA d'avoir l'UE comme plus grand partenaire commercial.
Au Moyen-Orient, les Etats-Unis maintiennent 28 mille militaires dans les monarchies du Golfe, plus la Cinquième Flotte basée à Bahrein, pour « défendre le libre flux de pétrole et gaz et, en même temps, les alliés contre l'Iran ». En échange ils ont obtenu l'accès à 34% des exportations mondiales de pétrole et à 16% de celles de gaz naturel, et la possibilité de maintenir leurs propres bases militaires contre l'Iran, dont le coût est assumé pour 60% par les monarchies du Golfe.
En Asie orientale, les Etats-Unis maintiennent plus de 28 mille militaires en Corée du Sud et 45 mille au Japon, plus la Septième Flotte basée à Yokosuka, pour « contrecarrer l'influence de la Chine et soutenir les alliés contre la Corée du Nord ». En échange ils ont obtenu la possibilité de maintenir leurs propres « bases militaires près de la Chine et de la Corée du Nord », dont le coût est assumé par les alliés dans la proportion de 40% en Corée du Sud et de 75% au Japon. Cela permet aux USA d'avoir le Japon et la Corée du Sud comme importants partenaires commerciaux.
En Asie du Sud-Est, les Etats-Unis maintiennent un nombre variable de militaires, de l'ordre de plusieurs milliers, pour soutenir la Thaïlande et les Philippines avec l'Australie dans le Pacifique. C'est dans ce cadre qu'entrent « les exercices militaires pour la liberté de navigation en Mer de Chine Méridionale », où passe 30% du commerce maritime mondial. En échange les Etats-Unis ont obtenu la possibilité de « protéger » un commerce maritime d'une valeur de plus de 5 mille milliards de dollars annuels. En même temps ils ont obtenu « une région plus amie des États-Unis et plus en mesure de s'unir contre la Chine ».
On oublie dans cette liste le fait que le Pentagone, pendant l'administration Obama, a commencé à déployer contre la Chine, à bord de navires de guerre, le système Aegis analogue à celui déjà déployé en Europe contre la Russie ; système en capacité de lancer non seulement des missiles anti-missiles, mais aussi des missiles de croisière armables de têtes nucléaires.
RépondreSupprimerElle est donc infondée, la critique de Trump à Obama, lequel a démontré dans les faits ce qu'il affirme dans son dernier message sur l'Etat de l'Union : « L'Amérique est la plus forte nation sur la Terre. Nous dépensons pour le militaire plus que ne dépensent ensemble les huit nations suivantes. Nos troupes constituent la meilleure force combattante dans l'histoire du monde ».
Voilà quel est l'héritage laissé par le président « bon ». Que fera maintenant le « méchant » ?
https://fr.sott.net/article/29910-En-quoi-consiste-la-defense-des-Etats-Unis-chiffres
Donald Trump s’apprête à restreindre l’immigration en provenance du moyen-orient
RépondreSupprimer25 janv. 2017, 08:09
Le 45e président des Etats-Unis semble être un homme de parole. Si l'on en croit son agenda, le 25 janvier il devrait signer plusieurs ordres exécutifs limitant l’immigration en provenance de Syrie et de six autres pays du moyen-orient et d'Afrique.
Comme le nouveau président républicain l'avait promis lors de sa campagne électorale, il interdira temporairement le 25 janvier l’accès aux Etats-Unis pour les réfugiés venant d’Irak, d’Iran, de Libye, de Somalie, du Soudan et du Yémen. Il aura pour cela recours à des ordres exécutifs (décrets présidentiels) qu'il signera au siège du département de la Sécurité intérieure, dont les responsabilités incluent l'immigration et la sécurité des frontières.
En outre, Donald Trump limitera l’immigration en provenance de Syrie. Pour ce faire, il a tout simplement décidé d’ordonner au département d'Etat de cesser de délivrer des visas aux citoyens syriens.
«Un grand jour est prévu demain pour la sécurité nationale. Entre autres choses, nous construirons un mur», a écrit Donald Trump sur son compte Twitter en faisant allusion à ses intentions d’empêcher le passage des migrants mexicains par le sud des Etats-Unis.
Lors de sa campagne présidentielle, Donald Trump avait proposé d’interdire temporairement l’accès aux Etats-Unis aux musulmans, affirmant qu'une telle mesure préviendrait les attaques djihadistes sur le sol américain. Certains de ses adhérents avaient critiqué Barack Obama pour avoir été responsable de l'augmentation du nombre de réfugiés syriens aux Etats-Unis.
Néanmoins, quelques mois plus tard, Donald Trump et son candidat au poste de ministre de la Justice, Jeff Sessions, avaient déclaré qu'ils concentreraient davantage leurs restrictions sur les pays dont les ressortissants pouvaient représenter une menace plutôt que sur des individus d'une obédience religieuse particulière.
Lire aussi : Trump vs Soros : qui remportera la bataille ? (VIDEO)
https://francais.rt.com/international/32938-donald-trump-s-apprete-restreindre-immigration-en-provenance-moyen-orient
Allemagne : des terroristes pourraient empoisonner l’eau potable en Europe
RépondreSupprimer25 janv. 2017, 10:22
Les terroristes pourraient se préparer à frapper l’Allemagne en déversant des produits chimiques dans l’eau potable ou en contaminant des biens alimentaires
Selon un rapport préparé de l’Office fédéral de police criminelle allemand, des terroristes disposeraient de moyens pour déverser en grande quantité des produits chimiques dans l’eau potable à laquelle ont accès les citoyens de l'UE.
Le journal allemand Bild révèle certaines conclusions du rapport de l'Office fédéral de police criminelle d'Allemagne, intitulé «Une analyse des risques pour la population civile». D’après ce document, les terroristes pourraient se préparer à frapper l’Allemagne en déversant des produits chimiques dans l’eau potable ou en contaminant des biens alimentaires.
«C’est un scénario bien réel», écrivent les auteurs du rapport, selon Bild.
Les conclusions du rapport mettent aussi en garde contre la possibilité d'attaques ciblant l'industrie chimique et qui pourraient engendrer une catastrophe majeure en Europe.
Des discussions sur les mesures de sécurité ont été relancées après l'attentat visant un des marchés de Noël de Berlin, le 19 décembre 2015, et qui a fait 12 morts et une cinquantaine de blessés.
Présentant ses vœux pour la Nouvelle année, Angela Merkel a notamment déclaré que le gouvernement allait s'efforcer d'adopter des réformes en matière de sécurité, cet attentat ayant mis en lumière des défaillances de la part d'autorités qui n'avaient jamais procédé à l'arrestation du terroriste, alors même qu'il était connu des services de police et que de nombreux indices pouvaient laisser craindre une attaque.
Lire aussi : Allemagne : les agressions antisémites ont doublé entre 2015 et 2016
https://francais.rt.com/international/32942-allemagne-terroristes-pourraient-empoisonner-eau-potable-europe
SupprimerAprès que des passeurs (payés par Bruxelles) soient allés chercher des dizaines de millions d'islamistes de tous pays au soleil, et tandis que les merdias gouvernementaux dénoncent ces 'millions d'enfants pieds nus qui sont venus à quatre pattes dans la neige jusqu'en Europe !!' (Hahahaha !) et qui se plaindraient des conditions paradisiaques découvertes, voila que ces 'non-terroristes' (auteurs d'attentats et de viols) menaceraient maintenant l'Europe de lui empoisonner son eau !!!
USA pour tous : face aux décrets Trump, Madeleine Albright se dit prête à devenir musulmane
RépondreSupprimer26 janv. 2017, 09:43
L’ancien secrétaire d’Etat américain a vivement dénoncé les nouveaux décrets sur l'immigration signés par Donald Trump. Prenant la défense des réfugiés, elle a déclaré être disposée à changer de confession en signe de solidarité avec eux.
«J’ai été élevée catholique, je suis devenue épiscopalienne, puis j'ai découvert que ma famille était juive. Je suis prête à m'enregistrer en tant que musulmane par solidarité». C'est par ce tweet que l’impétueuse ex-secrétaire d’Etat américain Madeleine Albright a fait part de son indignation face aux deux décrets de Donald Trump pour limiter l’immigration aux Etats-Unis.
Madeleine Albright a ajouté, toujours sur Twitter, que les Etats-Unis devaient «rester ouverts aux individus de toutes les confessions et toutes les origines». «Il n’y a pas de [termes et conditions] en petits caractères sur la Statue de la Liberté», ajoute-t-elle, faisant référence au monument qui domine Ellis Island, où débarquaient les migrants il y a un siècle.
Donald Trump a signé, le 25 janvier, deux décrets dans le but de relancer la construction du mur à la frontière avec le Mexique et limiter l'immigration. Selon l’agence de presse AP, le président américain voudrait en outre suspendre pour une durée de 120 jours le programme d’accueil des réfugiés aux Etats-Unis et lever l'octroi de visas aux citoyens en provenance d’Irak, d’Iran, du Yémen, de Libye, de Syrie, de Somalie et du Soudan pendant 30 jours.
Lire aussi : Comme promis, Donald Trump ordonne la construction d'un «mur» entre le Mexique et les Etats-Unis
Alors qu'il faisait campagne, Madeleine Albright avait déjà critiqué Donald Trump, affirmant que ce dernier nuisait à la sécurité nationale américaine par sa seule participation à l'élection présidentielle. Née à Prague en 1937, Madeleine Albright avait atteint les sommets de la politique américaine sous la présidence de Bill Clinton en devenant la première femme à occuper le poste de secrétaire d’Etat (1997-2001).
Elle n'avait, à l'époque, pas manifesté une telle solidarité avec les musulmans. En 1996, répondant à un journaliste qui cherchait à savoir si les sanctions contre l’Irak, qui avaient causé la mort de plus d'un demi million d'enfants (soit plus que le nombre de victimes du bombardement d'Hiroshima) étaient défendables, Madeleine Albright avait répondu : «Je crois que c'était un choix très difficile, mais le prix... nous pensons que le prix en valait la peine.»
Les internautes n’ont pas manqué de rappeler à l’ancienne secrétaire d’Etat ses propos sur les enfants irakiens. «Arrête de mentir. Tout le monde sait comment vous traitez les gens d’autres confessions», s'est agacé un internaute.
Un autre a demandé à Madeleine Albright où était son «humanitarisme» quand elle avait justifié la mort de ces enfants.
Il a aussi été proposé à l’ancienne secrétaire d’Etat d’«utiliser une machine à voyager dans le temps pour faire revenir un enfant musulman irakien vivant sous les sanctions».
https://francais.rt.com/international/33005-madeleine-albright-devenir-musulmane-decrets-trump
Aucune différence entre une excisée et une excisée.
SupprimerComme promis, Donald Trump ordonne la construction d'un «mur» entre le Mexique et les Etats-Unis
RépondreSupprimer25 janv. 2017, 20:03
Donald Trump annonce la construction d'une barrière entre le Mexique et les Etats-Unis ainsi que des mesures contre l'immigration illégale, capture d'écran Twitter/ABC News, DR
Le nouveau président américain a signé des décrets visant à réduire l'immigration vers les Etats-Unis et sécuriser la frontière avec le Mexique. Parmi ces mesures, la construction d'un mur, conformément à ses promesses de campagne.
Choses promises, choses dues. Après avoir dénoncé l'accord de libre-échange transpacifique (TPP), Donald Trump met en œuvre son programme et a signé une série de décrets afin de renforcer la sécurité aux frontières et contrôler l'immigration. Parmi les mesures, la construction d'un «mur» entre le Mexique et les Etats-Unis, plus précisément «une large barrière physique à la frontière sud» des Etats-Unis, a détaillé Sean Spicer, porte-parole de la Maison Blanche.
Le président a également fait l'annonce publique des mesures lors d'une interview exclusive pour la chaîne ABC News.
Dans cet entretien, Donald Trump a précisé que la construction du mur débuterait «aussi vite que cela est physiquement possible».
Les villes et collectivités territoriales en «résistance» contre Donald Trump et qui s'opposeraient à la mise en œuvre du dispositif seraient privées des subsides fédéraux, a prévenu Sean Spicer.
Les autres mesures comprennent également le recrutement de quelque 5 000 agents pour patrouiller aux frontières, selon l'agence Reuters.
https://francais.rt.com/international/32983-donald-trump-ordonne-construction-mur-mexique
Enfin un homme qui tient ses promesses !
SupprimerContre les hooligans, la Suède interdit tout ce qui peut masquer le visage… sauf le voile religieux
RépondreSupprimer25 janv. 2017, 18:04
Pour lutter contre la violence entre supporters de football, Stockholm va bannir des stades les accessoires permettant de dissimuler le visage, mais pas le voile, une exception qui fait grincer des dents du côté de la police.
En Suède, toute personne qui dissimulera «tout ou partie du visage de telle façon qu'il est plus difficile d'être identifié» dans une enceinte sportive risquera jusqu’à six mois de prison, et ce à compter du 1er mars 2017.
Le texte, adopté par le Parlement, précise toutefois que certaines personnes sont exemptées de l’obligation, à savoir celles «qui se couvrent le visage pour des motifs religieux ou celles qui, pour des raisons de service, portent un équipement», tels les pompiers ou les policiers.
Lors de sa présentation en juin 2016, le projet de loi avait suscité une polémique parmi les forces de l’ordre. «Nous pensons qu'il sera compliqué pour les spectateurs de savoir où se situe la limite entre ce qui est autorisé et ce qui ne l'est pas […] Il sera par ailleurs inutilement difficile pour les policiers sur le terrain de déterminer quand un visage masqué est l'expression d'une conviction religieuse ou quand la personne invoque un faux prétexte», avait alors fait remarquer le directeur juridique de la police nationale, Lars Tonneman, ajoutant qu’il était rare de rencontrer «des femmes en burqa dans les enceintes sportives».
Les affrontements entre les hooligans supportant des clubs de football différents sont récurrents dans le pays, où un Suédois était mort en 2014, agressé par un supporter rival.
https://francais.rt.com/international/32973-contre-hooligans-suede-interdit-masquer-visage-sauf-voile-religieux
La dictature monarchique !
Supprimer«Vous êtes de gros faux-culs» : Rodrigo Duterte s'attaque à l'Eglise catholique philippine
RépondreSupprimer25 janv. 2017, 15:11
Lui même abusé par un prêtre dans sa jeunesse, le président philippin a accusé l'Eglise catholique de faire preuve d'hypocrisie et de ne «raconter que des conneries». Il a mis sa démission dans la balance si les allégations s'avéraient fausses.
Le truculent président philippin Rodrigo Duterte a lancé une nouvelle saillie dont il a le secret. Si il laisse un peu de répit à sa cible favorite depuis l’élection de Donald Trump, il n’en a pas pour autant perdu sa langue. C’est sur l'Eglise catholique que s’est cette fois abattu le courroux du chef d’Etat.
Lors d'un discours aux familles de victimes des forces spéciales, il a digressé sur un sujet qui lui tient à cœur : «Je remets en question l’Eglise catholique». S'adressant à l'institution, il l'invective : «Vous ne racontez que des conneries. Vous sentez vraiment mauvais : la corruption et le reste...».
Pour appuyer son propos offensif, il a conseillé à son auditoire la lecture du livre Altar of Secrets d'Aries Rufo, qui plonge dans les secrets de l'Eglise aux Philippines, ses scandales de corruption, de pédophilie, ou encore financiers, ainsi que l'omerta qui y règne. Le président philippin est allé jusqu'à déclarer qu'il démissionnerait, si les accusations contenues dans le livre n'étaient pas vraies.
Rodrigo Duterte a ajouté qu'il pourrait bien écrire lui-même un livre sur l'institution, intitulé Hypocrisie. Il a en effet expliqué avoir été abusé par un prêtre quand il était étudiant à l’Université de Davao, et a affirmé que trois membres du gouvernement ont également confié avoir subi des agressions sexuelles de la part de membres de l’Eglise.
Lire aussi : «Je brûlerai l’ONU» : Rodrigo Duterte répond aux accusations de violations des droits de l’homme
https://francais.rt.com/international/32957-corruption-pedophilie-rodrigo-duterte-s-en-prend-eglise-catholique-philippine
750 000 euros en moins d’un an : un réseau de passeurs sri-lankais démantelé en région parisienne
RépondreSupprimer25 janv. 2017, 13:08
Soupçonnés d’être impliqués dans un juteux réseau d'immigration clandestine, cinq demandeurs d’asile récemment arrivés en France ont été placés en détention provisoire et mis en examen.
Cinq membres présumés d’un réseau organisé de passeurs ont été interpellés le 17 janvier au terme d’opérations policières dans le nord de Paris, les Hauts-de-Seine et la Seine-Saint-Denis, rapporte la chaîne télévisée BFMTV le 25 janvier.
Au tarif de 15 000 euros le passage, ils seraient parvenus à engranger près de 750 000 euros en moins d’un an, estime la chaîne d’actualités, se basant sur les premiers éléments de l’enquête.
Les cinq personnes, parmi lesquelles figurent un donneur d’ordres, un trésorier, et des convoyeurs présumés, ont été placées en détention provisoire. Agés entre 30 et 40 ans, ce sont des demandeurs d’asile originaires du Sri Lanka, récemment arrivés en France via la filière clandestine.
Lire aussi : Les experts prédisent une augmentation de l'immigration clandestine vers l'Europe
https://francais.rt.com/france/32949-750000-euros-un-an-reseau-passeurs-sri-lankais-demantele-region-parisienne
«500 000 € sur les caisses parlementaires» : Pénélope Fillon a-t-elle bénéficié d’un emploi fictif ?
RépondreSupprimer25 janv. 2017, 08:12 - Avec AFP
Alors que l'élection présidentielle approche, le Canard enchaîné révèle que l'épouse du candidat de la droite à la présidentielle aurait perçu des centaines de milliers d'euros de rémunération, notamment à titre de collaboratrice de son mari.
La femme de François Fillon, Pénélope Fillon, aurait été rémunérée pendant huit ans comme attachée parlementaire de son mari ou du suppléant de celui-ci, ainsi que par la Revue des deux mondes, a révélé le journal Le Canard enchaîné dans son édition à paraître le 25 janvier.
Thierry Solère, porte-parole du candidat de la droite à la présidentielle, a confirmé à l'AFP que Pénélope Fillon avait «bien été la collaboratrice de François Fillon» et qu'elle avait «travaillé à la Revue des deux mondes». «Il est fréquent que les conjoints de parlementaires soient leurs collaborateurs», a-t-il affirmé, sans citer de chiffre de rémunération.
D'après «les feuilles de paie» de Pénélope Fillon, évoquées par l’hebdomadaire français, celle-ci aurait été rémunérée de 1998 à 2002 par son mari, député de la Sarthe, sur l'enveloppe réservée à cet effet pour les députés et les sénateurs.
Le fait d'embaucher des proches comme collaborateurs à l'Assemblée ou au Sénat n'est pas interdit pour les parlementaires, à condition que ce ne soit pas un emploi fictif. La question de ces emplois dits «familiaux», qui nourrissent des suspicions, revient régulièrement sur le tapis.
L'enveloppe qui sert à rémunérer les assistants parlementaires, basés à l'Assemblée ou dans les permanences des circonscriptions, vient en sus de l'indemnité du député. «Calculé en principe pour trois collaborateurs», selon le site de l'Assemblée, son montant est de 9 561 euros par mois actuellement.
500 000 euros perçus en huit ans ?
A partir de 2002, après l'entrée de François Fillon au gouvernement, Pénélope Fillon, sans profession connue et qui est toujours restée en retrait des activités politiques de son mari, devient collaboratrice du suppléant de celui-ci, Marc Joulaud. D'après les chiffres obtenus par Le Canard enchaîné, c'est à cette période qu'elle sera rémunérée le plus (de 6 900 à 7 900 euros mensuels).
Une collaboratrice de François Fillon de l'époque, interrogée par Le Canard, dit «n'avoir jamais travaillé avec elle». «Je n'ai pas d'info à ce sujet. Je ne la connaissais que comme femme de ministre», assure-t-elle.
Lire aussi
François Fillon pourrait offrir sa circonscription à NKM pour les législatives 2017 Fillon sur le point de parachuter Kosciusko-Morizet pour les législatives 2017
En 2012, le journal affirme que Pénélope Fillon a de nouveau été rémunérée «pendant six mois au moins» quand François Fillon est redevenu député, après cinq ans à Matignon. «Au total, Pénélope aura perçu environ 500 000 euros brut sur les caisses parlementaires» en huit ans, affirme l'hebdomadaire.
Pénélope Fillon «a toujours travaillé dans l'ombre, car ce n'est pas son style de se mettre en avant», a fait valoir Thierry Solère, qui précise aussi que celle-ci est «diplômée».
RépondreSupprimerLe Canard Enchaîné affirme également que Pénélope Fillon a été salariée, entre le 2 mai 2012 et décembre 2013, de la Revue des deux mondes, propriété de Marc Ladreit de Lacharrière (PDG de Fimalac), un ami de François Fillon. Elle touchait alors environ 5 000 euros bruts par mois.
Interrogé par l'hebdomadaire, le directeur de la revue, Michel Crépu, se dit «sidéré» : «Je n'ai jamais rencontré Pénélope Fillon et je ne l'ai jamais vue dans les bureaux de la revue.»
https://francais.rt.com/france/32939-500000-euros-caisses-parlementaires-penelope-fillon-beneficie-emploi-fictif
1000 milliards de dollars : Bill Gates pourrait devenir le premier «billionnaire» de la planète
RépondreSupprimer26 janv. 2017, 13:42
L'écart entre riches et pauvres se creuse à un rythme effréné, rapporte l'organisation Oxfam. Le fondateur de Microsoft pourrait d'ici 25 ans, devenir le seul homme sur terre à pouvoir se targuer du titre de «billionnaire».
La fortune de Bill Gates pourrait atteindre 1000 milliards de dollars d'ici 2042, estime un rapport d'Oxfam, une confédération qui regroupe 18 organisations indépendantes, qui agissent «contre les injustices et la pauvreté».
Compte tenu de la croissance exponentielle de sa fortune, Bill Gates pourrait avoir gagné son premier billion [1000 milliards] de dollars à l'âge de 86 ans. Le fondateur de Microsoft, en tête du classement Forbes des personnes les plus riches du monde, est le mieux placé pour décrocher cette distinction.
Quand il a quitté Microsoft en 2006, il ne pesait pourtant «que» 50 milliards de dollars. Dix ans plus tard, il est à la tête d'un patrimoine de 84 milliards de dollars, soit une progression de 68% sur la période. Et ce en dépit de ces efforts pour se «débarrasser» de sa fortune, le milliardaire expliquait en 2013 avoir donné 28 milliards de dollars à sa fondation «humaniste philanthropique».
«Dans l'état actuel des choses, si vous êtes déjà riche, cela demande un gros effort pour ne pas devenir beaucoup plus riche», précise Oxfam dans son rapport.
Si Bill Gates semble être encore loin du billion de dollars, au rythme de l'évolution des richesses de ses dernières années, il devrait s'en rapprocher rapidement. «Les ultra riches ont accès à des retours sur investissement qui ne sont pas accessibles à l'épargnant lambda, creusant ainsi le fossé entre les riches et les autres», affirme l'organisation qui conclut que plus on est riche, plus on le deviendra : «Plus l'investissement initial est important, plus le rendement le sera.»
Lire aussi : Les élites jouent aux réfugiés à Davos : un «spectacle abominable de richards étroits d’esprit»
https://francais.rt.com/economie/33014-mille-milliards-dollars-bill-gates-devenir-premier-billionaire-sur-terre