21 janv. 2017, 13:08
Alors que Donald Trump devenait officiellement le 45e président des Etats, les titres et articles dépeignant l'ouverture de son mandat sous un jour terrifiant ou désolant se sont multipliés dans la presse française et anglophone.
Au jour de l'entrée en fonction officielle du nouveau président des Etats-Unis, les médias français semblaient loin d'avoir renoncé à leur peur et à leur mépris pour l'ex-candidat républicain : vendredi 20 janvier, alors que Donald Trump prêtait serment devant le Capitole, L'Obs publiait un article intitulé, avec mesure : «60 bonnes raisons de détester Donald Trump» (dont : «Il a des goûts de chiottes question déco»...).
Dans la même veine, slate.fr (se basant sur la version américaine du site) a choisi de lister, le même jour, les «choses terrifiantes que Donald Trump pourrait faire». Parmi elles, le lecteur pouvait découvrir des mesures (hypothétiques) véritablement effrayantes telles que l'expulsion d'immigrés clandestins, l'abaissement du taux maximal d'imposition ... ou la signature d'un pacte de non-agression avec la Russie !
Quelques heures avant, le site cofondé par Jacques Attali et Jean-Marie Colombani avait déjà publié un article au titre inquiétant : «Voici comment Trump peut maintenant déclencher l'arme nucléaire».
Mediapart non plus n'a pas caché ses craintes face à l'arrivée au pouvoir de Donald Trump, barrant sa page d'accueil, samedi 21 janvier, des mots : « Le "Trump Power", un danger américain».
Moins sombre, Libération a préféré opter pour la moquerie, en ouvrant ses colonnes, à la veille de la passation de pouvoir, à un universitaire qualifiant le nouveau chef d'Etat d'«Ubu président» (en référence au personnage littéraire de roi grotesque inventé par Alfred Jarry).
Le discours de prestation de serment lui-même n'a semble-t-il pas permis de dissiper les craintes d'une partie de la presse française, le journal 20 Minutes évoquant à l'issu de celui-ci une allocution «sombre [qui] divise l'Amérique», et L'Obs un «discours anxiogène».
La site de la chaîne de télévision publique française FranceInfo, enfin, a ni plus ni moins titré un article : «Etats-Unis : quatre façons d'entrer en résistance contre Donald Trump », alors que le président-élu entrait en fonction...
De nombreux médias anglo-saxons toujours hostiles à Trump
Sans surprise, les médias anglo-saxons, qui avaient massivement pris parti contre le candidat républicain durant la campagne présidentielle américaine, ont pour bon nombre d'entre eux accueilli de manière dramatique l'investiture de Donald Trump.
Attisant l'épouvante liée au nouveau président, le quotidien britannique de centre-gauche The Guardian a par exemple qualifié dans un éditorial la cérémonie du 20 janvier de «déclaration de guerre politique».
Enfonçant le clou, un contributeur invité par le journal a fait savoir que «sous le président Trump, nous [allions] entrer dans un âge de confrontation mondiale»...
Au Royaume-Uni, toujours, The Independent a laissé deviner sa panique face à l'avènement de Donald Trump, indiquant en une : «Sauve-nous, Dieu» (une référence aux mots devant être prononcés par le président lors de la prestation de serment).
Une du journal britannique The Independent du 21 janvier
De l'autre côté de l'Atlantique, le prestigieux New York Timesa moqué «Monsieur téléréalité [arrivant] à Washington» (Donald Trump ayant animé l'émission de téléréalité «The Apprentice»), tandis que CNN, sans grande surprise, a dénoncé un discours d'investiture «purement populiste».
Lire aussi : En diffusant un sujet sur le meurtre de Donald Trump, «CNN s'est portée un coup fatal»
https://francais.rt.com/france/32742-apocalypse-maison-blanche-quand-presse-panique-investiture-donald-trump
La revanche des antilopes !
RépondreSupprimerTandis que la presse merdiatique et pédérastique française préférait décrire 'l'action' du nano-nano groupuscule (payé 50 $/h pour protester !!) des partisans anti-américains (de ce qu'ils appellent 'le proche orient' !!) défilaient ou se battaient entr'eux aux actualités de 'télématin' ! HAHAHAHAHAHA !
Lors de ses premières heures à la Maison Blanche, Trump signe un décret contre la loi «Obamacare»
RépondreSupprimer21 janv. 2017, 07:19
Arrivé à la Maison Blanche en fin d’après-midi du 20 janvier, Donald Trump a décidé de ne pas perdre du temps et a rapidement signé son premier décret dans la Bureau ovale contre l'emblématique loi sur la santé «Obamacare» de son prédécesseur.
Comme il avait promis, le nouveau président des Etats-Unis a commencé son mandat par un décret contre la loi sur la santé «Obamacare». En présence des caméras multiples, Donald Trump a ordonné par un décret aux diverses agences fédérales de «soulager le poids» de cette loi, en attendant son abrogation et son remplacement. En effet, le président ne peut pas l’annuler tout seul : le Congrès, à majorité républicaine, devra voter mais son calendrier n'était pas encore annoncé.
La nécessité de réformer le domaine de la santé reste un sujet très discuté aux Etats-Unis. Pour le moment, seul un tiers de la population est couvert par une assurance publique : Medicare pour les plus de 65 ans et Medicaid pour les plus modestes. La moitié des Américains sont assurés par l'intermédiaire de leurs employeurs, selon la Kaiser Family Foundation, et environ 7% par ce qu'on appelle le marché individuel, pour les indépendants ou les salariés sans assurance.
La solution de Barack Obama consistait à obliger chacun à s'assurer et à donner des aides aux Américains pour qu'ils puissent s'acheter leur couverture. Mais les républicain trouvent cette initiative trop coercitive et trop coûteuse.
Au lieu d'une couverture universelle, ils proposent donc un «accès» universel. Pour eux, la santé n'est pas un droit. «L'objectif est que chaque Américain ait accès à la meilleure santé et la meilleure couverture possible», a déclaré le 17 janvier au Sénat l'élu Tom Price, nommé ministre de la Santé par Donald Trump.
https://francais.rt.com/international/32734-premieres-heures-maison-blanche-trump-signe-decret-contre-obamacare
Quatre choses à retenir du discours d'investiture de Donald Trump
RépondreSupprimer20 janv. 2017, 22:25
A la tribune, le nouveau président américain Donald Trump a prononcé un discours d'une vingtaine de minutes. Au menu : protectionnisme, fin de l'interventionnisme à l'étranger, retour des emplois vers les Etats-Unis et lutte contre le terrorisme.
En finir avec l'interventionnisme à l'étranger et s'occuper des affaires de son propre pays
Devant une foule enthousiaste, Donald Trump, évoquant la politique étrangère de Washington, a souhaité souligner que désormais, les Etats-Unis ne pratiqueraient plus l'interventionnisme dans d'autres pays pour imposer leur mode de vie et qu'ils se focaliseront sur les problèmes à l'intérieur de leur propres frontières :
Nous rechercherons l'amitié avec tous les pays du monde. Nous ferons cela avec la compréhension que c'est le droit de chaque pays de placer ses intérêts d'abord. Nous n'imposerons pas notre mode de vie mais nous dirigerons plutôt par l'exemple.
Nous rechercherons l'amitié avec tous les pays du monde
Lire aussi : Lors de son discours d'investiture,Trump a assuré que Washington cessera de dicter sa loi au monde
Ramener les richesses et les emplois aux Etats-Unis
A propos des sujets touchant à l'économie, le 45e président américain a rappelé la nécessité d'«acheter américain et d'embaucher des Américains».
«Nous allons ramener notre richesse, nous allons ramener nos frontières et nous allons ramener nos rêves», a martelé le nouveau président, affirmant sa volonté de «rebâtir le pays avec des travailleurs Américains».
Nous avons dépensé des milliards de milliards à l'étranger tandis que l'infrastructure de notre pays tombait en ruine. Nous avons enrichi d'autres pays, tandis que la richesse, la force et la confiance de notre pays se sont envolées [...] Nous avons défendu les frontières d'autres pays au lieu de défendre les nôtres une par une, les usines ont été fermées et ont quitté notre territoire [...] laissant des millions d'Américains dans le désarroi. Les richesses de nos classes-moyennes leur ont été arrachées pour être redistribuées à travers le monde. Mais cela c'est du passé, aujourd'hui, nous regardons uniquement vers l'avenir.
Sur l'interventionnisme à l'étranger
Eradiquer le terrorisme
Le nouveau président américain a évidemment évoqué la menace terroriste qui pèse sur le monde, notamment l'Etat islamique, martelant que la lutte contre tous les extrémismes religieux, en particulier l'islamisme radical serait pour lui une priorité :
Nous renforcerons nos vieilles alliances et en formerons de nouvelles. Nous unirons le monde civilisé contre le terrorisme islamiste radical que nous éradiquerons de la surface de la Terre.
Sur le terrorisme islamiste
Redonner le pouvoir au peuple
S'adressant à la foule en liesse, Donald Trump a martelé que désormais, le pouvoir n'appartiendrait plus à une élite proche de la Maison Blanche, mais au peuple américain.
Pendant trop longtemps, une petite minorité a bénéficié de la politique menée par le gouvernement. La cérémonie que nous vivons aujourd'hui est très particulière. Aujourd'hui nous ne transférons pas le pouvoir d'un président à un autre [...] nous le rendons au peuple [...] ce moment vous appartient.
https://francais.rt.com/international/32724-quatre-choses-a-retenir-discours-dinvestiture-donald-trump
Dès lors que des accords commerciaux ont été initiés pour détruire l'Amerique de ses entreprises restantes, il peut y avoir de tensions du côté seulement de certaines entreprises non-patriotes lorsque le nouveau président tend à rétablir un climat favorable pour son pays.
Supprimer(...) Ramener les richesses et les emplois aux Etats-Unis (...)
The Donald 45e président
RépondreSupprimerle 20 janvier 2017
Petit commentaire très bref sur le discours de Donald Trump au bas des marches du Capitole : il a ostensiblement ignoré Bill Clinton quand il a fait la tournée des mains à serrer. Il y avait présents Obama, Clinton et Bush Junior. Il semble évident que Trump est nourri d’un ressentiment profond à l’égard du clan Clinton. La suite des évènements domestiques américains sera passionnante à bien des égards.
Ce qui est rassurant est que The Donald, maintenant officiellement 45e président des USA, va progressivement réduire les dépenses militaires américaines partout dans le monde et se rapprocher de la Russie. Une bonne chose pour notre survie à tous.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/01/20/the-donald-45e-president/
Les mots suivants n'avaient jamais paru dans une adresse inaugurale, jusqu'à ce jour
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Jan 20, 2017 5:28 PM
Que l'adresse inaugurale de Trump était provocante, c'est doucement. Nulle part, c'était plus évident que dans la réaction initiale du Financial Times. Considérons l'extrait suivant:
Pour la plupart des présidents, un premier discours inaugural a été l'occasion de présenter une vision personnelle de l'idée américaine. Vous ne perdez pas nécessairement des points pour ne pas énoncer la politique dans le détail granulaire. Vous jouez de la musique d'humeur, en la rendant aussi émouvante que possible et en vous positionnant dans le grand courant de l'histoire américaine: rappeler à votre auditoire une continuité essentielle. Le thème de M. Trump était le contraire. Dès ses premiers mots, il a souligné la discontinuité: que sa présidence serait une rupture.
«La cérémonie d'aujourd'hui a une signification tout à fait particulière car aujourd'hui, nous ne transférons pas simplement le pouvoir d'une administration à une autre ou d'une partie à une autre, mais nous transférons le pouvoir à Washington DC et nous le rendons. "
Cette tentative de mise en forme du public, du moins, avait la bonne idée. M. Trump a fait beaucoup de jeu avec le deuxième et le premier pluriel de personnes: "C'est votre jour"; «Nous ramènerons nos emplois.» Mais il a placé son «grand mouvement» d'une manière qui a suggéré non pas que le gouvernement de Washington était l'expression de la démocratie mais de son ennemi. C'était un regard anormalement rancunier, arriéré, compte tenu de ce qu'il a dit sur l'unité et la solidarité. C'était un licenciement, plutôt qu'une humble décharge du chapeau à l'histoire.
Réchauffé comme un plateau de restes peu appétissants, étaient les slogans familiers de la campagne M. Trump. «Les hommes et les femmes oubliés de notre pays ne seront plus oubliés.» «L'Amérique va recommencer à gagner, gagnant comme jamais auparavant.» «Tous parlent et pas d'action.» «L'Amérique d'abord, l'Amérique d'abord.» Ils ont été salués avec quoi , Au moins sur les relais de télévision, sonnait comme des applaudissements distinctement mi-cinglés.
Et là, au cours de ses tentatives sporadiques au style élevé, se trouvaient quelques figures de langage maladroitement à demi formées. Dire «nous sommes à la naissance d'un nouveau millénaire» semble grand mais, à moins que vous ayez un régime de 1000 ans à l'esprit, si vous pouvez dire qu'en 2017, vous pouvez le dire quand vous le souhaitez. «Nous sommes une nation et leur douleur est notre douleur» aurait travaillé si «ils» avaient été spécifiés. Ce n'était pas le cas.
Il parlait de «usines rouillées éparpillées comme des pierres tombales à travers le paysage de notre nation»; De la façon dont «une nouvelle fierté nationale nous agira (sic), soulevera nos vues et guérira nos divisions»; Comment «une nouvelle vision régira»; De la façon dont "nous allons briller pour tout le monde à suivre"; De la façon dont «la richesse, la force et la confiance de notre pays s'est dissipée à l'horizon». Chacune de ces phrases est destinée à résonner - mais chacun, comme une cloche lancée avec une faute, fait un clunk léger.
Et le punchline:
RépondreSupprimerLa phrase la plus mémorable du discours était "le carnage américain". En plus d'être, malheureusement, le titre d'une tournée de thrash métal il ya quelques années, il est mémorable car il semble légèrement mal. Vous voulez un public d'associer l'orgueil, les rêves, la prospérité, l'unité, la liberté, l'espoir et ainsi de suite avec le mot «américain» - et non pas «carnage».
Etc.
Alors que nous ne commenterons pas la réaction viscérale de la FT à l'allocution (transcription complète ici) - clairement le porte-parole de l'établissement n'était pas satisfait des mots qui sont sortis de la bouche de Trump - et tandis que les lecteurs peuvent se décider à propos de l'adresse de Trump, Nous voulons signaler quelque chose.
Comme tout le reste, le discours de Trump était en fait une rupture de la tradition établie, et nulle part cela était plus évident que dans la sélection de mots qui n'avaient jamais paru précédemment dans un discours inaugural américain. Certains d'entre eux: saigner, le carnage, l'épuisement, le délabrement, flush, islamique, déchiré, triste, rouillé, étalement, vol, volé, subventionné, pierres tombales, piégé, trillions, imparable.
La liste complète est ci-dessous.
- voir sur site -
En effet, le discours était si peu orthodoxe, il a même surpris le conseiller de Trump Carl Icahn. Comme il l'a dit à CNBC, "Donald m'a surpris de venir si fortement sur l'établissement. Je l'admire de le faire."
«Je l'admire, non seulement pour essayer de dire:« Wow. Allons tranquille, soyons copains. Je veux dire, il est venu sur extrêmement fortement et il vous donne un regard sur ce que l'avenir, je pense, va être ", a ajouté Icahn.
Icahn, le conseiller spécial de Trump sur la réforme de la réglementation, a dit qu'il s'attend à ce que le 45ème président des États-Unis adopte une approche de confrontation, dans une certaine mesure. Pourtant, il a soutenu que cela peut être une bonne chose parce qu'il favorisera le changement.
«Je pense que vous devez briser cet établissement. Vous devez arrêter la perception que nous avons dans ce pays que le gouvernement est en guerre avec les entreprises, que le gouvernement n'aime pas les affaires et c'est ce que vous avez eu pendant huit ans Avec Obama ", a déclaré M. Icahn.
Nous n'avons pas encore vu si Trump suivra effectivement ses promesses, ou son discours belliqueux. Nous avons cependant une dernière question: Trump at-il vraiment «emprunté» une partie de son adresse de ... Bane?
http://www.zerohedge.com/news/2017-01-20/following-words-had-never-appeared-inaugural-address-until-today
Déclaration de guerre de Trump: 12 choses qu'il doit faire pour que l'Amérique soit grande encore
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Jan 20, 2017 22h15
Le bref discours inaugural du président Trump était une déclaration de guerre contre l'ensemble de l'establishment américain. Tout.
Comme le décrit Paul Craig Roberts, Trump a clairement indiqué que les ennemis des Américains sont ici: des globalistes, des économistes néo-libéraux, des néoconservateurs et d'autres unilatéraux habitués à imposer les États-Unis au monde et à nous impliquer dans des guerres interminables et coûteuses, des politiciens qui servent L'Établissement de décision plutôt que le peuple américain, en effet, toute la verrière des intérêts privés qui ont coulé l'Amérique dans le sol tout en devenant riche dans le processus.
Si l'on peut dire la vérité, le président Trump a déclaré une guerre beaucoup plus dangereuse pour lui-même que s'il avait déclaré la guerre contre la Russie ou la Chine.
Les groupes d'intérêts désignés par Trump comme l'Ennemi sont bien ancrés et habitués à être en charge. Leurs puissants réseaux sont toujours en place. Bien qu'il y ait des majorités républicaines à la Chambre et au Sénat, la plupart de ceux au Congrès sont responsables devant les groupes d'intérêts au pouvoir qui fournissent leurs fonds de campagne et non au peuple américain ou au président. Le complexe militaire / de sécurité, les sociétés de délocalisation, Wall Street et les banques ne vont pas rouler pour Trump. Et ni les médias de presse, qui est possédé par les groupes d'intérêt dont le pouvoir Trump défie.
Trump a clairement indiqué qu'il représente chaque américain, noir, brun et blanc. Peu de doutes sa déclaration d'inclusivité sera ignorée par les haineux de gauche qui continueront à l'appeler un raciste tout comme les manifestants payés 50 $ par heure font comme j'écris.
En effet, le leadership noir, par exemple, est inculturé dans le rôle de victimisation dont il serait difficile pour eux d'échapper. Comment rassembler des gens qui ont appris pendant toute leur vie que les Blancs sont des racistes et qu'ils sont victimes de racistes ?
Peut-on le faire ? J'étais sur un programme brièvement avec Press TV dans lequel nous étions censés fournir l'analyse du discours inaugural de Trump. L'autre commentateur était un Américain noir à Washington, DC. Le discours d'inclusivité de Trump n'a pas fait d'impression sur lui, et l'animateur de spectacles était seulement intéressé à montrer les manifestants embauchés comme un moyen de discréditer l'Amérique. Tant de gens ont un intérêt économique à parler au nom des victimes que l'inclusivité les met hors des emplois et des causes.
Ainsi, avec les mondialistes, la CIA, les sociétés de délocalisation, les industries d'armement, l'établissement de l'OTAN en Europe et les politiciens étrangers habitués à être bien payés pour soutenir la politique étrangère interventionniste de Washington, Trump aura contre lui les dirigeants des peuples victimes , Les noirs, les hispaniques, les féministes, les illégaux, les homosexuels et les transgenres. Cette longue liste, bien sûr, inclut aussi les libéraux blancs, car ils sont convaincus que le survol de l'Amérique est l'habitat des racistes blancs, des misogynes, des homophobes et des noix de fusil. En ce qui les concerne, ces 84% des États-Unis devraient être mis en quarantaine ou enterrés.
En d'autres termes, le bien suffira-t-il à la population pour permettre à un président d'unir les 16% d'Amérique qui détestent les Américains de 84% ?
Considérez les forces que Trump a contre lui:
RépondreSupprimerLes dirigeants noirs et hispaniques ont besoin de la victimisation, parce que c'est ce qui les élève au pouvoir et au revenu. Ils tournent un œil jauni vers l'inclusivité de Trump. L'inclusion est bonne pour les noirs et les hispaniques, mais pas pour leurs dirigeants.
Les dirigeants et les actionnaires des sociétés mondiales sont enrichis par les emplois délocalisés que Trump dit qu'il apportera à la maison. Si les emplois reviennent à la maison, leurs profits, leurs primes de rendement et leurs gains en capital disparaîtront. Mais la sécurité économique de la population américaine reviendra.
Le complexe militaire / de sécurité a un budget annuel de 1 000 milliards de dollars dépendant de «la menace russe» que Trump dit qu'il va remplacer par des relations normalisées. L'assassinat de Trump ne peut être exclu.
Beaucoup d'Européens doivent leur prestige, leur pouvoir et leurs revenus à l'OTAN que Trump a mis en question.
Les bénéfices du secteur financier proviennent presque entièrement de la mise en servitude de la dette des Américains et du pillage de leurs pensions privées et publiques. Le secteur financier avec leur agent, la Réserve fédérale, peut accabler Trump avec la crise financière. La Banque de la Réserve fédérale de New York dispose d'un bureau de négociation complet. Il peut envoyer tout marché dans la tourmente. Ou soutenir tout marché, car il n'y a aucune limite sur sa capacité à créer des dollars américains.
Tout l'édifice politique des États-Unis s'est isolé de la volonté, des désirs et des besoins du peuple. Maintenant Trump dit que les politiciens seront responsables devant le peuple. Cela, bien sûr, signifierait une baisse importante de leur sécurité dans le bureau et dans leur revenu et leur richesse.
Il y a un grand nombre de groupes, financés par nous-savons-pas-qui. Par exemple, RootsAction a répondu aujourd'hui à l'engagement énergique de Trump de défendre toutes les personnes contre l'établissement dirigeant avec une demande pour «demander au congrès de diriger le comité judiciaire de Chambre pour ouvrir une enquête de mise en accusation» et d'envoyer l'argent pour le destitution de Trump.
Un autre groupe de haine, les droits de l'homme d'abord, attaque la défense de Trump de nos frontières comme fermant «un refuge d'espoir pour ceux fuyant la persécution.» Pensez à ceci pendant une minute. Selon les organisations libérales progressistes et les organisations de groupes d'intérêts raciaux, les États-Unis sont une société raciste et le président Trump est un raciste. Pourtant, les personnes soumises au racisme américain fuient la persécution en Amérique où elles seront persécutées par la race? Ça n'a pas de sens. Les clandestins viennent ici pour travailler. Demandez aux entreprises de construction. Demandez aux abattoirs de poulet et d'animaux. Demandez aux services de nettoyage de la zone de vacances.
Cette liste de ceux sur qui Trump a déclaré la guerre est assez longue, bien qu'il y ait plus qui peuvent être ajoutés.
RépondreSupprimerNous devrions nous demander pourquoi un milliardaire âgé de 70 ans avec des entreprises florissantes, une belle épouse et des enfants intelligents est prêt à donner ses dernières années au stress extraordinaire d'être président avec l'agenda stressant de remettre le gouvernement dans les mains de l'Américain gens. Il ne fait aucun doute que Trump s'est fait une cible d'assassinat. La CIA ne va pas abandonner et s'en aller. Pourquoi une personne prendrait-elle sur la grande restauration de l'Amérique que Trump a déclaré quand il pourrait au lieu de passer ses dernières années à s'amuser énormément ?
Quelle que soit la raison, nous devrions être reconnaissants pour cela, et s'il est sincère, nous devons le soutenir. S'il est assassiné, nous devons prendre nos armes, brûler Langley au sol et tuer chacun d'entre eux.
S'il réussit, il mérite la désignation: Trump the Great !
La Russie, la Chine, l'Iran, le Venezuela, l'Equateur, la Bolivie et tout autre pays figurant sur la liste des victimes de la CIA devraient comprendre que la hausse de Trump est une protection insuffisante. La CIA est une organisation mondiale. Ses entreprises rentables fournissent des revenus indépendants du budget américain. L'organisation est capable d'effectuer des opérations indépendamment du président ou même de son propre directeur.
La CIA a eu environ 70 ans pour se retrancher. Il n'a pas disparu.
Mais, comme Jeremiah Johnson explique (via SHTFPlan.com), il faudra un changement complet de la mer pour corriger le cours de ce pays a été la tête dans les huit dernières années. Ce sont quelques-uns des problèmes que Trump devra renverser quand il deviendra Président Trump, dont il a promis de changer ou de terminer complètement:
La Loi sur les soins de santé abordables, maintenant appelée loi «Obamacare», est la loi la plus odieuse ... une loi exigeant que le citoyen ait la couverture de soins de santé prescrite par les exigences gouvernementales.
Frontières «différemment perméables»: où les étrangers, comme les Mexicains et les Canadiens peuvent aller et venir comme ils veulent, et les étrangers illégaux ont libre accès ... mais les Américains sont confinés jusqu'à ce qu'une recherche de la cavité pleine est menée.
Une économie basée non sur le PNB réel, mais sur les dépenses de consommation (près de 80%); Convaincre une entreprise de ne pas ramasser et de se déplacer à l'étranger est une illustration du concept, et non la mise en œuvre ... pas encore.
Une inversion du vrai taux de chômage, qui oscille entre 15 et 20%, en fonction de ce que payé «perroquet» (comme le travail et la statistique) annonce le faux chiffre.
Un renversement de l'Entitlement Nation: les utilisateurs de l'EBT et du Food Stamp, les collecteurs de chômage, les bénéficiaires de l'invalidité de la Sécurité Sociale dont la corpulence de la suralimentation est qualifiée de "handicap", les étrangers illégaux sur le dole pour tout ce qui précède, Les près de 100 millions ne sont plus «dans la population active».
Les ONG qui ont tenu les administrations en otage (le 1er), ou agissant comme si elles étaient un organisme gouvernemental (le 2ème), ou avec des cadres profitant énormément alors qu'ils fonctionnent sur le travail d'esclave en utilisant des personnes socialement malheureuses et Écrivant le tout (le 3ème).
RépondreSupprimerRevitaliser un militaire dont l'armée de l'air est obligée de récupérer des pièces de «la Boneyard», et où les niveaux de service des membres en termes de nombre et de préparation sont tombés à leur point le plus bas depuis avant la Seconde Guerre mondiale.
Réinitialiser une politique étrangère abyssale où (depuis huit ans) nous avons institué des coups d'État, sapé les relations qui ont travaillé dans le monde entier, nous sommes mis en position de commencer une nouvelle guerre froide, et tourné complètement le Moyen-Orient et l'Europe de l'Est vers le bas.
Revitaliser une infrastructure en ruine de routes, de ponts et de bâtiments très dangereusement en mauvais état ... où les frais d'entretien et les frais continuent d'augmenter avec très peu de retour sur les dollars des contribuables et rien ne change sur nos routes, ports et ponts.
Permettre (oui, autoriser) et encourager les entreprises américaines à être en mesure de démarrer, d'exploiter et de produire aux États-Unis sans restrictions de style soviétique, la réglementation et une armée de «singes volants» bureaucratiques s'insérant dans le «quatrième point De contact ", empêchant les entreprises américaines (en particulier les petites entreprises et les préoccupations de Mom-and-Pop) de commencer ou de réussir.
La Cour suprême: il suffit de les regarder ... et rien d'autre n'a vraiment besoin d'être dit: Sauf qu'une branche du gouvernement des États-Unis censée être un «contrôle et l'équilibre» n'a pas besoin de contourner la Constitution et d'être le seul arbitre et Essence) un législateur pour instituer une politique pour une administration présidentielle.
Apporter un changement dans les cœurs du peuple américain.
L'élément le plus important de cette liste est peut-être le dernier.
Lorsque Reagan a pris ses fonctions, nous (et lui) avons fait face à un chômage à deux chiffres, à une inflation à deux chiffres, à une taxation énorme et à des pertes de libertés. Nous avons fait face à une infrastructure en ruine, une armée en désordre (Desert One pour libérer les otages iraniens, menée avec des hélicoptères dans une tempête de sable car Carter approché l'heure de minuit pour perdre l'élection ne doit jamais être oublié). Les Soviétiques étaient forts, et nous n'étions pas ... ayant récemment mis fin à la guerre au Vietnam. Nous ne faisions pas trop bien, dans le monde et dans nos propres esprits et cœurs.
Alors Reagan est venu, et il a tourné autour. Il n'était pas parfait, mais il a comblé ses imperfections en s'entourant d'un excellent personnel. Il avait un cœur pour les États-Unis, et la force de le défendre. Son leadership a résisté à la chute des États-Unis, et a tourné les choses pour nous. Vous souvenez-vous de la victoire de Lake Placid de l'équipe amateur de hockey des États-Unis en demi-finale contre les professionnels de l'équipe de hockey soviétique? Rappelez-vous le moment ... une petite chose, peut-être, et beaucoup peuvent l'écarter comme étant «complètement sans importance» ou «sans rapport avec les problèmes auxquels nous sommes confrontés».
Mais cette victoire n'était pas l'une de ces remarques désobligeantes. C'était quelque chose sur lequel nous pouvions tous nous concentrer, pour former une sorte d'unité cohésive et nous penser ensemble comme des Américains ... pour être fiers d'accomplir quelque chose ... pour une fois, après quatre ans de Carter. Il y a eu un changement de la mer. A-t-il duré ? Peut-être pas, et pourtant, si le souvenir de ces années est encore vivant dans une seule personne avec l'espoir d'une répétition ... alors peut-être d'autres peuvent ressentir la même chose.
RépondreSupprimerC'est toujours le meilleur pays du monde. Le slogan de campagne de Trump était «Make America Great Again». Cliché, peut-être, mais il faut commencer quelque part. La dernière fois que j'ai vérifié, le préambule de la Constitution commence par «Nous, les gens». Oui, nous, les gens ont besoin de faire de notre mieux avec ce que nous avons, d'être vigilants dans nos entreprises pour empêcher huit autres années semblables à la Dont nous venons de sortir, et d'aller de l'avant et d'améliorer nos vies. Beaucoup diront que ce n'est pas grave, et qu'il ya des forces qui sont hors de notre contrôle qui nous empêchera en tant que nation de surmonter les obstacles.
Tel peut être pendant un certain temps, comme c'était sous Obama. Ces temps ne peuvent pas durer éternellement, et finalement le changement doit se produire. Nous avons peut-être un plus gros travail que ces 12 articles que j'ai énumérés pour que Trump accomplisse.
Numéro 12 n'est pas tout sur lui: il est aussi sur nous.
Pour que le pays réussisse, les gens doivent retourner aux valeurs fondamentales de la famille, du travail acharné, du respect (pour soi et des autres) et de la foi, les uns envers les autres et en Dieu. Trump peut faire beaucoup, mais à la fin, c'est nous les gens qui lui permettront de le tourner ou pas. Le changement ne peut pas être forcé sur vous par une secousse avec un sourire parfait qui vous dit que le changement est un mouvement «nous pouvons croire», puis prend le rôle d'un dictateur et les forces sur vous. Le changement est quelque chose qui vient de l'intérieur, précipité par un sentiment qui est dans le cœur. Nous avons la chance de tout changer et nous souhaitons la réussite de cet homme qui deviendra président des États-Unis dans quelques jours. Espérons qu'il ait ce sentiment à l'intérieur de lui-même et qu'il s'en tienne ... pour unir de nouveau les États-Unis d'Amérique.
http://www.zerohedge.com/news/2017-01-20/trumps-declaration-war-12-things-he-must-do-america-be-great-again
(...) Le complexe militaire / de sécurité, les sociétés de délocalisation, Wall Street et les banques ne vont pas rouler pour Trump. Et ni les médias de presse, qui est possédé par les groupes d'intérêt dont le pouvoir Trump défie. (...)
SupprimerHahahaha ! Là est LA révolution !