Une photo sordide des victimes du Bataclan réapparaît, provoquant la colère des rescapés
18 nov. 2016, 07:41
Un an après les attentats du 13 novembre, un cliché macabre pris de l'intérieur du Bataclan après l'attaque terroriste a refait surface sur Facebook et Twitter. La photo a suscité de vives réactions des associations de victimes.
Lire aussi : EN CONTINU : Un an après les attentats, Paris rend hommage aux victimes
Un an après les attentats du Bataclan, une utilisatrice de Facebook a posté une photo où l’on découvre les corps ensanglantés des victimes de la tuerie perpétrée par Daesh. Le cliché a ensuite été partagé par plusieurs internautes, sur Facebook comme sur Twitter.
La publication et le partage de cette photo sur les réseaux sociaux a immédiatement provoqué l'écœurement des associations de victimes
«Ce n’est pas notre rôle de nous mêler des idées de cette personne, en revanche on veut limiter la diffusion de cette photo sordide. On n’a pas besoin de ce cliché pour témoigner de l’horreur» a ainsi expliqué Emmanuel Domenach, rescapé et vice-président de l’association 13 novembre : fraternité et vérité à 20minutes .
«Moi je reconnais des victimes sur cette photo, alors imaginez pour les parents», a-il déploré avant d'expliquer : «Innocemment, on a signalé à Facebook et à Twitter en pensait qu’ils allaient supprimer les messages en question.» Mais, selon Facebook cette photo ne viole pas sa politique et Twitter ne daigne répondre à l'association de victimes.
Le bras de fer avec les réseaux sociaux a toutefois été l'occasion pour Emmanuel Domenach de pointer du doigt les contradictions de Facebook, qui censure les photos de poitrines dénudées mais pas celles de cadavres sur son réseau social.
Le vice-président de l'association de victimes a reconnu que la situation était délicate : «C’est un peu un cercle vicieux. Il y a des gens qui repostent cette photo pour participer à la discussion. C’est très compliqué pour nous parce que chaque fois qu’on dénonce ce genre de dérapage, ça l’alimente. Mais il faut bien qu’on agisse.»
En attendant, Emmanuel Domenach et l'association ont directement interpellé sur Twitter la secrétaire d'Etat chargée de l'aide aux victimes. Cette dernière leur a répondu de manière assez laconique.
La photo avait déjà choqué les internautes en 2015 lors de sa publication initiale sur Twitter. Elle était restée en ligne plusieurs heures avant que l'utilisateur ne soit bloqué.
Contacté par Le Huffington Post, Emmanuel Domenach a confirmé qu'il s'agissait bien de la même image, déjà censurée immédiatement après les attentats de novembre 2015 qui avaient causé la mort de 130 personnes.
Lire aussi : De Charlie Hebdo au Bataclan : les autorités des erreurs et de la honte
De Charlie Hebdo au Bataclan : les autorités des erreurs et de la honte
15 nov. 2016
Les attentats de Charlie et du Bataclan mettent en lumière l’incompétence des décideurs qui appliquent un principe bien connu : l’allégeance est supérieure à la compétence, selon Eric Stemmelen, Délégué national à la sécurité de Debout la France.
Eric Stemmelen est délégué national à la sécurité de Debout la France, commissaire divisionnaire honoraire de la police nationale, spécialiste des systèmes policiers étrangers et expert reconnu des établissements étatiques sensibles et de la protection rapprochée des hautes personnalités.
L’année 2015 a été endeuillée par les attentats commis dans les locaux du journal Charlie Hebdo en janvier et par ceux au Bataclan en novembre. Dans les deux cas, il y a eu non pas des erreurs d’appréciation mais de véritables fautes commises par les responsables du ministère de l’Intérieur, à tous les niveaux.
Charlie : les menaces n’ont jamais été prises au sérieux et par conséquent la sécurité n’a jamais été assurée comme elle devait l’être
Depuis 2006 et la publication des caricatures de Mahomet, Charlie faisait l’objet de menaces islamistes, menaces concrétisées en 2011 par le jet d’un cocktail Molotov.
Tout ceci est la conséquence de décisions prises sans aucune considération et analyse sérieuse de la menace
En mars 2013, non seulement Stéphane Charbonnier, dit Charb, apprend que sa tête est mise à prix pour crime contre l’Islam dans le luxueux magazine «Inspire», rédigé en anglais et publié depuis 2010 par AQPA (Al-Qaïda dans la Péninsule Arabique) au Yémen. Ce n’est pas l’UCLAT (Unité de coordination et de liaison antiterroriste) du ministère de l’Intérieur qui prévient Charb et les autres services de police compétents (Préfecture de police et Service de la protection, SDLP, anciennement connu comme le SPHP – Service de la protection des hautes personnalités) comme cela aurait du être le cas. Pas du tout, c’est Charb lui-même qui prévient la police ! Non seulement le SPHP ne met pas en place d'équipe de protection rapprochée conséquente (à savoir six ou sept policiers) mais, pire, réduit à deux fonctionnaires la sécurité personnelle de Charb six mois après cette menace grave et précise. Sans aucune concertation avec le SDLP, la Préfecture de police retire en septembre 2014 la voiture de police qui était de faction devant les locaux du journal et enlève les barrières de sécurité. Tout ceci est la conséquence de décisions prises sans aucune considération et analyse sérieuse de la menace.
La suppression des gardes statiques et des barrières relèvent de la seule appréciation du préfet de police et du service placé sous ses ordres, la Direction de l’ordre public et de la circulation (DOPC) de la préfecture de police. Les responsables de ces malheureuses décisions sont clairement identifiés : le préfet de police et le directeur de la DOPC. Car ce genre de décision est nécessairement pris au plus haut niveau de la préfecture de police.
Par contre la décision d’accorder, de réduire ou de supprimer la protection rapprochée (au minimum trois policiers en permanence) ou l’accompagnement de sécurité (un ou deux policiers) pour une personnalité est une décision politique et non pas technique.
Plus d’un an après l’attentat de Charlie Hebdo on ne sait toujours pas qui a pris la décision de transformer la protection rapprochée de Charb en simple accompagnement de sécurité et pour quelles raisons
En effet l’arrêté du 12 août 2013 signé Manuel Valls, ministre de l’Intérieur, ne souffre d’aucune ambiguïté : c’est le ministre de l’Intérieur en personne qui décide. En l’occurrence le même Manuel Valls qui, en droit, peut donner délégation de pouvoir (et non de signature) à son directeur de cabinet, Thierry Lataste. Le directeur général de la Police nationale peut lui aussi avoir pris cette décision à la seule condition qu’il ait la délégation de pouvoir. Or comme ce type de décision, qui concerne les personnalités françaises mais aussi étrangères, est hautement sensible, il est quasiment certain que la décision a été prise au niveau du ministre de l’Intérieur et de son cabinet.
Lire aussi Bataclan, Paris Attentats de Paris, un an après : «Le gouvernement est fort avec les faibles, faible avec les forts»
Cette décision est datée et signée : plus d’un an après l’attentat de Charlie Hebdo on ne sait toujours pas qui a pris la décision de transformer la protection rapprochée de Charb en simple accompagnement de sécurité et pour quelles raisons !
Le pouvoir en place a promis la vérité aux Français : on ne l’a pas.
Dans tous les cas, il est certain que :
- ne pas assurer ni une protection rapprochée à Charb ni une protection des bâtiments alors qu'Al-Qaïda a proféré des menaces de mort précises n’est pas une erreur d’appréciation mais une faute gravissime dont on connaît les conséquences,
- ne pas connaître les auteurs des décisions, plus d’un an après l’attentat, est franchement scandaleux,
- aucun, absolument aucun responsable politique ou opérationnel du ministère de l’Intérieur n’a démissionné, n’a été sanctionné ni ne s’est même excusé comme si personne n’était responsable d’une succession de décisions catastrophiques. On notera quand même que Manuel Valls a été promu Premier ministre et que Thierry Lataste a été promu, directeur de cabinet du président de la République !
- les parlementaires de gauche et de droite n’ont pas jugé bon de constituer une commission d’enquête qui aurait pourtant été bien utile.
Les décisions prises quelques mois après, lors de l’attaque du Bataclan constituent à la réflexion et le mot n’est pas trop fort une véritable honte
Autant les décisions prises autour de Charlie Hebdo n’ont pu que favoriser les crimes commis par les frères Kouachi et sont donc constitutifs de fautes successives, autant les décisions prises quelques mois après, lors de l’attaque du Bataclan constituent à la réflexion, et le mot n’est pas trop fort, une véritable honte.
Le 13 novembre 2015, trois terroristes perpétuent un massacre pendant trois heures dans la salle de spectacle du Bataclan à partir de 21h30.
Le préfet de police, autorité civile compétente sur Paris, prend des décisions franchement inadmissibles :
1) Apprenant l’attaque du Bataclan survenue après celle du Stade de France et les fusillades dans les rues de Paris, le préfet de police ne demande pas au directeur général de la police nationale de réunir la Force d’intervention de la police nationale (FIPN) qui permet de mettre sous l’autorité du RAID, en cas de prise d’otages à Paris, la Brigade de recherche et d’intervention (BRI) de la préfecture de police. Or en janvier 2015, la FIPN avait été constitué dans le cadre de la prise d’otages à l’Hyper Casher de la porte de Vincennes. Ce qui était valable en janvier ne l’était plus en novembre ! C’est ainsi que le RAID, le service le plus compétent de la police nationale en matière de prise d’otages n’a pas été désigné comme directeur des opérations au Bataclan. C’est à cette occasion que l’on se rend compte que le directeur général de la police nationale porte bien mal son nom puisqu’il n’est pas le directeur des services de police de Paris et des départements de la petite couronne (1/4 des effectifs de la police française) !
Ce jour là le respect à la lettre du règlement militaire a été une catastrophe. Les autorités civiles et militaires qui ont donné cet ordre ce jour là ne sont pas dignes de leurs fonctions
Lire aussi La salle de concert du Bataclan Le Bataclan, le lieu le plus meurtrier des attaques du 13 novembre, rend hommage à ses victimes
2) Dans les minutes qui suivent l’attaque arrivent très vite sur place quelques policiers dont le commissaire d’une Brigade anti-criminalité et son chauffeur, lesquels, n’écoutant que leur courage et leur devoir, entrent armés de leurs seules armes de poing à l’intérieur du Bataclan et réussissent à tuer un des terroristes, permettant à 300 otages de sortir. Quelques minutes après l’arrivée des premiers policiers, huit soldats de l’opération Sentinelle équipés de gilets pare-balles et de fusils d’assaut se trouvent également présents. Se produit alors une chose incroyable : les militaires ne reçoivent pas l’ordre de leur hiérarchie d’intervenir, ils refusent même, de prêter leurs FAMAS aux quelques policiers présents démunis d’armes de guerre. La hiérarchie militaire expliquera que les militaires étaient à la disposition des autorités civiles. Or les policiers sur place ont une carte professionnelle, dite de police et qui est en fait une carte de réquisition des autorités civiles et militaires. Mais il se trouve qu’en France, et particulièrement à Paris, le policier présent sur place, fut-il commissaire, est en pratique dépourvu de tout pouvoir de réelle décision. C’est donc, et il faut être très clair sur ce point, le préfet de police et son représentant à la salle de commandement de la préfecture de police qui ont refusé de faire appel aux militaires présents en oubliant que la France, d’après les propos du président de la République et du Premier ministre, était en état de guerre, que la légitime défense ne s’appliquait pas qu’à soi même mais existait aussi pour autrui en application de l’article 122-5 du Code pénal, en oubliant surtout la notion d’urgence dans ce qui n’est pas une prise d’otages classique mais une tuerie de masse.
Il faut attendre plus d’une heure pour que la force d’intervention rapide de la BRI et le RAID arrivent. Ce n’est qu’à 0h20 que l’assaut est donné, soit près de trois heures après le début de l’attaque.
Et pendant ces longues heures, les terroristes, qui ne sont plus que deux, massacrent plus de 100 personnes non pas en les tuant mais en les torturant. Ce que l’on n’a pas dit aux français. Ils ont égorgé, décapité, éviscéré, lacéré au couteau les organes génitaux des femmes et même arraché les yeux des victimes dont on peut espérer, sans vraiment le croire, qu’elles étaient déjà mortes.
Et, pendant ce temps là, les huit militaires de l’opération Sentinelle reçoivent l’ordre de ne pas intervenir : ce jour là le respect à la lettre du règlement militaire a été une catastrophe. Les autorités civiles et militaires qui ont donné cet ordre ce jour là ne sont pas dignes de leurs fonctions.
Dans ces deux affaires tragiques pour les victimes et le pays, personne n’a reconnu son incompétence, ses erreurs, personne n’a démissionné, n’a été viré, ou ne s’est excusé
3) Mais ce n’est pas tout, les autorités de la Préfecture de Police ont aussi pris une autre décision elle aussi catastrophique : le 13 novembre, de façon fortuite, 45 gendarmes du Groupe d’Intervention de la Gendarmerie Nationale (GIGN) hautement spécialisés comme le RAID dans le domaine des prises d’otages, étaient présents à la caserne des Célestins, à quelques centaines de mètres du Bataclan. Comme Paris est en zone de compétence de la police et non de la gendarmerie, le Préfet de Police qui, là aussi, a le pouvoir de réquisition, a choisi d’appliquer le règlement et préféré attendre l’arrivée de la BRI et du RAID plutôt que de solliciter l’intervention des gendarmes. On connaît le résultat : plus d’une centaine de victimes massacrés. C’est le deuxième scandale de la soirée, encore plus grand que celui de la non intervention des huit soldats de l’opération Sentinelle. Ce jour là, les compétences des uns et des autres ont été respectées à la lettre et tant pis pour les victimes qui ont attendu en vain l’intervention des 45 gendarmes du GIGN et des huit soldats de Sentinelle alors que tout le monde savait qu’un massacre était en cours. Ce jour là, les décisions prises par les autorités civiles et militaires sont tout simplement honteuses.
Les attentats de Charlie Hebdo et du Bataclan mettent en lumière crue l’incompétence crasse de certains décideurs qui sont arrivés au sommet de la hiérarchie en gagnant manifestement leurs galons dans les salons et sous les ors de la République en application du principe bien connu : l’allégeance est supérieure à la compétence. De toute façon, dans ces deux affaires tragiques pour les victimes et le pays, personne, absolument personne n’a reconnu son incompétence, ses erreurs, personne n’a démissionné, n’a été viré ou ne s’est excusé. C’est peut être cela le plus choquant : la certitude d’avoir eu raison et l’absence totale de regret et de remord !
Lire aussi : Agression des policiers : les assaillants ont un sentiment d’impunité
Le Brexit ne sera pas gratuit pour les Britanniques. La dette du Royaume-Uni à l’Union européenne dépasserait les 60 milliards d’euros. Le Royaume-Uni devra payer entre 55 et 65 milliards d'euros dans le cadre de ses engagements budgétaires pris avant la décision de quitter l'Union européenne, a annoncé jeudi un diplomate européen de haut rang.
La plus grande partie de ces fonds servira à financer les pensions qu'il va falloir continuer de verser aux fonctionnaires — britanniques et non britanniques — des institutions européennes.
Le Royaume-Uni avait accepté de couvrir 15 % du budget de ces retraites. Les Britanniques devront en outre verser leur part pour la réalisation des projets d'infrastructure européens adoptés avant que le Brexit soit décidé. Il s'agit notamment des projets sur l'environnement, les innovations et les petites entreprises. « La Grande-Bretagne a des droits, mais elle a aussi des obligations à l'égard du budget de l'UE en tant que membre de l'Union. Ces droits et obligations concernent les engagements pris pour les années à venir », a noté le diplomate cité par le magazine Politico.
D'après lui, si le Royaume-Uni refuse de payer cette dette, il risque d'être traduit en justice. « Ils peuvent mener des négociations sur leur part au budget. Mais s'ils refusent de payer leur part, l'affaire sera remise à la Cour internationale de justice (CIJ) », l'organe judiciaire principal de l'Onu, a conclu le responsable.
Pourquoi nous sommes encore dans 'The Danger Zone' Jusqu'au 20 janvier 2017
Par Michael Snyder, le 17 novembre 2016
Trump n'est pas encore le président, et Barack Obama pourrait encore faire un montant extraordinaire de dommages au cours de ses deux derniers mois à la Maison Blanche. Avant l'élection, j'ai décrit la période qui s'est terminée le 20 janvier comme «la zone dangereuse», et mes perspectives n'ont pas changé juste parce que Donald Trump a été victorieux la nuit des élections. Comme vous le verrez, les deux prochains mois sont un moment absolument critique, et si nous pouvons passer à travers le 20 janvier sans quelque chose de majeur peut-être que nous pouvons respirer un peu plus facile (au moins pendant un certain temps). D'autre part, les événements des deux prochains mois pourraient facilement plonger ce pays dans une période de chaos sans précédent. Beaucoup de gens se sentent vraiment bien sur les choses en ce moment à cause de la victoire de Trump, mais maintenant n'est certainement pas un temps pour se détendre et laisser tomber nos gardes.
Et la vérité est que Donald Trump n'a même pas encore remporté la présidence. Comme je l'ai expliqué peu de temps avant la nuit des élections, le prochain président ne sera pas déterminé avant le 19 décembre lorsque le collège électoral se réunira.
Le lundi 19 décembre, les membres du Collège électoral se réuniront dans les 50 capitales des États pour voter pour la présidence. C'est seulement à ce moment-là que le prochain président des États-Unis sera élu.
Tout au long de notre histoire, les électeurs ont suivi la volonté du peuple plus de 99 parfaite de l'époque, mais il y a eu des «électeurs sans foi» avant, et si les démocrates en ont assez pour changer de camp en décembre, il est encore possible Probable) que Hillary Clinton pourrait gagner l'élection.
Une pétition demandant aux électeurs de changer de voix a déjà été signée par plus de 4 millions de personnes. La pétition affirme que Donald Trump est «inapte à servir» en tant que président, et que depuis Hillary Clinton a remporté le vote populaire par une large marge, elle devrait être élu président à la place. Ce qui suit provient d'un article USA Today intitulé «Le Collège électoral pourrait-il élire Hillary Clinton au lieu de Donald Trump ?» ...
Une pétition de Change.org, signée aujourd'hui par plus de 4,3 millions de personnes, encourage les membres du Collège électoral à voter pour Hillary Clinton lorsque le collège se réunit le 19 décembre. La pétition soutient que Donald Trump est «inapte au service» et Que "la secrétaire Clinton a gagné le vote populaire et devrait être président."
"S'ils votent tous comme leurs États ont voté, Donald Trump gagnera", indique la pétition. "Cependant, ils peuvent voter pour Hillary Clinton s'ils le souhaitent. Même dans les États où cela n'est pas autorisé, leur vote serait toujours compté, ils auraient simplement payer une petite amende - ce que nous pouvons être sûr que les partisans de Clinton seront heureux de payer! Nous demandons aux électeurs d'ignorer les votes de leurs états et de voter pour la secrétaire Clinton.
Personnellement, je ne crois pas que cela va se produire. Ils peuvent être capables de renverser quelques électeurs, mais le fossé dans les votes électoraux est presque certainement trop large pour les démocrates à surmonter.
Cependant, ce n'est pas le seul problème auquel nous sommes confrontés. Depuis sa victoire le 8 novembre, il ya eu une multitude de menaces violentes contre Donald Trump et sa famille. Et sans aucun doute, il ya beaucoup de gens très puissants qui seraient très intéressés à trouver un moyen de garder Donald Trump d'arriver à la Journée d'inauguration. Prions donc pour sa sécurité et pour la sécurité de sa famille.
Si Donald Trump devait être incapable après avoir remporté le vote de l'École électorale le 19 décembre, Mike Pence prendrait sa place.
Mais si quelque chose devait lui arriver avant le 19 décembre, ses électeurs seraient libres de voter pour un autre candidat - y compris Hillary Clinton.
Si tout se passe bien et Donald Trump réussit à la journée d'inauguration, il pourrait être confronté à l'une des plus grandes manifestations politiques de l'histoire des États-Unis.
Dans un article pour The Most Important News, j'ai montré que l'extrême gauche appelle des milliers et des milliers de manifestants à descendre sur Washington DC le 20 janvier afin de perturber les festivités de l'Inauguration autant que possible.
Cette protestation géante est organisée par les suspects habituels, et ils ont déjà mis en place des pages Facebook, des sites Web, et le hashtag "# DisruptJ20? Est largement utilisé partout dans les médias sociaux.
Traditionnellement, le jour de l'inauguration est un jour de joie et de célébration, mais l'extrême gauche semble vouloir le transformer en émeute massive.
Espérons qu'ils ne réussissent pas.
Une autre raison pour laquelle nous serons dans la «zone de danger» au cours des deux prochains mois est en raison de ce que Barack Obama peut choisir de faire aux Nations Unies.
Maintenant qu'il semble que Donald Trump va être notre prochain président, la pression internationale sur Barack Obama pour faire quelque chose aux Nations Unies au sujet du conflit israélo-palestinien avant la fin de son mandat est devenu encore plus intense.
Et c'est quelque chose dont Trump et ses conseillers sont activement préoccupés. En fait, je suis tombé sur un article plus tôt aujourd'hui qui a discuté du fait que l'équipe Trump est l'avertissement Obama "contre la prise de mesures sur le conflit israélo-palestinien dans ses derniers mois au pouvoir" ...
Le conseiller de Trump pour la sécurité nationale de Donald Trump a prévenu la semaine dernière l'administration Obama de ne pas faire des démarches sur le conflit israélo-palestinien dans son dernier discours, en disant que pousser des agendas «contrairement à la position du président élu» ne serait pas dans «l'esprit de la transition». Mois de service.
«Sur des questions importantes et transformatrices où le président Obama et le président élu Trump ne sont pas alignés, je ne pense pas que cela corresponde à l'esprit de la transition ... essayer d'insister sur des points de l'ordre du jour contraires aux positions du président élu , A déclaré le conseiller à Politico.
Plus précisément, l'inquiétude est que Obama peut décider d'appuyer une résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies qui reconnaîtrait officiellement un Etat palestinien, fixerait les paramètres d'une «solution à deux États» et établirait Jérusalem-Est la capitale du nouvel Etat palestinien.
Il ya quelques semaines, un article du Wall Street Journal intitulé "Obama's Israel Surprise?" A rapporté que c'est l'une des options que l'administration Obama envisage actuellement. Une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU serait juridiquement contraignante pour Israël et pour les Palestiniens, et ce serait quelque chose que le Président Trump ne pourrait pas annuler.
Le reste du Conseil de sécurité de l'ONU est impatient de soutenir une telle résolution, et donc la décision de savoir si cette résolution va se passer ou non se trouve dans les mains de Barack Obama, et en ce moment nous ne savons pas ce qu'il va faire. Ce qui suit provient d'un article de Leo Hohmann ...
Le Wall Street Journal a rapporté une semaine avant l'élection de mardi que Obama avait demandé à ses aides de lui fournir une liste d'options pour faire face au conflit israélo-palestinien de plusieurs décennies.
Les diplomates israéliens, selon l'histoire du WSJ, se préparent à la possibilité qu'un président boiteux Obama "essaie de forcer une résolution diplomatique pour Israël et les Palestiniens aux Nations Unies".
Le président est probablement en train de revoir ces options, qui représentent environ une demi-douzaine.
Il peut se préparer à reconnaître un état palestinien à l'U.N. avant qu'il ne quitte son bureau, WSJ a rapporté.
Si Barack Obama décide de diviser la terre d'Israël aux Nations Unies, ce sera la pire décision de toute sa présidence. J'ai averti à maintes reprises que tout l'enfer se déchaînera en Amérique si cela arrive, et cela signifie également que beaucoup des événements que je prévoyais dans mon dernier livre sont beaucoup plus proches que beaucoup avaient anticipé.
Mais si nous pouvons arriver au 20 janvier et que la terre d'Israël n'a pas encore été divisée, nous pourrons peut-être nous reposer tranquillement pendant au moins un moment, car Trump a déjà dit qu'il n'appuierait pas une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies Une solution sur les israéliens et les palestiniens.
Lorsque les politiciens vont faire quelque chose qu'ils savent que les gens n'aiment pas, ils ont tendance à essayer de se faufiler à travers les vacances quand beaucoup de gens ne font pas attention. Par exemple, hier, j'ai discuté de la façon dont la législation qui a créé la Réserve fédérale a été pressé par le Congrès avant Noël en 1913.
Alors gardez un œil sur la période autour de Thanksgiving et la période autour de Noël. Si Barack Obama va poignarder Israël dans le dos, il peut arriver pendant un de ces moments.
Mon espoir est que nous puissions passer à travers le 20 janvier sans rien aller sérieusement mal. Si cela arrive, je sais que je serai très reconnaissant.
Et comme je l'ai détaillé dans un article précédent, Donald Trump aura 70 ans, 7 mois et 7 jours de vie à sa première journée complète en fonction le 21 janvier, et cela se passera dans l'année 5777 sur le calendrier hébraïque.
Pourrait-il être un signe de meilleures choses à venir comme beaucoup le croient ?
Ou les deux prochains mois déclencheront-ils une chaîne d'événements qui sera absolument désastreux pour cette nation ?
Je crois que c'est un moment absolument critique dans notre histoire, et espérons que nos dirigeants prendront les bonnes décisions.
Une photo sordide des victimes du Bataclan réapparaît, provoquant la colère des rescapés
RépondreSupprimer18 nov. 2016, 07:41
Un an après les attentats du 13 novembre, un cliché macabre pris de l'intérieur du Bataclan après l'attaque terroriste a refait surface sur Facebook et Twitter. La photo a suscité de vives réactions des associations de victimes.
Lire aussi : EN CONTINU : Un an après les attentats, Paris rend hommage aux victimes
Un an après les attentats du Bataclan, une utilisatrice de Facebook a posté une photo où l’on découvre les corps ensanglantés des victimes de la tuerie perpétrée par Daesh. Le cliché a ensuite été partagé par plusieurs internautes, sur Facebook comme sur Twitter.
La publication et le partage de cette photo sur les réseaux sociaux a immédiatement provoqué l'écœurement des associations de victimes
«Ce n’est pas notre rôle de nous mêler des idées de cette personne, en revanche on veut limiter la diffusion de cette photo sordide. On n’a pas besoin de ce cliché pour témoigner de l’horreur» a ainsi expliqué Emmanuel Domenach, rescapé et vice-président de l’association 13 novembre : fraternité et vérité à 20minutes .
«Moi je reconnais des victimes sur cette photo, alors imaginez pour les parents», a-il déploré avant d'expliquer : «Innocemment, on a signalé à Facebook et à Twitter en pensait qu’ils allaient supprimer les messages en question.» Mais, selon Facebook cette photo ne viole pas sa politique et Twitter ne daigne répondre à l'association de victimes.
Le bras de fer avec les réseaux sociaux a toutefois été l'occasion pour Emmanuel Domenach de pointer du doigt les contradictions de Facebook, qui censure les photos de poitrines dénudées mais pas celles de cadavres sur son réseau social.
Le vice-président de l'association de victimes a reconnu que la situation était délicate : «C’est un peu un cercle vicieux. Il y a des gens qui repostent cette photo pour participer à la discussion. C’est très compliqué pour nous parce que chaque fois qu’on dénonce ce genre de dérapage, ça l’alimente. Mais il faut bien qu’on agisse.»
En attendant, Emmanuel Domenach et l'association ont directement interpellé sur Twitter la secrétaire d'Etat chargée de l'aide aux victimes. Cette dernière leur a répondu de manière assez laconique.
La photo avait déjà choqué les internautes en 2015 lors de sa publication initiale sur Twitter. Elle était restée en ligne plusieurs heures avant que l'utilisateur ne soit bloqué.
Contacté par Le Huffington Post, Emmanuel Domenach a confirmé qu'il s'agissait bien de la même image, déjà censurée immédiatement après les attentats de novembre 2015 qui avaient causé la mort de 130 personnes.
Lire aussi : De Charlie Hebdo au Bataclan : les autorités des erreurs et de la honte
https://francais.rt.com/france/29143-photo-sordide-victimes-bataclan-reapparai
Lire surtout le rapport ce-dessous:
SupprimerDe Charlie Hebdo au Bataclan : les autorités des erreurs et de la honte
RépondreSupprimer15 nov. 2016
Les attentats de Charlie et du Bataclan mettent en lumière l’incompétence des décideurs qui appliquent un principe bien connu : l’allégeance est supérieure à la compétence, selon Eric Stemmelen, Délégué national à la sécurité de Debout la France.
Eric Stemmelen est délégué national à la sécurité de Debout la France, commissaire divisionnaire honoraire de la police nationale, spécialiste des systèmes policiers étrangers et expert reconnu des établissements étatiques sensibles et de la protection rapprochée des hautes personnalités.
L’année 2015 a été endeuillée par les attentats commis dans les locaux du journal Charlie Hebdo en janvier et par ceux au Bataclan en novembre. Dans les deux cas, il y a eu non pas des erreurs d’appréciation mais de véritables fautes commises par les responsables du ministère de l’Intérieur, à tous les niveaux.
Charlie : les menaces n’ont jamais été prises au sérieux et par conséquent la sécurité n’a jamais été assurée comme elle devait l’être
Depuis 2006 et la publication des caricatures de Mahomet, Charlie faisait l’objet de menaces islamistes, menaces concrétisées en 2011 par le jet d’un cocktail Molotov.
Tout ceci est la conséquence de décisions prises sans aucune considération et analyse sérieuse de la menace
En mars 2013, non seulement Stéphane Charbonnier, dit Charb, apprend que sa tête est mise à prix pour crime contre l’Islam dans le luxueux magazine «Inspire», rédigé en anglais et publié depuis 2010 par AQPA (Al-Qaïda dans la Péninsule Arabique) au Yémen. Ce n’est pas l’UCLAT (Unité de coordination et de liaison antiterroriste) du ministère de l’Intérieur qui prévient Charb et les autres services de police compétents (Préfecture de police et Service de la protection, SDLP, anciennement connu comme le SPHP – Service de la protection des hautes personnalités) comme cela aurait du être le cas. Pas du tout, c’est Charb lui-même qui prévient la police ! Non seulement le SPHP ne met pas en place d'équipe de protection rapprochée conséquente (à savoir six ou sept policiers) mais, pire, réduit à deux fonctionnaires la sécurité personnelle de Charb six mois après cette menace grave et précise. Sans aucune concertation avec le SDLP, la Préfecture de police retire en septembre 2014 la voiture de police qui était de faction devant les locaux du journal et enlève les barrières de sécurité. Tout ceci est la conséquence de décisions prises sans aucune considération et analyse sérieuse de la menace.
La suppression des gardes statiques et des barrières relèvent de la seule appréciation du préfet de police et du service placé sous ses ordres, la Direction de l’ordre public et de la circulation (DOPC) de la préfecture de police. Les responsables de ces malheureuses décisions sont clairement identifiés : le préfet de police et le directeur de la DOPC. Car ce genre de décision est nécessairement pris au plus haut niveau de la préfecture de police.
(suite en dessous:)
Par contre la décision d’accorder, de réduire ou de supprimer la protection rapprochée (au minimum trois policiers en permanence) ou l’accompagnement de sécurité (un ou deux policiers) pour une personnalité est une décision politique et non pas technique.
RépondreSupprimerPlus d’un an après l’attentat de Charlie Hebdo on ne sait toujours pas qui a pris la décision de transformer la protection rapprochée de Charb en simple accompagnement de sécurité et pour quelles raisons
En effet l’arrêté du 12 août 2013 signé Manuel Valls, ministre de l’Intérieur, ne souffre d’aucune ambiguïté : c’est le ministre de l’Intérieur en personne qui décide. En l’occurrence le même Manuel Valls qui, en droit, peut donner délégation de pouvoir (et non de signature) à son directeur de cabinet, Thierry Lataste. Le directeur général de la Police nationale peut lui aussi avoir pris cette décision à la seule condition qu’il ait la délégation de pouvoir. Or comme ce type de décision, qui concerne les personnalités françaises mais aussi étrangères, est hautement sensible, il est quasiment certain que la décision a été prise au niveau du ministre de l’Intérieur et de son cabinet.
Lire aussi
Bataclan, Paris Attentats de Paris, un an après : «Le gouvernement est fort avec les faibles, faible avec les forts»
Cette décision est datée et signée : plus d’un an après l’attentat de Charlie Hebdo on ne sait toujours pas qui a pris la décision de transformer la protection rapprochée de Charb en simple accompagnement de sécurité et pour quelles raisons !
Le pouvoir en place a promis la vérité aux Français : on ne l’a pas.
Dans tous les cas, il est certain que :
- ne pas assurer ni une protection rapprochée à Charb ni une protection des bâtiments alors qu'Al-Qaïda a proféré des menaces de mort précises n’est pas une erreur d’appréciation mais une faute gravissime dont on connaît les conséquences,
- ne pas connaître les auteurs des décisions, plus d’un an après l’attentat, est franchement scandaleux,
- aucun, absolument aucun responsable politique ou opérationnel du ministère de l’Intérieur n’a démissionné, n’a été sanctionné ni ne s’est même excusé comme si personne n’était responsable d’une succession de décisions catastrophiques. On notera quand même que Manuel Valls a été promu Premier ministre et que Thierry Lataste a été promu, directeur de cabinet du président de la République !
- les parlementaires de gauche et de droite n’ont pas jugé bon de constituer une commission d’enquête qui aurait pourtant été bien utile.
Les décisions prises quelques mois après, lors de l’attaque du Bataclan constituent à la réflexion et le mot n’est pas trop fort une véritable honte
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Le Bataclan : la honte !
RépondreSupprimerAutant les décisions prises autour de Charlie Hebdo n’ont pu que favoriser les crimes commis par les frères Kouachi et sont donc constitutifs de fautes successives, autant les décisions prises quelques mois après, lors de l’attaque du Bataclan constituent à la réflexion, et le mot n’est pas trop fort, une véritable honte.
Le 13 novembre 2015, trois terroristes perpétuent un massacre pendant trois heures dans la salle de spectacle du Bataclan à partir de 21h30.
Le préfet de police, autorité civile compétente sur Paris, prend des décisions franchement inadmissibles :
1) Apprenant l’attaque du Bataclan survenue après celle du Stade de France et les fusillades dans les rues de Paris, le préfet de police ne demande pas au directeur général de la police nationale de réunir la Force d’intervention de la police nationale (FIPN) qui permet de mettre sous l’autorité du RAID, en cas de prise d’otages à Paris, la Brigade de recherche et d’intervention (BRI) de la préfecture de police. Or en janvier 2015, la FIPN avait été constitué dans le cadre de la prise d’otages à l’Hyper Casher de la porte de Vincennes. Ce qui était valable en janvier ne l’était plus en novembre ! C’est ainsi que le RAID, le service le plus compétent de la police nationale en matière de prise d’otages n’a pas été désigné comme directeur des opérations au Bataclan. C’est à cette occasion que l’on se rend compte que le directeur général de la police nationale porte bien mal son nom puisqu’il n’est pas le directeur des services de police de Paris et des départements de la petite couronne (1/4 des effectifs de la police française) !
Ce jour là le respect à la lettre du règlement militaire a été une catastrophe. Les autorités civiles et militaires qui ont donné cet ordre ce jour là ne sont pas dignes de leurs fonctions
Lire aussi
La salle de concert du Bataclan Le Bataclan, le lieu le plus meurtrier des attaques du 13 novembre, rend hommage à ses victimes
2) Dans les minutes qui suivent l’attaque arrivent très vite sur place quelques policiers dont le commissaire d’une Brigade anti-criminalité et son chauffeur, lesquels, n’écoutant que leur courage et leur devoir, entrent armés de leurs seules armes de poing à l’intérieur du Bataclan et réussissent à tuer un des terroristes, permettant à 300 otages de sortir. Quelques minutes après l’arrivée des premiers policiers, huit soldats de l’opération Sentinelle équipés de gilets pare-balles et de fusils d’assaut se trouvent également présents. Se produit alors une chose incroyable : les militaires ne reçoivent pas l’ordre de leur hiérarchie d’intervenir, ils refusent même, de prêter leurs FAMAS aux quelques policiers présents démunis d’armes de guerre. La hiérarchie militaire expliquera que les militaires étaient à la disposition des autorités civiles. Or les policiers sur place ont une carte professionnelle, dite de police et qui est en fait une carte de réquisition des autorités civiles et militaires. Mais il se trouve qu’en France, et particulièrement à Paris, le policier présent sur place, fut-il commissaire, est en pratique dépourvu de tout pouvoir de réelle décision. C’est donc, et il faut être très clair sur ce point, le préfet de police et son représentant à la salle de commandement de la préfecture de police qui ont refusé de faire appel aux militaires présents en oubliant que la France, d’après les propos du président de la République et du Premier ministre, était en état de guerre, que la légitime défense ne s’appliquait pas qu’à soi même mais existait aussi pour autrui en application de l’article 122-5 du Code pénal, en oubliant surtout la notion d’urgence dans ce qui n’est pas une prise d’otages classique mais une tuerie de masse.
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Il faut attendre plus d’une heure pour que la force d’intervention rapide de la BRI et le RAID arrivent. Ce n’est qu’à 0h20 que l’assaut est donné, soit près de trois heures après le début de l’attaque.
RépondreSupprimerEt pendant ces longues heures, les terroristes, qui ne sont plus que deux, massacrent plus de 100 personnes non pas en les tuant mais en les torturant. Ce que l’on n’a pas dit aux français. Ils ont égorgé, décapité, éviscéré, lacéré au couteau les organes génitaux des femmes et même arraché les yeux des victimes dont on peut espérer, sans vraiment le croire, qu’elles étaient déjà mortes.
Et, pendant ce temps là, les huit militaires de l’opération Sentinelle reçoivent l’ordre de ne pas intervenir : ce jour là le respect à la lettre du règlement militaire a été une catastrophe. Les autorités civiles et militaires qui ont donné cet ordre ce jour là ne sont pas dignes de leurs fonctions.
Dans ces deux affaires tragiques pour les victimes et le pays, personne n’a reconnu son incompétence, ses erreurs, personne n’a démissionné, n’a été viré, ou ne s’est excusé
3) Mais ce n’est pas tout, les autorités de la Préfecture de Police ont aussi pris une autre décision elle aussi catastrophique : le 13 novembre, de façon fortuite, 45 gendarmes du Groupe d’Intervention de la Gendarmerie Nationale (GIGN) hautement spécialisés comme le RAID dans le domaine des prises d’otages, étaient présents à la caserne des Célestins, à quelques centaines de mètres du Bataclan. Comme Paris est en zone de compétence de la police et non de la gendarmerie, le Préfet de Police qui, là aussi, a le pouvoir de réquisition, a choisi d’appliquer le règlement et préféré attendre l’arrivée de la BRI et du RAID plutôt que de solliciter l’intervention des gendarmes. On connaît le résultat : plus d’une centaine de victimes massacrés. C’est le deuxième scandale de la soirée, encore plus grand que celui de la non intervention des huit soldats de l’opération Sentinelle. Ce jour là, les compétences des uns et des autres ont été respectées à la lettre et tant pis pour les victimes qui ont attendu en vain l’intervention des 45 gendarmes du GIGN et des huit soldats de Sentinelle alors que tout le monde savait qu’un massacre était en cours. Ce jour là, les décisions prises par les autorités civiles et militaires sont tout simplement honteuses.
Les attentats de Charlie Hebdo et du Bataclan mettent en lumière crue l’incompétence crasse de certains décideurs qui sont arrivés au sommet de la hiérarchie en gagnant manifestement leurs galons dans les salons et sous les ors de la République en application du principe bien connu : l’allégeance est supérieure à la compétence. De toute façon, dans ces deux affaires tragiques pour les victimes et le pays, personne, absolument personne n’a reconnu son incompétence, ses erreurs, personne n’a démissionné, n’a été viré ou ne s’est excusé. C’est peut être cela le plus choquant : la certitude d’avoir eu raison et l’absence totale de regret et de remord !
Lire aussi : Agression des policiers : les assaillants ont un sentiment d’impunité
https://francais.rt.com/opinions/28964-charlie-hebdo-bataclan-autorites-erreurs-honte
SupprimerCopie conforme des "Marathon de Boston" et "École Sandy Hook à Newton" ou encore l'autre tuerie organisée le "11 Septembre 2001" !!!
Londres devra payer 65 mds EUR pour le Brexit
RépondreSupprimer22:20 17.11.2016
Le Brexit ne sera pas gratuit pour les Britanniques. La dette du Royaume-Uni à l’Union européenne dépasserait les 60 milliards d’euros. Le Royaume-Uni devra payer entre 55 et 65 milliards d'euros dans le cadre de ses engagements budgétaires pris avant la décision de quitter l'Union européenne, a annoncé jeudi un diplomate européen de haut rang.
La plus grande partie de ces fonds servira à financer les pensions qu'il va falloir continuer de verser aux fonctionnaires — britanniques et non britanniques — des institutions européennes.
Le Royaume-Uni avait accepté de couvrir 15 % du budget de ces retraites. Les Britanniques devront en outre verser leur part pour la réalisation des projets d'infrastructure européens adoptés avant que le Brexit soit décidé. Il s'agit notamment des projets sur l'environnement, les innovations et les petites entreprises. « La Grande-Bretagne a des droits, mais elle a aussi des obligations à l'égard du budget de l'UE en tant que membre de l'Union. Ces droits et obligations concernent les engagements pris pour les années à venir », a noté le diplomate cité par le magazine Politico.
D'après lui, si le Royaume-Uni refuse de payer cette dette, il risque d'être traduit en justice. « Ils peuvent mener des négociations sur leur part au budget. Mais s'ils refusent de payer leur part, l'affaire sera remise à la Cour internationale de justice (CIJ) », l'organe judiciaire principal de l'Onu, a conclu le responsable.
https://fr.sputniknews.com/economie/201611171028754295-royaume-uni-brexit-cout-milliards-euros-ue/
Pourquoi nous sommes encore dans 'The Danger Zone' Jusqu'au 20 janvier 2017
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
le 17 novembre 2016
Trump n'est pas encore le président, et Barack Obama pourrait encore faire un montant extraordinaire de dommages au cours de ses deux derniers mois à la Maison Blanche. Avant l'élection, j'ai décrit la période qui s'est terminée le 20 janvier comme «la zone dangereuse», et mes perspectives n'ont pas changé juste parce que Donald Trump a été victorieux la nuit des élections. Comme vous le verrez, les deux prochains mois sont un moment absolument critique, et si nous pouvons passer à travers le 20 janvier sans quelque chose de majeur peut-être que nous pouvons respirer un peu plus facile (au moins pendant un certain temps). D'autre part, les événements des deux prochains mois pourraient facilement plonger ce pays dans une période de chaos sans précédent. Beaucoup de gens se sentent vraiment bien sur les choses en ce moment à cause de la victoire de Trump, mais maintenant n'est certainement pas un temps pour se détendre et laisser tomber nos gardes.
Et la vérité est que Donald Trump n'a même pas encore remporté la présidence. Comme je l'ai expliqué peu de temps avant la nuit des élections, le prochain président ne sera pas déterminé avant le 19 décembre lorsque le collège électoral se réunira.
Le lundi 19 décembre, les membres du Collège électoral se réuniront dans les 50 capitales des États pour voter pour la présidence. C'est seulement à ce moment-là que le prochain président des États-Unis sera élu.
Tout au long de notre histoire, les électeurs ont suivi la volonté du peuple plus de 99 parfaite de l'époque, mais il y a eu des «électeurs sans foi» avant, et si les démocrates en ont assez pour changer de camp en décembre, il est encore possible Probable) que Hillary Clinton pourrait gagner l'élection.
Une pétition demandant aux électeurs de changer de voix a déjà été signée par plus de 4 millions de personnes. La pétition affirme que Donald Trump est «inapte à servir» en tant que président, et que depuis Hillary Clinton a remporté le vote populaire par une large marge, elle devrait être élu président à la place. Ce qui suit provient d'un article USA Today intitulé «Le Collège électoral pourrait-il élire Hillary Clinton au lieu de Donald Trump ?» ...
Une pétition de Change.org, signée aujourd'hui par plus de 4,3 millions de personnes, encourage les membres du Collège électoral à voter pour Hillary Clinton lorsque le collège se réunit le 19 décembre. La pétition soutient que Donald Trump est «inapte au service» et Que "la secrétaire Clinton a gagné le vote populaire et devrait être président."
"S'ils votent tous comme leurs États ont voté, Donald Trump gagnera", indique la pétition. "Cependant, ils peuvent voter pour Hillary Clinton s'ils le souhaitent. Même dans les États où cela n'est pas autorisé, leur vote serait toujours compté, ils auraient simplement payer une petite amende - ce que nous pouvons être sûr que les partisans de Clinton seront heureux de payer! Nous demandons aux électeurs d'ignorer les votes de leurs états et de voter pour la secrétaire Clinton.
Personnellement, je ne crois pas que cela va se produire. Ils peuvent être capables de renverser quelques électeurs, mais le fossé dans les votes électoraux est presque certainement trop large pour les démocrates à surmonter.
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Cependant, ce n'est pas le seul problème auquel nous sommes confrontés. Depuis sa victoire le 8 novembre, il ya eu une multitude de menaces violentes contre Donald Trump et sa famille. Et sans aucun doute, il ya beaucoup de gens très puissants qui seraient très intéressés à trouver un moyen de garder Donald Trump d'arriver à la Journée d'inauguration. Prions donc pour sa sécurité et pour la sécurité de sa famille.
RépondreSupprimerSi Donald Trump devait être incapable après avoir remporté le vote de l'École électorale le 19 décembre, Mike Pence prendrait sa place.
Mais si quelque chose devait lui arriver avant le 19 décembre, ses électeurs seraient libres de voter pour un autre candidat - y compris Hillary Clinton.
Si tout se passe bien et Donald Trump réussit à la journée d'inauguration, il pourrait être confronté à l'une des plus grandes manifestations politiques de l'histoire des États-Unis.
Dans un article pour The Most Important News, j'ai montré que l'extrême gauche appelle des milliers et des milliers de manifestants à descendre sur Washington DC le 20 janvier afin de perturber les festivités de l'Inauguration autant que possible.
Cette protestation géante est organisée par les suspects habituels, et ils ont déjà mis en place des pages Facebook, des sites Web, et le hashtag "# DisruptJ20? Est largement utilisé partout dans les médias sociaux.
Traditionnellement, le jour de l'inauguration est un jour de joie et de célébration, mais l'extrême gauche semble vouloir le transformer en émeute massive.
Espérons qu'ils ne réussissent pas.
Une autre raison pour laquelle nous serons dans la «zone de danger» au cours des deux prochains mois est en raison de ce que Barack Obama peut choisir de faire aux Nations Unies.
Maintenant qu'il semble que Donald Trump va être notre prochain président, la pression internationale sur Barack Obama pour faire quelque chose aux Nations Unies au sujet du conflit israélo-palestinien avant la fin de son mandat est devenu encore plus intense.
Et c'est quelque chose dont Trump et ses conseillers sont activement préoccupés. En fait, je suis tombé sur un article plus tôt aujourd'hui qui a discuté du fait que l'équipe Trump est l'avertissement Obama "contre la prise de mesures sur le conflit israélo-palestinien dans ses derniers mois au pouvoir" ...
Le conseiller de Trump pour la sécurité nationale de Donald Trump a prévenu la semaine dernière l'administration Obama de ne pas faire des démarches sur le conflit israélo-palestinien dans son dernier discours, en disant que pousser des agendas «contrairement à la position du président élu» ne serait pas dans «l'esprit de la transition». Mois de service.
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«Sur des questions importantes et transformatrices où le président Obama et le président élu Trump ne sont pas alignés, je ne pense pas que cela corresponde à l'esprit de la transition ... essayer d'insister sur des points de l'ordre du jour contraires aux positions du président élu , A déclaré le conseiller à Politico.
RépondreSupprimerPlus précisément, l'inquiétude est que Obama peut décider d'appuyer une résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies qui reconnaîtrait officiellement un Etat palestinien, fixerait les paramètres d'une «solution à deux États» et établirait Jérusalem-Est la capitale du nouvel Etat palestinien.
Il ya quelques semaines, un article du Wall Street Journal intitulé "Obama's Israel Surprise?" A rapporté que c'est l'une des options que l'administration Obama envisage actuellement. Une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU serait juridiquement contraignante pour Israël et pour les Palestiniens, et ce serait quelque chose que le Président Trump ne pourrait pas annuler.
Le reste du Conseil de sécurité de l'ONU est impatient de soutenir une telle résolution, et donc la décision de savoir si cette résolution va se passer ou non se trouve dans les mains de Barack Obama, et en ce moment nous ne savons pas ce qu'il va faire. Ce qui suit provient d'un article de Leo Hohmann ...
Le Wall Street Journal a rapporté une semaine avant l'élection de mardi que Obama avait demandé à ses aides de lui fournir une liste d'options pour faire face au conflit israélo-palestinien de plusieurs décennies.
Les diplomates israéliens, selon l'histoire du WSJ, se préparent à la possibilité qu'un président boiteux Obama "essaie de forcer une résolution diplomatique pour Israël et les Palestiniens aux Nations Unies".
Le président est probablement en train de revoir ces options, qui représentent environ une demi-douzaine.
Il peut se préparer à reconnaître un état palestinien à l'U.N. avant qu'il ne quitte son bureau, WSJ a rapporté.
Si Barack Obama décide de diviser la terre d'Israël aux Nations Unies, ce sera la pire décision de toute sa présidence. J'ai averti à maintes reprises que tout l'enfer se déchaînera en Amérique si cela arrive, et cela signifie également que beaucoup des événements que je prévoyais dans mon dernier livre sont beaucoup plus proches que beaucoup avaient anticipé.
Mais si nous pouvons arriver au 20 janvier et que la terre d'Israël n'a pas encore été divisée, nous pourrons peut-être nous reposer tranquillement pendant au moins un moment, car Trump a déjà dit qu'il n'appuierait pas une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies Une solution sur les israéliens et les palestiniens.
Lorsque les politiciens vont faire quelque chose qu'ils savent que les gens n'aiment pas, ils ont tendance à essayer de se faufiler à travers les vacances quand beaucoup de gens ne font pas attention. Par exemple, hier, j'ai discuté de la façon dont la législation qui a créé la Réserve fédérale a été pressé par le Congrès avant Noël en 1913.
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Alors gardez un œil sur la période autour de Thanksgiving et la période autour de Noël. Si Barack Obama va poignarder Israël dans le dos, il peut arriver pendant un de ces moments.
RépondreSupprimerMon espoir est que nous puissions passer à travers le 20 janvier sans rien aller sérieusement mal. Si cela arrive, je sais que je serai très reconnaissant.
Et comme je l'ai détaillé dans un article précédent, Donald Trump aura 70 ans, 7 mois et 7 jours de vie à sa première journée complète en fonction le 21 janvier, et cela se passera dans l'année 5777 sur le calendrier hébraïque.
Pourrait-il être un signe de meilleures choses à venir comme beaucoup le croient ?
Ou les deux prochains mois déclencheront-ils une chaîne d'événements qui sera absolument désastreux pour cette nation ?
Je crois que c'est un moment absolument critique dans notre histoire, et espérons que nos dirigeants prendront les bonnes décisions.
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/why-we-are-still-in-the-danger-zone-until-january-20th-2017