Pour Marion Maréchal-Le Pen, l’Union européenne est «irréformable»
00:53 16.11.2016
Sous sa forme actuelle, l’Union européenne ne peut pas fonctionner. Or, tout changement substantiel de ce système exige l’unanimité des pays membres, estime Marion Maréchal-Le Pen, député du Front national.
L'Union européenne ne fonctionne pas et l'ensemble des partis politiques français le constatent à l'unanimité. On entend toujours les mêmes discours à chaque élection sans que ce ne soit suivi de faits, a déclaré mardi Marion Maréchal-Le Pen, intervenant à l'Institut d'État des relations internationales de Moscou. « Pourquoi ça n'est jamais suivi des faits ? Parce qu'aujourd'hui le système de l'Union européenne est irréformable. Les traités de l'Union européenne font en sorte que les réformes sont extrêmement compliquées à mettre en œuvre pour ne pas dire impossibles », a-t-elle déclaré.
Or, l'unanimité des pays membres est indispensable pour modifier substantiellement les traités européens existants, notamment le dogme absolu de l'Union européenne qui est la libre circulation des biens, des hommes et des capitaux, soit le « cœur nucléaire » de la construction européenne, juge Marion Maréchal-Le Pen. C'est ce même dogme qu'elle juge indispensable de remettre en cause et avance pour cela des raisons économiques et sécuritaires.
« Nous considérons que l'abolition totale des frontières économiques avec des pays comme l'Ukraine par exemple est un non-sens économique. Parce que nous considérons que l'espace Schengen, qui permet aujourd'hui de circuler librement partout dans cet espace, a des conséquences sur le plan de la sécurité et de l'immigration illégale qui sont extrêmement dommageables », a explicité Marion Maréchal-Le Pen. Pour revenir à ce dogme de l'Union européenne, il faudrait l'unanimité des pays membres, a-t-elle conclu.
Les mairies de Guyane ferment leurs portes pour protester contre l'insécurité
15 nov. 2016, 21:27
Les mairies guyanaises ont été fermées au public le 15 novembre en signe de protestation contre «l'insécurité» dans ce territoire. David Riché, maire de Roura (30 km de Cayenne) et président de l'Association des maires de Guyane l’a confirmé.
«Je suis à la mairie d'Iracoubo [120 km de Cayenne] qui est fermée. C'est un mouvement suivi par toutes les mairies. En l'état, on ne m'a pas signalé de cas de mairie n'ayant pas suivi le mouvement. A Saint-Laurent du Maroni [à la frontière avec le Suriname], à Saint-Georges [frontière avec le Brésil], à Kourou, à Cayenne notamment, c'est fermé», se félicite David Riché. Le maire de Roura est pleinement satisfait de l’ampleur du mouvement. Celui qui est aussi président de l'Association des maires de Guyane fait partie des instigateurs d’une opération qui vise à fermer les mairies de ce département d'Outre-mer situé au nord-est de l'Amérique du Sud pour protester contre la violence qui le ronge.
Revenant sur l'assassinat, à son domicile et dans des circonstances non établies, le 8 novembre, de Patrice Clet, ancien conseiller général et cadre du parti Walwari auquel appartient également l'ex-garde des Sceaux, Christiane Taubira, David Riché a indiqué: «C'est un mort de plus. Notre mouvement vise à montrer notre solidarité face à un problème qu'on n'arrive pas à résoudre.»
L’action est symbolique. Afin de ne pas gêner outre-mesure le fonctionnement de l’administration, des dispositions ont été prises. «Les hôtels de ville sont fermés au public mais les agents des mairies travaillent. Les écoles restent ouvertes, les crèches également, les citoyens accusent suffisamment le coup», explique David Riché.
En signe de solidarité, la Collectivité Territoriale de Guyane et la Chambre de commerce ont aussi gardé portes closes.
Déjà 38 homicides depuis le début de l’année
Le meurtre de Patrice Clet, le dernier en date d’une macabre série, a fait réagir les autorités. Le 14 novembre, un escadron de 72 gendarmes est arrivé sur le territoire. Déployé «principalement sur Cayenne et environs, il visera à renforcer la proximité entre zone police (Cayenne) et zone gendarmerie. L'objectif est d'endiguer la délinquance violente armée de type Amérique du Sud diurne et nocturne», indique-t-on à la gendarmerie.
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Le maire de Roura ne se satisfait pas pleinement de ce déploiement de moyens. Selon lui, il «doit être replacé dans un contexte de départ de [32 gendarmes] mobiles [en septembre] pour la Guadeloupe suite à un meurtre là-bas, puis à la non-venue d'un escadron prévue en octobre».
Il souhaite que les autorités s’attaquent aux racines du problème : «On a donc momentanément un escadron. Mais il faut non seulement s'occuper des poux mais des lentes, en prenant à bras le corps le développement économique, la lutte contre le chômage.»
Et d’après son analyse, une amélioration de la situation passera forcément par le front économique : «Aujourd'hui, ouvrir un salon de coiffure ne va pas résoudre le problème, il faut des projets industriels. Et c'est l'Etat qui a les leviers. Le projet de mine d'or Columbus, on peut le critiquer, mais ce sera 3 000 emplois pendant 10 ans.»
En visite à Moscou, Maréchal-Le Pen vante «le destin commun» de la France et de la Russie
16 nov. 2016, 14:21 - Avec AFP
La députée Front national Marion Maréchal-Le Pen a vanté mardi 15 novembre à Moscou le «destin commun» de la France et de la Russie, voulant «réorganiser les alliances» en faveur du pays de Vladimir Poutine et au détriment de l'OTAN.
«Nous avons un destin commun, une histoire commune avec la Russie», a assuré la nièce de Marine Le Pen, en déplacement de quatre jours à Moscou, devant les étudiants de l'Institut d'Etat des relations internationales de Moscou, MGIMO.
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S'en prenant à une diplomatie française qu'elle juge, comme le rapporte l'AFP, trop atlantiste ou bruxelloise, trop pro-sunnite et trop soumise à des «intérêts financiers», elle a dit son souhait de «réorganiser les alliances [françaises] avec la Russie en vue d'un monde plus équilibré, plus juste et plus respectueux de nos souverainetés et nos identités respectives».
Face à «l'uniformisation du monde» et au «multiculturalisme», «la Russie est un partenaire incontournable» car «elle a su défendre ses racines», a-t-elle encore souligné.
Membre de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale, Marion Maréchal-Le Pen s'exprimait devant une centaine d'étudiants, dont certains Français et beaucoup de francophones, qui l'ont interrogée ensuite pendant 30 minutes.
Pour sa troisième visite en Russie en tant que députée, la benjamine de l'Assemblée nationale a longuement décliné les positions pro-russes de son parti, critiquant le «rôle délétère» de l'OTAN et de l'UE dans le conflit ukrainien, rappelant que son parti, le Front national (FN) jugeait «inefficaces et injustes» les sanctions visant des responsables russes, qui de surcroît pénalisent à ses yeux les relations économiques.
Elle a aussi rappelé le souhait du FN que la péninsule ukrainienne de Crimée, rattachée à la Russie en 2014, soit reconnue comme russe, ou le regret sur la non-livraison des navires Mistral.
"Nous voulons nous allier à la #Russie pour faire face aux conflits mondiaux. Cette alliance a un sens politique et culturel évident."— Marion Le Pen (@Marion_M_Le_Pen) 15 novembre 2016
Photo de Clint Eastwood et cohue journalistique, Marine Le Pen a inauguré son siège de campagne
16 nov. 2016, 11:09
Le mercredi 16 novembre, Marine le Pen a présidé la cérémonie d’inauguration de son nouveau QG de campagne : «l'Escale». Elle a notamment profité de l'événement pour présenter son logo et son slogan de campagne devant de nombreux journalistes.
«L’Escale» avant l’Elysée ? C’est en tout cas le nom choisi par Marine Le Pen et son équipe pour son nouveau QG de campagne. Situé au 262 rue du Faubourg Saint-Honoré, à proximité du palais présidentiel, il a été inauguré le 16 novembre en présence des cadres du parti et de la presse.
Rose bleue et photoshop
La présidente du Front national a profité de l’occasion pour présenter son slogan et son logo de campagne. Elle a ainsi opté pour «Au nom du peuple» pour le premier. «Une ligne de conduite, une profession de foi» selon les termes de Marine Le Pen. Mais c’est bien le logo qui risque de faire jaser. La candidate à l’élection présidentielle a fait le choix d’une rose bleue sans épines. Pas de flamme tricolore, pas de mention «Front national» et un simple «Marine présidente» en guise de texte comme si cette absence de patronyme marquait à nouveau l’éloignement avec Jean-Marie Le Pen et une rupture avec le passé.
Pour la présidente du parti, le choix de cette rose est un symbole de féminité. Elle rappelle qu’elle sera l’une des seules femmes à concourir pour l’élection suprême. Fan de jardinage, elle souligne que «dans le langage des fleurs, la rose bleue signifie rendre possible l’impossible». Comme pour assurer à ses supporters que la victoire est accessible.
Peu vastes, les locaux ont été décorés avec des photos détournées de personnages mythiques. On peut ainsi voir Clint Eastwood, fervent soutien de Donald Trump, porter la rose bleue. Sur d’autres murs, ce sont Brigitte Bardot ou encore Les Tontons Flingueurs que l’on peut apercevoir.
Polémique autour de l’absence de Marion Maréchal Le Pen
Seule ombre au tableau de cette matinée d’inauguration : les rumeurs autour des raisons de l’absence de Marion Maréchal Le Pen. En visite en Russie, la benjamine de l’Assemblée nationale était à l’origine de bien des discussions dans les couloirs de «l’Escale» mais en façade, les cadres du parti affichent l’union sacrée.
«Le fait qu’elle ne soit pas là ne signifie pas qu’elle ne veut pas être là. Et il ne faut pas non plus que la vision shakespearienne des journalistes s’abatte sur nous tout de suite», a déclaré le député du Gard Gilbert Collard. Selon lui, «il y a une volonté d’opposer Marine à Marion, chez les journalistes». «Non, elle ne partage pas la ligne Philippot, mais c’est son droit», confesse-t-il toutefois.
La presse fait régulièrement état de tensions entre Marion Maréchal Le Pen et d’autres membres du Front national, sa tante et Florian Philippot en tête.
Le 16 novembre, certains médias affirmaient même que la jeune députée du Vaucluse ne faisait pas partie du conseil stratégique de campagne de Marine Le Pen.
Si elle est bien présente dans l’organigramme, les fonctions des membres ne sont pas établies avec certitude.
A l'opposé sur l'échiquier du parti, le vice-président Florian Philippot figurera lui-aussi dans ce conseil stratégique, qui conforte également le sénateur-maire de Fréjus David Rachline au poste de directeur de campagne.
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Le reste de l'équipe est composé de poids lourds du parti comme le vice-président Louis Aliot, compagnon de Marine Le Pen, le secrétaire général Nicolas Bay, le maire de Hénin-Beaumont Steeve Briois, Bruno Gollnisch ou encore Wallerand de Saint Just.
On y trouve également Mikael Sala, président du collectif Croissance Bleu Marine, qui devrait plancher sur le programme économique de la candidate. Ou encore Bertrand Dutheil de La Rochère, trésorier du Rassemblement bleu marine et conseiller régional d'Ile-de-France qui pourrait travailler sur la question de l'islam.
Quelques surprises se sont glissées au sein de la garde rapprochée de Marine Le Pen pour cette campagne. Damien Philippot, frère de Florian, apparaît également sur l’organigramme. Selon Le Parisien, il vient de quitter les fonctions qu’il occupait à l’Institut français d’opinion publique (IFOP). Plus surprenant : le retour de Philippe Olivier, beau-frère de Marine Le Pen.
D’après Le Monde, ce dernier sera chargé des «idées-images» de la candidate. En 1998, il avait quitté le Front national avec son épouse Marie-Caroline Le Pen pour rejoindre Bruno Mégret et fonder le MNR. Un événement vécu comme une terrible trahison par Jean-Marie Le Pen. Un retour favorisé sans doute, par l'éviction du patriarche.
Seuls 13,7% des migrants fuient la guerre, 53,1% la misère
08:08 16.11.2016
Le rapport présenté par l’ONG Médecins du monde (MDM) basé sur la situation des patients interrogés montre que les migrants fuient en masse leurs pays d’origine pour des raisons économiques, en dénonçant également le mythe qu’ils viennent en Europe pour profiter de son système de santé. L'ONG Médecins du monde (MDM) a analysé des données de près de 10 000 personnes, dont 94,2 % étaient des migrants, en majorité extra-européens.
Le résultat a été présenté dans l'enquête sur l'accès aux soins des personnes les plus vulnérables sur le plan sanitaire, réalisée en 2015.
L’Allemagne envisage de renvoyer des migrants en Afrique
Selon les données présentées par MDM, seuls 3 % des patients disent avoir quitté leur pays d'origine principalement pour des raisons de santé. Dans le même temps, 53,1 % des migrants déclarent avoir émigré pour des raisons économiques, 20,5 % pour des raisons politiques et seulement 13,7 % pour fuir la guerre.
Ainsi, selon l'organisation, les chiffres montrent que la migration pour les raisons de santé ne représente pas une réalité quotidienne et que l'ordre du jour politique ne doit pas inclure ce genre de spéculations. L'organisation MDM critique également la situation de l'accès aux soins en Europe pour les migrants.
Assassinats ciblés: Hollande bientôt devant la Cour Pénale Internationale ?
08:09 16.11.2016 Gaëlle Nicolle
Selon les auteurs du livre «Un président ne devrait pas dire ça», François Hollande aurait ordonné au moins quatre «assassinats ciblés». Si certains dénoncent ici une violation du secret-défense et y voient matière à destitution, la question se pose aussi au regard de la Cour Pénale Internationale, pour «crime de guerre».
Sous son quinquennat, François Hollande aurait ordonné « au moins quatre assassinats ciblés » visant des djihadistes. C'est ce que révèlent les journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme au cours d'une interview diffusée sur BFMTV. Une révélation qui a fait beaucoup réagir: de la violation du secret-défense à la demande de destitution. Il restait cependant un angle sous lequel le chef d'Etat et chef suprême des forces armées n'avait pas été attaqué: celui de crime de guerre. L'avocat Gilles Devers s'apprête à déposer une plainte auprès du procureur de Paris:
« On a des définitions précises, en droit interne et en droit international, et dans le cadre de la guerre que s'il est en position de combattant, sinon, ça s'appelle un meurtre. C'est défini depuis très longtemps et ça résulte de la meilleur source de droit international qui est le statut de la Cour Pénale Internationale, ratifié par la France. Le deuxième volet, c'est le fait de condamner à mort quelqu'un, sans possibilité de se défendre par un procès inique puisqu'à partir de renseignements informatiques, nous décidons d'abattre quelqu'un ».
La Cour Pénale Internationale, dont la France a ratifié le statut, stipule que l'« assassinat ciblé, décidé par le pouvoir politique et commis dans le contexte d'un conflit armé, est un crime de guerre ». Céline Bardet, juriste spécialisée dans les questions de justice et de crimes de guerre, rappelle que « c'est contraire au droit international, sauf en cas de légitime défense sur un terrain militaire.
Là, il faut rentrer dans des détails extrêmement précis et concrets mais dans ce cas-là ce n'est pas qualifié d'assassinat ciblé. Un assassinat ciblé c'est contraire au droit international, purement et simplement. Ce n'est même pas une question de Cour Pénale Internationale […]. La question, je la pose dans l'autre sens: ce n'est pas de savoir s'il pourrait être poursuivi, c'est de savoir qualifier cet élément-là ».
En 2014, l'élimination d'Ahmed Godane, chef des shebabs en Somalie, serait le fruit de la coopération entre François Hollande et Washington. Selon une source élyséenne, « la France et le président de la République ont appuyé la coopération en matière de renseignement et de coordination ». Selon l'hebdomadaire le Point, l'ordre aurait été donné par le président de la République française.
Avec ce radar dernier cri l’armée russe verra les ennemis à travers les murs
21:07 15.11.2016
Les forces spéciales et l’armée russes luttent déjà avec succès contre les terroristes et les criminels partout dans le pays. Elles sont composées de soldats très bien entraînés et qui sont prêts à effectuer des missions à tout moment. Un nouvel équipement pourrait les rendre encore plus efficaces !
Un radar sophistiqué conçu et produit par une société russe permet aux troupes de la Garde nationale russe de détecter les ennemis non seulement à travers les murs des bâtiments, mais aussi dans les abris déguisés et dans les tunnels souterrains. Sputnik a recueilli le commentaire du représentant de la société qui a livré cet équipement. « La gamme des radars détecteurs capables de détecter des personnes derrière les obstacles permet aux troupes de l'armée ou aux forces spéciales d'obtenir des informations essentielles sur les cibles qui se trouvent derrière les murs en augmentant le niveau de sécurité et de mobilité de l'opération », a raconté Igor Védénéev, chef du département de l'ingénierie de la reconnaissance du groupe Géotech-Logis.
Ces radars peuvent détecter des objets mouvants derrière des constructions multicouches et derrière plusieurs murs. De plus, outre cette fonction principale, le dispositif est doté d'un mode de recherche supplémentaire qui permet de trouver des objets caché tels que les mines, les explosifs où des objets de contrebande. Une fiction ? Pas le moins du monde ! « Nos appareils ne sont pas des modèles d'essai ou des prototypes. C'est une gamme d'appareils de série, qui sont produits en grandes quantités. Nous livrons notre production sur le marché domestique, ainsi qu'à l'étranger, où il est bien apprécié des consommateurs », a fait savoir M. Védénéev. Vous avez aussi tort, si vous pensez que c'est un appareil très gros exigeant du matériel lourd pour fonctionner.
Par exemple, le radar, RO-900, le plus compact de la gamme, ne pèse que 800 grammes et est capable de détecter les cibles à la distance de 11 mètres à travers un mur de briques de 40 cm d'épaisseur. Il peut également démasquer les cibles en fonction de leur mouvement ou de la respiration. Il est ainsi doté du mode « géoradar » (mode qui scanne les structures des bâtiments, des sols et autres objets). Il faut noter que des ingénieurs d'autres pays ont développé des dispositifs similaires. M. Védénéev a expliqué qu'Israël, les États-Unis et le Royaume-Uni ont leurs propres technologies.
Dans le même temps, il a souligné que les radars russes, contrairement à ses concurrents, détectent des objets à travers des obstacles constitués de plusieurs couches d'épaisseur ou à travers plusieurs murs. L'autre avantage de ce radar « magique », et non des moindres, c'est son prix.
L'élection de Donald Trump a déjà un énorme impact sur l'économie
Par Michael Snyder, Le 14 novembre 2016
L'élection de Donald Trump a provoqué des ondes de choc dans l'économie américaine et dans le système financier des États-Unis. Depuis le 8 novembre, le Dow Jones a atteint un tout nouveau record historique, le dollar des États-Unis s'est considérablement renforcé et les titres bancaires sont à la hausse. Mais toutes les nouvelles économiques ne sont pas de bonnes nouvelles. Contrairement aux actions, les obligations ont réagi très négativement à la victoire électorale de Trump. La semaine dernière a été un bain de sang absolu pour les négociants en obligations et, comme vous le verrez ci-dessous, cela aura des répercussions dramatiques pour tous les consommateurs américains.
Au cours d'une période de deux jours seulement, plus d'un billion de dollars a été anéantie, les rendements obligataires augmentant dans le monde entier. Comme l'a noté CNN, ce type de «réaction violente» sur le marché obligataire ne s'est produit que trois autres fois au cours des dix dernières années ...
Le taux des bons du Trésor à 10 ans est passé de 1,77% avant les élections à 2,3%. Le pic de la semaine dernière des taux du Trésor a été si grand, qu'il avait seulement eu lieu trois fois au cours de la dernière décennie.
Russ Koesterich de BlackRock l'appelait une «réaction violente».
Le mouvement a des répercussions importantes pour tous les Américains. Non seulement le gouvernement des États-Unis devra-t-il payer davantage pour emprunter de l'argent, mais les taux hypothécaires et les coûts des prêts hypothécaires devraient également augmenter. C'est parce que les bons du Trésor sont utilisés comme point de référence pour de nombreuses autres formes de crédit.
Comme les taux d'intérêt augmentent, pratiquement tout le monde dans notre société va sentir la douleur.
Ceux qui ont besoin d'un prêt auto afin d'acheter un véhicule vont trouver que les paiements de prêt sont nettement plus élevés qu'ils étaient avant.
Les taux de carte de crédit augmenteront également, et ceux qui sortent de l'école découvriront que leurs paiements de prêts étudiants sont encore plus étouffants.
Mais le plus grand impact se fera sentir sur le marché du logement. Le taux moyen sur une hypothèque fixe de 30 ans vient de frapper la barrière psychologiquement importante de 4 pour cent, et cela pourrait signifier de gros problèmes pour le marché du logement en 2017 ...
Le taux de contrat moyen sur la populaire hypothèque fixe de 30 ans a frappé 4 pour cent, selon Mortgage News Daily, un niveau plus ne s'attendait pas à voir jusqu'au milieu de l'année prochaine. Les taux ont maintenant augmenté de près d'un demi-point de pourcentage depuis que Donald Trump a été élu président.
«La situation sur le terrain est paniqué. Contrôle des dommages », a déclaré Matthew Graham, chef de l'exploitation de Mortgage News Daily. "Les gens essayaient de bloquer les prêts rapidement la semaine dernière et sont maintenant confrontés à un dur choix de verrouiller aujourd'hui ou espérer un rebond. Beaucoup espéraient un rebond la semaine dernière en direction du long week-end et nous n'avons évidemment pas obtenu. "
La hausse des taux d'intérêt a été l'un des principaux facteurs qui ont précipité la crise financière de 2008, et beaucoup craignent qu'elle ne se reproduise.
Et sans aucun doute, cette hausse des tarifs va affecter l'abordabilité des maisons qui sont déjà sur le marché ...
«Si vous allez acheter une maison et votre paiement hypothécaire a augmenté de 200 $ ou 300 $, vous pouvez acheter une maison plus petite. Il y a un impact sur les secteurs sensibles aux taux d'intérêt, comme les automobiles et le logement, et aussi les obligations d'entreprises elles-mêmes, où l'ingénierie financière a aidé à liquider le marché boursier", a déclaré George Goncalves, directeur de la stratégie tarifaire chez Nomura.
En outre, la hausse des taux rendra plus difficile pour ceux avec des prêts hypothécaires à taux variable de garder leurs maisons. L'activité de forclusion était déjà en hausse de 27 pour cent au cours du mois d'octobre, et beaucoup prévoient que nous pourrions voir un autre pic géant dans les saisies au cours des mois à venir qui est semblable à ce que nous avons vu lors de la dernière crise financière.
De nombreux partisans de Trump ne se soucient pas vraiment ce que le reste du monde pense de notre nouveau président, mais c'est un domaine où ce que le reste du monde pense vraiment, vraiment des questions.
La vérité est que le reste de la planète n'est pas trop friands de Trump, et si cela les rend beaucoup moins désireux de nous prêter de l'argent qui est un problème majeur.
La seule façon que nous puissions maintenir notre niveau de vie alimenté par la dette massivement gonflé est de continuer à emprunter des montagnes gigantesques d'argent du reste du monde à des taux d'intérêt ultra-bas.
Si le reste du monde commence à exiger des taux de rendement plus élevés maintenant que Trump est président, nous allons faire l'expérience de la douleur économique à une échelle que la plupart des Américains ne croient pas possible.
L'un de nos grands prêteurs a été la Chine, et en ce moment ils sont profondément préoccupés par ce qu'est une présidence Trump pourrait signifier. Trump a parlé très dur sur le commerce avec la Chine, et les Chinois se préparent à une guerre commerciale majeure. Ce qui suit provient de CNBC ...
Au cours de sa campagne électorale cette année, Trump a parlé d'un droit d'importation de 45 pour cent sur tous les produits chinois tout en omettant de décrire comment cela fonctionnerait. Si une telle politique devait entrer en vigueur, la Chine adoptera une approche "à l'aveuglette", selon un article d'opinion publié dans le Global Times, un journal appuyé par le parti communiste.
"Un lot de commandes de Boeing sera remplacé par Airbus. Les ventes de voitures et d'automobiles aux États-Unis en Chine subiront un recul et les importations de soja et de maïs des États-Unis seront stoppées. La Chine peut également limiter le nombre d'étudiants chinois qui étudient aux États-Unis », lire l'article du Global Times.
La plupart des partisans de Trump supposent que depuis Trump a été un homme d'affaires très prospère qu'il sera en mesure de renforcer l'économie des États-Unis.
Mais ce n'est pas si simple.
La seule raison pour laquelle nous sommes en mesure de vivre la façon dont nous vivons aujourd'hui est parce que nous avons été en mesure d'emprunter des milliards de dollars sur des milliards de dollars à des taux d'intérêt irrationnellement bas.
Le moment où le reste du monde décide qu'ils ne vont pas nous prêter de l'argent à des taux d'intérêt irrationnellement bas plus longtemps le jeu est terminé, et il ne sera pas vraiment qui est à la Maison Blanche à ce moment-là.
Alors regardez les taux d'intérêt très attentivement. S'ils continuent à monter, il est inévitable qu'un ralentissement économique majeur suivra peu importe les politiques économiques que la nouvelle administration Trump met en œuvre.
Barroud d'honneur des lobbyistes avant que Trump ne prenne ses fonctions. Ramasser le plus d'argent possible sur le dos de tout le monde avant le 21 Janvier !
Qui aurait imaginé voir le système impérial US se décomposer aussi rapidement ?
Chroniques du Grand Jeu lun., 14 nov. 2016 20:54 UTC
Qui aurait imaginé, même dans ses rêves les plus fous, voir le système impérial US se décomposer aussi rapidement ? Certes, il y avait eu des signes avant-coureurs : crise grecque, montée des ""populismes"" (entre huit guillemets) en Europe, multiplication des voix discordantes concernant la politique anti-russe (Hongrie d'Orban, Italie, Slovaquie, République tchèque, Grèce, industriels allemands etc.), record d'impopularité des hommes de paille de Washington (Flamby Ier rejoignant les rois fainéants mérovingiens dans le palmarès des dirigeants les plus détestés de l'histoire de France)...
Mais l'année 2016 restera comme l'apothéose de ce détricotage. En mai dernier, avant le sommet du G7 à Tokyo, un eurocrate envisageait le "scénario de l'horreur" :
Imaginez si, au lieu de Barack Obama, François Hollande, David Cameron et Matteo Renzi, nous avons Donald Trump, Marine Le Pen, Boris Johnson et Beppe Grillo.
Un mois plus tard, le scénario tant honni commençait à se mettre en place, au grand dam de Washington, Bruxelles et de leurs relais médiatiques. Le Brexit envoya des ondes de choc à travers tout l'empire :
A l'échelle continentale, les eurocrates sont paniqués devant le possible effet domino. Car tout l'anti-système s'y met : Wildeers réclame un référendum aux Pays-Bas, Le Pen et Mélenchon en France, le Mouvement 5 étoiles en Italie ; l'Autriche, la Hongrie, la République tchèque font également la queue. Nexit, Frexit, Itaxit, Auxit, Tchèxit, Honxit etc. - les eurolâtres sont affolés et feront tout pour bloquer les revendications des peuples. Si l'UE était démocratique, ça se saurait n'est-ce pas...
Mais derrière, c'est évidemment l'affrontement entre les deux grands qui se profile. L'ombre du méchant ogre russe, accusé de toutes les turpitudes, plane sur le Brexit. La corporation médiatique nous avait déjà prévenus avec des trémolos dans la voix. A peine vaincu, Cameron n'a pu s'empêcher un commentaire désabusé - "Poutine doit être content" - s'attirant une réponse ironique du maître du Kremlin. L'ancien ambassadeur US à Moscou, Michael Mc Faul, va plus loin : "C'est une gigantesque victoire pour Poutine. Je le félicite pour sa victoire ce soir." (!)
Qu'il mette dans le camp des perdants du Brexit les Etats-Unis est une forme d'aveu. Le lecteur de ce blog ne sera pas surpris, qui sait que la construction européenne fut dès le départ un projet américain visant à mettre la main sur le Vieux continent. Les avertissements d'Obama à son vassal n'avaient guère étonné, même s'il avaient finalement eu l'effet inverse de celui escompté.
Le maître de l'empire se voit aujourd'hui obligé de déclarer qu'il "respecte le vote britannique" (manquerait plus que ça !) mais les stratèges US l'ont mauvaise. "Le Royaume-Uni et l'Union européenne resteront des partenaires indispensables" a-t-il ajouté. Mais voilà le problème : deux au lieu d'un, et peut-être bientôt trois, quatre, cinq, qui commenceront à partir dans tous les sens, n'écouteront plus que d'une oreille les recommandations de tonton Sam, au lieu d'une structure européenne centralisée noyautée par les Américains. Voilà le souci européen de Washington...
Soyons honnête, la Russie bénéficie évidemment du Brexit. Le bras européen de l'empire se fissure, l'intense lobbying anti-russe de la Grande-Bretagne au sein des instances eurocratiques ne sera bientôt plus qu'un souvenir, le vent de révolte gagne le Vieux continent tout entier où les partis eurosceptiques sont en même temps russophiles.
A Moscou, on préfère la jouer modeste, Medvedev versant même une larme de crocodile sur les possibles conséquences économiques négatives du Brexit. Mais dans les couloirs du Kremlin, on doit jubiler. Le système impérial US en Europe se lézarde au moment même où la construction eurasienne ne cesse d'avancer.
Ce n'était pourtant rien en comparaison de ce qui allait se passer trois mois plus tard, au coeur même de l'empire, la deuxième étape du "scénario de l'horreur". Tout a été dit sur le changement tectonique que représente l'élection du Donald, inutile d'y revenir. Penchons-nous plutôt sur quelques nouvelles fraîches.
A Bruxelles, c'est la panique. L'OTAN planche sur un panel de scenarii dont celui du pire : un retrait pur et simple (quoique improbable) de toutes les troupes américaines présentes en Europe. D'ors et déjà, le sommet prévu début 2017 a été reporté à l'été. A quelques kilomètres du QG des atlantistes, les euronouilles sont également en état de choc. Plusieurs élections importantes sont prévues dans les douze prochains mois : Autriche en décembre, Pays-Bas en mars (mois où l'article 50 devrait également être enclenché par Londres), France en avril, Allemagne en octobre...
Devant la perspective d'une déculottée, la grosse Bertha Merkel singe d'ailleurs l'hilarante et dit craindre une possible "ingérence russe" (ne riez pas !) dans le processus électoral allemand. Ce n'est même plus du théâtre, c'est de l'opéra-bouffe...
Le chaos eurocratique a encore augmenté d'un degré dimanche lorsque s'est tenue une réunion des ministres des Affaires étrangères européens pour débattre de la position de l'UE face à Trump. Pour des raisons différentes, Londres (Boris Johnson a boycotté la sauterie) et Paris n'étaient pas présents ! Quant au ministre hongrois, il a qualifié la réaction des dirigeants politiques européens d'« hystérique ». Farage, lui, est mort de rire...
Autre conséquence de l'élection du Donald, le Premier ministre tchèque vient de clairement rejeter l'installation du bouclier antimissile US dans son pays :
C'est du domaine de la science-fiction et cela ne se produira jamais. Mon point de vue là-dessus est négatif. Je pense qu'aujourd'hui, nos problèmes de sécurité sont ailleurs. Le radar [des Etats-Unis en République tchèque] signifierait une escalade de la tension dans les relations avec la Russie, tandis que nous avons besoin de profiter de l'opportunité offerte par l'élection de Donald Trump pour que les Etats-Unis et la Russie se mettent autour d'une même table. La fin de la guerre en Syrie est la question qui revêt maintenant la plus grande importance pour l'Europe.
Comme si ça ne suffisait pas, nouveau coup dur pour l'Union ectoplasmique : la Bulgarie et la Moldavie viennent d'élire des dirigeants eurosceptiques et pro-russes. Nous avions parlé de la petite Moldavie il y a quelques mois et prévu l'évolution actuelle :
Le gouvernement pro-européen s'écroule, pris qu'il est dans les scandales de corruption en tout genre, l'ancien premier ministre Filat étant même arrêté par la police en plein parlement ! Evidemment vous n'en entendrez pas parler dans les médias.
Les partis pro-russes semblent sur le point de reprendre le pouvoir, décidés à se rapprocher de l'Union eurasienne plutôt que de l'Union européenne. Pour Moscou, la perspective de prendre l'Ukraine à revers et d'enfoncer un coin entre deux des Etats - l'Ukraine post-putsch et la Roumanie - les plus atlantistes d'Europe orientale n'est pas inintéressante. Affaire à suivre...
Nous y voilà ! Le rapprochement avec la Russie est dans les tuyaux, ce que vient de confirmer le tout nouveau président. Moscou se réjouit également de la victoire de Rumen Radev en Bulgarie. Attention, pas de révolution en perspective du côté de Sofia ; Radev ne prévoit pas de sortir de l'UE ou de l'OTAN et le Kremlin n'envisage pas de remettre au goût du jour le South Stream. Mais le président fraîchement élu s'est élevé à plusieurs reprises contre les sanctions contre Moscou et a symboliquement reconnu que la Crimée était une terre russe. Nouveau cheval de Troie poutinien au sein d'un système impérial en pleine déconfiture...
Même si un candidat élu est l'œuvre d'un parti, sa politique est le plus souvent toute personnelle et non inféodée à ses adhérents. C'est pourquoi l'on ne peut comparer deux pays qui ont la même ligne de parti. Parti socialiste pour Obama, parti socialiste pour Maduro, parti socialiste pour Hollande. Trois politiques différentes pour le même parti.
11 Réalités économiques très déprimantes que Donald Trump va hériter de Barack Obama
Par Michael Snyder, Le 15 novembre 2016
Ce serait une grave erreur de sous-estimer les dommages subis par l'économie américaine au cours des huit dernières années. Dans cet article, je vais partager quelques chiffres économiques avec vous qui sont extrêmement inquiétant.
Quiconque prend un regard froid, dur et honnête sur les chiffres devrait être en mesure de voir que notre économie est en terrible forme. Malheureusement, la façon dont nous voyons les choses est souvent assombrie par nos opinions politiques. Jusqu'à l'élection, les démocrates étaient beaucoup plus susceptibles que les républicains de croire que l'économie s'améliore, mais maintenant que c'est en train de complètement inverser. Selon Gallup, seulement 16% des républicains croyaient que l'économie s'améliorait avant les élections, mais ce nombre est passé soudainement à 49% après la victoire électorale de Trump. Et le pourcentage de démocrates qui croient que l'économie s'améliore est tombé de 61 % à 46 % après les élections. Voici quelques détails supplémentaires de Gallup ...
Après que Trump a remporté les élections de la semaine dernière, les républicains et les indépendants républicains ont maintenant une vision beaucoup plus optimiste de l'économie des États-Unis qu'avant l'élection. Seulement 16% des républicains ont dit que l'économie s'améliorait dans la semaine précédant les élections, tandis que 81% ont dit qu'elle s'aggravait. Depuis l'élection, 49% disent qu'elle s'améliore et 44% est pire.
À l'inverse, la confiance des démocrates et des indépendants démocrates dans l'économie s'est effondrée après les élections. Avant les élections, 61% des démocrates disaient que l'économie s'améliorait et 35% pire. Maintenant, les démocrates sont divisés de manière égale, avec 46% disant qu'il va mieux et 47% disent qu'il s'aggrave.
La vérité, bien sûr, est que le résultat de l'élection n'a pas modifié magiquement les perspectives de l'économie américaine.
Nous avons encore un énorme gâchis sur nos mains, et les 11 réalités économiques sont très déprimantes que Donald Trump héritera de Barack Obama ...
# 1 Près de 7 sur 10 Américains ont moins de 1 000 $ d'économies. Cela signifie qu'environ deux tiers du pays vit essentiellement de chèque de paie à chèque de paie en ce moment.
# 2 Reuters rapporte que les investisseurs américains sont prêts à perdre des «milliards» de dollars que l' «apocalypse de détail» dans ce pays qui s'approfondit.
# 3 La délinquance carte de crédit a atteint le plus haut niveau que nous avons vu depuis 2012.
# 4 Environ 35 % de tous les Américains ont une dette qui est au moins 180 jours en retard.
# 5 Le taux d'accession à la propriété a chuté pendant huit ans consécutifs et est maintenant planant près d'un faible de 50 ans.
# 6 Le nombre total d'employés du gouvernement dépasse maintenant le nombre total d'employés manufacturiers dans ce pays de près de 10 millions.
# 7 Le nombre de sans-abri à New York (où Donald Trump est de) a atteint un tout nouveau record.
# 8 Environ 20 % de tous les jeunes adultes vivent actuellement avec leurs parents.
# 9 La dette totale des ménages aux États-Unis a maintenant atteint un total de 12,3 billions de dollars.
# 10 Le montant total de la dette des entreprises aux États - Unis a presque doublé depuis la fin de 2007.
# 11 Quand Barack Obama est entré à la Maison Blanche, le gouvernement des États-Unis était de 10,6 trillions de dollars de la dette. Aujourd'hui, la dette nationale des États-Unis est actuellement assis à un total stupéfiant de $ 19,842,173,949,869.58 (presque 20 mille milliards de $).
Malgré le doublement de la dette nationale pendant ses huit ans à la Maison Blanche, Barack Obama sera le seul président de l'histoire des États-Unis à ne jamais avoir une seule année où le PIB des États-Unis a augmenté d'au moins trois pour cent.
Alors, Donald Trump va-t-il entrer et tout tourner autour ?
Tout comme quand George W. Bush a été élu, il ya beaucoup d'optimisme sur l'avenir en ce moment parmi les républicains.
Et en 2017, les républicains vont avoir le contrôle du Sénat et de la Chambre en plus d'avoir le contrôle de la Maison Blanche.
Mais cela signifie-t-il qu'ils obtiendront réellement quelque chose ?
Pour un moment, passons en revue ce qui ne s'est pas produit la dernière fois que les républicains étaient dans cette position. Ce qui suit est un extrait étendu d'un article par l'auteur Devvy Kidd ...
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Les républicains avaient le contrôle des deux chambres du Congrès pendant une partie du temps pendant les deux termes de Bush, Jr.. Ont-ils fermé nos frontières ? NON.
Ont-ils adopté une loi pour arrêter TOUT le financement pour les illégaux qui auto-déporter des millions de menteurs, des tricheurs et des voleurs ? NON. (LISEZ, s'il vous plaît: Comment auto-déporter des millions d'illégaux)
Ont-ils arrêté des milliards dans des dépenses inconstitutionnelles ? NON.
Se sont-ils débarrassés de l'un des ordres exécutifs anticonstitutionnels de Clinton ? Un ou deux, mais sinon laisser le camarade Bill Clinton chier sur nos visages.
Ont-ils se débarrasser d'un cabinet inconstitutionnel comme le HHS, le ministère de l'Éducation et l'EPA ? NON.
Ont-ils arrêté les dépenses inconstitutionnelles pour Planned Parenthood ? NON. Le Congrès continue à utiliser l'argent emprunté pour dépenser plus de dettes.
Ont-ils arrêté les dépenses inconstitutionnelles pour le canular gigantesque appelé le réchauffement climatique ou le changement climatique ? NON. Trump: La gauche vient de perdre la guerre contre le changement climatique
Est-ce que Bush, Jr., nous a fait sortir de tous les traités commerciaux destructeurs qui ont tué des emplois américains ? NON.
Ont-ils réprimé les visas apportant des dizaines de milliers de travailleurs étrangers lorsque les travailleurs américains qui veulent travailler sont laissés dans la ligne du chômage ? NON.
Ont-ils arrêté de plus en plus de règlements fédéraux étrangler les entreprises de l'Amérique ? NON.
Ont-ils accusé un seul juge militant de détruire notre liberté et notre liberté ? NON.
Un Congrès républicain contrôlé avec un républicain à la Maison Blanche et ils n'ont pratiquement rien pour restaurer l'Amérique à une république constitutionnelle et les dépenses constitutionnelles.
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Alors, les choses seront-elles différentes sous une administration Trump ?
Nous verrons.
Il y aura énormément de pression pour maintenir le statu quo dans de nombreux cas, car le processus de fixation des choses rendra sans doute les conditions pires à court terme.
Un bon exemple en est la dette nationale. Comme je l'ai dit hier, la seule raison pour laquelle nous sommes en mesure d'apprécier un tel niveau de vie massivement gonflé dans ce pays est parce que nous avons pu emprunter des milliards de dollars de trillions de dollars du reste du monde à des taux d'intérêt extrêmement bas.
Si le gouvernement fédéral commençait à dépenser seulement l'argent qu'il a versé par le biais des impôts, notre niveau de vie ridicule alimenté par la dette commencerait à s'effondrer immédiatement.
Nous consommons beaucoup plus de richesses que nous ne produisons, et la seule façon que nous sommes en mesure de le faire est d'emprunter des montants fous d'argent.
Soit Donald Trump va continuer à emprunter de l'argent imprudemment, ou nous allons entrer dans un ralentissement économique des grandes ligues.
Mais quand nos politiciens empruntent de l'argent, ils détruisent littéralement l'avenir de ce pays. Donc, le choix est la douleur à court terme ou une douleur plus à long terme.
Il y a un moyen de sortir, et cela impliquerait de fermer la Réserve fédérale et d'aller à une forme d'argent sans dette, mais c'est un sujet pour un autre article.
Et malheureusement ce n'est pas quelque chose qui est même sur le radar de Donald Trump à ce stade.
Peu importe qui a gagné l'élection, le prochain président allait être confronté à des réalités économiques très dures.
Il ya beaucoup là-bas qui ont foi que Donald Trump peut tirer un miracle économique sans précédent, mais il ya d'autres qui sont profondément sceptiques.
Espérons le meilleur, mais aussi nous préparons pour le pire.
Migrants en Ile-de-France : les maires «gueulent», le préfet de région «s'en fout»
16 nov. 2016, 21:41
Le préfet de région, comme les autres préfets qui sont sous ses ordres ne répond qu'au sommet de l'Etat. Et l'Etat a donné une mission à Jean-François Carenco : loger les migrants. Les maires et leurs administrés devront s'y faire.
Le préfet de la région Ile-de-France, Jean-François Carenco, a une conception spéciale de la démocratie. Les protestations d'une partie des maires – et de la population – contre l'arrivée en grande couronne de migrants délogés du camp de Stalingrad dans le nord de Paris, ne le déstabiliseront pas : «Je vais installer des centres. Beaucoup gueulent pour la forme. Je m'en fous !», lance le représentant de l'Etat – mais aussi celui du peuple souverain – droit dans ses bottes.
Ce préfet qui se décrivait en 2010 comme un «malade de la République» de préciser sa pensée : «Les gens ont peur de tout. On verra qui râlera vraiment lorsque ce sera fait et combien de temps». Et pour les maires qui auraient des réserves, ce sera la même chose : «Ils sont minoritaires». Aussi, le préfet ne compte pas perdre de temps à faire de la pédagogie. «Je ne vais pas commencer à en parler six mois à l'avance. Je préviendrais trois mois à l'avance», coupe-t-il. «Après ce sera à chaque préfet [de département] de communiquer», décrète-t-il avant d'ajouter : «ou pas».
Après tout, rien n'oblige le préfet à prendre des gants ou à se montrer conciliant. Au contraire, il se dit prêt à passer outre l'avis des maires et à avancer au pas de charge. «Le plus vite possible», précise le fonctionnaire qui s'était fait flasher pour excès de vitesse en 2013, alors qu'il était préfet de la région Rhône-Alpes et qu'il venait juste de prendre des mesures pour lutter contre les excès de vitesse.
Jean-François Carenco se dit enfin prêt à réquisitionner des «anciens hôtels, des anciennes casernes de gendarmerie, [à] faire installer des structures modulaires» car, selon lui, la vague migratoire n'est pas près de se tarir et il faut se préparer à en accueillir toujours plus. «Le monde est comme ça», conclut-il.
Lire aussi : Morbihan : des manifestants identitaires forcent l'entrée d'un centre pour migrants (IMAGES)
La Belgique et les Pays-Bas ne veulent pas accueillir de réfugiés algériens ou marocains
16 nov. 2016, 16:01
Les autorités belges et néerlandaises envisageraient de prendre des mesures pour dissuader les demandeurs d'asiles des pays considérés comme «sûrs» de venir dans le Benelux. Les réfugiés marocains et algériens seraient particulièrement visés.
Selon l'agence de presse néerlandaise ANP, le secrétaire d’Etat à la Justice et la Sécurité des Pays-bas, Klaas Dijkhoff, a décidé de mettre un terme aux versements de primes destinées aux immigrés clandestins algériens et marocains qui acceptent de quitter volontairement les Pays-Bas.
Selon Klaas Dijkhoff, les ressortissants de ces deux pays savent qu’ils ont peu de chances d’obtenir un titre de séjour. Pour le secrétaire d’Etat, ces «aides au départ» sont un privilège injustement concédé qui laissent à penser que les Pays-Bas sont «un grand sac plein d’argent qu’on peut venir percevoir à sa guise».
En octobre dernier, le contingent de demandeurs d’asile le plus important aux Pays-Bas était celui du Maroc, suivi par l'Algérie. Ces deux pays sont pourtant déjà considérés comme sûrs par les autorités néerlandaises.
La Belgique prévoirait également de durcir le ton face à certains demandeurs d'asile. Selon les journaux De Morgen et Het Laatste Nieuws, Theo Francken, le secrétaire d'Etat à l'Asile et à la Migration, projetterait d'élargir la liste belge des pays sûrs en y ajoutant l’Algérie, la Tunisie, le Maroc, le Bénin, le Sénégal et la Moldavie.
Selon la presse, l'objectif de l'élargissement de la liste serait de réduire les chances des ressortissants de ces pays d’obtenir l’asile en Belgique. Il s'agirait également de faciliter leur rapatriement.
Lire aussi : Après Cologne, les migrants algériens et marocains bientôt placés dans les centres d'expulsion ?
Médecine nucléaire : la Russie augmente la production des isotopes qui soignent le cancer
21:00 16.11.2016
La Russie a renforcé ses positions sur le marché mondial dans la production des isotopes médicaux dont l’utilisation assure le diagnostic, le pronostic et le suivi thérapeutique de nombreuses pathologies, dont le cancer. Sputnik a fait le tour des isotopes produits en Russie qui sauvent et prolongent les vies humaines tous les jours. La médecine nucléaire progresse quotidiennement depuis sa naissance à la fin de la seconde guerre mondiale. Elle a révolutionné l'étude du fonctionnement des organes. Il existe deux types d'examens nucléaires : la scintigraphie et la TEP (tomographie par émission de positons). Ils consistent en l'administration dans l'organisme de très faibles doses d'un médicament radio-pharmaceutique qui est composé d'un produit physiologique et d'un isotope radioactif. La médecine nucléaire peut aussi permettre de traiter des pathologies comme le cancer grâce aux médicaments radio-pharmaceutiques qui détruisent les cellules malades.
Il y a encore quelques années, la production de la quasi-totalité des isotopes radioactifs dans le monde était assurée par cinq réacteurs se trouvant dans cinq pays :en Australie, en Afrique du Sud, au Canada, en France et aux Pays-Bas. Mais la situation à bien changé depuis et la Russie est arrivée sur le marché et a donné une nouvelle impulsion à la médecine nucléaire.
Molybdène 99, strontium 89, gadolinium 153 et lutétium 177 sont les isotopes les plus utilisés. Quelles sont leurs particularités ?
Le molybdène 99 n'est pas un produit fini utilisé dans la médecine nucléaire. Il sert à fabriquer un autre métal radioactif: le technétium 99. Le technétium a un impact doux sur l'organisme humain et permet de dépister des maladies à un stade précoce.Il peut s'accumuler dans les organes atteints d'une tumeur ou dans les zones nécrosées du myocarde, c'est pourquoi cette méthode permet, par exemple, d'identifier le foyer de l'infarctus du myocarde 24 heures après son déclenchement.
En Russie, à Dimitrovgrad (Volga) plus précisément, l'Institut de recherche des réacteurs nucléaires réalise son plus grand projet : la production industrielle d'isotopes à demi-vie réduite pour créer des produits pharmaceutiques, avant tout le molybdène 99, explique à Sputnik Roslislav Kuznetzov, chef du département des sources radionucléides de l'Institut : « Depuis très longtemps nous faisons partie du marché mondiale de la production des isotopes. Nous sommes connus sur le marché et par nos clients, car nous nous en occupons depuis plus de 25 ans. Notre particularité c'est notre réacteur extrêmement puissant […] Des réacteurs de ce genre il n'en existe que chez nous et aux USA ».
Les spécialistes du domaine précisent qu'il est tout à fait possible que la Russie devienne le premier fournisseur mondial de molybdène car le marché est pratiquement illimité. Le déficit de cet isotope médical sur le marché dépasse aujourd'hui 30% avec un besoin moyen de 12 000 curies par semaine (les isotopes ne sont pas mesurés en grammes, au poids, mais en unités d'activité des matériaux — le curie). Sachant que les prix du molybdène 99 atteignent 1 500 dollars le curie* (1 404 euros).
La chimiothérapie est-elle si efficace pour traiter le cancer ?
Les composés du strontium 89 servent également de médicament pour soigner l'épilepsie, la néphrite et corriger les déformations à l'âge pédiatrique par les orthopédistes. Dans une certaine mesure, il peut être un agent vermifuge. Roslislav Kuznetzov explique que l'Institut de recherche des réacteurs nucléaires de Dimitrovgrad est parvenu à fabriquer un produit unique. « C'est devenu plus rentable de changer de réacteur et d'utiliser une nouvelle technologie de production. Maintenant notre produit, le strontium 89, est vraiment demandé sur le marché russe et sur le marché mondial ».
Une autre nouveauté — un laser avec des vapeurs de strontium — a été créée à Tomsk (Sibérie de l'Ouest) en collaboration avec des Américains pour une utilisation sur les tissus biologiques, comme les os, par exemple. Le laser aux vapeurs de strontium a un grand potentiel d'application, affirment les chercheurs. Gadolinium 153 La Russie est le seul pays à produire du gadolinium 153. Ce marché n'est pas très large mais très important car il fournit cet isotope qui sert à la fabrication d'un grand nombre d'appareil utilisés dans le diagnostic des maladies des os.
La production du gadolinium 153 en Russie reste unique. Roslislav Kuznetzov confirme que les fabricants russes ont des clients depuis des années à l'intérieur et à l'extérieur du pays, et pour le moment les tentatives de reproduire cette technologie ailleurs dans le monde n'ont pas abouti. Lutétium 177 Le lutétium 177 est un isotope relativement nouveau. Le même réacteur russe qui assure la fabrication de tous les macroéléments utilisés dans la médecine nucléaire permet de produire plus du lutétium 177 en grande quantité grâce à sa puissance exceptionnelle.
Les spécialistes s'attendent à une révolution dans la médecine grâce au lutétium 177. Il a commencé à être utilisé il y a moins de deux ans, mais les succès sont déjà si importants que Roslislav Kuznetzov promet un « grand avenir » à cet isotrope, qui est d'une excellente qualité en Russie car il n'y a pas de décalage entre les étapes de production : « Il sera possible de résoudre un grand nombre de mystères oncologiques avec l'utilisation du lutétium. Les perspectives sont immenses et la quantité demandée sera très importante ».
La médecine nucléaire est très probablement le domaine le plus en pointe dans le traitement de maladies jadis incurables. La place de la Russie sur ce marché est très importante, car elle renforce la diversité de cette production et garantit un haut niveau de sécurité en cas de panne d'un réacteur, comme en 2009 au Canada. Une collaboration internationale dans ce domaine est la seule possibilité de sauver des centaines de milliers de vies dans les années à venir.
* Le curie (symbole Ci) est l'ancienne unité de radioactivité. Il correspond à 3,7 × 1010 désintégrations par seconde, ce qui est approximativement l'activité de 1 g de l'isotope du radium 226Ra (ou 15 g de l'isotope du plutonium 239Pu). Il a été nommé ainsi en 1910 en l'honneur de Pierre Curie, décédé en 1906 (et non en l'honneur de son épouse Marie car il est rare d'ainsi mettre en valeur un scientifique vivant). Il n'a jamais fait partie du SI. Lors de la 12e CIPM en 1964, il a été remplacé par l'unité SI correspondante, le becquerel (Bq). On a :
1 Ci = 3,7×1010 Bq = 37 gigabecquerels, ou 1 Bq = 27,03 picocuries 1 Ci = 2,22×1012 dpm (désintégrations par minute)
Le curie est une unité très grande, bien adaptée aux très fortes radioactivités (ce qui est le cas du radium). À titre de comparaison, une tonne d'uranium 238 (assez faiblement radioactif) n'a qu'une activité totale de 0,3 curie. Les limites des « zones contaminées » par la catastrophe nucléaire de Tchernobyl ont été conventionnellement fixées à une activité en césium 137 de 37 kBq/m², ce qui correspond à un curie par kilomètre carré. Autre exemple : la sonde Cassini, lancée vers Saturne par la NASA en 1997, emportait un générateur électrique au plutonium de type MMRTG de 404 000 curies 1, et les 58 700 curies délivrés par les 4,8 kg de plutonium du MMRTG de Curiosity, lancé le 25/11/2011 vers Mars, servent à fournir à ses batteries la puissance de 110 W.
Quand Hillary Clinton a livré une campagne post-mortem à ses principaux partisans lors d'une conférence téléphonique la semaine dernière, elle a blâmé sa perte lors de l'élection présidentielle sur le directeur du FBI, James Comey. Elle aurait dû blamer la perte sur elle-même. Son refus de protéger les secrets d'État alors qu'elle était secrétaire d'État et son incapacité à saisir le ressentiment national envers le gouvernement par les gens oubliés de la classe moyenne étaient beaucoup plus vraisemblables que la cause de sa défaite.
Pourtant, il est évident que les décisions basées sur l'application de la loi au cours des quatre derniers mois ont été faites avec un œil sur le jour du scrutin, et les fonctionnaires qui les ont fait échapper à l'état de droit.
Voici l'histoire de retour.
L'obligation légale du FBI est de recueillir des preuves pour aider à la poursuite ou la prévention des crimes fédéraux ou des atteintes à la sécurité nationale. Le processus de respect de cette obligation implique nécessairement de faire quelques jugements juridiques sur la pertinence, la probité et même la légalité des preuves recueillies. Ces jugements sont parfois rendus dans la rue en cas d'urgence et parfois après consultation et consensus. Mais le but de cette collecte de preuves et de la prise de décision est de présenter un ensemble au ministère de la Justice, pour lequel le FBI travaille, pour sa détermination à demander ou non une poursuite.
Dans les cas où des assignations sont nécessaires, le FBI doit travailler en tandem avec le ministère de la Justice parce que les assignations à comparaître dans les affaires criminelles ne peuvent être délivrés que par de grands jurys et seuls les avocats du DOJ peuvent demander à de grands jurys de les délivrer. Habituellement, le FBI et le ministère de la Justice travaillent ensemble pour présenter ce qu'ils ont à un grand jury afin de construire une cause pour acte d'accusation ou d'inciter un grand jury à émettre des citations et les aider à recueillir plus de preuves.
Les juges fédéraux sont impliqués lorsque des mandats de perquisition ou d'arrestation sont nécessaires. Ce sont souvent des situations émergentes, car la preuve à saisir ou la personne à arrêter pourrait être allé si elle n'est pas poursuivie dans l'ordre court. Ils exigent la présentation de preuves à un juge rapidement et en secret. Il appartient au juge de décider si l'équipe du DOJ / FBI a atteint le seuil constitutionnel de cause probable. La cause probable est remplie lorsque l'équipe de la poursuite montre au juge que les preuves que l'équipe recherche de l'exécution du mandat plus que probable impliquera quelqu'un dans un comportement criminel.
Ayant délivré de nombreux mandats de perquisition et d'arrestation moi-même, je sais que les juges doivent être curieux et sceptiques. Après tout, un seul côté se présente devant le juge, et toute l'apparence est souvent rapide, peu orthodoxe et dans le secret. Une saine curiosité et un scepticisme amèneront un juriste prudent à se demander si le grand jury a réellement besoin de ce que cherche le mandat de perquisition. Si la réponse est qu'il n'y a pas de grand jury, la plupart des juges mettront fin à la demande et concluront qu'il s'agit d'une expédition de pêche - ou d'aller «de côté», comme le dit l'application de la loi - pas une enquête criminelle sérieuse digne d'implication judiciaire.
Tout cela est commandé par la loi pour être gardé secret afin de préserver la preuve, éviter de renverser un défendeur potentiel capable de fuite et de préserver la réputation d'une personne non inculpée.
C'est du moins la façon dont ces choses sont censées fonctionner. Pourtant, rien de tout cela n'est arrivé dans le cadre de la récente réouverture et de la résiliation de l'enquête sur l'utilisation abusive de courriels contenant des secrets d'État par Clinton.
Lors de cette enquête, le ministère de la Justice n'a pas présenté de preuve à un grand jury. Ainsi, il n'a pas obtenu de citations à comparaître. Et il n'a pas recherché de mandats de perquisition. Il a coupé les affaires à gauche et à droite, promettant de ne pas poursuivre ceux de qui il a cherché des preuves problématiques. Après avoir accumulé une montagne de preuves de la culpabilité de Clinton, le FBI ne l'a pas présentée au DOJ.
Au contraire, le directeur Comey a tenu une conférence de presse le 5 juillet, au cours de laquelle il a déclaré que lui et ses collègues du FBI - et non le ministère de la Justice - avaient conclu qu'aucun procureur raisonnable ne prendrait l'affaire; Si Clinton ne serait pas poursuivi. Il a ensuite procédé à la description détaillée des preuves recueillies (SET ITAL) contre (END ITAL) Clinton.
Il a enduré une tempête de critiques pour sa présentation publique de la gravité de la preuve dans l'affaire et sa décision unilatérale de ne pas poursuivre. La tempête de feu a été générée en grande partie par ses propres agents du FBI qui étaient devenus convaincus de la culpabilité de Clinton de l'échec de la protection des secrets d'État (espionnage), ainsi que leur croyance collective que quelqu'un quelque part avait dit à Comey quoi faire.
Puis, à peine 11 jours avant l'élection présidentielle de 2016, Comey a vu une chance de se racheter avec ses critiques. Il a illégalement annoncé la découverte inattendue d'un trésor de 650 000 courriels que lui et son équipe n'avaient pas encore examinés, mais qu'ils pensaient pourraient affecter la décision de ne pas poursuivre. Cela a provoqué une deuxième tempête de feux, dans laquelle cet auteur et d'autres accusé Comey de profondes violations de la loi fédérale, dont le moindre était une agression sur le droit de Clinton à une procédure régulière.
Sachant que cette annonce - non la reprise de l'enquête mais l'annonce de celle-ci - était illégale, la procureure générale Loretta Lynch n'a rien fait pour l'empêcher.
Clinton a commencé à couler dans les sondages. Son adversaire républicain, Donald Trump, maintenant le président élu, a commencé à se réjouir et à célébrer. Puis, deux jours avant les élections, Comey a annoncé que le FBI avait examiné les 650 000 courriels récemment découverts dans une semaine et a conclu qu'aucun d'entre eux n'a affecté la décision de ne pas poursuivre Clinton. Peu de temps après, un fonctionnaire du ministère de la Justice a annoncé que l'enquête par courriel avait été fermée pour la deuxième fois.
Qu'avons-nous ici ?
Nous avons la mauvaise gestion flagrante de la première agence d'application de la loi du pays. Nous avons un DOJ indifférent à la vérité et prêt à protéger une cible d'une enquête criminelle pour des raisons politiques. Nous avons la révélation irrégulière et illégale de choses que la loi ordonne tout à fait bien de garder secrètes.
Nous avons l'injection dangereuse du FBI dans la politique élective, qui peut faire des dégâts ruineux à l'état de droit.
Et nous avions une candidate qui devait se blâmer seule pour toute la controverse.
Google et Facebook veulent censurer « les faux sites d'information »
Raphaële Karayan L'Express mar., 15 nov. 2016 19:40 UTC
Pour limiter l'intox sur les réseaux sociaux et sur le moteur de recherche, Google et Facebook entendent interdire aux sites diffusant délibérément de fausses informations de faire de la publicité.
Commentaire : Qui et comment peut-on décider qu'une information est vraie ou fausse ?
L'élection de Donald Trump aux Etats-Unis a fait émerger un débat qui couvait, sur le rôle des réseaux sociaux et des plateformes dans la diffusion de l'information. Et dans le partage d'informations fausses, parfois davantage relayées que les vraies. Mark Zuckerberg, qui déclarait il y a quelques jours que l'idée selon laquelle Facebook aurait influencé le scrutin était "plutôt dingue", et qu'il estimait le volume de fausses news à 1% seulement, a mis de l'eau dans son vin. Facebook, ainsi que Google, ont annoncé lundi des mesures pour empêcher les sites qui publient de fausses informations de faire de la publicité sur leurs plateformes.
Le référencement et la publication ne sont pas concernés
Google prévoit d'interdire l'usage d'AdSense (un dispositif qui permet de placer des encarts publicitaires sur un site web) aux acteurs publiant ce type de contenus. Facebook, de son côté, annonce qu'il ajoute les sites de fausses informations à la liste des sites interdits de publicité sur son réseau (au même titre que les produits et services illégaux, publicités trompeuses et autres "contenus déceptifs").
Ni les contenus partagés par les utilisateurs eux-mêmes, sur Facebook, ni le référencement naturel, sur le moteur de recherche Google et dans Google Actualités, ne sont concernés par ces nouvelles mesures. C'est-à-dire que des sites publiant de fausses news pourront toujours figurer dans le fil d'actualités Facebook, ou ressortir dans les recherches Google.
Pourtant, c'est un problème on ne peut plus préoccupant quand, dans les articles proposés, un contenu délibérément faux se retrouve côte à côte de médias relatant des faits. Tout est mis au même niveau par l'algorithme, l'information et la propagande.
C'est ce qui s'est produit lundi, quand Google Actualités a mis en avant, en première position de Google Actualités, un contenu relatant de faux chiffres sur l'élection, donnant Trump vainqueur du vote populaire.
Des employés de Facebook veulent aller plus loin
Les fausses actualités peuvent devenir un vrai business. BuzzFeed a publié une enquête montrant qu'en Macédoine, des personnes étaient employées pour créer des sites pro-Trump contenant de fausses infos et pour les partager sur Facebook.
Le site rapporte qu'un groupe d'employés de Facebook a décidé de s'emparer de la question des fausses informations sur le réseau social. Ces salariés considèrent que Facebook doit en faire plus, ce qui passe entre autres par une véritable réflexion sur le rôle de la plateforme dans la circulation de l'information et par une meilleure gestion des notifications envoyées par les internautes quand ils pensent repérer une fausse information.
Restera la question de la censure et des limites de l'exercice : quand il s'agit de départager la "vraie" information de la "fausse", c'est là que les ennuis commencent.
Commentaire : En fait tout va bien pour Internet tant qu'il sert les Maîtres du Monde.
Si ce ne sont que les sites qui font appel aux 'pages blanches/carte blanche pour les publicitaires' (espace loué où le publiciste extérieur peut faire afficher sur n'importe quel site acceptant la publicité des photos d'adolf hitler ou de sa voiture légendaire que ses admirateurs achètent encore aujourd'hui !), leur disparition sur le trottoir indiffèrera tous les internautes.
Notons que les journaux qui font faire de faux-sondages et diffusent de fausses informations comme '"Une telle a fait le bug sur Internet" (alors qu'elle n'a été regardé par personne ou compteur truqué comme pour l'audimat télévisé ! Hahahaha !), continueront à paraître !
Zero Hedge ciblé sur la liste des professeurs libéraux de «Fake News» Sources
Par Tyler Durden 16 novembre 2016 17h40
Nous avons une confession à faire, tout ce que nous avons dit au cours des 7 dernières années a été faux. Eh bien, pas vraiment, mais c'est ce que le ultra-libéral, professeur adjoint de communications au Collège Merrimack, Melissa "Mish" Zimdars, voudrais pour vous de croire.
Bien qu'il ne soit pas clair exactement ce qui a poussé Zimdars à publier une liste de sources de fausses nouvelles, nous avons un soupçon de sournoiser que c'était un mechnisme d'adaptation habilement employé par la Nouvelle-Angleterre, flocon de neige des arts libéraux pour faire face à la défaite étonnante de son candidat présidentiel choisi. Ou peut-être qu'elle essayait simplement d'aider les gens de Google et de Facebook qui ont juré de censurer les sources d'informations fausses en coupant leur accès à la publicité.
Mais, quelle que soit la raison, ci-dessous est la liste complète des ressources d'information que Zimdars, l'arbitre ultime de la crédibilité, a jugé «faux». Notez que bien que la liste inclue de nombreuses sources de nouvelles conservatrices comme Breitbart, Infowars, Twitchy, The Blaze et Bizpac Review, il exclut le balisage de l'impartialité connu sous le nom de The Huffington Post.
En outre, Zimdars a même fourni les directives de catégorisation utiles suivantes pour vous aider à déterminer le niveau de "fakeness" exposé par chaque site. Zero Hedge n'a pas encore été assigné une catégorie, que nous trouvons un peu blessant.
CATÉGORIE 1: Ci-dessous une liste de sites Web faux, faux ou régulièrement trompeurs qui sont partagés sur Facebook et les réseaux sociaux. Certains de ces sites Web peuvent compter sur «outrage» en utilisant des titres déformés et des informations décontextualisées ou douteuses afin de générer des goûts, des actions et des profits. Ces sites sont catégorisés avec le numéro 1 à côté d'eux.
CATÉGORIE 2: Certains sites Web de cette liste peuvent faire circuler des informations trompeuses et / ou potentiellement non fiables, et elles sont marquées d 'une.
CATEGORIE 3: D'autres sites Web sur cette liste utilisent parfois des manchettes clickbait-y et des descriptions de médias sociaux, et ils sont marqués d'un 3.
CATEGORIE 4: D'autres sources sur cette liste sont intentionnellement fausses avec l'intention de la satire / comédie, qui peuvent offrir des commentaires critiques importants sur la politique et la société, mais ont le potentiel d'être partagé comme actualité réelle / littérale. Je les inclure ici, pour l'instant, car 1.) ils ont le potentiel pour perpétuer la désinformation basée sur différentes interprétations (mauvaises) d'audience et 2.) s'assurer que quiconque lit une histoire par The Onion, par exemple, comprend son objectif. Si vous pensez que cela n'est pas nécessaire, consultez Littéralement Incroyable.
- voir liste sur site des sites 'à ne pas visiter' ! (Hahahaha !) -
Peut-être que Zimdars manquait ce courriel de John Podesta exposant Arianna Huffington en flagrant délit de collusion avec la campagne Hillary pour «faire écho à leur message sans aucun conflit perçu». Ou, peut-être cela a été simplement rejeté comme inutile propagande russe?
"Elle est enthousiaste au sujet du projet, mais demande si elle est plus utile pour nous de ne pas être au conseil d'administration et, au lieu de cela, d'utiliser Huffpo pour faire écho à notre message sans aucun conflit perçu. HuffPo
Quoi qu'il en soit, le Zimdars, toujours utile, fournit également les conseils suivants pour analyser les sources d'informations:
Évitez les sites qui se terminent par "lo" ex: Newslo (ci-dessus). Ces sites prennent des morceaux d'informations précises et ensuite l'emballage de cette information avec d'autres faux ou trompeurs «faits» (parfois à des fins de satire ou de comédie).
Méfiez-vous des sites qui se terminent par «.com.co» car ils sont souvent fausses versions des sources de nouvelles réelles
Surveillez si les sites d'information connus ou réputés ne font pas non plus rapport sur l'histoire. Parfois, le manque de couverture est le résultat du biais médiatique des entreprises et d'autres facteurs, mais il devrait généralement y avoir plus d'une source de rapports sur un sujet ou un événement.
Les noms de domaine bizarres sont en général égaux aux nouvelles bizarres et rarement véridiques.
Le manque d'attribution de l'auteur peut, mais pas toujours, signifier que le reportage est suspect et nécessite une vérification.
Certaines organisations de nouvelles permettent également aux blogueurs de publier sous la bannière de marques de nouvelles particulières; Cependant, beaucoup de ces messages ne passent pas par le même processus d'édition (ex: messages de communauté de BuzzFeed, blogs de Kinja, blogs de Forbes).
Consultez l'onglet "À notre sujet" sur les sites Web ou consultez le site Web sur Snopes ou Wikipedia pour plus d'informations sur la source.
Bad web conception et l'utilisation de tous les CAPS peut également être un signe que la source que vous regardez doit être vérifiée et / ou lue en conjonction avec d'autres sources.
Si l'histoire vous rend vraiment fâché, c'est probablement une bonne idée de continuer à lire sur le sujet via d'autres sources pour s'assurer que l'histoire que vous avez lu n'était pas délibérément essayer de vous mettre en colère (avec des informations potentiellement trompeuses ou fausses) afin de générer des actions Et les recettes publicitaires.
Alors que nous soupçonnons que Zimdars ne comprend pas la moitié de ce que nous écrivons et nous objections à notre couverture factuelle des emails WikiLeaks avec l'enquête du Hillary FBI et de nombreux autres scandales, nous accueillons ses lecteurs dans la mesure où elle souhaite élargir ses sources choisies de Illumination au-delà du spectacle de Rachel Maddow.
Enfin, nous laisserons à @ MattTturner4L de résumer parfaitement l'hypocrisie ...
La consommation de charbon de l'Indonésie a doublé depuis 2010. Aura bientôt une puissance de charbon plus avancée que l'Australie
November 17th, 2016
- voir sur site: Carte indonésienne par rapport à la carte des États-Unis.
Le temps de faire attention à la quatrième plus grande population dans le monde.
Vous auriez peut-être réutilisé quelques sacs pour sauver la planète, mais deux cents millions de personnes ont tranquillement doublé leur consommation de charbon:
La consommation de charbon en Indonésie reste élevée: BP
La BP Statistical Review 2016 a révélé mercredi que la consommation de charbon de l'Indonésie avait doublé depuis 2010. L'année dernière, le charbon est devenu la principale source de combustible du pays, représentant 41% de la consommation totale d'énergie.
Des études montrent que la consommation de charbon reste populaire en Indonésie malgré ses impacts environnementaux préjudiciables. Le gouvernement s'est engagé dans un ambitieux programme d'électricité de 35 000 mégawatts, dans lequel les centrales à charbon continueront à constituer la majorité de la production d'électricité, soit environ 50 p.
Comme le charbon est bon marché, l'Indonésie a exporté moins et a employé plus de lui domestiquement.
Ils ne semblent pas suivre le plan du GIEC.
L'Indonésie aura bientôt des centrales au charbon plus avancées que l'Australie:
Le principal conglomérat japonais Itochu Corporation et l'une des principales compagnies d'électricité du monde, Electric Power Development Co. Ltd (J. Power), ont promis de soutenir pleinement la construction de la centrale au charbon de Batang, au centre de Java. La plus efficace mais aussi la plus propre des centrales thermiques en Asie du Sud-Est.
Il a dit que la centrale à charbon de Batang serait la vitrine de la dernière technologie de production d'énergie de la société appelée la technologie ultra-supercritique (USC), qui n'est pas seulement capable d'améliorer l'efficacité, mais aussi de réduire considérablement les émissions, y compris le dioxyde de carbone et le mercure .
Avec la technologie USC, les centrales fonctionnent leurs chaudières à des températures et une pression au-dessus du point critique de l'eau, ce qui donne une efficacité de plus de 45 pour cent.
L'électricité produite au charbon par l'Indonésie sera plus propre et plus efficace que l'Australias. (Personne ne va investir dans de meilleures usines de charbon dans une économie avancée comme l'Australie.)
Qui est alors un géant du charbon tranquille ? L'Australie fournit environ 30% du commerce mondial du charbon et c'est notre plus grande industrie d'exportation, mais l'Indonésie dévore la même quantité de charbon que l'Australie exportée il y a quelques années:
L'année dernière, l'Indonésie n'a produit que 383 millions de tonnes de charbon, en deçà de la cible de 425 millions de tonnes. Bien que l'objectif de cette année ait été ramené à 419 millions de tonnes, BMI Research, une unité de Fitch Group, prédit que seulement 314 millions de tonnes seront produites à la fin de l'année.
Aujourd'hui, l'Australie creuse 550Mt de charbon au total et exporte environ 480Mt.
Un quart de l'économie indonésienne est des combustibles fossiles. Le plan est «plus»: La nomination d'Arcandra Tahar au poste de ministre de l'énergie et des ressources minérales a clairement indiqué que le président Joko "Jokowi" Widodo avait recentré son action sur le pétrole et le gaz ainsi que sur le charbon.
Le président est conscient que le secteur est en péril, d'autant plus qu'un quart de l'économie indonésienne provient du pétrole et du gaz. L'investissement dans ce secteur a stagné
Ils s'interrogent aussi sur l'effet Trump, mais les schistes suspects maintiendront le boom du charbon loin:
Il a fait partie de la campagne de Trump le mois dernier pour stimuler l'industrie du charbon dans la deuxième plus grande économie du monde. Est-ce que cela affectera l'industrie houillère du monde, en particulier l'Indonésie en tant que principal exportateur de charbon en Asie du Sud-Est? Beaucoup de gens en doutent. Bloomberg a même rapporté que les doutes ont surgi récemment aux États-Unis sur la capacité de Trump de relancer la gloire du charbon, car le gaz de schiste abondant a structuré érodé le marché du charbon.
Faut dire que lorsqu'un Etat se compose d'un chapelet d'îles ou d'îlots à 20 ou 200 km de distance (voir Hawaii avec ses 240 îles ou îlots) il est bien difficile d'envoyer de l'électricité par cable soumarin depuis une centrale nucléaire. D'où la nécessité de faire appel au charbon dans chaque île.
Indonésie: 250 millions d'habitants. https://www.google.fr/maps/@0.5685354,112.0425789,5z
Donald Trump terminera-t-il le moment unipolaire américain ?
Par Tyler Durden 16 nov 2016 21h25 Soumis par Federico Pieraccini via Strategic-Culture.org,
Nous sommes confrontés à une percée sans précédent: un changement global qui pourrait potentiellement submerger définitivement l'ordre mondial unipolaire créé après la chute du mur de Berlin en 1989 et envoyé en surmenage par la guerre sur terreur du 11 septembre. La victoire de Donald Trump est la représentation la plus emblématique d'une répudiation totale par la population américaine de ce qu'on appelle l'establishment et ses intérêts.
Les élections américaines se sont terminées par un verdict inattendu qui a confondu toutes les prévisions. Trump a remporté l'élection aux États-Unis, à la maison et au capital du système occidental, redéfinissant la logique par laquelle un président est normalement élu. En grande partie pour cette raison, c'est une victoire extraordinairement importante. Tous les appareils du pouvoir américain, tels que les médias, les politiciens, les experts et les intellectuels, n'étaient pas suffisants pour empêcher le peuple d'exprimer un vote plus explicite.
La victoire de Trump est aussi la fin des dynasties Bush et Clinton, ainsi que la conclusion inattendue du mandat d'Obama, dont la trahison est la plus importante de l'histoire américaine. Élu pour résoudre des problèmes tels que l'inégalité, les divisions raciales, la pauvreté et l'injustice sociale, il a échoué sur tous les fronts, devenant l'une des principales causes d'un vote dissident en faveur de Trump. Barack Obama a ironiquement été l'un des plus grands sponsors de Donald Trump. Les électeurs d'Obama en 2008 et 2012 n'ont pas été trompés par les promesses de Clinton, et après avoir voté pour Sanders comme un dernier espoir, ils ont préféré rester à la maison ou même voter pour Trump comme une expression ultime de mépris pour le statu quo représenté par les démocrates, Par l'établissement de Washington. Elle représentait avant tout la victoire et la volonté de la classe ouvrière, fatiguée de la détérioration économique de plus de trois décennies.
La victoire de Brexit en Angleterre, Duterte aux Philippines, le mouvement Five Star de 2013 en Italie, les phénomènes de Le Pen en France, Syriza en Grèce et les traités européens continuellement rejetés - tous ces éléments font partie du même thème reliant différents Questions de vote.
Le rejet continu de l'idée de globalisation et de globalisme a occupé la majorité du peuple. Identifié comme le grand mal, il est considéré comme la cause principale de la nécessité pour les gouvernements de subordonner les intérêts nationaux aux intérêts internationaux. Cela mène inévitablement à une étreinte mortelle avec un modèle international basé sur les finances de Wall Street, principale cause de la crise financière de 2008, aggravée par les guerres américaines dans le monde, source d'insécurité et de terrorisme prolongé.
La racine de cette répression est le concept de multipolarité. Dans un modèle unipolaire, le pouvoir et l'argent est concentré dans les mains d'un pourcentage minuscule, produisant un déséquilibre de bien-être qui est la base de la frustration commune des citoyens occidentaux. Le succès du modèle multipolaire découle principalement de la capacité de choisir sans sans faire face à une imposition unilatérale. Que ce soit en quittant l'UE ou la victoire d'un candidat non lié à l'establishment politique, la multipolarité est le moyen le plus efficace de respecter la volonté populaire, une énorme différence par rapport à l'unipolarité, où les gens n'ont pas d'alternative. Nous sommes en transition depuis près d'une décennie dans le domaine numérique, un monde où une gamme infinie d'options est disponible pour atteindre ses objectifs.
Dans le monde réel, l'approche unipolaire est dépassée et inadéquate, créant ainsi le besoin de toute autre proposition, qu'il s'agisse d'un Trump ou d'un Brexit. Nous ne pouvons pas expliquer autrement pourquoi, ces dernières années, toute personne qui propose un modèle anti-establishment en Europe ou aux États-Unis est considérée comme une alternative crédible. Ce n'est pas le message que l'on transmet qui est important, il suffit simplement d'être quelque chose de différent du statu quo, simplement une alternative.
Le pouvoir de la finance a dévoré les quelques droits laissés aux gens, en donnant la priorité aux intérêts dont la cupidité est insatiable et a conduit de nombreuses nations occidentales au bord de l'effondrement de la crise financière de 2008. Depuis, près de 10 ans plus tard, rien n'a changé , Et le bien-être économique des gens a diminué de façon alarmante, atteignant des niveaux sans précédent. Les promesses faites par les politiciens après la crise de 2008 ont été rompues, et la classe moyenne et les pauvres ont continué à payer pour tout cela, générant un niveau de frustration qui s'exprime dans les urnes, avec des votes pour Brexit ou pour Trump aux États-Unis États.
En plus de la situation économique, de nombreuses guerres ont réussi à s'opposer aux Américains, avec des coûts proches de six billions de dollars servant à éroder encore la confiance de l'électeur moyen dans l'établissement de Washington. Alors que l'électeur américain moyen ne se soucie pas de la politique étrangère de son pays, si les résultats sont une augmentation du terrorisme, une diminution de l'investissement intérieur, créant un sentiment général d'impuissance, la politique étrangère américaine devient quelque chose de nuisible, inutile ou même contre-productif À l'électeur américain.
Il est étonnant de voir comment, dans les dernières élections américaines, toutes ces considérations sont devenues centrales dans les arguments de Trump. Pour la première fois dans l'histoire américaine, le récit unilatéral des médias et de l'establishment a été brisé. Ce qui a été montré, c'est qu'une campagne présidentielle peut être menée indépendamment des démocrates ou des républicains sur des questions tournant autour de Wall Street, le Consensus de Washington, l'exportation de la démocratie et la diffamation des opposants géopolitiques. Pour la première fois, la vision d'une hégémonie unipolaire américaine a été défait par une vision multipolaire de la réalité, une vision qui place simplement une alternative au statu quo des 25 dernières années. On a offert aux gens, d'abord aux primaires républicaines puis aux élections, l'occasion d'exprimer un vote qui semblait plus un référendum avec une question qui se résumait essentiellement à: «Êtes-vous satisfait de votre état actuel?» La réponse était un énorme milieu À l'établissement exprimé par le vote Trump.
Clinton, étant un produit de l'établissement et représentant le statu quo, n'a pas offert ce que la majorité des Américains voulaient, à savoir une rupture avec les élites. Même inconsciemment, la majorité des Américains ont rejeté dans leur vote le modèle unipolaire économique, financier et militaire, donnant au reste du monde un espoir inattendu de changement.
Les États-Unis se sont réveillés le lendemain des élections avec un pays plus divisé que jamais, reflétant une division plus large qui traverse l'Occident. Ce sont les conséquences d'un monde en mutation qui s'éloigne d'une vision unipolaire avec son système financier, économique et militaire représenté par Washington et Bruxelles. Retour sur le vieux continent, le sentiment nationaliste croissant, le rejet des institutions européennes et le vote Brexit aurait dû sonner des cloches pour l'élite il ya quelque temps. Les élections américaines ont confirmé que l'establishment globaliste en Europe et en Amérique vivent dans leur propre monde. Ils sont complètement détachés des gens normaux, et le système sur lequel ils comptent pour influencer et manipuler, avec l'espoir d'étendre le domaine unipolaire (économique, militaire et financier), n'est plus efficace.
Si la mondialisation a apporté de la richesse à l'élite, elle a également permis la diffusion d'Internet, qui devient de plus en plus efficace en tant qu'outil de communication de masse. Le concept de multipolarité est intrinsèque à Internet: chacun peut ouvrir son propre blog, écrire sa propre opinion, et le diffuser à des millions de personnes, influençant le récit global. Les informations alternatives, lorsqu'elles étaient imprimées sur papier, étaient réservées à un créneau de la population. Maintenant, cette diffusion de l'information est devenue courante, reléguant les médias d'entreprise à un segment de plus en plus étroit de la population.
Comparé à il y a 30 ans, Internet a inversé le paradigme. Pensez à vous-même: vous lisez cette analyse avec, j'espère, un sentiment de confiance et de conviction que cette information ne peut être obtenue auprès de CNN, Fox News ou la BBC. C'est la vraie et authentique révolution. Trump a été en mesure d'interpréter ces sentiments d'une manière magistrale, rassemblant toutes les frustrations majeures du peuple américain vers l'élite, et de les rendre propres. Il a combiné sa passion personnelle dans un défi impossible, fournissant les besoins désespérés du peuple avec une voix "au sommet" qui criera et criera en leur nom. La colère et l'inexactitude politique de Trump ont été interprétées positivement par les électeurs, presque comme un geste concret d'insatisfaction à l'égard des élites de Wall Street, de Washington et des grandes sociétés américaines.
Trump représente la première étape, après Brexit, de l'Ouest reconnaissant une réalité qui est déjà multipolaire. Le modèle américain basé sur le dollar est en difficulté à la suite des institutions internationales liées aux BRICS. L'AIIB créée par Pékin, et les mouvements du FMI pour inclure le yuan dans un panier international, sont un autre indicateur. Des pays qui ne sont pas alignés sur les désirs des États-Unis, tels que la Chine, la Russie et l'Iran, se sont associés ces dernières années pour construire un système économique et financier alternatif à celui du dollar et de la réserve fédérale, sapant l'hégémonie américaine garantie par Pétrodollar. Dans le domaine militaire, l'OTAN n'est plus la seule puissance mondiale, et la situation actuelle au moyen-orient en est le reflet. L'implication de Moscou et l'alliance avec l'Iran ont pour la première fois empêché la destruction complète d'un pays comme la Syrie, offrant une alternative à celle vécue par l'Irak en 2003. Tous les signes indiquent que le moment unipolaire de l'Amérique a disparu à jamais.
Le dernier coup fut le changement politique suivant celui des affaires économiques et militaires; D'abord en Europe, avec la popularité décroissante des politiciens, une expression anti-establishment; Puis avec la sortie de la Grande-Bretagne de l'Europe; Et enfin avec la victoire de Trump aux États-Unis.
Du point de vue des politiques nationales et internationales, le triomphe de Trump doit encore être testé et confirmé. En conséquence, l'équilibre international pourrait rester intact. Le monde est à son plus grand carrefour de l'histoire moderne. L'élection aux États-Unis, causée par une contagion multipolaire qui s'étend, finira par affecter et changer pour toujours les relations internationales de Bruxelles et Washington. Alors que le reste du monde fait déjà partie intégrante de cette révolution historique, les élites européennes et américaines continuent de montrer qu'elles veulent combattre jusqu'au bout pour rejeter le nouvel ordre mondial.
L'oligarchie américaine et européenne est confrontée à un choix: soit déclarer la guerre à tout le monde et à tout, y compris à son propre peuple, soit embrasser ce changement global et tenter de construire son propre espace en son sein. Le défi est de reconnaître et d'accepter de ne pas avoir le contrôle absolu des leviers de pouvoir, mais maintenant de partager le pouvoir avec d'autres centres de pouvoir comme Moscou, Pékin et Téhéran. C'est une tâche difficile, mais certainement pas impossible.
Trump offre la possibilité d'un réel changement dans les relations internationales et les mots exprimés par des dirigeants comme Xi et Poutine sont les premiers signes d'une véritable tentative de changer 20 ans d'impositions de la domination unipolaire de Washington sur le reste de la planète.
Le 9 novembre 2016, une grande partie de la population mondiale, idéalement, s'est unie d'une seule voix et avec toute son énergie déclarée à haute voix à Washington et à tous les systèmes de pouvoir qui ont rendu notre planète incertaine et une catastrophe économique qui suffit!
Après Brexit et la victoire de Trump, les élites euro-américaines sont confrontées à un choix qui façonnera les prochaines décennies: soit accepter la multipolarité à venir et décider de travailler avec d'autres nations du monde, ou descendre dans un conflit prolongé. Personne ne peut exclure une tentative de saboter Brexit ou l'assassinat de Trump, surtout s'il décide de remplir ses promesses. Mais une chose est certaine: ils ne pourront jamais arrêter le progrès de ces changements inévitables.
S'il y a quelque chose de clair dans la victoire de Trump, c'est qu'une partie importante de l'Europe et de la population américaine a éternellement rompu avec la bulle d'isolement où elle était confinée par l'élite. Ils ont compris que ce qui leur a été dit pendant des décennies est faux, biaisé et complètement contre leurs intérêts. Le monde a changé à jamais, et il n'y a rien que les promoteurs du mondialisme puissent faire pour l'empêcher.
Deux tiers des travailleurs des pays en développement doivent être remplacés par des robots
Par Tyler Durden 16 nov 2016 19h45 Soumis par Jake Andersen via TheAntiMedia.org,
Un nouveau rapport alarmant de l'Organisation des Nations Unies est le dernier d'une litanie d'études suggérant que le prochain âge de l'automatisation et de la main-d'œuvre dominée par les robots sera sur nous beaucoup plus vite que prévu. L'U.N. affirme maintenant que les deux tiers de la main-d'œuvre humaine dans les pays en développement seront remplacés par l'automatisation.
L'U.N. dit qu'un revenu de base universel sera nécessaire comme un arrêt pour les 75% des humains laissés sans travail.
Anti-Media a précédemment rapporté sur les prédictions que la moitié de la main-d'œuvre américaine pourrait être remplacée par l'automatisation dans les deux prochaines décennies. Selon les statistiques d'un autre rapport, les logiciels automatisés pourraient emporter 1,7 million de camionneurs dans leur travail au cours de la décennie.
Le rapport de la CNUCED des États-Unis note que, pris à l'échelle mondiale, nous constatons une "désindustrialisation prématurée".
"L'utilisation accrue de robots dans les pays développés risque d'éroder l'avantage traditionnel du coût de la main-d'œuvre des pays en développement", explique le rapport. Un rapport supplémentaire inquiétant de la Banque mondiale observe:
«La part des professions qui pourraient subir une automatisation importante est en fait plus élevée dans les pays en développement que dans les pays plus avancés, où nombre de ces emplois ont déjà disparu».
Il est conseillé aux pays en développement de réagir aux nouvelles «technologies perturbatrices» en adoptant une technologie numérique radicale et des «politiques macroéconomiques, industrielles et sociales de soutien».
Une question plus vaste qui se pose concerne la manière dont les gens réagiront à ces pertes d'emplois. Comment le 1,7 million de camionneurs qui sont prêts à perdre leur emploi à l'automatisation de prendre cela ? Le candidat transhumaniste Zoltan Istvan a averti qu'il ne serait pas joli et que, en fait, il pourrait mener à des soulèvements violents, c'est pourquoi Istvan soutient un UBI.
Comme l'annonçait Anti-Media:
"Zoltan dit que l'âge à venir des robots remplaçant les humains sur le marché du travail pourrait être un net positif, permettant aux humains d'explorer l'éducation et les loisirs d'une manière que les générations précédentes n'auraient pas pu imaginer. Il préconise un revenu de base universel et un filet de sécurité sociale fourni par le gouvernement fédéral qui réduirait les risques de chaos et d'émeutes lorsque l'économie du robot battra son plein essor.
Mais cette vision d'une future utopie transhumaniste ressemble à l'exceptionnisme américain et occidental.
Les populations des pays en développement ne disposent peut-être pas d'un revenu de base universel, et même s'ils le font, leurs conditions de vie généralement appauvries et leur infrastructure sociale anémique peuvent éclipser les possibilités de loisirs et d'entreprenariat.
Ce sont des questions qui seront posées de plus en plus fréquemment au cours des 10 prochaines années. L'âge de l'automatisation menace la nature même du travail humain et peut exiger que nous réimaginions le rôle de l'être humain dans les sociétés post-industrielles.
Il est bien certain et constatable que les 'pays en voie de développement' (j'adore cette expression !), sont pour la plupart peuplés d'ânes qui auraient déjà du mal à ne pas redoubler le cours préparatoire plus de dix fois avant de passer en CM1 ! (voir le niveau de 'culture' des immigrés !)
"C'est pat ou mat" comme disait Abigail Breslin dans 'Ultimate Endgame'.
Pour Marion Maréchal-Le Pen, l’Union européenne est «irréformable»
RépondreSupprimer00:53 16.11.2016
Sous sa forme actuelle, l’Union européenne ne peut pas fonctionner. Or, tout changement substantiel de ce système exige l’unanimité des pays membres, estime Marion Maréchal-Le Pen, député du Front national.
L'Union européenne ne fonctionne pas et l'ensemble des partis politiques français le constatent à l'unanimité. On entend toujours les mêmes discours à chaque élection sans que ce ne soit suivi de faits, a déclaré mardi Marion Maréchal-Le Pen, intervenant à l'Institut d'État des relations internationales de Moscou. « Pourquoi ça n'est jamais suivi des faits ? Parce qu'aujourd'hui le système de l'Union européenne est irréformable. Les traités de l'Union européenne font en sorte que les réformes sont extrêmement compliquées à mettre en œuvre pour ne pas dire impossibles », a-t-elle déclaré.
Or, l'unanimité des pays membres est indispensable pour modifier substantiellement les traités européens existants, notamment le dogme absolu de l'Union européenne qui est la libre circulation des biens, des hommes et des capitaux, soit le « cœur nucléaire » de la construction européenne, juge Marion Maréchal-Le Pen. C'est ce même dogme qu'elle juge indispensable de remettre en cause et avance pour cela des raisons économiques et sécuritaires.
« Nous considérons que l'abolition totale des frontières économiques avec des pays comme l'Ukraine par exemple est un non-sens économique. Parce que nous considérons que l'espace Schengen, qui permet aujourd'hui de circuler librement partout dans cet espace, a des conséquences sur le plan de la sécurité et de l'immigration illégale qui sont extrêmement dommageables », a explicité Marion Maréchal-Le Pen. Pour revenir à ce dogme de l'Union européenne, il faudrait l'unanimité des pays membres, a-t-elle conclu.
https://fr.sputniknews.com/international/201611151028711534-union-europeenne-reformes/
Les mairies de Guyane ferment leurs portes pour protester contre l'insécurité
RépondreSupprimer15 nov. 2016, 21:27
Les mairies guyanaises ont été fermées au public le 15 novembre en signe de protestation contre «l'insécurité» dans ce territoire. David Riché, maire de Roura (30 km de Cayenne) et président de l'Association des maires de Guyane l’a confirmé.
«Je suis à la mairie d'Iracoubo [120 km de Cayenne] qui est fermée. C'est un mouvement suivi par toutes les mairies. En l'état, on ne m'a pas signalé de cas de mairie n'ayant pas suivi le mouvement. A Saint-Laurent du Maroni [à la frontière avec le Suriname], à Saint-Georges [frontière avec le Brésil], à Kourou, à Cayenne notamment, c'est fermé», se félicite David Riché. Le maire de Roura est pleinement satisfait de l’ampleur du mouvement. Celui qui est aussi président de l'Association des maires de Guyane fait partie des instigateurs d’une opération qui vise à fermer les mairies de ce département d'Outre-mer situé au nord-est de l'Amérique du Sud pour protester contre la violence qui le ronge.
Revenant sur l'assassinat, à son domicile et dans des circonstances non établies, le 8 novembre, de Patrice Clet, ancien conseiller général et cadre du parti Walwari auquel appartient également l'ex-garde des Sceaux, Christiane Taubira, David Riché a indiqué: «C'est un mort de plus. Notre mouvement vise à montrer notre solidarité face à un problème qu'on n'arrive pas à résoudre.»
L’action est symbolique. Afin de ne pas gêner outre-mesure le fonctionnement de l’administration, des dispositions ont été prises. «Les hôtels de ville sont fermés au public mais les agents des mairies travaillent. Les écoles restent ouvertes, les crèches également, les citoyens accusent suffisamment le coup», explique David Riché.
En signe de solidarité, la Collectivité Territoriale de Guyane et la Chambre de commerce ont aussi gardé portes closes.
Déjà 38 homicides depuis le début de l’année
Le meurtre de Patrice Clet, le dernier en date d’une macabre série, a fait réagir les autorités. Le 14 novembre, un escadron de 72 gendarmes est arrivé sur le territoire. Déployé «principalement sur Cayenne et environs, il visera à renforcer la proximité entre zone police (Cayenne) et zone gendarmerie. L'objectif est d'endiguer la délinquance violente armée de type Amérique du Sud diurne et nocturne», indique-t-on à la gendarmerie.
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Le maire de Roura ne se satisfait pas pleinement de ce déploiement de moyens. Selon lui, il «doit être replacé dans un contexte de départ de [32 gendarmes] mobiles [en septembre] pour la Guadeloupe suite à un meurtre là-bas, puis à la non-venue d'un escadron prévue en octobre».
Il souhaite que les autorités s’attaquent aux racines du problème : «On a donc momentanément un escadron. Mais il faut non seulement s'occuper des poux mais des lentes, en prenant à bras le corps le développement économique, la lutte contre le chômage.»
Et d’après son analyse, une amélioration de la situation passera forcément par le front économique : «Aujourd'hui, ouvrir un salon de coiffure ne va pas résoudre le problème, il faut des projets industriels. Et c'est l'Etat qui a les leviers. Le projet de mine d'or Columbus, on peut le critiquer, mais ce sera 3 000 emplois pendant 10 ans.»
https://francais.rt.com/france/29003-minee-par-insecurite-guyane-a-vu-mairies-fermer-leurs-portes
En visite à Moscou, Maréchal-Le Pen vante «le destin commun» de la France et de la Russie
RépondreSupprimer16 nov. 2016, 14:21 - Avec AFP
La députée Front national Marion Maréchal-Le Pen a vanté mardi 15 novembre à Moscou le «destin commun» de la France et de la Russie, voulant «réorganiser les alliances» en faveur du pays de Vladimir Poutine et au détriment de l'OTAN.
«Nous avons un destin commun, une histoire commune avec la Russie», a assuré la nièce de Marine Le Pen, en déplacement de quatre jours à Moscou, devant les étudiants de l'Institut d'Etat des relations internationales de Moscou, MGIMO.
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Marion Maréchal-Le Pen à RT: «Il est grand temps de s’atteler avec les Russes contre Daesh»
S'en prenant à une diplomatie française qu'elle juge, comme le rapporte l'AFP, trop atlantiste ou bruxelloise, trop pro-sunnite et trop soumise à des «intérêts financiers», elle a dit son souhait de «réorganiser les alliances [françaises] avec la Russie en vue d'un monde plus équilibré, plus juste et plus respectueux de nos souverainetés et nos identités respectives».
Face à «l'uniformisation du monde» et au «multiculturalisme», «la Russie est un partenaire incontournable» car «elle a su défendre ses racines», a-t-elle encore souligné.
Membre de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale, Marion Maréchal-Le Pen s'exprimait devant une centaine d'étudiants, dont certains Français et beaucoup de francophones, qui l'ont interrogée ensuite pendant 30 minutes.
Pour sa troisième visite en Russie en tant que députée, la benjamine de l'Assemblée nationale a longuement décliné les positions pro-russes de son parti, critiquant le «rôle délétère» de l'OTAN et de l'UE dans le conflit ukrainien, rappelant que son parti, le Front national (FN) jugeait «inefficaces et injustes» les sanctions visant des responsables russes, qui de surcroît pénalisent à ses yeux les relations économiques.
Elle a aussi rappelé le souhait du FN que la péninsule ukrainienne de Crimée, rattachée à la Russie en 2014, soit reconnue comme russe, ou le regret sur la non-livraison des navires Mistral.
"Nous voulons nous allier à la #Russie pour faire face aux conflits mondiaux. Cette alliance a un sens politique et culturel évident."— Marion Le Pen (@Marion_M_Le_Pen) 15 novembre 2016
https://francais.rt.com/france/29024-visite-moscou-marechal-pen-vante
Photo de Clint Eastwood et cohue journalistique, Marine Le Pen a inauguré son siège de campagne
RépondreSupprimer16 nov. 2016, 11:09
Le mercredi 16 novembre, Marine le Pen a présidé la cérémonie d’inauguration de son nouveau QG de campagne : «l'Escale». Elle a notamment profité de l'événement pour présenter son logo et son slogan de campagne devant de nombreux journalistes.
«L’Escale» avant l’Elysée ? C’est en tout cas le nom choisi par Marine Le Pen et son équipe pour son nouveau QG de campagne. Situé au 262 rue du Faubourg Saint-Honoré, à proximité du palais présidentiel, il a été inauguré le 16 novembre en présence des cadres du parti et de la presse.
Rose bleue et photoshop
La présidente du Front national a profité de l’occasion pour présenter son slogan et son logo de campagne. Elle a ainsi opté pour «Au nom du peuple» pour le premier. «Une ligne de conduite, une profession de foi» selon les termes de Marine Le Pen. Mais c’est bien le logo qui risque de faire jaser. La candidate à l’élection présidentielle a fait le choix d’une rose bleue sans épines. Pas de flamme tricolore, pas de mention «Front national» et un simple «Marine présidente» en guise de texte comme si cette absence de patronyme marquait à nouveau l’éloignement avec Jean-Marie Le Pen et une rupture avec le passé.
Pour la présidente du parti, le choix de cette rose est un symbole de féminité. Elle rappelle qu’elle sera l’une des seules femmes à concourir pour l’élection suprême. Fan de jardinage, elle souligne que «dans le langage des fleurs, la rose bleue signifie rendre possible l’impossible». Comme pour assurer à ses supporters que la victoire est accessible.
Peu vastes, les locaux ont été décorés avec des photos détournées de personnages mythiques. On peut ainsi voir Clint Eastwood, fervent soutien de Donald Trump, porter la rose bleue. Sur d’autres murs, ce sont Brigitte Bardot ou encore Les Tontons Flingueurs que l’on peut apercevoir.
Polémique autour de l’absence de Marion Maréchal Le Pen
Seule ombre au tableau de cette matinée d’inauguration : les rumeurs autour des raisons de l’absence de Marion Maréchal Le Pen. En visite en Russie, la benjamine de l’Assemblée nationale était à l’origine de bien des discussions dans les couloirs de «l’Escale» mais en façade, les cadres du parti affichent l’union sacrée.
«Le fait qu’elle ne soit pas là ne signifie pas qu’elle ne veut pas être là. Et il ne faut pas non plus que la vision shakespearienne des journalistes s’abatte sur nous tout de suite», a déclaré le député du Gard Gilbert Collard. Selon lui, «il y a une volonté d’opposer Marine à Marion, chez les journalistes». «Non, elle ne partage pas la ligne Philippot, mais c’est son droit», confesse-t-il toutefois.
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La presse fait régulièrement état de tensions entre Marion Maréchal Le Pen et d’autres membres du Front national, sa tante et Florian Philippot en tête.
RépondreSupprimerLe 16 novembre, certains médias affirmaient même que la jeune députée du Vaucluse ne faisait pas partie du conseil stratégique de campagne de Marine Le Pen.
Si elle est bien présente dans l’organigramme, les fonctions des membres ne sont pas établies avec certitude.
A l'opposé sur l'échiquier du parti, le vice-président Florian Philippot figurera lui-aussi dans ce conseil stratégique, qui conforte également le sénateur-maire de Fréjus David Rachline au poste de directeur de campagne.
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Le reste de l'équipe est composé de poids lourds du parti comme le vice-président Louis Aliot, compagnon de Marine Le Pen, le secrétaire général Nicolas Bay, le maire de Hénin-Beaumont Steeve Briois, Bruno Gollnisch ou encore Wallerand de Saint Just.
On y trouve également Mikael Sala, président du collectif Croissance Bleu Marine, qui devrait plancher sur le programme économique de la candidate. Ou encore Bertrand Dutheil de La Rochère, trésorier du Rassemblement bleu marine et conseiller régional d'Ile-de-France qui pourrait travailler sur la question de l'islam.
Quelques surprises se sont glissées au sein de la garde rapprochée de Marine Le Pen pour cette campagne. Damien Philippot, frère de Florian, apparaît également sur l’organigramme. Selon Le Parisien, il vient de quitter les fonctions qu’il occupait à l’Institut français d’opinion publique (IFOP). Plus surprenant : le retour de Philippe Olivier, beau-frère de Marine Le Pen.
D’après Le Monde, ce dernier sera chargé des «idées-images» de la candidate. En 1998, il avait quitté le Front national avec son épouse Marie-Caroline Le Pen pour rejoindre Bruno Mégret et fonder le MNR. Un événement vécu comme une terrible trahison par Jean-Marie Le Pen. Un retour favorisé sans doute, par l'éviction du patriarche.
https://francais.rt.com/france/29012-inauguration-siege-campagne-marine-le-pen
Seuls 13,7% des migrants fuient la guerre, 53,1% la misère
RépondreSupprimer08:08 16.11.2016
Le rapport présenté par l’ONG Médecins du monde (MDM) basé sur la situation des patients interrogés montre que les migrants fuient en masse leurs pays d’origine pour des raisons économiques, en dénonçant également le mythe qu’ils viennent en Europe pour profiter de son système de santé. L'ONG Médecins du monde (MDM) a analysé des données de près de 10 000 personnes, dont 94,2 % étaient des migrants, en majorité extra-européens.
Le résultat a été présenté dans l'enquête sur l'accès aux soins des personnes les plus vulnérables sur le plan sanitaire, réalisée en 2015.
L’Allemagne envisage de renvoyer des migrants en Afrique
Selon les données présentées par MDM, seuls 3 % des patients disent avoir quitté leur pays d'origine principalement pour des raisons de santé. Dans le même temps, 53,1 % des migrants déclarent avoir émigré pour des raisons économiques, 20,5 % pour des raisons politiques et seulement 13,7 % pour fuir la guerre.
Ainsi, selon l'organisation, les chiffres montrent que la migration pour les raisons de santé ne représente pas une réalité quotidienne et que l'ordre du jour politique ne doit pas inclure ce genre de spéculations. L'organisation MDM critique également la situation de l'accès aux soins en Europe pour les migrants.
https://fr.sputniknews.com/international/201611151028714117-migrants-fuient-misere/
SupprimerIl n'y a pas au monde des pays désespérés mais seulement des dictateurs qui en fabriquent.
Tout tient dans la validité des informations, leurs modes de transmission et la compréhension du public a les recevoir.
Assassinats ciblés: Hollande bientôt devant la Cour Pénale Internationale ?
RépondreSupprimer08:09 16.11.2016
Gaëlle Nicolle
Selon les auteurs du livre «Un président ne devrait pas dire ça», François Hollande aurait ordonné au moins quatre «assassinats ciblés». Si certains dénoncent ici une violation du secret-défense et y voient matière à destitution, la question se pose aussi au regard de la Cour Pénale Internationale, pour «crime de guerre».
Sous son quinquennat, François Hollande aurait ordonné « au moins quatre assassinats ciblés » visant des djihadistes. C'est ce que révèlent les journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme au cours d'une interview diffusée sur BFMTV. Une révélation qui a fait beaucoup réagir: de la violation du secret-défense à la demande de destitution. Il restait cependant un angle sous lequel le chef d'Etat et chef suprême des forces armées n'avait pas été attaqué: celui de crime de guerre. L'avocat Gilles Devers s'apprête à déposer une plainte auprès du procureur de Paris:
« On a des définitions précises, en droit interne et en droit international, et dans le cadre de la guerre que s'il est en position de combattant, sinon, ça s'appelle un meurtre. C'est défini depuis très longtemps et ça résulte de la meilleur source de droit international qui est le statut de la Cour Pénale Internationale, ratifié par la France. Le deuxième volet, c'est le fait de condamner à mort quelqu'un, sans possibilité de se défendre par un procès inique puisqu'à partir de renseignements informatiques, nous décidons d'abattre quelqu'un ».
La Cour Pénale Internationale, dont la France a ratifié le statut, stipule que l'« assassinat ciblé, décidé par le pouvoir politique et commis dans le contexte d'un conflit armé, est un crime de guerre ». Céline Bardet, juriste spécialisée dans les questions de justice et de crimes de guerre, rappelle que « c'est contraire au droit international, sauf en cas de légitime défense sur un terrain militaire.
Là, il faut rentrer dans des détails extrêmement précis et concrets mais dans ce cas-là ce n'est pas qualifié d'assassinat ciblé. Un assassinat ciblé c'est contraire au droit international, purement et simplement. Ce n'est même pas une question de Cour Pénale Internationale […]. La question, je la pose dans l'autre sens: ce n'est pas de savoir s'il pourrait être poursuivi, c'est de savoir qualifier cet élément-là ».
En 2014, l'élimination d'Ahmed Godane, chef des shebabs en Somalie, serait le fruit de la coopération entre François Hollande et Washington. Selon une source élyséenne, « la France et le président de la République ont appuyé la coopération en matière de renseignement et de coordination ». Selon l'hebdomadaire le Point, l'ordre aurait été donné par le président de la République française.
https://fr.sputniknews.com/points_de_vue/201611151028713036-hollande-cour-penale/
Avec ce radar dernier cri l’armée russe verra les ennemis à travers les murs
RépondreSupprimer21:07 15.11.2016
Les forces spéciales et l’armée russes luttent déjà avec succès contre les terroristes et les criminels partout dans le pays. Elles sont composées de soldats très bien entraînés et qui sont prêts à effectuer des missions à tout moment. Un nouvel équipement pourrait les rendre encore plus efficaces !
Un radar sophistiqué conçu et produit par une société russe permet aux troupes de la Garde nationale russe de détecter les ennemis non seulement à travers les murs des bâtiments, mais aussi dans les abris déguisés et dans les tunnels souterrains. Sputnik a recueilli le commentaire du représentant de la société qui a livré cet équipement. « La gamme des radars détecteurs capables de détecter des personnes derrière les obstacles permet aux troupes de l'armée ou aux forces spéciales d'obtenir des informations essentielles sur les cibles qui se trouvent derrière les murs en augmentant le niveau de sécurité et de mobilité de l'opération », a raconté Igor Védénéev, chef du département de l'ingénierie de la reconnaissance du groupe Géotech-Logis.
Ces radars peuvent détecter des objets mouvants derrière des constructions multicouches et derrière plusieurs murs. De plus, outre cette fonction principale, le dispositif est doté d'un mode de recherche supplémentaire qui permet de trouver des objets caché tels que les mines, les explosifs où des objets de contrebande. Une fiction ? Pas le moins du monde ! « Nos appareils ne sont pas des modèles d'essai ou des prototypes. C'est une gamme d'appareils de série, qui sont produits en grandes quantités. Nous livrons notre production sur le marché domestique, ainsi qu'à l'étranger, où il est bien apprécié des consommateurs », a fait savoir M. Védénéev. Vous avez aussi tort, si vous pensez que c'est un appareil très gros exigeant du matériel lourd pour fonctionner.
Par exemple, le radar, RO-900, le plus compact de la gamme, ne pèse que 800 grammes et est capable de détecter les cibles à la distance de 11 mètres à travers un mur de briques de 40 cm d'épaisseur. Il peut également démasquer les cibles en fonction de leur mouvement ou de la respiration. Il est ainsi doté du mode « géoradar » (mode qui scanne les structures des bâtiments, des sols et autres objets). Il faut noter que des ingénieurs d'autres pays ont développé des dispositifs similaires. M. Védénéev a expliqué qu'Israël, les États-Unis et le Royaume-Uni ont leurs propres technologies.
Dans le même temps, il a souligné que les radars russes, contrairement à ses concurrents, détectent des objets à travers des obstacles constitués de plusieurs couches d'épaisseur ou à travers plusieurs murs. L'autre avantage de ce radar « magique », et non des moindres, c'est son prix.
https://fr.sputniknews.com/international/201611151028712227-radar-russie-murs/
L'élection de Donald Trump a déjà un énorme impact sur l'économie
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
Le 14 novembre 2016
L'élection de Donald Trump a provoqué des ondes de choc dans l'économie américaine et dans le système financier des États-Unis. Depuis le 8 novembre, le Dow Jones a atteint un tout nouveau record historique, le dollar des États-Unis s'est considérablement renforcé et les titres bancaires sont à la hausse. Mais toutes les nouvelles économiques ne sont pas de bonnes nouvelles. Contrairement aux actions, les obligations ont réagi très négativement à la victoire électorale de Trump. La semaine dernière a été un bain de sang absolu pour les négociants en obligations et, comme vous le verrez ci-dessous, cela aura des répercussions dramatiques pour tous les consommateurs américains.
Au cours d'une période de deux jours seulement, plus d'un billion de dollars a été anéantie, les rendements obligataires augmentant dans le monde entier. Comme l'a noté CNN, ce type de «réaction violente» sur le marché obligataire ne s'est produit que trois autres fois au cours des dix dernières années ...
Le taux des bons du Trésor à 10 ans est passé de 1,77% avant les élections à 2,3%. Le pic de la semaine dernière des taux du Trésor a été si grand, qu'il avait seulement eu lieu trois fois au cours de la dernière décennie.
Russ Koesterich de BlackRock l'appelait une «réaction violente».
Le mouvement a des répercussions importantes pour tous les Américains. Non seulement le gouvernement des États-Unis devra-t-il payer davantage pour emprunter de l'argent, mais les taux hypothécaires et les coûts des prêts hypothécaires devraient également augmenter. C'est parce que les bons du Trésor sont utilisés comme point de référence pour de nombreuses autres formes de crédit.
Comme les taux d'intérêt augmentent, pratiquement tout le monde dans notre société va sentir la douleur.
Ceux qui ont besoin d'un prêt auto afin d'acheter un véhicule vont trouver que les paiements de prêt sont nettement plus élevés qu'ils étaient avant.
Les taux de carte de crédit augmenteront également, et ceux qui sortent de l'école découvriront que leurs paiements de prêts étudiants sont encore plus étouffants.
Mais le plus grand impact se fera sentir sur le marché du logement. Le taux moyen sur une hypothèque fixe de 30 ans vient de frapper la barrière psychologiquement importante de 4 pour cent, et cela pourrait signifier de gros problèmes pour le marché du logement en 2017 ...
Le taux de contrat moyen sur la populaire hypothèque fixe de 30 ans a frappé 4 pour cent, selon Mortgage News Daily, un niveau plus ne s'attendait pas à voir jusqu'au milieu de l'année prochaine. Les taux ont maintenant augmenté de près d'un demi-point de pourcentage depuis que Donald Trump a été élu président.
«La situation sur le terrain est paniqué. Contrôle des dommages », a déclaré Matthew Graham, chef de l'exploitation de Mortgage News Daily. "Les gens essayaient de bloquer les prêts rapidement la semaine dernière et sont maintenant confrontés à un dur choix de verrouiller aujourd'hui ou espérer un rebond. Beaucoup espéraient un rebond la semaine dernière en direction du long week-end et nous n'avons évidemment pas obtenu. "
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La hausse des taux d'intérêt a été l'un des principaux facteurs qui ont précipité la crise financière de 2008, et beaucoup craignent qu'elle ne se reproduise.
RépondreSupprimerEt sans aucun doute, cette hausse des tarifs va affecter l'abordabilité des maisons qui sont déjà sur le marché ...
«Si vous allez acheter une maison et votre paiement hypothécaire a augmenté de 200 $ ou 300 $, vous pouvez acheter une maison plus petite. Il y a un impact sur les secteurs sensibles aux taux d'intérêt, comme les automobiles et le logement, et aussi les obligations d'entreprises elles-mêmes, où l'ingénierie financière a aidé à liquider le marché boursier", a déclaré George Goncalves, directeur de la stratégie tarifaire chez Nomura.
En outre, la hausse des taux rendra plus difficile pour ceux avec des prêts hypothécaires à taux variable de garder leurs maisons. L'activité de forclusion était déjà en hausse de 27 pour cent au cours du mois d'octobre, et beaucoup prévoient que nous pourrions voir un autre pic géant dans les saisies au cours des mois à venir qui est semblable à ce que nous avons vu lors de la dernière crise financière.
De nombreux partisans de Trump ne se soucient pas vraiment ce que le reste du monde pense de notre nouveau président, mais c'est un domaine où ce que le reste du monde pense vraiment, vraiment des questions.
La vérité est que le reste de la planète n'est pas trop friands de Trump, et si cela les rend beaucoup moins désireux de nous prêter de l'argent qui est un problème majeur.
La seule façon que nous puissions maintenir notre niveau de vie alimenté par la dette massivement gonflé est de continuer à emprunter des montagnes gigantesques d'argent du reste du monde à des taux d'intérêt ultra-bas.
Si le reste du monde commence à exiger des taux de rendement plus élevés maintenant que Trump est président, nous allons faire l'expérience de la douleur économique à une échelle que la plupart des Américains ne croient pas possible.
L'un de nos grands prêteurs a été la Chine, et en ce moment ils sont profondément préoccupés par ce qu'est une présidence Trump pourrait signifier. Trump a parlé très dur sur le commerce avec la Chine, et les Chinois se préparent à une guerre commerciale majeure. Ce qui suit provient de CNBC ...
Au cours de sa campagne électorale cette année, Trump a parlé d'un droit d'importation de 45 pour cent sur tous les produits chinois tout en omettant de décrire comment cela fonctionnerait. Si une telle politique devait entrer en vigueur, la Chine adoptera une approche "à l'aveuglette", selon un article d'opinion publié dans le Global Times, un journal appuyé par le parti communiste.
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RépondreSupprimer"Un lot de commandes de Boeing sera remplacé par Airbus. Les ventes de voitures et d'automobiles aux États-Unis en Chine subiront un recul et les importations de soja et de maïs des États-Unis seront stoppées. La Chine peut également limiter le nombre d'étudiants chinois qui étudient aux États-Unis », lire l'article du Global Times.
La plupart des partisans de Trump supposent que depuis Trump a été un homme d'affaires très prospère qu'il sera en mesure de renforcer l'économie des États-Unis.
Mais ce n'est pas si simple.
La seule raison pour laquelle nous sommes en mesure de vivre la façon dont nous vivons aujourd'hui est parce que nous avons été en mesure d'emprunter des milliards de dollars sur des milliards de dollars à des taux d'intérêt irrationnellement bas.
Le moment où le reste du monde décide qu'ils ne vont pas nous prêter de l'argent à des taux d'intérêt irrationnellement bas plus longtemps le jeu est terminé, et il ne sera pas vraiment qui est à la Maison Blanche à ce moment-là.
Alors regardez les taux d'intérêt très attentivement. S'ils continuent à monter, il est inévitable qu'un ralentissement économique majeur suivra peu importe les politiques économiques que la nouvelle administration Trump met en œuvre.
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/the-election-of-donald-trump-is-already-having-an-enormous-impact-on-the-economy
Barroud d'honneur des lobbyistes avant que Trump ne prenne ses fonctions. Ramasser le plus d'argent possible sur le dos de tout le monde avant le 21 Janvier !
SupprimerQui aurait imaginé voir le système impérial US se décomposer aussi rapidement ?
RépondreSupprimerChroniques du Grand Jeu
lun., 14 nov. 2016 20:54 UTC
Qui aurait imaginé, même dans ses rêves les plus fous, voir le système impérial US se décomposer aussi rapidement ? Certes, il y avait eu des signes avant-coureurs : crise grecque, montée des ""populismes"" (entre huit guillemets) en Europe, multiplication des voix discordantes concernant la politique anti-russe (Hongrie d'Orban, Italie, Slovaquie, République tchèque, Grèce, industriels allemands etc.), record d'impopularité des hommes de paille de Washington (Flamby Ier rejoignant les rois fainéants mérovingiens dans le palmarès des dirigeants les plus détestés de l'histoire de France)...
Mais l'année 2016 restera comme l'apothéose de ce détricotage. En mai dernier, avant le sommet du G7 à Tokyo, un eurocrate envisageait le "scénario de l'horreur" :
Imaginez si, au lieu de Barack Obama, François Hollande, David Cameron et Matteo Renzi, nous avons Donald Trump, Marine Le Pen, Boris Johnson et Beppe Grillo.
Un mois plus tard, le scénario tant honni commençait à se mettre en place, au grand dam de Washington, Bruxelles et de leurs relais médiatiques. Le Brexit envoya des ondes de choc à travers tout l'empire :
A l'échelle continentale, les eurocrates sont paniqués devant le possible effet domino. Car tout l'anti-système s'y met : Wildeers réclame un référendum aux Pays-Bas, Le Pen et Mélenchon en France, le Mouvement 5 étoiles en Italie ; l'Autriche, la Hongrie, la République tchèque font également la queue. Nexit, Frexit, Itaxit, Auxit, Tchèxit, Honxit etc. - les eurolâtres sont affolés et feront tout pour bloquer les revendications des peuples. Si l'UE était démocratique, ça se saurait n'est-ce pas...
Mais derrière, c'est évidemment l'affrontement entre les deux grands qui se profile. L'ombre du méchant ogre russe, accusé de toutes les turpitudes, plane sur le Brexit. La corporation médiatique nous avait déjà prévenus avec des trémolos dans la voix. A peine vaincu, Cameron n'a pu s'empêcher un commentaire désabusé - "Poutine doit être content" - s'attirant une réponse ironique du maître du Kremlin. L'ancien ambassadeur US à Moscou, Michael Mc Faul, va plus loin : "C'est une gigantesque victoire pour Poutine. Je le félicite pour sa victoire ce soir." (!)
Qu'il mette dans le camp des perdants du Brexit les Etats-Unis est une forme d'aveu. Le lecteur de ce blog ne sera pas surpris, qui sait que la construction européenne fut dès le départ un projet américain visant à mettre la main sur le Vieux continent. Les avertissements d'Obama à son vassal n'avaient guère étonné, même s'il avaient finalement eu l'effet inverse de celui escompté.
Le maître de l'empire se voit aujourd'hui obligé de déclarer qu'il "respecte le vote britannique" (manquerait plus que ça !) mais les stratèges US l'ont mauvaise. "Le Royaume-Uni et l'Union européenne resteront des partenaires indispensables" a-t-il ajouté. Mais voilà le problème : deux au lieu d'un, et peut-être bientôt trois, quatre, cinq, qui commenceront à partir dans tous les sens, n'écouteront plus que d'une oreille les recommandations de tonton Sam, au lieu d'une structure européenne centralisée noyautée par les Américains. Voilà le souci européen de Washington...
(suite en dessous:)
Soyons honnête, la Russie bénéficie évidemment du Brexit. Le bras européen de l'empire se fissure, l'intense lobbying anti-russe de la Grande-Bretagne au sein des instances eurocratiques ne sera bientôt plus qu'un souvenir, le vent de révolte gagne le Vieux continent tout entier où les partis eurosceptiques sont en même temps russophiles.
RépondreSupprimerA Moscou, on préfère la jouer modeste, Medvedev versant même une larme de crocodile sur les possibles conséquences économiques négatives du Brexit. Mais dans les couloirs du Kremlin, on doit jubiler. Le système impérial US en Europe se lézarde au moment même où la construction eurasienne ne cesse d'avancer.
Ce n'était pourtant rien en comparaison de ce qui allait se passer trois mois plus tard, au coeur même de l'empire, la deuxième étape du "scénario de l'horreur". Tout a été dit sur le changement tectonique que représente l'élection du Donald, inutile d'y revenir. Penchons-nous plutôt sur quelques nouvelles fraîches.
A Bruxelles, c'est la panique. L'OTAN planche sur un panel de scenarii dont celui du pire : un retrait pur et simple (quoique improbable) de toutes les troupes américaines présentes en Europe. D'ors et déjà, le sommet prévu début 2017 a été reporté à l'été. A quelques kilomètres du QG des atlantistes, les euronouilles sont également en état de choc. Plusieurs élections importantes sont prévues dans les douze prochains mois : Autriche en décembre, Pays-Bas en mars (mois où l'article 50 devrait également être enclenché par Londres), France en avril, Allemagne en octobre...
Devant la perspective d'une déculottée, la grosse Bertha Merkel singe d'ailleurs l'hilarante et dit craindre une possible "ingérence russe" (ne riez pas !) dans le processus électoral allemand. Ce n'est même plus du théâtre, c'est de l'opéra-bouffe...
Le chaos eurocratique a encore augmenté d'un degré dimanche lorsque s'est tenue une réunion des ministres des Affaires étrangères européens pour débattre de la position de l'UE face à Trump. Pour des raisons différentes, Londres (Boris Johnson a boycotté la sauterie) et Paris n'étaient pas présents ! Quant au ministre hongrois, il a qualifié la réaction des dirigeants politiques européens d'« hystérique ». Farage, lui, est mort de rire...
Autre conséquence de l'élection du Donald, le Premier ministre tchèque vient de clairement rejeter l'installation du bouclier antimissile US dans son pays :
C'est du domaine de la science-fiction et cela ne se produira jamais. Mon point de vue là-dessus est négatif. Je pense qu'aujourd'hui, nos problèmes de sécurité sont ailleurs. Le radar [des Etats-Unis en République tchèque] signifierait une escalade de la tension dans les relations avec la Russie, tandis que nous avons besoin de profiter de l'opportunité offerte par l'élection de Donald Trump pour que les Etats-Unis et la Russie se mettent autour d'une même table. La fin de la guerre en Syrie est la question qui revêt maintenant la plus grande importance pour l'Europe.
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Comme si ça ne suffisait pas, nouveau coup dur pour l'Union ectoplasmique : la Bulgarie et la Moldavie viennent d'élire des dirigeants eurosceptiques et pro-russes. Nous avions parlé de la petite Moldavie il y a quelques mois et prévu l'évolution actuelle :
RépondreSupprimerLe gouvernement pro-européen s'écroule, pris qu'il est dans les scandales de corruption en tout genre, l'ancien premier ministre Filat étant même arrêté par la police en plein parlement ! Evidemment vous n'en entendrez pas parler dans les médias.
Les partis pro-russes semblent sur le point de reprendre le pouvoir, décidés à se rapprocher de l'Union eurasienne plutôt que de l'Union européenne. Pour Moscou, la perspective de prendre l'Ukraine à revers et d'enfoncer un coin entre deux des Etats - l'Ukraine post-putsch et la Roumanie - les plus atlantistes d'Europe orientale n'est pas inintéressante. Affaire à suivre...
Nous y voilà ! Le rapprochement avec la Russie est dans les tuyaux, ce que vient de confirmer le tout nouveau président. Moscou se réjouit également de la victoire de Rumen Radev en Bulgarie. Attention, pas de révolution en perspective du côté de Sofia ; Radev ne prévoit pas de sortir de l'UE ou de l'OTAN et le Kremlin n'envisage pas de remettre au goût du jour le South Stream. Mais le président fraîchement élu s'est élevé à plusieurs reprises contre les sanctions contre Moscou et a symboliquement reconnu que la Crimée était une terre russe. Nouveau cheval de Troie poutinien au sein d'un système impérial en pleine déconfiture...
https://fr.sott.net/article/29410-Qui-aurait-imagine-voir-le-systeme-imperial-US-se-decomposer-aussi-rapidement
SupprimerMême si un candidat élu est l'œuvre d'un parti, sa politique est le plus souvent toute personnelle et non inféodée à ses adhérents. C'est pourquoi l'on ne peut comparer deux pays qui ont la même ligne de parti. Parti socialiste pour Obama, parti socialiste pour Maduro, parti socialiste pour Hollande. Trois politiques différentes pour le même parti.
11 Réalités économiques très déprimantes que Donald Trump va hériter de Barack Obama
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
Le 15 novembre 2016
Ce serait une grave erreur de sous-estimer les dommages subis par l'économie américaine au cours des huit dernières années. Dans cet article, je vais partager quelques chiffres économiques avec vous qui sont extrêmement inquiétant.
Quiconque prend un regard froid, dur et honnête sur les chiffres devrait être en mesure de voir que notre économie est en terrible forme. Malheureusement, la façon dont nous voyons les choses est souvent assombrie par nos opinions politiques. Jusqu'à l'élection, les démocrates étaient beaucoup plus susceptibles que les républicains de croire que l'économie s'améliore, mais maintenant que c'est en train de complètement inverser. Selon Gallup, seulement 16% des républicains croyaient que l'économie s'améliorait avant les élections, mais ce nombre est passé soudainement à 49% après la victoire électorale de Trump. Et le pourcentage de démocrates qui croient que l'économie s'améliore est tombé de 61 % à 46 % après les élections. Voici quelques détails supplémentaires de Gallup ...
Après que Trump a remporté les élections de la semaine dernière, les républicains et les indépendants républicains ont maintenant une vision beaucoup plus optimiste de l'économie des États-Unis qu'avant l'élection. Seulement 16% des républicains ont dit que l'économie s'améliorait dans la semaine précédant les élections, tandis que 81% ont dit qu'elle s'aggravait. Depuis l'élection, 49% disent qu'elle s'améliore et 44% est pire.
À l'inverse, la confiance des démocrates et des indépendants démocrates dans l'économie s'est effondrée après les élections. Avant les élections, 61% des démocrates disaient que l'économie s'améliorait et 35% pire. Maintenant, les démocrates sont divisés de manière égale, avec 46% disant qu'il va mieux et 47% disent qu'il s'aggrave.
La vérité, bien sûr, est que le résultat de l'élection n'a pas modifié magiquement les perspectives de l'économie américaine.
Nous avons encore un énorme gâchis sur nos mains, et les 11 réalités économiques sont très déprimantes que Donald Trump héritera de Barack Obama ...
# 1 Près de 7 sur 10 Américains ont moins de 1 000 $ d'économies. Cela signifie qu'environ deux tiers du pays vit essentiellement de chèque de paie à chèque de paie en ce moment.
# 2 Reuters rapporte que les investisseurs américains sont prêts à perdre des «milliards» de dollars que l' «apocalypse de détail» dans ce pays qui s'approfondit.
# 3 La délinquance carte de crédit a atteint le plus haut niveau que nous avons vu depuis 2012.
# 4 Environ 35 % de tous les Américains ont une dette qui est au moins 180 jours en retard.
# 5 Le taux d'accession à la propriété a chuté pendant huit ans consécutifs et est maintenant planant près d'un faible de 50 ans.
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# 6 Le nombre total d'employés du gouvernement dépasse maintenant le nombre total d'employés manufacturiers dans ce pays de près de 10 millions.
RépondreSupprimer# 7 Le nombre de sans-abri à New York (où Donald Trump est de) a atteint un tout nouveau record.
# 8 Environ 20 % de tous les jeunes adultes vivent actuellement avec leurs parents.
# 9 La dette totale des ménages aux États-Unis a maintenant atteint un total de 12,3 billions de dollars.
# 10 Le montant total de la dette des entreprises aux États - Unis a presque doublé depuis la fin de 2007.
# 11 Quand Barack Obama est entré à la Maison Blanche, le gouvernement des États-Unis était de 10,6 trillions de dollars de la dette. Aujourd'hui, la dette nationale des États-Unis est actuellement assis à un total stupéfiant de $ 19,842,173,949,869.58 (presque 20 mille milliards de $).
Malgré le doublement de la dette nationale pendant ses huit ans à la Maison Blanche, Barack Obama sera le seul président de l'histoire des États-Unis à ne jamais avoir une seule année où le PIB des États-Unis a augmenté d'au moins trois pour cent.
Alors, Donald Trump va-t-il entrer et tout tourner autour ?
Tout comme quand George W. Bush a été élu, il ya beaucoup d'optimisme sur l'avenir en ce moment parmi les républicains.
Et en 2017, les républicains vont avoir le contrôle du Sénat et de la Chambre en plus d'avoir le contrôle de la Maison Blanche.
Mais cela signifie-t-il qu'ils obtiendront réellement quelque chose ?
Pour un moment, passons en revue ce qui ne s'est pas produit la dernière fois que les républicains étaient dans cette position. Ce qui suit est un extrait étendu d'un article par l'auteur Devvy Kidd ...
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Les républicains avaient le contrôle des deux chambres du Congrès pendant une partie du temps pendant les deux termes de Bush, Jr.. Ont-ils fermé nos frontières ? NON.
Ont-ils adopté une loi pour arrêter TOUT le financement pour les illégaux qui auto-déporter des millions de menteurs, des tricheurs et des voleurs ? NON. (LISEZ, s'il vous plaît: Comment auto-déporter des millions d'illégaux)
Ont-ils arrêté des milliards dans des dépenses inconstitutionnelles ? NON.
Se sont-ils débarrassés de l'un des ordres exécutifs anticonstitutionnels de Clinton ? Un ou deux, mais sinon laisser le camarade Bill Clinton chier sur nos visages.
Ont-ils se débarrasser d'un cabinet inconstitutionnel comme le HHS, le ministère de l'Éducation et l'EPA ? NON.
Ont-ils arrêté l'aide étrangère anticonstitutionnelle ? NON.
Ont-ils arrêté les dépenses inconstitutionnelles pour Planned Parenthood ? NON. Le Congrès continue à utiliser l'argent emprunté pour dépenser plus de dettes.
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Ont-ils arrêté les dépenses inconstitutionnelles pour le canular gigantesque appelé le réchauffement climatique ou le changement climatique ? NON. Trump: La gauche vient de perdre la guerre contre le changement climatique
RépondreSupprimerEst-ce que Bush, Jr., nous a fait sortir de tous les traités commerciaux destructeurs qui ont tué des emplois américains ? NON.
Ont-ils réprimé les visas apportant des dizaines de milliers de travailleurs étrangers lorsque les travailleurs américains qui veulent travailler sont laissés dans la ligne du chômage ? NON.
Ont-ils arrêté de plus en plus de règlements fédéraux étrangler les entreprises de l'Amérique ? NON.
Ont-ils accusé un seul juge militant de détruire notre liberté et notre liberté ? NON.
Un Congrès républicain contrôlé avec un républicain à la Maison Blanche et ils n'ont pratiquement rien pour restaurer l'Amérique à une république constitutionnelle et les dépenses constitutionnelles.
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Alors, les choses seront-elles différentes sous une administration Trump ?
Nous verrons.
Il y aura énormément de pression pour maintenir le statu quo dans de nombreux cas, car le processus de fixation des choses rendra sans doute les conditions pires à court terme.
Un bon exemple en est la dette nationale. Comme je l'ai dit hier, la seule raison pour laquelle nous sommes en mesure d'apprécier un tel niveau de vie massivement gonflé dans ce pays est parce que nous avons pu emprunter des milliards de dollars de trillions de dollars du reste du monde à des taux d'intérêt extrêmement bas.
Si le gouvernement fédéral commençait à dépenser seulement l'argent qu'il a versé par le biais des impôts, notre niveau de vie ridicule alimenté par la dette commencerait à s'effondrer immédiatement.
Nous consommons beaucoup plus de richesses que nous ne produisons, et la seule façon que nous sommes en mesure de le faire est d'emprunter des montants fous d'argent.
Soit Donald Trump va continuer à emprunter de l'argent imprudemment, ou nous allons entrer dans un ralentissement économique des grandes ligues.
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C'est aussi simple que ça.
RépondreSupprimerMais quand nos politiciens empruntent de l'argent, ils détruisent littéralement l'avenir de ce pays. Donc, le choix est la douleur à court terme ou une douleur plus à long terme.
Il y a un moyen de sortir, et cela impliquerait de fermer la Réserve fédérale et d'aller à une forme d'argent sans dette, mais c'est un sujet pour un autre article.
Et malheureusement ce n'est pas quelque chose qui est même sur le radar de Donald Trump à ce stade.
Peu importe qui a gagné l'élection, le prochain président allait être confronté à des réalités économiques très dures.
Il ya beaucoup là-bas qui ont foi que Donald Trump peut tirer un miracle économique sans précédent, mais il ya d'autres qui sont profondément sceptiques.
Espérons le meilleur, mais aussi nous préparons pour le pire.
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/11-very-depressing-economic-realities-that-donald-trump-will-inherit-from-barack-obama
Migrants en Ile-de-France : les maires «gueulent», le préfet de région «s'en fout»
RépondreSupprimer16 nov. 2016, 21:41
Le préfet de région, comme les autres préfets qui sont sous ses ordres ne répond qu'au sommet de l'Etat. Et l'Etat a donné une mission à Jean-François Carenco : loger les migrants. Les maires et leurs administrés devront s'y faire.
Le préfet de la région Ile-de-France, Jean-François Carenco, a une conception spéciale de la démocratie. Les protestations d'une partie des maires – et de la population – contre l'arrivée en grande couronne de migrants délogés du camp de Stalingrad dans le nord de Paris, ne le déstabiliseront pas : «Je vais installer des centres. Beaucoup gueulent pour la forme. Je m'en fous !», lance le représentant de l'Etat – mais aussi celui du peuple souverain – droit dans ses bottes.
Ce préfet qui se décrivait en 2010 comme un «malade de la République» de préciser sa pensée : «Les gens ont peur de tout. On verra qui râlera vraiment lorsque ce sera fait et combien de temps». Et pour les maires qui auraient des réserves, ce sera la même chose : «Ils sont minoritaires». Aussi, le préfet ne compte pas perdre de temps à faire de la pédagogie. «Je ne vais pas commencer à en parler six mois à l'avance. Je préviendrais trois mois à l'avance», coupe-t-il. «Après ce sera à chaque préfet [de département] de communiquer», décrète-t-il avant d'ajouter : «ou pas».
Après tout, rien n'oblige le préfet à prendre des gants ou à se montrer conciliant. Au contraire, il se dit prêt à passer outre l'avis des maires et à avancer au pas de charge. «Le plus vite possible», précise le fonctionnaire qui s'était fait flasher pour excès de vitesse en 2013, alors qu'il était préfet de la région Rhône-Alpes et qu'il venait juste de prendre des mesures pour lutter contre les excès de vitesse.
Jean-François Carenco se dit enfin prêt à réquisitionner des «anciens hôtels, des anciennes casernes de gendarmerie, [à] faire installer des structures modulaires» car, selon lui, la vague migratoire n'est pas près de se tarir et il faut se préparer à en accueillir toujours plus. «Le monde est comme ça», conclut-il.
Lire aussi : Morbihan : des manifestants identitaires forcent l'entrée d'un centre pour migrants (IMAGES)
https://francais.rt.com/france/29051-migrants-maires-gueulent-prefet-rien-foutre
La Belgique et les Pays-Bas ne veulent pas accueillir de réfugiés algériens ou marocains
RépondreSupprimer16 nov. 2016, 16:01
Les autorités belges et néerlandaises envisageraient de prendre des mesures pour dissuader les demandeurs d'asiles des pays considérés comme «sûrs» de venir dans le Benelux. Les réfugiés marocains et algériens seraient particulièrement visés.
Selon l'agence de presse néerlandaise ANP, le secrétaire d’Etat à la Justice et la Sécurité des Pays-bas, Klaas Dijkhoff, a décidé de mettre un terme aux versements de primes destinées aux immigrés clandestins algériens et marocains qui acceptent de quitter volontairement les Pays-Bas.
Selon Klaas Dijkhoff, les ressortissants de ces deux pays savent qu’ils ont peu de chances d’obtenir un titre de séjour. Pour le secrétaire d’Etat, ces «aides au départ» sont un privilège injustement concédé qui laissent à penser que les Pays-Bas sont «un grand sac plein d’argent qu’on peut venir percevoir à sa guise».
En octobre dernier, le contingent de demandeurs d’asile le plus important aux Pays-Bas était celui du Maroc, suivi par l'Algérie. Ces deux pays sont pourtant déjà considérés comme sûrs par les autorités néerlandaises.
La Belgique prévoirait également de durcir le ton face à certains demandeurs d'asile. Selon les journaux De Morgen et Het Laatste Nieuws, Theo Francken, le secrétaire d'Etat à l'Asile et à la Migration, projetterait d'élargir la liste belge des pays sûrs en y ajoutant l’Algérie, la Tunisie, le Maroc, le Bénin, le Sénégal et la Moldavie.
Selon la presse, l'objectif de l'élargissement de la liste serait de réduire les chances des ressortissants de ces pays d’obtenir l’asile en Belgique. Il s'agirait également de faciliter leur rapatriement.
Lire aussi : Après Cologne, les migrants algériens et marocains bientôt placés dans les centres d'expulsion ?
https://francais.rt.com/international/29027-belgique-pays-bas-ne-veulent-plus-refugies-algerie-maroc
Médecine nucléaire : la Russie augmente la production des isotopes qui soignent le cancer
RépondreSupprimer21:00 16.11.2016
La Russie a renforcé ses positions sur le marché mondial dans la production des isotopes médicaux dont l’utilisation assure le diagnostic, le pronostic et le suivi thérapeutique de nombreuses pathologies, dont le cancer. Sputnik a fait le tour des isotopes produits en Russie qui sauvent et prolongent les vies humaines tous les jours. La médecine nucléaire progresse quotidiennement depuis sa naissance à la fin de la seconde guerre mondiale. Elle a révolutionné l'étude du fonctionnement des organes. Il existe deux types d'examens nucléaires : la scintigraphie et la TEP (tomographie par émission de positons). Ils consistent en l'administration dans l'organisme de très faibles doses d'un médicament radio-pharmaceutique qui est composé d'un produit physiologique et d'un isotope radioactif. La médecine nucléaire peut aussi permettre de traiter des pathologies comme le cancer grâce aux médicaments radio-pharmaceutiques qui détruisent les cellules malades.
Il y a encore quelques années, la production de la quasi-totalité des isotopes radioactifs dans le monde était assurée par cinq réacteurs se trouvant dans cinq pays :en Australie, en Afrique du Sud, au Canada, en France et aux Pays-Bas. Mais la situation à bien changé depuis et la Russie est arrivée sur le marché et a donné une nouvelle impulsion à la médecine nucléaire.
Molybdène 99, strontium 89, gadolinium 153 et lutétium 177 sont les isotopes les plus utilisés. Quelles sont leurs particularités ?
Le molybdène 99 n'est pas un produit fini utilisé dans la médecine nucléaire. Il sert à fabriquer un autre métal radioactif: le technétium 99. Le technétium a un impact doux sur l'organisme humain et permet de dépister des maladies à un stade précoce.Il peut s'accumuler dans les organes atteints d'une tumeur ou dans les zones nécrosées du myocarde, c'est pourquoi cette méthode permet, par exemple, d'identifier le foyer de l'infarctus du myocarde 24 heures après son déclenchement.
En Russie, à Dimitrovgrad (Volga) plus précisément, l'Institut de recherche des réacteurs nucléaires réalise son plus grand projet : la production industrielle d'isotopes à demi-vie réduite pour créer des produits pharmaceutiques, avant tout le molybdène 99, explique à Sputnik Roslislav Kuznetzov, chef du département des sources radionucléides de l'Institut : « Depuis très longtemps nous faisons partie du marché mondiale de la production des isotopes. Nous sommes connus sur le marché et par nos clients, car nous nous en occupons depuis plus de 25 ans. Notre particularité c'est notre réacteur extrêmement puissant […] Des réacteurs de ce genre il n'en existe que chez nous et aux USA ».
Les spécialistes du domaine précisent qu'il est tout à fait possible que la Russie devienne le premier fournisseur mondial de molybdène car le marché est pratiquement illimité. Le déficit de cet isotope médical sur le marché dépasse aujourd'hui 30% avec un besoin moyen de 12 000 curies par semaine (les isotopes ne sont pas mesurés en grammes, au poids, mais en unités d'activité des matériaux — le curie). Sachant que les prix du molybdène 99 atteignent 1 500 dollars le curie* (1 404 euros).
(suite en dessous:)
Le strontium 89 est produit à Dimitrovgrad (Volga). Cet assemblage chimique est utilisé dans la production métallurgique, dans l'industrie alimentaire et en médecine nucléaire. Cet isotope radioactif est utilisé à des fins médicales. Son rayonnement à doses tolérées peut soigner un grand nombre de maladies graves qui étaient encore incurables il y a quelques temps. © SPUTNIK. Strontium-89
RépondreSupprimerLa chimiothérapie est-elle si efficace pour traiter le cancer ?
Les composés du strontium 89 servent également de médicament pour soigner l'épilepsie, la néphrite et corriger les déformations à l'âge pédiatrique par les orthopédistes. Dans une certaine mesure, il peut être un agent vermifuge. Roslislav Kuznetzov explique que l'Institut de recherche des réacteurs nucléaires de Dimitrovgrad est parvenu à fabriquer un produit unique. « C'est devenu plus rentable de changer de réacteur et d'utiliser une nouvelle technologie de production. Maintenant notre produit, le strontium 89, est vraiment demandé sur le marché russe et sur le marché mondial ».
Une autre nouveauté — un laser avec des vapeurs de strontium — a été créée à Tomsk (Sibérie de l'Ouest) en collaboration avec des Américains pour une utilisation sur les tissus biologiques, comme les os, par exemple. Le laser aux vapeurs de strontium a un grand potentiel d'application, affirment les chercheurs. Gadolinium 153 La Russie est le seul pays à produire du gadolinium 153. Ce marché n'est pas très large mais très important car il fournit cet isotope qui sert à la fabrication d'un grand nombre d'appareil utilisés dans le diagnostic des maladies des os.
La production du gadolinium 153 en Russie reste unique. Roslislav Kuznetzov confirme que les fabricants russes ont des clients depuis des années à l'intérieur et à l'extérieur du pays, et pour le moment les tentatives de reproduire cette technologie ailleurs dans le monde n'ont pas abouti. Lutétium 177 Le lutétium 177 est un isotope relativement nouveau. Le même réacteur russe qui assure la fabrication de tous les macroéléments utilisés dans la médecine nucléaire permet de produire plus du lutétium 177 en grande quantité grâce à sa puissance exceptionnelle.
Les spécialistes s'attendent à une révolution dans la médecine grâce au lutétium 177. Il a commencé à être utilisé il y a moins de deux ans, mais les succès sont déjà si importants que Roslislav Kuznetzov promet un « grand avenir » à cet isotrope, qui est d'une excellente qualité en Russie car il n'y a pas de décalage entre les étapes de production : « Il sera possible de résoudre un grand nombre de mystères oncologiques avec l'utilisation du lutétium. Les perspectives sont immenses et la quantité demandée sera très importante ».
La médecine nucléaire est très probablement le domaine le plus en pointe dans le traitement de maladies jadis incurables. La place de la Russie sur ce marché est très importante, car elle renforce la diversité de cette production et garantit un haut niveau de sécurité en cas de panne d'un réacteur, comme en 2009 au Canada. Une collaboration internationale dans ce domaine est la seule possibilité de sauver des centaines de milliers de vies dans les années à venir.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201611161028733730-medecine-nucleaire-russie-cancer/
* Le curie (symbole Ci) est l'ancienne unité de radioactivité. Il correspond à 3,7 × 1010 désintégrations par seconde, ce qui est approximativement l'activité de 1 g de l'isotope du radium 226Ra (ou 15 g de l'isotope du plutonium 239Pu). Il a été nommé ainsi en 1910 en l'honneur de Pierre Curie, décédé en 1906 (et non en l'honneur de son épouse Marie car il est rare d'ainsi mettre en valeur un scientifique vivant). Il n'a jamais fait partie du SI. Lors de la 12e CIPM en 1964, il a été remplacé par l'unité SI correspondante, le becquerel (Bq).
SupprimerOn a :
1 Ci = 3,7×1010 Bq = 37 gigabecquerels, ou 1 Bq = 27,03 picocuries
1 Ci = 2,22×1012 dpm (désintégrations par minute)
Le curie est une unité très grande, bien adaptée aux très fortes radioactivités (ce qui est le cas du radium). À titre de comparaison, une tonne d'uranium 238 (assez faiblement radioactif) n'a qu'une activité totale de 0,3 curie. Les limites des « zones contaminées » par la catastrophe nucléaire de Tchernobyl ont été conventionnellement fixées à une activité en césium 137 de 37 kBq/m², ce qui correspond à un curie par kilomètre carré. Autre exemple : la sonde Cassini, lancée vers Saturne par la NASA en 1997, emportait un générateur électrique au plutonium de type MMRTG de 404 000 curies 1, et les 58 700 curies délivrés par les 4,8 kg de plutonium du MMRTG de Curiosity, lancé le 25/11/2011 vers Mars, servent à fournir à ses batteries la puissance de 110 W.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Curie_(unité)
Le Bureau fédéral d'enquête politique
RépondreSupprimerJudge Andrew P. Napolitano
le Nov 17, 2016
Quand Hillary Clinton a livré une campagne post-mortem à ses principaux partisans lors d'une conférence téléphonique la semaine dernière, elle a blâmé sa perte lors de l'élection présidentielle sur le directeur du FBI, James Comey. Elle aurait dû blamer la perte sur elle-même. Son refus de protéger les secrets d'État alors qu'elle était secrétaire d'État et son incapacité à saisir le ressentiment national envers le gouvernement par les gens oubliés de la classe moyenne étaient beaucoup plus vraisemblables que la cause de sa défaite.
Pourtant, il est évident que les décisions basées sur l'application de la loi au cours des quatre derniers mois ont été faites avec un œil sur le jour du scrutin, et les fonctionnaires qui les ont fait échapper à l'état de droit.
Voici l'histoire de retour.
L'obligation légale du FBI est de recueillir des preuves pour aider à la poursuite ou la prévention des crimes fédéraux ou des atteintes à la sécurité nationale. Le processus de respect de cette obligation implique nécessairement de faire quelques jugements juridiques sur la pertinence, la probité et même la légalité des preuves recueillies. Ces jugements sont parfois rendus dans la rue en cas d'urgence et parfois après consultation et consensus. Mais le but de cette collecte de preuves et de la prise de décision est de présenter un ensemble au ministère de la Justice, pour lequel le FBI travaille, pour sa détermination à demander ou non une poursuite.
Dans les cas où des assignations sont nécessaires, le FBI doit travailler en tandem avec le ministère de la Justice parce que les assignations à comparaître dans les affaires criminelles ne peuvent être délivrés que par de grands jurys et seuls les avocats du DOJ peuvent demander à de grands jurys de les délivrer. Habituellement, le FBI et le ministère de la Justice travaillent ensemble pour présenter ce qu'ils ont à un grand jury afin de construire une cause pour acte d'accusation ou d'inciter un grand jury à émettre des citations et les aider à recueillir plus de preuves.
Les juges fédéraux sont impliqués lorsque des mandats de perquisition ou d'arrestation sont nécessaires. Ce sont souvent des situations émergentes, car la preuve à saisir ou la personne à arrêter pourrait être allé si elle n'est pas poursuivie dans l'ordre court. Ils exigent la présentation de preuves à un juge rapidement et en secret. Il appartient au juge de décider si l'équipe du DOJ / FBI a atteint le seuil constitutionnel de cause probable. La cause probable est remplie lorsque l'équipe de la poursuite montre au juge que les preuves que l'équipe recherche de l'exécution du mandat plus que probable impliquera quelqu'un dans un comportement criminel.
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Ayant délivré de nombreux mandats de perquisition et d'arrestation moi-même, je sais que les juges doivent être curieux et sceptiques. Après tout, un seul côté se présente devant le juge, et toute l'apparence est souvent rapide, peu orthodoxe et dans le secret. Une saine curiosité et un scepticisme amèneront un juriste prudent à se demander si le grand jury a réellement besoin de ce que cherche le mandat de perquisition. Si la réponse est qu'il n'y a pas de grand jury, la plupart des juges mettront fin à la demande et concluront qu'il s'agit d'une expédition de pêche - ou d'aller «de côté», comme le dit l'application de la loi - pas une enquête criminelle sérieuse digne d'implication judiciaire.
RépondreSupprimerTout cela est commandé par la loi pour être gardé secret afin de préserver la preuve, éviter de renverser un défendeur potentiel capable de fuite et de préserver la réputation d'une personne non inculpée.
C'est du moins la façon dont ces choses sont censées fonctionner. Pourtant, rien de tout cela n'est arrivé dans le cadre de la récente réouverture et de la résiliation de l'enquête sur l'utilisation abusive de courriels contenant des secrets d'État par Clinton.
Lors de cette enquête, le ministère de la Justice n'a pas présenté de preuve à un grand jury. Ainsi, il n'a pas obtenu de citations à comparaître. Et il n'a pas recherché de mandats de perquisition. Il a coupé les affaires à gauche et à droite, promettant de ne pas poursuivre ceux de qui il a cherché des preuves problématiques. Après avoir accumulé une montagne de preuves de la culpabilité de Clinton, le FBI ne l'a pas présentée au DOJ.
Au contraire, le directeur Comey a tenu une conférence de presse le 5 juillet, au cours de laquelle il a déclaré que lui et ses collègues du FBI - et non le ministère de la Justice - avaient conclu qu'aucun procureur raisonnable ne prendrait l'affaire; Si Clinton ne serait pas poursuivi. Il a ensuite procédé à la description détaillée des preuves recueillies (SET ITAL) contre (END ITAL) Clinton.
Il a enduré une tempête de critiques pour sa présentation publique de la gravité de la preuve dans l'affaire et sa décision unilatérale de ne pas poursuivre. La tempête de feu a été générée en grande partie par ses propres agents du FBI qui étaient devenus convaincus de la culpabilité de Clinton de l'échec de la protection des secrets d'État (espionnage), ainsi que leur croyance collective que quelqu'un quelque part avait dit à Comey quoi faire.
Puis, à peine 11 jours avant l'élection présidentielle de 2016, Comey a vu une chance de se racheter avec ses critiques. Il a illégalement annoncé la découverte inattendue d'un trésor de 650 000 courriels que lui et son équipe n'avaient pas encore examinés, mais qu'ils pensaient pourraient affecter la décision de ne pas poursuivre. Cela a provoqué une deuxième tempête de feux, dans laquelle cet auteur et d'autres accusé Comey de profondes violations de la loi fédérale, dont le moindre était une agression sur le droit de Clinton à une procédure régulière.
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Sachant que cette annonce - non la reprise de l'enquête mais l'annonce de celle-ci - était illégale, la procureure générale Loretta Lynch n'a rien fait pour l'empêcher.
RépondreSupprimerClinton a commencé à couler dans les sondages. Son adversaire républicain, Donald Trump, maintenant le président élu, a commencé à se réjouir et à célébrer. Puis, deux jours avant les élections, Comey a annoncé que le FBI avait examiné les 650 000 courriels récemment découverts dans une semaine et a conclu qu'aucun d'entre eux n'a affecté la décision de ne pas poursuivre Clinton. Peu de temps après, un fonctionnaire du ministère de la Justice a annoncé que l'enquête par courriel avait été fermée pour la deuxième fois.
Qu'avons-nous ici ?
Nous avons la mauvaise gestion flagrante de la première agence d'application de la loi du pays. Nous avons un DOJ indifférent à la vérité et prêt à protéger une cible d'une enquête criminelle pour des raisons politiques. Nous avons la révélation irrégulière et illégale de choses que la loi ordonne tout à fait bien de garder secrètes.
Nous avons l'injection dangereuse du FBI dans la politique élective, qui peut faire des dégâts ruineux à l'état de droit.
Et nous avions une candidate qui devait se blâmer seule pour toute la controverse.
http://www.judgenap.com/post/the-federal-bureau-of-political-investigation
Google et Facebook veulent censurer « les faux sites d'information »
RépondreSupprimerRaphaële Karayan
L'Express
mar., 15 nov. 2016 19:40 UTC
Pour limiter l'intox sur les réseaux sociaux et sur le moteur de recherche, Google et Facebook entendent interdire aux sites diffusant délibérément de fausses informations de faire de la publicité.
Commentaire : Qui et comment peut-on décider qu'une information est vraie ou fausse ?
L'élection de Donald Trump aux Etats-Unis a fait émerger un débat qui couvait, sur le rôle des réseaux sociaux et des plateformes dans la diffusion de l'information. Et dans le partage d'informations fausses, parfois davantage relayées que les vraies. Mark Zuckerberg, qui déclarait il y a quelques jours que l'idée selon laquelle Facebook aurait influencé le scrutin était "plutôt dingue", et qu'il estimait le volume de fausses news à 1% seulement, a mis de l'eau dans son vin. Facebook, ainsi que Google, ont annoncé lundi des mesures pour empêcher les sites qui publient de fausses informations de faire de la publicité sur leurs plateformes.
Le référencement et la publication ne sont pas concernés
Google prévoit d'interdire l'usage d'AdSense (un dispositif qui permet de placer des encarts publicitaires sur un site web) aux acteurs publiant ce type de contenus. Facebook, de son côté, annonce qu'il ajoute les sites de fausses informations à la liste des sites interdits de publicité sur son réseau (au même titre que les produits et services illégaux, publicités trompeuses et autres "contenus déceptifs").
Ni les contenus partagés par les utilisateurs eux-mêmes, sur Facebook, ni le référencement naturel, sur le moteur de recherche Google et dans Google Actualités, ne sont concernés par ces nouvelles mesures. C'est-à-dire que des sites publiant de fausses news pourront toujours figurer dans le fil d'actualités Facebook, ou ressortir dans les recherches Google.
Pourtant, c'est un problème on ne peut plus préoccupant quand, dans les articles proposés, un contenu délibérément faux se retrouve côte à côte de médias relatant des faits. Tout est mis au même niveau par l'algorithme, l'information et la propagande.
C'est ce qui s'est produit lundi, quand Google Actualités a mis en avant, en première position de Google Actualités, un contenu relatant de faux chiffres sur l'élection, donnant Trump vainqueur du vote populaire.
Des employés de Facebook veulent aller plus loin
Les fausses actualités peuvent devenir un vrai business. BuzzFeed a publié une enquête montrant qu'en Macédoine, des personnes étaient employées pour créer des sites pro-Trump contenant de fausses infos et pour les partager sur Facebook.
Le site rapporte qu'un groupe d'employés de Facebook a décidé de s'emparer de la question des fausses informations sur le réseau social. Ces salariés considèrent que Facebook doit en faire plus, ce qui passe entre autres par une véritable réflexion sur le rôle de la plateforme dans la circulation de l'information et par une meilleure gestion des notifications envoyées par les internautes quand ils pensent repérer une fausse information.
Restera la question de la censure et des limites de l'exercice : quand il s'agit de départager la "vraie" information de la "fausse", c'est là que les ennuis commencent.
Commentaire : En fait tout va bien pour Internet tant qu'il sert les Maîtres du Monde.
https://fr.sott.net/article/29420-Google-et-Facebook-veulent-censurer-les-faux-sites-d-information
Si ce ne sont que les sites qui font appel aux 'pages blanches/carte blanche pour les publicitaires' (espace loué où le publiciste extérieur peut faire afficher sur n'importe quel site acceptant la publicité des photos d'adolf hitler ou de sa voiture légendaire que ses admirateurs achètent encore aujourd'hui !), leur disparition sur le trottoir indiffèrera tous les internautes.
SupprimerNotons que les journaux qui font faire de faux-sondages et diffusent de fausses informations comme '"Une telle a fait le bug sur Internet" (alors qu'elle n'a été regardé par personne ou compteur truqué comme pour l'audimat télévisé ! Hahahaha !), continueront à paraître !
RépondreSupprimerZero Hedge ciblé sur la liste des professeurs libéraux de «Fake News» Sources
Par Tyler Durden
16 novembre 2016 17h40
Nous avons une confession à faire, tout ce que nous avons dit au cours des 7 dernières années a été faux. Eh bien, pas vraiment, mais c'est ce que le ultra-libéral, professeur adjoint de communications au Collège Merrimack, Melissa "Mish" Zimdars, voudrais pour vous de croire.
Bien qu'il ne soit pas clair exactement ce qui a poussé Zimdars à publier une liste de sources de fausses nouvelles, nous avons un soupçon de sournoiser que c'était un mechnisme d'adaptation habilement employé par la Nouvelle-Angleterre, flocon de neige des arts libéraux pour faire face à la défaite étonnante de son candidat présidentiel choisi. Ou peut-être qu'elle essayait simplement d'aider les gens de Google et de Facebook qui ont juré de censurer les sources d'informations fausses en coupant leur accès à la publicité.
Mais, quelle que soit la raison, ci-dessous est la liste complète des ressources d'information que Zimdars, l'arbitre ultime de la crédibilité, a jugé «faux». Notez que bien que la liste inclue de nombreuses sources de nouvelles conservatrices comme Breitbart, Infowars, Twitchy, The Blaze et Bizpac Review, il exclut le balisage de l'impartialité connu sous le nom de The Huffington Post.
En outre, Zimdars a même fourni les directives de catégorisation utiles suivantes pour vous aider à déterminer le niveau de "fakeness" exposé par chaque site. Zero Hedge n'a pas encore été assigné une catégorie, que nous trouvons un peu blessant.
CATÉGORIE 1: Ci-dessous une liste de sites Web faux, faux ou régulièrement trompeurs qui sont partagés sur Facebook et les réseaux sociaux. Certains de ces sites Web peuvent compter sur «outrage» en utilisant des titres déformés et des informations décontextualisées ou douteuses afin de générer des goûts, des actions et des profits. Ces sites sont catégorisés avec le numéro 1 à côté d'eux.
CATÉGORIE 2: Certains sites Web de cette liste peuvent faire circuler des informations trompeuses et / ou potentiellement non fiables, et elles sont marquées d 'une.
CATEGORIE 3: D'autres sites Web sur cette liste utilisent parfois des manchettes clickbait-y et des descriptions de médias sociaux, et ils sont marqués d'un 3.
CATEGORIE 4: D'autres sources sur cette liste sont intentionnellement fausses avec l'intention de la satire / comédie, qui peuvent offrir des commentaires critiques importants sur la politique et la société, mais ont le potentiel d'être partagé comme actualité réelle / littérale. Je les inclure ici, pour l'instant, car 1.) ils ont le potentiel pour perpétuer la désinformation basée sur différentes interprétations (mauvaises) d'audience et 2.) s'assurer que quiconque lit une histoire par The Onion, par exemple, comprend son objectif. Si vous pensez que cela n'est pas nécessaire, consultez Littéralement Incroyable.
- voir liste sur site des sites 'à ne pas visiter' ! (Hahahaha !) -
Peut-être que Zimdars manquait ce courriel de John Podesta exposant Arianna Huffington en flagrant délit de collusion avec la campagne Hillary pour «faire écho à leur message sans aucun conflit perçu». Ou, peut-être cela a été simplement rejeté comme inutile propagande russe?
(suite en dessous:)
"Elle est enthousiaste au sujet du projet, mais demande si elle est plus utile pour nous de ne pas être au conseil d'administration et, au lieu de cela, d'utiliser Huffpo pour faire écho à notre message sans aucun conflit perçu.
RépondreSupprimerHuffPo
Quoi qu'il en soit, le Zimdars, toujours utile, fournit également les conseils suivants pour analyser les sources d'informations:
Évitez les sites qui se terminent par "lo" ex: Newslo (ci-dessus). Ces sites prennent des morceaux d'informations précises et ensuite l'emballage de cette information avec d'autres faux ou trompeurs «faits» (parfois à des fins de satire ou de comédie).
Méfiez-vous des sites qui se terminent par «.com.co» car ils sont souvent fausses versions des sources de nouvelles réelles
Surveillez si les sites d'information connus ou réputés ne font pas non plus rapport sur l'histoire. Parfois, le manque de couverture est le résultat du biais médiatique des entreprises et d'autres facteurs, mais il devrait généralement y avoir plus d'une source de rapports sur un sujet ou un événement.
Les noms de domaine bizarres sont en général égaux aux nouvelles bizarres et rarement véridiques.
Le manque d'attribution de l'auteur peut, mais pas toujours, signifier que le reportage est suspect et nécessite une vérification.
Certaines organisations de nouvelles permettent également aux blogueurs de publier sous la bannière de marques de nouvelles particulières; Cependant, beaucoup de ces messages ne passent pas par le même processus d'édition (ex: messages de communauté de BuzzFeed, blogs de Kinja, blogs de Forbes).
Consultez l'onglet "À notre sujet" sur les sites Web ou consultez le site Web sur Snopes ou Wikipedia pour plus d'informations sur la source.
Bad web conception et l'utilisation de tous les CAPS peut également être un signe que la source que vous regardez doit être vérifiée et / ou lue en conjonction avec d'autres sources.
Si l'histoire vous rend vraiment fâché, c'est probablement une bonne idée de continuer à lire sur le sujet via d'autres sources pour s'assurer que l'histoire que vous avez lu n'était pas délibérément essayer de vous mettre en colère (avec des informations potentiellement trompeuses ou fausses) afin de générer des actions Et les recettes publicitaires.
Alors que nous soupçonnons que Zimdars ne comprend pas la moitié de ce que nous écrivons et nous objections à notre couverture factuelle des emails WikiLeaks avec l'enquête du Hillary FBI et de nombreux autres scandales, nous accueillons ses lecteurs dans la mesure où elle souhaite élargir ses sources choisies de Illumination au-delà du spectacle de Rachel Maddow.
Enfin, nous laisserons à @ MattTturner4L de résumer parfaitement l'hypocrisie ...
http://www.zerohedge.com/news/2016-11-16/zero-hedge-targeted-list-fake-news-sources
Notons au passage qu'il y a une différence de traduction Google entre les sites de type
Supprimerhttp://www.zerohedge.com
et le site:
http://joannenova.com.au
où le site est TRÈS MAL TRADUIT !
Bizarre non ? qu'entre un anglais de New-York et un d'Australie existerait une différence !
Est-ce que çà va changer avec le nouveau "Running man" ?
SupprimerLa consommation de charbon de l'Indonésie a doublé depuis 2010. Aura bientôt une puissance de charbon plus avancée que l'Australie
RépondreSupprimerNovember 17th, 2016
- voir sur site:
Carte indonésienne par rapport à la carte des États-Unis.
Le temps de faire attention à la quatrième plus grande population dans le monde.
Vous auriez peut-être réutilisé quelques sacs pour sauver la planète, mais deux cents millions de personnes ont tranquillement doublé leur consommation de charbon:
La consommation de charbon en Indonésie reste élevée: BP
La BP Statistical Review 2016 a révélé mercredi que la consommation de charbon de l'Indonésie avait doublé depuis 2010. L'année dernière, le charbon est devenu la principale source de combustible du pays, représentant 41% de la consommation totale d'énergie.
Des études montrent que la consommation de charbon reste populaire en Indonésie malgré ses impacts environnementaux préjudiciables. Le gouvernement s'est engagé dans un ambitieux programme d'électricité de 35 000 mégawatts, dans lequel les centrales à charbon continueront à constituer la majorité de la production d'électricité, soit environ 50 p.
Comme le charbon est bon marché, l'Indonésie a exporté moins et a employé plus de lui domestiquement.
Ils ne semblent pas suivre le plan du GIEC.
L'Indonésie aura bientôt des centrales au charbon plus avancées que l'Australie:
Le principal conglomérat japonais Itochu Corporation et l'une des principales compagnies d'électricité du monde, Electric Power Development Co. Ltd (J. Power), ont promis de soutenir pleinement la construction de la centrale au charbon de Batang, au centre de Java. La plus efficace mais aussi la plus propre des centrales thermiques en Asie du Sud-Est.
Il a dit que la centrale à charbon de Batang serait la vitrine de la dernière technologie de production d'énergie de la société appelée la technologie ultra-supercritique (USC), qui n'est pas seulement capable d'améliorer l'efficacité, mais aussi de réduire considérablement les émissions, y compris le dioxyde de carbone et le mercure .
Avec la technologie USC, les centrales fonctionnent leurs chaudières à des températures et une pression au-dessus du point critique de l'eau, ce qui donne une efficacité de plus de 45 pour cent.
L'électricité produite au charbon par l'Indonésie sera plus propre et plus efficace que l'Australias. (Personne ne va investir dans de meilleures usines de charbon dans une économie avancée comme l'Australie.)
Qui est alors un géant du charbon tranquille ? L'Australie fournit environ 30% du commerce mondial du charbon et c'est notre plus grande industrie d'exportation, mais l'Indonésie dévore la même quantité de charbon que l'Australie exportée il y a quelques années:
(suite en dessous:)
L'année dernière, l'Indonésie n'a produit que 383 millions de tonnes de charbon, en deçà de la cible de 425 millions de tonnes. Bien que l'objectif de cette année ait été ramené à 419 millions de tonnes, BMI Research, une unité de Fitch Group, prédit que seulement 314 millions de tonnes seront produites à la fin de l'année.
RépondreSupprimerAujourd'hui, l'Australie creuse 550Mt de charbon au total et exporte environ 480Mt.
Un quart de l'économie indonésienne est des combustibles fossiles. Le plan est «plus»:
La nomination d'Arcandra Tahar au poste de ministre de l'énergie et des ressources minérales a clairement indiqué que le président Joko "Jokowi" Widodo avait recentré son action sur le pétrole et le gaz ainsi que sur le charbon.
Le président est conscient que le secteur est en péril, d'autant plus qu'un quart de l'économie indonésienne provient du pétrole et du gaz. L'investissement dans ce secteur a stagné
Ils s'interrogent aussi sur l'effet Trump, mais les schistes suspects maintiendront le boom du charbon loin:
Il a fait partie de la campagne de Trump le mois dernier pour stimuler l'industrie du charbon dans la deuxième plus grande économie du monde. Est-ce que cela affectera l'industrie houillère du monde, en particulier l'Indonésie en tant que principal exportateur de charbon en Asie du Sud-Est? Beaucoup de gens en doutent. Bloomberg a même rapporté que les doutes ont surgi récemment aux États-Unis sur la capacité de Trump de relancer la gloire du charbon, car le gaz de schiste abondant a structuré érodé le marché du charbon.
H.t Willie S.
http://joannenova.com.au/2016/11/indonesias-coal-consumption-doubled-since-2010-will-soon-have-more-advanced-coal-power-than-australia/#more-51286
Faut dire que lorsqu'un Etat se compose d'un chapelet d'îles ou d'îlots à 20 ou 200 km de distance (voir Hawaii avec ses 240 îles ou îlots) il est bien difficile d'envoyer de l'électricité par cable soumarin depuis une centrale nucléaire. D'où la nécessité de faire appel au charbon dans chaque île.
SupprimerIndonésie: 250 millions d'habitants.
https://www.google.fr/maps/@0.5685354,112.0425789,5z
Donald Trump terminera-t-il le moment unipolaire américain ?
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
16 nov 2016 21h25
Soumis par Federico Pieraccini via Strategic-Culture.org,
Nous sommes confrontés à une percée sans précédent: un changement global qui pourrait potentiellement submerger définitivement l'ordre mondial unipolaire créé après la chute du mur de Berlin en 1989 et envoyé en surmenage par la guerre sur terreur du 11 septembre. La victoire de Donald Trump est la représentation la plus emblématique d'une répudiation totale par la population américaine de ce qu'on appelle l'establishment et ses intérêts.
Les élections américaines se sont terminées par un verdict inattendu qui a confondu toutes les prévisions. Trump a remporté l'élection aux États-Unis, à la maison et au capital du système occidental, redéfinissant la logique par laquelle un président est normalement élu. En grande partie pour cette raison, c'est une victoire extraordinairement importante. Tous les appareils du pouvoir américain, tels que les médias, les politiciens, les experts et les intellectuels, n'étaient pas suffisants pour empêcher le peuple d'exprimer un vote plus explicite.
La victoire de Trump est aussi la fin des dynasties Bush et Clinton, ainsi que la conclusion inattendue du mandat d'Obama, dont la trahison est la plus importante de l'histoire américaine. Élu pour résoudre des problèmes tels que l'inégalité, les divisions raciales, la pauvreté et l'injustice sociale, il a échoué sur tous les fronts, devenant l'une des principales causes d'un vote dissident en faveur de Trump. Barack Obama a ironiquement été l'un des plus grands sponsors de Donald Trump. Les électeurs d'Obama en 2008 et 2012 n'ont pas été trompés par les promesses de Clinton, et après avoir voté pour Sanders comme un dernier espoir, ils ont préféré rester à la maison ou même voter pour Trump comme une expression ultime de mépris pour le statu quo représenté par les démocrates, Par l'établissement de Washington. Elle représentait avant tout la victoire et la volonté de la classe ouvrière, fatiguée de la détérioration économique de plus de trois décennies.
La victoire de Brexit en Angleterre, Duterte aux Philippines, le mouvement Five Star de 2013 en Italie, les phénomènes de Le Pen en France, Syriza en Grèce et les traités européens continuellement rejetés - tous ces éléments font partie du même thème reliant différents Questions de vote.
Le rejet continu de l'idée de globalisation et de globalisme a occupé la majorité du peuple. Identifié comme le grand mal, il est considéré comme la cause principale de la nécessité pour les gouvernements de subordonner les intérêts nationaux aux intérêts internationaux. Cela mène inévitablement à une étreinte mortelle avec un modèle international basé sur les finances de Wall Street, principale cause de la crise financière de 2008, aggravée par les guerres américaines dans le monde, source d'insécurité et de terrorisme prolongé.
(suite en dessous:)
La racine de cette répression est le concept de multipolarité. Dans un modèle unipolaire, le pouvoir et l'argent est concentré dans les mains d'un pourcentage minuscule, produisant un déséquilibre de bien-être qui est la base de la frustration commune des citoyens occidentaux. Le succès du modèle multipolaire découle principalement de la capacité de choisir sans sans faire face à une imposition unilatérale. Que ce soit en quittant l'UE ou la victoire d'un candidat non lié à l'establishment politique, la multipolarité est le moyen le plus efficace de respecter la volonté populaire, une énorme différence par rapport à l'unipolarité, où les gens n'ont pas d'alternative. Nous sommes en transition depuis près d'une décennie dans le domaine numérique, un monde où une gamme infinie d'options est disponible pour atteindre ses objectifs.
RépondreSupprimerDans le monde réel, l'approche unipolaire est dépassée et inadéquate, créant ainsi le besoin de toute autre proposition, qu'il s'agisse d'un Trump ou d'un Brexit. Nous ne pouvons pas expliquer autrement pourquoi, ces dernières années, toute personne qui propose un modèle anti-establishment en Europe ou aux États-Unis est considérée comme une alternative crédible. Ce n'est pas le message que l'on transmet qui est important, il suffit simplement d'être quelque chose de différent du statu quo, simplement une alternative.
Le pouvoir de la finance a dévoré les quelques droits laissés aux gens, en donnant la priorité aux intérêts dont la cupidité est insatiable et a conduit de nombreuses nations occidentales au bord de l'effondrement de la crise financière de 2008. Depuis, près de 10 ans plus tard, rien n'a changé , Et le bien-être économique des gens a diminué de façon alarmante, atteignant des niveaux sans précédent. Les promesses faites par les politiciens après la crise de 2008 ont été rompues, et la classe moyenne et les pauvres ont continué à payer pour tout cela, générant un niveau de frustration qui s'exprime dans les urnes, avec des votes pour Brexit ou pour Trump aux États-Unis États.
En plus de la situation économique, de nombreuses guerres ont réussi à s'opposer aux Américains, avec des coûts proches de six billions de dollars servant à éroder encore la confiance de l'électeur moyen dans l'établissement de Washington. Alors que l'électeur américain moyen ne se soucie pas de la politique étrangère de son pays, si les résultats sont une augmentation du terrorisme, une diminution de l'investissement intérieur, créant un sentiment général d'impuissance, la politique étrangère américaine devient quelque chose de nuisible, inutile ou même contre-productif À l'électeur américain.
Il est étonnant de voir comment, dans les dernières élections américaines, toutes ces considérations sont devenues centrales dans les arguments de Trump. Pour la première fois dans l'histoire américaine, le récit unilatéral des médias et de l'establishment a été brisé. Ce qui a été montré, c'est qu'une campagne présidentielle peut être menée indépendamment des démocrates ou des républicains sur des questions tournant autour de Wall Street, le Consensus de Washington, l'exportation de la démocratie et la diffamation des opposants géopolitiques. Pour la première fois, la vision d'une hégémonie unipolaire américaine a été défait par une vision multipolaire de la réalité, une vision qui place simplement une alternative au statu quo des 25 dernières années. On a offert aux gens, d'abord aux primaires républicaines puis aux élections, l'occasion d'exprimer un vote qui semblait plus un référendum avec une question qui se résumait essentiellement à: «Êtes-vous satisfait de votre état actuel?» La réponse était un énorme milieu À l'établissement exprimé par le vote Trump.
(suite en dessous:)
Clinton, étant un produit de l'établissement et représentant le statu quo, n'a pas offert ce que la majorité des Américains voulaient, à savoir une rupture avec les élites. Même inconsciemment, la majorité des Américains ont rejeté dans leur vote le modèle unipolaire économique, financier et militaire, donnant au reste du monde un espoir inattendu de changement.
RépondreSupprimerLes États-Unis se sont réveillés le lendemain des élections avec un pays plus divisé que jamais, reflétant une division plus large qui traverse l'Occident. Ce sont les conséquences d'un monde en mutation qui s'éloigne d'une vision unipolaire avec son système financier, économique et militaire représenté par Washington et Bruxelles. Retour sur le vieux continent, le sentiment nationaliste croissant, le rejet des institutions européennes et le vote Brexit aurait dû sonner des cloches pour l'élite il ya quelque temps. Les élections américaines ont confirmé que l'establishment globaliste en Europe et en Amérique vivent dans leur propre monde. Ils sont complètement détachés des gens normaux, et le système sur lequel ils comptent pour influencer et manipuler, avec l'espoir d'étendre le domaine unipolaire (économique, militaire et financier), n'est plus efficace.
Si la mondialisation a apporté de la richesse à l'élite, elle a également permis la diffusion d'Internet, qui devient de plus en plus efficace en tant qu'outil de communication de masse. Le concept de multipolarité est intrinsèque à Internet: chacun peut ouvrir son propre blog, écrire sa propre opinion, et le diffuser à des millions de personnes, influençant le récit global. Les informations alternatives, lorsqu'elles étaient imprimées sur papier, étaient réservées à un créneau de la population. Maintenant, cette diffusion de l'information est devenue courante, reléguant les médias d'entreprise à un segment de plus en plus étroit de la population.
Comparé à il y a 30 ans, Internet a inversé le paradigme. Pensez à vous-même: vous lisez cette analyse avec, j'espère, un sentiment de confiance et de conviction que cette information ne peut être obtenue auprès de CNN, Fox News ou la BBC. C'est la vraie et authentique révolution. Trump a été en mesure d'interpréter ces sentiments d'une manière magistrale, rassemblant toutes les frustrations majeures du peuple américain vers l'élite, et de les rendre propres. Il a combiné sa passion personnelle dans un défi impossible, fournissant les besoins désespérés du peuple avec une voix "au sommet" qui criera et criera en leur nom. La colère et l'inexactitude politique de Trump ont été interprétées positivement par les électeurs, presque comme un geste concret d'insatisfaction à l'égard des élites de Wall Street, de Washington et des grandes sociétés américaines.
Trump représente la première étape, après Brexit, de l'Ouest reconnaissant une réalité qui est déjà multipolaire. Le modèle américain basé sur le dollar est en difficulté à la suite des institutions internationales liées aux BRICS. L'AIIB créée par Pékin, et les mouvements du FMI pour inclure le yuan dans un panier international, sont un autre indicateur. Des pays qui ne sont pas alignés sur les désirs des États-Unis, tels que la Chine, la Russie et l'Iran, se sont associés ces dernières années pour construire un système économique et financier alternatif à celui du dollar et de la réserve fédérale, sapant l'hégémonie américaine garantie par Pétrodollar. Dans le domaine militaire, l'OTAN n'est plus la seule puissance mondiale, et la situation actuelle au moyen-orient en est le reflet. L'implication de Moscou et l'alliance avec l'Iran ont pour la première fois empêché la destruction complète d'un pays comme la Syrie, offrant une alternative à celle vécue par l'Irak en 2003. Tous les signes indiquent que le moment unipolaire de l'Amérique a disparu à jamais.
(suite en dessous:)
Le dernier coup fut le changement politique suivant celui des affaires économiques et militaires; D'abord en Europe, avec la popularité décroissante des politiciens, une expression anti-establishment; Puis avec la sortie de la Grande-Bretagne de l'Europe; Et enfin avec la victoire de Trump aux États-Unis.
RépondreSupprimerDu point de vue des politiques nationales et internationales, le triomphe de Trump doit encore être testé et confirmé. En conséquence, l'équilibre international pourrait rester intact. Le monde est à son plus grand carrefour de l'histoire moderne. L'élection aux États-Unis, causée par une contagion multipolaire qui s'étend, finira par affecter et changer pour toujours les relations internationales de Bruxelles et Washington. Alors que le reste du monde fait déjà partie intégrante de cette révolution historique, les élites européennes et américaines continuent de montrer qu'elles veulent combattre jusqu'au bout pour rejeter le nouvel ordre mondial.
L'oligarchie américaine et européenne est confrontée à un choix: soit déclarer la guerre à tout le monde et à tout, y compris à son propre peuple, soit embrasser ce changement global et tenter de construire son propre espace en son sein. Le défi est de reconnaître et d'accepter de ne pas avoir le contrôle absolu des leviers de pouvoir, mais maintenant de partager le pouvoir avec d'autres centres de pouvoir comme Moscou, Pékin et Téhéran. C'est une tâche difficile, mais certainement pas impossible.
Trump offre la possibilité d'un réel changement dans les relations internationales et les mots exprimés par des dirigeants comme Xi et Poutine sont les premiers signes d'une véritable tentative de changer 20 ans d'impositions de la domination unipolaire de Washington sur le reste de la planète.
Le 9 novembre 2016, une grande partie de la population mondiale, idéalement, s'est unie d'une seule voix et avec toute son énergie déclarée à haute voix à Washington et à tous les systèmes de pouvoir qui ont rendu notre planète incertaine et une catastrophe économique qui suffit!
Après Brexit et la victoire de Trump, les élites euro-américaines sont confrontées à un choix qui façonnera les prochaines décennies: soit accepter la multipolarité à venir et décider de travailler avec d'autres nations du monde, ou descendre dans un conflit prolongé. Personne ne peut exclure une tentative de saboter Brexit ou l'assassinat de Trump, surtout s'il décide de remplir ses promesses. Mais une chose est certaine: ils ne pourront jamais arrêter le progrès de ces changements inévitables.
S'il y a quelque chose de clair dans la victoire de Trump, c'est qu'une partie importante de l'Europe et de la population américaine a éternellement rompu avec la bulle d'isolement où elle était confinée par l'élite. Ils ont compris que ce qui leur a été dit pendant des décennies est faux, biaisé et complètement contre leurs intérêts. Le monde a changé à jamais, et il n'y a rien que les promoteurs du mondialisme puissent faire pour l'empêcher.
http://www.zerohedge.com/news/2016-11-16/will-donald-trump-end-american-unipolar-moment
Deux tiers des travailleurs des pays en développement doivent être remplacés par des robots
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
16 nov 2016 19h45
Soumis par Jake Andersen via TheAntiMedia.org,
Un nouveau rapport alarmant de l'Organisation des Nations Unies est le dernier d'une litanie d'études suggérant que le prochain âge de l'automatisation et de la main-d'œuvre dominée par les robots sera sur nous beaucoup plus vite que prévu. L'U.N. affirme maintenant que les deux tiers de la main-d'œuvre humaine dans les pays en développement seront remplacés par l'automatisation.
L'U.N. dit qu'un revenu de base universel sera nécessaire comme un arrêt pour les 75% des humains laissés sans travail.
Anti-Media a précédemment rapporté sur les prédictions que la moitié de la main-d'œuvre américaine pourrait être remplacée par l'automatisation dans les deux prochaines décennies. Selon les statistiques d'un autre rapport, les logiciels automatisés pourraient emporter 1,7 million de camionneurs dans leur travail au cours de la décennie.
Le rapport de la CNUCED des États-Unis note que, pris à l'échelle mondiale, nous constatons une "désindustrialisation prématurée".
"L'utilisation accrue de robots dans les pays développés risque d'éroder l'avantage traditionnel du coût de la main-d'œuvre des pays en développement", explique le rapport.
Un rapport supplémentaire inquiétant de la Banque mondiale observe:
«La part des professions qui pourraient subir une automatisation importante est en fait plus élevée dans les pays en développement que dans les pays plus avancés, où nombre de ces emplois ont déjà disparu».
Il est conseillé aux pays en développement de réagir aux nouvelles «technologies perturbatrices» en adoptant une technologie numérique radicale et des «politiques macroéconomiques, industrielles et sociales de soutien».
Une question plus vaste qui se pose concerne la manière dont les gens réagiront à ces pertes d'emplois. Comment le 1,7 million de camionneurs qui sont prêts à perdre leur emploi à l'automatisation de prendre cela ? Le candidat transhumaniste Zoltan Istvan a averti qu'il ne serait pas joli et que, en fait, il pourrait mener à des soulèvements violents, c'est pourquoi Istvan soutient un UBI.
Comme l'annonçait Anti-Media:
"Zoltan dit que l'âge à venir des robots remplaçant les humains sur le marché du travail pourrait être un net positif, permettant aux humains d'explorer l'éducation et les loisirs d'une manière que les générations précédentes n'auraient pas pu imaginer. Il préconise un revenu de base universel et un filet de sécurité sociale fourni par le gouvernement fédéral qui réduirait les risques de chaos et d'émeutes lorsque l'économie du robot battra son plein essor.
Mais cette vision d'une future utopie transhumaniste ressemble à l'exceptionnisme américain et occidental.
(suite en dessous:)
Les populations des pays en développement ne disposent peut-être pas d'un revenu de base universel, et même s'ils le font, leurs conditions de vie généralement appauvries et leur infrastructure sociale anémique peuvent éclipser les possibilités de loisirs et d'entreprenariat.
RépondreSupprimerCe sont des questions qui seront posées de plus en plus fréquemment au cours des 10 prochaines années. L'âge de l'automatisation menace la nature même du travail humain et peut exiger que nous réimaginions le rôle de l'être humain dans les sociétés post-industrielles.
http://www.zerohedge.com/news/2016-11-16/two-thirds-workers-developing-nations-be-replaced-robots-report-warns
Il est bien certain et constatable que les 'pays en voie de développement' (j'adore cette expression !), sont pour la plupart peuplés d'ânes qui auraient déjà du mal à ne pas redoubler le cours préparatoire plus de dix fois avant de passer en CM1 ! (voir le niveau de 'culture' des immigrés !)
Supprimer"C'est pat ou mat" comme disait Abigail Breslin dans 'Ultimate Endgame'.