Nigel Farage Détruit UE-Groupe Pensez: "Il y a un nouveau mur de Berlin ... Et il a appelé l'Euro"
Soumis par Tyler Durden sur 09/07/2015 08:21 -0400
Soumis par Simon Black via Souverain Man blog,
Debout devant le Parlement européen hier, il a fallu à Nigel Farage seulement quatre minutes de détruire complètement tous les arguments soutenant la zone euro.
Il y a quelques années quand il a parlé à un de nos événements Souverain homme à Santiago, il a prévu tout ce que nous voyons en ce moment.
Aujourd'hui, il est loin d'être aussi controversé de dire que l'expérience de la zone euro a échoué. Toute personne au courant de ce qui se passe en Grèce devrait dire la même chose. Mais très peu de gens comprennent vraiment pourquoi.
Comme Nigel explique dans la vidéo ci-dessus, dès le début, le système n'a jamais été conçu pour aider le peuple grec.
La Grèce entrée dans l'euro était super pour Goldman Sachs. Mais terrible pour les Grecs. Il a enchaîné le pays à un système dans lequel il ne faisait pas partie.
Et que dire de tout l'argent de sauvetage qui a été jeté à la Grèce dans le temps depuis ?
Rien de tout cela n'est effectivement allé au peuple grec. Il est allé à renflouer les banques françaises, allemandes, italiennes et qui possèdent de la dette grecque.
Bien sûr, la protection sociale fait glisser un sous-marin de l'économie. Mais le bien-être de l'entreprise est ce qui se noie vraiment.
Depuis la crise, la dette du pays au PIB est passé de 100% à 180%. Les tensions ont monté en flèche, et le peuple grec est dans la souffrance.
(La nuit dernière Zerohedge publié des images de peuple grec sur l'île de Lesvos raids un camion de nourriture. Shocking.)
Ce sont eux qui ont maintenant à porter le fardeau d'une économie stagnante, les contrôles de capitaux, et l'inflation.
Aucune de ces mesures ont travaillé. Et juste regarder comme Nigel détruit cette euros groupthink dangereuse en quatre minutes.
Pourquoi les secousses de la Bourse chinoise inquiètent la planète finance
le 09.07.2015 à 14h45 Par Audrey Tonnelier
Que se passe-t-il sur les Bourses chinoises ?
Secouée par un choc d’une ampleur inédite, la place de Shanghaï a perdu près de 30 % de sa valeur depuis la mi-juin. Soit près de 3 000 milliards de dollars (2 710 milliards d’euros) de capitalisation partis en fumée – plus de dix fois la dette grecque ! Certes sur un an, la place est encore en hausse, de 80 %. Mais ces dernières semaines ont de quoi inquiéter. Les places de Shanghaï et Shenzen ont toutefois rebondi, jeudi 9 juillet, de respectivement 5,8 % et 3,8 % en fin de séance, suite aux dernières mesures des autorités pour tenter d’enrayer le krach boursier que vit le pays depuis un mois.
Que fait le gouvernement chinois ?
Mercredi 8 juillet au soir, l’autorité de régulation des marchés boursiers chinois, la CSRC, a annoncé que les actionnaires détenant des participations de plus de 5 % dans des sociétés chinoises cotées n’auraient plus le droit de vendre leurs titres pendant six mois. L’interdiction concerne aussi les investisseurs étrangers, bien que ceux-ci détiennent rarement des positions supérieures à 5 %.
Ces dernières semaines, Pékin avait déjà procédé à des baisses des taux d’intérêts et à la suspension des introductions en Bourse. Sans effet. Même coup d’épée dans l’eau avec la promesse des 21 principales sociétés de courtage chinoises d’investir au moins 19 milliards de dollars dans des produits boursiers, et l’engagement du gouvernement à fournir des liquidités pour le financement des « opérations sur marge », cette technique qui consiste à emprunter auprès des courtiers pour investir et compenser ses pertes. La China Securities Finance Corporation Limited (CSF), prestataire national de services d'opérations sur marge, avait ainsi indiqué en début de semaine qu’elle allait prêter 42 milliards de dollars aux courtiers.
Comment en est-on arrivé là ?
A l’origine de cette débâcle, il y a le difficile atterrissage de l’économie de la République populaire. La croissance du produit intérieur brut (PIB) de la Chine est en effet « tombée » à 7,4 % en 2014, avant de décélérer encore au premier trimestre, à 7 %. Elle devrait plafonner à moins de 6,8 % cette année selon le FMI, un plus bas depuis 1990. La dynamique du pays est minée par la crise du marché immobilier, alors que les invendus des promoteurs s’accumulent. Conséquence : les épargnants se sont massivement reportés sur la Bourse afin de placer leurs économies – avec la bénédiction des pouvoirs publics, qui s’en mordent aujourd’hui les doigts.
Près de 80 % des investisseurs à Shanghaï sont des petits porteurs – il en existe 90 millions en Chine. Attirés par le mirage d’un enrichissement facile et la pratique des « opérations sur marge », ils ont fait du boursicotage un sport national, dans un pays qui adore les jeux d’argent. Le marché est donc extrêmement volatil, et la chute d’autant plus difficile à enrayer.
De plus, les observateurs commencent à s’inquiéter sérieusement des répercussions de cette tempête financière sur l’économie réelle. Les pertes majeures que ne vont pas manquer de subir des milliers de petits épargnants chinois, qui se sont, qui plus est, massivement endettés pour jouer en Bourse, risquent d’avoir des conséquences au quotidien.
Le krach chinois a pris par surprise un gouvernement chinois dont la maîtrise sur les rouages de l’économie est souvent surestimée. Il risque d’obérer le pouvoir d’achat de millions de petits porteurs et pourrait exposer le Parti communiste à l’ire de beaucoup d’entre eux : à force de faire croire à sa toute-puissance, celui-ci pourrait bien avoir à payer les pots cassés en termes de crédibilité.
Y a-t-il un risque de contagion aux autres pays ?
Cette impuissance à enrayer la chute commence à inquiéter les autres places boursières. La place de Hongkong s’est reprise jeudi après avoir chuté mercredi, mais Tokyo a terminé en légère baisse, jeudi. Certains ne sont pas loin de penser qu’une déstabilisation du système financier due à la correction boursière chinoise constituerait un risque tout aussi important que la crise grecque… « La crainte, réelle, porte sur la signification de tout cela en termes de croissance à long terme en Chine », a déclaré mercredi le secrétaire américain au Trésor, Jack Lew.
Ce sont surtout les forces que les autorités chinoises jettent dans la bataille depuis une quinzaine de jours qui angoissent les observateurs. « Si le marché boursier ne se stabilise pas rapidement, le gouvernement devra faire attention de ne pas consacrer trop de ressources à cet objectif », soulignent les analystes de la Société générale. Ils craignent notamment que la béquille monétaire mise en place par Pékin ne finisse pas poser des problèmes de liquidités sur le marché interbancaire de la République populaire, « qui se taille la part du lion en matière de financement de l’économie ».
Autrement dit, les secousses boursières, jusqu’ici relativement déconnectées de l’économie réelle chinoise, pourraient finir par affecter cette dernière, aggravant encore un peu plus le ralentissement de la croissance. Et affaiblir ses partenaires commerciaux, asiatiques, américains mais aussi européens, au premier rang desquels l’Allemagne.
Signe que cette idée fait son chemin dans l’esprit des investisseurs, les matières premières, dont la Chine reste une grande consommatrice, ont plongé ces derniers jours. Le cours du minerai de fer était tombé mercredi à un plus bas de dix ans, tandis que le cuivre a momentanément chuté à un creux de six ans. Les principales matières premières se reprenaient, jeudi, dans la foulée du rebond des marchés chinois.
Au-delà du risque systémique, une chose est sûre : le chaos boursier chinois aura des conséquences sur la crédibilité financière du pays. « Les mesures folles décidées par les pouvoirs publics ces derniers jours auront de graves répercussions sur la capacité de la Chine à poursuivre […] le développement de ses marchés financiers. Comment convaincre les investisseurs internationaux d’acheter des actions chinoises quand la moitié de la cote est suspendue et que les interdictions de ventes et les soupçons de “manipulations” pleuvent ? », soulignent les analystes d’Aurel BGC.
Crash boursier en Chine, une ombre sur le modèle chinois
09/07/2015 - Jean-Paul Baquiast
La crise grecque n'a que peu secoué les marchés boursiers occidentaux, les spéculateurs étant jusqu'à ce jour convaincus que les gouvernements prendraient les mesures nécessaires pour éviter qu'un éventuel défaut grecque sur la dette ne se répercute sur l'ensemble du marché. Seule une faible baisse a été enregistrée. Ce n'est pas le cas depuis plusieurs jours en Chine.
La bourse de Shanghai, qui est le plus grand centre financier pour l'ensemble de la Chine, a enregistré depuis plusieurs jours des baisses importants. Certains pessimistes y voient les prémisses d'un véritable effondrement, les mesures prises par les autorités chinoises en réaction n'ayant eu guère d'effets jusqu'à présent.
Le gouvernement avait demandé à la Banque chinoise de fournir une quantité illimitée de devises pour encourager les investisseurs à se procurer des actions, dans une démarche proche de celle pratiquée plusieurs fois par la Fed américaine (et fort critiqués à l'époque à Pékin) sous le nom de « quantitative easing ». Mais cela n'a pas permis de faire remonter la capitalisation boursière, qui avait perdu 3.000 milliards de dollars le mois précédent. Les deux index déterminants, Shanghai Composite Index et Shenzen Index n'ont depuis enregistré qu'une remontée insignifiante.
D'autres mesures plus techniques décidées par le gouvernement n'ont pas eu davantage d'effets, notamment l'injonction donnée au massif fonds de pension gouvernemental d'acheter et non de vendre. Sans effets non plus les déclarations de la presse officielle, notamment le Quotidien du Peuple (People's Daily) selon lesquelles le Parti communiste chinois (CCP) s'était déclaré confiant sur le fait que les marchés demeureraient stables et sains.
Nouvelles classes moyennes
La crainte non clairement avouée des autorités est que la crise ne s'étende à l'ensemble de l'économie, déjà très ébranlée depuis quelques mois. La croissance, selon les chiffres officiels (d'ailleurs peu fiables) ne devrait pas atteindre 7% dans l'année, voire ne pas dépasser 4%. La cause de cette véritable dépression a été attribuée à la décision prise les années précédentes par le Parti de pousser les nouvelles classes moyennes à entrer en bourse, afin d'améliorer leurs revenus. Il s'agissait de trouver une nouvelle source de croissance, alors que les investissements dans l'immobilier décidés après la crise de 2008/2009 se heurtait à un grand nombre de logements invendus et que le niveau excessif de l'endettement des collectivités locales générait une inquiétude générale.
L'espoir - un peu naïf vu avec le recul - du gouvernement était que se créerait une nouvelle classe moyenne d'actionnaires enrichis en Bourse - et peu enclins de ce fait à remettre en cause les grands choix politiques de l'État. Ceci au moment où les autorités avaient décidé d'ouvrir la Chine aux marchés financiers internationaux, jusqu'ici dénoncés comme prédateurs. Aujourd'hui, en résultat de cette politique, le marché boursier est dominé à 80% par de petits investisseurs, ayant remplacé les investisseurs institutionnels. Mais ces petits investisseurs ont emprunté massivement auprès des banques pour acheter des titres spéculatifs, ce qui rend l'ensemble de l'édifice particulièrement fragile.
Les bulles ainsi formées ayant éclaté en chaine ces dernières semaines, pour des raisons difficiles à expliciter en détail mais faciles à comprendre globalement, les nouvelles classes moyennes espérées par le gouvernement sont menacées. Si elles se trouvaient ruinées, les conséquences en seraient graves pour le gouvernement. L'ouverture au marché capitaliste voulue par lui s'avérant un échec, il serait obligé d'en revenir à une économie administrée à la croissance beaucoup plus lente. Mais celle-ci sera de plus en plus mal ressentie.
Le président XI, qui s'était rendu impopulaire par la vaste campagne anti-corruption que le parti avait engagé à son initiative, serait très fragilisé, ses opposants n'ayant pas renoncé à l'abattre. Mais bien plus largement se pose la question de savoir si le crash déjà amorcé à Shanghai ne s'étendra pas aux bourses de toute l'Asie, voire du monde entier, compte tenu de l'interpénétration des marchés financiers. A ce moment, les gouvernements occidentaux, incluant celui de Tokyo, se trouveraient devant de graves difficultés. Certains pays, déjà écrasés par le remboursement des dettes, comme Porto Rico, des États fédérés américains, la Grèce voire d'autres pays européens, entreraient en crise grave. Des émeutes pourraient se produire, que les gouvernements auraient beaucoup de mal à contenir.
Quelques réflexions
En fait, on verra peut-être dans les prochaines semaines que ces craintes étaient mal fondées, les bourses chinoises ayant retrouvé une activité normale après avoir absorbé le gros de la crise. Cependant l'épisode doit inspirer quelques réflexions :
- La course au modèle capitalistico-financier engagée par Pékin, afin de rivaliser avec Wall Street, ne va-t-elle pas tourner court? C'est ce qui s'était produit en Russie avant l'arrivée au pouvoir de Vladimir Poutine, lequel s'efforce aujourd'hui d'y remédier par un retour à une certaine « administration » de l'économie.
- La croissance de la Chine enregistrée ces dernières années n'avait pas reposé sur des bases solides. Elle résultait du fait que le pays s'étant transformé, ruinant à cette occasion de nombreuse industries européennes, en « usine du monde », notamment par l'emploi de masses salariales très sous-payés. Elle avait certes accumulé ce faisant au moins 1.000 milliards de fonds de réserve en bons d'état, mais ce genre d'épargne s'évapore très vite lorsqu'on compte sur lui pour jouer les pompiers dans une crise boursière un tant soi peu étendue.
- En Chine, le gouvernement se montre peu capable de mettre en place un nouveau modèle de croissance, reposant sur une forte consommation des particuliers. Ceci parce que les nouvelles classes moyennes ne constituent encore qu'une faible part de la population chinoise et surtout parce que ce modèle se révèlera de plus en plus incompatible avec des contraintes en matière d'énergie, de matières premières et d'environnement, dont la Chine ne cessera pas de voir le poids s'aggraver.
- Les espoirs de développement entretenus par certains pays s'étant ces dernières années tournés vers la Chine, au sein du Brics, risquent d'être déçus. Qu'adviendra-t-il notamment du grand projet de Nouvelle Route de la Soie? La Chine pourra-t-elle jouer le rôle espéré au sein de la nouvelle Banque Asiatique d' Investissements pour les Infrastructures IIAB).
- La Chine pourra-t-elle par ailleurs financer ses grands projets militaires et spatiaux? Certes, ceux-ci ne reposent pas sur des actions en bourse. Mais les crédits publics nécessaires doivent, en dernière instance, être couverts par l'impôt, autrement dit par la prospérité des épargnants.
- La guerre à grande échelle engagée par Washington contre la Chine, présentée comme le second ennemi héréditaire après la Russie, ne va-t-elle pas se révéler inutile? En ce cas, les États-Unis pourraient à nouveau retourner leur puissant appareil militaro-industriel contre la Russie.
- La crise en Chine incitera sans doute les nations asiatiques visées par le projet de Trans Pacific Partnership (TPP) sur lequel Barack Obama a décidé de pousser les feux, à jeter un œil beaucoup favorable sur ce Traité. Ceci devrait renforcer considérablement le poids de l'Amérique dans cette partie du monde et, par répercussion, favoriser une adoption rapide par l'Union européenne de l'équivalent pour l'Atlantique, le TTIP. Voir à ce sujet un article de Nile Bowie dans Counterpunch. (Sur le crash, voir China Daily du 7 juillet 2015.)
Par La rédaction de "Mondafrique" - le 26 Juin, 2015
Chiffres fantaisistes, hécatombe d'oiseaux, répression de la société civile: Hocine Malti dénonce les ravages du gaz de schiste en Algérie devant le groupe vert du Parlement européen, le 4 juin 2015
Tout a commencé il y a une dizaine d’années quand l’Agence américaine de l’énergie a publié une étude dans laquelle l’Algérie était classée troisième au monde pour ce qui est des réserves de gaz de schiste, qu’elle avait estimées à près de 20 000 milliards de m3. Disons tout de suite que ce sont là des chiffres fantaisistes : la même agence, en utilisant les mêmes techniques d’appréciation, s’est trompée dans un rapport de un à cinq pour ce qui est des réserves de la Pologne. Pour la Californie, ce sont 96 % des réserves qu’elle avait annoncées qui n’existent pas en réalité. En Algérie, cela n’est cependant pas tombé dans l’oreille d’un sourd ; la compagnie nationale des pétroles Sonatrach, se fondant sur ces affirmations, a foré un premier puits de gaz de schiste en 2008.
En parallèle, en 2010-2011, le gouvernement s’est rendu compte que l’Algérie n’attirait plus les investisseurs étrangers, en raison d’une loi sur les hydrocarbures qui était devenue un véritable repoussoir. Il décida alors de la changer. Il prit attache des compagnies pétrolières étrangères et entreprit avec elles ce que l’on peut considérer comme des négociations secrètes, dans le but de savoir quelles modifications elles souhaitaient. Elles « suggérèrent » que soit révisé le système de calcul de l’impôt et que soit autorisée l’exploitation du gaz de schiste. Ce que le gouvernement fit dans une nouvelle loi sur les hydrocarbures, entérinée par le Parlement en 2013.
Les multinationales pétrolières ne se bousculèrent pas pour autant au portillon, car elles ne voulaient pas essuyer les plâtres, tant sur le plan technico-économique qu’au plan des relations avec les populations locales. Preuve en est que lors de l’appel à la concurrence pour l’attribution de permis de recherche de septembre 2014, aucun des dix-sept périmètres censés contenir du gaz de schiste ne trouva preneur. Sonatrach se lança alors seule dans le forage de puits d’exploration. Elle a réalisé, à ce jour (autant que l’on sache, car aucune information ne filtre à l’extérieur), sept à huit puits dont deux sur le permis de l’Ahnet (région d’In-Salah).
La réaction de la population
Dès que l’on sut, déjà en 2012, que la nouvelle loi sur les hydrocarbures allait permettre l’exploitation du gaz de schiste, un vent de protestation se mit à souffler sur l’Algérie. Les mouvements associatifs, des spécialistes pétroliers, des journalistes, des responsables politiques, des syndicalistes manifestèrent leur opposition à ce projet. Le mouvement de protestation s’amplifia en 2013, après la promulgation de la loi. Le Premier ministre tenta de calmer le jeu et fit notamment une déclaration, dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle est malheureuse : il dit que l’exploitation n’était pas prévue avant 2025, voire 2040, comme si le fait de reporter à plus tard la catastrophe la rendait plus acceptable. Il dit aussi que les produits chimiques utilisés lors de la fracturation hydraulique n’étaient pas plus nocifs que ceux dont sont imbibées des couches-bébé…
À In-Salah, le mouvement de protestation de la population a été plus puissant que partout ailleurs. Parce que, non seulement le forage des deux puits programmés se déroulait, on peut dire aux portes de la ville (à 28 km à vol d’oiseau), mais aussi parce que des dizaines, voire des centaines d’autres puits suivront, dans le cas où il serait décidé d’exploiter le gaz contenu dans ce bassin géologique. L’opposition de la population d’In-Salah est d’autant plus légitime qu’elle souffre de traumatismes antérieurs. C’est dans cette région qu’ont eu lieu les expériences atomiques françaises des années 1960 et c’est ici aussi que se déroule une autre opération extrêmement dangereuse pour l’homme et son environnement, celle de la séquestration du CO2 dans le gisement de gaz de Krechba.
Le face-à-face autorités-population
La visite du ministre de l’Énergie, fin décembre 2014, pour inaugurer le premier puits allait mettre le feu aux poudres à In-Salah. Il s’en prenait violemment à la population qui, disait-il, avait montré par ses manifestations contre le gaz de schiste qu’elle voulait du mal à son pays et qu’elle allait en faire un nouvel Irak ou une nouvelle Libye. Dire cela à des gens connus pour leur pacifisme et qui, après tout, ne réclament rien d’autre que le droit à la vie…
Depuis le 1er janvier 2015, c’est toute la population qui manifeste journellement, du matin au soir sur la place centrale de la ville qu’elle a débaptisée et qu’elle appelle Sahat Essoumoud (place de la Résistance). Il s’est constitué un collectif anti-gaz de schiste composé de vingt-deux membres qui veille à ce que le mouvement demeure pacifique, mais extrêmement ferme dans ses revendications. C’est là un fait inédit en Algérie, et ce pour deux raisons.
C’est la première fois que l’on voit autant de femmes dans une manifestation de rue. Ailleurs à travers le pays, on ne voit d’habitude que des hommes et quelques rares femmes noyées dans la foule, alors que là il y a pratiquement autant de femmes que d’hommes. La seconde raison est que l’on a affaire à un mouvement citoyen sans motivations politiques ni matérielles. Cette foule ne dit pas « Bouteflika, dégage ! » et ne demande pas d’argent ou de privilèges particuliers. Et ça, le pouvoir ne sait pas traiter.
L'ampleur de la contestation
Il sait comment casser un mouvement de contestation politique. Par la matraque, les gaz lacrymogènes, les arrestations, etc. Par la manipulation et l’infiltration du mouvement : il sait corrompre les leaders ou pousser à la violence les militants. Par le « clonage », en créant un mouvement parallèle, généralement plus extrémiste dans ses revendications affichées pour mieux torpiller l’action des mouvements d’origine. Toutes ces techniques ont été utilisées sans succès à In-Salah. Pour neutraliser un mouvement de contestation à motivation matérielle, le régime algérien sort quelques millions de dollars du Trésor public qu’il distribue aux contestataires et achète ainsi la paix sociale. À In-Salah, ce sont tour à tour le Premier ministre, le chef de la police, le chef de la région militaire qui se sont rendus sur place et ont tenté de calmer les ardeurs de la population. Laquelle rejette toute discussion et n’exige qu’une seule chose : que le président de la République proclame l’arrêt des forages.
La contestation a pris une ampleur particulière au cours du premier trimestre 2015 . On a vu naître un peu partout à travers le pays des collectifs identiques à celui d’In-Salah, qui se sont fédérés au niveau national au sein d’un « collectif national Non au gaz de schiste ». Le 23 février, a été adressée au président de la République une demande de moratoire, accompagnée d’un argumentaire extrêmement bien fait dans lequel sont démontrés tous les dangers que comporte la technique de fracturation hydraulique utilisée pour extraire le gaz de schiste de la roche-mère ; les dangers pour la santé de l’homme mais aussi les risques de pollution du sol, du sous-sol, de l’air, de l’eau, notamment de la couche albienne qui recèle des dizaines de milliers de milliards de mètres cubes d’une eau fossile, accumulée là depuis la nuit des temps. Cet argumentaire relève également que l’exploitation du gaz de schiste est économiquement non rentable.
Dans la demande adressée au président de la République, en sus de la promulgation d’un moratoire, il a été proposé qu’ait lieu un débat public, une confrontation d’idées entre les experts ayant préparé l’argumentaire qui y est joint et les spécialistes qui auraient préparé le dossier technique sur lequel s’est appuyé le gouvernement pour autoriser l’exploitation du gaz de schiste. À ce jour, aucune réponse n’a été donnée par le président de la République à cette requête.
L’« assistance » américaine
Constatant que le mouvement de rejet de l’exploitation du gaz de schiste se propageait rapidement à travers le pays et craignent que le « virus » n’atteigne le cœur de la Sonatrach, le pouvoir a fait appel à l’assistance des États-Unis. Le 18 février de cette année il fit inviter par l’IAP (Institut algérien du pétrole) un spécialiste « indépendant » américain qui vint à Alger exposer aux cadres supérieurs de l’entreprise nationale les bienfaits que cela procurerait à l’Algérie. Effectivement, ce spécialiste, Thomas Murphy, directeur du Penn State Marcellus Center of Outreach and Research, ne dit que du bien de la fracturation hydraulique, une technique qui serait, selon son expérience personnelle en Pennsylvanie, sans danger pour l’homme, pour la faune et pour la flore. Il ne fit qu’une seule recommandation, celle d’agir en toute transparence, car, dit-il, les masses populaires sont ignorantes de toutes les retombées positives que procure l’exploitation du gaz de schiste.
Il faut savoir que le centre de recherches que dirige M. Murphy est chargé du suivi de l’exploitation du gisement de gaz de schiste de Marcellus, l’un des plus grands – si ce n’est le plus grand – aux États-Unis, et que participent au fonctionnement et au financement de ce centre pas moins de trois cents firmes, toutes intéressées à un titre ou un autre par l’exploitation du gisement. Que pouvait donc dire d’autre M. Murphy, si ce n’est louer les bienfaits de l’exploitation du gaz de schiste ? Le gouvernement connaissait évidemment ce « détail » : c’est en toute connaissance de cause qu’il fit appel à ce représentant d’un lobby, qu’il présenta comme un expert « indépendant ».
Autre initiative américaine, la venue à Alger dans le courant de la première quinzaine de mars 2015 de Charles Rivkin, sous-secrétaire d’État aux Affaires économiques, qui fit une conférence de presse à l’ambassade des États-Unis, au cours de laquelle il déclara qu’il « n’avait pas de conseils à donner aux Algériens, mais qu’il fallait qu’ils sachent que, dans son pays, l’exploitation du gaz de schiste avait été créative d’emplois, que la technique utilisée était saine et sans dangers et que l’opération était rentable ». Puis il ajoutait que « les États-Unis étaient disposés à fournir à l’Algérie l’assistance technique nécessaire, si elle le désirait ». Venant de la part d’un représentant officiel de la première puissance mondiale, c’était là plus qu’un conseil donné aux Algériens, c’était un ordre.
Pollution et hécatombe d’oiseaux
Aujourd’hui, il est certain que la pollution est déjà là. Elle est partout : dans l’air, à la surface du sol et dans le sous-sol. Il n’est qu’à voir, pour s’en convaincre, ces images diffusées sur Internet de bourbiers laissés derrière eux par les exploitants, qu’il s’agisse de Halliburton ou des foreurs de la Sonatrach. Il y a de fortes chances que la nappe d’eau phréatique, utilisée par la population locale pour ses besoins personnels, soit déjà polluée ou en voie de l’être très bientôt.
D’ailleurs des pigeons sont morts, des faucons sont morts, des volées de cigognes en migration sont mortes également. On ne connaît pas la raison exacte d’une telle hécatombe, très probablement la conséquence de la pollution des eaux et de l’air causée par les forages réalisés ou en cours dans la région. Connaîtra-t-on un jour la vérité ? Cela semble difficile, car les vétérinaires d’In-Salah ou des villes avoisinantes, sollicités pour procéder aux examens, analyses ou autopsies qui permettraient de déterminer les causes de ces morts, refusent de les faire. Ils craignent des représailles de la part des autorités dans le cas où ils viendraient à démontrer des liens de cause à effet entre les forages de gaz de schiste et ces disparitions d’oiseaux…
international - Par Chawki Amari - le 08 Jui, 2015
Début juin, l'Algérie signait un accord agricole avec les Etat-Unis faisant craindre l'implantation de laboratoires de semences dans le pays. Un partenariat qui résulte en partie de la politique néo-libérale prônée par le frère du président, Saïd Bouteflika.
C’est par l’agriculture que les USA entament une nouvelle offensive terrestre sur l’Afrique, Algérie comprise, avec la bénédiction de Saïd Bouteflika, le frère du président. Une histoire de famille recomposée dans une longue tradition de relations en dents de scie entre les Etats-Unis et l’Algérie.
Laboratoire agricole
Fin juin. Chaleur ou ramadan, ou les deux, le ministre algérien de l’agriculture, fraichement nommé, s’emporte en visitant une exploitation à l’occasion du lancement de la campagne labour-semailles. Fatigué d’entendre les plaintes des agriculteurs sur le manque d’aides de l’état, il lance : «vous ne faites que demander des subventions, dans ce cas, restez chez vous.» En effet, l’état algérien dépense chaque année près de 2.5 milliards d’euros pour l’agriculture, 5ème budget d’état depuis l’ouverture au privé en 1987 (oui, l’Algérie était très Soviet à l’époque).
Mais pour un secteur qui contribue à hauteur de 10 % dans le PIB et occupe 25 % de la population active (contre respectivement 1.6 % et 5.2 % pour l’Union Européenne), ce n’est pas assez. A titre d’exemple l’Islande et la Norvège redistribuent 66% des revenus agricoles en soutien aux producteurs, l’Union Européenne 33%, la Turquie 24, le Mexique 14 et l’Algérie à peine 5%. Mais la colère de Abdelkader Kadi n’est peut-être qu’une coïncidence, pendant que le ministre parlait de « fainéantise » aux agriculteurs algériens, des accords se nouaient avec les Etats-Unis, implantation de laboratoires de semences et expérimentations diverses sur des terres sahariennes, sur la base d'une introduction beaucoup plus large en Afrique.
La menace a fait réagir des spécialistes panafricains à Alger, d’autant que deux mois plus tôt, la commission de l’Union Africaine où l’Algérie est très influente, envisageait d’Addis Abeba en Ethiopie, de donner plus de liberté sur les OGM aux États membres. Si le Kenya est déjà embourbé dans les OGM US, de même que le Sénégal, le 23 mai dernier, pour la journée internationale contre les OGM, une manifestation a eu lieu au Burkina Faso, rassemblant des militants venus de tous les pays d’Afrique hostiles aux projets américains. Contrairement aux Algériens, ils sont inquiets de l’arrivée de la Fondation Bill Gates, qui sous couvert de 3 milliards de dollars « donnés » à l’agriculture africaine (95% de cette somme va en réalité aux organisations internationales présentes sur place), a amené avec lui des géants de l’OGM comme Monsanto (dont il détient des actions) mais aussi implanté des partenariats avec la fondation Rockefeller et les multinationales Cargill, Unilever, Nestlé, Coca cola et Olam. Au centre du projet africain, la recherche génétique, comme pour les accords signés avec l’Algérie, un euphémisme anglo-saxon pour diffuser des semences OGM et toute la panoplie de produits chimiques qui vont avec.
On attribue généralement à Massinissa, Aguellid (roi) berbère qui a unifié le pays (la Numidie, soit l’Algérie du Nord, au IIème siècle avant JC) cette maxime, adressée à l’empire romain conquérant de l’époque : » l’Afrique aux Africains. » Sur le continent, les petites fermes familiales produisent plus de 90 % de toutes les récoltes et pour les Etats-Unis, le problème est plus large, en absence de débouchés, ils attaquent en Afrique, qualifié de « continent à la croissance la plus rapide » par la Maison-Blanche lors du sommet Etats-Unis-Afrique de l’année dernière. Pour contrer l’offensive chinoise ? Un rapport de l’ONG Action Air International daté de fin mai 2014 est à ce sujet édifiant : « le continent africain, qui possède à lui seul un quart des terres fertiles mondiales, concentre 41% des transactions foncières, sur un nombre total de 1.515 transactions à travers le monde. »
Premier acheteur de terres en Afrique, les USA possèderaient déjà 7 millions d’hectares pendant que la Chine stagne à 1,34 millions, résultat probable d’une campagne lancée en Grande Bretagne en 2013 à travers des affiches, géantes dans les aéroports, stations de métro et tous les centres des grandes villes, payée par le journal The Economist : BOOMING CHINESE INVESTMENT IN AFRICA IS BAD FOR AFRICANS (le boom des investissements chinois en Afrique est très mauvais pour les africains). Résultat de la campagne ? On ne sait pas trop. Mais depuis l’an 2000, poursuit le rapporteur d’Action Air International, plus de 1.600 transactions de grande échelle ont été répertoriées, soit une superficie totale de 60 millions d’hectares », sans compter les terres non cadastrées par les états africains, qui représenteraient 70% des terres. L’Algérie résiste encore, qui interdit le droit à la propriété du sol par des étrangers, mais elle possède d’immenses terres dans son Sud, plus d’un million de kilomètres carrés, assis sur une nappe d’eau fossile géante. Pour un Américain affamé et assoiffé, c’est la Californie.
Bouteflika, saison 4
Mais comment les USA ont-ils réussi à s’attaquer à la sacro-sainte valeur des Algériens, la terre ? Dans un câble daté de décembre 2009 et révélé par Wikileaks, il est fait mention que le département d’Etat est à la recherche d’informations sur le frère du président Abdelaziz Bouteflika, Saïd. Ce câble émanant du secrétariat d’Etat et signé Clinton souligne que les analystes de Washington manquent de «rapports sur ses activités et ses soutiens.» Un autre câble américain s’inquiète « du virage à gauche pris par l’Algérie » et à la fin de son 3ème mandat (2004-2009), le président Bouteflika tombe malade, le frère reprend discrètement la gestion et les soutiens sont identifiés, Il Camerlingo est approché.
L'Amérique, déjà bien présente dans les hydrocarbures conventionnels et depuis peu dans le gaz de schiste, s’attaque à l’agriculture avec le nouveau ministre Abdelkader Kadi nommé en mai dernier, qui entérine les accords assez opaques avec les Etats-Unis. Il ne s’agit officiellement pas encore d’OGM mais la voie est ouverte, après le sous-sol, les Américains entrent en sol. Accrochée à ses principes dans l’axe historique Tunis Damas Téhéran Pékin New Delhi Moscou, Alger tente de se diversifier avec la chute de ses recettes pétrolières. Mais l’opposition est tenace, à l’image de Louisa Hanoune, la trotskyste de choc du Parti des Travailleurs (24 sièges sur 462 à l’Assemblée), qui ne cesse de fustiger ce néo-libéralisme conduit par Saïd Bouteflika, lui-même ancien syndicaliste trotskyste, détenteur par ailleurs d’un doctorat à Paris en intelligence artificielle.
En cause, l’impulsion qu’il donne à son entourage, dont Ali Haddad, partisan d’une ouverture totale et qui vient de signer un partenariat avec l’Américain Varian, leader dans les dispositifs de radiothérapie pour récupérer une partie des 1,8 milliards d’euros que l’état algérien va mettre, un peu tard, dans un plan national anti-cancer. Oui, le frère travaille alors que le président est malade, mais lui se soigne en France, pendant que le grand amour, Etats-Unis/Algérie, renait de ses cendres. Le président Bouteflika, quand il était encore debout au début de son premier mandat, avait déjà donné la mesure : « nous ne sommes pas de taille à affronter l'Amérique » avait-il humblement avoué.
Rodriguez au pays des merguez
Une semaine après la nomination d'Abdelkader Kadi à l’agriculture, le chef d’état-major Ahmed Gaïd Salah ainsi que le premier ministre Abdelamalek Sellal recevaient à Alger le général David Rodriguez, chef du commandement de l’Africom, le United States Africa Command, créé en 2007 par W. Bush pour coordonner toutes les activités militaires et sécuritaires des États-Unis sur le continent, mais qui n’y trouve toujours pas de siège pour son bureau.
Il n’y a sûrement aucun rapport avec l’agriculture mais le signe d’une coopération régulière entre les deux pays, notamment sur le terrain sécuritaire. Les relations algéro-américaines qui «remontent à plusieurs années» sont empreintes de «confiance», déclare le général Rodriguez. Il a bien dit « quelques années », car il y a 200 ans, 15 ans avant l’invasion coloniale française de l’Algérie, les USA et l’Algérie entraient en guerre, pour des produits agricoles. Entre 1785 et 1793, les redoutables corsaires de la Régence capturent des dizaines de navires américains chargés de denrées alimentaires pour un arriéré de 27000 dollars sur les sommes à payer depuis le traité de 1795.
L’opinion publique américaine, poussée par les exportateurs des produits agricoles, réclame des mesures, ce qui tombe bien puisque terminant la guerre avec l’Angleterre en 1814, l’Amérique peut déployer des navires en Méditerranée et foudroie la marine algéroise en 1815. Un traité est signé, avec des indemnités à verser aux Américains et cette première défaite d’Alger, alors sous protectorat turc, ouvre la voie au bombardement de la ville par une flotte anglo-hollandaise l’année suivante, ce qui achève le mythe de l’invincibilité d’Alger El Mahroussa (la bien gardée).
Le blé, nerf de la guerre
La suite est connue, le duc de Bourmont, déserteur à la bataille de Waterloo en 1815 est nommé pour débarquer à Alger à la tête de 37 000 hommes en 1830 et annonce aux Algériens : « la France vient vous libérer de vos tyrans turcs et vous redonner votre indépendance », sous les moqueries de son armée qui n’a pas oublié et murmure à voix basse « Alger est loin de Waterloo, on ne déserte pas sur l’eau ».
Encore une histoire de blé d’ailleurs, si le fameux coup d’éventail du Dey d’Alger infligé au Consul de France fut le prétexte de l’invasion, la colère du régent résultait d’un contentieux, deux intermédiaires, Bacri et Busnach, vendent à crédit du blé algérien à la France, qui tergiverse sur ses créances, poussant le Dey, manquant d’argent, à s’en mêler directement. Ironie du sort, 50 ans avant la colonisation française, l’Algérie est le premier pays à reconnaitre l’indépendance des Etats-Unis en 1783. Depuis, les relations ont évolué en dents de scie, l’Algérie condamnant les invasions américaines et l’Amérique reprochant à l’Algérie son soutien (prudent) au Yémen, à la Syrie, l’Iran et tous les maltraités de la Terre.
Ingrat, toujours en juin dernier, alors que les accords agricoles viennent d’être paraphés, le responsable de la Section commerciale de l’ambassade américaine à Alger, Christopher Wilken, exprime publiquement sa déception vis-à-vis de l’Algérie, qui « occupe la 147e place sur 189 pays pour ce qui a trait à la facilité de faire des affaires.» Quelques jours plus tard, le département d’état américain remet une couche, pondant un méchant rapport sur la situation des droits de l’homme en Algérie. L’oncle Sam et le frère du président ne se fâchent pas pour autant mais tout n’est pas réglé, les Affaires étrangères, conduites par le tatillon Ramtane Lamamra de la vieille école, répond en fustigeant l’Amérique avec un langage qui contraste avec la légendaire neutralité algérienne, jugeant «partial» voire «outrancier» ce rapport, soulignant « qu’il n’engage que ledit partenaire » (sans le nommer) et précisant que la communauté internationale « est, en l’occurrence, loin de reconnaître une quelconque mission de juge universel des droits de l’Homme à ce pays » (toujours sans le nommer).
« Si les églises françaises sont tombé en désuétude, convertissez-les en mosquées! »
9 juillet 2015 11:42
Quelles que soient les musulmans français ils obtiendrez dans le cou de soit: Sarkozy qui est sur la nouvelle accusation présidentielle pour 2017, ou soit: du parti d'extrême droite Front National, Mohammed Ansar, commentateur politique et sociale au Royaume-Uni dit RT
L'ancien président Français Nicolas Sarkozy et un certain nombre d'autres personnalités ont signé une pétition de rejeter une proposition visant à convertir de la France catholique vide des églises en mosquées. Un des sondages récents , le public français a montré que plus de 67 % sont opposés à l'idée.
RT: Pourquoi pensez-vous que les musulmans français veulent transformer les vieilles églises en mosquées ? N'est-il pas mieux de créer des installations modernes construite à cet effet, qui sont plus faciles à maintenir ?
Mohammed Ansar : Je pense que tout ce que les musulmans Français va faire dans cette situation, qu'ils vont l'obtenir dans le cou, surtout à partir de Sarkozy qui cherche à amener La République dans une nouvelle charge présidentielle en 2017. Je pense que si nous voulions construire de nouvelles mosquées que vous auriez opposition de la droite et l'extrême droite notamment du Front National. Je pense que si vous voulez convertir ce qui deviennent ostensiblement maintenant vidé-out catholique des églises en France, je pense qu'ils auraient recevoir opposition semblable ; Je pense qu'ils sont dans une impasse.
RT: C'est la suggestion très sensible, n'est-il pas ?
MA: Oui. Je pense que le sondage qui a été éteint dans Valeurs Actuelles, le magazine de l'extrême droite et [l'enquête] a été de l'Institut de l'Opinion publique Français, on dit que deux-tiers des personnes interrogées se sont opposés à lui. Mais bien sûr si vous faites tourner ceci d'une autre manière, et vous le Regardez comme étant une attaque contre les valeurs Français, Français histoire, le patrimoine Français, puis bien sûr gens seront opposés. En revanche, tu dois regarder le nombre de diminution de l'église de spectateurs en France dès maintenant. Et en même temps nous avons eu un nombre croissant de musulmans.
RT: Combien appui pensez-vous que cette initiative a parmi les fidèles de chaque foi ?
MA: je fais beaucoup de travail interconfessionnel ici et ailleurs et nous voir que les gens plus fidèle et la plupart des gens qui se rendent dans les mosquées, églises et synagogues... sont très pragmatiques, peuple très utilitaire. Si ces églises ne sont pas utilisés, si ces églises - plutôt que debout vide et étant ignorée et désaffectée - et bien sûr la loi du Parlement qui créé la séparation des églises en France a été en 1905. Les églises construites avant cette période, l'État est responsable. Mais les églises construites après cela - si elles sont couchées en jachère et vide et ne pas utilisé, je pense que la plupart des gens de nature fidèle sera très pragmatique et dire: « pourquoi ne pas laisser les gens utiliser ces espaces ou leur permettre de construire de nouvelles. »
RT: Ce que diraient les musulmans, pensez-vous, si quelqu'un a suggéré convertissant une mosquée à une église chrétienne, ou une synagogue ?
MA: La plupart des mosquées que j'ai visité ici et partout dans le monde sont absolument pleine à craquer avec les musulmans prient cinq fois par jour. En Grande-Bretagne, par exemple, nous avons vu les derniers chiffres du recensement et des chiffres similaires en France : dans les dernières personnes de 10 ans d'autres confessions, confessions non chrétiennes ont augmenté leur nombre dans ces pays. Musulmans ostensiblement pendant cette période ont doublé. Je pense que le gros problème va être avec Sarkozy. En 2009, il a voulu défendre l'interdiction du minaret, en 2010, il a défendu l'interdiction du voile, en 2012, il a dit il y avait trop d'étrangers en France, et cette année il a également défendu interdisant le porc et les repas Halal et en poussant très, très difficile contre les musulmans. Je ne pense pas que cette question est vraiment de foi] et l'utilisation des espaces de la foi. Il s'agit de Sarkozy et sa rhétorique anti-musulmane et pousser fortement sur la communauté.
Préparations aux critiques sont la chair à canon de l'histoire
Brandon Smith 9 juillet 2015 Marché Alt
Le monde est entrée dans une sorte de no man s land, entre les royaumes de déni fou et crise tout à fait évident. L'Europe est maintenant déstabilisante au milieu le feuilleton grec (un événement que j'ai prédit en janvier se produirait en 2015) ; Bulle boursière de la Chine déborde ; et le statut de réserve mondiale du dollar américain est sur le point d'être décimés par le changement global vers le système de réserve monétaire du Fonds monétaire International, le panier. Je crains que je vais devoir dire cela parce que je ne sais pas si tout le monde admette : analystes économiques alternatifs ont eu raison, et le choeur grand public était terriblement mal ou dégoûtant malhonnête. Toutefois, comme la plupart d'entre nous dans le mouvement de liberté sont bien conscients, avoir raison n'est pas nécessairement une solution à la catastrophe.
À l'avant-garde de l'économie alternative et vigilance constitutionnelle sont les gens qui font levrai travail du mouvement : les preppers. Ce sont les militants des gestes concrets dans le monde tangible (par opposition à la paresse éthérée du monde intellectuel) tout d'abord à se faire aussi indépendant que possible de la grille de mainstream, éliminant ainsi eux-mêmes comme un réfugié ou pilleur éventuel en cas de crise nationale. Deuxièmement, ils sont le peuple de maîtriser des compétences utiles et nécessaires qui leur permettra de reconstruire n'importe quel système social et financier s'est effondré. Troisièmement, ce sont des gens plus capables de défendre nos libertés inhérentes et les principes de la culture de notre fondateur, et elles sont les seules personnes organisant localement pour la sécurité et d'entraide. Le fait de la question est preppers sont gratuits, et presque tout le monde est un esclave, esclave de la dépendance, un esclave à douter, un esclave de l'ignorance, un esclave à craindre et, par conséquent, un esclave à autorité petit établissement.
Pendant la grande dépression, la grande majorité des citoyens américains était des gens ruraux, axés sur la ferme avec des techniques de survie bien au-delà de l'Amérique moderne. « Préparer » à cette époque était bien ancrée dans notre société, plutôt que de « fringe » marginalisée et étiquetée. Aujourd'hui, les chiffres sont inversés, avec un diminution du nombre d'américains de ferme expérimentés et un vaste désert de citoyens urbains et suburbains, beaucoup avec peu, le cas échéant, des légitimes des ensembles de compétences. Pendant la grande dépression, des millions de personnes sont morts de faim et la pauvreté générale, malgré le nombre incroyable de personnes connaissant la survie rurale. Que pensez-vous d'arriverait à notre efféminés ; métrosexuel ; iPhone-dépendants ; zézayant ; boites-torsadé ; les obsédés ; Twitter-, SMS-, jeu vidéo timbré ; La-Z-Boy-équitation ; l'enfant envahi culture dans le cas où une autre crise économique même à distance similaire se produisait ? Oui, la plupart d'entre eux mourraient, probablement de façon horrible.
Pensez-y un instant. Un paragraphe incroyable des américains ne savent pas se nourrir ; ils ne savent pas comment chasser ; ils ne savent pas comment faire pousser des cultures ; ils ne savent pas comment faire pour réparer tous les éléments nécessaires utilisées pour assurer leur subsistance ; ils ne savent pas comment construire quelque chose d'utile ; ils ne savent pas comment faire pour tirer ; ils ne savent pas comment se défendre ; ne savent même pas comment faire cuire une marmite de riz correctement. Leurs seules compétences impliquent psittacisme remarques de mauvaise humeur de leur télévision préférée de dénominateur commun Web présente, bâtiment points karma amplement sur Reddit et éviter toute attitude contraire à ce qu'ils perçoivent comme étant l'opinion de la majorité (dont ils tirent aussi de grands médias et sites Internet).
C'est décidément ironique compte tenu de l'inutilité de ces gens qu'il est souvent les pires sous-sections des aveugles, sourds et muets qui choisissent de « critique » le mode de vie préparateur comme « troublé » ou « dangereux ».
À mon avis, ils sont absolument damnés pathétiques et devraient être regardées de haut avec mépris comme l'exemple plus concentrée de la misère humaine slithering jamais pour salir à travers les pages de l'histoire.
Mais, bon, cela ne signifie pas que je leur souhaite un préjudice.
Les gens qui sont pas au courant et mal préparés ne sont pas nécessairement nos ennemis. À un moment ou un autre, nous étions tous au courant des vérités sous-jacente à notre système et notre avenir, jusqu'à ce que nous nous sommes réveillés un jour. En revanche, il y a des gens qui ont vraiment évolué à partir de la bile amère et maladive récupérée sur le gros intestin des ignorants grotesque. Ces personnes sont les anti-preppers.
Anti-preppers sont bien conscients des philosophies et des arguments basés sur les faits d'activisme préparateur ; mais plutôt que d'ignorer ou rejetant nous pure et simple et émouvante sur leur vie insipide, ils cherchent plutôt à détruire preppers et à l'idéal de préparer. Pourquoi ? Pour comprendre qu'il faut comprendre la nature des Statistes et collectivistes parce qu'elle où ces gens racine eux-mêmes et leur vision du monde tordu.
J'ai lu récemment un article de Joshua Krause plus à The Sheeple quotidien dans lequel il a contré un article morceau succès grand public contre preppers intitulé « Être prêt pour preppers ». L'article est lui-même un affichage extrêmement perturbé, tout d'abord à l'aide des arguments ad hominem typiques et sans imagination de marginaliser preppers, puis mutation dans un traité sur pourquoi preppers doivent tous être exterminés.
Krause a fait un excellent travail de démantèlement de l'essai de propagande non conformes aux normes et journalistique contestée, mais je voudrais aller au-delà des arguments typiques des anti-preppers et dans l'état d'esprit qui les anime. Je vous recommande de lire « Préparez-vous à preppers » pour faire bonne mesure, étant que c'est un exemple parfait du caractère psychopathique de la commune étatiste. Ensuite, je voudrais effectuer la chirurgie du cerveau un peu ici et se décoller quelques couches de Psyché afin que vous puissiez comprendre pourquoi ces gens nous détestent tellement.
La triste réalité est que la plupart des anti-preppers que je fais affaire avec en personne ont jamais même parlé à un préparateur face à face jusqu'à ce qu'ils s'étaient rencontrés me. Ils ont tendance à entrer dans une posture de débat immédiate avec plusieurs hypothèses en ce qui concerne ce que croit un préparateur et comment vit un préparateur. Cette posture commence par une attitude incrédule et sarcastique. Et comme ils commencent à réaliser que le préparateur qu'ils traitent est plus intelligent qu'eux, leur attitude revient en conditionné talking points et mousser généralement indigné.
Anti-preppers ne connaissent pas ou associer preppers réels. Au contraire, ils tirent leurs opinions d'entre nous de médias populaires, qui est le plus souvent ouvertement partialité ; épisodes de « Doomsday Preppers » et autres spectacles conçus pour nous faire paraître ridicules ; et articles de nouvelles influences Southern Poverty Law Center chargement de calomnie soigneusement élaboré. Ils ont rarement, voire jamais, face à un préparateur ou preppers sur terrain neutre et les faits de l'adresse ou les figures honnêtement.
La majeure partie de ce qui compose le stéréotype du préparateur est une foutaise. Mais il renforce penchants haineux de l'anti-préparateur, donc ils DEVOREZ sans aucun doute.
Ils nous haïssent à cause de notre liberté
Sont anti-preppers « terroristes? » Oui, ils sont. Il pourrait sembler dur, mais l'attitude de l'anti-préparateur, considérons un instant. Il vous hait parce que vous avez choisi un mode de vie qui est indépendant du système et l'idéologie dont il choisit de rester une partie. Il vous hait parce que vous avez une mesure de liberté n'a pas, il pourrait avoir, si seulement il avait le courage de faire quelque chose. Il vous hait parce que vous ne souhaitez pas participer au jeu sans signification du collectivisme, il a passé sa vie entière en tentant de maîtriser. Il vous hait parce que vous marchez loin de son système et faire votre propre chose. Comment osez-vous faire votre propre truc !
Beaucoup d'entre nous qui apprécient les idéaux axés sur les libertaires sont partisans du « principe de non-agression », qui, pour résumer, stipule que le respect de la liberté individuelle est la valeur primordiale de toute société qui cherche à se maintenir pacifiquement et indéfiniment. La société humaine est pas un lien ; Il n'est pas une ruche. La société, si c'est rien du tout, est une collection des esprits individuels et des âmes agissant volontairement pour la promotion de la Communauté, mais jamais au détriment de la liberté individuelle. Contrairement aux idées reçues grand public, l'individu n'a aucune société une chose.
La non-agression exige que la société ne violera pas la liberté individuelle pour un gain collectif arbitraire et que personnes pas utilise la violence ou la contrainte d'exiger avec force la participation des autres. C'est à dire, vous me laisser à mon rêve et je vous laisse à la vôtre. Mais si vous essayez de bafouer délibérément mon rêve afin d'enrichir votre propre, je suis dans mon droit d'abattre un marteau puissant saloperie sur votre crâne jusqu'à ce que vous me laissez seul. Anti-preppers n'ont aucun la capacité de saisir ce concept. Pour eux, chaque être humain est propriété du groupe plus large et défiance de l'Etat est un blasphème.
Ces collectivistes sont aussi prévisible de fervents adeptes de la religion de la gestion des ressources et souvent argumenter que preppers sont en fait « horders » des ressources. En vertu de cette idéologie, ressources n'appartiennent pas au peuple qui en fait travaillé pour les gagner. Au contraire, les ressources en quelque sorte appartiennent à tout le monde peu importe comment paresseux qu'ils sont et doivent être constamment redistribuées afin que toutes les personnes (des gens ordinaires, pas des élites) ont le même montant exact. Ils peuvent ne jamais sembler à définir ce qu'est exactement un « partage équitable » est en fait, et je crois que c'est parce que tant un « partage équitable » est ambiguë à eux, ils conservent le pouvoir ultime pour prendre ce qu'ils veulent quand ils le veulent toujours sous la justification qu'hier vous et j'ai eu assez, mais aujourd'hui nous avons encore une fois trop. L'argument anti-préparateur que « hording » est nocif pour le collectif et que toutes les ressources, même votre stockage de nourriture, devraient être gérés par le groupe (l'État), est le modèle de propagande de l'avenir. N'oubliez pas cela parce que vous allez voir cette scène propagande prendre très bientôt.
Anti-preppers sont souvent des sortes de clowns de cirque de justice sociale qui prêchent la tolérance infaillible et prétendons que dédain pour toute forme de discrimination, mais ils sont dans le même temps violemment discriminatoire contre quiconque prêcheront pas leur évangile particulier collectiviste. Le modèle collectiviste sociale est par chaque définition d'une forme de sectes, et dans la plupart des cas, le Dieu de ce culte est l'État. Il considère l'État comme une présence omnipotente infaillible : mère et père, gardien et discipline.
Pour refuser la participation revient à nier le collectiviste, Dieu et le genre d'horreurs que nous lisons à propos du fanatisme religieux de médiévales chrétiennes inquisitions pâles en comparaison à la mort et la destruction infligées par collectivistes modernes.
Leur culte de l'État est excité par l'amour de sa puissance collective – l'État est l'arme ultime pour ceux qui pensent qu'ils peuvent exercer avec succès il. L'État a la capacité de « légalement » emprisonner ou tuer, et il a la capacité de menacer ces conséquences contre quiconque refuse de se conformer aux caprices idéologiques des personnes qui exploitent. À moins que, autrement dit, les victimes de l'État deviennent des révolutionnaires. Il s'agit de la grande peur des collectivistes en ce qui concerne le mouvement de préparateur ; ils nous considèrent comme des révolutionnaires potentiels qui pourraient éventuellement éteindre leur mécanisme de contrôle, et ils n'aiment pas ça.
Le fanatisme psychotique de Anti-Preppers
De nombreux anti-preppers ne se contentent pas seulement d'attaquer le caractère du mouvement préparateur — du moins, pas plus. Vous voyez, malgré les tentatives enragés de miner la validité d'apprêter et de dissuader l'expansion du mouvement, preppers sont maintenant Légion, avec des millions de participants actifs et experts des médias alternatifs efficaces qui dominent le trafic Web et écrasant les médias traditionnels en farines archaïque. Nous avons fait les grands médias une blague grand public, et cela ne siège pas bien dans l'esprit des adhérents étatiste qui avait le pouvoir de goulot d'étranglement de toute discussion. Si nous sommes si désespérément frange, il y n'aurait aucun besoin d'écrire des morceaux hit non provoquées contre nous dans un premier temps. Qui ils essaient de convaincre ?
Car ils savent maintenant qu'ils ne peuvent pas gagner la guerre de l'information, elles favorisent plus en plus des fantasmes de génocide. Cette citation (en référence à des méthodes pour résoudre le problème de « préparateur ») de l'article du lien ci-dessus vraiment dit tout :
« Plus, consommé avec la convoitise capiteuse de leur propre survie inattendu (voir un épisode de The Walking Dead), et avec seulement dépassée préservatifs à leur disposition (même pas Doom et Bloom stocks pilules contraceptives) Ces cracheurs bouche vont sans doute se multiplier rapidement et, ergo, doivent être arrêtés avant un tel avènement. Cela peut signifier qu'une chose : préparation clée dans n'importe quel désastre pour le reste d'entre nous (sauf une carte à l'ensemble des entrepôts de distribution Wal-Mart) est la suivante : Préparez-vous à preppers neutres par tous les moyens disponibles.
… Non seulement cette noblesse oblige assureront un patrimoine génétique plus fort va vers l'avant, mais bon, ces salauds ont tous les antibiotiques, gear, de nourriture et de poissons, vous aurez besoin. "
Et là vous l'avez : l'illusion de la bande dessinée de l'anti-préparateur, si désespéré pour nous empêcher de stockage alimentaire et éléments essentiels, si troubles par notre organisation locale et notre capacité à nous défendre, qu'ils préféreraient voir nous tous « neutre », c'est-à-dire tués. Notez également l'obsession de la stérilisation du pool génique comme socialistes dans leur fureur psychotique harken souvent à leurs ancêtres fascistes et communistes.
Il n'est peut-être pas une coïncidence que les personnes plus en amour avec l'État sont souvent les premiers à être anéanti par ce dernier. Avid échelon inférieur et la tyrannie des agents intermédiaires sont souvent exterminés par le système même, qu'ils ont aidé à une position dominante. S'ils ne respectent pas leur disparition aux mains de la mise en place, puis ils répondent invariablement leur chute aux mains de ceux qui luttent contre la mise en place.
Le problème pour anti-preppers, c'est que la plupart d'entre eux sont débiles et des lâches qui sont incapables de mener à bien leur vision d'un programme final. Ils ont toujours eu besoin d'une classe de guerrier, mandatée par l'État à mettre en œuvre le meurtre qu'ils désirent. Hilarante, cet anti-préparateur particulier consacre 80 % de son article pelleter mal écrits assassinats de caractère comme fumier tellement comme si nos préoccupations de crise sont sans conséquences, puis continue à décrire son idée d'anéantir tous les preppers et voler nos fournitures dans le cas où le système s'effondre. Si nous sommes tous ces « kooks » et les hillbillies paranoïaques, alors pourquoi même connaître la notion de nous avoir étouffé afin que nos magasins peuvent être redistribués ? Certes, un tel effondrement n'aura jamais lieu au milieu de notre économie américaine invincible ; et, donc, preppers ya rien de plus inoffensifs excentriques gaspiller notre argent sur les boîtes de nourriture que nous ne touchera pendant encore 20 ans. Droit ?
L'histoire ne supporte pas les hypothèses d'anti-preppers. Et tout au long de l'histoire, anti-préparation aux personnes tendent à être les premiers à répondre à une disparition précoce dans le sillage de fiscales et sociales s'effondrer parce qu'ils n'ont aucune utilité et parce que, franchement, personne ne les aime vraiment. Ils ne sont également pas les ampoules les plus brillants autour (le gars pense réellement qu'il va trouver de la nourriture dans un centre de distribution Wal-Mart après un démontage dans l'ordre civil).
Anti-preppers aujourd'hui font la promotion des actions violentes contre la culture de la protection civile car dans les confins de leur subconscient maladif, ils savent que nous avons raison et que nous ne serons pas contrôlée lorsque le système s'arrête. Ces gens nous accusent de convoiter après l'effondrement, lorsqu'il est en effet eux qui saliver sur des scénarios de mortalité massive dans laquelle ils fantasment qu'ils en quelque sorte seront les survivants malgré le fait qu'elles sont nées des victimes. Ils imaginent un moment quand, après le « pool génique a été nettoyée », ils vont reconstruire la société comme une utopie socialiste parfaite dans lequel toute idéologie à l'encontre de leurs propres a été effacé de la mémoire de tous, laissant leur récompense suprême : un monde ardoise vierge à faire avec, comme ils le souhaitent.
L'objectif derrière le mouvement du préparateur est simple, pas de sinistre ; Nous cherchons à désamorcer la crise avant qu'elle se produise en fournissant à nos propres besoins sans la nécessité d'une grille à intégrer facilement un mauvais fonctionnement et un gouvernement qui est endommagé sans réparation possible. Si votre voisin est un préparateur, être reconnaissants, car vous avez une personne de moins dans votre rue pour inquiéter comme un pilleur potentiel en cas d'urgence. Si votre voisin est un anti-préparateur, Méfiez-vous, car cette personne vous voit comme une source potentielle de l'offre et pense que tu lui dois simplement parce que vous avez quelque chose qu'il ne le fait pas. La ligne du bas est que si le monde était plein de preppers, il n'y n'aurait aucun une telle chose comme la crise parce qu'il n'y n'aurait aucune absence de nécessité ou d'ingéniosité individuelle. Au pays des preppers, disparaît en cas de catastrophe. Quand remonte la dernière fois un anti-préparateur fait quelque chose pour améliorer quelque chose pour quelqu'un d'autre que lui-même ? Demandez-vous qui vous serait plutôt en fin de compte : prête à tout ou prêt pour rien ?
L'hégémonie commence par là ! L'humain se nourrit !
1°) Tout faire pour que les campagnes se dépeuplent ( Prix de l'eau gratuite des ruisseaux pour irriguer les cultures ! Hausse des taxes & impôts ! Hausses du prix des semences & engrais ! Hausse du prix du matériel agricole ! Taxes nouvelles sur la pollution ! etc, etc)
2°) Donner à manger de la merde aux citadins ! (Goûtez c'est bio ! Ce n'est pas traité çà vient de pays étrangers ! Multiplication par 20 du prix d'achat des fruits & légumes entre paysans et supermarchés ! etc, etc)
3°) Comparez un repas fait par un ministre (nourrit par le contribuable) et le repas fait par le contribuable proposé par un ministre ! (Hahahahaha !)
Le programme d'énergie nucléaire de l'Iran n'a jamais été question de Washington avec l'Iran. La notion, poussée par les néoconservateurs seulement que l'Iran avait un programme d'énergie nucléaire (5 % l'enrichissement d'uranium) afin de cacher un programme d'armement nucléaire (95 + enrichissement %) a toujours été une couverture pour la véritable opposition de Washington à l'Iran et Washington véritable agenda.
Du point de vue de la doctrine de Washington d'hégémonie mondiale des États-Unis, le problème avec l'Iran est son indépendance. Comme l'Irak, Libye, Syrie, Venezuela, Equateur, Bolivie, Brésil, Argentine, Cuba, Corée du Nord, Russie et Chine, l'Iran n'est pas vassal de Washington.
Washington a refusé d'admettre la vérité et pour dire que l'Iran était sur sa liste des cibles, parce que l'Iran ne se soumettraient pas à Washington, va. En revanche, Washington a décidé de créer la peur de l'Iran parmi les peuples américain et européen. Washington a fait en accusant l'Iran de mettre au point des armes nucléaires que l'Iran aurait donner aux terroristes ou elle-même utiliser contre Israël, en Europe et Amérique. Lorsque Washington a placé des missiles balistiques sur la frontière de la Russie, Washington a menti à la Russie que le but était d'intercepter des missiles balistiques intercontinentaux nucléaires iraniennes (inexistante).
Propagande de Washington sur la menace des armes nucléaires iraniennes a maintenant plusieurs ans malgré le National Intelligence Report publié par tous les 16 intelligent des organismes américains que l'Iran a abandonné il y a plus de dix ans son intérêt pour les armes nucléaires. Propagande de Washington a également continué à l'aide des médias occidentaux malgré le fait que les inspecteurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique sur le terrain en Iran rapportent constamment qu'il n'y a aucune preuve de tout détournement de l'uranium enrichi à un programme d'armement. En d'autres termes, les inspecteurs de l'AIEA peuvent expliquer pour l'ensemble de l'uranium enrichi par le programme d'énergie parfaitement légal.
Néanmoins, Washington soutient, Iran effectue ou est sur le point de fabriquer des armes nucléaires.
La fabrication d'armes nucléaires a toujours été un manteau pour les intentions réelles de Washington, qui est d'apporter un changement de régime en Iran, que ce soit de l'Iran à l'extérieur ou à l'intérieur et retour à son statut antérieur d'un État vassal de l'Ouest. Les impérialistes occidentaux jamais pardonner à ceux qui s'échappe ou secouer leurs griffes.
Washington a orchestré la question de la « menace nucléaire » afin de préparer les américains et les européens à une attaque militaire contre l'Iran.
En masquant ses véritables intentions dans un numéro fabriqué, Washington a ouvert la porte à la Russie, résoudre la question fabriquée avec diplomatie. Pris au piège dans sa propre fabrication, Washington est confronté à la résolution du problème avec les accords exécutoires qui ne garantissent aucun enrichissement iranien à la catégorie des armes de la Russie.
Frustrés, les néoconservateurs enragés par l'intermédiaire de politiciens punk petit voyou de Washington ont tenté de bloquer l'accord. Le parti républicain, désormais contrôlé par Israël, a même demandé le leader fou d'Israël devant le Congrès américain afin de bloquer l'accord de Obama à l'affaire de l'Iran.
Pour bloquer la transaction à ce stade est d'admettre que la question nucléaire n'a jamais été plus qu'une couverture pour l'opposition de Washington à l'indépendance de l'Iran.
Si Obama est sincère, piégé par la diplomatie russe, ou en s'appuyant sur un événement sous fausse bannière pour discréditer l'Iran et nix ainsi l'affaire, je ne sais pas. Israël, bien sûr, veut que Washington à lever tous les obstacles à son expansion au Moyen-Orient. Après avoir volé la Palestine, Israël veut du Sud-Liban comme sa prochaine acquisition.
Ce que je sais, c'est que, comme l'accord nucléaire avec l'Iran n'est pas le vrai problème, qu'il réussit ou échoue aura aucun impact, parce que l'opposition de Washington à l'Iran est l'indépendance de l'Iran. L'Iran est une manière de Washington. Le canular de la menace nucléaire que Washington créé était juste un moyen de propagande pour apporter insouciantes américains et européens autour d'une attaque contre l'Iran.
L'Iran reste en danger, quel que soit le succès ou l'échec de l'accord.
’’Je suis étonné que les gouvernements menacées par Washington ne vois toujours pas le vrai problème et au contraire acceptent la définition du problème de Washington. La question nucléaire artificielle sert un manteau pour intention de Washington de renverser l'indépendance de l'Iran ; encore le gouvernement iranien et les médias iraniens ont suivi l'exemple de Washington et de ses presstitutes en acceptant cette question tirée par les cheveux comme le vrai problème. Si l'Iran ne survit, ce sera un miracle.
Quelque opinion que l'on a du peuple grec, la vérité est que toute cette pagaille a été provoquée par les politiciens et par le videur-out des banques européennes.
Suscitant ce commentaire du ß?ß??a 6 Juillet, 2015 au 09:14:
Un point de l'ordre: "L'ensemble de ce désordre était causé par leurs politiciens» et les politiciens ont été choisis par le peuple grec, ou certains d'entre eux, et toléré par la plupart ou la totalité du peuple grec. Donc, le peuple grec ne sont pas tout à fait innocent.
Et ma réponse:
Peut-être «entière» était un mot trop fort. Je vais descendre à 98%, comme ceux qui se tiennent à faire des milliards sont très efficaces à manipuler ceux qui sont en elle pour des centaines.
Non pour excuser ceux qui sont manipulées, seulement à reconnaître la boîte à outils extrêmement efficace développé par et disponible pour ceux qui font la manipulation. Qui est à blâmer? Les acteurs, ou ceux qui donnent (ou permettent) les acteurs ont le pouvoir et l'autorité?
Je suppose que vous êtes familier avec l'argument par Étienne de La Boétie, de résumer: «Chaque tyrannie doit nécessairement être fondé sur l'acceptation populaire générale."
Les personnes, plus ou moins, obtiennent ce qu'ils veulent; cœurs remplis de jalousie exigent une action par leurs dirigeants politiques. Il ya beaucoup de vérité dans cette position.
Mettant de côté les exemples où les politiciens et les bureaucrates agissent en contradiction directe avec la volonté voix de la majorité des gens (et annulant les désirs de chaque individu dans la minorité), est-ce le solde de l'émission? Les gens votent (ou acquiescent) et donc les gens sont à blâmer - dans une certaine mesure significative, au moins ?
Si la responsabilité individuelle pour l'action est pour signifier quelque chose, il me semble que les acteurs directs portent la grande majorité du blâme: «Il m'a fait faire" ne semble pas un moyen approprié d'allouer la culpabilité chez les adultes, en particulier lorsque le " fait "ne vient pas avec la menace de la force derrière elle. «Je ne faisais que suivre les ordres" est pas la meilleure défense.
Comme déjà suggéré, "ensemble" était trop forte, et «98%» pourrait aussi être trop élevé. Essayons ceci:
Quelque opinion que l'on a du peuple grec, la vérité est que la prépondérance écrasante de cette pagaille a été provoquée par les politiciens et par le videur-out des banques européennes.
Surprise, Surprise ! Les banques grecques restent fermées
Par Joseph T. Salerno Mises.org 9 juillet 2015
Il y a quelques heures, un ministre grec de la réforme administrative, George Katrougalos, a déclaré à une station de radio à Athènes que la réouverture des banques "est probablement pas techniquement possible cette semaine." Le choix du ministre de mots est, pour être charitable, moins de ingénue. Même avec des contrôles de capitaux en place qui limitent le montant quotidien qui peut être retiré d'un compte via les guichets automatiques à € 60, les banquiers à Athènes signalent qu'il ya seulement assez d'argent à gauche pour durer jusqu'au milieu de la semaine prochaine. Donc, après avoir promis que les banques rouvriront jeudi, le gouvernement grec est contraint de faire face à la réalité que tout le système est insolvable et restera fermé en l'absence d'un plan de sauvetage renouvelé de la BCE. Et là réside la raison de la peur et la haine de la trésorerie par tous les politiciens, les banquiers et les macroéconomistes dans le monde entier: même face à des contrôles de capitaux nazie de style, aussi longtemps que les gens sont libres d'exercer leur droit contractuel de retirer de l'argent, ils peuvent apporter tout système bancaire à réserves fractionnaires politiquement privilégié à ses genoux, que ce soit en Grèce ou aux États-Unis
Le prix de l'or pourrait baisser de 15%, Voir brut à 40-50 $ / bbl Niveaux: Jim Rogers
The Economic Times
9 juillet 2015
Dans une interview avec ET maintenant, Jim Rogers, expert des produits de base, partage ses vues sur les marchés et les produits. Extraits:
- ET maintenant: Que faites-vous de l'actuel bain de sang dans l'espace des produits de base actuellement ? Combien de temps pensez-vous que cela dure ?
- Jim Rogers: Je ne suis pas sûr si il ya juste bain de sang. Le pétrole a baissé d'un ensemble beaucoup plus avant, donc qui bain de sang parlons-nous ?
- ET maintenant: Que diriez-vous d'une correction que nous voyons pour la dernière couple de jours ?
- Jim Rogers: Ce que cela signifie est que la Grèce et la Chine sont effrayer les gens. Toutes ces choses qui se réunissent font le prix du pétrole baissent, mais la façon dont les marchés fonctionnent quand quelque chose a un grand effondrement, il ya un rebond automatique après un certain temps. En Amérique, nous l'appelons un rebond morts-chat. Il ya un grand rebond et puis le marché revérifie la faible. ils revenir en arrière et avoir un test de ce qui est arrivé avant.
Je pense que ce qui se passe est maintenant. Il arrive toujours. Donc, je me attendre l'huile d'avoir une nouvelle vérification normale automatique dans les bas.
- ET maintenant: D'un côté, il ya des préoccupations de la Chine, de l'autre côté, nous sommes à la recherche à la Grèce et l'Europe. La hausse des taux de la Réserve fédérale américaine est quelque chose que nous avons parlé le plus longtemps et puis il ya la force en dollar américain. La réaction dans les produits de cours a approfondi dans le dernier couple de jours, mais êtes-vous en regardant plus loin déclin continu à partir d'ici ?
- Jim Rogers: Je suppose que. L'automatique, l'essai normale au plus bas dans l'huile va se poursuivre. Il fera de son fond dans le courant de 2015. Je ne sais pas si l'or fera son fond en 2015 trop si elle descend un autre 15 ou 20%. Je ne pense pas que vous allez voir beaucoup plus à la baisse dans l'agriculture à l'avenir. Pour la plupart, nous tenons essai des bas et je soupçonne que les matières premières vont passer ce test.
- ET maintenant: Pendant très longtemps je interagi avec vous, vous avez toujours prôné que vous devriez acheter la peur et la cupidité vendre. À l'heure actuelle, pensez-vous il ya la peur dans les matières premières, devrait-on être un acheteur de produits de base, si oui, alors lesquelles ?
- Jim Rogers: Oui, il peut être la peur, mais tout simplement pas paniquer. Vous êtes censé acheter panique et l'hystérie vendre. Il n'y a pas même de panique en Chine et les stocks chinois, mais plus proche de la panique dans le monde à l'heure actuelle est les actions chinoises ou des stocks Grèce.
- ET maintenant: Etes-vous un acheteur sur les actions chinoises, alors ?
- Jim Rogers: Je serait probablement acheter quelques actions chinois quelque part le long ici.
- ET maintenant: Comment voyez-vous la seconde moitié de l'année civile se déplaçant pour les grandes classes d'actifs et quand je dis grandes classes d'actifs, il est développé des actions des marchés, les marchés émergents et les matières premières ? - Jim Rogers: Je pense que dans le courant de la seconde moitié de cette année, vous pourrez voir les marchés boursiers font leur sommet. Cela fait six ans que les marchés boursiers ont été à la hausse normalement aux Etats-Unis. Nous avons eu des problèmes économiques tous les quatre à sept ans. Maintenant, nous voyons une sorte de haut sur les marchés boursiers et si l'Amérique a un sommet, cela signifie que la plupart des autres endroits, peut-être pas le Japon, la Chine et la Russie, mais certainement les autres marchés développés feront un haut et qui inclurait les marchés émergents parce que ils sont influencés par les marchés boursiers de l'Europe et de l'Amérique, les plus grands.
- ET maintenant: Quel est le produit que vous êtes plus optimistes cette année ? Qu'est-ce que va donner le meilleur rendement ?
- Jim Rogers: Je ne connais pas la réponse à cette question. Tout ce que je dis, vous serez probablement le pire, mais si je devais en choisir un, je dirais probablement quelque chose comme le riz, mais ne pas écouter moi. Fais tes devoirs.
- ET maintenant: Si la correction actuelle du brut est de continuer, combien inconvénient voyez-vous logiquement pour cette marchandise?
- Jim Rogers: Je soupçonne bas tiendra cette fois et il n'a pas à rester au-dessus du plus bas précédent. Il pourrait descendre au-dessous de un dollar et toujours être un test réussi des bas mais je chercher du pétrole à descendre de nouveau dans les bas de 50 ou 40 ans pour nous tous peur. Voilà ce qui arrive normalement dans le marché. Ils ont une grande chute, un rebond, puis ils retournent à tester les plus bas.
- ET maintenant: Quel est votre sentiment maintenant l'espace de métaux de base, car il est clairement une indication de la croissance économique de la production de l'infrastructure ou de l'usine ramasser et avec le genre de ralentissement jusqu'à ce que nous voyons en Chine et non ces bonnes données en provenance d'Europe ainsi, comment voulez-vous regarder le cuivre, le nickel, l'aluminium, le minerai de fer, prix de l'acier à l'avenir ?
- Jim Rogers: Je ne suis pas optimiste sur les minerais de fer, parce qu'ils sont toujours en expansion, mais je serais probablement pense à un achat pour certains des métaux de base d'autres parce qu'ils étaient descendus beaucoup et il ya probablement de bonnes occasions il. Je ne achète pour le moment parce que je suis trop paresseux à faire d'autres choses, de sorte que je l'ai dit, je vais probablement être à la recherche à la Chine, mais je fais ni le moment.
Vous pensez que l'économie de la Grèce est l'un des problèmes ?
Il est CHINOIS qui est face à crise financière et le plus grand krach depuis la Grande Dépression
Par Simon Tomlinson Courrier Quotidien 9 juillet 2015
Tumbling les marchés boursiers de la Chine ont chuté encore plus aujourd'hui, en intensifiant les craintes du pays était de queue tourner vers la plus grande catastrophe financière depuis la crise de 1929 à Wall Street.
Presque 3trillion $ (£ 2trn) - plus que la totalité de la production économique du Brésil - a été effacé car les marchés sont entrés dans inverse il ya quelques semaines, posant un plus grand casse-tête pour de nombreux investisseurs mondiaux de même que la crise de la dette grecque.
Le gouvernement chinois, les régulateurs et les institutions financières sont maintenant mènent une campagne concertée pour soutenir les marchés boursiers de la nation - un mouvement qui a échoué spectaculairement dans le krach de 1929 qui a déclenché la Grande Dépression.
La chute des marchés boursiers en plein essor précédemment, qui avait plus que doublé au cours de l'année à la mi-Juin, est un problème majeur pour le président Xi Jinping et hauts dirigeants de la Chine, qui sont déjà aux prises avec ralentissement de la croissance dans la deuxième plus grande économie du monde et un autre éclatement de la bulle. «Les parallèles avec 1929 sont, sur le visage de celui-ci, étrange, écrit Jeremy Warner, commentateur économique et rédacteur en chef adjoint du Daily Telegraph.
Après plus d'une décennie de croissance effrénée, la création de richesse extraordinaire et l'excès, les deux économies - l'Amérique en 1929 et la Chine aujourd'hui - sont à peu près les mêmes étapes de développement économique.
En effet, le boom du crédit de la Chine dépasse de loin celle de la même «années folles».
Pékin a intensifié ses efforts dans le week-end pour tirer les marchés boursiers de la Chine d'un piqué du nez, avec les meilleurs cabinets de courtage engageant à acheter des quantités massives d'actions et d'un rapport que le gouvernement a mis en place un fonds de stabilisation du marché.
Pékin a également suspendu les nouvelles offres d'actions dans une tentative de réduire la pression sur le marché après un plongeon de 30 pour cent en trois semaines.
La suspension rapporté des offres publiques initiales (IPO) est venu quelques heures après les annonces extraordinaires par les principaux courtiers et gestionnaires de fonds, qui, collectivement engagés à investir au moins $ 19billion de leur propre argent dans les stocks.
M. Warner a déclaré: «Les pare-feu que la Chine mis en place au cours du week-end pour atténuer la panique sont, en pratique, pas très différente de celles appliquées au cours de la Grande Crise de 1929, mais cette fois il est public, plutôt que de l'argent privé qui promet de réprimer le feu.
Cette fois-ci, ils ont jeté l'évier de la cuisine sur le problème, mais jusqu'à présent, il a produit seulement une légère, et absolument pas convaincant, rebondir. Le feu couve toujours, menaçant d'éclater à nouveau.
Les actions chinoises ont plongé aujourd'hui après la réglementation des valeurs mobilières du pays a mis en garde les investisseurs étaient en proie à la «panique sentiment» et le marché a montré des signes de congélation comme entreprises brouillés pour échapper à la déroute en ayant leurs actions suspendues.
Les investisseurs respirent un soupir de soulagement que la Chine continentale, Hong Kong stocks balancer au plus près
Haut fonctionnaire au Bureau de sécurité publique met en garde contre la répression contre les «ventes à découvert malveillants», comme les stocks de Hong Kong et sur le rebond de la partie continentale de retour
jeudi, 09 Juillet 2015 23:55
Hong Kong et les stocks de la partie continentale ont fini une autre séance volatile en hausse hier, mais le risque de gains exagérer ce que les analystes étaient rebonds provisoires de certains des plus fortes chutes depuis la crise financière mondiale.
Le rallye de soulagement est venu comme Liu He, un conseiller économique supérieure au président Xi Jinping, a déclaré à des journalistes en marge du sommet du BRICS en Russie que ni l'économie chinoise, ni son marché boursier étaient en mauvais état.
Le volume des échanges à Hong Kong a été presque également divisé entre les acheteurs et les vendeurs de 50 valeurs de référence de la ville, en dépit de tous les secteurs de l'indice affichant ce qui semblait être des recouvrements solides.
La moitié de tous les stocks du continent restait suspendu, laissant les investisseurs avec peu d'options, mais de racheter ce qu'ils avaient vendu, dans le but d'équilibrer leurs expositions.
L'indice composite de Shanghai a augmenté de 5,76 %, ou 202,14 points à 3,709.33, la plus forte hausse en une seule journée en termes de pourcentage depuis le 4 Mars 2009, lorsque l'indice a ajouté 6,12 %.
Près de 1.300 des 1.400 stocks disponibles pour la négociation sur le continent bondi de leur limite quotidienne de 10 %, entraîné par les courtiers, les mineurs de charbon et les entreprises liées à la construction.
L'indice de Shenzhen a augmenté pour la première fois en sept jours, en hausse de 4,25 pour cent à 11,510.34 points. L'indice Hang Seng de Hong Kong a bondi de 3,73 %, ou 876,23 points à 24,392.79. L'indice H-action a augmenté de 3,05 %, ou 339,07 points à 11,446.37.
Les investisseurs sur le continent ont commencé à ressentir les effets de la vague de mesures non conventionnelles stimuler le marché de décideurs. Parmi les nouvelles mesures, la réglementation des valeurs mobilières a déclaré hier qu'il serait de fournir des capitaux à des fonds communs de placement afin d'améliorer la liquidité du marché pour aider à compenser les pressions de rachat.
La China Securities Regulatory Commission a déclaré qu'il permettrait aux institutions financières de renégocier les termes de maturité avec leurs clients et permettent aux banques pour faciliter les exigences de marge pour les emprunteurs.
Pendant ce temps, le chef de la sécurité publique adjoint de la partie continentale a visité les bureaux CSRC avec son équipe pour enquêter sur ce qu'ils ont appelé "la vente à découvert malveillants", Xinhua rapporté.
Liu Dong, un directeur adjoint de l'enquête du Bureau de crimes économiques relevant du ministère de la Sécurité publique, a déclaré à la télévision d'Etat le ministère allait travailler avec l'organisme de réglementation des valeurs mobilières pour aller après les activités illégales liées aux valeurs mobilières et de sévir contre les colporteurs de rumeurs.
Une autre mesure, d'interdire les principaux actionnaires de la vente de participations dans des sociétés cotées pendant six mois, a attiré les critiques de gestionnaires de fonds internationaux.
Bien Templeton a appelé un acte de "désespoir", Wells Fargo dit juste "reporte l'inévitable", a rapporté Bloomberg.
Le gouvernement pourrait avoir plus de place pour boosts de politique. La banque centrale était sous pression pour réduire de 50 points de base dans les ratios de réserves obligatoires des banques que l'inflation est restée faible et la fabrication était atone, ANZ Bank dit.
L'indice des prix à la consommation de la Chine continentale a augmenté de 1,4 % le mois dernier à l'année précédente, tandis que l'indice de prix à la production a chuté de 4,8 %, les données ont montré hier.
Turquie: une manifestation contre l'homosexualité appelle à tuer les gays
18:09 09.07.2015
Des activistes homophobes ont, lors d'une manifestation, brandi des affiches menaçant de mort les homosexuels afin de rappeler au peuple musulman les peines légales prescrites par le Coran. Le groupe islamiste "La Jeune défense islamique" a organisé mardi une marche contre l'homosexualité, en collant des panneaux menaçant de mort les homosexuels dans plusieurs quartiers d'Ankara, rapporte AFP. «Faut-il tuer celui qui fait la sale besogne et s'adonne à la pratique du peuple de Loth ?», s'interrogent ces affiches. Des musulmans estiment que le prophète Loth été envoyé comme messager par Allah à l'une des communautés de Sodome, peuple exterminé pour avoir pratiqué l'homosexualité. Une Gay Pride annuelle des LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres) a été réprimée par la police à Istanbul il y a moins de deux semaines. De même, la manifestation a eu lieu pendant le mois de jeûne du calendrier musulman — ramadan.
Cinq ans de la comédie « Crosse de Hockey » FMI glorieux
Soumis par Tyler Durden le 09/07/2015 11:37-0400
Le sujet des prévisions comiques du FMI et des erreurs de politique désastreuse qui en résulte a été discuté longuement et à plusieurs reprises, pendant les années les deux ailleurset ici. Et bien qu'il ne rend pas justice à la tragédie humaine qui ordinaires grecs ont dû subir dans le cadre de 5 années d'échecs « sauvetages » visant à préserver la richesse des banquiers allemands, les oligarques grecs et quelques politiciens corrompus, les perspectives économiques mondiales trimestrielles, mise à jour offre même les Grecs plus faillite, sans oublier de mentionner tous les autres, l'occasion de rire de ce qui sont maintenant 5 ans d'hockeysticks de prévision économique vraiment hilarant , même si la réalité continue à se détériorer avec chaque année qui passe.
Espèce : plus tôt aujourd'hui the IMF a publié ses dernières prévisions. Dedans, le PIB mondial 2015 a été réduit de 3,5 % à 3,3 % précédemment imprévuesrisques de la Grèce à la Chine". Ou plutôt, nous devrions dire couper à nouveau. Voici l'histoire des prévisions du PIB mondiale 2015 du FMI a commencé avec juillet 2014 :
- voir graphique sur site -
Mais qui se soucie constamment avoir tort ici, dès maintenant (en plus de 11 millions de Grecs qui est) quand vos projections garder promettant que la croissance est toujours "juste autour du coin" comme ils le font dans le tableau suivant liste juste pourquoi le FMI a désormais perdu toute crédibilité non seulement comme un bailouter de dernier recours (voir Grèce), mais comme un prévisionniste.
Présentation : plus de cinq ans de glorieux IMF hockeysticks.
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Mais, croyez-le ou non, ce n'est pas l'argument massue. L' argument massue qui est selon une analyse de Bloomberg, comparativement aux sept banques centrales mondiales, FMI est le meilleur Pronostiqueur de tous!
Le meilleur Pronostiqueur de tous : le Fonds monétaire International. Il a battu la Banque du Canada, le vainqueur du classement, plus souvent qu'autrement sur la croissance et l'inflation.
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La réserve fédérale est le plus optimiste. La Banque du Japon a fait la plus grosse erreur. La Banque du Canada est le plus précis, mais il a obtenu le travail plus facile.
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« Les banques centrales doit être beaucoup mieux à ce qu'ils font, » a déclaré Rob Carnell, économiste international en chef chez ING Groep à Londres. "S'ils essaient de nous convaincre que tout ce qu'ils savent où les choses vont à l'aide d'orientation vers l'avant on pourrait penser qu'ils savent quelque chose que nous n'avons pas. , Mais à moins qu'ils sont beaucoup mieux à l'analyse des données, nous ne devrions pas les écouter et ils ont rien à dire. "
Mais le FMI n'a pas un mandat national pour définir les taux d'intérêt ou de déployer d'autres outils, qui est des principales raisons existent des banques centrales et le motif de leurs prévisions. Les projections sont enroulées dans les lignes directrices sur la future politique des mouvements qui la banques offrent plus que jamais — orientation qui obtient utilisée par les entreprises et gouvernements pour leurs propres décisions.
Bien sûr, comme le montrent les graphiques ci-dessus et en Grèce a constaté de première main, le FMI est en fait assez terrible à prévoir quoi que ce soit:
- voir graphique sur site -
... donc si ils sont la meilleure institution « officielle » à prédire l'avenir, alors la fin est sûrement proche.
Mais revenons à des thèmes plus sérieux, tandis que le FMI ne faiblit jamais en l'admettant, il s'est trompé le présent mais sera plus de rattraper cela avec enthousiasme futur, un gros souci est que quand il s'agit que toutes les importante variable économique globale et du commerce, pas même le FMI a tout optimisme à gauche: à partir de juillet 2015, maintenant, le FMI voit la croissance du commerce de l'année prochaine s'élevant au rythme le plus bas depuis la première grande crise financière : pas même l'effet de la crosse de hockey fonctionne ici.
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Pourquoi le commerce mondial est important ? Car tandis que les banques centrales peuvent imprimer artificiel, si record haute, bourse prix (sauf si ils sont la Chine, où ils ne peuvent encore le faire) et forcer encore plus d'inégalité de richesse record et des conflits sociaux, ils sont complètement impuissants pour « imprimer » du commerce - commerce qui est l'âme d'une économie mondialisée.
Donc si quelqu'un se demande pourquoi le monde est embourbé dans une dépression mondiale qui a été dissimulée au cours des 7 dernières années, avec $ 22 billions en achats d'actifs de banque centrale, le tableau ci-dessus devrait expliquer tout cela.
Notre pétition “Non à la société sans cash” rencontre une adhésion générale. Nous avons tout de même reçu quelques critiques — dont celle-ci, qui est très argumentée ; il nous a donc semblé intéressant de répondre point par point aux objections soulevées par ce lecteur, que nous remercions de sa contribution. En préambule, nous ne prétendons pas imposer un retour aux espèces, ni un retour à l’agriculture à la force animale, ni à l’âge de pierre. Tout le monde peut constater dans sa vie courante que la dématérialisation des espèces rend service ; en France, le cash représente pour l’instant moins de 5% des transactions en valeur.
La criminalité existait déjà même avant l’invention de la monnaie Nous soutenons cependant que le cash est une option… parmi d’autres qu’il convient de préserver dans une société libre et démocratique. Mais voici la réaction de M.G. et nos réponses.
Non, je ne signerai pas une telle pétition tant j’appelle de mes voeux depuis de nombreuses années la disparition totale des espèces. Il faut bien comprendre qu’à ce jour nous avons les moyens et aurions intérêt de nous passer de l’argent liquide.
Si nous y parvenions, un nombre considérable de maux de notre société trouverait enfin un début de solution, au nombre desquels : Eradication des dealers (je vois mal le trafic de drogue se faire payer en chèque ou en cartes)
– L’histoire prouve pourtant que la criminalité est inhérente à toute société quelle que soit la forme de monnaie utilisée ; les trafiquants de drogue n’en sont qu’un aspect. La criminalité existait déjà même avant l’invention de la monnaie, à une époque où les échanges étaient limités à de très petites communautés. Les dealers pourraient très bien recourir au paiement en nature sous forme de prostitution ou d’esclavage — ce qui ne constituerait pas une grande avancée sociale ou un début de solution, nous semble-t-il. Ils pourraient également utiliser des crypto-monnaies, des armes, des métaux rares ou précieux…
Très forte diminution des vols à l’arrachée, les petits délinquants cherchent d’abord et avant tout des espèces (enfin pouvoir voyager sans crainte de se faire détrousser).
- Les petits délinquants se sont adaptés à l’évolution de notre société : ils savent très bien qu’ils récoltent de moins en moins d’espèces lors de leurs vols. Ils font leurs recettes avec les papiers d’identité, carte Vitale, cartes de débit.
Les demandes de rançons ne se font qu’en espèces, difficile de les voir épouser cette évolution.
– Les kidnappeurs se sont eux aussi bien adaptés à la vie moderne et ne se promènent plus avec des valises de cash depuis belle lurette. Ils préfèrent de beaucoup les sociétés écrans et les virements Swift.
Plus de hold-up.
– Effectivement ce genre de criminalité se raréfie, de même que les attaques de diligence ou de convois postaux. En réalité, cette criminalité s’efface face à la criminalité en col blanc, plus efficace et plus lucrative : vol de données, usurpation d’identité, pyramide de Ponzi…
Très forte diminution de la fraude fiscale et sociale qui paralyse nos sociétés et finit toujours par faire payer les plus faibles.
– La fraude fiscale et sociale n’est pas le fait de l’existence ou non du cash. Elle est le résultat d’une intolérance grandissante face à l’impôt.
L’impôt consenti est le signe d’une démocratie saine
Ceux qui souhaitent évoluer vers la société sans cash mettent évidemment en avant la fin de toute résistance possible à l’oppression fiscale. Mais l’impôt consenti est le signe d’une démocratie saine tandis que l’impôt subi et la hausse de la fraude fiscale sont justement le symptôme que quelque chose cloche — le “ras-le-bol fiscal” évoqué par Michel Sapin. Le 15 octobre 2013, le quotidien Le Monde publiait un sondage sous le titre “Impôts : le désaveu des Français” ; on y découvre que 72% des personnes interrogées jugent le montant de l’impôt “excessif”.
Les pays où l’utilisation du cash est plus importante qu’en France, comme l’Allemagne par exemple, ont une collecte fiscale largement aussi efficace que la nôtre. Plutôt que de supprimer une liberté fondamentale, ne vaudrait-il pas mieux supprimer le recours au déficit, restaurer le débat démocratique autour du bien-fondé de l’impôt et du coût réel de la politique sociale ?
Terminé les transferts douteux vers les paradis fiscaux.
– Dans les nombreux paradis fiscaux, y compris européens (Jersey, Guernesey, Monaco, Campione, Luxembourg, Suisse…), je vous assure que vous ne voyez pas des gens déambuler avec des valises de cash et des liasses de billets dans leurs poches. A dire vrai, les paradis fiscaux sont plutôt des centres d’affaires avec des connexions Internet à haut débit.
Beaucoup plus compliqué les financements occultes de partis politiques
– Je pense qu’il s’agit là d’une plaisanterie. M. Cahuzac avait monté des sociétés de conseil pour faire écran, Thomas Fabius prétend avoir gagné au Loto de quoi acheter un appartement parisien, Bygmalion avait mis dans sa poche des experts comptable. Ce genre de financements occultes s’appuie sur des réseaux complexes et des fausses factures. Pots-de-vin et corruption se passent très bien de cash. En revanche, administration pléthorique, élus professionnels, capitalisme de copinage favorisent les financements douteux qui se font sur le dos des contribuables.
Alors sauf à appartenir à ces catégories ou vouloir soutenir les mafias, j’aimerais assez entendre des arguments crédibles pour s’opposer à une telle mesure de salut publique.
– J’espère que nos réponses sont convaincantes. Voyez-vous, les mafias utilisent les routes, l’éclairage public, les circuits d’assainissement d’eau, les médicaments… et on ne parle pas de les supprimer !
Par une privation supplémentaire de liberté, beaucoup prétendent résoudre les “maux de notre société” ou accéder à plus de sécurité.
Mais où met-on le curseur entre liberté et sécurité ?
L’indice de liberté économique montre que les pays les plus libres sont aussi les plus prospères. Les Etats-Providence prétendent éradiquer les injustices et la pauvreté mais leur modèle, qui consiste à acheter une politique sociale à crédit, est en faillite comme le prouve la crise de la dette.
Par une privation supplémentaire de liberté, beaucoup prétendent résoudre les “maux de notre société”
“Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre et finit par perdre les deux”. Benjamin Franklin
La suppression du cash n’est qu’une tentative des Etats-Providence en faillite pour se renflouer en pratiquant la “violence légale”. Supprimer le recours ultime au cash permettrait d’imposer des taux d’intérêt négatifs, de confisquer les dépôts, de taxer arbitrairement sans débat démocratique.
Etes-vous prêt à acheter une sécurité illusoire en aliénant votre droit le plus essentiel, le droit de propriété sur ce que vous avez légitimement acquis ?
[NDLR : Si vous répondez "non" à cette question, cliquez ici...]
La disparition de la monnaie papier est le signe de la dictature. Au chapitre de la confiscation générale de l'argent sur comptes... rien n'est dit ! Cà alors !
Au chapitre des 'réserves d'or en Banques Centrales' qui feraient compensation de la masse des valeurs en billets... rien n'est dit ! Cà alors !
Au chapitre des 'hackers qui vident les comptes' comme trafiquent les logiciels de centrales nucléaire... rien n'est dit ! Cà alors !
Moralité:
Les voleurs ont trop de concurrence. Il faut désormais que le vol soit normal/légalisé pour les seuls Dirigeants.
Car, par 'terroristes' sont désignés ceux qui les ont mis en place. C-à-d les fonctionnaires de l'Etat: Les 'hackers', les grossistes en drogues diverses et tous les autres faux-drapeaux.
Nigel Farage Détruit UE-Groupe Pensez: "Il y a un nouveau mur de Berlin ... Et il a appelé l'Euro"
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden sur 09/07/2015 08:21 -0400
Soumis par Simon Black via Souverain Man blog,
Debout devant le Parlement européen hier, il a fallu à Nigel Farage seulement quatre minutes de détruire complètement tous les arguments soutenant la zone euro.
Il y a quelques années quand il a parlé à un de nos événements Souverain homme à Santiago, il a prévu tout ce que nous voyons en ce moment.
Aujourd'hui, il est loin d'être aussi controversé de dire que l'expérience de la zone euro a échoué. Toute personne au courant de ce qui se passe en Grèce devrait dire la même chose. Mais très peu de gens comprennent vraiment pourquoi.
Comme Nigel explique dans la vidéo ci-dessus, dès le début, le système n'a jamais été conçu pour aider le peuple grec.
La Grèce entrée dans l'euro était super pour Goldman Sachs. Mais terrible pour les Grecs. Il a enchaîné le pays à un système dans lequel il ne faisait pas partie.
Et que dire de tout l'argent de sauvetage qui a été jeté à la Grèce dans le temps depuis ?
Rien de tout cela n'est effectivement allé au peuple grec. Il est allé à renflouer les banques françaises, allemandes, italiennes et qui possèdent de la dette grecque.
Bien sûr, la protection sociale fait glisser un sous-marin de l'économie. Mais le bien-être de l'entreprise est ce qui se noie vraiment.
Depuis la crise, la dette du pays au PIB est passé de 100% à 180%. Les tensions ont monté en flèche, et le peuple grec est dans la souffrance.
(La nuit dernière Zerohedge publié des images de peuple grec sur l'île de Lesvos raids un camion de nourriture. Shocking.)
Ce sont eux qui ont maintenant à porter le fardeau d'une économie stagnante, les contrôles de capitaux, et l'inflation.
Aucune de ces mesures ont travaillé. Et juste regarder comme Nigel détruit cette euros groupthink dangereuse en quatre minutes.
http://www.zerohedge.com/news/2015-07-09/nigel-farage-destroys-eu-group-think-just-4-minutesthere-new-berlin-wall-and-its-cal
Pourquoi les secousses de la Bourse chinoise inquiètent la planète finance
RépondreSupprimerle 09.07.2015 à 14h45
Par Audrey Tonnelier
Que se passe-t-il sur les Bourses chinoises ?
Secouée par un choc d’une ampleur inédite, la place de Shanghaï a perdu près de 30 % de sa valeur depuis la mi-juin. Soit près de 3 000 milliards de dollars (2 710 milliards d’euros) de capitalisation partis en fumée – plus de dix fois la dette grecque ! Certes sur un an, la place est encore en hausse, de 80 %. Mais ces dernières semaines ont de quoi inquiéter. Les places de Shanghaï et Shenzen ont toutefois rebondi, jeudi 9 juillet, de respectivement 5,8 % et 3,8 % en fin de séance, suite aux dernières mesures des autorités pour tenter d’enrayer le krach boursier que vit le pays depuis un mois.
Que fait le gouvernement chinois ?
Mercredi 8 juillet au soir, l’autorité de régulation des marchés boursiers chinois, la CSRC, a annoncé que les actionnaires détenant des participations de plus de 5 % dans des sociétés chinoises cotées n’auraient plus le droit de vendre leurs titres pendant six mois. L’interdiction concerne aussi les investisseurs étrangers, bien que ceux-ci détiennent rarement des positions supérieures à 5 %.
Ces dernières semaines, Pékin avait déjà procédé à des baisses des taux d’intérêts et à la suspension des introductions en Bourse. Sans effet. Même coup d’épée dans l’eau avec la promesse des 21 principales sociétés de courtage chinoises d’investir au moins 19 milliards de dollars dans des produits boursiers, et l’engagement du gouvernement à fournir des liquidités pour le financement des « opérations sur marge », cette technique qui consiste à emprunter auprès des courtiers pour investir et compenser ses pertes. La China Securities Finance Corporation Limited (CSF), prestataire national de services d'opérations sur marge, avait ainsi indiqué en début de semaine qu’elle allait prêter 42 milliards de dollars aux courtiers.
Comment en est-on arrivé là ?
A l’origine de cette débâcle, il y a le difficile atterrissage de l’économie de la République populaire. La croissance du produit intérieur brut (PIB) de la Chine est en effet « tombée » à 7,4 % en 2014, avant de décélérer encore au premier trimestre, à 7 %. Elle devrait plafonner à moins de 6,8 % cette année selon le FMI, un plus bas depuis 1990. La dynamique du pays est minée par la crise du marché immobilier, alors que les invendus des promoteurs s’accumulent. Conséquence : les épargnants se sont massivement reportés sur la Bourse afin de placer leurs économies – avec la bénédiction des pouvoirs publics, qui s’en mordent aujourd’hui les doigts.
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Qui investit en Bourse en Chine ?
RépondreSupprimerPrès de 80 % des investisseurs à Shanghaï sont des petits porteurs – il en existe 90 millions en Chine. Attirés par le mirage d’un enrichissement facile et la pratique des « opérations sur marge », ils ont fait du boursicotage un sport national, dans un pays qui adore les jeux d’argent. Le marché est donc extrêmement volatil, et la chute d’autant plus difficile à enrayer.
De plus, les observateurs commencent à s’inquiéter sérieusement des répercussions de cette tempête financière sur l’économie réelle. Les pertes majeures que ne vont pas manquer de subir des milliers de petits épargnants chinois, qui se sont, qui plus est, massivement endettés pour jouer en Bourse, risquent d’avoir des conséquences au quotidien.
Le krach chinois a pris par surprise un gouvernement chinois dont la maîtrise sur les rouages de l’économie est souvent surestimée. Il risque d’obérer le pouvoir d’achat de millions de petits porteurs et pourrait exposer le Parti communiste à l’ire de beaucoup d’entre eux : à force de faire croire à sa toute-puissance, celui-ci pourrait bien avoir à payer les pots cassés en termes de crédibilité.
Y a-t-il un risque de contagion aux autres pays ?
Cette impuissance à enrayer la chute commence à inquiéter les autres places boursières. La place de Hongkong s’est reprise jeudi après avoir chuté mercredi, mais Tokyo a terminé en légère baisse, jeudi. Certains ne sont pas loin de penser qu’une déstabilisation du système financier due à la correction boursière chinoise constituerait un risque tout aussi important que la crise grecque… « La crainte, réelle, porte sur la signification de tout cela en termes de croissance à long terme en Chine », a déclaré mercredi le secrétaire américain au Trésor, Jack Lew.
Ce sont surtout les forces que les autorités chinoises jettent dans la bataille depuis une quinzaine de jours qui angoissent les observateurs. « Si le marché boursier ne se stabilise pas rapidement, le gouvernement devra faire attention de ne pas consacrer trop de ressources à cet objectif », soulignent les analystes de la Société générale. Ils craignent notamment que la béquille monétaire mise en place par Pékin ne finisse pas poser des problèmes de liquidités sur le marché interbancaire de la République populaire, « qui se taille la part du lion en matière de financement de l’économie ».
Autrement dit, les secousses boursières, jusqu’ici relativement déconnectées de l’économie réelle chinoise, pourraient finir par affecter cette dernière, aggravant encore un peu plus le ralentissement de la croissance. Et affaiblir ses partenaires commerciaux, asiatiques, américains mais aussi européens, au premier rang desquels l’Allemagne.
Signe que cette idée fait son chemin dans l’esprit des investisseurs, les matières premières, dont la Chine reste une grande consommatrice, ont plongé ces derniers jours. Le cours du minerai de fer était tombé mercredi à un plus bas de dix ans, tandis que le cuivre a momentanément chuté à un creux de six ans. Les principales matières premières se reprenaient, jeudi, dans la foulée du rebond des marchés chinois.
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La Chine va-t-elle pâtir de cette situation ?
RépondreSupprimerAu-delà du risque systémique, une chose est sûre : le chaos boursier chinois aura des conséquences sur la crédibilité financière du pays. « Les mesures folles décidées par les pouvoirs publics ces derniers jours auront de graves répercussions sur la capacité de la Chine à poursuivre […] le développement de ses marchés financiers. Comment convaincre les investisseurs internationaux d’acheter des actions chinoises quand la moitié de la cote est suspendue et que les interdictions de ventes et les soupçons de “manipulations” pleuvent ? », soulignent les analystes d’Aurel BGC.
http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/07/09/pourquoi-les-secousses-de-la-bourse-chinoise-inquietent-la-planete-finance_4676935_3234.html
Crash boursier en Chine, une ombre sur le modèle chinois
RépondreSupprimer09/07/2015 -
Jean-Paul Baquiast
La crise grecque n'a que peu secoué les marchés boursiers occidentaux, les spéculateurs étant jusqu'à ce jour convaincus que les gouvernements prendraient les mesures nécessaires pour éviter qu'un éventuel défaut grecque sur la dette ne se répercute sur l'ensemble du marché. Seule une faible baisse a été enregistrée. Ce n'est pas le cas depuis plusieurs jours en Chine.
La bourse de Shanghai, qui est le plus grand centre financier pour l'ensemble de la Chine, a enregistré depuis plusieurs jours des baisses importants. Certains pessimistes y voient les prémisses d'un véritable effondrement, les mesures prises par les autorités chinoises en réaction n'ayant eu guère d'effets jusqu'à présent.
Le gouvernement avait demandé à la Banque chinoise de fournir une quantité illimitée de devises pour encourager les investisseurs à se procurer des actions, dans une démarche proche de celle pratiquée plusieurs fois par la Fed américaine (et fort critiqués à l'époque à Pékin) sous le nom de « quantitative easing ». Mais cela n'a pas permis de faire remonter la capitalisation boursière, qui avait perdu 3.000 milliards de dollars le mois précédent. Les deux index déterminants, Shanghai Composite Index et Shenzen Index n'ont depuis enregistré qu'une remontée insignifiante.
D'autres mesures plus techniques décidées par le gouvernement n'ont pas eu davantage d'effets, notamment l'injonction donnée au massif fonds de pension gouvernemental d'acheter et non de vendre. Sans effets non plus les déclarations de la presse officielle, notamment le Quotidien du Peuple (People's Daily) selon lesquelles le Parti communiste chinois (CCP) s'était déclaré confiant sur le fait que les marchés demeureraient stables et sains.
Nouvelles classes moyennes
La crainte non clairement avouée des autorités est que la crise ne s'étende à l'ensemble de l'économie, déjà très ébranlée depuis quelques mois. La croissance, selon les chiffres officiels (d'ailleurs peu fiables) ne devrait pas atteindre 7% dans l'année, voire ne pas dépasser 4%. La cause de cette véritable dépression a été attribuée à la décision prise les années précédentes par le Parti de pousser les nouvelles classes moyennes à entrer en bourse, afin d'améliorer leurs revenus. Il s'agissait de trouver une nouvelle source de croissance, alors que les investissements dans l'immobilier décidés après la crise de 2008/2009 se heurtait à un grand nombre de logements invendus et que le niveau excessif de l'endettement des collectivités locales générait une inquiétude générale.
L'espoir - un peu naïf vu avec le recul - du gouvernement était que se créerait une nouvelle classe moyenne d'actionnaires enrichis en Bourse - et peu enclins de ce fait à remettre en cause les grands choix politiques de l'État. Ceci au moment où les autorités avaient décidé d'ouvrir la Chine aux marchés financiers internationaux, jusqu'ici dénoncés comme prédateurs. Aujourd'hui, en résultat de cette politique, le marché boursier est dominé à 80% par de petits investisseurs, ayant remplacé les investisseurs institutionnels. Mais ces petits investisseurs ont emprunté massivement auprès des banques pour acheter des titres spéculatifs, ce qui rend l'ensemble de l'édifice particulièrement fragile.
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Les bulles ainsi formées ayant éclaté en chaine ces dernières semaines, pour des raisons difficiles à expliciter en détail mais faciles à comprendre globalement, les nouvelles classes moyennes espérées par le gouvernement sont menacées. Si elles se trouvaient ruinées, les conséquences en seraient graves pour le gouvernement. L'ouverture au marché capitaliste voulue par lui s'avérant un échec, il serait obligé d'en revenir à une économie administrée à la croissance beaucoup plus lente. Mais celle-ci sera de plus en plus mal ressentie.
RépondreSupprimerLe président XI, qui s'était rendu impopulaire par la vaste campagne anti-corruption que le parti avait engagé à son initiative, serait très fragilisé, ses opposants n'ayant pas renoncé à l'abattre. Mais bien plus largement se pose la question de savoir si le crash déjà amorcé à Shanghai ne s'étendra pas aux bourses de toute l'Asie, voire du monde entier, compte tenu de l'interpénétration des marchés financiers. A ce moment, les gouvernements occidentaux, incluant celui de Tokyo, se trouveraient devant de graves difficultés. Certains pays, déjà écrasés par le remboursement des dettes, comme Porto Rico, des États fédérés américains, la Grèce voire d'autres pays européens, entreraient en crise grave. Des émeutes pourraient se produire, que les gouvernements auraient beaucoup de mal à contenir.
Quelques réflexions
En fait, on verra peut-être dans les prochaines semaines que ces craintes étaient mal fondées, les bourses chinoises ayant retrouvé une activité normale après avoir absorbé le gros de la crise. Cependant l'épisode doit inspirer quelques réflexions :
- La course au modèle capitalistico-financier engagée par Pékin, afin de rivaliser avec Wall Street, ne va-t-elle pas tourner court? C'est ce qui s'était produit en Russie avant l'arrivée au pouvoir de Vladimir Poutine, lequel s'efforce aujourd'hui d'y remédier par un retour à une certaine « administration » de l'économie.
- La croissance de la Chine enregistrée ces dernières années n'avait pas reposé sur des bases solides. Elle résultait du fait que le pays s'étant transformé, ruinant à cette occasion de nombreuse industries européennes, en « usine du monde », notamment par l'emploi de masses salariales très sous-payés. Elle avait certes accumulé ce faisant au moins 1.000 milliards de fonds de réserve en bons d'état, mais ce genre d'épargne s'évapore très vite lorsqu'on compte sur lui pour jouer les pompiers dans une crise boursière un tant soi peu étendue.
- En Chine, le gouvernement se montre peu capable de mettre en place un nouveau modèle de croissance, reposant sur une forte consommation des particuliers. Ceci parce que les nouvelles classes moyennes ne constituent encore qu'une faible part de la population chinoise et surtout parce que ce modèle se révèlera de plus en plus incompatible avec des contraintes en matière d'énergie, de matières premières et d'environnement, dont la Chine ne cessera pas de voir le poids s'aggraver.
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- Les espoirs de développement entretenus par certains pays s'étant ces dernières années tournés vers la Chine, au sein du Brics, risquent d'être déçus. Qu'adviendra-t-il notamment du grand projet de Nouvelle Route de la Soie? La Chine pourra-t-elle jouer le rôle espéré au sein de la nouvelle Banque Asiatique d' Investissements pour les Infrastructures IIAB).
RépondreSupprimer- La Chine pourra-t-elle par ailleurs financer ses grands projets militaires et spatiaux? Certes, ceux-ci ne reposent pas sur des actions en bourse. Mais les crédits publics nécessaires doivent, en dernière instance, être couverts par l'impôt, autrement dit par la prospérité des épargnants.
- La guerre à grande échelle engagée par Washington contre la Chine, présentée comme le second ennemi héréditaire après la Russie, ne va-t-elle pas se révéler inutile? En ce cas, les États-Unis pourraient à nouveau retourner leur puissant appareil militaro-industriel contre la Russie.
- La crise en Chine incitera sans doute les nations asiatiques visées par le projet de Trans Pacific Partnership (TPP) sur lequel Barack Obama a décidé de pousser les feux, à jeter un œil beaucoup favorable sur ce Traité. Ceci devrait renforcer considérablement le poids de l'Amérique dans cette partie du monde et, par répercussion, favoriser une adoption rapide par l'Union européenne de l'équivalent pour l'Atlantique, le TTIP. Voir à ce sujet un article de Nile Bowie dans Counterpunch. (Sur le crash, voir China Daily du 7 juillet 2015.)
http://www.dedefensa.org/article-crash_boursier_en_chine_une_ombre_sur_le_mod_le_chinois_09_07_2015.html
Gaz de schiste, l’Algérie sous tutelle américaine
RépondreSupprimerPar La rédaction de "Mondafrique" -
le 26 Juin, 2015
Chiffres fantaisistes, hécatombe d'oiseaux, répression de la société civile: Hocine Malti dénonce les ravages du gaz de schiste en Algérie devant le groupe vert du Parlement européen, le 4 juin 2015
Tout a commencé il y a une dizaine d’années quand l’Agence américaine de l’énergie a publié une étude dans laquelle l’Algérie était classée troisième au monde pour ce qui est des réserves de gaz de schiste, qu’elle avait estimées à près de 20 000 milliards de m3. Disons tout de suite que ce sont là des chiffres fantaisistes : la même agence, en utilisant les mêmes techniques d’appréciation, s’est trompée dans un rapport de un à cinq pour ce qui est des réserves de la Pologne. Pour la Californie, ce sont 96 % des réserves qu’elle avait annoncées qui n’existent pas en réalité. En Algérie, cela n’est cependant pas tombé dans l’oreille d’un sourd ; la compagnie nationale des pétroles Sonatrach, se fondant sur ces affirmations, a foré un premier puits de gaz de schiste en 2008.
En parallèle, en 2010-2011, le gouvernement s’est rendu compte que l’Algérie n’attirait plus les investisseurs étrangers, en raison d’une loi sur les hydrocarbures qui était devenue un véritable repoussoir. Il décida alors de la changer. Il prit attache des compagnies pétrolières étrangères et entreprit avec elles ce que l’on peut considérer comme des négociations secrètes, dans le but de savoir quelles modifications elles souhaitaient. Elles « suggérèrent » que soit révisé le système de calcul de l’impôt et que soit autorisée l’exploitation du gaz de schiste. Ce que le gouvernement fit dans une nouvelle loi sur les hydrocarbures, entérinée par le Parlement en 2013.
Les multinationales pétrolières ne se bousculèrent pas pour autant au portillon, car elles ne voulaient pas essuyer les plâtres, tant sur le plan technico-économique qu’au plan des relations avec les populations locales. Preuve en est que lors de l’appel à la concurrence pour l’attribution de permis de recherche de septembre 2014, aucun des dix-sept périmètres censés contenir du gaz de schiste ne trouva preneur. Sonatrach se lança alors seule dans le forage de puits d’exploration. Elle a réalisé, à ce jour (autant que l’on sache, car aucune information ne filtre à l’extérieur), sept à huit puits dont deux sur le permis de l’Ahnet (région d’In-Salah).
La réaction de la population
Dès que l’on sut, déjà en 2012, que la nouvelle loi sur les hydrocarbures allait permettre l’exploitation du gaz de schiste, un vent de protestation se mit à souffler sur l’Algérie. Les mouvements associatifs, des spécialistes pétroliers, des journalistes, des responsables politiques, des syndicalistes manifestèrent leur opposition à ce projet. Le mouvement de protestation s’amplifia en 2013, après la promulgation de la loi. Le Premier ministre tenta de calmer le jeu et fit notamment une déclaration, dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle est malheureuse : il dit que l’exploitation n’était pas prévue avant 2025, voire 2040, comme si le fait de reporter à plus tard la catastrophe la rendait plus acceptable. Il dit aussi que les produits chimiques utilisés lors de la fracturation hydraulique n’étaient pas plus nocifs que ceux dont sont imbibées des couches-bébé…
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À In-Salah, le mouvement de protestation de la population a été plus puissant que partout ailleurs. Parce que, non seulement le forage des deux puits programmés se déroulait, on peut dire aux portes de la ville (à 28 km à vol d’oiseau), mais aussi parce que des dizaines, voire des centaines d’autres puits suivront, dans le cas où il serait décidé d’exploiter le gaz contenu dans ce bassin géologique. L’opposition de la population d’In-Salah est d’autant plus légitime qu’elle souffre de traumatismes antérieurs. C’est dans cette région qu’ont eu lieu les expériences atomiques françaises des années 1960 et c’est ici aussi que se déroule une autre opération extrêmement dangereuse pour l’homme et son environnement, celle de la séquestration du CO2 dans le gisement de gaz de Krechba.
RépondreSupprimerLe face-à-face autorités-population
La visite du ministre de l’Énergie, fin décembre 2014, pour inaugurer le premier puits allait mettre le feu aux poudres à In-Salah. Il s’en prenait violemment à la population qui, disait-il, avait montré par ses manifestations contre le gaz de schiste qu’elle voulait du mal à son pays et qu’elle allait en faire un nouvel Irak ou une nouvelle Libye. Dire cela à des gens connus pour leur pacifisme et qui, après tout, ne réclament rien d’autre que le droit à la vie…
Depuis le 1er janvier 2015, c’est toute la population qui manifeste journellement, du matin au soir sur la place centrale de la ville qu’elle a débaptisée et qu’elle appelle Sahat Essoumoud (place de la Résistance). Il s’est constitué un collectif anti-gaz de schiste composé de vingt-deux membres qui veille à ce que le mouvement demeure pacifique, mais extrêmement ferme dans ses revendications. C’est là un fait inédit en Algérie, et ce pour deux raisons.
C’est la première fois que l’on voit autant de femmes dans une manifestation de rue. Ailleurs à travers le pays, on ne voit d’habitude que des hommes et quelques rares femmes noyées dans la foule, alors que là il y a pratiquement autant de femmes que d’hommes. La seconde raison est que l’on a affaire à un mouvement citoyen sans motivations politiques ni matérielles. Cette foule ne dit pas « Bouteflika, dégage ! » et ne demande pas d’argent ou de privilèges particuliers. Et ça, le pouvoir ne sait pas traiter.
L'ampleur de la contestation
Il sait comment casser un mouvement de contestation politique. Par la matraque, les gaz lacrymogènes, les arrestations, etc. Par la manipulation et l’infiltration du mouvement : il sait corrompre les leaders ou pousser à la violence les militants. Par le « clonage », en créant un mouvement parallèle, généralement plus extrémiste dans ses revendications affichées pour mieux torpiller l’action des mouvements d’origine. Toutes ces techniques ont été utilisées sans succès à In-Salah. Pour neutraliser un mouvement de contestation à motivation matérielle, le régime algérien sort quelques millions de dollars du Trésor public qu’il distribue aux contestataires et achète ainsi la paix sociale. À In-Salah, ce sont tour à tour le Premier ministre, le chef de la police, le chef de la région militaire qui se sont rendus sur place et ont tenté de calmer les ardeurs de la population. Laquelle rejette toute discussion et n’exige qu’une seule chose : que le président de la République proclame l’arrêt des forages.
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La contestation a pris une ampleur particulière au cours du premier trimestre 2015 . On a vu naître un peu partout à travers le pays des collectifs identiques à celui d’In-Salah, qui se sont fédérés au niveau national au sein d’un « collectif national Non au gaz de schiste ». Le 23 février, a été adressée au président de la République une demande de moratoire, accompagnée d’un argumentaire extrêmement bien fait dans lequel sont démontrés tous les dangers que comporte la technique de fracturation hydraulique utilisée pour extraire le gaz de schiste de la roche-mère ; les dangers pour la santé de l’homme mais aussi les risques de pollution du sol, du sous-sol, de l’air, de l’eau, notamment de la couche albienne qui recèle des dizaines de milliers de milliards de mètres cubes d’une eau fossile, accumulée là depuis la nuit des temps. Cet argumentaire relève également que l’exploitation du gaz de schiste est économiquement non rentable.
RépondreSupprimerDans la demande adressée au président de la République, en sus de la promulgation d’un moratoire, il a été proposé qu’ait lieu un débat public, une confrontation d’idées entre les experts ayant préparé l’argumentaire qui y est joint et les spécialistes qui auraient préparé le dossier technique sur lequel s’est appuyé le gouvernement pour autoriser l’exploitation du gaz de schiste. À ce jour, aucune réponse n’a été donnée par le président de la République à cette requête.
L’« assistance » américaine
Constatant que le mouvement de rejet de l’exploitation du gaz de schiste se propageait rapidement à travers le pays et craignent que le « virus » n’atteigne le cœur de la Sonatrach, le pouvoir a fait appel à l’assistance des États-Unis. Le 18 février de cette année il fit inviter par l’IAP (Institut algérien du pétrole) un spécialiste « indépendant » américain qui vint à Alger exposer aux cadres supérieurs de l’entreprise nationale les bienfaits que cela procurerait à l’Algérie. Effectivement, ce spécialiste, Thomas Murphy, directeur du Penn State Marcellus Center of Outreach and Research, ne dit que du bien de la fracturation hydraulique, une technique qui serait, selon son expérience personnelle en Pennsylvanie, sans danger pour l’homme, pour la faune et pour la flore. Il ne fit qu’une seule recommandation, celle d’agir en toute transparence, car, dit-il, les masses populaires sont ignorantes de toutes les retombées positives que procure l’exploitation du gaz de schiste.
Il faut savoir que le centre de recherches que dirige M. Murphy est chargé du suivi de l’exploitation du gisement de gaz de schiste de Marcellus, l’un des plus grands – si ce n’est le plus grand – aux États-Unis, et que participent au fonctionnement et au financement de ce centre pas moins de trois cents firmes, toutes intéressées à un titre ou un autre par l’exploitation du gisement. Que pouvait donc dire d’autre M. Murphy, si ce n’est louer les bienfaits de l’exploitation du gaz de schiste ? Le gouvernement connaissait évidemment ce « détail » : c’est en toute connaissance de cause qu’il fit appel à ce représentant d’un lobby, qu’il présenta comme un expert « indépendant ».
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Autre initiative américaine, la venue à Alger dans le courant de la première quinzaine de mars 2015 de Charles Rivkin, sous-secrétaire d’État aux Affaires économiques, qui fit une conférence de presse à l’ambassade des États-Unis, au cours de laquelle il déclara qu’il « n’avait pas de conseils à donner aux Algériens, mais qu’il fallait qu’ils sachent que, dans son pays, l’exploitation du gaz de schiste avait été créative d’emplois, que la technique utilisée était saine et sans dangers et que l’opération était rentable ». Puis il ajoutait que « les États-Unis étaient disposés à fournir à l’Algérie l’assistance technique nécessaire, si elle le désirait ». Venant de la part d’un représentant officiel de la première puissance mondiale, c’était là plus qu’un conseil donné aux Algériens, c’était un ordre.
RépondreSupprimerPollution et hécatombe d’oiseaux
Aujourd’hui, il est certain que la pollution est déjà là. Elle est partout : dans l’air, à la surface du sol et dans le sous-sol. Il n’est qu’à voir, pour s’en convaincre, ces images diffusées sur Internet de bourbiers laissés derrière eux par les exploitants, qu’il s’agisse de Halliburton ou des foreurs de la Sonatrach. Il y a de fortes chances que la nappe d’eau phréatique, utilisée par la population locale pour ses besoins personnels, soit déjà polluée ou en voie de l’être très bientôt.
D’ailleurs des pigeons sont morts, des faucons sont morts, des volées de cigognes en migration sont mortes également. On ne connaît pas la raison exacte d’une telle hécatombe, très probablement la conséquence de la pollution des eaux et de l’air causée par les forages réalisés ou en cours dans la région. Connaîtra-t-on un jour la vérité ? Cela semble difficile, car les vétérinaires d’In-Salah ou des villes avoisinantes, sollicités pour procéder aux examens, analyses ou autopsies qui permettraient de déterminer les causes de ces morts, refusent de les faire. Ils craignent des représailles de la part des autorités dans le cas où ils viendraient à démontrer des liens de cause à effet entre les forages de gaz de schiste et ces disparitions d’oiseaux…
http://www.mondafrique.com/lire/economie/2015/06/26/gaz-de-schiste-lalgerie-sous-tutelle-americaine
Les Etats-Unis à l’assaut des terres algériennes
RépondreSupprimerinternational - Par Chawki Amari -
le 08 Jui, 2015
Début juin, l'Algérie signait un accord agricole avec les Etat-Unis faisant craindre l'implantation de laboratoires de semences dans le pays. Un partenariat qui résulte en partie de la politique néo-libérale prônée par le frère du président, Saïd Bouteflika.
C’est par l’agriculture que les USA entament une nouvelle offensive terrestre sur l’Afrique, Algérie comprise, avec la bénédiction de Saïd Bouteflika, le frère du président. Une histoire de famille recomposée dans une longue tradition de relations en dents de scie entre les Etats-Unis et l’Algérie.
Laboratoire agricole
Fin juin. Chaleur ou ramadan, ou les deux, le ministre algérien de l’agriculture, fraichement nommé, s’emporte en visitant une exploitation à l’occasion du lancement de la campagne labour-semailles. Fatigué d’entendre les plaintes des agriculteurs sur le manque d’aides de l’état, il lance : «vous ne faites que demander des subventions, dans ce cas, restez chez vous.» En effet, l’état algérien dépense chaque année près de 2.5 milliards d’euros pour l’agriculture, 5ème budget d’état depuis l’ouverture au privé en 1987 (oui, l’Algérie était très Soviet à l’époque).
Mais pour un secteur qui contribue à hauteur de 10 % dans le PIB et occupe 25 % de la population active (contre respectivement 1.6 % et 5.2 % pour l’Union Européenne), ce n’est pas assez. A titre d’exemple l’Islande et la Norvège redistribuent 66% des revenus agricoles en soutien aux producteurs, l’Union Européenne 33%, la Turquie 24, le Mexique 14 et l’Algérie à peine 5%. Mais la colère de Abdelkader Kadi n’est peut-être qu’une coïncidence, pendant que le ministre parlait de « fainéantise » aux agriculteurs algériens, des accords se nouaient avec les Etats-Unis, implantation de laboratoires de semences et expérimentations diverses sur des terres sahariennes, sur la base d'une introduction beaucoup plus large en Afrique.
La menace a fait réagir des spécialistes panafricains à Alger, d’autant que deux mois plus tôt, la commission de l’Union Africaine où l’Algérie est très influente, envisageait d’Addis Abeba en Ethiopie, de donner plus de liberté sur les OGM aux États membres. Si le Kenya est déjà embourbé dans les OGM US, de même que le Sénégal, le 23 mai dernier, pour la journée internationale contre les OGM, une manifestation a eu lieu au Burkina Faso, rassemblant des militants venus de tous les pays d’Afrique hostiles aux projets américains. Contrairement aux Algériens, ils sont inquiets de l’arrivée de la Fondation Bill Gates, qui sous couvert de 3 milliards de dollars « donnés » à l’agriculture africaine (95% de cette somme va en réalité aux organisations internationales présentes sur place), a amené avec lui des géants de l’OGM comme Monsanto (dont il détient des actions) mais aussi implanté des partenariats avec la fondation Rockefeller et les multinationales Cargill, Unilever, Nestlé, Coca cola et Olam. Au centre du projet africain, la recherche génétique, comme pour les accords signés avec l’Algérie, un euphémisme anglo-saxon pour diffuser des semences OGM et toute la panoplie de produits chimiques qui vont avec.
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Obama, l’Afrique aux Américains
RépondreSupprimerOn attribue généralement à Massinissa, Aguellid (roi) berbère qui a unifié le pays (la Numidie, soit l’Algérie du Nord, au IIème siècle avant JC) cette maxime, adressée à l’empire romain conquérant de l’époque : » l’Afrique aux Africains. » Sur le continent, les petites fermes familiales produisent plus de 90 % de toutes les récoltes et pour les Etats-Unis, le problème est plus large, en absence de débouchés, ils attaquent en Afrique, qualifié de « continent à la croissance la plus rapide » par la Maison-Blanche lors du sommet Etats-Unis-Afrique de l’année dernière. Pour contrer l’offensive chinoise ? Un rapport de l’ONG Action Air International daté de fin mai 2014 est à ce sujet édifiant : « le continent africain, qui possède à lui seul un quart des terres fertiles mondiales, concentre 41% des transactions foncières, sur un nombre total de 1.515 transactions à travers le monde. »
Premier acheteur de terres en Afrique, les USA possèderaient déjà 7 millions d’hectares pendant que la Chine stagne à 1,34 millions, résultat probable d’une campagne lancée en Grande Bretagne en 2013 à travers des affiches, géantes dans les aéroports, stations de métro et tous les centres des grandes villes, payée par le journal The Economist : BOOMING CHINESE INVESTMENT IN AFRICA IS BAD FOR AFRICANS (le boom des investissements chinois en Afrique est très mauvais pour les africains). Résultat de la campagne ? On ne sait pas trop. Mais depuis l’an 2000, poursuit le rapporteur d’Action Air International, plus de 1.600 transactions de grande échelle ont été répertoriées, soit une superficie totale de 60 millions d’hectares », sans compter les terres non cadastrées par les états africains, qui représenteraient 70% des terres. L’Algérie résiste encore, qui interdit le droit à la propriété du sol par des étrangers, mais elle possède d’immenses terres dans son Sud, plus d’un million de kilomètres carrés, assis sur une nappe d’eau fossile géante. Pour un Américain affamé et assoiffé, c’est la Californie.
Bouteflika, saison 4
Mais comment les USA ont-ils réussi à s’attaquer à la sacro-sainte valeur des Algériens, la terre ? Dans un câble daté de décembre 2009 et révélé par Wikileaks, il est fait mention que le département d’Etat est à la recherche d’informations sur le frère du président Abdelaziz Bouteflika, Saïd. Ce câble émanant du secrétariat d’Etat et signé Clinton souligne que les analystes de Washington manquent de «rapports sur ses activités et ses soutiens.» Un autre câble américain s’inquiète « du virage à gauche pris par l’Algérie » et à la fin de son 3ème mandat (2004-2009), le président Bouteflika tombe malade, le frère reprend discrètement la gestion et les soutiens sont identifiés, Il Camerlingo est approché.
L'Amérique, déjà bien présente dans les hydrocarbures conventionnels et depuis peu dans le gaz de schiste, s’attaque à l’agriculture avec le nouveau ministre Abdelkader Kadi nommé en mai dernier, qui entérine les accords assez opaques avec les Etats-Unis. Il ne s’agit officiellement pas encore d’OGM mais la voie est ouverte, après le sous-sol, les Américains entrent en sol. Accrochée à ses principes dans l’axe historique Tunis Damas Téhéran Pékin New Delhi Moscou, Alger tente de se diversifier avec la chute de ses recettes pétrolières. Mais l’opposition est tenace, à l’image de Louisa Hanoune, la trotskyste de choc du Parti des Travailleurs (24 sièges sur 462 à l’Assemblée), qui ne cesse de fustiger ce néo-libéralisme conduit par Saïd Bouteflika, lui-même ancien syndicaliste trotskyste, détenteur par ailleurs d’un doctorat à Paris en intelligence artificielle.
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En cause, l’impulsion qu’il donne à son entourage, dont Ali Haddad, partisan d’une ouverture totale et qui vient de signer un partenariat avec l’Américain Varian, leader dans les dispositifs de radiothérapie pour récupérer une partie des 1,8 milliards d’euros que l’état algérien va mettre, un peu tard, dans un plan national anti-cancer. Oui, le frère travaille alors que le président est malade, mais lui se soigne en France, pendant que le grand amour, Etats-Unis/Algérie, renait de ses cendres. Le président Bouteflika, quand il était encore debout au début de son premier mandat, avait déjà donné la mesure : « nous ne sommes pas de taille à affronter l'Amérique » avait-il humblement avoué.
RépondreSupprimerRodriguez au pays des merguez
Une semaine après la nomination d'Abdelkader Kadi à l’agriculture, le chef d’état-major Ahmed Gaïd Salah ainsi que le premier ministre Abdelamalek Sellal recevaient à Alger le général David Rodriguez, chef du commandement de l’Africom, le United States Africa Command, créé en 2007 par W. Bush pour coordonner toutes les activités militaires et sécuritaires des États-Unis sur le continent, mais qui n’y trouve toujours pas de siège pour son bureau.
Il n’y a sûrement aucun rapport avec l’agriculture mais le signe d’une coopération régulière entre les deux pays, notamment sur le terrain sécuritaire. Les relations algéro-américaines qui «remontent à plusieurs années» sont empreintes de «confiance», déclare le général Rodriguez. Il a bien dit « quelques années », car il y a 200 ans, 15 ans avant l’invasion coloniale française de l’Algérie, les USA et l’Algérie entraient en guerre, pour des produits agricoles. Entre 1785 et 1793, les redoutables corsaires de la Régence capturent des dizaines de navires américains chargés de denrées alimentaires pour un arriéré de 27000 dollars sur les sommes à payer depuis le traité de 1795.
L’opinion publique américaine, poussée par les exportateurs des produits agricoles, réclame des mesures, ce qui tombe bien puisque terminant la guerre avec l’Angleterre en 1814, l’Amérique peut déployer des navires en Méditerranée et foudroie la marine algéroise en 1815. Un traité est signé, avec des indemnités à verser aux Américains et cette première défaite d’Alger, alors sous protectorat turc, ouvre la voie au bombardement de la ville par une flotte anglo-hollandaise l’année suivante, ce qui achève le mythe de l’invincibilité d’Alger El Mahroussa (la bien gardée).
Le blé, nerf de la guerre
La suite est connue, le duc de Bourmont, déserteur à la bataille de Waterloo en 1815 est nommé pour débarquer à Alger à la tête de 37 000 hommes en 1830 et annonce aux Algériens : « la France vient vous libérer de vos tyrans turcs et vous redonner votre indépendance », sous les moqueries de son armée qui n’a pas oublié et murmure à voix basse « Alger est loin de Waterloo, on ne déserte pas sur l’eau ».
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Encore une histoire de blé d’ailleurs, si le fameux coup d’éventail du Dey d’Alger infligé au Consul de France fut le prétexte de l’invasion, la colère du régent résultait d’un contentieux, deux intermédiaires, Bacri et Busnach, vendent à crédit du blé algérien à la France, qui tergiverse sur ses créances, poussant le Dey, manquant d’argent, à s’en mêler directement. Ironie du sort, 50 ans avant la colonisation française, l’Algérie est le premier pays à reconnaitre l’indépendance des Etats-Unis en 1783. Depuis, les relations ont évolué en dents de scie, l’Algérie condamnant les invasions américaines et l’Amérique reprochant à l’Algérie son soutien (prudent) au Yémen, à la Syrie, l’Iran et tous les maltraités de la Terre.
RépondreSupprimerIngrat, toujours en juin dernier, alors que les accords agricoles viennent d’être paraphés, le responsable de la Section commerciale de l’ambassade américaine à Alger, Christopher Wilken, exprime publiquement sa déception vis-à-vis de l’Algérie, qui « occupe la 147e place sur 189 pays pour ce qui a trait à la facilité de faire des affaires.» Quelques jours plus tard, le département d’état américain remet une couche, pondant un méchant rapport sur la situation des droits de l’homme en Algérie. L’oncle Sam et le frère du président ne se fâchent pas pour autant mais tout n’est pas réglé, les Affaires étrangères, conduites par le tatillon Ramtane Lamamra de la vieille école, répond en fustigeant l’Amérique avec un langage qui contraste avec la légendaire neutralité algérienne, jugeant «partial» voire «outrancier» ce rapport, soulignant « qu’il n’engage que ledit partenaire » (sans le nommer) et précisant que la communauté internationale « est, en l’occurrence, loin de reconnaître une quelconque mission de juge universel des droits de l’Homme à ce pays » (toujours sans le nommer).
Que de l’amour.
http://www.mondafrique.com/lire/international/2015/07/08/les-etats-unis-a-lassaut-des-terres-algeriennes
« Si les églises françaises sont tombé en désuétude, convertissez-les en mosquées! »
RépondreSupprimer9 juillet 2015 11:42
Quelles que soient les musulmans français ils obtiendrez dans le cou de soit: Sarkozy qui est sur la nouvelle accusation présidentielle pour 2017, ou soit: du parti d'extrême droite Front National, Mohammed Ansar, commentateur politique et sociale au Royaume-Uni dit RT
L'ancien président Français Nicolas Sarkozy et un certain nombre d'autres personnalités ont signé une pétition de rejeter une proposition visant à convertir de la France catholique vide des églises en mosquées. Un des sondages récents , le public français a montré que plus de 67 % sont opposés à l'idée.
RT: Pourquoi pensez-vous que les musulmans français veulent transformer les vieilles églises en mosquées ? N'est-il pas mieux de créer des installations modernes construite à cet effet, qui sont plus faciles à maintenir ?
Mohammed Ansar : Je pense que tout ce que les musulmans Français va faire dans cette situation, qu'ils vont l'obtenir dans le cou, surtout à partir de Sarkozy qui cherche à amener La République dans une nouvelle charge présidentielle en 2017. Je pense que si nous voulions construire de nouvelles mosquées que vous auriez opposition de la droite et l'extrême droite notamment du Front National. Je pense que si vous voulez convertir ce qui deviennent ostensiblement maintenant vidé-out catholique des églises en France, je pense qu'ils auraient recevoir opposition semblable ; Je pense qu'ils sont dans une impasse.
RT: C'est la suggestion très sensible, n'est-il pas ?
MA: Oui. Je pense que le sondage qui a été éteint dans Valeurs Actuelles, le magazine de l'extrême droite et [l'enquête] a été de l'Institut de l'Opinion publique Français, on dit que deux-tiers des personnes interrogées se sont opposés à lui. Mais bien sûr si vous faites tourner ceci d'une autre manière, et vous le Regardez comme étant une attaque contre les valeurs Français, Français histoire, le patrimoine Français, puis bien sûr gens seront opposés. En revanche, tu dois regarder le nombre de diminution de l'église de spectateurs en France dès maintenant. Et en même temps nous avons eu un nombre croissant de musulmans.
RT: Combien appui pensez-vous que cette initiative a parmi les fidèles de chaque foi ?
MA: je fais beaucoup de travail interconfessionnel ici et ailleurs et nous voir que les gens plus fidèle et la plupart des gens qui se rendent dans les mosquées, églises et synagogues... sont très pragmatiques, peuple très utilitaire. Si ces églises ne sont pas utilisés, si ces églises - plutôt que debout vide et étant ignorée et désaffectée - et bien sûr la loi du Parlement qui créé la séparation des églises en France a été en 1905. Les églises construites avant cette période, l'État est responsable. Mais les églises construites après cela - si elles sont couchées en jachère et vide et ne pas utilisé, je pense que la plupart des gens de nature fidèle sera très pragmatique et dire: « pourquoi ne pas laisser les gens utiliser ces espaces ou leur permettre de construire de nouvelles. »
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RT: Ce que diraient les musulmans, pensez-vous, si quelqu'un a suggéré convertissant une mosquée à une église chrétienne, ou une synagogue ?
RépondreSupprimerMA: La plupart des mosquées que j'ai visité ici et partout dans le monde sont absolument pleine à craquer avec les musulmans prient cinq fois par jour. En Grande-Bretagne, par exemple, nous avons vu les derniers chiffres du recensement et des chiffres similaires en France : dans les dernières personnes de 10 ans d'autres confessions, confessions non chrétiennes ont augmenté leur nombre dans ces pays. Musulmans ostensiblement pendant cette période ont doublé. Je pense que le gros problème va être avec Sarkozy. En 2009, il a voulu défendre l'interdiction du minaret, en 2010, il a défendu l'interdiction du voile, en 2012, il a dit il y avait trop d'étrangers en France, et cette année il a également défendu interdisant le porc et les repas Halal et en poussant très, très difficile contre les musulmans. Je ne pense pas que cette question est vraiment de foi] et l'utilisation des espaces de la foi. Il s'agit de Sarkozy et sa rhétorique anti-musulmane et pousser fortement sur la communauté.
http://rt.com/op-edge/272632-france-sarkozy-muslims-mosques-churches/
Si les églises françaises sont tombé en désuétude, c'est parce que la vérité a triomphé sur la dictature !
SupprimerPréparations aux critiques sont la chair à canon de l'histoire
RépondreSupprimerBrandon Smith
9 juillet 2015
Marché Alt
Le monde est entrée dans une sorte de no man s land, entre les royaumes de déni fou et crise tout à fait évident. L'Europe est maintenant déstabilisante au milieu le feuilleton grec (un événement que j'ai prédit en janvier se produirait en 2015) ; Bulle boursière de la Chine déborde ; et le statut de réserve mondiale du dollar américain est sur le point d'être décimés par le changement global vers le système de réserve monétaire du Fonds monétaire International, le panier. Je crains que je vais devoir dire cela parce que je ne sais pas si tout le monde admette : analystes économiques alternatifs ont eu raison, et le choeur grand public était terriblement mal ou dégoûtant malhonnête. Toutefois, comme la plupart d'entre nous dans le mouvement de liberté sont bien conscients, avoir raison n'est pas nécessairement une solution à la catastrophe.
À l'avant-garde de l'économie alternative et vigilance constitutionnelle sont les gens qui font levrai travail du mouvement : les preppers. Ce sont les militants des gestes concrets dans le monde tangible (par opposition à la paresse éthérée du monde intellectuel) tout d'abord à se faire aussi indépendant que possible de la grille de mainstream, éliminant ainsi eux-mêmes comme un réfugié ou pilleur éventuel en cas de crise nationale. Deuxièmement, ils sont le peuple de maîtriser des compétences utiles et nécessaires qui leur permettra de reconstruire n'importe quel système social et financier s'est effondré. Troisièmement, ce sont des gens plus capables de défendre nos libertés inhérentes et les principes de la culture de notre fondateur, et elles sont les seules personnes organisant localement pour la sécurité et d'entraide. Le fait de la question est preppers sont gratuits, et presque tout le monde est un esclave, esclave de la dépendance, un esclave à douter, un esclave de l'ignorance, un esclave à craindre et, par conséquent, un esclave à autorité petit établissement.
Pendant la grande dépression, la grande majorité des citoyens américains était des gens ruraux, axés sur la ferme avec des techniques de survie bien au-delà de l'Amérique moderne. « Préparer » à cette époque était bien ancrée dans notre société, plutôt que de « fringe » marginalisée et étiquetée. Aujourd'hui, les chiffres sont inversés, avec un diminution du nombre d'américains de ferme expérimentés et un vaste désert de citoyens urbains et suburbains, beaucoup avec peu, le cas échéant, des légitimes des ensembles de compétences. Pendant la grande dépression, des millions de personnes sont morts de faim et la pauvreté générale, malgré le nombre incroyable de personnes connaissant la survie rurale. Que pensez-vous d'arriverait à notre efféminés ; métrosexuel ; iPhone-dépendants ; zézayant ; boites-torsadé ; les obsédés ; Twitter-, SMS-, jeu vidéo timbré ; La-Z-Boy-équitation ; l'enfant envahi culture dans le cas où une autre crise économique même à distance similaire se produisait ? Oui, la plupart d'entre eux mourraient, probablement de façon horrible.
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Pensez-y un instant. Un paragraphe incroyable des américains ne savent pas se nourrir ; ils ne savent pas comment chasser ; ils ne savent pas comment faire pousser des cultures ; ils ne savent pas comment faire pour réparer tous les éléments nécessaires utilisées pour assurer leur subsistance ; ils ne savent pas comment construire quelque chose d'utile ; ils ne savent pas comment faire pour tirer ; ils ne savent pas comment se défendre ; ne savent même pas comment faire cuire une marmite de riz correctement. Leurs seules compétences impliquent psittacisme remarques de mauvaise humeur de leur télévision préférée de dénominateur commun Web présente, bâtiment points karma amplement sur Reddit et éviter toute attitude contraire à ce qu'ils perçoivent comme étant l'opinion de la majorité (dont ils tirent aussi de grands médias et sites Internet).
RépondreSupprimerC'est décidément ironique compte tenu de l'inutilité de ces gens qu'il est souvent les pires sous-sections des aveugles, sourds et muets qui choisissent de « critique » le mode de vie préparateur comme « troublé » ou « dangereux ».
À mon avis, ils sont absolument damnés pathétiques et devraient être regardées de haut avec mépris comme l'exemple plus concentrée de la misère humaine slithering jamais pour salir à travers les pages de l'histoire.
Mais, bon, cela ne signifie pas que je leur souhaite un préjudice.
Les gens qui sont pas au courant et mal préparés ne sont pas nécessairement nos ennemis. À un moment ou un autre, nous étions tous au courant des vérités sous-jacente à notre système et notre avenir, jusqu'à ce que nous nous sommes réveillés un jour. En revanche, il y a des gens qui ont vraiment évolué à partir de la bile amère et maladive récupérée sur le gros intestin des ignorants grotesque. Ces personnes sont les anti-preppers.
Anti-preppers sont bien conscients des philosophies et des arguments basés sur les faits d'activisme préparateur ; mais plutôt que d'ignorer ou rejetant nous pure et simple et émouvante sur leur vie insipide, ils cherchent plutôt à détruire preppers et à l'idéal de préparer. Pourquoi ? Pour comprendre qu'il faut comprendre la nature des Statistes et collectivistes parce qu'elle où ces gens racine eux-mêmes et leur vision du monde tordu.
J'ai lu récemment un article de Joshua Krause plus à The Sheeple quotidien dans lequel il a contré un article morceau succès grand public contre preppers intitulé « Être prêt pour preppers ». L'article est lui-même un affichage extrêmement perturbé, tout d'abord à l'aide des arguments ad hominem typiques et sans imagination de marginaliser preppers, puis mutation dans un traité sur pourquoi preppers doivent tous être exterminés.
Krause a fait un excellent travail de démantèlement de l'essai de propagande non conformes aux normes et journalistique contestée, mais je voudrais aller au-delà des arguments typiques des anti-preppers et dans l'état d'esprit qui les anime. Je vous recommande de lire « Préparez-vous à preppers » pour faire bonne mesure, étant que c'est un exemple parfait du caractère psychopathique de la commune étatiste. Ensuite, je voudrais effectuer la chirurgie du cerveau un peu ici et se décoller quelques couches de Psyché afin que vous puissiez comprendre pourquoi ces gens nous détestent tellement.
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Le stéréotype du préparateur
RépondreSupprimerLa triste réalité est que la plupart des anti-preppers que je fais affaire avec en personne ont jamais même parlé à un préparateur face à face jusqu'à ce qu'ils s'étaient rencontrés me. Ils ont tendance à entrer dans une posture de débat immédiate avec plusieurs hypothèses en ce qui concerne ce que croit un préparateur et comment vit un préparateur. Cette posture commence par une attitude incrédule et sarcastique. Et comme ils commencent à réaliser que le préparateur qu'ils traitent est plus intelligent qu'eux, leur attitude revient en conditionné talking points et mousser généralement indigné.
Anti-preppers ne connaissent pas ou associer preppers réels. Au contraire, ils tirent leurs opinions d'entre nous de médias populaires, qui est le plus souvent ouvertement partialité ; épisodes de « Doomsday Preppers » et autres spectacles conçus pour nous faire paraître ridicules ; et articles de nouvelles influences Southern Poverty Law Center chargement de calomnie soigneusement élaboré. Ils ont rarement, voire jamais, face à un préparateur ou preppers sur terrain neutre et les faits de l'adresse ou les figures honnêtement.
La majeure partie de ce qui compose le stéréotype du préparateur est une foutaise. Mais il renforce penchants haineux de l'anti-préparateur, donc ils DEVOREZ sans aucun doute.
Ils nous haïssent à cause de notre liberté
Sont anti-preppers « terroristes? » Oui, ils sont. Il pourrait sembler dur, mais l'attitude de l'anti-préparateur, considérons un instant. Il vous hait parce que vous avez choisi un mode de vie qui est indépendant du système et l'idéologie dont il choisit de rester une partie. Il vous hait parce que vous avez une mesure de liberté n'a pas, il pourrait avoir, si seulement il avait le courage de faire quelque chose. Il vous hait parce que vous ne souhaitez pas participer au jeu sans signification du collectivisme, il a passé sa vie entière en tentant de maîtriser. Il vous hait parce que vous marchez loin de son système et faire votre propre chose. Comment osez-vous faire votre propre truc !
Beaucoup d'entre nous qui apprécient les idéaux axés sur les libertaires sont partisans du « principe de non-agression », qui, pour résumer, stipule que le respect de la liberté individuelle est la valeur primordiale de toute société qui cherche à se maintenir pacifiquement et indéfiniment. La société humaine est pas un lien ; Il n'est pas une ruche. La société, si c'est rien du tout, est une collection des esprits individuels et des âmes agissant volontairement pour la promotion de la Communauté, mais jamais au détriment de la liberté individuelle. Contrairement aux idées reçues grand public, l'individu n'a aucune société une chose.
La non-agression exige que la société ne violera pas la liberté individuelle pour un gain collectif arbitraire et que personnes pas utilise la violence ou la contrainte d'exiger avec force la participation des autres. C'est à dire, vous me laisser à mon rêve et je vous laisse à la vôtre. Mais si vous essayez de bafouer délibérément mon rêve afin d'enrichir votre propre, je suis dans mon droit d'abattre un marteau puissant saloperie sur votre crâne jusqu'à ce que vous me laissez seul. Anti-preppers n'ont aucun la capacité de saisir ce concept. Pour eux, chaque être humain est propriété du groupe plus large et défiance de l'Etat est un blasphème.
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Ces collectivistes sont aussi prévisible de fervents adeptes de la religion de la gestion des ressources et souvent argumenter que preppers sont en fait « horders » des ressources. En vertu de cette idéologie, ressources n'appartiennent pas au peuple qui en fait travaillé pour les gagner. Au contraire, les ressources en quelque sorte appartiennent à tout le monde peu importe comment paresseux qu'ils sont et doivent être constamment redistribuées afin que toutes les personnes (des gens ordinaires, pas des élites) ont le même montant exact. Ils peuvent ne jamais sembler à définir ce qu'est exactement un « partage équitable » est en fait, et je crois que c'est parce que tant un « partage équitable » est ambiguë à eux, ils conservent le pouvoir ultime pour prendre ce qu'ils veulent quand ils le veulent toujours sous la justification qu'hier vous et j'ai eu assez, mais aujourd'hui nous avons encore une fois trop. L'argument anti-préparateur que « hording » est nocif pour le collectif et que toutes les ressources, même votre stockage de nourriture, devraient être gérés par le groupe (l'État), est le modèle de propagande de l'avenir. N'oubliez pas cela parce que vous allez voir cette scène propagande prendre très bientôt.
RépondreSupprimerAnti-preppers sont souvent des sortes de clowns de cirque de justice sociale qui prêchent la tolérance infaillible et prétendons que dédain pour toute forme de discrimination, mais ils sont dans le même temps violemment discriminatoire contre quiconque prêcheront pas leur évangile particulier collectiviste. Le modèle collectiviste sociale est par chaque définition d'une forme de sectes, et dans la plupart des cas, le Dieu de ce culte est l'État. Il considère l'État comme une présence omnipotente infaillible : mère et père, gardien et discipline.
Pour refuser la participation revient à nier le collectiviste, Dieu et le genre d'horreurs que nous lisons à propos du fanatisme religieux de médiévales chrétiennes inquisitions pâles en comparaison à la mort et la destruction infligées par collectivistes modernes.
Leur culte de l'État est excité par l'amour de sa puissance collective – l'État est l'arme ultime pour ceux qui pensent qu'ils peuvent exercer avec succès il. L'État a la capacité de « légalement » emprisonner ou tuer, et il a la capacité de menacer ces conséquences contre quiconque refuse de se conformer aux caprices idéologiques des personnes qui exploitent. À moins que, autrement dit, les victimes de l'État deviennent des révolutionnaires. Il s'agit de la grande peur des collectivistes en ce qui concerne le mouvement de préparateur ; ils nous considèrent comme des révolutionnaires potentiels qui pourraient éventuellement éteindre leur mécanisme de contrôle, et ils n'aiment pas ça.
Le fanatisme psychotique de Anti-Preppers
De nombreux anti-preppers ne se contentent pas seulement d'attaquer le caractère du mouvement préparateur — du moins, pas plus. Vous voyez, malgré les tentatives enragés de miner la validité d'apprêter et de dissuader l'expansion du mouvement, preppers sont maintenant Légion, avec des millions de participants actifs et experts des médias alternatifs efficaces qui dominent le trafic Web et écrasant les médias traditionnels en farines archaïque. Nous avons fait les grands médias une blague grand public, et cela ne siège pas bien dans l'esprit des adhérents étatiste qui avait le pouvoir de goulot d'étranglement de toute discussion. Si nous sommes si désespérément frange, il y n'aurait aucun besoin d'écrire des morceaux hit non provoquées contre nous dans un premier temps. Qui ils essaient de convaincre ?
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Car ils savent maintenant qu'ils ne peuvent pas gagner la guerre de l'information, elles favorisent plus en plus des fantasmes de génocide. Cette citation (en référence à des méthodes pour résoudre le problème de « préparateur ») de l'article du lien ci-dessus vraiment dit tout :
RépondreSupprimer« Plus, consommé avec la convoitise capiteuse de leur propre survie inattendu (voir un épisode de The Walking Dead), et avec seulement dépassée préservatifs à leur disposition (même pas Doom et Bloom stocks pilules contraceptives) Ces cracheurs bouche vont sans doute se multiplier rapidement et, ergo, doivent être arrêtés avant un tel avènement. Cela peut signifier qu'une chose : préparation clée dans n'importe quel désastre pour le reste d'entre nous (sauf une carte à l'ensemble des entrepôts de distribution Wal-Mart) est la suivante : Préparez-vous à preppers neutres par tous les moyens disponibles.
… Non seulement cette noblesse oblige assureront un patrimoine génétique plus fort va vers l'avant, mais bon, ces salauds ont tous les antibiotiques, gear, de nourriture et de poissons, vous aurez besoin. "
Et là vous l'avez : l'illusion de la bande dessinée de l'anti-préparateur, si désespéré pour nous empêcher de stockage alimentaire et éléments essentiels, si troubles par notre organisation locale et notre capacité à nous défendre, qu'ils préféreraient voir nous tous « neutre », c'est-à-dire tués. Notez également l'obsession de la stérilisation du pool génique comme socialistes dans leur fureur psychotique harken souvent à leurs ancêtres fascistes et communistes.
Il n'est peut-être pas une coïncidence que les personnes plus en amour avec l'État sont souvent les premiers à être anéanti par ce dernier. Avid échelon inférieur et la tyrannie des agents intermédiaires sont souvent exterminés par le système même, qu'ils ont aidé à une position dominante. S'ils ne respectent pas leur disparition aux mains de la mise en place, puis ils répondent invariablement leur chute aux mains de ceux qui luttent contre la mise en place.
Le problème pour anti-preppers, c'est que la plupart d'entre eux sont débiles et des lâches qui sont incapables de mener à bien leur vision d'un programme final. Ils ont toujours eu besoin d'une classe de guerrier, mandatée par l'État à mettre en œuvre le meurtre qu'ils désirent. Hilarante, cet anti-préparateur particulier consacre 80 % de son article pelleter mal écrits assassinats de caractère comme fumier tellement comme si nos préoccupations de crise sont sans conséquences, puis continue à décrire son idée d'anéantir tous les preppers et voler nos fournitures dans le cas où le système s'effondre. Si nous sommes tous ces « kooks » et les hillbillies paranoïaques, alors pourquoi même connaître la notion de nous avoir étouffé afin que nos magasins peuvent être redistribués ? Certes, un tel effondrement n'aura jamais lieu au milieu de notre économie américaine invincible ; et, donc, preppers ya rien de plus inoffensifs excentriques gaspiller notre argent sur les boîtes de nourriture que nous ne touchera pendant encore 20 ans. Droit ?
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L'histoire ne supporte pas les hypothèses d'anti-preppers. Et tout au long de l'histoire, anti-préparation aux personnes tendent à être les premiers à répondre à une disparition précoce dans le sillage de fiscales et sociales s'effondrer parce qu'ils n'ont aucune utilité et parce que, franchement, personne ne les aime vraiment. Ils ne sont également pas les ampoules les plus brillants autour (le gars pense réellement qu'il va trouver de la nourriture dans un centre de distribution Wal-Mart après un démontage dans l'ordre civil).
RépondreSupprimerAnti-preppers aujourd'hui font la promotion des actions violentes contre la culture de la protection civile car dans les confins de leur subconscient maladif, ils savent que nous avons raison et que nous ne serons pas contrôlée lorsque le système s'arrête. Ces gens nous accusent de convoiter après l'effondrement, lorsqu'il est en effet eux qui saliver sur des scénarios de mortalité massive dans laquelle ils fantasment qu'ils en quelque sorte seront les survivants malgré le fait qu'elles sont nées des victimes. Ils imaginent un moment quand, après le « pool génique a été nettoyée », ils vont reconstruire la société comme une utopie socialiste parfaite dans lequel toute idéologie à l'encontre de leurs propres a été effacé de la mémoire de tous, laissant leur récompense suprême : un monde ardoise vierge à faire avec, comme ils le souhaitent.
L'objectif derrière le mouvement du préparateur est simple, pas de sinistre ; Nous cherchons à désamorcer la crise avant qu'elle se produise en fournissant à nos propres besoins sans la nécessité d'une grille à intégrer facilement un mauvais fonctionnement et un gouvernement qui est endommagé sans réparation possible. Si votre voisin est un préparateur, être reconnaissants, car vous avez une personne de moins dans votre rue pour inquiéter comme un pilleur potentiel en cas d'urgence. Si votre voisin est un anti-préparateur, Méfiez-vous, car cette personne vous voit comme une source potentielle de l'offre et pense que tu lui dois simplement parce que vous avez quelque chose qu'il ne le fait pas. La ligne du bas est que si le monde était plein de preppers, il n'y n'aurait aucun une telle chose comme la crise parce qu'il n'y n'aurait aucune absence de nécessité ou d'ingéniosité individuelle. Au pays des preppers, disparaît en cas de catastrophe. Quand remonte la dernière fois un anti-préparateur fait quelque chose pour améliorer quelque chose pour quelqu'un d'autre que lui-même ? Demandez-vous qui vous serait plutôt en fin de compte : prête à tout ou prêt pour rien ?
http://www.shtfplan.com/headline-news/preparedness-critics-are-historys-cannon-fodder_07092015
L'hégémonie commence par là ! L'humain se nourrit !
Supprimer1°) Tout faire pour que les campagnes se dépeuplent ( Prix de l'eau gratuite des ruisseaux pour irriguer les cultures ! Hausse des taxes & impôts ! Hausses du prix des semences & engrais ! Hausse du prix du matériel agricole ! Taxes nouvelles sur la pollution ! etc, etc)
2°) Donner à manger de la merde aux citadins ! (Goûtez c'est bio ! Ce n'est pas traité çà vient de pays étrangers ! Multiplication par 20 du prix d'achat des fruits & légumes entre paysans et supermarchés ! etc, etc)
3°) Comparez un repas fait par un ministre (nourrit par le contribuable) et le repas fait par le contribuable proposé par un ministre ! (Hahahahaha !)
L'accord nucléaire avec l'Iran
RépondreSupprimerPaul Craig Roberts
7 juillet 2015
Le programme d'énergie nucléaire de l'Iran n'a jamais été question de Washington avec l'Iran. La notion, poussée par les néoconservateurs seulement que l'Iran avait un programme d'énergie nucléaire (5 % l'enrichissement d'uranium) afin de cacher un programme d'armement nucléaire (95 + enrichissement %) a toujours été une couverture pour la véritable opposition de Washington à l'Iran et Washington véritable agenda.
Du point de vue de la doctrine de Washington d'hégémonie mondiale des États-Unis, le problème avec l'Iran est son indépendance. Comme l'Irak, Libye, Syrie, Venezuela, Equateur, Bolivie, Brésil, Argentine, Cuba, Corée du Nord, Russie et Chine, l'Iran n'est pas vassal de Washington.
Washington a refusé d'admettre la vérité et pour dire que l'Iran était sur sa liste des cibles, parce que l'Iran ne se soumettraient pas à Washington, va. En revanche, Washington a décidé de créer la peur de l'Iran parmi les peuples américain et européen. Washington a fait en accusant l'Iran de mettre au point des armes nucléaires que l'Iran aurait donner aux terroristes ou elle-même utiliser contre Israël, en Europe et Amérique. Lorsque Washington a placé des missiles balistiques sur la frontière de la Russie, Washington a menti à la Russie que le but était d'intercepter des missiles balistiques intercontinentaux nucléaires iraniennes (inexistante).
Propagande de Washington sur la menace des armes nucléaires iraniennes a maintenant plusieurs ans malgré le National Intelligence Report publié par tous les 16 intelligent des organismes américains que l'Iran a abandonné il y a plus de dix ans son intérêt pour les armes nucléaires. Propagande de Washington a également continué à l'aide des médias occidentaux malgré le fait que les inspecteurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique sur le terrain en Iran rapportent constamment qu'il n'y a aucune preuve de tout détournement de l'uranium enrichi à un programme d'armement. En d'autres termes, les inspecteurs de l'AIEA peuvent expliquer pour l'ensemble de l'uranium enrichi par le programme d'énergie parfaitement légal.
Néanmoins, Washington soutient, Iran effectue ou est sur le point de fabriquer des armes nucléaires.
La fabrication d'armes nucléaires a toujours été un manteau pour les intentions réelles de Washington, qui est d'apporter un changement de régime en Iran, que ce soit de l'Iran à l'extérieur ou à l'intérieur et retour à son statut antérieur d'un État vassal de l'Ouest. Les impérialistes occidentaux jamais pardonner à ceux qui s'échappe ou secouer leurs griffes.
Washington a orchestré la question de la « menace nucléaire » afin de préparer les américains et les européens à une attaque militaire contre l'Iran.
En masquant ses véritables intentions dans un numéro fabriqué, Washington a ouvert la porte à la Russie, résoudre la question fabriquée avec diplomatie. Pris au piège dans sa propre fabrication, Washington est confronté à la résolution du problème avec les accords exécutoires qui ne garantissent aucun enrichissement iranien à la catégorie des armes de la Russie.
(suite en dessous:)
Frustrés, les néoconservateurs enragés par l'intermédiaire de politiciens punk petit voyou de Washington ont tenté de bloquer l'accord. Le parti républicain, désormais contrôlé par Israël, a même demandé le leader fou d'Israël devant le Congrès américain afin de bloquer l'accord de Obama à l'affaire de l'Iran.
RépondreSupprimerPour bloquer la transaction à ce stade est d'admettre que la question nucléaire n'a jamais été plus qu'une couverture pour l'opposition de Washington à l'indépendance de l'Iran.
Si Obama est sincère, piégé par la diplomatie russe, ou en s'appuyant sur un événement sous fausse bannière pour discréditer l'Iran et nix ainsi l'affaire, je ne sais pas. Israël, bien sûr, veut que Washington à lever tous les obstacles à son expansion au Moyen-Orient. Après avoir volé la Palestine, Israël veut du Sud-Liban comme sa prochaine acquisition.
Ce que je sais, c'est que, comme l'accord nucléaire avec l'Iran n'est pas le vrai problème, qu'il réussit ou échoue aura aucun impact, parce que l'opposition de Washington à l'Iran est l'indépendance de l'Iran. L'Iran est une manière de Washington. Le canular de la menace nucléaire que Washington créé était juste un moyen de propagande pour apporter insouciantes américains et européens autour d'une attaque contre l'Iran.
L'Iran reste en danger, quel que soit le succès ou l'échec de l'accord.
’’Je suis étonné que les gouvernements menacées par Washington ne vois toujours pas le vrai problème et au contraire acceptent la définition du problème de Washington. La question nucléaire artificielle sert un manteau pour intention de Washington de renverser l'indépendance de l'Iran ; encore le gouvernement iranien et les médias iraniens ont suivi l'exemple de Washington et de ses presstitutes en acceptant cette question tirée par les cheveux comme le vrai problème. Si l'Iran ne survit, ce sera un miracle.
http://www.paulcraigroberts.org/2015/07/07/nuclear-agreement-iran-paul-craig-roberts/
Blame l'analyse
RépondreSupprimerPar Bionic Mosquito
9 juillet 2015
De mon post récent, Damned:
Quelque opinion que l'on a du peuple grec, la vérité est que toute cette pagaille a été provoquée par les politiciens et par le videur-out des banques européennes.
Suscitant ce commentaire du ß?ß??a 6 Juillet, 2015 au 09:14:
Un point de l'ordre: "L'ensemble de ce désordre était causé par leurs politiciens» et les politiciens ont été choisis par le peuple grec, ou certains d'entre eux, et toléré par la plupart ou la totalité du peuple grec. Donc, le peuple grec ne sont pas tout à fait innocent.
Et ma réponse:
Peut-être «entière» était un mot trop fort. Je vais descendre à 98%, comme ceux qui se tiennent à faire des milliards sont très efficaces à manipuler ceux qui sont en elle pour des centaines.
Non pour excuser ceux qui sont manipulées, seulement à reconnaître la boîte à outils extrêmement efficace développé par et disponible pour ceux qui font la manipulation.
Qui est à blâmer? Les acteurs, ou ceux qui donnent (ou permettent) les acteurs ont le pouvoir et l'autorité?
Je suppose que vous êtes familier avec l'argument par Étienne de La Boétie, de résumer: «Chaque tyrannie doit nécessairement être fondé sur l'acceptation populaire générale."
Les personnes, plus ou moins, obtiennent ce qu'ils veulent; cœurs remplis de jalousie exigent une action par leurs dirigeants politiques. Il ya beaucoup de vérité dans cette position.
Mettant de côté les exemples où les politiciens et les bureaucrates agissent en contradiction directe avec la volonté voix de la majorité des gens (et annulant les désirs de chaque individu dans la minorité), est-ce le solde de l'émission? Les gens votent (ou acquiescent) et donc les gens sont à blâmer - dans une certaine mesure significative, au moins ?
Si la responsabilité individuelle pour l'action est pour signifier quelque chose, il me semble que les acteurs directs portent la grande majorité du blâme: «Il m'a fait faire" ne semble pas un moyen approprié d'allouer la culpabilité chez les adultes, en particulier lorsque le " fait "ne vient pas avec la menace de la force derrière elle. «Je ne faisais que suivre les ordres" est pas la meilleure défense.
Comme déjà suggéré, "ensemble" était trop forte, et «98%» pourrait aussi être trop élevé. Essayons ceci:
Quelque opinion que l'on a du peuple grec, la vérité est que la prépondérance écrasante de cette pagaille a été provoquée par les politiciens et par le videur-out des banques européennes.
https://www.lewrockwell.com/2015/07/bionic-mosquito/are-the-greek-people-to-blame/
Surprise, Surprise ! Les banques grecques restent fermées
RépondreSupprimerPar Joseph T. Salerno
Mises.org
9 juillet 2015
Il y a quelques heures, un ministre grec de la réforme administrative, George Katrougalos, a déclaré à une station de radio à Athènes que la réouverture des banques "est probablement pas techniquement possible cette semaine." Le choix du ministre de mots est, pour être charitable, moins de ingénue. Même avec des contrôles de capitaux en place qui limitent le montant quotidien qui peut être retiré d'un compte via les guichets automatiques à € 60, les banquiers à Athènes signalent qu'il ya seulement assez d'argent à gauche pour durer jusqu'au milieu de la semaine prochaine. Donc, après avoir promis que les banques rouvriront jeudi, le gouvernement grec est contraint de faire face à la réalité que tout le système est insolvable et restera fermé en l'absence d'un plan de sauvetage renouvelé de la BCE. Et là réside la raison de la peur et la haine de la trésorerie par tous les politiciens, les banquiers et les macroéconomistes dans le monde entier: même face à des contrôles de capitaux nazie de style, aussi longtemps que les gens sont libres d'exercer leur droit contractuel de retirer de l'argent, ils peuvent apporter tout système bancaire à réserves fractionnaires politiquement privilégié à ses genoux, que ce soit en Grèce ou aux États-Unis
https://www.lewrockwell.com/2015/07/joseph-salerno/surprise-surprise/
Le prix de l'or pourrait baisser de 15%, Voir brut à 40-50 $ / bbl Niveaux: Jim Rogers
RépondreSupprimerThe Economic Times
9 juillet 2015
Dans une interview avec ET maintenant, Jim Rogers, expert des produits de base, partage ses vues sur les marchés et les produits. Extraits:
- ET maintenant: Que faites-vous de l'actuel bain de sang dans l'espace des produits de base actuellement ? Combien de temps pensez-vous que cela dure ?
- Jim Rogers: Je ne suis pas sûr si il ya juste bain de sang. Le pétrole a baissé d'un ensemble beaucoup plus avant, donc qui bain de sang parlons-nous ?
- ET maintenant: Que diriez-vous d'une correction que nous voyons pour la dernière couple de jours ?
- Jim Rogers: Ce que cela signifie est que la Grèce et la Chine sont effrayer les gens. Toutes ces choses qui se réunissent font le prix du pétrole baissent, mais la façon dont les marchés fonctionnent quand quelque chose a un grand effondrement, il ya un rebond automatique après un certain temps. En Amérique, nous l'appelons un rebond morts-chat. Il ya un grand rebond et puis le marché revérifie la faible. ils revenir en arrière et avoir un test de ce qui est arrivé avant.
Je pense que ce qui se passe est maintenant. Il arrive toujours. Donc, je me attendre l'huile d'avoir une nouvelle vérification normale automatique dans les bas.
- ET maintenant: D'un côté, il ya des préoccupations de la Chine, de l'autre côté, nous sommes à la recherche à la Grèce et l'Europe. La hausse des taux de la Réserve fédérale américaine est quelque chose que nous avons parlé le plus longtemps et puis il ya la force en dollar américain. La réaction dans les produits de cours a approfondi dans le dernier couple de jours, mais êtes-vous en regardant plus loin déclin continu à partir d'ici ?
- Jim Rogers: Je suppose que. L'automatique, l'essai normale au plus bas dans l'huile va se poursuivre. Il fera de son fond dans le courant de 2015. Je ne sais pas si l'or fera son fond en 2015 trop si elle descend un autre 15 ou 20%. Je ne pense pas que vous allez voir beaucoup plus à la baisse dans l'agriculture à l'avenir. Pour la plupart, nous tenons essai des bas et je soupçonne que les matières premières vont passer ce test.
- ET maintenant: Pendant très longtemps je interagi avec vous, vous avez toujours prôné que vous devriez acheter la peur et la cupidité vendre. À l'heure actuelle, pensez-vous il ya la peur dans les matières premières, devrait-on être un acheteur de produits de base, si oui, alors lesquelles ?
- Jim Rogers: Oui, il peut être la peur, mais tout simplement pas paniquer. Vous êtes censé acheter panique et l'hystérie vendre. Il n'y a pas même de panique en Chine et les stocks chinois, mais plus proche de la panique dans le monde à l'heure actuelle est les actions chinoises ou des stocks Grèce.
- ET maintenant: Etes-vous un acheteur sur les actions chinoises, alors ?
- Jim Rogers: Je serait probablement acheter quelques actions chinois quelque part le long ici.
(suite en dessous:)
- ET maintenant: Comment voyez-vous la seconde moitié de l'année civile se déplaçant pour les grandes classes d'actifs et quand je dis grandes classes d'actifs, il est développé des actions des marchés, les marchés émergents et les matières premières ?
RépondreSupprimer- Jim Rogers: Je pense que dans le courant de la seconde moitié de cette année, vous pourrez voir les marchés boursiers font leur sommet. Cela fait six ans que les marchés boursiers ont été à la hausse normalement aux Etats-Unis. Nous avons eu des problèmes économiques tous les quatre à sept ans. Maintenant, nous voyons une sorte de haut sur les marchés boursiers et si l'Amérique a un sommet, cela signifie que la plupart des autres endroits, peut-être pas le Japon, la Chine et la Russie, mais certainement les autres marchés développés feront un haut et qui inclurait les marchés émergents parce que ils sont influencés par les marchés boursiers de l'Europe et de l'Amérique, les plus grands.
- ET maintenant: Quel est le produit que vous êtes plus optimistes cette année ? Qu'est-ce que va donner le meilleur rendement ?
- Jim Rogers: Je ne connais pas la réponse à cette question. Tout ce que je dis, vous serez probablement le pire, mais si je devais en choisir un, je dirais probablement quelque chose comme le riz, mais ne pas écouter moi. Fais tes devoirs.
- ET maintenant: Si la correction actuelle du brut est de continuer, combien inconvénient voyez-vous logiquement pour cette marchandise?
- Jim Rogers: Je soupçonne bas tiendra cette fois et il n'a pas à rester au-dessus du plus bas précédent. Il pourrait descendre au-dessous de un dollar et toujours être un test réussi des bas mais je chercher du pétrole à descendre de nouveau dans les bas de 50 ou 40 ans pour nous tous peur. Voilà ce qui arrive normalement dans le marché. Ils ont une grande chute, un rebond, puis ils retournent à tester les plus bas.
- ET maintenant: Quel est votre sentiment maintenant l'espace de métaux de base, car il est clairement une indication de la croissance économique de la production de l'infrastructure ou de l'usine ramasser et avec le genre de ralentissement jusqu'à ce que nous voyons en Chine et non ces bonnes données en provenance d'Europe ainsi, comment voulez-vous regarder le cuivre, le nickel, l'aluminium, le minerai de fer, prix de l'acier à l'avenir ?
- Jim Rogers: Je ne suis pas optimiste sur les minerais de fer, parce qu'ils sont toujours en expansion, mais je serais probablement pense à un achat pour certains des métaux de base d'autres parce qu'ils étaient descendus beaucoup et il ya probablement de bonnes occasions il. Je ne achète pour le moment parce que je suis trop paresseux à faire d'autres choses, de sorte que je l'ai dit, je vais probablement être à la recherche à la Chine, mais je fais ni le moment.
https://www.lewrockwell.com/2015/07/no_author/buy-fear-sell-greed/
Vous pensez que l'économie de la Grèce est l'un des problèmes ?
RépondreSupprimerIl est CHINOIS qui est face à crise financière et le plus grand krach depuis la Grande Dépression
Par Simon Tomlinson
Courrier Quotidien
9 juillet 2015
Tumbling les marchés boursiers de la Chine ont chuté encore plus aujourd'hui, en intensifiant les craintes du pays était de queue tourner vers la plus grande catastrophe financière depuis la crise de 1929 à Wall Street.
Presque 3trillion $ (£ 2trn) - plus que la totalité de la production économique du Brésil - a été effacé car les marchés sont entrés dans inverse il ya quelques semaines, posant un plus grand casse-tête pour de nombreux investisseurs mondiaux de même que la crise de la dette grecque.
Le gouvernement chinois, les régulateurs et les institutions financières sont maintenant mènent une campagne concertée pour soutenir les marchés boursiers de la nation - un mouvement qui a échoué spectaculairement dans le krach de 1929 qui a déclenché la Grande Dépression.
La chute des marchés boursiers en plein essor précédemment, qui avait plus que doublé au cours de l'année à la mi-Juin, est un problème majeur pour le président Xi Jinping et hauts dirigeants de la Chine, qui sont déjà aux prises avec ralentissement de la croissance dans la deuxième plus grande économie du monde et un autre éclatement de la bulle.
«Les parallèles avec 1929 sont, sur le visage de celui-ci, étrange, écrit Jeremy Warner, commentateur économique et rédacteur en chef adjoint du Daily Telegraph.
Après plus d'une décennie de croissance effrénée, la création de richesse extraordinaire et l'excès, les deux économies - l'Amérique en 1929 et la Chine aujourd'hui - sont à peu près les mêmes étapes de développement économique.
En effet, le boom du crédit de la Chine dépasse de loin celle de la même «années folles».
Pékin a intensifié ses efforts dans le week-end pour tirer les marchés boursiers de la Chine d'un piqué du nez, avec les meilleurs cabinets de courtage engageant à acheter des quantités massives d'actions et d'un rapport que le gouvernement a mis en place un fonds de stabilisation du marché.
Pékin a également suspendu les nouvelles offres d'actions dans une tentative de réduire la pression sur le marché après un plongeon de 30 pour cent en trois semaines.
La suspension rapporté des offres publiques initiales (IPO) est venu quelques heures après les annonces extraordinaires par les principaux courtiers et gestionnaires de fonds, qui, collectivement engagés à investir au moins $ 19billion de leur propre argent dans les stocks.
M. Warner a déclaré: «Les pare-feu que la Chine mis en place au cours du week-end pour atténuer la panique sont, en pratique, pas très différente de celles appliquées au cours de la Grande Crise de 1929, mais cette fois il est public, plutôt que de l'argent privé qui promet de réprimer le feu.
(suite en dessous:)
Cette fois-ci, ils ont jeté l'évier de la cuisine sur le problème, mais jusqu'à présent, il a produit seulement une légère, et absolument pas convaincant, rebondir. Le feu couve toujours, menaçant d'éclater à nouveau.
RépondreSupprimerLes actions chinoises ont plongé aujourd'hui après la réglementation des valeurs mobilières du pays a mis en garde les investisseurs étaient en proie à la «panique sentiment» et le marché a montré des signes de congélation comme entreprises brouillés pour échapper à la déroute en ayant leurs actions suspendues.
https://www.lewrockwell.com/2015/07/no_author/think-greeces-economy-is-the-one-in-trouble/
Les investisseurs respirent un soupir de soulagement que la Chine continentale, Hong Kong stocks balancer au plus près
RépondreSupprimerHaut fonctionnaire au Bureau de sécurité publique met en garde contre la répression contre les «ventes à découvert malveillants», comme les stocks de Hong Kong et sur le rebond de la partie continentale de retour
jeudi, 09 Juillet 2015 23:55
Hong Kong et les stocks de la partie continentale ont fini une autre séance volatile en hausse hier, mais le risque de gains exagérer ce que les analystes étaient rebonds provisoires de certains des plus fortes chutes depuis la crise financière mondiale.
Le rallye de soulagement est venu comme Liu He, un conseiller économique supérieure au président Xi Jinping, a déclaré à des journalistes en marge du sommet du BRICS en Russie que ni l'économie chinoise, ni son marché boursier étaient en mauvais état.
Le volume des échanges à Hong Kong a été presque également divisé entre les acheteurs et les vendeurs de 50 valeurs de référence de la ville, en dépit de tous les secteurs de l'indice affichant ce qui semblait être des recouvrements solides.
La moitié de tous les stocks du continent restait suspendu, laissant les investisseurs avec peu d'options, mais de racheter ce qu'ils avaient vendu, dans le but d'équilibrer leurs expositions.
L'indice composite de Shanghai a augmenté de 5,76 %, ou 202,14 points à 3,709.33, la plus forte hausse en une seule journée en termes de pourcentage depuis le 4 Mars 2009, lorsque l'indice a ajouté 6,12 %.
Près de 1.300 des 1.400 stocks disponibles pour la négociation sur le continent bondi de leur limite quotidienne de 10 %, entraîné par les courtiers, les mineurs de charbon et les entreprises liées à la construction.
L'indice de Shenzhen a augmenté pour la première fois en sept jours, en hausse de 4,25 pour cent à 11,510.34 points.
L'indice Hang Seng de Hong Kong a bondi de 3,73 %, ou 876,23 points à 24,392.79. L'indice H-action a augmenté de 3,05 %, ou 339,07 points à 11,446.37.
Les investisseurs sur le continent ont commencé à ressentir les effets de la vague de mesures non conventionnelles stimuler le marché de décideurs.
Parmi les nouvelles mesures, la réglementation des valeurs mobilières a déclaré hier qu'il serait de fournir des capitaux à des fonds communs de placement afin d'améliorer la liquidité du marché pour aider à compenser les pressions de rachat.
La China Securities Regulatory Commission a déclaré qu'il permettrait aux institutions financières de renégocier les termes de maturité avec leurs clients et permettent aux banques pour faciliter les exigences de marge pour les emprunteurs.
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Pendant ce temps, le chef de la sécurité publique adjoint de la partie continentale a visité les bureaux CSRC avec son équipe pour enquêter sur ce qu'ils ont appelé "la vente à découvert malveillants", Xinhua rapporté.
RépondreSupprimerLiu Dong, un directeur adjoint de l'enquête du Bureau de crimes économiques relevant du ministère de la Sécurité publique, a déclaré à la télévision d'Etat le ministère allait travailler avec l'organisme de réglementation des valeurs mobilières pour aller après les activités illégales liées aux valeurs mobilières et de sévir contre les colporteurs de rumeurs.
Une autre mesure, d'interdire les principaux actionnaires de la vente de participations dans des sociétés cotées pendant six mois, a attiré les critiques de gestionnaires de fonds internationaux.
Bien Templeton a appelé un acte de "désespoir", Wells Fargo dit juste "reporte l'inévitable", a rapporté Bloomberg.
Le gouvernement pourrait avoir plus de place pour boosts de politique. La banque centrale était sous pression pour réduire de 50 points de base dans les ratios de réserves obligatoires des banques que l'inflation est restée faible et la fabrication était atone, ANZ Bank dit.
L'indice des prix à la consommation de la Chine continentale a augmenté de 1,4 % le mois dernier à l'année précédente, tandis que l'indice de prix à la production a chuté de 4,8 %, les données ont montré hier.
http://www.scmp.com/news/article/1835570/investors-breathe-sigh-relief-mainland-hong-kong-stocks-swing-higher-close
Turquie: une manifestation contre l'homosexualité appelle à tuer les gays
RépondreSupprimer18:09 09.07.2015
Des activistes homophobes ont, lors d'une manifestation, brandi des affiches menaçant de mort les homosexuels afin de rappeler au peuple musulman les peines légales prescrites par le Coran.
Le groupe islamiste "La Jeune défense islamique" a organisé mardi une marche contre l'homosexualité, en collant des panneaux menaçant de mort les homosexuels dans plusieurs quartiers d'Ankara, rapporte AFP.
«Faut-il tuer celui qui fait la sale besogne et s'adonne à la pratique du peuple de Loth ?», s'interrogent ces affiches.
Des musulmans estiment que le prophète Loth été envoyé comme messager par Allah à l'une des communautés de Sodome, peuple exterminé pour avoir pratiqué l'homosexualité.
Une Gay Pride annuelle des LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres) a été réprimée par la police à Istanbul il y a moins de deux semaines. De même, la manifestation a eu lieu pendant le mois de jeûne du calendrier musulman — ramadan.
http://fr.sputniknews.com/societe/20150709/1016930966.html
SupprimerVIVE LES ANTILOPES !
Cinq ans de la comédie « Crosse de Hockey » FMI glorieux
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 09/07/2015 11:37-0400
Le sujet des prévisions comiques du FMI et des erreurs de politique désastreuse qui en résulte a été discuté longuement et à plusieurs reprises, pendant les années les deux ailleurset ici. Et bien qu'il ne rend pas justice à la tragédie humaine qui ordinaires grecs ont dû subir dans le cadre de 5 années d'échecs « sauvetages » visant à préserver la richesse des banquiers allemands, les oligarques grecs et quelques politiciens corrompus, les perspectives économiques mondiales trimestrielles, mise à jour offre même les Grecs plus faillite, sans oublier de mentionner tous les autres, l'occasion de rire de ce qui sont maintenant 5 ans d'hockeysticks de prévision économique vraiment hilarant , même si la réalité continue à se détériorer avec chaque année qui passe.
Espèce : plus tôt aujourd'hui the IMF a publié ses dernières prévisions. Dedans, le PIB mondial 2015 a été réduit de 3,5 % à 3,3 % précédemment imprévuesrisques de la Grèce à la Chine". Ou plutôt, nous devrions dire couper à nouveau. Voici l'histoire des prévisions du PIB mondiale 2015 du FMI a commencé avec juillet 2014 :
- voir graphique sur site -
Mais qui se soucie constamment avoir tort ici, dès maintenant (en plus de 11 millions de Grecs qui est) quand vos projections garder promettant que la croissance est toujours "juste autour du coin" comme ils le font dans le tableau suivant liste juste pourquoi le FMI a désormais perdu toute crédibilité non seulement comme un bailouter de dernier recours (voir Grèce), mais comme un prévisionniste.
Présentation : plus de cinq ans de glorieux IMF hockeysticks.
- voir graphique sur site -
Mais, croyez-le ou non, ce n'est pas l'argument massue. L' argument massue qui est selon une analyse de Bloomberg, comparativement aux sept banques centrales mondiales, FMI est le meilleur Pronostiqueur de tous!
Le meilleur Pronostiqueur de tous : le Fonds monétaire International. Il a battu la Banque du Canada, le vainqueur du classement, plus souvent qu'autrement sur la croissance et l'inflation.
- voir graphique sur site -
La réserve fédérale est le plus optimiste. La Banque du Japon a fait la plus grosse erreur. La Banque du Canada est le plus précis, mais il a obtenu le travail plus facile.
- voir graphique sur site -
« Les banques centrales doit être beaucoup mieux à ce qu'ils font, » a déclaré Rob Carnell, économiste international en chef chez ING Groep à Londres. "S'ils essaient de nous convaincre que tout ce qu'ils savent où les choses vont à l'aide d'orientation vers l'avant on pourrait penser qu'ils savent quelque chose que nous n'avons pas. , Mais à moins qu'ils sont beaucoup mieux à l'analyse des données, nous ne devrions pas les écouter et ils ont rien à dire. "
(suite en dessous:)
Mais le FMI n'a pas un mandat national pour définir les taux d'intérêt ou de déployer d'autres outils, qui est des principales raisons existent des banques centrales et le motif de leurs prévisions. Les projections sont enroulées dans les lignes directrices sur la future politique des mouvements qui la banques offrent plus que jamais — orientation qui obtient utilisée par les entreprises et gouvernements pour leurs propres décisions.
RépondreSupprimerBien sûr, comme le montrent les graphiques ci-dessus et en Grèce a constaté de première main, le FMI est en fait assez terrible à prévoir quoi que ce soit:
- voir graphique sur site -
... donc si ils sont la meilleure institution « officielle » à prédire l'avenir, alors la fin est sûrement proche.
Mais revenons à des thèmes plus sérieux, tandis que le FMI ne faiblit jamais en l'admettant, il s'est trompé le présent mais sera plus de rattraper cela avec enthousiasme futur, un gros souci est que quand il s'agit que toutes les importante variable économique globale et du commerce, pas même le FMI a tout optimisme à gauche: à partir de juillet 2015, maintenant, le FMI voit la croissance du commerce de l'année prochaine s'élevant au rythme le plus bas depuis la première grande crise financière : pas même l'effet de la crosse de hockey fonctionne ici.
- voir graphique sur site -
Pourquoi le commerce mondial est important ? Car tandis que les banques centrales peuvent imprimer artificiel, si record haute, bourse prix (sauf si ils sont la Chine, où ils ne peuvent encore le faire) et forcer encore plus d'inégalité de richesse record et des conflits sociaux, ils sont complètement impuissants pour « imprimer » du commerce - commerce qui est l'âme d'une économie mondialisée.
Donc si quelqu'un se demande pourquoi le monde est embourbé dans une dépression mondiale qui a été dissimulée au cours des 7 dernières années, avec $ 22 billions en achats d'actifs de banque centrale, le tableau ci-dessus devrait expliquer tout cela.
http://www.zerohedge.com/news/2015-07-09/five-years-glorious-imf-hockey-sticks
Société sans cash : réponse à quelques objections
RépondreSupprimer09 juil 2015
Simone Wapler
Notre pétition “Non à la société sans cash” rencontre une adhésion générale. Nous avons tout de même reçu quelques critiques — dont celle-ci, qui est très argumentée ; il nous a donc semblé intéressant de répondre point par point aux objections soulevées par ce lecteur, que nous remercions de sa contribution.
En préambule, nous ne prétendons pas imposer un retour aux espèces, ni un retour à l’agriculture à la force animale, ni à l’âge de pierre. Tout le monde peut constater dans sa vie courante que la dématérialisation des espèces rend service ; en France, le cash représente pour l’instant moins de 5% des transactions en valeur.
La criminalité existait déjà même avant l’invention de la monnaie
Nous soutenons cependant que le cash est une option… parmi d’autres qu’il convient de préserver dans une société libre et démocratique.
Mais voici la réaction de M.G. et nos réponses.
Non, je ne signerai pas une telle pétition tant j’appelle de mes voeux depuis de nombreuses années la disparition totale des espèces.
Il faut bien comprendre qu’à ce jour nous avons les moyens et aurions intérêt de nous passer de l’argent liquide.
Si nous y parvenions, un nombre considérable de maux de notre société trouverait enfin un début de solution, au nombre desquels :
Eradication des dealers (je vois mal le trafic de drogue se faire payer en chèque ou en cartes)
– L’histoire prouve pourtant que la criminalité est inhérente à toute société quelle que soit la forme de monnaie utilisée ; les trafiquants de drogue n’en sont qu’un aspect. La criminalité existait déjà même avant l’invention de la monnaie, à une époque où les échanges étaient limités à de très petites communautés. Les dealers pourraient très bien recourir au paiement en nature sous forme de prostitution ou d’esclavage — ce qui ne constituerait pas une grande avancée sociale ou un début de solution, nous semble-t-il. Ils pourraient également utiliser des crypto-monnaies, des armes, des métaux rares ou précieux…
Très forte diminution des vols à l’arrachée, les petits délinquants cherchent d’abord et avant tout des espèces (enfin pouvoir voyager sans crainte de se faire détrousser).
- Les petits délinquants se sont adaptés à l’évolution de notre société : ils savent très bien qu’ils récoltent de moins en moins d’espèces lors de leurs vols. Ils font leurs recettes avec les papiers d’identité, carte Vitale, cartes de débit.
(suite en dessous:)
Les demandes de rançons ne se font qu’en espèces, difficile de les voir épouser cette évolution.
RépondreSupprimer– Les kidnappeurs se sont eux aussi bien adaptés à la vie moderne et ne se promènent plus avec des valises de cash depuis belle lurette. Ils préfèrent de beaucoup les sociétés écrans et les virements Swift.
Plus de hold-up.
– Effectivement ce genre de criminalité se raréfie, de même que les attaques de diligence ou de convois postaux. En réalité, cette criminalité s’efface face à la criminalité en col blanc, plus efficace et plus lucrative : vol de données, usurpation d’identité, pyramide de Ponzi…
Très forte diminution de la fraude fiscale et sociale qui paralyse nos sociétés et finit toujours par faire payer les plus faibles.
– La fraude fiscale et sociale n’est pas le fait de l’existence ou non du cash. Elle est le résultat d’une intolérance grandissante face à l’impôt.
L’impôt consenti est le signe d’une démocratie saine
Ceux qui souhaitent évoluer vers la société sans cash mettent évidemment en avant la fin de toute résistance possible à l’oppression fiscale. Mais l’impôt consenti est le signe d’une démocratie saine tandis que l’impôt subi et la hausse de la fraude fiscale sont justement le symptôme que quelque chose cloche — le “ras-le-bol fiscal” évoqué par Michel Sapin. Le 15 octobre 2013, le quotidien Le Monde publiait un sondage sous le titre “Impôts : le désaveu des Français” ; on y découvre que 72% des personnes interrogées jugent le montant de l’impôt “excessif”.
Les pays où l’utilisation du cash est plus importante qu’en France, comme l’Allemagne par exemple, ont une collecte fiscale largement aussi efficace que la nôtre. Plutôt que de supprimer une liberté fondamentale, ne vaudrait-il pas mieux supprimer le recours au déficit, restaurer le débat démocratique autour du bien-fondé de l’impôt et du coût réel de la politique sociale ?
Terminé les transferts douteux vers les paradis fiscaux.
– Dans les nombreux paradis fiscaux, y compris européens (Jersey, Guernesey, Monaco, Campione, Luxembourg, Suisse…), je vous assure que vous ne voyez pas des gens déambuler avec des valises de cash et des liasses de billets dans leurs poches. A dire vrai, les paradis fiscaux sont plutôt des centres d’affaires avec des connexions Internet à haut débit.
Beaucoup plus compliqué les financements occultes de partis politiques
(suite en dessous:)
– Je pense qu’il s’agit là d’une plaisanterie. M. Cahuzac avait monté des sociétés de conseil pour faire écran, Thomas Fabius prétend avoir gagné au Loto de quoi acheter un appartement parisien, Bygmalion avait mis dans sa poche des experts comptable. Ce genre de financements occultes s’appuie sur des réseaux complexes et des fausses factures. Pots-de-vin et corruption se passent très bien de cash. En revanche, administration pléthorique, élus professionnels, capitalisme de copinage favorisent les financements douteux qui se font sur le dos des contribuables.
RépondreSupprimerAlors sauf à appartenir à ces catégories ou vouloir soutenir les mafias, j’aimerais assez entendre des arguments crédibles pour s’opposer à une telle mesure de salut publique.
– J’espère que nos réponses sont convaincantes. Voyez-vous, les mafias utilisent les routes, l’éclairage public, les circuits d’assainissement d’eau, les médicaments… et on ne parle pas de les supprimer !
Par une privation supplémentaire de liberté, beaucoup prétendent résoudre les “maux de notre société” ou accéder à plus de sécurité.
Mais où met-on le curseur entre liberté et sécurité ?
L’indice de liberté économique montre que les pays les plus libres sont aussi les plus prospères. Les Etats-Providence prétendent éradiquer les injustices et la pauvreté mais leur modèle, qui consiste à acheter une politique sociale à crédit, est en faillite comme le prouve la crise de la dette.
Par une privation supplémentaire de liberté, beaucoup prétendent résoudre les “maux de notre société”
“Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre et finit par perdre les deux”.
Benjamin Franklin
La suppression du cash n’est qu’une tentative des Etats-Providence en faillite pour se renflouer en pratiquant la “violence légale”. Supprimer le recours ultime au cash permettrait d’imposer des taux d’intérêt négatifs, de confisquer les dépôts, de taxer arbitrairement sans débat démocratique.
Etes-vous prêt à acheter une sécurité illusoire en aliénant votre droit le plus essentiel, le droit de propriété sur ce que vous avez légitimement acquis ?
[NDLR : Si vous répondez "non" à cette question, cliquez ici...]
http://la-chronique-agora.com/societe-sans-cash-reponse-a-quelques-objections/
SupprimerLa disparition de la monnaie papier est le signe de la dictature. Au chapitre de la confiscation générale de l'argent sur comptes... rien n'est dit ! Cà alors !
Au chapitre des 'réserves d'or en Banques Centrales' qui feraient compensation de la masse des valeurs en billets... rien n'est dit ! Cà alors !
Au chapitre des 'hackers qui vident les comptes' comme trafiquent les logiciels de centrales nucléaire... rien n'est dit ! Cà alors !
Moralité:
Les voleurs ont trop de concurrence. Il faut désormais que le vol soit normal/légalisé pour les seuls Dirigeants.
Car, par 'terroristes' sont désignés ceux qui les ont mis en place. C-à-d les fonctionnaires de l'Etat: Les 'hackers', les grossistes en drogues diverses et tous les autres faux-drapeaux.