Publié le 12 juillet 2015
par jacqueshenry
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En marge de la préparation du grand raout parisien au sujet de la perturbation climatique anthropogénique Bill Gates, l’homme le plus riche du monde, s’en prend aux énergies dites « vertes » ou renouvelables. Et il n’y va pas par quatre chemins ce sacré Bill, il vient d’investir 1 milliard de dollars prélevés dans son porte-monnaie pour la recherche & développement dans sa firme nouvellement créée, TerraPower. On s’en doutait, il s’agit d’un réacteur nucléaire à neutrons rapides brûlant de l’uranium 238 appauvri dont les pays fabricant leur propre combustible à base d’uranium 235 enrichi à 4 % disposent en quantités telles que cette technologie permettra de fournir de l’électricité pendant des centaines d’années à l’humanité avec des coûts très faibles. TerraPower travaille en collaboration étroite avec le MIT pour la construction d’un réacteur prototype d’une puissance de 500 MW électriques. La technologie existe, le design du réacteur et son fonctionnement en continu permettront d’utiliser de manière optimale les neutrons afin d’atteindre des rendements améliorés. Ces améliorations permettront de « brûler » également les actinides à haute activité et c’est la raison pour laquelle le réacteur prototype qui coûtera 1,5 milliard de dollars – on est très loin des coûts monstrueux de l’EPR – est appelé le WAMSR, acronyme de Waste Annihilating Molten Salt Reactor. Ce réacteur « brûlera » en effet non seulement de l’uranium appauvri mais aussi le combustible usagé des réacteurs à neutrons lents, on y reviendra.
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Pourquoi Bill Gates s’intéresse soudainement à l’énergie nucléaire, tout simplement parce que, dit-il « Il n’existe à l’heure actuelle aucune technologie de stockage avec des batteries permettant de fournir toute l’énergie électrique dont on a besoin exclusivement à partir des renouvelables car il est impératif de tenir compte des alternances jour-nuit et des longues périodes, inévitables également, de ciel couvert et d’absence de vent ». Gates considère à juste titre que les sommes colossales d’argent investies dans les énergies renouvelables telles qu’on les conçoit aujourd’hui, éolien et photovoltaïque, sont perdues d’avance car elles n’atteindront jamais leur but qui est de remplacer le pétrole et le charbon dans la production d’électricité, non seulement pour l’industrie, les services et les ménages mais également pour les transports à moins d’une diminution brutale de la population mondiale de plusieurs milliards d’habitants. Gates insiste sur le fait que c’est exactement ce que veulent les « verts » car ils savent, du moins ceux qui ne mentent pas, que le 100 % renouvelable est impossible à atteindre. Ce système mis en place ne peut perdurer qu’avec des subventions provenant de taxes que paient les utilisateurs finaux et il ne profite qu’à une petite poignée d’industriels. Le tournant politique pris ces dernières années pour développer les énergies renouvelables est une utopie vouée à une impasse. Ce gâchis doit donc, toujours selon Bill Gates, cesser et être réorienté vers la R&D dans les technologies nucléaires de quatrième génération.
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Il est intéressant de noter que le CEO de TerraPower, John Gilleland, était avant d’occuper ce poste Managing Director pour les USA du projet ITER. Gilleland n’utilise pas non plus de périphrases à propos du projet ITER, je cite : « C’est un truc (ITER) sur lequel je ne peux même pas espérer pour mes petits-enfants. À TerraPower nous nous sommes focalisé sur la fission plutôt que sur la fusion parce qu’il faudra (pour la fusion) encore énormément de temps et d’investissements ». TerraPower a donc repris la technologie du MSR (Molten Salt Reactor) d’Oak Ridge qui fonctionna en continu et sans aucun indicent de 1965 à 1969 mais n’a pas encore déposé de brevets malgré le fourmillement d’idées nouvelles émanant de la collaboration du staff de la société avec les laboratoires du MIT.
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L’autre direction de R&D est le TWR pour Travelling Wave Reactor, une technologie imaginée dans les années 1950 par Saveli Feinberg et qui ne nécessite aucun rechargement de combustible, donc aucun arrêt, pendant plus de 50 ans en « brûlant » de l’uranium 238 avec des neutrons rapides provenant d’uranium 235 enrichi à environ 10 %. Les supercalculateurs ont validé l’idée de Feinberg. Ce réacteur également de IVe génération sera aussi refroidi avec du sodium liquide et un prototype de 500 MW prévu aux alentours de 2020 (voir le lien).
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TerraPower collabore étroitement avec la Chine et la Russie dans ces deux approches. Bill Gates nous réserve encore de belles surprises …
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Quatre volcans sous-marins vieux de 50 millions d'années découverts au large de Sydney
RépondreSupprimer"Ils nous racontent une partie de l'histoire de la séparation, il y a 40 à 80 millions d'années, de la Nouvelle-Zélande et de l'Australie" a expliqué un vulcanologue à l'université nationale d'Australie.
Publié le 13 Juillet 2015
C’est une découverte historique. Alors qu’ils cherchaient des gîtes larvaires de homards, des scientifiques ont découvert 4 volcans sous marins éteints à 250 km au large de Sydney, en Australie. Cette découverte pourrait permettre aux chercheurs de comprendre les circonstances de la séparation de la Nouvelle-Zélande et de l’Australie, il y a 30 ou 40 millions d’années. "Ils nous racontent une partie de l'histoire de la séparation, il y a 40 à 80 millions d'années, de la Nouvelle-Zélande et de l'Australie.
Ils vont maintenant aider les scientifiques à orienter leurs futures explorations pour percer les secrets de la croûte terrestre" a indiqué Richard Arculus, vulcanologue à l'université nationale d'Australie.
http://www.atlantico.fr/atlantico-light/quatre-volcans-marins-vieux-50-millions-annees-decouverts-au-large-sydney-2235554.html
Cette info n'est pas nouvelle mais a bien été cachée assez longtemps pour permettre aux 'verts' d'inventer que les glaciers fondaient et/ou se détachaient pour cause du... Global Warming anthropique !!!
SupprimerL'Allemagne vient de tuer sa poule d'or
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 13/07/2015 19:00-0400
Soumis par Raul Ilargi Meijer via The Earth automatique blog,
Personnellement, comme la plupart d'entre vous, j'ai toujours pensé qu'en Allemagne, en plus de tous ses autres talents, bonne ou mauvaise, était une nation de calcul solide et de la comptabilité. Gründlichkeit. Et qu'ils connaissaient une chose ou deux sur la psychologie. Mais je suis trompé.
Les Allemands vient de faire leur plus grosse erreur dans un temps long (que diriez-vous quelque 75 ans) au cours du week-end. Maintenant, quand tout ce que vous devez apporter à une négociation de barre oblique de conversation est intimidation et fort armement et brute force, ce n'est peut-être pas trop surprenant. Mais c'est un échec de Béhémoth en soi indépendamment.
Tout d'abord, je veux passer à ce que Yanis Varoufakis dit le New Statesman dans une interview publiée aujourd'hui, parce qu'il est crucial de ce qui s'est passé ce week-end. Varoufakis parle de comment il poussait pour un plan visant à introduire une monnaie alternative en Grèce plutôt que céder à la troïka. Mais Tsipras a refusé. Et Yanis comprend pourquoi:
"Varoufakis ne pouvait pas garantir qu'un discute fonctionnerait...
… il sait que Tsipras a l'obligation de « ne pas laisser ce pays devenu un État en faillite ».
Ce qui veut dire que Tsipras a été informé par la troïka derrière des portes closes, pour dire les choses crûment: « nous allons tuer ton peuple ». Il a fait une offre qu'il ne pouvait pas refuser. Et Tsipras ne pourrait jamais que prendre sur lui, même si les offres proposées aujourd'hui sera peut-être pire à moyen et à long terme, même si cela peut lui coûter sa carrière.
Critique de l'homme est facile, mais tout cela vient de gens jamais mettre dans cette position. Varoufakis comprend, et sorte de conseils qu'il aurait pu avoir Deuxièmement pensées trop si il était jamais mis dans cette position.
Il n'y a pas beaucoup qui sépare Schäuble et l'UE de cinq familles de cette règle (habituer règle ?!) New York City. Si vous avez besoin d'une preuve, d'Athènes et vérifier les pièces dévastées de la ville. L'Allemagne et la troïka sont aussi impitoyable que la foule. Ou, au contraire, ils sont pires.
Mon point est, leur attitude et pitreries vont se retourner. Vous ne pouvez pas exécuter une union politique et monétaire de cette façon. Et seuls les imbéciles tenterait.
La structure de l'Union européenne elle-même garantit qu'Allemagne sera toujours sortir par le haut. Mais ils ne peuvent rester sur le dessus en étant indulgent et surtout équitable, en laissant les autres pays à partager une partie du butin.
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Pour savoir comment cela fonctionne, regardez Marlon Brando, comme Don Corleone, parlez aux chefs des cinq familles dans le parrain. Vous avez besoin de savoir quoi faire pour, comme il le dit lui-même, « maintenir la paix ». Il est accepté comme le principal dirigeant, précisément parce que les autres capos comprennent il sait comment.
RépondreSupprimerLes allemands ont montré qu'ils ne savent pas cela. Et donc voici une prédiction, c'est tout en descente de là pour eux. Période de l'Allemagne de - relative - force économique mis fin ce week-end. Les failles dans son économie seront désormais exposées, et les fissures vont commencer à montrer. Si vous voulez être le parrain, la toute première exigence est que vous avez besoin d'être considéré comme équitable. Ou vous n'aurez aucune confiance. Et sans confiance tu n'as rien. Il n'est pas difficile.
L'Allemagne n'obtiendrez jamais une affaire comme l'UE a été pour eux, encore une fois. C'était la meilleure offre jamais. Maintenant, ils firent, et ils n'ont personne à blâmer qu'eux-mêmes. Et vraiment, la métaphore du parrain est très pertinente, en plus d'un. Schäuble ne pourrait jamais être le capo di tutti capi, personne ne serait jamais lui faire confiance dans ce rôle. Parce qu'il n'est pas un homme juste. Mais il essaie toujours de jouer le rôle. Grosse erreur.
Les gens d'ici en Grèce sont contraints de payer des années pour quelque chose qu'ils n'ont jamais étés une partie de, et qu'ils n'ont jamais profitent de. Tous les bénéfices sont allés à une élite corrompue. Et s'il y a une chose que Don Corleone pourrait vous dire, c'est que c'est un modèle de mauvaises affaires. Parce qu'elle conduit à la guerre, pour les personnes tuées, d'agitation et tout cela est mauvais pour les affaires.
je dois l'admettre, j'ai pensé que les Allemands étaient plus intelligents que cela. Ils ne le sont pas. Qu'une grande partie est trop évidente maintenant. N'importe ce qui arrive ensuite, affaire ou aucune affaire sur la Grèce, et qui n'est pas une donnée encore, ne pas laisser les titres imbécile, quoi qu'il advienne, Allemagne perd.
Ce n'est pas juste au sujet de Grèce, il s'agit de l'ensemble de l'UE. La troïka pense que par effrayer les daylights vivant hors de la périphérie, sa puissance augmentera. Ils pensent même que ça va marcher avec la France. Bonne chance avec ça. Ils vont être confrontés à Marine Le Pen bientôt et Podemos et M5S et ces pitreries ne fonctionnera pas sur eux.
Je suppose que l'essentiel ici est que Don Corleone n'était pas une psychopathe ou sociopathe, et c'est plus que vous pouvez dire à Schäuble et Dijsselbloem et Juncker et leurs semblables. Ces personnes n'ont pas simplement les compétences sociales pour mener n'importe quelle organisation, car tout ce qu'ils comprennent c'est pouvoir et force, et ce n'est pas suffisant. Tandis que la force brute peut sembler attrayant et décisive et tout, en fin de compte il sera leur perte.
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Je suis sûr que la grande majorité d'entre eux ont vu les films de parrain, mais ils n'ont tout simplement jamais compris ce qu'ils représentent ; ils n'ont pas les compétences pour cela.
RépondreSupprimerAllemagne vient de tuer sa poule d'or. Et mon garçon, c'est que jamais stupide. Ils auraient pu - encore une fois, relative, nous sommes dans une récession-la paix et la prospérité, et ils vous souffler tout de suite.
Tsipras pour des raisons évidentes, ne peut pas parler sur les menaces, il a reçu, mais il n'a abandonné quelques conseils, ce matin :
• « Nous avons pris la responsabilité de la décision d'écarter le plus extrêmes plans par les milieux conservateurs en Europe.. »
• « Je vous promets qu'aussi dur que nous nous sommes battus ici, nous allons maintenant nous battre à la maison, pour finir l'oligarchie qui nous a amenés à cette situation. »
• "Nous avons résisté à des demandes de transfert des actifs de l'Etat à l'étranger et évité une banque effondrement qui avait été minutieusement planifié. »
• «... la décision d'éviter le plus extrêmes plans par la plupart des milieux extrêmes en Europe "
Les italiens, espagnol et Français ont noté chaque mot de cela et plus encore. L'Europe, comme c'est le cas, est déjà terminée. Tout partir d'ici en est un simple Râle.
http://www.zerohedge.com/news/2015-07-13/germany-just-killed-its-golden-goose
Crise grecque : l'Allemagne gagne sur tous les fronts, l'euro à visage découvert
RépondreSupprimerAlexis Toulet
Noeud gordien
mar., 14 juil. 2015 04:19 UTC
L'Allemagne gagne sur tous les fronts - Deutschland siegt an alle Fronten. Mais les conséquences en termes de relations entre les peuples européens menacent d'être très graves.
Négociations Grèce contre Allemagne et reste de l'eurozone - Victoire allemande par KO
Le marathon de réunions de l'Eurogroupe puis du Conseil européen, 31 heures au total du samedi 11 au lundi 13 juillet, a abouti à un résultat qui se présente comme définitif. Même si la crise grecque connaîtra à coup sûr dans les mois et les années qui viennent de nouveaux rebondissements, il est possible d'ores et déjà de tirer un bilan.
Si on résume le résultat de la séquence février - juillet 2015 du point de vue grec :
- La Grèce doit continuer la stratégie faillie appelée "austérité" c'est-à-dire dévaluation interne et libéralisation, malgré son échec catastrophique des cinq dernières années
- Elle n'a obtenu en échange aucun programme d'investissement significatif - les "35 milliards" déjà cités par Jean-Claude Juncker sont des fonds structurels et autres mesures déjà prévues
- Elle n'a obtenu en échange aucun engagement que ce soit ni en faveur d'une décote ni même en faveur d'une simple restructuration de la dette. La déclaration des créanciers comme quoi une restructuration pourrait être envisagée ultérieurement n'a aucune valeur d'engagement, une telle déclaration avait déjà été faite en 2012 sans être suivie du moindre effet
- Le vote de son peuple a été purement et simplement annulé
- La stratégie d'austérité a été encore durcie, poussée à un extrême pour raison évidemment politique, constituant une véritable punition de la Grèce pour son "mauvais" vote lors du référendum du 5 juillet
Bref, la Grèce est totalement vaincue, l'échec de la tentative de changer la stratégie économique imposée à la Grèce par la Troïka est complet.
Du point de vue allemand maintenant :
- L'Allemagne a évité de faire le moindre geste envers la Grèce, même si une décote sur l'insoutenable dette grecque - d'autant plus démesurée que l'économie grecque a chuté d'un quart sous le choc de la stratégie d'austérité imposée à Athènes depuis cinq ans - aurait coûté à Berlin incomparablement moins que l'abandon par la Grèce de sa créance sur l'Allemagne en 1990, sans parler des créances abandonnées par les autres pays européens au moment de la réunification allemande et pour aider le pays à tourner définitivement la page
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- Démonstration a été faite qu'aucun pays ne peut changer la stratégie imposée au niveau européen sous influence directrice allemande. L'assentiment français à cet état de fait a notamment été confirmé - quelles que soient les circonvolutions, nuances et objections, Paris au final suit toujours Berlin, non pour un compromis mais pour un alignement
RépondreSupprimer- Les instruments de pression économique ont démontré leur puissance, BCE en premier lieu, et leur contrôle permet aux Institutions européennes de forcer l'accord de tout gouvernement de l'eurozone. Comme l'a dit François Hollande à l'issue du sommet "Si l'accord n'avait pas été clair, la BCE n'aurait pas pu continuer son activité de liquidité" - c'est-à-dire que l'écroulement du système bancaire grec aurait été parachevé. L'Espagne, le Portugal peuvent trembler. L'Italie elle-même... (et quant à la France ?)
- La voie de la contestation de la stratégie européenne par le biais de la gauche dite "radicale" et pro-européenne a été barrée. Définitivement ? Le résultat électoral de Podemos en Espagne en fin d'année donnera une indication. Mais il pourrait être fort difficile à son leader Pablo Iglesias d'expliquer comment exactement il ferait pour parvenir à un autre résultat que Syriza, c'est-à-dire somme toute une situation encore empirée pour le pays
François Hollande a honteusement échoué à se placer à la hauteur des enjeux. Placé par les circonstances et l'équilibre des rapports de force dans la position d'un pivot, il n'a su jouer que le rôle d'une roue de secours pour la chancelière allemande. L'Histoire sera très dure pour lui, tout comme pour Angela Merkel. Son objectif n'a été que d'assurer la survie de l'euro, sans prendre en compte ni la dignité et la souveraineté d'une autre nation membre en l'occurrence la Grèce, ni le sens commun économique le plus basique car la dette grecque est insoutenable et refuser de le reconnaître n'y changera rien, ni même les conséquences sur l'entente entre nations européennes d'une telle attaque sur l'une d'entre elles.
Il avait pourtant en son pouvoir d'arrêter net le gouvernement allemand. Il lui aurait suffi de prévenir qu'en continuant à attaquer la Grèce, en parachevant la mue de l'Union européenne en instrument de pouvoir pour Berlin et en champ clos d'affrontements plutôt que de coopérations, l'Allemagne ne détruisait pas seulement sa relation avec la Grèce, mais encore avec la France. L'aurait-il fait de façon suffisamment publique qu'il aurait été impossible au gouvernement allemand de négliger un tel avertissement, car il n'aurait pu se justifier en face de la population allemande qui reste en très grande majorité raisonnable, à la différence de son gouvernement.
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Pyrrhus est européen - la stratégie du Chêne
RépondreSupprimerNaturellement, il y a des raisons de douter que cette résolution de la crise grecque fasse autre chose que repousser le problème, ou que la victoire allemande soit durable - une victoire qui fait courir de tels risques à l'image internationale d'un pays peut-elle être autre chose qu'une victoire à la Pyrrhus ?
Au plan économique tout d'abord, les difficultés de la Grèce ne vont bien sûr pas s'améliorer - elles empireront au contraire, la même stratégie étant poursuivie voire intensifiée. Il y a donc fort à parier que la Grèce reviendra sur le devant de l'actualité, lorsque son endettement par rapport au PIB aura encore augmenté, rendant nécessaire une nouvelle "aide".
Surtout, barrer la voie à un changement ou même un assouplissement d'une stratégie faillie, et le faire par les moyens qui ont été utilisés, c'est prendre des risques politiques énormes, avant tout de détériorer gravement les relations entre pays européens, alimenter et multiplier les ressentiments en gouvernant par la peur. Ce n'est même pas habile politiquement, démonstration de rigidité plutôt que de force, ce qui pour les partisans du projet européen pourrait déboucher sur un véritable désastre. C'est que la contestation de la politique faillie de l'austérité prend principalement deux formes :
- "Nous avons fait une erreur en mettant en place la monnaie unique et en nous laissant diriger par des institutions non élue. Réparons-la"
Il s'agit essentiellement de souverainisme, souvent quoique pas toujours avec une tonalité de droite, voire dans certains pays d'extrême-droite
- "La stratégie économique européenne doit être au service des peuples, non des seuls riches et capitalistes. Réorientons-la"
Projet de gauche, souvent appelée radicale par ses adversaires quoique il soit plus juste de l'appeler "véritable".
Beaucoup d'hommes politiques peuvent trouver commode d'appeler tout cela populisme et compagnie, de taxer tout contestataire d'irréalisme, d'incompétence et de mensonge. Mais l'artifice politicien ne change pas la réalité que ces deux tendances sont non seulement distinctes, mais concurrentes. Le sens stratégique des européistes partisans de l'austérité, qui vouent au gémonies les contestataires du deuxième groupe pourtant des européistes comme eux et s'attachent depuis l'arrivée au pouvoir de Syriza à démontrer que non, pas la moindre chance pour ce type de contestataires d'obtenir le moindre infléchissement... ce sens stratégique est celui du chêne s'adressant au roseau dans la fable de La Fontaine. Rigidité et refus de plier.
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Bien sûr, fermer la porte aux contestataires européistes, c'est faire le marchepied à ceux des contestataires qui ne le sont pas. Et nous savons tous comment la fable se termine.
RépondreSupprimerLa Leçon de Choses - l'Euro à visage découvert
Cet échec de Syriza est très grave du point de vue politique pour Podemos en Espagne, le Front de Gauche en France et les mouvements apparentés dans d'autres pays. Mais pour l'autre groupe de contestataires ! Même Alexis Tsipras, se raccrochant aux branches et essayant de prétendre que le résultat de l'épreuve de force est différent de ce qu'il est, n'a pas été jusqu'à cacher que la Grèce n'est plus souveraine : "Nous continuerons à lutter afin de pouvoir renouer avec la croissance et regagner notre souveraineté perdue".
Ces événements à vrai dire révèlent au grand jour ce qu'est l'euro, non seulement monnaie mais encore stratégie économique invariable quels que soient ses résultats et imposée avec une règle de fer, et ce que l'Union européenne est et demeurera tant que l'euro subsistera, structure hiérarchique imposant brutalement aux petits les intérêts étroits des grands, d'abord et avant tout ceux de l'Allemagne. Toute idée, tout espoir de faire « une autre Europe », de « changer l'Europe », c'est-à-dire de changer et adapter la stratégie économique qui est attachée à l'existence même de l'euro, apparaît maintenant pour ce qu'elle est, une illusion pure et simple.
Alexis Tsipras - et ici il faut éviter de l'accabler - a cru sincèrement qu'un tel changement était possible. Vu ses efforts constants et décidés, avec ceux de tout le gouvernement Syriza, vu les appuis qu'il a rencontré ou su s'assurer ne serait-ce qu'en faveur d'une décote de la dette publique grecque, soit le FMI, la France, l'Italie et les Etats-Unis - excusez du peu ! - si un tel changement de stratégie économique était moindrement possible, il aurait certainement réussi.
Mais il a échoué. Cet échec est l'annonce de temps encore plus durs pour la Grèce, dont la dépression économique est promise à s'aggraver, combinée à une humiliation constante par la main de fer de la Troïka. Cet échec est aussi une très dure leçon pour qui imaginait pouvoir « changer l'Europe ». Non. Il n'y a que deux options : accepter en l'état l'Union européenne, ou reprendre sa liberté.
Presse anglo-saxonne stupéfiée et atterrée - l'eurozone ne fait pas illusion
La presse anglo-saxonne ne mâche pas ses mots pour décrire l'accord du 13 juillet. L'heure, il est vrai, n'est pas aux politesses, et un point de vue extérieur rend peut-être la situation encore plus claire - et encore plus douloureusement surprenante. Il ne faut pas s'y tromper : de l'extérieur, l'eurozone ne fait absolument pas illusion. Petit florilège très partiel, avec une journaliste du Guardian britannique, un journaliste allemand du Financial Times et un économiste et prix Nobel américain :
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La "famille" européenne a montré qu'elle est capable de véritable cruauté :
RépondreSupprimerLe monde voit ce qui est fait à la Grèce au nom de la stabilité de l'euro.
Il voit une nation dépouillée de sa dignité, de sa souveraineté, de son avenir.
(...) Qui dirige ces banques, et pour le compte de qui ? Les slogans Twitter parlent des trois guerres mondiales : la première avec des fusils, la deuxième avec des tanks et cette troisième avec des banques. Un point de vue extrême ? Eh bien, il y a clairement plus d'une manière de prendre le contrôle d'un pays.
Les créanciers brutaux de la Grèce ont démoli le projet de l'eurozone :
En forçant Alexis Tsipras à une défaite humiliante, les créanciers (...) ont détruit l'eurozone telle que nous la connaissions et démoli l'idée d'union monétaire comme étape vers une union politique démocratique.
Ils sont ainsi revenu aux luttes de pouvoir nationalistes des XIXème et début XXème siècle. Ils ont réduit l'eurozone à un système toxique de taux de change fixes, partageant une monnaie unique, géré dans les intérêts de l'Allemagne, maintenu par la menace d'appauvrissement absolu pour qui défie l'ordre établi. La meilleure chose que l'on puisse dire de ce week-end est l'honnêteté brutale de ceux qui ont perpétré ce changement de régime.
Tuer le projet européen :
Ceci dépasse la dureté et va jusqu'au pur esprit de vengeance, destruction complète de la souveraineté nationale, et aucun espoir de soulagement (...) une trahison grotesque de tout ce que le projet européen était supposer défendre.
(...) Mais le plus gros des dégâts est déjà fait. Qui fera jamais à nouveau confiance aux bonnes intentions de l'Allemagne après cela ?
(...) Ce que nous avons appris ces deux dernières semaines est qu'être membre de l'eurozone signifie que les créanciers peuvent détruire votre économie si vous faites un pas de côté.
(...) Le projet européen - que j'ai toujours loué et soutenu - vient juste de recevoir une blessure terrible, peut-être fatale. Et quoi que vous puissiez penser de Syriza, ou de la Grèce, ce ne sont pas les Grecs qui ont fait cela.
http://fr.sott.net/article/25998-Crise-grecque-l-Allemagne-gagne-sur-tous-les-fronts-l-euro-a-visage-decouvert
Les Grecs ont dû choisir entre la peste et le choléra
RépondreSupprimerpar Audrey Duperron
13 juil. 2015
Au terme d’une réunion marathon avec les dirigeants européens à Bruxelles, un accord a été trouvé ce matin et la Grèce a finalement accepté de faire passer les réformes économiques réclamées par ses créanciers internationaux en échange d’un plan de sauvetage de 82 à 86 milliards d’euros, et de son maintien dans la zone euro.
« Epuisé par un sommet des dirigeants de la zone euro de 17 heures qui a parachevé un weekend de négociations, Alexis Tsipras a abouti au programme de supervision économique le plus intrusif qui ait jamais été conçu au sein de l’UE », écrit le Financial Times.
Samedi, Athènes avait accepté un plan de réformes en échange d’une aide de 80 milliards d’euros, le troisième plan de sauvetage du pays en 5 ans. Ce plan, qui pourrait s’étaler sur 3 ans, serait financé par le Mécanisme de Stabilité Européen, le fonds de secours de la zone euro, et par le FMI. La Grèce devra donc accepter une nouvelle fois d’être contrôlée de très près par les auditeurs des créanciers (dont le FMI), et de procéder à un remaniement de son administration sous la supervision de la Commission Européenne.
D’ici mercredi, le Premier ministre grec doit faire passer une liste de réformes d’austérité à titre de condition préalable pour l’ouverture de nouvelles négociations sur la mise en place d’un nouveau plan d’aide pour permettre à la Grèce d’échapper à la faillite. Certaines de ces réformes portent sur les impôts et les retraites. D’autres, sur lesquelles il s’est engagé, concernent la libéralisation du marché du travail, l’ouverture des professions réglementées, et le renforcement du secteur financier. Tsipras a également dû revenir sur les mesures impliquant des dépenses qu’il avait fait passer au début de son mandat, et accepter de les annuler.
Il a aussi accepté de placer 50 milliards d’euros d’actifs grecs destinés à la privatisation, à la recapitalisation des banques et au remboursement de la dette sous séquestre, en les plaçant dans un fonds spécial basé à Athènes, totalement indépendant du gouvernement grec. Ce fonds pourrait servir de caution pour les nouveaux prêts qui pourraient être consentis.
Ce que l’on ignore, c’est si le parlement grec pourra accepter ces mesures. En outre, il reste à savoir si le Premier grec sera capable de donner des garanties prouvant qu’il est vraiment prêt à passer les mesures qui ont été négociées pour apaiser les sceptiques qui ne font plus confiance à la Grèce.
De même, il n’est pas encore certain que les parlements de certains pays accepteront de mettre une nouvelle fois la main au portefeuille pour accorder un nouveau prêt de plus de 80 milliards d’euros à la Grèce. Parmi ces pays, on retrouve notamment l’Allemagne, les Pays Bas, la Finlande, mais aussi l’Espagne et le Portugal.
"Il n'y a paseu de contrepoids à l'allemand Schaüble dans l'#eurogroupe" raconte un observateur des discussions des ministres des finances.
— isabelle ory (@isabelleory) 13 Juillet 2015
Frontpage of largest Dutch daily: "Another €80bn for the Greeks. Will Rutte break promise (no bailout for GR) again? pic.twitter.com/Nk4BpdVhOV — Pieter Cleppe (@pietercleppe) 13 Juillet 2015
http://www.express.be/business/fr/economy/les-grecs-ont-du-choisir-entre-la-peste-et-le-cholera/214552.htm
14 juillet : le mythe de la chute de la monarchie absolue
RépondreSupprimerLa monarchie absolue était morte bien avant la prise de la Bastille.
Par Gérard-Michel Thermeau.
Pour William Doyle, la Révolution française n’a pas commencé le 14 juillet 1789 car à cette date « l’Ancien Régime était déjà en ruine, au-delà de tout espoir de reconstruction ». Le point de départ remonte au 20 août 1786, le jour où le Contrôleur général des Finances, Calonne, avouait à Louis XVI le désastre financier. Même si l’administration royale, par son fonctionnement très particulier1 était incapable de connaître exactement la situation, Calonne évaluait le déficit au quart des revenus de l’année. Depuis 1777, la croissance des emprunts d’État nécessitait d’affecter la moitié des revenus annuels au service de la dette.
En fait, la monarchie française, depuis le XVIIe siècle, était en mauvaise santé financière : trop de guerres ruineuses s’étaient succédées, la guerre d’indépendance américaine étant la dernière en date. Or il était impossible de faire des économies substantielles, sinon aux dépens des forces armées, ce qui voulait dire pour la France, renoncer à être une grande puissance.
Il n’était pas davantage question d’augmenter les impôts, les Français, et particulièrement les contribuables de la région parisienne étant déjà parmi les plus lourdement taxées en Europe. De surcroît, les nobles qui, depuis la fin du règne de Louis XV, avaient vu le poids de la taxation croître sur leurs biens, bien que privilégiés, ne manquaient pas une occasion de gémir sur le fardeau fiscal qui les accablait, aussi modeste fut-il.
Restait la voie de la banqueroute, le refus de payer les dettes, vieille pratique de la monarchie, mais désormais nuisible au crédit de l’État : aux yeux de l’opinion publique du temps, la dette publique était sacro-sainte.
Au « magicien » Necker qui avait financé la guerre contre l’Angleterre sans créer de nouvel impôt mais par un emprunt, aussi favorable aux investisseurs qu’il était onéreux pour l’État, avait succédé le « prodigue » Calonne, lointain ancêtre de Keynes : il déboursa sans compter pour inspirer la confiance avec l’illusion que financer de grands chantiers, comme le nouveau port de guerre de Cherbourg, relevait de la dépense utile. Il emprunta presque autant que son prédécesseur, mais avec beaucoup plus de difficulté pour convaincre les milieux de la finance.
Il ne restait donc qu’une voie de sortie pour Calonne : réformer l’État. « Un Royaume dont les Provinces sont étrangères les unes aux autres… où il est impossible d’avoir ni règle constante, ni vœu commun, est nécessairement un Royaume très imparfait » écrit-il dans son Résumé d’un projet pour l’amélioration des Finances. Calonne proposait donc d’instaurer, à la place du système compliqué des vingtièmes, une « subvention territoriale », c’est à dire une taxe foncière universelle, permanente et proportionnelle. Elle serait perçue par des assemblées provinciales élues par les propriétaires fonciers.
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Sous l’influence de Dupont de Nemours, Calonne souhaitait également la disparition des douanes intérieures, le remplacement de la corvée par un impôt et le libre commerce des blés. Mais pour assurer le succès des emprunts nécessaires pour payer les dettes à court terme arrivant à échéance, le contrôleur crut habile d’obtenir un soutien de l’opinion publique par la convocation d’une Assemblée des Notables composée de « gens de poids, dignes de la confiance du public », c’est à dire triée sur le volet par le pouvoir. Mais la réunion de l’Assemblée à Versailles, à compter du 22 février 1787, ne devait pas se dérouler selon les vœux du trop habile ministre. Si tout le monde ou presque reconnaissait la nécessité des réformes, Calonne réussit surtout à faire l’unanimité contre lui. Plusieurs notables réclamèrent la convocation des États Généraux seuls habilités à approuver des mesures aussi importantes. Calonne était renvoyé et un de ses plus habiles adversaires, Loménie de Brienne, se voyait nommer principal ministre.
RépondreSupprimerLe 21 mai, un bureau de l’Assemblée déclarait : « Nous n’avons pas pensé qu’une Assemblée de Notables, sans pouvoir et sans mission, qui n’a point reçu la députation des provinces, et qui n’a rien de commun avec les Etats généraux, put voter un impôt ». Aussi Brienne, oubliant les critiques qu’il avait formulées lorsqu’il était dans l’opposition, devait-il s’empresser de la dissoudre pour essayer d’imposer de force le projet de réformes. Mais le gouvernement du Roi révélait ainsi qu’il n’avait pas la confiance de ses sujets les plus éminents, méfiance justifiée au vu du désordre des finances. Ce fut une grande malchance pour ce gouvernement aux intentions réformatrices. Lamoignon inspirait en effet des mesures audacieuses : suppression de la question (ou torture judiciaire), droits civiques accordés aux protestants…Le parlement de Paris, après avoir accepté la plupart des édits réformateurs, refusa les édits fiscaux et réclama la réunion des États généraux.
Au niveau international, paralysée par la fronde parlementaire, la France assistait impuissante à l’écrasement du mouvement « patriote » des Provinces-Unies par l’armée prussienne. Faute d’argent dans les caisses, l’armée française était restée l’arme au pied.
Brienne crut habile de renoncer aux nouveaux impôts au profit du prolongement des vingtièmes, sans exception ni cas spéciaux. Le 19 novembre 1787, lors d’une séance royale, Louis XVI prétendit contraindre le parlement à enregistrer les emprunts. Le duc d’Orléans cria à l’illégalité et le Roi répondit : « Si ! C’est légal parce que je le veux. » Il détruisait ainsi tout espoir d’entente et de compromis. Le 3 mai 1788, après plusieurs mois d’agitation et de protestation dans les provinces, le parlement de Paris déclarait que les lois fondamentales du royaume comprenaient le consentement de l’impôt par les États généraux réunis régulièrement et des garanties contre les arrestations arbitraires.
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Lamoignon dépouilla alors les parlements de la plupart de leurs prérogatives au profit d’une Cour plénière dont la composition rappelait celle de l’Assemblée des notables : hauts magistrats, grands nobles, officiers de l’État, personnages éminents divers. Le rôle judiciaire des parlementaires fut réduit également au profit des cours subalternes. Aussitôt la colère populaire éclata, marquée notamment par des émeutes à Rennes et Grenoble. Toute une littérature pamphlétaire inonda le pays, dénonçant la rupture du contrat social, la nécessité de mettre en place des réformes par les États généraux. Mais cette opposition était plus bruyante que dangereuse face à un gouvernement résolu.
RépondreSupprimerCe n’est pas la rue qui fit tomber le gouvernement mais les finances. En effet, au jour le jour, le gouvernement vivait des « anticipations », crédits à court terme consentis par les banquiers et financiers, garanties par les revenus fiscaux des années suivantes. Mais Brienne se trouva dans l’incapacité de trouver des fonds. Les créanciers du gouvernement ne voulaient plus financer le « despotisme ». Début août, le trésor était vide. Le 16 août, Brienne dut suspendre les paiements du trésor royal. Entre temps, il avait promis la réunion des États généraux pour le 1er mai 1789 et organisé le retour de Necker, auréolé de sa réputation de génie de la finance : c’était annoncer que le pouvoir n’était plus entre les mains du roi.
C’est ainsi que s’écroula durant cet été 1788 l’Ancien Régime. Selon William Doyle : « la vieille monarchie et ses serviteurs étaient non seulement à court d’argent mais à court d’idées ». La vieille monarchie disparaissait, victime, non de féroces révolutionnaires mais de ses contradictions internes.
http://www.contrepoints.org/2015/07/14/213491-14-juillet-le-mythe-de-la-chute-de-la-monarchie-absolue
Supprimer(...) La monarchie absolue était morte bien avant la prise de la Bastille.(...)
Que la monarchie soit morte bien avant la prise de la Bastille, à l'extrême on s'en fout, mais, cela ne veut pas dire qu'elle n'ait pas survécu ni renée. Car, si elle s'est conforté, emplifié aux pays frontaliers elle a bien pourri toute l'Europe et même plus depuis !
Avez vous déju lu ou entendu quelqu'un dire (un instituteurs ? un journaliste ? un politique ?) qu'avant la République c'était la dictature ? Des assassins sanguinaires ? Non ! Personne ne l'a dit ni écrit ! Bien au contraire il y a eut des 'reines de beauté' !! des 'rois de la merguez' ou même des 'princes charmants' et des 'bois nobles' !!! C'est pour dire que pour le cirage de pompe, çà y va !!
Les bénéficiaires des coupons alimentaires dépassent 45 millions pour quatre ans
RépondreSupprimerJoshua Krause
Le quotidien Sheeple
13 juillet 2015
Avec la chute du marché boursier de la Chine et de la détérioration de la situation en Grèce, il semble que le monde se prépare à rencontrer un autre effondrement économique de système. Mais comme les médias alternatifs a été mise en garde pour les années, les problèmes de la dernière crise restent à être vraiment résolus. À l'exception de pays comme l'Islande, qui ont eu la clairvoyance de laisser les grandes banques ne parviennent pas, les pays les plus avancés sont encore en pire état qu'ils l'étaient avant.
N'est nulle part plus évident qu'aux États-Unis, où à peu près 8 ans après le boîtier crash, des millions de personnes sont encore sur les bons d'alimentation. Qui si vous y réfléchissez, n'est pas que la vraie mesure de la santé économique d'une nation ? Peuvent les gens réellement se nourrir ? Selon le phare gratuit, bon nombre d'entre eux ne peut toujours peuvent :
Le nombre de bénéficiaires de la complémentaire Nutrition Assistance Programme (SNAP), autrement connu comme des bons d'alimentation, a dépassé 45 millions pour 48 mois consécutifs, selon les données publiées par le Department of Agriculture (USDA).
En avril 2015, le mois dernier, dont les données sont disponibles, il y avait 45,438,832 bénéficiaires du programme de coupons alimentaires.
Tout d'abord, le nombre de bénéficiaires des coupons alimentaires a dépassé 45 millions en mai 2011. Depuis lors, le nombre a constamment dépassé 45 millions, atteignant un niveau record d'environ 47,800,000 en décembre 2012.
C'est certaine reprise que nous avons eu.
Nous sommes allés d'avoir un peu plus 25 millions bénéficiaires de bons d'alimentation avant le crash de 2007/2008, à presque 48 millions quelques années plus tard. Maintenant, 5 ans après la fin supposée de la « grande récession », nous avons à peine fait une brèche dans ce nombre.
Un autre effondrement économique devrait arriver, pauvres de l'Amérique vont obtenir martelé. Ils s'embarquent à peine soit-il. Presque deux-tiers des américains vivent un chèque de salaire, un nombre qui comprend beaucoup plus élevée des salariés. Pouvez-vous imaginer ce que c'est comme pour les 15 % ou plus des américains qui ont besoin d'aide du gouvernement pour survivre ?
Un jour du jugement approche à grands pas, non seulement pour les américains, mais pour un monde qui nage dans la dette et dérivés. Quand ce jour viendra, à peu près tout le monde va être pris à une cheville. La seule question est, ce qui arrive aux gens qui ont les chevilles plus de démissionner ?
http://www.thedailysheeple.com/food-stamp-recipients-exceed-45-million-for-four-years_072015
Un transporteur de contenants en plastique qui s'apparentent à des boîtes funéraires a été filmé en Floride au cours des derniers jours
RépondreSupprimerlundi 13 juillet 2015
Le format King size!
- voir clip sur site:
http://conscience-du-peuple.blogspot.fr/2015/07/un-transporteur-de-contenants-en.html
SupprimerJe confirme que ce sont bien des cercueils familiaux (pour 4 ou 6 personnes !) avec piles de couvercles.
TAFTA , TISA, TTIP : « des accords politiques visant à supprimer le modèle démocratique »
RépondreSupprimerThomas Kaiser
Horizons et débats
mar., 14 juil. 2015 06:31 UTC
Le 26 juin dernier, par un vote, le Sénat a investi le président américain Barack Obama d'un mandat lui permettant de conclure des accords commerciaux internationaux sans consultation ni débat préalables des parlements. Par cet acte, le Sénat et le Congrès se sont privés eux-mêmes, de leurs pouvoirs. Dans le contexte des accords internationaux, il s'agit surtout de ces soi-disant accords de libre échange TTIP (Transatlantic Trade and Investment Partnership) et TPP (Trans-Pacific Partnership) ayant des conséquences graves pour la souveraineté des États adhérents à ces accords. Dans l'interview qui suit, Alfred de Zayas, spécialiste renommé de droit international, en présente toute la complexité du point de vue du droit international.
Horizons et débats : Les accords de libre-échange tels que le TTP, le TTIP ou le TiSA (Trade in Services Agreement), quel impact ont-ils sur la coexistence des peuples, notamment sous les aspects du droit international ?
Alfred de Zayas : Il y a une «certaine mythologie du marché». Le prix Nobel d'économie, Joseph Stieglitz, l'appelle « fondamentalisme du marché », un culte autour du marché. C'est presque une affaire de religion où les hommes jurent que le libre échange engendre le bien et le progrès et le développement de l'humanité entière. Jusqu'à présent, personne n'a livré des preuves empiriques et définitives de cela, car il y a bien sûr des exemples de progrès, mais aussi de revers, de crises financières et de chômage. A part cela, on ne peut pas mesurer « le progrès » uniquement par l'argent, mais aussi par le bonheur, la paix et la justice sociale. L'idée de ces accords de commerce et d'investissement est née à l'époque de l'après-guerre froide. La plupart de ces accords bilatéraux d'investissement (BIT), environ 3200, ont été accueillis avec beaucoup d'enthousiasme car les États les trouvaient prometteurs. Pourtant, ils n'ont pas remarqué que, dans ces accords, plusieurs chevaux de Troie fussent cachés.
Comment peut-on comprendre cela ?
Entre temps, on s'est rendu compte que la plupart de ces accords contiennent des conventions d'arbitrage très particulières, créant un nouvel ordre mondial qui ne sera ni démocratique ni transparent et sans recours. Certaines mesures, telles que la réduction des droits de douane sont utiles et pertinentes, mais les droits de douane sont déjà à un niveau très bas.
Il s'agit donc de quelque chose de beaucoup plus important que de « quelques accords de libre-échange » ?
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Il s'agit de la géopolitique et du pouvoir. C'est un coup des entreprises transnationales, qui ont souvent plus d'argent et plus de pouvoir que quelques États. Quant aux TPP, TTIP ou TiSA, il ne s'agit pas seulement de refuser ces accords. Il faut réformer entièrement le système qui a été établi ces derniers trente ans, et ceci de fond en comble. Les accords, c'est une chose, l'autre, c'est la perte de l'État de droit démocratique qui va de pair.
RépondreSupprimerQu'est-ce que cela veut dire concrètement ?
Etat de droit veut dire transparence et responsabilité qui présupposent un débat ouvert. Là, on a négocié des accords à huis clos en excluant les syndicats, les spécialistes en matière de droit de l'homme, d'écologie, et de santé : ils n'étaient pas admis aux négociations de l'accord. Et pour éviter tout débat au parlement, le TPP devait passer le parlement par « fasttracking » [procédure accélérée] comme un fait accompli. Il n'y a pas de procédé plus antidémocratique. Cette semaine justement, le Sénat des États-Unis a adopté le « fasttracking ». La loi n'a que passé le Congrès et entrera en vigueur au moment où le Président Obama l'aura signée. Ce n'est qu'un acte formel, car il voudrait conclure ces accords de libre-échange le plus vite possible. La loi porte nom de « Trade Promotion Authority ».
Quelles sont les conséquences de cette loi ?
Au Parlement, elle interdit toute discussion et tout vote sur la détermination du contenu de ces accords. Les motions individuelles sont interdites, il n'y aura qu'un vote « pour » ou « contre ». Ainsi, toute la procédure démocratique sera éliminée. Lorsqu'un parlement « s'émascule » lui-même, c'est un acte totalitaire et une violation de l'article 25 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
Le processus démocratique est mis hors jeu pour donner la priorité à l'économie ?
Pas à l'économie, mais aux entreprises transnationales, à l'industrie pharmaceutique, aux géants du pétrole ou de l'énergie nucléaire. Au fond, ce ne sont pas des accords de libre-échange mais des accords politiques dans l'intention de supprimer la souveraineté des États en la remplaçant par les dictats des corporations.
Comment faut-il comprendre cela ?
Les grands groupes internationaux ont entamé une certaine révolution contre la conception de l'État de la Paix de Westphalie. L'idée comprend le détournement de l'État de droit, laissant de côté la juridiction nationale pour laquelle le monde travaille depuis 200 ans, pour établir la sécurité juridique et pour développer des institutions capables de combattre les violations du droit. L'établissement prévu des tribunaux d'arbitrage dans ces accords, empêchera tout cela et contournera finalement notre système démocratique.
Comment faut-il imaginer ces tribunaux d'arbitrage ?
En premier, ils sont secrets. Dans ce système, il n'y a ni transparence ni la possibilité de demander des comptes aux « juges ». Les multinationales ont établi une juridiction à part, sans aucune légitimation démocratique et qui exclut le principe de l'État westphalien.
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C'est à dire qu'avec ces accords, on abolit l'État national souverain avec son ordre juridique.
RépondreSupprimerOui, il y a deux ontologies qu'il faut prendre en considération. L'ontologie de l'État définit la raison d'existence de l'État. L'État, c'est une société organisée, se légitimant elle-même par le fait que c'est l'État qui, pour protéger les intérêts du peuple, défend la législation. La deuxième ontologie est celle du marché, du business, des affaires. Quand je fais des investissements, quand je suis homme d'affaires, quand je travaille pour une société transatlantique, j'attends des profits. Pour cela, je suis prêt à courir des risques. L'ontologie du capitalisme est de courir des risques. Par ce « investor state dispute settlement » mécanisme [règlement des différends entre les investisseurs et l'État], ces nouveaux tribunaux d'arbitrage, qui, au fond, ne sont pas de vrais tribunaux, mais des tribunaux d'arbitrage privés, les investisseurs veulent supprimer leur risque, ils veulent une garantie de profit. Donc on veut créer un système anti-ontologique et complètement corrompu.
Comment ces tribunaux fonctionnent-ils ?
Les juges sont en général avocats des grandes multinationales. Comme je connais le métier, je sais très bien de quoi je parle. Ces avocats de Wall-Street et ailleurs, encaissant 1000 dollars l'heure, conseillent les multinationales et les États. C'est une excellente affaire. Aujourd'hui, ils sont arbitres, demain conseillers et après-demain PDG d'une multinationale. Il faut l'imaginer, c'est un système corrompu de fond en comble. Mais ils l'ont établi comme cheval de Troie. Dans les années 90, on n'arrivait pas à imaginer qu'une telle chose soit possible.
Par où faut-il commencer ?
Le système d'arbitrage secret va entièrement à l'encontre des bonnes mœurs. Le terme de « contra bonos mores » est le terme du droit international désignant des traités ou des contrats qui vont à l'encontre du bonum commune, donc à l'encontre du bien commun, de l'intérêt de la société. De tels traités allant « contra bonos mores » sont nuls, selon l'article 53 de la Convention de Vienne sur le droit des traités.
Qu'est-ce que cela implique pour les multiples traités ?
Dans mon rapport pour le Conseil des droits de l'homme, je propose d'examiner à la loupe tous les traités, y inclus les bilatéraux. Là, où ils vont à l'encontre du bien commun, il faut les modifier selon l'article 53 de la Convention de Vienne sur le droit des traités. C'est un procédé, qui fait partie du droit international qu'on appelle « severability », dérogation des éléments concernés. Il ne faut donc pas supprimer le traité entier. Il suffit de supprimer les articles ou les passages allant à l'encontre du bien commun sans les remplacer. C'est ancré dans le droit international.
On pourrait donc procéder contre tout traité allant à l'encontre du bien commun ? Pourquoi personne ne l'a-t-il fait jusqu'ici ?
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Parce que les victimes ne s'organisent pas alors que les multinationales sont très bien organisées.
RépondreSupprimerLes victimes, ce sont l'État concerné et sa population ?
Oui, bien sûr. Quand un État, tels l'Équateur, la Bolivie ou le Venezuela, doit payer trois milliards ou 5 milliards de compensation à une multinationale, cela veut dire que ces 5 milliards manquent à d'autres domaines afin que l'État puisse remplir ses obligations sociales. Cela veut dire que, dans tous les domaines, par exemple, celui des infrastructures, du droit de travail, de la santé et bien sûr aussi dans celui de l'enseignement et de la formation les moyens nécessaires vont manquer. C'est une situation anormale qu'on n'avait pas du tout en vue au moment de la signature de ces traités. On ne doit pas dire que les États ont accepté ou ratifié ces traités en connaissance de cause, car ils ne savaient pas qu'il y ait une juridiction contra bonum mores.
Comment comprendre cela ?
Les arbitres ont effectué et réalisé une interprétation des accords de libre commerce qui va à l'encontre de l'ordre public national et international. Cette interprétation viole les articles 31 et 32 de la Convention de Vienne sur le droit des traités. Aucun homme de bon sens ne pourrait accepter telle chose. Ils ont interprété les termes de confiscation ou d'expropriation de la façon suivante : si le profit que j'attendais est diminué par le fait que l'État augmente le salaire minimum ou renforce les mesures de protection écologique, ce qui oblige la multinationale à éviter la pollution de l'eau, les coûts de la multinationale s'élèveront et le profit diminuera. Donc une mesure étatique tout à fait normale et prévisible, ne confisquant aucunement une entreprise étrangère est donc interprétée comme confiscation car « le profit » est diminué.
Les États n'auraient-ils pas pu prévoir cela ?
Jusqu'au moment de la ratification du traité, il n'y avait pas une jurisprudence arbitrale dans ce sens. Personne ne savait qu'on allait interpréter comme expropriation l'augmentation du salaire minimum ou le renforcement de la législation de la protection de l'environnement par l'État. Quand un État, comme le montre l'exemple de l'Allemagne, veut sortir de l'énergie nucléaire, ce sont des décisions devant être prises démocratiquement au sein d'un État. Mais cela diminue le profit des entreprises. Cette diminution du profit est déclarée comme expropriation et comme telle une violation de l'obligation de cet État envers la multinationale. C'est l'État qui doit payer donc la réduction du profit attendue à la multinationale.
Connaissez-vous des exemples concrets ?
En ce moment, c'est Vattenfall, ce grand groupe énergétique suédois, qui tente de se faire indemniser par l'Allemagne de 4 milliards à cause de sa sortie de l'énergie nucléaire. Veolia, une entreprise française de service public, spécialisée en alimentation en eau des communes, est en train de procéder contre l'Égypte pour avoir augmenté le salaire minimum.
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C'est absurde. Qu'est-ce qu'on peut faire ?
RépondreSupprimerJ'ai deux préoccupations principales. Il faut reconnaître que c'est la Charte de l'ONU qui sert de référence acceptée internationale. La Charte de l'ONU garantie la souveraineté de l'État. Au fait, l'ONU a été construite sur le principe de la souveraineté des États. La possibilité de l'État de décider du taux et de l'emploi des impôts est un devoir ontologique et essentiel de l'État. Tout cela est stipulé dans les articles 1 et 2 de la Charte de l'ONU. Les articles 55 et 56 stipulent les droits de l'homme. Lorsqu'un traité viole ces articles ou lorsqu'il est incompatible avec ceux-ci, c'est la Charte qui est prioritaire. En anglais, on dit « it trumps » [cela emporte sur] tous les autres traités. Dans l'article 103 de la Charte de l'ONU est écrit qu'en cas de conflit entre la Charte de l'ONU et un autre traité, c'est la Charte de l'ONU qui doit être appliquée et non pas le traité. Cela doit être consigné par voie de justice nationale et internationale, voir par la Cour internationale de justice, par la Cour européenne des droits de l'homme, par la Cour interaméricaine des droits de l'homme etc.
Qu'est-ce que cela veut dire concrètement pour ces traités illicites allant à l'encontre des bonnes mœurs et de la bonne foi, du principe démocratique et avec cela du bien commun ainsi que des droits de l'homme ?
C'est au sein de la Cour internationale de justice qu'il faut trouver la solution. Les États membres de l'Assemblée générale doivent exiger, auprès de la Cour internationale de justice de La Haye, une expertise reconnaissant cela et disant aux États qu'ils n'ont pas le droit de ratifier des traités allant à l'encontre de la Charte de l'ONU. Tous ces accords commerciaux bilatéraux, tels le TTP, TTIP, TISA etc. ainsi que les 3200 accords bilatéraux déjà existants doivent être modifiées, c'est-à-dire supprimés ou bien ces parties allant à l'encontre de la Charte doivent être supprimées (principe de la « severability »). Mais tout cela, il faut l'initier. La Cour internationale de justice n'est active que motu proprio, elle n'intente pas de procès de sa propre initiative. Quelqu'un d'autre doit prendre l'initiative et intenter un procès auprès de la Cour internationale de justice.
Qui est-ce qui pourrait le faire ?
L'assemblée générale de l'ONU selon l'article 96 de la Charte, mais pas seulement elle. Il y a d'autres organisations ayant exactement le même droit telle l'Organisation internationale du travail (OIT), l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF), l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et d'autres. Tous ceux qui sont déjà capables d'en reconnaître les conséquences néfastes. Les conséquences de ces accords violent le droit du travail, le droit à la santé, le droit à la protection de l'environnement, le droit à la vie, car très souvent, ces grands projets qui ont pour conséquence que les gens perdent tout, sont poussés au suicide ou meurent de faim, sont effectués par des sociétés internationales. Dans mon rapport au Conseil des droits de l'homme, j'ai présenté tout cela et exigé qu'un débat soit lancé sur ce sujet.
Monsieur le professeur, nous vous remercions de cet entretien.
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Charte des Nations Unies
RépondreSupprimerArt. 55
En vue de créer les conditions de stabilité et de bien-être nécessaires pour assurer entre les nations des relations pacifiques et amicales fondées sur le respect du principe de l'égalité des droits des peuples et de leur droit à disposer d'eux-mêmes, les Nations Unies favoriseront :
a. le relèvement des niveaux de vie, le plein emploi et des conditions de progrès et de développement dans l'ordre économique et social;
b. la solution des problèmes internationaux dans les domaines économique, social, de la santé publique et autres problèmes connexes, et la coopération internationale dans les domaines de la culture intellectuelle et de l'éducation;
c. le respect universel et effectif des droits de l'homme et des libertés fondamentales pour tous, sans distinction de race, de sexe, de langue ou de religion.
Art. 56
Les Membres s'engagent, en vue d'atteindre les buts énoncés à l'Article 55, à agir, tant conjointement que séparément, en coopération avec l'Organisation.
[...]
Art. 103
En cas de conflit entre les obligations des Membres des Nations Unies en vertu de la présente Charte et leurs obligations en vertu de tout autre accord international, les premières prévaudront.
Convention de Vienne sur le droit des traités
Art. 53
Traités en conflit avec une norme impérative du droit international général (jus cogens)
Est nul tout traité qui, au moment de sa conclusion, est en conflit avec une norme impérative du droit international général. Aux fins de la présente Convention, une norme impérative du droit international général est une norme acceptée et reconnue par la communauté internationale des Etats dans son ensemble en tant que norme à laquelle aucune dérogation n'est permise et qui ne peut être modifiée que par une nouvelle norme du droit international général ayant le même caractère.
http://fr.sott.net/article/26000-TAFTA-TISA-TTIP-des-accords-politiques-visant-a-supprimer-le-modele-democratique
Espagne : ces hommes qui volent le soleil
RépondreSupprimerDon Quijones
Wolfstreet
mar., 14 juil. 2015 06:09 UTC
Traduit par bluetonga, relu par jj et Diane pour le Saker Francophone
S'il y a une chose que nous devrions retenir de ce long combat acharné contre la crise, c'est qu'il n'y a aucune limite à ce que nos gouvernement élus sont prêts à entreprendre pour protéger les intérêts et privilèges des oligarques et de leurs oligopoles. En Espagne, le gouvernement s'apprête même à s'approprier les rayons du soleil pour protéger la ploutocratie énergétique du pays.
Aujourd'hui, le gouvernement espagnol envisage de taxer les foyers qui produisent leur propre électricité à partir de l'énergie solaire et qui en stockent une partie dans des batteries solaires. Selon El País :
Un projet de décret préparé par le ministère de l'Industrie, de l'Énergie et du Tourisme instaure une nouvelle redevance pour décourager l'utilisation de batteries solaires ou d'autres systèmes de stockage par les personnes qui produisent de l'électricité au moyen de panneaux solaires ou photovoltaïques, et qui sont connectés au réseau national d'énergie.
Ce dernier décret royal suit à la trace le précédent, rendu public en 2013, qui imposait une taxe réservée uniquement à ceux qui produisaient leur propre électricité. Lorsqu'elle sera passée en texte de loi, les intrépides producteurs d'énergie amateurs seront obligés de payer une redevance d'assistance pour l'énergie produite par leurs panneaux solaire, en sus de la redevance d'accès payée par tous ceux qui consomment de l'électricité à partir du réseau conventionnel.
Pire encore, afin de savoir qui produit quelle quantité d'énergie (et bien entendu, de quel montant les taxer), tous les panneaux solaires devront être reliés au réseau. Les producteurs d'énergie qui ne se connectent pas au réseau pourraient se voir réclamer jusqu'à 30 millions d'euros d'amende (oui, sept zéros !). Comme le signale Forbes, l'intention est claire : intimider les contribuables pour les forcer à se connecter au réseau, de manière à pouvoir les taxer.
La taxe rendra non viable la production d'énergie par les résidents : ce sera moins cher de continuer à acheter l'énergie aux fournisseurs traditionnels. Et c'est précisément ça le but.
Pour ce qui est du dernier décret en date, son objectif est de dissuader les ménages et les entreprises de stocker de l'énergie en surplus. Selon les nouvelles règles, les consommateurs ne pourront pas utiliser des batteries Powerwall de Tesla et seront également pénalisés s'ils utilisent les systèmes de stockage incorporés dans les panneaux solaires de dernière génération.
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Résultat : pratiquement toute forme d'énergie auto-produite deviendra non rentable. Seuls les consommateurs totalement déconnectés du réseau, possédant leurs propres systèmes de production d'énergie complètement indépendants, pourront utiliser des batteries sans être automatiquement pénalisés. Mais même cette option est irréalisable, parce que les appareils modernes de stockage ont généralement une autonomie de plus ou moins deux heures, ce qui les empêche en pratique d'être auto-suffisantes.
RépondreSupprimerUn bouche-trou
Tout ceci est nécessaire, affirme le gouvernement, afin de combler un déficit tarifaire cumulé de 26 milliards d'euros - soit l'écart entre les coûts de production d'énergie et ce que le consommateur de base paie pour l'électricité.
Selon la version des faits fournie par le gouvernement, la cause à l'origine de ce déficit est le vaste surplus d'énergie généré pendant l'âge d'or de la production d'énergie solaire en Espagne, auquel le gouvernement de Rajoy a brutalement mis fin en retirant les subventions et en imposant ce qu'on a appelé la Taxe du Soleil. Il fut un temps où l'Espagne générait tellement d'énergie solaire, grâce en grande partie aux généreux subsides de l'État et à la chute des prix, que la capacité de production excédait la demande de 60%.
Selon d'autres sources, la motivation principale du gouvernement à taxer les petits récolteurs de lumière solaire espagnols était de choyer les oligopoles espagnols de l'énergie - Gas Natural, Endesa (détenu aujourd'hui par le géant italien de l'énergie Enel), Red Electrica de España, Union Fenosa, Iberdrola et Repsol - et de les préserver de la menace posée par une compétition loyale.
Le secteur de l'énergie en Espagne constitue une force lobbyiste considérable. Au cours des dernières décennies, ces six compagnies ont procuré des postes lucratifs de conseillers à des douzaines d'anciens hommes politiques influents (voir cette présentation) , parmi lesquels deux anciens premiers ministres, Felipe Gonzalez (Gas Natural) et José María Aznar (Endesa), l'actuel ministre de l'Économie Luis de Guindos (Endesa), l'ancien secrétaire d'État à l'Économie Guillermo de la Dehesa (Union Fenosa) et l'ancien vice-président du gouvernement Narcís Serra I Serra (Gas Natural).
La véritable menace
Donc les géants de l'énergie espagnols finissent toujours par obtenir ce qu'ils désirent. Avec le prix des panneaux solaires diminuant d'environ 80% chaque année et de plus en plus de ménages et d'entreprises investissant dans la perspective séduisante de l'indépendance énergétique, il fallait réagir. Si de plus en plus de gens continuaient à produire leur propre énergie, ce n'était qu'une question de temps avant que cette tendance atteigne un point critique.
Le problème n'était pas tant le type d'énergie produite - l'Espagne se targue déjà de posséder la plus grosse centrale d'énergie solaire au monde, et est le quatrième plus gros producteur d'énergie solaire - mais plutôt qui la produisait. En fait il s'agit principalement du contrôle et du maintien d'un modèle commercial oligopolistique, largement centralisé. Aussi longtemps que des compagnies comme Endesa, Iberdrola et Gas Natural continueront à contrôler chaque point d'entrée et de sortie le long du circuit énergétique espagnol, leur domination ne sera pas contestée et les consommateurs d'énergie resteront les otages de leurs caprices, parmi lesquels bien sûr les hausses de prix. L'Espagne est pour l'instant au quatrième rang des pays d'Europe où l'électricité est la plus chère.
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Tandis que d'innombrables petites entreprises et ménages, leurrés par les promesses d'indépendance et de viabilité énergétique de l'ancien gouvernement, se retrouvent maintenant avec des investissements qui ont perdu l'essentiel de leur intérêt, l'Espagne se repose de plus en plus pour ses besoins énergétiques sur l'Algérie, d'où provient plus de 50% de son gaz naturel - pas vraiment la source la plus sûre dans le contexte géopolitique actuel.
RépondreSupprimerMais pour le gouvernement de Rajoy et les indéracinables oligopoles qu'il chouchoute, traiter avec des consommateurs affranchis dans le contexte d'un marché en mutation rapide constitue un risque beaucoup plus grave que de faire affaire avec un régime situé dans une des régions les plus instables de la planète.
Notes :
Les gouvernements espagnols entretiennent une relation particulière avec les grandes sociétés commerciales. Et le marché avec Goldman était l'exemple-type de cadeau intéressé. Mais cela pourrait bien basculer. Lire... Est-ce que Goldman va perdre un tentacule ?
http://fr.sott.net/article/25999-Espagne-ces-hommes-qui-volent-le-soleil
Personnellement, je ne suis pas contre le taxage de ces merdes noires que l'on voit sur les toits des villes et des villages (alors que jusque là il était demandé un respect de l'environnement avec des toits en tuiles plates ou rondes ou des ardoises suivant les régions) et qui défigurent les paysages autant que les éoliennes, mais, je suis contre l'atteinte aux libertés. De quoi se mèlent ces gros cons ?! Vont ils empêcher demain à celui qui habite près d'un ruisseau et qui implante une roue à aube de faire de l'électricité ?
SupprimerComme quoi la dictature anti-républicaine se renforce tous les jours à travers le monde !
La dette grecque/PIB : 336 % d'ici 2025
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 14/07/2015 13:30-0400
En 2012, lorsque les IMF prévision qui, par la dette grecque 2022 deviendrait durable (moins de 120 %) nous avons ri et se mit à rire, puis se mit à rire encore plus (voir : la tragi-comédie burlesque de la dette/PIB grec de « Durable » "dénominateur du novembre 2012)
Trois ans plus tard, le FMI lui-même non seulement admis ses prévisions initiales de la « Viabilité » de la dette grecque ont été total garbage (d'où notre série d'humour trimestrielle présentant les dernières et meilleures projections de IMF sur la croissance mondiale), dont le plus drôle était sa prévision de la croissance grecque 2016 du PIB le plus élevé dans la zone euro ensemble...
- voir graphique sur site -
... mais le FMI lui-même, sous la pression de Washington, est devenu le plus grand défenseur de l'annulation de la dette, mais pas sa propre dette : celui de la BCE fera l'affaire.
Malheureusement, ces institutions financières mondiales mener leurs expériences monétaires, mais il est des gens ordinaires qui sont utilisés comme des porcs de Guniea, dans ce cas précis, le peuple de la Grèce, dont le sort une fois qu'ils votent dans le troisième et dernier plan de sauvetage (il ne sera pas nécessairement une quatrième) sera un monde de misère absolue.
Et pour montrer juste comment absolu dit misère sera, que nous présentons une analyse de cette couche sur ce qui nous a dit il y a plusieurs jours, lorsque nous avons calculé tout d'abord que le plan de sauvetage grec nouvelle dette/PIB post #3 s'élèvera rapidement à 200 %, quelque chose le FMI a approuvé plus tôt aujourd'hui.
Mais il ne s'arrêtera pas ici, et comme l'analyse suivante de que Michael Lebowitz 720 Global montre, juste, fondée sur le taux de croissance négatif et positif taux d'intérêt, endettement/PIB grec gardera augmente indéfiniment et seront probablement frappé 336 % dans environ une dizaine d'années, au cours de laquelle point de Grèce, à toutes fins utiles, cessera d'exister.
Présentation :
"Le calcul Simple derrière la Grèce de compliquent la Situation"
« La vie est vraiment simple, mais nous insistons sur ce qui en fait compliqué. » - Confucius
Le rasoir d'Occam est un principe souvent cité qui stipule que lorsqu'on est confronté à une multitude de possibilités apparemment complexes, la méthode plus simple ou l'explication est meilleure. Comme la BCE et la Grèce se battre sur les termes d'un autre plan de sauvetage, nous employons ce principe pour aider à mieux appréhender la situation de la Grèce.
(suite en dessous:)
Le ratio dette/PIB est une des mesures plus fondamentaux et populaires utilisés pour déterminer la capacité ultime d'une nation souveraine au service de la dette. Considérons un pays qui a une dette au PIB de 100 % et un budget équilibré (à l'exclusion des paiements d'intérêts). Dans ce pays, on peut dire que le taux d'intérêt sur sa dette et le taux de croissance de son PIB doit être égal pour le ratio de rester inchangée. Dans cet exemple, un taux d'intérêt de 2 % avec un taux de croissance de PIB de 1 % se traduirait par une augmentation de 100 % à 101 % de la dette au PIB. Que le ratio dépasse les 100 %, le taux d'intérêt doit être inférieur à la croissance du PIB ou le ratio continuera d'augmenter. Une dette au PIB de 150 %, un taux d'intérêt de 2 % exigerait un taux de croissance de 3 % pour rester stable à 150 %.
RépondreSupprimerLa Grèce a une dette au PIB de 170 %, et selon les termes actuels de renflouement, il passera probablement à bien plus de 200 %. Donc appliquer la logique par dessus, le taux de croissance du PIB de la Grèce avant le renflouement actuel devait être 1,70 fois plus élevé que le taux d'intérêt de que la Grèce paie sa dette juste pour garder sa constante de ratio. Voici quelques-uns des faits qui nous permettra de porter des jugements sur la capacité de la Grèce d'améliorer ou de maintenir au moins leur dette au PIB :
Depuis 1970 Grèce les meilleure taux de croissance annualisé 5 ans était de + 1.50 % avec une moyenne de +. 46 %. Au cours des 10 dernières années, la croissance a atteint en moyenne-0.50 %.
Depuis 1997, le plus bas 5 ans taux d'intérêt moyen de la Grèce sur les obligations à 10 ans a été 3,41 % avec une moyenne de 7.50 %. Au cours des 10 dernières années la moyenne annuelle de 10 ans, taux d'intérêt était 8,16 %
À l'aide actuelle ratio dette de la Grèce-PIB tels que résumés ci-dessus, nous présentons un cas de meilleures prévisions et une prévision probable de la dette au PIB au cours des dix années qui ont suivi. Pour le meilleur des cas, nous avons supposé plus haut taux de croissance PIB 1 an de la Grèce (+ 2,74 %) et le plus bas taux d'intérêt (3,58 %). Le cas probable utilise des taux de croissance du PIB de la Grèce moyenne 1 an (+ 0.45 %) et des taux d'intérêt moyen (7,55 %).
Dans ces deux exemples, nous faisons l'hypothèse très audacieuse que la Grèce s'exécutera un budget équilibré, à l'exclusion des frais d'intérêt. Les résultats, reportée ci-dessous, ne sont pas encourageants.
- voir graphique sur site -
Obligations grecques sont sont ralliés fortement sur l'espoir qu'un plan de sauvetage évitera la Grèce par défaut. Nous croyons que les termes actuels simplement retard l'inévitable. Dans les scénarios ci-dessus, nous avons été très généreux avec l'hypothèse que la Grèce s'exécutera un budget équilibré. Considérer que depuis 1990, la Grèce a atteint en moyenne un déficit de budget total égal à 8,17 % du PIB et n'a jamais exécuté un surplus remontant à 1990 au moins. Un des objectifs de la présente ronde de négociations sont les réformes structurelles afin d'aider la Grèce inverser sa troublante de la dette au PIB. Des réformes sont indispensables si la Grèce doit jamais devenir économiquement viable.
(suite en dessous:)
Cela dit, les réformes sont largement impopulaires, prenez le temps d'adopter et de prendre encore plus de temps pour afficher les résultats. Nous croyons que par défaut, ou le terme politiquement correct « remise de la dette », est le résultat le plus probable. Lorsqu'il est combiné avec des réformes, la valeur par défaut est la seule option qui laisse la Grèce avec une lutte contre la chance d'éviter d'être dans la même situation quelques années d'ici. Les CDS et les marchés obligataires sont probables une réaction exagérée aujourd'hui comme ils le faisaient avec les plans de sauvetage préalables de 2011 et 2012.
RépondreSupprimerhttp://www.zerohedge.com/news/2015-07-14/greek-2025-debtgdp-336
Steen Jakobsen: 'Les politiciens n'ont jamais été aussi éloignés de leurs électeurs au sujet de l'UE'
RépondreSupprimerpar Audrey Duperron
14 juil. 2015
L’accord conclu avec la Grèce par les dirigeants européens lundi est un nouveau chef-d'œuvre de «pretend and extend» (‘faire semblant et continuer à faire de même’), écrit Steen Jakobsen, économiste en chef de Saxo Bank, dans un email à notre rédaction. Mais on peut tout de même en tirer 2 choses:
1. Un «Grexit» ne se produira que si les Grecs en prennent l’initiative. Les politiciens ont imposé des conditions si dures que la Grèce est quasiment obligée d’en faire l’impasse. L'accord est une copie du protocole d'accord de 2012, y compris le plan de privatisations 2011/2014 qui a échoué deux fois entretemps.
2. Le «pretend and extend » est plus important que l'avenir de l'Europe, mais aussi que la politique nationale. Les Pays-Bas et la Finlande sont venus à Bruxelles sans être politiquement habilités à donner plus d'argent pour les Grecs. En Hollande, le Premier ministre Mark Rutte avait fait des promesses à ses électeurs; en Finlande, la majorité parlementaire s’oppose à une aide à la Grèce. Cependant, les deux pays ont « botté en touche ».
Jakobsen pense que ces politiciens payeront cher ces décisions lorsqu’ils auront à les faire ratifier par leur parlement respectif à la Haye et Helsinki. De même, les politiciens de Slovaquie, des les Pays baltes et de l'Allemagne seront confrontées aux mêmes difficultés.
«Personnellement, je crois que beaucoup de politiciens espèrent secrètement que la Grèce ne parvienne pas à franchir les étapes suivantes, et qu’elle leur épargne les manifestations que l’octroi d’encore plus de dette à une nation qui est en faillite depuis plus de cinq ans ne manquera pas de provoquer dans leur pays »
Pour Jakobsen, le Premier ministre grec Alexis Tsipras n’est pas non plus ressorti gagnant de cet accord :
« Tsipras a complètement capitulé. Il n'a rien obtenu, et pire, même, il a obtenu encore moins que ce qu'il n’avait. Un désastre total pour lui-même et la Grèce ».
Pour la Grèce, une réelle solution aurait dû se baser sur deux impératifs :
1. Une annulation d’une partie de la dette grecque ;
2. Une volonté réelle de changer et de créer son propre avenir.
« C’est ici que se trouve le plus grand écart de responsabilité dans l'histoire de l'UE. Personne ne veut réellement négocier, avec comme résultat, cinq années de « pretend and extend ». Les politiciens n’ont jamais été aussi éloignés de leurs électeurs au sujet de l’UE (…) Une nouvelle année perdue pour l'Europe.
(suite en dessous:)
Une nouvelle fois, je dois citer Churchill: +Si vous traversez l’enfer, continuez de marcher + ».
RépondreSupprimerhttp://www.express.be/business/fr/economy/steen-jakobsen-les-politiciens-nont-jamais-ete-aussi-loigns-de-leurs-lecteurs-au-sujet-de-lue/214573.htm
Cela se traduit par la désaffection des bureaux de vote lors d'élections ! Et, comme les non votants sont désormais les plus nombreux, parlent-ils de rendre le vote... obligatoire ! De sorte que comme il y a déjà des machines-à-voter où les citoyens doivent appuyer sur tel ou tel bouton (entre un con et un con lequel choisir ?!), il y aura donc 100% des voix exprimées !
SupprimerC'est ce qui se passe dans tous les pays où règne la dictature.
Après la Grèce, un danger encore plus important menace aux portes de l'Europe
RépondreSupprimerpar Audrey Duperron
14 juil. 2015
Les politiciens et les législateurs ne peuvent se concentrer que sur un problème à la fois. Mais avec toute l’attention concentrée sur la Grèce au cours du dernier mois, il y a un réel danger qu’un problème encore plus important soit en train de se développer sans qu’on le remarque en Ukraine »,
écrit Nick Butler du Financial Times.
Il affirme qu’un nouvel effondrement du pays pourrait provoquer un exode massif, à côté duquel le problème des migrants qui traversent la Méditerranée semblerait totalement « insignifiant ».
Depuis les manifestations de Maidan en novembre 2013, l’économie ukrainienne s’est contractée de 5% en 2014, et pour cette année, on s’attend à une nouvelle réduction comprise entre 5 et 10% du PIB.
Les grands projets d'investissement dans le secteur de l'énergie, impulsés par Shell et Chevron, notamment dans le domaine de l’extraction du gaz de schiste, ont été suspendus. Les combats qui se sont déroulés à l’Est du pays ont entravé les livraisons des 300 mines de la région du Donbass, tandis que l’annexion de la Crimée par la Russie a suspendu celles de gaz en provenance de la Mer Noire.
Du coup, la dépendance de l’Ukraine à l’égard des importations de charbon en provenance de l’Afrique du Sud, de l’Australie, ainsi que d’autres parties de l’Europe (y compris de la Russie…), s’est accrue. Or, ces importations sont onéreuses, et les fournisseurs exigent des paiements comptants en devises.
Bien entendu, ces nouvelles contraintes n’arrangent rien du point de vue de l’endettement du pays, et de la précarité de sa situation financière. Le mois dernier, le ministère ukrainien des Finances, Natalie Jaresko, a alerté de la possibilité d’un défaut du pays si ses créanciers n’acceptaient pas de procéder à une restructuration en sa faveur. Dans cette hypothèse, il y a fort à parier que le pays ne serait plus guère en position de pouvoir emprunter de l’argent.
Mais les risques ne se limitent pas au départ des investisseurs internationaux. La chute de l'Ukraine pourrait pousser des milliers d'Ukrainiens à traverser les frontières poreuses avec la Pologne, pour se rendre en Roumanie, en Hongrie et en Slovaquie.
« Quand on voit que l’Europe ne sait pas comment s’y prendre avec l’afflux limité de personnes en provenance de la Méditerrannée, on peut imaginer la panique et le chaos qui suivraient un exode de l’Ukraine », écrit Butler.
L'Ukraine est un Etat en faillite avec une population de 45 millions d’habitants situé à moins de 560 km de Budapest et à 400 km de Varsovie, synthétise-t-il en conclusion.
http://www.express.be/joker/fr/platdujour/apres-la-grce-un-danger-encore-plus-important-menace-aux-portes-de-leurope/214566.htm
La liberté ou l'abattoir ? L'État policier américain de A à Z
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 14/07/2015 22:30-0400
Soumis par John Whitehead, par l'intermédiaire de l'Institut Rutherford,
« Qui a besoin d'une répression directe quand il peut convaincre le poulet se promener librement dans l'abattoir ? » — Le philosophe Slavoj Žižek
Malgré les efforts de certains pour sonner l'alarme, la nation est verrouillée dans une version militarisée, mécanisée, hypersensible, légaliste, bien-pensante, pas de l'OIE antithèse de tous les principes sur lesquels cette nation a été fondée.
Pendant tout ce temps, que les citoyens de la nation semblent contenus d'acheter dans une vision soigneusement construite et bienveillante de la vie en Amérique qui ne ressemble guère à la réalité graveleuse, douleur gravées qui sévit dans ces malheureux assez ne pas appartenir à l'élite raréfiée.
Pour ceux dont les esprits ont été court-circuités en leur faisant croire la propagande enrobées colportée par les politiciens, voici un A-Z, amorce dos-à-la-l'essentiel de ce que la vie dans les États-Unis d'Amérique est vraiment tout au sujet.
A est pour l'État policier américain. Comme j'ai remarquer dans mon livre Amérique du champ de bataille : la guerre contre le peuple américain, un État policier « se caractérise par la bureaucratie, secret, guerres perpétuelles, une nation de suspects, la militarisation, surveillance, présence policière généralisée et une citoyenneté avec peu de recours contre les actions de police. »
B est pour notre Charte battues. Dans la culture de la Conférence des parties qui est de l'Amérique aujourd'hui, où vous pouvez être expulsé, poinçonnés, électrocuté, abattu, intimidés, harcelés, dépouillé, fouillé, brutalisé, terrorisé, injustement arrêté et même tué par un policier et cet officier est rarement tenu responsable pour avoir enfreint vos droits, la Charte ne s'élèvent à beaucoup.
C est pour CIVIL ASSET FORFEITURE. Le dernier régime gouvernemental de priver les américains de leurs libertés — à savoir, le droit de propriété — est effectué sous le couvert de confiscation civile, une pratique de gouvernement dans laquelle des agents du gouvernement (généralement la police) saisissent les biens privés ils "suspect" peuvent être raccordés à une activité criminelle. Puis, si aucun crime est avéré en fait ont eu lieu, le gouvernement maintient propriété du citoyen.
(suite en dessous:)
D est pour DRONES. On estime qu'au moins 30 000 drones seront aéroportés dans l'espace aérien américain d'ici à 2020, partie d'une industrie de $ 80 milliards. Bien que certains drones seront utilisés à des fins de bienfaisance, beaucoup seront également équipés lasers, des tasers et des dispositifs de balayage, parmi les autres armes.
RépondreSupprimerE est pour le CAMP de CONCENTRATION électronique. Dans le camp de concentration électronique, comme je l'ai surnommé l'état de surveillance, tous les aspects de la vie d'une personne soient surveillées par des agents du gouvernement et tous les citoyens sont suspects, leurs activités surveillées et réglementé, suivis de leurs mouvements, leurs communications épiées et leurs vies, des libertés et la poursuite du bonheur dépend de la permission du gouvernement.
F est pour les centres de la FUSION. Centres de la fusion, organismes de collecte de données répartis dans tout le pays et avec l'aide de la National Security Agency, servent comme un pôle d'informations partagées entre l'Etat, agences locales et fédérales. Ces centres de fusion surveillent constamment nos communications, tout, de nos recherches sur internet web et activité de SMS, appels téléphoniques et courriels. Ces données sont alors alimentées aux organismes gouvernementaux, qui sont maintenant reliés entre eux : la CIA, le FBI, le FBI à la police locale.
G est pour lance-grenades. Le gouvernement fédéral a distribué plus de $ 18 milliards une valeur adaptée à champ de bataille d'armes de guerre, véhicules et équipements tels que les drones, réservoirs et lance-grenades aux services de police nationaux à travers le pays. En conséquence, petite ville la plupart des forces de police ont maintenant assez puissance de feu pour rendre n'importe quel citoyen résistance futile.
H est pour balles à pointe creuse. Les efforts du gouvernement pour militariser et d'implanter des armes dans ses agences et ses employés atteint des proportions épiques, avec les agences fédérales aussi variés que le Department of Homeland Security et la Social Security Administration du stockage des millions de balles à pointe creuse létales, qui violent le droit international. Ironiquement, alors que le gouvernement continue de pousser pour des lois plus strictes d'arme à feu pour la population en général, arsenal de l'armée américaine d'armes fait arme de poing de l'américain moyen ressembler à un jouet Tinker.
j'ai est pour l'INTERNET des objets, dans lequel connecté à internet "choses" surveillera votre maison, votre santé et vos habitudes pour préserver votre garde-manger rempli, vos services publics réglementés et votre vie sous contrôle et relativement sans souci. Le mot clé ici, cependant, est contrôle. Cette « connecté » industrie propulse nous rapproche d'un avenir où des services de police a appréhender pratiquement n'importe qui, si le gouvernement "pense" qu'ils peuvent commettre un crime, des voitures sans conducteur remplir les autoroutes et la biométrie de la personne sont constamment analysés et utilisés pour suivre leurs mouvements, leur cible pour la publicité et gardez-les sous surveillance perpétuelle.
(suite en dessous:)
J est pour JAILING FOR PROFIT. Après avoir externalisé leur population carcérale des prisons privés gérés par des sociétés privées, cette forme axée sur le profit de répression massive a donné lieu à une industrie de prison privée $ 70 milliards qui s'appuie sur la complicité des gouvernements des États de conserver leurs prisons privés complet en emprisonnant un grand nombre d'américains pour des crimes insensés.
RépondreSupprimerK est pour KENTUCKY V. roi. Dans un 8-1 décision de la Cour suprême a statué que les policiers peut casser dans les foyers, sans mandat, même si c'est le mauvais accueil aussi longtemps qu'ils pensent qu'ils ont une raison de le faire. Malgré le fait que la police en question a fini par poursuivre le suspect mal, ont envahi l'appartement mal et violé à peu près tous des principes qui se dresse entre nous et un État policier, la Cour a sanctionné le raid sans mandat, laissant américains avec peu de protection réelle face à toutes sortes d'abus de droit l'application des lois.
De L est pour les lecteurs de plaques d'immatriculation, qui permettent l'application de la Loi et les agences privées pour suivre les allées et venues des véhicules et leurs occupants, partout au pays. Ces données recueillies sur des dizaines de milliers de personnes innocentes sont étant également les entreprises privées et partagées entre services de police, ainsi qu'avec les centres de fusion.
M est pour MAIN CORE. Depuis les années 1980, le gouvernement américain a acquis et entretenus, sans mandat ni ordonnance du Tribunal, une base de données des noms et informations sur américains considérées comme menaces à la nation. Rapports de Salon, cette base de données, Aurait été baptisée "Main Core," doit être utilisé par l'armée et de la FEMA en temps de crise nationale ou en vertu de la loi martiale pour localiser et arrondir les américains vus comme une menace pour la sécurité nationale. En 2008, la principale base données comptait quelques 8 millions américains.
N est pour les RAIDS de non-KNOCK. Du fait de la militarisation de du pays forces de police, équipes SWAT sont maintenant plus en plus déployés pour les questions de police ordinaire. En fait, plus de 80 000 de ces attaques paramilitaires sont réalisées chaque année. Qui se traduit par plus de 200 SWAT team raids chaque jour dans quel accident de police à travers les portes, endommager les biens privés, terroriser les adultes et les enfants, tuer des animaux familiers, d'assaut ou tirer sur quiconque qui est perçu comme une menace et le tout dans la poursuite d'une personne simplement soupçonnée d'un crime, généralement une petite quantité de médicaments.
O est pour OVERCRIMINALIZATION. Grâce à une surabondance de 4500-plus délits fédéraux et les 400 000 plus les règles et les règlements, il est estimé que l'américain moyen commet effectivement trois crimes par jour sans le savoir. À la suite de cette overcriminalization, nous constatons une légère hausse chez les américains étant arrêté et emprisonné pour cette absurde "violations" comme laisser leurs enfants jouent dans un parc sans surveillance, collecte des eaux de pluie et ruissellement sur leur propriété d'enneigement, cultiver des légumes dans leur yard et la tenue d'études bibliques dans leur salon.
(suite en dessous:)
P est pour PATHOCRACY. Quand notre propre gouvernement nous traite comme des choses pour être manipulée, manoeuvré, extrait des données, malmenées par la police, maltraitée, et puis emprisonné en axée sur le profit des prisons privées si nous osons sortir de ligne, nous ne sommes plus opérant sous une République constitutionnelle. Au lieu de cela, ce que nous vivons est un pathocracy: tyrannie aux mains d'un gouvernement de psychopathe, qui "opère contre les intérêts de son propre peuple, à l'exception de favoriser certains groupes".
RépondreSupprimerQ est qualifié immunité. L'immunité qualifiée permet aux agents de repartir sans payer un sou pour leurs méfaits. Idéalement, ceux décidant si un agent de police doit être soustrait à devoir payer personnellement pour mauvaise conduite au travail tous les appartiennent au même système, tous les copains avec un intérêt dans la protection de la police et leur fameux code du silence : Procureurs de la ville et le comté, les commissaires de police, les mairies et les juges.
R est pour les fouilles à nu bord de la route et le sang attire. Les tribunaux ont a commis une erreur de plus en plus sur le côté donnant des fonctionnaires — en particulier la police —vaste pouvoir discrétionnaire en effectuant des fouilles à nu, tirages de sang et même anales sondes pour un large éventail de violations, quel que soit l'infraction comment légère. Dans le passé, les fouilles à nu ont eu recours à seulement dans des circonstances exceptionnelles où les policiers étaient convaincus qu'un crime grave était en cours. Ces dernières années, cependant, les fouilles à nu sont devenues des procédures d'exploitation courantes dans lequel tout le monde est rendu suspect et, à ce titre, est soumis à un traitement réservé aux seules les plus graves des criminels.
S appartient à l'état de SURVEILLANCE. Tous les jours, l'américain moyen, vaquant à ses occupations quotidiennes est surveillée, surveillé, épié et suivi de plus de 20 différentes manières, par le gouvernement et des yeux et oreilles. Un sous-produit de cette nouvelle ère dans laquelle nous vivons, si vous êtes à pied par un magasin, au volant de votre voiture, contrôle électronique, ou de parler à des amis et la famille au téléphone, vous pouvez être sûr que un organisme gouvernemental, si la NSA ou une autre entité, est l'écoute et votre comportement de suivi. Ce n'est pas encore commencent à se toucher sur les trackers corporatifs qui surveillent vos achats, navigation web, messages Facebook et autres activités qui se placent dans la sphère de cyber.
T est pour TASERS. Armes non létales telles que les pistolets paralysants, pistolets paralysants, granulés de caoutchouc, ont abouti à la police en les utilisant comme armes de conformité plus souvent et avec moins de retenue, même contre les femmes et les enfants — et parfois même causer la mort. Ces armes « non létales » permettent également aux policiers d'agresser avec la simple pression d'un bouton, faire le potentiel d'affrontements exagérées sur les incidents mineurs qui beaucoup plus probable. Un Taser Shockwave, par exemple, peut électrocuter une foule de gens à la simple pression d'un bouton.
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U est pour le coup des citoyens non armés par la POLICE. C'est n'est plus rare d'entendre parler des incidents dans laquelle la police tirer sur des individus non armés d'abord et poser des questions plus tard, souvent attribuées à une crainte pour leur sécurité. Pourtant, taux de létalité de patrouilleurs de service est aurait été beaucoup plus faible que beaucoup d'autres professions, y compris la construction, exploitation forestière, pêche, conduite de camion et même collection de poubelles.
RépondreSupprimerV comme dans les escadrons de VIPR. Les inspections de sécurité dite « cible molle », menées par itinérant VIPR task forces, composé du federal air marshals, inspecteurs de sécurité de transport de surface, agents de sécurité de transport, agents de détection de comportement et équipes canines de détection d'explosifs, se déroulent chaque fois qu'et partout où le gouvernement jugera à propos, au hasard temps et lieux et sans avoir besoin de la justification d'une menace particulière.
W est pour les SCANNERS du corps entier. Dispositifs de balayage sont utilisés non seulement à « voir » à travers vos vêtements à l'aide de rayons x ou les ondes radio, mais les unités mobiles de gouvernement peuvent conduire par votre maison et vous espionner dans l'intimité de votre maison. Alors que ces scanners mobiles sont vendus au public américain comme la sécurité nécessaire et les mesures de sécurité, nous pouvons mal d'oublier que ces systèmes soient multiplient avec le risque d'abus, non seulement par les bureaucrates du gouvernement, mais par les techniciens employés à les exploiter.
X est de X-KEYSCORE. Un des nombreux programmes espions mené par la National Security Agency (NSA) qui cible toute personne aux Etats-Unis qui utilise un ordinateur ou un téléphone. Ce programme Top-secret "permet aux analystes de Rechercher avec aucune autorisation préalable par le biais de vastes bases de données contenant des courriels, de conversations en ligne et les historiques de navigation de millions d'individus."
Y est pour vous-NESS. À l'aide de votre visage, les manies, les médias sociaux et les « vous-ness » contre vous, vous pouvez maintenant être suivie selon ce que vous achetez, où vous allez, ce que vous faites en public, et comment vous faites ce que vous faites. Logiciel de reconnaissance faciale s'engage à créer une société dans laquelle chaque individu qui étapes en public est suivi et enregistré comme ils vont à leurs occupations quotidiennes. L'objectif est pour les agents du gouvernement être en mesure d'analyser une foule de gens identifier instantanément toutes les personnes présentes. Programmes de reconnaissance du visage sont mis en place dans tout le pays, les États.
(suite en dessous:)
Z est pour la tolérance zéro. Nous avons emménagé dans un nouveau paradigme dans lequel les jeunes sont plus en plus considérés comme suspects et traités comme des criminels par les responsables de l'école et l'application des lois semblables, souvent pour se livrer à guère plus que le comportement enfantin. Dans certaines juridictions, étudiants ont aussi été pénalisés en vertu de la politique de tolérance zéro l'école pour des « crimes » ineptes comme transportant des pastilles contre la toux, vêtu de rouge à lèvres noir, apportant coupe-ongles à l'école, à l'aide de Listerine ou portée et transportant des peignes dépliante qui ressemblent à des couteaux à ouverture automatique.
RépondreSupprimerComme vous pouvez le voir, les signes avant-coureurs sont tout autour de nous. La question est de savoir si vous organiser, prendre position et se battre pour la liberté, ou vous, comme tant d'américains désemparés, librement marchera dans l'abattoir ?
http://www.zerohedge.com/news/2015-07-14/freedom-or-slaughterhouse-american-police-state-z
La Californie est pour obtenir un soulagement à la sécheresse : El Niño à la rescousse
RépondreSupprimerSoumis par George Washington le 14/07/2015 16:27-0400
La Californie se trouve enfin à obtenir un certain soulagement de la sécheresse...
Plus précisément, les prévisionnistes disent un fort El Niño se dirige vers notre chemin.
Chances de gagner donne temps :
La National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) a déclaré il y a maintenant une chance de 90 % qu'El Niño durera tout l'hiver et une chance de 80 %, qu'il durera au printemps 2016.
Comme le fait le Los Angeles Times :
Les scientifiques dire la probabilité qu'un important phénomène El Niño se passera, c'est plus de 90 %, et certains modèles indiquent il n'y a presque 100 % de chances , il sera fort cet automne.
El Niño augmente les précipitations en Californie.
Les prévisionnistes disent que cela pourrait être le plus fort El Niño en 50 ans. USA Today note:
Il y a plus de preuves phénomène dEl Niño pourrait voir une encore plus forte en Californie cet hiver que le 1997 qui ont provoqué des inondations massives dans le nord de la Californie.
En effet, ça pourrait être si grand qu'il définit « un nouveau record».
Cependant, même un hiver très humide ne sera probablement pas suffisant pour effacer la sécheresse de la Californie. Scientific American rapports:
« La Californie aurait probablement besoin de vivre son année la plus humide sur dossier (avec une marge assez large) pour effacer les déficits en cours en une seule année, » Swain a écrit sur son blog. « S'il n'est pas physiquement impossible, ce serait un très grand ordre, en effet. »
Wired fournit des chiffres :
L'État aurait il faut environ 150 % de ses précipitations normales pour reconstituer ses réservoirs (la situation de l'eau souterraine est un peu plus compliquée).
Voir ce et ce pour des histoires liées.
Remarque : Wired et Accuweather font remarquer que d'autres facteurs qui pourraient encore dérailler un hiver humide.
http://www.zerohedge.com/news/2015-07-14/california-get-relief-drought-el-ni%C3%B1o-rescue
(...) L'État aurait il faut environ 150 % de ses précipitations normales pour reconstituer ses réservoirs (la situation de l'eau souterraine est un peu plus compliquée). (...)
SupprimerOuyi, effectivement, 'la situation de l'eau souterraine est un peu plus compliquée' ! car, voyez-vous, si les nappes vont déjà avoir de grandes difficultés pour se remplir en l'absence de chemin (bouchés par les fracturation à répétition pour tenter d'extraire du gaz de shiste), même si l'eau qui tombe est propre, celle des nappes l'est moins ! Car l'eau des nappes phréatique est désormais empoisonnée ad vitam eternam par les produits chimique introduits/dilués lors de la fracturation !
Seule consolation l'eau des lac, mais là encore, en l'absence de galeries souterraines...
De plus, d'attendre jusqu'à l'automne... cela se traduira par forcément des milliers d'arbres morts.
Helm Jade 15 : Ce que vous devez savoir sur Super-foret de 7-État Pentagone
RépondreSupprimer14 juillet 2015 18:10
Les appels de l'armée américaine Jade 15 Helm, qui commence mercredi, un exercice « de routine », mais les Texans sont formant des milices pour empêcher ce qu'ils redoutent, c'est une imposition de la loi martiale et même Chuck Norris est a peur. RT trie la vérité des mythes.
Ce qu'est Jade Helm 15 ?
En cours d'exécution pendant huit semaines entre le 15 juillet et le 15 septembre Jade Helm 15 uniront leurs sceaux, bérets verts et autres forces spéciales pour une série d'exercices de guerre non conventionnelle – avec les analystes militaires spéculer il simule des opérations contre l'Etat islamique (IS, anciennement ISIS/ISIL) au Moyen Orient, ou même allégué la participation de la Russie en Ukraine orientale.
« Cet exercice est une formation systématique à maintenir un haut niveau de disponibilité pour les Forces d'opérations spéciales armée parce qu'ils doivent être prêts à soutenir les missions potentielles partout dans le monde à tout moment » a expliqué Le lieutenant-colonel Mark Lastoria, un porte-parole de nous Army Special Operations (USASOC).
Pourquoi est il menée en dehors des plages de formation armée ?
- voir rapport original sur site -
Selon les États-Unis armée les documents, les exercices doivent placer soldats "dehors les mécanismes de soutien normal" et de les forcer à "s'adapter aux conditions sociales et économiques de terrain inconnu" et une « occasion de travailler avec des civils à gagner leur confiance et la compréhension des questions. »
Il n'est pas le plus important jamais percer sur le sol américain, mais il est rare
La presse a largement rapporté que la perceuse qui englobe sept Etats (Texas, Arizona, Nouveau-Mexique, Utah, Mississippi, Louisiane et Floride) et 1 200 hommes est le plus grand tel exercice jamais entrepris à l'intérieur des frontières des États-Unis.
Ce n'est pas correct – par exemple les $ 250 millions Millennium Challenge 2002 impliqués 13 000 troupes partout aux États-Unis. En dehors du continent américain, il y a des exercices militaires impliquant autant que des centaines de milliers de soldats, comme les exercices annuels avec la Corée du Sud.
- voir carte USA sur site -
Opérations spéciales américaines Armée fait admettre cela "tandis que des exercices d'entraînement multi-état comme ce ne sont pas uniques à l'armée, la taille et la portée de Jade Helm celui-ci distingue." Il explique que « le relief diversifié dans ces États multiples réplique zones Qu'opérations spéciales soldats régulièrement se retrouvent en outre-mer. »
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Aucun média ne pourra
RépondreSupprimerMalgré la réception de plusieurs applications de grands magasins américains tels que le Washington Post pour suivre les jeux de guerre, le Pentagone a repoussé toutes les demandes, disant : il serait impossible de suivre les commandos rapides opérations en zone urbaine vie réelle et pourrait aussi exposer les officiers qui seront plus tard effectuer des missions classées dans le monde entier.
Le commandement des opérations spéciales de l'armée a dit qu'il peut laisser plusieurs journalistes suivent un segment d'un exercice s'il est commode à un certain moment au cours de ces exercices.
"Nous nous engageons à communiquer avec le public, tout en tenant compte que contre l'application de la sécurité des opérations et d'autres facteurs" , a indiqué un communiqué de Lastoria.
Texans ne sont pas heureux
Ancien marine Pete Lanteri a formé 'Counter Jade heaume', un groupe de bénévoles qui surveillera les soldats qu'ils opèrent dans le Texas, avec des organisations similaires surgissent dans d'autres États impliqués dans les jeux de guerre.
Centaines dans l'opération de Surveillance « Counter Jade heaume » Texas organiser http://t.co/wY5hmioNEN pic.twitter.com/SnbacijPql
— Le mensonge massif (@MassDeception1) 13 juillet 2015
« Si un membre de l'équipe voit deux Humvees pleins de soldats traversant la ville, ils vont suivre » Eric Johnston, un des organisateurs a dit le Houston Chronicle ce mois-ci. "Et ils vont radio retour leur emplacement final."
"Nous allons regarder ce qu'ils font dans le public," a déclaré Lanteri. "Évidemment sur une base militaire ils peuvent faire ce qu'ils veulent. "Mais si ils vont s'entraîner sur des terrains publics nous avons le droit comme des citoyens américains à regarder ce qu'ils font."
N'est ni leur gouverneur
Gouverneur républicain du Texas Greg Abbott a accusé de la Texas State garde, un traditionnel numéros 1 900 et ne peut pas être enrôlés dans l'armée fédérale en temps de guerre, d'observer les actions des unités des forces spéciales.
« Il est important que les Texans connaissent leur sécurité, droits constitutionnels, les droits de propriété privée et des libertés civiles ne pas être contrefaites » Abbott a écrit dans ses instructions publiques au commandant de la garde. "En surveillant l'opération sur une base continue, la garde de l'Etat facilitera les communications entre mon bureau et les commandants de l'opération pour s'assurer que des mesures adéquates sont en place pour protéger les Texans".
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N'a pas Chuck Norris
RépondreSupprimerL'acteur renommé hardman et activiste républicain NRA Chuck Norris aussi pataugé dans le débat dans sa chronique sur le site WND conservateur.
"Texans concernés et les Américains sont en aucune façon remettre en cause nos braves et courageux hommes et femmes en uniforme. Ils sont simplement les ordres. Ce qui est en question sont ceux qui tirent les ficelles en haut de Jade Helm 15 Retour à Washington. Le gouvernement américain dit, « C'est juste un exercice d'entraînement. » Mais je ne sais pas le terme "juste" a toute référence à la réalité quand le gouvernement l'utilise," a écrit le 75 ans.
Quand on les interroge ce qu'il était insinuant, Norris backpedalled loin des revendications plus radicales
"J'ai jamais dit que cette opération militaire de sept États américains destiné à succéder au Texas. Je crois, en plus de l'entraînement militaire interne plus importante, c'est aussi une démonstration de puissance (près de la frontière sud) destiné à la dissuasion des ennemis comme ISIS et autres terroristes, qui ont dit aussi le FBI sont présents dans chacun des 50 États,"a déclaré m. Norris dans une autre colonne WND.
Les théories du complot ont proliféré
- voir carte USA sur site -
Même si Chuck ne livrer à des explications plus fou pour les exercices des forces spéciales américaines, ceux qui se sont intensifiés de façon alarmante puisque l'opération a été annoncée en mars, grâce à une certaine brin d'iconoclasme Texas, ressentiment de Barack Obama et les démocrates de l'ultra-conservateurs et le mégaphone d'internet.
Helm Jade n'est pas un exercice militaire ! Savoir c'est pouvoir ! Faites-vous confiance à ce gouvernement ? Mensonges sont devenus leur vérité ! pic.twitter.com/oZDZGoiGlF
— Susan Gaeta (@GaetaSusan) 8 juillet 2015
Le premier présage était un secret – mais en réalité non classifié – document montrant le Texas comme territoire "hostile" lors de l'opération, aux côtés de l'Utah. Il n'est pas inhabituel pour les différentes zones de jeux de guerre à être désigné comme territoires amicale et hostile, a expliqué le Pentagone.
Mais en vain – la théorie du complot avait lift off. Au cours des derniers mois, les auditoires ont été traités aux soupçons que fermés magasins Wal-Mart va être réaffecté comme bases souterraines reliées par des tunnels, réfrigérateurs précédemment utilisés pour le transport de la crème glacée seront déployés pour le transport de cadavres, et Texans seront forcés d'endurer la loi martiale, ou même regroupés dans des camps de concentration.
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- voir clip sur site -
RépondreSupprimerMême Counter Jade Helm a perdu sa patience, contraint de supprimer la rants fruitier hors de sa page Facebook.
Wake Up, Sheeple ! L'exercice militaire qui a conduit au Texas Insane est enfin là : http://t.co/DYj7d3icNB #p2 pic.twitter.com/0JFGinUJ2t
— R.Saddler (@Politics_PR) 13 juillet 2015
« Il y a beaucoup de gens là-bas qui sont placer sur leurs chapeaux de papier d'aluminium et attendre la fin du monde à venir » Eric Johnston a dit le gardien. "Je ne souscris pas à cette théorie".
Jon Stewart a hébergé dans
Dans une diatribe de neuf minutes lors d'un spectacle Daily Show qui a jeté dans le Texas de toutes parts, hôte libéral Jon Stewart n'ont pas manqué l'occasion de prendre des photos faciles à ceux peur du Texas étant occupé par les troupes fédérales.
" Vous savez qui il appelle une « prise de contrôle de Texas » ? Lone star fous. Dallas d ** ks, Houston un ** trous, « , a déclaré Stewart. "Il n'y a aucune reprise de Texas. Le gouvernement des États-Unis contrôle déjà Texas... simplement emprunter un manuel d'un État voisin — c'est tout là-dedans. "
"Opération Jade Helm ne pose aucune menace pour les libertés civiles de n'importe quel américain," Colonel de l'armée Steve Warren, un porte-parole du Pentagone, a déclaré aux médias en mai. "Opération Jade Helm est menée par les américains-par, précisément, de forces spéciales américaines du personnel."
"Tous les militaires prêtent un serment pour soutenir et défendre la Constitution des États-Unis, et nous avons mis nos vies sur la ligne tous les jours pour faire respecter ce serment," a affirmé Lastoria. « Si des gens pour trouver des idées irrationnelles et tenter de les associer avec les États-Unis militaires, pour cela nos troupes un mauvais service. »
http://rt.com/usa/273436-jade-helm-drill-explained/
Droits de la vie privée du groupe réclame de « contrôle démocratique » des espions UK
RépondreSupprimer14 juillet 2015 19:33
UK Privacy International (PI) des libertés civiles a critiqué un rapport controversé sur la surveillance de l'État, en appelant à la meilleure surveillance réglementaire pour les agences d'espionnage peuvent être tenus responsables.
Le groupe de droits de la vie privée a exigé des réformes après qu'un rapport parrainé par l'état d'espionnage a été publié lundi.
Menée par le groupe de réflexion politique étrangère le Royal United Services Institute (RUSI), l'étude s'intitulait 'A démocratique licence d'exploitation. ' Il faisait partie du Revue de Surveillance indépendante plus large de la Grande-Bretagne.
PI est d'accord avec certaines des conclusions du RUSI, mais a insisté pour que la surveillance de masse soutenus par le gouvernement demeure une préoccupation profonde.
La vie privée, droits de groupe a averti que le cadre juridique de la Grande-Bretagne de surveillance de l'État s'appuie sur UK espion base GCHQ à signaler des erreurs. Elle a demandé un "mieux défavorisés, plus techniquement équipé d'organisme de surveillance" avec le pouvoir de prendre «GCHQ à tâche."
Il a en outre demandé " racine et la direction générale de la réforme "pour mettre les espions et les organismes qu'ils travaillent pour" sous contrôle démocratique. " "
«Rapport le RUSI, du début à la fin, met l'accent sur les changements techniques a rendu le système juridique actuel régissant la surveillance obsolète,"directeur adjoint PI Eric King dit RT mardi.
"Chaque jour, le GCHQ hautement technique trouve nouvelles façons d'écouter, tandis que notre contrôle tente de faire face aux techniques aveuglements," dit-il.
Cette surveillance contre le débat sur la vie privée les droits a longtemps infiltré la politique britannique, alors que les militants continuent de critiquer les pratiques snooping envahissantes du GCHQ.
Malgré les fuites litigieux par informaticien ex-NSA et "Whistleblower" Edward Snowden, rapport de RUSI a affirmé il y a «ne prouve que le gouvernement britannique agit sciemment illégalement dans l'interception des communications privées."
Il a ajouté qu'il n'y a aucune preuve que UK fouineurs de collecter des données en vrac comme moyen de peering perpétuellement dans la vie privée des résidents britanniques.
Étude de RUSI fait une série de recommandations sur comment la surveillance de l'État se fasse dans l'avenir, disant que le cadre juridique actuel d'interception des communications n'est pas clair.
Le think tank ajoute ce cadre juridique »n'a pas suivi le rythme des développements dans la technologie des communications et ne dessert pas le gouvernement ou le public satisfaisant.
Le think tank appelle à "un cadre juridique plus claire, nouveau et exhaustif" de réglementer la surveillance de l'État.
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Lors d'une conférence de renseignement confidentiel qui s'est tenue à Ditchley Park, dans l'Oxfordshire, en juin, les vues d'un certain nombre de responsables du renseignement de haut rang se sont révélés.
RépondreSupprimerJournaliste d'investigation Duncan Campbell, qui a assisté à la Conférence, a déclaré sur son site Internet que Snowden avait transformé le paysage de l'intelligence globale.
«Peut-être à la surprise de beaucoup de participants, on s'accordait à travers de larges fossés d'opinion que Snowden – aimer ou haïr – avait changé le paysage,» dit-il.
Selon Campbell, un certain nombre de hauts fonctionnaires a estimé cette Maj "vers plus de transparence, ou du moins « translucidité'" était attendue depuis longtemps et profondément nécessaire.
http://rt.com/uk/273562-surveillance-report-gchq-rusi/
Défilé du 14 juillet: Hollande hué une fois de plus
RépondreSupprimer17:49 14.07.2015
Le président français, François Hollande, a encore été hué mardi sur les Champs-Elysées lors du défilé militaire à Paris.
Les autorités françaises avaient pourtant procédé à des interpellations préventives mardi matin pour circonscrire les opposants. Toutefois, le président Hollande a été accueilli par des sifflets et des cris "Démission !".
Le 13 juin dernier, le président Hollande s'est fait copieusement siffler dans la Sarthe alors qu'il sortait d'un stand avant le départ des 24 Heures du Mans.
Un rassemblement hétéroclite, le Mouvement du 14 juillet, a diffusé pendant plusieurs mois des vidéos et des messages sur internet appelant à tenir une série de manifestations le 14 juillet, notamment place de la Concorde, en vue de "remplacer les politiciens actuels" par un nouveau gouvernement.
Selon l'Agence Info Libre, quelque 500 sympathisants de ce mouvement se sont effectivement rassemblés mardi non loin de l'Assemblée nationale. Ils ont sifflé les troupes françaises et chanté la Marseillaise. Plusieurs centaines de personnes portant des pancartes "Vos armes vos guerres on en veut pas" et "Démocratie maintenant" ont défilé dans les rues de Paris. A Beaubourg, les CRS ont utilisé des gaz lacrymogènes.
- voir et entendre clip sur site:
http://fr.sputniknews.com/france/20150714/1017015214.html
Le Zimbabwe souhaite utiliser le RMB comme l'une de ses monnaies
RépondreSupprimerJournaliste de personnel
2015-07-15
12:32 (GMT + 17)
Le 8 juillet, Zimbabwe vice-premier ministre Emmerson Mnangagwa a appelé le vice-président chinois Li Yuanchao et exprimé l'espoir que le yuan chinois peut servir de monnaie légale de son pays de l'Afrique.
Un officiel parlant sous couvert d'anonymat a déclaré à China Business News que le Zimbabwe a longtemps maintenu de bonnes relations avec la Chine. En fait, au cours d'un sommet Asie-Afrique à Jakarta, en Indonésie, en avril, le Président chinois Xi Jinping qui s'est tenue une réunion séparée avec le Président zimbabwéen Robert Mugabe.
En raison des multiples révolutions, modifications aux règlements gouvernementaux et des bouleversements sociaux dans le pays d'Afrique australe, il a connu début d'inflation grave en 2009 et une durée de neuf ans. En 2009, le dollar zimbabwéen a perdu sa fonction comme une monnaie de circulation. Actuellement, quatre cinquièmes des transactions en espèces sont effectués en dollars américains. Produits dans les supermarchés sont aussi des prix en dollars américains.
L'inflation a atteint son apogée en 2008, quand le taux d'inflation officiel en juillet de cette année était aussi haut que 2 200 000 %, établissant un record du monde. Le gouvernement zimbabwéen a ensuite calculé les revenus fiscaux et les frais de gouvernement en dollars américains et annulé le dollar zimbabwéen.
Zimbabwe a annoncé au début de 2009, un système de circulation de devises multiples permettant la circulation du dollar américain, le rand sud-africain et le Botswana de pula, dans le but de contrôler les prix à la consommation et de récupérer l'économie du pays.
Taux d'inflation du pays a chuté de 3,7 % en 2010, et les analystes attribue cette situation à la mise en œuvre du système devises multiples.
En janvier 2014, Zimbabwe a annoncé qu'il voulait ajouter le chinois yuan, l'euro, l'yen japonais et le rupiah indonésien dans son système de devises multiples.
Actuellement, le Zimbabwe est toujours en discussion avec les pays associés sur la circulation monétaire, y compris la Chine, c'est pourquoi Mnangagwa a abordé avec l'yuan chinois comme monnaie légale de la nation.
Il espère que l'yuan pourrait devenir l'une des monnaies ouvertement distribués dans l'espoir d'accélérer le processus de négociation. Un homme d'affaires chinois au Zimbabwe a déclaré China Business News que le pays utilise principalement le dollar américain comme devise de règlement.
La pratique dite du yuan ne signifie pas l'utiliser pour les transactions en espèces, mais plutôt du dépôt de dollars dans les comptes pour règlement du yuan.
http://www.wantchinatimes.com/news-subclass-cnt.aspx?id=20150715000067&cid=1201
Le « Deal de la dette grecque » commence déjà à Fall Apart
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
le 14 juillet 2015
Le « deal qui était voué à l'échec » a déjà commencé à démêler. Le FMI, qui devait fournir une grande partie du financement, a indiqué qu'il peut éloigner le deal à moins que la Grèce bénéficie d'allégement de la dette vaste. C'est quelque chose que les allemands et leurs alliés ont résolument refusé de faire. Pendant ce temps, l'indignation est coulée à partir de toute l'Europe au sujet de ce que le gouvernement grec se voit contrainte de le faire à leur propre peuple. La plupart de cette colère est dirigée sur les allemands, mais la vérité est que sans l'argent allemand le système bancaire grec et l'économie grecque vont complètement et totalement s'effondrer. Donc même si le premier ministre grec Alex Tsipras admet que c'est une affaire qu'il ne croit pas, il tente de le faire poussé à travers le Parlement grec, et nous devrions savoir mercredi si il a réussi ou non. Mais même si le Parlement grec approuve, nous pourrions encore voir l'allemand ou les parlements finlandais le rejeter. Il semble que personne n'est vraiment satisfait de cet accord, et ces négociations ont exposés très profondes divisions au sein de l'Europe. Est-ce que cela pourrait être le début de la fin de la zone euro ?
Les Allemands semblent croire qu'ils peuvent pousser les Grecs hors de la zone euro et que tout ira bien en quelque sorte. C'est quelque chose que j'ai écrit au sujet longuement hier, et il s'avère que beaucoup d'autres éminents voix d'accord avec moi. Par exemple, il suffit de considérer ce que Paul Krugman du New York Times a dit à ce sujet. Je suis un peu étonné qu'il a finalement obtenu quelque chose est bon...
Supposons que vous considérez Tsipras un koulou incompétent. Supposons que vous voulez très cher voir Syriza déchargée. Supposons que, même, que vous accueillez la perspective de pousser ces ennuyeux grecs hors de l'euro.
Même si tout cela est vrai, cet Eurogroupe liste de revendications est de la folie. Le hashtag tendance ThisIsACoup est tout à fait exact. Cela va au-delà de rudes en pure vengeance, terminer la destruction de la souveraineté nationale et aucun espoir de soulagement. Il est, vraisemblablement, destiné à être une offre en que Grèce ne peut pas accepter; mais malgré cela, c'est une trahison grotesque de tout le projet européen était censé pour reposer.
La Grèce cherche désespérément à rester dans l'euro, et ils veulent désespérément argent du reste de l'Europe de continuer à proposer. À ce stade, elles s'entendront sur n'importe quoi empêcher d'avoir démarré hors de la monnaie unique. C'est pourquoi les allemands et leurs alliés devaient faire l'affaire si horrible. Ils ont tenté de trouver un moyen de rendre les choses si dure sur les Grecs qui ils choisiraient enfin à s'éloigner.
Et dans une certaine mesure, il semble fonctionner. Même certains membres du Syriza déclarent publiquement qu'ils vont voter contre ce paquet. Ce qui suit provient de La Washington Post...
Ministre de l'énergie grec Panagiotis Lafazanis, qui dirige une faction gauchiste ligne dure au sein de la Syriza, a déclaré mardi que les créanciers du pays avaient «agi comme extorqueurs sang-froid et assassins économiques. »
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Pourtant, il a but indirect à Tsipras, appelant sur le premier ministre grec à s'inverser et déchirer l'accord, qu'il décrit comme une violation des idéaux du parti.
RépondreSupprimerMême si Tsipras pouvez transmettre l'affaire au Parlement, comme il est prévu de faire, Lafazanis a juré que le peuple grec serait "Annuler par le biais de son unité et de la lutte".
À l'heure actuelle, le vote on dirait que ça pourrait être assez proche. Même si le premier ministre grec Alex Tsipras a admis publiquement que c'est une affaire queje ne crois pas en"", il est vraiment pousser dur pour obtenir les voix dont il a besoin. En fait, selon l'agence Reuters qu'il a été activement tendre la main aux partis de l'opposition pour garantir des votes...
Tsipras ayant défoncé au large d'une débâcle financière, a jusqu'à mercredi soir à adopter des mesures plus sévères que ceux rejetés dans un référendum il y a jours. Avec jusqu'à 30-40 extrémistes dans ses propres rangs, prévus à la mutinerie, Tsipras aura probablement besoin de l'appui des partis de l'opposition pro-européenne de rassembler les 151 voix, qu'il a besoin d'adopter la loi au Parlement.
Mais même si cet accord s'obtient par le Parlement, on peut fortement douter que la Grèce sera effectivement en mesure de faire ce qui est actuellement exigé d'eux. Par exemple, les 50 milliards d'euro "fonds de privatisation" semble être quelque chose d'une chimère...
Agence de privatisation Taiped a éteint à tendres actifs ayant une valeur nominale de 7,7 milliards d'euros depuis 2011, mais a encaissé en seulement un peu plus de 3 milliards euros, selon les chiffres de 2014.
Le 26 juin même le Fonds monétaire International (FMI), un des créanciers de la Grèce, soulevé les sourcils à l'idée de ratisser dans beaucoup d'argent de privatisations.
Il a souligné que la vente des actifs bancaires publics devait pour soulever des dizaines de milliards d'euros, mais il était « hautement improbable que ces recettes seront concrétiseront » étant donné le niveau élevé de prêts improductifs dans le système bancaire.
Il dit que réaliste seulement 500 millions d'euros de recettes étaient susceptibles de se concrétiser chaque année — à quel rythme il faudrait 100 ans pour atteindre l'objectif de 50 milliards d'euros.
Pour l'instant, cependant, supposons que que le Parlement grec s'engage à ces exigences et que par miracle le gouvernement grec peut trouver un moyen de faire tout étant requise d'entre eux.
Et pour l'instant, supposons que cet accord est approuvé par les parlements de l'allemand et le finlandais.
Même que si tout le reste va bien, cet accord peut encore être tué par le FMI...
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Le Fonds monétaire International a envoyé son signal le plus fort qu'il peut marcher loin de nouveau programme de renflouement de la Grèce, faisant valoir dans une analyse confidentielle que la dette du pays est montée en flèche et budget excédentaire ne peuvent être atteint les objectifs fixés par Athènes, rapporte le FT.
RépondreSupprimerDans le mémo de trois pages, envoyée aux autorités de l'UE à la fin de semaine et obtenue par FT, le FMI a déclaré que les récentes turbulences de l'économie grecque conduirait dette à pic à près de 200 pour cent de la production économique au cours des deux prochaines années. Au début de la crise de la zone euro, la dette d'Athènes s'élevait à 127 %.
Afin que le FMI de participer à ce plan de sauvetage grec du nouveau, le FMI doit considérer la dette grecque soit durable. Et à ce stade, cela ne semble pas être le cas...
Conformément à ses règles, le FMI n'est pas autorisé à participer à un plan de sauvetage si la dette du pays est jugée insoutenable et il n'y a aucune perspective de lui revenant aux marchés obligataires privés pour le financement. Le FMI a plié ses règles afin de participer au renflouement grec précédent, mais la note suggère qu'elle peut le faire n'est plus.
Mais les Allemands très clairement qu'il n'y n'aurait aucun plan de sauvetage à moins que le FMI a été impliqué.
Donc, ce qui satisferait le FMI ?
L'étude du FMI semble indiquer que l' allégement de la dette massive pour la Grèce serait nécessaire. Ce qui suit provient de Reuters...
L'étude, vu par Reuters, a déclaré pays européens devront donner une période de grâce de 30 ans au service de tous ses dette européenne, y compris de nouveaux prêts et une extension de la maturité dramatiquede la Grèce. Ou bien ils doivent procéder à des transferts annuels du budget grec ou acceptent des "coupes de cheveux profondément initiaux" sur des prêts existants.
Inutile de préciser que ces sortes de concessions sont anathème aux mains des Allemands. Il n'y a aucune manière que quelque chose comme ça pourrait jamais passer à travers le Parlement allemand.
Mais pour être honnête, les Allemands jamais destiné à cet accord réussir quand même. Il suffit de considérer ce que le ministre allemand des finances Wolfgang Schäuble a déclaré aux journalistes mardi...
Le ministre allemand des finances Wolfgang Schäuble a précisé dans Bruxelles le mardi que certains membres du gouvernement Berlin pense qu'il serait plus judicieux pour Athènes à quitter la zone euro temporairement plutôt que de prendre un autre saut en parachute.
Il s'agit de quel Schauble et ses alliés ont voulu tout au long. Ce « deal » tout a été conçu avec l'intention de créer des conditions dans lesquelles la Grèce pourrait être contraint de l'euro.
Par ce temps demain, nous devrions savoir ce qui va faire le Parlement grec. Cependant, ce ne sera pas la fin de l'histoire. Une manière ou une autre, les Allemands vont obtenir leur souhait. Mais une fois qu'ils le font, je pense qu'ils seront très surpris par le chaos qui se déchaîne.
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/the-greek-debt-deal-is-already-starting-to-fall-apart
Supprimer'L'argent' prêté n'est que du vent ou de 'l'argent électrique' envoyé par ordinateur, mais, il devra être renvoyé/remboursé... en billets ! C'est pourquoi le 'FaMIne' n'avait pas intérêt à voir la Grèce quitter l'euro !
3 grandes raisons pourquoi le « Deal de la dette grecque » est vraiment un piège allemand
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
le 13 juillet 2015
La Grèce est sauvée ? Partout sur la planète, les manchettes sont hardiment proclamant qu'un "deal" a été trouvé qui donnera la Grèce l'argent dont il a besoin et maintenir dans la zone euro. Mais comme vous le verrez ci-dessous, ce n'est pas vrai du tout. Hier, quand j'ai écrit que "il allait jamais être n'importe quel accord", j'exagérais pas. Ce « deal » n'est pas repêché dans le but de "sauver la Grèce". Comme je l'ai expliqué dans mon article précédent, ces négociations étaient tout sur la mise en place de la Grèce à l'éviction de l'euro. Vous voyez, la vérité est que la Grèce cherche désespérément à rester dans l'euro, mais Allemagne (et alliés tels que la Finlande) tiens Grèce. Étant donné que l'Allemagne ne peut pas simplement ordonner de quitter l'euro, la Grèce, dont ils ont besoin d'une sorte de cadre juridique qui rendra possible, et c'est ce que propose ce nouveau « deal ». Comme je vais vous expliquer, il y a toutes sortes de conditions qui doivent être remplies et les obstacles qui doivent être franchies avant la Grèce voit jamais un seul centime. Si il y a un seul hoquet le long du chemin, et c'est ce que les allemands sont compter, Grèce sera éjectée de la zone euro. Ce « deal » a été voué à l'échec alors que les Allemands peuvent obtenir ce qu'ils ont voulu tout au long. Je pense que les trois mots très célèbres de l'Amiral Ackbar résument très bien la situation: "c'est un piège!"
Pourquoi donc ce « deal de la dette grecque » vraiment un piège allemand ?
Voici les trois grandes raisons...
#1 que le « Deal » est conçu pour être rejetée par le Parlement grec
Si Allemagne voulait vraiment sauver la Grèce, ils auraient déjà fait. Au lieu de cela, maintenant ils ont forcés premier ministre grec Alexis Tsipras de consentir à beaucoup, beaucoup plus sévères conditions d'austérité que d'électeurs grecs massivement rejetées lors du récent référendum par un vote de 61 % à 39 %. Tsipras n'est décerné que jusqu'à mercredi pour passer tout un tas de nouvelles lois et une autre semaine pour faire une autre série de changements économiques majeurs. Ce qui suit provient de CNN...
La Grèce doit passer rapidement une série de nouvelles lois. Premier ministre Alexis Tsipras a jusqu'à mercredi pour convaincre le Parlement d'adopter les premières, y compris les coupures de pension et des impôts plus élevés.
En supposant que cela arrive, les législateurs grecs ont encore une semaine, jusqu'au 22 juillet, d'adopter un autre lot de changements économiques. Agit notamment adopter des règles de l'Union européenne sur la gestion des banques en crise et faire une révision importante pour rendre les tribunaux civils de la Grèce, plus rapides et plus efficaces.
Tsipras peut réellement obtenir tous ce fait dans un tel court laps de temps ?
Les allemands sont en espérant qu'il ne peut pas. Et déjà, deux des partenaires de la coalition de la Syriza ont publiquement déclaré qu'ils n'ont pas l'intention de voter en faveur de ce "deal". Ce qui suit est un rapport de Bloomberg...
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Mécontentement brassée comme Tsipras sont arrivés dans la capitale grecque. Plate-forme de gauche, une faction au sein de la Syriza et ses partenaires de la coalition, les Grecs indépendants parti, tous deux signalé qu'ils ne seront pas en mesure de soutenir l'accord. Que seule opposition éliminerait 12 sièges de Tsipras de majorité au Parlement, obligeant à s'appuyer sur les voix d'opposition à l'emporter.
RépondreSupprimerLes termes de « deal » ne sont pas extrêmement draconiennes, parce que les Allemands veulent détruire la souveraineté grecque que beaucoup proposent. Au contraire, ils sont conçus pour provoquer une réaction négative massivement en Grèce alors que les Grecs choisira volontiers pour rejeter l'accord et donc être démarré hors de l'euro.
Et c'est ce à quoi nous assistons. Jusqu'à présent, la réponse du public grec vers ce deal a été majoritairement négatif...
Haralambos Rouliskos, un économiste de 60 ans qui était en marchant à Athènes, a décrit l'affaire comme « misère, l'humiliation et l'esclavage ».
Katerina Katsaba, un 52 ans travaillant pour une compagnie pharmaceutique, a déclaré: "je ne suis pas en faveur de cet accord. Je sais qu'ils (les créanciers de la zone euro) essaient de nous faire du chantage".
Mercredi, l'union des travailleurs du secteur public grec a même appelé un 24 heures grève pour protester contre ce « contrat »...
Travailleurs du secteur public de la Grèce est appelé sur scène une grève de 24 heures mercredi, le jour de que leur Parlement national est de voter sur les réformes nécessaires pour débloquer le plan de la zone euro bankster a accepté de par grec premier ministre Alex Tsipras.
Leur union, Adedy, a appelé à l'arrêt dans une déclaration publiée aujourd'hui, disant que c'était contre l'accord conclu avec la zone euro.
Le gouvernement grec n'est pas garanti d'argent dès maintenant.
Selon Bloomberg, le gouvernement grec doit passer toutes les lois étant imposées par l'UE « Avant la Grèce peut même entamer des négociations avec les créanciers pour accéder à un troisième plan de sauvetage international en cinq ans. »
Les allemands et leurs alliés sont effectivement en espérant qu'il y a une énorme réaction en Grèce et que Tsipras ne parvient pas à obtenir ce paquet poussé à travers le Parlement grec. Si cela arrive, Grèce obtient éjectée de l'euro, et Allemagne ne ressemble pas à la personne malintentionnée.
#2 même si le « Deal » obtient miraculeusement par le Parlement grec, il pourrait ne pas survivre les autres parlements européens
Le Parlement grec n'est pas le seul organe législatif qui doit approuver ce new deal. Les parlements allemand et finlandais (entre autres) doivent également approuver. Elle est projetée selon USA Today, que les parlements allemand et finlandais voteront probablement sur ce new deal le jeudi ou le vendredi...
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Jeudi/vendredi, juillet 16/17: parlements de la zone euro doivent également s'entendre au plan pour le plan de sauvetage de la Grèce $ 95 milliards. Les plus grands essais peuvent provenir de la Finlande et l'Allemagne, deux pays particulièrement critiques de la gestion de la Grèce de la crise. Berlin a contribué le plus aux prêts de la Grèce.
RépondreSupprimerAllemagne ou en Finlande pourrait tuer la totalité « deal » avec un seul « non ».
Le ministre des finances finlandais Alexander Stubb a déjà déclaré que la Finlande "ne peut s'entendre" avec un nouveau plan de sauvetage pour la Grèce, et c'est très discutable si oui ou non le Parlement allemand lui donnera approbation.
Je pense que les allemands et leurs alliés préfère pour les Grecs à rejeter l'accord et à pied, mais elle peut descendre à l'un de ces parlements, tracer une ligne dans le sable.
#3 que l'affaire est extraordinairement difficile mise en œuvre
Si la Grèce ne parvient pas à la hauteur de chacun des mesures très draconiennes exigées dans le « deal », ils seront être démarrées à partir de la zone euro.
Et si vous jetez un oeil à ce qui est exigé d'eux, il est extrêmement irréaliste. Voici juste un exemple...
Par exemple, le gouvernement grec a accepté de transférer jusqu'à 50 milliards d'euros d'actifs grecs à un fonds indépendant qui va lever des fonds de privatisation.
Selon le document, 25 milliards d'euros provenant de ce fonds sera répandus dans les banques, 12,5 milliards seront utilisés pour rembourser la dette et le reste 12,5 milliards pour relancer l'économie par l'investissement.
Le fonds sera basé en Grèce et géré par les Grecs, mais avec la surveillance des autorités européennes.
Où dans le monde le gouvernement grec va trouver 50 milliards d'euros d'actifs à ce stade ? Le gouvernement grec est plat cassé et les banques sont insolvables.
Mais s'ils ne trouvent pas de 50 milliards d'euros d'actifs, ils ont violé l'accord et ils avoir démarré.
Tout cela est sur le paramétrage de Grèce pour échec alors qu'il y ait une excuse légale pour démarrez-les hors de l'euro.
Et c'est arrivé en fait presque très tôt le lundi matin. Ce qui suit provient de Business Insider...
Comme le FT raconte, la chancelière allemande Angela Merkel et le premier ministre grec Alexis Tsipras est passée de leurs chaises à 06:00 le lundi et se dirigea vers la porte, résignée à une sortie grecque de l'euro.
"Désolé, mais il n'y a aucun moyen que vous quittez cette pièce, « Président du Conseil européen aurait dit, Donald Tusk.
Et si on évitait une discute.
Pour le moment, la Grèce a censément été « sauvée ».
Mais toute personne qui croit que cette crise est « terminée » vient d'être délirant.
Les allemands et leurs alliés ont leurré avec succès le gouvernement grec dans un piège. Merci à Tsipras, ils ont été remis un cadre juridique pour se débarrasser de la Grèce.
Tout ce qu'ils doivent faire maintenant est d'attendre pour juste au bon moment au printemps le piège et il peut seulement se produire beaucoup plus tôt que beaucoup de gens peuvent penser.
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/3-big-reasons-why-the-greek-debt-deal-is-really-a-german-trap
Soutien d'ATTAC de l'Espagne pour la sortie de la Grèce
RépondreSupprimer3 juillet 2015
Dans cette déclaration, les jointures de ATTAC Espagne la vague de solidarité européenne envers le peuple grec et le gouvernement de la Syriza
Chantage et ultimatums qui lancent le FMI, la Commission européenne et la Banque centrale européenne (la « troïka ») contre la Grèce, ATTAC Espagne veut exprimer sa reconnaissance et soutenir le gouvernement légitime de la Syriza. Nous croyons que le travail difficile de négociation en cours, seul et contre les puissances financières et politiques internationales, est fidèle au mandat démocratique, qu'il a reçu dans les élections tenues le 25 janvier, et qui est venu près de gagner la majorité absolue.
Ce 5 juillet, la citoyenneté grecque sera de retour pour voter. ATTAC Espagne nous soutenons la non-acceptation de l'austericidas des conditions qui cherche à imposer la troïka et encourager la citoyenneté grecque à poursuivre sur la voie de la dignité qui a ouvert aux élections de janvier. SYRIZA est un guide pour les peuples d'Europe qui cherchent à arrêter d'être soumis à la dictature des marchés financiers.
Neo-liberal Austericidio
Comme dans les versions précédentes, ATTAC Espagne dénonce crise économique que subit le peuple grec depuis le début de la crise. Les conséquences de cette attaque a entraîné des niveaux élevés de chômage et de pauvreté, avec un secteur public démantelé. Les données macroéconomiques résultant de l'étranglement financier où la Grèce a fait l'objet de Voir la tombe dans les pays en guerre. Les politiques d'austérité n'ont pas réussi à renverser la situation, et l'énorme dette que le pays a engagé n'a pas été utile pour améliorer les conditions du peuple grec, mais pour la plupart, pour sauver les bilans des grandes banques.
De l'intérieur, ont été la réduction des politiques de l'État qui ont aggravé cette situation. Mesures, soit dit en passant, parrainés par les mêmes agents politiques et financières nécessitant maintenant l'atteinte des coupes sociales. Quelques années auparavant, l'actuel directeur de la BCE et le précédent gouvernement grec manipulé comptabilité pour tromper les deux la citoyenneté grecque quant à d'autres pays européens. Cette circonstance est à l'origine de la crise actuelle, qui paradoxalement est destinée à être résolu par les mêmes agents qui ont fait.
ATTAC, nous avons un engagement avec la démocratie et la dignité et la souveraineté des peuples. La Grèce est un cas clair de comment les pouvoirs financiers assujettis à des gouvernements démocratiques, une situation qui ne peut être renversée avec une citoyenneté habilitée et possédant des informations véridiques. À cet effet, nous croyons qu'un instrument tels que l'audit de la dette est néanmoins utile d'exposer la réalité injuste de la dette grecque et, par conséquent, afin de réfuter tous ces mensonges destinés à condamner le peuple grec à payer pour les erreurs des grandes banques.
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Manipulation des médias
RépondreSupprimerEn plus de ce média de crise crise économique ces derniers mois, dont le seul but est d'éliminer le gouvernement légitime de la Syriza. D'ATTAC Espagne nous tenons également à dénoncer cette multitude d'informations fausses et intéressées et défendre la démocratie pour un peuple qui a opté pour la dignité, au lieu de courber des pouvoirs financiers.
Ce média attaque dispose également d'autres buts non déclarés, peur de la propagation dans la société européenne pour empêcher des changements similaires dans les autres gouvernements. En particulier, ces attaques sont concentrent sur l'Espagne, où en novembre ouvre la porte pour que les gens choisissent un gouvernement qui luttera pour le peuple et non par l'enrichissement génocidaire des pouvoirs financiers.
http://www.attac.es/2015/07/03/comunicado-de-attac-espana-de-apoyo-a-grecia/
Vidéos de Gardena tir de la police des hommes non armés sont rendues publiques
RépondreSupprimerVidéos Gardena police montrent officiers tuant homme désarmé
Richard Winton, Joel Rubin
15 juillet 2015, 07:16
Deux ans depuis que des policiers de Gardena ont abattu un homme désarmé, les responsables municipaux se sont battus pour garder vidéo graphique de la mort sous le boisseau.
Les vidéos granuleuses, captées par les caméras montés dans deux voitures de patrouille, montrent trois hommes soupçonnés à tort d'avoir volé un vélo debout dans une rue sous l'éclat des lumières de police. Avec leurs armes formés sur eux, officiers crient les hommes à garder leurs mains.
Alors que deux des hommes restent immobiles, Ricardo Diaz Zeferino semble confus par les instructions des dirigeants. Il descend et lève les bras à plusieurs reprises, montrant les officiers ses mains et reculant puis vers l'avant à quelques pas. Un point laser du pistolet d'officiers peut être vu sur sa chemise. Après Diaz Zeferino supprime une casquette de baseball de sa tête, des officiers debout au côté des hommes lâchent une volée de coups de feu.
Les vidéos montrent Diaz Zeferino, 35, l'effondrement du sol, avec un de ses amis, qui a été blessé.
Les tentatives de Gardena pour empêcher le public de visualiser la fusillade ont rencontré la défaite mardi, quand un juge fédéral a ordonné la libération des enregistrements.
Dans desceller les vidéos, juge de district américain Stephen V. Wilson a déclaré le public avait un intérêt à voir les enregistrements, en particulier après que la ville a réglé un litige sur le tournage pour 4,7 millions $. Wilson a rejeté la dernière fossé efforts déployés par les avocats Gardena, qui ont fait valoir que la ville avait versé de l'argent de règlement dans la croyance que les vidéos resteraient sous scellés.
Le "argument" défendeurs se retourne ici - le fait qu'ils ont dépensé l'argent de la ville, probablement tirés des impôts, ne fait que renforcer l'intérêt du public à voir les vidéos ", a écrit Wilson. "En outre, tandis que les vidéos sont potentiellement dérangeant et inquiétant à cause des événements qu'ils représentent, ils ne sont pas trop gore ou le graphique d'une manière qui les ferait un véhicule à des fins inappropriées."
La décision du juge était une réponse à une demande du Los Angeles Times, l'Associated Press et Bloomberg, qui contestait une ordonnance de protection de couverture qui avait empêché la libération des vidéos et d'autres éléments de preuve dans le cas de la cour.
La décision de Wilson vient comme les organismes d'application de la loi à l'échelle nationale ont adopté de plus en plus l'utilisation de caméras portées par les officiers et placés dans les voitures de patrouille pour enregistrer les interactions de la police avec les civils. Mais peu d'organismes ont fait leur vidéos publique, stimuler un débat sur la nécessité d'équilibrer la vie privée de ceux qui sont capturés sur les enregistrements et la transparence en matière de police.
Après avoir commandé les vidéos à être libéré, Wilson a rejeté une demande des avocats Gardena qu'il a annulé son ordre comme ils poursuivaient un appel de sa décision. La ville a ensuite déposé une motion d'urgence avec le 9th Circuit Court of Appeals, lui demandant d'intervenir.
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Le Times, quant à lui, a reçu des copies des vidéos à partir de fonctionnaires de la cour. Après Le Times a publié les vidéos en ligne, 9ème Circuit juge Alex Kozinski a émis une ordonnance que «la police caméra de voiture séquences vidéo doit rester sous scellés jusqu'à nouvelle ordonnance de ce tribunal."
RépondreSupprimerChef de la police Gardena Ed Medrano a publié un communiqué mardi soir décrivant le tournage comme «tragique pour toutes les personnes impliquées."
"Nous avons complètement revu notre réponse et nous avons lancé une nouvelle formation, y compris l'utilisation tactique des techniques de couverture pour ralentir les événements qui se déplacent rapidement," at-il dit.
Il dit que les officiers de police Gardena seront bientôt équipés de caméras de corps et qu'il continue à s'opposer à la libération des enregistrements sur la vie privée du public.
«Nos policiers sont chargés de l'information sensible et extrêmement personnelle et nous viennent souvent en contact avec des gens dans des situations tragiques et au pire," at-il dit. "Nous nous inquiétons des conséquences de cette décision et son impact sur les victimes et les citoyens qui sont enregistrés par la police."
Le tournage a eu lieu à Gardena nuitée 2 Juin 2013, après que la police a répondu à un appel au sujet d'une bicyclette volée de l'extérieur une pharmacie CVS. Un répartiteur de la police à tort, a dit aux agents du crime était un vol, ce qui implique généralement armes ou la force.
Un sergent de répondre à l'appel vu deux hommes à bicyclette à proximité du magasin. Les hommes étaient des amis de l'homme dont le vélo avait été volé et ont aidé à la recherche de son vélo. Les prenant pour les voleurs, le sergent a arrêté les hommes, selon un mémo écrit par un procureur du bureau du procureur de district du comté de LA, qui a examiné le cas.
Diaz Zeferino, dont le frère appartenant à la bicyclette volée, a couru pour rejoindre les deux autres hommes que la police les a arrêtés.
Une vidéo de la voiture de patrouille lui montre en continuant à marcher vers ses amis, malgré un officier lui crier d'arrêter. Sur les vidéos, les agents peuvent être entendus dire à plusieurs reprises Diaz Zeferino de garder ses mains comme il bouge les bras de haut en bas.
Les trois officiers qui ont ouvert le feu - Christopher Mendez, Christopher Sanderson et Matthew Toda - étaient debout sur le côté gauche des hommes.
Diaz Zeferino a été frappé huit fois. Le deuxième homme tir, Eutiquio Acevedo Mendez, a été frappé une fois dans le dos et a récupéré de ses blessures.
Le bureau du procureur de district a refusé de déposer des accusations contre les policiers. Adjoint Dist. Atty. Rosa Alarcon a écrit dans une note à propos de la fusillade qui a la main droite de Diaz Zeferino était plus visible de l'angle des officiers et qu'il était raisonnable pour eux de croire qu'il allait atteindre pour une arme.
"Ils ont fait une fraction de seconde décision et ils ne sont pas tenus de détenir le feu afin de vérifier si Diaz [Zeferino] serait, en fait, blesser ou les tuer," at-elle écrit.
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Un avocat de la famille de Diaz Zeferino, R. Samuel Paz, dit que la vidéo fait clairement évident que l'homme était pas une menace pour les agents.
RépondreSupprimerLorsque les parents de Zeferino et les autres hommes ont déposé une poursuite fédérale contre Gardena, les avocats des hommes se sont plaints à Wilson que la ville se traînait les pieds en leur fournissant des informations sur la fusillade, selon la décision écrite de Wilson. Avant de mettre quoi que ce soit plus, les avocats de Gardena insisté sur une ordonnance de protection qui empêche la libération de la preuve dans le cas, Wilson a écrit.
La ville a fait valoir que les vidéos ont montré que Diaz Zeferino ignoré à plusieurs reprises les commandes de police et a atteint dans ses poches et de la zone de la ceinture. Mais les avocats poursuivant la ville ont soutenu que les enregistrements ont montré un tir de sang-froid des hommes non armés clairement.
Après le règlement de la poursuite, la famille de Diaz Zeferino et les autres hommes ont appuyé la demande de The Times et d'autres groupes de médias, affirmant que les vidéos doivent être libérés. Gardena a soutenu que la libération de la vidéo serait de dissuader la police de l'utilisation de ces caméras et mettrait en danger la sécurité des agents à la fois de la critique accrue du public bavures policières.
Le fait que les groupes de médias avaient besoin d'une ordonnance d'un juge fédéral pour obtenir un accès aux vidéos souligne la portée limitée des lois de Californie sur les registres publics, a déclaré Peter Scheer, directeur exécutif de la Coalition Premier Amendement. La ville avait déjà rejeté la demande de The Times pour la vidéo.
Sous dossiers ouverts les lois de l'État, Scheer dit, les fonctionnaires de police Gardena étaient bien dans leur droit de garder le secret de séquences vidéo.
"Le take-away de ce devrait être que les lois de la Californie de protection des informations de la police et les preuves sont beaucoup trop restrictive et la rendre trop difficile de savoir ce qui se passe", a déclaré Scheer.
http://touch.latimes.com/#section/1780/article/p2p-83994814/