- ENTREE de SECOURS -



samedi 11 juillet 2015

Le Pentagone conclut l'Amérique n'est pas sûre à moins qu'elle conquiert le monde


Soumis par Tyler Durden le 10/07/2015 22:15-0400
Soumis par Paul Craig Roberts,
.
Le Pentagone a publié son « National militaire stratégie de the États-Unis 2015, » juin 2015.
.
Le document annonce un changement d'orientation des terroristes à "étatiques" qui "doivent inciter les normes internationales." Il est important de comprendre ce que ces mots signifient. Les gouvernements qui défient les normes internationales sont des pays souverains qui poursuivent des politiques indépendamment des politiques de Washington. Ces « États de révisionnistes » sont des menaces, non pas parce qu'ils ont l'intention d'attaquer les États-Unis, qui admet le Pentagone ni la Russie ni la Chine ont l'intention, mais parce qu'ils sont indépendants. En d'autres termes, la norme est tributaire de Washington.
.
N'oubliez pas de saisir le point : la menace est l'existence d'États souverains, dont l'indépendance d'action rend « États révisionniste ». En d'autres termes, leur indépendance est en décalage avec les néoconservateurs Uni-puissance doctrine qui déclare l'indépendance comme le droit du Washington seul. Compte tenu de l'histoire hégémonie de Washington s'oppose à tous les autres pays étant indépendant dans ses actions.
.
Rapport du Pentagone définit le premier « États révisionniste » comme la Russie, la Chine, la Corée du Nord et l'Iran. L'accent est mis principalement sur la Russie. Washington espère en co-op Chine, malgré les « tensions dans la région Asie-Pacifique » défense de la Chine de sa sphère d'influence, une défense « contraire au droit international » (cela de Washington, le grand violateur du droit international), en retournant ce qui reste du marché consommateur américain vers la Chine. Il n'est pas encore certain que l'Iran a échappé au sort que Washington a imposé sur l'Irak, Afghanistan, Libye, Syrie, Somalie, Yémen, Pakistan, Ukraine et de complicité de Palestine.
.
Rapport du Pentagone est suffisamment audacieux dans son hypocrisie, comme toutes les déclarations de Washington, de déclarer que Washington et ses vassaux "soutenons les institutions établies et les processus dédiés à la prévention des conflits, respect de la souveraineté et promouvoir les droits de l'homme." Cela de l'armée d'un gouvernement qui a envahi, bombardé et renversé 11 gouvernements depuis le régime de Clinton et s'emploie actuellement à renverser les gouvernements en Arménie, Kirghizstan, Equateur, Venezuela, Bolivie, Brésil et Argentine.
.
Dans le document du Pentagone, que Russie est sous le feu pour ne pas agir "conformément aux normes internationales," qui signifie que la Russie n'est pas leadership de Washington suivant.
.
En d'autres termes, il s'agit d'un rapport de conneries écrit par néocons pour fomenter la guerre avec la Russie.
.
Rien d'autre peut dire sur le rapport du Pentagone, qui justifie la guerre et plus de guerre. Sans la guerre et les conquêtes, les Américains ne sont pas sans danger.
.
Vue de Washington envers la Russie est le même que l'avis de Caton l'ancien vers Carthage. Caton l'ancien son fini tous les discours sur un sujet dans le Roman de Senate avec l'instruction « Carthage doit être détruite ».
.
Ce rapport nous dit que la guerre avec la Russie est notre avenir à moins que la Russie accepte de devenir un État vassal, comme tous les pays d'Europe et Canada, Australie, Ukraine et le Japon. Dans le cas contraire, les néoconservateurs ont décidé qu'il est impossible pour les américains à tolérer la vie avec un pays qui prend les décisions indépendamment de Washington. Si l'Amérique ne peut pas être le Uni-pouvoir dicter au monde, mieux que nous sommes tous morts. Au moins ce montrera les Russes.
.
http://www.zerohedge.com/news/2015-07-10/pentagon-concludes-america-not-safe-unless-it-conquers-world

22 commentaires:

  1. Là encore je m'élève contre l'emploi abusif du terme 'Amerique' pour désigner des malfaiteurs/assassins. Car, les argentins, brésiliens, martiniquais ou canadiens sont AUSSI américains. Et, de désigner 310 millions d'habitants aux Etats-Unis comme malfaiteurs/assassins serait là un terme inacceptable car, c'est seulement un nano-groupuscule de personnes mal intentionnées qui parlent et dirigent et ne sont NULLEMENT le reflets des étatsuniens ou même des américains !

    RépondreSupprimer
  2. Ce n'est pas seulement la troïka : 79 % des grecs s'opposent à la troisième proposition de plan de sauvetage de la Syriza

    Soumis par Tyler Durden le 11/07/2015 10:31-0400


    Alors que nous et Syriza, attendons pour voir juste comment violemment la troïka sera vomir partout dans la proposition grecque (qui peut avoir été valable le 26 juin, mais n'est plus maintenant que l'économie grecque a poli à une halte et pratiquement tous les liens de la chaîne d'approvisionnement sont cassés, conduisant à une chute du PIB) et à quel point beaucoup plus austérité et pensions couper demandes cette marque rouge-stylo créancier couvert haut aura, il y a un nouveau et beaucoup plus problème pressant face à Greek PM Tsipras.

    Il s'avère qu'après avoir appelé la nation grecque de voter « Oxi » pour le 26 juin troïka traiter proposition, une demande qui a plus suivi de 61 % du pays, et à moins d'une semaine plus tard, volte-face et capituler à toutes les demandes (et puis certains) a-t-elle des conséquences pour le premier ministre grec Tsipras, dont les jours au sein du gouvernement maintenant apparaissent numérotés.
    Selon un sondage de composant logiciel enfichable de Combler l'Europe, un bond de 79 % des répondants ont dit qu'ils sont contre la troisième proposition de plan de sauvetage du gouvernement grec, avec 74 % supplémentaires indiquant qu'ils croient que les propositions du gouvernement grec vont contre 61 % des Grecs qui ont voté "Non" lors du référendum.

    Et tandis que le sondage semble avoir mal calculé à quel prêt l'ensemble du Parlement est de vendre la démocratie, avec 53 %, indiquant que la proposition serait probablement pas passer le Parlement avec un support complet (il l'a fait), un autre 51 % pensent que la Grèce aura des élections anticipées dans les « prochains mois. »

    - voir graphiques sur site -

    C'est cette dernière question qui sera du plus grand intérêt à Merkel et la troïka, car si en effet il y a un autre changement imminent au sein du gouvernement grec, soit pacifiquement, soit moins, puis le plan de sauvetage troisième ensemble et les € 74 milliards dans la dette que la troïka peut remettre à la Grèce la semaine prochaine, seront rapidement invalidées et annulée par la prochaine fête de l'austérité (que l'on espère n'est pas la « droite radicale » Golden Dawn).

    Mais dans tous les cas, la dernière chose Schauble voudront et al. , est de négocier avec un premier ministre, "indigne de confiance" dont les gens peuvent renverser dans les prochaines semaines.

    Qui est une bonne leçon aux aspirants politiciens partout : Si vous trahissez publiquement quelqu'un dans un argument essentiel, assurez-vous qu'il est un seul côté, jamais les deux.

    Là encore, qu'il pourrait bien avoir été l'intention de perdre le référendum des Tsipras voter et tranquillement en iront que bonne nuit, il a juste peut être le plus grand gagnant ici. Espérons juste que sa succession est un paisible.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-07-11/79-greeks-oppose-syrizas-third-bailout-proposal

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. S'il y a ou peut avoir un problème/exemple de malhonnêteté c'est bien en Grèce ! Les grecs (le peuple de contribuables) n'y sont POUR RIEN dans la dette présentée et, les banques (privées !) menacent de saisir les sommes déposées. Donc là, il y a flagrant délit de vol et... l'Etat ne fait RIEN pour empêcher cela !! De plus, il n'a jamais proposé à quiconque de déposer/transférer les comptes en banques privées vers une banque d'Etat (Banque Nationale). Donc là, les grecs retirent au plus vite leur argent avant qu'il soit volé avec la complicité de l'Etat !! Mais, dès lors que l'argent est chez des particuliers... il est bien difficile de se protéger des voleurs ! (car la Grèce n'est pas les USA où chacun à au moins un flingue chez lui). Donc, si l'argent (parfois toute les économies d'une vie) est volé d'un côté ou... volé de l'autre, que faire ?!

      Supprimer
  3. Derrière la dette grecque

    Thierry Meyssan
    Voltaire net
    lun., 06 juil. 2015 09:06 UTC


    Joseph Retinger, ex-fasciste polonais devenu agent britannique. Dans le cadre de ses fonctions au MI6, il fonda l’European League for Economic Cooperation dont il devint le secrétaire général. À ce titre, il est le père de l’euro. Par la suite, il anima le Mouvement européen et créa le Club de Bilderberg.
    Le référendum grec a donné lieu à de vifs débats dans l'Union européenne qui illustrent l'ignorance générale sur les règles du jeu. Les participants se sont déchirés pour savoir si les Grecs étaient ou non responsables de leur dette tout en veillant à ne jamais accuser leurs créanciers d'usure. Mais ils l'ont fait en ignorant l'histoire de l'euro et les motifs de sa création.

    L'euro : un projet anglo-saxon de la Guerre froide

    Depuis le Traité de Rome, il y a soixante-quatre ans, les instances administratives successives du « projet européen » (CECA, CEE, UE) ont dépensé des sommes colossales et sans équivalent pour financer leur propagande dans les médias. Quotidiennement des centaines d'articles, d'émissions de radio et de télévision, sont payées par Bruxelles pour nous raconter une version mensongère de son histoire et nous faire croire que le « projet européen » actuel est celui des Européens de l'entre-deux-guerres.

    Les archives sont pourtant désormais accessibles à tous. Elles montrent qu'en 1946, Winston Churchill et Harry Truman décidèrent de diviser le continent européen en deux : d'un côté, leurs vassaux, de l'autre l'URSS et les siens. Pour s'assurer qu'aucun État ne s'affranchirait de leur suzeraineté, ils décidèrent de manipuler les idéaux de leur époque.

    Ce que l'on appelait alors le « projet européen » ne consistait pas à défendre de prétendues valeurs communes, mais à fusionner l'exploitation des matières premières et des industries de Défense de la France et de l'Allemagne de manière à être certain que ces pays ne pourraient plus se faire la guerre (théorie de Louis Loucheur et du comte Richard de Coudenhove-Kalergi [1]). Il ne s'agissait pas de nier de profondes différences idéologiques, mais de s'assurer qu'elles ne se confronteraient plus par la force.

    Le MI6 britannique et la CIA états-unienne ont alors été chargés d'organiser le premier « Congrès de l'Europe », à La Haye en mai 1948, auquel participèrent 750 personnalités (dont François Mitterrand) de 16 pays. Il s'agissait, ni plus, ni moins, que de ressusciter le « projet d'Europe fédérale » (rédigé par Walter Hallstein —le futur président de la Commission européenne— pour le chancelier Adolf Hitler) en se basant sur la rhétorique de Coudenhove-Kalergi.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  4. Plusieurs idées fausses doivent être corrigées à propos de ce Congrès.
    - En premier lieu, il convient de le replacer dans son contexte. Les États-Unis et le Royaume-Uni venaient de déclarer la Guerre froide à l'URSS. Celle-ci répliqua en soutenant les communistes tchèques qui parvinrent légalement à s'emparer du pouvoir lors du « Coup de Prague » (« Février victorieux », selon l'historiographie soviétique). Washington et Londres organisèrent alors le Traité de Bruxelles qui préfigure la création de l'Otan. Tous les participants au Congrès de l'Europe étaient pro-Anglo-Saxons et anti-Soviétiques.

    - Deuxièmement, lorsque Winston Churchill prononça son discours, il employa le terme « Européen » pour désigner les habitants du continent européen (pas ceux du Royaume-Uni qui, selon lui, ne sont pas des Européens) qui se disaient anti-communistes. Il n'était pas question, à l'époque pour Churchill, que Londres adhère à l'Union européenne, mais uniquement qu'il la supervise.

    - Troisièmement, deux tendances se firent jour au sein du Congrès : les « unionistes » pour qui il s'agissait uniquement de mettre en commun des moyens pour résister à l'expansion du communisme, et les « fédéralistes » qui souhaitaient réaliser le projet nazi d'État fédéral placé sous l'autorité d'une administration non-élue.

    Walter Hallstein, haut fonctionnaire allemand, rédigea le projet hitlérien d’Europe fédérale. Il s’agissait de détruire les États européens et de fédérer les populations par ethnies autour du Reich aryen. L’ensemble aurait été soumis à la dictature d’une bureaucratie non-élue, contrôlée par Berlin. À la Libération, il mit en œuvre son projet avec l’aide des Anglo-Saxons et devint, en 1958, le premier président de la Commission européenne.
    Le Congrès précisa tout ce qui a été réalisé depuis sous les noms successifs de CECA, CEE et UE. Le Congrès adopta le principe d'une monnaie commune. Mais le MI6 et la CIA avaient déjà fondé l'Independent League for European Cooperation (ILEC) [2]—devenue European League for Economic Cooperation (ELEC)—. Son objectif était, une fois les institutions de l'Union créées, de passer de la monnaie commune (la future European Currency Unit - ECU) à une monnaie unique (l'euro), de sorte que les pays adhérents à l'Union ne puissent plus la quitter [3].

    C'est ce projet que François Mitterrand réalisa, en 1992. Au regard de l'Histoire et de la participation de François Mitterrand au Congrès de La Haye, en 1948, il est absurde de prétendre aujourd'hui que l'euro ait eu un autre but. C'est pourquoi, en toute logique, les Traités actuels ne prévoient pas la sortie de l'euro, contraignant la Grèce, si elle le souhaite, à sortir d'abord de l'Union pour pouvoir sortir de l'euro.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  5. Le glissement du « projet européen » dans le système états-unien

    L'Union a connu deux tournants principaux :
    - À la fin des 60, le Royaume-Uni refusa de participer à la guerre du Vietnam et retira ses troupes du Golfe persique et d'Asie. Les Britanniques cessèrent alors de se penser en 51ème État des États-Unis et d'invoquer leur « special relationship » avec Washington. Ils décidèrent donc d'adhérer à l'Union (1973).

    - À la dissolution de l'URSS, les États-Unis restèrent seuls maîtres du jeu, le Royaume-Uni les assista, et les autres États leur obéirent. Par conséquent, l'Union n'a jamais délibéré de son élargissement à l'Est, mais uniquement validé une décision prise par Washington et annoncée par son secrétaire d'État James Baker. De même, elle a adopté aussi bien la stratégie militaire des États-Unis [4] que leur modèle économique et social caractérisé par de très fortes inégalités.
    Le référendum grec a fait apparaître une ligne de partage entre d'un côté des élites européennes qui trouvent la vie de plus en plus facile et soutiennent sans réserve le « projet européen » et, d'autre part, des classes laborieuses qui souffrent de ce système et le rejettent ; un phénomène qui s'était déjà exprimé, mais uniquement à l'échelle nationale, lors de la ratification du Traité de Maastricht et du projet de Constitution européenne par le Danemark et la France.

    Dans un premier temps, les dirigeants européens ont mis en cause la validité démocratique du référendum. Le secrétaire général du Conseil de l'Europe, Thorbjørn Jagland (l'homme qui a été viré du jury Nobel pour corruption [5]) a déclaré :
    - que la durée de la campagne était trop courte (10 jours au lieu de 14) ;

    - qu'il ne pourrait pas être surveillé par des organisations internationales (trop longues à s'organiser),

    - et que la question posée n'était ni claire ni compréhensible (alors que la proposition de l'Union publiée au Journal officiel est bien plus courte et simple que les Traités européens qui furent soumis à référendum).
    Cependant, la polémique a fait long feu après que le Conseil d'État grec, saisi par des particuliers de ces trois points, a validé la légalité de cette consultation. La presse dominante a alors affirmé qu'en votant « non », l'économie grecque sauterait dans l'inconnu. Pourtant, le fait d'appartenir à la zone euro n'est pas une garantie de performance économique. Si l'on se réfère à la liste du FMI du Produit intérieur brut (PIB) en Parité de pouvoir d'achat (PPA), un seul État membre de l'Union se trouve parmi les 10 premiers dans le monde : le paradis fiscal du Luxembourg. La France ne figure qu'en 25ème position sur 193.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  6. La croissance de l'Union européenne était de 1,2 % en 2014, ce qui la classe au 173e rang mondial, c'est à dire un des plus mauvais résultats dans le monde (la moyenne mondiale est de 2,2 %).

    Mario Draghi, président de la Banque centrale européenne, est l’ancien vice-président Europe de la banque Goldman-Sachs. Il a masqué au Parlement européen son rôle dans les malversation opérées par la banque pour le compte du gouvernement grec, pourtant attesté par des documents de la banque.
    Force est de constater qu'appartenir à l'Union et utiliser l'euro ne sont pas des garanties de succès. Mais si les élites européennes soutiennent ce « projet », c'est qu'il leur est profitable. En effet, en créant un marché unique, puis une monnaie unique, les Unionistes ont brouillé les cartes. Désormais, les différences ne sont plus entre les États membres, mais entre des classes sociales qui se sont uniformisées à l'échelle européenne. C'est pourquoi les plus riches défendent l'Union, tandis que les plus pauvres aspirent au retour des États membres.

    Les contresens à propos de l'Union et de l'euro

    Voici des années que le débat est faussé par le vocabulaire officiel : les Européens ne seraient pas les porteurs de la culture européenne, mais uniquement les membres de l'Union. Depuis la Guerre froide, on affirme ainsi que les Russes ne seraient pas Européens, et désormais qu'en sortant de l'Union, la Grèce quitterait la culture européenne dont elle est le berceau.

    Or, « les chiens ne font pas des chats ». L'Union a été conçue par les Anglo-Saxons, avec d'anciens nazis, contre l'URSS. Elle soutient aujourd'hui le gouvernement ukrainien, nazis inclus, et a déclaré la guerre économique à la Russie en la parant du nom de « sanctions ». Comme son nom ne l'indique pas, l'Union n'a pas été créée pour unir le continent européen, mais pour le diviser, en écartant définitivement la Russie. C'est ce que Charles De Gaulle avait dénoncé en plaidant, lui, pour une Europe « de Brest à Vladivostock ».

    Les unionistes assurent que le « projet européen » a permis la paix en Europe depuis 65 ans. Mais parlent-ils de l'appartenance à l'Union ou de leur vassalité aux États-Unis ? En réalité, c'est celle-ci qui a garanti la paix entre les États ouest-européens, tout en maintenant leur rivalité hors de la zone Otan. Doit-on rappeler, par exemple, que les membres de l'Union européenne ont soutenu des camps différents en ex-Yougoslavie avant de s'unifier derrière l'Otan ? Et doit-on considérer que s'ils redevenaient souverains, les membres de l'Union recommenceraient nécessairement à se quereller ?

    Jean-Claude Juncker, s’est indigné du référendum grec qu’il a qualifié de « trahison ». M. Juncker a été contraint à la démission de ses fonctions de Premier ministre du Luxembourg, après que l’ont eut établi son appartenance au réseau d’espionnage Gladio de l’Alliance atlantique. Un an plus tard, il devenait président de la Commission européenne.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  7. Pour revenir au cas grec, les experts ont largement démontré que cette dette est imputable à des problèmes nationaux non-résolus depuis la fin de l'Empire ottoman tout autant qu'à une escroquerie de grandes banques privées et de dirigeants politiques. Au demeurant, cette dette est insolvable comme le sont également les dettes des principaux États développés [6]. Quoi qu'il en soit, Athènes pourrait facilement s'en sortir en refusant de payer la partie odieuse de sa dette [7], en quittant l'Union, et en faisant alliance avec la Russie qui est pour elle un partenaire historique et culturel bien plus sérieux que la bureaucratie bruxelloise. La volonté de Moscou et de Beijing d'investir en Grèce et d'y créer de nouvelles institutions internationales est un secret de polichinelle. Cependant, la situation de la Grèce est d'autant plus complexe qu'elle est également membre de l'Otan et que l'Alliance y avait organisé un coup d'État militaire, en 1967, pour l'empêcher de se rapprocher de l'URSS [8].

    Notes :

    [1] « Histoire secrète de l'Union européenne », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 28 juin 2004.

    [2] La section française prend le nom de Ligue européenne de coopération économique (LECE). Elle est présidée par Edmond Giscard d'Estaing, père du futur président de la République et créateur de l'ECU.

    [3] MI6 : Inside the Covert World of Her Majesty's Secret Intelligence Service, Stephen Dorril, The Free Press, 2000.

    [4] « Stratégie européenne de sécurité », Réseau Voltaire, 12 décembre 2003.

    [5] « Thorbjørn Jagland destitué de ses fonctions de président du Nobel de la Paix », Réseau Voltaire, 5 mars 2015.

    [6] « Selon la BRI, la dette des États développés est insolvable », Réseau Voltaire, 13 avril 2010.

    [7] Cf. la théorie économique d'Alexander Sack.

    [8] « La guerre secrète en Grèce », par Daniele Ganser ; « Grèce, le facteur Otan », par Manlio Dinucci, Traduction Marie-Ange Patrizio, Il Manifesto (Italie), Réseau Voltaire, 24 août 2013 et 7 avril 2015.

    http://fr.sott.net/article/25979-Derriere-la-dette-grecque

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. S'il y a une chose 'qui peut faire plaisir' est que, la dictature a besoin de fonctionnaires pour la soutenir. Or, il arrive un moment où les forces 'Peuple/Dictature' s'interposent aux plus haut niveaux dès lors qu'avec Internet le peuple a accès à l'information vraie. Cette adversité/rivalité est 'résolue' par l'emploi encore plus de fonctionnaires ! Or, comme on la tous vu chez Snowden/NSA, plus il y a d'employés plus le pourcentage d'opposants à la dictature s'accroît et donc, il y a susceptibilité de renversement des chefs-de-merde.

      Et, c'est là ce qui peut/doit arriver en Grèce. Le peuple est majoritaire; ne l'oublions pas !

      Car, les 'Dirigeants' ne lisent plus la presse aujourd'hui ni écoutent la radio ou regardent la télé, ils s'informent par les blogs ! Ces blogs qui disent la vérité ! Ces blogs qui font de l'audience véritable (pas comme à la télé ! Hahahaha !). Ces blogs qui sont le reflet du peuple: de ceux qu'il veut de ce qu'il pense.

      Les faux reportages les faux sondages sont monnaies courantes chez les journalistes, mais, s'ils connaissent l'envers du décor il n'y sont pas forcément derrière !

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2013/07/quand-le-tueur-devient-la-cible.html

      Supprimer
  8. La secte de Bruxelles

    De Defensa
    mar., 07 juil. 2015 09:03 UTC

    Il se trouve que l'UE et Bruxelles, avec ses divers satellites en très grand nombre, - mais nommons tout cela, provisoirement, "la bande à Bruxelles" à défaut d'autres expressions puisque celle-ci est promise à disparaître dans notre vocabulaire, - tout cela, donc, est devenu un phénomène fort proche du paranormal.

    Une de nos sources, de longue date à l'UE et ayant échappé à l'internement psychiatrique, nous disait ceci qui ne la compromet guère, qui est du détail mais du détail qui introduit bien le sujet et, en fonction de ce qui suit, justifie de son importance :
    "Il y a quelques années, la consigne parmi les officiels-dirigeants était de faire le plus discret possible, notamment au niveau des apparats de fonction, et particulièrement dans le cas des voitures de fonction, pour suivre une politique de discrétion convenant à ce que l'on pensait et devait faire savoir de l'institution. Depuis quelques petites années, depuis quelques mois, c'est un déluge extraordinaire dans l'autre sens. On dirait que les constructeurs, - particulièrement nos fameux allemands, - ne cessent de faire plus gros, plus massifs, plus blindés, leurs énormes 4x4 et SUV, etc., en charge des officiels, spécialement conçus pour les officiels, - Juncker est l'un des champions dans ce domaine ... Ils ressemblent de plus en plus à d'énormes blockhaus blindés, d'une puissance et d'un luxe inouïs, intouchables, toutes vitres teintes, s'étirant en longs convois avançant comme des chars russes envahissant l'Ukraine..."
    (La dernière image, sans doute pour se rattraper des confidences qui précèdent, qui sont absolument sacrilèges on s'en doute, - quoiqu'un peu marquée d'ironie, alors...)

    Attention, cela n'est nullement pour introduire une critique des privilèges, qui n'est pas vraiment dans nos préoccupations parce que nous jugeons avoir dépassé le stade de ces querelles accessoires ; un autre souci nous anime... Il y a ceci que la "bande à Bruxelles" n'est pas en train de se transformer sous nos yeux mais elle est en train, à l'occasion de la crise grecque et sous nos yeux, de se découvrir pour ce qu'elle est en vérité, ou disons mieux encore de se découvrir pour ce qu'elle était promise à devenir en vérité. Déjà, dans la logique et dans le langage, elle ne dissimule plus son usage favori du sophisme et de l'inversion, tordant la logique à son profit avec une aisance qui nous fait penser que l'on se rapproche de la nature même de la chose.

    En voici un exemple, qui est à nouveau à mettre au crédit du même Juncker, manifestement le plus "nature" de "la bande", le plus naturel exposant de cette transmutation, sans le moindre regard détaché sur lui-même, acceptant sans complexe cette transmutation de soi puisque n'en ayant strictement nulle conscience, et même écartant l'idée d'avoir conscience de quoi que ce soit à son propre égard, parfait robot huileux-rugueux. Voici donc un rapide extrait de EUObserver du 7 avril 2015, avec la conclusion qui nous importe, et quelques extraits qui nous renseignent en même temps sur les piètres chances qu'ont les Grecs d'obtenir ce qu'ils semblent devoir espérer ou ce qu'on peut raisonnablement comprendre qu'ils espèrent après leur vote au référendum.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  9. « La plupart des dirigeants de la zone euro qui viennent à Bruxelles pour un sommet d'urgence le mardi (7 Juillet) sont susceptibles de maintenir une ligne dure à l'encontre d'Alexis Tsipras qui présentera sa nouvelle proposition de renflouement. Selon une source européenne citée par Kathimerini, 16 des 18 collègues de Tsipras autour de la table sont en faveur du départ de la Grèce de la zone euro. Seules la France et l'Italie semblent prêtes à accepter les demandes de Tsipras sur l'allégement de la dette et des investissements. [...]

    "Si le gouvernement grec s'est rendu à Bruxelles en pensant que ses partenaires changeront d'avis à cause du non, alors je pense que c'en est fini ", a dit le Premier ministre néerlandais Mark Rutt aux députés le lundi. "Si les choses restent comme elles sont, alors nous sommes dans une impasse. Il n'y a pas d'autre choix, ils doivent être prêts à accepter des réformes profondes ", a-t-il dit.

    S'exprimant au Parlement européen mardi, le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a souligné que " la balle est clairement dans le camp des Grecs " et a ajouté que personne ne devrait s'attendre à un accord final ce mardi soir. »
    La logique par rapport au bon sens des rapports politiques et les situations politiques appréciées selon le bon sens (et non selon les arguties juridiques, sinon il faut alors en juger de même du comportement de l'UE en général et il n'en restera pas grand'chose) donne ce simple constat à partir du moment où il est établi que c'est l'Eurogroupe, par sa puissance statutaire et sa puissance brute, qui mène le jeu, donc qui imposera sa loi finalement. Pourtant, alors que le référendum signifie un rejet des propositions de l'Eurogroupe en même temps qu'une réaction (ou tentative) de réaffirmation souveraine, un Juncker fait entrer la loi du "jeu égal", comme s'il y avait négociation d'égal à égal, comme si Eurogroupe et Grèce c'était la même "ligue" : "puisque vous avez rejeté nos propositions, faites les vôtres" ("la balle est dans votre camp").

    Cela est dit par un homme qui, après les élections du 25 janvier en Grèce, expliquait que « les normes européennes (traités, directives, etc.) avaient désormais prééminence sur la volonté populaire nationale exprimée par un État-membre » (voir le 4 juillet 2015), ce qui entérine effectivement le sophisme du "la balle est dans votre camp" puisque, quoi que vous fassiez, quelque balle que vous nous renverrez, c'est tout de même nous qui déciderons quoi en faire et quoi inscrire dessus. La même logique sophiste et invertie de Juncker par rapport aux principes de souveraineté et de légitimité est entérinée par Merkel-Hollande lorsqu'ils demandent aux Grecs d'avancer leurs propositions, "sérieuses et substantielles", - bref comme l'on demande à une poularde, non seulement de tendre son coup pour que la lame s'enfonce mieux, mais de ne pas oublier de glisser la recette à laquelle elle sera cuite, - please, un peu de tenue...

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  10. (Avec cette précision de l'aigreur de Merkel, de plus en plus aigre, à côté de Hollande, de plus en plus poire dans sa placidité vantée pour réaliser des compromis entre Angela Hollande et François Merkel, - Merkel selon laquelle "les dix-huit pays de l'Eurogroupe, c'est aussi la démocratie" [autant qu'un référendum, hein], - vielle experte, la Merkel, qui aurait pu nous dire ça aussi du temps de sa jeunesse, que "c'est aussi la démocratie" les huit pays du Pacte de Varsovie, et puis la même chose des 28, - ou 29, ou 27, ou 31, qu'importe, - pays de l'OTAN. L'aigreur de Merkel s'explique en bonne part, - sentiment personnel, dans ce cas, - par la sensation qu'elle a de voir se détacher l'une de ses préoccupations majeures qui est de passer pour un "un grand homme d'État" [voir Alexander Mercouris sur Russian Insider, le 7 juillet 2015 sur "La Kaiser est nue"], - puisque réduite à être une bonne servante de "la secte" comme on le verra.)

    Certains jugent cette situation pleine d'espoir tout de même, cela à partir de la victoire du "non", lorsqu'elle est appréciée comme une affirmation de légitimité populaire et, sans doute de souveraineté. On a beaucoup entendu cette thèse et la jubilation qui va avec, notamment, en France, du côté des gens de "la gauche de la gauche" (Mélenchon & Cie). On comprend parfaitement la logique de ce discours et de la satisfaction qui l'accompagne, tout en doutant que la chose constitue pour l'instant un fait politique capable de peser d'une façon considérable sur la situation. Pour mieux apprécier la thèse dans toute son ampleur, on cite Jean-Numa Ducange, de tendance néo-marxiste, professeur d'histoire à l'université de Rouen (à Sputnik-français le 7 juillet 2015) :
    « La victoire écrasante du "non" est une excellente nouvelle pour la Grèce. Dans l'immédiat cela donne bien sûr un plus grand poids à Tsipras pour négocier (même si ce sera difficile) alors même que la plupart des médias européens se sont déchaînés contre lui et l'idée même du référendum, en annonçant avec des "sondages" que le oui allait l'emporter. C'est un désaveu cinglant des technocrates européens coupés du réel et ne disposant que d'une très faible légitimité démocratique et politique...

    C'est également une bonne nouvelle pour les autres peuples de l'Union européenne. Elle montre que l'on ne peut pas indéfiniment flouer les revendications populaires, à plus forte raison lorsqu'elles sont portées par un gouvernement élu qui fait preuve d'une grande audace et redonne la dignité à un peuple méprisé et humilié par les créanciers. On ne peut souhaiter qu'un effet domino pour les prochaines élections espagnoles et, pourquoi pas, françaises. C'est peut-être le début d'une nouvelle période historique pour une autre Europe... »
    Donc, excellente nouvelle pour la Grèce, - et pour l'Europe, - c'est-à-dire pour les peuples grec et européen. Pourquoi notre scepticisme affleure-t-il pourtant ? Il y aurait beaucoup de réponses possibles, simples, rationnelles, de politique courante, sur les rapports de force, les impostures, les détournements, les comportements antidémocratiques, mais tout cela n'irait encore qu'aux "comment ?" qui ne sont que des composants, parfois intéressants mais toujours annexes, de la réponse à la question que nous posons. Nous avons déjà dit que ce qui nous importe, à nous, c'est de chercher la "Cause Première" ...

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  11. - Voir le 5 juillet 2015 : « Bien évidemment, plus les évènements progressent, plus les thèses sur l'aspect eschatologique de la catastrophe civilisationnelle que nous sommes en train de vivre se confirment dans leur diagnostic final selon leurs diverses composants et variantes, selon leurs divers points de vue, plus secondaires deviennent ces composants, variantes et divers points de vue qui forment les explications ou tentatives d'explication du déroulement du phénomène (le "comment ?"), et plus se dessine la question fondamentale de la Cause Première de ce destin (le "pourquoi ?"). »

    - Ou bien encore, voir le 6 juillet 2015 : « Juste retour des chose que tout ce qui a débuté de notre aventure en Grèce il y a près de trois millénaires y trouve un point de rupture fondamental, un nœud gordien, - et sans doute, certainement y aura-t-il d'autres, - puisqu'il est question d'une civilisation devenue contre-civilisation, accouchée d'un Système, productrice de crises d'anéantissement entropique, - et ainsi, par le choc ainsi opéré notamment ce 5 juillet, posant et répétant à l'espèce et au monde, par les voix terribles de ce qui les nimbe, les entoure, les menace et les domine, éventuellement vient à leur aide selon les forces dont on parle, la question suprême de la Cause Première. »

    Maintenant passons à l'aspect le plus risqué de ce F&C, qui concerne une réinterprétation de l'expression la "bande à Bruxelles" : qu'est-ce donc que cette expression-là, "bande à Bruxelles", et n'y a-t-il pas autre chose à dire ... Surmontant la nausée qu'il est de bon ton d'afficher à chacune de ses interventions, nous reconnaîtrons discrètement mais fermement que l'avis de Marine Le Pen sur la "bande" est sans doute la meilleure image, le meilleur symbole, la meilleure définition trouvés jusqu'ici. Il s'agit d'une déclaration à Sud Radio, que rapporte Sputnik-français, le 6 juillet 2015, et qui introduit le mot qui nous importe :
    « Les Européens doivent décider s'ils veulent continuer à vivre dans des démocraties ou s'ils acceptent de vivre dans ce qui apparaît de plus en plus comme une secte, a déclaré dimanche la présidente du Front national Marine Le Pen sur Sud Radio. "L'Union européenne a fait une pression inouïe sur les Grecs", a déploré Mme Le Pen, se demandant si l'UE n'allait pas "imposer" à la Grèce un "gouvernement de technocrates". "La vraie question est de savoir si on veut continuer à vivre dans des démocraties ou si on accepte de vivre dans ce qui apparaît de plus en plus comme une secte", a indiqué Marine Le Pen. "L'Union européenne est devenue une véritable secte où on passe du lavage de cerveau, aux menaces, au chantage permanent..." »
    Certes, le mot "secte" est extraordinairement bien approprié pour désigner "la bande à Bruxelles", et nous le prendrons bien entendu dans son sens le plus polémique, éventuellement très péjoratif certes comme le traitement des "modernes" nous y a accoutumés, mais aussi avec quelque chose de plus que le courant de ce péjoratif... Mélange de confrérie aveugle par l'évidence acquise et forcée délicieusement (il faut bien se ménager) selon l'argument d'une "excellence" partagée qui dispense de se référer non seulement aux lois courantes mais surtout aux impulsions principielles comme à une peste noire insupportable, d'ésotérisme de bazar richement doté, d'adoration des idoles (le "Veau d'Or" lorsque l'or reviendra à son cours normal, jusqu'aux 4X4 et SUV qu'on a vues), de djihadisme bruxellois complètement, absolument religieux et nécessairement intolérant, et donc qui serait par conséquent (on verra) absolument terroriste selon le mot de Varoufakis...

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  12. Est-ce ce mot-là ("terroriste") qui lui coûta sa tête bien plus que ses Tea-Shirt aux séances de l'Eurogroupe ou dans les couloirs, ou sur sa moto ? Peut-être bien, dans tous les cas l'affaire a toute son importance au niveau personnel, montrant l'ambiance à la fois des relations et des humeurs des uns et des autres dans le cadre climatologique entretenu par "la Secte", et essentiellement à cause du comportement de "la Secte". Ernst Wolff, journaliste et auteur de World power FMI, affirme effectivement (à RT) que la démission de Varoufakis est l'effet direct de la pressions de "la Secte", pour des raisons personnelles bien précises allant jusqu'à des gestes physiques, notamment l'insupportabilité ressentie par le Hollandais et président de l'Eurogroupe Dijsselbloem à l'encontre du ministre grec, et nullement pour des raisons objectives ou techniques de négociation, (« The thing is - it just goes to show the true system of power that Greece is living under at the moment. Greece has been dominated by the institutions that are the ECB, the EU and the IMF since 2010 and the Greek government cannot do anything without the consent of these three institutions. And if they don't want Varoufakis at the table then Varoufakis has to go. »)

    Il n'y a rien, absolument rien d'essentiellement politique dans tout cela, - d'ailleurs d'une façon logique puisque la situation est à cet égard extrêmement fluide et défile très vite, - et d'ailleurs d'une façon encore plus logique puisque "la Secte" ne doute pas une seule seconde qu'elle balaiera Tsipras & Cie d'une pichenette finale et donc que le problème politique (et financier, et économique) est déjà réglé. C'est bien ceci qui nous importe : la formation, ou l'autoformation de la "bande de Bruxelles" en "la Secte" constituant un phénomène psychologique majeur, précisément dans cette nébuleuse qui assure la direction européenne.

    Il s'agit d'une formation que nous jugions selon notre appréciation spontanée, non organisée d'une façon systémique, du moins par une initiative humaine il s'entend, donc nullement de type "complotiste" qui impliquerait le sens des nuances, de la manœuvre, pour mieux enrober ou tenter d'enrober l'adversaire, l'amener à résipiscence avec un certain doigté qui permet ainsi à la communication de faire son travail de soigner l'emballage de la chose. A cet égard, l'on trouve confirmation, à notre sens, de cette situation dans le fait que la communication-Système (les journalistes et commentateurs-Système, les différents talk-shows-baptisés-"JT") qu'on rencontre vaquant sur les chaînes d'info continue s'évertue depuis dimanche soir trouver diverses vertus à Tsipras pour mieux faire accepter l'idée que son écrasante victoire du "Non" de dimanche constitue en réalité une victoire du "Oui", comme le veut secrètement Tsipras qui est devenu l'objet de toutes les vertus, pas loin d'être l'"un des nôtres" certes - encore plus sans Varoufakis, certes...

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  13. Tout ce beau travail pour enrober le paquet-cadeau et faire passer la pilule est significativement contredit par nombre d'interventions cassantes de "la Secte". (Les journaleux-Système font aussi partie de "la Secte" bien entendu mais ils sont d'abord comptable de leur travail de communication qui implique la meilleure action possible pour présenter la posture de "la Secte" et son action, et dans ce cas il s'agit évidemment de récupérer un Tsipras-vainqueur en l'amadouant pour mieux récupérer sa victoire au profit de "la Secte", et transmuter le "non" en "oui".)

    Mise en place et opérationnalisation de "la Secte"

    Elargissons notre vision pour l'inscrire mieux, pour l'avantage de la démonstration, dans la concrétude imagée de l'"opérationnel", et tentant par là même de donner vie à cette hypothèse-générale - "la Secte" en lui offrant une chronologie historique. Nous avançons hypothèse chronologique secondaire que c'est en novembre 2013, à l'occasion de l'événement de la rencontre avec Ianoukovitch et les Ukrainiens, suivie de l'échec des négociations avec l'UE, puis de l'enchaînement vers la crise ukrainienne, et de la crise elle-même, que "la "bande à Bruxelles" s'est définitivement transmutée en "la Secte".

    L'occasion était idéale : l'Ukraine et ses péripéties, menées par les bureaucrates-UE dont certains de pays de l'Est, et inspirées par des dirigeants de ces mêmes pays de l'Est de l'UE d'autant plus agressifs qu'ils étaient nouveaux membres et assez peu "Européens" dans l'esprit initial de la construction européenne, et totalement irresponsables par leurs poids respectifs dans l'UE ; il n'y avait aucun contrepoids sérieux du côté des dirigeants des principaux grands pays, totalement anesthésiés par une psychologie qui semble presque standard, - notamment la chancelière de fer qui s'avère plutôt de quelque chose entre le fer rouillé et le papier mâché, et le président-poire qui vaut ce que l'on sait qui vaut, doté comme Theodore Roosevelt disait du président McKinley d'un éclair en chocolat en lieu et place de sa colonne vertébrale.

    (On ajoutera, si l'on veut de l'exotisme pour faire trembler les foules les rêves bismarckiens-postmodernes de la chancelière rêvant du IVème Reich à la tête d'un pays privé d'armée, sous les écoutes bienveillantes de la NSA et les commentaires attentifs d'une presse inspirée par son actionnaire majoritaire qu'est la CIA ; contrairement au jugement commun, cette sorte d'hypothèse, pour une puissance si complètement déséquilibrée et donc plus apte à se mettre au service de quelque chose à grâce à ses pans de puissance restants que d'accoucher de vastes desseins pour les réaliser, pour lesquels il lui faudrait une puissance complète et équilibrée, nous conduit à confirmer sans une hésitation l'hypothèse de la formation de "la Secte" dont l'Allemagne, bien disciplinée, serait l'une des plus zélées servantes.)

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  14. Ainsi fut introduit à l'occasion de cet événement absolument déclencheur qu'est le déclenchement de l'affaire ukrainienne, un élément majeur au sein de la "bande à Bruxelles", qui permit de tout changer, qui est la force... Nous ne disons pas, par exemple, l'hybris, qui est bien sûr présente et qui joue un grand rôle, mais qui n'est qu'un composant et que c'est un composant humain alors que "la Secte" n'est certainement pas seulement, ni même majoritairement de composition humaine. Il s'agit de la force pure renvoyant nécessairement à l'ensemble dit de l'idéal de puissance" mais sans le niveau d'organisation armée qu'on trouve dans les exemples historiques évoquée précisément pour ce concept ; la force où l'on trouve tout et où l'on fourre-tout, où l'on retrouve aussi l'autorité appointée, l'argent, les certitudes des conseillers triés sur le volet, le coup de téléphone de Soros et la promesse d'une aide personnelle, - il s'agit de tout cela et de quelque chose au-dessus, ou plutôt du faux au-dessus situé en-dessous comme le Mordor de Tolkien puisque nous sommes dans l'ère de l'inversion ; il s'agit d'une pression continuelle, une force émanant de rien d'autre que ce qu'on devrait nommer "Matière" (le "déchaînement de la Matière") et qui se substantive justement en divers artefact ayant "figure humaine" mais échappant complètement à la définition humaine habituelle (l'argent ou le coup de fil de Soros devenant autre chose qu'une création humaine mais s'imposant comme une intervention de cette "Matière" justement, - impliquant une définition très spécifique et très particulière du concept de "Matière" dans ce cas du "déchaînement"...)

    Jusqu'alors, ç'avait été la "bande à Bruxelles", arrogante, faussaire, irresponsable et transgressant sans vergognes principes et légitimités à son profit. Mais le comportement, le ton, le climat, même dans la tempête financière de 2008 et après où les chefs d'Etat et Premiers ministres jouèrent un rôle essentiel en tant que tels, ès qualité si l'on veut et nullement encore totalement intégrés dans la "bande" comme ils l'ont été lorsque la "bande" est devenue "la Secte", restaient assez feutrés, mesurés, contenus. En vingt mois, la transmutation a eu lieu, et la "bande de Bruxelles" est devenue "la Secte", selon le mot joliment trouvé de Marine Le Pen. Mais nous ne parlerions pas, au contraire d'elle, de « lavage de cerveau, [de] menaces, [de] chantage permanent... », - d'ailleurs elle-même sans préciser de qui contre qui. Il n'y a rien de tout cela désormais entre les membres de "la Secte", du moins rien de cette sorte d'une façon systématique, ou systémique, - seuls les incidents et avatars sont traités éventuellement de cette façon, ce qui n'empêcherait (n'empêchera) nullement l'apparition de situations soudainement très graves pour "la Secte", justement par cette absence de terrorisation intérieure pour forcer au maintien des rangs, - et c'est bien entendu une faiblesse capitale, sinon essentielle, sinon la faiblesse décisive...

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  15. De même, il n'y a pas eu vraiment de « lavage de cerveau, [de] menaces, [de] chantage permanent... » contre la Grèce, mais simplement l'application directe et sans dissimuler une seconde de la force brutale dans toute sa nudité, sans aucune précaution de langage ("chantage par mot dissimulé") ni manœuvre quelconque... Non, la force, rien que la force, et, à cet éclairage même le mot de Varoufakis n'est pas approprié ; même pas besoin de "terrorisme" (si vous être "terrorisé", ça c'est votre affaire, nous parlons de l'intentionnalité), non la force, rien que la force brute... C'est à ce point que se situe absolument la transmutation de la "bande à Bruxelles" en "la Secte".

    Ainsi voici donc accomplie et pleinement opérationnelle cette transmutation de la "bande à Bruxelles" en "la Secte". Donc, pas de plan, pas de complot, pas de finesses tactiques, non il ne s'agit que de psychologies épuisées, infiniment fragiles, pleines de fissures où s'installent les centres d'influence maléfique qui forcent à ce compromettre, d'une brutalité inouïe. Ne croyez pas qu'ils soient méchants ni même vraiment brutaux (une telle explication serait bien trop facile, on s'y fourvoie depuis des siècles) ; ils ne sont pas stupides, tous ces figurants richement dotés, simplement leur sensibilité et leur intelligence sont totalement prisonnières d'une perception que leur fournit une psychologie complètement détruite, sans aucune de ses fonctions habituelles de discernement, de classification, de hiérarchisation, sans aucun espoir de récupérer un grain de ce qui fait la légitimité et l'autorité, un grain de cette poudre magique qu'est l'essence principielle, structurelle et ordonnée, du monde.

    Le déterminisme-narrativiste ne leur est plus un accident de circonstance lié à un problème spécifique (la crise ukrainienne dans ses premiers temps) mais une véritable nouvelle fonction cognitive qui remplace toutes les autres, qui s'installe en maîtresse absolue.

    Ce que nous décrivons ici est extrêmement encourageant, contrairement à l'apparence désespérément monolithique qu'on lui trouverait, la disparité des forces en présence, des moyens disponibles, etc. Cette force incroyable, rassemblée pour son fonctionnement en "la Secte", et usant de toutes ses capacités, n'a strictement aucun sens de la mesure qui fait les victoires, aucun goût pour la tactique qui aménage les circonstances pour permettre à la stratégie de s'établir ; d'ailleurs, on s'en doute, la stratégie dont il est question est bien entendu selon les lignes de la formule déstructuration-dissolution-entropisation (dd&e), et ce genre de stratégie n'a absolument pas besoin des gracieusetés et des habiletés de la tactique, - elle frappe, première et unique disposition, et point final...

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  16. Ce qui est extrêmement encourageant, bien entendu, c'est que cette immense déploiement de tout ce qu'elle est capable de déployer avec fureur en fait de production de force, "la Secte" le réalise contre la minuscule Grèce ! Quel marteau-pilon et quelle mouche ! Plus que rassurer sur la forme du géant, tout cela semble plutôt dissimuler bien des faiblesses et bien des vulnérabilités, et c'est là-dessus qu'il faut compter, sans se décourager une seconde.

    Ces messieurs-dames intelligents, parfois (enfin, rarement) cultivés, parfois brillants, se sont transformés en robots poudrés au regard d'acier, en zombis maquillés pour ne pas trop effrayer la populace, et ils montent au tocsin, dans un formidable élan de mobilisation, dès qu'une Grèce ridiculement petite menace de voter, puis met sa menace à exécution et le fait dans le sens sacrilège qu'on sait. Une force aussi puissante et aussi peu assurée d'elle-même, et menant des esprits de si considérable format transformés en résidus atrophiés par une psychologie dévastée, voilà une circonstance qui n'est pas banale et qui n'est certainement pas décisive pour la fortune de "la Secte", mais plutôt une nuance de son crépuscule... Et pas le "Crépuscule des dieux", hein, il ne faut pas rêver ; on est au sous-sol en-dessous.

    Commentaire : Il est bon, ainsi, de pouvoir nous éloigner des interprétations quotidiennes que nous faisons, à chaud, de l'actualité. Le recul et l'observation permettent, qui sait, d'éviter les pièges d'une implication permanente qui mobiliserait, de façon excessive, négative, nos tendances « naturelles » au calcul et à l'anticipation.

    L'auteur parle de Force(s) à l'œuvre : pourquoi donc ne pas en profiter pour envisager, de façon bien concrète et réelle, l'existence des-dites Forces dont le vecteur, le médium idéal, serait, par exemple, une personne occupant une position de pouvoir, et dont la psychologie malade, pervertie, permettrait l'accomplissement de desseins n'allant pas dans le sens de ce que l'on pourrait nommer une évolution positive pour l'humanité ? Des hommes politiques, des dirigeants, pantins en réalité, absolument contrôlés, psychopathes occupant les postes clés d'un système inévitablement à l'image des Forces évoquées : n'est-ce pas à ses fruits que l'on reconnait l'arbre ?

    L'évocation des « forces maléfiques » est peut-être à prendre au pied de la lettre tant le monde qui nous entoure semble pouvoir nous fournir sans fin les preuves continuelles, journalières, que, définitivement, quelque chose ne tourne pas rond.

    http://fr.sott.net/article/25980-La-secte-de-Bruxelles

    RépondreSupprimer
  17. Des poursuites sont lancées contre 9 journalistes qui ont critiqué le parti grec au pouvoir Syriza

    par Mylène Vandecasteele
    09 juil. 2015

    Neuf journalistes grecs, qui ont critiqué le parti Syriza au pouvoir et soutenu le vote pour le « oui » au référendum, sont actuellement poursuivis par des agences étatiques et ils pourraient être condamnés pour la façon dont ils ont fait leur travail.

    Les poursuites ont été engagées par le procureur public, qui a affirmé agir à la demande de téléspectateurs, mais aussi par l’instance publique de contrôle des médias grecs, et le Comité d'Ethique du syndicat des journalistes d’Athènes (ESIEA). Ils reprochent à 9 journalistes parmi les plus éminents en Grèce d’avoir violé le code électoral en n’attribuant pas des temps de parole équivalents aux deux parties du débat.

    Vous ne me contraindrez pas au silence, quoi que vous fassiez. Aucune forme de pouvoir n’a jamais pu le faire et vous n’y parviendrez pas non plus. Il y a une énorme différence entre vous et moi. J’ai travaillé toute ma vie, alors que vous n’avez fait que chauffer votre chaise au parti. Vous perdez votre temps avec vos menaces. Ça ne prend pas. Et pour ceux qui ont des arguments, je suis là», a écrit Stamatis Malelis sur sa page Facebook.

    Les médias privés, qui ont en général donné leur préférence au oui au référendum, c’est-à-dire à la négociation d’un accord avec les créanciers de la Grèce en échange de nouvelles mesures d’austérité, ont été vivement critiqués par le gouvernement du Premier ministre Alexis Tsipras, qui souhaitait que le non l’emporte. Au Parlement européen, Tsipras a même accusé des médias locaux d’avoir « terrorisé les Grecs ».

    La semaine dernière, le syndicat des journalistes avait publié un communiqué dans lequel il critiquait la façon dont certains journalistes rapportaient les informations. « Malheureusement, certains collègues, principalement des médias télévisuels, au lieu de suivre les règles éthiques strictes de la profession, ont adopté un comportement délinquant, substituant la fonction journalistique contre de la propagande ouverte. »

    Lundi, les médias grecs ont rapporté que le Parlement envisageait également de prendre des sanctions contre les chaînes de télévision correspondantes. Un porte-parole de l'observatoire des médias a confirmé que la manière dont un certain nombre de chaînes avaient rapporté les informations relatives au référendum serait étudiée et que les CEOs de ces chaînes pourraient avoir à en répondre.

    http://www.express.be/business/fr/economy/des-poursuites-sont-lancees-contre-9-journalistes-qui-ont-critique-le-parti-grec-au-pouvoir-syriza/214505.htm

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Des loups dans la bergerie ? Non, tout au plus des chiens méchants qui demeurent fidèles à leurs maîtres.

      Supprimer
  18. Boire de la bière, sauve la planète ! NZ company lance carburant à base de bière du monde premier


    11 juillet 2015 11:24


    Une compagnie de bière néo-zélandaise affirme qu'il est venu avec une nouvelle idée sur la façon de sauver la planète "de la guerre et la pollution" - avec un nouveau type de biocarburant, surnommé Brewtroleum. Elle est faite de la production de l'infusion déchets.

    "Notre monde est en péril. Guerre et la pollution causée par les hydrocarbures et la cupidité a poussé notre planète au bord du gouffre. Mais il y a espoir... Présentation Brewtroleum exportation de DB ! Nous avons effectivement allé et fait. Un biocarburant issu des restes après que nous aurons fini de brassage DB Export, » dit de brasseries de DB dans un communiqué.

    Selon l'entreprise, qu'il a réussi à mélanger environ 30 000 litres d'éthanol à l'essence. L'éthanol a été extraite de plus de 58 000 litres de lisier de restes de levure. Environ 300 000 litres de Brewtroleum a été produit.

    « Nous avons bu de la bière et a eu une idée : prendre la levure et les grains restants après nous finissons brassage exportation de DB et le transformer en un biocarburant. Nous avons fait, et maintenant il est disponible à la pompe à Gull en Nouvelle-Zélande. Nous l'appelons: DB Export Brewtroleum, « la société a ajouté.

    Selon le porte-parole de l'exportation de DB Sean O'Donnell, ce « bière-bio-carburant » est le premier carburant vert fabriqué à partir d'un produit lié à la bière.

    "Il s'agit d'une occasion réellement passionnante. C'est une première mondiale, nous aidons les Kiwis à sauver le monde de faire ce qu'ils aiment mieux-boire de la bière. Si vous étiez pour alimenter votre voiture avec des biocarburants plus d'un an, il serait de plus de 250 tonnes d'émission de carbone vous aurait économiser, » O'Donnell a déclaré à presse de Nouvelle-Zélande.

    Il a ajouté que Brewtroleum « émet 8 pour cent moins de carbone que le pétrole normal et offre les mêmes performances. »

    La bière-carburant « unique » a été présenté le 6 juillet à une station d'essence à Auckland. Brewtroleum est maintenant vendu dans les stations-services de 60 Gull dans l'ensemble de l'île du Nord de la Nouvelle-Zélande.

    Vert MP Gareth Hughes, qui était lors du lancement, a déclaré Stuff.co.nz nouvelles qu'en Nouvelle-Zélande il y a "une excellente occasion d'utiliser des biocarburants plus.

    "Si nous pouvons produire notre propre biocarburant provenant des produits résiduaires comme la levure de bière, qui est une bonne nouvelle pour l'environnement et je tiens juste à dire bon sur DB pour cet exemple d'innovation."

    http://rt.com/news/273106-new-zealand-beer-fuel/

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. Le plus con est qu'ils parlent de baisse d'émissions de carbone alors qu'il est nécessaire pour faire pousser les plantes qui nous fournissent de l'oxygène !

      La gravitude prochaine pourrait donc être: un manque d'oxygène (grâce aux gouvernements nazional socialistes).

      Supprimer