- ENTREE de SECOURS -



samedi 18 juillet 2015

The Sun: Images de salut nazi de la reine est d'importance historique, dit le Rédacteur en chef du tabloïd, Stig Abell, dit raison pour libérer la fuite, apparemment filmée en 1933 ou 1934, est de fournir un contexte pour les attitudes avant WW2

Jamie Grierson
le samedi 18 juillet 2015 08.05 EDT



Le rédacteur en chef du 'Soleil' a défendu la décision de son journal pour libérer des images fuite, apparemment tourné en 1933 ou 1934, montrant la Reine effectue un salut nazi comme une question d'importance historique.

Les images en noir et blanc montrent la Reine, alors âgé de six ou sept ans et sa soeur Margaret, autour de trois personnes, se joindre à la Reine mère et son oncle, le Prince Edward, le Prince de Galles, en levant un bras dans le style des fascistes allemands.

Edward, qui plus tard est devenu le roi Edward VIII et abdiqua pour épouser la mondaine américaine Wallis Simpson, fait face à nombreuses accusations d'être un sympathisant Nazi. Le couple se faisaient photographier rencontre Hitler à Munich en octobre 1937, à moins de deux ans avant la seconde guerre mondiale éclate.

Buckingham Palace a déclaré dans un communiqué qu'il était décevant le film – tourné il y a huit décennies avait été exploité, alors que les questions ont été soulevées sur comment le journal a obtenu le clip, qui est apparemment d'archive familiale personnelle du monarque.

Mais en parlant à la BBC, Stig Abell, rédacteur en chef du soleil, a défendu le déménagement. Il a dit: "je pense que la justification est relativement évidente : c'est une question d'importance historique nationale d'explorer ce qui se passait dans les années 30 avant la seconde guerre mondiale.

« Nous sommes très clairs, que nous ne sommes pas, bien sûr, ce qui suggère quelque chose d'inapproprié de la part de la Reine ou, en effet, la Reine mère.

"Il est très clair Edward VIII, qui est devenu un sympathisant Nazi, en 36 après qu'il abdiqua, il dirigea d'Allemagne brièvement.

"En 37 [à] 1939, il parlait de sa sympathie pour Hitler et l'Allemagne, même avant sa mort en 1970, il disait que Hitler n'était pas un homme méchant.

"Je pense que c'est une question d'importance historique, je pense qu'il s'agit d'images qui doivent être affichés qui fournissent le contexte est très clair.

"Nous avons pris une grande quantité d'ennui et soin de démontrer ce contexte très longuement dans le livre aujourd'hui. C'est une question d'importance historique dont nous ne devrions pas timide loin. »

Le clip granuleux, qui dure environ 17 secondes, montre la Reine jouant avec un chien sur la pelouse dans les jardins de Balmoral, les revendications du soleil, avant qu'elle ne déclenche un bras pour saluer la caméra avec Margaret.
La Reine mère a ensuite fait un salut Nazi, et, après jetant un regard vers sa mère, la Reine imite le geste.

La Reine-mère se répète la salute, rejoint par Edward, et Margaret lève sa main gauche avant les deux enfants continuent à danser et jouer sur l'herbe.

Une source du palais a déclaré: "la plupart des gens verra ces images dans leur contexte et du temps. Il s'agit d'une famille jouant et référencement momentanément un geste que beaucoup auraient vu à partir de bobines de nouvelles contemporaines.

"Personne à ce moment-là eu aucun sens comment il évoluera. Impliquer que tout le reste est trompeuse et malhonnête. La Reine est autour de six ans à l'époque et tout à fait innocente d'attacher un sens à ces gestes.

« La Reine et le service et le dévouement au bien-être de cette nation durant la guerre et les 63 ans, la Reine a passé à construire des relations entre les nations et les peuples de sa famille parle d'elle-même. »

On pense que les images ont été tournés en 1933 ou 1934, quand Hitler était en hausse à la proéminence en Allemagne.

Dans sa colonne de chef de file, le soleil a dit que son portait non pas sur le jeune enfant qui allait devenir la Reine, mais sur son oncle, qui était alors l'héritier du trône.

Ancien attaché de presse de la Reine Dickie Arbiter a dit il y aurait beaucoup d'intérêt dans les cercles royaux en découvrant comment le film a été rendu public.

« Ils vont demander s'il était en fait quelque chose qui s'est tenue dans les Archives royales de Windsor, ou si elle était détenu par la succession du duc de Windsor, » il a dit aux BBC news.

"Et si c'était la succession du duc de Windsor, puis quelqu'un a clairement pris il de la succession et c'est ici, 82 ans plus tard. Mais beaucoup de questions ont obtenu d'être demandé et obtenu de beaucoup de questions à trancher. »

29 commentaires:

  1. Film découverte montre la Reine Elizabeth II répéte le Salut Nazi comme un enfant (vidéo)


    18 juillet 2015 08:52



    Un film familial secrèt qui se cachait aussi longtemps que huit décennies, vient d'être publié. Il montre la Reine Elizabeth II, effectuant un salut Nazi comme un enfant avec sa mère, la soeur et l'oncle au château de Balmoral dans l'Aberdeenshire, en Écosse.

    La vidéo a été probablement filmé entre 1933 et 1934, après l'accession d'Hitler au pouvoir en Allemagne. Les images en noir et blanc, obtenue par le tabloïd britannique The Sun, propose l'ensuite sept ans princesse Elizabeth poussant son bras droit dans l'air en geste de signature d'Adolf Hitler. On la voit danser et en agitant avec enthousiasme à la caméra avec sa plus jeune sœur Margaret, qui était d'environ trois à la fois. Leur mère, Elizabeth (plus tard connue comme la Reine-mère) et leur oncle, le Prince Edward (dont liens vers les Nazis restent encore une controverse) sont également vus effectuant le Salut notoire.

    Un éminent universitaire, le Dr Karina Urbach de la londonienne Institute of Historical Research, a décrit le film comme «assez choquant. "

    « La Reine a un fier record de la seconde guerre mondiale et sens du devoir envers son pays et personne ne dirais jamais qu'elle était favorable à l'Allemagne nazie, » l'ont dit le soleil.

    « Elle était un enfant lorsque ce film a été tourné, bien avant que les atrocités des Nazis est devenu largement connues. Mais Edward était déjà accueillant le régime comme Prince de Galles en 1933 et est resté pro-nazis après que guerre éclata en 1939.

    "Il pourrait bien être l'enseignement la Reine et la princesse Margaret comment faire le Salut," a-t-elle ajouté.

    Robes de Harry comme un nazi = il a seulement le jeune roi obtient Reine de faire le salut nazi = c' est sorti du contexte... Les écossais qui veulent l'indépendance = NAZIS !!
    — Conye West (@WellingtonCone) 18 2015

    Le film qui ne dure qu'environ 18 secondes a provoqué un tollé au Palais de Buckingham.

    "C'est décevant ce coup de film il y a huit ans et apparemment de HM archive familiale personnelle (sa Majesté) a été obtenu et exploité de cette manière," un porte-parole de Buckingham Palace a déclaré dans un communiqué.

    "La plupart des gens verront ces images dans leur contexte et du temps. Il s'agit d'une famille jouant et momentanément référençant un geste que beaucoup auraient vu de films contemporains, » une source de palais a ajouté, selon le Daily Mail.

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  2. "Personne à ce moment-là eu aucun sens comment il évoluera. Impliquer que tout le reste est trompeuse et malhonnête ".

    Duc d'Édimbourg, avec une histoire de vues racialement sectaires et toxiques: « LOL, vieille bête Phillip. » 7yr vieille Reine est un hommage: « NAZI! »
    — Sean Leahy (@thepunningman) 18 2015

    La mort du roi George V, le Prince Edward a été couronné roi Edward VIII, en 1936. Il a volontairement renoncé à exercer le trône en décembre 1936, avec son règne durer moins d'un an, pour épouser son amante américaine Wallis Simpson. En 1937, Edward et son épouse, qui ont reçu les titres de duc et duchesse de Windsor, a rencontré Adolf Hitler en Allemagne.

    Selon la nouvelle recherche, réalisée par le Dr Urbach, qui a été révélé le mois dernier, Edward VIII voulait Grande-Bretagne pour bombarder une alliance avec le troisième Reich et blâmé "juifs et rouges" pour la seconde guerre mondiale.

    Avec la Reine faisant un salut Nazi en tant qu'enfant pouvons nous maintenant abandonner toutes les accusations du SNP étant un parti Nazi ?
    — Marquer Coburn (@indycyclist) 17 2015

    L'historien a passé près d'une décennie fouiller dans les archives de 30 pays, y compris l'Allemagne, l'Espagne et la Russie, qui a révélé les sympathies fascistes de nombreux aristocrates européens. Nom de site Web The Conversation avant la publication de son nouveau livre, Urbach dit que tandis que le Prince Edward a toujours été connu pour ses "sympathies pro-nazi", "l'étendue de sa trahison pourrait jamais être entièrement vérifiée en raison du secret des Archives Royal."

    Elle a écrit : "les Archives de la Royal ont toujours veillé à ce que les lettres de parents allemands de la famille royale dans la course jusqu'à la seconde guerre mondiale restent fermés.
    « Naturellement, cette censure a entraîné les théories du complot sans fin. »

    La Reine faisant un salut nazi comme un gamin avec aucune notion possible des horreurs à venir, est juste les Cowboys et les Indiens. Pas scandaleux que ce soit.
    — Chris Wright de R. (@chrisrwright) 17 2015

    "Rapports de renseignement et des documents allemands, espagnols et russes montrent membres de la famille royale britannique étaient en effet beaucoup plus proches à l'Allemagne nazie qu'a déjà été reconnu" Urbach dit.

    L'indicateur même de dossiers à une possible corrélation entre tendances fascistes du duc et le début des bombardements contre la Grande-Bretagne allemands.

    Étonnant que 7 ans reine étant filmée essayer Salut Nazi en 1933 n'a pas eu la clairvoyance de 7 pour voir la guerre et l'Holocauste ans...
    — Iain Martin (@iainmartin1) 17 2015

    Urbach a écrit que dans une autre conversation sur 25 juin 1940, Don Javier Bermejillo, un vieil ami le duc de Windsor et un diplomate espagnol a indiqué que Edward a souligné si on bombardé Angleterre effectivement, cela pourrait ramener la paix.

    « Bermejillo a conclu que le duc de Windsor semblait beaucoup à espérer que cela se produirait: « Il veut la paix à tout prix. » »

    http://www.rt.com/uk/310165-Elizabeth-Nazi-salute-queen/

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  3. La pollution de l’air creuse le déficit de la sécu et coûte cher à la société

    par Rachel Knaebel
    17 juillet 2015

    La pollution coûte très cher à la société. C’est la conclusion d’un rapport tout juste rendu public de la sénatrice écologiste Leila Aïchi. Entre les dépenses de santé directement provoquées par la pollution, les coûts indirects liés aux décès prématurés et l’impact sur la baisse des rendements agricoles, la perte de biodiversité, la dégradation des bâtiments ou encore les dépenses de prévention, le coût global de la pollution de l’air en France tourne autour de 100 milliards d’euros par an selon les évaluations de la parlementaire.

    3 milliards d’euros par an de dépenses de santé

    Les coûts sanitaires directement liés à la pollution de l’air se mesurent assez facilement par les dépenses de santé de l’assurance maladie : hospitalisations, soins, indemnités de congés maladie ou pensions d’invalidité. La sécurité sociale débourse ainsi chaque année entre un et deux milliards d’euros pour la prise en charge des cancers, maladies respiratoires et cardiovasculaire liées aux émissions atmosphériques… À cela s’ajoute un milliard d’euros pour la prise en charge des maladies professionnelles liées à la pollution de l’air. L’élue arrive ainsi à la somme de 3 milliards d’euros annuels de dépenses publiques directement dues aux émissions polluantes. Soit pas loin d’un quart du déficit de la sécurité sociale en 2014 (qui était de 13,2 milliards [1]).

    Le chiffre est probablement bien plus élevé. « Ce coût est fortement sous-évalué, en raison du faible nombre de polluants ou de pathologies associées retenu par ces études et du périmètre des coûts pris en compte qui exclut un certain nombre de dépenses de santé », prévient le rapport.

    Viennent ensuite les coûts économiques et sociaux qui sont liés non pas aux dépenses de l’assurance maladie, mais aux morts prématurées et à la perte de bien-être provoqués par les pathologies de la pollution de l’air. Ceux-ci sont beaucoup plus difficiles à chiffrer, mais beaucoup plus importants. Pour les délimiter, le rapport parlementaire se base principalement sur une évaluation de 2005 du programme européen « Air pur pour l’Europe ». Selon cette étude, le coût sanitaire global des décès et pathologies liées à la pollution atmosphérique s’établit entre 68 et 97 milliards d’euros par an pour la France.

    Un montant à mettre en lien avec le nombre de décès prématurés provoqués par les émissions polluantes. Les deux polluants que sont l’ozone et les particules auraient par exemple provoqué en 2000 la mort prématurée de près de 45 000 personnes en France, ainsi que plus de 15 000 hospitalisations pour des causes respiratoires et cardiaques, d’après les même travaux du programme européen.

    « L’effet cocktail n’est pas pris en compte »

    Le rapport du Sénat pointe aussi les coûts non sanitaires des émissions atmosphériques : ceux des impacts sur les rendements agricoles et la biodiversité, sur l’érosion des bâtiments et les dépenses de prévention. Pour ce volet, il arrive à un coût minimal de 4,3 milliards d’euros par an.

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  4. Le chiffre de 100 milliards d’euros prend donc en compte un large faisceau de dépenses engendrées par la pollution de l’air. Il reste pourtant sûrement bien en-deçà du coût réel. « Les coûts de la pollution de l’air sont fortement sous-évalués », note Leila Aïchi, notamment en raison de la méconnaissance des effets de long terme des polluants. « Par ailleurs, l’effet cocktail des différents polluants de l’air n’est pas pris en compte dans les différentes études épidémiologiques menées. »

    Il y a quelques mois, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) alertait elle aussi sur les effets économiques et sociaux de la pollution atmosphérique. Elle chiffrait à 1575 milliards de dollars (1445 milliards d’euros) les coûts induits par les maladies et les morts prématurées liés à la pollution de l’air en Europe.

    En période de restrictions budgétaires, qu’attendent donc les gouvernements européens pour agir contre la pollution ? Pour la France, la sénatrice écologiste Leila Aïchi émet déjà une série de propositions : mettre fin à l’avantage fiscal au diesel, particulièrement polluant, envisager une taxe sur les émissions d’azote, d’oxydes d’azote et de particules fines, ou encore développer le fret ferroviaire.

    http://www.bastamag.net/La-pollution-de-l-air-creuse-le-trou-de-la-secu-et-coute-cher-a-la-societe

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    1. Même si la personne qui a écrit cet article n'en sait pas plus à la fin qu'au début, car, elle ne prend/parle pas en compte la pollution générée par les centrales électrique à charbons (1% en France) construite par 'les verts' en Allemagne pour tuer le plus de personnes possible (en Allemagne, mais aussi en Suisse, France, Italie, Espagne, etc), ni les chemtrails qui se sont révélés(confirmés) être LA cause de la maladie d'Alzheimer, cette personne contourne laaaaagement le problème. Cà m'étonne qu'elle n'ait pas parlé du pet des vaches, moutons, couvées ainsi que le gazcarbonique rejeté par l'homme comme étant nouvellement un pollution !

      -----------------------

      Voir:

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/06/abeilles-atteintes-dalzheimer-la.html

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/06/pas-plus-loin-que-le-bout-de-leur-nez.html

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/06/analyses-deau-de-pluie-tres.html

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  5. Attaque de terreur islamique sur le sol américain tue 4 Marines – et c'est juste le début


    Par Michael Snyder,
    le 16 juillet 2015


    La ville de Chattanooga, Tennessee est dans un état de choc. Jeudi, un terroriste islamique lourdement armé a pulvérisé un centre de réserve marine et Marine à Chattanooga avec des coups de feu sans aucun avertissement. Quatre Marines américains ont été tués et trois autres personnes ont été grièvement blessés. Le tireur a été identifié comme Mohammed Youssef Adebayo, et il est rapporté qu'il a utilisé un fusil « haute puissant » pour mener l'assaut. Il n'a pas survécu à l'attaque, et on ne sait ne pas s'il a même voulu. Les autorités enquêtent sur si oui ou non il avait n'importe quelle connexion à ISIS (ce qu'il fait presque certainement), mais personne ne conteste le fait qu'il était musulman. J'espère que cet horrible incident servira un énorme réveil pour des millions d'américains. Terroristes islamistes sont déjà là – et c'est juste le début de leur règne de terreur sur le sol américain.

    Dans un précédent article, j'ai posé la question suivante: "pourquoi ne sont pas américains prenant la menace ISIS « À noyer tout de vous dans le sang » sérieusement ?"

    C'est toujours une question que je pose aujourd'hui. ISIS a très clairement qu'ils ont l'intention de tuer autant de nous, car ils peuvent éventuellement. Mais la plupart des américains semblent très apathiques à ce sujet. Peut-être c'est parce qu'ils ont entendu tout ce qu'une « menace » que « al-Qaïda » a été pendant de nombreuses années et encore rien jamais semblait réellement arriver.

    Et bien sûr, il y a beaucoup de libéraux qui ont été formés qu'il est politiquement incorrect de même utiliser l'expression « Terrorisme islamique ». Suivant l'exemple de Barack Obama, Hillary Clinton et autres gauchistes radicaux, les seuls « terroristes » qu'ils veulent parler environ sont les « extrémistes de droite » qu'ils prennent grands joie en persécutant.

    Tir d'aujourd'hui va secouer j'espère que beaucoup d'américains hors de leurs comas politiquement induite. La menace du terrorisme islamique à l'intérieur des États-Unis est supérieure a jamais été avant.

    Tous que « al-Qaïda » semblait toujours faire était cacher dans des grottes et libération mal conçu message de propagande chaque fois que dans un certain temps. ISIS, en revanche, est un animal tout à fait différent. Chaque jour ils commettent publiquement certaines des atrocités plus viles qu'on puisse imaginer, et ils sont battent avec succès une guerre avant trois contre le gouvernement syrien, le gouvernement irakien et les Kurdes. Pendant ce temps, des groupes islamiques partout sur la planète sont jurer allégeance à eux, et leurs rangs sont étant gonflés par un afflux sans fin de recrues désireux.

    Aujourd'hui encore, un groupe affilié à ISIS en Egypte a frappé une frégate de la marine égyptienne l'avec un missile guidé. La portée et les capacités de cet organisme de terreur impitoyable sont tous deux continuellement en expansion, et ce qui nous vient d'assister à Chattanooga aujourd'hui est que la pointe de l'iceberg.

    Alors était Muhammad Youssef Adebayo réellement membre d'ISIS ?

    Eh bien, un compte Twitter qui a semblé être affilié avec ISIS semblait prendre le crédit pour l'attaque. Ce qui suit est un extrait d'un rapport sur Infowars.com...

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  6. Un compte Twitter qui prétend être associé avec les terroristes ISIS a semblé prendre la responsabilité de la fusillade de Chattanooga jeudi, qui a coûté la vie de quatre Marines à l'extérieur un Tennessee Navy et la Marine Reserve Center.

    Le compte Twitter, créé plus tard qu'hier, semble avoir envoyé un tweet avant Muhammad Youssef Abulazeez a été identifié comme le tireur, déclarant que « Chiens américains » verrait « merveilles » avec hashtags comme Chattanooga, États-Unis et ISIS.

    Le compte également envoyé plusieurs autres tweets mentionnant le « sang » des américains tout en avertissement de leur « destin imminent. »

    *****

    Selon un rapport sur Heavy.com, le premier tweet ci-dessus a été envoyé vers la même époque exacte que l'attaque a commencé...

    Timestamp du tweet montre il a été envoyé à 10:34 orientale, qui représente environ le même temps le tournage a commencé et avant il a été rapporté sur les médias sociaux ou traditionnels.
    Comme ISIS grandit, il va y être davantage d'attaques comme ça.

    ISIS est en croissance rapide grand et plus fort, et à ce stade, il est vraiment devenu une organisation globale. Par exemple, ce qui suit provient d'un rapport de Bloomberg sur la croissance d'ISIS en Asie du sud-est...

    L'Etat islamique en Irak et la Syrie a accéléré ses activités en Asie du sud-est si bien qu'il existe désormais une unité militaire entière des terroristes recrutés d'Indonésie, Malaisie et Singapour, selon le premier ministre de Singapour.

    « L'Asie du sud-est est un centre de recrutement clés d'ISIS, » premier ministre Lee Hsien Loong a déclaré, lors du Dialogue Shangri-la, ici à Singapour, vendredi. Il a noté que cela comprenait plus de 500 indonésiens et des dizaines de malaisiens. « ISIS a autant indonésien et Malaisie combattants qu'ils forment une unité par eux-mêmes — le Katibah Nusantara — unité de Combat de l'archipel malais, "a-t-il ajouté.

    Et bien sûr ISIS a cherché à établir une présence très forte à l'intérieur des États-Unis aussi bien depuis un certain temps. C'est quelque chose que même le FBI reconnaît...

    Dans une évaluation spectaculaire de la menace interne de l'État islamique, le directeur du FBI James Comey a déclaré jeudi il y a "des centaines, peut-être des milliers" de personnes à travers le pays qui reçoivent des ouvertures de recrutement du groupe terroriste ou directives d'attaquer les États-Unis

    Comey, explique l'État islamique, également connu sous le nom de ISIL, s'appuyant sur les médias sociaux une manière sans précédent grâce à Twitter et autres plateformes, diriger les messages pour les smartphones de « personnes perturbées », qui pourrait être poussé à lancer des attaques contre des cibles américaines.

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  7. "C'est comme le diable assis sur leurs épaules, en disant:" tuer, tuer, tuer,"' Comey, a déclaré lors d'une réunion avec des journalistes.
    Peut-être vous lisez ceci et vous êtes toujours sceptique.

    Dans l'affirmative, j'espère que vous vous réveillerez.

    ISIS n'est pas al-Qaïda.

    Al-Qaida était une plaisanterie complète et totale par rapport à ces gars-là. Ils sont la vraie affaire, et s'ils avaient l'occasion, ils tueraient vous et toute votre famille sans même y penser deux fois.

    En fait, si les dirigeants d'ISIS pouvaient appuyer sur un bouton et essuyer notre pays tout entier rayé de la carte, ils le feraient sans hésiter.

    Si ISIS est capable de mettre la main sur des armes de destruction massive et est en mesure d'obtenir ces armes à l'intérieur des États-Unis, ils les utilisent .

    Donc ce qui s'est passé aujourd'hui à Chattanooga est que le début.

    Les types d'attaques de terroristes islamiques que nous allons voir sur le sol américain dans les années à venir vont être beaucoup, beaucoup plus horrible que cela.

    http://endoftheamericandream.com/archives/islamic-terror-attack-on-u-s-soil-kills-4-marines-and-this-is-just-the-beginning

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    1. (...) Attaque de terreur islamique sur le sol américain tue 4 Marines – et c'est juste le début (...) !!! Hahahaha !

      '4' ? seulement ?? Alors que les Etatsuniens en ont assassiné des dizaines de millions avec des Armes à Destruction Massive !?
      Ils ont encore de la marge !

      'Qui sème le vent récolte la tempête'.

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  8. Expert: crise grecque le futur scénario économique de la France ?

    18.07.2015

    Malgré le fait que le Bundestag ait voté pour un nouveau plan d'aide à la Grèce, des experts estiment que la question du Grexit reste pourtant ouverte. De surcroît, la France pourrait suivre le sort de la Grèce considérant que la zone euro est pleine de tensions internes.

    Vendredi, les députés du Bundestag, la chambre basse du parlement allemand, ont donné leur feu vert à un nouveau plan d'aide à la Grèce en échange de réformes d'austérité. 439 des 598 députés ont voté "oui" à la demande du gouvernement de pouvoir négocier cette nouvelle aide, 119 ont voté "non" et 40 se sont abstenus. Le nombre de partisans du "non" a été près de deux fois supérieur à celui que pressentaient les médias allemands.

    Avant le vote du Bundestag, la chancelière Angela Merkel s'est exprimée pour défendre le "oui". La chancelière a fait remarquer qu'à cause du référendum en Grèce où 61% des électeurs avaient voté "non", le pays c'est retrouvé dans une situation difficile où trois scénarios étaient possibles.

    "Le premier. Nous continuons à retravailler les accords jusqu'à qu'ils n'aient plus aucun sens", a-t-elle dit en ajoutant que les accords européens ne prévoient pas de restructuration de la dette grecque si cette dernière restait dans la zone euro.

    Grèce: le parlement approuve l'accord avec les créanciers"Le deuxième. Nous arrêtons de lutter et regardons comment la Grèce saigne", a constaté Mme Merkel. Mais selon elle, cela aurait été la fin de la conscience de responsabilité commune au sein de la communauté européenne. D'après la chancelière, dans le cadre de ce scénario, une sortie provisoire de la Grèce de la zone euro aurait été possible. Mais selon elle, ni la Grèce ni aucun autre pays de l'union monétaire n'était prêts pour cela.

    Le troisième scénario, selon Mme Merkel, est une nouvelle tentative pour trouver un accord "pas à tout prix mais sur la base des règles européennes". "Il ne fait aucun doute que le résultat de lundi matin est dur pour les gens en Grèce, mais aussi pour les autres", a-t-elle constaté. La chancelière a souligné que cet accord, résultat d'une "dernière tentative" de négociations, demandait "une solidarité sans précédent" pour les uns et "des exigences sans précédent" pour la Grèce.

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  9. Grèce: le nouvel accord soulève une vague de manifestationsLe ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, a pour sa part souligné: "Nous allons utiliser toutes nos forces pour que cette dernière tentative puisse conduire au succès", "Nous pensons qu'il existe une chance de pouvoir conclure positivement ces négociations", a-t-il déclaré, ne cachant néanmoins pas que ce serait "très compliqué".

    La question du Grexit reste pourtant ouverte, selon les experts. Le professeur allemand d'économie politique à l'Université de Siegen, Bernd-Thomas Ramb, estime que si la Grèce quitte la zone d'euro, cela pourrait renforcer la monnaie européenne car dans ce cas-là elle perdrait son image négative. Mais dans la vision à longue terme, les différences existantes au sein de l'union monétaire vont se dévoiler tôt ou tard. Il s'agît avant tout de la France qui se dirige vers un scénario à la grecque. Dans quelques années, l'exemple de la France rendra évident que la création de la zone euro entre une grande puissance comme l'Allemagne et d'autres pays qui ont trop de différences au niveau économique, était une mauvaise décision. Je prévois que tôt ou tard l'euro deviendra une monnaie commune et non plus une monnaie unique comme c'est le cas actuellement.

    Grèce: vers la démission d'Alexis Tsipras?En ce qui concerne l'Union européenne dans son ensemble, il y a aussi des tensions avec les pays membres de l'UE mais pas de la zone euro, comme le Royaume-Uni qui envisage de sortir de l'UE. Ces pays se sont prononcés contre le sauvetage de la Grèce à leurs frais. "Cela démontre que l'UE a suivi un chemin erroné lors des dernières décennies et à cause de cela elle se retrouve dans une impasse. L'Union européenne a été trop vite élargie. Cela a inévitablement amené des tensions internes. Dans ce cas-là, l'UE doit soit trouver une nouvelle base pour exister, soit assumer que la chute est inévitable, une chute à la suite de quoi quelque chose de nouveau deviendra possible", a conclu M. Ramb.

    http://fr.sputniknews.com/international/20150717/1017099308.html

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  10. Interview de Yanis Varoufakis: L’Europe bafoue impitoyablement la démocratie

    Yanis Varoufakis se sent «sur le toit du monde» maintenant que son rôle dans les pourparlers de crise est terminé.

    Transcription intégrale de la première interview de l’ancien ministre des Finances grec depuis sa démission.

    Par Harry Lambert
    Par Sayed7asan – Le 13 juillet 2015 – Source sayed7asan via newstatesman


    Extraits

    L’absence totale de scrupules démocratiques, de la part des défenseurs supposés de la démocratie en Europe. La compréhension très claire, en face, que nous étions sur la même ligne analytiquement – bien sûr, ils ne le reconnaîtront jamais à présent. [Et pourtant] d’avoir des personnages très puissants qui vous regardent dans les yeux et disent : ‘Ce que vous dites est vrai, mais nous allons vous broyer quand même.’
    [...]

    Mais Schäuble [le ministre des Finances allemand] est resté cohérent jusqu’à la fin. Son point de vue était «Je ne discute pas du programme – il a été accepté par le gouvernement précédent et nous ne pouvons pas permettre à une élection de changer quoi que ce soit. Parce que nous avons des élections tout le temps, nous sommes 19 [pays], si à chaque fois qu’il y avait une élection on devait changer quelque chose, les contrats conclus entre nous ne vaudraient rien.»

    Donc à ce moment j’ai dû me lever et dire :« Eh bien, peut-être que nous devrions tout simplement arrêter de tenir des élections dans les pays endettés», et il n’y a eu aucune réponse. La seule interprétation [de leur point de vue] que je peux donner est «Oui, ce serait une bonne idée, mais ce serait difficile à faire. Donc soit vous signez sur la ligne pointillée, soit vous sortez.»
    [...]
    Donc ce que nous avons est un groupe inexistant qui a le pouvoir absolu de déterminer les conditions de vie des Européens. Il n’a à rendre de comptes à personne, étant donné qu’il n’a pas d’existence légale ; aucun procès-verbal n’est conservé ; et il est confidentiel. Donc aucun citoyen ne sait jamais ce qui se dit en son sein... Ce sont presque des décisions de vie et de mort, et aucun membre n’a à en répondre devant quiconque.
    [...]
    La zone euro est un endroit très inhospitalier pour les honnêtes gens.

    Traduction de l’anglais par sayed7asan
    Transcription

    Harry Lambert : – Alors, comment vous sentez-vous ?

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  11. Yanis Varoufakis : – Je me sens sur le toit du monde – je n’ai plus à subir cet agenda très mouvementé qui était absolument inhumain, tout simplement incroyable. J’avais 2 heures de sommeil par jour pendant cinq mois… Je suis également soulagé de ne plus avoir à supporter la pression incroyable de devoir négocier une position que je trouve difficile à défendre, même si je parvenais à amener l’autre partie à accepter, si vous voyez ce que je veux dire.

    – Comment était-ce ? Avez-vous apprécié quelque aspect de cette expérience ?

    – Oh oui, beaucoup de choses. Mais l’information interne qu’on obtient… voir vos pires craintes confirmées… avoir les pouvoirs en place qui vous parlent directement, et que ce soit comme vous le craigniez – la situation était pire que ce que nous avions imaginé ! Oui, c’était assez plaisant d’avoir le siège au premier rang.

    – A quoi faites-vous allusion ?

    YV : L’absence totale de scrupules démocratiques, de la part des défenseurs supposés de la démocratie en Europe. La compréhension très claire, en face, que nous étions sur la même ligne analytiquement – bien sûr, ils ne le reconnaîtront jamais à présent. [Et pourtant] d’avoir des personnages très puissants qui vous regardent dans les yeux et disent : «Ce que vous dites est vrai, mais nous allons vous broyer quand même.»

    – Vous avez déclaré que les créanciers s’opposaient à vous parce que «j’essaie de parler d’économie au sein de l’Eurogroupe, ce que personne ne fait». Que se passait-il lorsque vous le faisiez ?

    – Ce n’est pas que ça se passait mal – c’est qu’il y avait un refus catégorique de se livrer à des arguments économiques. Un refus catégorique… Vous avancez un argument sur lequel vous avez vraiment travaillé – pour vous assurer qu’il est logique et cohérent – et vous n’êtes confronté qu’à des regards vides. C’est comme si vous n’aviez rien dit. Ce que vous dites est indépendant de ce qu’ils disent. Vous pourriez tout aussi bien avoir chanté l’hymne national suédois – vous auriez eu la même réponse. Et c’est ce qui est étonnant, pour quelqu’un qui a l’habitude des débats académiques, dans lesquels l’autre côté répond toujours. Eh bien, il n’y avait pas le moindre échange. Ce n’était même pas de la contrariété, c’était comme si on n’avait rien dit.

    – Quand vous êtes arrivé, début février, ce n’était quand même pas une position uniforme ?

    – Eh bien, il y avait des gens qui étaient compréhensifs à un niveau personnel – oui, vous savez, derrière des portes closes, sur une base informelle, en particulier de la part du FMI. [HL : «Des plus hauts niveaux du FMI?» YV : «Des plus hauts niveaux, des plus hauts niveaux.»] Mais ensuite, au sein de l’Eurogroupe, quelques mots gentils et c’est tout, on se replaçait derrière le parapet de la version officielle.

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  12. [Mais le Ministre des Finances allemand] Schäuble est resté cohérent jusqu’à la fin. Son point de vue était: «Je ne discute pas du programme – il a été accepté par le gouvernement précédent et nous ne pouvons pas permettre à une élection de changer quoi que ce soit. Parce que nous avons des élections tout le temps, nous sommes 19 [pays], si à chaque fois qu’il y avait une élection on devait changer quelque chose, les contrats conclus entre nous ne vaudraient rien.»

    Donc à ce moment j’ai dû me lever et dire : «Eh bien, peut-être que nous devrions tout simplement arrêter de tenir des élections dans les pays endettés», et il n’y a eu aucune réponse. La seule interprétation [de leur point de vue] que je peux donner est «Oui, ce serait une bonne idée, mais ce serait difficile à faire. Donc soit vous signez sur la ligne pointillée, soit vous sortez.»

    – Et Merkel ?

    – Vous devez comprendre que je n’ai jamais eu affaire à Merkel, les ministres des Finances parlent aux ministres des Finances, les Premiers ministres parlent aux Chanceliers. A ce que j’ai compris, elle était très différente. Elle a essayé d’apaiser le Premier ministre [Tsipras] – elle a dit: «Nous trouverons une solution, ne vous inquiétez pas à ce sujet, je ferai en sorte que rien de grave ne se produise, contentez-vous de faire vos devoirs et de travailler avec les institutions, de travailler avec la Troïka ; il ne peut y avoir aucune impasse ici.»

    Ce n’est pas ce que m’a dit mon homologue – à la fois à la tête de l’Eurogroupe et le Dr Schäuble, ils ont été très clairs. À un certain moment, cela m’a été dit très clairement : « Ça, c’est un cheval, et soit vous montez en croupe, soit il est mort.»

    – Quand cela s’est-il passé ?

    – Dès le début, dès le début. [Ils se sont rencontrés début février.]

    – Alors pourquoi avoir traîné jusqu’à l’été ?

    – Eh bien on n’a pas eu le choix. Notre gouvernement a été élu avec un mandat pour négocier. Donc durant notre premier mandat, on devait organiser l’espace et le temps nécessaires pour tenir des négociations et parvenir à un autre accord. Ce fut notre mandat – notre mandat était de négocier, ce n’était pas d’en venir aux mains avec nos créanciers…

    Les négociations ont pris une éternité parce que la partie adverse refusait de négocier. Ils ont insisté pour un «accord global», ce qui signifiait qu’ils voulaient parler de tout. Mon interprétation est que lorsque vous voulez parler de tout, vous ne voulez pas parler de quoi que ce soit. Mais nous nous sommes soumis à cette démarche.

    Et vous voyez, ils ne donnaient jamais leur vues sur quoi que ce soit. Qu’est-ce qu’ils faisaient ? Par exemple, ils nous diraient qu’ils ont besoin de toutes nos données sur la trajectoire budgétaire sur laquelle se trouve la Grèce, qu’ils ont besoin de toutes les données sur les entreprises publiques. Donc nous avons passé beaucoup de temps à essayer de leur fournir toutes les données, à répondre à des questionnaires et à tenir d’innombrables réunions pour fournir ces données.

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  13. Ce serait donc la première phase. Pour la deuxième phase, ils nous demanderaient ce que nous avions l’intention de faire sur la TVA. Ils rejetteraient alors notre proposition, mais n’avanceraient pas de proposition de leur côté. Puis avant même que nous ayons pu essayer de nous mettre d’accord avec eux sur la TVA, ils passeraient à une autre question, comme la privatisation. Ils demanderaient ce que nous voulons faire au sujet de la privatisation, nous proposons quelque chose, ils le rejettent. Puis ils iraient sur un autre sujet comme les pensions, de là ils iraient aux produits de marché, des produits de marché aux relations de travail, des relations de travail à toutes sortes de choses, n’est-ce-pas? En fait, c’était comme un chat qui court après sa queue.

    Nous avons eu le sentiment, le gouvernement a estimé que nous ne pouvions pas mettre fin au processus. Écoutez, ma suggestion depuis le début était celle-ci : c’est un pays qui s’est échoué, qui s’est échoué il y a bien longtemps… Nous devons absolument réformer ce pays – nous sommes d’accord sur ce point. Parce que le facteur-temps est un élément capital, et parce que durant les négociations, la Banque centrale restreignait fortement les liquidités [pour les banques grecques] afin de nous mettre la pression, afin de nous faire céder, ma proposition constante à la Troïka était très simple : mettons-nous d’accord sur trois ou quatre réformes importantes sur lesquelles nous convergeons, comme le système fiscal, comme la TVA, et mettons-les en œuvre immédiatement. Et vous relâchez les restrictions de la BCE sur les liquidités. Vous voulez un accord global – poursuivons les négociations – et en attendant, laissez-nous proposer ces réformes au Parlement par un accord entre nous et vous.

    Et ils ont répondu: «Non, non, non, ce doit être un bilan global. Rien ne sera mis en œuvre si vous osez introduire une quelconque législation. Ce serait considéré comme une action unilatérale hostile au processus de négociation.» Et puis bien sûr, quelques mois plus tard, ils divulguaient aux médias que nous n’avions pas réformé le pays et que nous perdions du temps ! Et alors… [Rires] nous avons été piégés dans un certain sens, d’une manière capitale.

    Donc au moment où les liquidités étaient presque complètement épuisées, et que nous étions en situation de défaut de paiement, ou de quasi-défaut, vis-à-vis du FMI, ils ont présenté leurs propositions, qui étaient absolument impossibles… Totalement non viables et toxiques. Donc ils ont temporisé encore et encore, puis ils ont avancé le genre de proposition que vous présentez à l’autre partie quand vous ne voulez pas parvenir à un accord.

    – Avez-vous essayé de collaborer avec les gouvernements d’autres pays endettés ?

    – La réponse est non, et la raison est très simple: dès le tout début, ces pays particuliers ont précisé très explicitement qu’ils étaient les ennemis les plus farouches de notre gouvernement, dès le tout début. Et la raison en était bien sûr que notre succès était leur plus grand cauchemar: si nous réussissions à négocier un meilleur accord pour la Grèce, cela les aurait anéantis politiquement, ils auraient dû rendre des comptes à leurs propres peuples pour leur expliquer pourquoi ils ne négociaient pas comme nous le faisions.

    – Et de vous mettre en lien avec des partis qui vous soutiennent, comme Podemos ?

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  14. – Pas vraiment. Je veux dire que nous avons toujours eu une bonne relation avec eux, mais ils ne pouvaient absolument rien faire – leur voix ne pourraient jamais parvenir à l’Eurogroupe. Et de fait, plus ils parlaient en notre faveur, ce qu’ils ont fait, plus le ministre des Finances représentant ce pays devenait hostile à notre égard.

    – Et George Osborne [ministre des Finances britannique] ? Quelles étaient vos relations avec lui ?

    – Oh elles étaient très bonnes, très agréables, excellentes. Mais il est hors de la boucle, il ne fait pas partie de l’Eurogroupe. Lorsque je lui ai parlé, à plusieurs reprises, je pouvais voir qu’il était très compréhensif. Et en effet, si vous regardez le Telegraph, les plus grands défenseurs de notre cause ont été les conservateurs ! En raison de leur euroscepticisme, hein… Mais ce n’est pas que de l’euroscepticisme ; c’est une vue de Burke prônant la souveraineté du Parlement – dans notre cas, il était très clair que notre Parlement était traité comme un déchet.

    – Quel est le plus grand problème avec le mode de fonctionnement général de l’Eurogroupe ?

    – Pour donner un exemple, il y a eu un moment où le Président de l’Eurogroupe a décidé d’agir contre nous et nous a effectivement exclus, et il a fait savoir que la Grèce était sur le point de sortir de la zone euro… Il existe une convention selon laquelle les communiqués doivent être adoptés à l’unanimité, et le Président ne peut pas simplement convoquer une réunion de la zone euro et en exclure un État membre. Et il a dit «Oh, je suis sûr que je peux le faire.» J’ai donc demandé un avis juridique. Cela a créé un peu de cafouillage. Pendant 5 à 10 minutes environ, la réunion a été interrompue, les greffiers et fonctionnaires parlaient les uns aux autres, ils passaient des coups de téléphone, et finalement, un fonctionnaire, un certain expert juridique s’est adressé à moi, et a prononcé les mots suivants: «En fait, l’Eurogroupe n’a pas d’existence légale, il n’y a pas de traité qui régit le fonctionnement de ce groupe.»
    Donc ce que nous avons est un groupe inexistant qui a le pouvoir absolu de déterminer les conditions de vie des Européens. Il n’a à rendre de comptes à personne, étant donné qu’il n’a pas d’existence légale ; aucun procès-verbal n’est conservé ; et il est confidentiel. Donc aucun citoyen ne sait jamais ce qui se dit en son sein… Ce sont presque des décisions de vie et de mort, et aucun membre n’a à en répondre devant quiconque.

    – Et est-ce que ce groupe est contrôlé par les attitudes allemandes ?

    – Oh, complètement et totalement. Pas par des attitudes – par le ministre des Finances de l’Allemagne. Tout est comme un orchestre très bien réglé et il est le chef d’orchestre. Tout est conforme à la mélodie. Il y aura des moments où l’orchestre sera désaccordé, mais il le convoquera et le remettra dans le bon rythme.

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  15. – N’y a-t-il aucun pouvoir alternatif au sein du groupe ? Les Français peuvent-ils contrer ce pouvoir ?

    Seul le ministre des Finances français émettait une tonalité quelque peu différente de la ligne allemande, mais ces nuances étaient très subtiles. On sentait qu’il devait utiliser un langage très mesuré, afin de ne pas sembler manifester une opposition. Et en dernière analyse, quand Doc Schäuble répondait et déterminait efficacement la ligne officielle, le Ministre des Finances français finissait toujours par plier et accepter.

    – Parlons de votre arrière-plan théorique, et de votre écrit sur Marx en 2013, quand vous avez déclaré:

    «Une sortie grecque, portugaise ou italienne de la zone euro conduirait bientôt à une fragmentation du capitalisme européen, créant une région en forte récession à l’est du Rhin et au nord des Alpes, tandis que le reste de l’Europe serait sous l’emprise d’une violente stagflation. Qui profiterait donc d’un tel développement ? Une gauche progressiste, qui, tel un Phénix, renaîtrait des cendres des institutions publiques de l’Europe ? Ou les nazis de l’Aube Dorée, les néofascistes assortis, les xénophobes et les voyous ? Je n’ai absolument aucun doute quant à savoir lequel des deux profitera le plus d’une désintégration de la zone euro.»

    … Un Grexit profiterait-il inévitablement à l’Aube Dorée, c’est toujours votre opinion ?

    – Eh bien voyez-vous, je ne crois pas aux versions déterministes de l’histoire. Syriza est maintenant une force très dominante. Si nous parvenons à sortir unis de ce pétrin, et à gérer correctement un Grexit… il serait possible d’avoir une alternative. Mais je ne suis pas sûr que nous y parviendrions, parce que la gestion de l’effondrement d’une union monétaire demande beaucoup de savoir-faire, et je ne suis pas sûr que nous l’ayons ici en Grèce sans aide de l’extérieur.

    – Vous devez avoir envisagé un Grexit dès le premier jour…

    – Oui, absolument.

    – … Des préparatifs ont-ils été faits ?

    – La réponse est oui et non. Nous avions un petit groupe, un «cabinet de guerre» d’environ cinq personnes au sein du ministère, qui faisaient ceci : on a élaboré en théorie, sur le papier, tout ce qui devait être fait [pour préparer / dans le cas d’un Grexit]. Mais c’est une chose de faire cela au niveau de 4 ou 5 personnes, et c’est tout à fait autre chose d’y préparer le pays. Pour y préparer le pays, une décision de l’exécutif devait être prise, et cette décision n’a jamais été prise.

    – Et durant la dernière semaine, aviez-vous le sentiment que vous penchiez vers une telle décision [la préparation du Grexit] ?

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  16. – Mon point de vue était que nous devions soigneusement veiller à ne pas l’enclencher. Je ne voulais pas que cela devienne une prophétie auto-réalisatrice. Je ne voulais pas que ce soit comme la fameuse maxime de Nietzsche selon laquelle si vous scrutez l’abîme pendant assez longtemps, l’abîme vous regardera à son tour. Mais je pensais aussi qu’au moment où l’Eurogroupe fermerait les banques, nous devrions dynamiser ce processus.

    – Exactement. Donc il y avait deux options, à ce que je vois – un Grexit immédiat, ou l’impression de reconnaissances de dette et la prise du contrôle bancaire de la Banque de Grèce [ce qui précipiterait potentiellement mais pas nécessairement un Grexit] ?

    – Bien sûr, bien sûr. Je n’ai jamais cru que nous devrions en arriver directement à une nouvelle monnaie. Mon point de vue était – et je l’ai soumis au gouvernement – que s’ils osaient fermer nos banques, ce que je considérais comme un mouvement agressif d’une violence incroyable, nous devions réagir de façon combative mais sans franchir le point de non-retour. Nous devrions émettre nos propres reconnaissances de dette, ou même au moins annoncer que nous allions émettre nos propres liquidités libellées en euros ; nous devrions réduire les obligations grecques de 2012 détenues par la BCE, ou annoncer que nous allions le faire ; et nous devrions prendre le contrôle de la Banque de Grèce. C’était pour moi le triptyque, les trois choses avec lesquelles nous devrions répondre si la BCE fermait nos banques.

    J’avais averti le Cabinet que cela allait se passer [la fermeture de nos banques par la BCE] pendant un mois, afin de nous traîner de force vers un accord humiliant. Lorsque cela s’est produit – et beaucoup de mes collègues ne pouvaient pas croire à une telle chose –, ma recommandation pour répondre «énergiquement», disons, a été rejetée.

    – Etiez-vous presque sur le point de prendre cette décision ?

    – Eh bien, laissez-moi dire que sur six personnes, nous étions une minorité de deux… Après que ma recommandation a été rejetée, j’ai reçu mes ordres pour fermer les banques de manière concertée avec la BCE et la Banque de Grèce, ce à quoi j’étais opposé, mais je l’ai fait parce que je joue en équipe, je crois en la responsabilité collective.

    Et puis il y a eu le référendum, et le référendum nous a donné une impulsion formidable, qui aurait justifié le type de réponse énergique que je préconisais contre la BCE, mais cette nuit même, le gouvernement a décidé que la volonté du peuple, ce « Non » retentissant, ne devrait pas constituer l’impulsion pour adopter cette approche énergique.

    Au contraire, elle devrait conduire à d’importantes concessions faites à la partie adverse : la réunion du conseil des dirigeants politiques, avec l’acceptation par notre Premier ministre de la prémisse selon laquelle quoi qu’il arrive, quoi que fasse la partie adverse, nous ne répondrions jamais d’une façon qui puisse les brusquer. Et cela signifie essentiellement que vous cédez… Vous cessez de négocier.

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  17. – Donc vous n’avez guère plus d’espoir, à présent, que cet accord puisse être sensiblement meilleur que celui de la semaine dernière – bien plutôt, il sera pire ?

    – Ça ira bien plutôt dans le sens du pire, oui. J’ai confiance en notre gouvernement et j’espère qu’il va insister sur la restructuration de la dette, mais je ne vois pas comment le ministre des Finances allemand pourra jamais accepter une telle chose à la prochaine réunion de l’Eurogroupe. S’il le fait, ce sera un miracle.

    – Exactement – parce que comme vous l’avez expliqué, vous avez maintenant perdu vos moyens de pression.

    – Oui, c’est ce que je pense. À moins qu’il [Schäuble] reçoive ses ordres de marche de la Chancelière. Cela reste à voir, si elle va intervenir dans ce sens.

    – Pour y revenir à nouveau, pourriez-vous expliquer en termes simples, pour nos lecteurs, vos objections au Capital de Piketty ?

    – Eh bien, laissez-moi dire tout d’abord que je me sens gêné, parce que Piketty a largement manifesté son soutien pour moi et pour le gouvernement, et j’ai été très sévère pour lui dans ma critique de son livre ! J’apprécie vraiment sa position au cours des derniers mois, et je vais le lui dire quand je le rencontrerai en septembre.

    Mais ma critique de son livre se tient. Son sentiment est correct. Son aversion pour l’inégalité… [inaudible]. Son analyse, toutefois, sape son argument en ce qui me concerne. Parce que dans son livre, le modèle néoclassique du capitalisme laisse très peu de place pour construire l’argumentation qu’il veut construire, sauf en érigeant un ensemble très spécifique de paramètres sur le modèle, ce qui sape son propre raisonnement. En d’autres termes, si j’étais un adversaire de sa thèse selon laquelle l’inégalité est inhérente au capitalisme, je serais en mesure de réfuter sa thèse en attaquant son analyse.

    – Je ne veux pas trop aller dans les détails, parce que je ne veux pas conclure sur cela…

    – Oui…
    – … mais parlez-vous de sa métrique de la richesse ?
    – Oui, il recourt à une définition du capital qui rend impossible la compréhension du capital – donc c’est une contradiction dans les termes. [Voyez la critique du Capital de Piketty par Varoufakis :
    http://yanisvaroufakis.eu/2014/10/08/6006/]

    – Revenons à la crise. J’ai du mal à bien comprendre quelle est votre relation avec Tsipras…

    – Je le connais depuis fin 2010, parce que j’étais un des principaux critiques du gouvernement de l’époque, même si j’en avais été proche jadis. J’étais proche de la famille Papandréou – je le suis toujours d’une certaine façon – mais je me suis retrouvé sur le devant de la scène… À l’époque, c’était exceptionnel qu’un ancien conseiller dise: «Nous prétendons que la faillite n’a pas eu lieu, nous essayons de la colmater avec de nouveaux prêts non viables», ce genre de choses.

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  18. J’ai fait quelques vagues à l’époque, et Tsipras était un très jeune leader qui essayait de comprendre ce qui se passait, à quoi était due la crise, et comment il devait se positionner.

    – Vous souvenez-vous de votre première rencontre ?

    – Oh oui. C’était fin 2010, nous sommes allés à une cafétéria, on était trois, et je crois me souvenir qu’il n’avait pas les idées bien claires sur des questions comme la drachme contre l’euro, sur les causes de la crise, et quant à moi, j’avais, je dirais, des vues très claires sur ce qui se passait. Et un dialogue s’est engagé, et il s’est poursuivi au fil des années et… je crois que j’ai contribué à façonner sa vision de ce qui devrait être fait.

    – Alors après quatre ans et demi, que ressentez-vous maintenant que vous ne travaillez plus à ses côtés ?

    – Ce n’est pas comme ça que je le ressens, j’ai le sentiment que nous sommes très proches. Notre séparation a été extrêmement amicale. Il n’y a jamais eu de problème entre nous, jamais, pas à ce jour. Et je suis très proche d’Euclide Tsakalotos [le nouveau ministre des Finances].

    – Et je présume que vous parlez encore avec eux cette semaine ?

    – Je n’ai pas parlé au premier Ministre cette semaine, dans les deux derniers jours, mais je parle à Euclide, oui, et je considère qu’Euclide est très proche de moi, et vice-versa, et je ne l’envie pas du tout. [Rire.]

    – Seriez-vous surpris si Tsipras démissionnait ?

    – Rien ne me choque plus ces jours-ci – notre zone euro est un endroit très inhospitalier pour les honnêtes gens. Je ne serais pas choqué non plus qu’il reste en poste et accepte un très mauvais accord. Parce que je peux comprendre qu’il estime avoir un devoir envers les gens qui le soutiennent, qui nous soutiennent, de ne pas laisser ce pays devenir un État en déliquescence.

    Mais je ne vais pas trahir mon propre point de vue, élaboré depuis 2010, selon lequel ce pays doit cesser de repousser les échéances et rejeter les faux-semblants : nous devons arrêter de contracter de nouveaux prêts en prétendant que nous avons résolu le problème, alors que ce n’est pas le cas ; en réalité, nous avons rendu notre dette encore moins viable en acceptant encore plus d’austérité qui réduit encore davantage notre économie, et déplace la charge encore plus sur les démunis, créant une crise humanitaire. C’est quelque chose que je ne vais pas accepter. Je ne vais pas participer à cela.

    – Dernière question – allez-vous rester proche de certaines personnes avec qui vous avez eu à négocier ?

    – Euh, je ne suis pas sûr. Je ne vais pas citer de noms maintenant pour ne pas prendre le risque de détruire leur carrière ! [Rire.]

    http://lesakerfrancophone.net/interview-de-yanis-varoufakis-leurope-bafoue-impitoyablement-la-democratie/

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    1. Seul le peuple a raison. Les PM ou Chefs d'Etats font ensemble leur binze. Ils sont TOUS dans le même sac. Ne perdons pas notre temps avec des cons pareils !

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  19. Leçon de la Grèce pour la Russie

    Soumis par Tyler Durden
    le 18/07/2015 20:30-0400
    Soumis par Paul Craig Roberts,


    « La dette de la Grèce aujourd'hui ne peut se faire durable par le biais de mesures d'allégement de la dette qui vont bien au-delà de ce que l'Europe a été disposée à envisager jusqu'à présent », Fonds monétaire International

    Leçon de la Grèce pour la Russie et la Chine et l'Iran, est d'éviter toutes les relations financières avec l'Occident. L'ouest simplement ne peut pas faire confiance. Washington s'est engagé à l'hégémonie économique et politique sur tous les autres pays et utilise le système financier occidental pour le gel des avoirs, confiscations et sanctions. Les pays qui ont des politiques étrangères indépendantes et aussi actifs dans l'Ouest ne peuvent s'attendre à Washington de respecter leurs droits de propriété ou de leur propriété. Washington se fige ou vole des actifs du pays ou dans le cas de la France inflige des amendes de plusieurs milliards de dollars, afin de forcer la conformité aux politiques de Washington. L'Iran, par exemple, perd l'usage de $ 100 milliards, environ un quart du PIB iranien, ans simplement parce que l'Iran a insisté sur ses droits en vertu du traité de non-prolifération.

    Journalistes russes me demandent si la volonté de Obama pour conclure l'entente avec l'Iran signifie il y a espoir un accord peut être atteint sur l'Ukraine. La réponse est no En outre, comme je l'expliquerai plus tard, l'accord avec l'Iran ne signifie pas grand-chose que Washington s'inquiète.

    Il y a trois jours (14 juillet) un officier militaire de haut rang, Gen Paul Selva, le troisième en autant de jours, a dit le Sénat américain la Russie est « une menace existentielle pour cette nation (les Etats-Unis) ». Seulement quelques jours avant le Sénat avait entendu la même chose du commandant de la Marine américaine Joseph Dunford et du Secrétaire de l'armée de l'Air. Quelques jours auparavant, le Président de la nous Joint Chiefs of Staff mis en garde contre un russe « menace hybride ».

    Washington est investi dans l'utilisation de l'Ukraine contre la Russie. Tous les conflits il vient avec le gouvernement fantoche de Washington à Kiev. La Russie est blâmée pour tout, y compris la destruction de l'avion malaisienne. Washington a utilisé de fausses accusations pour contraindre l'UE à des sanctions contre la Russie qui ne sont pas dans l'intérêt de l'UE. Washington a réussi à contraindre l'Europe à mal les relations politiques et économiques de l'Europe avec la Russie et à entrer dans un état de conflit avec la Russie, certainement Washington ne va pas à accepter un règlement à l'ukrainien. Même si Washington voulait faire, comme position entière de Washington repose sur rien d'autre que la propagande, Washington devra désavouer elle-même afin de parvenir à un accord.

    Malgré tout, la Président de la Russie et la ministre des affaires étrangères continuent de parler des États de vassal de l'UE aux Etats-Unis et de Washington comme « nos partenaires ». Peut-être la Poutine et Lavrov sont être sarcastique. Chose la plus certaine de notre temps est que Washington et ses vassaux n'est pas partenaires de la Russie.

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  20. La doctrine de m. Wolfowitz, la base de la politique étrangère et militaire américaine, déclare que la montée de la Russie ou tout autre pays on ne peut permettre, parce que les États-Unis sont le Uni-pouvoir et ne peuvent tolérer aucune contrainte sur ses actions unilatérales.

    Tant que cette doctrine règne à Washington, ni la Russie, la Chine, ni l'accord nucléaire ne résiste ne pas à l'Iran, sont sûrs. Tant que l'Iran a une politique étrangère indépendante, l'accord nucléaire ne protège pas l'Iran, parce que tout conflit politique significative avec Washington peut produire de nouvelles justifications des sanctions.

    Avec l'accord nucléaire avec l'Iran vient la libération de le $ 100 milliards de Iran en soldes Western congelés. J'ai entendu hier membre du Conseil des Relations étrangères de dire que l'Iran devrait investir sa sorti $ 100 milliards dans des entreprises américaines et européennes. Si l'Iran fait cela, le gouvernement iranien est lui-même mise en place plus de chantage. Investir n'importe où dans l'Ouest signifie que les actifs de l'Iran peuvent être gelés ou confisqués à tout moment.

    Si Obama devait rejeter Victoria Nuland, Susan Rice et Samantha Power et remplacer ces néoconservateurs avec des diplomates sain d'esprit, les perspectives seraient amélioré. Puis la Russie, la Chine et l'Iran aurait une meilleure possibilité d'atteindre hébergement avec les États-Unis à des conditions autres que de vassalité.

    La Russie et la Chine, ayant émergé d'un mauvais fonctionnement du système économique communiste, naturellement considèrent l'Occident comme un modèle, semble-t-il, la Chine est tombé éperdument pour le capitalisme occidental. La Russie, peut-être moins, mais les économistes dans ces deux pays sont les mêmes que les économistes néolibéraux de l'Occident, ce qui signifie qu'ils sont involontaires des serviteurs de l'impérialisme financier occidental. Pensant à tort qu'ils soient fidèles à l'économie, qu'ils soient fidèles à l'hégémonie de Washington.

    Avec la déréglementation qui a commencé dans le régime de Clinton, capitalisme occidental est devenu socialement dysfonctionnel. Aux États-Unis et dans tout l'Occident n'est plus le capitalisme sert le peuple. Capitalisme sert les propriétaires et gestionnaires de capital et personne d'autre.

    C'est pourquoi l'inégalité des revenus aux États-Unis est désormais aussi mauvaise ou pire que pendant l'ère de « baron robber » des années 1920. Le règlement des années 1930 qui a fait le capitalisme, le fonctionnement du système économique a été abrogé. Aujourd'hui dans l'ouest le capitalisme mondial est un mécanisme de pillage. Le capitalisme seulement s'installe dans labor, le capitalisme s'installe dans des pays entiers, comme la Grèce, qui est forcé de vendre des biens nationaux de la Grèce aux acheteurs étrangers de l'UE.

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  21. Avant que Poutine et Lavrov à nouveau renvoie à leurs partenaires"américains", ils doivent réfléchir sur l'absence de l'Union européenne de bonne volonté envers la Grèce. Lorsqu'un membre de l'Union européenne elle-même est être pillés et enfoncés dans le sol par ses compatriotes, comment la Russie, la Chine, et Iran s'attendre à meilleurs traitements ? Si l'Occident n'a aucune bonne volonté vers la Grèce, où est le bien de l'Occident va vers la Russie ?

    Le gouvernement grec a été forcé de capituler devant l'Union européenne, malgré le soutien, il a reçu de l'organisation d'un référendum, parce que les Grecs se sont appuyé sur la bonne volonté de leurs partenaires européens et sous-estimé la fausseté du 1 %. Le gouvernement grec ne s'attendait pas à l'attitude impitoyable de ses collègues gouvernements membres de l'UE. Le gouvernement grec a réellement pensé que son analyse experte de la situation de la dette grecque et l'économie auraient poids dans les négociations. Cette attente a laissé le gouvernement grec sans un plan de sauvegarde. Le gouvernement grec n'a aucun réfléchi à comment s'y prendre pour quitter l'euro et la mise en place d'un système bancaire et monétaire indépendante de l'euro. Le manque de préparation pour la sortie a quitté le gouvernement avec aucune alternative aux demandes de l'UE.

    La fin de la souveraineté budgétaire de la Grèce, c'est ce qui est en magasin pour l'Italie, l'Espagne et Portugal et finalement pour la France et l'Allemagne. Comme Jean-Claude Trichet, l'ancien chef de la Banque centrale européenne, a dit, la crise de la dette souveraine a signalé qu'il est temps de rapprocher l'Europe au-delà d'un « concept strict de la nation ». La prochaine étape de la centralisation de l'Europe est la centralisation politique. La crise de la dette grecque est utilisée pour établir le principe selon lequel, étant membre de l'Union européenne signifie que le pays a perdu sa souveraineté.

    L'idée, répandue dans l'ouest de médias financiers, qu'une solution a été imposée sur les Grecs sont une absurdité. Rien n'a été résolu. Les conditions auxquelles le gouvernement grec a fait valoir rendre la dette même moins à payer. En peu de temps, la question sera à nouveau devant nous. Comme John Maynard Keynes fait clairement en 1936 et connaît tous les économistes, entraînant une baisse des revenus des consommateurs en réduisant les retraites, l'emploi, des salaires et des services sociaux, réduit la consommation et la demande d'investissement, et ainsi le PIB et les résultats dans l'ensemble de budget déficits qui doivent être couverts par l'emprunt. Vente d'actifs du pubis aux étrangers transfère les flux de revenus de l'économie grecque dans des mains étrangères.

    Le capitalisme nu non réglementé, a prouvé au 21e siècle d'être incapable de produire de la croissance économique partout en Occident. En conséquence, le revenu médian des familles baissent. Les gouvernements dissimulent le déclin en sous-estimant l'inflation et en ne comptant ne pas comme chômeurs découragés qui, incapable de trouver un emploi, n'ont cessé à la recherche. En ne comptant ne pas décourager les travailleurs aux États-Unis est en mesure de rendre compte d'un taux de 5,2 % de chômage. Y compris les travailleurs découragés porte le taux de chômage à 23,1 %. Un taux de 23 % de chômage n'a rien à voir avec la reprise économique.

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  22. Même la langue utilisée dans l'ouest est trompeuse. Le grec « renflouement » ne pas renflouer la Grèce. Le plan de sauvetage renfloue les détenteurs de la dette grecque. Bon nombre de ces détenteurs ne sont pas les originaux créanciers de la Grèce. En quoi consiste le « sauvetage » est de rendre les pari de la New York hedge funds sur la dette grecque à rembourser pour les hedge funds. L'argent du plan de sauvetage va pas à la Grèce, mais à ceux qui ont spéculé sur la dette payée. Selon des médias, l'assouplissement quantitatif de la BCE a été utilisé pour acheter de la dette grecque aux banques troublé qui fait des prêts, alors la question de la dette n'est plus une question de créancier.

    La Chine semble ignorer le risque d'investir aux États-Unis. Les nouveaux riches de la Chine achètent des communautés résidentielles en Californie, oublie l'expérience des nippo-américains, qui ont été parqués dans des camps de détention pendant la guerre de Washington avec le Japon. Les entreprises chinoises achetent U.S. companies et minerai dépôts aux Etats-Unis. Ces acquisitions font de la Chine vulnérables au chantage sur des différences de politique étrangère.

    Le « mondialisme » qui est qui montent dans l'ouest est incompatible avec l'unilatéralisme de Washington. Aucun pays avec des actifs à l'intérieur du système occidental ne peut se permettre d'avoir des divergences politiques avec Washington. La Banque française a payé une amende le $ 9 milliards pour avoir désobéi à la dictature de Washington de ses pratiques de prêts, parce que l'alternative était la fermeture vers le bas de ses opérations aux États-Unis. Le gouvernement français n'a pas pu protéger la Banque française d'être pillés par Washington.

    C'est un témoignage de l'insouciance de notre temps dont l'incohérence flagrante du mondialisme avec l'unilatéralisme américain est passée inaperçue.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-07-18/paul-craig-roberts-greeces-lesson-russia

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    1. Bien sûr que le FMI (qui n'a pas d'argent réel en banque) ne pouvait QUE continuer à prêter pour peut-être un jour être remboursé en réel de l'argent qu'elle n'a jamais donné. Car, si le FMI ou BCE ,'avait pas fait cela, la Grèce serait sorti du système-escroc de la CEE et redevenu fiable et honnête et, surtout, plus asservie !

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  23. ¡ Olé ! Un groupe chinois en passe d’acquérir un aéroport espagnol de 450 millions d’euros pour… 10.000 euros


    par Arnaud Lefebvre
    17 juil. 2015


    L’unique entreprise présente lors des enchères judiciaires de l’aéroport de Ciudad Real, la compagnie chinoise Tzaneen International, a offert 10.000 euros au comptant pour l’acquisition de l’infrastructure aéroportuaire.

    L'aéroport a été construit avant le début de la crise financière sur la bagatelle de 450 millions d'euros. Achevé en 2009, peu après l’éclatement de la bulle immobilière espagnole, cet aéroport est l’un des derniers symboles de cette crise.

    Il n’a jamais concrétisé les espoirs qui avaient mené à sa construction, et n’a jamais réussi à servir qu’à quelques vols hebdomadaires, bien loin des capacités pour lesquelles il a été conçu. En Avril 2012, il a finalement été fermé, trois ans après la faillite de son opérateur, CR Aeropuertos.

    Ciudad Real est une petite ville espagnole de seulement 75 000 habitants, située entre Madrid et Cordoba, qui n’a jamais attiré aucune industrie spécifique, ni les touristes. Chaque mois, ses hôtels n’y vendent que 1300 à 5000 nuitées. Cette faible activité, contrastant avec la démesure de l’aéroport, est très évocatrice des excès immobiliers qui ont mené à la crise espagnole. Ironiquement, à l’origine, l’aéroport avait été nommé « Ciudad Real Don Quichotte », mais il avait été rapidement rebaptisé Ciudad Real Central lorsqu’il était apparu qu’une association avec le héros espagnol qui se battait contre des illusions était malvenue.

    En 2013, lors de la mise en vente de l’aéroport, les potentiels acheteurs devaient proposer une enchère minimum de 100 millions d'euros (et être capables de bloquer 5% de cette somme en garantie dans une banque) pour un aéroport qui aurait coûté près de cinq fois plus.

    Toutefois, les Chinois pourraient ne pas devenir propriétaires de l’aéroport si facilement car le prix offert est de 70% inférieur à la taxe imposée par l’administrateur judiciaire de 28 millions d’euros. Par conséquent, un nouveau délai a été décidé jusqu’au 14 septembre afin qu’une contre-offre soit faite. Mais si personne ne dépasse l’offre de Tzaneen, l’acquisition de l’aéroport Ciudad Real Central est un fait.

    Selon les Chinois, il y a peu de raisons de faire une offre plus élevée. « Avec toutes les licences d’exploitation suspendues, sans aucune rentrée et avec une quantité significative de coûts inévitables, l’aéroport sera déficitaire pendant des années », a expliqué Tzaneen International lors des enchères. Pour les Chinois, la somme de 10.000 euros offerts au comptant est supérieure à la valeur réelle active du bien vendu aux enchères.

    http://www.express.be/business/fr/economy/ole-un-groupe-chinois-en-passe-dacquerir-un-aroport-espagnol-de-450-millions-deuros-pour-10000-euros/214642.htm

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    1. Les chinois n'en ont rien à foutre que l'argent des contribuables (espagnols ou européens) ait été gaspillé/jeté par les fenêtres pour faire plaisir à des entreprises mafieuses de construction, les chinois appliquent un prix réel. Point barre.

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