John Pilger
lun., 13 juil. 2015 19:44 UTC
lun., 13 juil. 2015 19:44 UTC
Traduction: Nicolas Casaux
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Une trahison historique a consumé la Grèce. Ayant mis de côté le mandat de l'électorat grec, le gouvernement Syriza a volontairement ignoré le raz-de-marée du « Non » et a secrètement accepté un panel de mesures appauvrissantes, répressives, en échange d'un « renflouement » qui signifie un sinistre contrôle depuis l'étranger, et un avertissement pour le monde.
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Le premier ministre Alexis Tsipras a fait passer au Parlement une proposition de coupe d'au moins 13 milliards d'euros du Trésor public — 4 milliards d'euros de plus que la proposition « d'austérité » largement rejetée par la majorité de la population grecque dans un référendum, le 5 juillet.
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Ceci comprend apparemment une augmentation de 50 % du coût des soins médicaux pour les retraités, dont près de 40 % vivent dans la pauvreté ; d'importantes coupes dans les salaires du secteur public ; la privatisation complète d'établissements publics comme les aéroports et les ports ; une augmentation dans les taxes sur la valeur ajoutée de 23 % s'applique désormais pour les îles grecques, où les gens luttent pour gagner de quoi vivre. Et ce n'est pas terminé.
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« Le parti anti-austérité remporte une victoire éclatante », déclarait le Guardian dans sa Une du 25 janvier. « Radicaux de gauche », voilà comment le journal qualifiait Tsipras et ses camarades étonnamment éduqués. Ils portaient des chemises à cols ouverts, le ministre des finances roulait sur une moto et était décrit comme « une rock star de l'économie ». C'était une façade. Ils n'étaient radicaux en aucun point de cette étiquette clichée, et n'étaient pas non plus « anti-austérité ».
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Pendant six mois, Tsipras et le récemment écarté Yanis Varoufakis ministre des finances, ont fait l'aller-retour entre Athènes et Bruxelles, Berlin et les autres centres du pouvoir monétaire européen. Au lieu de la justice sociale pour la Grèce, ils ont mis en place un nouvel endettement, un appauvrissement plus profond encore, qui ne fera que remplacer une pourriture systémique basée sur le vol des recettes fiscales par les super-riches Grecs — en accord avec les valeurs « néolibérales » européennes — et par des prêts bon marché, hautement profitables, émis par ceux qui veulent maintenant le scalp de la Grèce.
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La dette grecque, selon un audit du Parlement grec, « est illégale, illégitime et odieuse ». Proportionnellement, elle est équivalente à moins de 30 % de celle de l'Allemagne, son principal créancier. Elle est inférieure à la dette des banques européennes dont le « sauvetage » en 2007 - 2008 fut à peine controversé, et impuni.
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Pour un petit pays comme la Grèce, l'euro est une monnaie coloniale : une attache à une idéologie capitaliste tellement extrême que même le pape la qualifie « d'intolérable », et « d'excrément du diable ». L'euro est à la Grèce ce que le dollar est aux territoires éloignés du Pacifique, dont la pauvreté et la servilité sont garanties par leur dépendance.
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Dans leurs voyages aux cours des puissantes Bruxelles et Berlin, Tsipras et Varoufakis ne se sont présentés ni comme radicaux, ni comme « gauchistes », ni même comme d'honnêtes sociaux-démocrates, mais comme deux arrivistes suppliants, avec leurs demandes et leurs plaidoyers. Sans sous-estimer l'hostilité qu'ils affrontaient, il est juste de dire qu'ils n'ont fait preuve d'aucun courage politique. Plus d'une fois, le peuple grec a entendu parler de leurs « plans d'austérité secrets » dans des fuites, dans les médias : comme dans une lettre en date du 30 juin publiée dans le Financial Times, dans laquelle Tsipras promettait aux dirigeants de l'UE, à la banque centrale européenne et au FMI, d'accepter leurs demandes élémentaires les plus vicieuses — qu'il a maintenant acceptées.
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Lorsque l'électorat grec a voté « non », le 5 juillet, contre ce type même d'accord putride, Tsipras a déclaré « d'ici lundi le gouvernement grec sera à la table des négociations après le référendum, avec de meilleures conditions pour le peuple grec ». Les Grecs n'avaient pas voté pour de « meilleures conditions ». Ils avaient voté pour la justice et la souveraineté, comme ils l'avaient fait le 25 janvier.
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Au lendemain de l'élection de janvier, un gouvernement réellement démocratique et, oui, radical, aurait empêché le moindre euro de quitter le pays, aurait répudié la dette « illégale et odieuse » — comme l'a fait l'Argentine, avec succès — et aurait expédié un plan pour quitter l'écrasante Eurozone. Mais il n'y a pas eu de plan. Il n'y a eu qu'une volonté d'être « à la table » à la recherche de « meilleures conditions ».
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La véritable nature de Syriza a rarement été examinée, et expliquée. Pour les médias étrangers il ne s'agit que d'un parti « gauchiste », ou « d'extrême gauche », « intransigeant » — les termes trompeurs habituels. Certains des supporters internationaux de Syriza ont atteint, de temps à autre, des niveaux d'acclamations qui rappellent l'ascension de Barack Obama. Bien peu se sont demandés : qui sont ces radicaux ? En quoi croient-ils ?
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Le premier ministre Alexis Tsipras a fait passer au Parlement une proposition de coupe d'au moins 13 milliards d'euros du Trésor public — 4 milliards d'euros de plus que la proposition « d'austérité » largement rejetée par la majorité de la population grecque dans un référendum, le 5 juillet.
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Ceci comprend apparemment une augmentation de 50 % du coût des soins médicaux pour les retraités, dont près de 40 % vivent dans la pauvreté ; d'importantes coupes dans les salaires du secteur public ; la privatisation complète d'établissements publics comme les aéroports et les ports ; une augmentation dans les taxes sur la valeur ajoutée de 23 % s'applique désormais pour les îles grecques, où les gens luttent pour gagner de quoi vivre. Et ce n'est pas terminé.
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« Le parti anti-austérité remporte une victoire éclatante », déclarait le Guardian dans sa Une du 25 janvier. « Radicaux de gauche », voilà comment le journal qualifiait Tsipras et ses camarades étonnamment éduqués. Ils portaient des chemises à cols ouverts, le ministre des finances roulait sur une moto et était décrit comme « une rock star de l'économie ». C'était une façade. Ils n'étaient radicaux en aucun point de cette étiquette clichée, et n'étaient pas non plus « anti-austérité ».
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Pendant six mois, Tsipras et le récemment écarté Yanis Varoufakis ministre des finances, ont fait l'aller-retour entre Athènes et Bruxelles, Berlin et les autres centres du pouvoir monétaire européen. Au lieu de la justice sociale pour la Grèce, ils ont mis en place un nouvel endettement, un appauvrissement plus profond encore, qui ne fera que remplacer une pourriture systémique basée sur le vol des recettes fiscales par les super-riches Grecs — en accord avec les valeurs « néolibérales » européennes — et par des prêts bon marché, hautement profitables, émis par ceux qui veulent maintenant le scalp de la Grèce.
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La dette grecque, selon un audit du Parlement grec, « est illégale, illégitime et odieuse ». Proportionnellement, elle est équivalente à moins de 30 % de celle de l'Allemagne, son principal créancier. Elle est inférieure à la dette des banques européennes dont le « sauvetage » en 2007 - 2008 fut à peine controversé, et impuni.
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Pour un petit pays comme la Grèce, l'euro est une monnaie coloniale : une attache à une idéologie capitaliste tellement extrême que même le pape la qualifie « d'intolérable », et « d'excrément du diable ». L'euro est à la Grèce ce que le dollar est aux territoires éloignés du Pacifique, dont la pauvreté et la servilité sont garanties par leur dépendance.
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Dans leurs voyages aux cours des puissantes Bruxelles et Berlin, Tsipras et Varoufakis ne se sont présentés ni comme radicaux, ni comme « gauchistes », ni même comme d'honnêtes sociaux-démocrates, mais comme deux arrivistes suppliants, avec leurs demandes et leurs plaidoyers. Sans sous-estimer l'hostilité qu'ils affrontaient, il est juste de dire qu'ils n'ont fait preuve d'aucun courage politique. Plus d'une fois, le peuple grec a entendu parler de leurs « plans d'austérité secrets » dans des fuites, dans les médias : comme dans une lettre en date du 30 juin publiée dans le Financial Times, dans laquelle Tsipras promettait aux dirigeants de l'UE, à la banque centrale européenne et au FMI, d'accepter leurs demandes élémentaires les plus vicieuses — qu'il a maintenant acceptées.
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Lorsque l'électorat grec a voté « non », le 5 juillet, contre ce type même d'accord putride, Tsipras a déclaré « d'ici lundi le gouvernement grec sera à la table des négociations après le référendum, avec de meilleures conditions pour le peuple grec ». Les Grecs n'avaient pas voté pour de « meilleures conditions ». Ils avaient voté pour la justice et la souveraineté, comme ils l'avaient fait le 25 janvier.
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Au lendemain de l'élection de janvier, un gouvernement réellement démocratique et, oui, radical, aurait empêché le moindre euro de quitter le pays, aurait répudié la dette « illégale et odieuse » — comme l'a fait l'Argentine, avec succès — et aurait expédié un plan pour quitter l'écrasante Eurozone. Mais il n'y a pas eu de plan. Il n'y a eu qu'une volonté d'être « à la table » à la recherche de « meilleures conditions ».
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La véritable nature de Syriza a rarement été examinée, et expliquée. Pour les médias étrangers il ne s'agit que d'un parti « gauchiste », ou « d'extrême gauche », « intransigeant » — les termes trompeurs habituels. Certains des supporters internationaux de Syriza ont atteint, de temps à autre, des niveaux d'acclamations qui rappellent l'ascension de Barack Obama. Bien peu se sont demandés : qui sont ces radicaux ? En quoi croient-ils ?
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En 2013, Yanis Varoufakis avait écrit :
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« Devrions-nous nous réjouir de cette crise du capitalisme européen, comme d'une opportunité pour le remplacer par un meilleur système ? Ou devrions-nous nous en inquiéter au point de nous embarquer dans une campagne de stabilisation du capitalisme ? Pour moi, la réponse est claire. La crise européenne est bien moins susceptible de donner naissance à une meilleure alternative au capitalisme... je m'incline devant la critique selon laquelle j'ai fait campagne en me basant sur un agenda fondé sur la supposition que la gauche était, et demeure, entièrement vaincue... oui, j'aimerais mettre en avant un agenda radical. Mais, non, je ne suis pas prêt à commettre [l'erreur du parti travailliste britannique à la suite de la victoire de Thatcher]... Quel bien avons-nous accompli en Angleterre au début des années 1980 en faisant la promotion d'un agenda de changement socialiste, que la société britannique a dédaigné en tombant la tête la première dans le plan néolibéral de Thatcher ? Précisément aucun. À quoi bon appeler aujourd'hui à un démantèlement de l'Eurozone, de l'union européenne elle-même... ? »
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Varoufakis omet toute mention du parti social-démocrate qui a divisé le vote travailliste et a entraîné le Blairisme. En suggérant que les gens en Angleterre « ont dédaigné le changement socialiste » — alors qu'ils n'eurent aucune réelle opportunité de mettre en place un tel changement — il se fait l'écho de Tony Blair.
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Les leaders de Syriza sont des révolutionnaires d'un certain type — mais leur révolution est l'appropriation perverse et familière des mouvements sociaux-démocrates et parlementaires par des libéraux s'apprêtant à accepter la folie néolibérale et l'ingénierie sociale dont le vrai visage est celui de Wolfgang Schauble, ministre des finances allemand, et bandit impérialiste. Comme le parti travailliste d'Angleterre et ses équivalents parmi les anciens partis sociaux-démocrates comme le parti travailliste d'Australie, se décrivant toujours comme « libéraux », voire « de gauche », Syriza est le produit d'une classe moyenne instruite, opulente, hautement privilégiée, « éduquée dans le postmodernisme », comme l'écrit Alex Lantier.
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Pour eux, la classe est l'innommable, et encore moins la lutte prolongée, peu importe la réalité des vies de la plupart des êtres humains. Les personnalités de Syriza sont très soignées ; ils ne mènent pas la résistance à laquelle aspirent les gens ordinaires, comme l'électorat grec l'a si bravement démontré, mais visent de « meilleures conditions » pour le statu quo vénal qui enchaine et punit les pauvres. Une fois associé à la politique identitaire et ses distractions insidieuses, la conséquence n'est pas la résistance, mais l'asservissement. La vie politique « Mainstream » (grand public) en Angleterre illustre bien cela.
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Ceci n'est pas inévitable, ce n'est pas un fait accompli, si nous nous réveillons du long coma postmoderne et rejetons les mythes et les tromperies de ceux qui prétendent nous représenter, et si nous combattons.
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Les leaders de Syriza sont des révolutionnaires d'un certain type — mais leur révolution est l'appropriation perverse et familière des mouvements sociaux-démocrates et parlementaires par des libéraux s'apprêtant à accepter la folie néolibérale et l'ingénierie sociale dont le vrai visage est celui de Wolfgang Schauble, ministre des finances allemand, et bandit impérialiste. Comme le parti travailliste d'Angleterre et ses équivalents parmi les anciens partis sociaux-démocrates comme le parti travailliste d'Australie, se décrivant toujours comme « libéraux », voire « de gauche », Syriza est le produit d'une classe moyenne instruite, opulente, hautement privilégiée, « éduquée dans le postmodernisme », comme l'écrit Alex Lantier.
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Pour eux, la classe est l'innommable, et encore moins la lutte prolongée, peu importe la réalité des vies de la plupart des êtres humains. Les personnalités de Syriza sont très soignées ; ils ne mènent pas la résistance à laquelle aspirent les gens ordinaires, comme l'électorat grec l'a si bravement démontré, mais visent de « meilleures conditions » pour le statu quo vénal qui enchaine et punit les pauvres. Une fois associé à la politique identitaire et ses distractions insidieuses, la conséquence n'est pas la résistance, mais l'asservissement. La vie politique « Mainstream » (grand public) en Angleterre illustre bien cela.
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Ceci n'est pas inévitable, ce n'est pas un fait accompli, si nous nous réveillons du long coma postmoderne et rejetons les mythes et les tromperies de ceux qui prétendent nous représenter, et si nous combattons.
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Avec la 'vente' en Grèce des points clés de l'approvisionnement tels que les ports & aéroports, c'est là comme ces fameux 7 Janvier 73 en France (sous Pompidou) et 15 Août 71 aux USA (sous Nixon), la donation de la Banque Nationale aux profits de banques privées qui vont désormais gérer la République !
RépondreSupprimerC'est aussi l'effacement des Chambres où les surpayés (ex élus représentant le peuple ou transgenres) ferment leurs gueules.
C'est, la République privatisée !
D'ailleurs, avez vous vu de votre vie un président représentant son peuple ? (autre qu'en Libye, Vénézuéla, Irak), non ! Ils sont de parfaits inconnus sortis des boites au dernier moment !
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Comité de la dette grecque vient de déclarer toutes les dettes à la troïka « Illégales, illégitimes et odieuses »
mercredi 17 juin 2015
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/06/comite-de-la-dette-grecque-vient-de.html
Brutalité de l'UEM en Grèce a détruit la confiance de gauche de l'Europe
RépondreSupprimer« La gauche se laisse devenir l'exécuteur de politiques réactionnaires et chômage de masse à cause de l'euro. » La Grèce a rompu le charme
Par Ambrose Evans-Pritchard
21:23 CEST 15 juillet 2015
L'establishment de l'UE fait désormais face à ce qu'il a toujours à craindre : une politique de la guerre sur deux fronts à la fois.
C'est long été de lutter contre une coalition en expansion du marketing gratuit, parlementaire « souverainistes », anti-immigrants populistes de droite.
• Grèce crise direct : Bruxelles s'apprête à libérer des prêts d'urgence
Sa a maintenant perdu son emprise émotionnelle restant sur la gauche après le traitement de la terre brûlée de la Grèce au cours des cinq mois - qui a abouti à la décision vindicative d'imposer des conditions encore plus sévères sur ce écrasé nation juste quelques jours après son cri de cœur lors d'un référendum de glissement de terrain.
Cela vient pendant une longue période. Nous conservateurs avons regardé incrédule comme un parti socialiste après que l'autre s'immole sur l'autel de l'union monétaire, défendre un projet qui favorise les élites - une « acceptations rampe », comme la vieille gauche utilisée pour appeler.
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Nous avons vu nos amis sur la gauche s'excuser pour les politiques des années 1930. Nous avons vus défendre un régime de procycliques réductions fiscales imposées sur la zone euro ensemble par une poignée de « Ordoliberal » réactionnaires dans le ministère allemand des finances.
Dans la mesure où ces Messieurs savent ce qu'ils font - et la plupart des économistes Nobel contesterais qui - ils ont certainement pas relevé le défi du leadership pan-EMU. Comme l'ex-fonctionnaire Philippe Legrain écrit en politique étrangère, Allemagne se révèle pour être d'une hégémonie "calamiteuse".
Par une ironie du sort, la gauche a se laisser devenir l'exécuteur d'une structure économique qui a conduit à des niveaux de chômage une fois impensable qu'un gouvernement social-démocrate de l'après-guerre avec sa propre monnaie et d'instruments souverains. Il a en quelque sorte trouvé des moyens pour justifier un taux de chômage de jeunes toujours en marche à 42 % en Italie, 49 % en Espagne et 50 % en Grèce, malgré l'émigration massive.
Il a acquiescé à la Long marasme des dernières six années, plus profondes dans son ensemble que la travée de 1929 à 1935.
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Docilement, elle a approuvé le Pacte Fiscal UE, sachant qu'il impose une exigence légale concernant les États de la zone euro à réduire leur dette publique par: 5 % de PIB en France, 2 % en Espagne et 3.5 % en Italie et au Portugal chaque année pour les deux prochaines décennies - une formule pour près de dépression permanente. Il proscrit l'économie keynésienne et l'économie en effet classique. Il s'agit d'une construction de doomsday.
(suite en dessous:)
C'est ce qu'ils ont convenu de, et ce qu'ils ont défendu à contrecoeur, parce que jusqu'à présent ils ont osé pas en question le caractère sacré de l'UEM. Et si jadis puissant parti travailliste néerlandais a été réduit à une relique pitoyable. PASOK a été effacée en Grèce.
RépondreSupprimerParti socialiste ouvrier espagnol a perdu son aile gauche pour les rebelles du mouvement de Podemos, fraîchement victorieux à Barcelone. Dirigeant socialiste de France, Francois Hollande, a été languissant à 24pc dans les sondages comme les défauts de l'ouvrier Français pour le Front National.
Encore manifestations en Grèce ont enfin brisé le charme. "Les progressistes devraient être consternés par la ruine de l'Union européenne de la Grèce. Il est temps de retrouver la cause eurosceptique, » écrit Owen Jones dans une pièce remarquable dans The Guardian. Le nouveau terme « Lexit » gagne en monnaie.
Les voix de gauche sont mal à l'aise. Leurs instincts sont de s'opposer à tout ce qui symbolise l'UKIP. « Dans un premier temps, seuls quelques-uns plongé leurs orteils dans l'eau ; d'autres, avec hésitation, puis leur avance, tout le temps en regardant l'autre pour rassurer,"écrit M. Jones.
Encore la cruauté exposées dans Bruxelles et Berlin a fausses tous. Mr Jones traverse les noms.
"Tout est bien dans l'UE est en retraite ; tout le mal est sur le saccage, » dit George Monbiot. « Comment est l'appui gauche, que fait-on ? » demande à Suzanne Moore. L'UE est décrite "avec une part de vérité, comme une institution cruelle, fanatique et stupide", dit Nick Cohen.
Variantes de ce débat sont en remuant dans toute l'Europe. Luigi Zingales, conseiller auprès de le premier ministre Matteo Renzi du Italie, est devenu un eurosceptique enflammé. "Ce projet européen est mort pour toujours. Si l'Europe n'est rien d'autre qu'une mauvaise version du FMI, que reste-t-il du projet d'intégration européenne ? » il a écrit que la Grèce a capitulé.
Si oui ou non les pouvoirs de créancier EMU destinée à faire tomber un gouvernement grec élu, et si c'était un « coup » comme le Twitterati prétendent, il ne fait aucun doute que Syriza a été contraint par la contrainte financière d'abandonner ses promesses électorales. Il doit même abroger tout « fiscales » lois adoptées depuis janvier.
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Sans vouloir répéter controverse grec - de 15 ans par maintenant un sujet familier - laissez-moi juste dire que la crise est une responsabilité collective des créanciers, les élites de l'UEM, l'oligarchie grecque et, finalement, d'une jejeune Alexis Tsipras.
(suite en dessous:)
La troïka renflouement en 2010 visait à sauver l'euro et les banques européennes à une époque où il n'y a aucune défense contre la contagion. La Grèce n'était pas justifiée. Elle a été sacrifiée. Les racines du « Printemps grec » remonte à ce péché originel, encore alimenté par la surpuissance de troïka qui a suivi.
RépondreSupprimerLes créanciers de l'UEM jamais reconnu leur propre culpabilité. Ils ont jamais fait une tentative honnête de négocier avec la Syriza, même sur des sujets d'un terrain d'entente. Essentiellement, ils ont exigé que les conditions d'austérité du mémoire préalable être appliquée à la lettre - peu importe si elles effectuées à n'importe quel sens économique - se cachant derrière pharisienne parler des règles.
Yanis Varoufakis, le ministre des Finances-ex, dit tout le long de qui ils voulaient « rituelle subjugation », et c'est à quoi il ressemble à un grand nombre de personnes à travers l'Europe.
Ils ont forcé par le biais de la tristement célèbre affaire dans les premières heures du dimanche soir sans offrir aucun allégement de la dette nette, alors qu'ils savaient déjà que le FMI pense que la Grèce a besoin d'un moratoire de 30 ans sur les remboursements de la dette et les subventions fiscales probablement purement et simplement. Rien n'est résolu.
« La Grèce a payé un prix énorme pour les erreurs des autres, et pourtant c'est traité très durement, » a déclaré Simon Tilford, du Centre for European Reform.
"Ce que je trouve inquiétant est que si peu de personnalités politiques en Allemagne semblent troublées par le spectacle de la Grèce, être humilié de cette façon. Les allemands ont mis au point un récit fantastique de la crise. "Ils ont en quelque sorte transformé tout et pensent qu'ils sont les victimes, dit-il.
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M. Tilford dit la gauche en Italie, Espagne et France ont pour années été accrochés à l'illusion que l'Allemagne finirait par s'entendre pour se détendre austérité et accepter un type différent de l'UEM.
"Cela a été totalement discréditée par les événements du week-end dernier. Tout le monde peut voir graphiquement et brutalement où se situent les limites. Si vous ne pouvez pas respecter des règles de l'euro, vous serez mis en quarantaine et expulsés,"dit-il.
N'oublions pas que la Banque centrale européenne a apporté l'effondrement final par congélation des liquidités d'urgence aux banques grecques, forçant la Syriza à fermer les portes des prêteurs, imposer des contrôles de capitaux et interdire l'importation.
Cela viole le principe de l'Union européenne union, censée séparer le sort des banques privées les vicissitudes de l'État souverain bancaire. C'était une décision politique - habillée avec technique flammery - et était sans doute illégal. Il est très difficile à concilier avec obligation de traité de la BCE à maintenir la stabilité financière.
(suite en dessous:)
Nous savons tous ce qui était le jeu. L'Allemagne et ses alliés étaient déterminés à faire un exemple de la Syriza pour décourager les électeurs dans n'importe quel autre pays d'oser buck le système.
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Je doute que cela fonctionne, même sur ses propres termes restrictifs. Podemos reste intraitable. Il a accusé les institutions de l'UE et le gouvernement espagnol d'avoir commis un « acte de terrorisme », en violation de l'espagnol Código Penal.
C'est, en tout cas, une stratégie à double tranchant. Costas Lapavitsas, un député de la Syriza, dit le message saillant des cinq derniers mois, c'est qu'aucun gouvernement radical ne peut poursuivre des politiques souverains tant que c'est à la Merci d'une banque centrale capable d'éteindre la liquidité à tout moment. "Il est désormais parfaitement clair que le seul moyen de sortir c'est de se libérer de l'union monétaire", dit-il.
Toutes les âmes économiste, Kevin O'Rourke dit la prochaine fête de gauche qui s'élève à défi l'UEM ne sera pas aussi « ineptes » comme M. Tsipras et ne sera pas négocier d'une position de telle faiblesse abjecte.
"La leçon qu'il tirera de cette débâcle est : négociation avec l'Allemagne est une perte de temps ; "être prêt à agir unilatéralement, être disposés à défaut unilatéralement, avoir un plan pour réaliser un excédent primaire si vous n'avez pas déjà atteint, ont un défaut dur et euro sortie option dans votre poche arrière et être disposés à l'utiliser dès les premiers signes de tracas de la BCE, dit-il.
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En ce qui concerne la conduite de l'Allemagne, la semaine dernière, ce qui peut le monde poliment dire ? Il est jugé de mauvais goût, pour ne citer que les puissances alliées ont convenu d'exterminer la moitié des engagements extérieurs de l'Allemagne à l'accord de dette de Londres en février 1953.
Cet acte de sagesse est venu moins de huit ans après la fin de la seconde guerre mondiale et l'occupation nazie de la Grèce, lorsque les horreurs faisaient encore toute fraîches dans l'esprit de chacun. C'est à peu près équivalent à l'écart dans le temps aujourd'hui depuis la crise de Lehman.
Allégement de la dette est venue à certains prix en Grande-Bretagne, le plus gros créancier avant la guerre. Il a été décidé dans l'intérêt collectif, sur la base des sciences économiques et délibérément encadré comme une "négociation entre égaux » afin de nettoient le brouillard des jugements moraux. Le résultat a été le miracle économique allemand et les années de gloire de reconstruction d'après-guerre.
Tout ce que vous pensez du comportement de la Grèce - et il n'a pas mal à personne - ne pouvons-nous pas au moins avoir un minimum de bon sens ?
http://www.telegraph.co.uk/finance/comment/ambroseevans_pritchard/11742624/EMU-brutality-in-Greece-has-destroyed-the-trust-of-Europes-Left.html
Pareillement qu'il en a été pour le référendum de Maastricht (20/9/92) où les 'Dirigeants' se sont nouvellement foutu de la gueule des français qui avait voté, le 'oxi' grec a pris le même chemin ! Dans ces deux pays, la gauche (nazional socialiste) avait appelé à voter 'oui' !
SupprimerOr, le mot 'Grèce' veut dire (comme en France) Peuple. Et c'est donc à lui qu'appartient le pays et d'en élire son/ses représentants. Le mot 'Démocratie' veut dire 'le Pouvoir au Peuple', donc il est le chef depuis que ses derniers (si peu !) représentants ont disparu (3 seulement ! Vercingétorix, qui s'est rendu à Jules César pour sauver son peuple, Jeanne d'Arc, qui a tenté de repousser les étrangers hors de France et, le Maréchal Philippe Pétain qui a sauvé la France de l'invasion étrangère).
Aujourd'hui, avec l'ére venue de la communication en direct par téléphone ou Internet, chaque citoyen est au courant immédiat de ce qui se passe 'à l'autre bout du monde' et n'a donc plus besoin de 'chef' (surtout si ce dernier n'inspire pas confiance !!). Et, c'est pourquoi, nous voyons tous les jours, la dictature se renforcer pour écraser la Démocratie (le Peuple) après avoir sali la République.
Cap sur Foot parce que les routes seront liquéfier et commencer à courir Lorsque vous entendez les aboiements des chiens
RépondreSupprimerGéographes offrent des conseils sur la façon de survivre le tremblement de terre a prédit pour effacer le Nord-Ouest du Pacifique
Par Mia De Graaf
Courrier Quotidien
16 juillet 2015
Les scientifiques ont exposé leurs conseils alarmants inutiles sur la façon de survivre au tremblement de terre qui a frappé le nord-ouest du Pacifique.
Le tremblement de terre le long de tueur Cascadia, une ligne de faille qui se déroulera du cap Mendocino, en Californie, à l'île de Vancouver, au Canada, est de 72 ans de retard, selon les études révisées par des pairs.
Le 'Big One' frappera lorsque Juan de Fuca, un morceau de 700 mile de l'océan Pacifique, se glisse sous le Canada et l'Amérique, causant toute la région côtière de couler au moins six pieds.
Lorsque - pas si - il arrive, il est peu probable que les habitants de l'Oregon côtière, Washington et la Californie pourront s'échapper.
Mais si ils veulent essayer, il y a quelques conseils, ils devraient garder à l'esprit.
Devastation: Les experts disent que les citoyens disposent de 20 minutes pour exécuter quand un tsunami de l'ordre de 9,0 sur l'échelle de Richter a frappé le nord-ouest du Pacifique lorsque la plaque Juan de Fuca, un morceau 700-mile de l'océan, se glisse sous la région
Run, ne conduisez pas, à un terrain plus élevé, dit Kevin Cupples, l'urbaniste pour la ville de Seaside, Oregon, dans une interview avec le New Yorker.
La force du séisme provoque la liquéfaction, lorsque le sol solide agit comme liquide, à travers de vastes étendues de la région poreuse.
Dans les zones qui ne sont pas «liquéfiés», les routes seront probablement froissés par les glissements de terrain, avec 30.000 avalanches mis à frapper Seattle seul.
Les citoyens auront un intervalle de 20 minutes à grimper à l'altitude la plus élevée possible avant la pleine force de les hits du tsunami, les scientifiques de prédire.
Leur alerte sera quand les chiens se mettent à aboyer.
Le premier signe du tremblement de terre est à venir sera un ensemble d'ondes de compression, seulement audible par les chiens. Puis il y aura le tremblement de terre, puis 20 minutes plus tard, le tsunami.
Géographes estiment que beaucoup pourraient survivre simplement en marche - cependant, ils doivent aller au moins 3,5 mph.
Si tout le monde ups leur vitesse moyenne de 2,5 mph à 3,5 mph, le nombre de morts chute à 15 970. Environ 70 % d'entre eux serait à Washington, près de 30 % dans l'Oregon et seulement 4 % en Californie
https://www.lewrockwell.com/2015/07/no_author/escape-on-foot-because-roads-will-liquefy/
La chaîne d'épicerie Haggen licencie des travailleurs qui luttent dans Southland
RépondreSupprimerMel Melcon, Los Angeles Times
16 juillet 2015, 12:00 pm
Haggen Inc., la chaîne de supermarchés qui parient gros sur la Californie, met à pied des employés et la réduction du temps de travail, qui lutte pour progresser dans le marché hautement concurrentiel de l'épicerie Southland.
La chaîne du Pacifique Nord-Ouest cette année a acheté 146 Albertsons, Vons, pavillons et les magasins Safeway, dont 83 en Californie, principalement dans le sud. Il a passé les derniers mois de les convertir à la marque Haggen et de garder la plupart des employés du magasin.
Bill Shaner, l'exécutif de Haggen en charge de la Californie, du Nevada et de l'Arizona, a déclaré que Haggen va gagner plus de clients avec des produits de qualité supérieure à bas prix. Mais cette semaine, Bellingham, Wash., La société a reconnu que Haggen fait face à la concurrence "sans précédent" dans le Sud-Ouest.
"Pour nous assurer que nous évoluons aussi efficacement que possible, nous avons pris la difficile décision de couper temporairement de retour sur les heures du personnel dans nos magasins", a déclaré Shaner.
Haggen, qui compte environ 10 000 employés dans l'ensemble, n'a pas précisé combien de travailleurs seraient touchés, et n'a pas confirmer qu'il y a eu des mises à pied. Employés locaux ont déclaré que certains travailleurs ont été licenciés, y compris les commis de magasin.
Les licenciements et des réductions en heures indiquent que Haggen a des problèmes gagnante acheteurs, estiment les analystes.
"Il est clair qu'ils sont moins performants", a déclaré Jim Prevor, un analyste de la nourriture et fondateur de PerishablePundit.com. "Ceci est un signe clair que leurs prévisions de ventes ne sont pas respectées."
Haggen lance sa marque en Californie à une époque où les épiciers sont confrontés à une concurrence accrue pour les acheteurs de produits alimentaires.
Les marchés de producteurs surgissent partout dans le Southland. Petites chaînes, y compris Trader Joe, ont également été en expansion alors que les détaillants à grande surface comme Wal-Mart et Target ont été intensifient leurs offrandes de nourriture.
Les joueurs en ligne Google et Amazon.com ont également été poussent livraison d'épicerie. Le mois dernier, une réduction de l'épicier allemand Aldi a déclaré qu'il prévoyait d'ouvrir 45 magasins Southland à partir de Mars prochain.
Les supermarchés que Haggen a acheté étaient surtout rentable, mais qui n'y a aucune garantie de succès futur, a déclaré Prevor.
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"La situation concurrentielle a changé", a déclaré Prevor. "Ce fut avant Aldi a annoncé qu'ils allaient venir et avant Amazon se déplaçait dans de nouveaux domaines avec leur service de livraison."
RépondreSupprimerDans un magasin Haggen à Los Angeles, les acheteurs ont eu une réaction mitigée à la nouvelle boutique qui était autrefois un Albertsons.
"Les prix sont plus élevés et je ne l'aime pas vraiment jusqu'à présent", a déclaré Art Webb, 35. «Je ne serait pas sortir de ma façon de magasiner dans ce magasin, même pas dans mon quartier."
Le résident de Valence, qui travaille comme pilote Uber, a dit qu'il aimait shopping à Albertsons pour la baisse des prix. Au lieu de dépenser plus au Haggen, Webb dit qu'il ne pouvait simplement aller à Whole Foods pour une meilleure expérience globale.
Ce magasin "n'a pas l'air de fantaisie pour la tarification," at-il dit. "Si ça va ressembler à un pays juste, ils devraient avoir des prix moins chers."
Mais Shreyas Mukund, 37, a dit qu'il aimait le service à la clientèle et la variété des produits.
"Je pense que la qualité de la nourriture est la même, les prix aussi," le résident de Los Angeles a dit.
Haggen va passer par les douleurs de croissance que l'on ajuste à l'exécution d'un bien plus vaste réseau de magasins dans de nouveaux marchés, estiment les analystes.
Il était seulement une chaîne de 18 magasins à Washington et de l'Oregon quand il a acheté les magasins de Albertsons et Safeway, qui ont été contraints de les vendre dans le cadre d'une fusion pour répondre aux préoccupations antitrust soulevées par la Federal Trade Commission.
L'épicier a déjà frappé quelques bosses. Lorsque ses premiers magasins ouverts en Californie Mars, environ 1000 articles - soit environ 2,5% des produits d'un magasin - ont été à tort trop cher à 10 supermarchés dans les comtés de Los Angeles, Orange et San Diego. Un plus petit nombre de marchandises ont été sous-évalué de manière incorrecte.
Haggen pourrait prendre jusqu'à un an pour régler sa sélection de prix et de marchandises afin de répondre aux besoins de ses clients, a déclaré Burt Flickinger III, directeur général de Groupe stratégique des ressources. Cela est typique pour un supermarché qui a été reprise par une autre, a t-il dit.
"Ceci est la plus grande conversion en Californie du Sud ou ailleurs dans les 15 à 20 dernières années", a déclaré Flickinger. "Il va être l'évolution de passer par la transition et de corriger le prix et tout ce qui arrive."
Mais les observateurs de l'industrie dit Haggen devra finalement prendre une grande décision: Est-il conserver sa marque comme un épicier de haute qualité avec un excellent service à la clientèle ou entend-elle diluer sa réputation si ce est ce qu'il faut pour réussir en Californie ?
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Beaucoup de consommateurs qui fréquentaient Safeway ou Albertsons aimé ces magasins, afin de changer le concept - même, sans doute, pour le mieux - est "un grand risque", a déclaré Prevor. Les épiceries tirent généralement leur base de clientèle à partir d'un rayon de trois mile, afin d'attirer de nouveaux clients ont aussi sera difficile.
RépondreSupprimer"Il est comme si Saks et Neiman Marcus soudainement acheté Sears et se tournèrent tous ces magasins dans Saks et Neiman Marcus," a t-il dit. "Ces magasins pourraient ne pas être couronnée de succès, car il ne correspond pas à la clientèle."
http://touch.latimes.com/#section/1780/article/p2p-84006696/
C'est le retour de bâton de la pauvreté. Les 'supermarchés' ne sont d'abord pas toujours 'à côté' et, comme les déplacements coûtent chers aujourd'hui... se développent des 'épiceries de quartiers. Epiceries de quartier qui ont leur clientèle et dont ni les produits ni les prix sont différents des 'grandes surfaces'.
SupprimerC'est un commerce de survie et, à cette conjoncture, les grands magasins n'ont pas le dessus. Voir la surface & parking, électricité & air conditionné, employés aux rayonnages & caisses, face à l'entreprise familiale style mom 'nd pop.
Quand les camions cesser de livrer, « Le système » volonté effondrement
RépondreSupprimerTess Pennington
15 juillet 2015
Prête Nutrition
L'article suivant a été publié à l'origine par Tess Pennington nutrition Prêt. Tess est l'auteur du livre très populaire et très acclamé Blueprint du préparateur : The Step Guide à aider vous à travers toute catastrophe.
Collectivement parlant, la plupart des Américains tiennent pour acquis le système en place à livrer des fournitures essentielles à leur zone. « Le système », une infrastructure sous-jacente qui garde les biens, services et commerce en Amérique qui coule crée un sentiment de normalité et d'ordre. Nourriture, eau, essence et médicaments sont quelques-uns des éléments en stock toutes les semaines afin que notre société dépendante de maintenir un flux constant. Ce que beaucoup ne parviennent pas à saisir est juste combien le système est fragile et juste combien de temps il peut s'effondrer.
Nos systèmes de transport sont un des maillons les plus faibles dans le système. Mac Slavo explique :
Dans un 2012 rapport préparé pour les législateurs et les chefs d'entreprise par l'American Trucking Associations met en évidence à quel point les critiques sont de nos systèmes d'inventaire et de livraison juste-à-temps et évalue l'impact sur l'ensemble de la population en cas d'urgence ou d'incident d'importance nationale qui perturbe les systèmes de transport de camion qui sont chargés d'exécuter quelque 10 milliards tonnes de matières premières et fournitures à travers les Etats-Unis chaque année.
Un arrêt des opérations de camion à la suite de niveaux de menace élevée, attentats terroristes ou des pandémies aurait, selon le rapport, "un impact rapide et dévastateur sur la nourriture, santé, transport, enlèvement des déchets, détail, fabrication et secteurs financiers."
Ce serait trop les événements comme une attaque EMP ou une cyber-attaque coordonnée qui pourrait arrêter de systèmes de positionnement global et les ordinateurs responsables de la gestion des stocks.
Le rapport poursuit en expliquant que consommateur peur et la panique exacerbera les pénuries. Nouvelles d'un arrêt de camion — que ce soit sur le plan local, l'État ou la régional niveau, ou dans tout le pays — stimulera l'accumulation et drastiques augmentations dans les achats des consommateurs de biens essentiels. Les pénuries seront concrétisera rapidement et pourraient conduire à des troubles civils.
Ce qui démontrera le graphique suivant, c'est juste la rapidité sera la descente. Quand les camions en Amérique s'arrête, tout commerce et livraison avec elle.
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Pour éviter de tomber dans cette recette pour un désastre, utiliser l'information présentée dans ce graphique de manière à être autonomes. Énumérées dans le graphique sont des fournitures essentielles qui vontdisparaître sur les tablettes dès les premiers signes de cette catastrophe. Voici les éléments que vous souhaitez faites l'avant que les camions de cesser de livrer. De nombreux éléments tels que la poudre de lait et de viande en conserve sont des fournitures polyvalents qui peuvent être utilisés en cas de catastrophe à court terme et de longue durée. Quand j'ai écrit Blueprint du préparateur : The Step Guide à aider vous à travers toute catastrophe, j'ai souligné l'importance d'avoir un plan de préparation bien équilibrée qui englobe de nombreux types de scénarios d'urgence. Cette souligne guide de survie indispensable comment important est d'avoir des plans et des fournitures en place afin d'être mieux préparé aux catastrophes qui seront profilent à l'horizon.
RépondreSupprimer- Créer un garde-manger alimentaire. Création d'un approvisionnement alimentaire est très bénéfique pour votre budget. Il s'agit d'un investissement dans votre vie future. Les analystes une chose et les experts financiers conviennent est que, en règle générale, les produits continueront d'augmenter. Lorsque d'autres achètent des aliments à des prix gonflés, vous consommerez votre investissement quand il a été acheté à un prix inférieur. En utilisant une combinaison d'aliments stable du plateau, vous pouvez créer une alimentation bien équilibrée pour dépendent lorsque surgit une situation d'urgence.
- Stockage de l'eau. Nous avons besoin d'eau pour survivre – et nos préparations devraient refléter ce besoin important. Un aspect que j'aime le plus sur preppers est que nous aimons avoir de retour ups pour notre retour ups. Avoir un approvisionnement en eau à court terme qui vous tournez régulièrement dans votre cuisine vous garantira une source d'eau douce à se tourner vers pendant une courte durée en cas d'urgence. Ainsi, ayant des systèmes de filtration et d'outils de purification de l'eau portable veillera à que vous pouvez purifier l'eau à des fins plus longs terme.
- Atteindre nécessaires fournitures. Si vous êtes tributaire de certains médicaments ou des fournitures dont vous avez besoin pour votre vie quotidienne, assurez-vous que vous avez assez de vous voir à travers une catastrophe à court terme. Plus fourni, vous êtes, moins vous aurez à quitter votre domicile pendant l'état d'urgence. Ainsi, étudier des alternatives naturelles pour les médicaments.
- Préserver votre patrimoine. Choisir les biens durables (marchandises sèches, métaux précieux, terres, bétail, compétences, etc.) pour les investissements à long terme donc ils tiendront leur valeur intrinsèque au fil du temps. Détiennent ces types d'investissements vous isoleront de l'inflation et d'autres questions économiques. En outre, en attachant votre argent vers le haut en actifs il vous aidera éviter de dépenser de l'argent, et ainsi faire avancer votre cause de vie autonome.
- Devenir un neo-pionnier ! Se tailler un chemin dans la vie où vous n'êtes plus tributaire de la consommation dans les magasins à vivre. Jardin et cultiver votre propre nourriture, élever du bétail, apprendre à vivre profilent, troc de biens et de services.
- voir tableau des délais de livraisons sur site -
Le graphique ci-dessus est un rappel de la rapidité, notre population peut ventilation et rapidement en spirale dans une catastrophe de proportions épiques. Mais survivre pendant ce type de scénario est possible en préparant tout simplement pour qu'il avance.
http://www.shtfplan.com/headline-news/when-the-trucks-stop-delivering-the-system-will-collapse_07152015
SupprimerFigurez vous, qu'anciennement y a 1000 ou 2000 ans, les supermarchés n'existaient pas ! (Cà alors !) et donc, chacun de nos ancêtres qui y ont donc survécu (la preuve on est là) faisait ce que l'on appellerait indigement 'des réserves'. Ainsi tels que des écureuils gardant noisettes et semant (enterrant) noix pour avoir des noyers, ou comme les fourmis ou les abeilles on se préparait à la dure saison. De cette façon, nos cousins paysans qui n'étaient pas des marmottes, passaient l'hiver le sourire en coin.
C'était encore l'époque où 'nos ancêtres les gaulois' ou hommes préhistorique (c'est-à-dire arrivés avant l'histoire ! Hahahaha ! Plus con que çà tu meurs !), dirigeaient leur(s) territoire(s) sans que des dictateurs-de-merde ou religions n'apparaissent à l'horizon !
A quoi sert l’Europe, au fait ?
RépondreSupprimerMyret Zaki
Publié le 13 Juillet 2015 à 10:45
La mode est au petit, au communautaire, au local. Petit, c’est aimable, démocratique, digne de confiance. Grand, c’est totalitaire, malhonnête et ça nous veut du mal: on hait les élites de l’Union européenne, les multinationales, les grandes fortunes. Tout ce qui est grand devient diabolique. A se croire dans un film de superhéros où le «méchant» est toujours ce gigantesque robot ou ce monstre crachant du feu par-delà les gratte-ciel, tandis que le «gentil» est aussi petit que vertueux.
L’UE est devenue ce dragon fantasmé, autorité illégitime, étrangère à la volonté des peuples, livrée aux discours les plus orwelliens. L’épreuve de force avec la Grèce l’a encore révélé. Les «eurotechnocrates», la «dictature bruxelloise», l’«oligarchie», les «ploutocrates», les «caniches des Américains», la «Finance», les «européistes», tel est le lexique courant pour désigner Bruxelles, hors du monde officiel.
La multipolarité est une forme de démocratie
Pourtant, cette Europe qui se construit péniblement et par crises successives est un miracle. C’est la seule expérience d’unification pacifique, avec une adhésion sur base volontaire. Les Etats-Unis, donnés pour contre-exemple supérieur, se sont construits par les armes, annihilant au passage les indigènes amérindiens.
La Russie s’est unifiée par le sang et les armes, tout comme la France, sans parler de la broutille de 50 à 70 millions de morts attribués au fondateur de la Chine moderne, Mao Zedong. La Confédération suisse? Elle n’a pas consulté par référendum les peuples avant de s’unir en 1848 après avoir aboli les frontières et imposé une monnaie unique.
J’ai cru en l’Europe, même au plus fort de la crise. Parce qu’elle est une nécessité géopolitique. Bismarck (1815-1898) a montré qu’il est essentiel de maintenir un équilibre des forces entre puissances. Seule cette multipolarité prévient les dérives d’un monde unipolaire. C’est une forme de démocratie interétatique, une vitale répartition du pouvoir. Laissée seule, que ferait la Grèce ?
Elle tomberait dans les bras d’un autre bloc, en l’occurrence la Russie ou les Etats-Unis, tous deux empressés de soutenir Athènes contre l’accord bruxellois, et prêts à la récupérer dans leur giron. C’est un leurre de croire que l’Amérique désire l’Union européenne. Une erreur d’analyse très courante. Nous ne sommes plus dans l’après-guerre.
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Dans un monde où les grandes puissances sont surendettées, la perspective change radicalement. La coopération devient très opportuniste et les différents blocs sont en concurrence féroce pour les créanciers. Les investisseurs en dette souveraine qu’attire l’Europe sont ceux que perdent les Etats-Unis, et vice versa. Tout le jeu, c’est d’apparaître le plus crédible. Question de survie.
RépondreSupprimerCertes, la zone monétaire qui s’est créée depuis 1999 n’est pas celle rêvée. Mais José Manuel Barroso (président de la Commission européenne de 2004 à 2014) a raison de déplorer la mauvaise foi des Etats membres, qui n’hésitent pas à «européiser leurs échecs, et à nationaliser leurs succès». Le vrai problème, c’est la déresponsabilisation des pays membres. Durant la crise, tous les programmes d’austérité, si décriés par tant d’Européens, ont été décidés à l’unanimité par les gouvernements nationaux, et non par la Commission.
Si bien que cette Europe, dont personne ne veut, ni ses peuples, ni ses capitales, ni ses concurrents, à quoi sert-elle au final ? A décharger de leurs responsabilités, en totalité ou en grande partie, des gouvernements nationaux médiocres, pas plus légitimes, providentiellement passés dans l’angle mort de leurs peuples.
http://www.bilan.ch/myret-zaki/redaction-bilan/a-quoi-sert-leurope
SupprimerPrimo, désigner une bande d'escrocs comme étant l'Europe est un peu fort. Contentons-nous de l'appeler plutôt 'CEE' et non ce qu'elle n'a pas !
Effectivement, vous avez raison de dire que seules les petites entreprises marchent parce qu'elles sont conviviales et à côté de chez soi plutôt que les grandes surfaces austères où l'absence de sourire est au rayons de la grossièreté.
Ainsi, comme je l'ai dit ici maintes fois, Quand on est pas capable de gérer une épicerie on ne se mêle pas de gérer une grande surface. Et, c'est pourtant la destinée de chacun des politiciens responsable du mal-être en France (comme ailleurs) de se voir demain à la tête... de la planète !
Bien sûr que ces trous de cul peuvent y arriver, mais, ce sera avec une dictature renforcée et des flics ou drones armés à chaque coins de rues ! L'exemple-même du choix de 'Bruxelles' (royaume !) augure l'absence de République et, sa politique menée l'absence de démocratie.
Un graphique de plus pour montrer pourquoi il n'y a pas d'espoir en Grèce
RépondreSupprimerpar Audrey Duperron
16 juil. 2015
Chaque jour qui passe, la situation grecque semble de plus en plus désespérée. Dans ce contexte, The Economist a publié cette semaine un nouveau graphique dévastateur pour Athènes, basé sur les chiffres de l'Organisation mondiale de la propriété intellectuelle et du FMI. Pour chaque pays étudié, ils ont mesuré quel était le pourcentage des brevets déposés dans un pays étranger par des personnes qui avaient quitté leur pays d’origine.
Ce que ce graphique montre, c’est l’étendue et l’impact de la fuite des cerveaux dont les pays pauvres sont victimes. Par exemple, entre 2007 et 2012, 86% des Vietnamiens qui ont déposé une demande de brevet l’ont fait depuis un pays étranger. En comparaison, seulement 8% des Norvégiens qui ont voulu protéger un brevet ont fait cette demande de l'étranger.
Le graphique montre également que les petits pays sont plus susceptibles de subir une fuite des cerveaux. Chypre, l'Islande et le Luxembourg en sont de bons exemples. Cela n’est pas très surprenant : dans ces pays, les possibilités de choix pour les études et les opportunités d’affaires sont généralement plus limitées. Cependant, l’Estonie et la Slovénie semblent être l'exception qui confirme la règle.
Enfin, il y a la Grèce: 60% des Grecs qui ont déposé un brevet entre 2007 et 2012 l'ont fait depuis un pays étranger.
La Grèce antique était un aimant pour l'élite intellectuelle du monde, mais la crise grecque a provoqué un exode de talents sans précédent dans l’histoire du pays. On estime que 180.000 à 200.000 des citoyens les plus instruits de la nation seraient en train de quitter leur pays. Selon Lois Lambrinidis, professeur de géographie économique à l'Université de Macédoine, cela correspond à environ 10% des diplômés du supérieur du pays.
En comparaison, seulement 13,3% des Belges et 13,4% des Français qui déposent un brevet, le font à partir de l'étranger.
- voir graphique sur site:
http://www.express.be/business/fr/economy/un-graphique-de-plus-pour-montrer-pourquoi-il-ny-a-pas-despoir-en-grece/214617.htm
Là, effectivement, l'ont se rend bien compte que les plus intelligents quittent le pays ! (Seuls resteront les 10 millions esclaves !) et, qu'effectivement ils ne veulent pas être privé de leur argent honnêtement gagné volé par la dictature en place.
SupprimerEt, même si la Grèce est très riche en antiquité... çà ne nourrit pas son homme ! (because que les taxes présentes et à venir... éloignent et éloigneront encore plus les touristes !).
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Il faudra 398 879 561 ans pour rembourser la dette du gouvernement américain
jeudi 23 octobre 2014
http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/10/il-faudra-398-879-561-ans-pour.html
La Grèce n'est que le début : The 21 st Century « Enclos » ont commencé
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 16/07/2015 22:30-0400
Soumis par Paul Craig Roberts,
Toute de l'Europe et insouciantes américains et canadiens, sont mis sur avis de cession de la Syriza aux agents du 1 %. Le message de l'effondrement du Syriza, c'est que le système de protection sociale tout au long de l'ouest est démantelé.
Le premier ministre grec Alexis Tsipras a accepté du un pour cent pillage du peuple grec des avancées dans la protection sociale que les Grecs atteint au post-World War II du XXe siècle. Pensions et soins de santé pour les personnes âgées sont en voie de disparition. Le 1 % a besoin d'argent.
Les îles grecques protégées, ports, compagnies des eaux, aéroports, toute la panoplie de patrimoine national, doit être vendu à 1 %. À prix d'aubaine, bien sûr, mais l'eau ultérieur factures ne seront pas bonnes affaires.
Il s'agit de la troisième série d'austérité imposée à la Grèce, l'austérité qui a nécessité la complicité des gouvernements grecs propre. Les accords de l'austérité servent de couverture pour le pillage du peuple grec littéralement de tout. Le FMI est un membre de la troïka qui impose l'austérité, malgré le fait que les économistes du FMI ont dit que les mesures d'austérité ont prouvé être une erreur. L'économie grecque a été tirée vers le bas par l'austérité. Par conséquent, l'endettement de la Grèce a porté comme un fardeau. Chaque tour d'austérité rend la dette moins à payer.
Mais quand l'un pour cent est pillé, les faits sont sans intérêt. L'austérité, c'est le pillage, a vu le jour malgré le fait que les économistes du FMI ne le justifient.
La démocratie grecque s'est avérée être impuissante. Le pillage va de l'avant malgré le vote la semaine dernière par le peuple grec rejeté. Ce que nous observons dans Alexis Tsipras est donc un premier ministre élu représentant pas le peuple grec mais l'un pour cent.
Soupir de 1 % de soulagement a été entendue dans le monde entier. La dernière partie de gauche européenne, ou ce qui se passe dans le gauche, a été portée à talon, tout comme le parti travailliste de Grande-Bretagne, le parti socialiste français et tout le reste.
Sans une idéologie pour le soutenir, l'européenne de gauche est morte, tout comme l'est le parti démocrate aux Etats-Unis. Avec la mort de ces partis politiques, les gens n'ont plus aucune voix. Un gouvernement dans lequel les gens n'ont aucun voix n'est pas une démocratie. On peut le voir clairement en Grèce. Une semaine après que le peuple grec s'exprimer avec fermeté lors d'un référendum, leur gouvernement les ignore et peut accueillir 1 %.
Le parti démocrate américain est mort avec la délocalisation d'emplois, qui détruit la base financière du parti dans les syndicats de fabrication. La gauche européenne est mort avec l'Union soviétique.
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L'Union soviétique était un symbole qu'il existait une alternative socialiste au capitalisme. Le soviétique s'effondrer et « la fin de l'histoire » prive la gauche d'un programme économique et a laissé la gauche, au moins en Amérique, avec « questions sociales », comme l'avortement, mariage homosexuel, l'égalité des sexes et le racisme, qui ont miné le soutien traditionnel de la gauche avec la classe ouvrière. Guerre de classe a disparu dans la guerre entre les hétérosexuels et les homosexuels, les noirs et les blancs, les hommes et les femmes.
RépondreSupprimerAujourd'hui avec les peuples occidentaux face à re-enserfment et le monde face à une guerre nucléaire par suite de la réclamation des néoconservateurs américains d'être le peuple élu de l'histoire, le droit à l'hégémonie mondiale, la gauche américaine est occupée à haïr le drapeau de bataille confédéré.
L'effondrement de l'Europe dernière parti de gauche, Syrzia, signifie que, à moins que plus déterminé de parties se posent en Portugal, Espagne et Italie, la baguette passe pour les partis de droite - à UK Independence Party de Nigel Farage, au Front National de Marine Le Pen en France et d'autres partis de droite qui se tiennent pour le nationalisme contre l'extermination nationale dans l'adhésion à l'UE.
Syriza ne pouvait réussir qu'une fois qu'elle n'a pas de nationaliser les banques grecques en réponse à la détermination de l'UE pour les faire échouer. Le grec 1 % ont les banques et les médias, et l'armée grecque ne montre aucun signe de standing avec les gens. Ce que nous voyons ici est l'impossibilité d'un changement pacifique, comme cela est expliqué Karl Marx et Lénine.
Tours et des réformes fondamentales sont frustrés ou annulées par le 1 % qui restent en vie. Marx, frustré par la défaite des révolutions de 1848 et instruit par sa conception matérialiste de l'histoire, a conclu, comme Lénine, Mao et Pol Pot, l'a fait que laisser les membres de l'ancien ordre vivant signifiait contre-révolution et le retour du peuple de la servitude. En Amérique latine, chaque gouvernement réformiste est vulnérable à renverser par nos intérêts économiques agissant conjointement avec les élites espagnoles. Nous voyons ce processus en cours aujourd'hui au Venezuela et en Equateur.
Dûment instruit, Lénine et Mao éliminé l'ancien ordre. L'Holocauste de classe a été plusieurs fois supérieure à tout ce que les Juifs expérimentés dans l'Holocauste Nazi raciale. Mais il n'y a aucun mémorial pour elle.
À ce jour les occidentaux ne comprennent pas pourquoi Pol Pot vidé les zones urbaines du Cambodge. L'Occident rejette Pol Pot comme un psychopathe et tueur en série, un cas psychiatrique, mais Pol Pot était simplement agissant sur la supposition que si il a permis à des représentants de l'ancien ordre de rester sa révolution pourrait être renversée. Pour utiliser un concept juridique inscrit par le régime de Bush, Pol Pot a devancé contre-révolution par substitution avant l'acte et éliminer la classe enclin à la contre-révolution. Le génocide de classe associé à Lénine, Mao et Pol Pot sont les dommages collatéraux de la révolution.
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Le conservateur anglais Edmund Burke dit que la voie du progrès est la réforme, pas de révolution. L'élite anglaise, bien qu'ils ont traîné leurs talons, accepté la réforme à la place de la révolution, revendiquant ainsi Burke. Mais aujourd'hui avec la gauche donc totalement défait, l'un pour cent n'a pas à accepter les réformes. Le respect de leur pouvoir est la seule alternative.
RépondreSupprimerGrèce est époustoufflante. Les Grecs chassés de leur pays par l'économie effondrée, disparition du système de protection sociale et extraordinaire taux de chômage aura leur pauvreté aux autres pays de l'UE. Membres de l'UE ne sont pas liés par les frontières nationales et peuvent émigrer librement. Fermer le système de soutien en Grèce conduira des grecs dans les systèmes de soutien des autres pays de l'UE, qui seront fermées à son tour par les privatisations de 1 %.
Le XXIe siècle boîtiers ont commencé.
http://www.zerohedge.com/news/2015-07-16/greece-just-beginning-21st-century-enclosures-have-begun
(...) Sans une idéologie pour le soutenir, l'européenne de gauche est morte, tout comme l'est le parti démocrate aux Etats-Unis. Avec la mort de ces partis politiques, les gens n'ont plus aucune voix. (...)
SupprimerFaux. 'Avec la mort de ces partis politiques, les gens n'ont plus aucune voix' ???!! Non, il n'y pas que la 'droite' et la 'gauche' ou les 'extrèmes' ou le 'centre', il y a le Peuple.
Le Peuple pense autrement que ces partis proposés (entre un con et un con pour qui voter ?).
Pourquoi les merdias ne profitent-ils donc pas de cette formidable avancée terchnologique qu'est la télé en direct pour poser des questions au peuple en direct et laisser libre cours aux pensées personnelles ? Ce serait 'téléviser les blogs d'Internet' !
Londres va utiliser des bus à impériale totalement électriques
RépondreSupprimerpar Arnaud Lefebvre
14 juil. 2015
En octobre 2015, Londres va tester les premiers bus à impériale totalement électriques. Ces nouvelles machines sont conçues en Chine. D’ici à 2020, la ville devrait acquérir 300 modèles totalement électriques afin de réduire les niveaux de pollution et améliorer la qualité de l’air de Londres. Cette technologie, jadis considérée trop chère et trop lourde pour des bus à deux étages, sera dans un premier temps utilisée pour des tests sur 5 bus à impériale, indique The Guardian. Ces bus électriques viendront rejoindre le contingent de 1.300 bus hybride diesel-électrique qui circulent déjà dans la capitale, précise le site Breezcar.
Les bus à impériale électriques circuleront sur la route 16, entre la station Cricklewood, au nord-ouest de Londres, et la gare Victoria.
http://www.express.be/business/fr/technology/londres-va-utiliser-des-bus-a-imperial-totalement-electriques/214593.htm
Précisons que ces bus électrique... ne seront pas rechargés par des éoliennes (HAHAHAHA !) ni par des panneaux solaire (HAHAHAHA !) ni seront repeint en vert sur le rouge actuel, mais seront 100% NUCLEAIRE quant à l'origine de l'énergie !
SupprimerAu Mexique, au moins six femmes sont assassinées par jour
RépondreSupprimerpar Arnaud Lefebvre
16 juil. 2015
Les chiffres sont renversants. Au Mexique, pays qui connaît une épidémie de « fémicides » depuis le début des années 90, six femmes sont maintenant assassinées par jour, rapporte The Globe and Mail qui cite les conclusions de l’Observatorio ciudadano nacional del Femicidio (OCNF), une organisation qui milite contre les assassinats de femmes dans ce pays. Les assassinats et les disparitions de femmes sont si fréquents au Mexique que le nouveau terme espagnol « femicidio » est définitivement entré dans le lexique, explique le média.
Les meurtres et les enlèvements de femmes ont principalement lieu dans des villes du long de la frontière américano-mexicaine comme Mexicali, la capitale de l’Etat mexicain de la Basse Californie ou encore la tristement célèbre ville de Ciudad Juarez, située au nord de l'État de Chihuahua.
Ces femmes assassinées sont souvent d’origine indienne, venant des zones rurales pauvres du Mexique attirées par la perspective d’une situation économique meilleure ou par la possibilité de traverser la frontière en direction des Etats-Unis. Selon plusieurs observateurs, le racisme structurel à l’égard des femmes autochtones dans la société mexicaine contribuerait à l’apathie des autorités mexicaines lors des enquêtes relatives à la disparition des victimes.
Parfois, on ne retrouve jamais le corps de ces femmes mais souvent, ils gisent dans le désert, séchés par la chaleur ou sont jetés dans terrains vagues ou abandonnés dans des buissons. Les meurtres de femmes au Mexique ont atteint des proportions épidémiques au cours des deux dernières décennies.
« Ce problème dure depuis si longtemps… Les mauvais traitements infligés aux femmes, principalement des femmes de couleur, l’abus envers elles, leur disparition. Cela n’arrive pas seulement à la frontière américano-mexicaine, d’autres meurtres ont lieu aussi à la frontière américano-canadienne », explique Enrique Morales qui dirige l’association Borders Angels, un groupe de bénévoles de San Diego, qui lutte pour une réforme de l’immigration. « Mais vous n’entendez pas parler de ces histoires, pourtant il est important qu’elles soient dites », poursuit Morales.
« Cette violence extrême envers les femmes comporte plusieurs aspects », explique Marisela Ortiz Rivera, co-fondatrice de l’association « Nuestras Hijas de Regreso a Casa » (« Nos filles de retour à la maison »). « Il y a la culture machiste, une sorte de chauvinisme masculin, qui est responsable de la violence domestique, de la violence de rue et de la violence contre des femmes inconnues. Il existe également de grands groupes présents à la frontière qui kidnappent et vendent les femmes, c’est un gros marché », explique-t-elle.
Au Canada, plus de 1.100 cas de femmes autochtones disparues et assassinées ont été recensés depuis 1980. Au Mexique, Ciudad Juarez est presque devenu synonyme de « fémicides » mais ces meurtres ont lieu tout au long de la frontière qui borde quatre Etats américains – la Californie, l’Arizona, le Nouveau-Mexique et le Texas – et six Etats mexicains – Baja California, Sonora, Chihuahua, Coahuila, Nuevo Leon et Tamaulipas.
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Selon l'ONU, plus de 2.500 décès par an sont liés à la violence de genre ciblée. Selon l'OCNF, au moins six femmes sont ciblées et tuées chaque jour au Mexique. Parmi ces cas, moins d'un quart font l'objet d'une enquête. Et lorsqu'enquête il y a, seuls 2% des cas aboutissent à une condamnation par la justice. Pour le procureur général du Mexique, les coupes budgétaires et le cafouillage bureaucratique ont créé une accumulation des cas qui ont besoin de longues années d'enquête. Personne ne semble vraiment savoir combien de personnes sont portées disparues dans le pays. Mais selon Human Rights Watch, le nombres de disparues est d'au moins 27.000 depuis 2006.
RépondreSupprimerLa police du Mexique affirme que ces décès et ces disparitions de femmes sont un effet secondaire du trafic de drogue et du travail sexuel. Le gouvernement estime pour sa part que beaucoup de femmes disparues vivent et travaillent aux Etats-Unis et qu’il n’y a aucun moyen de mettre la main dessus, propos contredis par les amis et familles des femmes disparues.
Marisela Ortiz Rivera, institutrice devenue militante, explique que malgré les menaces et la peur, elle compte maintenir la pression sur le gouvernement mexicain et sur la communauté internationale.
« La corruption qui existe au sein de ces cas de meurtres et de disparitions se mélange à l’impunité. En effet, la corruption des autorités est tellement enracinée que toute véritable enquête ferait s’effondrer l’ensemble de ce réseau rentable », conclut-elle.
http://www.express.be/joker/fr/world/au-mexique-au-moins-six-femmes-sont-assassinees-par-jour/214605.htm
Faut dire qu'avec la politique tandancieuse à favoriser le mariage entre pédés et les travelos qui courent les rues...
SupprimerVoici Grexit, la startup la plus mal nommée de l’année
RépondreSupprimerpar Arnaud Lefebvre
16 juil. 2015
On ne sait toujours pas si la Grèce sortira de la zone euro. Alors que des millions de personnes recherchent des informations sur ce sujet sur Internet, Niraj Ranjan Rout et Nitesh Nandy, les deux fondateurs de la startup indienne « Grexit »ont commencé il y a deux mois à regretter d’avoir choisi ce nom pour leur entreprise.
Dans un premier temps, l’analogie avec le terme « Grexit » (néologisme médiatique issu de la contraction des mots anglais « Greece » (Grèce) et « exit » (sortie)) pour se référer à la crise grecque a permis à la société d’être placée dans les premiers résultats lors d’une recherche sur le moteur de recherche de Google. Le site de la Startup avait ainsi vu son trafic augmenter de 20%. Mais maintenant, « Grexit », une société fondée en 2011 qui propose un logiciel de courrier électronique permettant le partage d’emails lors de collaborations à des projets, subit les conséquences de la ressemblance de son enseigne avec le mot qui réfère au drame économique qui se vit en Grèce. Le nom de la société est maintenant référencé par Google comme un terme connexe à la crise grecque et à une sortie éventuelle du pays de la zone euro. La hausse de trafic enregistré sur le site de « Grexit » est non pertinente, explique l’un des fondateurs à Quartz.
La société envisage maintenant de changer de nom et d’effectuer un « rebranding », une stratégie marketing qui consiste à changer d’image de marque. « « Grexit » a une connotation négative à cause du phénomène grec et je ne pense pas que tous les discours sur le plan de sauvetage de la Grèce vont disparaître de sitôt. Le « Grexit » ne se produira peut-être pas mais cela restera un terme qui sera discuté pendant un certain temps », a déclaré à Mashable le cofondateur de la société Niraj Ranjan Rout.
Par le passé, d’autres sociétés ont dû également changer de nom à cause de références à des évènements actuels. Isis Wallet, société qui propose des solutions de paiements mobiles, avait modifié son nom de marque afin de ne pas être associée au groupe terroriste islamiste ISIS.
http://www.express.be/joker/fr/platdujour/voici-grexit-la-startup-la-plus-mal-nommee-de-lannee/214604.htm
SupprimerCà me rappelle ce film qui s'appelait 'On a tous de la chance' et qui n'avait pu se tourner faute d'acteurs ! (Hahahaha !)
Comment le socialisme détruit Porto Rico, et pourquoi sont profilent des valeurs par défaut plus
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 16/07/2015 21:30-0400
Avec Porto Rico manque un paiement sur un lien du jour au lendemain "en raison de non-appropriation des fonds", mais nier que cela constitue quelque chose proche de sa valeur par défaut, le territoire peut être sujet à reprendre la vedette que la Grèce est maintenant "fixé". Rapports que MarketWatch,
Le paiement manqué pourrait avoir des conséquences graves pour les détenteurs d'obligations de Porto Rico, « comme le signal de se casser une strie de sept décennies de paiements peut impliquer que plusieurs valeurs par défaut sont profilent » Daniel Hanson, analyste à la hauteur des titres, a déclaré dans une note.
Pas toutes les obligations de Porto Rico sont créées égale, soutenue par différents types de recettes, telles que les recettes fiscales, les péages routiers, électricité factures etc..
La première chose que les investisseurs devraient faire, c'est "savoir quels revenus soutient leurs obligations et que leurs obligations sont assurées ou non," dit Mary Talbutt, responsable des titres à revenu fixe à Bryn Mawr Trust.
Environ 30 % de muni de fonds communs de placement ont holdings à Porto Rico, plus de la moitié sont assurés, selon un rapport de Charles Schwab Investment Management. En ce qui concerne le revenu qui stocke les liens, la plupart d'exposition est avec les liaisons soutenues de taxe de vente, appelés COFINA obligations de leur acronyme espagnol, ainsi que les obligations de l'obligation générale, appelées obligations G.O., selon le rapport.
Dans ce sens, les investisseurs qui détiennent les liaisons de PFC sont un peu dans une impasse parce que « la langue en PFC obligations conditionne paiement sur les crédits de l'Assemblée législative de Porto Rico, » Hanson a déclaré.
Il s'agit de la principale différence entre les obligations de PFC et les obligations G.O.. L'ancien besoin crédit, alors que ces derniers sont soutenus par la pleine foi et crédit du territoire et leur remboursement est garanti par la constitution.
"La langue... fait [les liens de PFC] un crédit plus faible par rapport aux obligations G.O.. , Mais une valeur par défaut est toujours une valeur par défaut, « , a déclaré Andrew Gadlin, un analyste de recherche chez Odeon Capital Group.
Cela a des investisseurs inquiets sur les autres types de liaisons qui font face à une échéance de remboursement, notamment celles émises par l'île gouvernement Development Bank (GDB).
"Le marché devient plus sceptique des acomptes à verser 1 août sur la dette GDB, même si le budget mis de côté des fonds pour le paiement de ces obligations," Gadlin dit.
Et comme l'explique Peter Schiff de Euro Pacific Capital, c'est loin d'être terminée
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Alors que la Grèce est maintenant dominant la scène par défaut de la dette, la véritable tragédie joue beaucoup plus près, chez nous, avec la spirale descendante de Porto Rico. Comme en Grèce, l'économie du Porto Rico a été détruite par sa participation à un système monétaire irréaliste qu'il ne contrôle pas et l'échec des politiques nationales de confronter leur propre insolvabilité. Mais les dégâts infligés à l'économie de Porto Rico par les États-Unis a été beaucoup plus débilitante que quoi qu'endommager l'Union européenne a infligé à la Grèce. En fait, les leçons que nous devons apprendre à Porto Rico, plus particulièrement comment socialiste du travail et fiscale politiques peuvent dévaster une économie, devrait servir de signal d'alerte à ceux qui préconisent de prescrire les mêmes pour le continent.
RépondreSupprimerLes Etats-Unis a bombardé le territoire de Porto Rico avec cinq politiques soi-disant bien intentionnés, mais économiquement dévastatrices. Il dispose de :
1. Exempté de dette publique de l'île de toutes les taxes américaines dans la Loi de Jones-Shaforth.
2. Éliminé des allégements fiscaux aux États-Unis pour les investissements du secteur privé avec l'expiration de l'article 936 de l'Internal Revenue Code des États-Unis.
3. Nécessaire à la nation de se conformer à une disposition restrictives du commerce.
4. Fait de l'île sous réserve le salaire minimum aux États-Unis.
5. Permis à Porto Rico offrir des prestations d'aide sociale généreuses par rapport au revenu.
Tandis que l'adoption de telles lois politiquement populaires semble bénigne sur la surface (et ont permis des politiciens réclamer que leurs efforts ont aidé les plus pauvres Puerto Ricans), en réalité, ils ont approfondi la pauvreté des lois étaient censé être conçus pour aider les gens. Les leçons ici sont tellement évidents que seulement les plus ardents partisans du gouvernement contrôle économique peuvent ne pas comprendre eux.
Dette non imposable
En exemptant des citoyens américains des impôts sur les intérêts payés sur la dette souveraine portoricaine, Washington a cherché à aider l'économie portoricain en le rendant plus facile et moins coûteux pour le gouvernement de l'île d'emprunter à la terre ferme. En conséquence, obligations d'état portoricain est devenu une exploitation discontinue de nombreux fonds d'obligations municipales américains. Comme avec les obligations de Fannie Mae et Freddie Mac dix ans, beaucoup d'investisseurs estime que ces obligations portoricaines avaient une garantie implicite du gouvernement américain. Cela signifiait que le gouvernement portoricain pouvait emprunter pour beaucoup moins que cela pourrait avoir sans une telle conviction. Toutefois, cette subvention n'a pas poussé l'économie portoricaine, mais simplement la taille du gouvernement, qui a eu pour effet pervers de la croissance du secteur privé étouffante.
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Par contraste avec les revenus gagnés par les américains qui achètent des obligations du gouvernement portoricain, ceux avec le mauvais sens de prêter aux entreprises Porto riciens ont été imposés sur les paiements d'intérêt qu'ils ont reçu. Entreprises aurait pu utiliser les fonds d'investissement de capitaux réel (qui aurait pu augmenter la productivité de l'île), mais au contraire l'argent coulait au gouvernement qui l'utilisa pour acheter des votes avec des avantages généreux secteur public qui ne fit rien pour développer l'économie de l'île ou le mettre dans une meilleure position pour rembourser. Ce problème a été laissé pour les futurs contribuables qui se souciait aucun politicien cherchant des voix dans le présent.
RépondreSupprimerCette dynamique est presque identique à ce qui s'est passé en Grèce, où les coûts d'emprunt faible, rendus possibles par l'euro fort et le pare-balles implicite de la Banque centrale européenne et les nations européennes du Nord plus solvables, a permis au gouvernement grec d'emprunter à des taux beaucoup plus bas que ses finances tendues auraient par ailleurs permis.
Taxation des investissements privés
Paradoxalement, comme le gouvernement américain fait plus facile pour le gouvernement portoricain à emprunter, il rend plus difficile pour le secteur privé de le faire. En 2006 le gouvernement a mis fin à un allégement fiscal qui exemptaient les bénéfices gagnés sur les investissements du secteur privé à Porto Rico de taxes américaines. Ainsi, les entreprises américaines qui avaient été investir et embaucher des travailleurs sur l'île tiré vers le haut les enjeux et s'installe à plusieurs juridictions fiscalement. Le résultat était une érosion de la base de la taxe de l'île, tout comme plus d'emprunt (rendue possible par la dette publique non imposable triple) les contribuables Portoricains restants obligé de plus charges futures.
La Loi de Jones
Le Jones Act, une loi de 1920, conçue pour protéger la marine marchande américaine de la concurrence étrangère, a eu un effet dévastateur sur Porto Rico et devrait être utilisée comme un récit édifiant pour illustrer les dangers des obstacles au commerce. Aux termes de la présente loi horrible, les navires battant pavillon étranger ne peuvent pas le transport de marchandises entre deux ports américains. Conformément à la Loi, Porto Rico est considéré comme un port américain. Si un porte-conteneurs à l'importation de marchandises de la Chine sur le continent américain est empêché de s'arrêter à Puerto Rico sur le chemin. Au lieu de cela, la cargaison doit être déposée dans un port du continent, rechargée sur un navire battant pavillon U.S. cher puis transportée vers Puerto Rico. En conséquence, les frais d'expédition et de Porto Rico sont les plus élevés dans les Caraïbes. Cela réduit les échanges entre Porto Rico et dans le reste du monde. Depuis un grand pourcentage des finis marchandises utilisées par Puerto Ricans sont importés, le résultat est beaucoup plus haut prix à la consommation et moins d'emplois privés. Bien que le revenu médian à Porto Rico est un peu plus de la moitié que de l'État américain les plus pauvres, grâce à la Loi de Jones, le coût de la vie est en fait supérieur à l'état moyen.
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Le salaire Minimum fédéral
RépondreSupprimerEn 1938 le Fair Labor Standards agir soumis Puerto Rico à un salaire minimum fédéral, mais il n'est qu'en 1983 qu'une loi de 1974, qui exigeait que l'île correspond à salaire minimum du continent, a été entièrement mis en oeuvre. Le salaire minimum fédéral actuel de 7,25 $ par heure est de 77 % de leur salaire médian actuel de Porto Rico de 9,42 $. En revanche, le minimum fédéral est seulement 43 % du salaire médian américain de près de 17 dollars par heure (Bureau of Labor Statistics (BLS), mai 2014). Le salaire minimum américain devra être plus de 13 $ par heure pour correspondre à cette proportion de Porto Rico. La disparité est supérieure lorsque l'on compare les revenus salaire minimum au revenu par habitant.
L'imposition d'un salaire minimum élevé insupportably a signifié que travaux de niveau d'entrée simplement n'existence pas à Porto Rico. Chômage est supérieure à 12 % (BLS), et le taux de participation de force de travail est d'environ 43 % (contre 63 % sur le continent) (Banque mondiale). Un « succès » par l'administration Obama en soulevant le minimum fédéral à 10 $ l'heure signifierait que le salaire minimum à Porto Rico serait plus élevé que le salaire moyen actuel. Une telle mesure se traduirait par licenciements sur l'île et une autre étape vers le bas dans la fosse économique. Je prédis qu'elle pourrait apporter sur une crise semblable à celle créée dans la dernière décennie dans les Samoa américaines, lorsque l'économie de l'île a été dévastée par une insoutenable augmentation du salaire minimum.
Il sera intéressant de voir si nos politiciens progressistes aurez assez prévoyance et la miséricorde à exempter Porto Rico d'augmentations du salaire minimum. Mais pour cela les obligerait à reconnaître le caractère destructeur de la Loi, un droit d'entrée qu'ils prennent grand soin d'éviter.
Protection sociale
En 2013 le revenu médian à Porto Rico a été un peu plus de la moitié de l'état le plus pauvre de l'union (Mississippi), mais le bien-être avantages soient ressemblent beaucoup. Cela signifie que l'incitation à renoncer à l'assistance publique en faveur d'un emploi est fortement réduite à Porto Rico, comme un pourcentage plus élevé de ceux sur l'assistance publique ferait mieux financièrement en tournant vers le bas un emploi peu rémunéré. En raison de ces incitations perverses ne pas de travailler, moins de la moitié des mâles en âge travail sont salariée et 45 % des habitants de l'île vivent en dessous du seuil de pauvreté fédéral (Bureau du recensement des États-Unis, l'American Community Survey mémoires publiée en septembre 2014). Selon un rapport de 2012 par la Federal Reserve Bank de New York, 40 % du revenu de l'île se compose de paiements de transfert, et 35 % des résidents de l'île reçoivent des coupons alimentaires (Fox News Latino, 11/03/14).
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En d'autres termes, les problèmes de Porto Rico sont étonnamment similaires à ceux de la Grèce. Son gouvernement dépense chroniquement plus qu'elle soulève en impôts, son économie est pris au piège dans un fatras de réglementation et son destin économique est en grande partie entre les mains des autres.
RépondreSupprimer* * *
Comme le note le FT,
Économie et la population de Porto Rico ont été rétrécissement pendant presque une décennie, et les dettes ont explosé à environ 100 % de son produit national brut, que le gouvernement a profité de l'exonération fiscale dont bénéficie les municipale dette américaine.
Le Porto Rico Electric Power Authority est restructuration déjà 9 milliards $ de gage et emprunts.
Le 1 septembre Porto Rico est censé fournir un plan pour tourner autour de ses finances. Fonctionnaires ont appelé à la patience de créanciers sur comment ses détenteurs d'obligations diverses seront traités.
Patience... en fait.
* * *
Les solutions aux problèmes de Porto Rico sont simples mais, avertit Peter Schiff, politiquement toxique pour les politiciens du continent à reconnaître.
Puerto Rico doit pouvoir déclarer faillite, l'incitation fédérale pour le gouvernement portoricain à emprunter de l'argent doit être éliminée, Porto Rico doit être exemptée de la Loi de Jones et le salaire Minimum fédéral et exigences de bien-être des fédéraux doivent être réduites. Porto Rico a déjà les avantages énormes de bénéficier d'une exonération de l'impôt sur le revenu fédéral et Obamacare, donc avec un nouveau départ, libre de dette oppressive et règlements fédéraux, capitalisme pourrait restaurer rapidement le socialisme de prospérité détruit.
Les incitations actuelles offertes par actes 20 et 22 (où le revenu provenant de Porto Rico fondamentalement exonéré pour les nouveaux arrivants du local ainsi que de l'impôt fédéral sur le revenu - voir mon rapport sur la Zone de libre de taxe de l'Amérique), avec quelques réformes de travail supplémentaires libre marché local, dans une génération, il est possible que Puerto Ricans puissent jouir des revenus par habitant plus élevés que les citoyens de tout état des États-Unis.
Si Washington a vraiment envie d'accélérer le processus, il doit exempter les résidents de Chine continentale de tous les impôts, y compris l'AMT, sur le revenu des investissements provenant de Porto Rico, y compris les dividendes, gains en capital et intérêt liés à l'investissement en capital.
http://www.zerohedge.com/news/2015-07-16/peter-schiff-how-socialism-destroyed-puerto-rico
SupprimerVoila bien un autre exemple que les banques privées ne peuvent prêter que du vent ! Figurez vous qu'au prix qu'est l'or, il en aurait fallu 10 fois plus qu'il peut y en avoir au monde pour prêter de l'argent honnête ! C'est à dire qu'à l'inverse, les (fausses) sommes prêtées ne peuvent pas et ne pourront JAMAIS être remboursées par quiconque (s'ils payent en or) sinon en billets de Mickeys ce qui prouve bien l'esclavagisme concret.
Le jeu que joue certains économistes est (avec l'aide des syndicats anti 'force laborieuse') de faire grimper les prix de partout afin que les pauvres ne puissent plus suivre et meurent ou quittent le pays ! Car, aucun syndicat n'a a ce jour demandé la préservation du pouvoir d'achat en interdisant les hausses de salaire et en abaissant ou supprimant les taxes/charges inhérentes à cette conjoncture.
Essayez de prêter de l'argent à votre voisin et exiger ensuite qu'il vous le rende, s'il ne veut vous rembourser irez vous porter plainte ? Quelles sont les chances que vous soyez remboursé/renfloué comme les banques qui font faillite ?! Hahaha !
Prodi: annuler la dette grecque comme cela avait été fait pour l'Allemagne
RépondreSupprimer16.07.2015
Selon l'ex-président de la Commission européenne Romano Prodi, les ententes sur le règlement de la dette grecque ne font qu'éviter le pire sans pour autant régler le problème.
Grèce: le parlement approuve l'accord avec les créanciers
L'Union européenne doit se montrer généreuse et annuler la dette grecque sur le modèle de l'accord de 1953 qui a annulé la dette allemande, a déclaré jeudi à Rome l'ancien président de la Commission européenne et ex-premier ministre italien Romano Prodi.
"J'ai toujours pensé que la Grèce ne serait jamais en mesure de payer sa dette. L'annulation de la dette de l'Allemagne, qui ne pouvait pas la payer, a été un acte de sagesse en 1953. Aujourd'hui nous devons aussi faire preuve de générosité", a indiqué M.Prodi lors d'un forum consacré aux problèmes de l'économie mondiale.
France: l'Assemblée nationale approuve l'accord de Bruxelles sur la GrèceSelon M.Prodi, les ententes intervenues lundi entre les dirigeants de la zone euro ne font qu'"éviter le pire sans pour autant éviter la catastrophe". Il a appelé l'Allemagne, qui occupe une position de leader dans l'Union européenne, à tenir compte des intérêts de tous les membres de l'Union.
Le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble, considéré comme l'un des auteurs du récent accord européen sur la dette grecque, s'était antérieurement catégoriquement opposé à l'annulation de la dette d'Athènes.
http://fr.sputniknews.com/international/20150716/1017075434.html
La faillite de la planète s'accélère – 24 pays sont actuellement confrontés à une crise de la dette
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
le 16 juillet 2015
Il y a eu autant d'attention sur la Grèce au cours des dernières semaines, mais la vérité est que la Grèce représente seulement une fraction minuscule de la bombe sans précédent de la dette mondiale qui menace d'exploser à tout moment. Comme vous êtes sur le point de voir, il y a 24 nations qui sont actuellement confrontés à une crise de la dette totale, et il n'y a plus de 14 qui se dirigent rapidement vers l'un. À l'heure actuelle, la dette au PIB pour l'ensemble de la planète est jusqu'à un record record haut de 286 % et dans le monde, il y a environ 200 billions de dollars de la dette sur les livres. Qui brise vers le bas pour tout $ 28 000 de la dette pour chaque homme, femme et enfant sur toute la planète. Et depuis près de la moitié de la population de la mondiale vit avec moins de 10 dollars par jour, il est impossible que tous de cette dette peuvent toujours être remboursé. La seule « solution » dans notre système actuel est pour le coup de la boîte vers le bas de la route pour aussi longtemps que possible jusqu'à ce que cette pyramide de dette colossale enfin s'effondre sur lui-même.
Comme nous le voyons en Grèce, vous pouvez accumuler finalement dette tant qu'il n'y a littéralement aucune façon dehors. Les autres nations européennes sont efforcent de trouver un moyen de donner à la Grèce un troisième plan de sauvetage, mais c'est comme payer une carte de crédit avec une autre carte de crédit, parce que pratiquement tout le monde en Europe est absolument noyade dans la dette.
Même si une « solution permanente » pourrait être élaborée pour la Grèce, cela réglerait seulement une infime partie du problème global auquel nous sommes confrontés. Les nations du monde n'ont jamais été dans ce beaucoup dette avant, et il s'aggrave avec chaque jour qui passe.
Selon un nouveau rapport de la Jubilee Debt Campaign, il y a actuellement 24 pays dans le monde qui sont confrontés à une crise de la dette véritable...
Arménie
Belize
Costa Rica
Croatie
Chypre
République dominicaine
El Salvador
Gambie
Grèce
Grenade
Irlande
Jamaïque
Liban
Macédoine
Îles Marshall
Monténégro
Portugal
Espagne
Sri Lanka
St Vincent et les Grenadines
Tunisie
l'Ukraine
Soudan
Zimbabwe
Et il y a un autre 14 nations qui sont au bord de l'un...
- Bhoutan
- Cap-Vert
- Dominique
- Éthiopie
- Ghana
- Laos
- Mauritanie
- Mongolie
- Mozambique
- Samoa
- Sao Tomé e Principe
- Sénégal
- Tanzanie
- Ouganda
Alors que faut-il faire à ce sujet ?
Nous aurions les pays « riches » renflouer tous d'entre eux ?
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Eh bien, la vérité est que les pays « riches » sont parmi les plus grands délinquants de dette de tous. Il suffit de considérer les États-Unis. Notre dette nationale a plus que doublé depuis 2007, et à ce stade, il a obtenu tellement grand qu'il est mathématiquement impossible payer au loin.
RépondreSupprimerL'Europe est dans la même forme. Des membres de la zone euro tentent de combiner un « plan de sauvetage » pour la Grèce, mais la vérité est que la plupart d'entre eux devront bientôt trop sauvetages...
Tous ces pays viendra frapper à demander de l'aide à un moment donné. Le fait est que leur dette à des niveaux de PIB ont grimpé en flèche depuis que l'UE s'est presque effondré en 2012.
La dette de l'Espagne au PIB est passée de 69 % à 98 %. Dette/PIB de l'Italie a augmenté de 116 % à 132 %. France est passé de 85 % à 95 %.
Outre l'Espagne, l'Italie et France, n'oublions pas Belgique (106 % dette/PIB), Irlande (109 dette/PIB) et le Portugal (130 dette/PIB).
Une fois que tous ces dominos commencent à tomber, les conséquences pour notre système financier mondial massivement endettée seront absolument catastrophique...
Espagne a plus de $ 1 billion dans l'encours de la dette... et l'Italie a € 2,6 billions. Ces obligations sont un appui à des dizaines de milliers de milliards d'Euros métiers dérivés. Une coupe de cheveux ou de la dette pardon pour eux déclencherait une défaillance systémique en Europe.
Les banques de l'UE dans son ensemble sont exploitées à 26 à 1. Tirer parti de ces niveaux, même une baisse de 4 % en atout prix anéantit tout votre capital. Et n'importe quel taux de décote de la dette grecque, espagnole, italienne et Français serait beaucoup plus que de 4 %.
Choses en Asie l'air tout à fait inquiétants aussi.
Selon Bloomberg, des niveaux d'endettement en Chine ont atteint des niveaux jamais enregistrés avant...
Alors que l'expansion économique de la Chine a battu les prévisions des analystes au deuxième trimestre, le niveau d'endettement du pays a augmenté à un rythme encore plus rapide.
Encours des prêts aux entreprises et aux ménages leva à un record de 207 % du produit intérieur brut à la fin de juin, passant de 125 % en 2008, données compilées par Bloomberg show.
Et n'oubliez pas, qui ne comprend même pas la dette publique. Quand vous jetez toutes les formes de la dette dans le mélange, la dette globale numéro du PIB pour la Chine se rapproche rapidement de 300 %.
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Au Japon, les choses sont encore pires. La dette publique au PIB au Japon appartient maintenant à une étonnante 230 %. Que le nombre a obtenu si élevé qu'il est difficile de croire qu'il pourrait éventuellement être vrai. À un certain moment une implosion est à venir au Japon qui va surprendre le monde entier.
RépondreSupprimerBien sûr on peut affirmer la même chose sur toute la planète. Oui, les gouvernements et banques centrales tentent lancer la boîte vers le bas de la route pour aussi longtemps que possible, mais tout le monde sait que cela ne va pas mettre fin à bien.
Et lorsque les choses vraiment commencent à s'écrouler, il sera différent de tout ce que nous ayons jamais vu auparavant. Il suffit de considérer quel Egon von Greyerz, a récemment déclaré roi World News...
Eric, il y a maintenant plus problématiques dans le monde, plutôt qu'une situation stable. Aucun des principaux pays de l'Ouest ne peut rembourser ses dettes. Il en va de même pour le Japon et la plupart des marchés émergents. L'Europe est une expérience ratée pour le socialisme et le déficit budgétaire. La Chine est une énorme bulle, en termes de marchés boursiers, les marchés de biens et système bancaire de l'ombre. Le Japon est également un cas désespéré et les États-Unis est le pays le plus endetté dans le monde et a vécu au-dessus de ses moyens depuis plus de 50 ans.
Alors nous verrons la dette de $ 200 billions de jumeaux et implosions dérivés $ 1,5 Billiards. Qui conduira à la destruction de richesse historique plus jamais en stock mondial, avec des marchés obligataires et de la propriété diminue au moins 75 – 95 pour cent. Commerce mondial se contractera également considérablement et nous verrons des difficultés énormes à travers le monde.
Alors quel vous pensez est à venir, et Comment le mauvais volonté choses deviennent en fin de compte une fois que ce mondial crise de la dette se tourne enfin totalement hors de contrôle ?
S'il vous plaît n'hésitez pas à ajouter à la discussion en postant un commentaire ci-dessous...
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/the-bankruptcy-of-the-planet-accelerates-24-nations-are-currently-facing-a-debt-crisis
(...) $ 28 000 de dette pour chaque homme, femme et enfant sur toute la planète. (...) !!!
SupprimerRappelez vous bien que l'argent prêté n'avait AUCUNE VALEUR !