Saxo Bank CEO: "il s'agit de véritable socialisme et je ne peux toujours pas croire ce qui s'est passé"
Soumis par Tyler Durden le 16/03/2013 15:59-0400
Rédigé par Lars Seier Christensen, PDG Saxo Bank ; Initialement posté sur son blog à TradingFloor.com, Il est difficile de décrire le lot de sauvetage du week-end à Chypre d'une autre manière. La confiscation de 6,75 pour cent de l'argent des petits déposants et 9,9 pour cent des fonds de gros déposants est sans précédent que je peux penser dans une société soi-disant civilisée et démocratique. Mais peut-être que l'Union européenne (UE) n'est plus une démocratie civilisée ? J'ai entendu des rumeurs à ce sujet quand j'ai visité Limassol la semaine dernière, mais les a rejetées comme complètement farfelues. Et pourtant, nous sommes ici. Les conséquences sont imprévisibles, mais nous sommes clairement à un changement de paradigme important. Il s'agit d'une violation des droits de la propriété fondamentale, dicté à un petit pays par des puissances étrangères, et il faut faire chaque déposant de banque dans le frisson de l'Europe. Bien que les représentants à la Conférence de presse de renflouement a tenté de présenter cela comme une seule fois, ils n'étaient pas disposés à exclure des mesures similaires ailleurs - ne pas qu'il aurait importait autant que la confiance est allée de toute façon. Il est maintenant difficile de s'attendre à aucune sorte de limitation à quelles mesures la troïka et l'UE pourrait prendre quand la crise commence vraiment à mordre. Si vous pouvez le faire une fois, vous pouvez le faire à nouveau. Si vous pouvez confisquer 10 pour cent de l'argent du client d'une banque, vous pouvez confisquer 25, 50 ou même 100 %. Maintenant, je crois que nous allons voir pire que la panique augmente, avec les politiciens qui tentent désespérément de maintenir en vie les euros. Les déposants dans d'autres pays de sauvetage éventuels doivent être à prendre peur - est-il sécuritaire de garder l'argent dans une banque italienne, banque espagnole ou grecque, pas plus que je ne sais pas, doit être la réponse. Est-il prudent de prendre le risque ? Vous décidez. Je crains que cela mènera à des sorties massives de capitaux en provenance de pays de la zone euro, à peu près la dernière chose dont ils ont besoin en ce moment. Même de l'UE dans son ensemble, je pense, que le syndicat bancaire est en place dans la plupart des pays déjà. Une autre question ouverte est ce qui se passera au grand nombre de maisons de courtage basée à Chypre ? Il y a environ 100 ou plus FX et autres courtiers/courtières actuellement exploités en vertu du règlement chypriote relativement léger. Comment cela affectera la crédibilité de ces nombreuses petites institutions ? Quel est l'impact exact sur les dépôts de la clientèle, ils pourraient être tenue à Chypre ? Quiconque osera faire des affaires avec eux va vers l'avant ?
Il s'agit d'un changeur de jeu majeur, majeur et les retombées seront avec nous pour une longue période à venir. Je crois que ça pourrait être le début de la fin de la zone euro, comme il s'agit d'un incroyable coup à la confiance déjà contestée qui pourraient ne pas être parmi les investisseurs. Parler d'un objectif propre possible. Marché réaction ? il doit être très bon pour l'or - et pour les pays de refuge comme la Suisse, Singapour et économiquement plus sains non Euro pays dans, par exemple, de Scandinavie. Je pense que l'EUR et les marchés connexes seront compromis en augmentant le manque de confiance lorsque toutes les implications deviennent claires pour les investisseurs.
Il s'agit de véritable socialisme et je ne peux toujours pas croire que ce qui s'est vraiment passé. Soyez prudent là-bas...
L'UE, afin de sauver l'accord aide Chypre pour € 10 milliards
Le ministère des Finances de Chypre (EPA) La zone euro va sauver le cinquième pays européen à Chypre. Les ministres des Finances de la zone euro ont trouvé la nuit de vendredi à samedi, l'accord pour le plan d'aide à la petite île. Le montant de l'aide sera "jusqu'à 10 milliards d'euros," une source diplomatique spécifique. Il s'agit d'une «miette», comparativement à plus de 200 milliards accordés à la Grèce en deux sauvetages. La somme est inférieure à € 17,5 milliards initialement demandée par Nicosie.
TAXE SUR LES COMPTES BANCAIRES
L'accord aidera la «troïka» UE-BCE-FMI Nicosie à négocier avec le «Memorandum of Understanding», qui est la contrepartie qui demande à l'Europe en échange d'une aide financière. Le Fonds monétaire international (FMI) est attendue à hauteur de € 1 milliard pour faciliter le plan pour Chypre. En particulier, le programme d'aide financière comprend une taxe exceptionnelle pouvant aller jusqu'à 9,9% sur les dépôts bancaires dans les banques chypriotes,: le retrait sera de 6,75% pour les dépôts de moins de 100.000 € et 9,9% pour les personnes de plus comprendre. "La situation à Chypre est unique en raison de son" hypertrophique bancaire - a déclaré le président de l'Eurogroupe Dijsselbloem Jeroen - et c'est pourquoi nous estimons qu'il est justifié les dépôts fiscaux ».
Le président chypriote Nicos Anastasiades a parlé samedi d'une décision toute faite imposée à Nicosie sous la forme d'un chantage: c'est à prendre ou ont de la zone euro s'effondrer, dans le sillage de plan de sauvetage proposé à Chypre pour un montant de 10 milliards d'euros, avec des termes tels comme une coupe de cheveux à des comptes bancaires chypriotes et la montée de l'intérêt et de la fiscalité des entreprises.
Dans une déclaration écrite, il a publié samedi après-midi, Anastasiades a déclaré: «Chypre suis tombé sur une décision prise antérieurement, un fait accompli." Pour sa défense, il a dit que la situation d'urgence "ne se pose pas dans les 15 derniers jours que nous avons entrepris dans le pays administration. "
Il a ajouté que sans le plan de sauvetage des deux rives principales du pays s'effondrerait le mardi et son gouvernement aurait à indemniser les déposants, pour aboutir finalement à une éventuelle sortie de l'euro et une dévaluation de la monnaie de 40 pour cent.
Anastasiades émettra un message télévisé au peuple chypriote dimanche.
A Athènes, un responsable du ministère grec des Finances a confirmé à Kathimerini samedi que "tous les trois banques chypriotes actifs en Grèce [Bank of Cyprus, Chypre populaire et hellénique] auront leurs branches grecques absorbés par un établissement de crédit grecque."
Il s'arrêta de nommer le prêteur grec pour les absorber, bien que source de dire ce qui peut appartenir à l'État Hellenic Postbank.
Nicosie transpire sur la position du Parlement sur les mesures
Le gouvernement chypriote est maintenant transpiration sur un éventuel rejet par le parlement de l'île de la série choquante des mesures imposées sur Nicosie pour la zone euro pour sauver son économie sur un défaut susceptible, a annoncé dans les premières heures de samedi.
Le gouvernement chypriote est la préparation du projet de loi soit déposé au Parlement sans doute le dimanche en session d'urgence, car tout devra être voté lundi soir par les banques chypriotes à ouvrir le mardi.
Président Nicos Anastasiades est de rencontrer les dirigeants des partis à 20h30, le samedi soir, avant une réunion d'urgence du cabinet dimanche après-midi, dans son effort pour rallier le soutien pour les mesures à la suite de la réaction énorme qu'ils ont généré à Chypre. Ils comportent la coupe immédiate de tous les comptes bancaires, l'augmentation de l'impôt sur les intérêts et sur les revenus des entreprises et un certain nombre de projets de privatisation difficiles.
La question est de savoir si la Chambre des représentants de Chypre approuvera le projet de loi, étant donné que les deux principaux partis qui ont soutenu Anastasiades à l'élection présidentielle, le Rassemblement démocratique (DISY) et le Parti démocratique (DIKO) n'ont pas la majorité absolue. Ils représentent 28 des 56 membres de la plénière, mais parmi les députés DIKO est également Nicolas Papadopoulos, un dissident qui a récemment démissionné de la vice-présidente du parti en désaccord avec son support de Anastasiades.
Le projet de loi pourrait également obtenir l'appui de certains députés du Parti mineur européenne (EVROKO), tandis que le conseiller du président Giorgos Vassiliou, ancien président lui-même qui est en contact avec beaucoup de gens dans la gauche, a été mis à contribution pour tenter de convaincre certains députés à voter en faveur du projet de loi. Cependant AKEL, le principal parti de la gauche, a signalé son opposition à ces mesures.
A 5 heures gouverneur de la banque centrale Panikos Demetriades commencé une réunion avec les banquiers de l'île.
Sources d'Allemagne avait confirmé que le plan de sauvetage non inclus une coupe de cheveux compte bancaire chypriote ne serait jamais le faire à travers le parlement allemand.
Déposants Chypre face à coupe de 10% dans le cadre d'accord de renflouement convenu lors de l'Eurogroupe
La zone euro ont conclu un accord samedi pour remettre à Chypre un plan de sauvetage de 10 milliards d'euros (13 milliards de dollars), mais a demandé à ses déposants des banques perdent de l'argent pour éviter la faillite malgré les risques d'une course plus grande banque.
Chypre devient le cinquième pays, après la Grèce, l'Irlande, le Portugal et l'Espagne se tourner vers la zone euro de l'aide financière dans le sillage de la crise de la dette de la région. Dans une rupture radicale avec les programmes d'aide antérieurs, les ministres de la zone euro forcé épargnants de Chypre, dont presque la moitié sont considérées comme non-résident Russes, à payer jusqu'à 10 pour cent de leurs dépôts d'augmenter de près de 6 milliards d'euros.
«Je souhaite que je n'étais pas le ministre de le faire,» chypriote ministre des Finances Michael Sarris a déclaré après 10 heures de négociations nocturnes où la zone euro ministres des Finances convenus le paquet. "Beaucoup plus d'argent aurait pu être perdu dans la faillite du système bancaire, voire du pays,» at-il dit, ajoutant qu'il espérait un prélèvement et de sauvetage marquera un nouveau départ pour Chypre.
Sans un sauvetage, Chypre défaut et menacent de percer la confiance des investisseurs dans la zone euro qui a été encouragée par la promesse de la Banque centrale européenne l'année dernière à faire tout ce qu'il faut pour consolider le bloc monétaire.
Mais sur la Méditerranée île, l'incrédulité initiale à la décision a fait place à la colère. Les sociétés de crédit coopératif, normalement ouverts le samedi, ont été fermés pour les affaires, dans la ville côtière de Larnaca que les déposants ont commencé la queue tôt le matin pour retirer leur argent. «Je suis très en colère. J'ai travaillé des années pour le faire ensemble et maintenant je suis en train de perdre sur les dires des Hollandais et des Allemands», a déclaré la Colombie-chypriote Andy Georgiou, 54 ans, qui est retourné à Chypre à la mi- -2012 avec ses économies.
"Ils appellent l'île de la Sicile de la mafia. Ce n'est pas la Sicile, c'est Chypre. C'est le vol pur et simple», a déclaré un retraité.
Le plan de sauvetage a été plus faible que prévu initialement et est principalement nécessaire pour recapitaliser les banques chypriotes qui ont été touchés par une restructuration de la dette souveraine en Grèce. Le prélèvement sur les dépôts bancaires entrera en vigueur le mardi, après un jour férié le lundi. Chypre prendra des mesures immédiates pour empêcher les transferts d'argent électroniques en fin de semaine.
"Comme il s'agit d'une contribution à la stabilité financière de Chypre, il semble juste de demander une contribution de tous les titulaires de dépôts,» ministre néerlandais des Finances Jeroen Dijsselbloem, qui a présidé la réunion à Bruxelles, a déclaré aux journalistes. Ces prélèvements briser le tabou de frapper déposants des banques avec des pertes, mais Dijsselbloem dit qu'il n'aurait pas été possible autrement pour sauver son secteur financier, qui est d'environ huit fois la taille de l'économie. "Nous ne sommes pas pénaliser Chypre ... nous avons affaire à des problèmes de Chypre,» a déclaré Dijsselbloem.
Dijsselbloem dit que le cadre du programme, la dette de l'île tomberait à 100 pour cent de la production économique en 2020. En contrepartie de prêts d'urgence, Chypre a accepté d'augmenter son taux d'impôt sur les sociétés de 2,5 points de pourcentage pour atteindre 12,5 pour cent. Cela devrait accroître les recettes chypriotes, ce qui limite la taille de l'emprunt nécessaire à partir de la zone euro et de garder la dette publique.
Fonds monétaire international Directeur Général Christine Lagarde, qui a assisté à la réunion, a déclaré qu'elle soutenait l'accord et je voudrais demander au conseil du FMI à Washington pour contribuer au renflouement. «Nous croyons que la proposition est viable pour l'économie chypriote,» dit-elle. «Le FMI envisage de proposer une contribution au financement de l'ensemble ... Le montant exact n'est pas encore précisé, Lagarde» dit.
Chypre, avec un produit intérieur brut de 0,2 pour cent à peine de la production globale du bloc, une demande d'aide financière dernier Juin, mais les négociations ont été bloquées par la complexité de l'affaire et de la réticence du président précédent de l'île de signer. Moscou, qui a des liens étroits avec Nicosie, est susceptible d'aider en accordant un prêt de € 2,5 milliards déjà fait à Chypre de cinq ans d'ici 2021 et de réduire le taux d'intérêt. «Nous avons eu des contacts ces dernières semaines avec le gouvernement russe», a déclaré le haut responsable de l'UE économiques, Olli Rehn.
«Je crois comprendre que le gouvernement russe est prêt à apporter une contribution à une extension de l'emprunt et une réduction du taux d'intérêt», a déclaré Olli Rehn, qui est chargé des affaires économiques à la Commission européenne, l'exécutif de l'UE.
Chypre ministre des Finances Sarris se rendra à Moscou pour des réunions le lundi pour tenter de cerner les nouvelles conditions de prêt. Chypre initialement estimé qu'il fallait environ 17 milliards d'euros - près de la taille de sa production annuelle entière - pour redresser son économie à la santé.
Mais parce que d'un prêt de cette ampleur augmenterait sa dette à des niveaux excessivement élevés et remettent en cause sa capacité à jamais le rembourser, les décideurs politiques ont cherché à le réduire en trouvant des sources de revenus plus à Chypre même. Par ailleurs, la zone euro ministres ont convenu d'allonger la maturité des prêts d'urgence à l'Irlande et au Portugal pour lisser leur retour sur le marché du financement de cette année et la suivante, mais les détails des extensions seront décidées uniquement en Avril.
Expropriation partielle des clients de la banque: beaucoup Chypre horrifié épargnants grecs
Par Georgios Christidis et Stefan Schultz
En Grèce prévaloir la colère et de la frustration: peu plus de trois milliards d'euros ont planqué sur les comptes touchés par la crise Grecs chypriotes, afin de les protéger de la crise dans leur pays d'origine. Maintenant ils perdent une partie de leur argent - parce que Chypre est enregistré au détriment des clients des banques.
Hambourg / Thessalonique - Grèce Pour les citoyens là-bas dans la crise de l'euro, pas d'échappatoire: Depuis plus de cinq ans, ils souffrent à cause de la crise de la dette dans leurs pays, la récession, les pertes d'emplois et des baisses de salaires. Beaucoup ont fait leur épargne à l'étranger. En matière de sécurité. Alors qu'ils pensaient. Ils ont eu tort.
Autour de trois milliards d'euros, les Hellènes ont caché des comptes chypriotes, les initiés disent. Maintenant, une partie de leur épargne est révolue. Parce que l'Union européenne oblige tous les clients des banques chypriotes à participer au sauvetage de l'île-nation de participer. Les investisseurs qui ont plus de 100.000 euros sur des comptes chypriotes, prendre l'Euro-sauveteur de 9,9 pour cent de leurs dépôts, chute en dessous de ce seuil à 6,75 pour cent.
A propos du prélèvement obligatoire devrait particulièrement des Russes riches et les Britanniques sont rappelés à leur devoir, le montant d'argent - certains disent: y compris aussi l'argent noir - cachette à Chypre. Maintenant, la mesure affecte, mais aussi les déjà touchés par la crise grecque.
"L'UE me dégoûte"
«Je suis dévasté", se plaint un homme d'affaires de 50 ans originaire de Thessalonique. «Je n'ai pas dormi la nuit dernière." Il avait transféré 150.000 euros à Chypre. Maintenant, il s'attend à des pertes de près de 10.000 euros. Les gestionnaires de crise de l'UE ont toujours souligné dans le cas de Chypre menacée sans la participation des clients privés sur un plan de sauvetage possible. Il avait compté sur cette promesse. «Toute ma confiance a été dissous», dit-il aujourd'hui.
Il a voulu transférer leur argent aussi vite que possible vers la Grèce. DC le mardi, lorsque les banques ouvrent à nouveau, il va arranger ça. Il espère, mais il a peu de chances: La loi sur l'expropriation sera en vigueur jusqu'au mardi longtemps.
Grecque petits épargnants prennent l'expropriation partielle plus difficile. «Je n'ai il ya six mois, a environ 15.000 euros à Chypre", dit l'un. Qu'est-ce qui s'est passé, il ne serait pas dans ses rêves les plus fous ont imaginé. «C'est le vol», dit-il. "L'UE me dégoûte."
La peur de feux de forêt
Le journal grec «Kathimerini» maintient le rythme de l'UE et de veille pour historiquement sans précédent. "Nous payons pour les péchés des autres,» écrit-elle. Agences de presse chypriote prévenir la panique des investisseurs. S'il est ouvert mardi dans la nation insulaire, les banques ont dû à nouveau compter avec une ruée sur les comptes. Même le week-end, beaucoup de gens s'était tenu au guichet automatique et tenté de piller leurs comptes. Vain.
«Ils nous punir Chypriotes simples", a déclaré l'ingénieur Andreas Stylianou de l'agence de Nicosie nouvelles dpa. «Nous jeter en arrière un peu, et maintenant ils prennent notre argent. C'est injuste. Très injuste."
Président Nikos Anastasiades a toutefois souligné: Sans le consentement de son gouvernement pour les "douloureuses" conditions du plan d'aide "l'ensemble du système bancaire s'est effondré."
Banquiers grecs avertir des conséquences de grande envergure. L'expropriation partielle des clients des banques viennent violation d'un tabou, disent-ils. Même en Irlande, au Portugal, en Espagne, en Italie aujourd'hui les expropriations sont possibles. Les investisseurs peuvent être nerveux - et le pillage de leurs comptes. En particulier en Grèce après les événements traumatisants du week-end menace la panique bancaire.
Bundestag à approuver en Avril
Euro-chef du groupe Jeroen Dijsselbloem permettra de dissiper ces craintes. La participation des clients des banques est une solution personnalisée pour Chypre, at-il souligné. L'aide de l'ESM fonds de sauvetage pourrait être limitée que par la participation des investisseurs privés à un niveau acceptable. La dette du pays aurait augmenté intolérable sans cette astuce.
Chypre a une production économique totale d'environ 18 milliards d'euros. Le pays va recevoir dix milliards d'euros du fonds de sauvetage ESM. L'expropriation partielle des clients des banques chypriotes apporte supplémentaires € 5,8 milliards. Pour cette année, affirme l'UE, le ratio d'endettement du pays à 93,1 pour cent du PIB - à l'exclusion des prêts d'urgence. Même alors, la dette va augmenter de façon substantielle.
La chancelière allemande Angela Merkel, qui assure la participation des épargnants privés pour être juste. «Pour être les dirigeants impliqués dans le cadre d'», a déclaré le chef de la CDU, "et pas seulement les contribuables d'autres pays. Je pense que c'est vrai."
Le ministre des Finances Wolfgang Schäuble veut quitter le plan de sauvetage pour Chypre en Allemagne légitimer rapidement. Déjà dans la seconde moitié de Avril, la CDU veut que l'homme de présenter l'utilité de tous les détails du Bundestag.
Au Parlement, un débat houleux est attendu. Leader parlementaire du FDP Rainer Brüderle laissée ouverte de savoir si les libéraux seront d'accord . Il veut d'abord savoir si les banques en difficulté dans le pays doit être préservée à tout de la faillite. Aussi SPD chancelier candidat Steinbrück a laissé ouverte le consentement de son parti. La CSU serez probablement d'accord que la gauche n'est pas définitive.
Ce n'est pas un fudge, mais il est encore un échec. La zone euro a renflouement de Chypre, qui a été scellé dans les premières heures de samedi, a réussi à avoir la facture pour les pays créanciers bas à partir de € 17 milliards à 10 milliards €, comme cela avait été répandu. Mais la façon dont il l'a fait était un peu inattendu. Près de 6 milliards € de l'économie pour les contribuables dans les pays de la zone euro venait de pertes imposées aux déposants dans les banques démesurées Chypre. Un prélèvement ponctuel de 9,9% sera imposé sur tous les dépôts sur le seuil de 100.000 € d'assurance avant que les banques rouvrir après un jour férié le lundi. Cette idée avait été dans l'air pendant un certain temps, notamment parce que beaucoup de ces dépôts non assurés venaient de l'extérieur de Chypre et de la Russie en particulier. La politique de sauvegarde Russes riches avec de l'argent prêté par les Allemands économes ont toujours été va être difficile.
Ce qui n'avait pas été prévu a été une perte de 6,75% pour les épargnants avec des dépôts dans les banques chypriotes-dessous du plafond de l'assurance. Chypriotes me suis réveillé ce matin pour trouver succursales de banques fermées. Au moment où ils seront en mesure d'obtenir à leur argent, il sera trop tard. L'offre de capitaux dans les banques pour remplacer la valeur de leur épargne est censé être un baume, mais ce n'est pas un choix qu'ils ont fait. Pourquoi cette décision a été prise n'est pas encore clair. L'explication la plus plausible est que le gouvernement chypriote lui-même préféré à répandre la douleur plutôt que de balayer les non-résidents déposants et compromettre ses perspectives à long terme en tant que centre financier offshore de l'argent russe et d'autres.
Quelle que soit la raison, c'est une erreur pour trois raisons. La première erreur est de réveiller le risque de contagion ailleurs dans la zone euro. Les déposants ont traversé la crise financière largement épargnés. Maintenant, ils ont été renflouées à certains d'entre eux en violation d'une promesse explicite qu'ils peuvent être sûrs de récupérer leur argent, même si une banque fait ventre en l'air.
Les euro dirigeants de la zone feront tourner l'affaire comme reflétant les circonstances particulières entourant Chypre, tout comme ils l'ont fait de la restructuration de la dette grecque l'an dernier. Mais si vous étiez un déposant dans un pays périphérique qui ressemblait il faut plus d'argent de la zone euro, quelle serait votre calcul soit ? Que vous n'auriez jamais être traités comme des personnes à Chypre, ou qu'un précédent a été établi qui reflète les exigences cohérentes des pays créanciers partage de la charge ? Les chances de grands mouvements déstabilisateurs de l'argent (en espèces, si ce n'est dans d'autres banques) ont juste tiré vers le haut.
La deuxième erreur est une question d'équité. Il y a un argument à faire sur les principes du sauvetage en déposants non assurés. Et il y a un cas pour frapper tout le monde dans les banques chypriotes avant tout contribuable dans un autre pays. Mais il n'est pas impératif moral pour whacking veuves chypriotes et en laissant les détenteurs d'obligations bancaires seniors intacte, comme cela semble être le cas ici, ou ne pas imposer de pertes sur la dette souveraine des investisseurs à Chypre, ou la protection des déposants dans les opérations des banques grecques chypriotes, qui s'est produit. La zone euro peut masquer ce bail-out dans la langue d'équité, mais c'est un traitement très sélectif. En effet, l'insistance de la zone euro qu'il s'agit d'un one-off rend parfaitement clair que: avec assez d'étrangers à risque et un pays assez petit pour marcher sur les pieds, vous obtenez un résultat comme Chypre. (C'est une des raisons pour lesquelles les gens sont maintenant de s'interroger sur les implications de cette affaire pour peu Lettonie, également à la maison à beaucoup d'argent russe et lui-même en raison de rejoindre la zone euro en 2014.)
L'erreur finale est stratégique. L'affaire chypriote n'a pas de cohérence dans le contexte plus large. La crise de l'euro a été en suspens pendant quelques mois, en grande partie grâce à la volonté de la Banque centrale européenne à intervenir pour aider les pays en difficulté. Prix ??de la BCE pour aider les pays est d'insister ils entrent dans un programme de renflouement. Le prix politique d'aller dans un programme vient d'être mis en place, afin de filet de sécurité de la BCE est un peu plus mince.
Le bail-out semble se déplacer plus loin de l'Europe les réformes institutionnelles qui sont nécessaires pour résoudre la crise une fois pour toutes. Plutôt que d'utiliser le Mécanisme européen de stabilité pour recapitaliser les banques, et ainsi affaiblir le lien entre les banques et leurs gouvernements, la zone euro continue à assimiler renflouement des banques avec les souverains de renflouement. En ce qui concerne la mutualisation de la dette, après les pertes aux déposants locaux, le prix de soutien du reste de l'Europe est sans doute plus coûteuse qu'elle ne l'a jamais été.
Il est également difficile de concilier ce résultat avec la refonte en cours des finances. La direction des efforts visant à améliorer la position de liquidité des banques est de les encourager à tenir plus de dépôts, l'objectif de sauvetage dans la législation devrait entrer en vigueur d'ici 2018 est de faire de la dette senior absorber les pertes en cas de faillite d'une banque. La logique derrière ces deux initiatives de réforme est que les dépôts bancaires ont deux propriétés contradictoires. Ils sont à la fois collante, car ils sont assurés, et ils sont volage, car ils peuvent être tirés instantanément. Ainsi, les dépôts sont une bonne source de financement à condition qu'ils ne jamais courir. La Chypre renflouement rend cette astuce confiance plus difficile à enlever.
Pour tout le monde choqué par What Just Happened ... Et pourquoi ce n'est que le début
Soumis par Tyler Durden sur 16/03/2013 18:28 -0400
Aujourd'hui, beaucoup de gens se sont réveillés sous le choc et l'horreur de ce qui s'est passé à Chypre: une réallocation du capital forcée mandaté par les élites politiques, sous le couvert d'une «participation au capital» dans les banques insolvables, ce qui est vraiment un code pour " coercitive, impôt sur la fortune obligatoire. " Si moins préoccupés par la rectitude politique, on pourrait dire que ce qui vient de se passer était hold-up des épargnants vers les banques et le statu quo. Ces mêmes personnes peuvent être encore plus choqué d'apprendre que le Chypriote aujourd'hui «résolution» n'est que le premier de beaucoup de ces interventions coercitives en richesse personnelle, d'abord en Europe, puis partout ailleurs.
Pour le bénéfice de ces personnes, nous tenons à les signaler à notre article de Septembre 2011, " La "se débrouiller" Has Failed: le BCG dit "il est possible qu'un façons douloureuses sortir de la crise ", qui prédit et expliqué tout cela et bien plus encore quoi d'autre l'étude Septembre BCG conclure ? Il suffit qu'une telle obligation, impôt sur la fortune coercitive n'est que le début d'un monde dans lequel il y avait quelque 21 billions USD en dette excédentaire à partir de 2009, un nombre qui a depuis grimpé à plus de 30 trillions de dollars. Et l'inflation malheureusement à la fin de la comparante et "gonfler l'écart", a déclaré le surendettement, l'Europe d'abord est finalement passer au plan B, et utilise Cyrprus son cobaye.
Pour ceux qui ont raté la première fois, ici, c'est nouveau. D'une certaine manière nous pensons que beaucoup plus de gens vont écouter cette fois-ci:
Restructuration du surendettement dans la zone euro aurait besoin d'un financement et serait une tâche ardue. Afin de financer la restructuration contrôlée, les politiciens pourraient bien conclure qu'il était nécessaire de taxer la richesse existante du secteur privé. Beaucoup de politiciens verraient imposer des actifs financiers comme la plus belle façon de résoudre le problème. Les impôts existants actifs financiers reconnaîtrait un fait: ces investissements ne sont pas aussi précieux que leurs propriétaires pensent, comme les débiteurs (gouvernements, les ménages et les entreprises) ne pourront pas faire face à leurs engagements. La figure 3 indique la taxe unique sur les actifs financiers requis pour fournir les fonds nécessaires pour une restructuration ordonnée.
- voir graphique sur site -
Pour la plupart des pays, une coupe de cheveux de 11 à 30 pour cent serait suffisante pour couvrir les coûts d'une restructuration ordonnée de la dette. Seule la Grèce, l'Espagne et le Portugal le fardeau pour le secteur privé est nettement plus élevé; en Irlande, il serait trop élevé parce que les actifs financiers du peuple irlandais sont plus petits que l'ajustement requis des niveaux d'endettement. Cela met en évidence la dimension de l'immobilier irlandais réel et bulle de la dette.
Dans le contexte global de l'avenir de la zone euro, les politiciens devraient proposer un plus large partage de la charge afin que les contribuables des pays tels que l'Allemagne, la France et les Pays-Bas contribuent plus que la part nécessaire pour réduire leur endettement propre. Ce serait impopulaire, mais les banques et les compagnies d'assurance dans ces pays pourraient en bénéficier. Afin de garantir un partage socialement acceptable de la charge, les politiciens seraient sans doute décider de taxer les actifs financiers seulement au-dessus d'un certain seuil de 100.000 €, par exemple. Étant donné que ces impôts devraient être comprises comme une correction ponctuelle des niveaux d'endettement actuels, ils auraient besoin pour l'équilibrer en enlevant impôt sur la fortune et les plus-values taxes. L'action drastique d'imposer une taxe sur les actifs serait sans doute plus facile politiquement à des impôts moins élevés, afin de stimuler la croissance. (Voir Figure 4.)
- voir graphique sur site -
Curieusement, pas même le BCG devrait le tir initial de semonce pour être si mauvais que tout le monde, pas seulement ceux au-dessus des 100.000 € seuil pourrait en être compromise. Hélas, c'est la triste réalité en Europe, alors que le tableau ci-dessus montre un total de € 6,1 trillions avec un T de la richesse supplémentaire confiscation fiscale est à venir.
Oh, et US of A. .. ne craignez pas - votre tour arrive trop: avec une étiquette de prix de € 8,2 milliards de dollars en impôt sur la fortune en attendant de 2009. Ce nombre est maintenant quelque part au nord de € 15 trillions.
Même si cette forme de loi martiale (confiscation des armes et de l'or) ne s'est pas (encore) accompagnée du silence-radio cher à la nazional socialiste et qu'aujourd'hui tout le monde sait ce qu'il s'est passé à Chypre, combien vont dès lundi 18 Mars retirer leur argent des mains des escrocs ?
Allemagne et FMI demandent initiale Haircut Caution: 40% du total
Soumis par Tyler Durden sur 16/03/2013 19:29 -0400
Comme le Président de Chypre proclame à son peuple que «nous devons tous assumer la responsabilité que sa décision historique va «conduire à la rescousse permanente de l'économie,« il semble que la coupe réglée en-upon 9,9% est une «bonne affaire par rapport à la stupéfiant de 40% du total des dépôts que l'Allemagne finmin Schäuble et le FMI exigeaient. Cette action, ses notes afférentes aux états, permet le sauvetage de 8.000 emplois dans le secteur bancaire et d'assurer la liquidité des banques ", permettant à l'économie de procéder résolument à une nouvelle début. " rapports Ekathimerini, «c'est la première fois dans la zone euro que le prélèvement a été imposé non pas des intérêts des comptes bancaires, mais sur le capital lui-même», et c'était le seul moyen de combler la plupart des lacunes entre la EUR17bn l' Nicosie nécessaire et l'ESM 10 milliards d'euros l'offrait, mais impôt sur les intérêts dans les banques chypriotes vont aussi augmenter de 20-25% . C'est l'exigence coupe de cheveux 40% qui nous préoccupe le plus le plus clairement l'avenir que cela signifie d'autres pays, à partir de lundi ( ou mardi donnée jours fériés) voir les sorties de dépôt contre les surtensions, comme la volonté de prendre de telles mesures est douloureusement clair.
Déclaration du Président de la République de Chypre,
Il est bien connu que la profonde crise économique et de l'état d'urgence dans lequel le pays s'est trouvé ne s'est pas faite dans la dernière quinzaine, depuis que nous avons entrepris l'administration du pays.
L'état de nature urgente et critique de l'époque ne me permet pas, car ils ne permettent pas de n'importe qui, de se lancer dans un jeu du blâme.
Lors de la réunion extraordinaire de l'Eurogroupe, nous avons été confrontés les décisions qui ont déjà été prises et suis tombé sur des faits accomplis grâce à laquelle nous avons été confrontés à des dilemmes suivants:
Mardi 19 Mars, on devrait soit choisir: le scénario catastrophe de la faillite désordonnée ou le scénario d'une gestion pénible mais contrôlée de la crise, ce qui mettra un terme définitif à l'incertitude et redémarrer notre économie.
Un choix possible de l'option de scénario catastrophe aurait les conséquences suivantes:
1. Mardi, Mars 19, immédiatement après le week-end, l'une des deux banques en crise cesserait de fonctionner, puisque la Banque centrale européenne, suite à la décision déjà prise, mettrait fin à la fourniture de liquidités. La deuxième banque suspendrait ses travaux, et ne pouvait éviter l'effondrement. Un tel phénomène pourrait entraîner instantanément 8,000 familles au chômage. 2. L' État serait obligé d'indemniser les déposants en réponse à l'obligation relative dépôts garantis. Le capital requis dans un tel cas reviendrait à environ 30 milliards d'euros, dont l'État serait incapable de payer. 3. Un montant proportionnel correspondant aux dépôts de milliers de déposants pour les dépôts de plus de 100.000 euros, serait conduit à un cercle vicieux de la liquidation des actifs, et ces déposants subirait des pertes de plus de 60%. 4. Une telle situation incontrôlée serait de pousser le système bancaire dans son ensemble dans l'effondrement avec toutes les conséquences qui en découlent. 5. Des milliers de petites et moyennes entreprises, et d'autres entreprises seraient poussés à la faillite en raison de leur incapacité à négocier. En conséquence de ce qui précède, le secteur des services serait conduit à un effondrement complet avec une possible sortie de l'euro. Que, en plus de l'affaiblissement nationale de Chypre, conduirait à une dévaluation de la monnaie par au moins 40% . Le deuxième choix est la gestion contrôlée de la crise, à travers les décisions prises et qui peuvent être résumées comme suit:
1. Assurer la liquidité des banques et le sauvetage du système bancaire par le biais de leur recapitalisation. 2. Sauvetage 8000 emplois dans le secteur bancaire et beaucoup d'autres qui seraient perdus en tant que corollaire de ne pas maintenir les opérations des banques. 3. Sauvetage total des dépôts, avec juste l'échange d'un petit pourcentage de l'épargne en actions des deux banques. À l'heure actuelle, ces actions n'ont pas leur pleine valeur, mais avec la reprise économique, ils rembourseront le plus n'est pas la totalité du montant qui sera coupée. 4. Cette option se traduit par une réduction drastique de la dette publique, il est gérable et durable et soulage les générations futures du fardeau du remboursement. 5. Il permet d'économiser de prévoyance et caisses de retraite et évite de prendre d'autres mesures sévères telles que les salaires et les retraites qui ont été mises sur la table des négociations. 6. Il évite en outre la récession et le risque d'un cercle vicieux d'une deuxième note.
Nous ne cherchons pas à dissimuler la situation. La solution retenue peut être douloureuse, mais c'était la seule qui nous permettra de continuer notre vie sans aventures. C'est une décision qui mène à la rescousse historique et permanente de notre économie.
Dans les prochaines heures, nous devrons tous assumer la responsabilité . Demain, je vais aborder le peuple chypriote.
Via ekathemerini,... Déjà les clients des banques se réunissent en dehors des grandes banques et coopératives, télévision Skai rapporté samedi matin, que les déposants en colère réclament leur argent. ... C'est la première fois dans la zone euro que le prélèvement a été imposé non pas des intérêts des comptes bancaires, mais sur le capital lui-même. En plus de cela il s'agit d'un prélèvement sur les intérêts, aussi, et une augmentation de la taxe de 10 pour cent des entreprises qui a été l'un des principaux moteurs de l'évolution financière de Chypre après l'invasion turque de 1974, générant une croissance en attirant les investissements étrangers directs. Notamment, la coupe de cheveux en compte n'affecte pas les comptes bancaires dans les agences bancaires chypriotes basé en Grèce, selon des sources du ministère grec des Finances. Impôt sur les intérêts s'élèveront à entre 20 et 25 pour cent. ... CyBC Chypre télévision d'Etat a rapporté samedi que ministre allemand des Finances effectivement entré dans la réunion de l'Eurogroupe le vendredi proposant une décote de 40 pour cent sur les comptes bancaires chypriotes. Sarris a déclaré samedi que cela avait également été la proposition du Fonds monétaire international. Sarris a déclaré à Bruxelles que, compte tenu de la menace de la Banque centrale européenne pour les banques à Chypre pour arrêter et le chaos de s'ensuivre, l'augmentation de la fiscalité de l'épargne et de la coupe de cheveux à des comptes bancaires est devenue nécessaire. "Un défaut désordonné, qui a été un véritable possibilité a été écartée », a t-il dit. «Il permet à notre économie de procéder de manière décisive à un nouveau départ." ... Leader de l'opposition Antros Kyprianou, le Secrétaire général de l'AKEL gauche, a accusé le gouvernement de ne pas avoir consulté les autres parties, en disant que "le gouvernement porte l'entière responsabilité de l'évolution de l'économie en tant que lieu de choisir la voie de la concertation, il a décidé de faire cavalier seul. "
Chypre, sauvetage de l'État et de l'euro, mise à mort des épargnants
Publié le 16/03/2013
Aujourd'hui, cambriolage de tous les comptes en banques à Chypre, sur ordre de l'UE et du FMI. A quand chez nous ?
Par Patrick Smets, depuis Bruxelles, Belgique.
Avec le « sauvetage » de Chypre, la crise de la dette en zone euro vient de rentrer dans une nouvelle phase. Pour la première fois, les ministres de la Zone Euro se sont accordés pour confisquer directement l’épargne de la population. Pour obtenir l’aide européenne, le gouvernement chypriote doit lever une taxe « exceptionnelle » de 6 à 10 % sur l’ensemble des avoirs bancaires ?! Concrètement, les comptes en banque ont été bloqués pour l’ensemble de la population de façon à éviter des retraits massifs. Ce week-end, une loi sera votée en extrême urgence pour lever la taxe. Aucune forme de débat démocratique n’aura entouré cette mesure abjecte qui relève tout simplement du vol à main armée. Le Parti Libertarien s’insurge contre cette obscénité fiscale ?! La Belgique étant membre de la zone euro, le Premier Ministre Elio Di Rupo et le Ministre des Finances Koen Geens assument la responsabilité des décisions prises à l’Eurogroupe. Le Parti Libertarien exige des explications publiques quant à la décision prise ce week-end. Le Parti Libertarien exige également l’assurance par tous les partis politiques que de telles mesures ne seront jamais prises en Belgique. Enfin, le Parti Libertarien souhaite que s’ouvre dès à présent un grand débat national sur l’annulation de la dette publique avant que celle-ci ne serve de prétexte à la mise sous tutelle de nos institutions démocratiques et à la mise à mort des épargnants.
Chypre : le Président s'exprimera dimanche après la colère suscitée par le plan de sauvetage
Par Les Echos | 16/03 | 09:33 | mis à jour à 17:47
L'accord trouvé dans la nuit entre Chypre et ses créanciers suscite la colère des Chypriotes dont les comptes bancaires vont être taxés.Le Président chypriote, Nicos Anastasiades, expliquera dimanche à ses concitoyens les enjeux de cet accord. Rassurer la population ... si les créanciers de Chypre sont globalement satisfaits de l'accord qui a été trouvé samedi entre Nicosie et les représentants de la zone euro et du FMI , la nouvelle a été fraîchement accueillie par la population. Le Président de la République, Nicos Anastasiades ,a donc décidé de s'adresser au pays ce dimanche pour expliquer ce plan de sauvetage qui , même s'il n'était pas à la Une de la presse chypriote, a engendré une multiplication de tweets de gens en colère. Tandis que juste après avoir eu connaissance de ce plan, des dizaines de personnes étaient visibles devant les distributeurs automatiques des banques, traditionnellement fermées le samedi. Mais avant même son intervention, Nicos Anastasiades a dans un communiqué a justifié ce plan de sauvetage. « Nous avions le choix entre le scénario catastrophe d'une défaillance non contrôlée et une gestion douloureuse mais contrôlée de la crise qui mette un terme définitif à l'incertitude », a insisté le président dans un communiqué. Et d'ajouter qu'à défaut d'un accord avec les bailleurs de fonds « tout le système bancaire se serait effondré .» Une taxe exceptionnelle Car si Nicosie qui devient ainsi le cinquième pays de la zone euro à bénéficier d'un programme d'aide internationale, a obtenu l'assurance d'un plan de sauvetage maximale de 10 milliards d'euros, en échange de cette aide, les Chypriotes devront mettre la main au portefeuille. Pour réduire leur participation, les bailleurs de fonds en effet demandé à Nicosie d'instaurer une taxe exceptionnelle de 6,75% sur les dépôts bancaires en-deçà de 100.000 euros et de 9,9% au-delà de ce seuil, ainsi qu'une retenue à la source sur les intérêts de ces dépôts. Ces prélèvements devraient rapporter au total 5,8 milliards d'euros, a indiqué samedi le chef de file de l'Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem. A ces taxes, s'ajoutent des privatisations et une hausse de l'impôt sur les sociétés qui passera de 10 à 12,5%.
Les bailleurs de fonds de Chypre ont renoncé à un effacement de dette, qui aurait fait subir de lourdes pertes aux créanciers privés et qui était fermement rejetée par Nicosie, mais tous les épargnants seront touchés par ces nouvelles taxes, qu'ils soient chypriotes ou étrangers, en particulier russes. Les autorités ont déjà pris des mesures pour geler les sommes sur les comptes et une loi devrait être adoptée au cours du weekend pour permettre cette opération et empêcher une fuite massive des capitaux. « On ne pénalise pas Chypre », a estimé Jeroen Dijsselbloem. « Nous sommes aux côtés du gouvernement chypriote, c'est ce paquet qui permettra une restructuration du secteur bancaire et rendra la dette durable », a-t-il expliqué.
« La solution présentée est durable, pérenne et dans l'intérêt de l'économie chypriote », a renchéri la directrice du FMI, Christine Lagarde, dont l'institution devrait participer au plan d'aide chypriote même si aucun ordre de grandeur n'a été évoqué publiquement. Selon une source diplomatique européenne, la contribution du FMI pourrait avoisiner un milliard d'euros. Eviter les coupes dans les salaires et pensions Les taxes sur le capital et les intérêts des dépôts seront entièrement compensées par la distribution d'actions, a indiqué le ministre chypriote des Finances, Michalis Sarris, soulignant que les mesures prises ont permis d'éviter « des coupes dans les salaires et les pensions ». Chypre avait demandé en juin une aide financière à l'UE et au FMI pour l'aider notamment à renflouer ses deux principales banques, plombées par la crise grecque.
Mais ses bailleurs de fonds n'étaient pas prêts à lui accorder 17,5 milliards d'euros, soit l'équivalent de son PIB: ils craignaient que le pays ne puisse rembourser une somme trop importante et que la dette explose à des niveaux insoutenables, une fois l'aide versée. Au final, la dette chypriote sera ramenée à 100% du PIB en 2020. Nicosie devrait également se tourner vers la Russie, dont elle est proche économiquement et culturellement, mais la contribution de Moscou devrait être limitée. « Le pays est prêt à prolonger le remboursement d'un prêt » de 2,5 milliards d'euros venant à échéance 2016 « et à réduire les taux d'intérêt, mais il n'entend pas aller au-delà », a prévenu le commissaire européen en charge des Affaires économiques, Olli Rehn.
Par ats Les deux organisations ont trouvé samedi un accord sur un plan de sauvetage d'un maximum de 10 milliards d'euros pour Chypre. L'Etat devient le cinquième pays à bénéficier d'une d'aide internationale.
Bruxelles Le montant de l'aide devrait être «de 10 milliards d'euros maximum», a indiqué une source diplomatique, soit bien moins que les 17,5 milliards d'euros évoqués au départ par Nicosie. Ce montant est aussi très inférieur aux centaines de milliards déboursés pour la Grèce et aux dizaines de milliards versés au Portugal, à l'Irlande et au secteur bancaire espagnol. «C'est fait,» a aussi indiqué un responsable européen qui a précisé que les dépôts inférieurs à 100'000 euros ne seraient ponctionnés qu'à 6,75% et que les intérêts des dépôts seraient aussi taxés. Chypre devrait aussi participer à ce plan via un programme de privatisation qui pourrait concerner son opérateur télécoms. 10h de réunion Le FMI devrait participer à hauteur de 1 milliard d'euros, a indiqué la même source à l'issue de près de 10 heures de réunion entre les ministres des Finances de la zone euro, la directrice générale du FMI, Christine Lagarde et le président de la Banque centrale européenne (BCE), Mario Draghi. Le programme d'assistance financière comprend une taxe exceptionnelle pouvant aller jusqu'à 9,9% sur les dépôts bancaires dans les banques chypriotes, ainsi qu'une retenue à la source sur les intérêts de ces dépôts. Les bailleurs de fonds de Chypre semblent avoir renoncé à un effacement de dette, qui ferait subir de lourdes pertes aux créanciers privés et qui était fermement rejetée par Nicosie. Mais les épargnants seront cependant touchés par ces deux taxes sur les dépôts. Chypre avait demandé en juin une aide financière à l'UE et au FMI pour l'aider notamment à renflouer ses deux principales banques, plombées par la crise grecque. Eviter l'explosion de la dette Mais ses bailleurs de fonds n'étaient pas prêts à lui accorder 17,5 milliards d'euros, soit l'équivalent de son PIB: ils craignaient que Chypre ne puisse pas rembourser une somme trop importante et que la dette explose à des niveaux insoutenables, une fois l'aide versée.
«Le FMI doit faire partie de la solution», avait estimé à son arrivée la ministre finlandaise Jutta Urpilainen. Il doit participer «techniquement et financièrement», avait renchéri son homologue luxembourgeois, Luc Frieden, alors que des informations avaient circulé sur une éventuelle non-participation du FMI au programme chypriote. «Nous ne voulons pas d'un pansement, mais d'une solution qui dure et qui soit soutenable», avait rappelé Christine Lagarde, avant de s'entretenir avec le nouveau président chypriote, le conservateur Nicos Anastasiades. «Je ne peux pas imaginer que nous laissions passer le week-end sans avoir résolu le problème chypriote», avait estimé le premier ministre luxembourgeois Jean-Claude Juncker, qui fut le patron des ministres des Finances de la zone euro pendant huit ans. Interrogé sur un effacement de dette, Jean-Claude Juncker avait estimé qu'il fallait «rechercher une solution qui ne soit pas un effacement pur et simple». Parmi les mesures envisagées,figuraient aussi la hausse de l'imposition sur les sociétés et la privatisation d'entreprises publiques rentables.
Allemagne prudente
L'Allemagne, qui s'était montrée prudente sur les possibilités d'un accord dès ce week-end, faisait pression pour que Chypre lutte activement contre le blanchiment d'argent. Après avoir traîné les pieds, Nicosie a accepté de se soumettre à un audit qui a débuté cette semaine et dont les premières conclusions sont attendues à la fin du mois. Pour bénéficier rapidement d'une aide financière, Chypre devrait également se tourner vers la Russie, dont elle est proche économiquement et culturellement. Le ministre des Finances, Michalis Sarris, doit se rendre lundi à Moscou pour demander une prolongation du délai de remboursement d'un prêt russe de 2,5 milliards d'euros venant à échéance 2016, et discuter de la façon dont la Russie pourrait contribuer au plan de sauvetage.
Observons que "l'argent versé sous forme d'aide aux voleurs" est sorti de la planche-à-billets tandis que l'argent volé aux chypriotes lui il est bien réel !!
Chypre Parlement Pour Delay "Rescue" Vote En raison du manque de soutien, malgré la pression BCE en pré-commerce Ouvrir la décision
Soumis par Tyler Durden sur 17/03/2013 09:19 -0400
Le douloureusement courte Chypre renflouement, pardon bail-in (également connu sous le nom impôt sur la fortune à ceux qui sont en train de faire l'in-videur), le plan va de mal en pis. Car en plus de tous les discutés précédemment macro-implications, qui sont tous négatifs et ont le potentiel de déstabiliser la zone euro une fois de plus et conduire à la banque traverse non seulement la périphérie, mais au cœur aussi bien, surtout par mer (lire le russe ) déposants, il y a maintenant un risque que l'ensemble hâte-bricolé "plan" peut être sur le point d'échouer car il ne peut pas obtenir un vote majoritaire en interne de ratification.
Aujourd'hui, à 16 heures locales (14 heures GMT), le Parlement chypriote a été prévue pour répondre à voter et ratifier par le plan de prélèvement fiscal, présenté comme un fait accompli au moins par les FinMins la zone euro. Il ya quelques heures, cette réunion a été retardée jusqu'au 4 h, heure locale, le lundi "après les législateurs signes pourrait bloquer le mouvement de surprise. ... Si [le Parlement ne ratifie pas les bail-in], président Nicos Anastasiades a mis en garde, Chypre deux plus grandes banques s'effondrera . " Et si la ruée heure de retard pour se procurer suffisamment de voter pour passer la dépréciation des déposants commence comme l'alternative est tout simplement « ou bien ».
Le problème est que, bien que pour Chypre demain est un jour férié bancaire (oui, ironique), l'euro ouvre des fins de transaction, en quelques heures, les contrats à terme boursiers mondiaux marchés, et le Japon comptant pour suivre peu de temps après. Et sans aucune clarté sur ce que le "pré-déterminé" résultat du sauvetage Chypre se diriger vers Lundi ouvert, où l'un des résultats est l'effondrement du système bancaire du pays tout entier, ce qui serait certainement avoir des effets contagieux sur l'ensemble de le continent, l'Europe commence à paniquer.
Bloomberg précise de la situation précaire des mathématiques que personne dans l'Europe technocrate apparemment pris en compte lors ils ont supposé qu'ils ont acquis quelque 10% de la souveraineté chypriote:
Avec son parti Disy maintenant 20 sièges à l'Assemblée législative de 56 places, il a besoin d'au moins neuf voix plus pour obtenir l'approbation et éviter l'effondrement financier de troisième plus petit-économie de la région. S'il n'obtient pas la sauvegarde pour le plan, les banques peuvent rester enfermé à partir de Mars 19, géré par l'Etat chypriote Radio-Canada dit. Demain est un jour férié bancaire à Chypre.
«Si le Parlement demain Chypre rejette le projet de loi, Chypre ouvre la voie au chaos ", a déclaré Afxentis Afxentiou, qui était gouverneur de la Banque centrale de Chypre de 1982 à 2002, a déclaré CYBC. Si le projet de loi est rejeté, "Chypre va se transformer en Libye. Même avec la douleur, nous devons suivre un cours normal, avec l'espoir que nous allons voir des jours meilleurs. "
Pour l'instant, cette pression européenne n'est venue sous forme de la BCE, mais s'attendent à sortir du chaos et un assaut complet sur les médias cherchent à apaiser et calmer les marchés d'entraîner s'il n'y a pas de mouvement, et aucun signe d'une majorité émergents avant la première métiers frapper les paires EUR. Comme le rapporte l'ANA,
Plus de Bloomberg:
Anastasiades a rejeté la pression d'un représentant de la BCE d'apporter un vote sur les pertes des déposants au Parlement aujourd'hui, gérée par l'Etat grec à Athènes Nouvelles a rapporté l'agence, sans dire comment il a obtenu l'information. Un représentant anonyme BCE sous pression Anastasiades d'ouvrir des banques le 19 Mars, l'agence de nouvelles a déclaré.
Anastasiades a rencontré les dirigeants des partis politiques de la nation hier. Bien qu'il puisse obtenir le soutien de la partie du troisième plus grand, Diko, qui a soutenu Anastasiades à l'élection, Diko les huit sièges ne sera pas lui assurer une majorité.
Pourtant, même sans un effondrement complet du marché, les dommages à Chypre, et par le système bancaire implication de l'Europe se fait, comme la question de savoir qui va garder leurs dépôts dans les banques européennes après cet épisode magnifique (surtout pour les oligarques milliardaires russes qui réservent des vols à Zurich, Genève et Bâle à fermer leurs comptes immédiatement) resteront sans réponse jusqu'à ce que nous obtenir les données de mars européennes écoulement de dépôt, au mois de mai.
George Perdikes, un député du Parti vert qui est assis sur le Parlement du comité des finances, a déclaré que les moyens étaient à l'étude pour amortir le choc pour les déposants. Ceux-ci comprennent en leur donnant des obligations liées aux bénéfices provenant de réserves de gaz du pays, a t-il dit dans les commentaires diffusés sur CYBC après une réunion des membres du comité avec Anastasiades.
"C'est une situation perdant-perdant», a t-il dit. "Quoi qu'il arrive, il y aura un exode massif des banques chypriotes, avec ou sans une coupe de cheveux."
Ironiquement, c'est la position minuscule Chypre dans le grand schéma des choses européennes qui ont permis à l'Europe d'exposer comment il se sent vraiment à propos de tous les membres, il s'avère que tout le monde en Europe est égale, à l'exception de ceux qui sont considérés comme moins importants que d'autres. Alors, comment ne haute la barre de go: Athènes ? Ou Madrid ? Ou à Rome ?
Peut-être il y a une très bonne raison pour laquelle, contrairement à la sell-side bousculent pour apaiser les craintes d'une panique bancaire pan-européenne, le nouveau président néerlandais de l'Eurogroupe Dijsselbloem refusé de se prononcer sur de nouvelles coupes de cheveux des déposants dans les pays en zone euro tels que la Grèce, Espagne ou l'Italie.
Et tandis que les lecteurs prévoient que, nous l'espérons, pour le bien de l'Europe, que les guichets automatiques dans les trois derniers pays sont bien approvisionnés, parce que tout ce qu'il faudra y a une photo d'une machine de distribution de billets dans la périphérie d'être «temporairement hors service" d'être l'étincelle qui ravive la rechute européenne dans la contagion pure et simple complète et la panique.
Saxo Bank CEO: "il s'agit de véritable socialisme et je ne peux toujours pas croire ce qui s'est passé"
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 16/03/2013 15:59-0400
Rédigé par Lars Seier Christensen, PDG Saxo Bank ; Initialement posté sur son blog à TradingFloor.com,
Il est difficile de décrire le lot de sauvetage du week-end à Chypre d'une autre manière. La confiscation de 6,75 pour cent de l'argent des petits déposants et 9,9 pour cent des fonds de gros déposants est sans précédent que je peux penser dans une société soi-disant civilisée et démocratique. Mais peut-être que l'Union européenne (UE) n'est plus une démocratie civilisée ?
J'ai entendu des rumeurs à ce sujet quand j'ai visité Limassol la semaine dernière, mais les a rejetées comme complètement farfelues. Et pourtant, nous sommes ici. Les conséquences sont imprévisibles, mais nous sommes clairement à un changement de paradigme important.
Il s'agit d'une violation des droits de la propriété fondamentale, dicté à un petit pays par des puissances étrangères, et il faut faire chaque déposant de banque dans le frisson de l'Europe. Bien que les représentants à la Conférence de presse de renflouement a tenté de présenter cela comme une seule fois, ils n'étaient pas disposés à exclure des mesures similaires ailleurs - ne pas qu'il aurait importait autant que la confiance est allée de toute façon. Il est maintenant difficile de s'attendre à aucune sorte de limitation à quelles mesures la troïka et l'UE pourrait prendre quand la crise commence vraiment à mordre.
Si vous pouvez le faire une fois, vous pouvez le faire à nouveau. Si vous pouvez confisquer 10 pour cent de l'argent du client d'une banque, vous pouvez confisquer 25, 50 ou même 100 %. Maintenant, je crois que nous allons voir pire que la panique augmente, avec les politiciens qui tentent désespérément de maintenir en vie les euros.
Les déposants dans d'autres pays de sauvetage éventuels doivent être à prendre peur - est-il sécuritaire de garder l'argent dans une banque italienne, banque espagnole ou grecque, pas plus que je ne sais pas, doit être la réponse. Est-il prudent de prendre le risque ? Vous décidez. Je crains que cela mènera à des sorties massives de capitaux en provenance de pays de la zone euro, à peu près la dernière chose dont ils ont besoin en ce moment. Même de l'UE dans son ensemble, je pense, que le syndicat bancaire est en place dans la plupart des pays déjà.
Une autre question ouverte est ce qui se passera au grand nombre de maisons de courtage basée à Chypre ? Il y a environ 100 ou plus FX et autres courtiers/courtières actuellement exploités en vertu du règlement chypriote relativement léger. Comment cela affectera la crédibilité de ces nombreuses petites institutions ? Quel est l'impact exact sur les dépôts de la clientèle, ils pourraient être tenue à Chypre ? Quiconque osera faire des affaires avec eux va vers l'avant ?
(suite en dessous:)
Il s'agit d'un changeur de jeu majeur, majeur et les retombées seront avec nous pour une longue période à venir. Je crois que ça pourrait être le début de la fin de la zone euro, comme il s'agit d'un incroyable coup à la confiance déjà contestée qui pourraient ne pas être parmi les investisseurs. Parler d'un objectif propre possible.
RépondreSupprimerMarché réaction ? il doit être très bon pour l'or - et pour les pays de refuge comme la Suisse, Singapour et économiquement plus sains non Euro pays dans, par exemple, de Scandinavie. Je pense que l'EUR et les marchés connexes seront compromis en augmentant le manque de confiance lorsque toutes les implications deviennent claires pour les investisseurs.
Il s'agit de véritable socialisme et je ne peux toujours pas croire que ce qui s'est vraiment passé.
Soyez prudent là-bas...
http://www.zerohedge.com/news/2013-03-16/saxo-bank-ceo-full-blown-socialism-and-i-still-cant-believe-it-happened
L'UE, afin de sauver l'accord aide Chypre pour € 10 milliards
RépondreSupprimerLe ministère des Finances de Chypre (EPA) La zone euro va sauver le cinquième pays européen à Chypre. Les ministres des Finances de la zone euro ont trouvé la nuit de vendredi à samedi, l'accord pour le plan d'aide à la petite île. Le montant de l'aide sera "jusqu'à 10 milliards d'euros," une source diplomatique spécifique. Il s'agit d'une «miette», comparativement à plus de 200 milliards accordés à la Grèce en deux sauvetages. La somme est inférieure à € 17,5 milliards initialement demandée par Nicosie.
TAXE SUR LES COMPTES BANCAIRES
L'accord aidera la «troïka» UE-BCE-FMI Nicosie à négocier avec le «Memorandum of Understanding», qui est la contrepartie qui demande à l'Europe en échange d'une aide financière. Le Fonds monétaire international (FMI) est attendue à hauteur de € 1 milliard pour faciliter le plan pour Chypre. En particulier, le programme d'aide financière comprend une taxe exceptionnelle pouvant aller jusqu'à 9,9% sur les dépôts bancaires dans les banques chypriotes,: le retrait sera de 6,75% pour les dépôts de moins de 100.000 € et 9,9% pour les personnes de plus comprendre. "La situation à Chypre est unique en raison de son" hypertrophique bancaire - a déclaré le président de l'Eurogroupe Dijsselbloem Jeroen - et c'est pourquoi nous estimons qu'il est justifié les dépôts fiscaux ».
http://www.corriere.it/economia/13_marzo_16/ue-cipro-accordo-salvataggio_a498b6ea-8de1-11e2-b59a-581964267a93.shtml
Anastasiades parle d'un fait accompli
RépondreSupprimerDimanche Mars 17, 2013
Le président chypriote Nicos Anastasiades a parlé samedi d'une décision toute faite imposée à Nicosie sous la forme d'un chantage: c'est à prendre ou ont de la zone euro s'effondrer, dans le sillage de plan de sauvetage proposé à Chypre pour un montant de 10 milliards d'euros, avec des termes tels comme une coupe de cheveux à des comptes bancaires chypriotes et la montée de l'intérêt et de la fiscalité des entreprises.
Dans une déclaration écrite, il a publié samedi après-midi, Anastasiades a déclaré: «Chypre suis tombé sur une décision prise antérieurement, un fait accompli." Pour sa défense, il a dit que la situation d'urgence "ne se pose pas dans les 15 derniers jours que nous avons entrepris dans le pays administration. "
Il a ajouté que sans le plan de sauvetage des deux rives principales du pays s'effondrerait le mardi et son gouvernement aurait à indemniser les déposants, pour aboutir finalement à une éventuelle sortie de l'euro et une dévaluation de la monnaie de 40 pour cent.
Anastasiades émettra un message télévisé au peuple chypriote dimanche.
A Athènes, un responsable du ministère grec des Finances a confirmé à Kathimerini samedi que "tous les trois banques chypriotes actifs en Grèce [Bank of Cyprus, Chypre populaire et hellénique] auront leurs branches grecques absorbés par un établissement de crédit grecque."
Il s'arrêta de nommer le prêteur grec pour les absorber, bien que source de dire ce qui peut appartenir à l'État Hellenic Postbank.
http://www.ekathimerini.com/4dcgi/_w_articles_wsite1_1_16/03/2013_488222
Nicosie transpire sur la position du Parlement sur les mesures
RépondreSupprimerLe gouvernement chypriote est maintenant transpiration sur un éventuel rejet par le parlement de l'île de la série choquante des mesures imposées sur Nicosie pour la zone euro pour sauver son économie sur un défaut susceptible, a annoncé dans les premières heures de samedi.
Le gouvernement chypriote est la préparation du projet de loi soit déposé au Parlement sans doute le dimanche en session d'urgence, car tout devra être voté lundi soir par les banques chypriotes à ouvrir le mardi.
Président Nicos Anastasiades est de rencontrer les dirigeants des partis à 20h30, le samedi soir, avant une réunion d'urgence du cabinet dimanche après-midi, dans son effort pour rallier le soutien pour les mesures à la suite de la réaction énorme qu'ils ont généré à Chypre. Ils comportent la coupe immédiate de tous les comptes bancaires, l'augmentation de l'impôt sur les intérêts et sur les revenus des entreprises et un certain nombre de projets de privatisation difficiles.
La question est de savoir si la Chambre des représentants de Chypre approuvera le projet de loi, étant donné que les deux principaux partis qui ont soutenu Anastasiades à l'élection présidentielle, le Rassemblement démocratique (DISY) et le Parti démocratique (DIKO) n'ont pas la majorité absolue. Ils représentent 28 des 56 membres de la plénière, mais parmi les députés DIKO est également Nicolas Papadopoulos, un dissident qui a récemment démissionné de la vice-présidente du parti en désaccord avec son support de Anastasiades.
Le projet de loi pourrait également obtenir l'appui de certains députés du Parti mineur européenne (EVROKO), tandis que le conseiller du président Giorgos Vassiliou, ancien président lui-même qui est en contact avec beaucoup de gens dans la gauche, a été mis à contribution pour tenter de convaincre certains députés à voter en faveur du projet de loi. Cependant AKEL, le principal parti de la gauche, a signalé son opposition à ces mesures.
A 5 heures gouverneur de la banque centrale Panikos Demetriades commencé une réunion avec les banquiers de l'île.
Sources d'Allemagne avait confirmé que le plan de sauvetage non inclus une coupe de cheveux compte bancaire chypriote ne serait jamais le faire à travers le parlement allemand.
http://www.ekathimerini.com/4dcgi/_w_articles_wsite1_1_16/03/2013_488208
Déposants Chypre face à coupe de 10% dans le cadre d'accord de renflouement convenu lors de l'Eurogroupe
RépondreSupprimerLa zone euro ont conclu un accord samedi pour remettre à Chypre un plan de sauvetage de 10 milliards d'euros (13 milliards de dollars), mais a demandé à ses déposants des banques perdent de l'argent pour éviter la faillite malgré les risques d'une course plus grande banque.
Chypre devient le cinquième pays, après la Grèce, l'Irlande, le Portugal et l'Espagne se tourner vers la zone euro de l'aide financière dans le sillage de la crise de la dette de la région.
Dans une rupture radicale avec les programmes d'aide antérieurs, les ministres de la zone euro forcé épargnants de Chypre, dont presque la moitié sont considérées comme non-résident Russes, à payer jusqu'à 10 pour cent de leurs dépôts d'augmenter de près de 6 milliards d'euros.
«Je souhaite que je n'étais pas le ministre de le faire,» chypriote ministre des Finances Michael Sarris a déclaré après 10 heures de négociations nocturnes où la zone euro ministres des Finances convenus le paquet.
"Beaucoup plus d'argent aurait pu être perdu dans la faillite du système bancaire, voire du pays,» at-il dit, ajoutant qu'il espérait un prélèvement et de sauvetage marquera un nouveau départ pour Chypre.
Sans un sauvetage, Chypre défaut et menacent de percer la confiance des investisseurs dans la zone euro qui a été encouragée par la promesse de la Banque centrale européenne l'année dernière à faire tout ce qu'il faut pour consolider le bloc monétaire.
Mais sur la Méditerranée île, l'incrédulité initiale à la décision a fait place à la colère.
Les sociétés de crédit coopératif, normalement ouverts le samedi, ont été fermés pour les affaires, dans la ville côtière de Larnaca que les déposants ont commencé la queue tôt le matin pour retirer leur argent.
«Je suis très en colère. J'ai travaillé des années pour le faire ensemble et maintenant je suis en train de perdre sur les dires des Hollandais et des Allemands», a déclaré la Colombie-chypriote Andy Georgiou, 54 ans, qui est retourné à Chypre à la mi- -2012 avec ses économies.
"Ils appellent l'île de la Sicile de la mafia. Ce n'est pas la Sicile, c'est Chypre. C'est le vol pur et simple», a déclaré un retraité.
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Le plan de sauvetage a été plus faible que prévu initialement et est principalement nécessaire pour recapitaliser les banques chypriotes qui ont été touchés par une restructuration de la dette souveraine en Grèce.
RépondreSupprimerLe prélèvement sur les dépôts bancaires entrera en vigueur le mardi, après un jour férié le lundi. Chypre prendra des mesures immédiates pour empêcher les transferts d'argent électroniques en fin de semaine.
"Comme il s'agit d'une contribution à la stabilité financière de Chypre, il semble juste de demander une contribution de tous les titulaires de dépôts,» ministre néerlandais des Finances Jeroen Dijsselbloem, qui a présidé la réunion à Bruxelles, a déclaré aux journalistes.
Ces prélèvements briser le tabou de frapper déposants des banques avec des pertes, mais Dijsselbloem dit qu'il n'aurait pas été possible autrement pour sauver son secteur financier, qui est d'environ huit fois la taille de l'économie.
"Nous ne sommes pas pénaliser Chypre ... nous avons affaire à des problèmes de Chypre,» a déclaré Dijsselbloem.
Dijsselbloem dit que le cadre du programme, la dette de l'île tomberait à 100 pour cent de la production économique en 2020.
En contrepartie de prêts d'urgence, Chypre a accepté d'augmenter son taux d'impôt sur les sociétés de 2,5 points de pourcentage pour atteindre 12,5 pour cent.
Cela devrait accroître les recettes chypriotes, ce qui limite la taille de l'emprunt nécessaire à partir de la zone euro et de garder la dette publique.
Fonds monétaire international Directeur Général Christine Lagarde, qui a assisté à la réunion, a déclaré qu'elle soutenait l'accord et je voudrais demander au conseil du FMI à Washington pour contribuer au renflouement.
«Nous croyons que la proposition est viable pour l'économie chypriote,» dit-elle. «Le FMI envisage de proposer une contribution au financement de l'ensemble ... Le montant exact n'est pas encore précisé, Lagarde» dit.
Chypre, avec un produit intérieur brut de 0,2 pour cent à peine de la production globale du bloc, une demande d'aide financière dernier Juin, mais les négociations ont été bloquées par la complexité de l'affaire et de la réticence du président précédent de l'île de signer.
Moscou, qui a des liens étroits avec Nicosie, est susceptible d'aider en accordant un prêt de € 2,5 milliards déjà fait à Chypre de cinq ans d'ici 2021 et de réduire le taux d'intérêt.
«Nous avons eu des contacts ces dernières semaines avec le gouvernement russe», a déclaré le haut responsable de l'UE économiques, Olli Rehn.
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«Je crois comprendre que le gouvernement russe est prêt à apporter une contribution à une extension de l'emprunt et une réduction du taux d'intérêt», a déclaré Olli Rehn, qui est chargé des affaires économiques à la Commission européenne, l'exécutif de l'UE.
RépondreSupprimerChypre ministre des Finances Sarris se rendra à Moscou pour des réunions le lundi pour tenter de cerner les nouvelles conditions de prêt.
Chypre initialement estimé qu'il fallait environ 17 milliards d'euros - près de la taille de sa production annuelle entière - pour redresser son économie à la santé.
Mais parce que d'un prêt de cette ampleur augmenterait sa dette à des niveaux excessivement élevés et remettent en cause sa capacité à jamais le rembourser, les décideurs politiques ont cherché à le réduire en trouvant des sources de revenus plus à Chypre même.
Par ailleurs, la zone euro ministres ont convenu d'allonger la maturité des prêts d'urgence à l'Irlande et au Portugal pour lisser leur retour sur le marché du financement de cette année et la suivante, mais les détails des extensions seront décidées uniquement en Avril.
http://www.ekathimerini.com/4dcgi/_w_articles_wsite1_1_16/03/2013_488167
Expropriation partielle des clients de la banque: beaucoup Chypre horrifié épargnants grecs
RépondreSupprimerPar Georgios Christidis et Stefan Schultz
En Grèce prévaloir la colère et de la frustration: peu plus de trois milliards d'euros ont planqué sur les comptes touchés par la crise Grecs chypriotes, afin de les protéger de la crise dans leur pays d'origine. Maintenant ils perdent une partie de leur argent - parce que Chypre est enregistré au détriment des clients des banques.
Hambourg / Thessalonique - Grèce Pour les citoyens là-bas dans la crise de l'euro, pas d'échappatoire: Depuis plus de cinq ans, ils souffrent à cause de la crise de la dette dans leurs pays, la récession, les pertes d'emplois et des baisses de salaires. Beaucoup ont fait leur épargne à l'étranger. En matière de sécurité. Alors qu'ils pensaient. Ils ont eu tort.
Autour de trois milliards d'euros, les Hellènes ont caché des comptes chypriotes, les initiés disent. Maintenant, une partie de leur épargne est révolue. Parce que l'Union européenne oblige tous les clients des banques chypriotes à participer au sauvetage de l'île-nation de participer. Les investisseurs qui ont plus de 100.000 euros sur des comptes chypriotes, prendre l'Euro-sauveteur de 9,9 pour cent de leurs dépôts, chute en dessous de ce seuil à 6,75 pour cent.
A propos du prélèvement obligatoire devrait particulièrement des Russes riches et les Britanniques sont rappelés à leur devoir, le montant d'argent - certains disent: y compris aussi l'argent noir - cachette à Chypre. Maintenant, la mesure affecte, mais aussi les déjà touchés par la crise grecque.
"L'UE me dégoûte"
«Je suis dévasté", se plaint un homme d'affaires de 50 ans originaire de Thessalonique. «Je n'ai pas dormi la nuit dernière." Il avait transféré 150.000 euros à Chypre. Maintenant, il s'attend à des pertes de près de 10.000 euros. Les gestionnaires de crise de l'UE ont toujours souligné dans le cas de Chypre menacée sans la participation des clients privés sur un plan de sauvetage possible. Il avait compté sur cette promesse. «Toute ma confiance a été dissous», dit-il aujourd'hui.
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Il a voulu transférer leur argent aussi vite que possible vers la Grèce. DC le mardi, lorsque les banques ouvrent à nouveau, il va arranger ça. Il espère, mais il a peu de chances: La loi sur l'expropriation sera en vigueur jusqu'au mardi longtemps.
RépondreSupprimerGrecque petits épargnants prennent l'expropriation partielle plus difficile. «Je n'ai il ya six mois, a environ 15.000 euros à Chypre", dit l'un. Qu'est-ce qui s'est passé, il ne serait pas dans ses rêves les plus fous ont imaginé. «C'est le vol», dit-il. "L'UE me dégoûte."
La peur de feux de forêt
Le journal grec «Kathimerini» maintient le rythme de l'UE et de veille pour historiquement sans précédent. "Nous payons pour les péchés des autres,» écrit-elle. Agences de presse chypriote prévenir la panique des investisseurs. S'il est ouvert mardi dans la nation insulaire, les banques ont dû à nouveau compter avec une ruée sur les comptes. Même le week-end, beaucoup de gens s'était tenu au guichet automatique et tenté de piller leurs comptes. Vain.
«Ils nous punir Chypriotes simples", a déclaré l'ingénieur Andreas Stylianou de l'agence de Nicosie nouvelles dpa. «Nous jeter en arrière un peu, et maintenant ils prennent notre argent. C'est injuste. Très injuste."
Président Nikos Anastasiades a toutefois souligné: Sans le consentement de son gouvernement pour les "douloureuses" conditions du plan d'aide "l'ensemble du système bancaire s'est effondré."
Banquiers grecs avertir des conséquences de grande envergure. L'expropriation partielle des clients des banques viennent violation d'un tabou, disent-ils. Même en Irlande, au Portugal, en Espagne, en Italie aujourd'hui les expropriations sont possibles. Les investisseurs peuvent être nerveux - et le pillage de leurs comptes. En particulier en Grèce après les événements traumatisants du week-end menace la panique bancaire.
Bundestag à approuver en Avril
Euro-chef du groupe Jeroen Dijsselbloem permettra de dissiper ces craintes. La participation des clients des banques est une solution personnalisée pour Chypre, at-il souligné. L'aide de l'ESM fonds de sauvetage pourrait être limitée que par la participation des investisseurs privés à un niveau acceptable. La dette du pays aurait augmenté intolérable sans cette astuce.
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Chypre a une production économique totale d'environ 18 milliards d'euros. Le pays va recevoir dix milliards d'euros du fonds de sauvetage ESM. L'expropriation partielle des clients des banques chypriotes apporte supplémentaires € 5,8 milliards. Pour cette année, affirme l'UE, le ratio d'endettement du pays à 93,1 pour cent du PIB - à l'exclusion des prêts d'urgence. Même alors, la dette va augmenter de façon substantielle.
RépondreSupprimerLa chancelière allemande Angela Merkel, qui assure la participation des épargnants privés pour être juste. «Pour être les dirigeants impliqués dans le cadre d'», a déclaré le chef de la CDU, "et pas seulement les contribuables d'autres pays. Je pense que c'est vrai."
Le ministre des Finances Wolfgang Schäuble veut quitter le plan de sauvetage pour Chypre en Allemagne légitimer rapidement. Déjà dans la seconde moitié de Avril, la CDU veut que l'homme de présenter l'utilité de tous les détails du Bundestag.
Au Parlement, un débat houleux est attendu. Leader parlementaire du FDP Rainer Brüderle laissée ouverte de savoir si les libéraux seront d'accord . Il veut d'abord savoir si les banques en difficulté dans le pays doit être préservée à tout de la faillite. Aussi SPD chancelier candidat Steinbrück a laissé ouverte le consentement de son parti. La CSU serez probablement d'accord que la gauche n'est pas définitive.
http://www.spiegel.de/wirtschaft/soziales/zypern-rettung-trifft-griechische-sparer-a-889261.html
La Chypre bail-out
RépondreSupprimerDéloyale, à courte vue et autodestructrice
16 mars 2013, 14:54 par AP
Ce n'est pas un fudge, mais il est encore un échec. La zone euro a renflouement de Chypre, qui a été scellé dans les premières heures de samedi, a réussi à avoir la facture pour les pays créanciers bas à partir de € 17 milliards à 10 milliards €, comme cela avait été répandu. Mais la façon dont il l'a fait était un peu inattendu.
Près de 6 milliards € de l'économie pour les contribuables dans les pays de la zone euro venait de pertes imposées aux déposants dans les banques démesurées Chypre. Un prélèvement ponctuel de 9,9% sera imposé sur tous les dépôts sur le seuil de 100.000 € d'assurance avant que les banques rouvrir après un jour férié le lundi. Cette idée avait été dans l'air pendant un certain temps, notamment parce que beaucoup de ces dépôts non assurés venaient de l'extérieur de Chypre et de la Russie en particulier. La politique de sauvegarde Russes riches avec de l'argent prêté par les Allemands économes ont toujours été va être difficile.
Ce qui n'avait pas été prévu a été une perte de 6,75% pour les épargnants avec des dépôts dans les banques chypriotes-dessous du plafond de l'assurance. Chypriotes me suis réveillé ce matin pour trouver succursales de banques fermées. Au moment où ils seront en mesure d'obtenir à leur argent, il sera trop tard. L'offre de capitaux dans les banques pour remplacer la valeur de leur épargne est censé être un baume, mais ce n'est pas un choix qu'ils ont fait. Pourquoi cette décision a été prise n'est pas encore clair. L'explication la plus plausible est que le gouvernement chypriote lui-même préféré à répandre la douleur plutôt que de balayer les non-résidents déposants et compromettre ses perspectives à long terme en tant que centre financier offshore de l'argent russe et d'autres.
Quelle que soit la raison, c'est une erreur pour trois raisons. La première erreur est de réveiller le risque de contagion ailleurs dans la zone euro. Les déposants ont traversé la crise financière largement épargnés. Maintenant, ils ont été renflouées à certains d'entre eux en violation d'une promesse explicite qu'ils peuvent être sûrs de récupérer leur argent, même si une banque fait ventre en l'air.
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Les euro dirigeants de la zone feront tourner l'affaire comme reflétant les circonstances particulières entourant Chypre, tout comme ils l'ont fait de la restructuration de la dette grecque l'an dernier. Mais si vous étiez un déposant dans un pays périphérique qui ressemblait il faut plus d'argent de la zone euro, quelle serait votre calcul soit ? Que vous n'auriez jamais être traités comme des personnes à Chypre, ou qu'un précédent a été établi qui reflète les exigences cohérentes des pays créanciers partage de la charge ? Les chances de grands mouvements déstabilisateurs de l'argent (en espèces, si ce n'est dans d'autres banques) ont juste tiré vers le haut.
RépondreSupprimerLa deuxième erreur est une question d'équité. Il y a un argument à faire sur les principes du sauvetage en déposants non assurés. Et il y a un cas pour frapper tout le monde dans les banques chypriotes avant tout contribuable dans un autre pays. Mais il n'est pas impératif moral pour whacking veuves chypriotes et en laissant les détenteurs d'obligations bancaires seniors intacte, comme cela semble être le cas ici, ou ne pas imposer de pertes sur la dette souveraine des investisseurs à Chypre, ou la protection des déposants dans les opérations des banques grecques chypriotes, qui s'est produit. La zone euro peut masquer ce bail-out dans la langue d'équité, mais c'est un traitement très sélectif. En effet, l'insistance de la zone euro qu'il s'agit d'un one-off rend parfaitement clair que: avec assez d'étrangers à risque et un pays assez petit pour marcher sur les pieds, vous obtenez un résultat comme Chypre. (C'est une des raisons pour lesquelles les gens sont maintenant de s'interroger sur les implications de cette affaire pour peu Lettonie, également à la maison à beaucoup d'argent russe et lui-même en raison de rejoindre la zone euro en 2014.)
L'erreur finale est stratégique. L'affaire chypriote n'a pas de cohérence dans le contexte plus large. La crise de l'euro a été en suspens pendant quelques mois, en grande partie grâce à la volonté de la Banque centrale européenne à intervenir pour aider les pays en difficulté. Prix ??de la BCE pour aider les pays est d'insister ils entrent dans un programme de renflouement. Le prix politique d'aller dans un programme vient d'être mis en place, afin de filet de sécurité de la BCE est un peu plus mince.
Le bail-out semble se déplacer plus loin de l'Europe les réformes institutionnelles qui sont nécessaires pour résoudre la crise une fois pour toutes. Plutôt que d'utiliser le Mécanisme européen de stabilité pour recapitaliser les banques, et ainsi affaiblir le lien entre les banques et leurs gouvernements, la zone euro continue à assimiler renflouement des banques avec les souverains de renflouement. En ce qui concerne la mutualisation de la dette, après les pertes aux déposants locaux, le prix de soutien du reste de l'Europe est sans doute plus coûteuse qu'elle ne l'a jamais été.
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Il est également difficile de concilier ce résultat avec la refonte en cours des finances. La direction des efforts visant à améliorer la position de liquidité des banques est de les encourager à tenir plus de dépôts, l'objectif de sauvetage dans la législation devrait entrer en vigueur d'ici 2018 est de faire de la dette senior absorber les pertes en cas de faillite d'une banque. La logique derrière ces deux initiatives de réforme est que les dépôts bancaires ont deux propriétés contradictoires. Ils sont à la fois collante, car ils sont assurés, et ils sont volage, car ils peuvent être tirés instantanément. Ainsi, les dépôts sont une bonne source de financement à condition qu'ils ne jamais courir. La Chypre renflouement rend cette astuce confiance plus difficile à enlever.
RépondreSupprimerEn dehors de cela, il est une très bonne affaire.
http://www.economist.com/blogs/schumpeter/2013/03/cyprus-bail-out
Pour tout le monde choqué par What Just Happened ... Et pourquoi ce n'est que le début
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden sur 16/03/2013 18:28 -0400
Aujourd'hui, beaucoup de gens se sont réveillés sous le choc et l'horreur de ce qui s'est passé à Chypre: une réallocation du capital forcée mandaté par les élites politiques, sous le couvert d'une «participation au capital» dans les banques insolvables, ce qui est vraiment un code pour " coercitive, impôt sur la fortune obligatoire. " Si moins préoccupés par la rectitude politique, on pourrait dire que ce qui vient de se passer était hold-up des épargnants vers les banques et le statu quo. Ces mêmes personnes peuvent être encore plus choqué d'apprendre que le Chypriote aujourd'hui «résolution» n'est que le premier de beaucoup de ces interventions coercitives en richesse personnelle, d'abord en Europe, puis partout ailleurs.
Pour le bénéfice de ces personnes, nous tenons à les signaler à notre article de Septembre 2011, " La "se débrouiller" Has Failed: le BCG dit "il est possible qu'un façons douloureuses sortir de la crise ", qui prédit et expliqué tout cela et bien plus encore quoi d'autre l'étude Septembre BCG conclure ? Il suffit qu'une telle obligation, impôt sur la fortune coercitive n'est que le début d'un monde dans lequel il y avait quelque 21 billions USD en dette excédentaire à partir de 2009, un nombre qui a depuis grimpé à plus de 30 trillions de dollars. Et l'inflation malheureusement à la fin de la comparante et "gonfler l'écart", a déclaré le surendettement, l'Europe d'abord est finalement passer au plan B, et utilise Cyrprus son cobaye.
Pour ceux qui ont raté la première fois, ici, c'est nouveau. D'une certaine manière nous pensons que beaucoup plus de gens vont écouter cette fois-ci:
Restructuration du surendettement dans la zone euro aurait besoin d'un financement et serait une tâche ardue. Afin de financer la restructuration contrôlée, les politiciens pourraient bien conclure qu'il était nécessaire de taxer la richesse existante du secteur privé. Beaucoup de politiciens verraient imposer des actifs financiers comme la plus belle façon de résoudre le problème. Les impôts existants actifs financiers reconnaîtrait un fait: ces investissements ne sont pas aussi précieux que leurs propriétaires pensent, comme les débiteurs (gouvernements, les ménages et les entreprises) ne pourront pas faire face à leurs engagements. La figure 3 indique la taxe unique sur les actifs financiers requis pour fournir les fonds nécessaires pour une restructuration ordonnée.
- voir graphique sur site -
Pour la plupart des pays, une coupe de cheveux de 11 à 30 pour cent serait suffisante pour couvrir les coûts d'une restructuration ordonnée de la dette. Seule la Grèce, l'Espagne et le Portugal le fardeau pour le secteur privé est nettement plus élevé; en Irlande, il serait trop élevé parce que les actifs financiers du peuple irlandais sont plus petits que l'ajustement requis des niveaux d'endettement. Cela met en évidence la dimension de l'immobilier irlandais réel et bulle de la dette.
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Dans le contexte global de l'avenir de la zone euro, les politiciens devraient proposer un plus large partage de la charge afin que les contribuables des pays tels que l'Allemagne, la France et les Pays-Bas contribuent plus que la part nécessaire pour réduire leur endettement propre. Ce serait impopulaire, mais les banques et les compagnies d'assurance dans ces pays pourraient en bénéficier. Afin de garantir un partage socialement acceptable de la charge, les politiciens seraient sans doute décider de taxer les actifs financiers seulement au-dessus d'un certain seuil de 100.000 €, par exemple. Étant donné que ces impôts devraient être comprises comme une correction ponctuelle des niveaux d'endettement actuels, ils auraient besoin pour l'équilibrer en enlevant impôt sur la fortune et les plus-values taxes. L'action drastique d'imposer une taxe sur les actifs serait sans doute plus facile politiquement à des impôts moins élevés, afin de stimuler la croissance. (Voir Figure 4.)
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
Curieusement, pas même le BCG devrait le tir initial de semonce pour être si mauvais que tout le monde, pas seulement ceux au-dessus des 100.000 € seuil pourrait en être compromise. Hélas, c'est la triste réalité en Europe, alors que le tableau ci-dessus montre un total de € 6,1 trillions avec un T de la richesse supplémentaire confiscation fiscale est à venir.
Oh, et US of A. .. ne craignez pas - votre tour arrive trop: avec une étiquette de prix de € 8,2 milliards de dollars en impôt sur la fortune en attendant de 2009. Ce nombre est maintenant quelque part au nord de € 15 trillions.
- voir tableau sur site -
L'étude complète BCG qui nous invite tous à lire
- voir tableau sur site -
http://www.zerohedge.com/news/2013-03-16/everyone-shocked-what-just-happened-and-why-just-beginning
Même si cette forme de loi martiale (confiscation des armes et de l'or) ne s'est pas (encore) accompagnée du silence-radio cher à la nazional socialiste et qu'aujourd'hui tout le monde sait ce qu'il s'est passé à Chypre, combien vont dès lundi 18 Mars retirer leur argent des mains des escrocs ?
SupprimerAllemagne et FMI demandent initiale Haircut Caution: 40% du total
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden sur 16/03/2013 19:29 -0400
Comme le Président de Chypre proclame à son peuple que «nous devons tous assumer la responsabilité que sa décision historique va «conduire à la rescousse permanente de l'économie,« il semble que la coupe réglée en-upon 9,9% est une «bonne affaire par rapport à la stupéfiant de 40% du total des dépôts que l'Allemagne finmin Schäuble et le FMI exigeaient. Cette action, ses notes afférentes aux états, permet le sauvetage de 8.000 emplois dans le secteur bancaire et d'assurer la liquidité des banques ", permettant à l'économie de procéder résolument à une nouvelle début. " rapports Ekathimerini, «c'est la première fois dans la zone euro que le prélèvement a été imposé non pas des intérêts des comptes bancaires, mais sur le capital lui-même», et c'était le seul moyen de combler la plupart des lacunes entre la EUR17bn l' Nicosie nécessaire et l'ESM 10 milliards d'euros l'offrait, mais impôt sur les intérêts dans les banques chypriotes vont aussi augmenter de 20-25% . C'est l'exigence coupe de cheveux 40% qui nous préoccupe le plus le plus clairement l'avenir que cela signifie d'autres pays, à partir de lundi ( ou mardi donnée jours fériés) voir les sorties de dépôt contre les surtensions, comme la volonté de prendre de telles mesures est douloureusement clair.
Déclaration du Président de la République de Chypre,
Il est bien connu que la profonde crise économique et de l'état d'urgence dans lequel le pays s'est trouvé ne s'est pas faite dans la dernière quinzaine, depuis que nous avons entrepris l'administration du pays.
L'état de nature urgente et critique de l'époque ne me permet pas, car ils ne permettent pas de n'importe qui, de se lancer dans un jeu du blâme.
Lors de la réunion extraordinaire de l'Eurogroupe, nous avons été confrontés les décisions qui ont déjà été prises et suis tombé sur des faits accomplis grâce à laquelle nous avons été confrontés à des dilemmes suivants:
Mardi 19 Mars, on devrait soit choisir: le scénario catastrophe de la faillite désordonnée ou le scénario d'une gestion pénible mais contrôlée de la crise, ce qui mettra un terme définitif à l'incertitude et redémarrer notre économie.
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Un choix possible de l'option de scénario catastrophe aurait les conséquences suivantes:
RépondreSupprimer1. Mardi, Mars 19, immédiatement après le week-end, l'une des deux banques en crise cesserait de fonctionner, puisque la Banque centrale européenne, suite à la décision déjà prise, mettrait fin à la fourniture de liquidités. La deuxième banque suspendrait ses travaux, et ne pouvait éviter l'effondrement. Un tel phénomène pourrait entraîner instantanément 8,000 familles au chômage.
2. L' État serait obligé d'indemniser les déposants en réponse à l'obligation relative dépôts garantis. Le capital requis dans un tel cas reviendrait à environ 30 milliards d'euros, dont l'État serait incapable de payer.
3. Un montant proportionnel correspondant aux dépôts de milliers de déposants pour les dépôts de plus de 100.000 euros, serait conduit à un cercle vicieux de la liquidation des actifs, et ces déposants subirait des pertes de plus de 60%.
4. Une telle situation incontrôlée serait de pousser le système bancaire dans son ensemble dans l'effondrement avec toutes les conséquences qui en découlent.
5. Des milliers de petites et moyennes entreprises, et d'autres entreprises seraient poussés à la faillite en raison de leur incapacité à négocier.
En conséquence de ce qui précède, le secteur des services serait conduit à un effondrement complet avec une possible sortie de l'euro. Que, en plus de l'affaiblissement nationale de Chypre, conduirait à une dévaluation de la monnaie par au moins 40% .
Le deuxième choix est la gestion contrôlée de la crise, à travers les décisions prises et qui peuvent être résumées comme suit:
1. Assurer la liquidité des banques et le sauvetage du système bancaire par le biais de leur recapitalisation.
2. Sauvetage 8000 emplois dans le secteur bancaire et beaucoup d'autres qui seraient perdus en tant que corollaire de ne pas maintenir les opérations des banques.
3. Sauvetage total des dépôts, avec juste l'échange d'un petit pourcentage de l'épargne en actions des deux banques. À l'heure actuelle, ces actions n'ont pas leur pleine valeur, mais avec la reprise économique, ils rembourseront le plus n'est pas la totalité du montant qui sera coupée.
4. Cette option se traduit par une réduction drastique de la dette publique, il est gérable et durable et soulage les générations futures du fardeau du remboursement.
5. Il permet d'économiser de prévoyance et caisses de retraite et évite de prendre d'autres mesures sévères telles que les salaires et les retraites qui ont été mises sur la table des négociations.
6. Il évite en outre la récession et le risque d'un cercle vicieux d'une deuxième note.
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Nous ne cherchons pas à dissimuler la situation. La solution retenue peut être douloureuse, mais c'était la seule qui nous permettra de continuer notre vie sans aventures. C'est une décision qui mène à la rescousse historique et permanente de notre économie.
RépondreSupprimerDans les prochaines heures, nous devrons tous assumer la responsabilité . Demain, je vais aborder le peuple chypriote.
Via ekathemerini,...
Déjà les clients des banques se réunissent en dehors des grandes banques et coopératives, télévision Skai rapporté samedi matin, que les déposants en colère réclament leur argent.
...
C'est la première fois dans la zone euro que le prélèvement a été imposé non pas des intérêts des comptes bancaires, mais sur le capital lui-même. En plus de cela il s'agit d'un prélèvement sur les intérêts, aussi, et une augmentation de la taxe de 10 pour cent des entreprises qui a été l'un des principaux moteurs de l'évolution financière de Chypre après l'invasion turque de 1974, générant une croissance en attirant les investissements étrangers directs.
Notamment, la coupe de cheveux en compte n'affecte pas les comptes bancaires dans les agences bancaires chypriotes basé en Grèce, selon des sources du ministère grec des Finances.
Impôt sur les intérêts s'élèveront à entre 20 et 25 pour cent.
...
CyBC Chypre télévision d'Etat a rapporté samedi que ministre allemand des Finances effectivement entré dans la réunion de l'Eurogroupe le vendredi proposant une décote de 40 pour cent sur les comptes bancaires chypriotes. Sarris a déclaré samedi que cela avait également été la proposition du Fonds monétaire international.
Sarris a déclaré à Bruxelles que, compte tenu de la menace de la Banque centrale européenne pour les banques à Chypre pour arrêter et le chaos de s'ensuivre, l'augmentation de la fiscalité de l'épargne et de la coupe de cheveux à des comptes bancaires est devenue nécessaire. "Un défaut désordonné, qui a été un véritable possibilité a été écartée », a t-il dit.
«Il permet à notre économie de procéder de manière décisive à un nouveau départ."
...
Leader de l'opposition Antros Kyprianou, le Secrétaire général de l'AKEL gauche, a accusé le gouvernement de ne pas avoir consulté les autres parties, en disant que "le gouvernement porte l'entière responsabilité de l'évolution de l'économie en tant que lieu de choisir la voie de la concertation, il a décidé de faire cavalier seul. "
http://www.zerohedge.com/news/2013-03-16/germany-and-imfs-initial-deposit-haircut-demand-40-total
Chypre, sauvetage de l'État et de l'euro, mise à mort des épargnants
RépondreSupprimerPublié le 16/03/2013
Aujourd'hui, cambriolage de tous les comptes en banques à Chypre, sur ordre de l'UE et du FMI. A quand chez nous ?
Par Patrick Smets, depuis Bruxelles, Belgique.
Avec le « sauvetage » de Chypre, la crise de la dette en zone euro vient de rentrer dans une nouvelle phase. Pour la première fois, les ministres de la Zone Euro se sont accordés pour confisquer directement l’épargne de la population.
Pour obtenir l’aide européenne, le gouvernement chypriote doit lever une taxe « exceptionnelle » de 6 à 10 % sur l’ensemble des avoirs bancaires ?! Concrètement, les comptes en banque ont été bloqués pour l’ensemble de la population de façon à éviter des retraits massifs. Ce week-end, une loi sera votée en extrême urgence pour lever la taxe. Aucune forme de débat démocratique n’aura entouré cette mesure abjecte qui relève tout simplement du vol à main armée.
Le Parti Libertarien s’insurge contre cette obscénité fiscale ?!
La Belgique étant membre de la zone euro, le Premier Ministre Elio Di Rupo et le Ministre des Finances Koen Geens assument la responsabilité des décisions prises à l’Eurogroupe.
Le Parti Libertarien exige des explications publiques quant à la décision prise ce week-end.
Le Parti Libertarien exige également l’assurance par tous les partis politiques que de telles mesures ne seront jamais prises en Belgique.
Enfin, le Parti Libertarien souhaite que s’ouvre dès à présent un grand débat national sur l’annulation de la dette publique avant que celle-ci ne serve de prétexte à la mise sous tutelle de nos institutions démocratiques et à la mise à mort des épargnants.
http://www.contrepoints.org/2013/03/16/118488-cypre-sauvetage-de-letat-et-de-leuro-mise-a-mort-des-epargnants
"Aujourd'hui, cambriolage de tous les comptes en banques à Chypre, sur ordre de l'UE et du FMI. A quand chez nous ?" ??
SupprimerMais... AUJOURD'HUI mon bonhomme ! Au plus tard lundi !
Chypre : le Président s'exprimera dimanche après la colère suscitée par le plan de sauvetage
RépondreSupprimerPar Les Echos | 16/03 | 09:33 | mis à jour à 17:47
L'accord trouvé dans la nuit entre Chypre et ses créanciers suscite la colère des Chypriotes dont les comptes bancaires vont être taxés.Le Président chypriote, Nicos Anastasiades, expliquera dimanche à ses concitoyens les enjeux de cet accord.
Rassurer la population ... si les créanciers de Chypre sont globalement satisfaits de l'accord qui a été trouvé samedi entre Nicosie et les représentants de la zone euro et du FMI , la nouvelle a été fraîchement accueillie par la population. Le Président de la République, Nicos Anastasiades ,a donc décidé de s'adresser au pays ce dimanche pour expliquer ce plan de sauvetage qui , même s'il n'était pas à la Une de la presse chypriote, a engendré une multiplication de tweets de gens en colère. Tandis que juste après avoir eu connaissance de ce plan, des dizaines de personnes étaient visibles devant les distributeurs automatiques des banques, traditionnellement fermées le samedi.
Mais avant même son intervention, Nicos Anastasiades a dans un communiqué a justifié ce plan de sauvetage. « Nous avions le choix entre le scénario catastrophe d'une défaillance non contrôlée et une gestion douloureuse mais contrôlée de la crise qui mette un terme définitif à l'incertitude », a insisté le président dans un communiqué. Et d'ajouter qu'à défaut d'un accord avec les bailleurs de fonds « tout le système bancaire se serait effondré .»
Une taxe exceptionnelle
Car si Nicosie qui devient ainsi le cinquième pays de la zone euro à bénéficier d'un programme d'aide internationale, a obtenu l'assurance d'un plan de sauvetage maximale de 10 milliards d'euros, en échange de cette aide, les Chypriotes devront mettre la main au portefeuille. Pour réduire leur participation, les bailleurs de fonds en effet demandé à Nicosie d'instaurer une taxe exceptionnelle de 6,75% sur les dépôts bancaires en-deçà de 100.000 euros et de 9,9% au-delà de ce seuil, ainsi qu'une retenue à la source sur les intérêts de ces dépôts.
Ces prélèvements devraient rapporter au total 5,8 milliards d'euros, a indiqué samedi le chef de file de l'Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem. A ces taxes, s'ajoutent des privatisations et une hausse de l'impôt sur les sociétés qui passera de 10 à 12,5%.
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Une loi adoptée durant le week-end
RépondreSupprimerLes bailleurs de fonds de Chypre ont renoncé à un effacement de dette, qui aurait fait subir de lourdes pertes aux créanciers privés et qui était fermement rejetée par Nicosie, mais tous les épargnants seront touchés par ces nouvelles taxes, qu'ils soient chypriotes ou étrangers, en particulier russes.
Les autorités ont déjà pris des mesures pour geler les sommes sur les comptes et une loi devrait être adoptée au cours du weekend pour permettre cette opération et empêcher une fuite massive des capitaux.
« On ne pénalise pas Chypre », a estimé Jeroen Dijsselbloem. « Nous sommes aux côtés du gouvernement chypriote, c'est ce paquet qui permettra une restructuration du secteur bancaire et rendra la dette durable », a-t-il expliqué.
« La solution présentée est durable, pérenne et dans l'intérêt de l'économie chypriote », a renchéri la directrice du FMI, Christine Lagarde, dont l'institution devrait participer au plan d'aide chypriote même si aucun ordre de grandeur n'a été évoqué publiquement. Selon une source diplomatique européenne, la contribution du FMI pourrait avoisiner un milliard d'euros.
Eviter les coupes dans les salaires et pensions
Les taxes sur le capital et les intérêts des dépôts seront entièrement compensées par la distribution d'actions, a indiqué le ministre chypriote des Finances, Michalis Sarris, soulignant que les mesures prises ont permis d'éviter « des coupes dans les salaires et les pensions ».
Chypre avait demandé en juin une aide financière à l'UE et au FMI pour l'aider notamment à renflouer ses deux principales banques, plombées par la crise grecque.
Mais ses bailleurs de fonds n'étaient pas prêts à lui accorder 17,5 milliards d'euros, soit l'équivalent de son PIB: ils craignaient que le pays ne puisse rembourser une somme trop importante et que la dette explose à des niveaux insoutenables, une fois l'aide versée. Au final, la dette chypriote sera ramenée à 100% du PIB en 2020.
Nicosie devrait également se tourner vers la Russie, dont elle est proche économiquement et culturellement, mais la contribution de Moscou devrait être limitée. « Le pays est prêt à prolonger le remboursement d'un prêt » de 2,5 milliards d'euros venant à échéance 2016 « et à réduire les taux d'intérêt, mais il n'entend pas aller au-delà », a prévenu le commissaire européen en charge des Affaires économiques, Olli Rehn.
http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/0202646296696-chypre-obtient-10-milliards-d-euros-de-ses-creanciers-549760.php
La zone euro et le FMI sauvent Chypre
RépondreSupprimer16 Mars 2013
Par ats Les deux organisations ont trouvé samedi un accord sur un plan de sauvetage d'un maximum de 10 milliards d'euros pour Chypre. L'Etat devient le cinquième pays à bénéficier d'une d'aide internationale.
Bruxelles
Le montant de l'aide devrait être «de 10 milliards d'euros maximum», a indiqué une source diplomatique, soit bien moins que les 17,5 milliards d'euros évoqués au départ par Nicosie. Ce montant est aussi très inférieur aux centaines de milliards déboursés pour la Grèce et aux dizaines de milliards versés au Portugal, à l'Irlande et au secteur bancaire espagnol.
«C'est fait,» a aussi indiqué un responsable européen qui a précisé que les dépôts inférieurs à 100'000 euros ne seraient ponctionnés qu'à 6,75% et que les intérêts des dépôts seraient aussi taxés. Chypre devrait aussi participer à ce plan via un programme de privatisation qui pourrait concerner son opérateur télécoms.
10h de réunion
Le FMI devrait participer à hauteur de 1 milliard d'euros, a indiqué la même source à l'issue de près de 10 heures de réunion entre les ministres des Finances de la zone euro, la directrice générale du FMI, Christine Lagarde et le président de la Banque centrale européenne (BCE), Mario Draghi.
Le programme d'assistance financière comprend une taxe exceptionnelle pouvant aller jusqu'à 9,9% sur les dépôts bancaires dans les banques chypriotes, ainsi qu'une retenue à la source sur les intérêts de ces dépôts. Les bailleurs de fonds de Chypre semblent avoir renoncé à un effacement de dette, qui ferait subir de lourdes pertes aux créanciers privés et qui était fermement rejetée par Nicosie.
Mais les épargnants seront cependant touchés par ces deux taxes sur les dépôts. Chypre avait demandé en juin une aide financière à l'UE et au FMI pour l'aider notamment à renflouer ses deux principales banques, plombées par la crise grecque.
Eviter l'explosion de la dette
Mais ses bailleurs de fonds n'étaient pas prêts à lui accorder 17,5 milliards d'euros, soit l'équivalent de son PIB: ils craignaient que Chypre ne puisse pas rembourser une somme trop importante et que la dette explose à des niveaux insoutenables, une fois l'aide versée.
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«Le FMI doit faire partie de la solution», avait estimé à son arrivée la ministre finlandaise Jutta Urpilainen. Il doit participer «techniquement et financièrement», avait renchéri son homologue luxembourgeois, Luc Frieden, alors que des informations avaient circulé sur une éventuelle non-participation du FMI au programme chypriote.
RépondreSupprimer«Nous ne voulons pas d'un pansement, mais d'une solution qui dure et qui soit soutenable», avait rappelé Christine Lagarde, avant de s'entretenir avec le nouveau président chypriote, le conservateur Nicos Anastasiades. «Je ne peux pas imaginer que nous laissions passer le week-end sans avoir résolu le problème chypriote», avait estimé le premier ministre luxembourgeois Jean-Claude Juncker, qui fut le patron des ministres des Finances de la zone euro pendant huit ans.
Interrogé sur un effacement de dette, Jean-Claude Juncker avait estimé qu'il fallait «rechercher une solution qui ne soit pas un effacement pur et simple». Parmi les mesures envisagées,figuraient aussi la hausse de l'imposition sur les sociétés et la privatisation d'entreprises publiques rentables.
Allemagne prudente
L'Allemagne, qui s'était montrée prudente sur les possibilités d'un accord dès ce week-end, faisait pression pour que Chypre lutte activement contre le blanchiment d'argent. Après avoir traîné les pieds, Nicosie a accepté de se soumettre à un audit qui a débuté cette semaine et dont les premières conclusions sont attendues à la fin du mois.
Pour bénéficier rapidement d'une aide financière, Chypre devrait également se tourner vers la Russie, dont elle est proche économiquement et culturellement. Le ministre des Finances, Michalis Sarris, doit se rendre lundi à Moscou pour demander une prolongation du délai de remboursement d'un prêt russe de 2,5 milliards d'euros venant à échéance 2016, et discuter de la façon dont la Russie pourrait contribuer au plan de sauvetage.
http://www.bilan.ch/economie/la-zone-euro-et-le-fmi-sauvent-chypre
Observons que "l'argent versé sous forme d'aide aux voleurs" est sorti de la planche-à-billets tandis que l'argent volé aux chypriotes lui il est bien réel !!
SupprimerChypre Parlement Pour Delay "Rescue" Vote En raison du manque de soutien, malgré la pression BCE en pré-commerce Ouvrir la décision
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden sur 17/03/2013 09:19 -0400
Le douloureusement courte Chypre renflouement, pardon bail-in (également connu sous le nom impôt sur la fortune à ceux qui sont en train de faire l'in-videur), le plan va de mal en pis. Car en plus de tous les discutés précédemment macro-implications, qui sont tous négatifs et ont le potentiel de déstabiliser la zone euro une fois de plus et conduire à la banque traverse non seulement la périphérie, mais au cœur aussi bien, surtout par mer (lire le russe ) déposants, il y a maintenant un risque que l'ensemble hâte-bricolé "plan" peut être sur le point d'échouer car il ne peut pas obtenir un vote majoritaire en interne de ratification.
Aujourd'hui, à 16 heures locales (14 heures GMT), le Parlement chypriote a été prévue pour répondre à voter et ratifier par le plan de prélèvement fiscal, présenté comme un fait accompli au moins par les FinMins la zone euro. Il ya quelques heures, cette réunion a été retardée jusqu'au 4 h, heure locale, le lundi "après les législateurs signes pourrait bloquer le mouvement de surprise. ... Si [le Parlement ne ratifie pas les bail-in], président Nicos Anastasiades a mis en garde, Chypre deux plus grandes banques s'effondrera . " Et si la ruée heure de retard pour se procurer suffisamment de voter pour passer la dépréciation des déposants commence comme l'alternative est tout simplement « ou bien ».
Le problème est que, bien que pour Chypre demain est un jour férié bancaire (oui, ironique), l'euro ouvre des fins de transaction, en quelques heures, les contrats à terme boursiers mondiaux marchés, et le Japon comptant pour suivre peu de temps après. Et sans aucune clarté sur ce que le "pré-déterminé" résultat du sauvetage Chypre se diriger vers Lundi ouvert, où l'un des résultats est l'effondrement du système bancaire du pays tout entier, ce qui serait certainement avoir des effets contagieux sur l'ensemble de le continent, l'Europe commence à paniquer.
Bloomberg précise de la situation précaire des mathématiques que personne dans l'Europe technocrate apparemment pris en compte lors ils ont supposé qu'ils ont acquis quelque 10% de la souveraineté chypriote:
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Avec son parti Disy maintenant 20 sièges à l'Assemblée législative de 56 places, il a besoin d'au moins neuf voix plus pour obtenir l'approbation et éviter l'effondrement financier de troisième plus petit-économie de la région. S'il n'obtient pas la sauvegarde pour le plan, les banques peuvent rester enfermé à partir de Mars 19, géré par l'Etat chypriote Radio-Canada dit. Demain est un jour férié bancaire à Chypre.
RépondreSupprimer«Si le Parlement demain Chypre rejette le projet de loi, Chypre ouvre la voie au chaos ", a déclaré Afxentis Afxentiou, qui était gouverneur de la Banque centrale de Chypre de 1982 à 2002, a déclaré CYBC. Si le projet de loi est rejeté, "Chypre va se transformer en Libye. Même avec la douleur, nous devons suivre un cours normal, avec l'espoir que nous allons voir des jours meilleurs. "
Pour l'instant, cette pression européenne n'est venue sous forme de la BCE, mais s'attendent à sortir du chaos et un assaut complet sur les médias cherchent à apaiser et calmer les marchés d'entraîner s'il n'y a pas de mouvement, et aucun signe d'une majorité émergents avant la première métiers frapper les paires EUR. Comme le rapporte l'ANA,
Plus de Bloomberg:
Anastasiades a rejeté la pression d'un représentant de la BCE d'apporter un vote sur les pertes des déposants au Parlement aujourd'hui, gérée par l'Etat grec à Athènes Nouvelles a rapporté l'agence, sans dire comment il a obtenu l'information. Un représentant anonyme BCE sous pression Anastasiades d'ouvrir des banques le 19 Mars, l'agence de nouvelles a déclaré.
Anastasiades a rencontré les dirigeants des partis politiques de la nation hier. Bien qu'il puisse obtenir le soutien de la partie du troisième plus grand, Diko, qui a soutenu Anastasiades à l'élection, Diko les huit sièges ne sera pas lui assurer une majorité.
Pourtant, même sans un effondrement complet du marché, les dommages à Chypre, et par le système bancaire implication de l'Europe se fait, comme la question de savoir qui va garder leurs dépôts dans les banques européennes après cet épisode magnifique (surtout pour les oligarques milliardaires russes qui réservent des vols à Zurich, Genève et Bâle à fermer leurs comptes immédiatement) resteront sans réponse jusqu'à ce que nous obtenir les données de mars européennes écoulement de dépôt, au mois de mai.
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George Perdikes, un député du Parti vert qui est assis sur le Parlement du comité des finances, a déclaré que les moyens étaient à l'étude pour amortir le choc pour les déposants. Ceux-ci comprennent en leur donnant des obligations liées aux bénéfices provenant de réserves de gaz du pays, a t-il dit dans les commentaires diffusés sur CYBC après une réunion des membres du comité avec Anastasiades.
RépondreSupprimer"C'est une situation perdant-perdant», a t-il dit. "Quoi qu'il arrive, il y aura un exode massif des banques chypriotes, avec ou sans une coupe de cheveux."
Ironiquement, c'est la position minuscule Chypre dans le grand schéma des choses européennes qui ont permis à l'Europe d'exposer comment il se sent vraiment à propos de tous les membres, il s'avère que tout le monde en Europe est égale, à l'exception de ceux qui sont considérés comme moins importants que d'autres. Alors, comment ne haute la barre de go: Athènes ? Ou Madrid ? Ou à Rome ?
Peut-être il y a une très bonne raison pour laquelle, contrairement à la sell-side bousculent pour apaiser les craintes d'une panique bancaire pan-européenne, le nouveau président néerlandais de l'Eurogroupe Dijsselbloem refusé de se prononcer sur de nouvelles coupes de cheveux des déposants dans les pays en zone euro tels que la Grèce, Espagne ou l'Italie.
Et tandis que les lecteurs prévoient que, nous l'espérons, pour le bien de l'Europe, que les guichets automatiques dans les trois derniers pays sont bien approvisionnés, parce que tout ce qu'il faudra y a une photo d'une machine de distribution de billets dans la périphérie d'être «temporairement hors service" d'être l'étincelle qui ravive la rechute européenne dans la contagion pure et simple complète et la panique.
http://www.zerohedge.com/news/2013-03-17/cyprus-parliament-delay-rescue-vote-due-lack-support-despite-ecb-pressure-pre-trade-
Les gagnants-gagnants sont effectivement les iniciés qui ont vidé leurs comptes juste avant !
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