Il ne faut jamais parler du gaz carbonique sans en connaitre les propriétés physiques, chimiques et biologiques, comme dans les journaux
samedi 23 novembre 2013
Du mouvement perpétuel, au "bogue" de l'année, 2000, en passant par la pompe à chaleur, on est arrivé à l’effet de serre. «Des Scientifiques ont dit» c’est la locution préférée de nos informateurs pour propager les pires bêtises.
Les lois de la physique sont souvent difficiles à comprendre.
L’équation caractéristique des gaz les imagine parfaits.
Les lois de Dalton sont souvent mal assimilées.
Quand à la thermodynamique, elle est si mal perçue qu’au 21éme siècle on peut construire une merveilleuse chaudière atomique, mais ce n’est que pour faire marcher les machines de Denis Papin (1690) ou, mieux, de FULTON. Nos automobiles continueront encore longtemps à utiliser les inventions du 19éme siècle sous le nom de cycle de Beau de Rochas (1862), popularisé par le moteur à quatre temps. L'électronique, en l'améliorant, ne sera jamais qu'un cautère sur une jambe de bois.
Les Scientifiques de bureau ont encore beaucoup d’avenir dans leurs prévisions qui ne sont étayées ni par des mesures, ni par des statistiques, ni par des expérimentations sérieuses. Leur invention d’effet de serre, provoqué par l’accumulation du DIOXYDE de carbone (avouez que cela a plus d’allure que le gaz carbonique) dans l’atmosphère, les ferait recaler au Certificat d’Etudes Primaires s’il existait encore.
Sans aller jusqu’à un tel niveau de culture scientifique, limitons au cours moyen des années 1957 et suivantes, notre bibliographie.
Qu’ils essaient d’extraire le gaz carbonique accumulé au fond d’une cave de fermentation. Ils constateront que pour le soulever il faut complètement le pomper.
Qu’ils essaient, en soufflant dessus, de le maintenir en suspension dans l’air. Ils verront qu’il est si lourd qu’il retombe en se dissolvant dans la moindre goutte de pluie et dans bien d’autres choses encore.
A la pression atmosphérique un litre d’eau dissout un litre de gaz carbonique.
A « n » fois cette pression un litre d’eau va dissoudre « n » litres de gaz carbonique.
Imaginez ce que peut en absorber l’océan dans ses profondeurs.
Ce qu’en produisent les industries humaines est ridicule devant les volumes émis par les respirations, les fermentations, les éruptions volcaniques, les calcinations des carbonates de toutes sortes qui constituent une bonne partie de notre planète. Enfin, la consommation du gaz carbonique par les végétaux n’a jamais été mesurée, ni même estimée. Pourtant, c'est la seule source de carbone dont disposent les végétaux pour fabriquer de la cellulose. Vous imaginez tout ce qu'il en faut pour construire un tronc d'arbre.
Avant d’en faire le « vitrage » de notre atmosphère, il serait bon d’en mesurer sérieusement la réelle concentration en fonction de l’altitude.
Il en va de même pour ces fameux oxydes d’azote, du « trou » dans la couche d’ozone et de toutes ces billevesées qui ne reposent sur rien. En effet, nos statistiques sur ces questions manquent manifestement d’ancienneté.
Que dire de cette histoire de niveau des océans qui serait en augmentation ? Est-ce l’eau qui monte ou la terre qui descend ?
Nos misérables existences ont été, de tout temps, victimes de ces conformismes majoritaires, contre lesquels il faut lutter mieux que des moutons de Panurge.
Pour ceux qui doutent encore:
L’azote et l’oxygène sont intimement mélangés pour former l’atmosphère que nous respirons. Leurs densités différentes devraient les dissocier ? Pourquoi n’en serait-il pas de même entre le gaz carbonique et l’air ?
Constats qui ne sont pas des explications.
L’eau et l’huile ne se mélangent pas, l'huile moins dense surnage.
L’eau et l’alcool se mélangent en toutes proportions, malgré des densités différentes.
Pourquoi ? Si l’on ne veut pas être noyés dans un cours de physique, il faudra nous contenter d’une réponse d’adjudant :
« C’est comme cela parce que ce n’est pas autrement.»
Le gaz carbonique n’a aucune affinité avec l’air qui nous entoure. Au maximum, l'air peut en dissoudre trois volumes pour dix milles (3/10000). Au delà de cette concentration, il s’en sépare et « tombe » au fond où tout concourt pour qu’il soit absorbé par l’eau, mais aussi par d’autres minéraux et végétaux.
Il en va de même du fameux oxyde d’azote que nos automobiles sont accusées de produire à l’excès. Or, le véritable producteur d’oxyde nitreux, c’est l’électricité sous tension élevée. Bien sûr, on en trouve un peu aux électrodes des bougies d’allumage des moteurs à explosion.
Les aigrettes bleues qui s’échappent des isolateurs des lignes à haute tension en produisent un peu plus. Par temps humide, on en sent l’odeur, qui accompagne le grésillement sonore caractéristique. Il s'y mélange un peu d'ozone qui accentue l'odeur.
Tout cela ne produit pas grand-chose si on le compare à la puissance énorme de l’éclair en temps d’orage, capable d’en synthétiser des milliers de tonnes.
Ce gaz nitreux est une bénédiction pour la nature et pour l’homme. Sans lui, il n’y aurait pas de végétation.
On peut faire, les mêmes constatations avec le gaz sulfureux.
Gaz carbonique, gaz nitreux et gaz sulfureux, solubles dans l’eau, ne restent pas dans l’atmosphère. Heureusement, s’il n’en était pas ainsi la vie, ne serait pas possible sur terre : nous serions tout asphyxiés. Depuis le temps que l’on consomme l’oxygène de l’air pour faire des oxydations, sa teneur devrait diminuer si l’on poursuit le raisonnement de nos fameux « Scientifiques médiatiques ». On ne l’a jamais constaté et on respire encore.
Ces trois dioxydes se combinent à l’eau pour donner les acides, carboniques, nitreux et sulfureux qu’on ne peut pas isoler. Ce sont leurs solutions qui ont des caractéristiques acides.
Contrairement aux autres solutions, ces dioxydes voient leur concentration dans l’eau diminuer quand la température s’élève. Finalement, ils ont tous tendance à être absorbés par le sol.
Comment pourraient-ils provoquer un effet de serre ? Qui provoque réellement l’effet de serre ? comment le constate-t-on ?
C’est l’eau dans l’atmosphère qui est à l’origine des nuages. Les propriétés de diffusion des rayonnements par les nuages sont connues du bon sens populaire. Un ciel clair provoque le refroidissement nocturne de la terre. Un ciel nuageux, au contraire, protège des excès du soleil et de la déperdition des calories accumulées par la terre et les eaux.
Si l’on compare les masses d’eau nuageuses, avec les quelques gaz transparents, qui se diluent en quantités ridiculement petites dans l’atmosphère, on voit bien que tous ces gaz, soi-disant à « effet de serre », ne peuvent avoir aucune influence sur le climat de la planète.
Les gaz à effet de serre : canular ? Ou imbécillité ?
Il serait tellement plus satisfaisant que ce soit un canular. Comment analyser les causes réelles de l’imbécillité ?
Un essai de réponse est apporté par un chiffre.
Lorsque nous avons demandé à ces fameux « Scientifiques », correspondants attitrés de nos « Reporters », à combien ils chiffraient le réchauffement de la planète, depuis les années 1900, ils ont répondu :
« La planète a connu, au vingtième siècle, un réchauffement d'un demi degré centigrade »
Mépriser le calcul d’erreur à un tel niveau, est franchement scandaleux.
Comment mesurer des températures avec une telle précision ?
Les conditions de prise de température et les performances des matériels, tant au début du vingtième siècle que maintenant, permettent-elles d’être aussi affirmatif, pour prétendre que le chiffre donné est significatif.
Aucune élucubration statistique ne peut étayer une telle sottise.
Même le suffrage universel ne nous permet pas de nous protéger des « maries Chantal» scientifiques, qui ne sont pas moins dangereuses que leurs soeurs en Politique et en Littérature.
KYOTO ou la mondialisation de la bêtise.
Les activités industrielles humaines, en y ajoutant les autres occupations des sols, couvrent moins de dix pour cent de la surface terrestre. L'exploitation n'en perce l'écorce que sur une moyenne de quelques centaines de mètres. Les fourmis humaines sont bien prétentieuses quand elles prétendent modifier les climats, par leurs activités minuscules.
Accuser les États-Unis d'Amérique de tous les maux, c'est oublier leur territoire gigantesque.
Ramenée au kilomètre carré, leur activité industrielle et humaine est bien inférieure à celle de l'Europe.
On envisage pourtant, sans inquiétude, que la population du globe atteindra rapidement les dix milliards d'individus. Comme toutes les formes de vie, celle de l'homme disparaîtra noyée dans son caca. Dans la fosse morte universelle, quand les hommes verront le niveau des sanies atteindre leur lèvre inférieure, chaque nouvel arrivant provoquera la supplication unanime : « Surtout, pas de vagues ». Les plus grands seraient donc les derniers à disparaître ?
Cela ne sera pas la conséquence des émissions de gaz carbonique qui s'élimine automatiquement. La vraie source de nuisance et d'autodestruction tient dans une seule phrase de la genèse
Croissez et multipliez
Il faut bien que les choses s'arrêtent un jour.
Le réchauffement climatique :
« Sans effet de serre, comment faire pour expliquer le réchauffement climatique ? »
J’ai déjà dit combien nos statistiques et la précision de nos mesures, dans le temps, étaient insuffisantes pour prouver que le climat se réchauffait. Nos pauvres mémoires sont si courtes qu’elles ont oublié les mois de juin torrides pendant lesquels on « faisait les foins ». Elles ont aussi oublié les étés « pourris », froids et humides avec les récoltes qui pourrissaient sur pied, les épouvantables sécheresses qui décimaient les troupeaux. Pensez donc qu’en 1947 et en 1959 les vignes du Nord ont produit et conduit à maturité des raisins bien sucrés. A Melun le bananier du jardin public a produit un splendide régime de bananes parfaitement comestibles.
Ces années-là, les vins étaient méconnaissables. Ils étaient si généreux que cela cachait leurs terroirs. Les vins blancs avaient tous le goût de Xérès espagnol et, en Champagne, ils étaient inaptes à la seconde fermentation appelée prisez de mousse. Il fallait les couper (on dit assembler cela fait plus noble) avec des « piquettes » des années antérieures.
Les vents étaient alors autant de Sud-Ouest que de Nord-Ouest, les tempêtes aussi. On ne parlait pas encore de réchauffement climatique.
« Mais, cher Monsieur, sans épiloguer sur les mesures thermométriques que vous contestez, la régression des glaciers, la fusion des glaces polaires sont bien en rapport avec une évolution du climat qui ne trouve d’explication que dans l’effet de serre, universellement reconnu. »
Les glaces qui fondent sont une réalité. Alors ! Qui les réchauffe ?
Le sens des proportions :
Il faut remettre les grandeurs à leurs places qui sont toutes relatives. Le monde vivant occupe une « pellicule » du globe terrestre bien mince : à peine un pour mille du rayon de le terre. En volume, cela ne représente que trois pour mille de notre globe. Ramenez cela à un beau pamplemousse de cent millimètres de rayon, cela représente péniblement un dixième de millimètre, soit la peau d’une pomme de terre nouvelle.
L’astronomie ne signale pas des mouvements du soleil, ni des émissions calorifiques inhabituels. Par contre, les tsunamis, éruptions volcaniques et tremblements de terre se sont distingués ces dernières années. Quand on pense aux sources chaudes d’Islande et d’ailleurs et qu’on observe que les glaciers et les banquises fondent surtout par la base, on peut se demander si ce n’est pas la croûte terrestre qui laisse transpirer un peu plus du feu central si mal connu.
Une campagne de mesures de la température des sols, tant sur la terre qu’au fond des océans, permettrait d’émettre des hypothèses moins philosophiques que l’effet de serre. Cela prendra du temps et, dans l’attente, on entendra encore de belles âneries.
Enfin, l’histoire est là qui nous apprend que les vikings appelaient VINE LAND ce que nous appelons encore GROELAND, malgré les glaces et les névés qui recouvrent ce territoire.
On peut regretter que nos formations intellectuelles nous spécialisent trop en nous enlevant la capacité généraliste de raisonnement scientifique et technique. Les sociétés et académies savantes ont bien failli à leur mission.
De: François TATARD
Date: 16/12/2006
Les conséquences de la suppression de technologies agricoles : le point de vue d'un agriculteur
RépondreSupprimer8 Octobre 2018
par Seppi
Jake Freestone*
Dans quelle mesure votre vie changerait-elle si soudainement le gouvernement interdisait les téléphones portables ?
Cela changerait tout, de votre façon de travailler à votre façon de communiquer avec votre famille. Avec le temps, peut-être, vous vous y habitueriez : nos parents ont bien réussi à survivre sans ces dispositifs dans leurs poches pendant la plus grande partie de leur vie. Je pense que nous trouverions aussi un moyen.
Comme la majorité de la population, je ne veux pas revenir à la technologie du 20e siècle. Nous aurions tellement à perdre.
Les agriculteurs, cependant, subissent une pression constante pour revenir en arrière. Ici, en Europe, par exemple, les politiciens ont failli nous interdire l’année dernière d’utiliser l’outil de protection des cultures le plus populaire au monde. Cette année, un tribunal a rendu un jugement interdisant l'accès à plusieurs produits qui protègent les cultures contre les ravageurs dont l'activité endommage ou détruit.
Trop souvent, les gens considèrent la technologie comme une menace plutôt que comme une ressource. Cela est particulièrement vrai lorsqu'il s'agit d'une technologie mal comprise et vulnérable à la propagande et aux malentendus. Dans mon cas, cela signifie une technologie spécifique à l'agriculture, nécessaire aux agriculteurs, mais aussi méprisée par des personnes qui ne comprennent pas ou n'apprécient pas les difficultés de l'agriculture durable et prennent pour acquis que leur nourriture leur sera vendue à des prix raisonnables dans les épiceries et les restaurants.
Un exemple évident pour les Européens est celui des aliments GM. Alors que la plus grande partie du monde a adopté cette technologie sûre – l’Afrique du Sud, l’Argentine, le Brésil, le Canada, les États-Unis et bien d'autres –, une grande partie de l’Europe l’a rejetée. La plupart des consommateurs ne savent pas ce qu'ils perdent, mais nous, agriculteurs, nous le savons parce que nous savons que nos concurrents d’autres pays ont profité de données scientifiques fiables pour produire plus de nourriture sur moins de terres.
Le débat ne fera que s’intensifier, car les outils d’édition génomique offrent aux agriculteurs une plus grande polyvalence, d’autant plus que les consommateurs commencent à réclamer des progrès imminents qui amélioreront la qualité nutritionnelle et le goût de ce que nous mangeons tous les jours.
Mais c'est à venir. Nous sommes actuellement au cœur de plusieurs controverses qui affectent ma façon de cultiver et de produire des aliments.
Prenons le cas du glyphosate, une technologie de protection des cultures qui m'aide à lutter contre les mauvaises herbes. En 2017, l'Union Européenne a failli l'interdire – et les activistes à l'origine de cet agenda politique n'ont pas baissé les bras. Ils peuvent encore réussir à le faire interdire.
Pendant deux décennies, le glyphosate nous a aidés à produire des aliments de manière durable dans notre ferme située au Royaume-Uni, dans une région appelée West Midlands. Nous produisons du blé panifiable, de l'orge brassicole, du lin, etc. Nous avons également mis de côté une petite partie de nos terres pour des oignons et des petits pois cueillis à la main et nous avons un troupeau de 1.200 brebis.
Si nous devions perdre le glyphosate, nous devrions retourner à la culture à l'ancienne mode pour lutter contre les mauvaises herbes, ce qui signifie utiliser des machines pour retourner la terre arable. Cela entraînerait un coût environnemental et économique élevé. Nous souffririons de l'érosion du sol, nous nous tournerions vers des méthodes de contrôles chimiques plus puissantes et produirions moins de nourriture.
RépondreSupprimerUne longue expérience nous dit que le glyphosate est sans danger. S'il n'était pas sûr, je refuserais de l'utiliser sur ma ferme. Quand il s'agit de traiter dans les champs, les agriculteurs sont évidemment en première ligne. Nous sommes confrontés au plus grand risque d'exposition. Cela n'a aucun sens d'utiliser des produits qui menacent notre santé. Ce serait suicidaire.
Mieux que l'expérience, c'est la science ; et la science nous dit que le glyphosate est sans danger. Il est toxique pour les mauvaises herbes, mais il se décompose rapidement et ne pénètre pas dans la chaîne alimentaire humaine. Les groupes de réglementation l'ont confirmé, y compris l'Autorité Européenne de Sécurité des Aliments et l'Agence Européenne des Produits Chimiques.
L’Agence Internationale de Recherche sur le Cancer, basée en France, est l’unique source dissidente. Elle prétend qu'il y a un lien entre le glyphosate et le cancer chez l'Homme. Les principaux scientifiques ont démenti ses conclusions et le CIRC a la réputation de promouvoir des théories effrayantes plutôt que de s'en remettre aux preuves scientifiques. Pourtant, sa déclaration a incité des groupes d'activistes à transformer le glyphosate en une question politique, plutôt que de science, d'agriculture et d'économie de la consommation.
Certains pourraient dire : mieux vaut prévenir que guérir. A priori, ce dicton familier semble raisonnable, et il est au cœur du « principe de précaution » qui régit une grande partie du processus décisionnel en matière de réglementation en Europe. L'idée est que si nous ne pouvons pas être absolument certains des dangers potentiels d'un produit, nous ne devrions pas permettre son utilisation généralisée.
En pratique, le principe de précaution étouffe l'innovation : rien n'est jamais assez sûr pour satisfaire tout le monde. Si nous le suivions dans tous les domaines, nous devrions interdire les téléphones portables, car le CIRC les a classés comme « peut-être cancérogènes ».
Heureusement, nous n’avons pas pris cette mesure, mais nous l’avons prise dans d’autres domaines, en particulier l’agriculture. C'est en partie parce que seuls les agriculteurs voient les réglementations qui nous concernent. En fait, elles touchent tout le monde, mais elles sont invisibles pour les non-agriculteurs, ce qui signifie la plupart des gens.
En l’occurrence, il n’y a rien de sécuritaire dans le fait de refuser aux agriculteurs l’accès à la technologie de protection des cultures qu'est le glyphosate – et cela entraînerait une série de conséquences indésirables et imprévues sur mon exploitation et sur les fermes d’autres exploitants.
La première est que notre sol s'éroderait, ce qui nous ferait perdre de l'humidité, des nutriments et de la biodiversité. Nous devrions recourir à des traitements de substitution plus toxiques et qui restent plus longtemps dans le sol. Nous utiliserions également notre équipement sur nos terres agricoles plus fréquemment, augmentant ainsi nos émissions de gaz à effet de serre.
L'avènement du glyphosate nous a permis d'abandonner ces pratiques néfastes. L'interdire nous obligerait à les reprendre.
RépondreSupprimerNous produirions aussi moins de nourriture. Si nos cultures faisaient face à une concurrence accrue des mauvaises herbes, nos hectares deviendraient moins productifs. Cela signifie que les prix des denrées alimentaires augmenteraient. C'est de l'économie toute simple : une offre réduite signifie des coûts plus élevés pour les consommateurs.
L’un des miracles de l’agriculture moderne est que nous produisons plus de nourriture sur moins de terres que jamais auparavant. C'est une aubaine pour la conservation de la nature. Une interdiction du glyphosate serait un retour en arrière : nous produirions moins de nourriture sur plus de terres, ce qui nuirait à nos efforts de conservation.
Allons-nous perdre le glyphosate ? Je n'en suis pas sûr. Mais je sais que nous perdons constamment des outils de protection des cultures. En mai, par exemple, un tribunal européen a approuvé l’interdiction des « néonics », une technologie populaire de lutte contre les ravageurs. L’allégation – et ce n’est qu'une simple allégation – est que les néonics tuent trop d’abeilles. La science à ce sujet est loin d'être claire et de nombreux facteurs stressent les populations d'abeilles – des parasites et des maladies à la perte d'habitats et de sites de nidification. Aucune de ces causes n’a quelque chose à voir avec les outils de protection des cultures que les agriculteurs utilisent, et pourtant, c’est nous qui devons en payer le prix.
Alors, imaginez une interdiction qui vous oblige à abandonner votre téléphone portable. La sensation n'est pas très différente de mon expérience d'agriculteur, obligé de faire face à la possibilité de perdre les dernières technologies et de remonter dans le temps.
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* Jake Freestone est le directeur d'Overbury Farms, situé dans les West Midlands, au Royaume-Uni, où il élève 1.200 brebis et cultive du blé panifiable, du colza, de l'orge brassicole, des pois, du lin et du soja. Jake Freestone est membre du Réseau Mondial des Agriculteurs.
Une version de cet article a été publiée pour la première fois le 10 juillet 2018 dans le cadre de la série GMO Beyond The Science III du Genetic Literacy Project
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* Source : https://globalfarmernetwork.org/2018/08/the-consequences-when-ag-technology-is-withheld-a-farmers-perspective/
http://seppi.over-blog.com/2018/10/les-consequences-de-la-suppression-de-technologies-agricoles-le-point-de-vue-d-un-agriculteur.html
Il y a un lobbying sur le désherbant et, le seul qui ait réussi à choisir les herbes à détruire est le Roundup de Monsanto. D'où le manque à gagner des concurrents qui ne peuvent lutter contre le meilleur qui a fait ses preuves dans tous les pays depuis plus de 40 ans.
SupprimerEt, comme il existe un lobbying sur l'alimentation et qu'il est préférable de faire rentrer des viandes ou produits céréaliers du Brésil ou de Nouvelle-Zélande que d'acheter sur place aux producteurs européens, tout le transport se fait par bateaux (lobbying maritime).
A savoir bien sûr que le glyphosate n'est pas interdit dans les autres pays qui exportent à tout-va vers l'Europe, ainsi que des produits de traitement interdits en Europe depuis 50 ans mais qui demeurent utilisés ailleurs !!
Tout est fait pour faire disparaître les derniers paysans qui restent en Europe et faire tourner l'Europe vers 100 % de produits importés pour la consommation après celui de l'industrie (voitures étrangères) et les consommables dans l'électro-ménager, télés, ordis et téléphones.
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La NSA a piraté plus de 50.000 réseaux informatiques dans le monde entier - rapport
RépondreSupprimerle 23 Novembre, 2013 23:52
L'Agence nationale de sécurité américaine a piraté plus de 50.000 réseaux informatiques dans le monde entier l'installation de logiciels malveillants désigné pour les opérations de surveillance, journal néerlandais NRC rapports citant des documents divulgués par Edward Snowden.
La dernière série de révélations provient d'un document datant de 2012, qui montre l'étendue de réseau de surveillance mondial de la NSA.
Publié par le journal néerlandais NRC Handelsblad, il souligne plus de 50 000 endroits, où la NSA a utilisé «Network Computer exploitation» (CNE) et implanté des logiciels malveillants dans les réseaux.
Selon le site de la NSA CNE »comprend les actions permettant la collecte de renseignements et via des réseaux informatiques qui exploitent les données recueillies à partir des systèmes ou des réseaux cibles ou d'information de l'ennemi."
Une fois que l'ordinateur a été infecté, l'acte des «implants de « cellules dormantes »numériques qui peuvent être activés à distance ou désactiver avec une simple pression sur un bouton, le journal néerlandais a rapporté. Le malware peut rester actif pendant des années sans être détecté, a ajouté le journal. Les opérations malveillantes auraient été réalisées dans de nombreux pays, dont la Chine, la Russie, le Venezuela et le Brésil.
Le piratage est menée par l'accès à des opérations sur mesure (TAO), une unité spéciale au sein de la NSA chargé de l'accès aux systèmes informatiques étrangers.
Selon les médias néerlandais, l'un des exemples de l'opération CNE est l'attaque signalée contre l'entreprise belge de télécommunications Belgacom qui a été découvert en Septembre 2013. L'attaque a été précédemment rapporté avoir été menée par la Colombie GCHQ des services de renseignement qui a travaillé en coopération avec son homologue américain.
GCHQ injecté logiciels malveillants dans le réseau de Belgacom pour exploiter téléphone et des données de trafic de leurs clients. L'agence a mis en œuvre une technique connue sous le nom de Quantum Insertion, placer les serveurs de Belgacom dans les endroits stratégiques où ils pourraient intercepter et rediriger le trafic cible sur le site d'un réseau social professionnel LinkedIn faux.
Les sources publiques montrent que BAT emploie plus d'un millier de pirates. Le groupe de travail a été actif depuis au moins 1998, selon le Washington Post.
Documents acquis par le quotidien NRC révèlent également que la NSA a espionné les Pays-Bas de 1946 à 1968. Toutefois, le rapport ne précise pas les intentions précises.
Le ministre néerlandais des affaires intérieures Ronald Plasterk a récemment confirmé que la NSA surveille le courrier et le téléphone circulation aux Pays-Bas et échange des données avec l'organisation de la sécurité néerlandais AIVD.
http://rt.com/news/nsa-hacked-world-networks-209/
https://huemaurice5.blogspot.com/2013/11/effet-de-serre-gaz-carbonique-et-oxyde.html
huemaurice5
Supprimer23 novembre 2013 à 23:56
S'il n'est pas poli de regarder quelqu'un lire par dessus son épaule, d'écouter aux portes ou d'espionner quelqu'un par le trou de la serrure, l'ouverture du courrier par des personnes non autorisées à le faire et l'archivage de photos/vidéos sans consentement de la personne visée n'a ou n'aurait pas suscité de grands lever de bras au ciel ni de renversement de cette dictature surprise à s'adonner à ce qui ne la regarde pas. Et pour cause ! nous y sommes en plein dedans !
Donc, il ne faut pas s'attendre de sitôt à ce que les médias gouvernementaux en fassent les gros titres ou même des petits sur ce qu'ils ont eux-mêmes favorisé la mise en place et en ne posant pas aux responsables-Dirigeants les questions qu'il faut lors d'interview.
Donc, pareillement que la 'dette' ne peut et ne pourra JAMAIS être remboursée par quiconque (puisque même qu'en amassant tout l'or du monde il n'y en aurait pas assez pour l'effacer), c'est là encore le 'genre de question' à ne pas poser à un 'Dirigeant' dans la mesure où il n'est pas autorisé en en parler). Donc, dès lors où une dette s'avère être inremboursable, le 'prêteur' ne sera donc JAMAIS plus riche qu'aujourd'hui et donc n'a aucun espoir. Mais... mais, les pays endettés continuent néanmoins à payer des parties d'intérêt de la dette !!! D'où les gouvernements (de tous bords) qui prennent le peuple pour des cons !
Le fabriquant genevois qui frappe des pièces d'or
RépondreSupprimerPAR YVES GENIER
8 Octobre 2018
Passionné de métal jaune, l'ancien banquier Paul Noël ressuscite l'un des plus vieux métiers de la finance. Et après quelques péripéties désormais réglées avec la Confédération, ses pièces trouvent des clients partout à travers le monde.
Dans la paume de la main de Paul Noël, une une petite fortune, une pièce d'or d'une once (oz = 28,3495 gr). Sur sa face, l'inscription «Suisse» en plusieurs langues. Pourtant, cette pièce n'est pas un vreneli, elle n'a pas été frappée par la Confédération. Ses semblables ont même suscité des interventions parlementaires courroucées il y a trois ans !
Cette pièce est genevoise. Elle a été frappée rue du Rhône, au coeur de la Genève des affaires, par un grand fan du métal jaune. Paul Noël se revendique même «amoureux de l'or». A tel point que cet ancien de Lombard Odier a fondé deux sociétés pour exprimer sa passion, Swissbullion en 2015 et Trueplus l'année suivante. Toutes deux ont un but: frapper et commercialiser des pièces d'or.
Protestations parlementaires
Comme il l'explique, «la frappe de la monnaie est un monopole de la Confédération». Mais ce privilège ne vaut que si l'on inscrit une valeur faciale sur la pièce, comme le Vreneli, sur laquelle figure le montant de 20 francs (17,49 €/en fait, sur le marché, elle en vaut beaucoup plus). En revanche, en l'absence d'inscription de valeur, la pièce n'est qu'un morceau d'or au poids rigoureusement certifié, comme l'est un lingot. Sans que dans son cas, elle ne pèse que 31 grammes au lieu d'un kilo. Sur le marché, sa valeur avoisine cependant 1200 francs .($12,0120/oz le 8/10/18)
Ces pièces jouissent d'une autre spécificité: bien qu'elles portent le nom de la Suisse, l'indication «Confédération» en est absente. Les premières, pourtant, faisaient figurer cette inscription jusqu'au jour où une intervention parlementaires du conseiller national UDC Maximilian Reimann a convaincu l'administration fédérale de l'illégalité de cette mention. «J'ai été convoqué chez Eveline Widmer-Schlumpf, alors cheffe du Département des finances, nous avons réglé cette affaire et tout le monde s'est excusé», sourit Paul Noël. Qui a ainsi pu poursuivre son affaire en toute légalité et transparence après cette épreuve du feu parlementaire.
Haute technologie
La vraie originalité des pièces de Swissbullion consiste dans leur marquage. Gravé au laser, un minuscule code informatique, ressemblant à un code QR à peine visible à l'oeil nu mais vérifiable au moyen d'une application pour téléphone portable équipé d'une lentille grossissante. Cette marque garantit, selon Paul Noël, l'authenticité de la pièce, et donc l'exactitude de son poids et de sa provenance exacte.
Un gage de confiance qui doit aussi refléter l'exactitude de la quantité d'or composant chaque pièce. Ces dernières sont fondues par Argor Haereus au Tessin, l'une des quatre fonderies spécialisées de Suisse. «Normalement, de petites commandes comme les miennes ne sont pas censées intéresser ces grandes fonderies. Mais elles y trouvent leur avantage en améliorant leurs propres processus», poursuit l'entrepreneur. Le fondeur lui réclame une marge de 4% du prix de l'or, soit, pour chaque pièce fondue et livrée, près de 50 francs au cours actuel du métal jaune. La dernière étape est franchie dans le petit atelier que Trueplus entretient rue du Rhône, où les pièces sont marquées et emballées avant d'être expédiées à leurs acquéreurs.
RépondreSupprimerCombien sont-elles à avoir trouvé preneur ? «Quelque 40'000 depuis le lancement de la société», affirme Paul Noël. La plupart de ses clients sont en Suisse, mais certains se trouvent dans les pays voisins, et jusqu'en Chine, où l'on apprécie la fiabilité et l'exactitude des pièces made in Switzerland. Pour son travail, l'entrepreneur perçoit une commission de 3 % sur le prix des pièces, qui s'ajoute à celui du métal. Soit un peu plus de trente francs par pièce. Il reconnaît exercer d'autres activités. L'or est sa passion. Mais ce n'est pas son unique métier.
http://www.bilan.ch/argent-finances-plus-de-redaction/fabriquant-genevois-de-pieces-dor?mc_cid=0adc4ba8e1&mc_eid=76fa28326a
Encore faudrait-il s'entendre sur le terme de monnaie. La 'monnaie d'échange' peut être un troc d'un lapin contre 2 poules. Et, la 'frappe de monnaie' (non résolue pour autant) peut représenter une galette plus ou moins large et épaisse, de forme ronde, carrée, losangitudinale voire une forme quelconque 'sortie de coulée'.
SupprimerElles peuvent aussi représenter la tête coupée de la reine d'Angleterre ou celle d'un roi après la guillotine, celle de 'Marianne' descendue de l'échafaud comme celle de 'la statue de la Liberté' sans que la description précise du mot Liberté n'en soit expliqué au pauvre demeuré qui en achète une pièce ! Hahahaha !
Quant à la valeur qu'on lui donne...
La numérisation menacerait un million d'emplois en Suisse
RépondreSupprimerPAR AWP
8 Octobre 2018
Selon une étude de McKinsey, les secteurs du commerce de détail, de l'industrie et de la finance sont ceux qui devraient perdre le plus d'emploi.
Les progrès de la numérisation et de l'automatisation menaceraient presque un emploi sur quatre, d'après une étude de l'entreprise de conseil McKinsey consacrée à la mutation technologique du marché suisse de l'emploi et dont la NZZ am Sonntag s'est faite l'écho.
Selon cette étude, les secteurs du commerce de détail, de l'industrie et de la finance sont ceux qui devraient perdre le plus d'emploi. Quelque 20 à 25 % de l'ensemble des activités professionnelles seront automatisées d'ici 2030. Pour la Suisse, cela implique la disparition de 1,0 à 1,2 million d'emplois.
Création d'emplois
Simultanément toutefois, les nouvelles technologies entraîneront la création de 0,8 à 1,0 million de nouveaux emplois. La moitié d'entre eux seront créés dans le domaine de la technologie.
Lire aussi : La numérisation pourrait soutenir les créations d'emplois
Pour ceux que la numérisation fera perdre leur emploi, les experts de McKinsey estiment que la plupart bénéficieront de mesures de recyclage. De nombreuses entreprises vont procéder au changement de formation de leurs employés en leur sein, afin de les préparer à de nouvelles tâches.
http://www.bilan.ch/emploi-formation-economie/numerisation-menacerait-un-million-demplois-suisse
(...) La numérisation menacerait un million d'emplois en Suisse (...)
SupprimerBRAVO ! TANT MIEUX ! BIEN FAIT POUR SA GUEULE ! Ils n'avaient qu'a pas inventer des esclaves en fer et plastique qui rapportent de l'argent sans rien foutre !
Que vont faire ces milliards de chômeurs les poches pleines ? Vont-ils manifester massivement dans les rues en criant "NOUS VOULONS ÊTRE PAUVRES !", "NON AUX CAISSES REMPLIES D'ARGENT !", "ON VEUT RESTER CONS ! CONS DE PÈRE EN FILS !"
PUTAIN DE VOITURES ELECTRIQUE !
RépondreSupprimerToyota rappelle 2,4 millions de voitures hybrides
PAR AWP/AFP
5 Octobre 2018
Le constructeur japonais a annoncé le rappel de 2,43 millions de voitures hybrides dans le monde, un mois après avoir déjà dû le faire pour plus d'un million de véhicules.
Pour justifier ce rappel, Toyota évoque dans un communiqué un problème de fonctionnement du système hybride, qui peut entraîner un risque d'accident. Peu d'anomalies de ce type ont été rapportées, a cependant précisé le constructeur, qui les a chiffrées à trois au Japon dans un document remis au ministère des Transports, et aucun accident n'a été rapporté dans l'archipel. Les données ne sont pas disponibles pour l'étranger.
L'automobiliste est d'ordinaire prévenu en cas de dysfonctionnement du système hybride par différents témoins lumineux et un message d'avertissement sur le tableau de bord, ce qui lui permet de ralentir et de se garer. Or "dans de très rares cas, le système hybride pourrait cesser de fonctionner au lieu de se mettre en mode de sécurité", explique Toyota. "Le véhicule perdrait de la puissance, jusqu'à l'arrêt", ce qui, en cas de vitesse élevée, pourrait "augmenter le risque d'accident".
Les automobiles convoquées au garage pour réparation sont des Prius et Auris fabriquées entre octobre 2008 et novembre 2014. L'annonce affecte 1,25 million de clients au Japon, 830.000 en Amérique du Nord, 290.000 en Europe, 3.000 en Chine et 60.000 dans d'autres régions. Ces véhicules étaient déjà impliqués dans de précédents rappels annoncés en 2014 et 2015.
Lire aussi : Toyota investit 1 milliard de dollars dans une société VTC asiatique
Toyota, un des premiers groupes mondiaux du secteur, avait inauguré dans le scepticisme en 1997 le concept hybride, qui consiste à combiner un moteur classique à essence avec un autre moteur, électrique, alimenté par une batterie qui se recharge lorsque le véhicule roule, freine ou descend une côte. Le tout permet de réduire la consommation d'essence du véhicule.
Désormais le constructeur commercialise 40 modèles différents de voitures hybrides, pour un total cumulé de 12 millions d'unités écoulées. Ce n'est pas la première fois que ces véhicules sont touchés par des rappels: dans le dernier en date, survenu début septembre, Toyota avait procédé au rappel de plus d'un million d'hybrides, même si le problème n'était pas lié à la technologie elle-même.
http://www.bilan.ch/economie-entreprises/toyota-rappelle-24-millions-de-voitures-hybrides
Dans la merde jusqu'au cou !
Supprimer24 MILLIARDS D'EUROS, LA MONSTRUEUSE AMENDE QUE TRUMP VA METTRE À LA FRANCE !
RépondreSupprimerpar CHARLES SANNAT
02/10/2018
Le groupe nucléaire pourrait se voir réclamer 24 milliards d'euros par la justice américaine dans une affaire de corruption aux Etats-Unis.
Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
L’Affaire Areva, enfin la nouvelle affaire, va être monstrueuse et effroyable, et cela promet l’enfer aux finances françaises dont la dette publique atteint désormais les 100 % du PIB. En effet, nous parlons ici d’une amende record de 24 milliards d’euros, alors qu’Areva est un groupe public en très grandes difficultés financières. Autant dire que c’est le « con-tribuable » qui finira par payer, comme à chaque fois.
Bon, pour le moment, cela ne fait pas la une du JT, notre président étant occupé à se faire mettre des doigts d’honneur bien évidemment sur ses selfies, conséquence de ces inconséquences démagogiques, mais cela risque de vite changer.
Vous allez voir que lorsque l’on parle de combat de titans aux États-Unis entre Trump et la partie souverainiste de l’establishment américain et les tenants du mondialisme, ce n’est pas une vue de l’esprit.
Explications
La France, là-dedans, sera une victime collatérale du « dézingage » en règle des démocrates qui tentent de dézinguer Trump, qui donc dézingue les démocrates pour les empêcher de le dézinguer lui… et en même temps, la politique de démondialisation qu’il souhaite mener.
On va apprendre au passage qu’Al Gore, l’ancien vice-président de Clinton battu par Bush dans des conditions un peu limites, a pu se gaver tranquillement pendant des années avec le superbe « business » de la protection de l’environnement et l’escroquerie du réchauffement climatique, non pas qu’il n’y ait pas de problème environnemental, mais parce que la gestion de la crise « climatique » est juste devenue un prétexte pour extorquer de l’argent facilement aux populations.
Al Gore est donc passé maître dans l’art de l’enrichissement… et puisqu’il s’agit d’Areva, ce n’est pas de l’enrichissement d’uranium dont on parle, mais bien d’enrichissement personnel.
La justice américaine a discrètement prévenu début juillet les autorités françaises qu’elle pourrait lancer un procès pour corruption contre l’ex-fleuron tricolore de l’atome. Et que, en cas de condamnation, l’amende pourrait aller jusqu’à… 24 milliards d’euros, l’équivalent d’un tiers des recettes de l’impôt sur le revenu.
Comme le rapporte le magazine Capital, il est fait état d’un possible pacte de corruption, conclu en 2010 par l’entreprise avec des dirigeants du parti démocrate américain.
Une affaire qui menace aussi d’éclabousser le Premier ministre Édouard Philippe, directeur des affaires publiques d’Areva à l’époque…
Non d’une pipe et mille milliards de mille sabords… Quel scandale!
« Le 26 janvier dernier, Marc Eichinger, un enquêteur privé qui collabore régulièrement avec les services américains, écrit au FBI pour attirer son attention sur une affaire encore inconnue. Certains éléments qu’il a découverts lui font penser que le rachat de la start-up américaine Ausra par le groupe nucléaire français Areva pourrait cacher un pacte de corruption, mettant en cause plusieurs hauts dirigeants du Parti démocrate, dont l’ancien vice-président Al Gore. Depuis, le FBI travaille discrètement sur cette affaire. »
RépondreSupprimerLE FBI enquête. Le PNF (le parquet financier), lui, fait le canard pour le moment malgré la recommandation de la brigade financière d’ouvrir une instruction.
Le mari d’Anne Lauvergeon ? Olivier Fric…
Areva a acquis, en février 2010, Ausra, une start-up américaine spécialisée dans l’énergie solaire. Officiellement, selon le groupe français, le prix d’achat aurait été de 243 millions de dollars. Problème : un dirigeant d’Ausra affirme avoir vendu la société pour… 275 millions. À l’époque, Areva s’était contentée du minimum syndical en matière de communication : le dossier de presse ne mentionnait aucun montant ni l’identité précise des principaux actionnaires vendeurs.
À première vue, Anne Lauvergeon, à l’époque patronne du groupe nucléaire français, aurait pourtant dû se glorifier de cette acquisition. Car parmi ces actionnaires figurait Al Gore, l’ancien vice-président de Bill Clinton, devenu, depuis son échec à la présidentielle de 2000, le nouveau chantre mondial des énergies renouvelables. L’ex-candidat démocrate avait acquis ses parts en participant à des augmentations de capital (de 123,3 millions de dollars au total) à travers les deux fonds d’investissement qu’il préside ou conseille, Kleiner Perkins (ex- KPCB) et Generation Investment Management.
Si Anne Lauvergeon a préféré rester discrète, c’est que, à l’époque, Areva est déjà dans une situation financière compliquée. Quelques semaines avant cette acquisition, en janvier 2010, une réunion du Conseil de politique nucléaire, qui s’est tenue à l’Élysée en présence de tous les principaux acteurs de la filière, a abouti à la conclusion qu’il fallait le recapitaliser d’urgence. L’opération est réalisée quelques mois plus tard : la société obtient 900 millions d’euros, 600 millions étant versés par le fonds souverain du Koweït, le KIA, et 300 millions par l’État.
Dans cet environnement très contraint, on peut s’interroger sur l’opportunité d’acquérir Ausra. D’autant que la start-up est elle-même dans une situation financière difficile, et que sa technologie (l’énergie solaire thermique à concentration) n’a rien de révolutionnaire. Elle est même un peu désuète puisque les premières centrales solaires de ce type ont été construites dans les années 1980.
De plus, l’opération est manifestement surpayée : comme on peut le découvrir dans le propre rapport annuel 2010 d’Areva, la différence entre la valeur réelle des actifs et le prix de vente se monte à quelque 165 millions de dollars !
En réponse à la curieuse proposition d’Olivier Fric, le mari d’Anne Lauvergeon, d’acquérir avec Areva de nouvelles sociétés, l’un des directeurs du groupe assure, en décembre 2009, que l’entreprise “n’a pas les moyens” de mener une telle politique. Pourtant, deux mois plus tard, Areva mettra 243 millions de dollars sur la table pour s’offrir Ausra. »
Des documents très gênants !
RépondreSupprimer« À commencer par cet échange de mails intervenu en décembre 2009 entre Olivier Fric – le mari d’Anne Lauvergeon, qui n’a officiellement rien à voir avec Areva – et un haut dirigeant du groupe. Fric y propose de monter avec Areva un fonds, dont il serait coactionnaire, pour réaliser des acquisitions dans les énergies renouvelables. “Impossible !”, lui répond ce dirigeant après avoir consulté sa patronne, en arguant que le groupe n’a pas les moyens de mener ce genre de politique. Cela n’empêchera pas Areva de s’offrir Ausra deux mois plus tard. Ni Olivier Fric d’en devenir lui-même actionnaire en 2011, par le biais d’Agave Partners Holdings, une société constituée avec un homme d’affaires américain. »
… Où l’on découvre également les liens avec John Kerry, le proche d’Obama dont l’administration sera, très, mais très très gentille avec toutes les entreprises qui gravitent autour de cette histoire de nucléaire aux États-Unis, ce qui va coûter des milliards de dollars aux contribuables américains dans ce qui est déjà un bien bel exemple d’affaire généralisée de corruption.
Une affaire internationale où chacun se renvoie les ascenseurs remplis préalablement de sous-sous à profusion quand on demande aux pauvres bougres avec et sans dents d’en bas de se serrer la ceinture.
Je passe sur le fait qu’en France, le mari, le bien nommé d’ailleurs Monsieur Fric ce qui ne s’invente pas, de la mamamouchette en chef d’Areva puisse devenir l’actionnaire d’une entreprise rachetée par sa femme… Qui n’est qu’une salariée comme les autres.
Bref, si les facturettes de taxi de certains mamamouchis ce n’est franchement pas bien, il y en a d’autres qui savent voir nettement plus grand…
Nous n’allons pas nous ennuyer…
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
Article écrit par Charles Sannat pour Insolentiae
http://www.economiematin.fr/news-24-milliards-d-euros-la-monstrueuse-amende-que-trump-va-mettre-a-la-france
QUI VEUT ÊTRE ESCROQUÉ ?
RépondreSupprimerSelon une étude, le niveau mondial de la mer pourrait monter de 15 mètres d'ici 2300
8 octobre 2018,
Université Rutgers
Le niveau moyen mondial de la mer pourrait s'élever de près de 2,5 mètres d'ici 2100 et de 15 mètres jusqu'à 2300 si les émissions de gaz à effet de serre restent élevées et que l'humanité se révèle malchanceuse, selon une étude du changement du niveau de la mer et des projections de Rutgers et d'autres scientifiques.
Depuis le début du siècle, le niveau moyen des mers a augmenté d’environ 0,06 m. Sous émissions modérées, les estimations centrales du niveau moyen mondial du niveau de la mer tirées de différentes analyses vont de 1,4 à 2,8 pieds supplémentaires (0,43 à 0,85 m) d'ici 2100, de 2,8 à 5,4 pieds supplémentaires (0,85 à 1,65 m) d'ici 2150 et de 6 à 14 pieds ( 1,8 - 4,3 m) d’ici à 2300, selon l’étude publiée dans Annual Review of Environment and Resources.
Et avec 11 % des 7,6 milliards d'habitants de la planète vivant dans des zones inférieures à 10 mètres au-dessus du niveau de la mer, l'élévation de la mer pose un risque majeur pour les populations côtières, les économies, les infrastructures et les écosystèmes dans le monde, indique l'étude.
L'élévation du niveau de la mer varie en fonction du lieu et du temps, et les scientifiques ont mis au point diverses méthodes pour reconstruire les changements passés et en projeter les changements futurs. Cependant, malgré des approches divergentes, une histoire claire se dessine pour les décennies à venir: De 2000 à 2050, le niveau moyen des océans de la planète s’élèvera très probablement de 6 à 10 pouces, mais il est extrêmement peu probable qu’il augmente de plus de 18 pouces. Au-delà de 2050, les projections sont plus sensibles aux changements des émissions de gaz à effet de serre et aux méthodes de projection des changements du niveau de la mer.
"On en sait beaucoup sur les changements passés et futurs du niveau de la mer, et beaucoup sont incertains. Mais l'incertitude n'est pas une raison pour ignorer le défi", a déclaré le co-auteur de l'étude, Robert E. Kopp, professeur au Département de la Terre. et sciences planétaires à l'Université Rutgers du Nouveau-Brunswick et directeur de l'Institut des sciences de la Terre, des océans et de l'atmosphère de Rutgers. "Il est essentiel de caractériser avec soin ce qui est connu et ce qui est incertain pour gérer les risques liés à l'élévation du niveau de la mer pour les côtes du monde entier."
Les scientifiques ont utilisé des études de cas d'Atlantic City, du New Jersey et de Singapour pour expliquer en quoi les méthodes actuelles de reconstruction du changement antérieur du niveau de la mer peuvent limiter les projections mondiales et locales futures. Ils ont également discuté des méthodes d'utilisation des projections scientifiques du niveau de la mer et de la manière dont des projections précises peuvent conduire à de nouvelles questions de recherche sur le niveau de la mer.
Selon l'étude, une grande partie de l'élévation du niveau de la mer au 20ème siècle, y compris l'essentiel de l'augmentation mondiale depuis 1975, est liée au réchauffement climatique causé par l'homme.
https://phys.org/news/2018-10-global-sea-meters.html#jCp
SupprimerMême si c'est dans 300 ans et qu'il n'y aura plus personne d'aujourd'hui pour porter plainte contre ces escrocs (qui seront morts riches), il n'en demeure pas moins qu'ils refusent toujours d'expliquer d'où viendrait l'eau !!! Çà alors !
Prenons l'exemple d'un doigt d'eau au fond d'une casserole posée sur le feu: l'eau devient chaude et peut atteindre 2,50 m voire jusqu'à 15 m dans la casserole ! (voire plus quand elle bout !).
C'EST l'image du déluge (conte pour enfant où le narrateur parle de milliards de morts sauf ceux qui se seraient réfugié dans une arche ! Mais, comme les poissons rigolaient comme des baleines, ils ont eut la vie sauve de s'écarter des croyances !
Le 'Réchauffement climatique' est un plat qui se mange froid !
SupprimerNe vous chauffez plus ! Jetez vos fours et cuisinières ! Allez sucer des esquimauds et regardez vous dans la glace !
Le Premier ministre australien prêt à envisager le nucléaire pour réduire les prix de l'électricité verte en Australie
RépondreSupprimerEric Worrall
8 octobre 2018
Le Premier ministre australien, Scott Morrison, a laissé entendre qu'il autoriserait la construction de réacteurs nucléaires, afin de réduire les prix élevés de l'électricité en Australie - mais il ne pense pas que la situation économique corresponde.
Peu importe ce qu'il faut: ScoMo prêt à passer au nucléaire s'il réduit les prix de l'électricité
GREG BROWN
8 OCTOBRE 2018
…
Le Premier ministre a déclaré qu'il ferait «tout ce qu'il faut» pour rendre l'électricité moins chère et qu'il n'aurait aucun problème à autoriser la construction de réacteurs nucléaires s'il permettait de réduire les factures des ménages.
Mais a averti que le cas d'investissement pour construire un réacteur nucléaire ne "empile" pas.
"Vous devez rentabiliser votre investissement", a déclaré M. Morrison à la radio 2GB.
Le chef de l'opposition, Bill Shorten, a critiqué Scott Morrison en déclarant qu'il annulerait l'interdiction de construire des centrales nucléaires s'il était prouvé que cela réduirait les prix de l'électricité.
"En même temps que le site de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl se transforme en une immense ferme solaire, Morrison pense qu'il est temps de prendre le nucléaire australien", a tweeté le leader de l'opposition.
"Tu plaisantes."
…
En savoir plus (paywalled): https://www.theaustralian.com.au/national-affairs/climate/w Whatever-it-takes-scomo-prepared-to-go-nuclear-if-it-cuts-power-prices/ news-story / 1193fd298fb3ff1d57b4e48accea3ee1
Les prix de l'électricité se réchauffent comme une question politique. Le parti travailliste australien, à l'instar des démocrates américains, à l'exception du vert plus foncé et de l'aile gauche, a de grandes chances de remporter la prochaine élection fédérale. Leur position, soutenue par les principaux médias australiens, semble être que des investissements plus importants des pouvoirs publics dans les énergies renouvelables entraîneront une baisse des prix de l’électricité.
Au lieu de contester ce discours douteux de front, le Premier ministre Scott Morrison semble tenter de trouver un terrain d'entente politique en proposant une version assouplie des politiques écologiques extrêmes qui ont plongé l'Australie dans son désordre actuel.
Je doute que cette tentative de réorientation des intentions en matière de politique nucléaire conduise à la construction d’une centrale nucléaire; Même les centrales à charbon australiennes ont du mal à rester ouvertes, grâce à la politique intérieure hostile de l’Australie.
https://wattsupwiththat.com/2018/10/08/aussie-pm-willing-to-consider-nuclear-to-reduce-australias-green-electricity-prices/
Google ferme Google+ après la découverte d’une énorme brèche de sécurité
RépondreSupprimer20:51 08.10.2018
Une faille dans son réseau social Google+ a exposé des données personnelles d'un demi-million de comptes, ce qui a conduit le géant informatique à fermer pour les particuliers ce réseau social auquel sont automatiquement inscrites les personnes possédant une adresse gmail.
Google a annoncé lundi que les données personnelles de 500.000 utilisateurs de Google+ pourraient avoir été accessibles à des développeurs extérieurs et que ce réseau social allait être fermé pour les particuliers, relate Reuters.
Google a choisi dans un premier temps de ne pas révéler ce problème en partie pour ne pas éveiller les soupçons des autorités, avait auparavant indiqué The Wall Street Journal, en s'appuyant sur des sources anonymes et des documents internes.
Une faille logicielle dans Google+ a exposé les données personnelles d'utilisateurs à des développeurs extérieurs entre 2015 et mars 2018, date à laquelle une enquête interne a permis de découvrir le problème et de le corriger, affirme The Wall Street Journal.
L'action Alphabet, maison mère de Google, a cédé jusqu'à 2,77 % à Wall Street après la publication de ces informations avant d'effacer une partie de ses pertes.
Les données concernées par la faille portent sur des champs optionnels dans les profils enregistrés sur Google+, comme le nom, l'adresse de courriel, l'activité professionnelle, le sexe et l'âge, a précisé Google.
The Wall Street Journal fait état d'une note rédigée par les services juridiques de l'entreprise et transmise à ses dirigeants. D'après le journal, cette note met en garde sur le fait que la divulgation de ce problème susciterait probablement «un intérêt immédiat des autorités réglementaires» et entraînerait des comparaisons avec le détournement de données personnelles d'utilisateurs de Facebook par le cabinet de conseil politique Cambridge Analytica.
Un comité interne a pris la décision de ne pas informer les utilisateurs et le PDG de Google, Sundar Pichai, a été informé de ce choix, souligne The Wall Street Journal.
Pour parvenir à cette décision, Google s'est demandé «si nous pouvions identifier précisément les utilisateurs à informer, s'il y avait la moindre preuve de détournement de données et s'il y avait la moindre action qu'un développeur ou un utilisateur pourrait entreprendre en conséquence», a raconté un porte-parole de Google à The Wall Street Journal. «Aucun de ces critères n'était rempli dans ce cas».
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201810081038420446-google-breche-securite/
Violation de données dissimulée par Google par peur des répercussions; Arrête le service Google+
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lundi, 10/08/2018 - 13:16
Au printemps dernier, Google avait choisi de ne pas révéler que les données de centaines de milliers d'utilisateurs de Google+ avaient été exposées, car la société affirme n'avoir trouvé aucune preuve d'abus, a rapporté le Wall Street Journal. Le géant de la Silicon Valley craignait à la fois une surveillance réglementaire et des dommages réglementaires, selon des documents examinés par le Journal et des personnes informées de l'incident.
Google Alphabet, société mère de Google, devrait annoncer de vastes mesures de protection de la vie privée, notamment l'arrêt définitif de toutes les fonctionnalités grand public de Google+, ce qui "met véritablement le dernier clou dans le cercueil d'un produit lancé en 2011 pour défier Facebook et est largement considéré comme l'un des plus gros échecs de Google. "
Les actions dans Alphabet ont chuté de 2,1% à la suite du rapport de la revue:
L'incident logiciel a permis aux développeurs externes d'accéder aux données de profils Google+ privés entre 2015 et mars 2018, après que les enquêteurs internes de Google eurent découvert et résolu le problème. Selon une note rédigée par le personnel juridique et politique de Google et examinée par le Journal, les cadres supérieurs craignaient que la divulgation de l'incident ne déclenche un "intérêt réglementaire immédiat", tout en proposant des comparaisons avec le vaste scandale de collecte de données de Facebook.
Le chef de la direction, Sundar Pichai, a été informé du plan consistant à ne pas notifier les utilisateurs après qu'un comité interne ait pris cette décision, ont indiqué des personnes.
La fermeture prévue de Google+ fait partie d'un examen plus large des pratiques de Google en matière de confidentialité, qui a permis de déterminer que la société avait besoin de contrôles plus stricts sur plusieurs produits majeurs, ont déclaré les responsables. Dans une annonce publiée lundi, la compagnie devrait annoncer qu'elle restreint l'accès des développeurs externes aux données des utilisateurs sur les smartphones Android et Gmail, ont indiqué des personnes.
...
Le document montre que les responsables de Google savaient que la divulgation pourrait avoir de graves conséquences. Révéler l'incident aurait probablement pour conséquence "que nous deviendrons une vedette à côté ou même à la place de Facebook, même si nous sommes restés sous le radar tout au long du scandale de Cambridge Analytica", indique la note de service. Cela «garantit quasiment que Sundar témoignera devant le Congrès». -WSJ
L'infraction promet de donner à Google un œil au beurre noir embarrassant juste après avoir promis d'être moins exposée aux violations de données telles que celles qui ont affecté Facebook. Les nouvelles pourraient également compliquer les tentatives de Google pour éviter une réglementation défavorable à Washington.
Pichai a accepté de témoigner devant le Congrès dans les prochaines semaines.
"Chaque fois que les données des utilisateurs ont été affectées, nous allons au-delà de nos obligations légales et appliquons plusieurs critères centrés sur nos utilisateurs pour déterminer s'il convient de donner un avis", a déclaré un porte-parole de Google dans un communiqué.
La décision de ne pas révéler la vulnérabilité était basée sur "si nous pouvions identifier avec précision les utilisateurs à informer, s'il existait des preuves d'abus et si un développeur ou un utilisateur pouvait prendre des mesures en réponse", a déclaré le porte-parole. "Aucun de ces seuils n'a été atteint ici."
RépondreSupprimerDans le même temps, Google admet que, même s’ils n’ont aucune preuve que l’échappatoire a été utilisée abusivement, ils n’ont aucun moyen de le savoir.
La note interne du personnel des services juridiques et des politiques indique que la société n’a aucune preuve que des développeurs externes aient utilisé les données de manière abusive, mais reconnaît qu’elle n’a aucun moyen de le savoir avec certitude. Les données de profil exposées comprenaient les noms complets, les adresses électroniques, les dates de naissance, le sexe, les photos de profil, les lieux habités, la profession et l'état de la relation; cela n'incluait pas les numéros de téléphone, les courriels, les messages de chronologie, les messages directs ou tout autre type de données de communication, a déclaré l'une des personnes.
Google met les données utilisateur à la disposition des développeurs externes via plus de 130 canaux publics différents, appelés interfaces de programmation d'applications ou API. Ces outils nécessitent généralement l’autorisation de l’utilisateur pour accéder à toutes les informations, mais ils peuvent être utilisés à mauvais escient par des acteurs peu scrupuleux se faisant passer pour des développeurs d’applications pour accéder à des données personnelles sensibles. -WSJ
Le groupe de travail récemment formé par Google, appelé Project Strobe, a mené un audit à l'échelle de l'entreprise des API de Google, selon des personnes informées du processus. L’équipe est composée de plus de 100 ingénieurs, chefs de projets et avocats, selon le Journal. Google restreindrait les données fournies aux développeurs externes via des API, tout en empêchant la plupart des développeurs externes d'accéder aux données de messagerie SMS, aux données du journal des appels et à diverses formes de données de contact trouvées sur les téléphones Android. Gmail, par exemple, n'autorisera qu'une fraction des développeurs à continuer à créer des modules complémentaires pour le service de messagerie.
Google avait été pressé de restreindre l'accès des développeurs à Gmail plus tôt cette année, après un examen du Wall Street Journal qui a révélé que les développeurs utilisent généralement des applications de messagerie gratuites pour inciter les utilisateurs à abandonner l'accès à leur boîte de réception sans indiquer clairement les données qu'ils collectent. Dans certains cas, les employés de ces sociétés d’application ont lu les courriels réels des personnes pour améliorer leurs algorithmes logiciels.
Les changements à venir témoignent d'une réflexion plus large sur la confidentialité des données chez Google, qui a par le passé imposé peu de restrictions sur la manière dont les applications externes accèdent aux données des utilisateurs, à condition que ces utilisateurs donnent leur autorisation. La limitation de l'accès aux API nuira à certains développeurs qui ont aidé Google à créer un univers d'applications utiles. -WSJ
Le problème de Google+ a été découvert en mars de cette année par l’équipe de Project Strobe - et a permis aux développeurs de récupérer les données des utilisateurs qui n’ont jamais eu l’intention de le partager publiquement, selon le mémo et deux personnes informées à ce sujet. Grâce à un bogue dans le code de l'API, les données de profil des utilisateurs et de leurs amis pourraient être collectées, même si les données étaient spécifiquement marquées comme non publiques dans les paramètres de confidentialité de Google.
À la fin du mois de mars, Google a effectué des tests pendant deux semaines pour déterminer l'impact du bogue. Il a été constaté qu'il concernait 496 951 utilisateurs susceptibles de partager des données de profil privées avec un ami, puis qu'un développeur externe a accédé à ces données. Parmi les utilisateurs exposés figuraient des utilisateurs payants de G suite, un ensemble d’outils de productivité de Google comprenant Docs et Drive.
RépondreSupprimerLa société ayant conservé un ensemble limité de journaux d'activité, elle n'a pas été en mesure de déterminer quels utilisateurs étaient affectés et quels types de données pouvaient potentiellement avoir été collectés de manière inappropriée, ont déclaré les deux personnes informées à ce sujet. Le bogue existait depuis 2015 et il était difficile de savoir si un plus grand nombre d'utilisateurs aurait pu être affecté au cours de cette période. -WSJ
Jusqu'à 438 applications ont pu accéder aux données. Toutefois, d'après Google, après un audit complet, aucun des développeurs ne semblait suspicieux ni ne s'était déjà plaint de porter atteinte à la vie privée. Cela dit, ils admettent avoir une capacité limitée de savoir si l'un d'entre eux a profité de la violation.
https://www.zerohedge.com/news/2018-10-08/google-concealed-data-breach-which-exposed-user-data-hackers
La française Marine Le Pen rejoint Salvini, Severs et le mouvement de Bannon: "il n'est pas européen"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lundi, 10/08/2018 - 12h10
Dans une rupture relativement claire des liens, la leader de l'extrême droite française Marine Le Pen prend ses distances avec le "Mouvement" de l'ancien stratège de la Maison Blanche Steve Bannon, affirmant que seuls les Européens sauveront le continent.
Cela a beaucoup changé par rapport à ses remarques de juillet, lorsque nous avons noté que Bannon cherchait à établir un fief populiste au Parlement européen, qui pourrait gagner jusqu'à un tiers du nombre de législateurs après les élections européennes de mai prochain. Comme l'a souligné la bête,
Un bloc populiste unifié de cette taille aurait la capacité de perturber sérieusement les travaux parlementaires, donnant potentiellement à Bannon un pouvoir énorme au sein du mouvement populiste.
Selon la loi électorale de chaque pays, la fondation peut être en mesure de prendre part à certaines campagnes directement tout en renforçant indirectement les autres groupes populistes. Bête quotidienne
«Je n'ai pas eu cette idée avant que Marine Le Pen m'invite à prendre la parole à Lille, au Front national», se souvient Bannon. "J'ai dit:" Que voulez-vous que je dise ? "
Le Pen a répondu: "Tout ce que vous avez à dire, c'est:" Nous ne sommes pas seuls. "
Mais maintenant, comme le rapporte AP, Le Pen a déclaré lundi, lors d'une réunion à Rome, qu'elle souhaitait clarifier "de nombreuses conjectures" sur les projets de création de la fondation annoncés par Bannon.
Le Pen a déclaré que Bannon n'était pas européen, mais plutôt un Américain qui souhaitait créer un groupe de réflexion, dit-elle:
«Mais nous, et nous seuls, sommes ceux qui façonnerons la force politique née des élections européennes, car nous sommes attachés à notre liberté, attachés à notre souveraineté et nous ensemble ...
... ce sont les représentants des différents peuples de l'Europe qui vont façonner les forces politiques qui visent spécifiquement à sauver l'Europe. "
Cependant, comme nous l’avons noté précédemment, "The Movement", fondé par l’homme politique belge Mischaël Modrikamen, soulignera l’importance de la souveraineté nationale, des frontières solides, de strictes limites imposées à la migration et de la farouche opposition au terrorisme islamiste radical.
Le Mouvement, qui envisage d'organiser une convention constitutive à Bruxelles fin novembre, servira également de lien entre les alliés de 27 pays de l'UE et le caucus de la liberté pro-Trump aux États-Unis.
Cet organisme à but non lucratif constituera une source centrale de sondages, de conseils en matière de messagerie, de ciblage de données et de recherches pour un groupe hétéroclite de groupes d'extrême droite en pleine croissance dans toute l'Europe, souvent sans structures politiques professionnelles ni budgets importants.
L’ambition de Bannon est que son organisation rivalise avec l’impact de la société ouverte de Soros, qui a donné 32 milliards de dollars à des causes largement libérales depuis sa création en 1984.
RépondreSupprimerAu cours de l’année écoulée, Bannon a eu des entretiens avec des groupes de droite sur tout le continent, à savoir Nigel Farage et les membres du Front national de Marine Le Pen (récemment renommé Rassemblement National) à l’ouest, avec le Viktor Orban de la Hongrie et les populistes polonais à l’est. Bête quotidienne
Les partis populistes de droite ont réalisé d'importants gains électoraux dans toute l'Europe au cours des dernières années, à la suite de pics de crimes violents et de terrorisme corrélés à l'afflux de migrants non contrôlés provenant principalement d'Afrique du Nord. Jusqu'ici, ces mouvements ont été en grande partie non coordonnés. Bannon et The Movement visent à résoudre ce problème et mettent le plan en œuvre.
Et tandis que Bannon et ses alliés doutent que les partis nationalistes obtiennent la majorité des sièges au parlement européen, leur objectif est de conquérir au moins un tiers des sièges afin de "commander par la négation", selon Bannon, ce qui leur permettra de perturber les politiques "intégrationnistes".
"Nous voulons mener la bataille au cœur de l'UE", a déclaré Modrikamen dans une interview à son domicile dans un quartier résidentiel de Bruxelles, qui sert également de siège à son parti. "Nous voulons être la voix des gars ordinaires qui se sentent trahis par les élites."
Pour le moment, il semblerait qu'ils le fassent sans le parti d'extrême droite français ... même si nous soupçonnons que cela est davantage une posture de Le Pen alors qu'elle rejoignait le vice-Premier ministre d'extrême droite italien, Matteo Salvini, à Rome lundi, pour déclarer qu'ils étaient en poste. le mouvement anti-établissement au sein de l'Union européenne.
"Nous sommes contre les ennemis de l'Europe - Juncker et Moscovici - enfermés dans le bunker bruxellois", a déclaré Salvini.
"La politique d'austérité de ces dernières années a accru la dette italienne et appauvri l'Italie."
La déclaration a été faite lors d'une conférence de presse conjointe avec LePen, qui s'est rendu à Rome lundi.
"Ensemble avec Matteo (Salvini), nous ne luttons pas contre l'Europe mais contre l'Union européenne qui est devenue un système totalitaire et nous luttons contre l'Union européenne pour sauver la véritable Europe", a déclaré Le Pen.
Quelques jours plus tôt, Salvini avait jeté un regard méprisant sur Juncker et sa supposée consommation d'alcool en affirmant qu'il l'ignorait parce que «je parle à des personnes sobres».
https://www.zerohedge.com/news/2018-10-08/frances-le-pen-severs-ties-bannons-movement-hes-not-european
Salvini nomme «les ennemis de l’Europe» qui y apportent «la peur» (vidéo)
RépondreSupprimer20:23 08.10.2018
Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker et les bureaucrates siégeant à Bruxelles sont «les adversaires de l’Europe», selon le vice-président du conseil des ministres d'Italie Matteo Salvini.
Matteo Salvini, ministre italien de l'Intérieur, a déclaré qui, selon lui, sont «les adversaires de l'Europe», informe l'agence de presse américaine Bloomberg.
«Les ennemis de l'Europe sont ceux retranchés dans le bunker de Bruxelles […] les Juncker [le président de la Commission européenne, ndlr], les Moscovici [le commissaire européen aux Affaires économiques, ndlr], qui ont apporté la précarité et la peur en Europe et refusent d'abandonner leur fauteuil», a fait remarquer Salvini assis à côté de Marine le Pen lors d'un événement à Rome visant à lancer leur campagne électorale pour les européennes de mai.
Il a tenu à souligner que «la politique d'austérité» qu'a menée ces dernières années Bruxelles a augmenté la dette de l'Italie et «a appauvri l'Italie».
Le ministre italien a à plusieurs reprises critiqué les dirigeants de l'Union européenne. Il s'en est ainsi pris la semaine dernière au président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, ayant déclaré qu'il avait «ruiné» l'Europe et l'Italie.
https://fr.sputniknews.com/international/201810081038419142-salvini-ennemis-europe-peur-juncker/