(Pour mieux lire en français, coupez le son)
En septembre 2014, Jacques Daidié est parti à la rencontre, en Italie de Rosario Marciano, militant connu contre la géo-ingénierie, créateur du site www.tankerenemy.com, et de sa famille. Le présent travail est né de cette rencontre. L'association Ciel voilé remercie Rosario Marciano pour son autorisation de sous-titrage du documentaire italien dont il est le producteur :"Chemtrails : la guerre secrète". Nous remercions aussi chaleureusement tous ceux qui ont contribué à la traduction : Jacques, Dominique d'Avignon, Marie de Monteux, Sébastien de St Firmin en Valgaudemard et Danielle de Gap.
Documentaire de www.tankerenemy.com
Sous-titré en français par l'association : www.cielvoile.fr.
4 Articles de Tankerenemy traduits par Ciel voilé :
Document cité : "Owning the weather in 2025"
Très informatif à 28:00
RépondreSupprimer34:00 Alzheimer, Parkinson
35:00 Abeilles, prolifération d'insectes
37:00 Cétacés échoués
40:00 Les maladies ont doublé. Alzheimer, Parkinson à 45 ans au lieu de 70 ans.
42:00 Bioxyde de soufre
49:00 Désinformation
Plus de 15 000 avions traversent la France tous les jours ! Combien de chemtrails ?
Energie nucléaire : état des lieux succinct et perspectives.
RépondreSupprimerle 27 octobre 2018
Selon le Directeur Général de l’agence internationale de l’énergie nucléaire (IAEA) Yukiya Amano (illustration) : « il sera difficile pour le monde entier d’atteindre les deux objectifs d’une production d’énergie suffisante et fiable en limitant dans le même temps l’augmentation globale des températures en dessous de 2 degrés C dans les décennies à venir sans augmenter la production d’énergie nucléaire. Les projections de l’IAEA indiquent que le potentiel de développement de l’énergie nucléaire reste élevé au moins jusqu’en 2050 mais cette expansion sera en déclin dans les prochaines années ».
De nombreuses études prometteuses sont en cours pour concrétiser de nouvelles générations de réacteurs nucléaires de taille intermédiaire ou modulaires et certains pays se focalisent sur la filière thorium. Cependant l’utilisation de l’uranium restera prépondérant dans les prochaines années. L’IAEA soutient le cycle du combustible et son optimisation depuis l’exploitation minière et la réhabilitation des mines jusqu’à l’enrichissement et le retraitement. L’abondance des gisements d’uranium est largement suffisante pour satisfaire la demande jusqu’en 2050 et au delà. En 2016 la production mondiale représentait 62221 tonnes d’uranium métal. Cette production est attendue pour décliner jusqu’à 55000 tonnes en 2035 et si la demande croissait d’ici cette date les réserves disponibles seraient suffisantes pour la satisfaire. Divers pays (dont la France) ont décidé de réduire la part du nucléaire dans leur source d’énergie électrique.
Pourtant l’IAEA maintient sa projection d’une part croissance de l’énergie nucléaire qui devrait atteindre 25 % du total de l’énergie électrique produite dans le monde en 2050. C’est-à-dire qu’il faudra que 1000 GWe de nouvelles capacités de production soient mises en place de maintenant à cette date. En d’autres termes cela signifie qu’il faudra qu’au moins 30 nouveaux réacteurs soient connectés au réseau chaque année dès les années 2030-2040 comme cela fut le cas au cours des années 1980. À l’heure actuelle la capacité de construction de nouvelles unités est d’environ 30 chaque année et les principaux défis rencontrés sont le support politique de ce programme, la confiance du public qui s’est dégradée depuis l’accident de Fukushima-Daiichi et aussi celle des investisseurs. Il y a aujourd’hui 451 réacteurs opérationnels dans le monde dans 30 pays et 58 réacteurs sont en construction. Trente autres pays envisagent d’introduire une part de nucléaire dans leur « paysage » énergétique.
Qu’en est-il de l’évolution des prix du « yellow cake », l’oxyde d’uranium U3O8, cotés sur le marché international ? Depuis l’accident de Fukushima-Daiichi et en dépit du programme nucléaire chinois vigoureux la demande en yellow cake a considérablement chuté passant d’environ 50 dollars la livre avant l’accident japonais à 20 dollars au début de l’année 2018 pour remonter aux alentours de 28 dollars le 25 octobre 2018. La plupart des producteurs d’uranium réduisent leur production pour maintenir un prix de marché acceptable. Cette situation déprimée a provoqué la fermeture de nombreuses mines confortant la position dominante du Kazakhstan – plus de 40 % du marché – s’en est retrouvée renforcée car le Canada dont l’exploitant Cameco de la plus grande mine au monde, MacArthur River, a décidé de stopper l’exploitation pour une durée indéterminée en attendant que les prix se stabilisent à un niveau assurant la rentabilité de la mine et des installations de production de yellow cake. De son côté le Kazakhstan a réduit sa production de 20 % pour faire pression sur les prix.
La demande devrait s’accélérer dans la mesure où de nombreux réacteurs chinois devraient être bientôt connectés ainsi que la remise en fonctionnement progressive des unités de production électronucléaires japonaise. Enfin les contrats à terme entre la Chine, les USA et le Japon devraient bientôt expirer et c’est l’une des autres raisons qui pourrait pousser les prix vers le haut. Quel sera le prix de l’uranium dans les années à venir ? C’est une question qui n’a pas vraiment d’importance dans la mesure où cette source d’énergie est la moins polluante et le développement des réacteurs à neutrons rapides, l’une des filières permettant d’éliminer les transuraniens de haute activité, autorisera une rationalisation de l’ensemble de cette industrie. Comme le disait très justement Monsieur Amano ou bien on grillera tous comme des toasts (cf. Christine Lagarde, une autre experte en climatologie) ou alors le choix de l’énergie nucléaire s’imposera de lui-même.
RépondreSupprimerJ’ajouterai une remarque importante de mon cru. Les écologistes s’alarment à juste titre de la pollution créée par les navires gros porteurs, que ce soient les minéraliers, les super-tankers, les navires LNG ou les porte-containers qui sillonnent les océans. On peut rêver d’un monde apaisé dans lequel la paranoïa nucléaire des militaires aura disparu alors tous ces navires seront propulsés à l’aide de réacteurs nucléaires à plutonium, un métal fissile beaucoup moins onéreux que l’uranium-235. De tels réacteurs « brûlent » du matériel fissile de « qualité militaire » autrement dit avec lequel on peut fabriquer des bombes. Mais le souci est que ces mêmes écologistes sont aussi opposés à l’énergie nucléaire. Je n’assisterai pas de mon vivant à une telle conversion possible dans un monde sans aucune bombe nucléaire, l’un des souhaits de l’Assemblée générale des Nations-Unies.
Sources : IAEA, ZeroHedge. Note : pas de billet ce dimanche 28 octobre mais pas à cause du changement d’heure qui n’existe pas au Japon
https://jacqueshenry.wordpress.com/2018/10/27/energie-nucleaire-etat-des-lieux-succinct-et-perspectives/
Trois votations fédérales
RépondreSupprimerle octobre 27, 2018
par Michel de Rougemont
Le 25 novembre prochain le peuple et les cantons devront ou non accepter deux initiatives constitutionnelles et le peuple devra statuer sur un référendum ayant abouti. Il s’agit de subvention pour les éleveurs laissant leurs cornes à leurs animaux, de l’« observation secrète » des assurés qui sont soupçonnés de percevoir des aides abusivement, et de la primauté du droit suisse sur l’international.
Vaches à cornes
Il ne s’agit pas que des vaches à mettre en stabulation dans notre Constitution, les taureaux, brebis et béliers ainsi que chèvres et boucs sont aussi concernés. Le but premier de cette initiative est de subventionner une pratique qu’un éleveur peut choisir ou non de suivre. S’il empêche les cornes de pousser c’est parce qu’il est plus aisé et moins risqué de travailler avec une bête dont la tête est lisse. Comme on ne sait rien du bien-être qu’un animal retire de porter des cornes, ou du mal-être à n’en pas avoir, le besoin de cette initiative n’est pas démontré. Elle fomente la corruption institutionnalisée, qui veut orienter des pratiques dans le sens de celui qui paie. Si pour des raisons sentimentales des éleveurs préfèrent que leurs bêtes portent des cornes alors il est plus cohérent qu’ils en supportent les conséquences pécuniaires et non l’ensemble de la société. Libre à eux d’en faire un label, complémentaire au bio, qui pourrait leur permettre de rencontrer des clients animés d’un même esprit et désireux de surpayer leur lait ou leur viande.
Remarque : si l’initiative pour l’autodétermination était rejetée ce même jour, alors il est fort probable qu’il ne resterait que des initiatives de ce type pour gratter le fond du fonds de commerce de la démocratie semi-directe en Suisse.
Non – Nein – No – Na
Observation secrète des assurés
De telles observations sont déjà pratiquées et des abus détectés et sanctionnés. La loi en question qui a fait l’objet d’un référendum ne fait que renforcer et préciser les conditions d’investigation. Le problème avec de telles dispositions, toujours utiles pour faire respecter le droit, est qu’à chaque fois elles sont plus invasives de la sphère privée de chacun, y compris celle des tricheurs mais justement, pas seulement. Vite alors on justifie tous les soupçons en procédant à une enquête invasive, puis en en faisant un système. On passe alors de la présomption d’innocence à celle de culpabilité, une attitude qui est contraire à la culture des relations entre personnes et institutions de notre pays. L’envie de donner des leçons et de punir le pécheur ne doit pas être satisfaite à ce prix. Démasquer un tricheur et avoir le courage (eh oui, sans se cacher derrière des règlements) de lui couper les subventions n’a pas besoin d’un tel tour de vis.
Non – Nein – No – Na
Souveraineté et autodétermination
C’est un vrai débat politique qui est posé, bien au regret des nombreux adversaires du régime helvétique de démocratie semi-directe sans lequel toutefois notre pays ne tiendrait pas ensemble.
Cette initiative, aussi appelée « le droit suisse au lieu de juges étrangers » est d’origine UDC/SVP. Une de ses motivations est revancharde vis-à-vis du Conseil fédéral, du Parlement et du Tribunal fédéral, une réaction aux mises en application lacunaires et non respectueuses de la Constitution d’autres initiative pourtant acceptées par le peuple et les cantons : quota d’immigration, renvoi de criminels étrangers. Les opposants habituels et convenus à ce parti ont donc beau jeu de chanter la ritournelle de xénophobie et d’esprit de fermeture.
Mais elle propose une réponse à l’évolution constante du droit international qui nous est imposée sans que nous l’ayons décidé, en particulier celui des droits de l’homme[1] par sa Cour européenne qui statue et fait jurisprudence sur des objets pour lesquels rien n’était dit dans la convention lors de sa ratification. La même question se pose prospectivement à propos d’un éventuel accord institutionnel avec l’Union Européenne qui poserait comme irrémédiable la reprise de toutes les modifications et interprétations du droit de l’UE sur tous les sujets couverts par cet accord (la somme des bilatérales actuellement en vigueur, plus quelques autres à conclure). La pression existe déjà mais ce sont nos institutions, y compris le peuple et les cantons s’il y a lieu, qui décident ou non de reprendre tel aspect (p.ex. fiscalité des holding financiers) ou tel autre (p.ex. détention d’armes à feu) en les adaptant à notre situation et notre culture politique. La tâche du Conseil fédéral et du Parlement est alors de trouver les solutions aptes à trouver majorité, un art inconnu dans les autres pays.
RépondreSupprimerCertains adversaires à cette initiative nient que ces problèmes existent, d’autres, et souvent les mêmes, font une fixation anti-Blocher. Cela leur suffit pour justifier leur non.
Moins dogmatiques les milieux d’affaires, surtout les exportateurs, préfèreraient que l’on ne parle pas de ça. Car on n’aborde jamais des sujets conflictuels avec ses clients ; il vaut mieux les éviter et accepter même des diktats tant que cela fait progresser les carnets de commande et les notes d’honoraire. Ils disent non car, sans savoir vraiment en quoi, ils craignent que cela puisse leur compliquer la vie. Leur argument ne tient pas qui dit que l’incertitude juridique d’une Suisse ne tenant pas ses engagements deviendrait dommageable au business car l’acquis ne va pas changer et les engagements seront plus mesurés mais pas moins solides dans l’avenir. Au contraire, une légitimité démocratique renforcée sera meilleure garante de la stabilité juridique que les divagations incontrôlables d’institutions extérieures à notre pays et notre culture politique.
Le centre-droit mou de la politique est aussi contre, d’autant plus qu’il y a parmi eux beaucoup d’euro-turbos qui n’espèrent qu’une adhésion à l’UE et désespèrent que cela n’arrive pas de leur vivant. Il y a aussi crainte de devoir dénoncer certains accords ou conventions (lesquels ?) pour les ratifier à nouveau mais avec des réserves, ce qui pourrait reléguer la Suisse dans un camp de partenaires peu fiables. Un mauvais bon contre-exemple : les pays musulmans ont tous fait une réserve concernant la primauté de la charia sur la Déclaration universelle des droits de l’homme ; cela ne les empêche pas de siéger au Conseil des droits de l’homme des Nations Unies, de faire de bonnes affaires et d’avoir pignon sur rue presque partout dans le monde.
Il y a les moralistes qui redoutent que les droits de l’homme pourraient ne plus être respectés dans notre pays. C’est un argument grossièrement mensonger, étonnant venant de la part de moralistes, car les règles impératives étaient déjà inclues dans notre Constitution dès celle de 1848, bien avant la prolifération de conventions multilatérales. Si les Suisses de demain devenaient si fous qu’ils voulaient biffer ces principes un jour, alors ce n’est pas le texte de l’initiative qui les y aideraient ni les en empêcheraient.
Xénophobie, détérioration des relations diplomatiques, instabilité du cadre juridique, europhilie, risque moral : la liste des craintes est longue, qui sont exacerbées par un manque d’exemples montrant clairement les désavantages concrets et leurs conséquences réelles, par de pieux mensonges à propos du non-respect des droits de l’homme et par l’arrogance de croire que tout le reste du monde s’inquiète de la bonne réputation de notre pays.
Les opposants à cette initiative oublient volontairement le point crucial de cette question, celui de l’exercice de la démocratie, tant chez nous que chez ceux qui nous imposent leurs législations ou leurs jurisprudences : les pressions des institutions multilatérales, l’application du droit US dans tout le monde, les sanctions à des pays tiers qu’il faut appliquer malgré notre neutralité, les accords onusiens climatique ou migratoires, les juges de la CEDH qui se posent en législateurs, les énervements et l’autisme de Bruxelles (et moins des états membres). Il semble que notre autodétermination et la protection de nos intérêts n’ait plus d’importance. Il faudrait nager dans sa direction du courant sans chercher une rive où s’accrocher et éviter le maelstrom. Pour beaucoup d’ailleurs, le processus démocratique n’est plus adapté à nos sociétés postmodernes, les uns incriminant l’incompétence du citoyen-consommateur, les autres prônant la sagesse d’un leadership éclairé et tout puissant. Il faut alors baster car notre système de démocratie semi-directe est incompatible avec tout ça. Pire, il nous faudrait nous en réjouir !
RépondreSupprimerIl y a de la naïveté et du simplisme dans cette initiative. Il ne faut bien se rendre compte que, si elle est acceptée, elle ne nous protègera que peu de l’ingérence étrangère dans nos affaires. Et aussi il est vrai que renégocier l’entier d’un traité pour en modifier des points de détail ne sera pas une tâche facile pour nos diplomates. Il est aussi possible de faire autrement, de ne pas vouloir jouer toujours au bon élève. Il faudra essuyer des revers et proposer au peuple et aux cantons des solutions boiteuses, comme c’est par exemple le cas pour la compatibilité de la fiscalité des entreprises avec le droit européen ou la libre circulation dans le cadre de l’accord de Schengen. Mais n’oublions pas que c’est le métier des diplomates dont la subtilité n’a pas manqué depuis le traité de Westphalie, et que, cette initiative étant acceptée, leur position négociatrice sera renforcée. Accepter cette initiative donne un signal clair à nos autorités, celui de s’appuyer sur le peuple et les cantons souverains pour faire avancer la position de la Suisse dans le monde, position que nous pouvons faire évoluer par notre volonté commune, et pas l’inverse consistant à nous imposer des idéologies concoctées à l’extérieur. Nos voisins nous respectent pour notre système démocratique, même sans espoir que cela puisse s’appliquer chez eux, et en dépit de l’agacement de leurs dirigeants et de leurs administrations dont l’importance n’est que très éphémère.
La conséquence d’un refus serait sans doute un élan encore plus grand du multilatéralisme posé en normes juridiques, non seulement pour les relations boutiquières avec l’UE mais aussi sur des sujets teintés d’idéologie comme l’écologisme et la gouvernance mondiale en la matière. Pour assouvir chaque année nos quatre rendez-vous aux urnes il ne resterait alors plus que des sujets de cornes de vache, de pistes cyclables et de fouilles poubelles, une vie politique vraiment passionnante parce que vraiment proche du vrai réel de chacun !
Les sondages indiquent que cette initiative sera refusée, bien que la campagne n’ait qu’a peine démarré. Un point cependant doit être pris au sérieux : le sujet serait trop intellectuel et virtuel, ce qui n’est pas gouté par le vulgum pecus qui tend à ne pas accepter ce qu’il n’essaye pas de comprendre.
Alors, s’il faut gratouiller les émotions et susciter un élan libertaire, l’argument clé en faveur de cette initiative doit s’appuyer sur le mythe de Guillaume Tell : ne pas passer sous le joug pour obéir au bailli, répondre avec succès à son défi sans le tuer, se libérer de ses gardiens.
Oui – Ja – Si – Gea
RépondreSupprimer[1] Tout comme on ne parle pas de droits enfantins mais de droits des enfants, on ne peut parler dans ce contexte de droits humains, donc non divins.
https://blog.mr-int.ch/?p=4796#comments
Les climatologues amoureux de leurs modèles
RépondreSupprimerpar Michel de Rougemont
le octobre 25, 2018
Le consensus climatique est limité aux phénomènes observés et plausibles, consommation de carburants fossiles et autre activités humaines causant une élévation de la concentration en gaz carbonique de l’atmosphère d’env. 280 à 405 ppm, ce qui entraîne un forçage radiatif qui influence le climat. Un réchauffement global est constaté, de 0,8 à 1,2 °C depuis 1850.
Ce qui ne fait pas consensus est la magnitude de la contribution humaine au réchauffement observé. Comme aucune observation instrumentale n’est capable de mettre le signal anthropogène en évidence, c’est en recourant à des modèles climatiques que le Groupe intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) estime qu’avec un doublement de la concentration de gaz carbonique dans l’air (à +45% on n’en est pas encore là), la température devrait s’élever entre 1.5 et 4.5 °C. Cette estimation reste inchangée depuis plus de trente ans. Le GIEC affirme maintenant que l’entier du réchauffement observé serait anthropogène.
Chaque modèle a une variabilité intrinsèque qui dépends des paramètres utilisés pour le calibrer, fixer les conditions initiales et ajuster des valeurs dites d’expérience là où un calcul détaillé ne peut être exécuté. Entre eux les modèles ont des différences conceptuelles et de qualité algorithmique. Un modèle est un outil d’ingénieur qui ne sert pas à la découverte scientifique. Faute de mieux, c’est pourtant ce que la glaciologie utilise pour « faire dire » sa science, in silico.
Or la validité de ces modèles n’a pas été établie, c’est-à-dire que, par exemple, une estimation rétrospective de l’évolution de la température entre 1979 et 2016 faite par 102 modèles (comparaison CMIP5) résulte en une exagération significative du taux de réchauffement calculé –entre 0,16 à 0,38 °C par décennie– par rapport à celui qui a été observé par 13 séries distinctes –entre 0,06 et 0,16 °C/10 ans. Malgré cette incertitude patente, les experts fondent pourtant leur opinion avant tout sur des comparaisons entre tels modèles. Cette approche est très contestable car il n’est pas possible d’en savoir plus et mieux que les incertitudes fondamentales, variabilité et erreurs systémiques, qu’ils contiennent. Entre un bon modèle et un mauvais, il n’y a pas de moyenne à calculer, et l’expert ne peut pas savoir lequel est le bon.
Il n’est pourtant pas gratuit de se baser sur un réchauffement de 3°C/siècle ou de seulement 1 °C/siècle pour faire des projections dans l’avenir et aider à choisir les politiques à suivre ou à ne pas suivre. La prévention, les dégâts potentiels et leurs coûts, le prix à payer pour s’en prévenir, tout ça dépend du temps à disposition pour réagir, maîtriser ou s’adapter, et aussi pour nous rendre indépendants des carburants fossiles : quelques décennies ou plus d’un siècle, ça compte.
Dépenser des trillions aujourd’hui pour maîtriser l’incertain à plus ou moins long terme n’est pas une politique raisonnable. Un idéologue acharné du climat peut le penser, usant même du fameux « consensus » pour l’exiger, ce n’est pas une raison pour le suivre. Faisable sans faire de victimes collatérales, une stratégie d’adaptation et de recherches technologiques dans le domaine de l’énergie est plus raisonnable.
Bien que déjà trop techniques, les arguments ci-dessus sont bien courts. Pour en savoir plus et éventuellement pouvoir présenter des avis différents il faut prendre le temps de porter son attention sur des explications que l’on trouvera, en partie du moins, dans l’essai ci dessous (le télécharger en cliquant sur la flèche de la barre de menu).
(lire les 8 pages sur site:)
https://blog.mr-int.ch/?p=4774
Moins de cancers grâce au bio…
RépondreSupprimerpar Michel de Rougemont
le octobre 24, 2018
Dans la série « une récente étude scientifique montre que… » la lutte contre le cancer est en pole position et l’agriculture bio ne se situe pas mal non plus. Si même une fraction de ces annonces s’avérait correcte il y aurait déjà bien longtemps que ces malignités n’auraient plus cours et que notre longévité se compterait en siècles. La dernière en date est que manger bio préviendrait de ce genre de maladie.
Voilà une occasion de plus d’utiliser mon tampon rempli de beuse.
Mais je vais tenter ici d’inverser la loi de Brandolini et de dépenser moins d’énergie pour débusquer cette sottise qu’il n’en a couté pour la produire.
Les médias se sont empressés de mentionner cette étude récente[1] associant la consommation d’aliments bio à un risque réduit de cancer, bien entendu sans tenir compte du chapitre qui en décrit les limitations. Et lorsque qu’on la lit attentivement on comprend que ses résultats sont statistiquement tellement peu significatifs qu’ils ne peuvent être concluants. On notera d’ailleurs le key point : « si les résultats sont confirmés, la promotion de la consommation d’aliments biologiques dans la population en général pourrait constituer une stratégie préventive prometteuse contre le cancer » (traduction et mise en évidence de ma part ; if the findings are confirmed, promoting organic food consumption in the general population could be a promising preventive strategy against cancer). Avec des si et des pourrait tout est possible.
Malhonnêteté patente des auteurs : leur conclusion est en contradiction avec le reste, bien qu’ils chantent la ritournelle « more research is needed » afin de s’assurer de financements ultérieurs. Voilà donc un article bien peu empreint d’esprit scientifique, publiant des résultats non valables qui demanderaient à être confirmés. Il semble que l’auteure principale de ce papier soit une habituée de la chose.
Les médias oublient aussi trop volontiers, un mensonge par omission de plus, que d’autres études portant sur des cohortes plus larges et plus variées ont conclu qu’une association entre manger bio et réduire le risque de cancer n’était pas avérée.
Pendant ce temps la propagande a fait son chemin, ajoutant au crédo excrémentiel :
Depuis dorénavant jusqu’à désormais inclus le bio protège du cancer.
Mais, ai-je réussi à contredire Brandolini ?
Si c’est le cas alors transmettez ce billet à vos médias favoris.
[1] J. Baudry et al., “Association of Frequency of Organic Food Consumption With Cancer Risk: Findings From the NutriNet-Santé Prospective Cohort Study,” JAMA Intern. Med., pp. 1–10, 2018.
https://blog.mr-int.ch/?p=4767
La connerie : comment y réagir ?
RépondreSupprimerpar Michel de Rougemont
le octobre 21, 2018
Un jeune informaticien italo-américain a postulé que le bullshit[1] était asymétrique, c’est-à-dire que l’énergie pour le réfuter était un ordre de grandeur plus grande que celle qui est nécessaire pour le produire. Avant d’en traiter, je me permets un léger amendement à cette loi en passant du singulier au pluriel : des ordres de grandeur.
Cette asymétrie est bien connue où, aux affirmations simplistes, attribut essentiel de la connerie, les contre-arguments se doivent d’être nécessairement élaborés, détaillés, nuancés, complets, pédagogiques, c’est-à-dire parfaitement emmernuyeux, au point que la beuse initiale reste préférée à sa dissection ultérieure.
Produire une beuse peut être volontaire, on parle alors de baratin ou de mensonge, ou involontaire, c’est l’imbécilité ingénue. Elle peut rester isolée ou être servie en salve, au point de saturer un champ et ses alentours de ses excès nitriques et sulfureux, on parlera alors de pollution des esprits.
Les exemples ne manquent pas, parmi les plus gros : l’avenir radieux en général, la durabilité, les propos racistes, l’empreinte carbone, la malfaisance innée du métèque, le genre sans hormones, la gratuité, la nuisance absolue de la chimie, les bienfaits absolus du bio, le malheur de l’économie et les vertus de l’écologie, la sagesse et la bienveillance de l’État, le droit à la connerie, la prétention à sauver la Nature, et j’en passe. Et souvenons-nous que le dire n’est pas le pire, il y en a même qui y croient. Une chose est sure : ça nous pompe l’air.
Faut-il réagir ? nécessairement oui, sinon la connerie devient bulle papale, irréfutable. Mais alors : comment réagir ? On sait que disposer de faits avérés et d’arguments rationnels est indispensable, mais que les servir et resservir n’est pas seulement fastidieux mais contreproductif car cela n’ouvre pas l’entendement du con de service, ça rebute le vulgum pecus, vous pose en incorrigible pédant et vous fait mettre à l’index.
Alors peut-être vaut-il mieux provoquer en traitant la beuse comme telle et en le faisant savoir, attribuant ainsi la charge de la preuve de ce qu’il raconte à son producteur. Voici un petit outil pratique pour répondre succinctement à une attaque merdique : un tampon facile à appliquer dans un courriel ou autre document que l’on complétera par un lien hypertexte qui fera apparaître un texte quadrilingue de la loi de Brandolini. Le voici à votre disposition, en plusieurs dimensions :
- voir photos sur site -
Lien hypertexte à y ajouter : http://bit.ly/Loi-de-Brandolini
Remarquez le champignon croissant sur la beuse (panéole coprophile ?), réputé toxique et pouvant contenir des substances psychotropes, une synergie néfaste.
Utilisez cet outil à profusion ! D’une part cela aidera vos correspondants à comprendre qu’il ne vaut pas la peine de se mettre à argumenter sur tout et n’importe quoi, d’autant plus qu’être véhémentement d’accord entre soi ne mène à pas grand-chose. D’autre part, vous vous épargnerez beaucoup de temps en vous évitant d’entrer inutilement en matière ; et surtout ça vous calmera les nerfs, ce qui n’est pas rien.
[1] Bullshit, cowshit, bollock, crap, nonsense, beuse, bouse, connerie, ineptie, stupidité, bobard, absurdité, foutaise, baratin, Bockmist, Quatsch, Blödsinn, estupidez, tontería, bobada, gilipollez, etc. Ne pas compter sur l’élégance pour en faire sentir l’immondice.
https://blog.mr-int.ch/?p=4763
Un béret vert à la retraite met en garde les médias grand public sont un outil pour détruire l'Amérique
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 27/10/2018 - 23h15
Publié par Jeremiah Johnson (nom de panache d’un béret vert à la retraite des forces spéciales de l’armée américaine) via SHTFplan.com,
Le MSM (Mainstream Media) tente délibérément de détruire le tissu restant de la société américaine et de forcer le pays à se désintégrer et à s'intégrer dans un gouvernement mondial.
Ils n’ont pas beaucoup à faire: depuis les années 1960, une culture centrée sur la famille qui était le «moyeu» de la plus grande nation que le monde ait jamais vue… ce bastion de la famille a été érodé et presque détruit. La «culture» de remplacement a été celle de la consommation de drogue, de la pornographie, de la «paresse» depuis toutes les générations… des jeunes, des personnes d'âge moyen et des personnes âgées, et une réticence accrue à assumer la responsabilité de quoi que ce soit de valeur. Le pays est un pays de droit qui «ne demande pas ce que vous pouvez faire pour votre pays, mais que pouvez-vous en tirer?». On ne parle même plus de la famille de cette manière. J'ai lu le terme «unités de consommation» pour désigner les ménages, ainsi que les «groupes de ménages».
Les communautés ... les vraies communautés où les individus et les familles contribuent au bien-être général de la région et les unes aux autres ... sont presque inexistantes. Cela a été remplacé par le communisme, qui connaît actuellement sa "genèse" de la forme douce du socialisme et de l'autoritarisme de semi-laisser-faire, illustré par l'État de surveillance. Le socialisme se transformera en communisme, comme nous le signalait Lénine (Ulyanov, si vous préférez). Une mentalité «communautaire» forcée est lancée contre nous par toutes les armes des médias dans leur arsenal: la radio, les journaux, la télévision et le monstre Internet / Réseaux sociaux.
Chaque jour, le paradigme est modifié et la conscience de la population se heurte de vague en vague d'actions implacables. Aucune publication ne représente mieux la nature odieuse des intentions des médias que Time Magazine. Un programme féministe est présenté sous le prétexte d’« égalité », mais c’est en réalité une opération sinistre menée par des individus infâmes se faisant passer pour des «journalistes», des «rédacteurs» et des «chroniqueurs», destinés à polariser des groupes et à favoriser une sentiment de «blâme» ou de «culpabilité» à chaque action.
Par exemple, le numéro du 18 septembre 2017 de Time Magazine contient une page éditoriale (page 4) de Nancy Gibbs, rédactrice en chef, qui explique comment 12 femmes figuraient sur la couverture de Time en tant que «Premières» ou «révolutionnaires». ”Les femmes que le magazine cite en exemple positif. Hillary Clinton et Ellen Degeneres sont deux de ces exemples qui sont confirmés et loués. C'est marrant de ne pas avoir mis une photo d'Hillary Clinton sur la couverture à l'époque de Benghazi en Libye, ou quand elle a démissionné de son poste de secrétaire d'État. Ils n’ont pas mis là-bas Victoria Nuland ni Rosanne Barr. Paula Deen a également été laissée de côté.
Le temps n'a pas fait l'impasse sur la couverture de son numéro du 18 décembre 2017 intitulé «The Silence Breakers: les voix qui ont lancé un mouvement», sur le thème des femmes qui ont raconté des histoires de harcèlement sexuel. Asia Argento faisait partie de cet ensemble. Elle était accusée de harcèlement sexuel sur un homme. Numéro du 29 janvier 2018 avec les photos de 48 femmes sur la couverture, avec l'article principal intitulé «The Avengers: ils ont d'abord marché. Maintenant, ils courent. »Ce numéro concerne uniquement les femmes qui se présentent à une charge publique.
RépondreSupprimerPas «fonctionnaires», mais Avengers: la caractérisation de chacun de ces articles.
Si une femme adopte cette position lorsqu'elle se porte candidate… la position d'un «vengeur» au lieu d'un fonctionnaire, elle fait alors plus que desservir ses électeurs: elle commet une fraude. Le serment public qu’elle prêtera si elle gagne, c’est le fait que c’est fait pour une raison infâme… se venger de la domination ou de la discrimination masculine, réelle ou imaginaire. Ce n'est pas la caractérisation dont a besoin un détenteur de charge publique, un fonctionnaire censé défendre les intérêts de tous.
Mais le véritable crime est commis par le magazine: il s’agit d’une forme de discours de haine qui piétine les coquilles d’œufs. Sous couvert de liberté d'expression et de liberté de la presse (et de la protection conférée par le 1er amendement de la Constitution), ils peuvent dire tout ce qu'ils veulent, n'est-ce pas ? Que diriez-vous de savoir où ces pièces par temps étaient censées polariser des groupes et inciter un groupe (dans ce cas, les hommes) à être vilipendé… ne serait-ce pas une forme de «discours de haine ?», De même que vous n'êtes pas autorisé à crier «au feu» dans une salle de cinéma quand il n'y en a pas… une action qui mènera à une arrestation… comment ces personnes HSH sont-elles capables de forcer cette absurdité sur nous ? Chaque couverture et chaque article ont un ordre du jour.
Certes, il n’existe pas de déclaration parfaite, car cela signifierait que l’objectivité a été atteinte et qu’il n’existe pas de telle chose. Le problème réside dans le fait qu'il ne s'agit pas d'une question d'objectivité: il s'agit d'une complète "oblique" et d'une dissimulation délibérée des faits afin de modeler la conscience publique (ils n'ont pas de "conscience") et de la déplacer vers le communisme. Ils vous trompent: ils défendent la «communauté», mais ce qu'ils veulent vraiment dire, c'est le communisme, clair et simple. Vous faites partie du groupe, complétez par des slogans et une "pensée de groupe" jusqu'à ce que vous fassiez quelque chose en tant qu'individu, puis que vous soyez soit ostracisé, puni, soit chassé.
Dans un cas de discrimination inverse, les hommes ... Les hommes de race blanche, pour être exact, sont dénoncés, ridiculisés et dégradés à chaque tour. Le président des États-Unis est l'homme de race blanche le plus visible, et il a été le principal «bouc émissaire» de tous les maux qui frappent la foule de «malheur c'est moi ! être né aux États-Unis (nous l'espérons). Mueller est un homme de race blanche, et voici comment ils l'ont fait: ils ont opposé deux hommes de race blanche et la gauche a gagné, peu importe le vainqueur!
Mueller et sa chasse aux sorcières sont une poursuite incessante et détournée sans objectifs clairs et sans fin. S'il «trouve» quelque chose, le président a mauvaise mine. Si rien ne se produit, cela jette quand même une «ombre de doute» sur le président… parfois tout aussi dommageable qu'une action… et Mueller finit par apparaître comme un clown bouillant…. Deux hommes blancs sous un jour négatif, quel que soit le résultat.
Sur diverses couvertures du Time Magazine, on trouve un assortiment d'hommes vilipendus: le président Steve Bannon, Vladimir Poutine. Ils ont également installé Harvey Weinstein, le véhicule permettant d'ouvrir la porte et d'accuser tous les hommes aux États-Unis qui ont déjà regardé une femme. Étonnant que les accusations ne fassent pas surface et que Weinstein ne soit pas «aussi méchant» avant les élections de 2016, alors qu'il contribuait beaucoup aux démocrates et à Hillary Clinton.
RépondreSupprimerNous nous sommes concentrés sur un magazine, mais le même schéma est répandu dans toutes les publications. Le numéro du 21 septembre 2018 de «The Week» dépeint le président qui nous tourne le dos et, devant lui, six individus noirs, masqués et vêtus, le regardent. La légende se lit comme suit: «La résistance: pourquoi le personnel de Trump conspire pour contrecarrer ses impulsions».
Regardez ceci et voyez-le pour ce qu'il est: "... le propre personnel de Trump conspire pour contrecarrer ses impulsions."
Ses pulsions ? Que le président agisse sur une impulsion et non sur des décisions réfléchies avec délibération derrière elles ... c'est le mensonge que ce magazine souhaite faire comprendre au public. Ce n'est pas seulement à cet égard que le pays est en train d'être détruit. Vous ne voyez rien de valeur dans ces publications qui contribue au bien de la société, car ils ne le souhaitent pas.
Les médias ne veulent pas d'une «bonne» société: ils veulent une société dégénérée, qui est soit forcée de se conformer, soit tellement focalisée dans et sur tous ses actes immondes qu'elle ne se soucie pas de ce qui se passe autour d'elle. Cela conduit à la soumission et permet le contrôle.
Les médias ont aveuglé les gens en leur montrant ce qu'ils souhaitaient voir: eux-mêmes. Les médias ont délibérément abaissé les normes. Les médias (y compris Hollywood, mais aussi le cinéma et la télévision) ont présenté des comportements et des actions aberrantes qui ont dénigré et détruit l’ancien tissu social. Ils ont permis à d’autres membres de leur entourage (les communistes en politique et en affaires) de promouvoir une nouvelle société du «tiers monde», y compris l’abolition de la classe moyenne et la fin du gouvernement dans lequel le gouvernement est la solution finale à tous les problèmes.
Lis. Lisez le "Manifeste du Parti communiste" et les "Planches du communisme" et vous verrez ce qui a été écrit il y a des décennies aux États-Unis et qui se passe ici et maintenant aux États-Unis. le changement complet d'une nation dans une société totalitaire communiste.
Et lisez les journaux, les magazines, etc.: tout cela vous sautera aux yeux. Nous nous trouvons à un point critique où l'économie n'est pas stable, où de nombreux éléments pourraient se transformer en énormes conflits sociaux et en bouleversements internes, et le reste du monde se "dissocie petit à petit" du pétrodollar et s'appuie sur les marchés américains.
Pendant tout ce temps, les médias ont été là pour aggraver la situation, fausser les nouvelles et imposer une transformation de la société et un changement de paradigme par le biais de sa propagande en faveur d'une société communiste et de la relégation de la souveraineté américaine vers une gouvernance mondiale.
https://www.zerohedge.com/news/2018-10-27/retired-green-beret-warns-mainstream-media-tool-destroy-america
Industrie du pétrole de schiste aux États-Unis: un échec catastrophique à venir
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 27/10/2018 - 16h15
Écrit par Steve St. Angelo via SRSRoccoReport.com,
Aux États-Unis, l’industrie du schiste bitumineux produit une quantité record de pétrole, mais elle continue d’être frappée par les taux élevés de déclin du pétrole et l’endettement. En outre, même si les entreprises se vantent de réduire le seuil de rentabilité pour produire de l'huile de schiste, l'industrie dépense toujours plus qu'elle ne gagne. Quand on additionne tous les facteurs négatifs qui pèsent sur l'industrie du pétrole de schiste, il ne faut pas s'étonner qu'un échec catastrophique soit devant nous.
Bien sûr, la plupart des Américains n’ignorent pas que l’industrie pétrolière américaine des schistes n’est rien de plus qu’un schéma de Ponzi en raison de l’incapacité des médias grand public à rendre compte de FACT de FICTION. Cependant, ils ne méritent pas tout le blâme car l’industrie de l’énergie du schiste a fait un excellent travail en dissimulant les difficultés financières du public et des investisseurs en utilisant un jargon hautement technique et BS.
Par exemple, Pioneer a publié ceci dans le récent communiqué de presse du deuxième trimestre 2018:
Pioneer a mis en production 38 puits de la version 3.0 au cours du deuxième trimestre de 2018. La société a également mis en production 29 puits au cours du deuxième trimestre de 2018 qui utilisaient des complétions de plus haute intensité par rapport aux puits de la version 3.0. Celles-ci sont appelées finitions de la version 3.0+. Les résultats des 65 puits de version 3.0+ achevés en 2017 et au premier semestre de 2018 surpassent la production des puits excentrés voisins avec des achèvements moins intenses. Sur la base du succès des finitions d'intensité plus élevée à ce jour, la Société ajoute environ 60 finitions de version 3.0+ au second semestre de 2018.
Maintenant, les informations publiées par Pioneer ci-dessus n’étaient pas si techniques que cela, mais elles étaient pleines de BS. Chaque fois que l'industrie utilise des termes tels que «Version 3.0+» pour décrire des puits de schiste, cela signifie normalement que l'utilisation de «plus de technologie» équivaut à «plus d'argent». L'industrie du schiste passant de 30 à 60 à 70 puits de fracturation, cela prend un sacré tuyau, de l'eau, du sable, des produits chimiques de fracturation et bien sûr de l'argent.
Cependant, la majorité des investisseurs et du public n’ont aucune idée des coûts énormes qu’implique la production d’huile de schiste parce qu’ils sont fascinés par les «merveilles de la technologie». Pour une raison quelconque, ils ont tendance à oublier le simple postulat que…
PLUS DE STUFF coûte plus d'argent.
Bien sûr, l’industrie du schiste ne craint pas d’utiliser PLUS d’ARGENT, en particulier si un autre pays pauvre paie la note.
Industrie du pétrole de schiste: le déni profond
Selon un article récemment publié par Mike Shellman, un vétéran de l'industrie pétrolière depuis 40 ans, "Deep The Denial", il a fourni des statistiques qui donnent à réfléchir sur l'industrie du schiste:
- voir sur site -
RépondreSupprimerJ'ai récemment demandé à quelqu'un de très intelligent de mener les recherches nécessaires (SECK, communiqués de presse concernant le capital d'investissement privé à des producteurs privés, etc.) afin de déterminer le total de la dette en amont pour le pétrole de schiste. Nous avons constaté qu'il se situait entre 285 et 300 milliards de dollars (publics et privés). Kallanish Energy Consultants a récemment écrit qu'il existait aux États-Unis une dette E & P à long terme de 240 milliards de dollars arrivant à échéance d'ici 2023 et je pense que nous devrions supposer qu'au moins 90% de cette dette est associée au pétrole de schiste. C'est la dette arrivant à échéance, pas la dette totale.
… D'ici la fin de l'année 2019, je suis fermement convaincu que le secteur américain des TLD paiera plus de 20 milliards de dollars par an en intérêts sur la dette à long terme.
En utilisant son propre prix du pétrole «rentable», l’industrie du pétrole de schiste doit alors produire plus de 1,5 million de BOPD juste pour payer des intérêts sur cette dette chaque année. Ce sont des barils de pétrole qui ne peuvent pas être utilisés pour réduire la dette, augmenter les réserves, ne pas même remplacer les réserves qui diminuent à des taux variant de 28% à 15% par an… c'est exactement ce qu'il faudra pour servir la dette.
En utilisant ses propres prix «d'équilibre», l'industrie américaine du pétrole de schiste devra finalement produire du pétrole 9 Gb, autant qu'elle en a déjà produit depuis 10 ans… juste pour rembourser sa dette totale à long terme.
En utilisant les chiffres de Mike, j’ai réalisé le tableau suivant:
- voir tableau sur site -
Pour que l’industrie pétrolière des schistes américains puisse rembourser sa dette, elle doit produire 9 milliards de barils de pétrole. C’est une très grosse quantité de pétrole puisque l’industrie a produit environ 10 milliards de barils à ce jour. Comme le dit Mike, il faudrait encore 9 milliards de barils de pétrole de schiste pour rembourser sa dette de 285 à 300 milliards de dollars (sur la base des prix équilibrés de l’industrie du schiste).
En outre, l’industrie du schiste devra peut-être vendre un quart de sa production de pétrole (1,5 million de barils par jour) uniquement pour assurer le service de sa dette d’ici à fin 2019. Selon l’EIA, la US Energy Information Agency, le total du pétrole de schiste (pétrole serré) ) la production est maintenant de 6,2 millions de barils par jour (mbd):
- voir tableau sur site -
La majeure partie de la production d'huile de schiste provient de trois champs et régions: Eagle Ford (bleu), Bakken (jaune) et Permien (brun clair, moyen et foncé). Ces trois champs et régions produisent 5,2 mdb du total de 6,2 mdb de production de schiste.
Malheureusement, l’industrie du schiste a toujours du mal à faire face à une dette croissante et à un cash-flow libre négatif. L'EIA a récemment publié ce graphique montrant les flux de trésorerie provenant des opérations par rapport aux dépenses en capital de 48 producteurs nationaux de pétrole:
- voir tableau sur site -
Vous remarquerez que les dépenses en capital (ligne marron) sont toujours supérieures aux flux de trésorerie provenant des opérations (ligne bleue). Ainsi, peu importe que le prix du pétrole dépasse 100 dollars (2013-2014) ou inférieur à 70 dollars (2017-2018), l’industrie du pétrole de schiste continue de dépenser plus qu’elle ne en gagne. Les sociétés d’énergie du schiste ont eu recours à la vente d’actifs, à l’émission d’actions et à l’augmentation de la dette pour compléter leur flux de trésorerie insuffisant afin de financer les opérations.
Pioneer Resources en est un parfait exemple: le premier producteur d'huile de schiste dans le puissant Permian. Alors que la plupart des entreprises ont augmenté leur endettement pour financer leurs opérations, Pioneer a décidé de tirer parti de son cours élevé en levant des fonds via une dilution des actions. Le nombre d’actions en circulation de Pioneer est passé de 115 millions d’actions en 2010 à 170 millions d’ici 2017. De 2011 à 2016, Pioneer a émis un nouveau stock époustouflant de 5,4 milliards de dollars:
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Ainsi, alors que Pioneer avait émis plus de 5 milliards de dollars d'actions pour produire du pétrole et du gaz de schiste non rentables, Continental Resources a accumulé plus de 5 milliards de dollars de dette au cours de la même période. Ce sont tous deux des exemples de «Ponzi Finance». Ainsi, l’industrie de l’énergie du schiste a fait preuve de beaucoup de créativité en trompant à la fois l’actionnaire et l’investisseur en capital.
Maintenant, il n’ya pas de hasard si j’ai axé mes recherches sur Pioneer et Continental Resources. Alors que Continental est l’afficheur de ce qui est horriblement mal avec l’industrie du pétrole de schiste à Bakken, Pioneer est un modèle pour le même type de folie et de pensée délirante qui a lieu au Permien.
Pioneer dépense beaucoup plus d'argent avec des résultats de production insatisfaisants
Pour être en mesure de comprendre ce qui se passe dans l’industrie américaine des schistes, vous devez être assez intelligent pour ignorer le «techno-jargon» dans les communiqués de presse et lire entre les lignes. Comme mentionné ci-dessus, Pioneer a déclaré qu'il allait ajouter beaucoup plus de puits de complétion «high-tech» version 3.0+ au second semestre de 2018 car ils surpassaient les versions précédentes.
Eh bien, j’espère que cela est vrai, car les résultats de la production du Permian au premier semestre 2018 de Pioneer ont été assez décevants par rapport à la période précédente. Si nous comparons l’augmentation de la production d’huile de schiste de Pioneer dans le Permien à ses dépenses d’investissement, il faut que quelque chose ne va pas du tout.
Voyons d’abord la ventilation de la production d’énergie permienne de Pioneer à partir de la présentation aux investisseurs de septembre 2018:
- voir tableau sur site -
La production de pétrole et de gaz de Pioneer au Permien est répartie entre la production de schiste horizontal et la production à convention verticale. Je me concentrerai uniquement sur sa production horizontale de schiste, car c'est là que se déroulent la majorité de leurs dépenses en capital. La ligne jaune en surbrillance montre la production horizontale d’huile de schiste de Pioneer dans le bassin du Permien.
Vous remarquerez que la production d'huile de schiste de Pioneer a augmenté de manière significative au troisième trimestre et au quatrième trimestre 2017 par rapport au premier et au deuxième trimestres 2018. De plus, la production de gaz de schiste de Pioneer a augmenté de près de 50 % au deuxième trimestre 2018 (mise en évidence par un cadre rouge) par rapport à une augmentation de 5% seulement. . Il s’agit là d’un grave drapeau rouge pour la production de gaz naturel, qui doit sauter autant en un quart.
Deuxièmement, en comparant l’augmentation de la production trimestrielle d’huile de schiste de Pioneer dans le Permien à ses dépenses d’investissement, les résultats sont moins que satisfaisants:
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La LIGNE ROUGE indique le montant des dépenses en capital dépensées chaque trimestre, tandis que les barres de couleur OLIVE représentent l'augmentation de la production d'huile de schiste du Permien. Pour simplifier les figures de ce tableau, j’ai réalisé le graphique suivant:
- voir tableau sur site -
Pioneer a dépensé 1,36 milliard de dollars au second semestre de 2017 pour augmenter sa production d'huile de schiste du Permien de 30 232 barils par jour (bpj), contre 1,7 milliard de dollars au premier semestre de 2018, ce qui ne s'est traduit que par 10 832 bpb. Mes amis, il semblerait que quelque chose ne se passe pas bien pour Pioneer dans le Permien: les dépenses de 340 millions de dollars supplémentaires de CAPEX ont entraîné une réduction de deux tiers de la croissance de la production par rapport à la période précédente.
Troisièmement, bien que Pioneer (qui est un boursier PXD) indique avec fierté qu’il est l’un des producteurs de schiste les moins chers du secteur, il souffre toujours d’un cash-flow libre négatif:
- voir tableau sur site -
Comme nous pouvons le constater, Pioneer a inscrit son prix du pétrole au seuil de rentabilité à environ 22 $, ce qui est carrément hilarant quand ils ont dépensé 132 millions de dollars de plus en dépenses d’investissement que les recettes provenant de l’exploitation:
- voir tableau sur site -
Le public et les investisseurs doivent comprendre que les «coûts du seuil de rentabilité du pétrole» n'incluent pas les dépenses en capital. Et selon le communiqué de presse du deuxième trimestre 2018 de Pioneer, la société prévoit d’investir 3,4 G $ en dépenses d’investissement en 2018. La majeure partie des dépenses en immobilisations est consacrée au forage et à la complétion de puits de schiste horizontaux.
Par exemple, Pioneer a construit 130 nouveaux puits au cours du premier semestre de 2018 et a dépensé 1,7 milliard USD en dépenses d’investissement (CAPEX), contre 125 puits et 1,36 milliard USD au deuxième semestre 2017. J’ai vu des estimations selon lesquelles le forage de Pioneer coûterait environ 9 millions USD. puits de schiste horizontal dans le Permien. Ainsi, les 130 puits ont coûté près de 1,2 milliard de dollars.
Cependant, il est intéressant de noter que Pioneer a créé 125 puits au cours du 2H 2017 pour ajouter plus de 30 000 barils de nouvelle production de pétrole, contre 130 puits au 1SH 2018 qui ne comptaient que 10 000 barils ou plus. Alors, comment Pioneer peut-il ajouter cinq autres puits (130 contre 125) au premier semestre 2018 pour que sa production de pétrole augmente d'un tiers de ce qu'elle était lors de la période précédente ?
Quoi qu’il en soit, l’industrie américaine de l’huile de schiste continue de dépenser plus qu’elle ne gagne avec ses activités. Alors que les sociétés énergétiques ont peut-être bénéficié de coûts inférieurs lorsque le secteur a été anéanti par les prix extrêmement bas du pétrole en 2015 et 2016, il semble que l'inflation soit revenue dans le champ de schiste. La hausse des prix de l'énergie se traduit par des coûts plus élevés pour le secteur de l'énergie du schiste. Rincer et répéter.
Malheureusement, lorsque les marchés boursiers se fissureront enfin, les prix de l’énergie et des produits de base en feront de même. La chute des prix du pétrole causera de graves dommages à l’industrie du schiste, qui doit lutter pour se maintenir à flot en vendant des actifs, en émettant des actions et en augmentant la dette afin de continuer à produire du pétrole non rentable.
RépondreSupprimerJe pense que l’industrie américaine du pétrole de schiste subira un échec catastrophique du fait de l’impact des prix du pétrole déflationnistes et du pic de production. Bien que la production de pétrole de schiste aux États-Unis ait augmenté de façon exponentielle au cours de la dernière décennie, elle devrait diminuer encore plus rapidement.
* * *
Si vous êtes nouveau dans le rapport SRSrocco, envisagez de vous abonner à ma chaîne Youtube: SRSrocco Report.
https://www.zerohedge.com/news/2018-10-27/us-shale-oil-industry-catastrophic-failure-ahead
Diplomate russe: "Oui, la Russie se prépare à la guerre, je peux la confirmer"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 27/10/2018 - 15h45
Une semaine après que le président russe Vladimir Poutine eut doublé son avertissement aux ennemis géopolitiques de la Russie annoncé plus tôt cette année en déclarant que la Russie utiliserait ses armes nucléaires "imparables" en réponse à l'attaque imminente d'un missile peu après que le président américain Trump ait annoncé que les États-Unis En se retirant du traité INF, un diplomate russe a à la fois confirmé (et démenti) ce que les faucons de guerre américains ont déclaré: Moscou se prépare à la guerre, juste au cas où les Etats-Unis en commenceraient une.
Andrey Belousov, directeur adjoint du département de la non-prolifération et du contrôle des armements du ministère russe des Affaires étrangères, a fait écho aux propos de Poutine la semaine dernière selon lesquels la Russie se prépare effectivement à la guerre, mais seulement pour pouvoir défendre son peuple contre l'agression américaine. .
"Lors d'une récente réunion, les Etats-Unis ont déclaré que la Russie se préparait à la guerre. Oui, la Russie se prépare à la guerre, je peux le confirmer", a déclaré Belousov, ajoutant que "nous nous préparons à défendre notre patrie, notre intégrité territoriale, nos principes, nos valeurs, notre peuple. "
Le renforcement des forces militaires russes et des exercices de grande envergure, qui ont souvent été décrits dans les médias occidentaux en tant que préparatifs d'une guerre totale, sont une nécessité défensive, a-t-il déclaré.
La Russie ne cherche pas la confrontation, a-t-il déclaré, contrairement aux Etats-Unis. "Pourquoi les États-Unis se retireraient-ils du Traité [INF], augmenteraient-ils leur potentiel nucléaire, adopteraient-ils une nouvelle doctrine nucléaire abaissant le seuil d'utilisation des armes nucléaires? Telle est la question pour nous tous."
Les paroles de Belousov sont venues après qu'un projet de résolution russe visant à renforcer le traité INF, qui interdit les armes nucléaires à portée intermédiaire, ait été rejeté à une écrasante majorité à la Première Commission des Nations Unies.
"La plupart de ceux qui ont voté contre étaient des partisans du traité INF. Je ne comprends pas leur position", a déclaré Belousov. Le Royaume-Uni, l'Allemagne, la France et, bien entendu, les États-Unis ont voté contre.
La décision de Trump d'abandonner l'accord de l'ère de la guerre froide a alarmé l'Europe et Moscou, avertissant qu'il "ferait du monde un endroit plus dangereux" et promettait des représailles.
Washington a accusé la Russie de construire des missiles interdits par la FNI, alors que Moscou a affirmé que les complexes de défense antimissile américains en Europe peuvent facilement être transformés en armes offensives. Le président russe, Vladimir Poutine, a averti que si les Etats-Unis décidaient de déployer des missiles nucléaires à portée intermédiaire en Europe, ils risqueraient de provoquer une frappe de représailles dans l'ensemble de l'Europe.
https://www.zerohedge.com/news/2018-10-27/russian-diplomat-yes-russia-preparing-war-i-can-confirm-it
L'ESCROQUERIE CANADIENNE SUR L'AIR
RépondreSupprimerBreaking: Guardian Retreat sur le changement climatique ? Will «mettra fin à ses réseaux de blogs sur la science et l'environnement»
Eric Worrall
27 octobre 2018
h / t Dr. Willie Soon - Selon la chroniqueuse du Guardian sur le changement climatique, Dana Nuccitelli, le Guardian a décidé de «mettre fin à» ses réseaux de blogs sur la science et l'environnement, un changement de politique qui semble impliquer une réduction importante de leurs blogs sur le changement climatique (voir le bas de la citation pour l'annonce de Guardian).
Le Canada a adopté une taxe sur le carbone qui donnera plus d'argent à la plupart des Canadiens
Dana Nuccitelli
Ven. 26 oct. 2018 18h15
En réduisant les revenus des ménages, le revenu disponible augmente, ce qui peut être un avantage pour l'économie canadienne
La semaine dernière, le Premier ministre Justin Trudeau a annoncé qu'en vertu de la Loi sur les prix de la pollution par les gaz à effet de serre, le Canada mettra en place une taxe sur le carbone sans incidence sur les revenus à compter de 2019, conformément à la promesse de campagne qu'il avait faite en 2015.
Justin Trudeau
@JustinTrudeau
À partir du printemps prochain, il ne sera plus libre de polluer au Canada. Nous mettons un prix sur la pollution dans les provinces qui n’ont pas encore de plan de lutte contre le changement climatique. Plus d'informations sur notre plan de réduction de la pollution, de croissance économique et de création d'emplois: http://bit.ly/2ytTPfR
#EnvironnementEconomie
17h27 - 23 octobre 2018
Le prix fédéral de la pollution par le carbone commencera à 20 dollars par tonne en 2019 et à 10 dollars par tonne pour atteindre 50 dollars en 2022. La taxe sur le carbone restera à ce niveau à moins que la législation ne soit revue et révisée.
Il s’agit d’une taxe sur le carbone plutôt modeste - après tout, le coût social du carbone est bien plus élevé - mais c’est un prix du carbone plus élevé que dans la plupart des pays. De plus, une taxe sur le carbone ne doit pas nécessairement refléter le coût social du carbone. La question est de savoir s'il sera suffisamment élevé pour atteindre les objectifs climatiques du pays.
…
Les prix de l'énergie vont augmenter
Une taxe sur le carbone de 20 dollars par tonne se traduit par une surcharge de 16,6 cents le gallon sur l'essence. Ainsi, en 2022, la taxe sur le carbone de 50 $ / tonne augmentera les prix de l'essence au Canada d'environ 42 cents le gallon (11 cents le litre). À titre de comparaison, le prix moyen de l'essence au Canada est de 1,43 $ le litre, ce qui représenterait une augmentation d'environ 8% du prix de l'essence en 2022.
…
Remarque: ceci sera notre dernière entrée sur le consensus climatique - les 97 %. The Guardian a décidé de mettre fin à ses réseaux de blogs sur les sciences et l'environnement. Nous voudrions remercier cet excellent article de nous avoir accueilli au cours des cinq dernières années et à nos lecteurs de l’avoir fait de cet effort utile et enrichissant.
En savoir plus: https://www.theguardian.com/environment/climate-consensus-97-per-cent/2018/oct/26/canada-passed-a-carbon-tax-that-will-give-most-canadians -plus d'argent
RépondreSupprimerDana Nuccitelli nous a fourni beaucoup de divertissements au fil des ans, en équilibrant sa grande carrière pétrolière avec un environnementalisme radical.
Chaque fois que je manquais d’idées pour écrire, je pouvais généralement chercher de l’inspiration dans les somptueux avis d’opinion de Dana.
Évidemment, à ce stade, il est difficile de savoir où le Guardian se tournera ensuite avec ses rapports sur le changement climatique. J'ai du mal à croire que le Guardian ait décidé de quitter entièrement l'espace de reporting environnement / changement climatique.
Par ailleurs, quelques blogs autrefois prolifiques en faveur de la lutte contre le changement climatique se sont assombris ces derniers temps, leurs auteurs étant à court de mots à dire ou perdant tout intérêt à parler du changement climatique. Peut-être même le Guardian en a-t-il marre de fouetter un cheval mort. Ou peut-être qu'ils sont juste à court d'argent.
Mise à jour (EW): correction d'une faute de frappe (Canman)
https://wattsupwiththat.com/2018/10/27/breaking-guardian-climate-change-retreat-will-discontinue-its-science-and-environment-blogging-networks/
Chemtrails HAARP-Manipulation du climat,faire la pluie ou le beau temps
RépondreSupprimer- voir clip sur site -
Lorsque les merdias parlent de responsabilité anthropique ils désignent à tort le commun des mortels qui ose respirer ou faire du feu pour se chauffer ou cuisiner mais jamais ils ne parlent de la 'station de recherche' à Gakona (AK) !
37:10 HAARP peut chauffer plus de 1000 km² de l'ionosphère à la température de 50 000 °C
TOUS les gaz se recyclent depuis toujours et pour toujours. Les volcans polluent des millions de fois plus que toute l'industrie humaine depuis ses débuts et pourtant... l'homme est apparu sur Terre !! Çà alors !
Les ouragans naissent lors d'une amplification d'une éruption volcanique sous-océanique. Cette source chaude s'élève dans les eaux jusqu'à la surface et crée une attirance de l'air qui l'entoure et, plus il y a de chaleur, plus il y a une force de vent qui est attiré par elle. C'est l'origine des vents communs comme celle des cyclones. Remarquez que ces derniers ne naissent jamais sur terre où il y a un gros manque de chaleur (même au sahara en plein été !), mais uniquement dans les océans qui recèlent des millions (milliards ?) de sources chaudes magmatiques.
Ce sont les courants marins qui emportent ces chaleurs montantes vers certaines côtes qui profitent donc de ces douceurs climatiques.
48:30 Fausse traduction des propos de Chris McKay qui évoque l'action des employés de Gakona et non celle des 7 milliards d'habitants qui 'réchaufferaient' l'atmosphère ! (avec du gaz carbonique qualifié de 'dangereux' !!) par l'interprète masqué.
Puis, est évoquée la planète Mars ! Où, la simple arrivée de gaz carbonique pourrait réchauffer l'atmosphère !!! HAHAHAHA !
Primo, cette planète (moitié moins grosse que la Terre) n'a pas de volcans actifs (ni d'océans) et ne peut donc développer une chaleur magmatique comme il y a sur Terre.
Secundo, Mars est trop loin du soleil pour connaître des étés comme sur Terre. La Terre est à 150 millions de km du soleil et Mars à 230 millions !
51:00 Si la terre a son atmosphère modifié par l'activité humaine ('Nous sommes beaucoup trop nombreux' ! Hahahaha !), ces humains ne sont pas ceux qui nous entourent mais uniquement par ceux de HAARP en Alaska.
https://www.youtube.com/watch?v=8tdQai9lwCA