Matyas nageait dans l'océan près de Gouville-sur-Mer, en France, avec la petite-fille de son propriétaire quand une petite ondulation s'est écrasée sur elle. Décidant que c'était trop dangereux pour que la petite continue à nager tranquillement, le toutou attrapa doucement sa chemise avec ses dents et la traîna vers la plage. Le jeune a trouvé cela très amusant et a laissé sortir des perles de rire alors qu’elle était guidée vers la sécurité.
Transition énergétique : en Occitanie, le Collectif TNE-OE passe à l’offensive
RépondreSupprimerContre l’éolien subventionné et destructeur des paysages, la mobilisation prend de l’ampleur en Occitanie.
Par Bruno Ladsous.
22 AOÛT 2018
Association nationale des ABF
@ANABF5
Les #éoliennes en France, "si on veut lutter contre les émissions de gaz à effet de serre, ça ne sert à rien"…
(Jean-Marc Jancovici, ingénieur consultant en énergie, dans l'émission l'Info du Vrai, sur Canal + du 21 juin 2018) https://www.facebook.com/100000747090298/posts/2051687654866118/ …
17:10 - 20 août 2018
La Région Occitanie, comme toutes les Régions, doit élaborer un Schéma Régional Aménagement Développement Durable et Égalité des Territoires (SRADDET). Celui-ci comporte un volet énergétique qu’elle a appelé REPOS 2050. Inspiré du scénario Negawatt 2050 soutenu par les opérateurs éoliens, ce scénario est fondé sur la surproduction d’électricités intermittentes, à base d’éolien terrestre (cinq fois plus qu’en 2016) et flottant (en plein milieu du parc marin du Golfe du Lion) ainsi que de photovoltaïque, plus du bois-énergie.
OCCITANIE RÉGION SATURÉE
Et ce dans un contexte où la région Occitanie est saturée : 1100 machines autorisées, dont déjà 700 en exploitation, concentrées dans les zones montagneuses rurales y compris des parcs naturels régionaux. Au sein de ces parcs devenus de moins en moins naturels, les conflits d’intérêt sont de plus en plus évidents entre d’un côté cet éolien intrusif et destructeur, de l’autre le développement et l’attractivité de nos territoires ruraux. Le « cinq fois plus d’éolien terrestre » de la Région a été vécu comme une provocation envers les victimes existantes et futures de ce projet.
Une nouvelle manière de lutter contre l’invasion éolienne : devenir force de propositions et communiquer sur ces propositions
L’activité de l’Occitanie ne se limite pas à Airbus, et REPOS menace les grandes forces de la région que sont les activités agricoles et rurales ainsi que le tourisme. Préserver la biodiversité, les paysages et le cadre de vie, la santé et le bien-être, ainsi que le climat social dans nos villages, est un enjeu essentiel.
CONTRE LA DESTRUCTION DE L’ENVIRONNEMENT
C’est pourquoi 160 associations se sont regroupées, par-delà leurs différences d’origines et de convictions, au sein d’un Collectif régional : TNE-OE (Toutes Nos Énergies Occitanie Environnement).
Convaincu que la transition énergétique ne peut se fonder sur la destruction de notre environnement, le Collectif TNE-OE a élaboré, chiffré puis mis sur la table un programme alternatif appelé REPÒSTA, affichant dès son préambule que pour être réussie la transition énergétique doit se réaliser dans le respect des gens et des territoires qu’ils habitent et qu’ils font vivre. Cette transition est donc autant environnementale qu’énergétique.
LA SOLUTION DE LA GÉOTHERMIE
RépondreSupprimerAu supermarché, annonce de nos propositions
REPÒSTA encourage l’objectif de diviser par 2 la consommation d’énergie, mais demande à ce que soit vérifiée la capacité financière de la Région à accompagner les choix des ménages et des entreprises (isolation des logements, arbitrages individuels sur le mode de chauffage …). REPÒSTA propose des choix d’énergies renouvelables compatibles avec le respect des milieux naturels et le développement de l’attractivité des espaces ruraux, tout en associant les habitants. Concrètement, REPÒSTA met l’accent sur la géothermie, l’hydraulique et les microréalisations locales, sans oublier le photovoltaïque ainsi que le bois-énergie sans surexploiter la forêt.
DÉBAT PUBLIC ORGANISÉ
Afin d’encourager un Conseil de Région – qui communique beaucoup sur son scénario mais évite soigneusement la confrontation « projet contre projet » – à discuter avec la société civile, TNE-OE a organisé un débat public le 30 mai 2018 à Mazamet (Tarn), dans le cadre de la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) : lors de ce débat labellisé par la commission nationale du débat public (CNDP), la présidente de Région a enfin fait savoir qu’elle était prête à ouvrir une discussion.
L’affiche du débat public
Débat public à Mazamet (Tarn) le 30 mai 2018 : la Région donne son accord pour ouvrir une discussion
Les discussions avec la Région s’ouvriront à la rentrée : TNE-OE en rendra compte à l’opinion.
https://www.contrepoints.org/2018/08/22/323018-transition-energetique-en-occitanie-le-collectif-tne-oe-passe-a-loffensive
https://huemaurice5.blogspot.com/2014/10/a-propos-denergie-gratuite.html
SupprimerLes jeunes enfants reconnus comme nuisance sonore
RépondreSupprimerUn restaurateur allemand ne veut plus accueillir les enfants bruyants. Un choix responsable, qui n’a pas besoin de législation pour répondre aux besoins de la clientèle.
Par Ludovic Delory.
21 AOÛT
La pollution sonore dépend, par définition, de ce que l’on désire entendre. Vos oreilles peuvent apprécier Bach ou Pink Floyd, détester Calogero ou Booba. C’est une question de goût. Une histoire personnelle. Votre liberté d’écouter ce que vous désirez dépend de la marge de liberté qui vous est concédée par autrui. Qu’il s’agisse de votre voisin, de votre compagnon ou du propriétaire de l’endroit où vous mettez les pieds.
Chez Oma’s Küche, les enfants de moins de 14 ans ne sont pas admis le soir à table. Le patron de ce restaurant allemand ne veut plus voir des gosses courir partout, gêner le personnel et brailler. Pour le bien-être de ses clients. La décision peut paraître radicale, mais elle est celle d’un responsable expérimenté. Rudolf Markl, le gérant, explique que « les parents ne savent plus tenir leur enfants ». Dont acte.
CONTRE LES CIGALES : VITE, UNE LOI !
Cet épisode ramène à la floraison coutumière des lois liberticides. Comme celle qui interdit de fumer dans certains lieux publics. Si l’on n’aime pas la fumée, sélectionnons nos bancs. Si l’on ne supporte pas les cris des gosses, choisissons notre resto. La liberté offre une variété de choix qui ne doivent pas heurter ceux de notre voisin, père de famille nombreuse (et fumeur, de surcroît). La Loi, elle, s’applique à la collectivité. Sans nuance.
Aujourd’hui, le marché permet tout. Des tour-opérateurs promettent des séjours adult only, des vacances naturistes ou soucieuses de la protection de la nature. Des applications peer-to-peer offrent la possibilité de dormir, de se déplacer, de se cultiver en dehors des sentiers tracés par l’État. Le marché permet de discriminer. Donc de choisir.
Le législateur, lui, ne peut qu’interdire ou réglementer. Le problème réside dans la responsabilité. Lorsque des touristes qui ont décidé de s’implanter dans le Var protestent contre le chant des cigales en interpellant les autorités locales ; lorsqu’une vacancière anglaise proteste contre la présence trop marquée d’Espagnols… à Benidorm, le seuil d’irresponsabilité est atteint.
PASSONS-NOUS DE LA LOI
Que veulent les individus ? Déambuler dans un monde apportant un choix varié de possibilités ? Ou vivre dans un cadre fixé, une bonne fois pour toutes, par la Loi ? Cette question dépasse le contexte des vacances. Mais elle est d’actualité.
Choisir de permettre de choisir, c’est discriminer. L’appel à la Loi est une volonté délibérée de collectiviser les problèmes et de nier les individus. Si l’interdiction du tabac s’applique à tous, il n’est plus permis de responsabiliser. Si l’on tolère les restaurants végétariens, on exclut de facto les mangeurs de viande. Refuser les jeunes enfants le soir, c’est aussi prendre le risque de se faire sanctionner par une perte de clientèle. Les lois liberticides empêchent cette prise de risque. Bravo donc à ce restaurateur allemand. En toute liberté, il a fait un choix qui prête au débat. Souhaitons-lui de trouver une clientèle fidèle, amoureuse de ses plats, de son établissement. Et du calme qui y règne désormais.
https://www.contrepoints.org/2018/08/21/323033-les-jeunes-enfants-reconnus-comme-nuisance-sonore
Contre le tonnerre ! contre le bruit des moustiques !
SupprimerFuites de température
RépondreSupprimer21 août 2018
Par Christopher Monckton de Brenchley
Les commentateurs de mes discussions récentes expliquant l'erreur binaire que mon équipe a trouvée dans la définition de «retour de température» de la climatologie officielle ont demandé si je mettrais à jour mes séries en soulignant l'écart entre les prédictions exagérées du premier rapport d'évaluation du GIEC de 1990. était basé sur la réalité beaucoup moins passionnante et révélait certaines des astuces utilisées par les gardiens des principaux ensembles de données sur la température mondiale pour rendre le réchauffement climatique pire qu’il n’avait été signalé à l’origine.
J'avais l'habitude d'utiliser le jeu de données par satellite RSS comme source principale, car il était le premier à publier ses données mensuelles. Cependant, en novembre 2015, alors que cet ensemble de données ne montrait aucun réchauffement climatique depuis 18 ans et 9 mois, le sénateur Ted Cruz a affiché notre graphique des données RSS démontrant la durée de la pause pendant une audience du Sénat américain et a visiblement décontenancé les un amiral, pas moins, pour essayer - sans succès - de le réfuter. J'ai prédit dans cette colonne que Carl Mears, le gardien de cet ensemble de données, copiera en temps voulu les trois ensembles de données terrestres les plus anciens - GISS, NOAA et HadCRUT4 - en révisant son ensemble de données pour éradiquer la longue pause de montrant beaucoup plus de réchauffement de la planète au cours des dernières décennies que les données originales publiées.
- voir graphique sur site -
La tendance de la régression linéaire des moindres carrés sur la série de données d’anomalie mensuelle moyenne de la température de surface moyenne mensuelle par satellite RSS avant révision n’a montré aucun réchauffement planétaire pendant 18 ans et 9 mois de février 1997 à octobre 2015. période de la pause. Ted Cruz a harcelé le Sénat "Démocrates" avec ce graphique en novembre 2015.
Certes, le mois suivant, M Mears (qui utilise le site RSS comme chaos pour désigner les sceptiques du réchauffement climatique en tant que «déniistes») a lancé son jeu de données dans l’Ajustocène en manipulant dûment le jeu de données RSS. la pause. Ses collègues extrémistes du climat l'ont sans doute harcelé pour faire quelque chose pour empêcher les sceptiques de signaler l'absence frappante de tout réchauffement climatique au cours d'une période où un tiers de l'influence de l'homme sur le climat s'était produite. Et voilà, la Pause était partie -
- voir graphique sur site -
Bienvenue à l'ajustocène: RSS ajoute 1 K / siècle à ce qui avait été la pause
Au fur et à mesure que les choses se sont avérées, le Dr sMear n’a pas dû s’efforcer d’effacer la pause. Une grande oscillation australe El Niño l'a fait de toute façon. Cependant, une analyse intéressante du professeur Fritz Vahrenholt et du Dr Sebastian Lüning (à diekaltesonne.de/schwerer-klimadopingverdacht-gegen-rss-satellitentemperaturen-nachtraglich-um-anderthalb-grad-angehoben) conclut que son ensemble de données, ayant ainsi été altéré, ne peut plus être considéré comme fiable. L'analyse met en lumière comment le jeu de données RSS a été massé. Les deux scientifiques concluent que le post-traitement a posteriori des données satellitaires par RSS était insuffisamment justifié -
- voir graphique sur site -
RSS mensuelle moyenne mondiale des anomalies de la basse-troposphère, janvier 1979 à juin 2018. La version non altérée est en rouge; la version altérée est en bleu. Les courbes splines épaisses représentent les moyennes mobiles simples sur 37 mois. Graphique présenté par le professeur Ole Humlum à partir de son site Web sur www.climate4you.com.
RépondreSupprimerRSS a accumulé les températures précédemment mesurées à partir de 2000, augmentant le taux de réchauffement global depuis 1979 de 0,15 K, soit environ un quart de 0,62 K à son niveau actuel de 0,77 K -
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Vous ne pouviez pas le faire, mais Lüning et Vahrenholt ont trouvé que RSS
L'année précédant la diffusion des données RSS, RSS avait commencé à s'intéresser sérieusement à la durée de la pause. Le Dr Mears en a parlé dans son blog à l'adresse remss.com/blog/recent-slowing-rise-global-temperatures. Ses résultats sont résumés ci-dessous -
- voir graphique sur site -
Figure T1. Production de 33 modèles du GIEC (turquoise) comparée à la variation globale de la température des RSS (noir), 1979-2014.
Le Dr Mears a eu une crise de température et a écrit:
"Les dénationalistes aiment à supposer que la cause de la divergence entre modèle et observation est une sorte de problème avec la physique du modèle fondamental, et ils ont fait n'importe quelle autre explication. Cela les amène à conclure, très probablement à tort, que la sensibilité à long terme du climat est beaucoup moins grande qu'on ne le pense actuellement. "
M. Mears a reconnu la divergence croissante entre les données RSS et les modèles, mais il a prétendu que nous avions choisi la date de début du graphique de la température globale:
"Récemment, un certain nombre d'articles dans la presse grand public ont souligné qu'il semble y avoir eu peu ou pas de changement de la température moyenne mondiale au cours des deux dernières décennies. À cause de cela, nous recevons beaucoup de questions dans le sens de «J'ai vu cette intrigue sur un site Web déni. Est-ce vraiment vos données ? Bien que certains de ces rapports aient choisi leurs objectifs pour renforcer leurs preuves, il ne fait guère de doute que le taux de réchauffement depuis la fin des années 1990 est inférieur à celui prévu par la plupart des pays. des simulations du climat historique du GIEC AR5. ... Les dénationalistes aiment vraiment adapter les tendances à partir de 1997, de sorte que l’énorme événement ENSO 1997-98 soit au début de leur série chronologique, ce qui se traduit par un ajustement linéaire avec la plus petite pente possible. "
En fait, le pic causé par le phénomène El Niño en 1998 a été presque entièrement contrebalancé par deux facteurs: le pic non dissemblable du 2010 el Niño et la longueur même de la pause elle-même.
- voir graphique sur site -
Les graphiques de Werner Brozek et du professeur Brown pour les températures RSS et GISS, à la fois en 1997 et en 2000. Pour chaque ensemble de données, les lignes de tendance sont presque identiques. Ainsi, l’idée que la pause a été provoquée par le phénomène El Niño en 1998 est fausse.
Le graphique ci-dessus montre que les tendances des températures globales affichées sur le jeu de données RSS pré-falsifié et sur le jeu de données GISS étaient exactement les mêmes avant et après 1998, démontrant que la longueur de la Pause était suffisante pour annuler son influence.
RépondreSupprimerIl convient de comparer le réchauffement depuis 1990, pris comme la moyenne des quatre ensembles de données Adjustocene (RSS, GISS, NCEI et HadCRUT4: premier graphique ci-dessous), avec le jeu de données UAH que Lüning et Vahrenholt jugent fiable (deuxième graphique ci-dessous).
- voir graphique sur site -
Moyenne des anomalies mensuelles moyennes de la surface ou de la basse troposphère de RSS, GISS, NCEI et HadCRUT4, janvier 1990 à juin 2018 (courbe spline bleu foncé), avec la régression linéaire des moindres carrés sur la moyenne (ligne bleu vif) ), comparé au moindre des deux intervalles de prédiction à moyen terme du GIEC (zone orange).
- voir graphique sur site -
RSS anomalies de la basse troposphère et tendances de janvier 1990 à juin 2018
On remarquera que la tendance au réchauffement dans les ensembles de données Adjustocene est presque 50% supérieure à celle du jeu de données RSS que Lüning et Vahrenholt trouvent plus fiable.
Après les ajustements, le jeu de données RSS depuis 1990 affiche désormais un réchauffement plus important que tout autre jeu de données, même le jeu de données GISS très altéré -
- voir graphique sur site -
Taux de réchauffement planétaire équivalents au centenaire de janvier 1990 à juin 2018. Les deux prévisions à moyen terme du GIEC à moyen terme et notre prévision révisée fondée sur la correction de l'erreur de la climatologie pour définir le retour de température (lettrage blanc) sont comparées au centenaire observé. taux équivalents (lettres bleues) à partir des cinq ensembles de données les plus anciens.
Notons que le taux de réchauffement des flux RSS depuis 1990 est près du double de celui des UAH, qui avaient révisé à la baisse leur taux de réchauffement climatique il y a deux ou trois ans. Pourtant, les deux ensembles de données reposent précisément sur les mêmes données satellitaires. La différence de près de 1 K / siècle dans le taux de réchauffement équivalent au centenaire montre à quel point les ensembles de données sur la température dépendent de l'ajustement subjectif plutôt que de la mesure objective.
Devrions-nous supposer cyniquement que ces ajustements - en hausse pour RSS, GISS, NCEI et HadCUT4, et en baisse pour UAH - reflètent les préjugés politiques des détenteurs des ensembles de données ? Lüning et Vahrenholt ne peuvent trouver aucune justification rationnelle à la modification importante et soudaine du jeu de données RSS si peu de temps après que Ted Cruz ait utilisé notre graphique RSS de la Pause lors d'une audience du Sénat. Cependant, ils ne trouvent pas que les données UAH ont été mal ajustées. Ils recommandent UAH comme son.
La prévision rétrospective «MofB» repose sur deux faits: premièrement, nous calculons la sensibilité de Charney à seulement 1,17 K par doublement de gaz carbonique et, deuxièmement, le réchauffement prévu à l’équilibre dû à une concentration de gaz carbonique égal au réchauffement transitoire prévu de toutes les sources anthropiques au cours du 21ème siècle. C'est donc une prédiction plutôt approximative: mais elle est plus cohérente avec l'ensemble de données UAH qu'avec les ensembles de données Adjustocene discutables.
RépondreSupprimerL'étendue de la falsification de certains jeux de données est énorme. Un autre graphique magnifiquement révélateur de l'infatigable Professeur Humlum, qui publie une vaste gamme de graphiques sur le réchauffement climatique dans son rapport mensuel disponible sur climate4you.com -
- voir graphique sur site -
Réchauffement climatique de Mann-made: comment GISS a augmenté le réchauffement apparent de plus de la moitié.
GISS, dont la base de données est maintenant tellement politisée qu’elle n’a plus de valeur, a considérablement modifié les données sur une période de moins de sept ans, de mars 2010 à décembre 2017, Le changement le plus important a eu lieu en mars 2013, date à laquelle mes chroniques mensuelles sur la longue pause alors en vigueur étaient déjà devenues un embarras permanent pour la climatologie officielle. Le mois dernier seulement, le chef du GIEC, l’ingénieur des chemins de fer Pachauri, avait été l’un des premiers porte-parole de la climatologie officielle à admettre que la Pause existait. Il l'avait fait lors d'un discours à Melbourne rapporté par un seul journal, The Australian, qui a depuis longtemps manifesté sa volonté de refléter fidèlement les deux côtés du débat sur le climat.
Ce qui est fascinant, c’est que, même après la falsification des données vers la fin de la Pause par quatre des cinq ensembles de données les plus anciens, et même si la tendance sur tous les jeux de données est élevée depuis quelques années. Il y a deux ans, les prévisions initiales du GIEC à partir de 1990, les prévisions qui ont fait peur, restent extrêmement excessives.
Même le GIEC lui-même a réalisé à quel point ses prédictions étaient absurdes. Dans son cinquième rapport d'évaluation de 2013, il a renoncé à s'appuyer sur des modèles pour la première fois, a substitué ce qu'il a qualifié de «jugement d'expert» à leurs résultats surchauffés, et a réduit de moitié sa prévision à moyen terme. Inconsistamment, cependant, il a soigneusement laissé sa prévision d'équilibre - réchauffement de 1,5 à 4,5 K par doublement de gaz carbonique- honteusement inchangé.
Les nombreux apologistes irréfléchis du GIEC dans les médias de Marxstream ont mis au point une «ligne de parti» pour expliquer l’échec prédictif abject du premier rapport d’évaluation du GIEC et même tenter de maintenir, à tort, que «c’est encore pire
L'une des excuses les plus courantes, exprimées par l'expression glacée, la livraison monotone et le comportement zombie des lavés de cerveau, est que grâce à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, la réduction des émissions mondiales de CO2 est si impressionnante. que les émissions sont maintenant bien inférieures au scénario A du GIEC (1990) et beaucoup plus proche du scénario moins extrémiste B.
Um non. Même si le record des émissions de gaz carbonique de la climatologie officielle est transféré à l’Assortocène, on prétend maintenant que, par impossibilité, les émissions mondiales de gaz carbonique sont restées inchangées au cours des cinq dernières années, le dernier rapport annuel sur les émissions de gaz carbonique coïncidant avec le scénario de "statu quo" du GIEC (1990) -
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
Les émissions mondiales de gaz carbonique suivent le scénario habituel du GIEC A
Lorsque ce prétexte fallacieux a échoué, le Parti a développé une ligne de repli intéressante selon laquelle, même si les émissions ne sont pas conformes au scénario B du GIEC, les forçages radiatifs qui en découlent sont bien inférieurs aux prévisions du GIEC (1990). Et ils le sont. Cependant, ce que la ligne de parti fait très attention de ne pas révéler, c'est pourquoi c'est le cas.
La Partie a réalisé que ses estimations du forçage radiatif anthropique net cumulatif de toutes les sources étaient suffisamment élevées par rapport au réchauffement observé pour suggérer une sensibilité à l'équilibre du forçage radiatif beaucoup plus faible que celle initialement décrétée. En conséquence, selon le troisième rapport d'évaluation, le GIEC avait dûment reflété la ligne de démarcation ajustée en agitant sa baguette magique et en réduisant artificiellement et substantiellement le forçage anthropique net en introduisant ce que le professeur Lindzen appelait carrément L'influence néfaste de ce facteur de fudge est visible dans le cinquième rapport d'évaluation du GIEC -
- voir graphique sur site -
Fudge, mudge, kludge: the aerosol fudge-factor greatly reduces the manmade radiative forcing and falsely boosts climate sensitivity (IPCC 2013, fig. SPM.5).
IPCC’s list of radiative forcings compared with the pre-industrial era shows 2.29 Watts per square meter of total anthropogenic radiative forcing relative to 1750. However, this total would have been considerably higher without the two aerosol fudge-factors, totaling 0.82 Watts per square meter. If two-thirds of this total is added back, as it should be, for anthropogenic aerosols are as nothing to such natural aerosols as the Saharan winds that can dump sand as far north as Scotland, the net anthropogenic forcing becomes 2.85 Watts per square meter. Here is how that makes a difference to apparent climate sensitivity –
- voir graphique sur site -
Comment le facteur de fusion des aérosols augmente artificiellement le facteur de gain de système A.
Dans le panneau de gauche, la sensibilité de référence (le changement de température anthropique entre 1850 et 2010 avant prise en compte du retour) est le produit du paramètre Planck 0,3 Kelvin par Watt par mètre carré et l’estimation moyenne du GIEC de 2,29 W m-2 le forçage radiatif anthropique net à l'ère industrielle jusqu'en 2011, soit 0,68 K.
La sensibilité à l'équilibre est un peu plus complexe, car la climatologie officielle aime à imaginer (probablement sans grande justification) que tout réchauffement anthropique n'a pas encore eu lieu. Par conséquent, nous avons retenu l’estimation moyenne de Smith (2015) du déséquilibre radiatif net de 0,6 W m-2 en 2009, convertissant le réchauffement mesuré de 0,75 K entre 1850 et 2011 à un réchauffement d’équilibre de 1,02 K.
Le facteur de gain de système, en utilisant la forme à valeur delta de l’équation de gain de système qui est actuellement universelle en climatologie officielle, est le rapport entre la sensibilité d’équilibre et la sensibilité de référence: 1,5. Comme la sensibilité de référence au gaz carbonique doublé, dérivée des données des modèles CMIP5 dans Andrews (2012), est de 1,04 K, la sensibilité de Charney est de 1,5 x 1,04 ou 1,55 K.
RépondreSupprimerDans le panneau de droite, un peu plus des deux tiers du facteur de fudge aérosol de 0,82 K a été ajouté au forçage anthropique net, ce qui en fait 2,85 K. Pourquoi le rajouter ? Eh bien, sans dévoiler trop de secrets, la climatologie officielle a commencé à se rendre compte que le facteur de fondant des aérosols est beaucoup trop important. Il est tellement irréaliste qu’il jette un doute sur la crédibilité du reste du tableau des forçages du GIEC (1990, fig. SPM.5). Attendez-vous à des changements significatifs d'ici le prochain rapport d'évaluation du GIEC vers 2020.
En utilisant la valeur corrigée du forçage anthropique net, le facteur de gain du système tombe à 1,13, ce qui implique une sensibilité de 1,13 x 1,04 ou 1,17 K.
Vérifions la position à l'aide de l'équation de valeur absolue qui est actuellement exclue par la définition à tort restrictive de «retour de température» donnée par la climatologie officielle -
- voir graphique sur site -
Le facteur de gain de système pour 2011: (à gauche) sans et (à droite) avec correction du facteur de fudge
Un avantage important de l'utilisation de l'équation du gain de système de valeur absolue exclue par la définition défectueuse de la climatologie officielle devient évident. Les changements dans les valeurs delta entraînent des changements importants dans le facteur de gain du système calculé à l'aide de l'équation de gain de système de valeur delta de la climatologie, mais très peu de changements dans l'équation de valeur absolue. En effet, en utilisant l’équation de valeur absolue, les facteurs de gain du système pour 1850 et pour 2011 sont à peu près identiques à 1,13, ce qui indique que dans les conditions modernes, les non-linéarités des rétroactions ont très peu
Bottom line: aucune quantité de crises de falsification de la température ne changera le fait que, que l'on utilise l'équation valeur Delta (sensibilité Charney 1,55 K) ou l'équation de valeur absolue (sensibilité Charney 1,17 K), le facteur de gain système est petit et donc les températures d'équilibre le sont aussi.
Enfin, laissez-nous apprécier un autre regard sur l'excellent dessin animé de Josh sur le Adjustocene -
https://wattsupwiththat.com/2018/08/21/temperature-tampering-temper-tantrums/
Pourquoi entretenir cette publicité pour un nano groupuscule de particuliers (GIEC) qui ne comprend AUCUN scientifique !? C'est aussi que d'écouter des 'climatologues' (profession qui n'existe pas) pour faire croire qu'ils connaissent le climat alors que se ne sont PAS des scientifiques !
SupprimerBloomberg Oil Strategist: "Les prix du pétrole sont en baisse. Personne n'a dit aux pompes à essence "... La prochaine fois, peut-être faire un peu de recherche !
RépondreSupprimer21 août 2018
Invité Bloomberg Oil Strategist Corriger par David Middleton
Les prix du pétrole sont en baisse. Personne n'a dit aux pompes à essence
Julian Lee
19 août 2018
(Bloomberg Opinion) - La popularité du pétrole n'est plus ce qu'elle était.
[...]
Bien que les prix du brut libellés en dollars se situent actuellement à environ 40 % en dessous de leur niveau juste avant la chute des prix de 2014, il n'en va pas de même pour les prix de l'essence ou du diesel au détail, même aux États-Unis.
Les prix moyens de l'essence sur le marché américain ont culminé en juin 2014 à un peu plus de 4 dollars le gallon avant de chuter en dessous de 2,50 dollars au début de 2015 et de 2,20 dollars un an plus tard. Mais depuis lors, ils ont amorcé une reprise régulière, se plaçant à 3,50 dollars à la veille de la saison de conduite de cet été.
[...]
Cette colonne ne reflète pas nécessairement l'opinion du comité de rédaction ou de Bloomberg LP et de ses propriétaires.
Julian Lee est un stratège pétrolier pour Bloomberg. Auparavant, il a été analyste principal au Center for Global Energy Studies.
Bloomberg Quint
Les prix moyens de l'essence sur le marché américain ont culminé en juin 2014 à un peu plus de 4 dollars le gallon avant de chuter en dessous de 2,50 dollars au début de 2015 et de 2,20 dollars un an plus tard. Mais depuis lors, ils ont amorcé une reprise régulière, se plaçant à 3,50 dollars à la veille de la saison de conduite de cet été.
Hey stratège pétrolier Bloomberg !
Les prix de l'essence que vous citez sont pour les super sans plomb et incluent les taxes. La grande majorité des automobilistes utilisent régulièrement du sans plomb. Les prix du pétrole brut n'incluent pas les taxes; bien que vous ne précisiez jamais les références auxquelles vous faites référence.
L’Energy Information Administration des États-Unis indique les prix de référence quotidiens de l’essence et du pétrole brut sans impôt. Toute personne ayant accès à Internet peut en fait rechercher:
Prix Spot RBOB Régulier Essence Los Angeles ($ / gal)
Cushing, OK Prix Spot WTI FOB ($ / bbl)
https://www.eia.gov/dnav/pet/hist/EER_EPMRR_PF4_Y05LA_DPGD.htm
L’essence ordinaire sans plomb est actuellement vendue environ 1,97 dollar le gallon avant taxes étatiques et fédérales. Alors que les prix de l'essence ne suivent pas instantanément les fluctuations du prix du pétrole brut, le ratio essence / prix du pétrole brut est demeuré relativement constant depuis 2003, s'établissant en moyenne à 1,34 avec un écart-type de 0,21.
- voir graphique sur site -
RépondreSupprimerGas_WTI
Figure 1. Prix au comptant quotidiens de l'essence sans plomb et du pétrole brut aux États-Unis, en dollars canadiens le 3/11/2003 à 8/13/2018 (ÉIA américaine). La courbe noire est le rapport entre l'essence et les prix du pétrole brut. Le ratio moyen sur la période était de 1,34 avec un écart-type de 0,21.
De plus, même si nous choisissons juin 2014 comme point de départ, nous obtenons le même résultat:
- voir graphique sur site -
Gas_WTI_2
Figure 2. Identique à la Figure 1, à commencer par le premier rapport sur les prix de juin 2014. Notez que le ratio essence / WTI est essentiellement celui de juin 2014.
Peut-être que M. Lee devrait être un stratège des données climatiques pour la NOAA ou la NASA-GISS.
C'est drôle !
J'ai fait une recherche sur l'ancien employeur de M. Lee, le Center for Global Energy Studies, et j'ai obtenu ce résumé de Bloomberg:
Présentation de l'entreprise
Le Centre for Global Energy Studies est une société de prévision énergétique spécialisée dans l'analyse des marchés pétroliers, l'économie et la politique des marchés de l'énergie. Il prévoit la demande de pétrole, l'offre et les prix, la couverture stratégique, la politique et l'économie des principales régions productrices de pétrole et la politique de l'OPEP au Moyen-Orient, en Russie et dans l'ancienne Union soviétique. La société fournit également des services de conseil sur mesure et organise des événements liés à l'énergie. Elle publie des études spécialisées, des rapports et des abonnements aux marchés pétroliers. Les rapports de souscription de la société comprennent des informations sur le pétrole mondial, un rapport sur les prix des produits pétroliers, un rapport mensuel sur le pétrole et des services consultatifs sur le pétrole et le gaz de la FSU. Il mène des études relatives au monde ...
Description détaillée
17 Knightsbridge
Londres, SW1X 7LY
Royaume-Uni
Fondée en 1987
Téléphone:
xxxxxxxxxxxxxx
Fax:
xxxxxxxxxxxxxx
www.cges.co.uk
J'ai donc cliqué sur leur lien, et cela m'a amené à EMERGENCY, REPAIR AND MAINTENANCE
SERVICE, une tenue de maintenance domiciliaire basée à Londres ... Trop fracking!
Il s'avère que le Centre for Global Energy Studies a été fermé en 2014.
https://wattsupwiththat.com/2018/08/21/bloomberg-oil-strategist-oil-prices-are-down-nobody-told-the-gas-pumps-next-time-maybe-do-a-little-research/
Paul Krugman apprend la mauvaise leçon du Danemark
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 08/22/2018 - 05:00
Auteur de Daniel Mitchell via International Liberty,
Paul Krugman a massacré des chiffres en écrivant sur la politique fiscale dans des pays tels que la France, l'Estonie, l'Allemagne et le Royaume-Uni.
Aujourd'hui, nous allons parcourir ses écrits sur le Danemark.
Voici quelques exemples de ce qu’il a écrit plus tôt ce mois-ci.
Le Danemark peut nous apprendre ... sur les possibilités de créer une société décente. ... Le Danemark, où les recettes fiscales représentent 46 % du PIB contre 26 % aux États-Unis, est sans doute le pays le plus social-démocrate du monde. Selon la doctrine conservatrice, la combinaison de taxes élevées et d’aides aux "preneurs" doit vraiment détruire les incitations à créer des emplois et à les prendre en tout cas. [...] le Danemark montre que vous pouvez mener un État - providence bien plus généreux que nous - au - delà des rêves les plus fous des progressistes américains - et avoir toujours une économie très réussie. En effet, alors que le PIB par habitant au Danemark est inférieur à celui des États-Unis - essentiellement en raison de la réduction des heures de travail.
Et voici ce qu'il a écrit il y a quelques jours.
La politique américaine a été dominée par une croisade contre le grand gouvernement; Le Danemark a assumé un rôle gouvernemental étendu, les dépenses publiques dépassant la moitié de celles du G.D.P. Les politiciens américains craignent de parler de redistribution des revenus des riches aux moins nantis; Le Danemark s'engage dans une telle redistribution à une échelle inimaginable ici. ...
- voir graphique sur site -
L'idéologie conservatrice dit que les choix politiques du Danemark devraient être désastreux, que l'herbe devrait pousser dans les rues de Copenhague. ... Mais si le Danemark est un enfer, il fait un très bon travail de dissimulation de ce fait: j'étais juste là et ça a l'air terriblement prospère. ... Le simple fait est que la vie est meilleure pour la plupart des Danois que pour leurs homologues américains.
Fait intéressant, Krugman reconnaît que le Danemark n'est pas vraiment socialiste. Au lieu de cela, il a simplement un grand État providence.
Mais le socialiste danois ? [...] le Danemark ne correspond pas du tout à la définition classique du socialisme, qui implique la propriété gouvernementale des moyens de production. Il s’agit plutôt d’une social-démocratie: une économie de marché où les inconvénients du capitalisme sont atténués par l’action du gouvernement, y compris un filet de sécurité sociale très solide. ... Le simple fait est qu'il y a beaucoup plus de misère en Amérique qu'il n'y en a besoin. Tous les autres pays avancés ont des soins de santé universels et un filet de sécurité sociale beaucoup plus solide que nous.
Il pense que c'est une bonne chose, bien sûr, et faisait le même argument (en utilisant le même titre) en 2015.
RépondreSupprimer[...] les Danois ont beaucoup de choses à faire et, ce faisant, réfutent à peu près tout ce que les conservateurs américains disent de l'économie. Le Danemark maintient un État providence - un ensemble de programmes gouvernementaux conçus pour assurer la sécurité économique - qui dépasse les rêves les plus fous des libéraux américains. [...] les familles en âge de travailler reçoivent une aide plus de trois fois supérieure, en proportion de G.D.P., à leurs homologues américains. Pour payer ces programmes, le Danemark perçoit beaucoup de taxes. ... Dans l'ensemble, les prélèvements fiscaux au Danemark représentent près de la moitié du revenu national, contre 25% aux États-Unis. … Il est difficile d'imaginer une meilleure réfutation de la doctrine économique anti-fiscale et anti-gouvernementale, qui insiste sur le fait qu'un système comme celui du Danemark serait totalement irréalisable.
Autant que je sache, tous ses chiffres sur le Danemark sont exacts, mais son analyse est erronée.
Il veut que les lecteurs croient que la leçon du Danemark est qu'il n'y a pas de conséquences économiques négatives lorsque les pays imposent un grand État providence et des impôts élevés.
Mais ce n'est pas ce que l'histoire économique danoise nous dit. Comme dans d'autres pays nordiques, le Danemark est devenu un pays riche lorsque le gouvernement était relativement petit et que les impôts étaient modestes.
Et nous savons d’après les données historiques que la performance économique s’est considérablement affaiblie après l’accroissement du fardeau fiscal du gouvernement.
- voir graphique sur site -
De plus, les législateurs tentent maintenant de limiter les dépenses publiques.
Un économiste danois, Otto Brøns-Petersen, a une superbe description de l'histoire économique du Danemark.
La première chose à réaliser est que les marchés danois, tout comme les autres pays nordiques, sont des marchés très libres, mis à part leurs transferts d’État providence et leur forte consommation publique. Ils ont tendance à se classer assez haut sur les mesures des économies les plus libres du monde. [...] La protection des droits de propriété et l'intégrité du système juridique sont très strictes au regard des normes internationales, tout comme la solidité du système monétaire… Le Danemark a une longue tradition de libre échange… Les marchés du crédit sont parmi les moins réglementés au niveau international. Au cours de la récente crise financière, les contribuables n'ont pas eu à subventionner les banques et certaines banques ont été autorisées à faire faillite. Le marché du travail danois est très flexible: il n'y a pas de salaire minimum prévu par la loi et il y a peu de restrictions à l'embauche et au licenciement.
Voici la partie à lire absolument.
Le Danemark n'est pas devenu un pays riche récemment. ... danois par habitant G
- voir graphique sur site -
Le Danemark n'est pas devenu un pays riche récemment. ... Le PIB par habitant danois par rapport aux autres pays a atteint son maximum il y a 40-60 ans ... Le Danemark a rattrapé et dépassé la "vieille Europe" dans les années 1950, tout en réduisant son écart par rapport aux États-Unis le processus de rattrapage s'est arrêté. … Au moment où le Danemark est devenu riche par rapport au reste du monde, ce n'était pas un État providence. En fait, le Danemark a toujours été un pays à faible imposition selon les normes internationales. Jusqu'aux années 1960, le ratio des recettes fiscales danoises au PIB était au même niveau que celui des États-Unis et inférieur à celui des Britanniques.
RépondreSupprimerMalheureusement, la politique a pris une mauvaise direction à la fin des années 1960, avec des conséquences très négatives.
La forte divergence dans le niveau des impôts danois s’est vraiment produite dans la seconde moitié des années 1960, quand un gouvernement de coalition de gauche, puis de droite, a augmenté le ratio taxes / PIB de quelque dix points de pourcentage. [...] les dépenses publiques étaient dans une large mesure dues à la hausse des recettes fiscales résultant de l'introduction de la TVA et des retenues à la source sur les revenus salariaux. ... l'Etat providence a attiré de nouveaux clients et de nouveaux programmes ont été ajoutés, la crise économique a conduit à un chômage croissant ... Au début des années 1980, l'économie était en très mauvaise santé, avec une spirale inflationniste, un déficit public énorme et croissant.
Je ne peux pas m'empêcher d'appeler l'attention sur l'observation d'Otto à propos de la manière dont la TVA a permis à un fardeau beaucoup plus important du gouvernement.
Mais ne nous laissons pas distraire.
- voir graphique sur site -
Ce graphique montre comment la pression fiscale au Danemark a divergé des États-Unis.
Alors, quelle est la ligne de fond ?
Le Danemark est d'abord devenu riche et a ensuite introduit les programmes qui constituent l'État providence. L'augmentation considérable des dépenses publiques s'est accompagnée de problèmes structurels profonds, qui ont rendu nécessaire la réforme de l'économie danoise et de l'État providence depuis. On peut difficilement prétendre que l’introduction de l’Etat providence a rendu le Danemark riche; c'était plutôt l'inverse. Le Danemark s'est d'abord enrichi, puis les autorités ont commencé à redistribuer une partie des richesses.
Amen. J'ai fait le même point en 2011.
En écrivant pour PJ Media, Tyler O'Neil passe en revue les bons et les mauvais au Danemark et fait également écho à l'analyse d'Otto.
Un regard plus approfondi sur l’histoire et l’actualité du Danemark et des pays voisins en dit long. Les bénéfices de ces pays proviennent sans doute de leur passé de marché libre, et non de leur bref accord avec le grand gouvernement. ... Au début des années 1900 et après la Grande Dépression, le petit gouvernement et les marchés libres de la Scandinavie ont favorisé une culture de travail acharnée qui a été très rentable en termes de prospérité.
Malheureusement, le Danemark (comme beaucoup d'autres pays de la région) a adopté, il y a environ 50 ans, un État-providence cher. Avec de mauvais résultats.
[...] l'expansion des États-providence dans les années 1960 et 1990 a en fait freiné les pays nordiques. Après leur expérience de l'aide sociale socialiste, "les citoyens nordiques ont maintenant des niveaux exceptionnellement élevés d'absences maladie (malgré le fait que la société est saine), un chômage élevé des jeunes et un faible niveau d'intégration des migrants dans le marché du travail", explique Sanandaji. Le grand gouvernement a affaibli la forte culture qui a permis aux États-providence en premier lieu ... En 2013, environ 240 000 personnes, soit 9% de la main-d'œuvre potentielle, recevaient des contrôles d'invalidité et environ 33 500 avaient moins de 40 ans.
RépondreSupprimerJe suis complètement d'accord. L'état providence du Danemark a créé un problème. En termes simples, il y a trop de gens qui dépendent du gouvernement par rapport au nombre de contribuables qui financent le gouvernement.
- voir graphique sur site -
J'utilise parfois l'exemple du nombre de personnes qui tirent le chariot par rapport au nombre de personnes qui roulent dans le wagon. La version danoise utilise des navires vikings.
Heureusement, il y a maintenant un effort pour revenir dans la bonne direction.
Le Danemark surpasse même les États-Unis comme lieu d’affaires. ... En 2013, il a réduit les régimes de retraite anticipée et réduit la durée des prestations de chômage de quatre à deux ans. ... Ces dernières années, tous les pays nordiques ont réduit leurs taux d’imposition des sociétés - chacun étant inférieur à celui des États-Unis. Ils soutiennent également le libre-échange, contrairement aux socialistes américains.
Regardons quelques exemples spécifiques de la manière dont le Danemark tente de réparer les dommages causés par un gouvernement excessif.
Bloomberg a rapporté l’année dernière les efforts en cours pour réduire le fardeau fiscal du pays.
Lorsqu'un gouvernement européen relève l'âge de la retraite et réduit les programmes d'aide sociale, cela est généralement dû à des problèmes financiers. Dans le cas du Danemark, c'est à cause de l'idéologie. ... La volonté du nouveau gouvernement est de financer une importante réduction de l'impôt sur le revenu. "Nous voulons promouvoir une société dans laquelle il est plus facile de subvenir à vos besoins et à ceux de votre famille avant de céder une grande partie de vos revenus pour financer les coûts de la société", écrit le gouvernement du Premier ministre Lars Lokke Rasmussen. Torben M. Andersen, professeur d’économie à l’Université d’Aarhus, a déclaré: «Les réformes introduites par les gouvernements successifs au fil des ans ont déjà assuré la pérennité de l’État providence du Danemark. et un ancien conseiller du gouvernement. Celles-ci incluent l'augmentation de l'âge de la retraite à 67 ans, contre 65 ans d'ici 2025.
Le Danemark réduit également les subventions aux collèges.
En tant que l'un des rares pays qui offre des cours gratuits aux étudiants, le Danemark accorde une énorme liberté aux étudiants ... Mais certains Danois, en particulier les personnes âgées déjà sur le marché du travail, estiment que cette liberté supplémentaire devenir adulte. Le pays s'occupe désormais des "étudiants de l'éternité" - des personnes qui restent au collège pendant six ans ou plus sans projet de diplôme, uniquement parce qu'elles n'ont aucune incitation financière à partir. ... Le pays a fait des progrès pour contrer les étudiants de l’éternité. En 2015, le gouvernement danois a proposé et adopté un amendement à la réforme de l'étude. Jakobsen a déclaré que l'amendement avait définitivement réduit la tendance des étudiants de l'éternité.
Passons maintenant à ma contribution à cette discussion.
RépondreSupprimerIl y a quelques années, j'ai créé un «spectre de statisme» pour montrer comment les pays diffèrent lorsqu'ils examinent la liberté économique totale (politique fiscale, politique commerciale, politique réglementaire, politique monétaire et qualité de la gouvernance).
Et j'ai souligné que les pays ayant un lourd fardeau fiscal peuvent encore se classer relativement haut s'ils adoptent une approche très favorable au marché dans d'autres domaines.
Mais je dois avouer que mon spectre était un exercice en arrière-plan. J'ai simplement tracé une ligne puis ajouté six pays.
Temps pour une certaine rigueur. J'ai téléchargé les dernières notes de la liberté économique du monde de l'Institut Fraser et j'ai créé ce graphique montrant le classement relatif de tous les pays (divisé par catégorie). Comme vous pouvez le constater, les États-Unis et le Danemark se situent tous deux dans la catégorie supérieure et ont tous deux des niveaux de liberté économique globale très proches.
Et pour mettre ces chiffres en contexte, voici le même graphique, mais montrant également la France, la Grèce et le Venezuela.
- voir graphique sur site -
En d'autres termes, il y a beaucoup à admirer au sujet du Danemark. Oui, les taxes sont onéreuses et le fardeau des dépenses est encore trop élevé, mais il n'en demeure pas moins l'un des pays les plus axés sur le marché à cause des politiques de laisser-faire dans d'autres domaines.
En bout de ligne, Paul Krugman a raison de féliciter le Danemark.
Mon seul reproche est qu'il aime la seule chose qu'ils font mal et néglige toutes les choses qui font du pays un succès relatif.
De plus, il ignore tous les efforts récents visant à réduire le fardeau fiscal du gouvernement, probablement parce que cela l'obligerait à reconnaître que les grands secteurs publics sont néfastes pour la croissance.
P.S. Le Danemark est en avance sur les États-Unis en ce qui concerne son approche de la retraite axée sur le marché et l’épargne.
P.P.S. Le Danemark se classe également au-dessus de l’Amérique dans la protection du droit de propriété privée.
P.P.P.S. Mais les États-Unis se classent au-dessus du Danemark lorsque toutes les politiques font partie de l’équation, ce qui contribue probablement à expliquer pourquoi les Américains sont plus riches. Et c'est probablement aussi pourquoi les Danois en Amérique gagnent beaucoup plus que les Danois au Danemark.
https://www.zerohedge.com/news/2018-08-21/paul-krugman-learns-wrong-lesson-denmark
(...) Le Danemark peut nous apprendre ... sur les possibilités de créer une société décente. ... Le Danemark, '(...)
SupprimerLe 'Danemark' est une DICTATURE MONARCHISTE, donc à l'opposé d'une quelque approche de la Démocratie.
Un économiste en chef de la Bank of England met en garde contre une menace d'interruption de l'IA dans la "quatrième révolution industrielle"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 08/22/2018 - 04:15
L'économiste en chef de la Banque d'Angleterre a averti que pour éviter que de larges segments de la classe ouvrière ne deviennent "sans emploi" (remplacés par l'IA), le Royaume-Uni devra faire une révolution dans les compétences, rapporte la BBC.
Andy Haldane dit qu'une "quatrième révolution industrielle" perturbatrice pourrait se produire "à une échelle beaucoup plus grande" que celle de la révolution industrielle, qui a duré de 1760 à 1940.
M. Handane met en garde contre un "évidement" généralisé des emplois, une inégalité croissante et des tensions sociales à mesure que les gens peinent à se concrétiser.
Il était important d’apprendre les "leçons de l’histoire", at-il soutenu, et de veiller à ce que les gens reçoivent la formation nécessaire pour tirer parti des nouveaux emplois qui seraient disponibles.
Il a ajouté que par le passé, un filet de sécurité tel que de nouvelles prestations sociales avait également été fourni. -BBC
Pendant ce temps, Tabitha Goldstaub, présidente du nouveau conseil d'intelligence artificielle du gouvernement britannique, a fait écho au sentiment de Haldane, mettant en garde contre un "risque énorme" de départ de personnes sans emploi. Elle dit que le défi consistera à veiller à ce que les gens soient préparés aux changements culturels et économiques - et qu’il s’agira de créer «les nouveaux emplois du futur» afin de remplacer ceux qui risquent de se faire remplacer par des robots.
M. Haldane a déclaré à la BBC: "Chacune de ces [révolutions industrielles] a eu un impact dévastateur sur le marché de l’emploi, sur la vie et les moyens de subsistance de larges couches de la société", ajoute-t-il. le marché du travail se creusait, ce qui laissait de nombreuses personnes au chômage et luttant pour gagner leur vie.
"Cela a exacerbé les tensions sociales, accru les tensions financières, conduit à une augmentation des inégalités. C'est le côté sombre des révolutions technologiques et ce côté obscur a toujours été là".
"Cet évidement sera potentiellement beaucoup plus important à l’avenir, lorsque nous aurons des machines à la fois capables de penser et de faire - remplaçant à la fois les compétences cognitives et techniques des humains."
C'est beaucoup de mots, mais les solutions sont insaisissables
M. Haldane a déclaré que les pertes d’emplois seraient compensées par la création de nouveaux emplois, une "nouvelle vague technologique" ayant éclaté dans la société.
"C'est un nombre beaucoup plus difficile à évaluer ou à estimer", a-t-il déclaré. -BBC
En bref - "nous penserons à quelque chose"
"Ce que nous pouvons, je pense, affirmer avec certitude, cependant, est que l’ampleur du déplacement des pertes d’emplois est susceptible d’être au moins aussi importante que celle des trois premières révolutions industrielles.
"Nous aurons besoin d’un nombre encore plus grand de nouveaux emplois à créer à l’avenir, si nous ne voulons pas souffrir de ce phénomène à long terme appelé chômage technologique.
RépondreSupprimer"Cela n'a pas été une caractéristique du passé, mais est-ce que cela pourrait être une fonctionnalité pour le futur? Je pense que c'est une question beaucoup plus ouverte que n'importe quel autre point, peut-être, de l'histoire." -BBC
Alors, qu'est-ce que c'est en sécurité ?
Haldane dit que «les emplois manuels simples seraient plus à risque», tandis que les emplois axés sur l'interaction humaine, la conversation en face à face et la négociation seraient plus susceptibles de prospérer.
Goldstaub, quant à lui, a évoqué de grandes opportunités et de vastes défis.
"Ce que nous devons penser, c’est le moment où ce changement est en train de se produire, et il se passe certainement plus vite que jamais auparavant", at-elle déclaré, ajoutant que "le défi actuel est de préparer notre personnel à ce changement".
"Quels sont les nouveaux emplois qui seront créés, que ce soit dans la construction de nouvelles technologies, la maintenance de la nouvelle technologie ou la collaboration avec la nouvelle technologie ? Il y a une perspective encourageante sur le fait que beaucoup de ces emplois sont ennuyeux, banals, dangereux, pénibles - il pourrait y avoir un élément de libération de certains de ces emplois et une évolution vers un monde plus radieux. "
"Cela ne va pas être un voyage facile, mais je crois qu’il y a de l’espoir à la fin."
Alors; se spécialiser dans les choses que les robots ne peuvent pas imiter facilement (encore), s'attendre à des troubles civils et à une plus grande inégalité, et espérer qu'une «nouvelle vague technologique» nous sauvera tous.
En outre, ne vous écartez pas ou Bezos vous sorcera:
- voir photo d'un homme et un robot sur site:
https://www.zerohedge.com/news/2018-08-21/bank-england-chief-economist-warns-disruptive-ai-threat-fourth-industrial
Long récit pour ne rien dire de nouveau. L''IA' N'EXISTE PAS (encore) mais, le lobbying s'emploie à l'insérer dans chaque phrase pour faire croire en la supériorité intellectuelle d'une calculette !!).
SupprimerLa dictature en place s'emploie à contrôler tous les mécanisme perturbateurs à leurs positions. Les robots suppriment des emplois ! Whôoâah ! TANT MIEUX ! La voiture a supprimé la marche à pieds & bicyclettes. Demain (si tout va bien), ces travaux pénibles (inconnus des riches dirigeants) seront remplacés par des machines. Et, comme en Démocratie, seront susceptibles de travailler à la place des humains et DE RAPPORTER GROS AUX HUMAINS PROPRIÉTAIRES DE ROBOTS !
D'où l'inquiétude de la dictature de voir des gens rien foutre comme eux et donc: DES ADVERSAIRES SUSCEPTIBLES DE REMPLACER LA DICTATURE !!!
Notez qu'en Chine (1 milliard 300 mille habitants), il y a DEJA des robots (à '3 francs 6 sous') qui remplacent les humains ! Et que, le faible QI de la dictature, se questionne si l'on peut remplacer un robot gratis par... un robot qui coûterait encore de l'argent !! Alors qu'un robot qui travaille en Amérique ou en Europe ne coûterait pas plus cher qu'un robot asiatique !!
Tribunal allemand: ramener les djihadistes déportés
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 08/22/2018 - 03:30
Auteur de Soeren Kern via The Gatestone Institute,
Un tribunal allemand a statué que la récente expulsion en Tunisie d’un demandeur d’asile débouté - un islamiste soupçonné d’être le garde du corps de l’ancien dirigeant d’Al-Qaida, Oussama ben Laden - était illégale et qu’il devait être immédiatement renvoyé aux frais des contribuables de l'Allemagne.
La décision a encore mis en lumière la nature dysfonctionnelle du système de déportation de l'Allemagne, ainsi que le système judiciaire politisé de l'Allemagne, où les juges activistes sont désormais engagés dans une lutte de pouvoir avec des élus qui veulent accélérer les déportations.
Le 15 août, le tribunal administratif supérieur (Oberverwaltungsgericht, OVG) de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, à Münster, a déclaré que les autorités d'immigration de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, l'État le plus peuplé d'Allemagne, avaient délibérément trompé les tribunaux Sami Aidoudi, qui vivait illégalement en Allemagne depuis plus de dix ans.
Le tribunal a ordonné aux autorités fédérales de délivrer un visa à Aidoudi - appelé en Allemagne Sami A. pour des raisons de confidentialité - afin de faciliter son retour en Allemagne. Le tribunal a également ordonné à Bochum, une ville de NRW où Aidoudi a vécu jusqu'à son expulsion, de payer son vol de retour en Allemagne.
On ne sait toujours pas comment les fonctionnaires de Bochum peuvent se conformer à l’ordonnance, les responsables tunisiens ayant à plusieurs reprises déclaré qu’ils n’avaient aucune intention de le renvoyer en Allemagne.
Aidoudi a été expulsé le 13 juillet, après des années de manoeuvres légales qui lui ont permis de rester en Allemagne, au motif qu’il risquait d’être soumis à la torture en Tunisie. Selon le ministère de la Justice de la NRW, entre 2006 et juin 2018, l'affaire Aidoudi a été entendue 14 fois devant les tribunaux de la NRW.
Aidoudi, un islamiste salafiste, est arrivé en Allemagne en 1997. Les autorités allemandes pensent qu’il a passé du temps en Afghanistan et au Pakistan avant les attaques d’Al-Qaïda contre les États-Unis le 11 septembre 2001. Depuis lors, il est sous le surveillance par les services de renseignements allemands pour diffuser les enseignements islamistes et tenter de radicaliser les jeunes musulmans. Selon un rapport officiel diffusé dans le magazine allemand Focus, il entretenait des relations «de grande portée» avec les réseaux salafistes et djihadistes.
La demande d'asile d'Aidoudi a été rejetée en 2007 après des allégations selon lesquelles il aurait suivi une formation militaire dans un camp d'al-Qaïda en Afghanistan entre 1999 et 2000. Durant son entraînement, il aurait travaillé comme garde du corps d'Oussama Ben Laden. Aidoudi a nié les accusations et a prétendu avoir étudié pendant ce temps à Karachi, au Pakistan.
Malgré le rejet de la demande d'asile d'Aidoudi, les tribunaux allemands ont bloqué à plusieurs reprises son expulsion par crainte d'être torturé ou maltraité dans son pays d'origine:
En avril 2017, un tribunal de Münster a statué que M. Aidoudi risquait fort de "subir des actes de torture et des traitements inhumains ou dégradants" s'il rentrait en Tunisie.
En avril 2018, la présence continue d'Aidoudi en Allemagne a déclenché une indignation publique lorsque le gouvernement NRW a confirmé que pendant plus d'une décennie, Aidoudi recevait 1 168 euros (1 400 dollars) de prestations d'aide sociale et d'aide à l'enfance. comme une menace de sécurité.
RépondreSupprimerLe 1er mai, le ministre tunisien des droits de l'homme, Mehdi Ben Gharbia, a donné une garantie verbale que M. Aidoudi ne serait pas torturé à son retour en Tunisie:
"Je peux vous assurer et je peux vous garantir: il n'y a pas de torture ici! Nous sommes un Etat démocratique et nos tribunaux agissent conformément à la loi. Ceux qui reviennent chez nous sont traités démocratiquement. Il est absurde qu'un tribunal allemand le citoyen pourrait faire face à la torture ici. "
Le 9 mai, la Cour constitutionnelle fédérale allemande (Bundesverfassungsgericht) a statué qu'un autre djihadiste tunisien, identifié seulement comme Heikel S., âgé de 37 ans, accusé d'être impliqué dans l'attaque des djihadistes du musée du Bardo à Tunis en mars 2015 patrie. Le ministre de l'Intérieur, Horst Seehofer, s'est emparé de cette décision et s'est engagé à faire de l'expulsion d'Aidoudi une priorité absolue.
Le 25 juin, Aidoudi a été arrêté à Bochum après que Seehofer eut ordonné aux autorités de l’immigration d’accélérer les procédures d’expulsion.
Le 13 juillet, avant l’aube, Aidoudi, escorté par quatre policiers fédéraux et un médecin, a été placé sur un Learjet spécialement affrété et a volé de Düsseldorf à la Tunisie. Selon le magazine Focus, l'expulsion d'Aidoudi a coûté près de 80 000 euros aux contribuables allemands (95 000 dollars).
Bien que le tribunal administratif de Gelsenkirchen ait bloqué la déportation d’Aidoudi la nuit précédente, la décision n’a été transmise aux autorités de l’immigration que le lendemain matin, après le décollage de l’avion.
Lorsque le tribunal a appris l'expulsion d'Aidoudi, les juges ont accusé les autorités allemandes d'immigration de "dissimuler délibérément" des informations sur le calendrier de l'Ai
Lorsque le tribunal a appris l'expulsion d'Aidoudi, les juges ont accusé les autorités allemandes d'immigration de "dissimuler délibérément" des informations sur le calendrier du vol d'Aidoudi afin de s'assurer que l'expulsion serait effectuée.
Le tribunal a déclaré que l'expulsion d'Aidoudi avait porté atteinte aux "principes fondamentaux de l'état de droit" et a ordonné à la ville de Bochum de le renvoyer en Allemagne avant le 31 juillet 2018.
Le 3 août, le tribunal de Gelsenkirchen a condamné la ville de Bochum à une amende de 10 000 euros (11 500 dollars) pour ne pas avoir récupéré Aidoudi avant la date limite du 31 juillet.
Le 13 août, le bureau de la police criminelle de NRW a interdit la réintégration d'Aidoudi en Allemagne après avoir été placé sur une liste noire de l'UE connue sous le nom de Système d'information Schengen (SIS).
Le 15 août, le tribunal de Münster a annulé l'interdiction de rentrée et a ordonné aux responsables de Bochum de récupérer immédiatement Aidoudi. La décision ne peut être portée que devant la Cour constitutionnelle fédérale (Bundesverfassungsgericht), la plus haute juridiction allemande.
Les autorités tunisiennes ont réagi à cette décision en déclarant avoir confisqué le passeport d'Aidoudi pour l'empêcher de retourner en Allemagne. Sofiane Sliti, porte-parole du procureur du terrorisme tunisien, dans une interview avec le journal Bild, a insisté sur le fait que la question relevait de la souveraineté tunisienne:
RépondreSupprimer"Cette décision n’a aucune conséquence pour nous. Je l’ai dit à plusieurs reprises: en Tunisie, le droit tunisien est valable et rien d’autre! Qu'il y ait des problèmes entre les ministères et les tribunaux en Allemagne, ce n’est pas notre problème. terminé, alors [Aidoudi] n'a pas de carte d'identité avec laquelle il pourrait voyager. "
- Sami Aidoudi a vécu en Allemagne en 1997 jusqu'à son expulsion le 13 juillet 2018 vers son pays natal, la Tunisie. Il aurait suivi une formation militaire dans un camp d'al-Qaïda en Afghanistan entre 1999 et 2000. Il a aurait travaillé comme garde du corps pour Oussama Ben Laden lors de sa formation. (Sources d'images: Aidoudi - capture d'écran de SpiegelTV; Learjet - Ruido / Flickr; Tunisie - chevalier de Faris / Wikimedia Commons) -
Le ministre de l'Intégration de NRW, Joachim Stamp (FDP), qui a accepté la responsabilité personnelle de la décision d'expulsion d'Aidoudi, a déclaré que la décision le situait entre un rock proverbial et un lieu difficile:
"La cour nous laisse à désirer, car elle reconnaît elle-même les obstacles actuels qui empêchent une récupération, mais exige toujours que Sami A. soit rapidement renvoyé."
D'autres membres du gouvernement conservateur de Rhénanie-du-Nord-Westphalie ont également critiqué le verdict. Le ministre de l'Intérieur de NRW, Herbert Reul (CDU), dans une interview avec Rheinische Post, a déclaré que la décision était déconnectée de la demande de sécurité du public:
"L'indépendance judiciaire est un bien précieux, mais les juges devraient toujours garder à l'esprit que leurs décisions devraient correspondre au sens de la justice du public. Je doute que tel soit le cas avec cette décision. Si les citoyens ne comprennent plus les décisions judiciaires, verser de l'eau sur les moulins d'extrémistes. "
Le juge Ricarda Brandts de la Cour administrative supérieure westphalienne a riposté:
"Le cas de Sami A. soulève des questions sur la démocratie et l’état de droit, en particulier sur la séparation des pouvoirs et la protection juridique effective. Dans ce cas, les limites de l’état de droit ont été testées ....
"Les tribunaux doivent juger indépendamment de l'opinion majoritaire. Et chacun doit être conscient qu'un Etat constitutionnel travaille pour protéger les droits des minorités, même les droits de ceux qui ne respectent pas la prééminence du droit.
« Le cas de Sami A. est de déterminer la ligne fine entre assurer la sécurité de la population et les droits de ceux qui mettent en péril ou même atteinte à la sécurité. L'état de droit doit se faire valoir dans la mesure où même les auteurs, les délinquants et les terroristes sont droit à une protection juridique efficace et au respect de leur dignité humaine. "
Tomas Spahn a écrit pour Tichys Einblick, un blog allemand de premier plan, libéral classique et conservateur.
« Le cas du A. Sami tunisien, dont le vrai nom Wikipédia n'ose même pas à écrire, va entrer dans les salles de cours des futurs avocats comme l'une des absurdités de l'histoire du droit allemand. Comme aucun « cas » comme cette farce révèle l'insurmontable divergence entre jurisprudence (Rechtsprechung) et sens de la justice (Rechtsempfinden), entre droit et politique ...
RépondreSupprimer"J'aurais aimé avoir ces inquiétudes concernant la séparation des pouvoirs lorsqu'un ministre fédéral de la justice a déplacé les conclusions d'un crime comme l'incitation à la haine des tribunaux à des employés légalement non qualifiés de toute société Internet.
"Cependant, lorsque la loi de censure de [l'ancien ministre de la Justice] Heiko Maas a été adoptée, sous le nom de" Network Enforcement Act ", le transfert des tâches judiciaires initiales à des particuliers a même été approuvé par le pouvoir judiciaire. le soupçon que dans le cas de Sami A., en fin de compte, il ne s'agit pas de loi mais de pouvoir ....
"Ce que nous vivons actuellement n’est pas une lutte pour l’état de droit, mais une lutte de pouvoir entre un système judiciaire manifestement idéologique et des représentants politiques impopulaires."
Le commentateur Henryk Broder, dans une colonne - "Sami A .: Même la règle de droit peut parfois être fausse" - a conclu pour Die Welt:
"Ce garde du corps de Ben Laden, Sami A. de Tunisie, pourrait être ramené en Allemagne est considéré par beaucoup comme la preuve du fonctionnement de l'Etat de droit. C'est faux. Le vrai scandale est autre ..."
"Le scandale commence quand un tribunal administratif déclare que l'expulsion d'un" parjure "est inadmissible parce qu'il pourrait être soumis à la torture dans le pays où il a été expulsé.
"Je ne partage pas le point de vue de mes collègues selon lequel le verdict dans l'affaire Sami A. est" un signe que notre état constitutionnel fonctionne ".
"Même dans un État constitutionnel, il peut y avoir des jugements erronés. Un jugement, correct ou non, ne permet pas de tirer des conclusions quant à la règle de droit, que cela fonctionne ou ne fonctionne pas. Même les juges ne se considèrent pas infaillibles.
"C’est pourquoi il existe un système d’instances [de tribunaux de première instance et d’appel], c’est pourquoi les juges renversent les jugements des autres juges, donc la loi est adaptée aux nouvelles circonstances de la vie et non pas le contraire.
« La confiance dans l'état de droit ne soit pas compromise par une décision telle que celle de la Cour administrative Gelsenkirchen, mais par le fait qu'il a fallu près de douze ans pour le garde du corps présumé» d'Oussama ben Laden finalement être expulsé. »
https://www.zerohedge.com/news/2018-08-21/german-court-bring-back-deported-jihadist
Craig Murray se déchaîne à la "Gangster State" britannique
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 22/08/2018 - 02:00
Auteur de Craig Murray,
Max Weber a défini l'attribut clé d'un État comme détenant le monopole de l'exercice légitime de la violence sur un territoire donné. Pour toute personne autre que l’État d’utiliser la force physique substantielle contre vous ou de vous emprisonner est considéré comme un crime extrêmement grave. L'Etat lui-même peut cependant vous contraindre, vous battre, vous emprisonner et même vous tuer. Ce lien concerne les décès en garde à vue. Je citerai également l’assassinat d’État de Jojo Jones, un enfant britannique de 12 ans, exécuté délibérément par les États-Unis sous la menace de drones, avec l’accord préalable du gouvernement britannique.
Ce n’est là qu’un exemple de la réticence croissante de l’État britannique à l’égard du recours à la violence extrême. La promotion éhontée de Cressida Dick à la tête de la police métropolitaine comme récompense pour avoir orchestré le meurtre de sang-froid d’un innocent et non résistant Jean Charles de Menezes en est un autre exemple. Ainsi, les encouragements positifs de Savid Javid aux États-Unis à utiliser la peine de mort contre des hommes britanniques privés de leur citoyenneté.
Il y a une classe d'États où le gouvernement central n'a pas suffisamment de contrôle sur ses territoires pour préserver son monopole de la violence. Cela peut inclure la violence à l'encontre de l'État. Mais un autre aspect de cela est la violence sanctionnée par l'État dans la poursuite d'objectifs étatiques par des acteurs non étatiques, faite d'un clin d'œil du gouvernement - les escadrons de la mort et les milices privées, souvent fournies par la CIA, en Amérique du Sud et parfois l'État britannique, par exemple dans le meurtre de Pat Finucane. Dans certains cas, un État pourrait à juste titre être décrit comme un État de gangsters, où des groupes violents agissant pour un gain personnel agissent de concert avec les autorités de l’État, avec des motifs de profit financier personnel des deux côtés.
En ce sens, il me semble juste d'appeler la Grande-Bretagne un État gangster. Elle a sous-traité l’exercice de la violence de l’État, y compris dans certains cas jusqu'à la mort, contre des prisonniers et des détenus d’immigration dans des entreprises, dont G4S, qui n’exercent cette violence que pour en tirer profit. C'est une grande abomination morale que la violence soit exercée contre les humains à des fins lucratives - et il devrait être clair que même dans la plupart des conditions «humaines», la privation de liberté physique est un exercice extrême et chronique de la violence. Je ne nie pas la nécessité d'une telle action à l'occasion pour protéger les autres, mais que l'État partage son monopole de la violence, de sorte que les intérêts commerciaux auxquels la classe politique est étroitement associée puissent générer des profits, est une répugnance morale extrême .
Rory Stewart est apparu sur Sky News ce matin et le tout premier point qu'il a jugé bon de faire était un morceau de shilling passionné au nom de G4S. C'était la première réaction du ministre des prisons à une question sur l'effondrement de l'ordre à la prison de Birmingham en raison des résultats abjects de G4S, montre à la fois l'engagement idéologique des conservateurs envers la privatisation en toutes circonstances, en particulier aussi dans quelle mesure ils sont dans les poches des intérêts financiers - et pas du tout préoccupés par l'intérêt public.
J'ajouterai que les conservateurs incluent les blairistes. Blair et Brown étaient partisans de la privatisation des prisons et souhaitaient même étendre la sous-traitance de la violence de l'État au profit du secteur militaire en déployant des soldats mercenaires, que le New Labour lui-même a consciemment qualifié de "sociétés militaires privées". L’Irak était un exercice majeur dans ce domaine, les mercenaires sous contrat avec le gouvernement britannique dépassant souvent les effectifs britanniques.
RépondreSupprimerLa raison pour laquelle l’État a le monopole de la violence dans toute société est censée être de veiller à ce que la violence ne soit exercée avec prudence, avec regret et en proportion que dans des circonstances inévitables. C’est le devoir le plus profond d’un État de s’assurer que c’est le cas. La sous-traitance de la violence de l'État pour le profit privé devrait être impensable pour toute personne décente.
https://www.zerohedge.com/news/2018-08-21/craig-murray-rages-britains-gangster-state
Faire l'amour en public ? Au Mexique, c'est possible !
RépondreSupprimer09:42 22.08.2018
Une ville mexicaine vient d'adopter une loi autorisant la population à avoir des relations sexuelles en public sans craindre l'intervention de la police.
Les autorités de la ville de Guadalajara dans l'ouest du Mexique ont approuvé une loi autorisant la population à faire l'amour dans les lieux publics, annonce le portail NBC Washington.
Après l'entrée en vigueur de cette loi, la police ne pourra plus interpeller ou verbaliser les exhibitionnistes et les personnes faisant l'amour en public, en voiture ou dans tout autre endroit où leurs actions ne dérangeraient pas les autres.
Selon les autorités, la police doit concentrer ses efforts sur la lutte contre le crime et ne plus interrompre les personnes qui n'ont peut-être tout simplement pas l'argent suffisant pour louer une chambre d'hôtel.
Les détracteurs de cette nouvelle loi estiment qu'elle facilitera la vie aux violeurs et aux pédophiles. Ne pas faire l'amour dans les lieux publics relève de la morale, soulignent-ils.
https://fr.sputniknews.com/international/201808221037764519-mexique-amour-autrorisation/
FRANCE - LES PARCS SANS TABAC EN FONT TOUSSER PLUS D'UN
RépondreSupprimerFlâner dans les allées des espaces verts parisiens sans humer de fumée ni fouler de mégots, c'est la promesse avancée par la capitale.
22.08.2018, 09h49
Un dispositif expérimental - et non pénalisant - mené depuis juillet et jusqu'à l'automne dans six parcs de Paris e séduit en grande partie les non fumeurs mais agace certains adeptes de la cigarette.
«L'idée, c'est de bénéficier d'un square aéré, à l'air pur, sans le tabac et les nuisances que cela procure notamment en matière de déchets, de mégots» explique Geoffroy Boulard, maire du XVIIe arrondissement (dans le nord-ouest de Paris). «Il y a aussi l'enjeu de santé publique : faire prendre conscience que dans un square, il y a des enfants, des personnes âgées... Le tabagisme passif, c'est un enjeu de santé publique», poursuit l'élu LR (droite) qui s'est porté volontaire avec pour exemple le cas de la ville de Strasbourg, dans l'est de la France, et de ses parcs «sans tabac» depuis juin.
Le message véhiculé par les affichettes vertes du square des Batignolles et sur les tracts distribués par la mairie de quartier rencontre un écho favorable chez les passants non-fumeurs.
«Je suis tous les jours dans ce square. Il y a certaines personnes qui fument du tabac, et ça m'arrive d'aller les voir», reconnaît Nadia, auxiliaire parentale. Depuis 2015 et dans toute la France, fumer à proximité d'une aire de jeux pour enfants est passible d'une amende de 38 euros, mais pour cette nourrice, il faudrait «interdire la cigarette là où il y a les gamins. La fumée, les mégots par terre... Il y en a qui jouent avec ça, les mettent dans la bouche».
Pour Ophélie Chapuzet, il s'agit d'une question de confort. «Mine de rien, les fumeurs empêchent les autres de pouvoir respirer normalement. Et si l'on n'aime pas trop avoir l'odeur de fumée sur nous, c'est plutôt pas mal», se réjouit la jeune fille, son déjeuner sur les genoux.
Côté fumeurs, le dispositif est jugé disproportionné. «En plein air, comme ça, c'est excessif» conteste Candice, 46 ans, cigarette à la main, debout sous un platane d'Orient. «Je ne savais pas que c'était interdit. Je me suis déjà éloignée des gens sur les bancs pour respecter leur espace... On en fait vraiment trop».
Pas de répression
Louis, informaticien, vapote sur sa cigarette électronique. Ancien fumeur, il prédit déjà que «bientôt, on n'aura plus le droit de fumer que chez soi». «Evidemment, près des bacs à enfants, ça peut se concevoir. Mais en plein air, ça n'a aucun sens! Sam, jeune auto-entrepreneur, estime ne déranger personne. «Mais on voit quand même beaucoup de parcs avec des mégots par terre, donc pourquoi pas?» Mais l'interdiction «ne va pas (l)'empêcher de fumer.»
Une transgression qui ne l'expose à aucune sanction : les vigiles en charge de la campagne de prévention ne peuvent que rappeler à l'ordre les fumeurs récalcitrants. «L'idée, c'était de ne pas être dans la répression, mais d'informer» relève le maire du XVIIe arrondissement.
Le jet de mégot sur la voie publique est cependant passible de 68 euros d'amende. L'expérimentation des parcs sans tabac doit durer quatre mois, après quoi le Conseil de Paris décidera des suites à y donner. (afp/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/parcs-tabac-tousser/story/15189343
Après les voitures 'sans pot d'échappement' et les anus bouchés à la 'super-glu', voici arriver la planète sans volcans !
SupprimerPUTAIN DE D... QUI ERUCTE !
L'individu, la société et l'État: la «société» est-elle un fantôme ?
RépondreSupprimerLe tout est plus que la somme de ses parties
Par Stefan Blankertz
Équité et liberté
22 août 2018
Comme j'ai été associé à plusieurs reprises à la position «il n'y a que des individus», je commence par une confession: non, ce n'est pas ma position, je l'ai aussi jamais et nulle part. Seul quelqu'un qui n'a jamais lu un mot de moi, et qui projette et revendique une position supposée libérale ou libertaire comme étant la mienne, peut m'y associer.
Le fait que le tout soit plus que la somme de ses parties est un principe de psychologie de la Gestalt auquel je me sens lié. Mais ce principe ne se limite pas aux processus psychologiques. Même le concept de «propriété», si central dans la pensée libérale et libertaire classique, n'a de sens que s'il y a plus d'un individu humain: il a inévitablement un caractère social. «Propriété» est un concept lié à la relation sociale. Le marché et la division du travail qui y est associée montrent clairement que le tout est plus que la somme de ses parties: si tout le monde se débrouille tout seul, tous les individus isolés produisent beaucoup moins que s'ils travaillent ensemble; S'il y a production spécialisée mais pas d'échange commun, tout ce travail est apparemment dénué de sens et sans valeur. Bien entendu, l'argument vaut également pour le contraire: sans l'individu et son engagement, le tout ne vaut rien.
Un autre exemple est la langue. En termes de psychologie et de fonction du développement, le langage a toujours été lié à la société. Un individu humain isolé n'acquiert pas de langage, ne développe pas de langage. Mais sans orateur, la langue ne peut pas non plus exister. Le locuteur rencontre un certain langage, l'utilise et en même temps le modifie dans une certaine mesure. Son langage doit être suffisamment conforme aux règles pour que les autres avec lesquels il est (ou veut être) en conversation le comprennent, et il peut l'adapter au besoin pour ses propres besoins de communication, afin d'exprimer ses intentions.
En revanche, il existe en réalité de nombreux effets sociaux négatifs sur l'individu. Ces effets négatifs sont liés aux concepts de pression de groupe (un groupe veut que l’individu agisse différemment de ce qu’il souhaite), de crime (infliger des préjudices) et surtout de l’Etat: systématiquement et avec une menace de violence monopolisée. Le «groupe» qui est devenu un système exerce une pression sur un grand nombre de personnes et peut leur infliger l’impunité. Dans le système extrêmement complexe de l'étatisme, l'effet de la violence est très éloigné et souvent difficile à analyser. La colère de l'acheteur individuel est dirigée contre le boulanger individuel qui a rendu les rouleaux plus chers, même si la hausse des prix n'est pas due à la cupidité individuelle, mais à des mesures gouvernementales telles que l'augmentation des taxes, l'inflation ou l'expansion des coûts, réglementations intensives.
Tout cela semble trivial, pas plus que des truismes. Le débat prend une tournure idéologique remarquable lorsque le concept de «société» («communauté», «identité de groupe», «culture», «famille») doit servir de justification à la contrainte. Depuis des temps immémoriaux, la référence au fait que l’homme est un «être social» et dépendant de la société a servi à justifier l’affirmation selon laquelle «le roi ou l’État est donc nécessaire». Une autre utilisation du mot «société» tend à dispenser les individus de la responsabilité de leurs actes et à attribuer à la «société» la responsabilité qui a poussé l'individu à agir de la sorte. C'est ce sens idéologique du mot «société» comme un euphémisme pour l'autorité de l'État et le changement de responsabilité, contre lequel Ludwig von Mises a déclaré (parfois cité par Murray Rothbard) qu'il n'y a pas pas une «chose» et certainement pas un «corps» avec sa propre volonté.
RépondreSupprimerCependant, les exemples de marché et de langage montrent clairement que la société ne doit pas exister en tant qu '«organisme» suprême (pouvoir central) pour établir les conditions sociales: la société découle des interactions volontaires des individus. Ceux qui affirment du fait des conditions sociales qu’il en résulte doivent avoir une autorité étatique et que cela se justifie, prétendent en réalité qu’il n’ya pas de socialité autre que la socialité forcée, ce qui n’est évidemment pas le cas. Ceux qui prétendent qu'il n'y a pas de société du tout ne peuvent plus expliquer comment la division du travail (le capitalisme) mène à la prospérité, ou même à la façon dont une communauté de locuteurs de langues se forme.
L'antagonisme ne se pose pas entre la société et l'individu, mais entre la société qui découle de l'interaction volontaire entre les individus et de la société qui est déterminée par un pouvoir central.
À ce stade, les conservateurs et les traditionalistes affirment qu’il existe une multitude de rapports sociaux non étatiques.
Tout cela semble trivial, pas plus que des truismes. Le débat prend une tournure idéologique remarquable lorsque le concept de «société» («communauté», «identité de groupe», «culture», «famille») doit servir de justification à la contrainte. Depuis des temps immémoriaux, la référence au fait que l’homme est un «être social» et dépendant de la société a servi à justifier l’affirmation selon laquelle «le roi ou l’État est donc nécessaire». Une autre utilisation du mot «société» tend à dispenser les individus de la responsabilité de leurs actes et à attribuer à la «société» la responsabilité qui a poussé l'individu à agir de la sorte. C'est ce sens idéologique du mot «société» comme un euphémisme pour l'autorité de l'État et le changement de responsabilité, contre lequel Ludwig von Mises a déclaré (parfois cité par Murray Rothbard) qu'il n'y a pas pas une «chose» et certainement pas un «corps» avec sa propre volonté.
Cependant, les exemples de marché et de langage montrent clairement que la société ne doit pas exister en tant qu '«organisme» suprême (pouvoir central) pour établir les conditions sociales: la société découle des interactions volontaires des individus. Ceux qui affirment du fait des conditions sociales qu’il en résulte doivent avoir une autorité étatique et que cela se justifie, prétendent en réalité qu’il n’ya pas de socialité autre que la socialité forcée, ce qui n’est évidemment pas le cas. Ceux qui prétendent qu'il n'y a pas de société du tout ne peuvent plus expliquer comment la division du travail (le capitalisme) mène à la prospérité, ou même à la façon dont une communauté de locuteurs de langues se forme.
L'antagonisme ne se pose pas entre la société et l'individu, mais entre la société qui découle de l'interaction volontaire entre les individus et de la société qui est déterminée par un pouvoir central.
RépondreSupprimerÀ ce stade, les conservateurs et les traditionalistes affirment qu'il existe une multitude de relations sociales non étatiques dans lesquelles l'individu n'a pas participé activement, mais dans lequel il est né. Cela ne constitue généralement qu'un argument transitoire en ce qui concerne l'affirmation selon laquelle l'État peut découler de ces conditions sociales prétendument «non volontaires» et qu'il ne s'agit que d'une condition parmi d'autres et ne doit pas être critiqué pour ses violations du caractère volontaire. Mais cette argumentation ne reconnaît pas que le critère du caractère volontaire n'est pas l'entrée dans une relation sociale (chaque individu est né dans des conditions sociales existantes), mais le droit de le quitter.
Veuillez noter que le «droit de partir» ne signifie pas qu'un retrait est possible en toutes circonstances, mais que la menace de la violence n'empêche pas une tentative de retrait. Par exemple, un membre d’une expédition polaire qui l’a rejoint volontairement ne pourrait quitter le groupe qu’en risquant la mort; mais aucun autre membre ne l'oblige à continuer à participer à l'expédition. Ou un membre d'une communauté linguistique dans laquelle il est né peut être incapable d'apprendre une autre langue suffisamment bien pour se faire comprendre, mais il n'est pas forcé à bout de bras par un locuteur de sa langue maternelle de continuer à l'utiliser. Ces exemples doivent être opposés à la menace de mort contre quelqu'un qui «renonce» à une foi (qu'il y soit né ou qu'il y ait adhéré volontairement auparavant). Ou avec les réclamations, exécutées par pénalité, pour le paiement de la taxe, le paiement de la licence de télévision, le respect des interdictions de fumer, le port d'une carte d'identité ou d'un passeport, etc.
L'affirmation selon laquelle il ne faut pas faire de distinction entre une mise en forme volontaire et forcée des conditions sociétales est à la portée des auteurs de violences: c'est ainsi qu'ils reçoivent l'absolution.
https://www.lewrockwell.com/2018/08/no_author/the-individual-society-and-the-state-is-society-a-mere-phantom/
La première personne sur Terre s'est dite "Tout çà c'est à moi". Mais, quand et arrivée la seconde personne, il fallut bien s'en remettre à l'évidence que ce n'était que la moitié. Puis, la division se multiplia sans que les territoires n'en souffre de leur étendues en plus des découvertes d'autres.
SupprimerMais, à la question de "Cette pomme est à moi", il fallut bien réfléchir à plus tard. Là, est née l'agriculture permettant de multiplier les pommes et les pommiers et tout alla pour le mieux jusqu'au jour où l'un dit "C'est moi le chef !" 'Le chef ?' qu'est-ce à dire ? Le chef est celui qui a l'épée la plus longue ! Et l'agriculture en souffrit.
La famine ?! La famine était le composé de la répartition des cultures car, nul ne pouvait vivre de son jardin sans les consommables d'ailleurs.
Et, comme chaque échange/transport était taxé, les peuples vécurent dans la misère et le ou les chefs dans l'opulence.
Génocide de la nation grecque
RépondreSupprimerPar Paul Craig Roberts
PaulCraigRoberts.org
22 août 2018
La couverture politique et médiatique du génocide de la nation grecque a débuté hier (20 août) avec l’Union européenne et d’autres déclarations politiques annonçant la fin de la crise grecque. Ce qu’ils veulent dire, c’est que la Grèce est finie et morte. Il a été exploité au maximum et les carcasses ont été jetées aux chiens.
350 000 Grecs, principalement des jeunes et des professionnels, ont fui la Grèce morte. Le taux de natalité est bien inférieur au taux nécessaire pour soutenir la population restante. L'austérité imposée au peuple grec par l'UE, le FMI et le gouvernement grec a entraîné une contraction de l'économie grecque de 25 %. Le déclin est l'équivalent de la Grande Dépression américaine, mais en Grèce, les effets ont été pires. Le président Franklin D. Roosevelt a atténué l'impact du chômage massif avec la loi sur la sécurité sociale, d'autres éléments d'un filet de sécurité sociale, tels que l'assurance-dépôts et les programmes de travaux publics, alors que le gouvernement grec le chômage en supprimant le filet de sécurité sociale.
Traditionnellement, lorsqu'un pays souverain, qu'il s'agisse de corruption, de mauvaise gestion, de malchance ou d'événements imprévus, se soit retrouvé dans l'impossibilité de rembourser ses dettes, les créanciers du pays ont amorti les dettes au niveau du pays endetté.
Avec la Grèce, il y a eu un changement de jeu. La Banque centrale européenne, dirigée par Jean-Claude Trichet, et le Fonds monétaire international ont statué que la Grèce devait payer l'intégralité des intérêts et du principal de ses obligations d'État détenues par des banques allemandes, néerlandaises, françaises et italiennes.
Comment cela at-il été réalisé ?
À deux égards, les deux ont considérablement aggravé la crise, laissant la Grèce aujourd'hui dans une situation bien pire qu'au début de la crise, il y a près de dix ans.
Au début de la "crise", qui aurait facilement pu être résolue en réduisant une partie de la dette, la dette grecque représentait 129 % du produit intérieur brut grec. Aujourd'hui, la dette grecque représente 180% du PIB.
Pourquoi ?
La Grèce s'est vu accorder plus d'argent pour payer des intérêts aux créanciers de la Grèce, de sorte qu'ils n'auraient pas à perdre un cent. Le prêt supplémentaire, appelé "renflouement" par les médias financiers, n’était pas un plan de sauvetage de la Grèce. C'était un plan de sauvetage des créanciers de la Grèce.
Le régime d'Obama a encouragé ce renflouement, car les banques américaines, prévoyant un renflouement, avaient vendu des contrats d'échange sur défaut sur la dette grecque. Sans un renflouement, les banques américaines auraient perdu leur pari et payé une assurance sur les obligations grecques.
En outre, la Grèce était tenue de vendre ses biens publics aux étrangers et de décimer le filet de sécurité sociale grec, en réduisant les retraites, par exemple, à des revenus inférieurs à la subsistance et en réduisant radicalement les soins médicaux.
Si ma mémoire est bonne, la Chine a acheté les ports maritimes grecs. L'Allemagne a acheté l'aéroport. Diverses entités allemandes et européennes ont acheté les compagnies d'eau municipales grecques. Les spéculateurs immobiliers ont acheté des îles grecques protégées pour le développement immobilier.
Ce pillage des biens publics grecs ne visait pas à réduire la dette de la Grèce. Avec les nouveaux prêts, il a payé les intérêts.
RépondreSupprimerLa dette, plus grande que jamais, existe toujours. L'économie est plus petite que jamais, tout comme la population grecque qui supporte la dette.
La déclaration de la fin de la crise grecque n'est qu'une déclaration selon laquelle il n'y a plus rien à retirer du peuple grec pour l'intérêt des banques étrangères. La Grèce coule vite. Tous les revenus associés aux ports de mer, aux aéroports, aux services municipaux et au reste des biens publics qui ont été privatisés de force appartiennent désormais à des étrangers qui retirent l’argent du pays, entraînant ainsi davantage l’économie grecque.
Les Grecs ne se sont pas seulement fait voler leur avenir économique. Ils ont également perdu leur souveraineté. La Grèce n'est pas une nation souveraine. Il est dirigé par l'UE et le FMI. Dans mon livre de 2013, L'échec du capitalisme du laissez-faire, dans la partie III, «La fin de la souveraineté», j'ai décrit clairement comment cela a été fait.
Le peuple grec a été trahi par le gouvernement Tsipras. Ils avaient la possibilité de se révolter et d'utiliser la violence pour renverser le gouvernement qui les vendait à des banquiers internationaux. Au lieu de cela, les Grecs ont accepté leur propre destruction et n'ont rien fait. La population grecque s'est essentiellement suicidée.
La crise financière mondiale de 2008 n'est pas terminée. Il a été balayé par la création massive d’argent par les banques centrales américaines, européennes, britanniques et japonaises. La création de monnaie a largement dépassé la croissance de la production réelle et a fait augmenter la valeur des actifs financiers au-delà de ce qui peut être soutenu par les "conditions sur le terrain".
Il reste à voir comment se déroule cette crise. Cela pourrait entraîner la destruction de la civilisation occidentale. Le chien va-t-il manger un chien? Après la Grèce, y aura-t-il l'Italie, l'Espagne, le Portugal, la France, la Belgique, l'Australie et le Canada jusqu'à ce qu'il n'en reste plus ?
L'intégralité du monde occidental vit dans des mensonges fomentés par de puissants groupes d'intérêt économique pour servir leurs intérêts. Il n'y a pas de médias indépendants, sauf en ligne, et ces éléments sont diabolisés et leur accès est refusé. Les peuples qui vivent dans un monde d’informations contrôlées n’ont aucune idée de ce qui leur arrive. Par conséquent, ils ne peuvent pas agir dans leur intérêt.
https://www.lewrockwell.com/2018/08/paul-craig-roberts/genocide-of-the-greek-nation/
SupprimerQue reste t-il à prendre aux pauvres ? La vie !
Les morts sont remplacés par des immigrés riches et sans instruction.
Nouvelles données sur la confiscation des biens civils
RépondreSupprimerUn nouveau rapport révèle combien de fois et pourquoi la police et les procureurs prennent possession des personnes non condamnées pour un crime
Nouvelles données sur la confiscation d'actifs civils en 2017
CONNOR BOYACK
29TH JUN '18
Nous avons déjà proposé une législation - qui a reçu un soutien unanime - qui exige que le gouvernement fournisse des données à chaque fois que des biens sont confisqués en raison de la confiscation de biens.
Le dernier rapport, compilant des données pour 2017, vient d'être publié par la Commission de l'Utah sur la justice pénale et juvénile.
En ce qui concerne les confiscations par l'État, le rapport révèle les données suivantes (voir ci-dessous pour les confiscations fédérales):
Il y a eu 334 cas de confiscation par l'État et 88 % d'entre eux ont été jugés par un tribunal civil, où le propriétaire n'a pas à être accusé d'un crime, encore moins à le condamner.
96 % des confiscations concernaient des infractions liées à la drogue.
L'argent était perdu dans presque tous les cas; la valeur médiane prise n'était que de 1 071 dollars.
64% des cas concernaient un jugement par défaut, où le propriétaire a choisi de ne pas combattre la confiscation devant un tribunal.
Un total de 2 180 290 $ en espèces a été perdu. Les autres biens confisqués se chiffraient à environ 401 653 dollars.
87 % des cas ont indiqué qu'une accusation criminelle était associée à la saisie, 58 % ayant abouti à une condamnation.
Étant donné que de nombreuses confiscations sont effectuées devant un tribunal fédéral, les exigences en matière de rapports ont été modifiées l'an dernier pour exiger également la publication de données sur ces confiscations afin d'obtenir un aperçu complet du problème. Voici quelques points saillants:
Il y a eu 110 cas de confiscation fédérale, dont 61% ont été traités par la Drug Enforcement Administration. 5% ont été jugés par un tribunal civil et 11% par un tribunal administratif; 80 % ont été traités devant un tribunal pénal.
Le programme de partage équitable du gouvernement fédéral permet aux organismes d'application de la loi locaux de conserver 80% du produit de la confiscation fédérale. En 2017, les agences ont reçu un total de 1 118 850 dollars grâce à ce programme.
69 % des affaires concernaient des infractions présumées liées aux stupéfiants, 29 % à des allégations de blanchiment d'argent.
Un récent sondage des électeurs de l'Utah a montré que 86 % des personnes interrogées s'opposent aux lois de confiscation des biens civils qui permettent à une personne de ne pas avoir été inculpée d'un crime de prendre des biens en permanence.
Un principe fondamental de notre système de justice pénale est que les personnes sont présumées innocentes jusqu'à preuve du contraire. Cette idée est violée lorsque le gouvernement peut légalement voler les biens d’une personne présumée innocente. À ce titre, nous continuons à insister pour que des réformes garantissent que seules les personnes coupables d’un crime soient passibles de la possession permanente de leurs biens par le gouvernement.
https://libertasutah.org/justice-and-due-process/new-data-on-civil-asset-forfeiture-in-2017/
PROCESSUS DE JUSTICE ET DUE
RépondreSupprimerComment les anciens criminels peuvent-ils sortir de leur passé ?
MOLLY DAVIS
31ST JUL '18
Lorsque l'on dit adieu de la vie derrière les barreaux, on s'attend à ce que les anciens détenus restent en dehors des problèmes - peut-être trouver un emploi ou retourner à l'école, pour les aider à réussir une transition pacifique vers une vie stable. Bien que cela puisse être le but ultime, le gouvernement ne facilite pas exactement la réalisation de ces progrès. Des lois contraignantes associées à une stigmatisation sociale rendent extrêmement difficile la lutte contre la myriade d’obstacles qu’elles rencontrent sur le chemin d’une vie productive.
Imaginez quelqu'un qui a pris une mauvaise décision dans son passé, entraînant un délit mineur. Ils ont terminé leur programme de probation il y a longtemps et des années se sont écoulées depuis qu'ils ont commis le crime au départ. On pourrait penser que leur vie serait revenue à la normale, mais malheureusement, ce n’est pas le cas.
Les personnes qui ont eu des démêlés avec la loi dans leur passé sont toujours confrontées à des luttes à long terme en raison de leur ombre persistante, que ce soit une arrestation ou un casier judiciaire. Cette ombre les suit partout, créant une tache sombre sur les demandes d'emploi et les visionnements de tâches. Les gens se voient refuser des opportunités pour lesquelles ils sont surqualifiés, refusés pour un logement dans des endroits où ils peuvent se permettre, et déclarés inéligibles aux prêts étudiants en raison de leur histoire. Leur meilleure chance de surmonter ces obstacles est de rendre cette partie de leur passé invisible aux autres par une radiation.
S'élevant à un minimum de 265 $ pour une demande, un certificat et des frais de dépôt, il n'est pas facile d'obtenir des indemnités dans l'Utah, en particulier pour les Utahns à faible revenu qui cherchent à retrouver une vie productive. Ces coûts peuvent augmenter s'ils engagent un avocat pour aider au processus ou si plusieurs dossiers doivent être supprimés. Une fois la demande soumise, le traitement des documents pourrait prendre jusqu’à six mois en raison du volume élevé de demandes chaque mois.
Même une personne accusée, jugée et déclarée non coupable dans un procès doit toujours payer son arrestation au-delà des coûts de la caution. La loi de l'Utah n'autorise pas automatiquement les dossiers d'arrestation à disparaître si l'accusé est acquitté. La personne doit toujours supprimer le dossier si elle veut que les preuves soient détruites - ce qui signifie que des innocents doivent payer même s’ils n’ont rien fait de mal.
Le long processus de radiation et les frais correspondants affectent de manière disproportionnée les personnes à faible revenu qui s'inquiètent des défis plus immédiats, comme la façon de payer le loyer du mois prochain, plutôt que la façon de dédouaner leur dossier. Ils peuvent demander une dispense des frais de radiation, mais ce n'est pas une partie standard du processus et ils ne sont pas souvent donnés, ce qui signifie que peu de gens savent que cette option existe.
L’Utah devrait envisager d’accorder des dispenses de frais pour les personnes à faible revenu qui ont besoin d’être radiées.
Dans le comté de Salt Lake City, plus de 500 personnes ont eu accès à des services juridiques gratuits pour enregistrer leur dossier avec l'aide d'une coalition privée et publique qui a organisé une journée de démolition gratuite. Cet événement a permis de rappeler que de nombreuses personnes ont servi leur temps et ont payé leurs dettes, mais ne sont jamais en mesure de sortir complètement de leur passé en raison d’obstacles financiers les empêchant de demander un dossier clair.
RépondreSupprimerLes individus ne sont pas les seuls touchés par leur passé, mais le marché du travail dans son ensemble. Lorsque d'anciens prisonniers et des criminels ne trouvent pas de travail, une étude a révélé que l'économie avait un impact négatif sur le PIB annuel des États-Unis, qui se situait entre 78 et 87 milliards de dollars.
Les restrictions de temps constituent une autre difficulté pour ceux qui ont un passé criminel. Ils ne sont pas éligibles à la radiation sauf s'ils ont attendu entre trois et dix ans, en fonction de la gravité du crime. Il n’ya pas d’exception à réduire cette période d’attente, même avec une petite marge, même si les individus ont payé tous leurs frais, purgé leur peine, suivi les ordonnances du tribunal et rempli les exigences obligatoires.
Au lieu de compter uniquement sur la punition pour obliger les gens à suivre les ordonnances des tribunaux, l'État pourrait également récompenser les bons comportements en scellant, mais non en détruisant, les dossiers des ex-condamnés éligibles. À la fin du délai obligatoire, leurs dossiers seraient automatiquement supprimés. Ce "processus en cours d'élimination" inciterait les individus à rester sur la bonne voie, leur permettant d'accéder à davantage d'opportunités économiques qui, autrement, n'auraient pas été disponibles avec un casier judiciaire public.
À l'heure actuelle, même sceller ce dossier ne cacherait pas le passé de la personne au gouvernement lui-même, ce qui signifie que les travailleurs ayant besoin d'un permis d'exercer leur profession se verraient refuser la permission de travailler dans la profession choisie. La loi de l’Utah devrait changer de telle sorte que la Division des licences professionnelles et professionnelles reconnaisse ce statut en suspens et permette aux demandeurs d’être licenciés.
Les personnes qui ont payé leur "dette envers la société" et qui sont restées sans crime ne devraient pas être pénalisées toute leur vie. Ils devraient avoir la possibilité de recommencer à zéro et de commettre leurs erreurs de manière permanente dans le passé. Jusqu'à ce que l'Utah abaisse ou renonce aux frais pour les personnes à faible revenu, et que la loi incite à un bon comportement, les lois relatives à la radiation continueront à constituer un obstacle majeur pour les personnes qui tentent de sortir de leur passé.
https://libertasutah.org/justice-and-due-process/how-can-former-criminals-move-on-from-their-past/
En Californie, un condamné deux fois n'a pas une troisième chance, s'il vole ou commet un méfait quelconque anodin une 3è fois: il est interné à vie !
SupprimerPas l'oignon: L'organisation de santé Cali remplace le mot "vagin" par un "avant-trou"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 08/22/2018 - 20:55
Auteur de Betsy Rothstein via The Daily Caller,
Bien que le titre puisse sembler provenir directement de «The Onion», ce n’est pas le cas.
Si seulement.
Au lieu de cela, Healthline, un fournisseur d'informations sur la santé en Californie, essaie de ruiner le terme "vagin". Le mot qu'ils préfèrent ? "Trou avant."
Et oui, brute.
Autres histoires sur le site: Pourquoi les femmes devraient-elles ramener les poils du corps ? "Il est temps de changer ce que nous ressentons à propos des poils", dit la pièce. (Ne regardez pas ça pendant que vous déjeunez.) Il y a aussi un morceau de "Editor's Picks" sur le fait de retirer les organes génitaux du mélange pour raviver une vie sexuelle en déclin. Ils suggèrent une «liste de position de sexe». Par exemple, «île de cuisine de bonjour.
Mais revenons à ce v-mot embêtant.
Selon le guide sex-ed de Healthline, «des taux plus élevés de VIH et de MST résultent directement de la discrimination», rapporte Caldron Pool, un site chrétien de droite.
"Il est impératif que les guides sur la sexualité sans risque deviennent plus inclusifs pour les personnes LGBTQIA et les personnes non binaires."
L'accroche:
"Aux fins de ce guide, nous désignerons le vagin comme un" trou avant "au lieu d'utiliser uniquement le terme" vagin "."
Oh mon Dieu.
Les termes "pénis" et vulve sont également menacés. "Ils préfèrent le mot "parties" à tous les niveaux.
Voici pourquoi:
"La notion selon laquelle un pénis est exclusivement une partie du corps de l'homme et la vulve est exclusivement une partie du corps de la femme est inexacte. En utilisant le mot «parties» pour parler des organes génitaux et en utilisant des termes médicaux pour l'anatomie sans y associer un genre, nous devenons beaucoup plus capables de discuter efficacement de rapports sexuels protégés d'une manière claire et inclusive.
Donc, si je vais aux urgences et que je dis que mes "parties" font mal, les médecins sauront sûrement ce que je veux dire.
The Mirror a essayé de contacter Charles Hodgkins, le principal copyrighter et responsable du contenu de la newsletter du site, mais en vain. L'appel est une expérience fastidieuse. La voix d'une femme vous offre six options, dont aucune ne vous mène à un être humain avec des "parties" ou un "trou avant".
Consultez le guide santé ici:
https://www.zerohedge.com/news/2018-08-22/not-onion-cali-health-org-replaces-vagina-gender-inclusive-front-hole
(...) En utilisant le mot «parties» pour parler des organes génitaux et en utilisant des termes médicaux pour l'anatomie sans y associer un genre, nous devenons beaucoup plus capables de discuter efficacement de rapports sexuels protégés d'une manière claire et inclusive. (...)
SupprimerBientôt la guerre des 'parties' ? Partis de gauche ou partis de droite ?
Avant-trou et trou-arrière ?
Et la bouche 'trou-du-haut ?
"Poop Patrollers" à San Francisco: 185 000 $
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 08/22/2018 - 18:21
Nous souhaiterions pouvoir dire que c'était une œuvre de satire, mais une nouvelle histoire dans le San Francisco Chronicle révèle à quel point la collecte de fonds est lucrative.
Ce n'est que la dernière d'une série de révélations choquantes qui ont fait la une des journaux tout au long de l'été, révélant à quel point la crise de San Francisco de grandes quantités de matières fécales dans ses rues publiques (sans jeu de mots).
Nous avons détaillé la semaine dernière comment les autorités municipales ont finalement décidé de faire quelque chose après des milliers de plaintes relatives à des excréments (pendant une semaine en juillet, plus de 16 000 ont été enregistrées), l'annulation d'une grande convention médicale et absolument choqué après avoir traversé sa ville: ils ont créé une "patrouille de caca" professionnelle.
Tel que décrit lors du dévoilement initial du plan par la ville, la patrouille consistera en une équipe de cinq membres portant un équipement de protection et patrouillant les allées autour de la rue Polk et d’autres «zones brunes» à la recherche d’hépatites -logs. Un véhicule spécial équipé d'un nettoyeur à vapeur et d'un désinfectant sera mis à la disposition de la police.
Les équipes commenceront leurs quarts de travail l'après-midi, repérant et nettoyant des tas de matières fécales avant que la ville ne reçoive des plaintes afin "d'être proactive", selon le directeur des travaux publics, Mohammed Nuru, co-créateur de l'initiative.
Alors qu'à première vue, il ne semble pas que le type de personnes à la recherche de ressources humaines soit voué à l'échec, le SF Chronicle a révélé à quel point chaque membre de cette équipe de patrouille de merde apparemment élite coûtera à la ville: 184 678 $ en salaires et avantages sociaux.
La figure étonnamment élevée est enterrée au milieu de l’histoire de SF Chronicle sur les promenades matinales du maire London Breed dans les rues du centre-ville avec son personnel, sans prévenir ses forces de police et ses chefs de département.
Après avoir cité le maire Breed, qui reconnaît que «nous dépensons beaucoup d’argent pour résoudre ce problème», les postes budgétaires suivants de San Francisco Public Works sont présentés:
Un budget de 72,5 millions de dollars par an pour le nettoyage des rues
12 millions de dollars par an sur ce qui est devenu essentiellement des services d'entretien ménager pour les campements pour sans-abri
2,8 millions de dollars pour une équipe de Hot Spots afin de nettoyer les camps et d'enlever tout risque biologique
2,3 millions de dollars pour les nettoyeurs à vapeur de rue
3,1 millions de dollars pour les toilettes portatives Pit Stop
364 000 $ pour une équipe de quatre membres
Un montant supplémentaire de 700 000 $ est prévu pour une équipe de nettoyage de l'aiguille de 10 membres, avec sa propre fourgonnette.
Et surtout, la nouvelle «Poop Patrol», d'une valeur de 830 977 $ par année, vise à chasser activement et à nettoyer les déchets humains.
Le SF Chronicle note entre parenthèses: «Au fait, les patrouilleurs de caca gagnent 71 760 dollars par an, ce qui porte leur total à 184 678 dollars avec des prestations obligatoires».
Screengrab via KTVU San Francisco
RépondreSupprimerBien que nous soyons sûrs que le budget de 11,5 milliards de dollars de la ville permettra de faire face aux coûts de nettoyage, qui vont probablement exploser davantage, nous ne savons pas comment réagiront les propriétaires fonciers qui devront payer de lourdes taxes foncières .
Nicole Malliotakis
@NMalliotakis
Les politiques de tutelle entraînent des conséquences délétères. Tout comme le maire de Blasio et le NY Crazy Council, San Francisco pensait que c'était une bonne idée de décriminaliser la miction et la défécation du public. Maintenant, ils doivent dépenser près de 1 million de dollars pour nettoyer le caca. https://www.sfchronicle.com/bayarea/heatherknight/article/It-s-no-laughing-matter-SF-forming-Poop-13153517.php ...
01h28 - 15 août 2018
Il n'y a pas de quoi rire - SF forme Poop Patrol pour garder les trottoirs propres
Dans une ville où la plainte numéro 1 de nombreux habitants est un trottoir sale, le City Hall a trouvé une nouvelle façon de traiter le problème n ° 2. Cela ressemble à une plaisanterie insipide au niveau élémentaire, mais c'est réel. San ...
sfchronicle.com
Et avec des places limitées sur la nouvelle équipe de patrouille des caca et un salaire et des avantages sociaux avoisinant les 200 000 dollars, on peut imaginer que les gens pourraient réfléchir à la possibilité de pelleter de la merde sur une base professionnelle.
La seule question qui reste est peut-être la suivante: quel type de CV faut-il avoir pour se hisser au sommet ?
https://www.zerohedge.com/news/2018-08-22/san-francisco-poop-patrollers-make-185000
SupprimerLe nettoyage-vapeur permet d'éclabousser les devantures de magasins comme les voitures garées contre le trottoirs et aussi parfois... les passants !
Comment un marché libre produit inévitablement une dictature
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 08/22/2018 - 23:25
Rédigé par Eric Zuesse via The Strategic Culture Foundation,
Qui gouverne la terre ?
Une version plus profonde et plus vraie de cette question est: Qu'est-ce qui gouverne la terre ? Est-ce l'argent (l'aristocratie), ou est-ce le peuple (le public, les habitants de cette terre) ? (Pour l'intérêt des paléoconservateurs, la question de la citoyenneté des résidents viendra plus tard ici, en tant qu '"immigrés" plutôt qu'en tant que "citoyenneté"; notre objectif principal n'est pas l'ethnicité / nationalité; les indigènes, contre les étrangers.)
Dans une démocratie, la règle publique - les gens le font - et sur une base authentiquement une personne-un-vote, et toute personne résidant dans ce pays peut facilement voter, comme toute autre personne qui vit là-bas, car seul le ou les résidents, pendant la période spécifique du scrutin, sont les décideurs ultimes, sur cette terre, et sur ses lois. C’est ce qu’une démocratie est: il s’agit d’une voix un contre un et, au sens politique, c’est l’égalité totale des droits et l’égalité totale des obligations - l’égalité réelle et totale: égalité des droits, et des obligations égales pour tous les résidents. Une démocratie applique les mêmes exigences à tous.
Cela ne signifie pas que les individus sont égaux dans leurs capacités et dans leurs besoins, et donc ce n’est pas une déclaration sur l’économie; c'est purement une déclaration sur le gouvernement - une question politique. L'économie est une affaire distincte, même si elle dépend fortement du gouvernement - les lois en vigueur et appliquées. Beaucoup de gens confondent ces deux domaines et pensent à tort que l'économie est fondamentale pour le gouvernement.
Donc: l'économie dépend du gouvernement; le gouvernement détermine l'économie, qui, dans n'importe quelle terre, dépend fortement des lois en vigueur et appliquées - le gouvernement.
Que seuls les "personnes physiques" qui contrôlent une démocratie - pas de collectifs de quelque type que ce soit, corporatifs ou autres - peuvent voter, car si c'était le cas, ce serait un moyen facile d'y établir une dictature: un nombre quelconque de "personnes artificielles" qui pourraient voter ou pourraient acheter des votes (par exemple en achetant des médias d'information à la réalité en vendant des politiciens et des positions politiques aux électeurs), et cet argent pourrait produire un pays contrôlé plus en dollars, que par des propriétaires (c.-à-d. par des personnes réelles, des électeurs - pas par des "personnes" artificielles telles que les collections de richesses connues sous le nom de sociétés). Si les collections de richesse pouvaient voter, cela inviterait à contrôler la terre par la richesse (le nombre de dollars) plutôt que par le nombre réel de résidents. Il pourrait même produire un contrôle par la richesse étrangère. Les étrangers pourraient finir par contrôler le pays si le nombre de dollars est un facteur plus déterminant de qui régit que le nombre d'électeurs.
De toute évidence, aucune démocratie ne permettra aux étrangers de contrôler la terre. L'impérialisme est incompatible avec la démocratie; tout empire est dictatorial, de par sa nature même. Cela implique la dictature sur les habitants de ses colonies, même si ce n'est pas nécessairement sur les habitants de la terre impériale qui a conquis la zone coloniale.
Empire est compatible avec un marché libre, mais il est incompatible avec la démocratie. Aucun empire n'est démocratique, car chaque colonie est dirigée par des non-résidents. (Si la colonie était gouvernée par ses résidents, ce ne serait pas une colonie et il n'y aurait pas d'empire.)
Une fédération n'est pas un empire. La différence entre eux est que, alors que dans une fédération, le droit à l'autodétermination des peuples prime sur l'intérêt de la fédération à maintenir le statu quo; dans un empire, il n'y a pas de tel droit - un empire est une dictature.
RépondreSupprimerLa propagande pour un marché libre est financée très lourdement par des milliardaires tels que les frères Koch et George Soros, car le contrôle des pays est naturellement contrôlé par la richesse, plutôt que par le contrôle des citoyens (et certainement pas par les résidents). économie de marché existe là-bas. Les milliardaires font tout ce qui augmente leur pouvoir; et, au-delà d'environ 100 000 dollars par an de revenu, toute richesse supplémentaire n'apporte aucun bonheur ou satisfaction supplémentaire, mais seulement un statut supplémentaire qui, pour les individus qui se trouvent entre ces catégories, découle d'une augmentation de leur pouvoir. de la richesse, l'argent lui-même n'est plus un objet, seul le statut est, et le statut supplémentaire ne peut être dérivé que d'un pouvoir supplémentaire. Tous les résultats empiriques en sciences sociales sont compatibles avec cela; et, alors que le revenu de la plupart de ces études, au-delà duquel des dollars supplémentaires ne procurent aucun bonheur supplémentaire au propriétaire, a été de 75 000 dollars par an, il y a eu de l'inflation depuis que ces études ont été réalisées -pour l'exercice est le point de revenu au-delà duquel seul le statut est augmenté du revenu supplémentaire; le bonheur ou la satisfaction ne sont pas augmentés par le revenu supérieur à ce point. Ceci est une déclaration sur la nature; c'est la réalité dans laquelle tout marché - libre ou non - existe. C'est la "nature humaine" et cela est fondamental pour toutes les sciences sociales qui concernent l'homme, y compris la science politique et l'économie.
Dans la théorie économique, l’expression traditionnellement utilisée pour désigner cette réalité, avant même que des études empiriques récentes aient montré que la réalité était ainsi, était «l’utilité marginale décroissante de l’argent». sont pour le statut, pas pour le bonheur. Quiconque n'a aucune dépendance au statut ne se soucie pas de recevoir plus d'argent au-delà de ce montant. Au-delà de ce montant, l'utilité marginale supplémentaire de chaque dollar reçu est en réalité nulle. Le dépendant de la richesse pourrait se venger, mais cela ne lui ferait aucun bien; cela ne rendra pas la personne plus heureuse. C'est la réalité, maintenant prouvée dans de nombreuses études empiriques.
Cette réalité a des conséquences politiques majeures. Le premier est qu'un pays avec une richesse très concentrée (les 50 % les plus modestes ne possèdent presque rien) sert les dépendances de quelques-uns, et non les besoins du plus grand nombre. une dictature de la richesse, ce qui détermine le pouvoir n'est pas les électeurs mais les dollars.
Le philosophe libertaire Hans-Hermann Hoppe est un défenseur philosophique important des marchés libres. En 2001, Hoppe publia sa DEMOCRATIE: Le Dieu qui échoua, considérée comme un chef-d’œuvre libertaire. Hoppe a soutenu sans aucune objection là que le libertarisme et le conservatisme ne font qu'un - et qu’il le voulait, passionnément: il détestait la démocratie. Contrairement à de nombreux libertariens, qui prétendent à tort que la démocratie est impossible sans le libertarianisme (un marché libre), Hoppe a reconnu et soutenu l’incohérence mutuelle entre le libertarianisme et la démocratie. Bien que je ne partage pas sa préférence pour une règle par la richesse plutôt que par une règle des résidents, et donc il est un opposant idéologique - le contraire d'un partisan de ma propre position, comme il est présenté ici (et beaucoup plus brièvement que son tome) - Je le considère comme le philosophe libertaire le plus complet et le plus cohérent sur le plan interne, et peut-être le philosophe politique libertaire le plus important de notre siècle. Alors que beaucoup de gens se disent "libertaires", il est en fait - pleinement - cela. Bien sûr, certains libertariens ne sont pas d’accord avec le point de vue de Hoppe; mais, le 30 août 2011, Michael Lind à salon.com a titré "Pourquoi les libertariens s'excusent pour l'autocratie: l'expérience de chaque Etat-nation démocratique prouve que le libertarianisme est incompatible avec la démocratie".
RépondreSupprimerHoppe plaide non seulement pour une aristocratie, mais pour une héréditaire, et il s'oppose même à l'immigration; alors, s'il était démocrate, il exclurait tout simplement les immigrés. Mais il n'est même pas très démocrate. Et il approuve surtout la monarchie héréditaire. La raison de cette préférence est le libertarianisme traditionnel, qui privilégie le privé par rapport au public: «Les monarchies héréditaires représentent l'exemple historique des gouvernements privés et des républiques démocratiques des gouvernements publics». Le libertarisme s'oppose à la propriété publique et favorise le privé.
Comme tout philosophe, Hoppe a ignoré des questions cruciales pour vendre son cas (après tout, il s’agit d’un cas philosophique et non scientifique; c’est de la propagande idéologique qui prétend que le libertarisme est bon - au lieu d’être scientifique); Et la chose la plus intéressante qu’il a évité de discuter de cela est l’anti-trust, l’anti-monopole et l’anti-oligopole - les questions de concentration du pouvoir. Il ignore ces problèmes. Par exemple, chaque fois qu’il emploie le terme «monopole», il se réfère uniquement à «gouvernement», jamais à l’économie (il suppose que sur un marché libre, il ne peut y avoir d’oligopoles ou de monopoles). une manivelle (un théoricien politique du marché libre et par conséquent une personne qui nie implicitement que le gouvernement est fondamental pour une économie, et qui prend le contre-pied que le gouvernement se fonde plutôt sur l’économie), L'érudition ne signifie pas nécessairement être scientifique, et la réalité scientifique est que le problème politique n'est pas «le monopole du gouvernement sur le pouvoir», mais plutôt toute concentration de pouvoir - monopoles et oligopoles. - qui n'incluent pas à la fois les droits et les obligations dans la société, de sorte que quelques personnes (l'aristocratie) ont de nombreux droits et peu (voire pas) d'obligations, la plupart des citoyens (le public) ont peu de droits et d'obligations. Ce type de société est appelé «dictature». Plus elle existe, plus elle existe - et, par conséquent, moins il peut exister de démocratie.
La question fondamentale en science politique n'est pas la "liberté" par opposition à "l'esclavage" (deux concepts en économie); c'est la démocratie contre la dictature (deux concepts en politique).
RépondreSupprimerLe pouvoir précède l'économie; il dirige l'économie, si et où une économie existe même.
La démocratie est naturelle là où la richesse est distribuée à peu près également. La dictature est naturelle là où la richesse est extrêmement inégalement répartie. Ce dernier est vrai car aucune nation ne peut maintenir une démocratie si la richesse est très inégale. Si la richesse est très égale, alors la possibilité pour la démocratie d'émerger est substantielle. Mais si la richesse est très inégale, la possibilité pour la démocratie d’exister dans une certaine mesure est faible. Tous les gens extrêmement riches devraient être honnêtes pour pouvoir tolérer la domination de la majorité. Autrement, ils utiliseraient simplement leurs médias pour tromper plutôt que pour informer le public: ce que les gens des «nouvelles» seraient payés pour dissimuler de vrais problèmes et fabriquer «la réalité» - manipuler le public , au lieu d'informer le public. Si la répartition des richesses est très inégale, les «nouvelles» seront payées pour tromper le public plutôt que pour informer le public. Ceci (et cela inclut les fondations «caritatives») est la raison pour laquelle la majorité du public en est venue à croire l'affirmation fausse et profane que «avoir une classe riche est un avantage» pour le public. Ils ont été trompés.
La plupart du monde est dictatorial. C'est parce que, presque partout, la richesse et même le revenu sont distribués de manière extrêmement inégale. Les lois et leur application déterminent la répartition des richesses et des revenus. La tendance naturelle est à la dictature, car un marché libre produit une concentration économique accrue. La démocratie n'est pas naturelle. La dictature est naturelle. Ce qui est naturel pour une politique du corps, c'est de satisfaire des dépendances et non de satisfaire des besoins.
À mesure que l'inégalité de la richesse augmente, la corruption augmente également. Des études empiriques montrent que les personnes qui réussissent ont tendance à être mauvaises: il est naturel que les écumes et non la crème se hissent au sommet des organisations. Ainsi, plus une personne est riche, plus la personne a tendance à être pire. Et ce n'est pas que cela, mais le succès lui-même a tendance à rendre une personne pire que la personne avant le succès. Donc, il est naturel qu'au plus haut niveau, tendent à être les pires personnes. Un bon gouvernement n'est pas naturel; le mauvais gouvernement est naturel. Un bon gouvernement n'est pas naturel.
La corruption est la règle par la tromperie. Un exemple de la façon dont cela fonctionne au niveau fédéral-gouvernemental est ici. Un exemple de cela plus en détail est ici. Un autre exemple détaillé de ce type, mais au niveau du gouvernement local ou local, est ici. Et un exemple de cela au sein des universités et des organismes de réglementation fédéraux est ici. Ainsi, dans un pays où les inégalités de richesse sont extrêmes, la manière dont le public consent, selon la règle des milliardaires, est la tromperie - un fléau qui caractérise l'ensemble de la politique et de la société. C'est ainsi que se produit une extrême inégalité de richesse. Cela ne peut pas être fait honnêtement. Transparency International a signalé que la corruption et l’exclusion sociale ou le fanatisme ont tendance à aller de pair, mais a ignoré la relation possible entre la corruption et la distribution économique de la richesse ou des revenus. Peut-être que les milliardaires qui financent TI ne veulent pas que ces corrélations soient signalées, si elles existent; Donc, TI ne l’enquête pas.
La raison pour laquelle un marché libre augmente inévitablement la dictature est que la dictature est naturelle, tout comme un marché libre lui-même est naturel et que le pouvoir existe partout pour bouleverser et renverser toute égalité qui pourrait exister dans les deux sphères. Le pouvoir est naturel. Aucune économie n'existe mais ce pouvoir existe déjà. La sphère politique préexiste à la sphère économique. La réalité fondamentale, dans toute société, est le pouvoir.
RépondreSupprimerAinsi, la question a toujours été: quelles règles ? Est-ce la richesse ? Ou est-ce le peuple ? La condition naturelle est que la richesse règne, car l’argent (en particulier l’argent excédentaire, tous les revenus supérieurs à 100 000 dollars par an, et certainement tous les revenus supérieurs à 1 000 000 dollars par an) peut être considéré comme de l’argent politique. 'sans perte réelle pour le propriétaire actuel) est le pouvoir. Bien que la richesse ne soit pas la seule source d'énergie, elle constitue une source d'énergie majeure. (Cela peut même être la principale source de pouvoir.) Et le pouvoir règne partout. Par définition, les règles de pouvoir en politique; et, par nature, les riches ont tendance à gouverner non seulement dans l'économie, mais aussi dans le gouvernement.
C'est ce qui est naturel. La démocratie n'est pas naturelle, mais un marché libre et un gouvernement aristocratique sont tous deux naturels. Et la réalité politique détermine la réalité économique.
PS: Vous venez de lire ici un livre en ligne. Cet article, y compris toutes les sources qui y sont liées, et les sources qui y sont liées constituent plus qu’un livre ordinaire. Le cas complet et sa documentation y sont entièrement présentés. À quiconque trouve ce livre précieux, je recommanderais, comme suite, un livre du genre traditionnel: le chef-d’œuvre de Marjorie Kelly, Le droit divin du capital.
https://www.zerohedge.com/news/2018-08-22/how-free-market-inevitably-produces-dictatorship
(...) De toute évidence, aucune démocratie ne permettra aux étrangers de contrôler la terre. (...)
SupprimerC'est pourquoi les dictatures (monarchies, républiques, empires) donnent immédiatement la nationalité du pays d'accueil aux étrangers (en plus des entreprises étrangères qui ont la main-mise sur les entreprises du pays.)
Eric Zuesse ne connait rien à la Démocratie. La Démocratie c'est Par le Peuple, Pour le Peuple. Il n'y a qu'UN SEUL PAYS AU MONDE EN DÉMOCRATIE ! La Suisse.
Les Suisses proposent eux-mêmes leurs lois et votent eux-mêmes leurs lois sans (comme dans les pays où les handicapés mentaux ont besoin d'un tuteur) déléguer leur idée à une personne (député ou sénateur) qui va voter contre ! Hahaha !
Enorme - un lecteur a demandé à GOLDBROKER s'ils voulaient bien lui racheter son or physique qu'ils avaient conseillé si lourdement !
RépondreSupprimerCharles Dereeper
mercredi, 22 août 2018 23:03
Bon les témoignages affluent. Agora ne casse pas la burne qu'à moi a priori...
Dans tous ces emails, je suis obligé d'en publier un car j'ai éclaté de rire.
Un lecteur a demandé à son intervenant s'ils acceptaient de lui racheter son or physique !
Bien vu !
Pour infos ; je suis abonné à une Newsletter genre Agora qui m’inonde de mails.
Cela s’appelle « Goldbrokers » ( tu connais peux-être ) avec les mêmes idées, genre achetez de l’or physique si possible chez nous .
Je leur ai récemment envoyé un mail, leur proposant de me racheter mon or physique. Réponse ; nous ne sommes pas intéressés.
Que faut-il en conclure ? …..
Tu cries dans le désert en disant de vendre l’or, l’euro et l’immobilier mais il est fort probable que l’avenir te donnera raison.
L’idée de perdre une partie de son patrimoine est très difficile à accepter pour tout un chacun mais il est préférable d’en perdre peu maintenant que beaucoup
plus tard si la situation devait déraper et qu’il faudra agir dans l’urgence.
Ton meilleur argument étant l’agilité, car quoi qu’il arrive (et même si il ne devait rien arriver ) il est important d’être mobile.
Je pense qu'il est temps pour les épargnants de s'interroger sur le prix de la peur, son coût. En fait, je pense qu'il est temps que nous nous interrogions tous sur la place de la peur dans nos vies. Nous sommes tabassés par un système d'une pourriture extrême, totalement organisé et structuré, qui nous coupe assez facilement de nos autres sources potentielles d'énergie pour nos vies.
La peur est pratique car nous sommes codés pour qu'elle écrase tout afin de faire face aux dangers du passé qu'on affrontait dans la nature. Elle est donc facile à exploiter contrairement à l'amour aussi puissant si ce n'est plus, mais si peu utilisé car plus élitiste et moins reptilien, moins automatique en nous.
La peur atteint des sommets et nous tue à petit feu.
Le placement or physique est totalement irrationnel à moins de le regarder sous l'angle de la peur où il prend tout son sens.
Méfiez vous des intervenants. Jaugez les. Je pense qu'il y a d'authentiques peureux. Mais il y a les pervers qui savent ce qu'ils font, conscients d'exploiter le mécanisme primaire de l'être humain, stimulé en permanence.
Cette phrase de ce lecteur est capital. Tout est échange et transaction dans notre monde. Un intervenant qui croit ou non à ce qu'il dit, agira en conséquence.
http://www.objectifeco.com/entreprendre/temoignages/enorme-un-lecteur-a-demande-a-agora-s-ils-voulaient-bien-lui-racheter-son-or-physique-qu-ils-avaient-conseille-si-lourdement.html
Pourquoi Charles Dereeper a t-il conseillé de vendre son or ? Parce que: l'or NE VAUT RIEN tant qu'il est assis sur un marché truqué !
SupprimerTout l'or du monde représente un cube de 20,50 m d'arête.
Et, quoi qu'il en soit des transactions l'or NE BOUGE PAS !
Si les marchés n'étaient pas truqués, l'or vaudrait 50 ou 100 fois son prix actuel. Mais, à ce prix là, il n'y aurait pas intérêt à se promener en ville avec des bagues, boucles d'oreilles ou colliers en ce métal ou imitation plastique !
Pourquoi en a était-il toujours ainsi ? Pour empêcher que les riches accumulent des richesses ! Si l'or est très très cher: c'est l'or qui gouverne !
Mais en maintenant un prix plancher, les riches n'ont rien de transportable ! Un terrain ? Saisi ! Une maison ? Saisi ! Un bateau, avion, voiture ? Saisi ! C'est l'image de l'Afrique du Sud/Zimbabwé !
IMPÔT - CARBURANT: CONTINUER À REMBOURSER LES PAYSANS
RépondreSupprimerL'Union suisse des paysans réagit à un rapport du Contrôle fédéral des finances qui préconise de ne plus rembourser l'impôt sur les carburants.
L'USP réagit à une éventuelle suppression de remboursement de l'impôt sur le carburant.
22.08.2018
Deux initiatives agricoles décriées par des paysans
Initiatives agricoles: proches mais différentes
La suppression du remboursement de l'impôt sur les carburants augmenterait les coûts de production et des denrées alimentaires, sans avoir de répercussions positives sur la consommation de carburant et l'environnement, estime mercredi l'Union suisse des paysans (USP). Elle réagissait à un rapport du Contrôle fédéral des finances (CDF) qui préconise de supprimer cette pratique.
L'USP conteste l'idée que l'abolition de cette pratique permettrait d'atteindre des objectifs environnementaux. «Le remboursement est calculé selon des normes et non selon la consommation effective, ne poussant ainsi en aucun cas à la surconsommation», rappelle la faîtière dans un communiqué.
Et d'ajouter que les sommes ainsi restituées sont «non négligeables» pour les agriculteurs. En 2015, quelque 44'000 exploitations se sont vu rembourser 65 millions, soit en moyenne 1473 francs par exploitation.
De plus, la majeure partie de l'impôt prélevé est redistribuée au profit des infrastructures routières. Cet impôt n'a donc pas lieu d'être pour les véhicules agricoles qui circulent principalement ailleurs que sur les routes, avance l'USP.
https://www.lematin.ch/suisse/carburant-continuer-rembourser-paysans/story/24517725
A savoir que ces 'bons pour carburant' sont nécessaires pour les exploitations agricoles compte tenu du fait qu'un tracteur (qui tire une charrue de 3, 4 ou 5 socs) n'est PAS une 2cv !
SupprimerDonc: sa consommation s'en ressent.
Pourquoi des carburants détaxés arrivent dans les écoles et lieux administratifs ?