Chaque personne au monde a connu - dès sa prime-jeunesse - un état d'auto-suffisance. C'est 'le bon-vouloir-de-sa-fortune' ou appelé 'budget' voire 'plein ou rien dans les poches !'. Comment et pourquoi le clochard peut-il vivre ?! Parce que premièrement: il ne paie pas d'impôt (ou si peu au travers de la TVA pour acheter son pain ou son litre de rouge), et, deuxièmement, comme dans d'autres pays pauvres: il a appris à faire avec !
Et, c'est pour tout le monde pareil !
Né(e) avec ou sans une cuillère en argent enfoncée dans le cul, ils ou elles ont appris à vivre avec ce que l'on a. Remarquez bien que dans le 'on a' il y a le contribuable. Et, LUI SEUL fait vivre (comme les paysans) le monde entier !
Car, dès lors qu'émerge le progrès avec l'invention de la voiture, arrive tout de suite une 'vignette pour les vieux' (collée au pare-brise), mais, comme cette obole ne suffisait pas, le détournement de l'argent (parce que les vieux n'ONT RIEN EU !) a continué sous la forme d'un autre mensonge (escroquerie) appelé: 'Le Choc Pétrolier' !
Ââh ! Ce 'choc pétrolier' !! (de 73/puis 79, 2008) il a bon dos ! Bon dos car: les pays producteurs n'ONT RIEN REÇU ! (ou presque ou sinon des bombes !). Explicationné par 'guerre', 'trouble', 'pénurie aux derricks' ou 'démangeaisons au trou de cul' !
Pensez donc qu'en 1990 'Guerre du golfe', au bon temps de Saddam Hussein, le litre de pétrole à la pompe de Bagdad coûtait la modique somme de 0,5 centime de franc ! Soit: 200 litres pour 1 franc (15 centimes d'€) !! Et que, comme la décantation se fait toute seule, seul le prix du transport pouvait en justifier le coût !
Or, à moins de 50 centimes d'euro la tonne transportée sur 1000 kilomètres, pas de quoi monter le prix à la pompe de plus de 1 centime !
Mais alors... où est allé l'argent ?? Devinez !
Si vous aviez été en Démocratie, vous en auriez reçu les émoluments; mais, comme la république (le mot évoque déjà à quoi s'attendre !) est une dictature: l'argent, VOTRE argent est détourné vers le grand feu de joie ! Car, l'argent (qui vaut que dalle !) n'est retiré des mains du Peuple QUE pour le ruiner et le conserver pauvre et non pour les riches qui s'en fabrique à la photocopieuse (planche-à-billets) voire - comme aujourd'hui - en laissant son doigt appuyé sur la touche zéro de son clavier pour gonfler son compte.
C'est tout l'art d'être riche ou pauvre. Remarquez que dernièrement a été évoqué la possibilité de supprimer les billets de banque ! Pourquoi ? Non pas parce que cela permettrait de faire travailler des gens 'au noir' (car, ces travailleurs non déclarés, dépensent leur argent comme les autres !!! et paient donc autant de TVA que les autres ! D'où le retour INTÉGRAL de l'argent gagné !), mais seulement pour en priver les riches d'en avoir !
Et toc !
Car: comme 'tout l'or du monde' représente un cube de 20,50 m d'arête, nul ne peut en avoir autant aujourd'hui ! et donc de se contenter d'acheter (placement ? Hahahaha !) de l'or-papier ! ou de la ferraille. D'où l'incertitude d'être riche un jour et de le demeurer !! Car, dans la rubrique du 'dans quoi investir ?' il n'y a d'autre fortune que celle des armes !
Car, ce sont elles qui gouvernent le monde et non la loi ou le 'Peuple'. Depuis toujours et pour toujours.
Trump Slams Heads De CNN, NBC; Les médias ne se soucient que de la "haine et de l'agenda"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 30/08/2018 - 07:47
Dans un spectacle quotidien traditionnel, le président Trump a arraché jeudi matin le président de CNN, Jeff Zucker, disant que les notes du réseau étaient "nulles" et que Zucker devrait être licencié, au milieu de la querelle grandissante entre le président et la chaîne.
"La haine et l'extrême partialité de @NCN ont assombri leur pensée et les ont empêchés de fonctionner. Mais en réalité, comme je l'ai toujours dit, cela dure depuis longtemps", a tweeté le président, ajoutant que "Little Jeff Z a fait un travail terrible, ses notes ont chuté, et AT & T devrait le renvoyer pour sauver sa crédibilité ! "
Donald J. Trump
@realDonaldTrump
La haine et l'extrême partialité de moi par @CNN ont assombri leur pensée et les ont rendus incapables de fonctionner. Mais en réalité, comme je l’ai toujours dit, cela dure depuis longtemps. Le petit Jeff Z a fait un travail terrible, ses notes ont chuté, et AT & T devrait le renvoyer pour sauver sa crédibilité !
12h50 - 30 août 2018
Trump et CNN se sont affrontés toute la semaine après que le président a tweeté que CNN avait été déchiré pour avoir été «pris dans un mensonge majeur et avoir refusé d’admettre l’erreur», indiquant spécifiquement le journaliste vétéran Carl Bernstein. Bernstein a écrit en juillet un article accusant le président d’avoir eu connaissance de la réunion de Trump Tower entre le personnel de campagne de Trump et les Russes. Cependant, par la suite, Lanny Davis, l’avocat de l’ancien avocat de Trump, Michael Cohen, a déclaré au Washington Post qu’il était une source anonyme derrière cette histoire.
Davis a ensuite déclaré à NBC News qu'agir comme cette source était "une erreur majeure pour laquelle je suis désolé à 100 %. Je n'aurais jamais dû le faire à moins d'être certain et de le prouver".
D’autres organes de presse ont repris leurs versions du rapport de CNN à la suite des derniers commentaires de Davis, mais CNN a réussi à le maintenir, bien qu’il ait déclaré que «contacté par CNN, l’un des avocats de Cohen, Lanny Davis, a refusé de commenter».
Et maintenant qu'il commente, CNN refuse de publier une rétractation. Au lieu de cela, CNN a tweeté mercredi que CNN ne ment pas, défendant Bernstein
Trump a ensuite déplacé son attention et a ciblé le président de la NBC, Andrew Lack, dans un tweet ultérieur.
"Ce qui se passe à @CNN se passe, à différents degrés, sur d'autres réseaux - avec @NBCNews étant le pire. La bonne nouvelle est que Andy Lack (y) est sur le point d'être licencié pour incompétence et bien pire. Lorsque Lester Holt a été pris en flagrant délit de ma bande sur la Russie, ils ont été gravement blessés! "
Donald J. Trump
@realDonaldTrump
Ce qui se passe chez @CNN se passe, à différents degrés, sur d’autres réseaux - @NBCNews étant le pire. La bonne nouvelle est que Andy Lack (y) est sur le point d'être licencié (?) Pour incompétence et bien pire. Lorsque Lester Holt a été pris en flagrant délit de ma bande sur la Russie, ils ont été gravement blessés !
13h02 - 30 août 2018
Enfin, Trump a critiqué les médias en général, qu'il a de nouveau appelé "l'ennemi du peuple", et a tweeté qu'il "ne peut pas affirmer avec suffisamment de force combien une grande partie des médias est malhonnête" pour eux, ils n'ont que leur haine et leur agenda. Cela inclut les faux livres, qui sortent tout le temps de moi, des sources toujours anonymes, et sont de la pure fiction.
RépondreSupprimerDonald J. Trump
@realDonaldTrump
Les nouvelles des marchés financiers sont encore meilleures que prévu. Pour tous ceux qui ont fait fortune sur les marchés, ou ont vu votre 401k s’élever au-delà de vos attentes les plus folles, de nouvelles bonnes nouvelles arrivent!
13h20 - 30 août 2018
Dans ce contexte, Trump a également semblé clarifier que le départ de l'avocat de la Maison-Blanche, Don McGahn, avait peu à voir avec Ivanka et Jared, tweetant que "Ivanka Trump et Jared Kushner n'avaient RIEN à faire avec le soi-disant Les médias d'information factices l'ont, à dessein, tellement mal! Ils adorent dépeindre le chaos à la Maison-Blanche quand ils savent que le chaos n'existe pas - juste un «bon fonctionnement de la machine» avec des pièces changeantes !
Trump a conclu sur une note positive, exhortant ses partisans à regarder le marché qui a atteint 4 jours consécutifs de tous les temps, et a tweeté que "les nouvelles des marchés financiers sont encore meilleures que prévu. Pour vous tous qui avez fait fortune sur les marchés, ou vu la montée de votre 401k au-delà de vos attentes les plus folles, de nouvelles bonnes nouvelles arrivent! " On ne sait pas combien de partisans de Trump ont réellement 401k.
https://www.zerohedge.com/news/2018-08-30/trump-slams-heads-cnn-nbc-says-media-only-cares-about-hatred-and-agenda
Ââalors là: CHAPEAU ! Bravo monsieur le président ! Enfin quelqu'un qui se range du côté de la majorité ! Car, ce pouvoir dans le pouvoir nuit aux intérêts du Peuple Américain comme du monde entier. Le pouvoir merdiatique s'étend aujourd'hui à l'Internet (Démocratie) et objecte d'en supprimer les posts de celles ou ceux qui osent critiquer l'anti-Démocratie.
SupprimerVolet à venir: L'obligation de la Démocratie aux States !
Cépages Resdur résistants au mildiou et à l'oïdium : les militants de la vitibio partent déjà en guerre
RépondreSupprimer29 Août 2018
par Seppi
avec le concours de l'Obs d'Arnaud Gonzague (évidemment...)
Nous avons vu dans « Cépages résistants au mildiou et à l'oïdium : c'est 'Resdur', dur, dur » qu'il aura fallu 30 ans à Alain Bouquet et son équipe pour produire une collection de cépages – qui ont failli disparaître ! – portant des résistances au mildiou et à l'oïdium, deux terribles ravageurs de la vigne. Puis presque 20 autres années (avec un chevauchement avec la période précédente) pour aboutir à l'inscription de quatre cépages 'Resdur' (pour résistance durable) au Catalogue des Espèces et Variétés, ce qui vaut autorisation de commercialiser et planter (sous réserve d'autres dispositions régissant la viticulture).
Ces quatre cépages sont maintenant prêts pour une première diffusion restreinte en vue d'évaluer leur potentiel à plus grande échelle. Mais...
Pas encore déployés, déjà contestés
Il y a eu, forcément, quelques hectares de plantés pour tester les nouveau cépages pour choisir les plus prometteurs et passer à l'étape de l'inscription au Catalogue. Et, comme on l'a vu, des activités de présentation et de promotion, par exemple au Salon International de l'Agriculture... Mais 'Artaban', 'Floreal', 'Vidoc' et 'Voltis' sont déjà dénigrés.
À la manœuvre, M. Arnaud Gonzague, « journaliste environnement » de l'Obs, dans le numéro papier du 2 août 2018. C'est sous le titre « Crus de laboratoire »...
Peut-être lira-t-il ce billet, en faisant l'effort d'essayer de comprendre les bidouillages que nous, les humains, avons réalisés sur la vigne depuis, en gros, un siècle et demi... ne parlons pas des techniques de vinification. Donc, en chapô :
« Révolution écolo ou vin au rabais ? Quatre cépages résistant aux champignons ont été conçus dans les laboratoires de l'Inra afin de réduire l'usage des pesticides. Mais ils sont déjà l'objet de critiques. »
Excellente vision, M. Gonzague ! Observation auto-réalisatrice ! Ils sont l'objet de critiques parce que M. Gonzague a décidé – et que la rédaction de l'Obs a complaisamment accepté – de solliciter des critiques chez les grincheux... aux motivations sournoises.
Pour l'équilibre rédactionnel, un peu d'explications, beaucoup de critiques
L'auteur a pris soin de paraître... C'est le B.A.-BA du journalisme. Il nous explique donc le comment du pourquoi et le pourquoi du comment en faisant appel à « l'un des "papas" des Resdur »...
Avec quelques belles âneries.
Reprenons le titre : non, il ne s'agit pas de « Crus de laboratoire ». Les cépages ont été conçus dans les vignes expérimentales et peut-être les serres. Les laboratoires, c'était essentiellement pour l'analyse des génomes et le tri. Non, il ne s'agit pas de « Frankenvine » ou « Frankenvigne ».
Oui, on combat le mildiou et l'oïdium avec des pesticides, mais pas que « chimiques » au sens qu'a pris le mot du fait du bombardement propagandiste et médiatique. Pour le mildiou, il y a depuis longtemps le cuivre, et pour l'oïdium, le soufre, tous deux abondamment utilisés par l'agriculture biologique. Deux matières qui contribuent grandement au fait que la vigne contribue pour 20 % aux tonnages de pesticides déployés en France pour seulement 3 % des surfaces agricoles utilisées. Et une matière, le cuivre, qui est un désastre en matière de santé et d'environnement.
RépondreSupprimerNon, M. Gonzague, il ne s'agissait pas de :
« briser l'image désastreuse d'une viticulture française empoisonnée par les pesticides »,
mais de produire des cépages résistants, gage de sécurité et tranquillité pour les viticulteurs qui redoutent ces maladies comme la peste, de contribution régulière à notre balance commerciale, et aussi et surtout de réduction des traitements phytosanitaires...
On est là dans le journalisme militant – en d'autres termes, dans l'activisme profitant d'une carte de presse et d'un accès à un média. Et, c'est bien connu, l'activisme, ça ose tout...
« ...un faux-nez »
La preuve ? Un ingénieur agronome (hélas !), « vigneron en Vendée et œnologue » déclare que l'argument écolo « est un faux-nez ». Notez qu'il est aussi consultant... nous avons une pensée émue pour ceux qui le consultent...
Car (c'est M. Gonzague qui écrit, sans doute reprenant un propos de l'oracle),
« D'abord parce que si l'on veut réduire les fongicides, autant les réduire de 100% en produisant du vin bio, comme 5000 vignerons français qui traitent les champignons avec des produits naturels (soufre et cuivre) et se passent d'insecticides, d'engrais et d'herbicides de synthèse. »
Non, le soufre et le cuivre ne sont pas des fongicides (ironie)... ce sont selon l'auteur des « produits naturels », nuance... Connaissez-vous des mines de sulfate de cuivre ou de bouillie bordelaise ? Laissons l'arsenal des quolibets au repos...
Non, les vitibios n'utilisent pas d'insecticides « chimiques » ; pour autant que cet adjectif était destiné à s'appliquer aux trois substantifs précédents... ce dont nous doutons au vu de leur ordre... enfin, nous doutons un peu, car un activiste, ça ose, ça ose...
Enfin, pour ceux qui ne le savent pas, les vitibios utilisent des insecticides, mais ils sont naturels ou présumés tels (là encore, quand le spinosad sort d'un fermenteur...). Certes, il y a aussi des récalcitrants dont l'idéologie impose de prendre le risque de laisser se contaminer leur vigne et celles de leurs voisins par la flavescence dorée...
Et puis non, un activiste journaleux ne se demandera jamais pourquoi il n'y a que 5.000 viticulteurs en bio sur quelque 50.000 que compte le pays.
Des considérations bassement économiques
M. Gonzague passe ensuite la parole :
« …il est clair que la préoccupation première dans la mise au point de ces cépages est économique. Il s'agit de mettre à disposition des variétés qui vont énormément réduire les coûts de production, car il n'y aura presque plus besoin d'utiliser de fongicides. »
Voilà qui est dit avec un extraordinaire aplomb ! Les préoccupations économiques ne sauraient avoir pignon sur rue...
Notre ingénieur agronome (hélas), vigneron, œnologue et consultant trouve que les exploitants les plus exigeants ne céderont pas à la tentation. Sans doute a-t-il raison, « exigence » signifiant ici respect de l'ordre établi et marketing fondé sur les traditions, sur le bon vieux temps. Il craint aussi que :
RépondreSupprimer« pour les implanter, on arrache beaucoup de vieilles populations de raisins (sic) qui se trouvent dans les grandes coopératives du sud de la France ».
Comme si on décidait d'arracher sur un coup de tête. Mais ce qui est le plus choquant, ce sont les préjugés qui dépassent à notre sens la malveillance et le mépris.
D'ailleurs...
Je n'en sais rien, mais je dis tout !
« Ces cépages de laboratoire correspondront à une viticulture industrielle qui cherchera à concurrencer les vins peu chers venus d'Espagne. On nous prépare peut-être une génération de vins au rabais. »
Il n'en sais strictement rien, notre « conseiller privé en sélection massale ou "flying vine breeder" », mais il a déjà une opinion à l'emporte-pièce...
Et quelle opinion ! On serait tenté de répondre : « L'INRA poursuivant un objectif économique ? Ha ! Ha ! Ha ! » Mais cette réponse serait insulter les gens des départements viti qui font honneur à la mission de l'Institut. Qui ont réalisé un travail remarquable dont les objectifs – tout autres – sont énoncés et affichés depuis longtemps ; et s'inscrivent dans des objectifs politiques et sociétaux adoptés de longue date (dont le volet économique n'est évidemment pas absent). Ces chercheurs ont aussi fait goûter les premiers vins – pas des piquettes – au SIA en février dernier.
Prétendre que l'INRA aurait travaillé pendant des décennies – quatre sur l'ensemble du programme – pour faire produire du pinard... Mais, comme on le sait, les activistes, ça ose tout ; et quand les faits ne confortent pas les thèses, ils fabriquent leurs propres faits.
Et ça, ça ne vaut pas un fifrelin !
Mais place à M. Jacques Frelin, vice-président de France Vin Bio.
La profession du vin bio devrait normalement se réjouir de l'arrivée de cépages ne nécessitant pas de traitements phytosanitaires, « chimiques » ou « naturels », non ? Eh bien ce n'est pas le cas ! Et pour cause : toute amélioration de la production « conventionnelle » réduit la marge avec le « bio » ainsi que l'efficacité de la promotion du « bio » par le dénigrement du « conventionnel. M. Frelin déclare donc :
« Je suis plutôt favorable à l'idée de concurrencer les vins d'Espagne [...] »
Voilà qui est subtile ! Ceux qui se lanceraient sur ce créneau dégageraient celui des vins plus prestigieux, visés par les vitibios, ce qui préserverait aussi de l'espace pour l'outil marketing dénigrement... La preuve, voici la suite :
« [...] mais il est évident qu'un cépage hybride donnera un vin avec moins de personnalité. »
L'énorme imposture – à moins que ce ne soit une énorme ignorance – est ensuite scellée par M. Gonzague qui embraye sur le passé lointain.
Difficile de croire, en effet, que l'un et l'autre ignorent la différence entre les cépages « PIWI » – pilzwiderstandsfähig, résistant à des maladies cryptogamiques – auxquels appartiennent les Resdur de l'INRA et les « hybrides producteurs directs » – ainsi nommés parce qu'on pouvait les cultiver sur leurs propres racines malgré le phylloxera ; entre les cépages qui contiennent une petite fraction de génome d'origine américaine ou extrême-orientale et les cépages qui en contenaient typiquement 50 %, comme le 'Baco noir' ('Folle Blanche' × Riparia 'Grand Glabre').
RépondreSupprimerL'un est négociant, l'autre a interrogé des chercheurs de l'INRA (et aurait pu se renseigner sur Wikipedia dont l'article est informatif). Ils devraient savoir... Voici comment le second distille le doute et insinue l'invitation au refus :
« De futures piquettes, les crus issus d'Artaban, de Floreal et des autres, vraiment ? Ce qui est sûr, c'est que le passé ne plaide pas en leur faveur [...] »
C'est d'autant plus horripilant que des HPD sont toujours cultivés en Amérique et en Europe (et ailleurs) et que certains produisent des vins appréciés des consommateurs. Il en est même qui essaient de les faire revivre en France, par exemple en Bretagne ou dans les Cévennes.
Quand les faits n'étayent pas la thèse...
Suite de la dubiogenèse par l'ami Gonzague :
« "Nous avons testé et exclu toutes les variétés qui présentaient une acidité excessive et des arômes indésirables" explique Didier Merdinoglu de l'Inra. Mais cela n'en fait pas pour autant un "bon" vin, comme le pointe, goguenard, Thomas Dormegnies, qui exhume un article du site spécialisé Vitisphère.com [...] »
En bref, les dégustations n'auraient pas été très flatteuses.
Nous n'avons pas « exhumé », mais cherché... et trouvé deux références principales :
« Les Resdur1 résistent aussi à l’épreuve de la dégustation »
« Les journalistes dégustent et s'enthousiasment pour les cépages résistants »
C'est le premier qui semble avoir été « exhumé ». Il ne conforte en rien les critiques et méchancetés de notre ingénieur agronome (hélas)... Les vins qui ont été dégustés ne sont pas des piquettes. Quant aux propos tenus et commentés ici, ce sont des piquettes activistes. Désolant ! Quand on y est confronté et qu'on tient à les réfuter, on est obligé de les boire jusqu'à la lie... Pouah !
Une finale toutefois agréable
Les explications initiales sur le comment du pourquoi et le pourquoi du comment sont assorties d'une finale sur l'avenir :
« Pour Laurent Audeguin, de l'Institut français de la Vigne et du Vin, on ne peut pas encore émettre de jugements gustatifs sur les Resdur : « Nous verrons dans quels vignobles ces variétés s'adapteront le mieux et donneront le meilleur. Il faut des décennies pour valoriser un cépage." »
Il faut aussi, est-il noté, faire évoluer les législations française et européenne... Vaste programme...
« ...faire évoluer les lois françaises et européennes »... et les mentalités et opinions
C'est exact, mais il faut aussi faire évoluer les mentalités et les opinions – à l'INRA, dans la profession au sens large, dans les médias, dans le public...
RépondreSupprimerPar rapport au début des travaux d'Alain Bouquet, nous en sommes quasiment en l'année +40. Ajoutez « quelques décennies », pour voir si les nouveaux cépages – une solution génétique à un problème phytosanitaire – répondent aux besoins et aux attentes et seront déployés de manière significative sur le terrain.
Il faudra aussi d'autres travaux de génétique et de création variétale. Rappelons que l'Europe s'est coupée de la transgénèse – qui produit des OGM au sens courant – et que si rien n'est fait, elle a aussi fermé la porte aux nouvelles techniques génétiques, à l'édition des gènes. Là aussi, il y a urgence.
- voir clip sur site:
http://seppi.over-blog.com/2018/08/cepages-resdur-resistants-au-mildiou-et-a-l-oidium-les-militants-de-la-vitibio-partent-deja-en-guerre.html
"Climategate 4" envoi d'emails sur le point d'arriver - les cohortes de Mann perdent devant le tribunal
RépondreSupprimerAnthony Watts
30 août 2018
La décision du tribunal exige que les régents transmettent les courriels sur le climat par les chercheurs de l'UA
Par Howard Fischer Capitol Media Services
PHOENIX - Une organisation qui s'interroge sur le rôle des humains dans le changement climatique va avoir accès aux courriels et aux dossiers de travail effectués par deux scientifiques de l’Université de l’Arizona dans le but de soutenir que leurs recherches sont erronées.
La Cour suprême de l'Arizona a rejeté mercredi un dernier effort du Conseil des gouverneurs de l'Arizona pour renverser les décisions des tribunaux inférieurs qui avaient ordonné la libération immédiate des documents. Bien que les juges n'aient pas commenté leur décision, ils ont effectivement rejeté les arguments du Board of Regents selon lesquels la libération serait «contraire aux meilleurs intérêts de l'État».
David Schnare, avocat du Energy & Environment Legal Institute, a déclaré que la seule question qui subsiste est la rapidité avec laquelle l’Université rendra les documents que son organisation avait demandés il ya sept ans.
Les courriels et autres documents de Jonathan Overpeck et Malcolm Hughes, tous deux spécialisés dans la recherche sur le changement climatique, sont au cœur de la bataille juridique.
Schnare a déclaré que E & E est particulièrement intéressé par leur travail, car il est devenu un élément crucial d'un rapport qui reliait l'activité humaine au réchauffement climatique. Et ce rapport, à son tour, est devenu la base de changements de politiques visant à s’éloigner de l’utilisation de combustibles fossiles pour la production d’énergie en raison de la production de gaz à effet de serre comme le dioxyde de carbone.
Ce que E & E veut voir, dit Schnare, c’est l’interaction que les deux partenaires ont eue avec d’autres scientifiques lors de la préparation du rapport. Il a déclaré que cela devrait révéler des commentaires d'autres personnes «qui n'ont jamais été inclus ou jamais sérieusement pris en compte».
«La manière dont ces rapports sont rassemblés et comment ces commentaires sont traités est une question valable en ce qui concerne le recours à ce rapport», a déclaré Schnare. "Il faut se demander, simplement parce qu'ils prétendent avoir beaucoup d'experts impliqués, était-ce un travail honnête ou pas."
Les messages laissés par Hughes, qui se trouve toujours à l’UA, et Overpeck, qui est maintenant à l’Université du Michigan, n’ont pas été immédiatement renvoyés.
Schnare a déclaré qu'il ne dit pas que les scientifiques ont fait quelque chose de mal ou même que leurs recherches sont erronées. Mais il a déclaré que la seule façon de répondre aux questions est de publier tous les documents envisagés.
...
En déposant la plainte initiale, Schnare a déclaré que Overpeck jouait un rôle de premier plan dans la «cause» du réchauffement climatique, y compris «l'activisme pour les groupes de pression environnementaux».
Schnare a également déclaré que les deux hommes avaient attiré l’attention de son groupe après le piratage d’un serveur d’une université britannique, révélant des milliers d’échanges de courriers électroniques entre des universitaires et d’autres personnes impliquées dans la recherche sur le climat.
RépondreSupprimerUne partie de ce qui a été trouvé a été étiqueté «climategate» et est utilisé par des groupes pour montrer que le réchauffement climatique est juste un complot.
Article complet sur tucson.com
h / t au lecteur WUWT «Ed»
https://wattsupwiththat.com/2018/08/30/climategate-4-email-dump-about-to-happen-manns-cohorts-lose-in-court/
Les nazis n'étaient pas des marxistes, mais des socialistes
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 30/08/2018 - 02:00
Auteur de Jörg Guido Hülsmann via The Mises Institute,
L'échec pratique abject des révolutionnaires marxistes après la Première Guerre mondiale a beaucoup nui à leur image d'avant-garde du progrès social.
L’explication de cet échec dans les écrits de Mises, Max Weber et Boris Brutzkus avait conduit de nombreux économistes à revoir leurs points de vue sur la portée appropriée du gouvernement au sein de la société. Mais d'autres sont restés des défenseurs impénitents de l'État total. Ils ont simplement rejeté l'agenda spécifiquement égalitaire des socialistes.
Le leader incontesté de ce groupe était Werner Sombart, la plus grande star des économistes de l’entre-deux-guerres en Allemagne. Sombart avait commencé sa carrière en popularisant le marxisme dans les milieux universitaires avec son livre Sozialismus und soziale Bewegung im 19. Jahrhundert (Le socialisme et l'action sociale au XIXe siècle), publié en 1896. Les éditions ultérieures témoignent de l’étroitesse croissante de Sombart par rapport à ses idéaux marxistes initiaux. La dixième édition, parue sous un nouveau titre en 1924, comportait une véritable démolition du socialisme marxiste. Sombart était revenu au socialisme de Schmollerite, qui prônait un État total sans programme égalitaire.
Les qualités intellectuelles de Sombart lui ont valu une place de prééminence. Là où la plupart des intellectuels marxistes tenaient dogmatiquement les principes de Marx et d'Engels, Sombart cherchait à analyser et à développer leurs doctrines avec un esprit critique en quête d'objectivité. Cela a fait de son travail la cible parfaite pour une critique approfondie du courant intellectuel du socialisme anti-marxiste, et Mises a fourni une telle critique dans un article intitulé «Antimarxismus» (anti-marxisme).
Déjà dans son article sur le contrôle des prix, Mises avait souligné que les lacunes de l'interventionnisme ne résultaient pas du programme égalitaire poursuivi par certains gouvernements, mais de la nature même de l'intervention gouvernementale, à savoir la violation des droits de propriété privée. Le socialisme et l’interventionnisme étaient des systèmes économiques destructeurs, qu’ils soient explicitement égalitaires ou non. Ils seraient des formes inappropriées d'organisation sociale même s'ils poursuivaient un autre idéal de distribution, même la méritocratie. Il pourrait y avoir certaines similitudes superficielles entre une société libre et une société non égalitaire contrôlée par un État total, mais ces deux seraient toujours essentiellement différents:
En apparence, l'idéal social de l'étatisme ne diffère pas de l'ordre social du capitalisme. L'étatisme ne cherche pas à renverser l'ordre juridique traditionnel et convertit formellement toutes les propriétés privées en production en propriétés publiques… Mais en réalité, toutes les entreprises doivent devenir des opérations gouvernementales. En vertu de cette pratique, les propriétaires conserveront leurs noms et marques sur la propriété et le droit à un revenu «approprié» ou à un revenu «convenant à leurs rangs». Chaque entreprise devient un bureau et chaque profession une fonction publique. ... Les prix sont fixés par le gouvernement et le gouvernement détermine ce qui doit être produit, comment il doit être produit et en quelle quantité. Il n'y a pas de spéculation, pas de profits «extraordinaires», pas de pertes. Il n'y a pas d'innovation, sauf pour ce qui est ordonné par le gouvernement. Le gouvernement guide et supervise tout.
Mises a montré que l’erreur dans l’idée de l’État omnipotent n’a rien à voir avec l’agenda particulier de l’État. Le gouvernement n'est pas omnipotent si son objectif est d'améliorer la «vie collective» (par opposition à celle de simples agrégats d'individus). Mais elle n’est pas non plus si puissante si elle cherche à améliorer le bien-être de la totalité des citoyens. Dans les deux cas, l'intervention du gouvernement est contre-productive. Il s'ensuit que la distinction établie et apparemment significative entre individualisme et collectivisme n'a qu'une importance secondaire. La principale distinction se situe entre les politiques qui fonctionnent et celles qui ne fonctionnent pas, ce qui conduit à la distinction entre un ordre social fondé sur la propriété privée (qui fonctionne) et les ordres sociaux qui dépendent des atteintes aux droits de propriété privée travail). Il n'est donc pas du tout question de savoir si les individus ou les collectifs dirigent l'économie, à condition que les droits de propriété de tous les membres individuels des sociétés de gestion soient préservés. Il en résulte également que la taille de l'entreprise n'a aucune importance. Tant que la propriété privée est respectée, les décisions d'achat des consommateurs ne récompensent que les entreprises qui offrent les meilleurs produits. Si ces entreprises sont plus grandes que d’autres, qu’il en soit ainsi.
RépondreSupprimerMises a souligné ce fait contre les doctrines de Dietzel, Karl Pribram et Spann, qui ont eu une grande influence sur la pensée politique de l'entre-deux-guerres en Allemagne et, après la seconde guerre mondiale, dans le monde occidental. Dietzel et Pribram se sont rangés du côté de l'individualisme, alors que Spann a défendu le collectivisme, mais ils ont tous convenu que ces catégories étaient les dernières et que tous les points de vue politiques en découlaient. Mises n'était pas d'accord.
Il a fait valoir qu’il existait un point de vue qui ne découle ni de l’individualisme ni du collectivisme, à savoir la méthode utilitaire de l’analyse sociale. Il avait déjà prouvé le succès de cette méthode dans l’analyse des problèmes statiques et dynamiques des «ensembles» sociaux tels que les communautés linguistiques. Il a souligné que l’analyse de ces ensembles est l’essence même des sciences sociales théoriques. Il était faux de croire que l’action individuelle pouvait être comprise hors de son contexte social plus large, de même qu’il était faux que la compréhension correcte des ensembles sociaux exige que l’analyse sociale elle-même soit holistique.
La méthode utilitaire à elle seule était véritablement scientifique, car elle retrace tous les phénomènes sociaux à partir de faits d’expérience:
La doctrine sociale utilitariste ne se livre pas à la métaphysique, mais part du fait établi que tous les êtres vivants affirment leur volonté de vivre et de grandir. La plus grande productivité du travail effectuée dans la division du travail, comparée à une action isolée, unit de plus en plus les individus à l'association. La société est division et association du travail.
Chaque personne cherche à améliorer son bien-être et le travail coopératif est plus productif que le travail isolé. Par conséquent, dans la mesure où la croissance du bien-être d’une personne suppose de plus grandes quantités de biens matériels, la personne peut mieux atteindre ses objectifs en se partageant le travail. C’est ainsi que naît la société.
Tous les éléments de cette explication économique de la société sont des faits vérifiables. En revanche, les doctrines de l'individualisme et du collectivisme ne se prêtent pas à une telle explication causale de l'origine de la société, car elles reposent sur des postulats plutôt que sur une analyse des faits. Et Mises a montré que la même critique s’appliquait également à la théorie marxiste de la lutte de classe du prolétariat. Il n'a pas nié que l'histoire humaine comportait de nombreux conflits de groupe et qu'ils avaient souvent une grande importance pour le déroulement des événements. Il soutenait plutôt que les théories de la lutte à la mode - dont la théorie marxiste de la lutte des classes n'était qu'un exemple particulier - prétendaient être beaucoup plus qu’elles ne l’étaient réellement. Les conflits de groupe ne sont pas et ne peuvent pas être les éléments fondamentaux de la vie humaine. La vraie question était de savoir comment un groupe pouvait être créé en premier lieu. Il fallait d'abord expliquer la formation des groupes avant de pouvoir expliquer la lutte entre eux. Mais tous les théoriciens de la lutte, y compris Marx, ont échoué sur ce front.
RépondreSupprimerLa raison de cette négligence n'est pas difficile à détecter. Il est impossible de démontrer un principe d’association qui existe uniquement au sein d’un groupe collectif et qui est inopérant au-delà. Si la guerre et les conflits sont les forces motrices de tout développement social, pourquoi cela devrait-il être vrai pour les classes, les races et les nations seulement, et non pour la guerre entre tous les individus? Si nous prenons cette sociologie de la guerre à sa conclusion logique, nous n'arrivons à aucune doctrine sociale, mais à «une théorie de la sociabilité».
Mises a souligné que la théorie de la lutte des classes de Marx n’avait même pas réussi à donner un compte rendu empirique de son concept le plus fondamental. Qu'est-ce qu'une «classe» au sens marxiste ? Marx ne l'avait jamais défini. «Et il est significatif que le manuscrit posthume du troisième volume de Das Kapital s’arrête brusquement à l’endroit même où devaient se dérouler les cours».
Depuis sa mort, plus de quarante ans se sont écoulés et la lutte des classes est devenue la pierre angulaire de la sociologie allemande moderne. Et pourtant, nous continuons d’attendre sa définition scientifique et sa délimitation. Les concepts d’intérêt de classe, d’état de classe et de guerre de classe, ainsi que les idées sur la relation entre les conditions, les intérêts de classe et l’idéologie de classe, ne sont pas moins vagues.
Werner Sombart, avec la grande majorité des sociologues allemands dont il était le leader incontesté, avait adopté le point de vue marxiste selon lequel la lutte des classes prolétarienne était le moteur ultime des sociétés modernes. Il était maintenant un opposant à l'idéologie marxiste, mais ses analyses restaient toujours marxiennes. Il s'est simplement abstenu de tirer de la théorie de la lutte des classes toutes les conclusions pratiques que Marx et les marxistes avaient constamment déduites. Il n'a pas et ne pouvait pas fournir une alternative au scénario marxiste de l'évolution sociale. Sa seule objection est venue sous la forme d'un postulat: les choses ne devraient pas se passer comme elles se produiraient selon la théorie de la lutte des classes, par conséquent le gouvernement devrait résister à de tels développements. Cependant, avec cette admission, Sombart et la plupart des sociologues allemands avaient encore quitté le domaine de la science et entraient dans celui de la religion et de l'éthique. Sombart prônait en effet un retour aux formes médiévales d’organisation sociale - les guildes -, tout comme Keynes en Angleterre proposait «un retour, peut-on dire, aux conceptions médiévales des autonomies séparées». De même, les quelques théoriciens comme Othmar Spann, la lutte des classes s’émerveilla des prétendues bénédictions du socialisme national au Moyen-Âge.
Mises a conclu:
RépondreSupprimerpour tout penseur scientifique, le point de vue du marxisme est sa théorie, qui ne semble pas offenser les anti-marxistes. Il regrette les méfaits de la politique marxiste envers le peuple allemand, mais ignore les torts causés à la vie intellectuelle allemande par les platitudes et les faiblesses des problèmes et des solutions marxistes. Surtout, il ne perçoit pas que les troubles politiques et économiques sont les conséquences de cette calamité intellectuelle. Il n'apprécie pas l'importance de la science dans la vie quotidienne et, sous l'influence du marxisme, croit que le «vrai» pouvoir au lieu des idées façonne l'histoire.
L’anti-marxisme a provoqué l’indignation parmi les marxistes. Quel était le péché de Mises ? Tout d’abord, il avait osé critiquer le grand maître en analysant de manière pénétrante les lacunes incurables de la théorie de la lutte des classes de Marx. Deuxièmement, il a de nouveau soutenu que d'un point de vue économique, le socialisme marxiste n'était pas fondamentalement différent des diverses nouvelles marques du socialisme national qui commençaient à apparaître dans les années 1920, principalement en réaction aux mouvements marxistes. Ainsi, une fraction des socialistes italiens, qui ont rejeté les enseignements de Marx et se sont qualifiés de «fascistes», ont pris le pouvoir sous la direction de Benito Mussolini. Il y avait aussi un mouvement de «national-socialistes» non marxistes en Allemagne. Le père de ce mouvement fut Friedrich Naumann qui, par une étrange coïncidence, devint plus tard le parrain du libéralisme allemand du vingtième siècle. Le chef des national-socialistes des années 1920 jusqu'à leur amère fin était, bien sûr, Adolf Hitler.
Les socialistes marxistes s'opposent avec véhémence à être classés sous le même titre que les socialistes fascistes et les socialistes nationaux. Mais comme Mises l'a montré, toutes les distinctions entre ces groupes sont à la surface. Economiquement, ils sont unis.
* * *
Extrait avec révision mineure de Mises: Last Knight of Liberalism
https://www.zerohedge.com/news/2018-08-29/nazis-were-not-marxists-they-were-socialists
Étymologiquement: Nazi diminutif de l'italien: Nazional socialiste.
SupprimerCartographie des pays fermant l'Internet Le plus
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 30/08/2018 - 01:00
Alors que le président Trump soulève la rhétorique de la menace sur le parti pris conservateur des géants américains, il convient de rappeler que certains gouvernements prennent des mesures radicales pour mettre un terme à l’internet en matière de dissension et de liberté d’expression.
Dans le monde entier, comme le note Niall McCarthy de Statista, les fermetures d’Internet et les ralentissements délibérés sont de plus en plus fréquents et surviennent généralement quand une personne (généralement un gouvernement) interrompt intentionnellement Internet ou les applications mobiles
Selon les données d’Access Now rapportées par Vice News, l’Inde a enregistré le plus grand nombre de fermetures de tous les pays (154 entre janvier 2016 et mai 2018).
Infographie: Les pays fermant Internet Le plus | Statista
- voir graphique sur site -
Vous trouverez plus d'infographies chez Statista
Dans de nombreux pays, l'interrupteur sur Internet est une mesure préventive ou réactive face à des troubles de masse ou potentiels.
La révolution égyptienne de 2011 et le coup d'Etat militaire turc échoué de 2016 en sont des exemples.
Cela est également vrai en Inde dans une certaine mesure, où l'accès à Internet est coupé en raison des troubles politiques, des manifestations et des opérations militaires.
Des arrêts sont même connus dans certaines régions pour empêcher la tricherie lors des examens. Parmi les récents cas, citons un arrêt de 45 jours sur Internet à Darjeeling, dans le Bengale occidental, en raison de manifestations politiques et de protestations de militants cherchant à créer un État séparé.
Compte tenu de l'importance d'Internet, la limitation de l'accès à Internet peut avoir des conséquences financières. En Inde, le nombre important de fermetures et leur longueur deviennent très élevés. Un rapport du Conseil indien pour la recherche sur les relations économiques internationales (ICRIER) a montré que 16 315 heures de temps mort intentionnel sur Internet entre 2012 et 2017 ont coûté 3,04 milliards de dollars à l'économie indienne.
https://www.zerohedge.com/news/2018-08-29/mapping-countries-shutting-down-internet-most
Reste à savoir si ces pays ont dit non à l'Internet ou non à Google !! On ne compte plus le nombre de personnes en Amérique ou en Europe interdites de 'youtube' ou autres sites !!!
SupprimerEOLIEN ET SOLAIRE : DÉCLIN RAPIDE PROGRAMMÉ
RépondreSupprimerpar LUDOVIC GRANGEON
28/08/2018
La production prouvée annuelle éolien-solaire représente seulement 6% de l'électricité française.
S’il faut donner un conseil aux investisseurs particuliers et institutionnels, c’est de s’éloigner au plus vite des secteurs éoliens et solaires dont la chute est désormais programmée. La bulle va probablement éclater sous peu. Depuis dix ans, la convergence d’intérêts financiers et politiques a propagé une croyance selon laquelle les énergies renouvelables, alternatives au nucléaire, étaient l’éolien et le solaire, jouant ainsi avec l’espoir d’une grande partie de la population.
Pour favoriser le développement de cette filière, des avantages exorbitants ont été imposés : tarifs de deux à cinq fois le prix du marché, obligation d’achat par le bais d’une taxe interdisant le jeu de la concurrence, pourtant religion de Bruxelles. Malgré tout cela, le flop est total. Au lieu d’investir en recherche de procédés performants pour le consommateur, les surprimes ont été empochées par de petits noyaux de spéculateurs financiers, avec des matériels semblables depuis dix ans. Le "syndicat des énergies renouvelables", qui est aussi un lobby, ne comprend aucune section du secteur recherche et développement de procédés performants, qui a du s'organiser ailleurs. Ce marché de dupes touche à sa fin avec l'arrivée des vraies énergies renouvelables qui explose avec bonheur cette année.
Les évidences d’un déclin programmé
La production prouvée annuelle éolien-solaire représente en moyenne 30 TWh sur les 532 TWh de l’électricité française (RTE 2016 -2017)… 6% seulement du total malgré dix ans d’efforts et 50 milliards injectés aux frais des ménages sans qu’ils aient le choix. Malgré une augmentation du parc de 20 % ces deux dernières années, les chiffres de production sont restés quasi identiques, ce qui montre bien que cette filière atteint ses limites, qui sont très basses. Bien pire, ce résultat déjà pitoyable va baisser au lieu de progresser. Ces équipements vont entrer dans une maintenance coûteuse à court terme. Une seule éolienne demande 30 à 40 tonnes de pales à changer régulièrement. Le simple recyclage des pales d’éoliennes en fibre-résine ou des cristaux de cellules solaires, qui vieillissent très vite, se chiffrent en dizaines de milliers de tonnes, en graves problèmes environnementaux, et en dépenses colossales, car ces problèmes ne sont pas résolus aujourd’hui. Une seule usine existe actuellement pour les pales sur des quantités infimes (Zajons) Le recyclage des panneaux solaires a fait des progrès mais avec des coûts de traitement élevés.Les accidents d’exploitation se sont multipliés. Les services d’inspection et de contrôle sont débordés. Les compagnies d’assurance découvrent le risque. Tout cela avec 35 % d'augmentation des tarifs et 15 millions de Français en précarité énergétique.
EOLIEN ET SOLAIRE : DÉCLIN RAPIDE PROGRAMMÉ
RépondreSupprimerpar LUDOVIC GRANGEON
28/08/2018
La production prouvée annuelle éolien-solaire représente seulement 6% de l'électricité française.
S’il faut donner un conseil aux investisseurs particuliers et institutionnels, c’est de s’éloigner au plus vite des secteurs éoliens et solaires dont la chute est désormais programmée. La bulle va probablement éclater sous peu. Depuis dix ans, la convergence d’intérêts financiers et politiques a propagé une croyance selon laquelle les énergies renouvelables, alternatives au nucléaire, étaient l’éolien et le solaire, jouant ainsi avec l’espoir d’une grande partie de la population.
Pour favoriser le développement de cette filière, des avantages exorbitants ont été imposés : tarifs de deux à cinq fois le prix du marché, obligation d’achat par le bais d’une taxe interdisant le jeu de la concurrence, pourtant religion de Bruxelles. Malgré tout cela, le flop est total. Au lieu d’investir en recherche de procédés performants pour le consommateur, les surprimes ont été empochées par de petits noyaux de spéculateurs financiers, avec des matériels semblables depuis dix ans. Le "syndicat des énergies renouvelables", qui est aussi un lobby, ne comprend aucune section du secteur recherche et développement de procédés performants, qui a du s'organiser ailleurs. Ce marché de dupes touche à sa fin avec l'arrivée des vraies énergies renouvelables qui explose avec bonheur cette année.
Les évidences d’un déclin programmé
La production prouvée annuelle éolien-solaire représente en moyenne 30 TWh sur les 532 TWh de l’électricité française (RTE 2016 -2017)… 6% seulement du total malgré dix ans d’efforts et 50 milliards injectés aux frais des ménages sans qu’ils aient le choix. Malgré une augmentation du parc de 20 % ces deux dernières années, les chiffres de production sont restés quasi identiques, ce qui montre bien que cette filière atteint ses limites, qui sont très basses. Bien pire, ce résultat déjà pitoyable va baisser au lieu de progresser. Ces équipements vont entrer dans une maintenance coûteuse à court terme. Une seule éolienne demande 30 à 40 tonnes de pales à changer régulièrement. Le simple recyclage des pales d’éoliennes en fibre-résine ou des cristaux de cellules solaires, qui vieillissent très vite, se chiffrent en dizaines de milliers de tonnes, en graves problèmes environnementaux, et en dépenses colossales, car ces problèmes ne sont pas résolus aujourd’hui. Une seule usine existe actuellement pour les pales sur des quantités infimes (Zajons) Le recyclage des panneaux solaires a fait des progrès mais avec des coûts de traitement élevés.Les accidents d’exploitation se sont multipliés. Les services d’inspection et de contrôle sont débordés. Les compagnies d’assurance découvrent le risque. Tout cela avec 35 % d'augmentation des tarifs et 15 millions de Français en précarité énergétique.
Désormais des efforts de communication désespérés ne peuvent plus masquer l'évidence. Nous entrons dans une nouvelle ère des énergies renouvelables où la spéculation financière va devoir rendre des comptes après nous avoir leurrés pendant dix ans, où les tarifs de l'énergie ne sont pas systématiquement à la hausse, où les équipements ne marchent pas un jour sur cinq mais constamment, où on implante les installations près des besoins et non dans des endroits perdus pour y faire tranquillement des affaires.
RépondreSupprimerhttp://www.economiematin.fr/news-eolien-et-solaire-declin-rapide-programme
Le premier test à domicile de la communication cerveau-ordinateur par les patients atteints de la SLA offre des perspectives prometteuses
RépondreSupprimer30 août 2018,
National Institutes of Health
Des études de laboratoire ont montré que les patients atteints de sclérose latérale amyotrophique (SLA), qui ne peuvent ni bouger ni parler, peuvent communiquer en utilisant une interface cerveau-ordinateur (BCI). Dans la première étude sur l'utilisation indépendante à domicile par un groupe de ces patients, le système BCI basé sur les ondes cérébrales s'est révélé fiable; et parmi les huit personnes qui ont terminé l'étude, sept ont choisi de conserver l'appareil pour une utilisation ultérieure.
Un BCI offre aux personnes atteintes de SLA et d'autres troubles neurologiques, qui peuvent gravement altérer la parole et d'autres mouvements, un moyen de communiquer en utilisant uniquement des signaux cérébraux traduits en mots via une interface informatique. L'utilisateur porte un capuchon avec des électrodes qui enregistrent les signaux EEG basés sur le cerveau lorsque l'utilisateur fait face à un écran d'ordinateur. Bien que ces patients ne puissent même pas contrôler les mouvements oculaires, leurs signaux cérébraux peuvent indiquer que la lettre qu'ils souhaitent sélectionner clignote. Le système BCI détecte le signal EEG produit lorsqu'une lettre de votre choix clignote et se traduit par la sélection de cette lettre. Ainsi, les utilisateurs peuvent taper des messages. Si le tableau des sélections disponibles sur l'écran de l'ordinateur comprend des commandes (par exemple, dire quelque chose (via un synthétiseur vocal) à un visiteur, écrire et envoyer un message), les utilisateurs peuvent communiquer ces commandes sans avoir à épeler chaque lettre d'un mot.
La technologie BCI est en développement avec des améliorations constantes depuis près de 30 ans. L'aspect unique de l'étude a été expliqué par Michael Wolfson, Ph.D., directeur du programme en ingénierie de réadaptation et dispositifs médicaux implantables à l'Institut national d'imagerie biomédicale et de génie biologique. "L'utilisation de BCI par des personnes atteintes de SLA a été testée dans des laboratoires de recherche pendant de nombreuses années. Ces études comprenaient un patient à la fois entouré de nombreux experts et du personnel de soutien impliqué dans la formation du système, la mise en place et le dépannage. Il s’agit de la première étude qui a testé le caractère pratique d’une personne atteinte de la SLA en utilisant un tel système de manière indépendante à la maison. "
Cette étude constituait une étape importante pour répondre à la question fondamentale de savoir si un système BCI pouvait être et serait utilisé par les patients atteints de SLA gravement handicapés et confrontés à la complexité de la gestion de leur maladie à la maison - sans un groupe d’experts. Dans l'article de recherche publié dans le numéro de juillet de Neurology et dans un éditorial d'accompagnement sur la signification de l'étude, la réponse à la question centrale était à la fois frustrante et encourageante: «C'est compliqué».
La recherche a été menée par Jonathan R. Wolpaw et des collègues de plusieurs centres de VA dans le pays; l'éditorial a été écrit par Niels Birbaumer et Leigh Hochberg, experts dans le domaine qui n'étaient pas impliqués dans l'étude.
Les participants étaient tous des hommes avec une SLA avancée. Aucun d'entre eux n'a progressé pour terminer le syndrome de verrouillage (CLIS), la condition dans laquelle un patient est conscient mais ne peut pas bouger ou communiquer du tout en raison d'une paralysie complète de tous les muscles volontaires du corps.
RépondreSupprimerLe cours dévastateur de la SLA avancée était un facteur de complication significatif; 12 des 27 personnes qui avaient reçu le BCI chez elles ont quitté l'étude en quelques mois en raison de facteurs tels que la mort ou la progression rapide de la maladie. Parmi les autres raisons pour lesquelles des personnes ont quitté l'étude, mentionnons la perte d'intérêt pour la participation et la perte du soignant qui avait été formé pour aider à utiliser le système. Le soignant fournissait environ 30 minutes de temps par session.
Les personnes qui maîtrisaient l'utilisation de BCI ont été suivies pendant 18 mois. Pendant environ 40 % du total des jours de la période d’étude, les participants n’ont pas pu utiliser le BCI parce qu’ils étaient hospitalisés ou trop malades à la maison. Néanmoins, les participants ont utilisé le système en moyenne deux jours par semaine et ces sessions ont duré environ une heure et demie chacune, avec une moyenne de trois sélections par minute. Une sélection peut inclure une lettre, un mot ou une icône ou une commande comme "envoyer un courrier électronique".
Wolpaw et le groupe de recherche ont conclu que "le système BCI pourrait fonctionner de manière fiable et utile lorsqu'il est utilisé par des patients chez eux". De plus, "les évaluations des patients et des soignants ont indiqué que les avantages de la BCI dépassaient le fardeau". Et enfin, "les BCI qui soutiennent la communication sont actuellement les plus appropriés pour les personnes gravement handicapées, mais dont la santé est stable".
Dans l'éditorial qui l'accompagne, Birbaumer et Hochberg soulignent que les mesures objectives de la fréquence d'utilisation de la BCI par les individus et de l'inefficacité relative du système permettraient de conclure facilement qu'il s'agissait d'un autre résultat d'essai frustrant dans la SLA. Cependant, ils soulignent ce qu'ils appellent la «ligne de conduite» dans l'étude, à savoir le fait que sept des huit participants qui ont terminé l'étude ont choisi de conserver le BCI. Ils concluent que ces sept personnes considéraient le système comme ayant une valeur actuelle ou future.
Et Wolpaw est d'accord. "Nos résultats ont montré qu'il existe un groupe de patients atteints de SLA qui ont la capacité d'utiliser le système et que ce groupe bénéficie du système."
Wolpaw, Birbaumer, Hochberg et leurs équipes de recherche travaillent tous pour améliorer les systèmes BCI afin d’accroître l’efficacité de la communication et d’aider les personnes atteintes de SLA les plus débilitantes à continuer à communiquer. En outre, ils conviennent tous qu'il est essentiel de combiner les technologies en évolution rapide avec des évaluations pratiques de l'efficacité à domicile des dispositifs afin de fournir aux cliniciens les meilleures informations disponibles pour guider leurs patients lorsqu'ils prennent des décisions concernant les options d'assistance.
Explorer plus avant: le premier implant à usage domestique permet au patient SLA de communiquer dans la vie de tous les jours
Plus d'informations: Jonathan R. Wolpaw et al. Utilisation à domicile d'une interface cerveau-ordinateur par des personnes atteintes de sclérose latérale amyotrophique, Neurology (2018). DOI: 10.1212 / WNL.0000000000005812
https://medicalxpress.com/news/2018-08-in-home-brain-computer-als-patients.html
Les UVA développent une «flèche à deux têtes» pour tuer le cancer de l'ovaire
RépondreSupprimer30 août 2018,
Université de Virginie
Un chercheur de l’École de médecine de l’Université de Virginie est en train de mettre au point une approche basée sur deux anticorps et basée sur les anticorps pour détruire le cancer de l’ovaire mortel.
L’approche à deux volets développée par Jogender Tushir-Singh, Ph.D., vise à surmonter les obstacles qui ont miné des thérapies immunitaires prometteuses pour le cancer de l’ovaire, la maladie gynécologique la plus mortelle. Si l'approche s'avère fructueuse, elle pourrait même sauver certaines thérapies qui ont échoué, permettant aux médecins de les transférer du tas de déchets à la clinique, où ils pourraient bénéficier aux patients.
"Il y a beaucoup d'efforts en termes de traitement immunitaire contre le cancer, mais leur succès est vraiment limité dans les tumeurs solides", a déclaré Tushir-Singh, du département de biochimie et de génétique moléculaire de l'UVA et du centre UVA. "Je crois fermement, et avec ma propre expérience en travaillant dans l’industrie pharmaceutique, que cette avancée nous permettra de sauver et de redonner vie à un grand nombre d’anticorps qui ont échoué en clinique. quantité de données cliniques, et nous avons stratégiquement exploité cette information pour améliorer l'efficacité thérapeutique contre le cancer de l'ovaire. "
Traitement ciblé pour le cancer de l'ovaire
En développant son approche, Tushir-Singh s'est rendu compte qu'un problème majeur des thérapies immunitaires pour le cancer de l'ovaire est que les cellules immunitaires destinées à tuer les cellules cancéreuses ne peuvent pas s'infiltrer efficacement dans le lit de la tumeur solide. "J'ai découvert que l'un des problèmes concerne le microenvironnement des tumeurs solides", a-t-il expliqué. "Le microenvironnement est hautement hypoxique, anergique et, en particulier dans le cas du cancer de l'ovaire, certains récepteurs inhabituellement grands forment une barrière protectrice autour des cellules tumorales, de sorte que même si les cellules immunitaires y parviennent, les obstacles sont nombreux."
Tushir-Singh a décidé de trouver un moyen de rendre l'environnement de la tumeur plus attrayant malgré la barrière de protection qui l'entoure. Il a donc conçu un anticorps qu'il compare à une "flèche à deux têtes". "Les anticorps ont besoin de trouver un foyer", se souvient-il en pensant, "imaginons donc une tête qui se lie à un récepteur fortement exprimé dans les tumeurs ovariennes".
Mais obtenir les anticorps ne suffisait pas. Des essais cliniques antérieurs avaient montré le besoin d'anticorps plus efficaces pour tuer les cellules cancéreuses de l'ovaire. Tushir-Singh a donc cherché à amplifier le pouvoir cancérigène de son anticorps. Le résultat: une tête de la "flèche" frappe ce qu'on appelle le "récepteur de la mort" sur les cellules cancéreuses, leur disant de mourir, tandis que l'autre frappe un récepteur appelé FOLR1, un marqueur bien établi qui suggère une pronostic parmi les cancers de l'ovaire.
Ses travaux de laboratoire suggèrent que les anticorps fabriqués par Tushir-Singh sont plus de 100 fois plus efficaces pour détruire les cellules cancéreuses que les anticorps qui ont été utilisés pour les essais cliniques. En outre, son approche évite les problèmes de toxicité qui ont entravé les thérapies par anticorps antérieures, a-t-il déclaré. "La toxicité hépatique a été le plus gros problème pour beaucoup d'anticorps - ils sont retirés du sang trop rapidement et s'accumulent là où cela n'est pas nécessaire", a-t-il déclaré. "Mais en fournissant un bon foyer pour les anticorps dans la tumeur, nous gardons ces anticorps loin du foie."
Résultats publiés
RépondreSupprimerL'approche de Tushir-Singh en est encore aux premiers stades du développement thérapeutique, mais il est impatient de tester sa flèche à deux têtes chez des personnes. Il dit que ses progrès dépendront de la rapidité avec laquelle il pourra obtenir un financement pour des tests supplémentaires et pour un dépôt de drogue nouvelle (IND) expérimental auprès du gouvernement fédéral. "En fin de compte", a-t-il déclaré, "un essai clinique chez les patients atteints de cancer de l'ovaire est mon objectif majeur et, avec l'aide du groupe UVA Licensing & Ventures, nous recherchons également des partenaires industriels."
"Les UVA sont une grande institution et un terrain très fertile pour faire de la bonne science", a déclaré Tushir-Singh. «Le laboratoire du Dr Sanchita Bhatnagar étant voisin, nous sommes une équipe de mari et femme. Nous avons rejoint UVA il y a trois ans. En tant que jeune professeur, je suis très reconnaissant et admire le leadership de mon département, qui est présidé Anindya Dutta et UVA Cancer Center, dirigés par Tom Loughran, ont eu la chance d’avoir une équipe de recherche fondamentale comme le Dr Kodi Ravichandran et bien d’autres, et un collaborateur clinique efficace, Dr Charles 'Chip' Landen.
https://medicalxpress.com/news/2018-08-uva-two-headed-arrow-ovarian-cancer.html
Les femmes indiennes confinées à la maison dans les villes conçues pour les hommes
RépondreSupprimer30 août 2018
par Rahul Goel, The Conversation
L’inégalité entre les hommes et les femmes en Inde est frappante, et ce n’est plus le cas dans les rues de ses villes, qui sont indéniablement le domaine des hommes. Bien sûr, c'est en partie parce qu'il y a moins de femmes dans la population. Avec 940 femmes pour 1 000 hommes, le ratio hommes / femmes est faible, en raison de la préférence des familles pour les enfants de sexe masculin, ainsi que de la mauvaise nutrition et des soins de santé pour les femmes.
De plus, seulement 27 % des femmes indiennes participent au marché du travail, contre 79 % des hommes. Cette tendance est particulièrement évidente dans les zones urbaines. Bien que la plupart des femmes en Inde marchent, pédalent ou utilisent les transports en commun pour se rendre au travail, elles sont encore beaucoup moins visibles dans les espaces publics que les hommes, car beaucoup d’entre elles n’ont aucun emploi. Cela a un impact significatif sur la santé des femmes et leurs opportunités dans la vie.
Selon le recensement de 2011 en Inde, seules 17 % de toutes les personnes se rendant au travail dans les zones urbaines sont des femmes. Même dans les grandes métropoles indiennes, telles que Delhi, Mumbai, Kolkata et Chennai, la proportion de femmes ne dépassant jamais 20 %. Au total, il y a près de cinq hommes pour une femme qui se rend au travail.
Rester à la maison
Cette inégalité se reflète également dans les données sur les titulaires de permis de conduire, où les hommes sont neuf fois plus nombreux que les femmes - comparez cela aux États-Unis, où les femmes sont plus nombreuses que les hommes (même si elles sont peu nombreuses). Malgré la croissance rapide de son économie, le niveau de possession de véhicules en Inde est encore très bas. Il n'y a que 20 voitures pour 1 000 habitants en Inde, contre plus de 400 dans la plupart des pays à revenu élevé.
Cela signifie que la grande majorité des personnes voyagent à pied, en vélo ou en transport en commun. Ainsi, 83 % des femmes qui se rendent au travail dans les villes indiennes auront l’une de ces options. En Angleterre, 27 % seulement des femmes se rendent au travail dans l'un de ces trois modes de transport et, aux États-Unis, elles sont encore moins nombreuses.
Selon une enquête de voyage menée par mes collègues et moi-même à Delhi en 2013 - qui inclut tous les voyages, et pas seulement ceux à travailler - les hommes indiens atteignent des niveaux d'activité physique comparables à ceux des Pays-Bas, où le vélo est très populaire. à Delhi c'est surtout de marcher). Pendant ce temps, les femmes sont deux fois moins actives.
Compte tenu de la preuve, il est clair que ce n’est pas parce que les femmes voyagent davantage en voiture - c’est parce que beaucoup de femmes ne voyagent pas du tout en ville. Notre étude a révélé que seulement 20 % de tous les voyages à Delhi sont effectués par des femmes et seulement 25 % dans la ville de Bengaluru. Avec des niveaux d'activité physique inférieurs, les femmes sont exposées à un risque plus élevé de maladie cardiaque, de cancer du sein et de dépression.
Des rues plus sûres
RépondreSupprimerDe plus, plus d'un tiers des femmes qui travaillent dans des villes indiennes le font chez elles. Confinées à la maison, les femmes sont socialement exclues, ce qui signifie qu'elles perdent les avantages qui découlent souvent du développement d'un réseau social, tel qu'un soutien émotionnel ou financier, l'accès à des opportunités ou la participation à la vie sociale ou politique de la communauté. Pour que les femmes participent volontairement à des activités en dehors de la maison, les rues, les quartiers et les infrastructures de transport doivent être conçus pour répondre aux besoins des femmes.
La sécurité des femmes dans les espaces publics ne devrait pas dépendre uniquement de lois plus strictes sur la violence à l'égard des femmes, ou d'une meilleure application de la loi - même si cela a un rôle à jouer. Le droit des femmes de circuler dans les espaces publics sans crainte peut également être préservé grâce à l'environnement bâti, en utilisant des principes tels que «les yeux dans la rue», selon lesquels les gens se sentent plus en sécurité dans les rues ouvertes et pleines de monde. instiller la peur.
Rendre les rues plus sûres pour les femmes permettrait également de rendre les transports publics plus accessibles, car les trajets en bus ou en train impliquent généralement de marcher aux deux extrémités. Les arrêts et les gares devraient être situés dans des zones achalandées et devraient être bien éclairés la nuit. Une multitude d’autres mesures - telles que la formation du personnel des transports et d’autres femmes - sont également nécessaires pour rendre les voyages dans les transports publics plus sûrs pour les femmes, le harcèlement des bus et des trains restant un problème social majeur (et pas seulement en Inde).
Avec la présence de marchands ambulants, une forte densité de population, des rues étroites et un grand nombre de personnes marchant et faisant du vélo, les villes indiennes comptent parmi les quartiers les plus animés du monde, où les femmes peuvent se sentir en sécurité. Mais ces quartiers existent souvent de manière isolée, à mesure que la taille des villes augmente. Le défi consiste à assurer la sécurité de conception à une échelle beaucoup plus grande.
https://phys.org/news/2018-08-indian-women-confined-home-cities.html#jCp
La réaction des plantes à la sécheresse peut être vue dans la composition de l'atmosphère
RépondreSupprimer30 août 2018,
Université de Wageningen
Les périodes chaudes et sèches, comme cet été en Europe, semblent modifier la composition de l'atmosphère. Des chercheurs de Wageningen University & Research et de la NOAA ont découvert un «signal» dans la composition du gaz carbonique dans l'atmosphère provoqué par la réaction de la végétation à la sécheresse. Différents modèles climatiques peuvent maintenant être adaptés en fonction des mesures. Les chercheurs ont rapporté leurs découvertes dans Nature Geosciences le 27 août.
En cas de sécheresse sévère, les plantes ferment leurs stomates - minuscules ouvertures au bas des feuilles - et perdent ainsi moins d'eau dans l'air chaud et sec qui les entoure. La fermeture des stomates signifie également que les plantes absorbent beaucoup moins de gaz carbonique dans l'air, ce qui est nécessaire à la croissance et au métabolisme. Lorsque cela se produit à l’échelle du continent, comme cet été en Europe, beaucoup moins d’eau est transpirée et le gaz carbonique est absorbé. En conséquence, cela modifie la composition du gaz carbonique dans l'atmosphère.
L'analyse du groupe de recherche international a montré que la réponse à la sécheresse des plantes affectait plus d'un million de kilomètres carrés lors des sécheresses extrêmes en Russie, en Europe et aux États-Unis. Pendant plusieurs décennies, les chercheurs ont recueilli des échantillons d’air à l’aide d’une méthode standardisée dans plus de cinquante sites de ces régions. Ces échantillons ont été analysés au Laboratoire de recherche sur le système terrestre de la NOAA aux États-Unis.
Mesurer deux types de gaz carbonique
L’analyse a montré que la composition de l’atmosphère était différente lors de sécheresses graves par rapport aux conditions météorologiques normales. En cas de sécheresse, les plantes non seulement absorbent moins de gaz carbonique, mais la composition du gaz carbonique absorbé est différente. Les chercheurs ont examiné deux isotopes du gaz carbonique dans l'atmosphère: le variant léger 12 gaz carbonique, que les plantes préfèrent, et le 13 gaz carbonique légèrement plus lourd. Pendant les sécheresses, la préférence pour la variante plus légère est beaucoup plus petite. En conséquence, le rapport entre 12 gaz carbonique et 13 gaz carbonique est différent que pendant un été normal. Ce «signal de sécheresse» à grande échelle a été identifié pour la première fois dans l'atmosphère. "J'ai vu que nos mesures s'écartaient de ce que prédisaient les modèles climatiques", explique Erik van Schaik, qui a découvert cette déviation dans les modèles il y a deux ans et a tenté d'en comprendre les causes. "Quand j'ai déterminé que beaucoup d'autres modèles de la biosphère présentaient la même déviation, c'était un soulagement. Ce n'était pas dû à mon analyse, mais les modèles se sont révélés incomplets."
RépondreSupprimerAdapter les modèles climatiques
Le chercheur principal de l'étude était le professeur Wouter Peters de l'université et de la recherche de Wageningen. Il décrit les implications de la découverte: "Il apparaît que de nombreux modèles de climat et de biosphère n'ont pas décrit avec précision les effets des périodes de sécheresse sur l'absorption du gaz carbonique et la transpiration de l'eau. L'adaptation de ces modèles est importante car nous supposons que les sécheresses seront plus graves et plus fréquent dans le futur. "
Les chercheurs ont utilisé plus de 25 000 échantillons d'air dans leur étude, prélevés sur 53 sites du monde entier. Les échantillons de gaz carbonique prélevés aux Pays-Bas proviennent de l'infrastructure de recherche Ruisdael récemment financée, qui représente la contribution néerlandaise au Système européen intégré d'observation du carbone (ICOS), dans lequel WUR est un partenaire actif. Les modèles de climat et de biosphère utilisés pour comparer les résultats des mesures font partie des systèmes modèles que le GIEC utilise pour créer des scénarios pour les développements climatiques mondiaux.
https://phys.org/news/2018-08-reaction-drought-composition-atmosphere.html#jCp
Étude déjà faite il y a '10 000 ans' !
SupprimerLa végétation absorbe le gaz carbonique durant la nuit et seulement 20 % le jour.
Suffit de photographier un plant de tomates à la tombée du jour et de le photographier au jour levé. Il pousse de 80 % pendant l'absence de chaleur solaire et seulement de 20 % pendant l'ensoleillement.
L'Australie va-t-elle abandonner les subventions aux énergies renouvelables, cesser d'essayer de contrôler le climat avec les éoliennes et l'énergie solaire?
RépondreSupprimerAugust 31st, 2018
Sensationnel. L'Australie pourrait abandonner le RET - la cible de l'énergie renouvelable - et cesser d'essayer d'utiliser notre réseau national pour rendre la météo mondiale plus agréable pour nos arrière-petits-enfants ? Ce serait légendaire.
«La baisse des prix sera plus importante que la réduction des émissions»
Ne sortez pas encore le Moet. Notez deux mises en garde.
1. Le Daily Telegraph comprend que cela est vrai. Pas définitivement annoncé. Pas passé par le cabinet. Est-ce que c'est juste tester l'eau pour voir comment il fait chaud ?
2. L'Australie essaiera encore de faire face à notre accord inutile de Paris d'une autre manière. Sûr.
Est-ce que ces grands projets complexes de sélection du marché, de violonage de marché vont-ils aller ?
Le télégraphe du jour
Les subventions à l'énergie renouvelable et les objectifs de réduction des émissions seront remplacés en mettant l'accent sur la réduction des prix de l'électricité sous le gouvernement Morrison.
Le nouveau ministre de l’Énergie, Angus Taylor, a déclaré que la politique énergétique fédérale était «un gâchis» et dit que les prix ont monté en flèche alors que les pannes de courant persistent, que quelque chose «a terriblement mal»
Les systèmes complexes auxquels M. Taylor fait référence sont compris comme suit: la cible à grande échelle pour les énergies renouvelables (LRET), qui subventionne le développement des énergies renouvelables.
Le Daily Telegraph comprend que la réduction des émissions ne jouera aucun rôle futur dans la politique énergétique. h / t GWPF
Comme le dit Andrew Bolt:… il nous donne enfin la vérité: nous avons des projets de réchauffement de la planète qui font grimper votre facture d'électricité sans réduire la température.
Scott Morrison a divisé le portefeuille Énergie et environnement. Bien mais symbolique. Mais, mais, la nation vise toujours à réduire les émissions de 26 % obscènes. Comment cela va-t-il arriver - Comme les Allemands, qui visent le gros, mais n’y parviennent pas ?
Le PM prend les objectifs d'émissions du ministre de l'énergie
Scott Morrison dit que le ministre de l’Energie, Angus Taylor, confiera le rôle de l’Australie à ses objectifs de réduction des émissions et qu’il la remettra à la ministre de l’Environnement, Melissa Price.
Le Premier ministre a déclaré que Mme Price serait chargée d’élaborer des politiques visant à atteindre les objectifs du gouvernement de Paris, à savoir une réduction de 26 % des émissions de 2005 d’ici à 2030.
"C’est son travail de continuer à poursuivre nos politiques en matière de climat et de poursuivre les politiques que nous avons pour nous attaquer à notre engagement en matière d’émissions qui a été donné sous le gouvernement Abbott", a déclaré M. Morrison ce matin.
RépondreSupprimer«Le travail d’Angus Taylor est d’être le ministre chargé de faire baisser les prix de l’électricité.»
Guardian: Angus Taylor: «Je ne suis pas sceptique à propos de la science du climat»
Dans un discours à Sydney, le nouveau ministre de l’énergie, Angus Taylor, nie être sceptique face au changement climatique. Mais il ajoute: «Je suis profondément sceptique quant à l’économie de tant de programmes de réduction des émissions imaginés par les politiciens, les intérêts particuliers, les technocrates et les politiciens du monde entier.» VIDEO: 1min36secs: 30 août
Comment se sentent nos amis de Reneweconomy ?
Pas heureux. Il s’agit d’un «type Bjorn Lomborg» qui n’aide pas les énergies renouvelables, ce qui est «fou» parce que les énergies renouvelables sont bon marché, (c’est pourquoi nous ne pouvons pas arrêter les programmes de subventions, pas vrai) ? Obtenu que ?
Les énergies renouvelables ne sont pas chères si vous ignorez tous les coûts cachés.
Bottom line: Ceci est un pas dans la bonne direction. Continuez à envoyer ces messages à vos membres, amis et donateurs libéraux. Assurez-vous qu'ils connaissent votre opinion. En ce moment, ils vont entendre les demandeurs de location qui peuvent se réveiller demain en colère.
http://joannenova.com.au/2018/08/australia-to-dump-renewable-energy-subsidies-quit-trying-to-control-climate-with-windmills-and-solar/
Complètement idiot ! La chaleur ressentie ne vient pas du soleil plus près ni de la qualité de l'air mais de la conjugaison des chaleurs sous marines et sous océaniques avec l'été.
SupprimerL'hiver, malgré l'absence de chaleur solaire, certaines côtes ressentent des douceurs climatiques venues de la profondeur des bassins.
Damas: les Casques blancs ont kidnappé 44 enfants pour scénariser une attaque chimique
RépondreSupprimer16:45 30.08.2018
Les Casques blancs ont kidnappé 44 enfants pour la mise en scène d’une attaque chimique à Idlib, a déclaré le ministre syrien des Affaires étrangères, Walid al-Mouallem.
Lors d'une conférence de presse à Moscou, le ministre syrien des Affaires étrangères a déclaré qu'afin de scénariser l'attaque chimique à Idlib, les Casques blancs ont kidnappé 44 enfants.
«Ce sont les services de renseignement britanniques qui sont derrière la création de pseudo-organisations telle que les Casques blancs, ce sont eux qui les financent et les dirigent. Ils étaient derrière l’organisation des scénarios montés de toute pièce de recours aux armes chimiques et maintenant ils préparent une évolution similaire de la situation sur des armes chimiques à Idlib», a fait savoir le chef de la diplomatie syrienne, Walid al-Mouallem.
Et de poursuivre:
«Selon nos informations, ils viennent de kidnapper 44 enfants dans la zone d’Idlib pour la réalisation de cette mise-en-scène aux armes chimiques».
Il a d'ailleurs souligné que Damas essayait d'éviter une effusion de sang, même si le Front al-Nosra* sabotait ces opérations de l'armée syrienne:
«Nous ferons le maximum d'efforts pour éviter d'éventuelles victimes parmi les civils et une effusion de sang en général. Néanmoins, les terroristes du Font al-Nosra* entravent ces projets.»
* Organisation terroriste interdite en Russie
https://fr.sputniknews.com/international/201808301037876873-casques-blancs-enfants-mise-en-scene-attaque-chimique/
Hulot: avant la coulée du lobby de la chasse, un «boa constrictor» nommé nucléaire ?
RépondreSupprimer18:54 30.08.2018
Elliot Lelievre
Un rapport préconisant la construction de six nouveaux réacteurs nucléaires en France a été présenté à Nicolas Hulot peu de temps avant sa démission. Assez dur à avaler pour l’inciter à quitter le gouvernement ? Pas impossible, au vu des convictions de l’Ecologie.
Nicolas Hulot a-t-il vraiment démissionné après avoir croisé le fer et la bataille contre le lobby de la chasse ? Un article paru dans Les Échos laisse à penser que le nucléaire serait aussi pour quelque chose.
«Vous avez, les mois passant, un ministre qui cède sur les perturbateurs endocriniens, sur le CETA, sur le glyphosate et maintenant sur la transition énergétique, qui ont plus de couleuvres, qui avale des boas constrictors !»
Le 7 novembre dernier, Yannick Jadot dénonçait en ces termes le renoncement de Nicolas Hulot sur la sortie progressive du nucléaire, après que ce dernier soit reporté sur dix ans de ramener à 50 % la part d'atome dans le mix énergétique français d'ici à 2025, argumentant que «beaucoup saviez-vous que cet objectif n'était pas atteignable».
Après sa démission du 28 août dernier, la question se pose: Nicolas Hulot a-t-il vraiment démissionné après avoir croisé le fer et la bataille contre les lobbys de la chasse ou de la coulisse de trop ?
Un article paru dans Les Échos laisse à penser que le nucléaire serait pour quelque chose. Et pour cause, il s'agit d 'un rapport commandé au printemps dernier par les ministères de l'économie et de la transition écologique, qui préconise la construction de six réacteurs de type EPR au rythme de tous les deux entre 2025 et 2035.
Des recommandations diamétralement opposées aux condamnations de Nicolas Hulot, écologiste devenu conseiller de François Hollande pour la COP 21 avant de devenir ministre sous Macron.
Cette année encore, le ministre avait une filière nucléaire qui nous emmène à la dérive en juin. Deux mois plus tôt, il a également répondu à une séance de questions au gouvernement:
«Si on mène de front la création de nouveaux EPR et le développement des énergies renouvelables, je pense qu'on va échouer sur les deux.»
En annonçant sa démission, Nicolas Hulot n'a pas non plus manqué de tacler le secteur nucléaire en qualifiant le choix de l'énergie atomique de folie inutile économiquement, technologiquement dans sur s'entête ».
Le signe que la recommandation de construire six EPR était un boa constrictor ?
https://fr.sputniknews.com/france/201808301037881493-france-nicolas-hulot-rapport-reacteurs-nucleaires-dimission/
Seul le nucléaire dit la vérité sur l'énergie et ses coûts.
SupprimerLa honte est de prendre des non-scientifiques pour parler de la science.