https://www.youtube.com/watch?v=hiXuHYtq6DA
Quoi de mieux, pour finir la tumultueuse année 2016, qu’un petit rappel de ce qui fait la propagande contemporaine ?
La «propagande» est depuis un certain temps dans le viseur des grands médias. Mais connaissiez vous la bulle de filtres ? Le concept de post-vérité ? Non ? Mais vous avez au moins certainement déjà été traité ou entendu quelqu’un être traité de «poutiniste»... Abordez l’information de l’année à venir avec ce bref décryptage des stratagèmes employés pour vous empêchez d’aller plus loin.
https://francais.rt.com/international/31579-vous-etes-poutiniste-actualite-occidentale-entre-exploitation-emotionelle-filtrage
Au magasin d'armes de la ville de l'industrie, les immigrants chinois exercent un droit inconnu
RépondreSupprimerTony Gao émerge d'un magasin d'armes à feu dans la ville de l'industrie avec quelque chose qu'il n'aurait jamais pu obtenir dans sa Chine natale: un permis de pistolet.
Il a réussi le test de sécurité des armes à feu lors de son troisième essai - il dit que la traduction chinoise du magasin du test est un peu éteint - mais toujours, il est un peu nerveux.
La possession d'armes à feu privées est généralement interdite en Chine. Ainsi, lorsque les immigrants chinois arrivent aux États-Unis, beaucoup sont curieux de posséder des armes à feu.
À Los Angeles, les immigrés chinois fréquentent Gun Effects, un magasin d'armes à feu logé dans un centre commercial de la City of Industry qui comprend un thé au boba, un salon de massage et un restaurant taiwanais à thème de dinosaures.
Lors d'un récent week-end, une ligne formée à un bilingue anglais et chinois sign-in feuille comme Tom Petty crooned sur les haut-parleurs magasin. Quelques clients ont perplexe sur une traduction chinoise de l'essai de pistolet sous un mur vide où le magasin a monté une fois des armes d'assaut - qui ont été happés avant que les nouvelles dures mesures de contrôle de canon de la Californie prennent effet Jan. 1. La législation a été signée par Gov. Jerry Brown en juillet dans le sillage de l'indignation frémissante sur les fusillades de masse à San Bernardino et Orlando, en Floride.
Partout dans l'état, les ventes ont augmenté pour les fusils semi-automatiques avec des chargeurs de balles, les dispositifs qui permettent la commutation rapide des cartouches de munitions et sont interdits en vertu de la nouvelle loi. Les ventes totales d'armes à feu ont augmenté de 40% par rapport à l'an dernier, selon le ministère de la Justice de l'État.
En Novembre, les électeurs ont également approuvé la Proposition 63, qui interdit la possession de chargeurs avec plus de 10 tours, élargit les vérifications des antécédents pour ceux qui achètent des balles et rend un crime de ne pas signaler un fusil perdu ou volé.
Chez Gun Effects, les acheteurs chinois ont manifesté en masse pour acheter des stocks d'armes à feu à autorisation restreinte.
Kai Kang, 48 ans, d'Irvine, s'est aligné pour acheter une arme pour un de ses canons. Il se souvient d'être curieux de posséder une arme quand il est venu en Amérique il y a une dizaine d'années. En Chine, il était dans l'armée, mais il n'a jamais pensé à posséder un pistolet pour son usage personnel.
Une fois qu'il avait sa carte verte, il a décidé de l'essayer. Pistolet de collecte est finalement devenu un passe-temps. Il va à des champs de tir avec ses amis et garde des fusils dans sa maison pour la protection.
«J'ai des fusils courts, des canons longs, des armes de poing, des AR-15, des fusils. J'ai acheté un, puis j'ai juste continué à en acheter plus ", a déclaré Kang.
La popularité de Gun Effects avec les clients chinois pourrait avoir quelque chose à voir avec sa propriété chinoise et ses services bilingues. Le propriétaire du magasin, Dennis Lin, est né dans le Guangdong, en Chine, à un chef dim sum et sa femme. Il est arrivé aux États-Unis à l'âge de 3 ans.
Lin, 29 ans, a grandi en jouant avec des pistolets airsoft et a commencé une entreprise vendant des accessoires d'armes à feu en ligne après avoir terminé ses études collégiales. Quand l'entreprise a grandi, il a ouvert un magasin.
RépondreSupprimerLes affaires étaient lentes au début. Il a placé des publicités en ligne, mais ils n'ont pas réussi à augmenter la demande. Pourtant, il ya environ un an, les clients chinois ont commencé à apparaître en grand nombre.
"Je ne sais même pas comment cela s'est passé, vraiment," dit Lin. "Dans le passé, la plupart de nos affaires ont été avec des clients non-chinois."
Maintenant, environ 40 pour cent des clients sont chinois, Lin dit. Il a engagé deux employés de langue chinoise et a accéléré son étude du mandarin. Il voyage aussi en Chine plusieurs fois par an pour en apprendre davantage sur la culture chinoise, à laquelle il n'a jamais eu beaucoup de lien depuis son enfance.
En Chine, il est prudent de ne jamais dire qu'il vend des armes à feu pour gagner sa vie.
"Ils deviennent nerveux," dit Lin. "C'est comme un tabou."
Les clients chinois ont souvent des questions au sujet de la légalité et de la sécurité, a déclaré Queenie Yang, l'un des employés chinois du magasin de parler. Et beaucoup d'entre eux ont besoin de temps pour se sentir à l'aise, même en tenant un pistolet.
Un client chinois nouveau au pays a commencé à trembler quand il a tenu un pistolet pour la première fois, Lin dit. Quand il remit le fusil à Lin, il fut trempé de sueur.
«Je leur dis juste de ne pas avoir peur. C'est légal ici, "dit Lin.
Gao a dit qu'en Chine, il n'a jamais pensé posséder un pistolet, et il a admis avoir un peu peur d'eux. Mais il vit en Amérique maintenant, et il est surtout à la retraite et un peu ennuyé. Ses amis vont à des champs de tir pour passer le temps et il décide de se joindre à eux.
"Je fais ça pour le plaisir. Je ne pense pas que tout le monde devrait avoir un pistolet », a déclaré Gao.
La position de Gao reflète les tendances nationales. Les Américains d'origine asiatique ont les taux les plus bas de possession d'armes à feu parmi tous les groupes démographiques, selon les sondages effectués lors des élections présidentielles de 2008. Et un sondage mené en 2016 auprès d'électeurs américains d'origine asiatique par APIAVote a révélé que 77 pour cent voulaient des lois plus strictes en matière de contrôle des armes à feu. Même Gao a déclaré qu'il n'appuierait pas la légalisation de la possession d'armes à feu privées en Chine.
Jason He, un autre client chinois, a accepté. Il pense qu'il serait imprudent pour la Chine de légaliser la possession d'armes à feu privées, et a exprimé son soutien pour les nouvelles restrictions d'armes d'assaut de la Californie.
Cependant, quand son nom a été appelé de la liste d'attente, il a poivré l'un des employés parlant chinois du magasin d'armes à feu avec des questions sur les poids, comment pratiquer et quel type d'arme sa femme devrait acheter. Il cherche un pistolet et un pistolet pour sa maison, rien de trop chic ou cher.
RépondreSupprimerPolitique et politique de côté, Il a dit qu'il a toujours voulu un pistolet.
«En Chine, dit-il, vous ne voyez que des fusils qu'à la télévision.
http://www.latimes.com/local/lanow/la-me-headlines-chinese-gun-store-20161228-story.html
Où s'arrêteront les lobbies ? Après 'la peur du russe', voici qu'arriverait 'la peur des chinois' !!! Or, que ce soit à LA ou partout ailleurs dans le monde: Les manifestants dans les rues, les agresseurs, les assassins sont de tout autres pays sauf justement de Chine ou de Russie ! Çà alors !!
SupprimerLe terrorisme est "la plus grande menace" pour l'Allemagne, affirme Angela Merkel, des mois après avoir laissé entrer plus d'un million de migrants du moyen-orient dans son pays
RépondreSupprimerPlus d'un million de demandeurs d'asile sont entrés dans le pays en 2015
D'autres 300 000 seraient arrivés en Allemagne au cours de la dernière année
Un demandeur d'asile a mené une attaque mortelle sur le marché de Noël de Berlin
Deux attaquants en Bavière cet été sont également venus en Allemagne en tant que demandeurs d'asile
Mme Merkel cherche un quatrième mandat comme chancelier lors d'une élection l'année prochaine
Elle est confrontée à un dur défi de la part de l'extrême droite allemande
Par Hannah Al-othman
le 31 décembre 2016
Angela Merkel a déclaré aux citoyens allemands que le plus grand défi du pays est le terrorisme islamiste.
Dans son message du Nouvel An, elle dit aux Allemands que leur pays est plus fort que le terrorisme et que le gouvernement fera tout pour assurer la «sécurité dans la liberté».
Dans son message télévisé annuel, qui est diffusé aujourd'hui, la chancelière Mme Merkel affirme que 2016 a été «une année de sévères épreuves», la plus dure d'entre elles étant la terreur extrémiste islamique.
Mais elle ajoute, cependant, qu'elle est «confiante pour l'Allemagne».
Douze personnes ont été tuées dans une attaque de camion sur un marché de Noël à Berlin le 19 décembre.
Le groupe de l'État islamique a revendiqué cette agression, comme il l'a fait pour deux attaques en Bavière pendant l'été où les assaillants, qui, comme le principal suspect à Berlin, sont venus en Allemagne en tant que demandeurs d'asile.
Dans les attaques de la Bavière les deux assaillants ont été tués, tandis que 20 personnes ont été blessées.
"C'est particulièrement amer et angoissé lorsque des attaques terroristes sont commises par des personnes qui prétendent chercher protection dans notre pays", a déclaré Mme Merkel, qui a été critiquée pour avoir accueilli un grand nombre de migrants en Allemagne en 2015.
Mais «en allant sur notre vie et notre travail, nous disons aux terroristes: vous êtes des meurtriers pleins de haine, mais vous ne déterminerez pas comment nous vivons et voulons vivre». «Nous sommes libres, attentionnés et ouverts», ajoute-t-elle.
Plus d'un million de demandeurs d'asile sont entrés dans le pays en 2015, alors que 300 000 autres seraient arrivés au cours de la dernière année.
Dans son message du Nouvel An, Mme Merkel affirme que, face aux images de la ville syrienne dévastée d'Alep, «combien il était important et juste pour notre pays d'aider ceux qui ont vraiment besoin de notre protection de trouver ici leurs pieds et de s'intégrer».
La démocratie et les valeurs de son pays sont à l'opposé du «monde haineux du terrorisme et elles seront plus fortes que le terrorisme», ajoute-t-elle.
«Nous sommes plus forts ensemble. Notre état est plus fort. Notre Etat fait tout pour garantir à ses citoyens la sécurité dans la liberté », poursuit-elle.
RépondreSupprimerMme Merkel a également profité de l'occasion pour promettre qu'en 2017, le gouvernement prendra rapidement des mesures «là où des changements politiques ou juridiques sont nécessaires».
Mme Merkel est en quête d'un quatrième mandat en tant que chancelière à une élection prévue en septembre, et elle a déjà dit qu'elle attendait sa campagne la plus dure encore.
Elle est confrontée à un dur défi lancé par le parti d'extrême droite allemande, qui gagne rapidement du terrain, face à la politique impopulaire d'immigration ouverte de Mme Merkel.
Dans son discours, elle appelle à «une vision ouverte du monde et de la confiance en soi, en nous-mêmes et dans notre pays» et attaque des «images déformées» de l'Union européenne et de la démocratie parlementaire.
Elle reconnaît que l'Europe est lente et difficile et dit qu'elle devrait se concentrer sur «ce qu'il peut vraiment faire mieux que l'État national».
«Mais, non, nous, les Allemands, ne devrions jamais être trompés en pensant qu'un futur heureux ne pourrait jamais résider dans le fait d'aller seul au niveau national», ajoute Mme Merkel.
http://www.dailymail.co.uk/news/article-4078116/Terrorism-greatest-threat-Germany-says-Angela-Merkel-months-letting-million-Mid
Présidentielles : enquête sur l’incroyable opacité du vote électronique
RépondreSupprimerSimon Robic
Ce n'est quasiment pas dit, et pourtant près de 1,5 million d'électeurs en France, soit deux fois la différence de voix entre Nicolas Sarkozy et François Hollande au premier tour de l'élection présidentielle, doivent utiliser une machine à voter électronique pour exprimer leur choix. Outre le fait que le vote électronique pose d'importants problèmes de contrôle du scrutin, qui est à la base de la transparence électorale, le ministère de l'intérieur refuse de communiquer la liste des bureaux de vote concernés, présents dans 64 communes. Enquête.
Depuis 2008, les communes françaises ne peuvent plus s’équiper en machines à voter électroniques. Mais 64 communes de plus de 3 500 habitants, déjà équipées auparavant, imposent aux personnes inscrites sur leurs listes électorales de voter sur des machines dont le fonctionnement est d’une redoutable opacité. Tout semble fait pour entretenir le manque de transparence autour du du vote électronique, jusqu’à tenir secrète la liste des communes concernées. Et aucun recours juridique ne semble pouvoir empêcher l’utilisation du vote électronique.
Alors que des pays comme les Etats-Unis, le Brésil ou l’Inde votent (exclusivement pour l’Inde) par des machines à voter, d’autres plus proches de nous reviennent en arrière. C’est le cas par exemple des Pays-Bas, qui ont fait voter jusqu’à 90 % de leur population sur des machines, et qui privilégient désormais le papier face aux polémiques suscitées par le vote électronique.
Mais en France, malgré un moratoire prononcé de fait en 2008, le vote électronique se prépare à une nouvelle révolution plus dangereuse encore : le vote par internet.
Un peu d’histoire…
C’est après la démission du Général de Gaulle en 1969 que les Etats-Unis ont poussé la France à se doter de machines à voter. L’objectif était officieusement à l’époque d’empêcher les Communistes d’arriver au pouvoir ; les Américains les suspectant d’être capables d’organiser une fraude électorale massive pour y parvenir. Seules quelques communes de Corse et de la périphérie de Paris se sont alors équipées cette année-là, sur ordre du ministère de l’Intérieur.
Depuis, l’article L. 57-1 du Code électoral créé à cette occasion a peu changé. Les communes de plus de 3500 habitants qui bénéficient d’un feu vert préfectoral peuvent mettre en place le vote électronique, ce qui est le cas d’une soixantaine de villes françaises.
En 2003, le Ministère de l’Intérieur a suivi les conseils du fabricant hollandais de machines à voter Nedap qui lui promettait, avec des terminaux non-connectés, davantage de sécurité qu’avec un vote centralisé en réseau (il faut cependant noter que ces machines doivent être connectées à Internet une première fois pour les initialiser, et qu’elles sont branchées au courant électrique via lequel il est possible de faire passer des données grâce au CPL). Un document technique d’agrément fut alors publié, auquel ont pu se conformer quelques entreprises spécialisées. C’est Nedap qui raflera la majorité des marchés (PDF).
Mais l’agrément du ministère de l’Intérieur est attribué à des types d’appareils, et non à des modèles précis. Aussi, une autorisation accordée en 2003 est toujours valable pour les machines fabriquées en 2012, lesquelles ne font l’objet d’aucun nouveau contrôle. Il suffit au constructeur de certifier qu’elles sont du même type que celui agréé, pour qu’elles puissent être utilisées. Un trou béant dans le protocole.
RépondreSupprimerEn 2008, devant une protestation croissante, la ministre de l’Intérieur Michelle Alliot-Marie a décidé de ne plus accorder de nouvelles autorisations préfectorales, gelant de fait la progression du vote électronique en France. Mais les autorisations déjà délivrées aux communes n’ont pas été annulées, ce qui leur permet encore de faire voter électroniquement.
Chantal Enguehard, maître de conférence au Laboratoire Informatique de Nantes Atlantique (LINA) et experte du vote électronique, nous explique dans l’interview ci-dessous pourquoi l’opacité des machines est vivement critiquée, et critiquable. « Il n’y a aucune manière de vérifier » que le vote compté par la machine est bien celui exprimé par l’électeur, prévient-elle.
La seule confiance dans l’efficacité informatique ne peut suffire à justifier le recours au vote électronique puisque, comme l’indique le rapport annuel de l’Observatoire du Vote, les scrutins électroniques peuvent entraîner 5 à 6 fois plus d’erreurs (différence entre le nombre de votes et le nombre d’émargements) que le vote papier :
- voir graphique sur site -
Entre le premier tour de l’élection présidentielle de 2007 et le premier tour de l’élection cantonale de 2011, la proportion d’erreurs entre le vote électronique et le vote papier a même quasiment doublé !
Vers un vote par Internet ?
Malgré les zones d’ombre qui justifient largement le coup d’arrêt donné aux machines à voter en 2008, le vote électronique est encore vu comme une solution d’avenir par les autorités en France. Pire, c’est désormais le vote par Internet qui a les faveurs de l’Etat.
Les français de l’étranger choisiront d’ailleurs leurs députés par ce biais dès cette année.
Or le vote par Internet pose encore d’autres problèmes majeurs, notamment pour identifier l’électeur, pour s’assurer qu’il ne vote ni sous la pression d’un tiers, ou que l’ordinateur personnel à partir duquel il vote n’est pas infecté par un virus qui modifierait son choix à son insu.
Au début des années 2000, c’est Isabelle Falque-Pierrotin, l’actuelle présidente de la CNIL qui était alors au Conseil d’Etat, qui militait pour le vote par Internet. Le réseau mondial était en pleine expansion et l’idée qu’il était la meilleure réponse possible à tous les problèmes flottait sur une France qui n’avait pas encore connu l’éclatement de la bulle économique et de prise de conscience de certains problèmes, notamment de vie privée, posés par Internet. Feignant d’ignorer les risques engendrés, Mme Falque-Pierrotin plaidait pour que des machines à voter présentes dans les bureaux de vote soient toutes connectées à Internet afin que les votes soient centralisés et sécurisés. Or le succès de Nedap, avorté en 2008, lui a été défavorable.
RépondreSupprimerEn tant que présidente de la CNIL, Isabelle Falque-Pierrotin aura certainement à rouvrir le dossier du vote électronique par Internet. Une occasion en or de valider ce qui lui avait été refusé dix ans auparavant.
Quels recours possibles ?
Au bout de la chaine électorale, mais au centre du processus, l’électeur paraît bien démuni devant l’opacité du vote électronique. Sauf à faire partie des abstentionnistes, il lui est impossible de s’y soustraire, le code électoral précisant que les bureaux de vote ne doivent avoir qu’une seule urne. Il est donc impossible de proposer une urne papier aux réfractaires.
Si certains ont appelé à protester auprès des présidents des bureaux de vote concernés, Jean-Didier Graton, le président de l’Observatoire du Vote, nous précise que l’expression d’un simple doute sur le bon déroulement d’un scrutin électronique ne suffit pas à l’électeur pour contester la sincérité des résultats de son bureau de vote. L’action en justice n’a guère plus de chances.
« Le juge électoral (le Conseil Constitutionnel pour les élections nationales, le tribunal administratif et le Conseil d’Etat pour les élections locales, ndlr) ne casse les votes que s’il lui est apporté la preuve formelle qu’il y a eu fraude. Il ne fait pas réaliser d’enquête pour le vérifier« , explique-t-il. Or puisqu’il est matériellement impossible de vérifier le déroulement d’un vote avec une machine à voter (contrairement à l’urne traditionnelle) qui doit toujours être transparente et visible pour chaque électeur, il est très difficile voire impossible d’apporter une telle preuve.
Le vote électronique est avant tout un vote de confiance dans le vote électronique. Or l’opacité ne fait rien pour rassurer.
Selon des témoins qui vont jusqu’à évoquer des soupçons de corruption, certains maires s’obstinent à conserver leurs machines, parfois jusqu’à en perdre leur siège face à des électeurs mécontents, sans apporter d’explications à cet attachement viscéral.
Plus grave, le ministère de l’Intérieur que nous avons contacté refuse de fournir la liste des bureaux de vote concernés, comme il le fait systématiquement à ceux qui la demandent, malgré plusieurs saisines de la Commission pour l’Accès aux Documents Administratifs (CADA). La seule liste officieuse disponible est issue d’un relevé réalisé par Chantal Enguehard sur le terrain, et disponible en annexe de l’une de ses publications (PDF). Les cahiers d’évaluation technique des machines à voter, eux, ne commencent à être rendus publics qu’à la suite de plusieurs recours devant le Conseil d’Etat.
La question de la sincérité du vote électronique et de son contrôle n’est pourtant pas anecdotique puisqu’elle concerne entre 1,3 et 1,5 millions d’électeurs, soit deux fois la différence de voix entre Nicolas Sarkozy et François Hollande au premier tour de l’élection présidentielle.
http://www.numerama.com/magazine/22477-presidentielles-enquete-sur-l-incroyable-opacite-du-vote-electronique.html
Berlin : joyeux noël de Daesh. Si ce n’est pas une guerre de religion, cela lui ressemble
RépondreSupprimer23 décembre 2016
Jean Bonnevey
La compassion pleurnicharde et médiatique a atteint Berlin.
Au lendemain d’une attaque à la niçoise, contre un marché de noël, on a assisté à un scénario bien rodé et assez répugnant. La compassion et la douleur sont matérialisées par des fleurs et des bougies. Les médias recueillent le sentiment exclusif de ceux qui veulent continuer le vivre ensemble et le « pas d’amalgame ».
Il n’y a pas de trêve des confiseurs pour la désinformation. Il faut le dire clairement, nous ne voulons pas vivre avec les tueurs religieux de nos enfants, nous voulons qu’ils meurent ou soient mis hors d’état de nuire définitivement. Ce sentiment de plus en plus partagé en Europe et aux États-Unis, c’est celui que les médias, collabos du terrorisme par antiracisme, veulent étouffer dans des reportages et des témoignages orientés ou bidons.
C’est Noël tout de même qu’ils veulent assassiner. Si ce n’est pas une guerre de religion, alors qu’est-ce que c’est ?
Noël est, pour les islamistes, un défi. En effet, c’est avant tout la fête des enfants et elle a été intégrée depuis longtemps par la population issue de l’immigration musulmane. Le sapin fait partie de tous les foyers, mais ses racines sont européennes, sinon chrétiennes et cela les islamistes ne le supportent pas. Ils s’attaquent à nos traditions surtout celles partagées. L’objectif est clair. Et dans le même temps, au nom d’un laïcisme qui est un cheval de Troie de l’antiracisme complice de l’islamisation, certains idiots utiles veulent interdire les crèches. On n’a pas besoin d’être chrétien pour apprécier la beauté des crèches ou l’enchantement de la messe de minuit.
L’Allemagne, frappée au cœur de sa principale tradition historique, ne va certainement pas se contenter de pleurer. Le sentiment anti Merkel va croître au profit des partis qui défendent le peuple allemand. La madone des migrants persiste dans une ligne politique intenable qui se révèle de plus en plus comme une trahison au nom de « l’étranger au dessus de tout « par antinazisme conformiste et alignement suspect sur les intérêts américains. Cette chancelière qui venait de l’est et au passé assez flou pendant la période marxiste est tenue sinon par la Cia en tout cas par l’idéologie mondialiste dont elle est au cœur de l’Europe, la gouvernante la plus funeste. Hollande suit.
Cet attentat de noël vient nous rappeler que des musulmans mènent une guerre de religion à notre civilisation et ses racines. Tous les européens sont concernés où qu’ils soient dans le monde de Washington à Sydney en passant par paris et Berlin… et Moscou.
Nous devons faire la guerre et pas seulement en Irak et en Syrie mais sur nos territoires et si nos institutions démocratiques en sont incapables, il faut changer ces institutions.
« Le nationalisme c’est la guerre » disait Mitterrand qui s'y connaissait dans sa jeunesse en nationalisme. Aujourd’hui, le mondialisme islamiste c’est la guerre et contre lui une seule arme efficace, le retour des nations armées et combattantes pour leurs peuples et leurs cultures.
Il ne faut pas, même à noël, tendre la joue droite, mais sortir l’épée du fourreau.
http://metamag.fr/2016/12/23/berlin-joyeux-noel-de-daesh-si-ce-nest-pas-une-guerre-de-religion-cela-lui-ressemble/
Délocalisation, externalisation : vers une évolution de la plateforme ?
RépondreSupprimer16 décembre 2016
Auran Derien, universitaire
Selon des économistes canadiens s’inspirant du marxisme, le modèle de la plateforme explique comment la délocalisation des productions et l’externalisation des activités débouche sur l’économie de bazar, une économie de l’inhumanité.
Pour les libéraux, la plateforme est une stratégie adaptée par les multinationales, dont l’originalité est de transformer les relations entre États, entre États et Entreprises, entre fonctions économiques. L’économiste Charles Gave l’a expliqué de la manière suivante : «Le développement du capitalisme est lié aux innovations. La plupart du temps, il s’agit de changements technologiques (machine a vapeur, électricité, ordinateur) mais on ne saurait passer sous silence les changements d’organisation. L’exemple classique du Taylorisme illustre cet aspect. Or, plus que la technique, c’est la nouvelle organisation du travail qui révolutionne le monde. Le modèle de la plateforme, selon Gave, est théorisable à partir de l’exemple d’une multinationale comme DELL dont le siège social est au Texas».
Tous leurs ordinateurs sont conceptualisés de façon « virtuelle » dans leurs centres de recherche au Texas. Ils sont fabriqués au Mexique ou en Chine puis importés en Amérique. Dell ne possède pas les usines dans lesquelles ses machines sont assemblées. L’entreprise se limite à préciser les caractéristiques techniques que devront présenter ses ordinateurs. Ensuite, des industriels indépendants s’engagent à les produire à un coût négocié avec Dell. Charles Gave donne alors un exemple chiffré :
Soit un ordinateur vendu 700 $ aux États-Unis:
- Il est muni d’un système d’exploitation Microsoft dont la production est délocalisée en Inde. Microsoft perçoit 200 $ pour Windows, avec une marge de 90 %, soit 180$.
- Il est équipé d’un processeur Intel dont la production est délocalisée en Chine. Le coût du processeur avoisine 70 $. La marge de Intel est en moyenne de 75 %. Par machine, elle percevra 52.5 $
- Il a un écran plat fabriqué à Taiwan pour un coût de 200 $. Le producteur prend une marge de 10%.
- Son boitier et le clavier sont fabriqués en Chine pour un coût de 165 $. Le fabricant a une marge de 5%, soit 8,25 $.
- Quand l’ordinateur sera vendu, Dell prélèvera une marge de 30 $.
Conclusion financière des multinationales: Sur les 700 $, les entreprises américaines prélèvent 300 $, mais leur marge est de 262.5 $. Sur les 365 $ imputables à la fabrication asiatique, la marge est de 28.25 $, même pas 8%. Cependant, les bénéfices de Dell, de Microsoft et d’Intel, seront distribués en dividendes aux actionnaires et n’entraîneront aucune activité économique supplémentaire. Il est probable que les 365 $ dépensés en Asie généreront des biens et services nouveaux.
Le problème méthodologique: macro-économie versus microéconomie
L’approche macroéconomique essaie d’utiliser au mieux la comptabilité nationale qui établit, pour un pays, une balance commerciale, une balance des paiements, un PIB, un montant de dette,…Mais dans le modèle de la plateforme, la perception macro s’éloigne de la perception micro. Les sociétés multinationales de l’occident globalitaire sont des empires qui n’ont plus de liens étroits avec un pays en particulier. Les exportations d’un pays comme les USA sont en fait la réexportation de produits montés aux USA à partir d’éléments fabriqués ailleurs. D’où l’expression pertinente de l’Allemand Hans-Werner Sinn affirmant que les pays exportateurs, comme l’Allemagne, sont un “bazar industriel”, une “quincaillerie” mondiale. Évidemment, à moyen terme, cette politique de la plateforme augmente le chômage dans les pays autrefois développés et fait disparaître le marché des consommateurs puisqu’ils n’ont plus de revenus. Le modèle a aussi pour effet que les pays sous-contrats se retrouvent avec des excédents commerciaux considérables vis-à-vis des USA et de l’Europe quoique ce soit les donneurs d’ordre du bazar occidental qui en soient la cause.
RépondreSupprimerLe modèle de division international du travail selon la logique de la plateforme est très avantageux pour les trafiquants et il a pris de l’ampleur. Le monde de la finance l’encourage puisqu’il contrôle les actionnaires à travers les fonds financiers de placement et le crédit à travers les banques. Depuis que la Réserve fédérale américaine (FED) a fixé son taux directeur à un niveau quasi nul afin de réduire le coût du crédit et stimuler la consommation des ménages, placer ou prêter de l’argent n’est plus payant aux États-Unis si bien que les multinationales laissent leurs profits dans les paradis fiscaux. Face à la concurrence, le soviet de la finance a décidé de transformer les USA en un gigantesque paradis fiscal à partir duquel l’argent de tout type, licite, illicite, au noir, etc. se lancera vers les rendements les plus intéressants.
Le modèle de « la plateforme », délocalise la production dans des pays où le coût du bien est très faible, ce qui réduit d’autant le pouvoir d’achat des travailleurs des anciens pays développés aujourd’hui transformés en poubelles. L’augmentation des emplois précaires du secteur tertiaire et les auto-entrepreneurs misérables des nouveaux services ne compensent nullement la destruction des emplois dans le secteur industriel. En conséquence, les capacités de consommation d’une partie grandissante des salariés d’Europe ou des USA se réduisent comme peau de chagrin, ce que les banques ont compensé jusqu’à maintenant en libéralisant le crédit à la consommation qui ne fait qu’accroître l’endettement des ménages jusqu’à la prochaine crise de surendettement et d’incapacité généralisée de payer que l’équipe de Trump va certainement utiliser pour donner un contenu concret au concept de nouvel ordre mondial.
Quelques effets d’un Président US comme Trump
Que faire, dans ce bazar ? Ceux qui raisonnent encore pensent qu’il convient d’intervenir sur le système monétaire, sur le système commercial, sur la fiscalité. Bref, contrôlé par les trafiquants, le monde devrait se réduire à n’être plus qu’une collection d’entreprises dominées par des escrocs financiers affirmant qu’ ”ils font le travail de dieu”. L’arrivée de Trump pourrait signifier un effort du “politique” pour se transformer définitivement en hommes d’affaires.
On peut alors prendre au sérieux quelques éléments de son discours, en particulier la volonté d’inciter les multinationales ayant leur siège social aux USA à rapatrier plus de profits tandis que les investissements étrangers seraient plus tournés vers l’installation de centres de production.
Il faut toutefois ne se faire aucune illusion. Seuls, quelques métiers d’assemblage et de montage, juste avant l’étape de la mise sur le marché, seront relocalisés, d’autant que la robotisation s’accélère. L’occidentisme ou global-invasion pourra tranquillement ruiner les épargnants pour éponger une partie des dettes colossales qui bloquent désormais toute relance et le génocide des peuples qui travaillaient, étudiaient, produisaient la pensée scientifique sera sans conséquence si le pouvoir global peut s’acheter suffisamment de “savants” à travers les centres de recherche privés. L’Europe est un bon exemple de stérilité intellectuelle croissante et, à ce titre, nous paraît incarner l’avant-garde de l’obscurantisme dans lequel les trafiquants vivent et nous feront survivre.
RépondreSupprimerL’inconnue n’est donc pas Donald Trump, entouré de banquiers, de commerçants, de chefs d’entreprises spécialisées dans les nouvelles technologies, mais plutôt l’Asie. La Chine et l’Inde ont déjà commencé à développer leurs immenses marchés domestiques et s’intéressent à ceux de l’Afrique et d’Amérique latine, si bien que, toutes choses étant égales par ailleurs, ils se rendront indépendants des USA et des européens.
Une nouvelle bataille va commencer dans la guerre concurrentielle.
http://metamag.fr/2016/12/16/delocalisation-externalisation-vers-une-evolution-de-la-plateforme/
LES MACHINES VIENNENT: LE ROLE DE LA CHINE DANS L'AVENIR DE L'INTELLIGENCE ARTIFICIELLE
RépondreSupprimerAprès une année de percées, les experts croient qu'ils sont sur le point de révolutionner notre vie quotidienne grâce à l'intelligence artificielle - et l'Asie peut jouer un rôle de premier plan dans ce nouveau monde courageux
PAR BHAVAN JAIPRAGAS
31 DEC 2016
Essayez de taper "les machines" dans Google et les chances sont que l'un des résultats supérieurs de l'intelligence artificielle moteur de recherche sera de retour est la phrase: "Les machines sont à venir".
Après un 2016 rempli de progrès de haut niveau dans l'intelligence artificielle (AI), les principaux technologues disent que ce pourrait être une année breakout dans le développement de machines intelligentes qui imitent les humains.
L'Asie, jusqu'alors en retard dans la Silicon Valley en IA, jouera un rôle plus important car le terrain se cimente au sommet du monde technologique en 2017, disent les experts.
AI - techniquement, un champ de calcul qui implique l'analyse de gros morceaux de données pour prédire les résultats et les modèles - est aussi vieux que les ordinateurs modernes, mais sa nature ésotérique signifie qu'il a longtemps enduré caricatures de son potentiel réel - pensez, par exemple, Les Jetsons, qui présentaient un robot robot et des voitures volantes automatisées (dont nous attendons toujours, même 50 ans plus tard).
Maintenant, une confluence de facteurs a donné lieu à des espoirs que les ordinateurs avec des capacités cognitives semblables à l'homme peut bientôt être une réalité.
Ce sentiment a été gravé dans la conscience publique en mars dernier quand AlphaGo, une plate-forme sophistiquée de Google AI, a réalisé une superbe victoire contre un grand maître humain dans le jeu chinois de Go - jusqu'alors dépassé la compréhension même des ordinateurs les plus avancés.
Avec des milliards de dollars investis dans la recherche sur l'IA par les plus grands acteurs de la Silicon Valley ainsi que par les trois grandes entreprises chinoises de technologie «BAT» - Baidu, Alibaba et Tencent - associées à une explosion de la disponibilité des données et de la puissance informatique, Éloigné de l'informatique sauvage.
La vision des Jetsons sur l'avenir
Les chercheurs de l'AI affirment que la technologie a le potentiel de révolutionner presque tous les aspects de l'économie mondiale et de la vie humaine - de la détection et du traitement du cancer à la façon dont le conseil en gestion et les services bancaires d'investissement sont menés.
«Ce que nous pouvons nous attendre dans les prochaines années, c'est que la technologie qui conduit les voitures auto-conduisant et la même technologie qui alimente AlphaGo sera consolidée dans différents domaines tels que le transport et les soins de santé», a déclaré Soumith Chintala, ingénieur de recherche avec Facebook Recherche sur l'IA.
En 2016, le délire de l'IA est principalement dû aux progrès dans les sous-domaines de «l'apprentissage machine» et «l'apprentissage en profondeur».
L'apprentissage automatique est le processus où un algorithme est formé pour exécuter des tâches pour lesquelles il n'est pas explicitement programmé, en utilisant une grande quantité de données liées à cette tâche. La technologie d'apprentissage profond est un sous-ensemble de l'apprentissage automatique. Il vise à imiter les réseaux neuronaux dans le cerveau humain, en passant de grandes quantités de données à travers des matrices de neurones artificiels où il est traité et analysé à des vitesses hyper-rapides.
RépondreSupprimerPascale Fung, chercheur à l'université de Hong Kong des sciences et de la technologie (HKUST), a déclaré que plusieurs étapes ont été franchies pour développer des ordinateurs semblables au cerveau humain. La parole et la reconnaissance émotionnelle ont été parmi les domaines «atteindre de nouveaux jalons», a déclaré Fung.
Selon des spécialistes de l'Asie, la région est à la traîne de l'Ouest dans la recherche, mais ses entreprises technologiques et ses universités ont un énorme potentiel pour compenser les pertes.
Baidu, le principal moteur de recherche de la Chine, est largement considéré comme étant à la pointe de l'IA en Asie. Il a IA laboratoires dans la Silicon Valley et Beijing. En 2014, il a poché Andrew Ng, le fils de parents Hong Kong qui précédemment dirigé les opérations d'AI de Google et co-fondé la plateforme d'apprentissage en ligne Coursera.
"Les entreprises de BAT savent qu'elles devront rivaliser avec les goûts de Google et de Facebook pour le talent dans l'IA, et nous verrons probablement cette chaleur vers le haut dans les prochaines années," a dit Tak Lo, Hong-Kong a basé directeur de Zeroth. Ai, un programme d'accélération pour les start-ups asiatiques d'IA.
Selon Tak, les écosystèmes qui existaient dans des silos nationaux dans des pays comme la Chine, le Japon et la Corée du Sud, par opposition au paysage contigu à l'Ouest, constituaient une pierre d'achoppement pour la croissance de l'IA en Asie.
Chintala de Facebook, qui est d'origine indienne, a déclaré les Asiatiques ont constitué une partie importante de l'AI mondiale et la communauté de recherche en profondeur d'apprentissage. "Comme individus, nous avons déjà un bon impact sur le terrain", a t-il dit.
Mais la recherche dans des endroits comme l'Inde tendait à «être d'une barre inférieure à la recherche dans les universités ou laboratoires américains ou européens de haut niveau», a déclaré le chercheur basé à New York.
"Ceci est lentement mais en constante évolution. La clé pour combler cette lacune est de cultiver de bons programmes de mentorat pour les jeunes chercheurs, et cela se produit rapidement.
Les principaux hubs asiatiques de Singapour et de Hong Kong ont vu éclore plusieurs start-ups axées sur l'apprentissage, au milieu d'une poussée de la demande des entreprises régionales pour les services alimentés par la technologie.
Les données technologiques et la firme de recherche CB Insights ont déclaré en décembre que 137 start-ups liées à l'AI avaient été acquises dans le monde depuis 2011, avec 40 cette année seulement.
RépondreSupprimerParmi eux se trouvaient des firmes spécialisées dans les «chatbots» AI. Ce sont des logiciels basés sur la technologie d'apprentissage en profondeur qui permet aux utilisateurs d'effectuer des tâches telles que commander des aliments, payer une facture ou de grêler un Uber ride à l'aide d'un texte ou un message vocal.
Une de ces entreprises est Active.ai basé à Singapour, qui a développé un chatbot qui permet aux clients de la banque de mener des affaires en bavardant avec une plate-forme AI-powered accédée par des applications de messagerie.
«Nous avions auparavant eu des opérations bancaires sur Internet, puis une ère de la banque mobile et« mobile d'abord ». Maintenant, nous sommes fermement en mouvement dans une ère de la banque AI et «AI première», a déclaré Shankar Narayanan, le co-fondateur de l'entreprise.
Stephen Hawking met en garde l'intelligence artificielle de style Terminator pourrait effacer l'humanité
Et à Hong Kong, start-up début de Clare.ai est en développement similaire intelligente chatbot technologie, avec la reconnaissance vocale cantonais aux côtés de l'anglais et d'autres grandes langues.
«En 2017, nous verrons une utilisation accrue de cette technologie par des entreprises comme les banques, les compagnies d'assurance et les entreprises de détail. Mais il faudra encore quelques années avant qu'il ne devienne courant ", a déclaré Ken Leung, co-fondateur de l'entreprise de Hong Kong.
Fung, le chercheur HKUST, a déclaré que la Chine, l'usine la plus vitale du monde, était dans une position unique pour capitaliser sur les sauts en IA parce que "la collaboration entre la recherche, le développement et la fabrication peut se faire très rapidement".
Le trésor des données disponibles pour la Trinité d'Internet BAT de la Chine pourrait également voir les entreprises utilisent «les derniers algorithmes d'apprentissage automatique pour utiliser ces données pour améliorer leurs services».
Au milieu du potentiel vertigineux de l'IA, les experts s'efforcent de souligner la nécessité de contenir les attentes et de dissiper les craintes que la technologie pourrait nuire à la vie humaine.
En septembre, de grandes entreprises technologiques américaines ont annoncé la création du Partenariat sur l'intelligence artificielle au bénéfice des personnes et de la société, une alliance à but non lucratif qui mènera des recherches sur l'IA éthique et la compréhension et la sensibilisation du public à la technologie.
"Il est tout simplement important de comprendre ce qu'est l'AI d'une manière fondamentale, parce que sans comprendre ce que les gens peuvent surestimer la capacité de la technologie actuelle AI, conduisant à de mauvais investissements et de décisions", a déclaré Chintala, le chercheur Facebook.
Il a ajouté que «la chose peu attrayante mais honnête à dire est que nous sommes [seulement] à la pointe de l'IA incrémentiel en ce moment».
RépondreSupprimerEt Nello Cristianini, un professeur d'AI à l'Université de Bristol, a déclaré qu'il était nécessaire pour les utilisateurs et les régulateurs de reconnaître les abus potentiels de la technologie de l'IA.
La sécurité des données personnelles, la dépendance à la technologie d'adaptation, ainsi que les fuites non autorisées de prédictions sur le comportement financier des individus à l'instar des assureurs et des banques sont parmi les principaux risques liés à l'IA.
"Ce serait une bonne chose si 2017 a apporté des progrès culturels dans ces domaines, avec la technique attendue, pour éviter un mauvais réveil quand il est trop tard", a déclaré Cristianini.
Les experts sont prompts à brosser les craintes que la technologie de l'IA pourrait engendrer l'arrivée de «Skynet», le réseau informatique insidieux qui domine les humains dans les films Terminator (ci-dessus).
«Certaines craintes, comme les robots qui prennent les humains, sont vraiment farfelues ... nous avons fait beaucoup de progrès et de percées, mais nous ne sommes pas près de construire des machines avec l'intelligence générale encore», a déclaré Fung.
http://www.scmp.com/week-asia/society/article/2058278/machines-are-coming-chinas-role-future-artificial-intelligence
SupprimerPourquoi faudrait-il avoir peur du confort ? Après le "Il ne leur manque que la parole", çà y est, c'est fait, les robots remplacent les animaux qui travaillaient pour les humains !
Serait-ce la peur de vivre de rente qui terroriserait certaines personnes ? La calculette de poche a révolutionné la complexité de certains calculs douteux comme l'a fait la machine à laver le linge ou la vaisselle et la voiture qui emmène ses occupants à bon port. Où est le problème ?
Pourquoi serait-on de justifier un travail pour vivre alors que les Dirigeants n'ont JAMAIS justifié la quantité d'or en banques pour imprimer leurs images de Mickeys !
2016, année noire pour les médias mainstream
RépondreSupprimer31 déc. 2016, 10:07
Le très puissant New York Times symbolise bien l'année médiatique difficile des médias occidentaux. Ses dirigeants ont même appelé à se remettre en question
L’année écoulée s’est montrée difficile pour les médias de masse occidentaux. Entre prévisions erronées, crédibilité entachée et manque de confiance de la part de la population, certains ont même appelé à se remettre en question.
«Les médias d’information ont largement manqué ce qui se passait autour d’eux. C’est une histoire qui se répète. Les estimations n’ont pas seulement été un mauvaise guide durant cette nuit électorale, elles ont été à l’inverse de ce qui se jouait réellement.» Cette analyse de Jim Rutenberg, médiateur du très célèbre New York Times, au lendemain de l’élection de Donald Trump, est à l’image de l’année médiatique de bon nombre de titres de presse occidentaux.
Que ce soit à propos du Brexit, de l’élection présidentielle américaine ou des chances de François Hollande de faire un second mandat, 2016 s’est montrée cruelle pour les médias mainstream. La réalité a balayé la plupart de leurs prévisions au sujet de ces grands événements qui ont marqué l’année. Mais plus que ces analyses ratées, c’est au niveau même de la couverture de certains sujets comme la bataille d’Alep qu’ils sont critiqués. Le niveau de défiance de la population occidentale envers ses médias atteint désormais des sommets.
Le Brexit met la médiasphère mainstream KO
Le 23 juin 2016, 51,89% des citoyens du Royaume-Uni votent en faveur de la sortie de l’Union européenne. Durant les semaines qui ont précédé le vote, une terrible bataille médiatique s’est menée entre les pro et les anti-Brexit. Si de l’autre côté de la Manche de nombreux journaux poussaient en faveur du «leave», ailleurs en Occident, la majorité des médias prédisaient la catastrophe en cas de Brexit et anticipaient une victoire du «remain». Il faut dire qu’à l’époque, les sondages leurs donnaient raison. A la veille du vote, l’institut Ipsos Mori publiait un dernier sondage faisant état d’une défaite du Brexit à 48%, contre 52% de partisans du maintien (marge d'erreur de 2,46%). Soit grosso modo l’inverse du résultat final.
Une déroute des souverainistes, des xénophobes et des racistes. Le philosophe Bernard Henri-Lévy, invité régulier des médias hexagonaux, démarrait quant à lui une série de prédictions ratées qui allait continuer jusqu'à la fin de l'année. A de nombreuses reprises, il avait anticipé une défaite du Brexit et «une déroute des souverainistes, des xénophobes et des racistes».
Mais plus qu’une mauvaise prévision, c’est bien le catastrophisme dont ont fait preuve nombre d’observateurs qui s’est avéré encore plus faux. En France, les journalistes Jean Quatremer de Libération et Arnaud Leparmentier du Monde, en européistes convaincus, ont joué les fers de lance du camp des opposants au Brexit. Quelques jours avant le référendum, alors qu’il était invité d’Euronews, Jean Quatremer n’hésitait pas à décrire le Royaume-Uni sans l’UE comme «le Zimbabwe, un pays tiers sans aucun accord». Arnaud Leparmentier avait lui signé un article de fiction qui imaginait le Royaume-Uni post-Brexit frappé par «une bonne tempête financière».
Le 9 juin, quelques semaines avant le vote, une journaliste de Public Sénat lançait au sénateur Front national David Rachline que «l'autarcie aura des conséquences, au Royaume-Uni on parle de cinq points de PIB». Le chiffre était validé par «un consensus d'experts du commerce». Eh bien, pour le moment, ils ont eu tout faux. Pas d’apocalypse financière au lendemain du vote.
RépondreSupprimerMême le très pro-européen journal Le Monde devait se rendre à l’évidence. Dans un article publié le 27 octobre, le site du quotidien vespéral reconnaissait qu’«en dépit des craintes suscitées par le Brexit, depuis le référendum qui a vu les Britanniques opter pour une sortie de l’Union européenne, la croissance de l’économie du Royaume-Uni a résisté et atteint 0,5% au troisième trimestre».
Vous reprendrez bien une dernière prévision manquée ? Elle est encore du fait d’Arnaud Leparmentier. Visiblement déçu, le journaliste publiait le 25 juin un article intitulé «Le "Brexit" n’aura pas lieu». Au grand dam du pro-européen, le Premier ministre britannique Theresa May semble bien décidé à mener jusqu'au bout le processus de sortie. Le 7 décembre, elle a même dévoilé un calendrier.
Trump, cet ouragan que la presse n’a pas vu venir
L’événement médiatique le plus marquant de l’année restera sans doute l’élection de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis. Le fantasque milliardaire, pas pris au sérieux par les médias au début de la campagne, a déjoué tous les pronostics. Malgré le soutien de 194 médias américains sur 200, Hillary Clinton a perdu l’élection du 8 novembre. Dans le monde occidental, l’immense majorité de la presse la soutenait et n’envisageait pas une seule seconde que Donald Trump puisse gagner le scrutin avec 304 grands électeurs contre 227 à son adversaire.
Avant l’élection, le Huffington Post prévoyait une victoire de la candidate Démocrate avec 323 grands électeurs et un Sénat qui bascule dans son camp. Le 5 novembre, le très pro-Clinton New York Times affirmait qu’Hillary Clinton avait «une avance solide dans le collège électoral». Le 1er novembre CNN relayait la prédiction d’un modèle analytique de l’agence de notation Moody’s qui avait «correctement prédit le vainqueur de chaque élection présidentielle américaine depuis Ronald Reagan en 1980». Il voyait «une grande victoire pour Hillary Clinton» avec «332 grands électeurs» contre «206» pour Donald Trump. Et les exemples sont légion.
L'élection présidentielle américaine est déjà jouée, et c'est Hillary Clinton qui a gagné
En France également, de nombreux «spécialistes» des médias voyaient déjà Hillary Clinton dans le fauteuil du Bureau Ovale. Le 7 septembre, i-Télé diffusait l’analyse du journaliste Olivier Ravanello : «Notre journaliste spécialiste de l'International Olivier Ravanello l'assure : l'élection présidentielle américaine est déjà jouée, et c'est Hillary Clinton qui a gagné.» Eh bien non. Pour Bernard Henri-Lévy, c’était à nouveau un four. Au cours de l’été, le philosophe avait publié une tribune intitulée «Pourquoi Trump va perdre» dans le magazine Le Point...
Ce tremblement de terre a conduit plusieurs médias à se remettre en question dont le célèbre New York Times. Le 14 novembre, Arthur Sulzberger, directeur de la publication du quotidien, a promis que son titre «réfléchirait» à sa couverture de l'élection de cette année en se «consacrant de nouveau» à informer sur l'Amérique et le monde «honnêtement».
Comme pour le Brexit, les Unes catastrophes de la presse occidentale n’ont pas été suivies d’effets. Au lendemain de la victoire de Donald Trump, Libération titrait «Trumpocalyspe». Le Daily Telegraph osait un «W.T.F.» [What the f**k]. Le quotidien new-yorkais The Daily News faisait carrément dans l’épouvante et rebaptisait la Maison Blanche, «la Maison de l'horreur». Le Monde s’inquiétait que la victoire de Trump ne fasse plonger les marchés financiers «dans l’inconnu». France Info publiait l’interview de l’économiste Philippe Waetcher qui déclarait alors : «Nous allons avoir un choc sur le commerce mondial.»
RépondreSupprimerSi Donald Trump ne rentrera en fonction que le 20 janvier, force est de constater que les marchés financiers se portent bien et que le commerce mondial est toujours debout. Le 10 novembre, l’indice new-yorkais du Dow Jones a même battu un record en augmentant de 1,18% à la grande surprise du journal Le Monde. «Cela arrive pourtant au lendemain de l’élection inattendue de Donald Trump à la présidence», pouvait-on lire sur le site web du quotidien.
François Hollande abandonne et désavoue une partie de la presse
Le 1er décembre, François Hollande mettait fin au suspense depuis l’Elysée. Le président de la République annonçait qu’il renonçait à se présenter à sa propre succession. C’est Manuel Valls qui aura la charge de défendre son bilan lors de la primaire de la gauche. Pourtant, à y regarder de plus près, plusieurs médias et observateurs misaient sur une candidature du locataire de l’Elysée ou du moins, n’avaient pas anticipé son renoncement. Déjà, il y a deux ans, le proche de Jean-Pierre Chevènement Elie Arié publiait un article sur le site de Marianne intitulé : «Pourquoi Hollande peut très bien être réélu en 2017». Quand à Eric Brunet, journaliste officiant sur BFMTV et RMC, il n’hésitait pas à affirmer le 12 décembre 2015 : «François Hollande est bien parti pour gagner 2017.»
Le 12 septembre dernier, c’est Challenges qui s’interrogeait : «Présidentielle 2017 : Hollande peut-il vraiment gagner ?» Le jour-même de l’annonce de François Hollande, Le Huffington Post publiait un article au titre éloquent : «Présidentielle 2017 : 5 bonnes raisons pour que François Hollande se présente quand même à la primaire».
Il y en a un qui devait être bien déçu du renoncement du président : Bernard Henri-Lévy. Interrogé le 11 novembre sur France Info, BHL avait martelé que Hollande avait été «un bon président» et ce, bien qu’une large majorité de Français jugent sévèrement le bilan de son quinquennat. Il aurait même voté pour lui tant le chef de l’Etat a été «tout à fait formidable sur le plan international». Malheureusement, il n’en aura pas l’occasion.
Alep, tombeau du mainstream ?
La libération de la seconde ville de Syrie par l’armée de Bachar el-Assad et ses alliés a été l’un des événements les plus marquants de cette fin d’année. Avant que Damas annonce le 22 décembre avoir repris le contrôle de la totalité de la ville, de nombreux médias occidentaux ont accusé l’armée arabe syrienne d’avoir commis des exactions sur les civils d’Alep-Est. La ville aurait été «en flammes», noyée sous les bombardements des avions syriens et russes et la majorité de la presse occidentale plaignait le sort des «rebelles modérés» en passe de perdre la bataille.
La machine médiatique en marche a cependant été freinée à plusieurs reprises par des voix discordantes de plus en plus nombreuses. Notamment celle de l’humanitaire français Pierre Le Corf, qui a pris l’habitude de raconter ce qu’il voyait à Alep sur les réseaux sociaux. «Beaucoup de médias ont diffusé des scènes de massacres, […] des gens brûlés vivants», a-t-il déclaré à Sputnik le 14 décembre, ajoutant qu'«en étant ici je n'ai jamais entendu parler de ça. J'ai entendu parler de ça dans les médias. […] Ça me semble difficile à vérifier.» Visiblement agacé par les publications de l’humanitaire montrant des gens heureux de la libération de la ville, plusieurs médias ont attaqué sa crédibilité, l’accusant d’être à la solde du «régime syrien».
RépondreSupprimerPierre Le Corf est loin d’être un cas isolé. La journaliste indépendante canadienne Eva Bartlett a beaucoup fait réagir après son intervention lors d’une conférence de presse organisée par la mission syrienne auprès de l’ONU. Répondant à la question d’un journaliste norvégien, elle avait fait voler en éclat la rhétorique des médias mainstream sur la Syrie.
Elle avait notamment évoqué le manque de crédibilité des sources des journalistes occidentaux comme l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH) ou les fameux Casques blancs et avait nié les accusations d’une partie de la presse qui voulait que l’armée de Bachar el-Assad ait commis des crimes sur des civils.
Lire aussi : Les médias contre la réalité en Syrie - Eva Bartlett parle à RT
Devenue virale, la vidéo de son intervention a fait réagir une partie de la presse mainstream française. Les Inrocks l’ont qualifié de «complotiste», récoltant une volée de commentaires négatifs ; preuve de la défiance qui règne envers les médias classiques chez une partie de la population.
Vanessa Beeley, journaliste indépendante britannique, a également fait parler d’elle en démontant le mythe des Casques blancs. Présentés par une partie de la presse comme une ONG humanitaire, ils ont même étaient pressentis pour obtenir le prix Nobel de la paix. Pourtant, selon la journaliste, «il y a d’innombrables preuves vidéo et photo provenant de l’intérieur de la Syrie, que les Casques blancs dirigent un groupe de soutien terroriste».
Dans le paysage audiovisuel français aussi, certaines voix bravent la doxa sur la Syrie. Le 21 décembre, Eric Denécé, directeur du Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R) était l’invité d’Yves Calvi sur LCI. Dénonçant «une falsification de l'information qui est énorme» concernant Alep, il a tenu à livrer quelques éclaircissements : «Il y a un tiers des quartiers d'Alep, seulement un tiers, qui sont victimes des bombardements, et – j'insiste – c'est un tiers de la ville où des djihadistes dangereux sont présents et ce sont ces djihadistes qui depuis des années tirent sur les quartiers chrétiens et sur le reste de la ville ce dont on ne parle jamais.»
«On se fait rouler dans la farine avec Alep ?», s’était même interrogé Yves Calvi, visiblement décontenancé.
Avant lui et sur la même chaîne, Frédéric Pons, spécialiste des questions de défense, ancien casque bleu désormais journaliste, considérait qu’il y a «un peu de vrai et beaucoup d'intoxication et de désinformation» dans le traitement médiatique mainstream de la situation à Alep. Il avait affirmé qu’un certain nombre d’images présentées comme venant d’Alep avaient été «manipulées».
Lire aussi : Lettre ouverte aux «défenseurs des droits de l’homme» à propos d’Alep
RépondreSupprimerC’est sur le plateau de France Info que le célèbre journaliste André Bercoff s’est ému de la «désinformation hallucinante» à propos d’Alep. Il est notamment revenu sur le manque de crédibilité de l’Observatoire syrien des droits de l’Homme, source d’un nombre important de médias occidentaux qui se résume à une seule personne vivant dans la région de Birmingham au Royaume-Uni.
Même le directeur-adjoint de l'information de France 2, Etienne Leenhardt, y est allé de son commentaire à contre-courant. Sur le plateau du 20 heures présenté par David Pujadas, il a précisé qu’un grand nombre de «rebelles» avaient été supplantés par «des combattants islamistes de plus en plus radicaux».
Lire aussi : André Bercoff : le journalisme français est condamné à dépérir s'il ne se remet pas en question
Le dernier coup dur à la version dominante sur Alep est venu d’une actrice et réalisatrice bolivienne de retour d’un séjour de huit mois en Syrie pour tourner un documentaire. Carla Ortiz a notamment écrit sur sa page Facebook : «Beaucoup de gens m’ont demandé de fournir des preuves montrant qu’on ne tirait pas sur les gens dans la rue, ni sur les enfants, lors de l'évacuation, comme certains médias l’ont rapporté. Alors, voici ce que j’ai vu de mes propres yeux : les civils ont été évacués à pied de la partie Est de la ville et ensuite transportés vers des refuges dans des bus. Excusez-moi, mais il n’y a absolument pas eu de fusillades de masse pendant l’évacuation.»
Sur CNN le 21 décembre, elle est également revenue sur les tweets de Bana, la petite fille syrienne qui racontait son quotidien d’enfant à Alep-Est et dont les publications ont été largement reprises par une partie de la presse occidentale. «Je peux aussi vous assurer, quand je lisais les notes de préparation de tournage, à propos de ces jeunes filles qui tweetent, c'est juste impossible. J'ai été sur place... franchement... il n'y a pas d'internet, spécialement dans cette partie d'Alep, il n'y a pas d'électricité depuis plus de 85 jours, et très peu de gens ont la 3G !», a-t-elle déclaré. Avant d’ajouter à propos de Bana : «Je suis vraiment désolée d'avoir à vous dire cela, mais j'étais moi-même à Alep, et je ne pense pas qu'elle était à Alep, et je comprends toutes ces choses. Je veux voir une vraie vidéo. Montrez-moi une vraie vidéo du moment où elle est exfiltrée d'Alep-Est, et je le croirai.»
Selon une étude publiée le 14 décembre par Anne Muxel, directrice de recherches au Cevipof (CNRS/Sciences Po), près de neuf jeunes âgés de 18 à 35 ans sur dix n’ont pas confiance dans les médias. D'après une enquête de TNS Sofres publiée en février dernier, 64% des Français jugeaient que les journalistes n’étaient pas indépendants des partis politiques et du pouvoir.
Les Français jugent durement leurs journalistes
Aux Etats-Unis, une étude réalisée par l’institut Gallup en septembre dernier montrait que seuls 32% des Américains avaient confiance dans leurs médias. Un record.
https://francais.rt.com/international/31575-2016-annee-noire-pour-medias-mainstream
Notons que la validité des sondages a été (volontairement ?) oubliée ! Ainsi, l'institut Gallup prétendrait qu'il y aurait '32 %' !! des américains qui feraient confiance en leurs medias alors que le % est de trop et qu'il ne s'agit que de 32 personnes aux USA !
SupprimerL’Allemagne reconnaît ne pas avoir de preuves quant aux tentatives russes de pirater son élection
RépondreSupprimer31 déc. 2016, 10:14
Lorsque des médias allemands sonnent l’alarme face aux hackers russes, qui selon eux planifieraient de pirater les élections parlementaires de l’année prochaine, le gouvernement allemand n’a pas pu fournir de preuves de ce qu'ils avancent.
Berlin a officiellement reconnu de ne pas avoir de preuves tangibles que la Russie entendait perturber les élections législatives allemandes en septembre 2017, a répondu le gouvernement allemand à la demande déposée par un député du parti de gauche Die Linke, Andrej Hunko. Toutes ces accusations contre la Russie ne sont que des «suppositions» basées sur les déclarations de politiciens américains affirmant que des hackers russes ont piraté les élections américaines, selon la réponse exprimée par le ministère allemand de l’Intérieur.
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Pour l'Allemagne, Facebook et des hackers russes menacent sa cyber sécurité L’Allemagne créerait un centre de la défense contre de fausses informations avant les législatives
Le communiqué souligne également que le gouvernement allemand n’a pas de preuves concernant une éventuelle intervention russe dans le référendum sur le Brexit, dans lequel plus de la moitié des Britanniques ont soutenu l’idée d'une sortie de l’UE.
Le gouvernement allemand a livré cette réponse suite à une requête officielle du parlementaire Andrej Hunko qui demandait «de quelles preuves fragiles ou solides le gouvernement dispose-t-il pour affirmer que "le renseignement russe" entendrait "se mêler" des élections fédérales de l’année prochaine "via des cyberattaques"».
Ce dernier a accordé une interview à RT Deutsch dans laquelle il a expliqué que sa demande avait été provoquée par une campagne de dénigrement massive contre la Russie organisée par certains politiciens et médias allemands. «Il y a beaucoup d’articles dans les médias allemands affirmant que la Russie interviendra dans les élections fédérales de l’année prochaine. J’ai demandé au gouvernement s’il y avait des preuves. Et la réponse a été qu’il n’y en avait pas… Donc, maintenant, c’est officiel, ils n’ont aucune preuve et ce débat doit prendre fin en Allemagne», a-t-il déclaré.
Campagne antirusse massive
De grands médias allemands ont bel et bien publié à plusieurs reprises des titres provocateurs alimentant les sentiments antirusses. En décembre, un certain nombre de journaux allemands ont publié des articles spéculant des présumées cyberattaques russes ayant pour but d’inteférer dans les élections parlementaires allemandes.
Ainsi, le journal Neue Osnabrueckener Zeitungs'est posé la question de savoir si des hackers russes pouvaient manipuler les élections parlementaires. FAZ a écrit que la Russie avait déjà piraté des documents classifiés du parlement allemand en citant des sources de sécurité anonymes. Et le 30 décembre, Stuttgarter Zeitunga évoqué la question de «la peur de fraudes» qui pourraient être le résultat d'une cyberattaque russe.
Fin novembre, la chancelière allemande Angela Merkel a personnellement déclaré que des hackers russes pouvaient être responsables de plusieurs cyberattaques en Allemagne. En parlant du piratage touchant environ 900 000 clients du grand groupe de télécommunication Deutsche Telecom, elle a fait allusion à un lien entre cet incident et la Russie. «Les cyberattaques ou conflits hybrides tels que décrits dans la doctrine russe, font aujourd’hui partie de la vie quotidienne et nous devons apprendre à y faire face», a-t-elle déclaré.
RépondreSupprimerLe patron des renseignements extérieurs allemands Bruno Kahl a pour sa part affirmé que le renseignement allemand disposait de preuves que la Russie avait manipulé les élections américaines. «Leurs auteurs ont pour objectif de délégitimiser le processus démocratique en tant que tel, peu importe à qui cela profite», a-t-il avancé fin novembre.
Reste que les services de sécurité américains quant à eux ne sont pas à même de fournir de preuves solides concernant l'identité des auteurs de ces soi-disant cybertattaques. Le dernier rapport américain Les cyber-activités malveillantes de la Russie ne livre pas de preuves de liens entre les hackers impliqués dans les piratages aux Etats-Unis et le renseignement russe, mais inclut une clause de non-responsabilité qui indique que «le département de la Sécurité intérieure ne donne aucune garantie quant aux informations contenues dans le rapport».
Cependant, le manque de preuves n’a pas empêché Barack Obama d’imposer de nouvelles sanctions contre la Russie et d'expulser 35 diplomates russes.
https://francais.rt.com/international/31576-allemagne-reconnait--aucunes-preuves-russie-pirate-elections
Les drogues les plus dangereuses ne sont pas celles que l’on croit …
RépondreSupprimerle 31 décembre 2016
- voir tableau sur site -
La revue The Lancet a publié il y a quelques mois un article classant les diverses drogues licites et illicites selon leur degré de dangerosité pour l’utilisateur et également pour son entourage. L’alcool arrive en première place suivi de l’héroïne et le tabac est confortablement installé à la sixième position. Il s’agit d’un classement prenant en compte l’effet direct sur l’individu mais également celui parfois dévastateur sur l’entourage de ce dernier. Pour l’alcool les accidents de la route, la dégradation de la santé et les scènes de ménage ont été pris en compte dans ce classement. Mais qu’en est-il exactement de la dépendance aux drogues ? Et là c’est un peu la surprise selon cette étude !
On trouve champion de la dépendance l’héroïne malgré son effet dévastateur par over-doses. Il faut en effet à peine plus de 5 fois la dose que s’injecte un héroïnomane pour en mourir. Or cette dépendance entraine l’utilisateur dans une spirale dangereuse et morbide car il lui faut toujours plus de drogue pour atteindre la satisfaction recherchée. Pour mémoire le marché mondial de l’héroïne est évalué à 80 milliards de dollars par an, ça laisse rêveur.
La deuxième drogue pour laquelle la dépendance apparaît rapidement est la cocaïne qui comme l’héroïne maintient le taux de sérotonine cérébrale à son maximum quoique un peu moins efficace que cette dernière drogue. Marché mondial de la cocaïne : 100 milliards de dollars par an, ça laisse aussi rêveur.
La nicotine arrive en confortable troisième place en ce qui concerne la dépendance. En 2002 (dernières statistiques disponibles) il y avait plus d’un milliard de fumeurs sur Terre, quelle quantité de CO2 et de microparticules délétères pour le climat rejetés dans l’atmosphère ! L’OMS considère qu’en 2030 plus de 8 millions de personnes passeront de vie à trépas pour avoir fumé durant leur vie. Comme l’héroïne et la cocaïne la nicotine augmente le taux de sérotonine dans le cerveau mais à peine dix fois moins que l’héroïne.
Viennent en quatrième place les barbituriques mais ces drogues qui à faible dose procurent une certaine euphorie ont été remplacés par d’autres produits de synthèse. De plus les barbituriques ne sont pas facilement accessibles sur le marché sous-terrain des drogues.
Vient enfin l’alcool qui selon les doses peut être aussi efficace que l’héroïne pour augmenter le taux de sérotonine cérébral. Selon l’étude du Lancet une personne sur cinq ayant consommé de l’alcool devient dépendante et l’OMS estime qu’il y a plus de 2 milliards de consommateurs réguliers de boissons alcoolisées dans le monde. À consommer, donc, avec modération … Café, alcool et nicotine sont donc les drogues les plus couramment utilisées dans le monde.
Source et illustration : Lancet
https://jacqueshenry.wordpress.com/2016/12/31/les-drogues-les-plus-dangereuses-ne-sont-pas-celles-que-lon-croit/
Les grands bureaucrates ont tiré un scientifique qui parlait trop honnêtement au congrès
RépondreSupprimerDecember 31st, 2016
Juste une autre façon que le gouvernement étrangle la science:
Apparemment, un bon scientifique n'est pas censé répondre à toutes les questions du congrès. À la fin de 2014, le Dr Noelle Metting était la seule scientifique fournie par le DOE pour aider le congrès à comprendre ce qui importait, mais la direction du DOE avait déjà dit au Dr Noelle Metting de ne pas répondre aux questions en dehors d'une certaine zone délimitée. Hélas, elle était trop serviable au congrès cependant, et obtenu le sac dans un mois. Selon le rapport, les courriels dans le DOE révèlent que son licenciement était une mesure de représailles, et la raison de son «retrait du service fédéral était son défaut de confiner la discussion au briefing à des points de discussion préapprouvés.
Cette information provient d'une enquête du Congrès présidée par Lamar Smith. (Représentant)
Message aux scientifiques - obéissez aux maîtres bureaucrates, pas aux élus.
En censurant l'information au congrès, le DOE faisait une forme de lobbying. Son témoignage portait sur la faible dose de rayonnement et les risques d'exposition lors d'attaques terroristes. Le DOE aurait voulu tuer cette ligne de recherche afin qu'ils puissent faire plus de recherche sur le climat à la place. Juste pour sauver le monde mais tuer la démocratie.
Scientifique avancé pour faire avancer les plans de changement climatique
Le rapport a en outre découvert des efforts de l'administration Obama pour censurer l'information donnée au Congrès, entravant la capacité du corps à effectuer un travail de surveillance critique.
"Au lieu de fournir le type d'information scientifique dont le Congrès a besoin pour légiférer efficacement, les hauts fonctionnaires du ministère ont cherché à cacher l'information, ont fait pression sur la législation et ont riposté contre un scientifique pour être prochain", a déclaré Smith dans un communiqué. "Dans ce rapport de personnel basé sur le long dossier devant le comité, beaucoup a été révélé au sujet de la façon dont les hauts fonctionnaires d'agence de niveau sous l'administration d'Obama ont riposté contre un scientifique qui n'a pas suivi la ligne de parti.
Au cours d'une réunion d'information d'octobre 2014 avec le personnel supérieur du ministère de l'Énergie, les législateurs ont entendu le témoignage de la Dre Noelle Metting, gestionnaire du programme de recherche sur les radiations.
Moins d'un mois plus tard, les législateurs ont découvert que les fonctionnaires de l'administration Obama avaient "retiré M. Metting du service fédéral pour avoir fourni trop d'informations en réponse aux questions posées par" le Congrès lors de la séance d'information.
Parfois, ce sont les politiciens qui font l'étranglement scientifique. Mais cette fois-ci, ce sont les bureaucrates qui tiennent le coup.
MISE À JOUR: Peter C commente que cela peut être davantage motivé par des désirs anti-nucléaires que par des craintes pro-carbone. Les études sur les rayonnements à faible dose suggèrent que les faibles niveaux de rayonnements ne sont pas si mauvais, ou peuvent même être bénéfiques qui sapent l'excuse Anti-nuc que «il n'y a pas de niveau de rayonnement sûr».
En biologie moléculaire, nous avons appris que notre ADN nucléaire (qui est la plupart de nos gènes), il ya un système de réparation sophistiqué qui, bien sûr, utilise la copie de sauvegarde de notre ADN que nous avons tous de détecter les erreurs et réparer les dommages. Notre ADN mitochondrial n'a pas ceci: c'est la boucle restante de l'ADN bactérien antique qui n'a que quelques gènes, mais est copié 1-2000 fois dans chacune de nos cellules. Mais la plupart de ce que nous appelons notre ADN a un bon système de réparation qui peut fixer des erreurs simple brin. Ce sont les erreurs de double brin qui causent des dommages irréparables.
RépondreSupprimerPeter C 31 décembre 2016 à 9h27
Le programme de recherche sur les radiothérapies à faible dose donnait de plus en plus d'informations qui sapaient le modèle de «réponse linéaire à dose sans seuil» qui a été utilisé depuis les années 1950 pour éclairer la politique sur les risques radiologiques et l'atténuation. Même à l'époque, la Commission internationale de la radioprotection pensait que le modèle pourrait ne pas être correct, mais ils l'ont adopté parce que, sur la base des éléments de preuve disponibles, il ne sous-estimerait pas le risque de préjudice.
Les défenseurs anti-nucléaires aiment le modèle linéaire sans seuil parce qu'ils peuvent prétendre qu'il n'y a pas de niveau sûr d'exposition aux rayonnements et qu'à partir de là, ils peuvent tourner l'anxiété au sujet des effets nocifs.
Des évaluations plus réalistes diminuent considérablement les problèmes d'exposition aux radiations à faible dose. Même les accidents d'une centrale nucléaire deviennent assez insignifiants une fois que l'exposition à une dose élevée immédiate est contenue. Les défenseurs de l'anti-nucléaire ont fait beaucoup de mal aux gens.
Le DOE est censé soutenir l'industrie nucléaire aux États-Unis, mais il semble qu'ils préfèrent le réglementer hors de l'existence.
Rod Adams a plus d'informations sur le programme de recherche sur la radiation à faible dose ici.
Http://atomicinsights.com/low-dose-radiation-research-program-defunded-2011/
http://joannenova.com.au/2016/12/big-bureaucrats-fired-scientist-who-spoke-too-honestly-to-congress/
Des dossiers de la liberté
RépondreSupprimer31/12/2016 Fox
Juge Andrew P. Napolitano
1) En 2017, le président Donald Trump et le Congrès républicain
A. Abrogation Obamacare entièrement.
B. Se disputent entre eux et ne font que des changements cosmétiques à Obamacare.
C. Garder le noyau d'Obamacare parce que le président Trump aura un changement de cœur.
D. Abroger Obamacare et le remplacer par un marché libre doux combiné et une version socialiste douce.
2) À la fin de 2017
A. Plus de troupes américaines seront déployées dans le monde entier qu'aujourd'hui.
B. Les États-Unis seront directement impliqués dans une guerre terrestre en Syrie.
C. Les États-Unis renonceront à devenir membres de l'OTAN.
D. Toutes les troupes de combat américaines seront de retour à la maison aux États-Unis.
3) En 2017, le Président Trump
A. Émettre plus d'ordres exécutifs que le président Barack Obama l'a fait en huit ans.
B. Diriger l'IRS pour abaisser le taux d'imposition supérieur à 30 pour cent.
C. Nommer le gouverneur Chris Christie du New Jersey au Conseil du président sur la condition physique, les sports et la nutrition.
D. Être très, très présidentiel.
4) En 2017, la Cour suprême
A. Inverser Roe v. Wade, ce qui met fin à la controverse sur l'avortement aux États.
B. Estiment que le droit de porter des armes à l'extérieur de la maison est protégé par le deuxième amendement.
C. Invalider l'abrogation du Congrès de Obamacare.
D. Avoir ses arguments oraux télévisés.
5) En 2017, le Président Trump et le Président russe Vladimir Poutine
A. Course pour voir qui peut pirater l'autre plus souvent.
B. Proclament leur amitié personnelle et éternelle les uns aux autres.
C. Acceptent de produire un calendrier sans chemise 2018 ensemble.
D. Se rencontrer une fois à Washington et une fois à Moscou et une fois à Mar-a-Lago.
6) En 2017, WikiLeaks sortira
A. Bandes secrètes de la réunion dans Trump Tower entre Trump et Kanye West.
B. Les positions préférées de Hillary Clinton.
C. Preuve que Bill Clinton est un escroc.
D. Mails montrant où le président Obama est né.
7) En 2017, le Président Trump
A. Une prise de contrôle hostile de NBC.
B. Feu Lorne Michaels et embaucher le casting "Saturday Night Live" entière pour travailler pour l'Organisation Trump.
C. Choisir plus de combats que d'un tyran d'école de quatrième année.
D. Commencer à construire le mur.
8) En 2017, la gouverneure Christie
A. Tenter une lutte professionnelle pour sa prochaine carrière.
B. Essayez un concert de télévision par câble et détestez parce que c'est trop de travail.
C. Devenez roadie pour la prochaine tournée de Bruce Springsteen.
D. Devenir directeur général du pont George Washington.
9) En 2017, le sénateur Ted Cruz
A. Causer un autre arrêt du gouvernement.
B. Annoncer qu'il interpellera le président Trump en 2020.
C. Être nommé à la Cour suprême.
D. Face à un défi très sérieux par un populaire et riche député républicain du Texas.
10) En 2017, le président Trump commencera sa tournée «Get to Know Me» par
RépondreSupprimerA. Écoutant les discours de Hillary Clinton.
B. Assis à travers un dîner avec Mitt Romney et Mitch McConnell discuter de la politique de la Réserve fédérale.
C. Donnant une conférence à l'université de Princeton au sujet du mauvais président Woodrow Wilson.
D. Hébergement "Saturday Night Live."
11) En 2017, les médias
A. Embrasser les nouvelles fausses 24/7 en établissant des points de vente faux officiels formels.
B. Faire des milliards couvrant l'administration Trump.
C. Être mis à l'écart par le Président Trump.
D. En grande partie très frustré que le président Trump contourne et ignore.
12) En 2017, l'ancien président Obama
A. Démarrer une compagnie d'assurance maladie.
B. Devenir le président de l'Université de Chicago.
C. Apparaissent partout.
D. Être chassé par ses camarades démocrates.
13) En 2017, la Série mondiale sera remportée par
A. Les Yankees de New York, après A-Rod rejoint l'équipe.
B. Les Red Sox de Boston.
C. Les Dodgers de Los Angeles.
D. Les San Francisco Giants, après Nancy Pelosi et son mari superrich acheter l'équipe.
14) En 2017, le Super Bowl sera remporté par
A. Les Cowboys de Dallas.
B. Les Giants de New York, après Eli Manning jette un 99 Ave Hail Mary que Odell Beckham Jr. attrape avec ses pieds.
C. Les New England Patriots, après un autre scandale de tricherie.
D. Les Lions de Detroit.
15) En 2017, le réchauffement climatique sera
A. Embrassé par le Président Trump.
B. Exposé comme un canular.
C. Largement oublié.
D. Le sujet d'une autre encyclique par le pape François.
16) Un an à partir d'aujourd'hui
A. Le pape François sera volontairement à la retraite et vivra comme simple curé dans un bidonville de Buenos Aires.
B. Divorcés et remariés, les catholiques pourront légalement recevoir la Sainte Eucharistie.
C. Les cardinaux catholiques auront déposé le pape François pour l'hérésie.
D. Antonin Scalia sera sur le chemin de la sainteté formelle.
17) Un an à partir d'aujourd'hui
A. Les États-Unis auront imposé un droit de 50 pour cent sur toutes les marchandises fabriquées en Chine.
B. La Réserve fédérale conservera des taux d'intérêt artificiellement bas.
C. Plus d'Américains garderont leur argent dans des boîtes à chaussures que dans les banques.
D . Des faillites bancaires se produiront une fois par semaine.
18) Un an à partir d'aujourd'hui
A. Nous saurons tous à quel point le riche président Trump est - ou n'est pas.
B. Al Gore aura annoncé qu'il sera candidat à la présidence en 2020.
C. Le groupe d'État islamique sera l'histoire.
D. Le maire actuel de la ville de New York et le gouverneur actuel de l'État de New York sera cellmates dans une prison fédérale.
19) Un an à partir d'aujourd'hui
RépondreSupprimerA. Hillary et Bill Clinton auront été inculpés par un grand jury fédéral pour avoir exploité une entreprise criminelle.
B. Roger Clemens sera au Temple de la renommée du baseball.
C. La famille Trump aura établi Mar-a-Lago comme la Maison Blanche officielle.
D. Plus de gens seront sur Obamacare que ne l'étaient en 2016.
20) À long terme
A. Tout ce que le gouvernement a lui a volé.
B. Tout ce que le gouvernement dit est un mensonge.
C. Que le gouvernement est le meilleur qui gouverne le moins.
D. Tout ce qui précède est vrai.
My choices are 1b, 2a, 3d, 4d, 5d, 6c, 7d, 8b, 9d, 10d, 11d, 12d, 13c, 14a, 15a, 16a, 17b, 18c, 19d and 20d.
http://www.judgenap.com/post/office-pool-2017
Des pirates informatiques russes ont déclaré qu'ils ont "pénétré la grille électrique américaine" en utilisant des logiciels malveillants ukrainiens dépassés
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Dec 31, 2016 9h22
Deux jours après que le DHS et le FBI aient publié un rapport révélant ce que les agences américaines prétendaient être l'opération russe contrôlée par le gouvernement derrière le «piratage des élections américaines» qu'ils ont baptisé «Grizzly Steppe» et qui avait un disclaimer particulier selon lequel rien de contenue dans le rapport devrait être pris à sa valeur nominale ou même crédible après que le DHS a déclaré qu'il «ne fournit aucune garantie d'aucune sorte concernant les informations contenues dans" ...
... la nuit, la croisade contre les "pirates russes" a continué à la suite de nouvelles que les cyberspécialistes russes avaient réussi à pénétrer le réseau électrique du Vermont, après qu'un utilitaire d'état, Burlington Electric, annoncé qu'il avait trouvé un ordinateur portable contenant le même code malveillant que le FBI et DHS avait vanté comme lié aux pirates russes.
Selon la société, "Burlington Electric a déclaré dans un communiqué que la société a détecté un code malveillant utilisé dans l'opération Grizzly Steppe dans un ordinateur portable qui n'était pas connecté aux systèmes de grille de l'organisation. La société a déclaré qu'il a pris des mesures immédiates pour isoler l'ordinateur portable et d'alerte Autorités fédérales". Vendredi soir, le gouverneur du Vermont, Peter Shumlin (D), a appelé les fonctionnaires fédéraux à "mener une enquête complète et complète sur cet incident et à prendre des mesures pour s'assurer que cela ne se reproduise plus".
Pour rappel, ce jeudi, lorsque Obama a dévoilé des sanctions contre la Russie et annoncé l'expulsion de travailleurs d'Etat russes dans le pire conflit diplomatique entre les deux pays depuis la guerre froide, simultanément le FBI et le DHS a publié un rapport conjoint sur la «Grizzly Steppe» L'opération de piratage informatique qui était censée être liée au gouvernement russe et allégué qu'elle avait visé «des personnes et des institutions américaines, y compris des organisations politiques américaines». En réalité, ce qu'ils décrivaient dans le rapport était la plus simple des opérations de spoofing, Les pirates impliqués dans l'opération russe ont utilisé des courriels frauduleux qui ont trompé leurs destinataires en révélant des mots de passe. En d'autres termes, si la fausse alerte électronique - c'est-à-dire la stupidité de ses «cibles américaines - était la meilleure que le gouvernement russe puisse faire pour« piller les élections américaines », alors les États-Unis avaient peu de raisons d'être préoccupés.
C'est pourquoi les États-Unis ont ressenti le besoin d'ajouter au sentiment d'urgence du jour au lendemain lorsqu'ils accusaient le même «groupe organisé par le gouvernement de pirates informatiques» d'avoir pénétré le réseau électrique du Vermont.
Avec le rapport, les agences de sécurité américaines ont publié un échantillon du code malveillant prétendument utilisé dans l'opération Grizzly Steppe pour compromettre les réseaux informatiques américains. Le code a également été partagé avec des cadres de 16 industries à travers le pays, y compris les secteurs financier, d'utilité et de transport. C'est ce code que Burlington Electric, un utilitaire basé au Vermont, aurait trouvé.
La société a publié un communiqué vendredi soir en disant que le code malveillant avait été détecté lors d'une analyse d'un ordinateur portable entreprise unique. Cependant, peu de temps après la publication de l'histoire de Post, il a été révélé que le logiciel malveillant avait seulement infecté un ordinateur portable d'entreprise utilitaire qui n'avait aucun accès au réseau électrique. Comme l'a noté le chroniqueur de la cybersécurité de Politico Eric Geller, le Post a rapidement édité son titre en apprenant que l'incident était beaucoup moins grave que rapporté initialement.
RépondreSupprimer«Nous avons pris des mesures immédiates pour isoler l'ordinateur portable et alerté les représentants fédéraux de cette constatation. Notre équipe collabore avec des fonctionnaires fédéraux pour retracer ce malware et empêcher toute autre tentative d'infiltration dans les systèmes d'utilité. Nous avons informé les fonctionnaires de l'État et appuierons pleinement l'enquête ", a déclaré le communiqué.
Naturellement, les médias américains ont rapidement couru avec l'histoire comme une preuve supplémentaire du piratage russe de l'infrastructure américaine critique et des intérêts nationaux: le WaPo a écrit "l'opération russe a piraté un utilitaire de Vermont, montrant le risque au réseau électrique américain la sécurité, Le titre était «les pirates russes ont pénétré le réseau électrique américain par l'entremise d'un utilitaire au Vermont, disent officiellement" ce que nous savons maintenant était tout simplement «fausse nouvelle»), l'AP a ajouté «Vermont Utility Finds Malware Code attribué aux Russes. Cependant, comme l'a noté Mikael Thalen, l'erreur commise au nom de la Poste était non seulement de faire sauter l'histoire de façon disproportionnée, mais de ne pas suggérer que les États-nations ne se heurtent pas aux infrastructures critiques des uns et des autres. La Russie a infiltré avec succès la grille des États-Unis avant, est probablement à l'intérieur maintenant, et a attaqué les réseaux électriques de d'autres pays, comme l'Ukraine, dans le passé. Le gouvernement des États-Unis a également eu accès à des réseaux électriques étrangers. Dans le cadre de l'opération "Nitro Zeus", les États-Unis ont violé l'infrastructure iranienne et se sont préparés à mener des attaques cybernétiques pendant les premières années de l'administration Obama si les efforts diplomatiques visant à réduire le programme nucléaire iranien échouaient.
Cependant, les dégâts ont été rapidement faits et peu de temps après la déclaration, les politiciens du Vermont s'étaient impliqués.
"Les Vermonters et tous les Américains devraient être à la fois alarmés et scandalisés que Vladimir Poutine, un des plus grands voyous du monde, ait tenté de briser notre réseau électrique, sur lequel nous comptons pour soutenir notre qualité de vie, notre économie, notre santé et notre sécurité , A déclaré le gouverneur du Vermont, Peter Shumlin, dans un communiqué. "Cet épisode devrait mettre en évidence le besoin urgent pour notre gouvernement fédéral de poursuivre vigoureusement et de mettre fin à ce genre d'ingérence russe", a t-il dit.
Mais était-ce vraiment l'ingérence russe ? Après tout, comment prouver non seulement l'intention, mais la source dans un monde de cyberespionnage, où la plantation d'indices fausses drapeau et autres indicateurs de compromis (COI) destiné à encadrer une entité spécifique, est aussi important que le hack réel.
Robert M. Lee, PDG et fondateur de la société de sécurité informatique Dragos, spécialisée dans les menaces auxquelles font face les infrastructures essentielles, a également noté que les COI comprenaient des «logiciels malveillants» ou des outils de piratage qui sont largement disponibles à l'achat.
RépondreSupprimerSelon certains spécialistes de la cybersécurité, le code provient d'un outil de piratage ukrainien dépassé. Selon RT, des spécialistes informatiques qui ont analysé le code et d'autres éléments de preuve publiés par le gouvernement américain se demandent si cela prouve vraiment une connexion russe, sans parler d'un lien avec le gouvernement russe. Wordfence, une société de cybersécurité spécialisée dans la protection des sites Web qui exécutent WordPress, une plate-forme basée sur PHP, a publié un rapport sur la question vendredi.
Wordfence a déclaré qu'ils avaient tracé le code malveillant à un outil disponible en ligne, qui est apparemment financé par des dons, appelé P.A.S. Qui prétend être «fabriqué en Ukraine». La version testée par le rapport FBI / DHS est 3.1.7, alors que la version la plus récente disponible sur le site Web de l'outil est 4.1.1b.
"On peut raisonnablement s'attendre à ce que les agents de renseignement russes développent leurs propres outils ou au moins utilisent des outils malveillants actuels de sources extérieures", indique le rapport.
La deuxième partie de l'analyse traite de la liste des adresses IP fournies par les agences américaines. Le rapport indique qu'ils "ne semblent pas fournir toute association avec la Russie" et "sont probablement utilisés par un large éventail d'autres acteurs malveillants."
En attendant, cette petite nuance, c'est-à-dire le manque continu de preuve réelle que les Russes ont piraté l'utilité de Vermont et encore moins les "élections américaines" cependant n'a pas empêché l'administration Obama d'accuser le gouvernement russe de pirater des réseaux informatiques américains pour influencer Justifier l'imposition de certaines des sanctions les plus sévères à la Russie.
Poutine a choisi d'ignorer les mesures punitives d'Obama, qualifiant son imposition d'une provocation claire, tout en disant que Moscou construira ses relations avec les États-Unis sur la base des politiques de la prochaine administration sous le président élu Donald Trump, et non pas Les coups de feu du président Barack Obama. En octobre, Poutine a ridiculisé l'idée que la Russie pourrait influencer l'élection présidentielle américaine, en disant que l'Amérique n'était pas "une république de banane."
Peu de temps après que Poutine a pris la «route à grande vitesse» Donald Trump a porté sur Twitter, louant Vladimir Poutine, en disant «Great Move On Delay - Je savais toujours qu'il était très intelligent», tout en se moquant des médias américains, «Russes jouent @ CNN et @NBCNews Pour ces fous - drôle de regarder, ils n'ont pas la moindre idée! Son tweet a rapidement et de façon prévisible, attiré des accusations de trahison par de nombreux libéraux.
http://www.zerohedge.com/news/2016-12-31/russian-hackers-said-penetrate-us-electricity-grid-using-outdated-ukrainian-malware
Enfin ! Après 'La guerre chez soi' avec l'importation directe de terroristes étrangers voici 'Les attaques depuis l'étranger !'
SupprimerRien de plus simple ! Suffit d'envoyer un 'touriste' en Chine ou en Russie qui a les codes secrets et attaquera avec son ordinateur les Etats-Unis depuis son lieu de vacances ! Pas belle la vie ?
Tss ! Y a des jours où l'on se demande a quoi peut servir la 'NSA' !! Hahahaha !
Vous noterez bien que ce ne peuvent QUE des russes qui habitent la Russie comme ce ne peut être qu'un americain qui habite la Maison Blanche ! Hahaha ! (comme on dit au Kenya).
L'héritage d'Obama: «La dette paralysante, le chômage massif, la société axée sur le bien-être, l'infrastructure détériorée, l'inflation massive et une monnaie Fiat sans valeur»
RépondreSupprimerJeremiah Johnson
30 décembre 2016
SHTFplan.com
Rapacité exécutée par un président démocrate sortant est délibérément minimisé ou simplement ignoré par les médias traditionnels. Nous avons vu une telle rapacité effrénée dans la manière atavique où les Clintons ont quitté la Maison Blanche lorsqu'ils sont partis en 2000. Ils ont volé et / ou vandalisé les meubles et les meubles de la Maison Blanche et l'ont laissé dans un état déplorable. Du point de vue de ses actions officielles, Bill Clinton a fait des choses telles que pardon Tommy Rich et fermé quelques échappatoires pour s'assurer que ses offres de la Fondation Clinton ne s'est pas écroulé après qu'il a remis le Bureau ovale.
Les Obamas ne suivent pas le procès des Clintons avec le pillage de la Maison-Blanche pour trois raisons. Tout d'abord, bien qu'il ait commis des douzaines d'infractions qui auraient mérité, Obama n'a pas été accusé, alors que Clinton a été. Pour ceux qui peuvent se méfier des conditions de la mise en accusation d'Obama, rappelons-nous que les États-Unis (et le monde) ont adopté, en vertu des paramètres de la Loi sur l'autorisation de la défense nationale et des principes de plus d'une demi-douzaine de décrets, Redéfini "comme un" champ de bataille "dans la guerre contre le terrorisme. Le statut d'urgence n'a jamais été levé: ce statut a été affirmé et inculqué sous l'administration Bush peu de temps après le 11 septembre, qui nous a classés en état de guerre (contre le terrorisme) et d'état d'urgence continu.
Dans de telles conditions "de guerre", les mots d'Obama en 2012 étaient clairement traîtres et constituaient une infraction impeachable.
Obama a déclaré à la télévision à Dmitri Medvedev son intention d'exercer unilatéralement ses pouvoirs (en dépassant son autorité) en tant que président de réduire les défenses antimissiles américains en Europe (pas un «traité» pour une ratification ultérieure par le Sénat des États-Unis). Il s'agissait d'une promesse spécifiquement adressée à un dirigeant étranger (indirectement par Medvedev) qui affaiblirait les capacités défensives de l'Amérique et contournerait la loi constitutionnelle et l'approbation du Congrès pendant la guerre. C'est de la trahison. "Dire à Vladimir, je vais avoir plus de marge de manœuvre après l'élection" n'est rien de moins que la trahison, comme révélé éloquemment par Obama "hot mike" en 2012.
Ce n'est qu'un exemple de douzaines, mais comme mentionné précédemment, tous ces dizaines d'exemples sont simplement des œufs jetés, qui ne collent pas au téflon.
Deuxièmement, Obama est le candidat principal pour les démocrates à se porter candidat à la présidence en 2020. Après l'inauguration de Trump, il n'y aura que 3 ans et 7 mois avant la prochaine élection présidentielle. La campagne d'Obama pour "Yes We Can ... Again," commencera dans environ 2 ½ ans. S'il avait pu se présenter à cette dernière élection, il aurait gagné des mains et fumé Trump à la manière d'un cigare bon marché. Nous le savons, et il le sait. Si quelque chose, sa popularité a augmenté considérablement maintenant que l'élection est derrière nous. Les médias sont maintenant dépeindre lui et sa femme dans cette incandescente "Hallmark" type d'image avec la brume autour de la feuille d'or encadrée portrait.
Une telle représentation de la Pravda rejette complètement les tourments des huit dernières années: la famine de la campagne contre la malnutrition de Michelle Obama contre les enfants américains alors que ses filles ont dîné carte blanche à l'école Friends Private sur les deniers publics; La paralysie de l'économie américaine et la destruction prévue de la base manufacturière; L'affaiblissement et la réduction de l'armée; L'enrichissement d'une armée de cadres et d'oligarques qui marchait fièrement dans le pas de la politique de l'administration tout en externalisant toute l'économie des États-Unis; L'assaut continu de la dépravation morale infligée aux familles, aux entreprises et aux structures sociales par le biais des édits draconiens et de la «couleur de la loi» par la cour suprême du kangourou.
RépondreSupprimerEn huit ans, Obama a pris les États-Unis d'Amérique au niveau d'un pays du tiers-monde avec la dette paralysante, le chômage massif, la promotion et l'augmentation d'une société basée sur le bien-être, une infrastructure détériorée et délabrée, Presque sans valeur fiat sur le bord de l'effondrement.
Le 23 mars 2010, il a cajoled, poussé, back-doored, et a forcé l'asservissement législatif de chaque citoyen des États-Unis en vertu de la Loi (Un) abordable de soins, ou "Obamacare." Barack Hussein Obama II a fait chaque citoyen beholding À l'Etat et à la charge de l'Etat de certifier que cette personne est «en règle» et «payée» en vertu de la loi - la loi qu'il a créée.
Pour divaguer: les citoyens d'autres pays (l'Egypte est un exemple parfait avec l'éviction de Morsi et les Frères musulmans pour inverser les actions de l'administration Obama) aurait augmenté avec des clubs et des fourches, a brûlé le capitole au sol, arrêté et emprisonné chaque législateur, Et forcé le dirigeant soit à fuir, à être ensuite capturé et jugé ou d'être déchiré en morceaux et jamais le faire à une salle d'audience.
Mais la légende de «l'héritage» d'Obama est créée par les médias grand public alors même que nous parlons, préparant le terrain pour «l'homme d'État» de revenir. Savez-vous quand il reviendra? Dans quelques années, à l'instar de MacArthur à travers les vagues et sur la plage ... temps de campagne de 2019/2020 ... après les Oligarques et les marxistes ont saboté les efforts de Trump et a déraillé une reprise ... tout le temps avec les médias pour soutenir le sabotage Et la favoriser. Vous ne pensez pas Alec Baldwin (qui déteste absolument les conservateurs) cessera de dépeindre Trump, n'est-ce pas ?
Tout cela s'inscrit dans la lignée de la crise manufacturière, de la subversion de l'opinion publique, de la dissension publique, puis de la montée de la figure de messianisme pour faire sortir le public pleureur et impuissant. Obama sera ce chiffre. Il l'est déjà. Ils n'ont même pas à le créer; Les médias ont simplement besoin de raviver un désir pour lui comme un "père" figure / Mr. Goodbar parmi la majorité des non-ouvriers, non-contribuables ... un désir de revenir à «Good Times», quand l'administration donnait à ceux qui ne produisaient rien tout ... aux dépens de ceux qui produisaient tout alors que l'administration les laissait sans rien .
Troisièmement, Obama n'a pas encore quitté son poste et il a activement favorisé l'adoption de lois et d'actions «de minuit à minuit», comme une zone d'exclusion aérienne en Syrie, la diabolisation et la criminalisation potentielle des médias alternatifs, la solidification De ses actions de direction déjà conçues permettant à l'APE et à d'autres bureaucraties de continuer à voler (je suis désolé, détournement de l'argent des contribuables ... communément appelé «réaffectation») et l'application et le placement des États-Unis dans des positions précaires dans de nombreux théâtres Où la guerre pourrait commencer en un clin d'œil. Il n'a pas encore quitté, et beaucoup peut arriver dans un mois.
RépondreSupprimerBill Clinton savait qu'il ne reviendrait pas à la Maison Blanche. Il était un «négatif» majeur dans le chapeau de la campagne de Hillary Clinton, et dans la vraie manière de parc de remorque, ils ont vandalisé la Maison Blanche et ont volé des meubles. Gardez à l'esprit qu'ils auraient fait plus si ils pouvaient avoir obtenu avec elle. Clinton et sa belle épouse ont volé des milliards de dollars, vendu des secrets militaires aux Chinois (lire le livre «L'Année du Rat» pour plus de détails sur ce), et enrichi eux-mêmes sur les dollars des contribuables tout en tuant et détruire les gens le long du chemin.
Mais Obama est plus intelligent que eux ... tant sa femme que lui sont plus silencieux, plus objectif, plus rusé et plus efficace. Ils sont également plus patients. Ce cycle est déjà arrivé. Ils ont juste à se tenir en arrière et permettre à Trump soit d'être déraillé ou de Trump de faire une erreur et se dérailler. Ensuite, ils reviendront à la campagne.
La base d'une telle possibilité est le succès qu'Obama a eu en détruisant le pays tout en assurant (même avec Solyndra, Fast and Furious, Benghazi, et le commentaire à Medvedev comme quelques-uns des nombreux exemples) que rien ne s'approchait même de le toucher Ou de le menacer de renvoi.
Un taux de réussite de 100%. Il n'avait tout simplement pas assez de temps pour terminer. Mais il aura une autre occasion en 2020, et vous feriez mieux de croire qu'il profitera de cette opportunité quand le moment viendra. Il peut quitter la Maison Blanche, mais cela ne veut pas dire qu'il n'y retournera pas.
http://www.shtfplan.com/headline-news/the-obama-legacy-crippling-debt-massive-unemployment-welfare-based-society-deteriorated-infrastructure-massive-inflation-and-a-worthless-fiat-currency_12302016
Préparez-vous au-delà de votre sac Bug Out - 3 conseils pratiques
RépondreSupprimerJ.D. Phillips
30 décembre 2016
SurvivalCrackas.com
Comme vous le savez probablement, un bug out sac est extrêmement pratique en cas d'urgence. Cependant, si vous pensez qu'un seul sac à dos avec quelques outils et quelques boîtes de nourriture est tout ce dont vous avez besoin pour survivre dans un scénario SHTF, je suis désolé de le dire, mais vous êtes soit VRAIMENT paresseux ou simplement mentir à vous-même !
Un bug out sac est un bon début, mais ce n'est pas le tout et finir tous de préparation pour la survie. Considérez ceci: porter un sac à dos est fatigant, surtout par temps extrêmes. La plupart des gens vont bien pour le premier couple de miles, mais les choses deviennent vraiment fatiguant après cela. Aussi, dormir à l'extérieur est plus facile à dire qu'à faire.
Vous serez troublé par des choses telles que:
pluie
neige
Vent
Soleil dur
bogues
les moustiques
Surfaces inhospitalières
animaux sauvages
serpents
et plus…
La liste est assez longue franchement. Même dormir sur le plancher de votre salle de bain peut être plus confortable que le sommeil / camping en dehors (même si je sais que certains ne seront pas d'accord avec cette déclaration)! Ainsi - si vous êtes vraiment sérieux au sujet de la protection vous-même et votre famille, vous devriez certainement commencer à préparer au-delà de votre bug out sac. Voici quelques idées pour vous aider à démarrer.
1) Un bug hors automobile:
Un RV est un excellent choix - il a amplement d'espace pour stocker beaucoup de fournitures et peut transporter toute votre famille (plus le chien) dans un confort décent. Même s'ils ne sont pas particulièrement rapides, les VR ont des moteurs puissants et une garde au sol décente, ce qui signifie qu'ils peuvent parcourir les surfaces rugueuses et traverser les ruisseaux et autres obstacles. Dormir dans un RV est beaucoup mieux que de dormir sous un arbre, dans une grotte ou même dans une tente.
Maintenant, je sais ce que vous pensez; Cette chose de survie semble être assez damn cher!
Eh bien, il s'agit vraiment de priorités. Croyez-le ou non, vous pouvez acheter un VR vieux pour quelques milliers de dollars parfois. Non, ça ne va pas être joli - mais assurez-vous qu'il est mécaniquement solide et vous pouvez fixer et personnaliser l'intérieur vous-même.
C'est un investissement frais et utile de temps et d'argent. Il donne aux enfants quelque chose de productif à faire. C'est sûr que l'enfer bat la perte de votre vie à regarder sans but à un certain écran. La plupart des VR ont un réservoir de propane et un poêle - ce qui élimine le besoin d'allumer des feux pour la cuisson. Ils ont aussi une salle de bain, donc vous n'avez pas à être exposés aux éléments. Vous pouvez facilement stocker la moitié d'une année de la nourriture sous forme de grains, haricots, boîtes, aliments déshydratés, etc Avec un RV, vous avez le luxe de stocker des vêtements supplémentaires et de la literie. Mettez-les dans des récipients en plastique légers pour les protéger contre les rongeurs. Les récipients pourraient également être utiles pour recueillir l'eau de pluie.
Vérifiez craigslist et vos petites annonces locales, vous serez surpris de quels goodies vous pouvez trouver si vous prenez juste le temps de regarder.
RépondreSupprimerN'attendez pas une urgence pour faire une escapade dans votre VR. Utilisez-le régulièrement pour faire des excursions dans diverses destinations et pratiquer des techniques de survie telles que l'allumage d'un feu, la ligature de nœuds différents, la pêche, etc Si un RV semble trop grand, trop encombrant ou trop cher, envisager d'obtenir une camionnette ou simplement personnaliser votre camionnette.
Soit dit en passant, gardez le réservoir de carburant plein et stocker un couple de canettes de carburant supplémentaire dans votre bug hors automobile.
2) Une destination bug out:
Vous pouvez acheter une petite parcelle de terrain dans une région éloignée - faire des recherches intelligentes. La terre rurale est beaucoup moins cher que les propriétés urbaines (selon l'emplacement, vous pouvez acheter 1 ou 2 acres en dépensant juste quelques centaines de dollars supplémentaires tous les mois).
Nous vivons dans une telle économie virtuelle que nous avons oublié que la terre est la ressource ultime pour pratiquement tout!
Si vous possédez des terres, vous pouvez construire une maison, cultiver votre propre nourriture, élever des animaux et récolter l'eau de pluie. Vous n'avez pas besoin de construire un luxueux manoir. Une simple chasse de chasse maison de style fera. Vérifiez les lois dans votre état pour en savoir plus sur le coût de la construction, les licences, les taxes, etc
Si vous installez un système d'alimentation solaire à votre domicile, vous serez réellement en mesure d'aller «hors de la grille». Voici quelques petites choses à faire:
Pratiquez la culture de quelques légumes sur votre terre - c'est une expérience vraiment enrichissante.
Visitez votre bug destination une ou deux fois par mois.
Stock avec des fournitures; Chalk Out différents itinéraires de votre maison à cette destination.
Préparer une urgence n'est pas quelque chose que vous accomplissez en soirée en commandant des trucs sur amazon. C'est un style de vie - profitez-en et encouragez votre famille à participer.
RépondreSupprimer3) Apprendre à utiliser une arme à feu:
La constitution vous donne le droit de porter des armes à feu et de les utiliser pour votre protection - exercer ce droit de façon responsable. Apprenez à tirer - c'est une compétence très essentielle dans une situation SHTF. Il vous permettra de chasser pour la nourriture et de vous défendre, votre famille et votre propriété contre les voleurs, les cambrioleurs et les terroristes. Un pistolet et un fusil sont de bons points de départ pour les débutants. Vous pouvez ensuite passer à des fusils de chasse et des armes plus sérieuses si vous en avez le besoin. Posséder une arme à feu ne suffit pas; Vous avez également besoin de vous renseigner sur les lois sur les armes à feu relatives à votre emplacement. Cela vous aidera à rester à l'écart des problèmes juridiques.
Si vous devez évacuer, assurez-vous que vous transportez tous les documents importants tels que l'identité, les papiers de véhicule, les papiers de propriété, les passeports et le plus important - CASH! Toujours garder les yeux et les oreilles ouverts. Restez à l'affût et un pas en avant du public! Soyez décisif et réfléchissez.
http://www.shtfplan.com/headline-news/prepping-beyond-your-bug-out-bag-3-practical-tips_12302016
Ce qui m'a toujours choqué/étonné/effrayé chez les 'preppers' est qu'ils conseillent de partir en courant en cas de danger (avec un sac de 500 kg sur le dos ? Hahaha !) ou, de creuser un trou dans le sol et de s'y tenir dedans ! (quelques années ?).
SupprimerOr, se barrer veut dire: prendre le large/larguer les amarres/mettre les voiles, bref: quitter ce pays pour un autre.
Donc, de quoi emporter en mer ?
Après vues de films et romans sur de telles aventures, je me suis enfin posé la question du 'De quoi se nourrissaient les marins partis - anciens temps - découvrir de nouveaux monde' ? Aux images idiotes des pirates et autres navigateurs ne sachant qu'hisser des voiles et tirer l'épée, je me suis posé la question du pourquoi ne les voyait-on jamais en train... de pêcher !!? Ne mangent-ils jamais de poissons ?
- Alors qu'au temps de Christophe Colomb existait déjà le verre (bouteilles, loupes), pourquoi n'aurait-on pas encore compris que: tout récipient (rempli d'eau) mis au soleil sous une loupe se réchauffera, l'eau bouillira et, la vapeur condensée au couvercle incliné donnera de: l'eau pure à partir d'eau de mer ou d'urine !
- Pourquoi (dans les films de cow-boy) ces 'nouveaux conquérants' venus d'Europe ou d'Afrique comme d'ailleurs ne parleraient-ils plus leur langue d'origine arrivés en Amérique !! (avec leur accent de marseille ou alsacien ?!).
- Pourquoi Jeanne d'Arc brûlée vive n'est-elle JAMAIS filmée en train de crier à la fin du film ?
- Pourquoi y a t-il encore des cons pour croire que si la glace des pôles venait à fondre le niveau de la mer augmenterait alors que si de la glace font elle perd du volume et, deuxièmement, que depuis des millions d'années des milliards de kilomètres cubes d'eaux venus des pluies, fleuves & rivières qui se sont déversé dans les océans... sans qu'ils ne montent ! Çà alors !
Donc, pourquoi parler/écrire pour dire des âneries ou des vérité à moitié alors qu'il est inattaquable de les expliquer complètement ??
Seine-Saint-Denis : la RATP évite certains quartiers par mesure de «prévention» à la Saint-Sylvestre
RépondreSupprimer31 déc. 2016, 15:51
Par mesure de précaution, les bus de la RATP préfèrent éviter certaines zones de Seine-Saint-Denis pour le réveillon de nouvel an
Après des incidents violents, la RATP a décidé que ses bus, qui circuleront toute la nuit de la Saint-Sylvestre en région parisienne, ne s’arrêteraient pas dans certains quartiers de Sevran, Blanc-Mesnil, La Courneuve ou encore Pantin.
Entre le 31 décembre à 20h et le 1er janvier à 5h du matin, les bus de la RATP ne desserviront pas les quartiers de certaines villes de Seine-Saint-Denis, en banlieue de la capitale, a indiqué le service de transports en commun au journal Le Parisien, évoquant une mesure de «prévention».
Comme cela avait déjà été le cas lors du précédent réveillon, tous les arrêts des villes de Sevran, Blanc-Mesnil, et Pantin, ne seront donc pas desservis. La Courneuve a par ailleurs été ajoutée à la liste des quartiers qui seront contournés par les conducteurs lors de la nuit du 31 décembre au 1er janvier 2017.
Le 22 octobre, un bus circulant dans cette zone avait été pris pour cible par des délinquants, qui l’avaient incendié après avoir fait descendre les passagers et le conducteur.
Dans la nuit du 28 au 29 juillet, un autre bus de la RATP avait fait l'objet d'une attaque aux cocktails Molotov, à Saint-Denis.
https://francais.rt.com/france/31589-seine-saint-denis-ratp-evite-quartiers-mesure-prevention-saint-sylvestre
Seuls les chèques d'alloc-terroristes sont autorisés à passer
SupprimerLe Washington Post publie la fausse histoire d’une centrale américaine soi-disant hackée par Moscou
RépondreSupprimer31 déc. 2016, 23:25
Une centrale américaine piratée ? Ne cherchez plus, c'est Poutine !
Reprenant sans pincettes un rapport du FBI, le très sérieux journal américain a assuré que le piratage d’une centrale électrique du Vermont avait été organisé par la Russie. Le problème ? La fameuse centrale a indiqué… qu’elle n’avait pas été hackée.
Dès les premières lignes de l’article du célèbre Washington Post, le ton est donné : «Un code [informatique] associé à l’opération russe de piratage […] a été détecté dans le système d’un fournisseur [d’électricité] du Vermont, selon des responsables américains.»
Sans prendre la précaution de vérifier l’information, venue de supposition des services de renseignements américains, le journal n’hésite pas à relayer le commentaire incendiaire du gouverneur démocrate de l’Etat du Vermont, Peter Shumlin, qui qualifie Vladimir Poutine de «l’un des plus gros voyous du monde» et conclut, un brin hâtivement : «Cet épisode devrait souligner le besoin urgent pour notre gouvernement fédéral [américain] de pourchasser vigoureusement et de mettre un terme à ce genre d’ingérence russe.»
Le sénateur du Vermont Patrick Leahy n'y va pas, lui non plus, de main morte, en parlant de «piratage financé par l'Etat russe» dans un communiqué publié sur internet.
Alors que le quotidien poursuit dans le même registre, les agences de presse du monde entier reprennent les accusations antirusses, à l’image de l’AFP, qui titre «Des hackers russes ont piraté un fournisseur d'électricité américain (presse)».
Le problème ? La centrale n’a jamais réellement été piratée
Alertée par les services de sécurité américains, la centrale électrique en question, Burlington Electric, fouille tous ses ordinateurs et découvre finalement que le code du logiciel malveillant n’est présent que sur un seul ordinateur, et que celui-ci n’est aucunement connecté aux installations. En d’autres termes, aucun pirate informatique n’a pénétré dans le système de la centrale électrique du Vermont.
Pas de chance pour le Washington Post, qui avait déjà sorti son article sans prendre la peine de contacter la compagnie.
Une «fake news» révélatrice
Comme l’écrit le journaliste britannique Glenn Greenwald dans le magazine en ligne The Intercept, l’histoire, qui peut sembler anodine, est en réalité importante car elle «reflète la fièvre irrationnelle et sans fin qui est cultivée dans le discours politique et la culture américaine à propos de la menace posée par Moscou».
Lire aussi
Vladimir Poutine lors de la visite d'une école Une (nouvelle) «fake news» sur la Russie : non, Poutine n'a pas fermé l'école américaine de Moscou !
En effet, ce n’est pas la première fois qu’une information non-vérifiée, voire complètement fausse, concernant la Russie, est massivement relayée par les médias mainstream américains, sans la moindre précaution.
RépondreSupprimerEncore il y a quelques jours, la chaîne d’actualité américaine CNN avait indiqué que l’école américaine de Moscou avait été fermée sur ordre du gouvernement de Vladimir Poutine, en guise de réponse à la décision de l’administration de Barack Obama d’expulser 35 diplomates russes des Etats-Unis.
L’«information», erronée, avait été reprise par de nombreux médias internationaux et français, certains, comme la radio Europe 1, ne prenant même pas la peine d’y ajouter le conditionnel. La rumeur, montée de toutes pièces, avait pris tellement d’ampleur que la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova l’avait publiquement démentie. Vladimir Poutine avait ensuite indiqué que Moscou n’avait pas l’intention, pour l’heure, de répondre aux sanctions américaines.
https://francais.rt.com/international/31606-washington-post-publie-fausse-histoire-centrale-americaine-hackee-moscou
Washington Post Caught Spreading Plus de fausses nouvelles à propos de "Russian Hackers"
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Dec 31, 2016 20h20
Les lecteurs du Washington Post ont reçu hier des nouvelles alarmantes lorsque le journal a publié une histoire alléguant que ces «pirates russes» ennuyeux n'avaient plus aucune chance de réussir et avaient réussi à «pénétrer le réseau électrique des États-Unis par le biais d'un utilitaire au Vermont». Le titre complet se lisait comme suit:
Wapo
Le premier paragraphe de l'histoire de WaPo reliait directement le «hack» de l'utilité du Vermont à la même «opération de piratage russe baptisée Steppe Grizzly» que l'administration Obama a blâmée pour les hacks de DNC et de John Podesta. Le gouverneur du Vermont, Peter Shumlin, a déclaré à WaPo que "les Américains devraient être à la fois alarmés et outragés" par ces actes perpétrés par "l'un des principaux voyous du monde, Vladimir Poutine" avant de demander apparemment de nouvelles mesures de représailles de l'administration Obama.
Vermonters et tous les Américains devraient être à la fois alarmés et scandalisés que Vladimir Poutine, l'un des principaux voyous du monde, ait tenté de panser notre réseau électrique, sur lequel nous comptons pour soutenir notre qualité de vie, notre économie, notre santé et notre sécurité. Cet épisode devrait mettre en évidence le besoin pressant que notre gouvernement fédéral poursuive vigoureusement et mette fin à ce genre d'ingérence russe.
En outre, le sénateur Vermont Patrick Leahy a pris la rhétorique à un tout autre niveau en affirmant un complot russe diabolique pour fermer le réseau électrique américain au milieu de l'hiver ... un coup qui serait certainement tuer la moitié de la population de l'État en un instant .
VT Gov
Bien sûr, il n'a pas fallu longtemps pour que le New York Times et ABC de s'en tenir à l'histoire, car il correspond à leur "2016 élection hacking" récit si parfaitement.
Hélas, il y avait juste un problème mineur, à savoir que l'article entier était complètement fabriqué. Apparemment, les estimés «journalistes» du Washington Post ne se sont même pas donné la peine de communiquer avec le Burlington Electric Department pour confirmer leur fausse histoire ... et pourquoi devraient-ils ... cela correspond à la narration "russes" si parfaitement donc il doit être Vrai, non?
Eh bien, apparemment pas. La propagation rapide de la «fausse nouvelle» de WaPo a forcé le Burlington Electric Department à émettre une déclaration clarifiant les résidents inquiets que leur réseau électrique n'avait pas été piraté, mais plutôt qu'un seul «ordinateur portable non connecté» au réseau avait été trouvé D'avoir un virus malware.
Utilitaire Vermont
Ce qui a forcé le Washington Post embarrassé à baisser rapidement le ton provocateur ...
Wapo
... et compléter leur article original avec le suivant «Note de l'éditeur» admettant que la prémisse entière de leur histoire originale n'était rien de plus que «fausses nouvelles».
Note de l'éditeur: Une version antérieure de cette histoire a déclaré à tort que les pirates russes avaient pénétré le réseau électrique des États-Unis. Les autorités disent qu'il n'y a aucune indication jusqu'à présent. L'ordinateur de Burlington Electric qui a été piraté n'était pas attaché à la grille.
RépondreSupprimerQui a tiré des réactions rapides de twitter ...
... et Glenn Greenwald de The Intercept, qui ont saboté WaPo pour leur "irresponsable et sensationnaliste tabloïde comportement."
CE QUI IMPORTE non seulement parce que l'un des principaux journaux du pays a une fois de plus publié une histoire d'une fougue sauvage et effrayante sur la Russie. Il importe encore plus parce qu'il reflète la fièvre profondément irrationnelle et toujours en spirale qui est cultivée dans le discours politique et la culture des États-Unis au sujet de la menace posée par Moscou.
Le poste a beaucoup d'excellents reporters et éditeurs intelligents. Ils ont produit beaucoup de grandes histoires cette année. Mais ce genre de comportement tabloïd flagrantement irresponsable et sensationnaliste - qui suit ce qu'ils ont fait lors de la promotion de cette grotesque liste noire PropOrNot des médias américains accusés d'être des outils du Kremlin - est un sous-produit de la mentalité Anything Goes qui forme maintenant la discussion générale de la Russie, Poutine et la grave menace pour toutes les choses décent en Amérique qu'ils posent.
Ironiquement, il ya quelques semaines, nous avons noté que le Washington Post était trop heureux de promouvoir un site anonyme qui décrit Zerohedge comme une propagande «gris foncé», trompant systématiquement ses publics civils pour des gains politiques étrangers »(voir« Washington Post Names Drudge, Zero Hedge, et Ron Paul comme anti-Clinton «sophistiqués outils de propagande russes» »), tout en présentant exactement zéro preuve à l'appui de leur prétention absurde. Peut-être est-il temps pour WaPo de consacrer un peu plus de son temps à l'auto-réflexion.
http://www.zerohedge.com/news/2016-12-31/washington-post-caught-spreading-more-fake-news-about-russian-hackers
L'uranium devrait être un produit en demande d'ici 2030
RépondreSupprimerPaul Atherley
22 DÉCEMBRE 2016 • 16h43
L'uranium est à son prix le plus bas depuis une décennie, et une surproduction mondiale de l'actif a signifié que le robinet a été désactivé sur la production partout où vous regardez. Le plus important mineur d'uranium au monde, Cameco, a même cessé de produire à sa mine de Rabbit Lake, au Canada. Pourtant, Berkeley Energia investit 100 millions de dollars, dont 60 millions de dollars, dans une nouvelle mine à Salamanque, en Espagne.
La société anglo-australienne s'attend à une reprise attendue des matières premières, car une flotte de nouveaux réacteurs et de nouveaux contrats d'approvisionnement sur les flottes existantes seront commercialisés au cours des prochaines années. Avec des concurrents mothballing leurs installations, Berkeley Energia espère attraper le marché sur le saut.
Ce marché peut déjà être en mouvement. Au cours des dernières semaines, le cours de l'action de Cameco a connu une hausse de 40 p. 100 après une baisse pluriannuelle, malgré la récente annonce de clôture.
Berkeley Energia espère prendre le marché sur le saut
C'est parce que si les énergies renouvelables ont suscité beaucoup d'attention au fur et à mesure que le monde se déplace progressivement vers un avenir sans carbone, aucune source d'énergie n'offre tout le volume d'énergie du nucléaire. L'Agence internationale de l'énergie (AIE) prévoit que l'appétit mondial de l'électricité va faire monter la demande de plus de 70pc d'ici 2040, presque entièrement en raison de la croissance économique dans les pays non occidentaux.
Dans l'ensemble, près d'un quart de l'énergie de l'UE provient déjà du nucléaire et devrait se poursuivre; Son agence Euratom souhaite que 100 nouvelles stations soient mises en service en 2050, bien que celles-ci remplacent en grande partie les anciennes usines hors ligne.
Les marchés hors UE, tels que la Chine avec sa nouvelle flotte de 60 réacteurs, seront en ligne, tout comme de nombreux contrats à terme. Les approvisionnements en uranium en Europe occidentale deviennent donc plus intéressants car ils seront géopolitiquement sécurisés et disposeront d'infrastructures modernes.
La mine sera économiquement viable sur le marché mondial
La mine de Berkeley Energia est bien placée pour profiter de cette poussée de la demande. Son minerai est proche de la surface, et accessible à un coût relativement faible, et la mine est dans une zone bien desservie par des infrastructures modernes, rendant l'extraction et le travail général de fonctionnement de l'opération beaucoup moins cher qu'une alternative plus éloignée.
Lorsque la mine sera mise en ligne en 2018, non seulement elle sera économiquement viable sur le marché mondial, mais elle s'inscrira également très bien dans le mémoire d'Euratom pour la durabilité, la compétitivité et la diversité. Et les études suggèrent que les gisements de minerai encore à découvrir pourraient prolonger la durée de vie de la mine en des décennies.
L'UE dispose de très peu d'approvisionnement local en uranium - seulement 3pc de la demande, provenant de petites mines en République tchèque et en Roumanie, ainsi que d'autres récupérées comme un sous-produit d'une autre extraction de métaux. Pour alimenter le reste, les réacteurs européens doivent aller plus loin: le Kazakhstan, le Canada, l'Australie et le Niger.
RépondreSupprimerAvec la demande à la flambée, les gouvernements européens seront désireux de trouver un fournisseur fiable, local qui peut offrir du carburant à faible taux dans l'avenir. Il n'est pas surprenant que les yeux soient sur Salamanque.
Nouveau nucléaire
L'énergie nucléaire devrait jouer un rôle important dans un marché de l'énergie sans carbone.
Berkeley Energia ouvrira une mine à Salamanque, en Espagne, pour fournir de l'uranium pour l'énergie nucléaire mondiale.
Si vous souhaitez en savoir plus sur Berkeley Energia, ou la mine de Salamanque, s'il vous plaît visitez berkeleyenergia.com
http://www.telegraph.co.uk/business/uranium-energy/an-in-demand-commodity/?WT.mc_id=tmgspk_listfour_1595_AnGk6DrC9HG2&utm_source=tmgspk&utm_medium=listfour&utm_content=1595&utm_campaign=tmgspk_listfour_1595_AnGk6DrC9HG2
Victoria: Les inondations et l'usine de dessalement d'éléphants blancs commencent inutilement, puis se casse de toute façon
RépondreSupprimer1er janvier 2017
Victoria a construit une usine de dessalement en 2012 qui a été immédiatement mis à mal parce que les pluies sont revenues et les barrages qui n'étaient pas censés remplir, a obtenu plein. Le coût total se situera entre 18 et 24 milliards de dollars.
L'année dernière, le gouvernement victorien a décidé de commander de l'eau pour le fun de toute façon (ou il aurait pu être un truc PR pour que les gens ne pourraient pas se moquer d'eux pour payer une usine Desal qui n'a jamais été utilisée). Mais le 11 décembre, l'usine a démarré et a immédiatement déclenché un disjoncteur. Stuff a été endommagé, et trois semaines plus tard, personne n'est exactement sûr de ce qui s'est passé, donc il n'est toujours pas en cours d'exécution.
Les barrages victoriens sont plus de 70% plein, l'état vient de subir des inondations majeures. La ministre de l'Eau, Lisa Neville, a promis vendredi que les 50 gigalitres d'eau (environ un dixième de la capacité de Sydney Harbour) qui doivent être livrés avant le 30 juin arriveront toujours à temps.
Je parie que les victoriens sont soulagés de savoir que l'eau dont ils n'ont pas besoin ne sera pas en retard.
Les coûts de la panique climatique sont encore à venir:
L'ordre de 50 milliards de litres verra les factures annuelles d'eau des ménages augmenter de 12 $.
"Daniel Andrews s'est assis autour de la table du cabinet quand la décision a été prise de gaspiller 24 milliards de dollars sur une usine de dessalement dont nous n'avons pas besoin et maintenant ne fonctionne pas", a déclaré Shadow ministre de l'eau Peter Walsh.
Autour de l'Australie environ 1 milliard de dollars par an est gaspillée sur les usines de dessalement que personne n'utilise.
Avec seulement 150 ans de données sur les précipitations, qui aurait pu prédire que les précipitations de 2016 seraient moyennes ?
- voiir graphique sur site -
Graphique des précipitations de Melbourne.
Office régional de Melbourne des précipitations jusqu'à 2012.
Toute compétition pour les déchets gouvernementaux de cette année a t-elle réagi ?
http://joannenova.com.au/2017/01/victoria-floods-and-white-elephant-desal-plant-starts-needlessly-then-breaks-anyway/