Paul Craig Roberts
5 décembre 2016
"Plus une société dérive de la vérité, plus elle détestera ceux qui la parlent." George Orwell
L'oligarchie au pouvoir et leurs médias de presse sont devenus désespérés maintenant qu'ils perdent le contrôle des explications et des esprits des Américains. Ainsi, ils accusent des journalistes Internet indépendants comme moi d'être des agents russes vendant de fausses nouvelles. La législation récente de la Chambre des représentants, la liste des 200 prétendus agents russes et les attaques contre le président élu Trump au sein de la communauté de renseignement des États-Unis montrent clairement que les pressions exercées sur les véridiques augmentent.
http://www.paulcraigroberts.org/2016/12/03/is-the-us-government-behind-the-fake-news-media-attacks-on-president-elect-trump/
Les sites Internet qui comportent des sections de commentaires permettent aux trolls de gagner leur argent en diffamant et dénaturant les véridiques, aidant ainsi les oligarques dans leur attaque contre la vérité.
J'ai certainement attiré l'attention des oligarques. Je suis sûr que vous êtes aussi fier que moi que www.paulcraigroberts.org figure sur la liste des ennemis de l'oligarchie. Si j'avais à parier, je parierais que la liste des 200 ennemis de l'oligarchie était préparée avec de l'argent de la CIA, du National Endowment for Democracy (dollars des États-Unis) et de George Soros (argent volé Du peuple britannique dans la manipulation des devises).
Un lecteur m'a écrit que, comme Thor dans la vieille mythologie nordique, nous avons déplacé l'univers. J'ai lu l'autre jour un rapport selon lequel plus d'Américains se méfiaient que ne faisaient confiance aux médias de la presse. Peut-être l'ère de tromper les Américains trompés est à sa fin. Il est clair que l'oligarchie dirigeante est préoccupée par le fait que les sites sur la Liste 200 contrôlent maintenant les explications bien que non les leviers du pouvoir. Néanmoins, si la plume est plus puissante que l'épée, la puissance retournera aux gens alors que nous continuons à leur livrer la vérité.
Ce site Web que votre insistance a créé a 400 000 lecteurs, et mes colonnes sont reproduites sur des dizaines d'autres sites aux États-Unis et à l'étranger, traduits dans de nombreuses langues dont le chinois, le russe et l'allemand. Une personne m'a écrit que mes colonnes sont régulièrement affichées sur 17 sites sur la Liste 200. Tout cela est un service gratuit, de sorte que vous pouvez prendre la satisfaction que votre soutien financier affecte la vision du monde de millions de personnes.
La liste des ennemis de l'oligarchie a créé des problèmes pour les trolls qui me décrivent dans les sections de commentaires comme un outil de Reagan de l'oligarchie. Comme il n'est pas possible d'être à la fois un ennemi de l'oligarchie et un outil de l'oligarchie, je suppose que les trolls devront maintenant dire que mon inclusion sur la liste des ennemis est une couverture profonde protectrice.
Comme le dit le vieil adage, ceux qui tissent des ficelles de tromperie se retrouvent en eux, et c'est là que l'oligarchie américaine et leurs pressistes sont, pris dans une toile de mensonges.
La lutte est loin d'être terminée. Maintenant que l'oligarchie dirigeante comprend leur danger, les choses deviendront très risquées. Veuillez répondre à mon appel trimestriel pour votre soutien. Servir votre besoin d'informations fiables m'apporte des ennemis puissants.
Mes remerciements aux nombreux lecteurs qui ont exprimé leur souhait d'être le secrétaire au Trésor de Trump et à Rahul Manchanda pour son hommage dans Anciens Combattants Nouvelles.
Http://www.veteransnewsnow.com/2016/11/28/dr-paul-craig-roberts-is-a-former-treasury-secretary-who-actually-cares/
L'oligarchie n'a pas perdu l'élection par une assez grande marge pour que je sois confirmé en tant que Secrétaire du Trésor. J'apporterais au Trésor des gens comme Michael Hudson, James Galbraith, Herman Daly, Pam Martens, Nomi Prins. Je mettrais Dave Kranzler en charge de la réglementation financière et lui demander de casser le gréement de la Fed sur le marché des lingots. La campagne d'Ellen Brown pour les banques publiques serait stimulée. La question de l'abolition de la Réserve fédérale et du retour du pouvoir dans le Trésor serait examinée.
L'électorat américain a donné trop d'appui au candidat de l'oligarchie pour que de tels changements majeurs soient possibles. Le peuple américain a un peu plus de réveil à faire. Le changement majeur exige une victoire électorale effrénée pour le peuple américain, l'équivalent d'une révolution.
Si Trump s'avère sincère, soutenons-le sur les principaux enjeux et construisons l'élan pour l'avenir.
http://www.paulcraigroberts.org/2016/12/05/the-tide-is-turning-against-the-oligarchs-paul-craig-roberts/
Il s'agit là certe de baume-au-cœur, mais, ce sont toujours (pour l'instant) que des prétentions (Demain on rase gratis ?). Car, il y a tellement de faux partis avec des infiltrés qui les dévient du sens premier qui était donné.
RépondreSupprimerDemandez donc à ses 'chefs de partis' ce qu'ils pensent du non-dragage des fleuves qui favorise les inondations à la moindre pluie ! Demandez leur ce qu'ils pensent de 'la mer qui va monter' (Hahahaha !) et pourquoi ce trou de cul est incapable d'expliquer pourquoi depuis des millions d'années des milliards de kilomètres cubes d'eaux (de pluies, des fleuves & rivières) se sont déversés et se déversent encore dans les océans sans qu'ils ne montent !
Les fameuses '500 signatures'
RépondreSupprimermercredi 6 juin 2012
Pourquoi TEPCO satisfait-il les Dirigeants ? Parce que entre cons on se comprend mieux et que personne chez les 'élus' ne peut mieux faire que TEPCO. Donc, il est démontré que les dés son pipés d'avance, que l'on prend les mêmes et que l'on continu et, que ce soit des gouvernements de gauche ou de droite cela ne résout jamais le problème quelque soit le pays (les exemples ne manquent pas). Regardons simplement le déroulement des opérations quant à l'admission des candidats à la candidature aux élections présidentielles: il leur est demandé 500 signatures. Mais là attention - c'est là qu'est l'astuce - pas 500 signatures de n'importe qui ! (alors que c'est 'n'importe qui' qui est appelé ensuite à voter !!!) 500 signatures de maires ! Et pourquoi donc 'de maires' ? Parce qu'ils sont là les éléments les plus corruptibles qui puissent exister ! Quel maire va accorder sa signature à un candidat qui se dit 'révolutionnaire' au risque de ne plus recevoir le retour juste - pour sa commune - des impôts en cas de demande d'accord de crédit/subvention ?
Pourquoi ne demandent-ils pas à ce que ce soit le peuple qui signe a leurs places ? Pour la bonne et simple raison que les candidats soucieux de développer/prouver leurs performances n'hésiteraient pas à dépasser les quotas de 500 et en ramener des millions ce qui prouverait tout de suite tout l'intérêt que porte le peuple à la liberté !
Ainsi, la monarchie républicaine serait vite un lointain souvenir grâce à cette forme de révolution silencieuse et sans manifestation physique et qui - de plus - serait une forme de vote avant vote ou vote pré-électoral. Ainsi, ceux qui sont appelés à voter éliraient leur propre candidat plutôt que de reléguer cette tâche au premier magistrat de la ville qui est susceptible de corruption face à des 'candidats' choisis par les hommes de l'ombre et qui n'offrent le choix que d'être tous pareils ! (et aussi cons les uns que les autres). De sorte que de cette forme nouvelle à s'exprimer ne naîtrait pas une nouvelle république (dont rien que le nom dit bien ce qu'il veut dire) mais une liberté. Ainsi la devise "Liberté, Égalité, Fraternité" ne serait plus un objectif à atteindre - et ressemblant plus à "demain on rase gratis" - (indéfiniment repoussé aux calendes grecques) mais une réalité présente comme "Travail, Famille, Patrie". Notez quand même que ce que je dis là, aucun candidat dit 'de l'opposition' (comme de la 'majorité') ne l'a proposé et pour cause !!!...
Ainsi, le peuple qui signe la demande de représentativité du candidat aux élections n'aurait-il rien à craindre contrairement aux maires qui peuvent se voir débarqués de leur fauteuil pour avoir ou pas soutenu tel ou tel candidat.
Donc, pour en revenir au 'TEPCO lointain', il est vrai que si cette situation avait lieu en autre pays les gestionnaires n'auraient pas attendus un an avant d'être mis en charpies ! Pareil où aux États-Unis le '9-11' n'aurait pas attendu plus de 10 ans pour avoir une réponse sur l'enquête sur les hologrammes et la déchéance du pays qui en a suivi. (après tout, n'ont-ils pas leur 'petit Fukushima' chez eux et appelé 'TSA' ?).
http://huemaurice5.blogspot.fr/2012/06/les-fameuses-500-signatures.html
Référendum : les partis anti-establishment M5S et la Ligue du Nord sont-ils l'avenir de l'Italie ?
RépondreSupprimer5 déc. 2016
Si la victoire du non au référendum italien est un jugement sans appel pour Matteo Renzi et les politiques européennes, pour Dario Citati, elle représente la possibilité pour les mouvements souverainistes de s'imposer dans la vie politique du pays.
Dario Citati est directeur du Programme de recherche «Eurasie» à l’Institut des hautes études en géopolitique et sciences auxiliaires (IsAG), un think tank italien basé a Rome. Historien de formation, il s’intéresse à la pensée politique russe et européenne, aux rapports entre orthodoxie et catholicisme, ainsi qu'à la géopolitique des pays d’Asie centrale où il a été plusieurs fois observateur international. Il vient de publier (en italien) le livre La passion de l’Eurasie. Histoire et civilisation dans l’œuvre de Lev Goumilev.
RT France : Le «non» victorieux était-il un refus catégorique de cette réforme constitutionnelle ou un vote de défiance envers le gouvernement de Matteo Renzi ?
Dario Citati (D. C.) : Il s'agit sans conteste d'une défiance contre le gouvernement mais aussi contre l'Union européenne. Matteo Renzi a commis une incroyable erreur en commençant par mener et présenter la campagne du «oui» comme celle d'une question simplement institutionnelle, qui ne regardait que l'organisation de l'état italien et l'amélioration de gouvernance; alors que de l'autre côté, il a personnalisé ce référendum en déclarant qu'il démissionnerait en cas de victoire du «non». Il a transformé tout seul ce référendum institutionnel en un texte politique.
Or, la question du référendum était très technique et difficile à comprendre pour une partie de la population. La victoire du «non» est forcément une décision contre Matteo Renzi et, en quelque sorte, également contre les réformes du gouvernement qui étaient perçues comme la confirmation d'un certain système politique poussé par l'intégration européenne. Derrière ce référendum, il y a aussi une critique des politiques qui ont dominé ces dernières années - de l'économie aux migrants jusqu'aux questions idéologiques et de valeurs comme la famille. Toutes ces décisions et ce système idéologique auraient été confirmés si le «oui» l'avait emporté. La victoire du «non» est définitivement une victoire du front anti-Renzi.
Lorsque les populations s'expriment d'une manière contraire à ce qu'attend un certain establishment européen, il y a délégitimation de ce choix
Lire aussi
Matteo Renzi Référendum en Italie : «C’est un vote contre le gouvernement, contre l’establishment et contre l’UE»
RT France : Un chef de gouvernement contesté, une frustration des citoyens contre les politiques de Bruxelles, la situation rappelle celle du Brexit. Certains observateurs craignent d'ailleurs que ce référendum soit la première pierre vers une sortie de l'Italie de l'UE. Peut-on comparer ces deux scrutins ?
(suite en dessous:)
D. C. : D'une façon indirecte, oui, la comparaison est justifiée. Le référendum anglais était centré sur la question de la sortie de l'UE, ce n'est pas le cas de l'Italie, mais il est un signe important de la méfiance des Italiens envers ces institutions perçues comme lointaines et qui imposent des politiques qui ne répondent en aucun cas à un contrôle démocratique. C'est un vrai paradoxe que ce refus de démocratie dans toute l'Union européenne. Et lorsque les populations s'expriment d'une manière contraire à ce qu'attend un certain establishment européen, il y a délégitimation de ce choix instantanément. Le processus d'une sortie potentielle de l'Italie de l'UE serait certes très longue à mettre en place mais cette victoire du non confirme une tendance à travers toute l'Europe de méfiance envers l'UE et d'un retour du souverainisme.
RépondreSupprimerPeut-être que sur le long-terme nous sommes au début d'un changement profond, mais à court-terme je ne crois pas à une déstabilisation du système
RT France : Matteo Renzi démissionne, quelle va être désormais la suite pour le pays ? Va-t-il plonger dans le chaos institutionnel promis par le gouvernement et par les institutions européennes?
D. C. : A mes yeux, le scénario le plus probable sera un gouvernement technique de transition et une future élection pour 2018. Ce qui va être intéressant maintenant sera d'observer comment les différents champs et partis politiques, qui se sont unifiés pour faire front à Matteo Renzi, vont s'organiser et préparer ces futures élections. Je ne crois pas du tout à la théorie du chaos institutionnel. On est déjà passé par là après la démission de Silvio Berlusconi, après le gouvernement d'Enrico Letta... Cette crainte a toujours existé sans vraiment se confirmer. Après les premiers moments de doute, la stabilité institutionnelle revient toujours. Peut-être que sur le long-terme nous sommes au début d'un changement profond, mais à court-terme je ne crois pas à une déstabilisation du système. Néanmoins, maintenant que les forces anti-construction européenne se sont fait entendre, il faudra attendre de voir leur consolidation dont découlera surement le futur de l'Italie et de l'Europe dans les prochaines années.
Le M5S est né dans le contexte italien mais n'a aucune vision précise de la stratégie de politique étrangère italienne
RT France : Les mouvements politiques souverainistes et décrits comme eurosceptiques comme le M5 Etoiles de Beppe Grillo ou la Ligue du Nord de Salvini ont-ils une chance de gagner la future élection et de gouverner?
D. C. : Evidemment ces partis ont plus que jamais une chance. Il leur reste néanmoins des défis à relever. Il va leur falloir passer par une étape essentielle de construction politique et de recherche de cohérence. Par exemple, contrairement à ce qui peut être dit à l'étranger, le M5S n'est pas eurosceptique en soi. C'est un mouvement anti-corruption et populiste au sens propre du terme. C'est un mouvement qui est né dans le contexte italien mais qui n'a aucune vision précise de la stratégie de politique étrangère italienne et n'a que des idées très contradictoires sur les migrants, sur la Russie ou sur les Etats-Unis. Il lui faudra clarifier tout ça.
De son côté, la Ligue du Nord a des positions très claires, qui pourraient apparaître semblables à celles du Front national français ou au FPÖ de Norbert Höfer, mais leur problème sera de réussir à unifier la droite et ainsi se présenter comme le pôle conservateur et une alternative viable. C'est sur la réussite de leurs deux constructions en tant que mouvement politique cohérent que se jouera la future élection.
https://francais.rt.com/opinions/30189-referendum-partis-anti-establishment-m5s-ligue-nord-avenir-italie
(...) le M5S n'est pas eurosceptique en soi. C'est un mouvement anti-corruption et populiste au sens propre du terme. C'est un mouvement qui est né dans le contexte italien mais qui n'a aucune vision précise de la stratégie de politique étrangère italienne et n'a que des idées très contradictoires sur les migrants, sur la Russie ou sur les Etats-Unis. Il lui faudra clarifier tout ça. (...)
SupprimerUn parti créé par et pour l'immigration et la soumission des italiens.
Etats-Unis : des «sources gouvernementales» rappelent la nécessité d'aider les rebelles syriens
RépondreSupprimer5 déc. 2016, 23:26
La stratégie de la politique étrangère de Trump est de nouveau pointée du doigt. Selon les sources gouvernementales citées par le Washington Post, certains groupes armés syriens considèrent la possibilité de rejoindre Fatah al-Cham, «mieux armé».
Si les Etats-Unis cessaient leurs livraisons d'armes aux rebelles dits «modérés» en Syrie, des dizaines de milliers de militants de l’opposition au gouvernement de Bachar el-Assad seraient forcés de chercher des alliés «alternatifs». Voici les projections de certaines sources du gouvernement américain citées par le Washington Post.
Dans les «alternatives prononcées», ne figurent que deux options : acheter des «armes plus puissantes en provenance d'Etats sunnites du golfe Persique» ou former une alliance «plus étroite» avec le groupe djihadiste Fateh al-Cham (ex Front al–Nosra, branche d'Al-Qaïda en Syrie), «mieux armé, ainsi qu'avec d'autres groupes terroristes».
Les Etats-Unis fournissent de l’aide … mais à qui ?
Ces projections de la part de sources anonymes émanant du gouvernement américain citées par le Washington Post, sont apparues juste une quinzaine de jours après les résultats de l'enquête menée par l’organisation spécialisée dans la filature de l’armement Conflict Armament Research (CAR), basée à Londres. Le document, dont a eu connaissance la chaîne britannique BBC, explique comment l’organisation terroriste Daesh parvient à rassembler ses armes et conclut que leur arsenal leur a été vendu légalement par les gouvernements des Etats-Unis et d’Arabie saoudite.
D’après les enquêteurs, il a d'abord été expédié via la Turquie dans le nord de la Syrie, à destination de groupes rebelles qualifiés de «modérés», soutenus par les deux pays, combattant le président Bachar el-Assad… avant de finalement tomber entre les mains de Daesh.
En savoir plus : Syrie : des djihadistes acquièrent des missiles antiaériens, nouvelle «fuite» d’armes occidentales ?
Trump toujours sous feu de critiques
Le dérapage de la rhétorique amicale des Etats-Unis envers les représentants de l’opposition modérée n’est que la dernière pierre jetée dans le jardin de Donald Trump. Après sa victoire à l'élection présidentielle, les médias ne cessent de soutenir la politique étrangère de Barack Obama et fustiger le nouveau président élu.
Moscou a également notifié que le secrétaire d'Etat américain sortant John Kerry avait intensifié ses contacts avec la Russie concernant la Syrie «pour sauver les rebelles d'Alep».
Tout ça avant l'investiture de Donald Trump, qui a ouvertement critiqué la politique étrangère de Barack Obama, notamment en Syrie. «Nous soutenons les rebelles contre la Syrie et nous n’avons aucune idée de qui sont ces gens», avait lancé le président juste après son élection dans une interview pour le Wall Street Journal.
Le 14 novembre, lors de sa conversation téléphonique avec Vladimir Poutine, Donald Trump a mentionné sa volonté de coopérer avec Damas pour lutter contre le groupe terroriste Daesh, ainsi que de cesser d'aider l'opposition syrienne dite «modérée».
https://francais.rt.com/international/30213-sources-gouvernementales-recommandent-continuer-aider-rebelles
(...) BBC, explique comment l’organisation terroriste Daesh parvient à rassembler ses armes et conclut que leur arsenal leur a été vendu légalement par les gouvernements des Etats-Unis et d’Arabie saoudite.
SupprimerD’après les enquêteurs, il a d'abord été expédié via la Turquie dans le nord de la Syrie, à destination de groupes rebelles qualifiés de «modérés», soutenus par les deux pays, combattant le président Bachar el-Assad… avant de finalement tomber entre les mains de Daesh. (...)
Formés, payés, transportés et protégés, tels sont terroristes emmenés en Asie depuis l'Atlantique.
La fureur de Washington quant à la débâcle en Syrie transparait dans Le New York Times
RépondreSupprimerBill Van Auken
WSWS
jeu., 01 déc. 2016 20:40 UTCCarte
Les remarquables défaites militaires subies par les « rebelles » soutenus par les États-Unis dans la ville d'Alep depuis ce week-end ont déclenché une vague de récriminations démoralisées au sein de l'establishment politique de Washington, des appareils militaires et des renseignements, et des médias du grand patronat qui ont instigué et défendu ensemble cinq ans et demi de guerre sanglante pour obtenir un changement de régime contre le gouvernement du président Bashar al-Assad.
Les troupes syriennes, soutenues par les combattants du Hezbollah du Liban et les milices chiites d'Irak, ont réussi à envahir près de la moitié de la partie orientale d'Alep, que les « rebelles », une coalition des milices dominée par la filiale syrienne d'Al-Qaïda, le Front al-Nosra, avait tenu pendant plus de quatre ans.
La consolidation du contrôle gouvernemental sur l'ensemble d'Alep, désormais presque universellement reconnu comme inévitable, priverait ces forces soutenues par les Américaines de leur dernier bastion urbain et placerait tous les principaux centres de population de la Syrie sous le contrôle du gouvernement.
Parmi les réactions les plus amères à ce développement, il y a un article publié en première page mardi par le New York Times intitulé « Le trophée d'Assad s'il gagne : la Syrie en miettes », qui reconnaît à contrecœur que « le président Bashar al-Assad commence à paraître capable de survivre à l'insurrection, même dans l'estimation de certains de ses adversaires les plus inébranlables ».
Pour le Times, c'est vraiment un choc. Depuis que le président Barack Obama a déclaré en 2011 qu'« Assad doit partir », et que la CIA et le Pentagone, travaillant avec les dictatures monarchiques les plus réactionnaires au Moyen-Orient - Arabie saoudite, Qatar, Émirats arabes unis - afin de fournir des armes et de l'argent pour soutenir les mercenaires djihadistes, le Times, « le journal de référence » des États-Unis, a fonctionné comme le principal propagandiste pour un changement de régime en Syrie.
Ses pages éditoriales sont supervisées par James Bennet, une personne qui entretient les liens les plus étroits avec l'appareil d'État et les échelons supérieurs du Parti démocrate. (Son père est un ancien chef de l'USAID, une façade pour la CIA, et son frère est sénateur du Colorado depuis plusieurs mandats). Le Times a publié d'innombrables éditoriaux et chroniques hypocrites de la part d'écrivains comme Nicholas Kristof et Roger Cohen justifiant le bain de sang lancé par l'impérialisme américain en Syrie comme une croisade pour les « droits de l'homme » et promouvant une intervention plus agressive, y compris une confrontation avec le principal allié de la Syrie, la Russie.
(suite en dessous:)
RépondreSupprimerDerrière la colère ouverte et le ton vindicatif de la pièce de Rubin se trouve la connaissance que la campagne de propagande menée par le Timespour promouvoir l'intervention impérialiste en Syrie avec une rhétorique hypocrite sur les « droits de l'homme » et la « démocratie » s'est révélée un échec. Ce même sentiment est sans doute partagé par toute une partie de la pseudo-gauche, tendances telles que l'Organisation socialiste internationale et d'autres, dont les arguments à l'appui de la guerre pour le changement de régime étaient pratiquement indiscernables de la ligne dictée par la CIA au Comité de rédaction du Times.
La démoralisation de ces couches est aggravée par l'ascension à la présidence de Donald Trump, qui a remis en question l'armement des « rebelles » islamistes et a suggéré que son administration chercherait à coopérer plus étroitement avec la Russie pour supprimer l'État islamique et Al-Qaïda en Syrie.
Cependant, quiconque interprète les remarques de Trump comme un signe avant-coureur d'une nouvelle ère de paix au moyen-orient ou ailleurs sur la planète déchantera rapidement. La logique objective de la crise prolongée du capitalisme américain, ainsi que la politique de « l'Amérique d'abord » propre à Trump, conduit à une escalade explosive du militarisme américain.
Quels que soient les commentaires semi-cohérents du milliardaire-escroc sur la Syrie, il s'est entouré de bellicistes de droite qui sont déterminés à poursuivre la guerre dans toute la région, y compris contre l'Iran et la Russie. En outre, il a déjà établi des plans pour une expansion majeure de l'armée américaine et de la Marine ainsi que l'arsenal nucléaire de Washington.
Si le gouvernement entrant change la rhétorique justifiant une telle escalade en passant des clichés sur les « droits de l'Homme » et la « démocratie » des années Obama à la « guerre mondiale contre le terrorisme », ou simplement à la défense avouée des intérêts américains, on peut compter sur le Times pour opérer les adaptations nécessaires à sa propagande journalistique.
(Article paru d'abord en anglais le 30 novembre 2016)
https://fr.sott.net/article/29555-La-fureur-de-Washington-quant-a-la-debacle-en-Syrie-transparait-dans-Le-New-York-Times
(...) l'invasion illégale des États-Unis a conduit à la mort d'environ un million d'hommes, de femmes et d'enfants irakiens. (...)
SupprimerAjoutez y quelques zéros !
(...) Quels que soient les commentaires semi-cohérents du milliardaire-escroc sur la Syrie, il s'est entouré de bellicistes de droite qui sont déterminés à poursuivre la guerre dans toute la région, y compris contre l'Iran et la Russie. En outre, il a déjà établi des plans pour une expansion majeure de l'armée américaine et de la Marine ainsi que l'arsenal nucléaire de Washington. (...)
C'est ce qui se passe toujours après les élections entre les promesses et la réalité !
Sans vergogne la Commission de l'Union européenne veut plusieurs milliards d'euros pour l'armement
RépondreSupprimerChristoph Vandreier
Mondialisation Canada
lun., 05 déc. 2016 21:34 UTC
À la suite de l'élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis, les puissances européennes poursuivent rapidement les projets de réarmement militaire. Mercredi, la Commission de l'Union européenne (UE) a présenté des propositions visant à augmenter les dépenses militaires et à renforcer la coordination à l'échelle européenne dans la recherche et du développement des armements.
De l'argent pour l'armement il y en aura toujours et de plus en plus
Le principal changement impliquera la restructuration des mécanismes et sources de financement concernés de l'UE pour les orienter vers la production d'armes. Après l'utilisation des institutions de l'UE pour mettre en œuvre des attaques contre les droits sociaux et démocratiques au cours des dernières années, l'appareil bureaucratique va maintenant être déployé pour une politique de guerre profondément impopulaire et le renforcement de l'armée.
La Commission a proposé la création d'un fonds européen de défense. L'objectif du plan est « que les États membres achètent, développent et conservent en commun l'éventail complet des capacités terrestres, aériennes, spatiales et navales », indique un document de la Commission.
Les principaux domaines d'intervention seront l'élargissement des capacités de surveillance, le développement de drones armés, l'accès à l'espace (hors missions habitées) et la cybersécurité.
C'est précisément dans ces domaines que les puissances européennes restent fortement tributaires des États-Unis.
La Commission a reconnu que : « Dans l'ensemble, l'Europe a le deuxième plus haut niveau de dépenses militaires. Pourtant, l'Europe traîne derrière les États-Unis et souffre d'une utilisation inefficace des moyens, qui peut être liée à un chevauchement des structures, un manque d'interopérabilité et des lacunes technologiques ».
Par conséquent, des investissements importants sont nécessaires et la coopération en matière de défense doit être réalisée, selon la Commission européenne. C'est seulement de cette façon que l'expertise nécessaire peut être obtenue et ses ressources utilisées efficacement pour assurer « l'autonomie stratégique de l'UE ».
Dans la pratique, le « fonds de défense » comprendra deux parties. La première sera financée par des fonds de l'UE et soutiendra la recherche en armement. À partir de 2020, 500 millions d'euros y seront consacrés annuellement, une somme vraisemblablement trouvée grâce à des réductions dans les programmes civils de l'UE. Actuellement, tous les membres réunis de l'UE consacrent 2 milliards d'euros à la recherche sur les armes. Le fonds de l'UE représenterait donc une augmentation du financement de 25 %.
La deuxième partie beaucoup plus importante couvrirait le développement et l'achat d'équipement militaire. Les États membres coordonneront leurs achats grâce à cette fonction selon la demande. Si la France, l'Allemagne et l'Italie ont tous l'intention d'acheter des transporteurs de troupes blindés, par exemple, ils ne devraient pas les commander individuellement à l'avenir, mais coordonner les achats par le biais du fonds de défense. La Commission estime un montant brut de 5 milliards d'euros par an. Mais aucun plafond sur la taille du fonds n'a été établi.
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RépondreSupprimerUn élément central du projet est que les investissements réalisés à travers le fonds de défense ne seront pas pris en compte lorsqu'il s'agit de déterminer le déficit budgétaire de chaque État. Le document de la Commission indique que ces investissements seront « considérés comme des mesures "ponctuelles" dans l'esprit du pacte de stabilité et de croissance et ne porteront donc pas atteinte aux efforts de consolidation structurelle attendus des États membres ».
Dans la pratique, cela signifie que les États membres qui enfreignent les critères de déficit seront punis s'ils utilisent des fonds pour des emplois civils, des hôpitaux, des projets d'infrastructures ou des écoles, mais pas lorsqu'ils investissent les mêmes prêts pour des chars, des sous-marins et des avions militaires.
En Grèce, l'insistance de l'UE sur la réduction de la dette a entraîné la mort de personnes souffrant de maladies pouvant être traitées, la hausse du chômage des jeunes à près de 50 % et des baisses de salaires drastiques. En revanche, les vannes doivent être ouvertes pour les prêts destinés à l'expansion militaire.
Le renforcement militaire est entrepris en étroite collaboration avec les entreprises qui en bénéficieront. Le fonds de défense sera géré par un comité de coordination qui, avec des représentants des États membres et de l'UE, comprendra également des lobbyistes de l'industrie de l'armement.
En outre, la Commission européenne injectera de grandes quantités de ressources, actuellement destinées à des projets civils et économiques, dans l'industrie de l'armement. Par exemple, la Banque européenne d'investissement (BEI) « accordera des prêts, des garanties et son propre capital pour l'expansion des activités continues dans le domaine des biens ayant une double fonction », selon le document. De cette façon, la règle interdisant le financement des sociétés d'armement sera contournée.
D'autres sources de financement de l'UE, telles que Erasmus+ et le financement des pôles régionaux d'excellence, auxquels participent également les universités, seront de plus en plus orientées vers la recherche et la production militaires.
La Commission a noté que ses propositions ne portaient pas sur la création d'une armée européenne, mais que le matériel développé et acheté conjointement resterait en la possession de chaque État membre.
Mais les propositions correspondent au projet pour une « union de sécurité et de défense » qui sera discuté lors du sommet de l'UE le 15 et 16 décembre. Le gouvernement allemand est le principal moteur des appels à une armée européenne et à l'intégration de la politique étrangère européenne. Berlin espère ainsi dominer les structures de l'UE et accéder à la position d'une puissance mondiale.
Mardi, le ministre européen des Affaires étrangères, Michael Roth, a souligné cette position lors de la Conférence de Berlin sur la sécurité. Surtout après le vote pour le Brexit et l'élection de Trump, l'Allemagne avait selon lui besoin « d'une politique étrangère européenne responsable. Dans le domaine de la politique étrangère et de sécurité, l'UE ne peut pas se permettre de rester à l'écart et de ne prendre aucune mesure ».
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Roth a poursuivi en ces termes : « L'UE doit donc maintenant assumer réellement la responsabilité de la paix et de la sécurité dans le monde, en tant que gestionnaire de crise et négociateur et oui, si nécessaire, militairement ». Cette politique de guerres et d'interventions doit être accélérée suite à la publication du document de la Commission européenne.
RépondreSupprimer-- Commentaire : Non, ils n'ont pas honte d'être des goujats, des valets des multinationales de l'armement, des fous qui oublient que le peuple a faim, est sans travail, vit dans la précarité, a le souffle court. Ils semblent avoir tous perdu la tête. Car ils parlent de la Paix tout en savourant les fruits de la Guerre. --
Lire aussi :
Élections et référendum de ce 4 décembre en Autriche et en Italie : un autre coup porté contre la domination des élites libérales et mondialistes
https://fr.sott.net/article/29557-Sans-vergogne-la-Commission-de-l-Union-europeenne-veut-plusieurs-milliards-d-euros-pour-l-armement
Mais d'où viennent ces milliards ? D'un côté des peuples de plus en plus pauvres et privés de liberté et, de l'autre, un renforcement de l'armement 'anti-terroristes' (c'est-à-dire anti-peuple !).
SupprimerLa première défection: électeur républicain écrit dans NYT Op-Ed Pourquoi il ne sera pas voter pour Trump
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Dec 5, 2016 6:14 PM
Un membre républicain du Collège électoral, Christopher Suprun, a publié un op-ed dans le NYT expliquant lundi expliquant pourquoi il ne sera pas voter pour Donald Trump.
«L'élection du prochain président n'est pas encore terminée», écrit l'écrivain suédois Suprun dans le New York Times. «Les électeurs de conscience peuvent toujours faire la bonne chose pour le bien du pays. Les électeurs présidentiels ont le droit légal et l'obligation constitutionnelle de voter leur conscience. "
Si Suprun suit sa promesse le mois prochain, il deviendra le premier «électeur sans foi» depuis 2004.
«Trump n'a pas l'expérience de la politique étrangère et le comportement requis pour être le commandant en chef», écrit Suprun, prenant un problème particulier avec le choix du président élu du lieutenant à la retraite Mike Flynn comme conseiller en sécurité nationale. Les relations d'affaires de Trump pourraient poser des conflits d'intérêts inacceptables, ajoute Suprun - un problème qui pourrait sembler lui "impeached dans sa première année donné ses réponses dédaigneuses."
Suprun est la même personne que le NY Post a signalé il ya un mois qu'il est sur la bonne voie pour voter comme assigné pour Donald Trump le mois prochain, malgré les rapports disant qu'il envisagerait de devenir voyous et de voter pour Hillary Clinton. Auparavant, Politico avait cité Suprun en août en disant qu'il trouvait Trump si désagréable, qu'il envisageait de devenir «voyous» et de voter pour Clinton. Il a ensuite déclaré au Post qu'il «avait toujours prévu de voter pour le candidat de son parti» lorsque les électeurs du Collège électoral se réuniront dans leurs capitales respectives pour finaliser la présidence d'Trump le 19 décembre. Il semble quelque chose a changé entre-temps.
Le Collège électoral est constitutionnellement tenu de se réunir avant que les résultats de l'élection présidentielle du 8 novembre ne soient officiels. Habituellement, ces rassemblements ne sont rien de plus qu'un timbre de caoutchouc, mais cette année, les électeurs ont menacé de s'enfuir en nombre record. Vingt-six États, un groupe qui ne comprend pas le Texas, obligent leurs électeurs à choisir le vainqueur du vote populaire.
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Son texte intégral est ci-dessous:
Pourquoi je ne jetterai pas mon vote électoral pour Donald Trump
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RépondreSupprimerJe suis un électeur républicain présidentiel, l'une des 538 personnes a demandé de choisir officiellement le président des États-Unis. Depuis l'élection, les gens m'ont demandé de modifier mon vote en fonction des désaccords avec Donald J. Trump. Dans certains cas, ils citent la différence de vote populaire. Je ne pense pas que les élus présidents devraient être disqualifiés pour les désaccords politiques. Je ne pense pas qu'ils devraient être disqualifiés parce qu'ils ont gagné le Collège électoral au lieu du vote populaire. Cependant, je suis maintenant invité à voter le 19 décembre pour quelqu'un qui montre quotidiennement qu'il n'est pas qualifié pour le poste.
Il y a quinze ans, en tant que pompier, je faisais partie de la réponse aux attaques du 11 septembre contre notre nation. Cette attaque et l'élection de cette année peuvent sembler sans rapport, mais pour moi, la relation devient plus claire chaque jour.
George W. Bush est un homme imparfait, mais il nous a conduits dans les jours tragiques qui ont suivi les attaques. Son leadership a montré que l'Amérique était une grande nation. C'est aussi la dernière fois que je me souviens de la nation unie. Je regarde M. Trump échouer à unir l'Amérique et de conduire un coin entre nous.
M. Trump se débrouille pour attaquer le casting de "Saturday Night Live" pour ses préjugés. Il tweets jour et nuit, mais a attendu deux jours pour offrir de la sympathie à la communauté de l'État de l'Ohio après une attaque là-bas. Il n'encourage pas le discours civil, mais choisit de nourrir la peur et de créer l'indignation.
C'est inacceptable. Pour moi, l'Amérique est cette ville brillante sur une colline que Ronald Reagan envisageait. Il a des problèmes. Il y a des défis. Ceux-ci peuvent être satisfaits et surmontés tout comme notre nation a surmonté le 11 septembre.
Les États-Unis ont été établis en tant que république. Alexander Hamilton a fourni un plan pour les votes des États. Le fédéraliste 68 a soutenu qu'un collège électoral devrait déterminer si les candidats sont qualifiés, non engagés dans la démagogie et indépendants de l'influence étrangère. M. Trump nous montre à maintes reprises qu'il ne respecte pas ces normes. Compte tenu de ses propres déclarations publiques, il n'est pas clair comment le collège électoral peut ignorer ces questions, et il devrait donc le rejeter.
J'ai consacré des heures innombrables à servir le parti de Lincoln et à élire ses candidats. Je vais verser beaucoup plus à être plus fidèle à mon parti que certains dans son leadership. Mais je ne dois aucune dette à une fête. Je dois une dette à mes enfants pour leur laisser une nation qu'ils peuvent avoir confiance.
M. Trump n'a pas l'expérience et l'attitude en matière de politique étrangère nécessaires pour être commandant en chef. Au cours de la campagne, plus de 50 anciens fonctionnaires de la sécurité nationale et experts en politique étrangère républicains ont co-signé une lettre qui l'opposait. Selon eux, «il serait un président dangereux». Au cours de la campagne, M. Trump a même dit que la Russie devait pirater les courriels d'Hillary Clinton. Cet encouragement d'un acte illégal a troublé de nombreux membres du Congrès et me trouble.
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RépondreSupprimerHamilton nous a également rappelé qu'un président ne peut pas être un démagogue. M. Trump a exhorté la violence contre les manifestants à ses rassemblements pendant la campagne. Il parle de rétribution contre ses critiques. Il s'est entouré de conseillers tels que Stephen K. Bannon, qui prétend être léniniste et salue les méchants et leur soif de pouvoir, y compris Darth Vader. "Rogue One", le plus récent "Star Wars" acompte, arrive plus tard ce mois-ci. Je ne prends pas mes enfants pour le voir pour célébrer le mal, mais pour leur montrer que la lumière peut le surmonter.
Le général Michael T. Flynn, conseiller de M. Trump pour la sécurité nationale, a son propre passé à carreaux sur les règles. Il a installé une connexion Internet secrète dans son bureau du Pentagone malgré des règles contraires. Semble familier?
Enfin, M. Trump ne comprend pas que la Constitution interdit expressément à un président de recevoir des paiements ou des cadeaux de gouvernements étrangers. Nous avons des rapports selon lesquels l'organisation de M. Trump a des relations d'affaires en Argentine, Bahreïn, Taiwan et ailleurs. M. Trump pourrait être mis en accusation dans sa première année, compte tenu de ses réponses dédaigneuses aux conflits d'intérêts financiers. Il a joué vite et lâche avec la loi pendant des années. Il a peut-être violé l'embargo cubain, et il ya des rapports d'irrégularités impliquant sa fondation et des actions qu'il a prises contre les locataires minoritaires à New York. M. Trump semble toujours penser que le modèle de comportement peut continuer.
L'élection du prochain président n'est pas encore terminée. Les électeurs de conscience peuvent toujours faire la bonne chose pour le bien du pays. Les électeurs présidentiels ont le droit légal et le devoir constitutionnel de voter leur conscience. Je crois que les électeurs devraient s'unir derrière une alternative républicaine, un homme honorable et qualifié ou une femme comme le gouverneur John Kasich de l'Ohio. Je prie mes collègues de faire leur travail et de se joindre à moi pour découvrir qui devrait être cette personne.
Il y a quinze ans, j'ai juré de défendre mon pays et ma Constitution contre tous les ennemis, étrangers et nationaux. Le 19 décembre, je le ferai de nouveau.
http://www.zerohedge.com/news/2016-12-05/first-defection-republican-elector-writes-nyt-op-ed-why-he-wont-be-voting-trump
Vladimir Poutine signe la nouvelle doctrine russe de sécurité informatique
RépondreSupprimer6 déc. 2016, 06:49
Source: Sputnik
Le président russe a approuvé ce mardi 6 décembre la doctrine de sécurité informatique du pays, selon le site officiel du Kremlin. Le document détermine les nouvelles stratégies à adopter dans l’espace informatique pour les années à venir.
La nouvelle doctrine de la sécurité informatique est entrée en vigueur après avoir été validée par la signature du président russe le 6 décembre. D’après ce document, l’objectif majeur pour garantir la stabilité de la sécurité du pays est la prévention des conflits militaires qui pourraient se produire à cause d'actions sur la toile.
«Le but stratégique de la Russie est la création d'un système de relations sans conflit dans l’espace numérique», a fait savoir Vladimir Poutine.
Récemment, plusieurs agences gouvernementales, centres scientifiques et industries militaires russes ont été ciblés par des service de renseignements étrangers.
Le 2 décembre, le FSB a affirmé sur son site avoir déjoué un complot des services de renseignements étrangers qui planifiaient des cyberattaques contre le système financier russe. Plusieurs grandes banques et des dizaines de villes russes risquaient de se retrouver victimes de ces potentielles attaques le lundi 5 décembre.
En savoir plus : Le renseignement
https://francais.rt.com/international/30215-poutine-doctrine-securite-informatique-internet-russie
Allemagne: un réfugié afghan arrêté dans un viol, un meurtre d'une étudiante de 19 ans
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Dec 5, 2016 5:02 PM
Après plusieurs mois passés en Allemagne sans incident majeur impliquant des migrants ou des réfugiés, le débat local sur les migrants a de nouveau été relancé après que la police allemande ait arrêté un réfugié afghan âgé de 17 ans dans un cas d'agression et de meurtre Résidents de Fribourg, Allemagne en suspens depuis des mois.
Une étudiante en médecine, officiellement identifiée comme Maria L., 19 ans, a été violée et aurait été noyée dans la nuit du 16 octobre, alors qu'elle rentrait en vélo à sa résidence. Son corps a été retrouvé le lendemain matin par les habitants de la rive de la rivière Dreisam à Fribourg, la maison d'une des universités élites de l'Allemagne RT rapports.
L'affaire a suscité un tollé public massif, incitant la police à former un groupe spécial composé d'environ 40 agents d'enquête et spécialistes en médecine légale. Après une enquête qui a duré plus d'un mois, la police a finalement arrêté le meurtrier présumé et violeur le vendredi. "Le suspect est un mineur de 17 ans venant d'Afghanistan qui est venu en Allemagne en 2015", a déclaré Dieter Inhofer, le procureur général de la région, lors d'une conférence de presse à la suite de l'arrestation.
Un seul brin de cheveux noirs blanchis partiellement, une écharpe trouvée sur le lit de la rivière et plusieurs échantillons d'ADN trouvés sur le corps de la victime et sur la scène du crime ont conduit les enquêteurs au suspect, a révélé la police lors de la conférence de presse. «Nous avons pu parler à la famille d'accueil», a déclaré David Mueller, chef du groupe spécial d'enquête, aux journalistes, mais a refusé de révéler la nature de la conversation. "Le suspect refuse toujours de témoigner", at-il ajouté.
Le suspect a été accusé d'agression sexuelle et de meurtre, a déclaré la police lors de la conférence de presse, ajoutant qu'il est encore inconnu s'il a délibérément noyé la victime ou jeté la femme dans l'eau pendant qu'elle était inconsciente. "Le décès est dû à la noyade", a déclaré Mueller, soulignant que c'est le seul fait confirmé jusqu'à présent concernant la mort de la victime.
Dans le cadre de leurs constatations, qui ont provoqué une autre vague de répugnance à l'égard des politiques de "porte ouverte" de Merkel, les responsables ont confirmé que le suspect était entré illégalement en Allemagne et a ensuite déposé une demande d'asile en tant que mineur non accompagné. Il a ensuite vécu avec une famille d'accueil à Fribourg. Il avait été inculpé une fois auparavant d'infliger des lésions corporelles, mais l'affaire a été abandonnée plus tard, a déclaré la police aux journalistes lors de la conférence de presse sans donner plus de détails. Il n'était pas clair si le suspect et la victime s'étaient connus avant l'incident, ou si l'attaque était planifiée à l'avance.
La police a également mentionné un incident similaire dans la ville voisine d'Endigen, à seulement 30 kilomètres de Fribourg, où une femme de 27 ans a également été violée et assassinée des semaines après la mort de Maria L. Aucun lien entre les deux cas n'a été trouvé, même si une connexion pourrait encore être étudiée, Inhofer dit.
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«Nous n'aurons pas de repos. Nous examinerons minutieusement chaque plomb et regarderons sous chaque rocher - plusieurs fois, au besoin ", a déclaré vendredi Bernhard Rotzinger, responsable du département de police de Fribourg.
RépondreSupprimerPendant ce temps, comme prévu, les nouvelles ont provoqué l'indignation sur les médias sociaux, où les gens encore blâmer la politique d'Angela Merkel porte ouverte pour ce qui s'est passé à Fribourg.
Angela Merkel, regardez ! Sang de cette personne est sur vos mains ! "Un utilisateur de Twitter a écrit dans un post avec une photo de la victime.
Comme RT rapports, certains utilisateurs de Twitter a exprimé indignation sur la situation et se moquait des slogans utilisés par les défenseurs de la politique de porte ouverte.
"Ce n'est qu'un non-sens: [nous] fournissons pour les meurtriers de nos filles. C'est apparemment un syndrome de Stockholm ", a écrit un autre utilisateur de Twitter.
Il semble que l'Allemagne ait aussi un problème quand il s'agit d'une couverture médiatique objective, et beaucoup ont critiqué les médias allemands pour leur réticence à couvrir l'histoire, le rejetant comme «un incident d'importance régionale».
Après l'indignation, le maire de Freiburg, Dieter Salomon, a appelé à la discrétion et a exhorté les Allemands à «ne pas tirer des conclusions généralisées de l'origine du suspect et considérer l'incident comme un isolé», a déclaré Die Welt.
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En invoquant l'indignation, le parti AFD anti-migrant de l'Allemagne a accusé l'afflux «incontrôlé» de migrants sans papiers étrangers, avec l'union de la police locale rappelant les «dangers qui accompagnent l'immigration massive», selon l'AFP. Mais certains politiciens ont voulu «dissiper l'atmosphère de peur». Le vice-chancelier Sigmar Gabriel a déclaré à Bild que le meurtre ne devait pas servir de base à la haine contre les réfugiés, surtout que «de tels meurtres horribles se sont déjà produits avant que le premier réfugié afghan ou syrien n'arrive ici».
"Nous ne permettrons pas l'incitation après de tels crimes violents, peu importe qui les commet."
Un total de 21 000 demandeurs d'asile déboutés ont été rapatriés en 2015 et 35 000 supplémentaires au cours des sept premiers mois de 2016, a déclaré le ministre de l'Intérieur allemand, Thomas de Maizière, lors d'une réunion du cabinet en août. À la fin de novembre, Mme Merkel a annoncé qu'un maximum de 100 000 demandeurs d'asile déboutés seraient renvoyés de l'Allemagne vers leur pays d'ici la fin de l'année.
http://www.zerohedge.com/news/2016-12-05/germany-outraged-after-afghan-refugee-arrested-rape-murder-19-year-old-female-studen
Dès lors que la religion leur enseigne de tuer et de rabaisser les femmes au rang de chiennes et, que cette religion est acceptée en Allemagne...
SupprimerUne république banane en préparation - "La colle de la raison en Inde est écaillée"
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
5 déc 2016 21h25
Présenté par Jayant Bhandari via Acting-Man.com,
Une brève récapitulation
Le Premier ministre indien a annoncé le 8 novembre 2016 que les billets de 500 et 1000 roupies ne seraient plus légal. Les parties liées sont la partie I, la partie II, la partie III et la partie IV, qui fournissent des mises à jour sur l'état policier qui empiète rapidement
Attendez-vous à la poursuite des nouvelles notifications d'ingénierie sociale, chacune sabotant la création de richesse, confisquant la richesse des gens et tyrannisant ceux qui refusent de faire partie du troupeau, détruisant ainsi l'épine dorsale de l'économie et de la civilisation.
Il y a des signes clairs que, d'une manière très alambiquée, la possession d'or à des fins d'investissement sera illégale. Attendez-vous à des contrôles de capital à suivre. Chaos de l'incapacité des gens à accéder à l'argent dans leurs comptes bancaires est maintenant répandre aux personnes qui n'ont pas été affectés jusqu'ici: la classe moyenne.
C'est une catastrophe naturelle totalement inutile, avec le seul but de glorifier Narendra Modi.
Institutions de fracturation
Plusieurs pétitions dans différentes juridictions de l'Inde ont été immédiatement déposées contre la banque centrale, la Reserve Bank of India (RBI), pour avoir repoussé l'obligation d'IOU que représentent les factures de change, après l'annonce de Modi le 8 novembre.
Plusieurs reports plus tard, la première audition à la Cour suprême aura probablement lieu le 5 décembre 2016, près d'un mois après l'annonce de l'interdiction. Cela ne veut pas dire que le tribunal n'a pas délibéré sur des «questions plus importantes» touchant ce misérable pays pauvre.
Il a notamment entendu une pétition et a rendu un jugement qui rend l'hymne national obligatoire dans les salles de cinéma avant le début de chaque film, pour promouvoir le nationalisme. Il a également décrété que les gens doivent se lever pendant que l'hymne est joué. Désormais, on peut être accusé de sédition pour ne pas montrer activement le respect du drapeau et de l'hymne.
Seul quelqu'un très engourdi peut éviter d'être horrifié par cela.
Par la loi, l'hymne national doit désormais être joué dans les cinémas indiens avant le début d'un film (en passant, l'hymne semble intéressant d'un point de vue musical). Par ordonnance du tribunal, tout le monde présent doit se lever pendant qu'il joue, afin de montrer le respect approprié. Un échec à se lever peut conduire à un acte d'accusation pour la sédition, et parfois il conduit à des délinquants être réprimandés et se faire battre sur place par nationalistes furieux. Heureusement, il n'est pas encore obligatoire de crier "Sieg Heil". [PT]
Les Indiens de classe moyenne salariés - dépourvus d'instincts moraux et incapables d'imaginer le concept de liberté individuelle dans cette société extrêmement irrationnelle - sont satisfaits de la décision de la cour. Insecurés dans leur propre peau, ils préfèrent le confort du collectif. Ils sont la véritable source de ce poison collectiviste.
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Les tribunaux indiens sont souvent appelés «tribunal d'honneur» et ils prennent très activement des mesures contre quiconque manifeste le moindre manque de respect ou conteste leurs jugements. Ainsi, toute contestation directe de leur «autorité» serait imprudente.
RépondreSupprimerLes institutions indiennes ont continué à se détériorer et à muter depuis que les Britanniques sont partis de l'Inde. Ils ne sont plus que des structures évidées, dépourvues de tout sens ou essence. Nous sommes dans la phase finale où ces institutions s'effondrent, mais en attendant la pompe et le spectacle sont amputés pour tromper les crédules.
La culture indienne dans son immense irrationalité ne fournit pas la colle même de maintenir ces institutions, et encore moins de les améliorer. Cette colle ne pouvait venir que de la raison et des instincts moraux.
N'importe qui avec un sens de l'histoire se rend compte également que l'Inde a produit ses meilleurs dirigeants alors qu'il était encore sous le contrôle des Britanniques. C'est pendant la domination britannique qu'une renaissance culturelle se produisit en Inde, qui se termina par l'émergence du soi-disant mouvement d'indépendance politisé.
La Grande-Bretagne avait mis en place des institutions qui permettaient aux plus habiles et aux meilleurs de s'élever. Non seulement cela ne se produit-il plus, mais les institutions indiennes d'aujourd'hui suppriment activement les plus habiles et les meilleurs, comme en témoigne le récent jugement de la Cour suprême sur l'hymne. Cela se produit parce que la plupart des Indiens soutiennent euphoriquement la suppression de l'individu à la fois en théorie et en pratique.
Les institutions de la liberté se sont transformées en institutions d'esclavage. C'est cette inversion qui accélère la décadence rapide de la société indienne. L'Inde doit finalement se retrouver avec des institutions qui reflètent sa culture sous-jacente: une tribal énormement fracturé, et très probablement une Inde désintégrée.
Les oubliés
Les politiques de Modi sur la démonetisation changent quotidiennement, parfois plus d'une fois par jour. Cela a dû se produire, car une fois que vous prenez un projet d'ingénierie sociale stupide de cette énormité - tuant 88% de la valeur monétaire en circulation pendant la nuit dans un pays où la plupart des gens dépendent de la trésorerie - des travaux de patch-up massive doivent être entrepris pour le prévisible Avenir, aidant l'Inde à dégrader et sprint vers devenir un état policier.
Hélas, il n'y a tout simplement pas assez de patchs disponibles. L'économie et la société indiennes seront confrontées à des problèmes considérables. Jusqu'à présent, ce sont les citoyens les plus pauvres qui ont le plus souffert.
Les luttes horribles de plus de 50% de la population, dont la situation est pire que celle de l'Africain moyen sur presque toutes les métriques - qui n'ont ni toilettes, ni électricité, ni approvisionnement en eau, ni accès aux soins de santé primaires ou à l'éducation de base - Ne sera pas enregistrée.
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Les plus pauvres de l'Inde sont considérés comme des nobodies. Les organisations internationales ne s'intéressent à elles qu'en termes globaux: le coefficient de Gini, le niveau de pauvreté, la croissance démographique, etc. La classe moyenne de l'Inde, alors qu'elle pourrait prétendre être contre le système des castes, ne voit pas vraiment ces personnes ni ne comptabilise Comme ils sont largement perçus comme de simples serviteurs.
RépondreSupprimerLes médias occidentaux, le FMI et de nombreux économistes internationaux - s'ils prêtaient attention à la démonetisation actuelle du tout - sont en faveur du gouvernement indien. C'est comme si les forces en faveur d'un gouvernement mondial et leur envie de contrôler la trésorerie et la vie privée des gens sont devenus leur seul but dans la vie.
Obsédés par l'économie keynésienne, ils pensent que tout ce que l'on a à faire pour augmenter la richesse est d'ajuster finement la machine d'impression de devises. La plupart de ces personnes n'ont jamais étudié la philosophie, observé ou compris la psychologie humaine, étudié la société dans sa complexité en dehors de l'économétrie et des statistiques, ou participé à diriger une entreprise.
À leurs yeux, l'Inde est sur la voie du progrès et de la réforme institutionnelle. De leur point de vue - coloré par un endoctrinement socialiste assez simpliste - ils ne parviennent pas complètement à voir la situation dans son ensemble, en particulier les souffrances massives que l'interdiction de la monnaie a infligées à la société et les inévitables risques systémiques qu'elle a imposés à l'avenir de l'Inde.
Les résidents de Sanjay Colony, un quartier résidentiel, se rassemblent autour d'un camion-citerne fourni par le conseil d'État de Delhi Jal pour remplir leurs conteneurs à New Delhi le 30 juin 2009. La ministre en chef de Delhi Sheila Dikshit a donné des directives pour s'attaquer à la flambée Eau causée par la répartition inégale de l'eau dans la ville selon les médias locaux. Le conseil est responsable de l'approvisionnement en eau de la capitale
Une banane républicaine en devenir
Notre intérêt ici est d'explorer les sous-courants plus profonds et ce qu'ils signifient pour l'avenir de l'Inde. Tout indique que l'Inde est sur un chemin inévitable pour devenir un état policier à grande échelle. Mais l'État policier indien ne sera pas un système nazi.
Étant intrinsèquement désorganisé, indiscipliné et dépourvu de la capacité de planifier et d'avoir aucun engagement à valeurs, l'Inde ira le chemin des autocraties en Afrique, au Moyen-Orient, au Pakistan et au Bangladesh. Avec un PIB par habitant de 1 604 USD, l'Inde est déjà plongée dans la pauvreté et se vautrée dans la souffrance et la maladie.
En Inde, la souffrance et la violence - pas la raison ou les instincts moraux - apportent la stabilité. Le concept de raison est remarquable par son absence dans la société indienne. De telles sociétés - comme au Moyen-Orient, en Afrique et ailleurs dans le monde en arrière - ont tendance à passer par une phase de violence avant que la stabilité ne se produise. S'ils pouvaient raisonner, ils seraient en mesure de contourner la phase de violence.
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La dernière chose que quelqu'un devrait faire est de transplanter ces personnes dans un contexte différent ou de changer la structure de leurs sociétés, comme Modi a essayé avec l'édit de démonétisation. Les personnes ayant des mentalités tribales ne s'épanouissent pas, ne s'assimilent pas ou évoluent lorsqu'elles sont transplantées ou déstabilisées.
RépondreSupprimerCette expérience a consisté à essayer d'imposer des changements institutionnels dans ces pays par des mécanismes descendants. En quoi l'Irak ou la Libye sont-ils devenus mieux après l'enlèvement forcé de leurs dirigeants impitoyables?
Les sociétés qui manquent de raison manquent aussi d'instincts moraux. Ils sont surtout inconscients de la douleur d'autres personnes. En Inde, ceux des castes inférieures - même si le système formel de castes s'effrite - ne s'inscrivent pas comme des êtres humains dans l'esprit des membres des classes les plus riches.
Des dizaines de personnes sont mortes à cause du manque de traitement, de la queue trop longtemps dans leur vieillesse, etc., mais dans l'imagination de la bourgeoisie salariée, ce sont de simples nombres qui contribuent tous au plus grand bien.
Une foule de gens désespérés font irruption dans une banque. Comment de telles scènes peuvent-elles frapper quelqu'un comme symptôme d'une «bonne politique économique»? [PT]
Mais maintenant, avec le mois de Novembre terminé, les gens salariés commencent à être touchés ainsi. L'argent qu'ils pensaient était sûr dans les banques n'est plus disponible. C'est maintenant leur tour de rejoindre les files d'attente et de rentrer à la maison les mains vides, comme les banques ont surtout manqué d'argent.
Les pensionnés et les salariés changeront probablement leur point de vue sur la politique de démonetisation, car ils réalisent de plus en plus que leurs pensions et leurs salaires sont maintenant bloqués dans les banques
Le lingot d'or est maintenant effectivement illégal
Les agressions contre la propriété privée des personnes et l'intégrité de leurs foyers par les incursions fiscales se poursuivent. Dans une notification récente, le gouvernement a précisé que toute propriété de bijoux au-dessus de 500 grammes d'or par femme mariée sera soumise au contrôle minutieux des autorités fiscales.
Des taxes et pénalités sévères seront imposées à ceux qui ne peuvent prouver la source de leur or. En Nouvelle-Orwellian parler de l'Inde, cela signifie que parce bullion n'a pas été explicitement mentionné, sa propriété sera considérée comme illégale. Les tribunaux feront ce que veut Modi. Les pots-de-vin énormes devront être payés.
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Les gens sains sont bien sûr nettoyer leurs casiers bancaires. La conséquence secondaire de cela sera une forte augmentation des crimes non signalés, car les gens auront peur d'aller à la police après un vol, craignant que les autorités fiscales vont alors poser des questions. Dans le même temps, le marché de l'or est surtout passé sous terre, et apparemment le volume d'achat d'or a augmenté
RépondreSupprimerLa classe moyenne salariée est la classe de consommation, souvent lourdement endettée. Les pauvres ont des quantités limitées d'or. Le gouvernement fait simplement ce qui plaît à la majorité et à son sentiment d'envie, au détriment des petites entreprises et des épargnants. Maintenant, la classe moyenne commence à faire face à des problèmes aussi. Cela va s'aggraver une fois que l'impact de la destruction des petites entreprises devient évident.
L'Inde a toujours eu une économie à rendement négatif. Elle est soudainement devenue encore plus négative. Le risque d'entreprise est passé par le toit. Les épargnants seront victimes. C'est en raison des rendements négatifs que les épargnants indiens achètent de l'or. Ils achèteront plus en avant.
Les Indiens saints devraient rester un pas en avant de leur gouvernement rapace et de la société totalitaire en évolution, de moins en moins inhibée par des institutions ou des valeurs en faveur de la liberté.
Conclusion
L'Inde deviendra un État policier, probablement avec le plein appui de la plupart des Indiens. Le nationalisme sera le fil qui les unit. Mais c'est un faux fil, dépourvu de toute valeur. Finalement, il y aura beaucoup trop de tensions dans le système, dont les institutions sont déjà dans un stade avancé de la pourriture.
L'Inde telle qu'elle existe aujourd'hui est une création britannique. Avec les Britanniques disparus depuis 69 ans, c'est une entité a de moins en moins de raisons d'exister dans sa forme actuelle. La colle de la raison que les Britanniques ont appliquée est écaillement, et il le fait rapidement sous le catalyseur par le nom de Narendra Modi.
http://www.zerohedge.com/news/2016-12-05/banana-republic-making-glue-reason-india-flaking
Ce qui se passe en Inde pourrait laisser à penser que l'Europe va connaître de nouvelles vagues de réfugiés. Or, si l'on observe l'attitude politique qui est un galop d'essai, ceci n'est pas un exercice ! et, ce qui se passe 'là-bas' va se passer... ici !
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