Nous l'avons tous vu avec les savantes escroqueries des 'énergies renouvelables' où ils ont lancé des fabrications d'éoliennes géantes sans avoir seulement fait un essai préalable avec une !
Pales géantes qui nécessitent une armature solide et pesante. Lourdeur qui l'empêche de tourner ! Hahaha ! Pire encore, le principe était d'attraper le vent fort qui souffle en altitude. D'où des éoliennes de 200 mètres de haut ! où les pales se courbent, se plient en arrière, puis descendent où la faiblesse du vent les fait se redresser, puis remontent et se tordent, puis redescendent et, etc, etc se cassent ! Hahahaha !
14000 éoliennes abandonnées aux Etats-Unis !
Posté par Tory Aardvark
Lundi 7 octobre 2013
http://lebulldozerdanslatete.over-blog.com/article-14000-eoliennes-abandonnees-aux-etats-unis-120464979.html
http://toryaardvark.com/2011/11/17/14000-abandoned-wind-turbines-in-the-usa/
Rigolez pas c'est le contribuable qui paye !
Notez la différence entre les moulins à vent ou les éoliennes du far-west hautes de 10 m qui servaient à pomper l'eau avec leurs 18 pales. Lames qui remplissaient totalement le disque afin que l'air qui passe ne puisse s'échapper au contraire des éoliennes géantes avec 3 pales et le vent qui passe entre ! Hahaha !
http://huemaurice5.blogspot.fr/2013/01/leolien-coute-cher-et-nest-pas-efficace.html
Mais, la question la plus importante est: "Existe t-il une énergie GRATUITE, EFFICACE et CONTINUELLE, qui fonctionne 7/7 jours et 24/24 heures et qui NE POLLUE PAS et où l'on peut habiter à côté SANS DANGER ?
OUI !
Oui et elle existe depuis des millions d'années presque partout sur Terre ! Mais pourquoi la découvririez vous que maintenant si elle est si sûre, si abondante, sans arrêt et surtout gratuite ? Parce que les autorités n'ont jamais voulu stopper la pollution ni les dépenses parfois abyssales et préférer importer de l'énergie afin de perpétuer l'appauvrissement des consommateurs. Cette énergie gratuite s'appelle l'énergie fluviale. Des roues à aubes (larges 'cylindres') occupent le fleuve d'un côté à l'autre avec seulement au milieu un passage aménagé pour laisser circuler librement les péniches. C'est cette force de tournoiement qui génère de l'électricité gratuite et perpétuelle. Ces roues à aubes peuvent être implantées tous les 300 ou 500 mètres et être aussi construite sous les ponts existant ou même servir de ponts elles-mêmes. Il n'est fait aucune consommation d'eau et produisent tout en silence ce que chaque citoyen attend du progrès intelligent.
Par ailleurs, je me suis intéressé aux voitures électrique et ai proposé des voitures électrique ... sans batteries !
Sans batteries ??! Est-ce possible ?
Oui et... vous en avez déjà conduit ! (on parie ?). Ces voitures électrique ne demandent qu'à circuler librement en ville. Vous vous demandez comme est-ce possible ? Vous rappelez vous des tramways avec leur pantographe et caténaire semblables aux trains électrique d'aujourd'hui pareillement que ces auto-tamponneuses ou 'auto-scooters' que vous avez conduit à la fête foraine ?! Et bien, cette fonction est tout-à-fait possible ! 'Suffit' de mettre un grillage électrifié à 3 m du sol et, tous les véhicules munis de 'canne' verticale pourront même recharger leur 'mini'-batterie pour aller dans des impasses ou autres lieux non électrifiés et, servir aussi de supplément au moteur à essence que vous pouvez utiliser pour circuler sur autoroutes ou à la campagne !
Comme quoi la conduite en ville en silence (voiture légère !) et sans pollution est tout-à-fait possible !
L'éthanol de maïs Déception: Comment les politiciens et l'agroalimentaire ont tenté de faire taire les critiques et promouvoir une mauvaise idée
http://www.theautochannel.com/news/2008/05/22/087791.html
AAA dit l'éthanol-carburant peut endommager certaines voitures, l'EPA demande de le retirer des pompes
http://huemaurice5.blogspot.fr/2012/12/aaa-dit-lethanol-carburant-peut.html
Vous avez dit 'voitures électriques' ?
http://huemaurice5.blogspot.fr/2012/08/vous-avez-dit-voitures-electriques.html
Où les voitures invendues du monde vont mourir
.
Soumis par Tyler Durden sur 16/05/2014 20:02 -0400
http://lebulldozerdanslatete.over-blog.com/article-ou-les-voitures-nvendues-du-monde-vont-mourir-123652082.html
Six personnes tuées par une frappe aérienne près d’Alep où des jets belges F-16 opéraient
RépondreSupprimer19 oct. 2016, 09:43
Alors que Damas et Moscou ont arrêté leurs raids aériens en préparation de la pause humanitaire, six personnes ont été tuées, quatre blessées par des bombardements à Hassadjek, où des avions belges ont été détectés, d'après la Défense russe.
Le Centre russe pour la réconciliation des parties en conflit en Syrie a annoncé avoir détecté deux appareils belges de type F-16 au-dessus de Hassadjek, où six personnes ont été tuées et quatre autres blessées dans d’une frappe aérienne.
«Dans le bombardement, deux bâtiments résidentiels ont été détruits, six personnes ont péri et quatre autres ont été plus ou moins grièvement blessés. Les aviations russe et syrienne n'opéraient pas dans la zone. Dans la nuit du 18 octobre, dans la région de Hassadjek opéraient des avions de la coalition internationale. Les dispositifs de contrôle ont détecté la présence dans la zone donnée de deux F-16 appartenant au Royaume de Belgique», lit-on le communiqué russe.
Cette frappe a été condamnée par la Russie qui espère, d’après la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova, que le département d’Etat américain influencera les membres de la coalition occidentale pour qu’ils mettent fin à ces frappes contre des civils.
«Nous attendons des déclarations du département d’Etat où il condamnera formellement ces attaques contre des infrastructures civiles et la mort des civils. Je pense que la recherche de photographies des victimes et le lancement d'une campagne appropriée sur CNN ne leur poseront pas de problèmes», a-t-elle précisé sur sa page de Facebook.
Le ministère belge de la Défense a démenti les accusations russes.
«Nous n'avons pas été dans la région. Nous n'avons pas été impliqués dans l'attaque qui a été mentionnée», a indiqué à l'AFP la porte-parole du ministère belge, Laurence Mortier.
Le 18 octobre à 7h, la Russie et la Syrie ont arrêté leurs frappes aériennes à Alep afin de préparer une pause humanitaire prévue pour le 20 octobre. Cette décision a été prise pour permettre aux civils de quitter la ville, évacuer les malades et les blessés et assurer le retrait des rebelles armés.
Lors d’une réunion à huis clos du Conseil de sécurité sur la Syrie, l’ambassadeur russe auprès de l’ONU, Vitali Tchourkine, a déclaré que la Russie était prête à offrir aux militants du Front Fatah Al-Sham (ex-Front Al-Norsa) de quitter Alep si les rebelles modérés se dissociaient d’eux. Mais qu'en cas de refus de céder leurs positions à Alep, ils seraient anéantis.
Lire aussi : Ambassadeur russe à l’ONU : le Front Al-Nosra doit quitter Alep ou être annihilé
https://francais.rt.com/international/27779-six-personnes-tuees-par-frappe-aerienne-alep-jets-belges-operaient
Six personnes tuées par une frappe aérienne près d’Alep où des jets (ETATSUNIENS !) 'achetés' par des belges F-16 opéraient !
SupprimerL’Equateur admet que la coupure de l’accès à internet à Assange est liée aux révélations sur Clinton
RépondreSupprimer19 oct. 2016, 07:55
L'Equateur a admis avoir restreint l'usage d'internet dans son ambassade de Londres, où depuis 2012, se trouve Julian Assange, après la publication par WikiLeaks de documents qui auraient eu un «impact sur la campagne électorale américaine».
«Le gouvernement équatorien respecte le principe de non intervention dans les affaires d'autres pays, ne s'immisce pas dans les processus électoraux en cours, ni ne soutient un candidat en particulier. En ce sens, l'Equateur, dans l'exercice de sa souveraineté, a restreint temporairement l'accès à une partie de son système de communications dans son ambassade au Royaume-Uni», a indiqué le ministère des Affaires étrangères équatorien dans un communiqué.
«Cette restriction temporaire n'empêche pas que l'organisation WikiLeaks mène à bien ses activités journalistiques», a-t-il poursuivi, faisant allusion à la publication des emails piratés de l’ancien conseiller de Barack Obama et actuel chef de campagne présidentielle d'Hillary Clinton, John Podesta.
«La décision de publier ce type d'information est de la responsabilité exclusive de l'organisation WikiLeaks», a-t-il conclu.
La coupure de l'accès à internet de Julian Assage a eu lieu dans la soirée du 16 octobre. WikiLeaks venait de publier trois tweets avec des liens inutilisables et incompréhensibles, mais qui mentionnaient John Kerry, l’Equateur et le ministère britannique des Affaires étrangères du Commonwealth.
Dans la matinée du 17 octobre, WikiLeaks a informé que l’accès à internet de son co-fondateur avait été bloqué «par des organes gouvernementaux» sans préciser de quel pays. Le site avait ensuite accusé le département d'Etat américain d'être mêlé à cet incident, ce que l’Equateur a démenti.
«La politique extérieure de l'Equateur obéit exclusivement à des décisions souveraines et ne cède pas aux pressions d'autres pays», lit-on dans le communiqué. En outre, le ministère a confirmé une nouvelle fois le droit d'asile accordé à Julian Assange, réitérant son «intention de protéger sa vie et son intégrité physique jusqu'à ce qu'il puisse rejoindre un lieu sûr».
Depuis début octobre, WikiLeaks est à l'origine de onze publications des emails de John Podesta. Dans l’un de ces messages, il était mis en évidence que Hillary Clinton était «détachée de la lutte de la classe moyenne du fait de sa fortune», et que, lorsqu’elle occupait le poste de secrétaire d’Etat, elle avait offert 20% de l’uranium américain à la compagnie Uranium One, dirigée par Tony Podesta, le frère de John.
Lire aussi : Emails Hillary Clinton-John Podesta : onzième publication de Wikileaks
https://francais.rt.com/international/27776-equateur-admet-que-coupure-acces-internet
Ce qu'il faut savoir est que TOUS équatoriens ont le droit et le devoir de s'exprimer librement depuis leur propre-pays comme depuis leur Ambassade à l'étranger. Et donc que la partie saisie à cette interdiction vient seulement du fait que l'australien Julian Assange n'est pas né en Équateur ni n'a fait de demande pour en modifier sa nationalité.
SupprimerL'Equateur admet Censoring Assange Over "Election États-Unis"; Refuse "Cédant à la pression des autres États"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
18 octobre 2016 19h50
il y a quelques instants, le gouvernement équatorien a confirmé que intentionnellement coupé l'accès à Internet de Julian Assange en raison de sa publication d'une «richesse des documents ayant une incidence de l'élection américaine." Malgré ce qui semble être le gouvernement équatorien spéléo à la pression politique de l'administration Obama, la déclaration prend des précautions particulières pour rassurer tout le monde que la décision était en réponse à "décisions souveraines seuls» et que l'Equateur "ne donne pas à la pression des autres Etats" .... que, bien que nous demandons combien les projets membres du personnel de John Kerry sont passés par le Département d'Etat avant de finalement approuver ces commentaires pour la diffusion.
Voici quelques extraits clés de la déclaration équatorienne:
"Au cours des dernières semaines, Wikileaks a publié une multitude de documents, un impact sur la campagne électorale américaine. Cette décision a été prise exclusivement par cette organisation."
«Le gouvernement de l'Équateur respecte le principe de non-intervention dans les affaires intérieures des autres États. Il ne gêne pas dans les processus électoraux externes, ni ne favorise aucun candidat en particulier. "
"En conséquence, l'Équateur a exercé son droit souverain de restreindre temporairement l'accès à une partie de son réseau de communication privé au sein de son ambassade au Royaume-Uni. Cette restriction temporaire ne fait pas obstacle à l'organisation WikiLeaks de mener à elle les activités journalistiques. "
"Equateur, conformément à sa tradition de défense des droits de l'homme et la protection des victimes de la persécution politique, réaffirme l'asile accordé à Julian Assange et réitère son intention de préserver sa vie et l'intégrité physique jusqu'à ce qu'il atteigne un endroit sûr."
"La politique étrangère de l'Equateur répond aux souverains décisions seul et ne cède pas à la pression des autres Etats."
Pour rappel, ces mises à jour viennent après WikiLeaks a suggéré plus tôt aujourd'hui que la secrétaire d'Etat John Kerry avait appliqué une pression politique sur l'Equateur pour couper Assange de publier les e-mails de Clinton.
Bien sûr, plusieurs fois comme nous l'avons noté, la fermeture de l'accès wifi Assange est simplement un acte superficiel comme il l'a clairement fait très peu pour arrêter le flux des e-mails de Clinton. En fait, depuis son accès à Internet a été fermé le samedi après-midi, trois nouveaux lots de courriels Clinton ont déjà été libérés à des intervalles qui sont semblables à ceux rencontrés avant son Internet a été restreint.
Comme nous l'avons dit ce matin, comme nous approchons au 8 Novembre, nous soupçonnons que le "levier politique" appliqué par l'administration Obama contre le gouvernement équatorien va devenir de plus en plus intense. Étant donné que le niveau de pression politique que les responsables gouvernementaux à Quito vont certainement faire face dans les prochaines semaines de plus en plus, il sera intéressant de voir à quel point le président Correa se tient vraiment derrière son «intention de sauvegarder la vie [Assange] et l'intégrité physique jusqu'à ce qu'il atteigne un Endroit sûr."
http://www.zerohedge.com/news/2016-10-18/ecuador-admits-censoring-assange-over-us-election-denies-yielding-pressure-other-sta
Notons qu'il ne peut en être de même pour Edward Snowden qui (en Russie) n'est pas à l'Ambassade des États-Unis (OUF !) mais en pays libre d'où il peut s'exprimer librement et personnellement.
SupprimerUne Clinton demi-nue sème la pagaille à New York
RépondreSupprimer09:32 19.10.2016
Une statue d’Hillary Clinton aux proportions grotesques, cheveux en bataille et chemise déboutonnée, a déclenché un sacré tollé parmi les New-Yorkais. Une statue d'Hillary Clinton érigée mardi matin près de la station de métro Bowling Green par le jeune sculpteur Anthony Scioli a choqué les gardiens de la morale qui, outrés, l'ont jetée à terre trois heures après son installation.
Et après tout, on peut comprendre leur indignation… La statue représentait Mme Clinton en tenue pour le moins extravagante, sans parler des sabots de boucs couronnant l'ensemble, écrit le journal New York Daily News. Cette sculpture aux proportions démesurées n'était toutefois pas dépourvue d'une touche d'ironie : derrière Mme Clinton demi-nue se cachait un petit bonhomme glabre, telle une référence sournoise aux banquiers de Wall Street.
Un tel monument n'aurait pas pu passer inaperçu. D'après le journal, c'est une employée du musée local qui a jeté la première pierre. Visiblement outrée, elle s'est mise à lancer des petits objets qu'elle avait sous la main dans la figure de la statue et a même essayé de la jeter par terre et de s'asseoir dessus.
L'incident n'a pas tardé à se dégénérer en bagarre entre cette personne et l'auteur de la sculpture qui cherchait désespérément à remettre la statue sur pieds. Arrivée sur les lieux, la police a rapidement maîtrisé les fauteurs de trouble et a demandé à M. Scioli de démonter la statue, l'artiste n'ayant pas de permission appropriée. Selon les forces de l'ordre, personne n'a été interpellé.
https://fr.sputniknews.com/insolite/201610191028260934-statue-clinton-demi-nue-new-york-bagarre/
Chicago dossiers sur le plus grand tir de masse depuis 2014 des pics de criminalité, de violence à nouveau
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
18 octobre 2016 19h00
Violence à Chicago pointes sur le week-end, selon le Chicago Tribune, la ville a enregistré sa plus grande prise de masse depuis 2014. Au total, 8 personnes ont été assassinées en fin de semaine dernière et 40 ont été blessés. Au total, 605 personnes ont été assassinées à Chicago jusqu'à présent en 2016, une augmentation vertigineuse de 45% par rapport à l'année dernière, tandis que 3.475 personnes ont été tuées, contre seulement 2441 il y a un an.
Une seule attaque vendredi soir à East Garfield Park a tué un homme et laissé six autres blessés, selon la police. Les gens étaient debout ensemble dans le bloc 3300 de West Maypole rue quand quelqu'un a ouvert le feu à partir d'un véhicule noir, a indiqué la police.
Une attaque de cette ampleur n'a pas eu lieu à Chicago depuis 2014, lorsque sept personnes - dont plusieurs jeunes adolescents - ont été abattus à Lawndale.
Le tournage Maypole a couronné une soirée exceptionnellement mortelle sur le West Side. Moins d'une demi-heure avant, deux hommes ont été tués par balles dans un South Austin drive-by, a indiqué la police. Environ une heure avant, un 18-year-old homme a été tué à West Garfield Park
Mais des fusillades ont eu lieu dans presque tous les coins de Chicago le week-end, d'une attaque fatale à West Rogers Park à un tir à Morgan Park, près de la frontière sud.
Un homme a été abattu dimanche après-midi près de la station 95th Street Red Line CTA, où il a couru après avoir été frappé à l'épaule.
Dans l'ensemble, six personnes ont été tuées et 14 ont été blessés depuis vendredi après-midi au samedi matin; du samedi matin au dimanche matin, une personne a été tuée et 17 ont été blessés; et du dimanche au juste après minuit du lundi, une personne a été tuée et au moins neuf autres ont été blessés.
Beaucoup de gens ont attribué la hausse de Chicago violence à la co-appelé "Ferguson Effect" dans lequel les criminels se déchaîner contre ce qu'ils considèrent comme une force de police "de-legitamized», tandis que la retraite de la police de faire appliquer effectivement la loi par crainte d'incitation la prochaine émeute majeure. En fait, au-dessous est l'exemple parfait d'une femme officier de police de Chicago qui a récemment été hospitalisé après avoir été "sévèrement battu" par un criminel violent. Dans les entrevues subséquentes, la femme flic dit qu'elle avait peur d'utiliser la force meurtrière principalement à cause de la réaction nationale qu'elle aurait pu faire face à la suite. La rencontre est arrivé sur la violence West Side de Chicago quand les flics ont répondu à un accident de voiture. L'attaquant, apparemment sous l'influence de drogues, a lancé une attaque brutale contre les agents répondant qui a abouti à trois flics hospitalisés. Par ABC:
(suite en dessous:)
RépondreSupprimer"Elle pensait qu'elle allait mourir. Elle savait qu'elle devrait tirer ce type, mais elle a choisi de ne pas, parce qu'elle ne voulait pas que sa famille ou le ministère d'avoir à passer par l'examen le lendemain sur les nouvelles nationales," Supt. Johnson dit.
"Il est terrible. Il est un mépris total pour l'application de la loi. Ils ont mis leur vie avant tous les jours pour nous et de voir quelqu'un faire cela, pour triturer l'officier de police est terrible. Il est une chose terrible," a déclaré le propriétaire de l'entreprise Louie Rainone.
En résumé rapide sur poussée de Chicago de la criminalité violente, voici quelques stats de HeyJackass !.
Tout d'abord, les homicides YTD à Chicago sont en hausse spectaculaire de 45% en glissement sur douze mois à 605 contre seulement 417 à la même période l'an dernier.
- voir graphique sur site -
Chicago homicides
Ce terme de taux d'homicides met la ville sur le rythme de l'ordre de 700 pour l'année 2016 qui serait le plus haut niveau enregistré depuis le milieu des années 90.
- voir graphique sur site -
Chicago
Pendant ce temps, 95% des crimes violents à Chicago fait des victimes des minorités et 96% des agresseurs identifiés ont également des minorités.
- voir graphique sur site -
Chicago homicides
Enfin, l'écrasante majorité des crimes violents continue de provenir du Sud et West Side quartiers de Chicago.
http://www.zerohedge.com/news/2016-10-18/violent-chicago-weekend-leaves-6-poeple-dead-and-14-gunshot-wounds
SupprimerDe faire un rapprochement de cette zone d'expérience/d'exercice de l'Illinois avec celles (actuelles et à venir) d'aussi non-droit (plus de 800 !) en France ainsi que ses 'débordements' d'enthousiasme d'immigration fêtant la conquête du pays ne 'serait que fortuite' (Hahahahaha !).
Autonome et inviolable: l’armée russe se dote d’un internet «militaire»
RépondreSupprimer08:44 19.10.2016
Sur fond d’insécurité informatique grandissante, le ministère russe de la Défense a mis en place son propre système d’échange de données qui n’a pas besoin d’Internet pour fonctionner.
Les militaire russes ont créé un réseau de communication séparé de la toile globale, annonce le média russe Izvestia, se référant à une source informée au sein du ministère de la Défense. Officiellement baptisé « Segment fermé d'échange de données », le système possède une messagerie pouvant être utilisée pour transmettre des informations secrètes, y compris des documents classé « top secret ».
« La création du réseau est actuellement terminée. Les derniers travaux ont été achevés à la fin de l'été, et depuis ce moment le réseau fonctionne à plein régime. À ce jour, nous envisageons de l'élargir en installant des terminaux supplémentaires au sein des unités et des établissements militaires », a indiqué la source. Selon le journal, chaque unité militaire dispose de serveurs qui codifient l'information, la séparent en lots et la transmettent par la suite. L'accès aux locaux où est installé l'équipement technique est strictement règlementé.
En outre, l' « Internet militaire » possède des sites qu'il est possible de consulter exclusivement depuis des ordinateurs certifiés par le service de protection des secrets d'État. Il est à noter d'ailleurs qu'il est impossible de relier ces ordinateurs à des appareils externes, que ce soit une imprimante, un scanner ou une clé USB. Toute tentative de le faire est enregistrée par des logiciels spéciaux et bloquée.
https://fr.sputniknews.com/russie/201610191028260800-internet-militaire-russe/
(...) Il est à noter d'ailleurs qu'il est impossible de relier ces ordinateurs à des appareils externes, que ce soit une imprimante, un scanner ou une clé USB. (...)
SupprimerVoir la touche 'Imp ecran Syst' sur tous les claviers ou appareils photographique extérieur !
La taxe YouTube va asphyxier la vidéo en ligne
RépondreSupprimerPar Marc Lassort.
Un article de l’Iref-Europe
le 19 octobre 2016 dans Fiscalité
L’introduction d’une taxe sur les recettes publicitaires ou les revenus liés aux abonnements des plateformes vidéo risque d’accentuer le monopole des grandes plateformes en France et de faire fuir les annonceurs et les régies publicitaires à l’étranger.
Après la fameuse taxe Google, un nouveau projet de taxe sur les plateformes vidéos, appelée taxe YouTube, a été adopté mercredi dernier en Commission des finances dans le cadre de l’élaboration du projet de loi de finances (PLF) 2017. L’amendement, déposé par les députés socialistes Karine Berger, Bruno Le Roux et Pierre-Alain Muet, propose de créer une nouvelle taxe de 2 % sur le chiffre d’affaires des plateformes gratuites ou payantes de diffusion en ligne de contenus audiovisuels.
Dans le cas des plateformes payantes comme Netflix ou CanalPlay, la taxe sur le chiffre d’affaires serait assise sur les revenus issus du prix de l’abonnement au service. Tandis que pour les plateformes à accès gratuit comme YouTube ou DailyMotion, l’assiette fiscale de la taxe porterait sur les revenus issus de la publicité en ligne.
L’introduction de cette nouvelle taxe sur les recettes publicitaires ou les revenus liés aux abonnements de ces plateformes risque toutefois d’avoir des effets contreproductifs, d’accentuer le monopole des grandes plateformes en France et de faire fuir les annonceurs et les régies publicitaires à l’étranger.
L’inefficacité, la nocivité et les effets contre-productifs d’une taxe YouTube
L’objectif principal défendu par les promoteurs de la taxe sur les plateformes de vidéos en ligne est de combattre les pratiques d’optimisation fiscale des grandes entreprises américaines comme Google. Si Google détient 30,9 % des parts de marché de la publicité en ligne à l’échelle mondiale, bien que cette part soit en déclin depuis 2014, YouTube ne représente qu’environ 10 % du chiffre d’affaires net total de Google (8,5 Md$ sur 74,5 Md$ en 2015).
Toutefois, YouTube ne faisait pas de bénéfices jusqu’en 2014 au moins, et son chiffre d’affaires était deux fois moins élevé en 2014. Et si YouTube capte près de 27 % des investissements en publicité vidéo dans le monde (soit 16,1 Md$ en 2015), il serait contraire au principe d’égalité devant le droit d’instaurer une taxe pour une seule entreprise.
D’autant que si la taxe veut s’attaquer à Google en premier lieu, elle va toucher d’autres secteurs du numérique que les plateformes de partage de vidéos en ligne, comme les services de vidéo à la demande (VoD), et tout autant des acteurs étrangers (YouTube, Vimeo, Netflix, etc.) que des entreprises françaises (DailyMotion, CanalPlay, VidéoFutur, Orange TV, MYTF1VOD, etc.).
(suite en dessous:)
L’instauration d’une taxe sur la valeur ajoutée des plateformes de vidéos en ligne serait en plus un très mauvais signal envoyé aux entreprises du numérique, qui sont encore souvent à la recherche d’un modèle durable de financement. La France risque de se marginaliser alors que le marché unique du numérique suppose des règles fiscales et un cadre réglementaire et douanier relativement homogène pour favoriser le commerce transfrontalier.
RépondreSupprimerEn outre, la taxation des recettes publicitaires de ces sociétés serait absurde économiquement à plus d’un titre :
(a) Tout d’abord, au lieu de sanctionner les grandes entreprises étrangères du numérique comme Google, la taxe concernera en priorité les plateformes françaises qui ne peuvent pas héberger d’annonces publicitaires à l’étranger, et qui auront de plus en plus de mal à attirer les annonceurs étrangers, ainsi que les petites plateformes, car une taxe de 2 % viendra rogner les faibles marges – si elles en ont encore – qu’elles dégagent des revenus de la publicité.
(b) Au demeurant, la taxe sera sans doute également supportée en partie par les annonceurs et les créateurs de contenus, car les plateformes pourront répercuter la perte engendrée sur les tarifs appliqués aux publicitaires, abaisser la rémunération des éditeurs ou bien délocaliser l’accueil de contenus publicitaires auprès d’annonceurs étrangers.
(c) Enfin, cette taxe risque d’entraîner une diminution des recettes publiques, ou en tout cas son produit pourrait être amplement limité, car les annonceurs pourraient faire leurs achats d’espaces de publicité en ligne à l’étranger, ce qui entraînerait non seulement la perte des recettes de la taxe, mais également la perte des recettes perçues au titre de la TVA qui est due sur tout achat de services publicitaires.
Pour financer la création audiovisuelle, faisons confiance au marché plutôt qu’aux taxes
Les défenseurs de l’amendement ont soutenu que la taxe doit permettre que les entreprises qui tirent un bénéfice de la diffusion des œuvres audiovisuelles participent au financement de leur création. Dès lors, l’affectation des recettes de la taxe pourrait revenir au Centre national du cinéma (CNC) sous réserve de conformité avec l’article 40 de la Constitution et que Bruxelles ne retoque pas la mesure en dénonçant cette affectation comme une aide d’État illicite. Or, des services comme Netflix ou CanalPlay participent déjà directement non seulement au financement de la création d’œuvres cinématographiques, mais aussi à leur production – c’est par exemple le cas de la série Marseille chez Netflix ou de la série FRAT chez CanalPlay.
(suite en dessous:)
Et comme le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) lui-même l’a reconnu en 2010, l’introduction d’un trop grand nombre d’obligations et de contraintes sur les services de vidéo à la demande risque de les pousser à délocaliser leurs activités. Il serait préférable de laisser les consommateurs de biens audiovisuels décider par eux-mêmes de ce qu’ils veulent financer. Les biens culturels n’ont pas besoin d’être financés par l’impôt : ils doivent comme tout autre bien de consommation répondre à la logique de la rentabilité.
RépondreSupprimerEnfin, notons que la plupart des plateformes évoluent dans un cadre extrêmement concurrentiel, ne font pas ou relativement peu de bénéfices, et n’ont pas encore trouvé de modèle économique durable pour assurer la pérennité de leur activité. L’instauration d’une nouvelle taxe sur l’abonnement ou les recettes publicitaires de ces plateformes viendrait pénaliser le développement de ces services et entraînerait un nouveau déclassement de la France dans le secteur du numérique.
Pour financer la création audiovisuelle, faisons plutôt confiance aux consommateurs et aux producteurs : une œuvre cinématographique de qualité sera financée bien volontiers par des services comme CanalPlay ou Netflix si elle est susceptible de rencontrer le succès et l’audience.
http://www.contrepoints.org/2016/10/19/269321-taxe-youtube-va-asphyxier-video-ligne
La campagne de la nazional socialiste sur l'interdiction de s'exprimer fait des ravages sur le net qui tendait jusqu'alors d'apporter les documents visuels nécessaires à toutes démocraties !
SupprimerL'Islande donne l'exemple au reste du monde : en taule les banquiers !
RépondreSupprimerL'octopus voit tout
sam., 15 oct. 2016 10:31 UTCCarte
-- Commentaire : Il est sûr que la nouvelle ne va pas faire la Une de nos merdias traditionnels. On n'ira pas jusqu'à leur souhaiter la pendaison, à ces criminels en col blanc : nous avons un minimum de conscience, celle qui leur fait défaut sans aucun doute, et savons que la justice ne se rend pas par la violence. Mais par des juges, islandais, qui ne semble pas intimidés (!), qui ne semblent pas corrompus (!!) et qui semblent comprendre (!!!) ce que le peuple doit endurer à cause d'une mafia banquière institutionnalisée.
A propos des banquiers :
Le Monde Économie vient de publier les résultats d'une analyse scientifique, des plus sérieuses, menée par Michel Maréchal, Professeur d'économie expérimentale à l'université de Zurich. Le titre confirme nos craintes à propos d'une profession qui suscite méfiance et rejet un peu partout en Europe "Les banquiers, tricheurs par culture". (...) Les conclusions de Michel Maréchal et de son équipe sont sans appel "le calcul de probabilité estime à 26 % le taux de tricheurs dans le groupe étudié". (...) Sur 100 banquiers, 26 seraient "naturellement" ou "instinctivement" tricheurs ! Culturellement tricheurs en tout cas. L'enquête a été reproduite dans d'autres secteurs d'activité pour lesquels "aucune différence statistique n'a été observée entre les joueurs placés en situation professionnelle et le groupe de contrôle". Reproduite ensuite auprès d'un échantillon d'étudiants : là non plus, "aucune différence".
Ce type de comportement fonctionne comme un réflexe acquis après une longue pratique de bonus, de primes et d'incentive, c'est comme cela qu'on arrive à fabriquer cette culture de la triche qui relègue le client en dernière position en termes d'intérêts, intérêts au sens premier du terme, cette fois. La prise de risque devient prioritaire et son nécessaire corollaire, la mesure du risque, devient superfétatoire. CQFD ! Le journaliste va plus loin et interroge Marie-Claire Villeval, professeur d'économie (CNRS, université de Lyon) : elle explique que la notion de prise de risques pour le banquier est comparable à la problématique des "gains électoraux" pour les politiques. Les promesses dont on sait qu'elles ne pourront pas être respectées, cette surenchère démagogique systématique fonctionnerait exactement selon le même schémas culturel que Michel Maréchal a identifié et dénonce au sein des banques.
Pris la main dans le sac, banquiers, politiques et criminels ont tous la même défense : ils mentent. J'ai été visiteur de prison pendant un an environ, à Fleury-Mérogis : sur une centaine de prisonniers un seul reconnaissait sa culpabilité...le coupable vit sa sanction comme une injustice.
Traduction : Pierrick Tillet --
Pas lu, pas vu, pas entendu dans la presse de propagande franchouillarde
L'Islande a agi différemment du reste de l'Europe et des États-Unis en permettant que les banquiers soient poursuivis comme des criminels plutôt que de les traiter comme une espèce protégée.
(suite en dessous:)
L'Islande a reconnu neuf grands banquiers coupables et les a condamnés à des décennies de prison pour des crimes liés à la crise économique de 2008. Jeudi 6 octobre, la Cour suprême d'Islande a rendu un verdict de culpabilité pour les neuf accusés dans l'affaire de manipulation du marché Kaupthing, après un procès de longue haleine qui débuta en avril de l'année dernière. Kaupthing est une grande banque internationale basée à Reykjavik en Islande. Elle s'est développée au niveau international pendant des années, mais s'est effondrée en 2008 sous le poids de dettes énormes, paralysant l'économie de la petite nation.
RépondreSupprimerEn exigeant que les banquiers soient soumis aux mêmes lois que le reste de la société, l'Islande a opté pour une stratégie très différente de celle de l'Europe et des États-Unis, où les banques reçurent des amendes symboliques, mais où les directeurs et patrons échappèrent à toute peine.
Alors que les gouvernements américain et britannique renflouèrent et cautionnèrent leurs grandes banques avec l'argent des contribuables - - confortant les banquiers dans leur comportement scélérat - - l'Islande adopta une approche différente, déclarant qu'elle laisserait les banques faire faillite, éliminerait et punirait les criminels qui dirigeaient ces banques, et protégerait l'épargne des citoyens. L'ancien directeur de la banque Kaupthing, Hreiðar Már Sigurðsson, qui fut déclaré coupable et emprisonné l'an dernier, a vu sa peine prolongée de six mois jeudi.
Selon l'Iceland Monitor, les neuf banquiers sont reconnus coupables de crimes liés au financement abusif d'achats d'actions - - la banque prêtait de l'argent pour l'achat d'actions tout en utilisant ses propres actions comme garantie pour les prêts. Ils sont également reconnus coupables d'avoir suscité une demande déloyale pour les actions Kaupthing par tromperie et faux-semblants.
L'approche islandaise
Ces verdicts de culpabilité ne sont que les dernières mesures de répression sans précédent prises par l'Islande depuis le crash économique. Les autorités ont poursuivi les patrons des banques, les directeurs généraux, les fonctionnaires et les pilleurs d'entreprise pour des crimes allant du délit d'initiés à la fraude, au blanchiment d'argent, à l'induction en erreur des marchés, à la violation des droits des fonctionnaires par mensonge. Pendant ce temps, l'économie, qui s'effondra de manière spectaculaire, rebondit après avoir laissé ses banques faire faillite, imposant des contrôles de capitaux et protégeant ses propres citoyens plutôt que l'élite patronale des banques responsables de ce gâchis.
(suite en dessous:)
Cette détermination à rendre compte au peuple des actions qui causèrent le marasme financier contraste fortement avec ce qui se pratiqua au Royaume-Uni, dans le reste de l'Europe et aux États-Unis. Là, des amendes furent bien imposées aux vingt plus grandes banques pour les transgressions telles que la manipulation des marchés, le blanchiment d'argent et la mise en vente de prêts hypothécaires, mais retombèrent finalement sur les actionnaires et, en entravant la capacité des banques à prêter, pénalisèrent également le reste de la société.
RépondreSupprimerPendant ce temps, les banquiers coupables, grâce aux renflouements gouvernementaux, continuèrent de faire des profits phénoménaux et d'empocher des bonus obscènes, comme si de rien n'était.
L'an dernier, le Fonds monétaire international reconnut que l'Islande avait renoué avec la reprise économique « sans compromettre son modèle de bien-être » ou avoir puni ses citoyens pour des crimes commis par ses banquiers. L'Islande va incarcérer ses banquiers - - et les États-Unis et l'Europe ont tort de se contenter de tirer quelques oreilles et de donner implicitement un feu vert aux outrages futurs.
https://fr.sott.net/article/29190-L-Islande-donne-l-exemple-au-reste-du-monde-en-taule-les-banquiers
Souscription massive de l'Arabie Saoudite Bond offre upsized A $ 17,5 milliards: le plus grand jamais d'une nation en développement
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
19 octobre 2016 07h12
Lorsque nous avons prévisualisé l'historique, première, internationale offre d'obligations d'Arabie Saoudite à trois, 5Y, 10Y et 30Y parties, dont la taille totale devrait se situer entre 10 $ et 15 milliards $, nous avons dit «nous prévoyons qu'il y ait une demande importante et la question de être massivement sursouscrite conduisant potentiellement à un upsizing de la question à 20 milliards $ ". Nous étions la plupart du temps à droite.
Selon les derniers rapports du Royaume, qui a annoncé hier de façon inattendue, il avait exécuté un membre de sa famille royale pour assassinat, est maintenant prêt à vendre 17,5 milliards $ dans la plus grande vente d'obligations jamais d'une nation émergente, un nombre qui peut encore augmenter grâce à ce qui est une sursouscription massive: à partir de ce moment, le carnet de commandes est dit être "autour de $ 67" milliards, soit environ 4 fois sursouscrite, avec la permission de la répression financière mondiale imposée par les banques centrales, ce qui oblige les investisseurs dans la plus petite trace de rendement.
Quelques détails, selon Bloomberg:
Gouvernement vise à vendre des obligations en USD dus en 5Y pour ~ 140bps sur USTs des échéances similaires, 10Y à la propagation de ~ 170bps, 30Y à 215bps, donner ou prendre 5bps
Les liaisons 10Y produiront autour de 3,44%, bien au-dessous de 3,6 pour cent initialement suggéré, la 5Y donneront 2,63% et le 30Y autour de 4,64%.
Vente devrait éclipser 16.5b $ l'offre de l'Argentine en Avril comme le plus grand d'un pays en développement, soulignant la souche approfondissement sur un pays qui a évité les marchés internationaux de la dette jusqu'à présent
Mettre la vente dans le contexte, l'Arabie Saoudite a réussi un temps un déficit budgétaire de 97b $ l'an dernier, égale à 15% de son PIB, ce qui incite le gouvernement cette année pour réduire les subventions, les salaires et les dépenses. Une grande partie du produit sera utilisé pour stabiliser l'ordre social dans le royaume, mais nous prévoyons que des milliards seront également acheminés pour financer la guerre en cours avec le Yémen, qui en fin de compte des États-Unis bénéficieront des entrepreneurs militaires, en effet le recyclage de l'argent des investisseurs obligataires mondiaux dans le complexe militaire américain et industriel.
http://www.zerohedge.com/news/2016-10-19/massively-oversubscribed-saudi-bond-offering-upsized-175-billion-largest-ever-develo
SupprimerFaute d'avoir des ressources intellectuelles pour diversifier ses ressources d'État, voila d'immenses champs pétroliers appartenant à la dictature passer aux mains du privé ! Hahahaha !
Vaccination : l'aluminium s'accumule dans la rate puis le cerveau
RépondreSupprimerInitiative citoyenne
mar., 18 oct. 2016 06:15 UTCCarte
De nombreuses découvertes scientifiques prouvent que l'aluminium est un produit neurotoxique. Utilisé dans les vaccins, il provoque des maladies graves et invalidantes.
Le professeur Gherardi, neuropathologiste à l'Hôpital Henri Mondor (Créteil), nous explique en deux minutes et de façon pédagogique le fonctionnement de l'aluminium dans l'organisme.
Commentaire : Pensons à ces bébés à qui l'on administre des vaccins quelques semaines après leur naissance, ou parfois le jour même... La politique vaccinale est criminelle et les responsables ont leur niche sociale bien déterminée : politiciens, firmes pharmaceutiques, laborantins, pharmaciens et médecins. Et si certains, en toute bonne foi, promeuvent l'utilisation des vaccins, plus personne n'ignore leurs terribles effets secondaires, dus, par exemple, aux adjuvants qui entrent dans leur composition.
A propos de l'aluminium :
- Pas de discrimination, intoxication à l'aluminium pour tous !
- Vaccins à l'aluminium : un débat loin d'être clos
- Vaccins : nouveau syndrome d'auto-immunité lié à l'aluminium
- L'aluminium vaccinal, responsable de maladies incurables
- Aluminium et mercure des vaccins liés à des maladies neurologiques selon des scientifiques et des associations
- La myofasciite à macrophages, une maladie qui serait liée à l'aluminium dans les vaccins
Et puis bien sûr :
Vaxxed : de la dissimulation à la catastrophe, version intégrale
https://fr.sott.net/article/29189-Vaccination-l-aluminiums-accumule-dans-la-rate-puis-le-cerveau
Que ce soit par la redevance ou non, vous paierez…
RépondreSupprimerThibault Doidy de Kerguelen
mercredi, 19 octobre 2016 08:00
La redevance audiovisuelle n’augmentera pas autant que prévu ? Alors vous paierez en téléphonant….
La redevance TV n’augmentera peut-être pas de 2 euros en 2017, comme prévu, mais seulement de 1 euro.
Certains médias vous annoncent cela comme « une bonne nouvelle »!!! La seule « bonne nouvelle » serait que l’Etat se décide à diminuer considérablement le coût de la propagandastaffel audiovisuelle. Rappelons que l’empire audiovisuel d’Etat français est le second au monde après celui de la Chine! 12 chaînes de télévision (eh oui, cela ne vous peut être pas sauté aux yeux, mais une nouvelle chaîne « d’information » a été créée cette année, vous voyez que nous sommes loin de faire des économies…) plus de 100 stations de radio… Le budget de l’audiovisuel d’Etat représente le double de ce qu’il manque au ministère de la justice pour fonctionner correctement !!! Contrôler l’information ou assurer un service public de la justice décent, les socialistes ont choisi.
Donc si on dépense toujours plus pour le contrôle de l’audiovisuel et que l’on augmente pas la « redevance » (qui est censée financer cet empire), comment fait on ? Et bien, comme toujours, on vous pique de l’argent « sans que vous vous en aperceviez » ou plus exactement sans que vous vous en rendiez compte.
Vous allez payer votre abonnement téléphone plus cher
En contrepartie, les opérateurs télécom seront une nouvelle fois mis à contribution. Deux amendements au projet de loi de finances ont été adoptés en commission : le premier vise à supprimer l’augmentation exceptionnelle de 1 euro, seule l’augmentation automatique de 1 euro en fonction de l’inflation trouverait à s’appliquer en 2017 ; le second, afin d’équilibrer les comptes, prévoit une hausse de 0,1 % de la « taxe Copé » instituée pour compenser la fin de la publicité après 20h sur les chaînes de France Télévisions. C’est le principe de la « grenouille », enseignée avec succès à l’ENA.
L’examen du projet de loi de finances par l’Assemblée nationale en séance publique démarre aujourd’hui.
http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/prelevements-obligatoires/que-ce-soit-par-la-redevance-ou-non-vous-paierez.html
SupprimerComment financer l'idiot visuel ? Faire les recettes d'aujourd'hui comme celles d'hier ou demain en montrant des têtes de cul !
L’incroyable histoire de la « petite Pauline »
RépondreSupprimerle 19 octobre 2016
Quand une amibe vole des gènes à des bactéries
C’est l’incroyable histoire d’une amibe tout à fait banale qui s’est arrangée pour subvenir elle-même à ses propres besoins. Imaginez un instant que vous incorporiez dans vos gènes ceux qui sont nécessaires pour, comme les plantes, réaliser par photosynthèse la production de sucres en mangeant des épinards. Vous n’aurez qu’à exposer au soleil votre peau devenue verte et le tour sera joué. C’est ce genre de prouesse qu’a réalisé il y a une centaine de millions d’années la petite amibe répondant au charmant nom de Paulinella chromatophora.
Normalement les amibes mangent des trucs plus petits qu’elles, surtout des bactéries, et un jour l’ancêtre de la « petite Pauline » s’est dit qu’après tout si elle pouvait photosynthétiser des sucres ça serait tout bon pour ses finances, pardon, pour son métabolisme. En quelque sorte elle ferait son pain toute seule quand il y a de la lumière …
Un jour, prise d’une grosse fringale, elle a avalé une cyanobactérie qui s’est trouvée pas si mal que ça dans son ventre. La petite Pauline a gardé ce dont elle avait besoin et un peu trop rapidement mangé le reste. Ce qu’elle a préservé s’est vite mis à ressembler à des genres de saucisses vertes, toutes proportions gardées, parce qu’elle avait incorporé les gènes qui servent à effectuer la photosynthèse du sucre et de quelques autres métabolites.
Pour ne pas devenir complètement obèse, c’est-à-dire laisser un peu de place à tous ces nouveaux gènes, un peu par erreur la petite Pauline en a effacé quelques-uns de son propre patrimoine génétique. C’était presque suicidaire mais la petite Pauline, pas très contente de son résultat a alors mangé quelques bactéries et a prélevé dans leur génome ce qui lui manquait pour rester en bonne santé, quelques gènes par ci par là pour que tout fonctionne finalement correctement.
Cette histoire paraît complètement délirante mais c’est pourtant ce qui s’est passé non pas en un jour mais au cours d’une lente évolution pour aboutir à cette amibe assez phénoménale qui a littéralement reconstruit tout son patrimoine génétique en faisant des « emprunts » génétiques à des bactéries.
Cette histoire a été étudiée en détail dans le cadre d’une collaboration entre plusieurs universités nord-américaines et allemandes sous la direction du Docteur Eva Nowack de l’Université de Düsseldorf. Cette étude n’a pas été très facile à réaliser au niveau des ADNs, l’ADN circulaire du plastide ou chromatophore, les choses vertes dans la photo ci-dessus, celui du noyau de l’amibe et des contaminants d’origine bactérienne.
Il y a eu donc un transfert de gènes en provenance du plastide (on pourrait dire chloroplaste comme pour les plantes) dans le cadre de la symbiose initiale amibe-cyanobactérie (EGT, pour endosymbiotic gene transfer) mais également tout un trafic de gènes dit horizontal (HGT, pour horizontal gene transfer) en provenance d’autres bactéries pour aboutir à la Paulinella actuelle comme l’illustre le schéma ci-dessus tiré de l’article paru dans la revue PNAS. Il est intéressant d’insister sur le fait que cette histoire de la petite Pauline date d’une centaine de millions d’années alors que les premiers plastides photosynthétiques apparurent il y a plus d’un milliard d’années à la suite de symbioses avec des cyanobactéries pour aboutir par exemple aux végétaux que l’on connait aujourd’hui.
Source : PNAS, doi : 10.1073/pnas.1608016112 aimablement communiqué par le Docteur Nowack qui est chaleureusement remerciée ici.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2016/10/19/lincroyable-histoire-de-la-petite-pauline/
Tesla Stock Dips après Company suggère le modèle 3 sera retardé à la mi-2018
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
18 octobre 2016 13h26
L'une des grandes promesses de Elon Musk est que la "voiture électrique pour tout le monde", le modèle 3, était censé être disponible quelque temps en 2017. Comme l'a dit Elon Musk au fonctionnaire unveilingof le modèle Tesla 3 en Californie, Elon Musk était optimistes quant à la date de la voiture serait mis en vente. «Je me sens assez confiant que ce sera l'année prochaine," Musk a dit, se référant à une date de livraison promise de la fin 2017.
Toutefois, cela semble maintenant irréaliste et que Kyle Russell repéré sur Twitter, sur le site Web de l'entreprise, Tesla a inséré l'avertissement que «Début de la production tardive estimation 2017. de livraison pour les nouvelles réservations est mi 2018 ou plus tard."
Comme la rumeur prit de la vitesse, a ainsi fait l'attraction gravitationnelle vers Tesla stocks, qui a pâmé d'un intraday sommets.
Cependant, quelques instants plus tard, dans un e-mail à StreetInsider.com, Tesla a déclaré la mise à jour ne reflète pas tout changement dans ses plans et ils prévoient toujours commencer Modèle 3 livraisons en 2017.
"Pour votre arrière-plan, le site web de mise à jour d'aujourd'hui ne reflète aucun changement dans nos plans», a déclaré un porte-parole de Tesla. «Nous prévoyons toujours commencer Modèle 3 livraisons en 2017, et nous avons ajusté la date sur notre page de marketing afin de refléter le calendrier plus précis pour les nouveaux futurs titulaires / de réservation."
http://www.zerohedge.com/news/2016-10-18/tesla-stock-dips-after-company-suggests-model-3-will-be-delayed-mid-2018
SupprimerAprès la vaste campagne présidentielle "Un terroriste pour tout le monde !" il ne serait pas 'tout-à-fait convenable' de balancer une merde de plus juste avant les élections !
Trump-Bashing Amy Schumer Salué avec Boos comme fans Marchez Out In Tampa
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
18 octobre 2016 09h50
La comédienne Clinton-support, Amy Schumer, connue pour son matériel torride, a attiré l'indignation des fans dans une récente apparition de Tampa, en Floride, où elle a commencé à dénigrer Trump qu'elle appelle une "orange, sexuelle-assaut, monstre faux-college-départ. "selon le Tampa Bay Times, le dénigrement Trump a attiré des huées fort de ses fans, environ 200 d'entre eux ont choisi de quitter tandis que d'autres ont été chassés par Schumer qui a dit à la sécurité pour éliminer toute personne d'huer.
Selon The Hill, Schumer a pris plusieurs photos avec les commentaires "obscènes" Trump disant qu'elle aime un "célèbre gars qui va juste me prendre pour mes achats de meubles et juste tout droit de saisir ma chatte." Mais quand ses propres fans ont commencé à tourner sur elle, Schumer a appelé la sécurité pour enlever tout le monde decrier. "
"Un gars célèbre qui va juste me prendre achats de meubles et tout droit jusqu'à saisir mon p ----," Schumer a ajouté, faisant référence à une controverse 2005 enregistrement de Trump à découvert par le Washington Post plus tôt ce mois-ci.
"Bien sûr, nous sommes en Floride, vous allez boo," dit-elle à l'Arena Amalie à Tampa. «Je sais que vous êtes ici pour rire, mais vous choisissez comment vous allez vivre votre vie, et il est tout simplement trop important.»
"Juste pour que vous le savez, à partir de maintenant, si vous criez, vous allez obtenir d'être jeté", a ajouté Schumer, qui soutient la candidate démocrate Hillary Clinton.
De nombreux comédiens ont fait carrière sur les politiciens ouvertement dénigrement d'un côté de l'allée ou l'autre (si "scandaleusement" candidats conservateurs semblent supporter le poids des attaques) en se cachant derrière le voile de la comédie. Le problème, bien sûr, est que lorsque la comédie ne parvient pas à faire de l'humour, alors il n'y a plus un spectacle de comédie, mais un travail de coup politique. Ce qui est apparemment ce que les fans pensaient que les efforts du comédien quand elle a un invité sur scène et a demandé comment il pourrait être un partisan Trump.
Schumer a également invité un partisan Trump sur scène, demandant à l'homme d'expliquer pourquoi il veut que le milliardaire devienne président.
L'homme, qui se présentait comme Dave, a insisté qu'il ne pouvait pas faire confiance à Clinton et que le pays serait plus sûr sous la surveillance de Trump.
"Avez-vous inquiet du tout avec la façon impulsive il est ?" Elle lui a demandé de Trump. "Qu'il est tellement tiré à partir 'Saturday Night Live' faire un sketch sur lui. ... Est-ce que vous vous inquiétez il sera impulsif et obtenez-nous dans un grand nombre de f ------ ennuis, nous ne pouvons pas obtenir en dehors de ?"
Compte tenu de la coordination entre la campagne Clinton et divers médias révélé dans les «courriels Podesta,« on peut se demander si cela était aussi une coordonnée "a frappé." Nous nous demandons ce qui se passerait si un comédien a lancé un "hit" similaire sur Clinton.
http://www.zerohedge.com/news/2016-10-18/tampa-fans-boo-and-walk-out-trump-bashing-amy-schumer
Accords de libre-échange : les «multinationales à la manœuvre»
RépondreSupprimer19 oct. 2016
Les populations européennes ne sont pas favorables aux accords CETA et TAFTA, mais ceux-ci sont soutenus par les pouvoirs politiques européens, «souvent très liés aux intérêts du big business américain», estime le journaliste Jean-Michel Quatrepoint.
Jean-Michel Quatrepoint est journaliste économique. Après onze ans passés au Monde, il a dirigé les rédactions de l’Agefi, de la Tribune et du Nouvel Economiste. Il a été pendant quinze ans le patron de La Lettre A. Son livre La Crise globale (Mille et une nuits, 2008) a reçu le Prix de l’Excellence Économique 2009. Il est l’auteur de nombreux ouvrages, dont Le Choc des empires (Gallimard, 2014), Mourir pour le Yuan ? (François Bourin éditeur, 2011) La dernière bulle (Mille et une nuits, 2009).
RT France : Pensez-vous que le CETA soit vraiment un cheval de Troie du TAFTA ?
Jean-Michel Quatrepoint (J.- M. Q.) : Les accords de libre-échange c’est la philosophie des globalistes. Effectvement, l’accord avec le Canada devait préfigurer l’accord TTIP (TAFTA).
RT France : Profitant d'un accord de libre-échange avec le Canada, les Etats-Unis pourront-ils faire exporter leurs produits vers l'Europe ?
J.- M. Q. : Exactement, les entreprises américaines peuvent faire transiter les marchandises vers l’Europe, bien sûr. Qu’est-ce que le CETA ? C’est essentiellement permettre au Canada d’exporter vers l’Europe ses produits pétroliers, et ses produits agricoles, notamment la viande. C’est ce qui pose vraiment problème. En plus du pétrole de schiste, les Etats-Unis veulent d’abord exporter en Europe du gaz liquéfié, pour ses recettes, mais aussi, parce que cela fait autant de moins à vendre à Gazprom. C’est donc une stratégie globale.
Il se trouve que, en termes écologiques, ce pétrole de schiste et ce gaz liquéfié sont polluants. C’est donc un paradoxe, car d’un côté on a les objectifs de la COP-21, et de l’autre côté on va importer ce pétrole de schiste qui est plus polluant.
Lire aussi
«Le CETA, frère jumeau du TAFTA, a pour but de préparer le terrain pour sa signature»
Le fond du problème est que les accords de libre-échange sont faussés
Ensuite, les agriculteurs français sont très hostiles face à ce traité, parce que les Canadiens vont déverser 40 000 tonnes de viande bovine, une viande de très bonne qualité, sur le marché européen. C'est une concurrence terrible pour les producteurs français.
On dit également qu'il n'y aura pas de tribunaux d’arbitrage pour les conflits entre multinationales et Etats, que ce sera une Cour composée de 15 juges professionnels. Mais qui élira ces juges professionnels, à quelle influence seront-ils soumis, quel sera le poids des lobbies ? C’est un problème de demain.
Les Allemands sont assez malins, parce que la Cour de Karlsruhe veut imposer pour la signature décisive de l’Allemagne la ratification de l’accord par chaque parlement des Länder. Ils ont obtenu une clause qui leur permet de sortir, s’ils le souhaitent un jour, du CETA. Cela veut dire que si, à un moment donné, le gouvernement estime que le CETA lui est trop défavorable, il pourra en sortir. Je pense que la France pourrait au moins obtenir la même chose.
(suite en dessous:)
RépondreSupprimerRT France : Comment la nature de l'Union européenne influence-t-elle le traité ?
J.- M. Q. : Il y a un problème avec le Brexit, notamment en matière de viande. L’accord est signé, mais les Etats négociaient à 28. Les Anglais sortent, alors qu’ils étaient les gros consommateurs de viande canadienne. La part des Britanniques dans les quotas définis sera-t-elle sortie de ces quotas ou non ? Le fond du problème est que les accords de libre-échange sont faussés, parce qu’aucun de ces accords ne mentionne les problèmes monétaires. Imaginons que le dollar canadien baisse beaucoup. D’un coup, tous les produits canadiens deviennent plus compétitifs que les produits européens. Si vous n’incluez pas dans les accords de libre-échange des clauses monétaires, ce sont des marchés dupes, car la monnaie joue un rôle très important dans tout cela. Les Américains manipulent leur monnaie, et comme le dollar est la monnaie de 70% opérations internationales, si le dollar baisse, les produits américains sont plus compétitifs.
Lire aussi
CETA : entre véto wallon et contestation en France, une tâche difficile pour Manuel Valls
François Hollande n’a pas d’idée sur la question des traités de libre-échange, il va dans le sens du vent
RT France : Les autorités françaises se sont dits défavorables au TAFTA. Pourquoi se tournent-elles vers le CETA après avoir quasiment rejeté le TAFTA ?
J.- M. Q. : Le CETA a été négocié avant. Il y a encore quelques mois, François Hollande était un fervent partisan du TAFTA. Pendant une rencontre avec Barack Obama aux Etats-Unis, il lui a dit : «Il faut signer ça très vite». Six mois, un an plus tard, il change d’avis. En fait, François Hollande n’a pas d’idée sur la question, il va dans le sens du vent. Quand il pensait que le vent était favorable au TAFTA, il disait «il faut signer vite», quand il voit que cela traîne, notamment en Allemagne, il dit le contraire. Tout cela est incohérent. On avait le pouvoir de négocier avec la commission et voilà leur problème quand ce sont des Etats qui négocient. Quand c’est la commission, ils donnent le mandat à la commission, elle est acquise par principe, elle est logiquement pour le libre-échange absolu. En outre, les comissaires européens sont souvent très liés aux intérêts du big business américain. A partir de ce moment-là, est donné aux adeptes des accords de libre-échange le pouvoir de négocier. En plus, derrière, ce sont des multinationales qui sont à la manœuvre. Forcément, ils feront un accord qui est favorable aux Etats-Unis. C’est logique. L’erreur est d’avoir confié cela à la Commission.
Je pense que vendredi on ira vers une sorte de compromis
RT France : La Wallonie s’oppose aujourd’hui au CETA. Sera-t-il adopté tout de même ?
J.- M. Q. : Ils vont faire des pressions considérables sur les Wallons dans les jours qui viennent. Je pense que vendredi on ira vers une sorte de compromis, où on dira : comme les parlements nationaux doivent ratifier, vous pouvez toujours dire non lors de la ratification par la Belgique... mais les Wallons n'ont pas la majorité.
Ce sont deux conceptions qui s'affrontent, fondamentalement. Une conception de libre-échangisme total qui est vecteur d'une mondialisation pilotée par les anglo-saxons, et une autre conception, qui est de dire que, dans ce libre-échange il y a des marchés de dupes. Et, en plus, le pouvoir est donné aux multinationales.
C'est ça le débat de fond. Et c'est pour cela que les populations rechignent face à ces accords de libre-échange. Mais le système leur est, lui, favorable.
Lire aussi : CETA : 125 000 Allemands attaquent en justice l'accord de libre-échange entre le Canada et l'UE
https://francais.rt.com/opinions/27808-accords-libre-echange-multinationales
En Suède, une ville pourrait réinsérer les djihadistes... en leur offrant un logement gratuit
RépondreSupprimer19 oct. 2016, 19:39
Selon une radio suédoise, une municipalité entendrait aider les djihadistes de retour de Syrie à se réintégrer dans la société en leur proposant logement gratuit et réductions d'impôts. Une proposition qui n'allait pas manquer de susciter un tollé.
Anna Sjöstrand, coordinatrice en charge de l’extrémisme à la mairie de Lund, dans le Sud de la Suède, a annoncé vouloir mettre en place des mesures afin de faciliter la réintégration des djihadistes de retour de Syrie, selon Sveriges Radio.
Lire aussi
En Suède, agiter un drapeau de l'Etat islamique n'est pas une «incitation à la haine»
Entre autres propositions, elle suggère la mise à disposition d'un logement gratuit, des aides à l'obtention du permis de conduire, ou encore des réductions d'impôts supposées encourager «la réinsertion sur le marché du travail».
Ces mesures s'appuient sur les conclusions d'un rapport remis aux autorités suédoises par le criminologiste Christoffer Carlsson, qui soulignent la difficulté de rompre avec le fondamentalisme et de retrouver une vie normale sans aide. «On peut critiquer cette mesure, mais [je pense] que chacun a droit de recevoir la même aide que les autres», a déclaré Anna Sjöstrand. «Nous ne pouvons dire à quelqu'un que, sous prétexte d'avoir fait le mauvais choix, il ne peut revenir et vivre de nouveau dans notre société» a-t-elle poursuivi.
Ces propositions ont immédiatement déclenché de vives réactions sur les réseaux sociaux. Certains parlent d'une «folie» de la part de la municipalité de Lund.
Former Jihadists should be rewarded with home, drivers licence and less taxes— Ponyschnitzel (@MomoThuller) 19 octobre 2016
La volonté affiché par Anna Sjöstrand d'accueillir les djihadistes est loin de faire l'unanimité. Sur Twitter, les réactions fusent. Un Suédois rétorque par exemple : «Bien sûr qu'il faut dire aux terroristes ''Vous avez fait votre choix, vous n'êtes plus les bienvenus''».
Selon Sveriges Radio, des mesures similaires sont envisagées à Malmö, Borlänge et Örebro. Cette dernière ville avait fait l'objet de vives critiques en janvier dernier, après avoir proposé des stages à deux membres de l'Etat islamique, qui étaient par la suite retournés combattre en Syrie, où ils ont été tués.
https://francais.rt.com/international/27807-suede-ville-propose-logement-gratuit-aux-djihadistes
C'est la fin des obstacles au terrorisme
SupprimerCETA : «L’Europe souffre de son ultra-libéralisme»
RépondreSupprimer19 oct. 2016
Le CETA est «le signal d’alarme qu’il faut arrêter de faire du commerce débridé en bradant nos secteurs économiques», estime le député européen belge Marc Tarabella.
Marc Tarabella est un député européen socialiste belge chargé de la protection des consommateurs et de l'agriculture.
RT France : Pourquoi la Wallonie s'oppose-t-elle au CETA ?
Marc Tarabella (M. T.) : Le CETA est un cheval de Troie du TTIP. Le traité transatlantique et le CETA prévoient d’ailleurs dans leurs corps des mesures qui sont menaçantes par rapport à la démocratie européenne. Ce ne sont pas seulement des traités de libre-échange. On est pour le libre-échange, il faut juste y mettre des règles et ne pas échanger n’importe quoi. Le problème est que l’Union européenne est devenue ultra-libérale. Elle met le commerce au-dessus de toutes les autres politiques et n’a plus de politique stratégique industrielle ni de politique stratégique agricole. Dans le cas du CETA, c’est aussi un accord de partenariat pour l’investissement. Au sein de ce partenariat, il y a des mesures, telles que le Tribunal privé, censé régler les conflits entre les sociétés multinationales et les autorités publiques. C’est quand-même un tribunal privé chargé de trancher des conflits que souvent entament des multinationales avec les autorités publiques, quand certaines lois ne leur plaisent pas. Ce sont souvent des lois environnementales, de santé publique, ou des lois sociales qui sont attaquées par les multinationales. Je suis désolé, mais les démocraties occidentales doivent arrêter de s'auto-mutiler au niveau de leur pouvoir de faire des lois, de légiférer, au profit des multinationales, dont le seul intérêt est de faire le maximum d’argent sur le dos des citoyens. Voilà pourquoi quand certains prétendent que ces accords servent à favoriser les PME, c’est du verbiage. Et donc, nous devons être attentifs à ne pas abraser la possibilité qu’ont les Etats-membres et l’UE de voter des lois protectrices pour les citoyens et pour les consommateurs, notamment.
Les ultra-libéraux de la Commission européenne, y en a marre
RT France : La décision sur le CETA est reportée jusqu'au 21 octobre. Pensez-vous que l'opposition de la Wallonie, et par conséquent de la Belgique, va effectivement empêcher la signature du CETA, ou la cause est perdue ?
Lire aussi
Une manifestation contre le TTIP et le CETA durant la visite du président américain Barack Obama à Hanovre, le 23 avril 2016. Ratifier le CETA sans recourir aux parlements, «c'est faire comme si les citoyens n’existaient pas»
(suite en dessous:)
M. T. : La Belgique est un pays fédéral, ce qui fait en sorte que l’avis et les idées des institutions fédérées, dont les régions, sont respectées. Ce n’est pas uniquement la Wallonie, il y aussi la région de Bruxelles, une région bilingue. Il y a deux régions en Belgique, on ajoute la communauté de Wallonie-Bruxelles, ça fait donc trois entités qui s’opposent au CETA, donc la Belgique ne peut pas le ratifier, s'il n’entre pas en vigueur. Je pense que vouloir contourner ces règles serait évidemment dommageable pour la démocratie. Aujourd’hui on n’a pas mal de citoyens qui ont des doutes par rapport à l’UE et à ces politiques. Selon les règles bien établies, la Belgique consulte ces régions, ce qu’on n’est pas obligé de faire dans certains autres pays, tels que l’Allemagne, l’Italie ou la France. Ils veulent changer les règles. Ce n’est pas démocratique. S’ils veulent que les citoyens se désintéressent de l’UE, ils peuvent continuer comme ça. Les ultra-libéraux de la Commission européenne, y en a marre. Aujourd’hui l’Europe souffre de son ultra-libéralisme, de son incapacité à protéger ses secteurs clés, que sont l’agriculture, l’industrie est un brin de tout. Et évidemment, aujourd’hui on s’étonne que les taux de croissance en Europe soient plus faible qu’ailleurs, que des entreprises quittent et émigrent vers ailleurs.
RépondreSupprimerLes Européens doivent d’arrêter d’être naïfs, et aujourd’hui l’ultra-libéralisme est en train de tuer l’esprit européen. Si on veut continuer comme ça, l’Europe n’existera plus dans dix ans.
Toute une série d’autres socialistes et démocrates d’Europe oublient un peu leurs valeurs au profit du commerce
RT France : Pourquoi la Belgique est-elle seule à résister au CETA au plus haut niveau, alors qu’il y a eu des manifestations massives en France et dans d'autres pays européens ?
M. T. : Quand on dit la Belgique, c’est la Wallonie, c’est Bruxelles, c’est la partie sud du pays, où habitent souvent des familles socialistes-démocrates européennes, qui ont souvent été le fer de lance de toute une série de combats. C’était vrai pour la directive sur la libéralisation des services, qu’on appelait la directive de Bockel. Ce sont des socialistes belges et notamment francophones qui ont été les lanceurs d’alerte à ce moment-là. Et donc, je suis fier d’être partie de cette famille politique, et je ne suis pas fier des autres socialistes européens qui sont davantage des businessmen qui pensent que le business doit primer sur toutes les autres valeurs. Je pense qu’il faut des échanges, bien entendu, mais vouloir se priver de la capacité à légiférer au profit de la société multinationale, c’est coupable. Je pense que toute une série d’autres socialistes et démocrates d’Europe oublient un peu leurs valeurs au profit du commerce. Ce n’est pas le cas des socialistes belges francophones. Même si on donne l'impression d’être un village qui fait de la résistance au sein de l’Europe, nous, on a lu les textes, et on voit que c’est le danger par rapport aux services publics, par rapport à l’intérêt des citoyens et des consommateurs. Et d’autres seraient inspirés de faire la même chose.
Le CETA est un signal d’alarme qu’il faut arrêter de faire ce commerce débridé en bradant nos secteurs économique
Lire aussi
«Le CETA, frère jumeau du TAFTA, a pour but de préparer le terrain pour sa signature»
(suite en dessous:)
RT France : Pour vous, quelles sont les perspectives du CETA actuellement ?
RépondreSupprimerM. T. : Le CETA est un signal d’alarme qu’il faut arrêter de faire ce commerce débridé en bradant nos secteurs économiques, tels que les services, arrêter d’être naïfs. Les européens sont ouverts en ce qui concerne les marchés publics, par exemple, mais d’autres grands acteurs, je pense aux Etats-Unis notamment, ils n’ouvrent pas leurs marchés publics, parce qu’ils ont le «buy american act» ; et ce n’est pas la même chose. Nous sommes les naïfs du monde. Le résultat c’est que notre économie souffre, nos jeunes trouvent difficilement du travail. Je crois qu’il faut changer ça, il faut être beaucoup plus fermes au niveau des négociations. Malheureusement, les commissaires, ils n’ont pas fait l’Europe, les fonctionnaires ultra-libéraux dirigent depuis des années, et ils continuent de faire beaucoup de mal au sein des institutions européennes. Les gouvernements européens sont dans cette logique que je ne peux pas comprendre, logique de l’ultra-commerce sans règles. Le commerce – oui, mais avec des règles, pas ce que nous faisons aujourd’hui.
Si l’Europe veut continuer d’être mal vue et finalement être détestée des citoyens, on continue avec des accords bilatéraux de libre-échange
RT France : Cet accord, va-t-il être effectivement adopté par l’Europe ?
M. T. : J’espère qu’il ne va pas être adopté, cela n’a rien à voir avec le Canada. J’espère qu’on va mette le holà à ces traités qui ne sont même pas des traités de libre-échange, qui comportent un volet sur les investissements. Ce qui est très dangereux par rapport au fait d’attaquer des gouvernements, c’est de donner aux multinationales le droit d’attaquer les lois protectrices pour les citoyens. Je peux donner des exemples de multiples accords bilatéraux signés auparavant. Il y a des lois souvent sociales, de santé publique et des lois environnementales qui ont été attaquées par les multinationales en prétextant que pour elles ça va nuire à leur business. C’est inacceptable, on ne peut pas laisser faire. Le temps est venu de se révolter, ça suffit. Arrêtons de poursuivre la même voie. Les citoyens se mobilisent aussi. Si l’Europe veut continuer d’être mal vue et finalement être détestée des citoyens, on continue avec des accords bilatéraux de libre-échange, qui comportent aussi des volets dangereux par rapport à la capacité démocratique de voter les lois.
Lire aussi : Le TAFTA, la Commission et le gouvernement «français»
https://francais.rt.com/opinions/27804-ceta-europe-souffre-liberalisme
Augmentation de la «taxe attentat» pour la seconde fois en moins d'un an
RépondreSupprimer19 oct. 2016, 17:56
Le fonds public d'indemnisation des victimes du terrorisme, financé par une taxe sur les contrats d'assurance, va obtenir davantage de moyens financiers ainsi qu'une garantie de l'Etat sur les ressources du fonds.
Lire aussi
Plus d'un Français sur deux estime que les mesures antiterroristes sont inefficaces
Le mercredi 19 octobre, Juliette Méadel, la secrétaire d’Etat chargée de l'Aide aux victimes, a annoncé la hausse de la taxe sur les contrats d'assurance qui finance le Fonds de garantie des victimes des actes de terrorisme et d'autres infractions (FGTI).
Cette «taxe attentat», augmentée pour la première fois depuis dix ans en octobre 2015, va passer de 4,30 à 5,90 euros, une somme prélevée sur chacun des 80 millions de contrats d'assurance de biens signés en France (auto, habitation...). Juliette Médael a également confirmé que l’Etat se porterait garant des ressources du Fonds.
Le FGTI indemnise les victimes d'un acte de terrorisme. Si cet acte est commis en France, toutes les victimes et leurs héritiers, quelle que soit leur nationalité, peuvent être indemnisés. Le Fonds dédommage également les victimes de nationalité française et leurs héritiers de toute nationalité si l'acte terroriste a eu lieu à l'étranger
«Jusqu'à présent, les actes terroristes coûtaient une somme très modique au Fonds de garantie, toujours moins de 10 millions par an. Mais il est clair qu'aujourd'hui, au cours des 18 derniers mois, c'est à plusieurs centaines de millions d'euros auxquels le Fonds doit faire face», a récemment indiqué Jacques de Peretti, directeur général d'Axa France.
Le président de la République s'est engagé le 19 septembre à réformer le système d'indemnisation des victimes du terrorisme créé en 1986 sous la pression d'associations de victimes. François Hollande avait également assuré que les ressources du Fonds seraient «revues en conséquence».
Lire aussi : la «médaille» aux victimes du terrorisme» sous le feu des critiques
https://francais.rt.com/economie/27803-augmentation-taxe-attentat--fonds-victimes-terrorisme
Aucune des sommes recueillies ne sera versée aux victimes d'assassinats en Syrie !
SupprimerBéziers : la mairie adopte un projet de référendum sur l'accueil des migrants dans un climat tendu
RépondreSupprimer19 oct. 2016, 13:29
Dans la soirée du 18 octobre, peu après l'éclatement d'une rixe au sein de la mairie de Béziers, les élus municipaux de la ville ont voté en faveur d'un projet de référendum sur l'accueil de migrants dans la ville, projet proposé par Robert Ménard.
Ni les recommandations du préfet de l'Hérault, ni les altercations survenues peu avant la délibération, n'ont empêché le Conseil municipal de Béziers d'adopter un projet controversé de référendum sur l'accueil de migrants, dans la soirée du mardi 18 octobre, a rapporté l'agence AFP. 36 des élus biterrois ont voté en faveur de ce plan, cinq élus s'y sont opposés et sept n'ont pas pris part au vote.
«Pour aller jusqu'au bout des choses, je vais maintenir le référendum et j'irai moi-même le défendre s'il le faut contre l'Etat», avait déclaré le maire de la ville, Robert Ménard, lors d'une conférence de presse en amont du conseil, selon l'AFP toujours. «Non, je ne suis pas prêt à recevoir des migrants dans ma ville», avait-il ajouté.
La semaine dernière, mercredi 12 octobre, le maire avait fait savoir qu'il comptait consulter les habitants de sa ville au sujet de l'accueil de 40 migrants, prévu par l'Etat dans le cadre du démantèlement de la «Jungle» de Calais.
Rixe au Conseil municipal et menaces du préfet
Alors que démarrait le Conseil municipal, le soir du 18 octobre, une vingtaine de personnes ont fait irruption dans la salle de la mairie, afin d'exprimer leur colère face au projet de référendum anti-accueil des migrants. Les manifestants ont eu le temps de hurler : «Ménard démission !» et «Ménard facho !», avant d'être expulsés par les forces de l'ordre. D'après la chaîne BFM TV, «les deux camps [y compris donc les élus pro-référendum] se sont invectivés et certains en sont venus aux mains».
Des scènes dont témoignent des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux.
Le préfet de l'Hérault, Pierre Pouëssel, avait lui aussi fait savoir son opposition à ce projet – de manière plus formelle : dans une lettre adressée au maire de la commune du sud-ouest de la France, le représentant de l'Etat avait déclaré que si le Conseil municipal donnait son feu vert à l'organisation du référendum, il demanderait la «censure [de celui-ci] par le juge administratif par la voie d'un référé-suspension».
Depuis l'élection de Robert Ménard en avril 2014, la justice administrative a déjà retoqué les projets de création d'une «milice» locale et de tests ADN pour les chiens que souhaitait mettre en place la ville de Béziers.
Lire aussi : Drôme : le maire d'Allex renonce à un référendum sur un centre d'accueil de migrants jugé illégal
https://francais.rt.com/france/27788-beziers--mairie-adopte-projet
Le CSA reçoit 2 500 plaintes contre «Touche pas à mon poste !» pour le baiser forcé d'un chroniqueur
RépondreSupprimer19 oct. 2016, 14:04
L'émission de Cyril Hanouna sur C8 a fait l'objet d'un déferlement de plaintes au CSA, en raison du geste déplacé d'un chroniqueur, qui s'est permis, il y a cinq jours d'embrasser la poitrine d'une comédienne sans son consentement.
2 526 : c'est le nombre de plaintes, selon des informations obtenues par le magazine Marianne mardi 18 octobre, adressées au CSA contre la fameuse émission de divertissement «Touche pas à mon poste !» de Cyril Hanouna sur la chaîne C8. En cause : une scène du jeudi 13 octobre, durant laquelle le chroniqueur Jean-Michel Maire a déposé un baiser sur le sein d'une jeune femme du nom de Soraya Riffy... juste après que celle-ci eut clairement fait savoir qu'elle refusait de l'embrasser sur la bouche.
Outre les personnes ayant porté plainte auprès du CSA, un certain nombre de personnalités politiques et d'organisations féministes ont exprimé publiquement leur indignation au sujet de ce baiser forcé.
La ministre du Droit des femmes Laurence Rossignol et la militante féministe Caroline de Haas avaient ainsi qualifié ce geste «d'agression sexuelle», tandis que le collectif «Osez le féminisme» avait décrit sur LCI la séquence comme une «scène extrêmement grave qui pourrait relever d’une agression sexuelle commise en direct à la télévision».
Lire aussi : Espagne : un présentateur dévoile en direct le sein d'une star sans son consentement (VIDEO)
https://francais.rt.com/france/27791-csa-recoit-2-500-plaintes
Ce ne sont pas les milliers de femmes violées en Allemagne, Suède ou en France qui vont recevoir une 'aide aux victimes d'attentats' !
SupprimerLa déroute du CETA : “Si nous ne parvenons pas à conclure un accord avec le Canada, comment pourrons-nous le faire avec le Royaume-Uni ?”
RépondreSupprimerAudrey Duperron
19 octobre 2016
Mardi, les ministres du commerce de l’UE ne sont pas parvenus à trouver un accord sur le traité de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada (CETA), parce que la Wallonie renâcle toujours à le valider. (La Roumanie et la Bulgarie ont enregistré des réserves et elles réclament la suppression des visas pour les déplacements au Canada, mais il est probable que cela se solde par un accord).
Le Premier ministre wallon Paul Magnette a rejeté la date butoir de vendredi fixée par la Commission européenne pour que la Belgique se prononce sur le traité. Entretemps, il a obtenu le soutien des socialistes allemands et français, qui croient que l’accord doit être soumis aux parlements nationaux, plutôt que de pouvoir être approuvé par les ministres du commerce de l’UE à Bruxelles. L’UE outrepasserait-elle ici de nouveau la limite de ses compétences ? C’est ce qu’il semblerait.
La remarque la plus cinglante pourrait être celle de la commissaire européenne au commerce, Cecilia Malmström:
« Si nous ne parvenons pas à conclure un accord avec le Canada, je ne pense pas que nous pourrons le faire avec le Royaume-Uni ».
Les réactions sont divisées dans la presse européenne.
Le blocus d’une poignée de Wallons populistes
L’Europe risque de rater une excellente opportunité, se lamente le journal danois Jyllands-Posten :
« A une époque où les principaux acteurs – parmi eux les deux candidats à la présidence des États-Unis – ont tendance à se tourner vers le protectionnisme, alors que le commerce mondial stagne et que la croissance économique et l’emploi en pâtissent, les traités de commerce sont plus importants que jamais.
Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, le libre-échange a sorti des millions de gens de la pauvreté en créant la croissance économique et l’emploi.
Il serait inacceptable qu’une poignée de Wallons populistes s’avèrent capables de détruire un accord de libre-échange de grande portée, comme celui-ci, dont une majorité de vrais Européens pourraient bénéficier ».
Clairement, représenter le peuple est considéré comme une menace pour la démocratie
Dans De Morgen, Bart Eeckhout témoigne de la compréhension pour la position wallonne :
« Comment osent-ils, sonne la cloche européenne. Le même cri a été entendu après le référendum concernant l’Ukraine aux Pays-Bas, ou après le vote sur le brexit. […]
Clairement, représenter le peuple est considéré comme une menace pour la démocratie. […]
La bagarre sur le CETA va vraiment au cœur du débat sur la démocratie européenne. Un État membre – ou une partie d’un État-membre –devrait-il dire non, quand l’Europe a déjà dit oui ? Telle est la question.
(suite en dessous:)
Que cela plaise ou non aux économistes sur Twitter, ce genre de traités « classiques » n’est plus soutenu par une proportion croissante de la population européenne. L’opposition aux méga-traités vient de toutes sortes de groupes, des populistes eurosceptiques d’extrême droite aux électeurs rouge-vert. (…). Soit on continue à étouffer la critique légitime, soit le jour viendra où le projet européen sera torpillé pour de bon dans une urne – comme cela s’est déjà produit en Angleterre ».
RépondreSupprimer5 millions de personnes peuvent-elles bloquer un traité contre 500 millions d’autres ?
Dans l’émission De Ochtend sur la chaîne flamande Radio 1, le président du Voka Hans Maertens a qualifié la résistance wallonne de «surréaliste, kafkaïenne » et « scandaleuse » :
« Cela fait 6 ans que l’on négocie. Il y a 4 ans, ils ont donné le mandat de poursuivre les négociations et maintenant qu’il [le CETA] est sur la table, ils ne signent pas.
Je ne comprends pas qu’un parlement de 5 millions de personnes puisse bloquer un traité que d’autres parlements représentant 500 millions de personnes ont signé. 90 % des exportations et importations belges à destination et en provenance du Canada passent par la Flandre, seulement 10 % en Wallonie. Avec son opposition, la Wallonie contrecarre les chances des entreprises flamandes. »
https://fr.express.live/2016/10/19/ceta-opposition-wallonie/
Guerre de l'information : l'Occident se dirige vers l'interdiction des médias russes
RépondreSupprimerFinian Cunningham
Strategic Culture
jeu., 13 oct. 2016 18:04 UTCCarte
Traduit par LGS
Les parlementaires européens ont voté cette semaine en faveur d'une résolution appelant à de plus grandes « capacités institutionnelles pour contrer la propagande inspirée par le Kremlin ». La résolution a été votée par la commission des Affaires étrangères de l'UE et sera présentée devant le parlement européen le mois prochain. Si la résolution est adoptée, la prochaine étape sera la mise en place de mécanismes institutionnels pour bloquer l'accès aux médias russes.
Ce serait un événement monumental, mais les pays occidentaux semblent se diriger, inéluctablement, vers l'interdiction des médias d'information russes à partir de plates-formes satellitaires et de l'Internet. Ce résultat - avec des implications éthiques et politiques énormes - semble être la conclusion logique de la campagne transatlantique de plus en plus frénétique visant à diaboliser la Russie.
Washington, Londres et Paris semblent coordonner une attaque médiatique sans précédent qui diffame la Russie pour pratiquement tous les méfaits imaginables : crimes de guerre en Syrie, menaces contre la sécurité de l'Europe, avions civils abattus, subversion des élections présidentielles américaines. Et ce n'est qu'un échantillon.
Le Secrétaire britannique des Affaires étrangères, Boris Johnson, a déclaré cette semaine que la Russie risque de devenir un « Etat paria ». Ironiquement, ce destin a moins à voir avec le comportement réel de la Russie qu'avec les objectifs recherchés de la politique occidentale vis-à-vis de Moscou, à savoir isoler et présenter la Russie comme un voyou international.
Si les gouvernements occidentaux réussissent à diaboliser suffisamment la Russie aux yeux de leurs opinions publiques, alors un contexte politique sera créé pour procéder à des mesures drastiques qui autrement seraient considérées comme des violations inacceptables des droits démocratiques. Des mesures qui iraient bien au-delà des sanctions économiques et viseraient la censure des médias. N'est-ce pas étrange ? Le « monde libre » qui déplore « l'autoritarisme russe » se dirige vers la censure des médias et la répression de ce qu'il considère comme un « crime de pensée ».
Les parlementaires européens ont voté cette semaine en faveur d'une résolution appelant à de plus grandes « capacités institutionnelles pour contrer la propagande inspirée par le Kremlin ». La résolution a été votée par la commission des Affaires étrangères de l'UE et sera présentée devant le parlement européen le mois prochain. Si la résolution est adoptée, la prochaine étape sera la mise en place de mécanismes institutionnels pour bloquer l'accès aux médias russes.
L'hostilité envers la Russie telle qu'elle apparaît dans la formulation de la résolution de l'UE ne peut être décrite que comme enragée, pour ne pas dire paranoïaque. Le gouvernement russe y est accusé de recourir activement à une « campagne de désinformation », de « ciblage des politiciens et des journalistes de l'UE », et de « perturber les valeurs démocratiques à travers l'Europe ». En bref, Moscou est accusée de comploter la chute du bloc Européen.
(suite en dessous:)
RépondreSupprimerIl convient de noter un point particulièrement sinistre, le comité des affaires étrangères de l'UE a accordé une attention particulière au recours par la Russie d'un « large éventail d'outils et d'instruments tels que des stations de télévision multilingues et de pseudos organismes d'information pour diviser l'Europe ».
Ainsi donc, non seulement le gouvernement russe est ouvertement accusé de nourrir des desseins subversifs et destructeurs envers les Etats européens, mais ses professionnels dans les médias sont confondus avec un supposé projet politique russe de guerre hybride. L'Etat russe est diabolisé comme un ennemi étranger et ses médias font partie de son arsenal de guerre hybride. En d'autres termes, les médias d'information publics russes légitimes sont en train d'être délégitimés par le Parlement européen.
Étonnamment, les médias professionnels tels que RT et Sputnik sont qualifiés de « pseudo agences de presse » et « d'outils de propagande du Kremlin ».
Le fait, souvent avancé, que ces médias « appartiennent à l'État » et sont financés par le gouvernement est sans importance. Car il en est de même pour Voice of America, Radio Free Europe, BBC, France 24 et Deutsche Welle, pour ne citer que quelques-uns des diffuseurs occidentaux appartenant à des Etats. En fait, le budget global des gouvernements occidentaux consacré au financement de médias d'information est plusieurs fois supérieur au budget de la Russie.
Le battement de tambour occidental visant à délégitimer les médias d'information russes populaires a augmenté au cours des derniers mois. Le mois dernier, par exemple, l'alliance militaire de l'OTAN sous commandement US a publié un autre rapport d'avertissement : « L'Occident est en train de perdre la guerre de l'information contre la Russie ».
Voici une bonne question à se poser : pourquoi une organisation supposément dédiée à la sécurité militaire intervient-elle dans les domaines du journalisme et des services d'information publics ?
Un article de Voice of America ajoute : « Selon les responsables de l'OTAN, l'Occident doit intensifier ses efforts pour combattre et contrer la guerre de l'information menée par ses adversaires. Ils avertissent que des pays comme la Russie exploitent la liberté de la presse dans les médias occidentaux pour répandre la désinformation ».
Remarquez comment la Russie est accusée en quelque sorte d'« exploiter » sournoisement la liberté des médias occidentaux. L'implication ici est que les sanctions-représailles contre les médias russes seraient donc justifiées à cause de ces transgressions supposées.
Pendant ce temps, toujours le mois dernier, le directeur de l'US National Intelligence, James Clapper Jr, aurait informé des membres du Congrès sur la « guerre de l'information » russe. Il a cité RT et Sputnik comme armes médiatiques de la « guerre de l'information » russe. Leur but, selon Clapper, est de subvertir les sociétés occidentales en influençant les groupes radicaux et en semant la confusion dans le public.
(suite en dessous:)
Ceci marque une détérioration dramatique des relations entre l'Occident et la Russie, où des médias d'information russes sont désignés comme des armes ennemies. Une telle pensée trahit aussi à quel point de dégénérescence les dirigeants politiques occidentaux ont sombré dans leurs stéréotypes de guerre froide ; et comment ils sont disposés à aller encore plus loin pour contrer la Russie.
RépondreSupprimerDepuis que la politique tant vantée de rétablissement de relations « plus amicales » avec la Russie a été abandonnée sous la première administration du président Barack Obama, vers 2011, l'hostilité de Washington et de ses alliés européens est allé crescendo pour atteindre les niveaux actuels d'hystérie.
La raison principale pour laquelle Washington a abandonné sa politique de normalisation est probablement parce qu'il a compris que le président russe Vladimir Poutine ne sera pas aussi docile que son prédécesseur Boris Eltsine, qui a lâchement soumis son pays à l'hégémonie US, que ce soit sur des questions d'intérêts géopolitiques, de la finance mondiale, ou de ressources/guerres à l'étranger. Poutine ne veut rien entendre. La Russie ne sera pas un Etat vassal des Etats-Unis, contrairement aux Etats membres de l'Union européenne qui le sont de toute évidence.
C'est à cause de l'indépendance et de l'audace de la Russie à s'exprimer contre la désinvolture des Etats-unis à l'égard du droit international, par exemple dans sa conduite de guerres illégales et de changements de régime au Moyen-Orient, en Afrique du Nord et en Ukraine, que Washington trouve cette attitude si intolérable.
Lorsqu'on lui a demandé récemment dans des médias allemands pourquoi l'Occident est si hostile envers lui, Poutine aurait répondu laconiquement : « la peur ».
Le dirigeant russe ne voulait pas dire par là que l'Occident avait peur d'une agression militaire russe. Il voulait dire que la peur était due à sa puissance de démonstration. Un fort contre-poids aux menées impérialistes des Etats-Unis constituait une puissante négation de la présumée suprématie US unipolaire sur le monde entier. Ce qui signifie que le monde n'est pas un paillasson pour l'assujettissement US. Le défi de la Russie à l'hégémonie US est un signe avant-coureur d'un monde multipolaire, un monde dans lequel les Etats-Unis et ses filiales européennes devront commencer à travailler de concert avec d'autres nations, d'égal à égal et dans le cadre du droit international, et non pas comme des renégats au-dessus des lois.
La Syrie est une illustration classique. Washington et ses alliés britanniques et français, ainsi que des Etats vassaux régionaux, ont présumé qu'ils pouvaient mener une nouvelle opération illégale de changement de régime dans ce pays arabe, comme ils l'avaient fait auparavant en Libye, en Irak et en Afghanistan. L'intervention militaire de la Russie en appui à son allié syrien fut une manifestation éclatante que l'Occident ne pouvait plus continuer son petit jeu de changement de régime. En outre, l'intervention de la Russie a également exposé l'implication criminelle secrète de Washington et de ses partenaires dans le recours aux mercenaires terroristes pour mener leurs changements de régime.
(suite en dessous:)
RépondreSupprimerLa même chose peut être dite sur l'Ukraine, où le soutien politique de la Russie aux séparatistes ethniques russes a empêché que le coup d'État de Washington à Kiev en Février 2014 ne transforme le pays tout entier en un régime marionnette des Etats-Unis.
C'est la raison pour laquelle Washington craint la Russie sous Poutine. Il est un obstacle à sa « domination mondiale à spectre complet », telle que prévue par les idéologues impérialistes US suite à l'effondrement de l'Union Soviétique.
Cependant, la Russie est plus qu'un obstacle. Dans sa conduite d'une politique étrangère indépendante, la Russie expose les crimes US contre le droit international et son parrainage d'Etat du terrorisme. Et la Russie expose également la servilité pathétique et la complicité des Etats européens, des médias occidentaux et des institutions des Nations Unies pour se plier aux ambitions hégémoniques de Washington.
La politique étrangère de la Russie est, bien sûr, tout à fait légitime. Mais du point de vue de Washington, elle constitue un défi intolérable à sa volonté tyrannique. À cette fin, la Russie doit être métamorphosée en un Etat ennemi. Et les dirigeants européens serviles adhèrent à cet ordre du jour, afin de dissimuler leur complicité odieuse.
Il se trouve que les médias russes ont démontré une indépendance des journalistes et des analyses critiques sur les grands événements mondiaux, comme ce qui se passe réellement en Syrie et en Ukraine. Le fait que les gouvernements occidentaux soutiennent secrètement les réseaux terroristes pour mener un changement de régime illégal n'est plus à démontrer. Si cela vous paraît exagéré ou un « commentaire injuste », c'est uniquement parce que les médias occidentaux se sont refusés à dénoncer les fausses revendications et prétentions de leurs propres gouvernements. Ce qui n'est pas une raison pour délégitimer le journalisme des médias russes. En fait, c'est ce qui rend un tel journalisme louable.
Dire que les Etats occidentaux sont frustrés par la Russie est un euphémisme. Ils sont livides, comme on peut le voir à la façon dont leur entreprise criminelle de changement de régime en Syrie a été mise en déroute. Par conséquent, les efforts occidentaux visent à accuser la Russie de « crimes de guerre » et de la comparer à l'Allemagne nazie.
Combinez cette diabolisation avec les affirmations à sensation selon lesquelles la Russie tente de subvertir les démocraties occidentales, le climat politique toxique devient alors propice pour des mesures de plus grande portée.
Il s'agit là d'une logique réductionniste osée : la Russie est un Etat ennemi, et les médias russes sont des outils de propagande ennemis.
(suite en dessous:)
Etant donné que les législateurs européens voteront cette semaine sur la lutte contre les médias russes, on peut supposer que la prochaine étape logique sera l'interdiction pure et simple des chaînes russes sur les ondes et Internet.
RépondreSupprimerMais comme a déclaré Margarita Simonyan, rédactrice en chef de RT, à Deutsche Welle, le mouvement draconien visant à interdire les médias russes ne fait que démontrer à quel point les discours occidentaux sur la « liberté d'expression » sont vides.
« C'est une interprétation plutôt intéressante des valeurs occidentales tant vantées, en particulier sur la liberté d'expression - qui dans le concret signifie apparemment d'attaquer une voix de dissidence rare parmi des milliers de médias européens » a ajouté Simonyan.
Les gouvernements occidentaux sont en train d'adopter des méthodes de despote.
Incapables de faire ce que bon leur semble, y compris de violer le droit international et d'aller en guerre où et quand bon leur semble, ils s'en prennent alors aux pays qui résistent, comme la Russie, au point de désigner la Russie comme un pays ennemi, susceptible donc de faire l'objet d'une agression militaire.
Et lorsque des médias exposent les doubles normes et l'hypocrisie criminelle de l'Occident, ces médias sont alors fustigés comme étant de la propagande ennemie, qui doivent être arrêtés et interdits.
La décadence occidentale est vraiment en train de sombrer dans le caniveau ou dans la corruption et l'absurde. Un destin qui est le résultat de l'effondrement interne due à la politique et au bellicisme de sa propre oligarchie. Et l'opinion publique occidentale le comprend de mieux en mieux, avec ou sans l'aide des Russes.
Tirer sur le messager ne modifie pas le message.
Commentaire : Voir aussi :
- La guerre des ondes ? les comptes bancaires de la chaîne RT bloqués au Royaume-Uni
- L'erreur de Hollande vis-à-vis de la Russie
- Guerre des mondes : les masques ont été arrachés en Syrie
- De plus en plus orwellien ce monde ! Sputnik considéré groupe terroriste par le Parlement Européen
https://fr.sott.net/article/29193-Guerre-de-l-information-l-Occident-se-dirige-vers-l-interdiction-des-medias-russes
Les agressions contre les enseignants se multiplient en France
RépondreSupprimer20:28 19.10.2016
Le premier ministre français Manuel Valls et la ministre de l’Éducation nationale Najat Vallaud-Belkacem ont dénoncé les agressions contre les enseignants, appelant les victimes à porter plainte. Six enseignants agressés en cinq jours, la multiplication des actes de violence envers le corps enseignant est totalement inacceptable de la part d'élèves voire d'adultes extérieurs à l'Éducation nationale, a admis Christian Chevalier, secrétaire général du syndicat SE-UNSA, dans une interview accordée à Sputnik.
« Pour l'essentiel, tous ces actes au cours de cette dernière semaine sont des actes isolés, spontanés, pas forcément préparés, donc il est très difficile d'anticiper une protection. (…) Je ne souhaite pas que l'école se referme, qu'elle devienne un bunker. (…) C'est symptomatique du fait que les institutions de la République sont très largement attaquées », a poursuivi Christian Chevalier.
Selon lui, il ne faut pas laisser de côté les mêmes actes vis-à-vis de l'institution policière, car les policiers ont aussi été agressés de manière extrêmement violente ces derniers temps par des cocktails Molotov, s'efforçant de stopper les malfaiteurs. Dans un tel contexte, le corps enseignant se sent soutenu par le ministère et le gouvernement, « parce qu'il y a eu un certain nombre d'expression publiques de la part du premier ministre et des ministres concernés. (…)
Désormais, lorsque des actes de violence sont commis, nos collègues portent plainte et ils sont soutenus par l'institution. (…) Les enseignants n'ont pas vocation à faire un métier à risque », a noté le secrétaire général du SE-UNSA.
Le 18 octobre, le premier ministre français Manuel Valls a dénoncé une série d'actes de violence contre les enseignants des écoles à Saint-Denis près de Paris, à Calais, à Tremblay-en-France, à Argenteuil, à Colomiers et à Strasbourg, survenus depuis le 13 octobre dernier.
https://fr.sputniknews.com/france/201610191028280281-agressions-plainte-police-enseignants-victimes/