Un lobby parmi beaucoup trop d'autres: la connection.
Mais, là où les démarcheurs oublient de parler du principal est bien le piratage ! Hahaha !
Ainsi, après l'ouverture et marche des voitures, les comptes en banques et l'alarme-maison, tout un nouveau flot de gadgets électronique qui sonnent quand il ne faut pas ou ne marche jamais quand il faut ! Hahaha !
Il y a même à Nice des lampadaires qui ne s'éclairent la nuit qu'à l'arrivée d'un piéton... obligatoirement porteur d'un smartphone !!! Hahaha !
Les pirates (munis de scanners à 120 € s/internet) captent à moins de 200 mètres toutes les radios-commandes et en reprennent les paramètres ! Hahaha !
Donc, pour résumer pour celles ou ceux qui n'auraient pas compris: En plus de la NSA qui vous voit et vous écoute 24/24 et vous enregistre les moments les plus crus quand vous étiez sous la douche, au wc, au lit ou autre part à proximité de votre téléphone, ordi ou télé écran plat, décodeur, boxes, il y a les pirates ! Hahaha !
Prix de vous = 2,69 € (info revendue sur le net !).
Vous êtes prêt(e) a en chier tous les jours ? Tout pour faire gerber ! - Voir le Nouveau-suppo qui vous indique sur votre smartphone quand et comment vous vous êtes sodomisé !
Nos gadgets nous espionnent et personne ne sait ce qui se passe ensuite
Mylène Vandecasteele 5 octobre 2016
Le bureau du Commissaire à la protection de la vie privée du Canada a pris part à une enquête internationale consacrée à la vie privée, qui a soulevé des inquiétudes à propos des appareils connectés, ce que l’on appelle l’Internet des objets : les éditeurs de ces appareils demeurent bien trop opaques concernant l’étendue des données qu’ils collectent.
L’Internet des objets est désormais présent dans notre vie quotidienne au travers d’un large éventail d’appareils connectés : thermostats de maison connecté, systèmes de sécurité, voitures automotrices, instruments de suivi du sommeil ou de l’exercice, etc.
Les analystes qui ont effectué cette enquête se sont spécialement attachés à observer la manière dont ces appareils rendent compte de l’usage qu’ils font des informations qu’ils collectent. Ils concluent que beaucoup de ces appareils ne permettent pas à leurs utilisateurs de contrôler les données personnelles qu’ils collectent. En particulier, des données sensibles telles que des informations concernant la santé ou les finances peuvent être incluses dans cette collecte.
« Avec la prolifération de l’Internet des objets les activités, mouvements, comportements et préférences des individus sont mesurés, enregistrés et analysés sur une base de plus en plus régulière. Avec l’expansion de ces technologies, il est impératif que les firmes rendent mieux compte de leurs pratiques concernant la manipulation des informations personnelles. » , peut-on lire dans le rapport.
Une notice souvent introuvable
Près de la moitié des enquêteurs de l’équipe du Canada et plus des trois quarts des enquêteurs internationaux ne parvenaient pas à trouver des instructions de base telles que la manière de supprimer leurs données personnelles. De même, ils ont constaté que beaucoup d’appareils suivaient les déplacements de leurs possesseurs sans expliquer pourquoi ils le faisaient. De même, ils ont constaté que les politiques en matière de vie privée de beaucoup d’appareils et de firmes étaient bien trop vagues.
Selon Cisco Systems, il y aura 50 milliards d’appareils connectés à travers le monde d’ici 2020. International Data Corporation (IDC) prédit que le marché de l’Internet des objets atteindra 1700 milliards de dollars d’ici là.
Généraux américains : un conflit «extrêmement meurtrier» avec la Russie est «quasiment certain»
7 oct. 2016, 08:33
S'exprimant lors d'une conférence sur l'avenir de l'armée, des hauts-gradés de l'armée américaine ont évoqué les perspectives de futurs conflits, qui devraient opposer les Etats-Unis à la Russie et à la Chine.
Lire aussi La Russie met en garde les Etats-Unis contre des frappes qui viseraient l'armée syrienne
Les Etats-Unis font face à de très sérieuses menaces venant d’Etats «agissant de façon agressive», a affirmé le lieutenant-général Joseph Anderson, vice-chef de l’état-major, intervenant lors d'une conférence sur l’avenir de l’armée américaine qui s’est tenue le 4 octobre.
«A qui cela vous fait-il penser ? La Russie ?» a-t-il ironiquement demandé aux autres intervenants. Un tel conflit est «quasiment certain», selon le chef de l’état-major de l’armée américaine Mark Milley.
Le géneral Hix a informé l’assemblée du fait que les Etats-Unis avaient été contraints de se préparer à une «violence d'une ampleur que l’armée américaine n’a pas connue depuis la guerre de Corée», au regard des avancées technologiques réalisées par la Russie et par la Chine.
Un tel conflit serait «extrêmement meurtrier et bref» selon les intervenants.
Pour le général Hix, les avancées technologiques dans l’armement, telles que l’intelligence artificielle et les systèmes autonomes, vont considérablement augmenter la rapidité des évènements dans le cadre d'un conflit et «mettre à l’épreuve nos capacités humaines». «La vitesse à laquelle les machines pourront prendre des décisions justifiera le développement d’une nouvelle relation entre l’homme et la machine», a-t-il précisé.
Lire aussi : Poutine signe un décret suspendant l’accord russo-américain sur l’élimination du plutonium
L’invasion américaine de l’Afghanistan a déclenché une guerre mondiale
17:30 07.10.2016
Il y a 15 ans, le 7 octobre 2001, les États-Unis lançaient une intervention militaire en Afghanistan et une opération contre les talibans. Wahid Muzhdah, un ancien taliban, estime que ce jour-là les Américains ont déclenché une guerre mondiale qui a commencé en Afghanistan et se poursuit, aujourd'hui, dans différentes régions. Sputnik reproduit ci-dessous son interview exclusive. Ce jour, il y a 15 ans, l'Amérique envahissait l'Afghanistan, en représailles aux attaques d'Al-Qaïda contre les tours jumelles de New York. Les détails de l'invasion demeurent obscurs. Le thème a fait couler bien de l'encre, mais les réponses à la plupart des questions n'ont pas encore été trouvées. Une chose est claire : l'Afghanistan a été soupçonné et est devenu la cible de l'attaque américaine.
Il y a 15 ans, l'Amérique a plongé le monde dans une période de guerres ininterrompues. Des guerres qui ont commencé par l'intervention américaine en Afghanistan et qui se poursuivent en Irak, Syrie et Libye. Les peuples de ces pays ont subi de lourdes pertes, la guerre y a fait d'innombrables morts, blessés et délogés. Quels étaient les objectifs des États-Unis en Afghanistan ? Zalmay Khalilzad (diplomate américain, ambassadeur en Afghanistan, ndlr) m'a raconté que les Américains auraient trouvé un prétexte pour envahir l'Afghanistan, même s'il n'y avait pas eu d'attentats du 11 septembre. Le président Clinton ne l'envisageait pas, mais dès son entrée en fonction, George Bush a dit qu'il était grand temps de prendre une décision à ce sujet. D'abord, les Américains ont lancé la chasse à Oussama Ben Laden pour le trouver, l'éliminer et, ce faisant, « affranchir l'Afghanistan des terroristes ».
Un autre objectif consistait à créer en Afghanistan un gouvernement à même de servir d'exemple pour d'autres pays islamiques. Ensuite, ils se sont fixé pour but de redresser l'économie et l'infrastructure industrielle de l'Afghanistan afin que le pays atteigne une prospérité économique.
Enfin, il fallait détruire les plantations de pavot à opium et en finir avec le trafic de drogue en tant que source vitale de financement du terrorisme. 15 ans se sont écoulés depuis, aucune des promesses données par les États-Unis n'a été tenue et les Afghans continuent de subir des privations. Des dizaines de milliers de militaires afghans ont été tués par les Américains. Au nom de quoi ? D'autant plus paradoxal est le fait que Ben Laden a été éliminé au Pakistan et non pas en Afghanistan.
Pour ce qui est de « l'importation de la démocratie » en Afghanistan, elle n'y a pas été importée. Mais les Américains faisaient bonne mine à mauvais jeu et déclaraient que la démocratie avait triomphé en Afghanistan. Les dernières élections ont démontré que le président en place avait été élu par le chef du département d'État et non par le peuple afghan. En ce qui concerne le redressement de l'économie afghane par les Américains, personne n'a rendu de comptes pour les milliards de dollars investis par les États-Unis dans le règlement de ce problème. Il ne s'agit pas seulement des finances, mais aussi des armes. Où sont-elles ? Dans quelles mains ? Il n'y a pas de réponses.
Un seul exemple. Les Américains se sont présentés comme garants de l'achat par l'Afghanistan de 20 bombardiers italiens qui n'ont pas été utilisés dans des opérations antiterroristes et qui, en fin de compte, ont été vendus à la ferraille. Le sujet le plus douloureux pour l'Afghanistan d'aujourd'hui est le trafic de drogue. En 2001, le mollah Omar (chefs des talibans à l'époque) a interdit la culture du pavot.
Sa production en 2001, selon les statistiques de 2002, a atteint 30 400 tonnes, mais elle ne cesse de croître depuis : 30 600 tonnes en 2003, 40 000 tonnes en 2004, 40 100 tonnes en 2005, et ainsi de suite. La tactique des États-Unis en matière de politique extérieure conduira un jour le monde à une troisième guerre mondiale. Nous constatons, à l'exemple de l'Afghanistan, quel système ils ont introduit. Ce système qui est contraire à la paix.
Un lobby parmi beaucoup trop d'autres: la connection.
RépondreSupprimerMais, là où les démarcheurs oublient de parler du principal est bien le piratage ! Hahaha !
Ainsi, après l'ouverture et marche des voitures, les comptes en banques et l'alarme-maison, tout un nouveau flot de gadgets électronique qui sonnent quand il ne faut pas ou ne marche jamais quand il faut ! Hahaha !
Il y a même à Nice des lampadaires qui ne s'éclairent la nuit qu'à l'arrivée d'un piéton... obligatoirement porteur d'un smartphone !!! Hahaha !
Les pirates (munis de scanners à 120 € s/internet) captent à moins de 200 mètres toutes les radios-commandes et en reprennent les paramètres ! Hahaha !
Donc, pour résumer pour celles ou ceux qui n'auraient pas compris: En plus de la NSA qui vous voit et vous écoute 24/24 et vous enregistre les moments les plus crus quand vous étiez sous la douche, au wc, au lit ou autre part à proximité de votre téléphone, ordi ou télé écran plat, décodeur, boxes, il y a les pirates ! Hahaha !
Prix de vous = 2,69 € (info revendue sur le net !).
Vous êtes prêt(e) a en chier tous les jours ? Tout pour faire gerber !
- Voir le Nouveau-suppo qui vous indique sur votre smartphone quand et comment vous vous êtes sodomisé !
https://www.youtube.com/watch?v=I7PPtBizgb8
Nos gadgets nous espionnent et personne ne sait ce qui se passe ensuite
RépondreSupprimerMylène Vandecasteele
5 octobre 2016
Le bureau du Commissaire à la protection de la vie privée du Canada a pris part à une enquête internationale consacrée à la vie privée, qui a soulevé des inquiétudes à propos des appareils connectés, ce que l’on appelle l’Internet des objets : les éditeurs de ces appareils demeurent bien trop opaques concernant l’étendue des données qu’ils collectent.
L’Internet des objets est désormais présent dans notre vie quotidienne au travers d’un large éventail d’appareils connectés : thermostats de maison connecté, systèmes de sécurité, voitures automotrices, instruments de suivi du sommeil ou de l’exercice, etc.
Les analystes qui ont effectué cette enquête se sont spécialement attachés à observer la manière dont ces appareils rendent compte de l’usage qu’ils font des informations qu’ils collectent. Ils concluent que beaucoup de ces appareils ne permettent pas à leurs utilisateurs de contrôler les données personnelles qu’ils collectent. En particulier, des données sensibles telles que des informations concernant la santé ou les finances peuvent être incluses dans cette collecte.
« Avec la prolifération de l’Internet des objets les activités, mouvements, comportements et préférences des individus sont mesurés, enregistrés et analysés sur une base de plus en plus régulière. Avec l’expansion de ces technologies, il est impératif que les firmes rendent mieux compte de leurs pratiques concernant la manipulation des informations personnelles. » , peut-on lire dans le rapport.
Une notice souvent introuvable
Près de la moitié des enquêteurs de l’équipe du Canada et plus des trois quarts des enquêteurs internationaux ne parvenaient pas à trouver des instructions de base telles que la manière de supprimer leurs données personnelles. De même, ils ont constaté que beaucoup d’appareils suivaient les déplacements de leurs possesseurs sans expliquer pourquoi ils le faisaient. De même, ils ont constaté que les politiques en matière de vie privée de beaucoup d’appareils et de firmes étaient bien trop vagues.
Selon Cisco Systems, il y aura 50 milliards d’appareils connectés à travers le monde d’ici 2020. International Data Corporation (IDC) prédit que le marché de l’Internet des objets atteindra 1700 milliards de dollars d’ici là.
https://fr.express.live/2016/10/05/internet-des-objets-collecte-donnees-personnelles/
SupprimerVoir/écouter les explications de Claire Séverac:
https://huemaurice5.blogspot.fr/2016/10/la-guerre-secrete-contre-les-peuples.html
et aussi:
https://www.youtube.com/watch?v=jCOPqwFeDW0
Généraux américains : un conflit «extrêmement meurtrier» avec la Russie est «quasiment certain»
RépondreSupprimer7 oct. 2016, 08:33
S'exprimant lors d'une conférence sur l'avenir de l'armée, des hauts-gradés de l'armée américaine ont évoqué les perspectives de futurs conflits, qui devraient opposer les Etats-Unis à la Russie et à la Chine.
Lire aussi
La Russie met en garde les Etats-Unis contre des frappes qui viseraient l'armée syrienne
Les Etats-Unis font face à de très sérieuses menaces venant d’Etats «agissant de façon agressive», a affirmé le lieutenant-général Joseph Anderson, vice-chef de l’état-major, intervenant lors d'une conférence sur l’avenir de l’armée américaine qui s’est tenue le 4 octobre.
«A qui cela vous fait-il penser ? La Russie ?» a-t-il ironiquement demandé aux autres intervenants. Un tel conflit est «quasiment certain», selon le chef de l’état-major de l’armée américaine Mark Milley.
Le géneral Hix a informé l’assemblée du fait que les Etats-Unis avaient été contraints de se préparer à une «violence d'une ampleur que l’armée américaine n’a pas connue depuis la guerre de Corée», au regard des avancées technologiques réalisées par la Russie et par la Chine.
Un tel conflit serait «extrêmement meurtrier et bref» selon les intervenants.
Pour le général Hix, les avancées technologiques dans l’armement, telles que l’intelligence artificielle et les systèmes autonomes, vont considérablement augmenter la rapidité des évènements dans le cadre d'un conflit et «mettre à l’épreuve nos capacités humaines». «La vitesse à laquelle les machines pourront prendre des décisions justifiera le développement d’une nouvelle relation entre l’homme et la machine», a-t-il précisé.
Lire aussi : Poutine signe un décret suspendant l’accord russo-américain sur l’élimination du plutonium
https://francais.rt.com/international/27292-guerre-etats-unis-russie
L’invasion américaine de l’Afghanistan a déclenché une guerre mondiale
RépondreSupprimer17:30 07.10.2016
Il y a 15 ans, le 7 octobre 2001, les États-Unis lançaient une intervention militaire en Afghanistan et une opération contre les talibans. Wahid Muzhdah, un ancien taliban, estime que ce jour-là les Américains ont déclenché une guerre mondiale qui a commencé en Afghanistan et se poursuit, aujourd'hui, dans différentes régions. Sputnik reproduit ci-dessous son interview exclusive. Ce jour, il y a 15 ans, l'Amérique envahissait l'Afghanistan, en représailles aux attaques d'Al-Qaïda contre les tours jumelles de New York. Les détails de l'invasion demeurent obscurs. Le thème a fait couler bien de l'encre, mais les réponses à la plupart des questions n'ont pas encore été trouvées. Une chose est claire : l'Afghanistan a été soupçonné et est devenu la cible de l'attaque américaine.
Il y a 15 ans, l'Amérique a plongé le monde dans une période de guerres ininterrompues. Des guerres qui ont commencé par l'intervention américaine en Afghanistan et qui se poursuivent en Irak, Syrie et Libye. Les peuples de ces pays ont subi de lourdes pertes, la guerre y a fait d'innombrables morts, blessés et délogés. Quels étaient les objectifs des États-Unis en Afghanistan ? Zalmay Khalilzad (diplomate américain, ambassadeur en Afghanistan, ndlr) m'a raconté que les Américains auraient trouvé un prétexte pour envahir l'Afghanistan, même s'il n'y avait pas eu d'attentats du 11 septembre. Le président Clinton ne l'envisageait pas, mais dès son entrée en fonction, George Bush a dit qu'il était grand temps de prendre une décision à ce sujet. D'abord, les Américains ont lancé la chasse à Oussama Ben Laden pour le trouver, l'éliminer et, ce faisant, « affranchir l'Afghanistan des terroristes ».
Un autre objectif consistait à créer en Afghanistan un gouvernement à même de servir d'exemple pour d'autres pays islamiques. Ensuite, ils se sont fixé pour but de redresser l'économie et l'infrastructure industrielle de l'Afghanistan afin que le pays atteigne une prospérité économique.
Enfin, il fallait détruire les plantations de pavot à opium et en finir avec le trafic de drogue en tant que source vitale de financement du terrorisme. 15 ans se sont écoulés depuis, aucune des promesses données par les États-Unis n'a été tenue et les Afghans continuent de subir des privations. Des dizaines de milliers de militaires afghans ont été tués par les Américains. Au nom de quoi ? D'autant plus paradoxal est le fait que Ben Laden a été éliminé au Pakistan et non pas en Afghanistan.
Pour ce qui est de « l'importation de la démocratie » en Afghanistan, elle n'y a pas été importée. Mais les Américains faisaient bonne mine à mauvais jeu et déclaraient que la démocratie avait triomphé en Afghanistan. Les dernières élections ont démontré que le président en place avait été élu par le chef du département d'État et non par le peuple afghan. En ce qui concerne le redressement de l'économie afghane par les Américains, personne n'a rendu de comptes pour les milliards de dollars investis par les États-Unis dans le règlement de ce problème. Il ne s'agit pas seulement des finances, mais aussi des armes. Où sont-elles ? Dans quelles mains ? Il n'y a pas de réponses.
(suite en dessous:)
Un seul exemple. Les Américains se sont présentés comme garants de l'achat par l'Afghanistan de 20 bombardiers italiens qui n'ont pas été utilisés dans des opérations antiterroristes et qui, en fin de compte, ont été vendus à la ferraille. Le sujet le plus douloureux pour l'Afghanistan d'aujourd'hui est le trafic de drogue. En 2001, le mollah Omar (chefs des talibans à l'époque) a interdit la culture du pavot.
RépondreSupprimerSa production en 2001, selon les statistiques de 2002, a atteint 30 400 tonnes, mais elle ne cesse de croître depuis : 30 600 tonnes en 2003, 40 000 tonnes en 2004, 40 100 tonnes en 2005, et ainsi de suite. La tactique des États-Unis en matière de politique extérieure conduira un jour le monde à une troisième guerre mondiale. Nous constatons, à l'exemple de l'Afghanistan, quel système ils ont introduit. Ce système qui est contraire à la paix.
https://fr.sputniknews.com/international/201610071028083109-invasion-afghanistan-guerre-mondiale-usa/