L'Organisation Météorologique Mondiale, un organisme onusien basé à Genève ne peut pas décemment contredire les prévisions climatiques apocalyptiques de l'IPCC puisque dans le cas contraire il y aurait comme un désordre au sein des Nations-Unies dans la mesure où l'IPCC est une émanation de l'OMM. L'OMM a donc déclaré le mois de juin dernier le mois le plus chaud depuis le début de l'année 2016 et le quatorzième mois le plus chaud de la série consécutive à l'évènement météorologique El Nino de 2015.
Comme l'OMM tient ses informations directement des satellites météorologiques de la NASA, cette dernière agence lui a fourni l'information fatidique : durant les six premiers mois de 2016 les températures ont été de 1,3 degrés C supérieures aux températures moyennes de l'ère préindustrielle (sic) selon l'Agence Reuters (21 juillet 2016, depuis Genève où se trouve l'OMM). Il faudrait demander à des Berlinois, des Parisiens ou des Londoniens ce qu'ils en pensent...
Depuis 70 ans jamais les températures moyennes n'ont pu atteindre celles observées dans les années 1930 :
Ceci est conforme aux observations réalisées à Lincoln en Virginie depuis l'année 1900 :
Comme c'est maintenant le rôle de l'OMM d'alimenter la propagande climatique, il était également prévu qu'en cette année 2016, la plus chaude depuis que James Watt a inventé la machine à vapeur, il y aurait une multitude d'évènements météorologiques extrêmes. Pas de chance, pour le moment le seul événement notoire a été le typhon annoncé comme super-typhon qui est passé au dessus de l'île de Taiwan rétrogradé la veille de son « atterrissage » en catégorie 2. Pour l'instant de par le monde (ce lundi 25 juillet) il y a un seul ouragan vraiment actif (15 N - 125 W) répondant au doux nom de Georgette qui est classé en catégorie 2 et va s'évaporer dans quelques jours dans la région d'Hawaii (illustration en début de billet, source http://tropic.ssec.wisc.edu ). Pour les évènement météorologiques exceptionnels, l'OMM devra revoir sa copie.
D'ailleurs, pour les cyclones, typhons et autres ouragans, il suffit de voir l'illustration ci-dessous qui cumule l'énergie de tous ces évènements depuis 1970. Force est de constater que ces évènements perdent de leur énergie depuis que le Soleil est entré dans une phase durable d'inactivité. N'est-ce pas là la plus évidente démonstration de l'effet direct de la chute récente de l'activité solaire, El Nino ou pas ?
https://fr.sott.net/article/28676-Propagande-climatique-les-dernieres-nouvelles
Bientôt l'interdiction de remettre en cause les discours de l'État ?
RépondreSupprimerÉric Verhaeghe
Contrepoints
jeu., 28 juil. 2016 06:07 UTCCarte
-- Comment: Droite ou gauche, peu importe l'endroit de la cuvette : la classe politique dans son ensemble perd en crédibilité et en légitimité. Elle perd donc en contrôle, face à une population de moins en moins encline à se contenter des discours consensuels habituels. Il faudra donc s'attendre à un durcissement des lois, une augmentation de la répression, à une stigmatisation des individus qui s'élèvent contre les laïus du gouvernement : depuis quand aurait-on vu un politicien reconnaitre ses torts, avouer son inutilité et délaisser de bonne grâce tous ses privilèges ? La confrontation peuple-classe dirigeante, puisque c'est de cela au fond dont il s'agit, loin d'être réjouissante, augure au contraire un potentiel de violence et de souffrance que l'on croirait devenu presque inévitable. Ce qui n'est bien sûr pas forcément le cas :
Violence, guerres : justification par une science détournée
La violence n'a pas toujours existé
La Connaissance et la Liberté, antidotes au fascisme montant --
La gauche en dit long sur ce que l'État représente à ses yeux lorsqu'elle demande de ne pas le critiquer ou, pire, lorsqu'elle accuse ses détracteurs d'être des ennemis de la démocratie.
Ces derniers jours, la gauche multiplie les appels au silence dans les rangs. Le plus caractéristique d'entre eux fut celui de Jean-Marie Le Guen, qui considérait que les critiques incessantes sur le fonctionnement des services de l'État étaient une mise en danger de la démocratie. On aurait bien tort de limiter cette stigmatisation de la prise de parole à un simple accès d'autoritarisme. Elle révèle un malaise plus profond, l'expression d'un besoin de tabou caractéristique des univers en crise.
Il faut protéger le papa État
La gauche en dit long sur ce que l'État représente à ses yeux lorsqu'elle demande de ne pas le critiquer ou, pire, lorsqu'elle accuse ses détracteurs d'être des ennemis de la démocratie. On comprend bien l'argument qui est donné en creux : remettre l'État en cause, c'est saper le fondement de l'ordre, du sens, c'est défier la loi.
Il est très symptomatique de voir que la gauche a atteint ce stade antérieur à la pensée démocratique où la loi et l'État se confondent, comme si la norme en démocratie se résumait à l'expression de puissance comprise dans toute forme de bureaucratie.
Inconsciemment, bien sûr, c'est l'État comme figure du père qui se dessine dans ces propos. L'appel de Jean-Marie Le Guen au silence dans les rangs ne dit pas autre chose : arrêtez de critiquer le papa État ! Sinon, c'est le principe même de l'autorité qui va disparaître.
(suite en dessous:)
La gauche en pleine terreur primitive
RépondreSupprimerCette évolution de la sémantique politique n'a rien de très rassurant. Elle dévoile un pouvoir aux abois, déstabilisé dans son fondement, et en pleine perte de repère. Ce n'est plus un débat démocratique qui a lieu, avec une délibération rationnelle sur la performance des services de l'État ou sur la rationalité des choix opérés en matière de sécurité.
Peu à peu, nous avons glissé vers un débat d'une autre nature, où le pouvoir (auquel on aurait pu confier un grand « P ») exprime sa peur de perdre le contrôle de la situation. Il demande au village de se rassembler autour du Totem républicain et de redire sa foi dans les tabous traditionnels.
Non, il ne faut pas blasphémer ! Oui, il faut respecter silencieusement les grandes règles qui font les soubassements de la société. Ces grandes règles, on les connaît : ne pas défier l'autorité du papa État, accepter les lois traditionnelles, reconnaître l'autorité des chefs désignés selon la coutume.
Certains s'amuseront de voir que ce rappel au tabou primitif survient au moment où une femme remet en cause la parole d'un ministre. Comme si cet acte-là agissait symboliquement et inconsciemment comme une remise en cause de l'ordre ancestral tout entier.
Le besoin d'un ordre autoritaire ?
En réponse à cette grande angoisse primitive exprimée par ceux qui sont chargés de l'autorité sur la communauté, faut-il craindre une fête expiatoire où seront désignés les boucs-émissaires du désordre intérieur ? C'est un vieux réflexe primitif, en effet, de canaliser les peurs collectives sur une victime désignée pour exorciser tout ce dont on ne veut pas.
Incontestablement, la société française se trouve bien à cette croisée des chemins où, pour conjurer la peur d'une dislocation, la désignation d'un ennemi à l'origine de tous nos maux est tentante. Le problème est que personne pour l'instant ne s'est mis d'accord sur le nom du coupable. Mais il est incontestable que la société française a commencé à le chercher, et on peut craindre qu'elle ne finisse par en désigner un d'office.
Pour le vaincre, la gauche, on le sent bien, appelle de ses vœux un épisode autoritaire où le gouvernement ne serait plus embarrassé par cette masse de contestataires. C'est dans ces moments-là qu'il faut rester le plus vigilant sur la question des libertés.
La gauche et la dictature
Plus que jamais, la gauche flirte avec des discours liberticides, où la bien-pensance tient lieu de censure. L'année des présidentielles ne devrait pas calmer le jeu. On voit bien le discours qui se prépare : Hollande ou le chaos.
Décidément, de la société primitive à la démocratie, il y a bien des changements de forme ou de sophistication institutionnelle. Mais les règles du débat public restent les mêmes.
https://fr.sott.net/article/28675-Bientot-l-interdiction-de-remettre-en-cause-les-discours-de-l-Etat
Ainsi, dans cette nouvelle petite 'Corée du Nord' à la dictature bienveillante devrait s'implanter ces litanies conflictuelles du 'juste-au-corps' empêchant donc tout être humain de s'éduquer au niveau 1 dépassant donc du degré le niveau intellectuel de l'Etat.
SupprimerC'est donc avec l'apparition horrifiante de religion extérieure et tous ses déboires qui vont avec que le 'respect' des dictateurs doit être entretenu. La première décapitation sur la voie publique (aux pieds de la tour Eiffel ?) fera que le ton de fermer sa gueule et de glacer le sang sera la marche à suivre face au crever-sur-place.
Sécurité à Nice : Estrosi et Pradal démolissent les conclusions du rapport de l’IGPN
RépondreSupprimer28 juil. 2016, 13:05
Christian Estrosi et Philippe Pradal ont tenu à faire savoir qu'ils n'étaient pas convaincus par les conclusions de la police des polices quant à la réalité du dispositif de sécurité en place le soir du 14 juillet à Nice
Alors que l'enquête de la police des polices sur le dispositif de sécurité déployé à Nice le soir du 14 juillet dédouane les autorités, Christian Estrosi et Philippe Pradal dénoncent des «contradictions» et souhaitent des éclaircissements.
La conclusion de cette enquête administrative «ne saurait être suffisante pour répondre aux interrogations légitimes des familles des victimes». Le président de la région PACA et son successeur à la mairie de Nice ne sont pas convaincus. Christian Estrosi et Philippe Pradal ont publié un communiqué dans la soirée du 27 juillet pour réagir aux conclusions de l’Inspection générale de la Police nationale (IGPN), qui avait rendu son rapport plus tôt dans la journée.
Afin de faire cesser la polémique sur le dispositif de sécurité en place le soir de l’attentat du 14 juillet à Nice, très largement initiée par Christian Estrosi, le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, avait chargé la police des polices d’enquêter. Et pour l'IGPN, le résultat est sans équivoque : le dispositif «n’était pas sous-dimensionné».
Bataille de chiffres
Les éléments du communiqué de Christian Estrosi et de Philippe Pradal laissent entendre que le gouvernement n’en a pas encore terminé avec la controverse née au soir de l'attentat. En effet, le duo azuréen a relevé plusieurs «contradictions» qu’il a voulu porter à la connaissance du public.
Le premier point concerne la présence d'une force mobile sur la Promenade. Si les élus se félicitent du fait que le rapport confirme leurs dires sur le sujet, ils font remarquer ce qu'ils considèrent comme des incohérences entre la carte du dispositif présentée par l'IGPN et les conclusions du rapport : «Nous notons tout d’abord que ce rapport indique qu’aucune force mobile supplémentaire n’était présente comme nous le disions depuis ce terrible drame. Nous relevons également qu’il y a une totale contradiction entre la carte ci-jointe et les conclusions présentées ce jour.»
Deuxième «contradiction» : la différence de contenu entre le discours prononcé le 21 juillet par le préfet des Alpes-Maritimes, Adolphe Colrat, et le rapport de l’IGPN. «En effet, lors d’une conférence de presse, le 21 juillet dernier, soit sept jours après le drame, le préfet des Alpes-Maritimes a indiqué que 39 effectifs de police nationale étaient présents au moment de l’attentat, contredisant ce rapport de l’IGPN et les propos du ministre tenus le soir de l’attentat qui évoquait 64 agents mobilisés sur zone. Il y a là une contradiction qui ne trouve pas de réponse dans ce rapport.» Christian Estrosi et Philippe Pradal se lancent ensuite dans une analyse détaillée : «Le rapport certifie page 10, que 64 policiers nationaux étaient engagés sur la Prom Party. Pourtant, ce même rapport, page sept, indique que dans une zone comprise entre la rue Meyerbeer, à l’ouest, et le début du quai des Etats-Unis, à l’est, sont présents: deux sections CDI soit 24 personnes, deux BAC soit six personnes, et trois BTS soit neuf personnes; au total donc 39 personnes. Le reste des 64 agents était dans le Vieux Nice, alors que les 30 000 personnes présentes pour le feu d’artifice étaient sur la Promenade des Anglais. Il n’y avait donc que 39 policiers nationaux sur la Promenade des Anglais et pas 64», expliquent les élus.
(suite en dessous:)
La troisième interrogation concerne des déclarations de l'exécutif assurant que le dispositif de sécurité avait été validé par la mairie. A ce sujet, les deux élus s’interrogent : «Pourquoi le ministre a indiqué que nous avions validé le dispositif alors même que nous ne connaissions ni le nombre d’effectifs mobilisés, ni l’état de la menace qui n’était d’ailleurs pas non plus connue des services de l’Etat comme le révèle ce rapport.» Avant d’ajouter : «Pourquoi, selon les dires mêmes du Premier ministre à l’Assemblée nationale, les forces de la police nationale étaient moins nombreuses au moment et à l’endroit où la population était la plus présente, c’est-à-dire au début du feu d’artifice à 22h et dans le secteur devant le Palais de la Méditerranée ? Si nous avions eu à connaître le détail du dispositif, nous n’aurions jamais validé cela.»
RépondreSupprimerQuatrième et dernier point motivant le scepticisme des deux élus des Alpes-Maritimes : la présence de la police nationale sur le boulevard Gambetta. Christian Estrosi et Philippe Pradal se basent ici sur les révélations de la presse : «Pourquoi la préfecture et le ministre ont affirmé que la police nationale était présente sur le boulevard Gambetta avant que le journal Libération ne démontre le contraire ?»
Sur les réseaux sociaux, les internautes s'interrogent
Le président de la région et le maire de Nice ne veulent pas renoncer «à connaître la vérité». Il suffit de faire un tour sur la toile pour s’apercevoir qu’ils ne sont pas seuls dans cette quête. Les résultats du rapport de l’IGPN n’ont pas convaincu un certain nombre d’internautes. «Pour ne pas empiéter sur l'enquête judiciaire nous n'avons pas voulu travailler sur les vidéos et les ondes radios», précisait Marie-France Moneger-Guyomarc'h, patronne de la police des polices, au moment de communiquer les résultats de l’enquête. Un détail qui n’a pas échappé à plusieurs utilisateurs de Twitter :
D’autres ont rappelé que l’IGPN était placée sous l'autorité du ministère de l’Intérieur. Ce qui soulèverait la question de l’indépendance de son travail :
- voir clip sur site:
https://francais.rt.com/france/24503-securite-nice-estrosi-pradal-pointent-contradictions-rapport-igpn
Athènes obtient le feu vert pour la construction de sa toute première mosquée
RépondreSupprimerMylène Vandecasteele
28 juillet 2016
La ville d’Athènes a officiellement approuvé la construction de la première mosquée dans la capitale grecque. Au cours de ce mois, le Conseil d’Etat grec a statué que les dernières objections à la construction de ce lieu de culte n’étaient pas fondées, ce qui a ouvert la voie à l’octroi d’un permis de construire. Cependant, il faudra probablement encore attendre, en raison de la fameuse bureaucratie grecque.
Les plans de construction – qui ont été conçus en 1880 – ont obtenu le soutien du gouvernement et Tsipras et les coûts, qui sont estimés à 1 million d’euros, seront payés par le contribuable grec.
La mosquée sera édifiée à Elaionas, sur des terres appartenant à l’Etat, et elle aura une capacité de 350 personnes.
Athènes est la seule capitale de l’UE où l’on ne trouve aucune mosquée, bien que près de 200.000 musulmans y résident. Jusqu’à présent, ils se sont accommodés des 70 à 80 mosquées improvisées dans et autour d’Athènes. Amnesty International avait critiqué à plusieurs reprises le manque de lieux de culte pour les musulmans. Mais une grande partie de la population, ainsi que l’Eglise orthodoxe, très puissante, étaient opposées à son édification.
Les musulmans locaux se félicitent de la construction de la première mosquée, mais beaucoup craignent que le bâtiment soit trop petit. Selon un porte-parole du gouvernement, les chiites comme les sunnites pourront utiliser le bâtiment.
Le gouvernement Tsipras a promis de s’employer à créer un cimetière pour les musulmans à Athènes.
https://fr.express.live/2016/07/28/athenes-construction-premiere-mosquee/
A quand la tour Eiffel remplacée par une mosquée ? Avant la fin ou de suite après le 'quinquennat'-éternel ?
SupprimerLe fisc espagnol identifie 1,7 million de fraudes sur les déclarations à la taxe sur les biens immobiliers
RépondreSupprimerAudrey Duperron
27 juillet 2016
En Espagne, au cours des 24 derniers mois, les drones et les satellites utilisés par le gouvernement ont permis de déterminer que plus de 1,7 million de foyers ne payaient pas une taxe sur les biens immobiliers en rapport avec la configuration de leur propriété.
Ces dispositifs avaient été déployés sur 4 340 municipalités par le ministère espagnol des Finances pour détecter les différences entre ce qui avaient été déclaré et la réalité sur le terrain. Ils ont en effet révélé que des contribuables avaient “omis” de déclarer des extensions et des piscines qu’ils avaient fait édifier à leur domicile, par exemple. Or, les contribuables espagnols sont tenus de signaler les modifications qu’ils apportent à leur domicile aux autorités fiscales. Toute modification ayant pour conséquence une augmentation de la valeur d’une propriété augmente la taxe sur les biens immobiliers.
Une amende de 60 euros + 1,25 milliard en revenus supplémentaires
Les fraudeurs ont la possibilité de régulariser leur situation en payant une amende forfaitaire de 60 euros. Les autorités fiscales fourniront aux municipalités concernées un état décrivant la situation réelle de la propriété de leurs citoyens, afin qu’elles puissent adapter la fiscalité en conséquence.
La chasse précédente, qui avait débuté en 2014, avait abouti à un pactole de 1,254 milliard d’euros de recettes supplémentaires liées à la taxe sur les biens immobiliers (IBI ou Impuesto sobre Bienes Inmuebles). Une aubaine quand on sait que cette dernière compte pour plus de 40% de l’ensemble des revenus des municipalités.
https://fr.express.live/2016/07/27/drones-fraudes-declarations-taxe-sur-les-biens-immobiliers/
Mais, 'bizarrement', aucun drone n'a détecté de terroristes ! Çà alors ! Mais à quoi sert réellement le vol d'argent aux contribuables ?
SupprimerWikiLeaks publie des enregistrements audio provenant du piratage ciblant le parti démocrate
RépondreSupprimer28 juil. 2016, 08:57 - Avec AFP
Dans la nuit du 27 au 28 juillet, Wikileaks a rendu publics des enregistrements provenant de serveurs du parti démocrate, y compris celui d'une supportrice de Hillary Clinton demandant que le parti cesse «de se plier en quatre» pour Bernie Sanders.
Des liens vers 29 enregistrements ont été postés sur Twitter quelques heures avant que le président américain Barack Obama ne monte sur scène à Philadelphie, lors de la convention démocrate où Hillary Clinton a été officiellement désignée candidate démocrate à la Maison Blanche.
Dans un message audio d'une minute, une supportrice en colère d'Hillary Clinton dit être «furieuse» à cause de ce qu'elle perçoit comme un soutien du parti démocrate à Bernie Sanders, sénateur du Vermont et candidat malheureux à l'investiture démocrate, soutien qui lui donnerait «trop d'influence».
«Bernie est la pire personne au monde pour être dans les rangs du parti démocrate, car ce n'est pas un démocrate», estime cette femme dont l'identité n'est pas connue.
Lire aussi
Facebook supprime les publications de Wikileaks, erreur ou censure ?
«Arrêtez de vous plier [aux volontés] de quelqu’un qui aime jouer les victimes et qui attaque Hillary, donnant [au candidat républicain Donald] Trump toutes ses munitions. Je quitterai le parti démocrate s'il continue à cajoler Bernie Sanders», a-t-elle menacé, sans que l'on sache quel membre du parti elle essayait de joindre.
Lire aussi : l'équipe de Sanders envisageait de demander un avion contre son soutien à Clinton
Deux autres appels soulèvent la question de l’attitude de l’exécutif du parti démocrate à l’égard de Sanders. La plupart des messages contenaient seulement des numéros et des noms pour un rappel, ou des communications quant au déroulement de conférences.
La publication intervient quelques jours après la publication par Wikileaks de près de 20 000 messages internes de hauts responsables du parti démocrate, dont certains montrent un parti pris en faveur d'Hillary Clinton lors des primaires, ce que Bernie Sanders et ses partisans n'avaient cessé de dénoncer.
La divulgation des emails a été la goutte d'eau de trop pour la présidente du parti, Debbie Wasserman Schultz, dont la tête était réclamée depuis des mois par le camp Sanders. Elle a annoncé sa démission par communiqué dimanche, 24 heures avant l'ouverture de la convention.
La convention d'investiture démocrate, qui voulait donner l'image d'un parti uni et en ordre de bataille pour l'élection présidentielle de novembre, n'a fait que mettre au jour la colère de partisans indéfectibles de Bernie Sanders qui se sentent privés de leurs droits par les primaires démocrates.
https://francais.rt.com/international/24494-wikileaks-publie-enregistrements-audio-parti-democrate
Une startup indienne lance un smartphone à… 3 euros
RépondreSupprimerMylène Vandecasteele
27 juillet 2016
La société indienne Ringing Bells a annoncé ce mois-ci qu’elle avait vendu 5000 exemplaires de son Freedom 251, un smartphone commercialisé au prixde 251 roupies, soit 3,70 dollars. La firme affirme avoir déjà enregistré 75 millions de commandes pour cet appareil, mais elle inspire beaucoup de doutes.
Le député Kirit Somal, qui soupçonne qu’elle a mis en place une structure pyramidale, et que les acomptes que les clients ont versé à la commande ne seront jamais suivis de la livraison effective du smartphone, a demandé une enquête sur les activités de Ringing Bell. Cette dernière affirme pourtant qu’elle a remboursé tous les acomptes qui ont été versés, et qu’elle n’acceptera plus désormais que les paiements comptant au moment de la livraison.
Elle clame qu’elle gagnera de l’argent grâce aux applications téléchargées par défaut sur les téléphones mobiles, dont plusieurs émanent du gouvernement de Narendra Modi, et ont été développées pour promouvoir sa politique.
Un marché à fort potentiel
Ringing Bell n’est pas la seule à susciter un grand intérêt, et en Inde, elles sont quelques sociétés à annoncer le lancement prochain de smartphones à des prix cassés à partir de 1,50 dollar pour capter un marché immense, dans un pays avec des revenus moyens assez modestes (le PIB par tête s’est établi à 1617 euros en 2015). Celui-ci a affiché une croissance de 12 % au premier trimestre 2016, alors que les ventes de téléphones déclinent ailleurs dans le monde.
Mais selon de nombreux observateurs, il est impossible de développer une activité rentable à de tels prix de vente. “Même pour le smartphone le moins cher, le coût des composants est d’environ 30 dollars. Les chiffres ne semblent pas cohérents”, affirme Jayanth Kolla, co-fondateur de la firme de recherche Convergence Catalyst.
https://fr.express.live/2016/07/27/une-startup-indienne-lance-un-smartphone-a-3-euros/
Fraude sur des tests de génériques : neuf médicaments retirés temporairement du marché
RépondreSupprimer20 Minutes
mar., 26 juil. 2016 07:48 UTC
9. Tel est le nombre de médicaments génériques antipaludiques et antihistaminiques (voir la liste plus bas) dont l'autorisation de mise sur le marché (AMM) vient d'être suspendue « par précaution » et « dans l'attente de l'issue de la procédure d'arbitrage européen » par l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM).
Fraude de certains médicaments
Les résultats des essais effectués en Inde auraient été manipulés. Dans un communiqué, le gendarme du médicament explique avoir « de sérieuses réserves sur l'intégrité des données issues des essais de bioéquivalence », menés dans le centre de recherches privé Semler Research à Bangalore (Inde).
En clair, alors que la bioéquivalence doit permettre de confirmer que les effets du médicament originel et du générique sont identiques, les résultats des essais effectués en Inde auraient été manipulés. Les médicaments de cinq laboratoires (Sandoz, Teva Santé, Biogaran, Mylan Sas et Sanfi Aventis) sont concernés.
Une procédure de réévaluation engagée
Selon, l'ANSM, une procédure de réévaluation du rapport bénéfice/risque des spécialités a été engagée par le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) et l'Agence européenne des médicaments (EMA). Ceci alors que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) ainsi que la Food and Drug Administration (FDA, gendarme américain du médicament) avaient déjà mis en évidence « des manipulations des résultats d'essais de bioéquivalence par le remplacement des échantillons biologiques de certains sujets par les échantillons d'autres sujets ».
Il en résulte que ces manipulations « caractérisent un manque de respect des "Bonnes Pratiques" concernant ces études de bioéquivalence et remettent en cause la fiabilité des résultats de l'ensemble des essais de bioéquivalence conduits par cette société ».
Aucun risque avéré pour la santé humaine
« Ces mesures de suspension (...) sont prises à titre de précaution », martèle l'agence, qui ajoute « qu'aucun élément (...) n'a conduit à établir un risque avéré pour la santé humaine ou un manque d'efficacité de ces médicaments ».
A noter que dans l'attente de la décision finale de la Commission européenne, d'autres pays de l'Union européenne ont également pris « des mesures nationales de suspensions des autorisations de mise sur le marché des médicaments concernés présents sur le marché ». Les lots incriminés devraient faire l'objet d'un rappel et aucun traitement ne devrait cependant être interrompu. En effet, ces neuf médicaments génériques sont disponibles sous d'autres marques.
(suite en dessous:)
Liste des médicaments concernés (voir sur site)
RépondreSupprimerL'ANSM a décidé, dans l'attente de l'issue de la procédure d'arbitrage européen, de suspendre les Autorisations de mise sur le marché (AMM) de 9 spécialités en raison de sérieuses réserves sur l'intégrité des données issues des essais de bioéquivalence menés en Inde. - ANSM
-- Commentaire : Vous pouvez lire aussi :
Publication d'une liste de 77 médicaments « sous surveillance renforcée »
Décès liés à de simples médicaments anti-douleurs : des milliers de victimes
Les Français consomment 48 boites de médicaments par an
La revue « Prescrire » dévoile sa liste des médicaments dangereux
France : Santé - ce que vous allez payer en plus
L'industrie pharmaceutique se fiche des malades !
Ces médicaments qui menacent de tuer les seniors --
https://fr.sott.net/article/28677-Fraude-sur-des-tests-de-generiques-neuf-medicaments-retires-temporairement-du-marche
« Nous ne ferons pas l'erreur de David Cameron », Ségolène Royale se révèle
RépondreSupprimerBBC
mer., 27 juil. 2016 21:57 UTC
Alors qu'elle vient d'affirmer que demander au peuple si il faut rester dans l'Europe serait une erreur, son interlocuteur de la BBC lui demande « Vous ne croyez pas à la démocratie ? », Ségolène Royale répond alors « Non, euhh, je, je, nous croyons à la démocratie mais nous croyons aux bonnes questions par rapport aux bonnes réponses. » Révélant ainsi le fond de sa pensée.
Puis continue devant son interlocuteur interloqué qu'elle va lui indiquer ce qu'est une bonne question, autrement dit, ce qu'est une « bonne » démocratie. Rappelons que dans la démocratie qui nous est vendue, c'est le peuple qui est souverain, pas le contraire. Sinon il faut appeler ça une royauté. Voici la vidéo ainsi qu'une autre datant de 2009.
- voir clips sur site:
https://fr.sott.net/article/28678-Nous-ne-ferons-pas-l-erreur-de-David-Cameron-Segolene-Royale-se-revele
Comment Poutine a fait "échec et mat" au coup d'état d'Obama en Turquie
RépondreSupprimerHannibal Genseric
La Cause du Peuple
mer., 27 juil. 2016 20:02 UTCCarte
La tentative ratée du coup d'État en Turquie, qui a été mis en œuvre par l'armée américaine, de concert avec l'OTAN, va précipiter un changement sans précédent au moyen-orient. Le coup d'État était voué à l'échec dès le début, car son plan d'exécution était défectueux. Comme résultat, les comploteurs de la CIA, du MI6 et du Mossad ont réussi à éloigner la Turquie de l'Axe Anglo-Sioniste (AAS [1]) et l'ont rapprochée de l'OCS (Organisation de Coopération de Shanghai) et des BRICS. Poutine savait depuis un certain temps ce qui se tramait, il a réuni suffisamment de données entre ses mains pour avertir les Turcs en temps voulu, tout en les protégeant efficacement contre les armes des comploteurs.
Cette évolution géopolitique unique fera probablement basculer tout l'équilibre du pouvoir mondial loin de l'AAS et vers l'OCS. En raison de la position hautement stratégique de la Turquie au Moyen-Orient, et en particulier sa taille, son l'emplacement, et sa fonction comme "porte de l'Orient", celui qui la contrôle efficacement contrôle l'ensemble de l'échiquier régional. Les récents flux et reflux cataclysmiques des immigrés ont considérablement accentué cette dynamique internationale.
La décision des États-Unis de mettre en œuvre un coup d'état à partir de la base aérienne d'Incirlik se révélera désastreux pour leurs régimes bellicistes, qui veulent contrôler TOUTE la région du Moyen-Orient et achever leur projet de « Grand Israël ». Un tel fiasco absolu des affaires étrangères américaines et de la CIA doit avoir été miné de l'intérieur des États-Unis par un « contre Coup d'État » d'agents doubles.
En fin de compte, non seulement le coup d'État a été étouffé par le peuple turc lui-même, mais les conspirateurs anglosionistes ont fourni au président Recep Tayyip Erdogan un excellent prétexte pour nettoyer complètement la maison. C'est exactement ce qu'il fait depuis qu'il a repris le pouvoir à la suite du coup d'État avorté. De plus, utiliser les officiers supérieurs turcs de la base aérienne américaine d'Incirlik était aussi stupide, car cela signifiait, pour tout le monde, que le coup d'état est libellé « CIA & Company ».
Pour les non initiés, il est important de comprendre à quel point la Turquie est vitale à l'OTAN, et surtout à l'avancement du projet du Grand Israël. Les ramifications proches et lointaines, et les profondes répercussions de cette tentative de coup d'État manqué révéleront leurs conséquences pour l'Occident lorsque toute la poussière sera retombée. Et c'est ÉNORME!
Pourquoi ce Coup ?
Pour les puissances occidentales, ce coup fatal était une initiative du genre : AVANCE ou CRÈVE.
Elles savaient qu'elles seraient incapables de procéder à leur ordre du jour du Nouvel Ordre Mondial vers un Gouvernement Mondial tant qu'Erdogan serait au pouvoir. Elles ont à peine toléré qu'il s'installe en tant que président, et sont bien conscientes de ses ambitions pour restaurer un Califat turc sur l'ensemble de l'Asie Centrale turcophone et même sur une partie du Moyen-Orient arabe. Par conséquent, leur tentative de coup d'État très précipitée était un effort de « TOUT ou RIEN », qui a maintenant condamné leurs plans de reprise totale du moyen-orient.
(suite en dessous:)
Poutine lui-même savait à quel point ce schéma était désespéré, et c'est tout à fait délibérément qu'il s'est placé du côté d'Erdogan, sachant que la trahison des États-Unis ramènerait la Turquie vers la Russie, l'OCS et les BRICS. Le Kremlin savait aussi que la Turquie n'a pas non plus d'avenir avec l'Union européenne, tout comme sa relation avec l'OTAN se trouve maintenant compromise. La Russie bénéficierait grandement de toutes les retombées géopolitiques et a activement soutenu la Turquie à travers le nettoyage post-coup d'État.
RépondreSupprimerBeaucoup de pays s'attendaient au coup d'État. Seule la Russie a agi efficacement
Le coup d'État turc a été initialement prévu pour le mois Août 2016, car il était « planifié » qu'à cette date, le gouvernement grec allait entrer en crise et qu'il devait, lui aussi, tomber. De cette façon, l'ensemble des Balkans serait entré dans une phase d'instabilité critique, avec comme résultat l'installation de gouvernements fantoches inféodés aux États-Unis et la consolidation d'un nouveau rideau de fer entre l'Europe sous tutelle US et la Russie.
Le jour J, et comme par un hasard extraordinaire, toutes les TV du monde de l'AAS étaient connectées en « live » sur Istanbul et Ankara. Il n'y avait pas un seul pays qui ne savait pas qu'un coup d'État était en cours en Turquie (à l'exception des Turcs eux-mêmes qui se demandaient pourquoi y il y avait des chars sur le pont du Bosphore). La date exacte du Coup n'était pas précisément connue, mais une indication précieuse a été donnée lorsque la journaliste Christiane Amanpour, s'est déplacée avec son équipe de CNN, à Ankara et à Istanbul, deux jours seulement avant le Coup.
En effet, le Pentagone a une relation spéciale avec CNN. Il leur permet généralement de savoir quand les États-Unis vont mettre en exécution un « coup » contre une nation étrangère, afin que CNN puisse mettre en place ses équipes et faire ses reportages « bien orientés » et en direct. C'est pour cela que Christiane Amanpour de CNN a réussi à devenir une « persona non grata » dans plusieurs pays; car, quand elle se pointe dans un pays, c'est qu'une catastrophe imminente va s'abattre sur ce pays. La Turquie ne fait pas exception.
La Russie, l'Iran, la Syrie, et d'autres pays étaient tous au courant qu'un coup d'État en Turquie, conduit par les USA, était en préparation.
A cet effet, Moscou a envoyé l'un des conseillers officiels de Poutine, Aleksandar Douguine, à Ankara. Le voyage a été top secret, personne à Téhéran, à Damas ou même à Moscou n'était au courant, seuls quelques très proches de Poutine le savaient.
Aleksandar Douguine était l'homme qui a été envoyé à Ankara pour avertir les dirigeants turcs, mais aussi pour leur donner une longue liste de personnes impliquées dans le coup d'État.
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Le Coup a commencé un mois auparavant après que certains des conspirateurs ont été découverts
RépondreSupprimerBien avant le Coup, le gouvernement turc a secrètement demandé à ses tribunaux d'émettre des ordres d'arrestation contre 2.000 militaires (marine et armée de l'air) après qu'il soit devenu évident que quelque chose de louche se préparait. Les tribunaux ont refusé, et en plus, quelques-uns des juges impliqués dans le coup d'État ont averti des généraux de haut rang que le gouvernement suspectait un coup, et qu'il était sur leur piste. En conséquence, malgré le fait qu'ils n'étaient pas tout à fait prêts pour un coup d'État, il fallait lancer le Coup.
Les pilotes qui ont abattu le SU24 sont impliqués dans le Coup
Pendant des mois, Moscou a suivi les communications de données et de voix des pilotes turcs responsables de l'attentat contre du jet russe SU24. Moscou a ainsi découvert que les deux pilotes qui ont abattu le SU24 sont des agents de la CIA. En détruisant l'avion russe, sur l'ordre de leurs supérieurs américains, ils voulaient brouiller les relations, qui étaient plutôt bonnes, entre Ankara et Moscou. Les États-Unis utilisent ainsi la tactique britannique éprouvée du « diviser pour régner ». Dans la base aérienne d'Incirlik, il y avait plusieurs dizaines d'officiers turcs qui étaient, en fait, des agents américains. Tous ont été, plus tard, arrêtés.
Initialement, l'équipe interne d'Erdogan n'a pas été informée de l'arrivée de Douguine en Turquie.
Pour éviter toute sorte de suspicion ou d'attirer l'attention, le conseiller de Poutine, Douguine, a fait un voyage compliqué : de Moscou à Astana (Kazakhstan), puis d'Astana à Téhéran, puis de Téhéran à Damas, puis de Damas à Nicosie et enfin de Nicosie à Ankara. Là, il a rencontré l'homme de confiance le plus proche d'Erdogan, le maire d'Ankara, Melih Gokcek.
Selon une vieille tradition du KGB, rien ne vaut une réunion en face-à-face. Ayant recueilli des masses de données au cours des derniers mois, les Russes savaient exactement quand, qui et comment le coup allait commencer.
Dans l'intérêt d'une meilleure relation russo-turque et d'une confiance mutuelle, Erdogan a donc été officiellement mis en garde. L'avertissement était aussi psychologique parce qu'il est venu « juste à temps », et a été conçu pour montrer à Erdogan et à la Turquie qui sont leurs vrais amis.
D'où la rencontre face à face.
Rien n'obligeait Poutine à faire ce qu'il a fait. Il aurait pu mettre en garde les Turcs 10 minutes avant le coup d'État, ou ne pas les avertir du tout et laisser tout simplement les Américains agir à leur guise. Mais Poutine a agi en fonction de deux critères essentiels (a) la sécurité de la Russie et (b) la sécurité mondiale, c'est-à-dire en évitant la troisième guerre mondiale.
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Les chasseurs turcs avaient l'avion d'Erdogan dans leur viseur, mais...
RépondreSupprimerAprès un silence complet durant 24 heures suivant le début du Coup, les médias américains contrôlés par le Pentagone et la CIA, y sont allés à plein régime avec la propagande habituelle, lorsqu'il est devenu évident que leur coup avait échoué. Nous les avons vus préparer à la hâte des scripts décrivant comment Erdogan aurait simplement mis en scène « son » coup d'État, afin de saisir « plus de pouvoir », ajoutant que son avion présidentiel était en vue des F16 turcs. Mais si personne ne tira un coup de feu contre lui, cela montre bien que c'était un faux Coup.
Mais la réalité est autre.
Primo et surtout, les avions qui ont été envoyés contre l'avion d'Erdogan, ont décollé de la base d'Incirlik, qui était totalement contrôlée par les États-Unis et l'OTAN.
Deuxio, à aucun moment, les États-Unis n'ont fait le moindre effort pour mettre en garde le gouvernement turc au sujet du coup d'État, alors qu'ils savaient que des avions de chasse décollaient d'Incirlik et se dirigeaient droit sur l'avion d'Erdogan !
En effet, l'avion de M. Erdogan avait été suivi par plusieurs avions turcs avec l'intention de l'abattre. Mais ce que le « media » n'ont pas voulu nous dire, c'est que 7 avions de combat russes et deux systèmes de missiles S400 dans le nord de la Syrie ont traqué les jets turcs, et les ont avertis : au moindre coup de feu contre l'avion d'Erdogan, tous les avions turcs, où qu'ils soient dans le ciel turc, seraient immédiatement abattus. Ceci est la raison pour laquelle les jets turcs n'ont jamais tiré, ils étaient eux-mêmes dans le collimateur des chasseurs et des fusées russes. Au moindre coup de feu, ils auraient été abattus.
Le maire d'Ankara n'a pas perdu une seconde. Il est sorti sur CNN et a furieusement annoncé que Washington était derrière le coup d'État. Et oui, il avait reçu des Russes toutes les informations nécessaires avant son annonce. Il était le troisième fonctionnaire turc de haut rang pour accuser les États-Unis de mener le coup dans un laps de 20 minutes.
Pourquoi Erdogan purge des généraux, des juges ...
Bien que le gouvernement turc ait ses propres suspects, il a aussi reçu une grande liste de Moscou. Voilà pourquoi l'ambassadeur américain à Ankara se cache pratiquement dans la clandestinité et quand on le voie, il ne sait que bégayer. Mais la chose la plus intéressante est le fait que plusieurs généraux turcs ont déjà admis avoir pris part au coup. Ils ont également expliqué le rôle que les États-Unis ont joué.
Les déclarations politiques que nous avons entendues à Washington ont une crédibilité zéro, selon leur habitude.
Il n'y a aucune explication comment 42 hélicoptères ont disparu d'Incirlik. On saura plus tard qu'ils ont rejoint une armada qui devait envahir la Turquie. C'est l'une des raisons pour lesquelles le gouvernement turc a encerclé la base avec 2.500 policiers, a coupé l'alimentation électrique pour l'ensemble la base, pour dire aux États-Unis "nous savons ce que vous faites", et « nous tenons vos soldats sous notre protection ». L'armada sera stoppée net par Obama.
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[1] L'Axe Anglo-Sioniste (AAS)
RépondreSupprimerL'Axe Anglo-Sioniste est représenté, d'abord et avant tout, par les principaux pays anglophones du monde : États-Unis, Royaume-Uni, Canada, Australie, Nouvelle-Zélande et Israël. Les pays européens membres de l'OTAN, comme l'Allemagne, la France, l'Italie, l'Espagne, le Portugal, la Belgique, le Luxembourg et les Pays-Bas sont sous le joug de l'AAS. Il en est de même de tous les pays scandinaves, des pays du Rim d'Asie Pacifique : Corée du Sud, Taiwan et les Philippines, et des pays suivants : L'Arabie Saoudite, la Turquie, l'Égypte, la Tunisie, le Maroc le Pakistan, le Koweït, la Jordanie, Bahreïn, les Émirats arabes unis et le Qatar sont aussi sous la tutelle de l'AAS.
Le Gouvernement mondial de l'Ombre est une organisation ultrasecrète, aux mains de la MAFIA KHAZARE qui est une organisation sioniste supranationale qui contrôle complètement l'AAS, l'Union européenne, l'OTAN, et beaucoup d'autres entités institutionnelles qui constituent la matrice du contrôle mondial.
Source : http://themillenniumreport.com/2016/07/bombshell-expose-the-u-s-military-used-incilirk-air-base-to-stage-failed-coup-in-turkey/#more-32420
https://fr.sott.net/article/28679-Comment-Poutine-a-fait-echec-et-mat-au-coup-d-etat-d-Obama-en-Turquie
«A bas les Etats-Unis !», des manifestants protestent contre la base militaire de l'OTAN en Turquie
RépondreSupprimer28 juil. 2016, 18:22
Un millier de manifestants protestent contre la plus grande base de l'OTAN en Turquie à Incirlik, utilisée par les Etats-Unis et les forces de la coalition internationale contre l'EI. La site militaire abrite aussi des armes nucléaires américaines.
L'événement se déroule dans la ville d'Adana, dans le sud de la Turquie, où se trouve la base aérienne d'Incirlik utilisée par les forces de l'OTAN. Un millier de personnes marchent en direction de celle-ci, afin de protester contre la présence militaire américaine dans le pays.
Des slogans tels que «A bas les Etats-Unis !» et «A bas Israël !» ont été scandés durant ce mouvement de protestation, que couvrent les chaînes de télévision régionales.
Des images de la foule de manifestants ont été relayées sur les réseaux sociaux.
Des agents de police ont été déployés devant la base afin d'empêcher les manifestants d'y pénétrer, ont rapporté les médias turcs.
Les autorités américaines ont fait savoir que leur consulat dans la ville d'Adana serait fermé plus tôt que d'ordinaire, en raison de cette marche de protestation.
L'infrastructure militaire en question abrite des armes nucléaires américaines. Les forces de la coalition internationale menée par les Etats-Unis se servent de cette base pour effectuer des raids aériens contre les positions de Daesh en Syrie.
En outre, le commandant de cette base, le général Bekir Ercan Va, a été arrêté par les autorités turques le 17 juillet dernier, pour complicité dans la tentative de coup d'Etat militaire qui avait échoué deux jours auparavant.
https://francais.rt.com/international/24520-a-bas-etats-unis-israel
Affaire Sandra Bertin : des témoignages confirment la version de la policière municipale
RépondreSupprimer28 juil. 2016, 19:10
La policière municipale Sandra Bertin, a accusé le ministère de l'Intérieur d'avoir exercé des pressions pour qu'elle modifie son rapport après l'attentat du 14 juillet. Des témoignages publiés par Le Monde semblent corroborer sa version des faits.
«Le 15 juillet vers 15h30, je me trouvais en salle vidéo avec notre responsable, Sandra Bertin, lorsque son adjoint vient la chercher en salle vidéo, en lui disant qu’un commissaire de police venait la voir et qu’il était envoyé par le cabinet du ministère de l’intérieur», aurait témoigné un membre de l'équipe du centre opérationnel de commandement de Nice.
Le journal Le Monde a obtenu différents témoignages figurant dans le dossier de l'enquête préliminaire pour abus d'autorité ouvert par le parquet de Nice le 26 juillet dernier. Ces derniers sembleraient confirmer la version de Sandra Bertin, selon laquelle le ministère de l'Intérieur aurait tenté de faire pression sur elle, quelques heures après l'attentat, pour manipuler les faits, concernant notamment la présence policière au moment de l'attentat.
«Je l’ai entendue dire "je ne mettrai pas ce que je n’ai pas vu aux écrans"», aurait ainsi confirmé un autre collègue de la policière municipale.
Sandra Bertin a déclaré à la presse et à la justice qu'un commissaire à la direction départementale de la sécurité publique des Alpes-Maritimes au téléphone avec un membre du cabinet du ministre lui aurait directement dicté des ordre du ministère, notamment pour sa rédaction du rapport sur les événements. Démentant cette version des faits, Bernard Cazeneuve a porté plainte en diffamation mardi 26 juillet.
Lire aussi
Sandra Bertin face à Bernard Cazeneuve, mais qui dit vrai dans cette affaire ?
Selon les informations de France Info et d'Europe 1, elle n'aurait pas été en contact avec un membre du cabinet de Bernard Cazeneuve, mais avec la direction centrale de la sécurité publique. Information confirmée par Marianne, qui précise que Sandra Bertin aurait bien été en contact avec une femme, une commissaire. A la tête de la division «informations et synthèse», elle est chargée d’établir dans les plus brefs délais la chronologie des faits la plus précise possible.
Je l’ai entendue dire "je ne mettrai pas ce que je n’ai pas vu aux écrans"
C'est donc avec cette commissaire et non avec un membre du cabinet du ministre, que Sandra Bertin aurait échangé. La commissaire aurait effectivement demandé à la policière municipale niçoise de notifier dans son rapport la présence de la police nationale à deux intersections, ce que Sandra Bertin aurait refusé, car cela ne correspondait pas à ce que retransmettaient les images tournées par les caméras de surveillance. En effet, à partir du moment où le camion meurtrier est repéré, les caméras se mettent à suivre la progression du terroriste. Impossible donc de confirmer ou d'infirmer la présence de ces policiers nationaux.
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RépondreSupprimerUne polémique qui se transforme en affaire d'Etat
Les accusations de Sandra Bertin sont à l'origine d'une véritable polémique politique depuis l'attentat. Dénonçant une campagne antigouvernementale engagée par «l'ancien maire de Nice» Christian Estrosi dès le lendemain de l'attaque sur la Promenade des Anglais, le Premier ministre, Manuel Valls, a par ailleurs regretté que l'on mette au même niveau le «ministre de l'Intérieur et une policière municipale».
Lire aussi : Sécurité à Nice : Estrosi et Pradal démolissent les conclusions du rapport de l’IGPN
La polémique a pris une dimension supplémentaire ces derniers jours. Différents élus de gauche ont sommé la policière municipale de mettre fin à la polémique en «donnant les noms» des fonctionnaires avec qui elle avait été en contact. De plus, la diffusion dans la presse du profil de Sandra Bertin tel qu'il apparaît sur les réseaux sociaux a encore jeté de l'huile sur le feu : elle y affiche en effet son franc soutient à la droite locale, comme son hostilité au gouvernement.
https://francais.rt.com/france/24523-affaire-sandra-bertin--temoignages
Comment Pokémon Go est-il lié à la CIA ?
RépondreSupprimer22:53 28.07.2016
Alors que Pokémon Go donne le tournis à la planète entière, les joueurs ont-ils jamais pensé que le jeu pouvait s'avérer dangereux ? Sputnik a fait une petite recherche sur l'affaire.
Au Japon, les autorités mettent en garde les fans Pokémon Go
Au Japon, les autorités mettent en garde les fans Pokémon Go
Voici quelques faits curieux sur le jeu Pokémon Go — et ce ne sont pas des ruses afin d'augmenter son niveau de jeu mais des détails sur le fonctionnement du projet. Détails qui peut-être réduiront à néant votre envie de vous lancer à la poursuite des Pokémon, ou de jouer en général.
Le projet Pokémon Go a été créé conjointement par The Pokémon Company, Nintendo et Niantic, ancienne filiale de Google. Niantic a été fondé par John Hanke, également fondateur de la compagnie Keyhole, Inc. spécialisée dans la création de cartes géospatiales. La compagnie a été financée par In-Q-Tel, un fonds américain de capital-investissement mis en place par la CIA en 1999.
A l'époque, plusieurs tâches ont été accomplies:
— la cartographie de la planète régulièrement mise à jour, y compris les autoroutes et tous les grands objets de l'infrastructure urbaine en général,
— des robots-véhicules ont mis leurs nez dans tous les coins du monde et ont cartographié des villes entières, des rues…
"Des cybercriminels se réjouissent de tout ce qui se passe sur Pokémon Go"
Un seul problème demeurait: comment pénétrer les maisons des citoyens, les sous-sols, les casernes et ainsi de suite ? Et voilà que Niantic lance un jeu génial et viral basé sur le principe de la réalité augmentée. Une fois qu'il l'a installé et qu'il a lui autorisé l'accès à sa caméra, son microphone, son gyroscope, son GPS et tous ses appareils connectés, le smartphone de l'utilisateur se met à vibrer et signale que plusieurs Pokémon se trouvent à proximité.
Que se passe-t-il ensuite ? L'application vous félicite pour votre premier succès parce qu'elle sait comment il est important pour le joueur d'être encouragé. Puis, elle requiert que vous filmiez vos premiers Pokémon captés de tous les angles — et obtient donc les photos de votre appartement en détail, y compris les coordonnées et l'angle d'inclinaison du smartphone.
Félicitations ! Il semble que vous venez de filmer votre appartement, les services secrets vous seront certainement reconnaissants…
A propos, les règles d'utilisation qu'il faut accepter pour installer le jeu recèlent d'informations intéressantes. Ainsi, Niantic vous informe en ces termes officiels:
"Nous coopérons avec le gouvernement, les autorités compétentes ou des parties privées pour appliquer et respecter la loi. Nous pouvons divulguer toute information vous concernant (ou votre enfant autorisé) en notre possession ou sous notre contrôle au gouvernement, aux autorités compétentes ou aux parties privées dans le cas où, à notre seule discrétion, nous le penserions nécessaire ou approprié".
(suite en dessous:)
"Des services de renseignement peuvent contrôler Pokémon Go"
RépondreSupprimerLes développeurs précisent à quelles fins ils peuvent le faire: "(a) pour répondre aux réclamations et à toute procédure juridique (y compris des citations à comparaître); (b) pour protéger notre propriété, nos droits et notre sécurité et la propriété, les droits, et la sécurité d'un tiers ou du public en général; et (c) pour identifier et arrêter toute activité que nous considérerions illégale, contraire à l'éthique, ou passible d'actions en justice".
Mais qui lit les règles de l'utilisation ? On appuie sur "J'accepte" et on se dépêche de lancer le jeu.
Pourtant, les règles s'avèrent être une lecture bien excitante. Elles signalent par exemple que les servers de Pokémon Go enregistrent automatiquement certaines informations sur la façon dont une personne utilise ses services et s'en sert pour administrer ces services et analyser (petit détail: ils peuvent recourir à des tiers pour effectuer cette analyse).
Et cerise sur le gâteau:
"Les informations que nous collectons auprès de nos utilisateurs, y compris les données à caractère personnel, sont considérées comme un actif de l'entreprise".
Voilà ce que vous acceptez en effet en installant l'appli.
Pokémon GO, le jeu qui sème le chaos jusqu’en Irak
"Si nous étions rachetés par un tiers à la suite d'une transaction telle qu'une fusion, une acquisition ou une vente d'entreprise, ou si nos actifs étaient rachetés par un tiers pour cause de faillite ou de cessation de commerce, une partie ou la totalité de nos actifs, y compris vos données à caractère personnel (ou celles de votre enfant autorisé), pourraient être divulguées ou transférées à un tiers acquéreur dans le cadre de la transaction", poursuivent les règles.
Imaginez-vous cela: le renseignement veut savoir ce qui se passe actuellement, par exemple… au Palais de l'Elysée. Et une minute plus tard les députés, les journalistes, les employés qui s'y trouvent sont tous rivés sur leurs portables qui leur signalent qu'un certain nombre de Pokémon sont dans la place…
Vous connaissez la suite.
https://fr.sputniknews.com/international/201607281027060121-pokemon-go-cia/