Spiegel y va: « Hordes d'Hitler » répondent à la Grèce, envoyer les Nazis et Mme Merkel, à l'Acropole
Soumis par Tyler Durden le 21/03/2015 11:16-0400
Un peu plus d'une semaine, alors que la relation bipolaire, schizoïde, entre la Grèce et l'Allemagne était à l'étape «nous exigeons des réparations pour les crimes nazis», nous a indiqué que le premier ministre grec menacé la saisie de biens allemands à la suite de "crimes du IIIe Reich et Hitler hordes."
Nous avons constaté que c'était seulement une question de temps avant le sens de l'humour a heurté l'arrière de l'Allemagne (et pas seulement avec une fausse vidéo expliquant comment le doigt du milieu Varoufakis prétendument faux a été truqué), et bien sûr, voilà Spiegel avec "Comment les Européens regardent les Allemands — la supériorité allemande" ou "The allemand Übermacht", dans lequel Spiegel a décidé d'envoyer plus de Merkel ainsi que le maréchal Walther von Brauchitsch et a quelques autres nazis à droite au milieu de l'Acropole.
Bien sûr, le but de l'article est ne pas de suggérer que le «Quatrième Reich» est de retour et prend en charge la Grèce : Spiegel résume simplement le cas que la Grèce tente de faire, qui, comme nous l'avons signalé auparavant, Athènes l'emploierez Wehrmacht archives (qui sont plus 400 000 pages), à la demande de soutien du pays pour les réparations de guerre de l'Allemagne pour les dommages subis pendant la seconde guerre mondiale dans la période 1941-1944, Ministère grec de la défense affirme dans une déclaration par courriel.
Toutefois, il est transmis d'une manière qui va provoquer le même genre d'instinctives, réponse populiste en Grèce qui a accompagné le « doigt de Varoufakis » qui a été également pris grandement hors contexte. Espèce : fellow médias allemands Suddeutsche Zeitung a promptement Spiegel à la tâche pour sa provocation, pour dire la moins, de la couverture. Il n'était pas seul : autres Allemands a fait un pas dans la réalisation de cette escalade à la réaction du public plus vils devient rapidement hors de contrôle :
"Spiegel avait promptement défendre ses propres choix éditorial et photo quand il a dit "bien sûr, la comparaison avec Hitler « troisième Reich » absurde, mais il est bon d'appeler Allemagne une hégémonie européenne égoïste ?"
En tout état de cause, la réponse « politiquement correcte » à "hors contexte" escalades continuent, jusqu'à ce qu'enfin les gens ordinaires des deux côtés du conflit dire "assez" et décident que le moment est venu de rompre le fil ténu qui détient toujours la Grèce à l'Europe et mettre enfin un terme au mythe selon lequel la zone euro est incassable.
Qui peut être précisément l'intention derrière ces épisodes apparemment inexplicable "hors contexte" que les médias allemands et grecs ont été inondés, avec, dans les dernières semaines : pour ouvrir la voie pour ce qui est maintenant et depuis les cinq dernières années, inévitables.
Venezuela : les objectifs impérialistes américains
Franco Vielma Mision verdad ven., 20 mar. 2015 08:40 CET Traduction/relecture : Diane/JJ
Les questions juridiques sur le décret d'Obama déclarant que le Venezuela représente une menace inhabituelle et extraordinaire sont l'expression de l'impérialisme colonial le plus pur, qui caractérise la politique étrangère des États-Unis.
Suivant la pratique usuelle des vieux empires (et en décomposition), Barack Obama a demandé au Congrès d'approuver un décret - comme si c'était une question de politique intérieure - déclarant que le Venezuela représente une menace pour la sécurité intérieure des États-Unis. Ce décret vient soutenir une série d'actions en justice prétendant juger le Venezuela, comme la Loi sur la protection des droits humains et de la société civile proposée par Robert Menéndez et approuvée par le Congrès états-unien avec le soutien de Marco Rubio et Ileana Ross-Lehtinen, deux des plus vaillants lobbyistes en faveur du fascisme en Amérique latine.
Dans le but d'appliquer le décret-loi de 2014, Obama reconfigure des décrets édictés dans des circonstances totalement différentes, comme celles de la Syrie. L'un de ceux-ci était la fameuse Alliance contre le financement du terrorisme, proposée par Obama dans un discours de politique étrangère tenu en juin 2014 à West Point. A cette occasion, il avait demandé au Congrès de consacrer un milliard et demi de dollars à une initiative de stabilisation régionale au Moyen-Orient, qui procurerait des ressources à l'opposition syrienne qui lutte contre la tyrannie d'al-Assad.
En désignant le Venezuela comme une menace qui constitue un danger imminent pour la sécurité de la région et, par conséquent, pour les États-Unis, Obama, formulant son discours en termes de guerre de quatrième génération, affirme déceler un ennemi visible et une menace crédible. C'est une formulation favorite du gouvernement états-unien lorsqu'il recherche un soutien public à ses actions. La campagne contre le Venezuela, avec sa manipulation démoniaque des opinions états-unienne et mondiale, a atteint cette extrémité : la criminalisation du pays, la déclaration qu'il est une menace, le sujet d'une sécurité nationale maximum pour les États-Unis, justifiant d'autres actions que les États-Unis vont sûrement entreprendre. Pourquoi un décret urgent ?
Dans le cadre du droit international et de la législation états-unienne, un décret urgent pris par le pouvoir exécutif est en effet un chèque en blanc qui permet à l'exécutif de faire ce qu'il veut dans le but d'éliminer le danger censé être à l'origine du décret. Dans la conduite normale, quotidienne, de la politique étrangère, les décisions de l'exécutif sont toujours soumises à l'approbation du Congrès; ce n'est pas le cas pour une urgence qui requiert une action immédiate.
Un exemple de ce type de législation est une loi signée par Obama en septembre 2014, qui autorisait le Pentagone à entraîner et à armer les rebelles syriens dans la bataille contre l'État islamique, et qui était aussi comprise comme une tentative de renverser le gouvernement de Bachar al-Assad, considéré comme une menace pour les États-Unis. Le cadre financier de cette décision se trouve dans un décret-loi de 2011, par lequel le Congrès a autorisé Obama à agir dans l'intérêt de la préservation de la paix au Moyen-Orient au moment où la situation en Syrie commençait à chauffer alors que la Libye était déjà en flammes. Cette loi faisait partie du prétendu Plan global pour la sécurité au Moyen-Orient, qui est fondamentalement une stratégie US pour assurer la stabilité politique dans des régions riches en énergies, renverser les régimes autoritaires et poursuivre la guerre contre le terrorisme.
Thomas Sparrow, correspondant pour la BBC à Washington, a affirmé ce qui suit : « Lorsque le président signe un décret qui déclare qu'un état d'urgence existe, il obtient des pouvoirs spéciaux qui lui permettent, par exemple, d'imposer des sanctions ou de geler certains actifs.» Le gouvernement états-unien reconnaît qu'il y a entre vingt et trente programmes de sanctions de ce genre basés sur des déclarations d'urgence et formulés dans un langage similaire à celui employé à l'égard du Venezuela. Ces dernières années, les États-Unis ont déclaré l'état d'urgence dans plusieurs pays, dont l'Ukraine, le Sud-Soudan, la République centrafricaine, le Yémen, la Libye et la Somalie ; des pays avec lesquels Washington a ou a eu de mauvaises relations.
En Libye et en Syrie, les sanctions ont commencé contre des responsables de ces gouvernements et des parents de Kadhafi et Assad, respectivement. Mais les sanctions ont tendance à être progressives et elles sont maintenues jusqu'à ce que l'intervention ait atteint ses objectifs. Les sanctions initiales sont habituellement suivies par de nouvelles sanctions qui sont appliquées pour « consolider les objectifs définis dans les sanctions initiales ». Le régime de sanctions évolue souvent vers un embargo économique et militaire total débouchant sur de nouvelles actions judiciaires dans lesquelles les États-Unis soutiennent ouvertement des groupes paramilitaires et mercenaires qui ont engendré (et engendrent encore) des guerres civiles prolongées dans ces pays.
La question des droits humains est soulevée dans une tentative de justifier les actions contre le Venezuela, comme cela a été précédemment utilisé pour justifier les bombardements humanitaires de la Libye et l'armement de al-Nusra, la branche d'al-Qaida en Syrie, qui attaquait le gouvernement de Bachar al-Assad.
Quel est le scénario le plus viable au Venezuela ?
Les différences entre le Venezuela, la Syrie et la Libye sont énormes, mais un facteur est toujours le même : le bellicisme des Américains qui, depuis deux cents ans, ont développé et affiné toutes leurs recettes pour mener des guerres ouvertes ou cachées dans le but de produire ce qu'ils appellent par euphémisme un changement de régime. La législation états-unienne prévoit que le pouvoir exécutif ne peut pas demander au Congrès l'autorisation d'intervenir ouvertement, à moins qu'il n'y ait une déclaration de guerre ou d'intervention formelle. Nous pouvons donc exclure la possibilité d'une invasion du Venezuela par des forces US régulières. Le consensus régional qui validerait une telle action n'existe pas: le Venezuela n'est pas seul. Ce que nous pouvons voir dans le cas du Venezuela, ce sont de nouvelles sanctions diplomatiques et économiques unilatérales, qui ne sont pas dirigées seulement contre des responsables officiels, mais sont étendues à tout le spectre économique et politique, dans une tentative de faire imploser l'économie et les institutions du Venezuela. Les sanctions des États-Unis tendent à être progressives : lorsque celles contre les responsables ne produisent pas le changement de régime désiré, elles sont considérées comme inefficaces et sont suivies par de nouvelles sanctions, plus sévères, jusqu'à l'asphyxie totale de la nation et la concrétisation du changement de régime consécutif. Un autre développement probable serait l'adaptation au Venezuela de la stratégie employée à l'égard de la Syrie : provoquer une guerre civile prolongée et violente pour parvenir au changement de régime. Cela a en fait déjà commencé, le conflit de basse intensité des paramilitaires guarimberos a débuté en 2014. Le précédent pour ce genre d'intervention est la guerre camouflée contre la révolution sandiniste au Nicaragua, menée par les paramilitaires de la « Contra » dans les années 1980.
Ce ne serait que dans les conditions d'une guerre fratricide au Venezuela que les États-Unis seraient en mesure de hisser leur intervention à un niveau supérieur, qui leur permettrait de justifier toute action visant à préserver la paix dans la région.
Afin de parvenir à une véritable confrontation, les États-Unis devraient aussi approuver des décrets-lois autorisant la Maison Blanche à agir en faveur de la contre-révolution au Venezuela, soutenant le fascisme vénézuélien, comme ils l'ont fait avec les forces salafistes qui tentent de prendre Damas. En raison de la perméabilité de la frontière entre le Venezuela et la Colombie, des paramilitaires ont déjà infiltré le Venezuela, provoquant une situation favorable aux activités des mercenaires. Il est probable que les États-Unis sont déjà en train d'envisager sérieusement quelque provocation qui pourrait déclencher un conflit à grande échelle. Malheureusement, pour le paisible Venezuela et l'Amérique latine, tous les indicateurs journalistiques, économiques, politiques et militaires pointent vers cette éventualité.
Les facteurs politiques qui provoqueraient une intervention au Venezuela atteignent leur apogée, à la fois interne et externe au Venezuela. Les facteurs internationaux pourraient avoir une influence considérable sur le style et la stratégie du comportement de l'Empire.
La scène politique intérieure au Venezuela commence à changer. Depuis 2014, des sénateurs démocrates ont prévenu que les sanctions à l'encontre du Venezuela seraient contre-productives pour l'opposition vénézuélienne, entraînant de nombreux retards dans l'application de celles-ci. Mais cela a changé. La droite vénézuélienne a perdu encore plus de sa faible influence politique au cours de l'année électorale, incitant le Département d'État US à jeter la direction de l'opposition dans la fosse aux lions, sachant que 90% de la population vénézuélienne (selon une étude de Hinterlace publiée début mars 2015) rejette une intervention états-unienne.
Nous devons nous poser la question: serait-il logique de croire que les services de renseignement états-uniens ont négligé ce détail ? Ce serait absurde. Donc pourquoi la Maison Blanche a-t-elle décidé de détruire la base politique de l'opposition vénézuélienne ? La réponse pourrait être évidente : ils ne croient plus que le scénario électoral démocratique soit une manière viable de provoquer un changement de gouvernement au Venezuela.
Ce qu'ils envisagent très probablement est une intervention états-unienne camouflée au Venezuela, conduisant à une guerre civile prolongée. La question de savoir si une telle approche au Venezuela obtient du soutien ou pas n'est pas pertinente. Des enquêtes en Irak en 2003 ont montré que 87% de la population irakienne (y compris les opposants à Saddam Hussein) refusaient une intervention US, mais elle a eu lieu malgré tout, sous des prétextes variés.
La deuxième raison importante - après les prétendues armes de destruction massive - était la libération d'un peuple opprimé. Donc, savoir si la population qui constitue l'opposition vénézuélienne manifestera son refus de l'intervention des États-Unis, comme les chavistes l'ont fait depuis quinze ans, est sans objet ; le prétexte de restaurer la démocratie au Venezuela n'est plus aux mains de l'opposition, mais dans celles d'Obama.
Les États-Unis ont franchi le seuil de l'intervention ouverte contre la révolution bolivarienne, ou, comme le dit le président Nicolas Maduro : « Obama a personnellement entrepris la tâche d'intervenir au Venezuela et de me renverser. »
Des élections régionales en France : Peur de la marche triomphale du droit
Par Stefan Simons, Paris
Plus grande force pourrait être le front national aux élections régionales françaises dimanche. Pour Marine Le Pen chef de parti, ce serait une étape importante sur le chemin de l'Elysée. Une débâcle menace le Président hollande.
Peu de temps ?
En fait les élections du département de n'appartiennent pas à des dates plus importantes en France : les conseils pour être élu principalement affaire avec citoyen préoccupations comme primaires et écoles secondaires, routes, maisons de retraite et le feu.
Toutefois, le dimanche et une semaine plus tard, ce sera différent, le vote devient une épreuve de force d'importance nationale. Les sondeurs s'attendent que le premier post de Conseil nation capturé le front national (FN) et reprend, même la direction dans deux ou trois ministères. Dirigeant du FN Marine Le Pen est un "flot bleu marine", qui est plus en France. Une débâcle, menace cependant, la décision des socialistes du Président François hollande.
Dans de nombreux médias de la France, l'apparemment irrésistible ascension de l'extrême droite sera suivie avec préoccupation : la part des médias Internet service mis en garde contre le « risque croissant du front national ». "Le racisme, l'antisémitisme, l'homophobie, titrait le magazine "Le Nouvel Observateur" de cette semaine et promis "démasquer le candidat FN". Avec frissonnant, la magazine « Marianne » la vision décrite que le chef du FN déjà 2017 pourrait être nommé par le Président: « le choc de marine Le Pen ».
Une première place du FN lors des élections du ministère de, ou même une augmentation significative pour tous les partis établis tels que sur conservateur UMP sous le chef de l'opposition Nicolas Sarkozy un avertissement - pour le gouvernement du chef hollande, toutefois, serait une catastrophe : en raison de la fragmentation entre les partis de gauche, la perte de plus de la moitié des 61 départements dirigés par eux menace les socialistes au premier tour.
« La France n'aime pas le front national »
Le Président et son équipe de ministres a essayé avec appels émotionnels donc de mobiliser leurs propres camarades frustrés. « J'ai peur pour mon pays, j'ai peur qu'il soit national fragmenté sur le front, » le premier ministre socialiste, a déclaré Manuel Valls dans sa campagne Flash à travers les provinces. « Aucun républicain est le front national, » Valls sur les rails un détour en Bretagne: « La France n'aime pas le front national »
Mais dans les sondages sont l'extrême avant de droite. Marine Le Pen, fille du fondateur du parti Jean-Marie Le Pen, un cosmétique changer bien sûra ordonné l'organisation une fois dominée anciens combattants Algérie et antisémite enragé. L'Islam, les immigrants et la criminalité sont les nouveaux thèmes de durée de FN, l'objectif le plus important, toutefois, demeure: « pour provoquer l'effondrement de l'Union européenne".
Le projet de loi va apparemment : près de 18 pour cent a l'extrême droite à l'élection présidentielle de 2012, ils ont capturé onze mairies lors des élections municipales de 2014. Le ressortissant européen élections 2014 de l'avant avec 25 pour cent pour la première fois comme le « parti le plus fort de la France » est sorti. En septembre, suivi par le retrait de deux candidats FN au Sénat.
« Nous promettons une surprise »
Pour marine Le Pen est sur la « reconquête » de la France - et de leurs mouvements dans l'Elysée 2017. "il est temps que les choses changent et nous allons prendre le pouvoir. Elle dit que nous prévoyons", lors d'un concert à la mi-février. Les élections du département de vous voulez utiliser les extrémistes de droite, profonde pour s'ancrer dans les régions.
Le chef du parti juge « fondamental » une bonne performance dans le département : le FN a mobilisé 7648 candidats et est représentée dans plus de 90 pour cent des 101 départements avec un duo féminin masculin. Une nouveauté pour les extrémistes de droite, qui avait du mal 2011 tous, 1400 à envoyer intéressés par la course.
Ainsi est le front national, même si presque 60 pour cent de la Français ne veux même pas aller dimanche le choix : soit par le sentiment que le scrutin « de toute façon ne changera rien », une étude de l'Institut IFOP, ou parce que les citoyens qui "tiens donc à exprimer leur mécontentement".
Parce qu'une faible participation des partisans mécontents des socialistes s'appliquerait en particulier hollande et le parti au pouvoir. Les électeurs du FN sont puissamment motivés selon l'objet de démonstration, cependant, faire un vote national de censure contre le Président du vote local. FN leader marine Le Pen est confiant: « Nous promettons une surprise France. »
Loi sur le renseignement : la dictature, illico presto
Philippe Alain sam., 21 mar. 2015 08:19 CET
Le 19 mars 2015, Manuel Carlos Valls, premier ministre à temps partiel, VRP du parti socialiste pour les élections de ce week-end et les suivantes présente son Patriot Act à la sauce Française. Profitant des attentats terroristes qui ont traumatisé le pays en janvier 2015 et de l'éphémère regain de popularité qu'elle a suscité pour eux, Valls, Hollande et les socialistes nous pondent une nouvelle loi dont le principal objectif est de mettre tout le monde sous surveillance.
Un projet de loi calqué sur le Patriot Act
Le Patriot Act. Cette loi géniale sortie un mois à peine après les attentats du 11 septembre 2001 et qui a permis aux services de renseignements américains d'écouter la planète entière et d'enfermer des centaines de personnes sans aucun jugement. Outil dont rêve n'importe quel apprenti dictateur et qui a permis au FBI de recueillir illégalement des données personnelles de centaines de milliers d'américains. Cette loi était prévue à l'origine, pour: « Unir et renforcer l'Amérique en fournissant les outils appropriés pour déceler et contrer le terrorisme ».
Devinez ce que nous dit Valls pour présenter son projet de loi ? Il a pour objectif de « donner aux services les moyens à la hauteur des défis auxquels notre pays est confronté ». Dans la présentation donc, mais aussi sur le fond, les objectifs, les moyens et l'absence totale de contrôle judiciaire, le projet de loi des socialistes est une escroquerie de plus qu'ils tentent de nous vendre comme le remède absolu contre le terrorisme alors que tous les événements démontrent que la surveillance de masse n'a jamais fait baisser le risque terroriste.
Qui est visé ?
Selon Valls, ce sont uniquement les communications des terroristes qui sont visées. Il y a juste un petit problème. Si Valls et sa police politique connaissaient les terroristes et savaient où ils se trouvent, il n'y aurait pas besoin d'une loi supplémentaire. Donc Valls nous ment.
Si on regarde le projet de loi, 7 cas sont énoncés :
- La sécurité nationale - Les intérêts essentiels de la politique étrangère et l'exécution des engagements européens et internationaux de la France - Les intérêts économiques et scientifiques essentiels de la France - La prévention du terrorisme - La prévention de la reconstitution ou du maintien de groupement dissous en application de l'article L. 212-1 du code de la sécurité intérieure - La prévention de la criminalité et de la délinquance organisées - La prévention des violences collectives de nature à porter gravement atteinte à la paix publique.
Ce dernier point est un bijou. Une manifestation de cathos contre le mariage gay ? Des ouvriers menacés de licenciement qui occupent une usine ? Des bonnets rouges qui protestent contre le racket de l'état ? Des retraités qui demandent une revalorisation des retraites ? Vous l'aurez compris, à part les manifestations officielles organisées par le parti socialiste, n'importe quel autre type de protestation susceptible de rassembler plus d'une dizaine de personnes et de dégénérer pourra faire l'objet d'une surveillance et donc d'un recueil de données très personnelles des organisateurs, mais également de leurs proches et de toutes les personnes qu'ils côtoient. Quels moyens ?
Les moyens mis à disposition des policiers ne sont pas nouveaux. Il s'agit même de « légaliser » ce qui se fait déjà sous le manteau. Un comble. Vous ne saviez pas ? La police viole régulièrement la loi alors on va légaliser les pratiques illégales. Les techniques les plus impressionnantes qui permettent la surveillance de masse concernent Internet et les communications téléphoniques. Pour Internet, il est prévu de mettre en place chez les fournisseurs d'accès Internet des logiciels permettant de collecter TOUTES les données de TOUS les utilisateurs. Oui, oui... C'est la technique du chalut. Votre compte en banque, vos achats sur Internet, vos correspondances privées, vos amis sur les réseaux sociaux, vos followers, vos likes... On surveille tout et tout le monde et après, on passe toutes ces données à la moulinette d'un programme qui va déterminer quels internautes ont des profils de djihadistes potentiels... Un truc de fou.
Pour le téléphone, on aura des gentils agents de la stasi socialiste qui se baladeront avec une mallette derrière un djihadiste potentiel et qui intercepteront toutes les données de toutes les personnes qui communiquent par téléphone dans la zone où ils se trouvent.
Pour le reste, c'est du classique : des policiers pourront s'introduire chez vous pour y placer des caméras et des micros ou encore des keyloggers permettant d'enregistrer tout ce que vous tapez sur votre ordinateur. On pourra également poser des balises sur votre véhicule afin de vous localiser en temps réel.
Un conseil. Si vous habitez dans un quartier où il y a des noirs, des arabes ou même des blancs pas clairs, des syndicalistes, des chefs d'entreprise, des enfants qui ne savent pas ce qu'est une minute de silence (1), des jeunes, des catholiques pratiquants, des musulmans, des militants des droits de l'homme, des élus non socialistes, et que vous tenez à préserver votre vie privée, déménagez immédiatement avant d'être vous aussi écouté, épié, surveillé par les socialistes. Pour aller où ? Ca c'est la bonne question. Personnellement, je suggère la Corée du Nord qui va bientôt faire office de démocratie modèle à côté de la France socialiste.
Un des points les plus controversés est l'absence totale de contrôle judiciaire. Aujourd'hui, lorsque les policiers décident de pister un suspect qui aurait l'intelligence de clamer haut et fort qu'il va foutre des bombes quelque part, ils doivent demander l'autorisation à un juge.
Vous connaissez le juge Trévidic ? C'est un juge anti-terroriste. Pas un islamo-gauchiste excité. Un juge. Voilà ce qu'il pense du projet Valls : "Ces pouvoirs exorbitants se feront sans contrôle judiciaire. Ne mentons pas aux Français en présentant ce projet comme une loi antiterroriste. Il ouvre la voie à la généralisation de méthodes intrusives, hors du contrôle des juges judiciaires, pourtant garants des libertés individuelles dans notre pays." La CNIL, Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés qui n'aura, elle non plus, aucun contrôle sur le dispositif n'est pas plus rassurée : « Il ne s'agit plus seulement d'accéder aux données utiles concernant une personne identifiée, mais de permettre de collecter de manière indifférenciée un volume important de données qui peuvent être relatives à des personnes tout à fait étrangères à la mission de renseignement... Ce dispositif permettra de collecter de manière systématique et automatique des données relatives à des personnes pouvant n'avoir aucun lien ou un lien purement géographique avec l'individu effectivement surveillé » Vous y voyez plus clair ? Tout le monde va y passer.
Les mensonges de Valls
En moins de 2 minutes, Valls, fidèle à ses habitudes, a multiplié les mensonges.
- « Cette loi sera protectrice des citoyens ». Comme si mettre sous surveillance tout le monde était un moyen de mieux protéger. La surveillance généralisée permet au pouvoir de se protéger, çà oui, en fliquant tous les opposants comme en Arabie Saoudite, en Iran ou en Chine. Ce n'est pas en violant la vie privée de centaines de milliers de personnes qui n'ont absolument rien à se reprocher qu'on protège les citoyens.
- « Une nouvelle autorité administrative indépendante est créée... Elle sera composée de 9 membres contre 3 aujourd'hui ». Tiens, il existe donc une autorité de contrôle aujourd'hui ? Alors ce n'est pas une nouvelle autorité, c'est l'ancienne qu'on élargit ? Ils nous prend pour des c... ? Pris en flagrant délit de mensonge.
- « Je veux le dire de manière très claire. Il ne s'agit en aucun cas de mettre en œuvre des moyens d'exception ». Ah bon ? les écoutes téléphoniques, les balises sur les voitures, les aspirateurs de données, les keyloggers, les caméras miniatures ne sont pas des moyens d'exception ? C'est quoi alors ?
- « Cette surveillance renforcée concernera les communications des seuls terroristes. Cela démontre bien qu'il n'y aura aucune surveillance de masse». Ce qui est marrant avec les socialistes et leur chef Manuel Valls, c'est que le mensonge est érigé en principe sacré de communication. On prouve ce qu'on dit en mentant. Lors des questions réponses, il a enfoncé le clou : « il n'y aura aucune surveillance de masse, le projet de loi l'interdit ». Mais le projet de loi prévoit exactement le contraire. Son intitulé dit même précisément le contraire : « Projet de loi sur le renseignement ». Tu n'as pas compris ce que tu nous racontes et tu es un crétin fini ou tu mens comme un arracheur de dents en nous prenant tous pour des débiles profonds ?
Socialistes, terroristes, même combat
Il faut voir avec quel empressement, avec quelle constance, avec quelle certitude Manuel Valls et les socialistes évoquent le terrorisme à longueur de discours. Le petit brun qui ne s'est pas encore laissé pousser la moustache nous l'a encore répété: « La question n'est pas de savoir s'il va y avoir un attentat, mais où et quand ». Manu la voyante. Il ne sait pas s'il va réduire le chômage, la dette ou les injustices, mais il sait qu'il va y avoir des attentats. Cela en devient même suspect. A croire qu'ils le souhaitent comme s'ils n'avaient plus que ça pour remonter dans les sondages.
Les socialistes ont exactement le même objectif que les terroristes qu'ils prétendent combattre: ils veulent, eux aussi, tuer la démocratie. Seuls les moyens diffèrent. Les socialistes ont décidé qu'il n'y avait qu'un seul modèle de société. Le leur. Tous ceux qui ne pensent pas comme eux doivent être identifiés, surveillés, traqués, puis détruits, éliminés, supprimés. Tous.
Ne croyez pas que ça concerne les autres et que vous êtes à l'abri, tôt ou tard ce sera votre tour.
Une loi pour renforcer l'indemnisation des élus battus dans les urnes
Par Marc de Boni Publié le 19/03/2015 à 17:40
LE SCAN POLITIQUE - Les parlementaires ont adopté à l'unanimité un texte de loi prévoyant d'élargir les modalités d'indemnisation et de reclassement des élus en fin de mandat ou battus aux élections.
La nouvelle semble tomber à point nommé, quelques jours avant les élections départementales du 22 mars. Alors que Jean-Christophe Cambadélis estime que les socialistes pourraient se trouver éliminés dès le premier tour dans au moins 500 cantons, beaucoup de conseillers généraux sortants pourraient se retrouver au chômage technique. Pour parer aux difficultés de reclassement qui s'annoncent à l'avenir, les parlementaires viennent d'adopter à l'unanimité la loi sur le statut de l'élu. Elle prévoit notamment de doubler la durée d'indemnisation des élus après la fin de leur mandat.
«Un maire battu aux élections n'a pas le droit à Pôle emploi. Il s'agit que les élus n'aient pas moins de moyens que le reste de la population parce que ça peut freiner les ambitions de ceux qui voudraient s'engager», explique au Scan le député PS Philippe Doucet, rapporteur du texte. Actuellement, un élu en fin de mandat perçoit une indemnité dite de fin de mandat pendant six mois après avoir quitté son poste. Le texte prévoit de doubler cette durée. Ainsi que l'ouverture de droits à la formation. Les élus déchus pourront enfin transformer leur expérience en diplômes via le système de validation des acquis, une mesure qui vise à faciliter le reclassement en entreprise.
Une loi décorrélee des départementales
La loi sur le statut des élus n'a pas pour seul objectif d'atténuer le choc des défaites électorales, mais surtout de diversifier le profil des élus, en facilitant l'engagement des salariés du secteur privé et des femmes notamment.
Actuellement, l'immense majorité des élus est constituée de retraités ou est issue de la fonction publique. «On ne trouve que 8% d'élus issus de professions libérales et 2% de gens ‘normaux'», fait valoir le député. Le texte prévoit d'obliger une entreprise privée à réintégrer l'élu à la fin de son mandat, y compris dans les communes de 10.000 habitants et plus.
La date du vote de cette loi n'a rien à voir avec les élections départementales assure Philippe Doucet, et la loi ne devrait pas bénéficier aux battus de dimanche. «Le loi entrera en vigueur au 1er janvier 2016. On voulait initialement qu'elle s'applique aux municipales de 2014 mais le calendrier parlementaire n' a permis de voter le texte que maintenant», précise-t-il.
La question du reclassement des élus battus s'est en effet déjà posée cruellement au lendemain des élections municipales de mars 2014. Selon le JDD, près de 3000 collaborateurs socialistes se sont par exemple retrouvés sans activité au lendemain de la défaite. Un problème qui pourrait se trouver décuplé pour les socialistes à l'occasion des élections départementales et régionales qui s'annoncent difficiles pour la gauche. Il demeurera également un autre problème de reclassement non couvert par le texte: celui des collaborateurs non élus des politiques.
Sanctions contre la Russie: sept pays de l’UE disent "stop"
16:37 20.03.2015 Dossier: Hongrie, Grèce, Italie, Autriche, Espagne, Chypre, et Slovaquie: ces sept pays ont lancé une fronde au sein de l’UE contre la politique de sanctions systématiques contre la Russie dans le cadre du conflit ukrainien. Des experts interrogés par Sputnik décryptent la position de leurs pays respectifs.
La Hongrie pense qu'il ne faut pas se presser d'élargir les sanctions, parce que l'accomplissement des accords de Minsk ne pourra être évalué que d'ici la fin de l'année. Budapest fait partie des pays affichant une attitude prudente envers les sanctions. Selon les estimations des experts hongrois, les sanctions ont déjà fait perdre à la Hongrie 80 millions d'euros en un an. Je pense que le pays ne pourra pas voter contre parce qu'il ne veut pas s'opposer au principe de solidarité européenne ou l'affaiblir. Mais la Hongrie pourrait justifier à Bruxelles son soutien aux pays qui estiment que la politique de sanctions est une impasse. Je pense qu'actuellement les sanctions resteront comme telles, parce que le groupe pro-atlantiste cherche à les durcir, tandis que les "modérés" ne partagent pas cette position et ne permettront pas de le faire. Le sort de ces mesures dépendra de la situation dans l'Est de l'Ukraine, mais on ne pourra réellement parler de changements qu'en fin d'année. Cependant, il est déjà évident que les sanctions ne sont ni dans l'intérêt de la Hongrie, ni de l'Europe.
L'UE divisée sur les sanctions antirussesJe ne pense pas que la Grèce ou Chypre seront capables ni prêtes à insister sur la levée des sanctions de l'UE décrétée contre la Russie en 2014. Il est trop tôt pour parler de leur annulation, d'autant que cela dépasse les limites des capacités diplomatiques des deux pays. Mais il faut que Moscou comprenne que la Grèce et Chypre peuvent et vont s'opposer ensemble avec d'autres États, comme la Hongrie et la Slovaquie, aux tentatives entreprises par la Pologne et les pays baltes de faire escalader les sanctions. Dans ce sens, la Grèce et Chypre peuvent niveler les tendances antirusses les plus radicales dans le cadre du Conseil européen. Cependant, je crois que la situation se normalisera au vu de la mise en œuvre des accords de Minsk. D'ici fin juillet, il deviendra très difficile de maintenir les sanctions.
L'Italie ne souhaite pas que l'UE adopte des sanctions supplémentaires et s'oppose à l'extension des mesures actuelles. Premièrement, l'Italie subit les problèmes économiques et commerciaux qui surviennent à cause des sanctions. Rome est en effet le deuxième partenaire commercial européen (derrière l'Allemagne) de la Russie. En 2013, le commerce avec Moscou avait rapporté 30 milliards d'euros à l'économie italienne, sachant qu'en 2014 entre août et décembre nos pertes directes s'élevaient à 1,3 milliard d'euros — sans compter les pertes indirectes suite à la baisse de l'activité touristique. En y ajoutant d'autres domaines importants de coopération — de l'énergie au secteur bancaire — c'est une raison suffisante pour les entreprises de s'opposer aux sanctions. Le gouvernement écoute les entreprises bien plus attentivement aujourd'hui, parce que le pays traverse une longue crise économique douloureuse et que l'industrie italienne est le principal espoir pour en sortir.
Sept pays de l’UE disent "stop" aux sanctions antirussesDans le même temps, l'instabilité croît en Méditerranée et la menace terroriste se rapproche de jour en jour de l'Europe. Les autorités italiennes voudraient que l'UE fasse davantage attention à ce qui se passe au sud de ses frontières. Le gouvernement italien est de plus en plus convaincu que la Russie pourrait apporter l'aide nécessaire pour régler la situation en Libye, en Syrie et d'autres régions problématiques. C'est cette conviction qui a poussé le premier ministre Matteo Renzi à se rendre à Moscou le 5 mars dernier.
Je ne m'attends pas aujourd'hui à ce que Bruxelles adopte une décision foncièrement nouvelle, la question du prolongement des sanctions sera très probablement reportée jusqu'en juillet. L'Italie espère vraiment qu'il sera enfin possible, en juin, de lever les sanctions et de "redémarrer" les relations avec Moscou.
Madrid hostile à un durcissement des sanctions contre MoscouLes sanctions adoptées immédiatement après la réunification de la Crimée avec la Russie, puis les mesures de rétorsion décrétées par Moscou, ont été contre-productives pour tout le monde. Après tout, en adoptant ces sanctions, l'UE cherchait à faire changer la position de la Russie vis-à-vis de l'Ukraine, or cela ne s'est pas produit. Nous avons constaté que la Russie maintenait sa politique. En outre, l'UE a été touchée par l'embargo instauré par Moscou sur les importations de produits agroalimentaires. Les sanctions étaient une erreur. Elles n'ont fait que compliquer les négociations pour régler le conflit armé en Ukraine. Les économies de la Russie et de l'UE sont trop interdépendantes pour appliquer de telles mesures.
En ce qui concerne les sanctions, la Grèce reste entre deux feux. Historiquement, Athènes, Chypre et la Russie ont toujours entretenu des relations particulières et amicales. La Grèce fait également partie de l'Europe et de l'UE, et le nouveau gouvernement éprouve de sérieuses difficultés à cause de cette double position. Ces dernières semaines, les relations et la coopération étroite avec la Russie sont constamment à l'ordre du jour. Reste le problème de la dette autour duquel l'Europe, notamment l'Allemagne, ainsi que l'Amérique compliquent sciemment la situation. Alexis Tsipras est donc très limité dans ses mouvements parce que les négociations sur la question critique de la dette sont en cours, et c'est pourquoi le soutien de la Russie, et le renoncement aux sanctions, fait partie des plans du gouvernement mais connaît des difficultés. La nécessité de renoncer aux mesures antirusses est soutenue par Tsipras et par la majorité des Grecs, qui pensent qu'une guerre froide a été engagée contre la Russie, qu'elle est opprimée, et la Grèce ne peut pas soutenir un tel scénario. Mais du point de vue diplomatique et économique, Athènes est coincé.
Crise ukrainienne : l'UE lie les sanctions à l’application des accords de MinskJe ne peux pas parler au nom de l'État autrichien. Mais en ce qui concerne la Chambre de commerce je peux dire qu'elle s'est opposée depuis le début à l'adoption de sanctions antirusses. Ces dernières ne peuvent pas contribuer aux solutions politiques, il faut les chercher dans le cadre d'un dialogue politique. Bien évidemment, nous nous opposons à l'élargissement ou au prolongement des sanctions. Nos pays ont de solides liens économiques et de nombreux projets d'investissement. Et on y constate un sérieux déclin à cause de l'incertitude quant à l'avenir. Les sanctions contre la Russie et ses contre-mesures ont évidemment joué un rôle. Elles ont considérablement affecté le marché alimentaire de l'Autriche et les exportations autrichiennes.
Bien que la Slovaquie soit membre de l'UE, elle cherche à mener une politique étrangère relativement indépendante. Le premier ministre n'hésite pas à aller contre les bureaucrates européens en déclarant que les sanctions réciproques décrétées par l'UE et la Russie sont insensées. Tout le monde n'est pas de son avis, la scène politique slovaque est divisée. Certains sont influencés par l'interprétation unilatérale des événements en Ukraine. Les médias se transforment en arme de propagande — c'est toujours le cas quand il y a des belligérants. Mais les politiciens ne doivent pas se baser sur des suppositions, mais sur des faits. Et la meilleure solution pour s'en sortir est diplomatique.
Le GLINT, une boite noire traqueuse de barbus terroristes idéale pour les FAI, développé par la France pour la Libye de Kadhafi
Ils sont devenus fous. Aujourd’hui le Figaro évoque un projet gouvernemental de « boite noire » chez les fournisseurs d’accès.
Sans même parler de solution technique, on sent tout de suite que nous sommes en train de franchir la ligne rouge. Détection comportementale sur le Net : il s’agit toujours de faire la traque aux cyberbarbus, c’est pour notre bien. Et comment on les détecte les comportements ? C’est assez simple, comme le disait le député Myard « il suffit de mettre de gros ordinateurs, les chinois l’ont bien fait » . Ces gros ordinateurs vont probablement opérer sur plusieurs niveaux. Tout commencera par des sondes capables de détecter sur les millions de connexions les connexions « suspectes »…peut être par dictionnaire, ou par des règles bien plus précises, on n’en sait rien, c’est ça le concept de la boite noire, vous n’en saurez rien et un comité Théodule assurera « sa bonne utilisation ». Une fois suspectées, on pourra s’attaquer au layer 7, un peu trop gourmand pour du systématique sur l’ensemble de la population… ces connexions seront interceptées, dans l’intégralité de leur flux. Pas un clic n’échappera à la « boite noire », l’intelligence des machines au service de la misère démocratique, vous en avez rèvé ? la voilà… La détection comportementale implique que nous sommes 66 millions de suspects. Et ce n’est pas comme si des projets de recherche européens n’existaient pas.
Faible consolation, Internet en France est bâti sur un enchevêtrement chaotique de réseaux qui limitera sans doute les belles idées du gouvernement. Mais l’article du Figaro n’en reste pas moins effrayant. «Les terroristes ont des comportements de grande discrétion sur le Web, mais il existe des marqueurs signifiants» précise la source. Puis ces marqueurs seront utilisés pour déclencher une surveillance «de manière totale et systématique» confie t-elle. Oui, c’est bien de ça qu’on vous parle depuis des années maintenant sur Reflets. C’est vraiment trop injuste, ces belles boites noires que nous avons fabriqué pour Kadhafi, Bachar et d’autres malades mentaux qui éprouvent le besoin de placer sous surveillance toute leur population, pourquoi nous n’aurions pas le droit de les utiliser nous ?
Le plus pathétique, c’est que c’est typiquement le genre de mesure qui passera sur décret, pas devant le Parlement, dès fois que certains parlementaires poseraient trop de questions sur un projet en cours depuis des années, dans lequel le fond stratégique d’investissement a allègrement placé des billes depuis des années, et qui ne demande qu’à être activé ?
Une boite noire chez les FAI… et pourquoi pas un gros bouton rouge chez les électeurs pour faire sauter un gouvernement ?
Microsoft propose le Windows 10 gratuitement après menace d'enquête antitrust en Chine
Reporter du personnel 21/03/2015 10:31 (GMT + 16)
Microsoft, le plus grand fabricant de logiciels au monde, en Mars 18-19 a tenu sa réunion WinHEC à Shenzhen de la Chine, visant à afficher sa libre Système d'exploitation Windows 10, rapporte basée à Guangzhou 21st Century Business Herald.
Au cours des neuf derniers mois, Microsoft a gagné 60 nouveaux partenaires à Shenzhen et a créé 186 nouveaux produits, a déclaré Ralph Haupter, président et chef de la direction de Microsoft Greater China.
Lors de la réunion WinHEC, Microsoft a présenté les caractéristiques de l'OS gratuit de Windows 10 et a annoncé un accord de coopération avec Qihoo 360 Technology et Tencent Holdings, qui seront tous deux les aider à lancer la mise à jour gratuite.
Cela indique un changement majeur dans le modèle d'affaires de Microsoft, de la vente de services logiciels.
Auparavant, Microsoft principalement a coopéré avec la fabrication d'équipement d'origine des entreprises (OEM) en installant directement de nouveaux systèmes d'exploitation sur les produits matériels, mais cette fois, en coopérant avec Qihoo 360 et Tencent, n'importe quelle version des systèmes d'exploitation Windows peut être mis à niveau vers Windows 10 sans charger via le logiciel des deux partenaires de l'internet.
Dans le domaine de PC, les systèmes Windows ont pris la position dominante, après avoir pris une part de marché de 90,4% l'an dernier. Bien que des études de marché Technalysis rapport récent de Windows attend la part de marché tomber à 88,7% cette année, il reste dominante sur le marché.
"La mise à niveau de Windows 10 apportera avec nous une très bonne occasion pour donner aux clients et utilisateurs une très bonne expérience», a déclaré Terry Myerson, vice-président exécutif de la division du système d'exploitation de Microsoft. "Tous les gens sont prêts à payer pour acheter une mise à jour Windows, mais Microsoft ne verront pas particulièrement grandes pertes."
Microsoft espère faire des profits à partir d'applications supplémentaires, proposés sur le système d'exploitation libre, dit Myerson.
Microsoft espère que Windows 10 peut pénétrer dans le marché du PC tablette et smartphone, a déclaré Sun Yongjie, analyste principal à l'industrie de la technologie de l'information (TI).
Microsoft a déjà annoncé qu'il allait cesser de fournir une assistance technique pour Windows XP après le 8 Avril, qui a conduit à une réaction sévère sur le marché chinois, comme de nombreux organes gouvernementaux et la majorité du public étaient encore en cours d'exécution de la plateforme bien-aimé. L'offre de l'OS libre est probablement le résultat d'un compromis avec les autorités chinoises après plusieurs raids des bureaux de Microsoft Chine l'an dernier par l'Administration d'Etat pour l'Industrie et du Commerce pour "violation des lois antitrust."
Deep de la Fondation Clinton financier lie à oligarques ukrainiens ont révélé
Soumis par Tyler Durden le 21/03/2015 21:48-0400
Soumis par Mike Krieger de Blitzkrieg de Liberty
Des liens profonds financiers de la Fondation Clinton à oligarques ukrainiens qui insistèrent pour resserrer les liens de l'Union européenne a révélé
(...) - Entre 2009 et 2013, y compris quand Mme Clinton a été Secrétaire d'État, la Fondation Clinton a reçu au moins $ 8,6 millions de la Victor Pinchuk Foundation, selon cette Fondation, qui est basée à Kiev. Il a été créé par M. Pinchuk, dont la fortune provient d'une entreprise de fabrication de tuyaux. Il a effectué deux mandats comme membre élu du Parlement ukrainien et est un partisan de liens plus étroits entre l'Ukraine et l'Union européenne.
En 2008, M. Pinchuk fait un engagement de cinq ans, $ 29 millions à la Clinton Global Initiative, une aile de la Fondation qui coordonne les projets caritatifs et financement pour eux, mais ne gère pas l'argent. Le gage était de financer un programme de formation des futurs dirigeants ukrainiens et les professionnels "à moderniser l'Ukraine," selon la Fondation Clinton. Plusieurs anciens sont les membres actuels du Parlement ukrainien. Les dons réels jusqu'à présent s'élèvent à seulement $ 1,8 millions, un porte-parole de la Fondation de Pinchuk a déclaré, citant l'impact de la crise financière de 2008. - (...)
La Fondation Pinchuk dit que ses dons étaient destinés à contribuer à ce que l'Ukraine « un pays avec succès, libre, modern basé sur les valeurs européennes. » Il a déclaré que si M. Pinchuk était lobbying du département d'Etat concernant l'Ukraine, « cela ne peut pas être considéré autrement que comme une bonne chose. »
– De l'article du Wall Street Journal : Clinton charité tapé des amis étrangers
* * *
Quand je suis arrivé dans le titre de cet article, je ne pense pas beaucoup. En fait, j'ai presque n'a pas encore cliquez sur le lien pensant que c'était juste une répétition d'un exposé préalable que j'ai souligné dans le post : Hillary Clinton exposés partie 2 – Clinton Foundation a pris des Millions de pays qu'aussi Fonds ISIS .
Heureusement, j'ai a-t-il décidé de jeter un coup d'oeil et très vite ma mâchoire absolument à touché le sol. Bien que le Wall Street Journal n'a pas joué la connexion, j'ai été stupéfait de voir que tous les oligarques liés à des gouvernements étrangers qui a fait don à la Fondation Clinton alors qu'elle était Secrétaire d'État, l'Ukraine était tout en haut.
J'ai pensé que c'est étrange, mais comme j'ai lu sur je ne ne pouvais pas croire comment connecté le principal bailleur de fonds a été à l'actuel régime au pouvoir. Considérant que c'est le hotspot géopolitique principal sur terre dès maintenant, beaucoup, beaucoup de questions doivent être posées.
- voir graphique sur site -
Nous allons également rappeler certains des aspects plus ombragés du nouveau gouvernement en Ukraine en prenant un regard rétrospectif sur le post, Made in USA – comment le gouvernement ukrainien est donnant loin citoyennetés sorte étrangers peuvent diriger le pays. Voici quelques extraits :
Prétend que le nouveau gouvernement en Ukraine n'est rien de plus qu'une marionnette occidentale Parlement ont été tourbillonnant autour de façon constante depuis février. Néanmoins, je pense que c'est très important que la reprise est désormais manifeste, indéniable et complètement à l'air libre. Rien ne prouve ce fait plus clairement que la récente et soudaine octroi de la citoyenneté aux trois étrangers afin qu'ils puissent prendre des postes de haut niveau au sein du gouvernement.
En haut de la liste est américain, Natalie Jaresko, qui dirige le Fonds de private equity Capital Horizon. Elle sera désormais le ministre des finances de l'Ukraine, et je doute fort qu'elle devra payer La taxe d'Expatriation IRS (un ensemble de lois pour les riches et puissants, une autre série de lois pour les paysans). Pour le ministre de l'économie, un banquier d'affaires lituanien, Aivaras Abromavicius, prendra les rênes. Ministre de la santé sera Alexander Kvitashvili de Géorgie.
Maintenant lire le suivant du WSJ :
La Fondation Clinton a juré hors dons de gouvernements étrangers lorsque Hillary Clinton a été Secrétaire d'État. Qui n'a pas empêché la Fondation de soulever des millions de dollars de l'étranger avec des connexions à leurs gouvernements d'accueil, un examen des divulgations de la Fondation.
Certains donateurs ont des liens directs à des gouvernements étrangers. L'un est un membre de la famille royale saoudienne. Un autre est un oligarque ukrainien et ancien parlementaire. D'autres sont des personnes ayant des liens étroits à des gouvernements étrangers qui découlent de leurs activités commerciales. Leur politique professé intérêts varient de droits de l'homme aux relations États-Unis-Cuba.
Tout compte fait, plus d'une douzaine de personnes étrangères et leurs fondations et entreprises ont été grands donateurs de la Fondation Clinton dans les années après que Mme Clinton devient secrétaire d'État en 2009, donnant collectivement entre $ 34 millions et $ 68 millions, montrent des documents de la Fondation. Certains donateurs a également fourni un financement directement à des projets de bienfaisance parrainés par la Fondation, évaluée par l'organisme à $ 60 millions.
Les bailleurs de fonds étrangers atteints par le Wall Street Journal a dit qu'ils ont contribué à la Fondation pour des raisons de bienfaisance et non politiques.
L'ancien Président Bill Clinton a promis à l'administration Obama que la Fondation n'accepterait plus de dons étrangers-gouvernement, tandis que son épouse était Secrétaire d'État. L'accord n'est pas d'imposer des limites sur les dons de particuliers étrangers ou des sociétés.
Entre 2009 et 2013, y compris quand Mme Clinton a été Secrétaire d'État, la Fondation Clinton a reçu au moins $ 8,6 millions de la Victor Pinchuk Foundation, selon cette Fondation, qui est basée à Kiev. Il a été créé par M. Pinchuk, dont la fortune provient d'une entreprise de fabrication de tuyaux. Il a effectué deux mandats comme membre élu du Parlement ukrainien et est un partisan de liens plus étroits entre l'Ukraine et l'Union européenne.
En 2008, M. Pinchuk fait un engagement de cinq ans, $ 29 millions à la Clinton Global Initiative, une aile de la Fondation qui coordonne les projets caritatifs et financement pour eux, mais ne gère pas l'argent. Le gage était de financer un programme de formation des futurs dirigeants ukrainiens et les professionnels "à moderniser l'Ukraine," selon la Fondation Clinton. Plusieurs anciens sont les membres actuels du Parlement ukrainien. Dons réels jusqu'à présent s'élèvent à seulement $ 1,8 millions, un porte-parole de la Fondation de Pinchuk a déclaré, citant l'impact de la crise financière de 2008.
Au cours du temps de Mme Clinton au département d'Etat, M. Schoen, sondeurs, enregistré comme lobbyiste pour M. Pinchuk, montrent des documents fédéraux. M. Schoen a dit il et M. Pinchuk a rencontré plusieurs fois les aides Clinton y compris Melanne Verveer, un ukrainien-américain, puis un département d'Etat l'Ambassadeur itinérant pour le mondial de la femme. Le but, M. Schoen a dit, était d'encourager les Etats-Unis à faire pression sur président Viktor Yanukovych du Ukraine pour libérer son prédécesseur emprisonné, Yulia Tymoshenko.
M. Schoen a dit que son lobbying était sans rapport avec les dons. « Nous ne recherchions pas d'utiliser n'importe quel effet de levier ou toutes les connexions ou quelque chose du genre relatives à la Fondation, » dit-il.
S'il vous plaît Schoen, ne pissent pas sur ma jambe et me dire qu'il pleut.
La Fondation Pinchuk dit que ses dons étaient destinés à contribuer à ce que l'Ukraine « un pays avec succès, libre, modern basé sur les valeurs européennes. » Il a déclaré que si M. Pinchuk était lobbying du département d'Etat concernant l'Ukraine, "cela ne peut être considéré autrement que comme une bonne chose."
Oh certes, tout ce que vous avez à faire est de prendre un bref regard sur l'Ukraine à voir c'est une chose merveilleuse, il a été.
Le Royaume d'Arabie saoudite n'était pas autorisé à donner à la Fondation, tandis que Mme Clinton était au département d'Etat. Mais plusieurs hommes d'affaires de premier plan saoudiens a donné des millions.
Victor Dahdaleh, un homme d'affaires de Londres dont la Fondation a contribué entre $ 1 million et $ 5 millions, a des liens avec une société d'aluminium appartenant à l'état de Bahreïn. Il a été l'intermédiaire entre l'aluminium Bahrain B.S.C. publiques et Alcoa World Alumina, qui est la majorité détenue par Alcoa Inc. L'an dernier, il a été acquitté à Londres sous l'inculpation de corruption de fonctionnaires Bahreïnis d'obtenir des contrats pour la firme d'Alcoa. Aux États-Unis, la CVAA a plaidé coupable l'an dernier à la corruption fraisd'affiliation, et le ministère de la Justice, a déclaré une enquête sur la question reste ouverte.
Rilin Enterprises, partie d'une société privée de construction chinoise, l'infrastructure et la société de port-gestion, faites un $ 2 millions gage de Fondation. La société a été fondée et est dirigée par Wang Wenliang, membre du Congrès, la Chine National du peuple de formel organe parlementaire. M. Wang n'a pas répondu à une demande de parler avec lui au cours de la réunion annuelle de ce mois-ci.
M. Wang est l'ancien fonctionnaire municipal de Dandong, une ville de 2,4 millions dans la province de Liaoning, sur la frontière de la Chine avec la Corée du Nord. Sa compagnie contrôle désormais le port de cette ville, une route commerciale importante en Corée du Nord.
La Fondation Clinton ignorait M. Wang a été déléguée à l'APN, a déclaré un responsable de la Fondation.
Une des sociétés de M. Wang était un entrepreneur pour la nouvelle ambassade de Chine à Washington.
Dans une économie d'oligarque truquées et frauduleuses, c'est ce que nous appelons un gentil « retour sur le copinage. »
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Eh bien, oui. C'est pourquoi les Etats-Unis est "la meilleure « Democracy » Money Can Buy : pour chaque Dollar dépensé influençant nous politique, sociétés obtenir $760 dos"
- voir graphique sur site -
Et si rien d'autre, ce qui précède aide aussi à expliquer ce qui suit : la Farce est achevée : fils rejoint Conseil d'Ukraine producteur de Joe Biden de gaz.
(La Banque fédérale de réserve doit être détruite)
Pendant les années de la République romaine, Caton l'ancien terminé tous les discours avec l'expression "Delanda est Carthago » (Carthage doit être détruite). Rome avait fait deux guerres avec Carthage, et pourtant la menace pour la République est resté. Cato vu Carthage comme une menace existentielle et a conclu que Rome ne serait pas sûr tant que Carthage existe. Avec tant de ferveur est-ce qu'il détenait ce point de vue qu'il a terminé tous les discours, même sur des sujets complètement différents, avec la fameuse phrase. Je crois que nous, les Autrichiens doivent adopter une expression semblable pour rappeler au peuple américain que les Etats-Unis fait face à une menace existentielle des machinations de la Federal Reserve Bank. « Delanda est in Susidium fédéré Banque »...The Federal Reserve Bank doivent être détruite. Comme Carthage, la Federal Reserve Bank ne peut pas être contrôlée ou retenue. Soit elle, soit notre République survivra, mais pas les deux. Pour le bien de notre nation, la Fed doit être détruite.
Création de la Fed au lieu de se terminant de réserve fractionnaire bancaire
La Fed a été fondée sous faux économiques locaux – pour prévenir Banque fonctionne en fournissant temporairement la liquidité aux banques qui se sont retrouvés incapables de racheter leurs certificats et les dépôts d'espèces et/ou specie. La véritable cause d'illiquides banques – fractionnaire bancaire de réserve – ne portait jamais sérieusement. On a supposé que les banques avaient le droit d'investir les fonds de la demande de leurs clients en prêts et que les pistes étaient causés par plus s'adonner à cette pratique. Mais comme Murray N. Rothbard expliquer en qu'a fait le gouvernement pour notre argent?, un prêt fonds demande instantanément place la Banque dans une position insolvable, car il ne peut racheter la totalité de ses comptes de demande pour des espèces ou des espèces. Grâce au processus de fonds de la demande de prêt, les banques ont créé des médias fiduciaires hors de l'air, réduire leur taux de réserves inférieure à cent pour cent. Si les banques cela de façon très modeste, le public ne peut pas être au courant de la fraude. Cependant, une fois que la rumeur commence que la Banque est illiquide, il y a un littéral « run » pour la Banque de retirer des fonds de la demande. Dans un tel cas, même une banque qui prête seulement modestement sa demande de fonds peuvent se trouver incapable d'honorer toutes les demandes de retrait et seraient obligés de fermer ses portes.
(NOTE : la Banque centrale a été créée pour légitimer la fraude contre la contrefaçon, aka-Fractional Reserve Banking)
La Federal Reserve Bank, comme le prêteur de dernier recours, devait pour empêcher ces occurrences en fournissant temporaires, prêts de taux de pénalité aux banques qui se débattait. Notez qu'il n'y a rien qui pourrait servir de banque centrale qui ne pouvaient pas être fournis par une autre banque privée. En fait, la panique bancaire de 1907 a été découle par des interventions de la Banque privée dirigées par Morgan. Cependant, Morgan s'est rendu compte que ces plans de sauvetage privés étaient très risqués et a présenté un cas d'aléa moral ; c'est-à-dire que banquiers, confiant dans un plan de sauvetage de l'empire bancaire Morgan, pourraient réserver plus risqués, prêts à rendement élevé. Alors plutôt que de visage réel provoque des crises bancaires et faire pression pour interdire la réserve fractionnaire bancaire, les Morgans, Rockefeller, etc. – qui ne voulait pas renoncer aux avantages financiers des dépôts – fait pression de prêt plutôt pour le gouvernement à créer un prêteur de dernier recours, une banque centrale, que nous avons nommée la Federal Reserve Bank.
Nourrie politique provoque dépressions et puis empêche la récupération
Au fil du temps cette entité, nouvelle pour les américains, pourrait d'élargir son rôle dans des tentatives infructueuses pour guérir des crises provoquées par les seuls. La Fed a causé et aggravé les crises en permettant, facilitant, en développant la pratique de la réserve fractionnaire bancaire. Dans les années 1920, la Fed a commencé à élargir l'offre de monnaie pour empêcher la chute, les prix justifiant son nouveau rôle comme l'un de maintenir un niveau de stabilité des prix. Mais imprimer de l'argent pour éviter de tomber les prix malinvestment causé dans la structure de production et a conduit à une dépression de la fin de la décennie.
Plutôt que de ne rien faire et permettre l'élimination des mauvais investissements et liquidation des malinvestment, qui serait de rétablir une structure durable de la production, telle qu'elle avait fait au début de la décennie dans la dépression que personne ne se souvient, la Fed est intervenu financièrement pour pomper vers le haut se réserve alors que l'administration Hoover est intervenu sur le plan financier pour éviter la déflation des prix et de maintenir un haut niveau de dépenses. Tout cela est bien documenté dans la Grande dépression de l'Amérique de Murray N. Rothbard.
Pourtant même un interventionniste Fed ne pouvait pas empêcher les faillites de banques massive des années 1930, en raison de nombreux facteurs qui comprenait les ramification lois restrictives de la Banque. Mais la cause principale des défaillances bancaires a été * nouveau * l'adhésion des banques de réserve fractionnaire bancaire pratiques qui a abouti à leur incapacité à honorer toutes les demandes de rachat de dépôt de la demande pour la nature ou en argent.
Dans la réserve fractionnaire folles bancaire avait élargi l'offre de monnaie bien au-delà de la capacité des banques à toutes les pistes de la tige. Les banques et les politiciens a refusé à nouveau creuser plus profondément dans la cause réelle du problème. Plutôt que séparée bancaire en dépôt et de prêt fonctions – l'ancienne nécessiterait des réserves de cent pour cent et celui-ci nécessiterait une gestion actif-passif strict pour s'assurer que les prêts mûris sur le même calendrier que les dépôts à terme, ce qui est communément connu comme financement de prêts de l'épargne – le gouvernement suspendu rédemption specie et finalement formé la FDIC pour "assurer" les dépôts bancaires.
Toutefois, les « assurance » programme de la FDIC a été rien de plus qu'une promesse explicite que la Fed serait d'imprimer suffisamment d'argent pour racheter tous les dépôts assurés, assurant ainsi la poursuite de fractionnaire bancaire réservé, le problème qui a été utilisé comme prétexte pour établir la Fed ; la très problème – Banque instabilité – la Fed a été vendue au public à résoudre. Donc, une fois de plus, une solution pour guérir un problème causé par la Fed elle-même entraîné encore plus de puissance pour le plus en plus le gouvernement exécuté système bancaire.
Le génie monétaire était sorti de la bouteille
Une fois que les politiciens s'est rendu compte que la Fed pourrait imprimer de l'argent à volonté, le génie est sorti de la bouteille. Croissance d'argent fait élargi à un taux modeste pendant quelques décennies, dû principalement aux efforts des hommes prudents comme président de la Fed William McChesney Martin (de 1951 à 1970) et des politiciens fiscalement conservatrices comme le Président Dwight Eisenhower (1953 à 1961). Cependant, il était inévitable que les hommes moins prudent, comme le président Lyndon Johnson et le Président de la Fed tous à l'exception de Paul Volcker, passerait au pouvoir sur leurs promesses pour financer toutes sortes de programmes gouvernementaux avec ce qui a été considéré maintenant comme argent illimité.
Ce fut la révélation clée !
Argent imprimé en quantité illimitée pourrait guérir tous les maux, ou alors il a été allégué, et à sa honte éternelle la profession de l'économie a fourni la couverture « académique » suffisante à l'appui de ces affirmations fallacieuses. Maintenant tout le monde a compris que la Fed pourrait monetize–i.e., achat gouvernement dette elle-même – tout montant des dépenses gouvernementales. La profession de l'Economie a refusé de considérer les conséquences inévitables de ces irresponsables politiques monétaires. Au lieu de cela il cerise récupère les données de prix historique pour prouver qu'ils soient non inflationniste et approuve des modifications aux calculs du chômage pour prouver qu'ils soient sur le plan financier solide, trop. Ces putains, ces économistes de la maison ont les yeux collés sur le rétroviseur des statistiques publiques fallacieux comme la voiture de course d'État se précipite vers une falaise économique de la dépression et peut-être même hyperinflation.
Production de l'argent et bancaires sous réserve de droit pénal et Commercial
Il importe pas qui est responsable de la Fed ou quelles règles Congrès pourraient insister pour qu'il adopte. Une fois l'impression de l'argent, via fiat ou création de réserve fractionnaire de crédit, est considérée comme réalisable, justifiée et juridique, rien et personne ne peut l'arrêter. La pression politique pour financer les programmes gouvernementaux sera irrésistible. Tout le monde sait que la Fed semble avoir la capacité à résoudre leur problème de la monétisation de la dette fédérale. Si il refuse de le faire, nous verrions des émeutes dans les rues semblables à ce qui se passe en Europe comme manifestants ciblent la Banque centrale européenne.
La seule solution est de détruire les monstres qui rend tout possible, la Fed. Sans la possibilité de vendre sa dette envers sa propre banque centrale, le gouvernement aurait être forcé à vivre selon les moyens mis par la volonté du peuple par l'intermédiaire de leurs représentants élus. Les écailles tomberaient finalement aux yeux des politiciens tant public que sa devient évident que ce que le gouvernement dépense se fait aux dépens de l'économie privée. Le public serait n'est plus berner par la propagande du gouvernement que ses éperons dépenses l'économie privée, quand on sait qu'il peut passer à la seule façon dont le gouvernement est pour les gens d'impôt ou souffrent de l'éviction de l'effet de l'investissement privé par des emprunts publics. Production d'argent doit être déplacée dans des mains privées qui font l'objet commercial normal et du droit pénal, où argent impression n'est rien d'autre que de la contrefaçon. Banques, aussi, doivent faire l'objet commercial normal et droit pénal, ce qui oblige à traiter un dépôt de la demande comme un baillement pour lesquels ils doivent garder à cent pour cent des réserves. Prêt bancaire serait soumis aux principes normaux et bien compris les pratiques de gestion de son actif / passif, par laquelle les prêts sont financées par des économies réelles et les échéances des prêts et des dépôts doivent être coordonnées dans l'ordre pour les prêts des banques d'honorer leurs engagements en matière de liquidité. Le chemin de la destruction de notre nation à travers les guerres incessantes et bien-être se terminerait par la destruction de la Fed.
« Menaces américaines » soit typique de brimades ou excuse de Berlin ne pas de donner asile Snowden
Annie Machon est un ancien officier de renseignement pour le MI5 britannique, qui avait démissionné en 1996 à siffler. Elle est maintenant un écrivain, conférencier et un directeur de Law Enforcement contre la Prohibition.
22 mars 2015 04:31
Menace de Washington d'arrêter le partage de renseignements avec Berlin si elle offre l'asile à Snowden est US intimidation ou une excuse commode sur la partie de Berlin à faire porter le chapeau pour ne lui permettant pas d'aller sur les Etats-Unis, estime que l'ancien agent du MI5 Annie Machon.
"Ils nous ont dit qu'ils cesseraient notification nous des parcelles et autres questions de renseignement" Vice-chancelier allemand Sigmar Gabriel a déclaré plus tôt cette semaine. Gabriel appartenant vers le haut que le gouvernement américain avait menacé agressivement les Allemands que s'ils le faisaient, ils seraient coupé « de tout renseignement partage », les demandes de rapport d'ordonnée à l'origine.
RT: N'est-il pas jusqu'à l'Allemagne de décider comme un pays souverain qui il est et ne laisse pas dans son propre pays. Pourquoi U.S. pense qu'il peut menacer de Berlin comme ça ?
Annie Machon : Eh bien les États-Unis pense qu'il peut menacer les deux pays. En fait, ils ont une expérience professionnelle de le faire avec le Royaume-Uni, en essayant de supprimer les preuves de torture dans une affaire de la Haute Cour en Angleterre il y a quelques années déjà. Si c'est vrai, c'est une tactique parfaitement standard utilisé par les États-Unis pour diplomatiquement intimider les pays qu'ils veulent rompre et de mener à leur talon.
Bien sûr, l'autre approche fallacieuse du Vice chancelier pourrait être que ce n'est pas vraiment arrivé, mais il dit qu'il l'a fait, afin de mélanger au large de la responsabilité de son échec de parti d'asile justifiée envers Edward Snowden en Allemagne. Maintenant, il fait partie du parti social-démocrate, un des partis de coalition au pouvoir. Et ils ont fait l'objet d'accroître la pression sur le marché intérieur au sein de l'Allemagne pour tenter de donner asile Snowden.
Ainsi c'est une intimidation très légitimes, ou c'est juste une excuse vraiment pratique pour reprocher aux Etats-Unis d'un échec de la politique en Allemagne.
RT: Ce qui est le mot dans la rue, est-il susceptible de se produire ? Comme vous avez dit que cela vient de l'opposition... est-ce susceptible de se produire à la fin de la journée ?
AM: Je doute fort que cela se produira à la fin de la journée. Et je dois dire, que si j'étais Edward Snowden, je serais très prudent de venir à n'importe quel pays européen. Je pense que la Russie est l'un des très rares pays au monde qui a la volonté politique de lui donner asile et le refuge, mais aussi les moyens physiques pour le protéger physiquement.
Même si Edward Snowden a été garanti à donner asile politique en Allemagne, n'y a donc aucune garantie que ce soit cette CIA ne pourrait pas envoyer dans une équipe de l'arracher de l'extrader, sorte de disparaître lui et lui a mis à l'essai aux États-Unis.
RT: La NSA ancienne chef a dit qu'on ne pourra jamais à Allemagne dans cette alliance d'intelligence dite « Cinq yeux ». Elle vous apprend un peu plus de ce qui se passe dans les coulisses, ici, dans les relations entre l'Allemagne et l'Amérique à l'heure actuelle – n'est-elle pas?
AM: Oui, il le fait. Et c'est assez choquant d'une manière si vous pensez cela. Allemagne a penché en arrière essayant de s'adapter aux exigences de la NSA au cours des dernières années, nous savons que depuis les divulgations Snowden, notamment en élaborant des programmes tels que le XKeyscore de prendre toutes les informations en temps réel de communications électroniques. Et apparemment, le BND a été signalé récemment à être approprie jusqu'à 220 millions de communications électroniques par jour.
RT: Pourquoi U.S. ne semble pas faire confiance à Allemagne ? Sûrement elle accueillerait Snowden y aller, pour être interrogé au moins sur le sol allemand.
AM: Eh bien, il le ferait. Et puis bien sûr vous auriez une situation où peut-être ils ne menaçant pas [Allemagne]. Peut-être c'est juste posture par des politiciens allemands de se débarrasser du blâme pour ne pas permettre de Snowden à venir. C'est un monde très sombre. Mais oui, ce serait à leur avantage, je pense que pour obtenir Snowden, en Allemagne. Il serait beaucoup plus facile pour eux de mettre la main sur lui, que c'est si il est en Russie où il a un Economie-ciel.
Spiegel y va: « Hordes d'Hitler » répondent à la Grèce, envoyer les Nazis et Mme Merkel, à l'Acropole
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 21/03/2015 11:16-0400
Un peu plus d'une semaine, alors que la relation bipolaire, schizoïde, entre la Grèce et l'Allemagne était à l'étape «nous exigeons des réparations pour les crimes nazis», nous a indiqué que le premier ministre grec menacé la saisie de biens allemands à la suite de "crimes du IIIe Reich et Hitler hordes."
Nous avons constaté que c'était seulement une question de temps avant le sens de l'humour a heurté l'arrière de l'Allemagne (et pas seulement avec une fausse vidéo expliquant comment le doigt du milieu Varoufakis prétendument faux a été truqué), et bien sûr, voilà Spiegel avec "Comment les Européens regardent les Allemands — la supériorité allemande" ou "The allemand Übermacht", dans lequel Spiegel a décidé d'envoyer plus de Merkel ainsi que le maréchal Walther von Brauchitsch et a quelques autres nazis à droite au milieu de l'Acropole.
Bien sûr, le but de l'article est ne pas de suggérer que le «Quatrième Reich» est de retour et prend en charge la Grèce : Spiegel résume simplement le cas que la Grèce tente de faire, qui, comme nous l'avons signalé auparavant, Athènes l'emploierez Wehrmacht archives (qui sont plus 400 000 pages), à la demande de soutien du pays pour les réparations de guerre de l'Allemagne pour les dommages subis pendant la seconde guerre mondiale dans la période 1941-1944, Ministère grec de la défense affirme dans une déclaration par courriel.
Toutefois, il est transmis d'une manière qui va provoquer le même genre d'instinctives, réponse populiste en Grèce qui a accompagné le « doigt de Varoufakis » qui a été également pris grandement hors contexte. Espèce : fellow médias allemands Suddeutsche Zeitung a promptement Spiegel à la tâche pour sa provocation, pour dire la moins, de la couverture. Il n'était pas seul : autres Allemands a fait un pas dans la réalisation de cette escalade à la réaction du public plus vils devient rapidement hors de contrôle :
"Spiegel avait promptement défendre ses propres choix éditorial et photo quand il a dit "bien sûr, la comparaison avec Hitler « troisième Reich » absurde, mais il est bon d'appeler Allemagne une hégémonie européenne égoïste ?"
En tout état de cause, la réponse « politiquement correcte » à "hors contexte" escalades continuent, jusqu'à ce qu'enfin les gens ordinaires des deux côtés du conflit dire "assez" et décident que le moment est venu de rompre le fil ténu qui détient toujours la Grèce à l'Europe et mettre enfin un terme au mythe selon lequel la zone euro est incassable.
Qui peut être précisément l'intention derrière ces épisodes apparemment inexplicable "hors contexte" que les médias allemands et grecs ont été inondés, avec, dans les dernières semaines : pour ouvrir la voie pour ce qui est maintenant et depuis les cinq dernières années, inévitables.
http://www.zerohedge.com/news/2015-03-21/spiegel-goes-there-hitlers-hordes-respond-greece-send-nazis-and-merkel-acropolis
Venezuela : les objectifs impérialistes américains
RépondreSupprimerFranco Vielma
Mision verdad
ven., 20 mar. 2015 08:40 CET
Traduction/relecture : Diane/JJ
Les questions juridiques sur le décret d'Obama déclarant que le Venezuela représente une menace inhabituelle et extraordinaire sont l'expression de l'impérialisme colonial le plus pur, qui caractérise la politique étrangère des États-Unis.
Suivant la pratique usuelle des vieux empires (et en décomposition), Barack Obama a demandé au Congrès d'approuver un décret - comme si c'était une question de politique intérieure - déclarant que le Venezuela représente une menace pour la sécurité intérieure des États-Unis. Ce décret vient soutenir une série d'actions en justice prétendant juger le Venezuela, comme la Loi sur la protection des droits humains et de la société civile proposée par Robert Menéndez et approuvée par le Congrès états-unien avec le soutien de Marco Rubio et Ileana Ross-Lehtinen, deux des plus vaillants lobbyistes en faveur du fascisme en Amérique latine.
Dans le but d'appliquer le décret-loi de 2014, Obama reconfigure des décrets édictés dans des circonstances totalement différentes, comme celles de la Syrie. L'un de ceux-ci était la fameuse Alliance contre le financement du terrorisme, proposée par Obama dans un discours de politique étrangère tenu en juin 2014 à West Point. A cette occasion, il avait demandé au Congrès de consacrer un milliard et demi de dollars à une initiative de stabilisation régionale au Moyen-Orient, qui procurerait des ressources à l'opposition syrienne qui lutte contre la tyrannie d'al-Assad.
En désignant le Venezuela comme une menace qui constitue un danger imminent pour la sécurité de la région et, par conséquent, pour les États-Unis, Obama, formulant son discours en termes de guerre de quatrième génération, affirme déceler un ennemi visible et une menace crédible. C'est une formulation favorite du gouvernement états-unien lorsqu'il recherche un soutien public à ses actions.
La campagne contre le Venezuela, avec sa manipulation démoniaque des opinions états-unienne et mondiale, a atteint cette extrémité : la criminalisation du pays, la déclaration qu'il est une menace, le sujet d'une sécurité nationale maximum pour les États-Unis, justifiant d'autres actions que les États-Unis vont sûrement entreprendre.
Pourquoi un décret urgent ?
Dans le cadre du droit international et de la législation états-unienne, un décret urgent pris par le pouvoir exécutif est en effet un chèque en blanc qui permet à l'exécutif de faire ce qu'il veut dans le but d'éliminer le danger censé être à l'origine du décret. Dans la conduite normale, quotidienne, de la politique étrangère, les décisions de l'exécutif sont toujours soumises à l'approbation du Congrès; ce n'est pas le cas pour une urgence qui requiert une action immédiate.
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Un exemple de ce type de législation est une loi signée par Obama en septembre 2014, qui autorisait le Pentagone à entraîner et à armer les rebelles syriens dans la bataille contre l'État islamique, et qui était aussi comprise comme une tentative de renverser le gouvernement de Bachar al-Assad, considéré comme une menace pour les États-Unis. Le cadre financier de cette décision se trouve dans un décret-loi de 2011, par lequel le Congrès a autorisé Obama à agir dans l'intérêt de la préservation de la paix au Moyen-Orient au moment où la situation en Syrie commençait à chauffer alors que la Libye était déjà en flammes. Cette loi faisait partie du prétendu Plan global pour la sécurité au Moyen-Orient, qui est fondamentalement une stratégie US pour assurer la stabilité politique dans des régions riches en énergies, renverser les régimes autoritaires et poursuivre la guerre contre le terrorisme.
RépondreSupprimerThomas Sparrow, correspondant pour la BBC à Washington, a affirmé ce qui suit :
« Lorsque le président signe un décret qui déclare qu'un état d'urgence existe, il obtient des pouvoirs spéciaux qui lui permettent, par exemple, d'imposer des sanctions ou de geler certains actifs.»
Le gouvernement états-unien reconnaît qu'il y a entre vingt et trente programmes de sanctions de ce genre basés sur des déclarations d'urgence et formulés dans un langage similaire à celui employé à l'égard du Venezuela. Ces dernières années, les États-Unis ont déclaré l'état d'urgence dans plusieurs pays, dont l'Ukraine, le Sud-Soudan, la République centrafricaine, le Yémen, la Libye et la Somalie ; des pays avec lesquels Washington a ou a eu de mauvaises relations.
En Libye et en Syrie, les sanctions ont commencé contre des responsables de ces gouvernements et des parents de Kadhafi et Assad, respectivement. Mais les sanctions ont tendance à être progressives et elles sont maintenues jusqu'à ce que l'intervention ait atteint ses objectifs. Les sanctions initiales sont habituellement suivies par de nouvelles sanctions qui sont appliquées pour « consolider les objectifs définis dans les sanctions initiales ». Le régime de sanctions évolue souvent vers un embargo économique et militaire total débouchant sur de nouvelles actions judiciaires dans lesquelles les États-Unis soutiennent ouvertement des groupes paramilitaires et mercenaires qui ont engendré (et engendrent encore) des guerres civiles prolongées dans ces pays.
La question des droits humains est soulevée dans une tentative de justifier les actions contre le Venezuela, comme cela a été précédemment utilisé pour justifier les bombardements humanitaires de la Libye et l'armement de al-Nusra, la branche d'al-Qaida en Syrie, qui attaquait le gouvernement de Bachar al-Assad.
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Quel est le scénario le plus viable au Venezuela ?
RépondreSupprimerLes différences entre le Venezuela, la Syrie et la Libye sont énormes, mais un facteur est toujours le même : le bellicisme des Américains qui, depuis deux cents ans, ont développé et affiné toutes leurs recettes pour mener des guerres ouvertes ou cachées dans le but de produire ce qu'ils appellent par euphémisme un changement de régime. La législation états-unienne prévoit que le pouvoir exécutif ne peut pas demander au Congrès l'autorisation d'intervenir ouvertement, à moins qu'il n'y ait une déclaration de guerre ou d'intervention formelle. Nous pouvons donc exclure la possibilité d'une invasion du Venezuela par des forces US régulières. Le consensus régional qui validerait une telle action n'existe pas: le Venezuela n'est pas seul.
Ce que nous pouvons voir dans le cas du Venezuela, ce sont de nouvelles sanctions diplomatiques et économiques unilatérales, qui ne sont pas dirigées seulement contre des responsables officiels, mais sont étendues à tout le spectre économique et politique, dans une tentative de faire imploser l'économie et les institutions du Venezuela. Les sanctions des États-Unis tendent à être progressives : lorsque celles contre les responsables ne produisent pas le changement de régime désiré, elles sont considérées comme inefficaces et sont suivies par de nouvelles sanctions, plus sévères, jusqu'à l'asphyxie totale de la nation et la concrétisation du changement de régime consécutif.
Un autre développement probable serait l'adaptation au Venezuela de la stratégie employée à l'égard de la Syrie : provoquer une guerre civile prolongée et violente pour parvenir au changement de régime. Cela a en fait déjà commencé, le conflit de basse intensité des paramilitaires guarimberos a débuté en 2014. Le précédent pour ce genre d'intervention est la guerre camouflée contre la révolution sandiniste au Nicaragua, menée par les paramilitaires de la « Contra » dans les années 1980.
Ce ne serait que dans les conditions d'une guerre fratricide au Venezuela que les États-Unis seraient en mesure de hisser leur intervention à un niveau supérieur, qui leur permettrait de justifier toute action visant à préserver la paix dans la région.
Afin de parvenir à une véritable confrontation, les États-Unis devraient aussi approuver des décrets-lois autorisant la Maison Blanche à agir en faveur de la contre-révolution au Venezuela, soutenant le fascisme vénézuélien, comme ils l'ont fait avec les forces salafistes qui tentent de prendre Damas. En raison de la perméabilité de la frontière entre le Venezuela et la Colombie, des paramilitaires ont déjà infiltré le Venezuela, provoquant une situation favorable aux activités des mercenaires. Il est probable que les États-Unis sont déjà en train d'envisager sérieusement quelque provocation qui pourrait déclencher un conflit à grande échelle. Malheureusement, pour le paisible Venezuela et l'Amérique latine, tous les indicateurs journalistiques, économiques, politiques et militaires pointent vers cette éventualité.
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Les facteurs politiques qui provoqueraient une intervention au Venezuela atteignent leur apogée, à la fois interne et externe au Venezuela. Les facteurs internationaux pourraient avoir une influence considérable sur le style et la stratégie du comportement de l'Empire.
RépondreSupprimerLa scène politique intérieure au Venezuela commence à changer. Depuis 2014, des sénateurs démocrates ont prévenu que les sanctions à l'encontre du Venezuela seraient contre-productives pour l'opposition vénézuélienne, entraînant de nombreux retards dans l'application de celles-ci. Mais cela a changé. La droite vénézuélienne a perdu encore plus de sa faible influence politique au cours de l'année électorale, incitant le Département d'État US à jeter la direction de l'opposition dans la fosse aux lions, sachant que 90% de la population vénézuélienne (selon une étude de Hinterlace publiée début mars 2015) rejette une intervention états-unienne.
Nous devons nous poser la question: serait-il logique de croire que les services de renseignement états-uniens ont négligé ce détail ? Ce serait absurde. Donc pourquoi la Maison Blanche a-t-elle décidé de détruire la base politique de l'opposition vénézuélienne ? La réponse pourrait être évidente : ils ne croient plus que le scénario électoral démocratique soit une manière viable de provoquer un changement de gouvernement au Venezuela.
Ce qu'ils envisagent très probablement est une intervention états-unienne camouflée au Venezuela, conduisant à une guerre civile prolongée. La question de savoir si une telle approche au Venezuela obtient du soutien ou pas n'est pas pertinente. Des enquêtes en Irak en 2003 ont montré que 87% de la population irakienne (y compris les opposants à Saddam Hussein) refusaient une intervention US, mais elle a eu lieu malgré tout, sous des prétextes variés.
La deuxième raison importante - après les prétendues armes de destruction massive - était la libération d'un peuple opprimé. Donc, savoir si la population qui constitue l'opposition vénézuélienne manifestera son refus de l'intervention des États-Unis, comme les chavistes l'ont fait depuis quinze ans, est sans objet ; le prétexte de restaurer la démocratie au Venezuela n'est plus aux mains de l'opposition, mais dans celles d'Obama.
Les États-Unis ont franchi le seuil de l'intervention ouverte contre la révolution bolivarienne, ou, comme le dit le président Nicolas Maduro : « Obama a personnellement entrepris la tâche d'intervenir au Venezuela et de me renverser. »
L'heure décisive a sonné.
http://fr.sott.net/article/25109-Venezuela-les-objectifs-imperialistes-americains
Des élections régionales en France : Peur de la marche triomphale du droit
RépondreSupprimerPar Stefan Simons, Paris
Plus grande force pourrait être le front national aux élections régionales françaises dimanche. Pour Marine Le Pen chef de parti, ce serait une étape importante sur le chemin de l'Elysée. Une débâcle menace le Président hollande.
Peu de temps ?
En fait les élections du département de n'appartiennent pas à des dates plus importantes en France : les conseils pour être élu principalement affaire avec citoyen préoccupations comme primaires et écoles secondaires, routes, maisons de retraite et le feu.
Toutefois, le dimanche et une semaine plus tard, ce sera différent, le vote devient une épreuve de force d'importance nationale. Les sondeurs s'attendent que le premier post de Conseil nation capturé le front national (FN) et reprend, même la direction dans deux ou trois ministères. Dirigeant du FN Marine Le Pen est un "flot bleu marine", qui est plus en France. Une débâcle, menace cependant, la décision des socialistes du Président François hollande.
Dans de nombreux médias de la France, l'apparemment irrésistible ascension de l'extrême droite sera suivie avec préoccupation : la part des médias Internet service mis en garde contre le « risque croissant du front national ». "Le racisme, l'antisémitisme, l'homophobie, titrait le magazine "Le Nouvel Observateur" de cette semaine et promis "démasquer le candidat FN". Avec frissonnant, la magazine « Marianne » la vision décrite que le chef du FN déjà 2017 pourrait être nommé par le Président: « le choc de marine Le Pen ».
Une première place du FN lors des élections du ministère de, ou même une augmentation significative pour tous les partis établis tels que sur conservateur UMP sous le chef de l'opposition Nicolas Sarkozy un avertissement - pour le gouvernement du chef hollande, toutefois, serait une catastrophe : en raison de la fragmentation entre les partis de gauche, la perte de plus de la moitié des 61 départements dirigés par eux menace les socialistes au premier tour.
« La France n'aime pas le front national »
Le Président et son équipe de ministres a essayé avec appels émotionnels donc de mobiliser leurs propres camarades frustrés. « J'ai peur pour mon pays, j'ai peur qu'il soit national fragmenté sur le front, » le premier ministre socialiste, a déclaré Manuel Valls dans sa campagne Flash à travers les provinces. « Aucun républicain est le front national, » Valls sur les rails un détour en Bretagne: « La France n'aime pas le front national »
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Mais dans les sondages sont l'extrême avant de droite. Marine Le Pen, fille du fondateur du parti Jean-Marie Le Pen, un cosmétique changer bien sûra ordonné l'organisation une fois dominée anciens combattants Algérie et antisémite enragé. L'Islam, les immigrants et la criminalité sont les nouveaux thèmes de durée de FN, l'objectif le plus important, toutefois, demeure: « pour provoquer l'effondrement de l'Union européenne".
RépondreSupprimerLe projet de loi va apparemment : près de 18 pour cent a l'extrême droite à l'élection présidentielle de 2012, ils ont capturé onze mairies lors des élections municipales de 2014. Le ressortissant européen élections 2014 de l'avant avec 25 pour cent pour la première fois comme le « parti le plus fort de la France » est sorti. En septembre, suivi par le retrait de deux candidats FN au Sénat.
« Nous promettons une surprise »
Pour marine Le Pen est sur la « reconquête » de la France - et de leurs mouvements dans l'Elysée 2017. "il est temps que les choses changent et nous allons prendre le pouvoir. Elle dit que nous prévoyons", lors d'un concert à la mi-février. Les élections du département de vous voulez utiliser les extrémistes de droite, profonde pour s'ancrer dans les régions.
Le chef du parti juge « fondamental » une bonne performance dans le département : le FN a mobilisé 7648 candidats et est représentée dans plus de 90 pour cent des 101 départements avec un duo féminin masculin. Une nouveauté pour les extrémistes de droite, qui avait du mal 2011 tous, 1400 à envoyer intéressés par la course.
Ainsi est le front national, même si presque 60 pour cent de la Français ne veux même pas aller dimanche le choix : soit par le sentiment que le scrutin « de toute façon ne changera rien », une étude de l'Institut IFOP, ou parce que les citoyens qui "tiens donc à exprimer leur mécontentement".
Parce qu'une faible participation des partisans mécontents des socialistes s'appliquerait en particulier hollande et le parti au pouvoir. Les électeurs du FN sont puissamment motivés selon l'objet de démonstration, cependant, faire un vote national de censure contre le Président du vote local. FN leader marine Le Pen est confiant: « Nous promettons une surprise France. »
http://www.spiegel.de/politik/ausland/frankreich-marine-le-pen-und-fn-setzen-auf-departementswahlen-a-1024608.html
Loi sur le renseignement : la dictature, illico presto
RépondreSupprimerPhilippe Alain
sam., 21 mar. 2015 08:19 CET
Le 19 mars 2015, Manuel Carlos Valls, premier ministre à temps partiel, VRP du parti socialiste pour les élections de ce week-end et les suivantes présente son Patriot Act à la sauce Française. Profitant des attentats terroristes qui ont traumatisé le pays en janvier 2015 et de l'éphémère regain de popularité qu'elle a suscité pour eux, Valls, Hollande et les socialistes nous pondent une nouvelle loi dont le principal objectif est de mettre tout le monde sous surveillance.
Un projet de loi calqué sur le Patriot Act
Le Patriot Act. Cette loi géniale sortie un mois à peine après les attentats du 11 septembre 2001 et qui a permis aux services de renseignements américains d'écouter la planète entière et d'enfermer des centaines de personnes sans aucun jugement. Outil dont rêve n'importe quel apprenti dictateur et qui a permis au FBI de recueillir illégalement des données personnelles de centaines de milliers d'américains. Cette loi était prévue à l'origine, pour: « Unir et renforcer l'Amérique en fournissant les outils appropriés pour déceler et contrer le terrorisme ».
Devinez ce que nous dit Valls pour présenter son projet de loi ? Il a pour objectif de « donner aux services les moyens à la hauteur des défis auxquels notre pays est confronté ». Dans la présentation donc, mais aussi sur le fond, les objectifs, les moyens et l'absence totale de contrôle judiciaire, le projet de loi des socialistes est une escroquerie de plus qu'ils tentent de nous vendre comme le remède absolu contre le terrorisme alors que tous les événements démontrent que la surveillance de masse n'a jamais fait baisser le risque terroriste.
Qui est visé ?
Selon Valls, ce sont uniquement les communications des terroristes qui sont visées. Il y a juste un petit problème. Si Valls et sa police politique connaissaient les terroristes et savaient où ils se trouvent, il n'y aurait pas besoin d'une loi supplémentaire. Donc Valls nous ment.
Si on regarde le projet de loi, 7 cas sont énoncés :
- La sécurité nationale
- Les intérêts essentiels de la politique étrangère et l'exécution des engagements européens et internationaux de la France
- Les intérêts économiques et scientifiques essentiels de la France
- La prévention du terrorisme
- La prévention de la reconstitution ou du maintien de groupement dissous en application de l'article L. 212-1 du code de la sécurité intérieure
- La prévention de la criminalité et de la délinquance organisées
- La prévention des violences collectives de nature à porter gravement atteinte à la paix publique.
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Ce dernier point est un bijou. Une manifestation de cathos contre le mariage gay ? Des ouvriers menacés de licenciement qui occupent une usine ? Des bonnets rouges qui protestent contre le racket de l'état ? Des retraités qui demandent une revalorisation des retraites ? Vous l'aurez compris, à part les manifestations officielles organisées par le parti socialiste, n'importe quel autre type de protestation susceptible de rassembler plus d'une dizaine de personnes et de dégénérer pourra faire l'objet d'une surveillance et donc d'un recueil de données très personnelles des organisateurs, mais également de leurs proches et de toutes les personnes qu'ils côtoient.
RépondreSupprimerQuels moyens ?
Les moyens mis à disposition des policiers ne sont pas nouveaux. Il s'agit même de « légaliser » ce qui se fait déjà sous le manteau. Un comble. Vous ne saviez pas ? La police viole régulièrement la loi alors on va légaliser les pratiques illégales. Les techniques les plus impressionnantes qui permettent la surveillance de masse concernent Internet et les communications téléphoniques. Pour Internet, il est prévu de mettre en place chez les fournisseurs d'accès Internet des logiciels permettant de collecter TOUTES les données de TOUS les utilisateurs. Oui, oui... C'est la technique du chalut. Votre compte en banque, vos achats sur Internet, vos correspondances privées, vos amis sur les réseaux sociaux, vos followers, vos likes... On surveille tout et tout le monde et après, on passe toutes ces données à la moulinette d'un programme qui va déterminer quels internautes ont des profils de djihadistes potentiels... Un truc de fou.
Pour le téléphone, on aura des gentils agents de la stasi socialiste qui se baladeront avec une mallette derrière un djihadiste potentiel et qui intercepteront toutes les données de toutes les personnes qui communiquent par téléphone dans la zone où ils se trouvent.
Pour le reste, c'est du classique : des policiers pourront s'introduire chez vous pour y placer des caméras et des micros ou encore des keyloggers permettant d'enregistrer tout ce que vous tapez sur votre ordinateur. On pourra également poser des balises sur votre véhicule afin de vous localiser en temps réel.
Un conseil. Si vous habitez dans un quartier où il y a des noirs, des arabes ou même des blancs pas clairs, des syndicalistes, des chefs d'entreprise, des enfants qui ne savent pas ce qu'est une minute de silence (1), des jeunes, des catholiques pratiquants, des musulmans, des militants des droits de l'homme, des élus non socialistes, et que vous tenez à préserver votre vie privée, déménagez immédiatement avant d'être vous aussi écouté, épié, surveillé par les socialistes. Pour aller où ? Ca c'est la bonne question. Personnellement, je suggère la Corée du Nord qui va bientôt faire office de démocratie modèle à côté de la France socialiste.
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L'absence totale de contrôle
RépondreSupprimerUn des points les plus controversés est l'absence totale de contrôle judiciaire. Aujourd'hui, lorsque les policiers décident de pister un suspect qui aurait l'intelligence de clamer haut et fort qu'il va foutre des bombes quelque part, ils doivent demander l'autorisation à un juge.
Vous connaissez le juge Trévidic ? C'est un juge anti-terroriste. Pas un islamo-gauchiste excité. Un juge. Voilà ce qu'il pense du projet Valls :
"Ces pouvoirs exorbitants se feront sans contrôle judiciaire. Ne mentons pas aux Français en présentant ce projet comme une loi antiterroriste. Il ouvre la voie à la généralisation de méthodes intrusives, hors du contrôle des juges judiciaires, pourtant garants des libertés individuelles dans notre pays."
La CNIL, Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés qui n'aura, elle non plus, aucun contrôle sur le dispositif n'est pas plus rassurée :
« Il ne s'agit plus seulement d'accéder aux données utiles concernant une personne identifiée, mais de permettre de collecter de manière indifférenciée un volume important de données qui peuvent être relatives à des personnes tout à fait étrangères à la mission de renseignement... Ce dispositif permettra de collecter de manière systématique et automatique des données relatives à des personnes pouvant n'avoir aucun lien ou un lien purement géographique avec l'individu effectivement surveillé »
Vous y voyez plus clair ? Tout le monde va y passer.
Les mensonges de Valls
En moins de 2 minutes, Valls, fidèle à ses habitudes, a multiplié les mensonges.
- « Cette loi sera protectrice des citoyens ». Comme si mettre sous surveillance tout le monde était un moyen de mieux protéger. La surveillance généralisée permet au pouvoir de se protéger, çà oui, en fliquant tous les opposants comme en Arabie Saoudite, en Iran ou en Chine. Ce n'est pas en violant la vie privée de centaines de milliers de personnes qui n'ont absolument rien à se reprocher qu'on protège les citoyens.
- « Une nouvelle autorité administrative indépendante est créée... Elle sera composée de 9 membres contre 3 aujourd'hui ». Tiens, il existe donc une autorité de contrôle aujourd'hui ? Alors ce n'est pas une nouvelle autorité, c'est l'ancienne qu'on élargit ? Ils nous prend pour des c... ? Pris en flagrant délit de mensonge.
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- « Je veux le dire de manière très claire. Il ne s'agit en aucun cas de mettre en œuvre des moyens d'exception ». Ah bon ? les écoutes téléphoniques, les balises sur les voitures, les aspirateurs de données, les keyloggers, les caméras miniatures ne sont pas des moyens d'exception ? C'est quoi alors ?
RépondreSupprimer- « Cette surveillance renforcée concernera les communications des seuls terroristes. Cela démontre bien qu'il n'y aura aucune surveillance de masse».
Ce qui est marrant avec les socialistes et leur chef Manuel Valls, c'est que le mensonge est érigé en principe sacré de communication. On prouve ce qu'on dit en mentant. Lors des questions réponses, il a enfoncé le clou : « il n'y aura aucune surveillance de masse, le projet de loi l'interdit ». Mais le projet de loi prévoit exactement le contraire. Son intitulé dit même précisément le contraire : « Projet de loi sur le renseignement ». Tu n'as pas compris ce que tu nous racontes et tu es un crétin fini ou tu mens comme un arracheur de dents en nous prenant tous pour des débiles profonds ?
Socialistes, terroristes, même combat
Il faut voir avec quel empressement, avec quelle constance, avec quelle certitude Manuel Valls et les socialistes évoquent le terrorisme à longueur de discours. Le petit brun qui ne s'est pas encore laissé pousser la moustache nous l'a encore répété: « La question n'est pas de savoir s'il va y avoir un attentat, mais où et quand ». Manu la voyante. Il ne sait pas s'il va réduire le chômage, la dette ou les injustices, mais il sait qu'il va y avoir des attentats. Cela en devient même suspect. A croire qu'ils le souhaitent comme s'ils n'avaient plus que ça pour remonter dans les sondages.
Les socialistes ont exactement le même objectif que les terroristes qu'ils prétendent combattre: ils veulent, eux aussi, tuer la démocratie. Seuls les moyens diffèrent. Les socialistes ont décidé qu'il n'y avait qu'un seul modèle de société. Le leur. Tous ceux qui ne pensent pas comme eux doivent être identifiés, surveillés, traqués, puis détruits, éliminés, supprimés. Tous.
Ne croyez pas que ça concerne les autres et que vous êtes à l'abri, tôt ou tard ce sera votre tour.
Notes :
(1) http://philippealain.blogspot.fr/2015/01/la-france-en-guerre-contre-ses-enfants.html
http://fr.sott.net/article/25108-Loi-sur-le-renseignement-la-dictature-illico-presto
Une loi pour renforcer l'indemnisation des élus battus dans les urnes
RépondreSupprimerPar Marc de Boni
Publié le 19/03/2015 à 17:40
LE SCAN POLITIQUE - Les parlementaires ont adopté à l'unanimité un texte de loi prévoyant d'élargir les modalités d'indemnisation et de reclassement des élus en fin de mandat ou battus aux élections.
La nouvelle semble tomber à point nommé, quelques jours avant les élections départementales du 22 mars. Alors que Jean-Christophe Cambadélis estime que les socialistes pourraient se trouver éliminés dès le premier tour dans au moins 500 cantons, beaucoup de conseillers généraux sortants pourraient se retrouver au chômage technique. Pour parer aux difficultés de reclassement qui s'annoncent à l'avenir, les parlementaires viennent d'adopter à l'unanimité la loi sur le statut de l'élu. Elle prévoit notamment de doubler la durée d'indemnisation des élus après la fin de leur mandat.
«Un maire battu aux élections n'a pas le droit à Pôle emploi. Il s'agit que les élus n'aient pas moins de moyens que le reste de la population parce que ça peut freiner les ambitions de ceux qui voudraient s'engager», explique au Scan le député PS Philippe Doucet, rapporteur du texte. Actuellement, un élu en fin de mandat perçoit une indemnité dite de fin de mandat pendant six mois après avoir quitté son poste. Le texte prévoit de doubler cette durée. Ainsi que l'ouverture de droits à la formation. Les élus déchus pourront enfin transformer leur expérience en diplômes via le système de validation des acquis, une mesure qui vise à faciliter le reclassement en entreprise.
Une loi décorrélee des départementales
La loi sur le statut des élus n'a pas pour seul objectif d'atténuer le choc des défaites électorales, mais surtout de diversifier le profil des élus, en facilitant l'engagement des salariés du secteur privé et des femmes notamment.
Actuellement, l'immense majorité des élus est constituée de retraités ou est issue de la fonction publique. «On ne trouve que 8% d'élus issus de professions libérales et 2% de gens ‘normaux'», fait valoir le député. Le texte prévoit d'obliger une entreprise privée à réintégrer l'élu à la fin de son mandat, y compris dans les communes de 10.000 habitants et plus.
La date du vote de cette loi n'a rien à voir avec les élections départementales assure Philippe Doucet, et la loi ne devrait pas bénéficier aux battus de dimanche. «Le loi entrera en vigueur au 1er janvier 2016. On voulait initialement qu'elle s'applique aux municipales de 2014 mais le calendrier parlementaire n' a permis de voter le texte que maintenant», précise-t-il.
La question du reclassement des élus battus s'est en effet déjà posée cruellement au lendemain des élections municipales de mars 2014. Selon le JDD, près de 3000 collaborateurs socialistes se sont par exemple retrouvés sans activité au lendemain de la défaite. Un problème qui pourrait se trouver décuplé pour les socialistes à l'occasion des élections départementales et régionales qui s'annoncent difficiles pour la gauche. Il demeurera également un autre problème de reclassement non couvert par le texte: celui des collaborateurs non élus des politiques.
http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/citations/2015/03/19/25002-20150319ARTFIG00307-une-loi-pour-renforcer-l-indemnisation-des-elus-battus-dans-les-urnes.php
Sanctions contre la Russie: sept pays de l’UE disent "stop"
RépondreSupprimer16:37 20.03.2015
Dossier:
Hongrie, Grèce, Italie, Autriche, Espagne, Chypre, et Slovaquie: ces sept pays ont lancé une fronde au sein de l’UE contre la politique de sanctions systématiques contre la Russie dans le cadre du conflit ukrainien. Des experts interrogés par Sputnik décryptent la position de leurs pays respectifs.
La Hongrie pense qu'il ne faut pas se presser d'élargir les sanctions, parce que l'accomplissement des accords de Minsk ne pourra être évalué que d'ici la fin de l'année. Budapest fait partie des pays affichant une attitude prudente envers les sanctions. Selon les estimations des experts hongrois, les sanctions ont déjà fait perdre à la Hongrie 80 millions d'euros en un an. Je pense que le pays ne pourra pas voter contre parce qu'il ne veut pas s'opposer au principe de solidarité européenne ou l'affaiblir. Mais la Hongrie pourrait justifier à Bruxelles son soutien aux pays qui estiment que la politique de sanctions est une impasse. Je pense qu'actuellement les sanctions resteront comme telles, parce que le groupe pro-atlantiste cherche à les durcir, tandis que les "modérés" ne partagent pas cette position et ne permettront pas de le faire. Le sort de ces mesures dépendra de la situation dans l'Est de l'Ukraine, mais on ne pourra réellement parler de changements qu'en fin d'année. Cependant, il est déjà évident que les sanctions ne sont ni dans l'intérêt de la Hongrie, ni de l'Europe.
L'UE divisée sur les sanctions antirussesJe ne pense pas que la Grèce ou Chypre seront capables ni prêtes à insister sur la levée des sanctions de l'UE décrétée contre la Russie en 2014. Il est trop tôt pour parler de leur annulation, d'autant que cela dépasse les limites des capacités diplomatiques des deux pays. Mais il faut que Moscou comprenne que la Grèce et Chypre peuvent et vont s'opposer ensemble avec d'autres États, comme la Hongrie et la Slovaquie, aux tentatives entreprises par la Pologne et les pays baltes de faire escalader les sanctions. Dans ce sens, la Grèce et Chypre peuvent niveler les tendances antirusses les plus radicales dans le cadre du Conseil européen. Cependant, je crois que la situation se normalisera au vu de la mise en œuvre des accords de Minsk. D'ici fin juillet, il deviendra très difficile de maintenir les sanctions.
L'Italie ne souhaite pas que l'UE adopte des sanctions supplémentaires et s'oppose à l'extension des mesures actuelles. Premièrement, l'Italie subit les problèmes économiques et commerciaux qui surviennent à cause des sanctions. Rome est en effet le deuxième partenaire commercial européen (derrière l'Allemagne) de la Russie. En 2013, le commerce avec Moscou avait rapporté 30 milliards d'euros à l'économie italienne, sachant qu'en 2014 entre août et décembre nos pertes directes s'élevaient à 1,3 milliard d'euros — sans compter les pertes indirectes suite à la baisse de l'activité touristique. En y ajoutant d'autres domaines importants de coopération — de l'énergie au secteur bancaire — c'est une raison suffisante pour les entreprises de s'opposer aux sanctions. Le gouvernement écoute les entreprises bien plus attentivement aujourd'hui, parce que le pays traverse une longue crise économique douloureuse et que l'industrie italienne est le principal espoir pour en sortir.
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Sept pays de l’UE disent "stop" aux sanctions antirussesDans le même temps, l'instabilité croît en Méditerranée et la menace terroriste se rapproche de jour en jour de l'Europe. Les autorités italiennes voudraient que l'UE fasse davantage attention à ce qui se passe au sud de ses frontières. Le gouvernement italien est de plus en plus convaincu que la Russie pourrait apporter l'aide nécessaire pour régler la situation en Libye, en Syrie et d'autres régions problématiques. C'est cette conviction qui a poussé le premier ministre Matteo Renzi à se rendre à Moscou le 5 mars dernier.
RépondreSupprimerJe ne m'attends pas aujourd'hui à ce que Bruxelles adopte une décision foncièrement nouvelle, la question du prolongement des sanctions sera très probablement reportée jusqu'en juillet. L'Italie espère vraiment qu'il sera enfin possible, en juin, de lever les sanctions et de "redémarrer" les relations avec Moscou.
Madrid hostile à un durcissement des sanctions contre MoscouLes sanctions adoptées immédiatement après la réunification de la Crimée avec la Russie, puis les mesures de rétorsion décrétées par Moscou, ont été contre-productives pour tout le monde. Après tout, en adoptant ces sanctions, l'UE cherchait à faire changer la position de la Russie vis-à-vis de l'Ukraine, or cela ne s'est pas produit. Nous avons constaté que la Russie maintenait sa politique. En outre, l'UE a été touchée par l'embargo instauré par Moscou sur les importations de produits agroalimentaires. Les sanctions étaient une erreur. Elles n'ont fait que compliquer les négociations pour régler le conflit armé en Ukraine. Les économies de la Russie et de l'UE sont trop interdépendantes pour appliquer de telles mesures.
En ce qui concerne les sanctions, la Grèce reste entre deux feux. Historiquement, Athènes, Chypre et la Russie ont toujours entretenu des relations particulières et amicales. La Grèce fait également partie de l'Europe et de l'UE, et le nouveau gouvernement éprouve de sérieuses difficultés à cause de cette double position. Ces dernières semaines, les relations et la coopération étroite avec la Russie sont constamment à l'ordre du jour. Reste le problème de la dette autour duquel l'Europe, notamment l'Allemagne, ainsi que l'Amérique compliquent sciemment la situation. Alexis Tsipras est donc très limité dans ses mouvements parce que les négociations sur la question critique de la dette sont en cours, et c'est pourquoi le soutien de la Russie, et le renoncement aux sanctions, fait partie des plans du gouvernement mais connaît des difficultés. La nécessité de renoncer aux mesures antirusses est soutenue par Tsipras et par la majorité des Grecs, qui pensent qu'une guerre froide a été engagée contre la Russie, qu'elle est opprimée, et la Grèce ne peut pas soutenir un tel scénario. Mais du point de vue diplomatique et économique, Athènes est coincé.
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Crise ukrainienne : l'UE lie les sanctions à l’application des accords de MinskJe ne peux pas parler au nom de l'État autrichien. Mais en ce qui concerne la Chambre de commerce je peux dire qu'elle s'est opposée depuis le début à l'adoption de sanctions antirusses. Ces dernières ne peuvent pas contribuer aux solutions politiques, il faut les chercher dans le cadre d'un dialogue politique. Bien évidemment, nous nous opposons à l'élargissement ou au prolongement des sanctions. Nos pays ont de solides liens économiques et de nombreux projets d'investissement. Et on y constate un sérieux déclin à cause de l'incertitude quant à l'avenir. Les sanctions contre la Russie et ses contre-mesures ont évidemment joué un rôle. Elles ont considérablement affecté le marché alimentaire de l'Autriche et les exportations autrichiennes.
RépondreSupprimerBien que la Slovaquie soit membre de l'UE, elle cherche à mener une politique étrangère relativement indépendante. Le premier ministre n'hésite pas à aller contre les bureaucrates européens en déclarant que les sanctions réciproques décrétées par l'UE et la Russie sont insensées. Tout le monde n'est pas de son avis, la scène politique slovaque est divisée. Certains sont influencés par l'interprétation unilatérale des événements en Ukraine. Les médias se transforment en arme de propagande — c'est toujours le cas quand il y a des belligérants. Mais les politiciens ne doivent pas se baser sur des suppositions, mais sur des faits. Et la meilleure solution pour s'en sortir est diplomatique.
http://fr.sputniknews.com/international/20150320/1015268174.html
La boite noire gouvernementale chez les FAI
RépondreSupprimerPar bluetouff
18 mars 2015
Le GLINT, une boite noire traqueuse de barbus terroristes idéale pour les FAI, développé par la France pour la Libye de Kadhafi
Ils sont devenus fous. Aujourd’hui le Figaro évoque un projet gouvernemental de « boite noire » chez les fournisseurs d’accès.
Sans même parler de solution technique, on sent tout de suite que nous sommes en train de franchir la ligne rouge. Détection comportementale sur le Net : il s’agit toujours de faire la traque aux cyberbarbus, c’est pour notre bien. Et comment on les détecte les comportements ? C’est assez simple, comme le disait le député Myard « il suffit de mettre de gros ordinateurs, les chinois l’ont bien fait » . Ces gros ordinateurs vont probablement opérer sur plusieurs niveaux. Tout commencera par des sondes capables de détecter sur les millions de connexions les connexions « suspectes »…peut être par dictionnaire, ou par des règles bien plus précises, on n’en sait rien, c’est ça le concept de la boite noire, vous n’en saurez rien et un comité Théodule assurera « sa bonne utilisation ». Une fois suspectées, on pourra s’attaquer au layer 7, un peu trop gourmand pour du systématique sur l’ensemble de la population… ces connexions seront interceptées, dans l’intégralité de leur flux. Pas un clic n’échappera à la « boite noire », l’intelligence des machines au service de la misère démocratique, vous en avez rèvé ? la voilà… La détection comportementale implique que nous sommes 66 millions de suspects. Et ce n’est pas comme si des projets de recherche européens n’existaient pas.
Faible consolation, Internet en France est bâti sur un enchevêtrement chaotique de réseaux qui limitera sans doute les belles idées du gouvernement. Mais l’article du Figaro n’en reste pas moins effrayant. «Les terroristes ont des comportements de grande discrétion sur le Web, mais il existe des marqueurs signifiants» précise la source. Puis ces marqueurs seront utilisés pour déclencher une surveillance «de manière totale et systématique» confie t-elle. Oui, c’est bien de ça qu’on vous parle depuis des années maintenant sur Reflets. C’est vraiment trop injuste, ces belles boites noires que nous avons fabriqué pour Kadhafi, Bachar et d’autres malades mentaux qui éprouvent le besoin de placer sous surveillance toute leur population, pourquoi nous n’aurions pas le droit de les utiliser nous ?
Le plus pathétique, c’est que c’est typiquement le genre de mesure qui passera sur décret, pas devant le Parlement, dès fois que certains parlementaires poseraient trop de questions sur un projet en cours depuis des années, dans lequel le fond stratégique d’investissement a allègrement placé des billes depuis des années, et qui ne demande qu’à être activé ?
Une boite noire chez les FAI… et pourquoi pas un gros bouton rouge chez les électeurs pour faire sauter un gouvernement ?
http://reflets.info/la-boite-noire-gouvernementale-chez-les-fai/
Microsoft propose le Windows 10 gratuitement après menace d'enquête antitrust en Chine
RépondreSupprimerReporter du personnel
21/03/2015
10:31 (GMT + 16)
Microsoft, le plus grand fabricant de logiciels au monde, en Mars 18-19 a tenu sa réunion WinHEC à Shenzhen de la Chine, visant à afficher sa libre Système d'exploitation Windows 10, rapporte basée à Guangzhou 21st Century Business Herald.
Au cours des neuf derniers mois, Microsoft a gagné 60 nouveaux partenaires à Shenzhen et a créé 186 nouveaux produits, a déclaré Ralph Haupter, président et chef de la direction de Microsoft Greater China.
Lors de la réunion WinHEC, Microsoft a présenté les caractéristiques de l'OS gratuit de Windows 10 et a annoncé un accord de coopération avec Qihoo 360 Technology et Tencent Holdings, qui seront tous deux les aider à lancer la mise à jour gratuite.
Cela indique un changement majeur dans le modèle d'affaires de Microsoft, de la vente de services logiciels.
Auparavant, Microsoft principalement a coopéré avec la fabrication d'équipement d'origine des entreprises (OEM) en installant directement de nouveaux systèmes d'exploitation sur les produits matériels, mais cette fois, en coopérant avec Qihoo 360 et Tencent, n'importe quelle version des systèmes d'exploitation Windows peut être mis à niveau vers Windows 10 sans charger via le logiciel des deux partenaires de l'internet.
Dans le domaine de PC, les systèmes Windows ont pris la position dominante, après avoir pris une part de marché de 90,4% l'an dernier. Bien que des études de marché Technalysis rapport récent de Windows attend la part de marché tomber à 88,7% cette année, il reste dominante sur le marché.
"La mise à niveau de Windows 10 apportera avec nous une très bonne occasion pour donner aux clients et utilisateurs une très bonne expérience», a déclaré Terry Myerson, vice-président exécutif de la division du système d'exploitation de Microsoft. "Tous les gens sont prêts à payer pour acheter une mise à jour Windows, mais Microsoft ne verront pas particulièrement grandes pertes."
Microsoft espère faire des profits à partir d'applications supplémentaires, proposés sur le système d'exploitation libre, dit Myerson.
Microsoft espère que Windows 10 peut pénétrer dans le marché du PC tablette et smartphone, a déclaré Sun Yongjie, analyste principal à l'industrie de la technologie de l'information (TI).
Microsoft a déjà annoncé qu'il allait cesser de fournir une assistance technique pour Windows XP après le 8 Avril, qui a conduit à une réaction sévère sur le marché chinois, comme de nombreux organes gouvernementaux et la majorité du public étaient encore en cours d'exécution de la plateforme bien-aimé. L'offre de l'OS libre est probablement le résultat d'un compromis avec les autorités chinoises après plusieurs raids des bureaux de Microsoft Chine l'an dernier par l'Administration d'Etat pour l'Industrie et du Commerce pour "violation des lois antitrust."
Références:
Sun Yongjie
http://www.wantchinatimes.com/news-subclass-cnt.aspx?id=20150321000081&cid=1502
Deep de la Fondation Clinton financier lie à oligarques ukrainiens ont révélé
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 21/03/2015 21:48-0400
Soumis par Mike Krieger de Blitzkrieg de Liberty
Des liens profonds financiers de la Fondation Clinton à oligarques ukrainiens qui insistèrent pour resserrer les liens de l'Union européenne a révélé
(...) - Entre 2009 et 2013, y compris quand Mme Clinton a été Secrétaire d'État, la Fondation Clinton a reçu au moins $ 8,6 millions de la Victor Pinchuk Foundation, selon cette Fondation, qui est basée à Kiev. Il a été créé par M. Pinchuk, dont la fortune provient d'une entreprise de fabrication de tuyaux. Il a effectué deux mandats comme membre élu du Parlement ukrainien et est un partisan de liens plus étroits entre l'Ukraine et l'Union européenne.
En 2008, M. Pinchuk fait un engagement de cinq ans, $ 29 millions à la Clinton Global Initiative, une aile de la Fondation qui coordonne les projets caritatifs et financement pour eux, mais ne gère pas l'argent. Le gage était de financer un programme de formation des futurs dirigeants ukrainiens et les professionnels "à moderniser l'Ukraine," selon la Fondation Clinton. Plusieurs anciens sont les membres actuels du Parlement ukrainien. Les dons réels jusqu'à présent s'élèvent à seulement $ 1,8 millions, un porte-parole de la Fondation de Pinchuk a déclaré, citant l'impact de la crise financière de 2008. - (...)
La Fondation Pinchuk dit que ses dons étaient destinés à contribuer à ce que l'Ukraine « un pays avec succès, libre, modern basé sur les valeurs européennes. » Il a déclaré que si M. Pinchuk était lobbying du département d'Etat concernant l'Ukraine, « cela ne peut pas être considéré autrement que comme une bonne chose. »
– De l'article du Wall Street Journal : Clinton charité tapé des amis étrangers
* * *
Quand je suis arrivé dans le titre de cet article, je ne pense pas beaucoup. En fait, j'ai presque n'a pas encore cliquez sur le lien pensant que c'était juste une répétition d'un exposé préalable que j'ai souligné dans le post : Hillary Clinton exposés partie 2 – Clinton Foundation a pris des Millions de pays qu'aussi Fonds ISIS .
Heureusement, j'ai a-t-il décidé de jeter un coup d'oeil et très vite ma mâchoire absolument à touché le sol. Bien que le Wall Street Journal n'a pas joué la connexion, j'ai été stupéfait de voir que tous les oligarques liés à des gouvernements étrangers qui a fait don à la Fondation Clinton alors qu'elle était Secrétaire d'État, l'Ukraine était tout en haut.
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J'ai pensé que c'est étrange, mais comme j'ai lu sur je ne ne pouvais pas croire comment connecté le principal bailleur de fonds a été à l'actuel régime au pouvoir. Considérant que c'est le hotspot géopolitique principal sur terre dès maintenant, beaucoup, beaucoup de questions doivent être posées.
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
Nous allons également rappeler certains des aspects plus ombragés du nouveau gouvernement en Ukraine en prenant un regard rétrospectif sur le post, Made in USA – comment le gouvernement ukrainien est donnant loin citoyennetés sorte étrangers peuvent diriger le pays. Voici quelques extraits :
Prétend que le nouveau gouvernement en Ukraine n'est rien de plus qu'une marionnette occidentale Parlement ont été tourbillonnant autour de façon constante depuis février. Néanmoins, je pense que c'est très important que la reprise est désormais manifeste, indéniable et complètement à l'air libre. Rien ne prouve ce fait plus clairement que la récente et soudaine octroi de la citoyenneté aux trois étrangers afin qu'ils puissent prendre des postes de haut niveau au sein du gouvernement.
En haut de la liste est américain, Natalie Jaresko, qui dirige le Fonds de private equity Capital Horizon. Elle sera désormais le ministre des finances de l'Ukraine, et je doute fort qu'elle devra payer La taxe d'Expatriation IRS (un ensemble de lois pour les riches et puissants, une autre série de lois pour les paysans). Pour le ministre de l'économie, un banquier d'affaires lituanien, Aivaras Abromavicius, prendra les rênes. Ministre de la santé sera Alexander Kvitashvili de Géorgie.
Maintenant lire le suivant du WSJ :
La Fondation Clinton a juré hors dons de gouvernements étrangers lorsque Hillary Clinton a été Secrétaire d'État. Qui n'a pas empêché la Fondation de soulever des millions de dollars de l'étranger avec des connexions à leurs gouvernements d'accueil, un examen des divulgations de la Fondation.
Certains donateurs ont des liens directs à des gouvernements étrangers. L'un est un membre de la famille royale saoudienne. Un autre est un oligarque ukrainien et ancien parlementaire. D'autres sont des personnes ayant des liens étroits à des gouvernements étrangers qui découlent de leurs activités commerciales. Leur politique professé intérêts varient de droits de l'homme aux relations États-Unis-Cuba.
Tout compte fait, plus d'une douzaine de personnes étrangères et leurs fondations et entreprises ont été grands donateurs de la Fondation Clinton dans les années après que Mme Clinton devient secrétaire d'État en 2009, donnant collectivement entre $ 34 millions et $ 68 millions, montrent des documents de la Fondation. Certains donateurs a également fourni un financement directement à des projets de bienfaisance parrainés par la Fondation, évaluée par l'organisme à $ 60 millions.
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Les bailleurs de fonds étrangers atteints par le Wall Street Journal a dit qu'ils ont contribué à la Fondation pour des raisons de bienfaisance et non politiques.
RépondreSupprimerL'ancien Président Bill Clinton a promis à l'administration Obama que la Fondation n'accepterait plus de dons étrangers-gouvernement, tandis que son épouse était Secrétaire d'État. L'accord n'est pas d'imposer des limites sur les dons de particuliers étrangers ou des sociétés.
Entre 2009 et 2013, y compris quand Mme Clinton a été Secrétaire d'État, la Fondation Clinton a reçu au moins $ 8,6 millions de la Victor Pinchuk Foundation, selon cette Fondation, qui est basée à Kiev. Il a été créé par M. Pinchuk, dont la fortune provient d'une entreprise de fabrication de tuyaux. Il a effectué deux mandats comme membre élu du Parlement ukrainien et est un partisan de liens plus étroits entre l'Ukraine et l'Union européenne.
En 2008, M. Pinchuk fait un engagement de cinq ans, $ 29 millions à la Clinton Global Initiative, une aile de la Fondation qui coordonne les projets caritatifs et financement pour eux, mais ne gère pas l'argent. Le gage était de financer un programme de formation des futurs dirigeants ukrainiens et les professionnels "à moderniser l'Ukraine," selon la Fondation Clinton. Plusieurs anciens sont les membres actuels du Parlement ukrainien. Dons réels jusqu'à présent s'élèvent à seulement $ 1,8 millions, un porte-parole de la Fondation de Pinchuk a déclaré, citant l'impact de la crise financière de 2008.
Au cours du temps de Mme Clinton au département d'Etat, M. Schoen, sondeurs, enregistré comme lobbyiste pour M. Pinchuk, montrent des documents fédéraux. M. Schoen a dit il et M. Pinchuk a rencontré plusieurs fois les aides Clinton y compris Melanne Verveer, un ukrainien-américain, puis un département d'Etat l'Ambassadeur itinérant pour le mondial de la femme. Le but, M. Schoen a dit, était d'encourager les Etats-Unis à faire pression sur président Viktor Yanukovych du Ukraine pour libérer son prédécesseur emprisonné, Yulia Tymoshenko.
M. Schoen a dit que son lobbying était sans rapport avec les dons. « Nous ne recherchions pas d'utiliser n'importe quel effet de levier ou toutes les connexions ou quelque chose du genre relatives à la Fondation, » dit-il.
S'il vous plaît Schoen, ne pissent pas sur ma jambe et me dire qu'il pleut.
La Fondation Pinchuk dit que ses dons étaient destinés à contribuer à ce que l'Ukraine « un pays avec succès, libre, modern basé sur les valeurs européennes. » Il a déclaré que si M. Pinchuk était lobbying du département d'Etat concernant l'Ukraine, "cela ne peut être considéré autrement que comme une bonne chose."
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Oh certes, tout ce que vous avez à faire est de prendre un bref regard sur l'Ukraine à voir c'est une chose merveilleuse, il a été.
RépondreSupprimerLe Royaume d'Arabie saoudite n'était pas autorisé à donner à la Fondation, tandis que Mme Clinton était au département d'Etat. Mais plusieurs hommes d'affaires de premier plan saoudiens a donné des millions.
Victor Dahdaleh, un homme d'affaires de Londres dont la Fondation a contribué entre $ 1 million et $ 5 millions, a des liens avec une société d'aluminium appartenant à l'état de Bahreïn. Il a été l'intermédiaire entre l'aluminium Bahrain B.S.C. publiques et Alcoa World Alumina, qui est la majorité détenue par Alcoa Inc. L'an dernier, il a été acquitté à Londres sous l'inculpation de corruption de fonctionnaires Bahreïnis d'obtenir des contrats pour la firme d'Alcoa. Aux États-Unis, la CVAA a plaidé coupable l'an dernier à la corruption fraisd'affiliation, et le ministère de la Justice, a déclaré une enquête sur la question reste ouverte.
Rilin Enterprises, partie d'une société privée de construction chinoise, l'infrastructure et la société de port-gestion, faites un $ 2 millions gage de Fondation. La société a été fondée et est dirigée par Wang Wenliang, membre du Congrès, la Chine National du peuple de formel organe parlementaire. M. Wang n'a pas répondu à une demande de parler avec lui au cours de la réunion annuelle de ce mois-ci.
M. Wang est l'ancien fonctionnaire municipal de Dandong, une ville de 2,4 millions dans la province de Liaoning, sur la frontière de la Chine avec la Corée du Nord. Sa compagnie contrôle désormais le port de cette ville, une route commerciale importante en Corée du Nord.
La Fondation Clinton ignorait M. Wang a été déléguée à l'APN, a déclaré un responsable de la Fondation.
Une des sociétés de M. Wang était un entrepreneur pour la nouvelle ambassade de Chine à Washington.
Dans une économie d'oligarque truquées et frauduleuses, c'est ce que nous appelons un gentil « retour sur le copinage. »
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Eh bien, oui. C'est pourquoi les Etats-Unis est "la meilleure « Democracy » Money Can Buy : pour chaque Dollar dépensé influençant nous politique, sociétés obtenir $760 dos"
- voir graphique sur site -
Et si rien d'autre, ce qui précède aide aussi à expliquer ce qui suit : la Farce est achevée : fils rejoint Conseil d'Ukraine producteur de Joe Biden de gaz.
http://www.zerohedge.com/news/2015-03-21/clinton-foundation%E2%80%99s-deep-financial-ties-ukrainian-oligarch-who-pushed-closer-ties-e
La Federal Reserve Bank doivent être détruite
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 21/03/2015 20:03-0400
Soumis par Patrick Barron via blog Canada Mises,
« Delanda est in Susidium fédéré Banque »
(La Banque fédérale de réserve doit être détruite)
Pendant les années de la République romaine, Caton l'ancien terminé tous les discours avec l'expression "Delanda est Carthago » (Carthage doit être détruite). Rome avait fait deux guerres avec Carthage, et pourtant la menace pour la République est resté. Cato vu Carthage comme une menace existentielle et a conclu que Rome ne serait pas sûr tant que Carthage existe. Avec tant de ferveur est-ce qu'il détenait ce point de vue qu'il a terminé tous les discours, même sur des sujets complètement différents, avec la fameuse phrase. Je crois que nous, les Autrichiens doivent adopter une expression semblable pour rappeler au peuple américain que les Etats-Unis fait face à une menace existentielle des machinations de la Federal Reserve Bank. « Delanda est in Susidium fédéré Banque »...The Federal Reserve Bank doivent être détruite. Comme Carthage, la Federal Reserve Bank ne peut pas être contrôlée ou retenue. Soit elle, soit notre République survivra, mais pas les deux. Pour le bien de notre nation, la Fed doit être détruite.
Création de la Fed au lieu de se terminant de réserve fractionnaire bancaire
La Fed a été fondée sous faux économiques locaux – pour prévenir Banque fonctionne en fournissant temporairement la liquidité aux banques qui se sont retrouvés incapables de racheter leurs certificats et les dépôts d'espèces et/ou specie. La véritable cause d'illiquides banques – fractionnaire bancaire de réserve – ne portait jamais sérieusement. On a supposé que les banques avaient le droit d'investir les fonds de la demande de leurs clients en prêts et que les pistes étaient causés par plus s'adonner à cette pratique. Mais comme Murray N. Rothbard expliquer en qu'a fait le gouvernement pour notre argent?, un prêt fonds demande instantanément place la Banque dans une position insolvable, car il ne peut racheter la totalité de ses comptes de demande pour des espèces ou des espèces. Grâce au processus de fonds de la demande de prêt, les banques ont créé des médias fiduciaires hors de l'air, réduire leur taux de réserves inférieure à cent pour cent. Si les banques cela de façon très modeste, le public ne peut pas être au courant de la fraude. Cependant, une fois que la rumeur commence que la Banque est illiquide, il y a un littéral « run » pour la Banque de retirer des fonds de la demande. Dans un tel cas, même une banque qui prête seulement modestement sa demande de fonds peuvent se trouver incapable d'honorer toutes les demandes de retrait et seraient obligés de fermer ses portes.
(NOTE : la Banque centrale a été créée pour légitimer la fraude contre la contrefaçon, aka-Fractional Reserve Banking)
(suite en dessous:)
La Federal Reserve Bank, comme le prêteur de dernier recours, devait pour empêcher ces occurrences en fournissant temporaires, prêts de taux de pénalité aux banques qui se débattait. Notez qu'il n'y a rien qui pourrait servir de banque centrale qui ne pouvaient pas être fournis par une autre banque privée. En fait, la panique bancaire de 1907 a été découle par des interventions de la Banque privée dirigées par Morgan. Cependant, Morgan s'est rendu compte que ces plans de sauvetage privés étaient très risqués et a présenté un cas d'aléa moral ; c'est-à-dire que banquiers, confiant dans un plan de sauvetage de l'empire bancaire Morgan, pourraient réserver plus risqués, prêts à rendement élevé. Alors plutôt que de visage réel provoque des crises bancaires et faire pression pour interdire la réserve fractionnaire bancaire, les Morgans, Rockefeller, etc. – qui ne voulait pas renoncer aux avantages financiers des dépôts – fait pression de prêt plutôt pour le gouvernement à créer un prêteur de dernier recours, une banque centrale, que nous avons nommée la Federal Reserve Bank.
RépondreSupprimerNourrie politique provoque dépressions et puis empêche la récupération
Au fil du temps cette entité, nouvelle pour les américains, pourrait d'élargir son rôle dans des tentatives infructueuses pour guérir des crises provoquées par les seuls. La Fed a causé et aggravé les crises en permettant, facilitant, en développant la pratique de la réserve fractionnaire bancaire. Dans les années 1920, la Fed a commencé à élargir l'offre de monnaie pour empêcher la chute, les prix justifiant son nouveau rôle comme l'un de maintenir un niveau de stabilité des prix. Mais imprimer de l'argent pour éviter de tomber les prix malinvestment causé dans la structure de production et a conduit à une dépression de la fin de la décennie.
Plutôt que de ne rien faire et permettre l'élimination des mauvais investissements et liquidation des malinvestment, qui serait de rétablir une structure durable de la production, telle qu'elle avait fait au début de la décennie dans la dépression que personne ne se souvient, la Fed est intervenu financièrement pour pomper vers le haut se réserve alors que l'administration Hoover est intervenu sur le plan financier pour éviter la déflation des prix et de maintenir un haut niveau de dépenses. Tout cela est bien documenté dans la Grande dépression de l'Amérique de Murray N. Rothbard.
Pourtant même un interventionniste Fed ne pouvait pas empêcher les faillites de banques massive des années 1930, en raison de nombreux facteurs qui comprenait les ramification lois restrictives de la Banque. Mais la cause principale des défaillances bancaires a été * nouveau * l'adhésion des banques de réserve fractionnaire bancaire pratiques qui a abouti à leur incapacité à honorer toutes les demandes de rachat de dépôt de la demande pour la nature ou en argent.
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Dans la réserve fractionnaire folles bancaire avait élargi l'offre de monnaie bien au-delà de la capacité des banques à toutes les pistes de la tige. Les banques et les politiciens a refusé à nouveau creuser plus profondément dans la cause réelle du problème. Plutôt que séparée bancaire en dépôt et de prêt fonctions – l'ancienne nécessiterait des réserves de cent pour cent et celui-ci nécessiterait une gestion actif-passif strict pour s'assurer que les prêts mûris sur le même calendrier que les dépôts à terme, ce qui est communément connu comme financement de prêts de l'épargne – le gouvernement suspendu rédemption specie et finalement formé la FDIC pour "assurer" les dépôts bancaires.
RépondreSupprimerToutefois, les « assurance » programme de la FDIC a été rien de plus qu'une promesse explicite que la Fed serait d'imprimer suffisamment d'argent pour racheter tous les dépôts assurés, assurant ainsi la poursuite de fractionnaire bancaire réservé, le problème qui a été utilisé comme prétexte pour établir la Fed ; la très problème – Banque instabilité – la Fed a été vendue au public à résoudre. Donc, une fois de plus, une solution pour guérir un problème causé par la Fed elle-même entraîné encore plus de puissance pour le plus en plus le gouvernement exécuté système bancaire.
Le génie monétaire était sorti de la bouteille
Une fois que les politiciens s'est rendu compte que la Fed pourrait imprimer de l'argent à volonté, le génie est sorti de la bouteille. Croissance d'argent fait élargi à un taux modeste pendant quelques décennies, dû principalement aux efforts des hommes prudents comme président de la Fed William McChesney Martin (de 1951 à 1970) et des politiciens fiscalement conservatrices comme le Président Dwight Eisenhower (1953 à 1961). Cependant, il était inévitable que les hommes moins prudent, comme le président Lyndon Johnson et le Président de la Fed tous à l'exception de Paul Volcker, passerait au pouvoir sur leurs promesses pour financer toutes sortes de programmes gouvernementaux avec ce qui a été considéré maintenant comme argent illimité.
Ce fut la révélation clée !
Argent imprimé en quantité illimitée pourrait guérir tous les maux, ou alors il a été allégué, et à sa honte éternelle la profession de l'économie a fourni la couverture « académique » suffisante à l'appui de ces affirmations fallacieuses. Maintenant tout le monde a compris que la Fed pourrait monetize–i.e., achat gouvernement dette elle-même – tout montant des dépenses gouvernementales. La profession de l'Economie a refusé de considérer les conséquences inévitables de ces irresponsables politiques monétaires. Au lieu de cela il cerise récupère les données de prix historique pour prouver qu'ils soient non inflationniste et approuve des modifications aux calculs du chômage pour prouver qu'ils soient sur le plan financier solide, trop. Ces putains, ces économistes de la maison ont les yeux collés sur le rétroviseur des statistiques publiques fallacieux comme la voiture de course d'État se précipite vers une falaise économique de la dépression et peut-être même hyperinflation.
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Production de l'argent et bancaires sous réserve de droit pénal et Commercial
RépondreSupprimerIl importe pas qui est responsable de la Fed ou quelles règles Congrès pourraient insister pour qu'il adopte. Une fois l'impression de l'argent, via fiat ou création de réserve fractionnaire de crédit, est considérée comme réalisable, justifiée et juridique, rien et personne ne peut l'arrêter. La pression politique pour financer les programmes gouvernementaux sera irrésistible. Tout le monde sait que la Fed semble avoir la capacité à résoudre leur problème de la monétisation de la dette fédérale. Si il refuse de le faire, nous verrions des émeutes dans les rues semblables à ce qui se passe en Europe comme manifestants ciblent la Banque centrale européenne.
La seule solution est de détruire les monstres qui rend tout possible, la Fed. Sans la possibilité de vendre sa dette envers sa propre banque centrale, le gouvernement aurait être forcé à vivre selon les moyens mis par la volonté du peuple par l'intermédiaire de leurs représentants élus. Les écailles tomberaient finalement aux yeux des politiciens tant public que sa devient évident que ce que le gouvernement dépense se fait aux dépens de l'économie privée. Le public serait n'est plus berner par la propagande du gouvernement que ses éperons dépenses l'économie privée, quand on sait qu'il peut passer à la seule façon dont le gouvernement est pour les gens d'impôt ou souffrent de l'éviction de l'effet de l'investissement privé par des emprunts publics. Production d'argent doit être déplacée dans des mains privées qui font l'objet commercial normal et du droit pénal, où argent impression n'est rien d'autre que de la contrefaçon. Banques, aussi, doivent faire l'objet commercial normal et droit pénal, ce qui oblige à traiter un dépôt de la demande comme un baillement pour lesquels ils doivent garder à cent pour cent des réserves. Prêt bancaire serait soumis aux principes normaux et bien compris les pratiques de gestion de son actif / passif, par laquelle les prêts sont financées par des économies réelles et les échéances des prêts et des dépôts doivent être coordonnées dans l'ordre pour les prêts des banques d'honorer leurs engagements en matière de liquidité. Le chemin de la destruction de notre nation à travers les guerres incessantes et bien-être se terminerait par la destruction de la Fed.
DeLanda est in Susidium fédéré Banque !
http://www.zerohedge.com/news/2015-03-21/federal-reserve-bank-must-be-destroyed
« Menaces américaines » soit typique de brimades ou excuse de Berlin ne pas de donner asile Snowden
RépondreSupprimerAnnie Machon est un ancien officier de renseignement pour le MI5 britannique, qui avait démissionné en 1996 à siffler. Elle est maintenant un écrivain, conférencier et un directeur de Law Enforcement contre la Prohibition.
22 mars 2015 04:31
Menace de Washington d'arrêter le partage de renseignements avec Berlin si elle offre l'asile à Snowden est US intimidation ou une excuse commode sur la partie de Berlin à faire porter le chapeau pour ne lui permettant pas d'aller sur les Etats-Unis, estime que l'ancien agent du MI5 Annie Machon.
"Ils nous ont dit qu'ils cesseraient notification nous des parcelles et autres questions de renseignement" Vice-chancelier allemand Sigmar Gabriel a déclaré plus tôt cette semaine. Gabriel appartenant vers le haut que le gouvernement américain avait menacé agressivement les Allemands que s'ils le faisaient, ils seraient coupé « de tout renseignement partage », les demandes de rapport d'ordonnée à l'origine.
RT: N'est-il pas jusqu'à l'Allemagne de décider comme un pays souverain qui il est et ne laisse pas dans son propre pays. Pourquoi U.S. pense qu'il peut menacer de Berlin comme ça ?
Annie Machon : Eh bien les États-Unis pense qu'il peut menacer les deux pays. En fait, ils ont une expérience professionnelle de le faire avec le Royaume-Uni, en essayant de supprimer les preuves de torture dans une affaire de la Haute Cour en Angleterre il y a quelques années déjà. Si c'est vrai, c'est une tactique parfaitement standard utilisé par les États-Unis pour diplomatiquement intimider les pays qu'ils veulent rompre et de mener à leur talon.
Bien sûr, l'autre approche fallacieuse du Vice chancelier pourrait être que ce n'est pas vraiment arrivé, mais il dit qu'il l'a fait, afin de mélanger au large de la responsabilité de son échec de parti d'asile justifiée envers Edward Snowden en Allemagne. Maintenant, il fait partie du parti social-démocrate, un des partis de coalition au pouvoir. Et ils ont fait l'objet d'accroître la pression sur le marché intérieur au sein de l'Allemagne pour tenter de donner asile Snowden.
Ainsi c'est une intimidation très légitimes, ou c'est juste une excuse vraiment pratique pour reprocher aux Etats-Unis d'un échec de la politique en Allemagne.
RT: Ce qui est le mot dans la rue, est-il susceptible de se produire ? Comme vous avez dit que cela vient de l'opposition... est-ce susceptible de se produire à la fin de la journée ?
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AM: Je doute fort que cela se produira à la fin de la journée. Et je dois dire, que si j'étais Edward Snowden, je serais très prudent de venir à n'importe quel pays européen. Je pense que la Russie est l'un des très rares pays au monde qui a la volonté politique de lui donner asile et le refuge, mais aussi les moyens physiques pour le protéger physiquement.
RépondreSupprimerMême si Edward Snowden a été garanti à donner asile politique en Allemagne, n'y a donc aucune garantie que ce soit cette CIA ne pourrait pas envoyer dans une équipe de l'arracher de l'extrader, sorte de disparaître lui et lui a mis à l'essai aux États-Unis.
RT: La NSA ancienne chef a dit qu'on ne pourra jamais à Allemagne dans cette alliance d'intelligence dite « Cinq yeux ». Elle vous apprend un peu plus de ce qui se passe dans les coulisses, ici, dans les relations entre l'Allemagne et l'Amérique à l'heure actuelle – n'est-elle pas?
AM: Oui, il le fait. Et c'est assez choquant d'une manière si vous pensez cela. Allemagne a penché en arrière essayant de s'adapter aux exigences de la NSA au cours des dernières années, nous savons que depuis les divulgations Snowden, notamment en élaborant des programmes tels que le XKeyscore de prendre toutes les informations en temps réel de communications électroniques. Et apparemment, le BND a été signalé récemment à être approprie jusqu'à 220 millions de communications électroniques par jour.
RT: Pourquoi U.S. ne semble pas faire confiance à Allemagne ? Sûrement elle accueillerait Snowden y aller, pour être interrogé au moins sur le sol allemand.
AM: Eh bien, il le ferait. Et puis bien sûr vous auriez une situation où peut-être ils ne menaçant pas [Allemagne]. Peut-être c'est juste posture par des politiciens allemands de se débarrasser du blâme pour ne pas permettre de Snowden à venir. C'est un monde très sombre. Mais oui, ce serait à leur avantage, je pense que pour obtenir Snowden, en Allemagne. Il serait beaucoup plus facile pour eux de mettre la main sur lui, que c'est si il est en Russie où il a un Economie-ciel.
http://rt.com/op-edge/242805-snowden-us-germany-asylum/