- ENTREE de SECOURS -



lundi 30 mars 2015

Explication de texte d’un article du Point.fr

Publié le 30 mars 2015 par jacqueshenry

Quand j’étais collégien j’excellais dans l’exercice parfois périlleux de l’explication de textes, qu’ils fussent de Cicéron, Montaigne ou encore Bossuet. Je me suis délecté avec celle qui va suivre. Bonne lecture.

Anne Jeanblanc, journaliste, on devrait plutôt dire chroniqueuse aux ordres du comité de rédaction du Point lui-même aux ordres du Ministère de la Propagande gouvernementale, je veux parler du ministère dirigé par Mademoiselle Ségolène, donc Anne, journaliste donc au très respecté hebdomadaire Le Point dont je lis les head-lines (titres) d’un regard de plus en plus paresseux, m’a réveillé dans ma torpeur avant-coureuse d’un week-end calme, ensoleillé et chaud.

Le titre ronflant m’a alerté, moi qui suis un épouvantable hérétique absolument pas convaincu par le contenu des évangiles de l’Eglise de Scientologie Climatique : « Danger : les effets du changement climatique déjà perceptibles » avec en exergue ce morceau de bravoure, je cite (voir le lien en fin de billet) :

« Selon le Haut Conseil de la santé publique (HCSP), il est « impératif » de réduire les émissions de gaz carbonique, avant un enchaînement incontrôlable d’évènements ».

Presque tout est dit, même pas besoin de s’imposer la lecture de la suite de l’article, encore que … et je me suis donc risqué à cet exercice comme on découvrait les arcanes de la réthorique d’un Boileau ou éventuellement d’un Proust au collège … On voit ensuite comme illustration des dégagements intempestifs de gaz carbonique par l’humanité entière un train de wagons de pétrole en feu quelque part au Canada ! On ne pouvait pas mieux trouver comme argument de propagande. Il faut dire qu’une telle photo, l’horreur, sous-titrée « la réduction de l’émission de gaz carbonique est devenue une priorité absolue », ça ressemble à la propagande fasciste qui a coutume d’amalgamer deux évènements qui n’ont aucun lien entre eux pour en tirer un enseignement susceptible de faire peur au lecteur et l’inciter à agir contre cette peur. J’ai bien failli cesser ma lecture mais par curiosité j’ai fait un effort pour décrypter ce qui s’était passé dans le cerveau de cette journaliste quand elle a subi les boniments du présentateur de ce rapport du HSCP.

Comme je suis donc curieux et que la journaliste du Point n’a fourni aucun lien à ses lecteurs pour trouver « sa source » c’est-à-dire ce rapport du HCSP remis à la presse et pourquoi pas à n’importe quel citoyen puisque ce comité théodulesque est payé par les contribuables, je suis allé sur le site « officiel » de ce comité ( http://www.hcsp.fr/Explore.cgi/AvisRapports ) et il n’y a rien à propos de climat, uniquement des histoires de vaccins et de maladies variées ! On apprend tout de même plein de choses en lisant cet article du Point dont la truculence du foisonnement d’idées climato-réchauffistes atteint des sommets. J’ose espérer (encore une fois) que la journaliste a écrit cet article sous la dictée d’un dénommé Jean-François Toussaint, professeur de son état, lui-même aux ordres du Ministère de la Propagande puisqu’il est payé par le gouvernement. Sur internet (il faut dire que la France a une guerre de retard dans ce domaine) on trouve effectivement un Jean-François Toussaint qui sévit à l’Université Paris-Descartes dans un Institut pompeusement appelé Institut de Recherche Biomédicale et d’Épidémiologie du Sport (IRMES) mais rien de ce que l’article du Point précise en note : Président du Groupe Adaptation et Prospective, Président du Groupe Expert HEPA de la Commission Européenne. Rien sur internet à propos de ce groupe expert HEPA, serait-ce une pure invention ? Quand on cite des experts, surtout des experts en groupe, je me méfie instinctivement … et pour les publications scientifiques du Professeur Toussaint, inutile de chercher elles sont introuvables dans le domaine du climat mais essentiellement dans l’effet du sport sur la santé des sportifs, un vaste sujet, vous en conviendrez !

MedLine (NCBI) répertorie 58 publications avec Toussaint JF mais il ne faut pas se méprendre, un certain Toussaint JF travaille pour le compte de l’armée américaine à Bangkok sur le virus de la dengue en relation avec les laboratoires GlaxoSmithKline. Serait-ce le même homme ? La journaliste a donc probablement gobé tout cru ce que lui a tout aussi probablement raconté crument ce monsieur au téléphone entre deux réunions extrêmement urgentes de comités théodules invraisemblables. Voilà à quel type de spéculation on en est réduit quand on ne peut apprécier soi-même directement la source de la journaliste. Puisque je n’ai pas accès à ce rapport j’en suis donc réduit à des spéculations sans vouloir accabler Anne Jeanblanc qui a donc reçu l’ordre de bien vouloir retranscrire les boniments de Toussaint.

On sent tout de suite qu’il est urgent de préparer le grand raout médiatique mondialisé parisien de décembre 2015 et de faire périodiquement des piqûres de rappel à la Coué d’ici le 18 juin de cette année, le jour du grand appel à la lutte contre le réchauffement global organisé à Paris pour mobiliser les esprits, l’appel du 18 juin … Le comité d’experts en vaccins (HCSP) semble s’être fendu d’autres amalgames dignes de la photo du train en feu et tout aussi surprenants. Les premières lignes de l’article entrent dans le vif du sujet : « L’enjeu est clair : si la température augmente de 4 à 6°C à la fin du siècle, il est possible que l’enchainement des évènements ne soit plus contrôlable ». On l’a compris, comme Christine Lagarde le disait à Davos on grillera tous comme des toasts. On apprend ensuite qu’il existe en France un « plan national d’adaptation au changement climatique », ouf ! On est rassuré, peut-être qu’on échappera à la grillade et que le changement s’arrêtera aux frontières de l’Hexagone.

Je cite pêle-mêle : les conséquences du changement démographique ont été aggravées par le changement climatique, ce n’est pas Anne Jeanblanc qui le dit mais ces experts dont le porte-parole est Toussaint. On croit rêver : l’attrait croissant des populations pour le littoral, probablement pour se rafraîchir, a créé un changement démographique qui a été aggravé par le changement climatique puisque ces populations à la recherche de la fraîcheur des brises marines ont vu leurs maisons construites dans des zones inondables dévastées par une grande marée amplifiée par un ouragan qui comme chacun sait était la conséquence directe du changement climatique. Ceci explique donc cela mais pas vraiment le fait que les maires des communes sinistrées par je ne sais plus quelle tempête, Xynthia excusez-moi, l’article du Point le précise, n’ont pas rechigné à déclarer constructibles des terrains parfaitement connus pour être inondables afin de satisfaire des petits copains promoteurs immobiliers, mais tout ça c’est à cause du changement climatique.

La stupeur ne cesse de croître quand on apprend que la résurgence des maladies infectieuses est le résultat du changement climatique, il fallait s’y attendre … Le moustique Aedes albopictus s’est « implanté » dans le sud de la France, pas de chance il a franchi la frontière qui sépare les Alpes-Maritimes de la principauté de Monaco. Du coup des millions de gens sont menacés de la dengue. Mais on est vraiment saisi d’effroi en apprenant que la résistance aux antibiotiques des bactéries est aussi une conséquence du changement climatique. N’en jetez plus la coupe est presque pleine !

L’étude du changement climatique aurait permis de « mieux comprendre les phénomènes interactifs » (sic) et donc d’anticiper le mode de propagation du virus de la grippe H1N1 (voir mon dernier billet à ce sujet) alors que les « experts » nagent dans le doute avec ce virus qui passe son temps à muter. Visiblement Toussaint ignore totalement ce dont il parle …

En fait, je me suis arrêté sur une autre déclaration du sieur Toussaint qui, s’il fallait encore le démontrer, est un opportuniste patenté dont le seul mérite est de ne pas le cacher, je cite une autre nécessité : « créer une structure interministérielle dédiée afin d’intégrer l’idée de gouvernance du très long terme ». Comme si les politiciens avaient la moindre idée de ce qui se passera après les prochaines échéances électorales de 2017 puis de 2022. Tous les Français savent parfaitement que ces mêmes politiciens ne travaillent que pour être réélus et ils se contrefoutent de l’avenir à moyen terme et encore moins des échéances fin de siècle.

Bref Anne Jeanblanc aurait pu faire preuve d’un peu plus d’esprit critique mais elle serait alors sortie des rails de la ligne idéologique du comité de rédaction du Point.


Note : Finalement j’ai épluché tous les articles du NCBI où apparaît le nom « Toussaint JF » et il semble bien qu’un certain Toussaint JF, virologue, travaille sur la dengue à Bangkok. Comment ce Toussaint JF qui sévit à l’Université Paris-Descartes où il travaille sur la physiologie du sport peut aussi se trouver à Bangkok et présider une série de comités et autres théoduleries franco-françaises ou européennes et simultanément publier des articles sur la dengue et autres virus en n’apparaissant jamais comme premier ou dernier auteur dans ces articles précis, cela semble très suspect. En effet quand on publie des travaux scientifiques, le premier signataire est en quelque sorte le leader de l’étude, puis viennent des subalternes et le dernier auteur est le plus souvent le directeur du laboratoire qui n’a jamais tenu le moindre tube à essai ou un de ses assistants. Dans le cas présent, parler de la dengue n’est-ce pas une usurpation d’identité ? Et si tel est le cas, Anne Jeanblanc ferait bien de s’informer sur ses sources et les réelles qualifications des auteurs de ces dernières et me communiquer les résultats de ses investigations.

49 commentaires:

  1. Le 'plus marrant' est que dans l'article "El Niño est arrivé: une année chaude nous attend" que j'ai publié samedi 28 Mars, il y a une annonce d'arrivée imminente de chaleur pour l'été (prolongeable jusqu'à l'hiver 15/16). Donc, nous allons tous voir les neiges et glaces fondre. Jusque là c'est normal. Mais (Hahahaha ! Rigolez pas quand j'écris !), il va ou devrait y avoir: LA MONTEE DES EAUX ! AAââarght ! (jusqu'à 60 m d'après un Sénateur de Louisiane !).

    Et là, le pire est que... à la fin de l'année, à Paris-sous-les-eaux, devrait se tenir une assemblée de truants et escrocs de tous genres sur le fameux Global Warming. Et donc, de constater pieds-secs que ce très trop grand beaucoup malheur d'être noyé par de l'eau n'est pas arrivé !

    D'où la question: A qui porter plainte contre cette non-noyade ? Notre mort n'est pas une marchandise ! Un contrat c'est un contrat !

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  2. Ukraine : La torture, sadisme ou stratégie ?

    Le 27 mars 2015 – Source thesaker.is

    Le lundi 23 mars, la Chambre des représentants américaine a adopté la résolution H. Res. 162 exhortant le président Obama à fournir à l'Ukraine une aide militaire dans la tentative désastreuse de raviver le conflit dans l'Est de l'Ukraine, gelé à la suite des accords de Minsk signés en février 2015 entre Kiev et les régions de Donetsk et de Lugansk avec les médiations française, allemande et russe. Les présupposés généraux de la résolution sont aussi évidents que faux : ils contiennent les rengaines sur l'agression russe, l'occupation de la Crimée, les violents séparatistes par procuration et l'insurrection qui a abouti à plus de 6.000 morts, 15.000 blessés et plus d'un million de personnes déplacées. Comme si les insurgés utilisaient l'artillerie lourde contre leurs propres villes et tuaient leurs propres enfants, surtout pour ne pas évoquer que les personnes déplacées se réfugient principalement en Russie pour obtenir une protection et la sécurité loin de la zone de conflit.

    Pendant ce temps, plus tôt ce mois-ci, la Fondation pour l'étude de la démocratie (FSD) a publié un nouveau rapport complet sur les crimes de guerre des Forces armées et des Forces de sécurité de l'Ukraine. Il est basé sur les preuves fournies de août 2014 à janvier 2015 par plus de 200 résidents des provinces de Donetsk et de Lougansk qui ont été détenus et enlevés par les forces militaires et de sécurité ukrainiennes et plus tard restitués aux autorités de Donetsk et de Lougansk comme otages libérés selon les dispositions du protocole de Minsk de septembre 2014. Ici nous fournissons une douzaine de citations de ce document à glacer le sang :
    Ils ont été électrocutés, battus cruellement pendant plusieurs jours de suite avec des objets différents (barres de fer, battes de baseball, crosses de fusil, baïonnettes, matraques en caoutchouc).

    Les techniques largement utilisées par les Forces armées ukrainiennes (FAU) et les forces de sécurité comprennent la simulation de noyade, l'étranglement avec un «garrot Banderiste» et d'autres types d'étranglement.

    Dans certains cas, les prisonniers, aux fins d'intimidation, ont été envoyés à la mort courir sur des champs de mines ou écrasés par des véhicules militaires.

    D'autres méthodes de torture utilisées par les FAU et les forces de sécurité consistent à écraser les os, poignarder et découper au couteau, marquer au fer rouge, tirer sur différentes parties du corps avec des armes légères.

    Les prisonniers en captivité sont enfermés pendant des jours par des températures glaciales, sans accès à la nourriture ou à l'assistance médicale, et sont souvent obligés de prendre des substances psychotropes qui les tuent.

    Une majorité absolue des prisonniers sont soumis à des simulations d'exécution entendent des menaces de mort et de viol sur leurs familles.

    Une grande partie des victimes torturées ne sont pas membres des forces d'auto-défense de Donetsk et les Républiques de Luhansk (RMR et LPR).

    (suite en dessous:)

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  3. Le rapport concerne un grand nombre de cas qui feraient se dresser les cheveux sur la tête de tout être humain sain d'esprit :
    Andrey Runov: Pendant la nuit du 23 au 24 Novembre, j'ai été arrêté à mon domicile par le bataillon Aidar. Nous avons été emmenés à l'aéroport de Marioupol. Le passage à tabac et la torture y étaient si graves que nous avons perdu connaissance. Ils nous frappaient sur les talons, les côtes et la tête. Ils ont dit qu'ils allaient briser nos jambes, menacé de couper nos oreilles et d'arracher nos yeux. Un de mes compagnons de cellule s'est fait éclater les entrailles et fracturer le crâne; il a été paralysé par la suite .

    Alexander Ryabchenko : [...] J'ai été crucifié dans un vestiaire sur un treillis métallique. Ils venaient toutes les heures pour me frapper. Le lendemain, j'ai été emmené à Debaltsevo. Là, ils m'ont emmené à l'enquêteur en chef qui m'a demandé si je voulais collaborer. J'ai dit qu'il n'y avait rien que je pouvais leur dire, que je ne savais rien. Après cela, il a appelé trois assistants et leur a ordonné de me battre autant qu'ils voulaient. Ils ont attaché mes mains derrière mon dos et m'ont suspendu à la porte ; mon pied droit a été attaché à la poignée d'une autre porte par une corde, j'ai donc été debout seulement sur mon pied gauche. Deux d'entre eux ont commencé à me frapper sur ma jambe gauche. Ensuite, j'ai été emmené à la salle, les mains attachées avec du ruban adhésif derrière mon dos, et suspendu par une corde attachée à mes mains et le pied droit. Ils m'ont mis un sac noir sur la tête et ont continué à me battre jusqu'à ce que je m'évanouisse.

    Oleg Fuhrman : Ils ont utilisé des appareils à électro-chocs, nous ont fait mettre à genoux avec des sacs sur la tête, et ont tiré avec leur arme près de l'oreille, j'ai été mis dans une fosse, pendu à une chaîne et menotté, je ne pouvais pas me tenir sur mes pieds, ni m'allonger, je pendais à cette chaîne avec mes côtes et mes doigts cassés.

    Yury Slusar : Le 4 novembre, j'ai été arrêté par les hommes d'Azov et le SBU [Service de sécurité] quand j'étais au travail dans la ville de Druzhkovka. J'ai été emmené à Kramatorsk. Ils m'ont frappé sur la tête et les pieds avec une chaîne, tiré au pistolet près de mon oreille, ils ont menacé de me tirer une balle dans la tête ou dans les pieds. Ils m'ont humilié et ont dit qu'ils allaient me violer. Ils ont menacé de torturer ma femme et mes filles devant moi. Je ne pouvais plus manger pendant trois jours. La seule nourriture que j'avais était de l'eau et des biscottes.

    (suite en dessous:)

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  4. German Mandrikov : Je suis juste un civil, je n'avais pas participé aux actions militaires, mais les enquêteurs SBU m'ont forcé à m'accuser sous la torture. Au début octobre, je suis allé voir ma mère et des hommes inconnus m'ont arrêté. Ils m'ont emmené à l'aéroport de Marioupol où, pendant trois jours d'affilée, j'ai souffert la torture bestiale. Ils ont utilisé la violence à la fois psychologique et physique : ils m'ont donné un choc électrique, m'ont étouffé avec un sac en plastique, battu sur les pieds avec un démonte-pneu, versé de l'eau glacée sur moi, etc. Les tortionnaires avaient un insigne Azov sur leurs manches. Ils ont menacé de violer ma mère et mon épouse. Je ne pouvais pas supporter plus de tourments, j'ai signé des documents sans même les lire.

    Beaucoup de victimes disent qu'elles ont été poignardées et tailladées au couteau.

    Dmitry Klimenko : j'ai été capturé le 8 juillet 2014 par le bataillon Donbass quand j'étais à la maison. J'ai perdu conscience lors de l'arrestation et me suis seulement réveillé dans la voiture. J'avais un sac sur la tête. Ils ont commencé à me battre. Ils m' ont battu sur les côtes, cassé trois d'entre elles. Ils m'ont battu sur la tête aussi. Et je me suis évanoui une fois de plus. J'ai repris conscience quand ils versaient de l'eau sur moi. Un des hommes a pris un couteau et a commencé à me poignarder dans la jambe tout en continuant l'interrogatoire. Un autre m'a donné un choc électrique. Cette inquisition a continué pendant dix heures. Dans la matinée, ils ont décidé de poursuivre l'interrogatoire. Je ai été frappé sur le corps et sur les côtes. C'est alors que je ai réalisé que j'avais les côtes cassées. Je suis tombé le visage contre terre, j'ai entendu cliquer la culasse d'un fusil et une rafale a été tirée dans le sol. Quand ils ont vu que je n'allais pas leur dire quoi que ce soit, ils m'ont mis dans un coffre d'une voiture et emmené quelque part. Je me suis retrouvé dans un bureau. J'ai immédiatement compris que c'était le SBU. J'ai passé deux jours là-bas. Ensuite j'ai été emmené à un tribunal et à un avocat. J'ai eu une conversation avec lui et puis avec l'agent enquêteur. J'ai été emmené dans une salle d'audience. Le juge n'a pas pris en compte mes blessures, bien qu'elles étaient évidentes.

    Igor Kozlov : j'ai été arrêté le 18 juillet à un barrage non loin de Popasnaya par le VSU. Ils m'ont battu, m'ont torturé et ont essayé de me couper l'oreille.

    Mikhail Lyubchenko : J'ai vu un gars debout dans un trou jusqu'à la taille, ils l'ont à demi enterré avec un engin de terrassement à godet et ils ont roulé sur lui

    Alexander Kashenko a été capturé par le bataillon Dniepro le 13 novembre 2014 et décrit en détail les tortures infligées par les forces de sécurité ukrainiennes :

    (suite en dessous:)

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  5. J'avais un sac sur la tête. Ils m'ont frappé avec des tuyaux en plastique. Il étaient deux, puis trois. Ils me frappaient sur la tête, le dos, les pieds et les reins. Ils ont essayé de m'étouffer avec un poing qui m'empêche de respirer, utilisé un dispositif électro-choc. Ils m'ont frappé avec la crosse d'un fusil et m'ont battu avec leurs bottes de l'armée. J'avais des côtes cassées. Les coups avec un tuyau de plastique ont laissé six lésions sur mon crâne. Ils m'ont frappé avec un marteau, aussi. J'ai eu les doigts, les bras et un os dans ma main blessés. Je me suis évanoui deux fois. Les coups ont continué pendant plus d'un jour. Ils ont commencé à me couper avec un couteau, à me poser des questions auxquelles je ne pouvais pas répondre. Ils ont poignardé ma jambe au couteau, et remué le couteau dans la plaie, tourné à nouveau et ainsi de suite. Puis ils ont essayé de me couper les doigts.

    Note du Saker Francophone : J'arrête ici la litanie de ces atrocités que vous pouvez retrouver sur l'article original si vous en avez le courage.

    Voici des preuves vidéo (audio en russe, en date du 7 février 2015) les moments importants sont au timing : 00h30, 01h17, 01h30, 02h06 :

    - voir clip sur site -

    L'ampleur de l'usage de la torture par les forces armées ukrainiennes (VSU), la garde nationale et d'autres unités militaires du ministère de l'Intérieur de l'Ukraine, ainsi que par le Service de sécurité ukrainien (SBU), et le fait que cette pratique est systématique, démontrent une intentionnalité de la part de ces institutions, avec la bénédiction de leur gouvernement et de leurs maîtres à l'étranger.

    Comme la victoire militaire de Kiev sur les provinces sécessionnistes est difficilement réalisable même avec les armes obsolètes de l'Otan livrées à l'Ukraine, la seule arme mortelle qu'Obama peut autoriser à exporter maintenant sont les nouvelles stratégies de torture pour terroriser...

    - voir clips sur site :

    http://lesakerfrancophone.net/ukraine-la-torture-sadisme-ou-strategie/
    http://orientalreview.org/2015/03/26/arms-to-sadists-us-congress-urges-pres-obama-to-provide-ukraine-with-more-torture-techniques/

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    1. Ce sont ces Dirigeants ukrainiens de la nazional socialiste qui sont soutenus (physiquement et financièrement) par 'Bruxelles' et les Etats-Unis !

      N'oublions pas que le juif adolf hitler (dessinateur de la coccinelle de volkswagen) était lui aussi de la nazional socialiste et en a donné l'exemple.

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  6. Interviewés, une personne sur cinq dans le personnel d'une école est victime de fausses déclarations, Union étude a révélé que la peur d'être faussement accusé est la principale raison pour certains enseignants envisagent de quitter la profession tout à fait

    L'union ATL dit fausses allégations sont d'anéantissement de carrières et mettre a ajouté stress sur les travailleurs de l'éducation.


    Dimanche 29 mars 2015


    Personnel de l'école plus d'un sur cinq a eu une fausse allégation faite contre eux par un élève, selon un sondage. Un autre 7 % ont également connu des réclamations fausses d'un étudiant parent ou membre de la famille, l'étude menée par un syndicat de l'enseignement trouvé.

    Le problème est si aigu - certains enseignants ont dit - que la crainte d'être faussement accusé est devenu des principales raisons pour eux d'envisager de quitter la profession tout à fait. Un professeur expérimenté, a dit l'Association des professeurs et chargés de cours (ATL) qu'elle se sentait vulnérable comme élèves « twist des choses qui sont dites ».

    Un des enseignants interrogés, a déclaré que son mari restait un « homme brisé » après que les fausses allégations ont été faites à son sujet, tandis que l'autre cité mauvaise discipline parentale et l'impossibilité de « enfants de discipline sans un retour » comme des problèmes importants.

    « La fréquence croissante des allégations est une des raisons pourquoi je vais quitter la profession plus tôt que je voudrais. Mauvaise discipline parentale entraîne enfants voulant toujours leur chemin, » dit un enseignant de l'école primaire de Kent.

    « Impossible de discipliner les enfants sans un retour a signifié ce type d'incident s'intensifiera et de très bons professeurs vont être chassés lorsqu'ils ne sont plus nécessaires. »

    Et un autre enseignant du sud-est de l'Angleterre a dit: « mon mari a été faussement accusé par un enfant, il a enseigné. Bien que le Crown Prosecution Service tenu qu'il y avait non-lieu, il était un homme brisé.

    "Il retourne pour travailler brièvement, mais il avait perdu son sang-froid. La fausse accusation d'un enfant, qui était dans une situation d'abus domestique, détruit la vie de notre famille. Mon mari est mort d'une crise cardiaque à 50 ans. »

    Enquête auprès de la bibliothèque ATL a révélé que 22 % des enseignants qu'ils avaient fait face à une fausse allégation faite par un élève et que 14,3 % avait fait face à des réclamations par le parent d'un élève ou autre membre de la famille.

    Plus d'un tiers des personnes interrogées (37,7 %) dit que quelqu'un dans leur actuelle école ou un collège avait eu une fausse allégation faite contre eux par un étudiant, un autre 22,6 % disant un collègue avait confrontés réclamations du parent de l'élève.

    (suite en dessous:)

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  7. Parmi ceux qui dit qu'ils avaient fait face à une allégation à un certain moment, 69,5 % disaient l'incident présumé était censée avoir eu lieu lorsque qu'ils travaillaient avec une classe ou un groupe d'enfants et près du quart (24,2 %) a déclaré qu'il était censé avoir eu lieu dans les locaux de l'école ou au Collège en dehors de la classe.

    La bibliothèque ATL dit fausses allégations sont anéantissant carrières et mettre a ajouté stress sur les travailleurs de l'éducation.

    Demandé ce qui s'est passé à la suite de la plus récente allégation qu'ils rencontrent, environ la moitié de ceux qui ont répondu, a déclaré que la demande avait été rejetée, et 30,2 % ont dit qu'ils ont continué à travailler alors qu'il a été étudié.

    Seulement 5,7 %, a déclaré qu'ils avaient été suspendus et 4,2 % ont fait l'objet de mesures disciplinaires. Et un peu plus de 5 % des personnes interrogées ont dit qu'ils avaient été renvoyés à la chambre d'enfant sauvegarde locale sur une allégation.

    En réponse à une question distincte, 7,5 % des 187 personnes qui ont répondu a déclaré que la police avait été informée de la plainte contre eux. David Guiterman, Secrétaire de direction d'ATL en Cornouailles, a déclaré : même si l'allégation s'avère être faux il laisse une cicatrice durable. Dans une affaire locale, un membre a décidé de démissionner, même si l'allégation s'est avérée être faux. Il ne voulait pas de cours magistraux. »

    Secrétaire général ATL Dr Mary Bousted a déclaré que le bien-être et la sécurité des enfants doivent toujours Primer, un équilibre est nécessaire, afin que les « enseignants, chefs et employés de soutien ne souffrent pas inutilement quand les fausses allégations sont faites contre eux ».

    Elle a dit: "écoles et collèges de nécessité de reconnaître que les jeunes constituent parfois des allégations - ils peuvent être en colère, stress, souffrent de problèmes à la maison ou avoir une foule d'autres raisons – et en tenir compte dans les enquêtes sur eux.

    L'enquête a interrogé 685 membres travaillant dans les écoles et collèges en Angleterre, au pays de Galles et d'Irlande du Nord entre le 19 février et 10 mars de cette année.

    Un ministère pour le porte-parole de l'éducation a déclaré: "nous comprenons la variété du visage enseignants de pressions, c'est pourquoi par le biais de notre plan pour l'éducation, nous avons pris un certain nombre de mesures visant à les soutenir.

    « Nous reconnaissons les dommages extrêmes qui peuvent être causés aux enseignants qui ont des fausses accusations portées contre eux, c'est pourquoi nous avons clairement aux écoles et collèges qui le personnel devrait être soutenu tout au long, et sont en mesure de revenir en concentrant leurs énergies sur l'enseignement le plus rapidement possible. »

    http://www.theguardian.com/education/2015/mar/30/one-in-five-school-staff-victims-of-false-claims-survey-shows

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    1. "Accusez quelqu'un il en restera toujours quelque chose".

      C'est tout de même un comble que de voir des 'enseignants' solutionner leurs attaques par des mesures de soutient ! Hahahaha ! Rendez-vous compte qu'ils - au 'Royaume-Uni' - n'osent même pas accuser qui que ce soit de cette épidomologie grandissante tant ils ont peur d'être viré du fonctionnariat qu'ils occupent ou d'avoir des problèmes de justificatifs de point-retraite pour ceux qui ont été viré !

      Les gosses (ou élèves) ne connaissent rien à la politique, mais ils en saisissent le sens uniquement de leurs parents qui regardent la télé et s'exclament: "Tous des cons, té !" ou "Ce sont des bons-à-rien qui gouvernent !" et mots crus.

      De cette vie sociétale qu'ils découvrent, ils n'apprennent et ne retiennent qu'une chose: Tous des cons !

      Parce que, pour trouver quelque part sur Internet un pays où ses habitants portent en triomphe leur président est 'plutôt restreint', et, quand on sait que la censure sur la toile coupe les liens vers ces pays exemplaires, il ne reste donc plus des pays étrangers 'Tous cons' et, le pays dans lequel on vit et qui ne vaut pas mieux !

      D'où cette mentalité d'élèves qui se cherchent encore d'aller à l'école écouter un prof sorti de l'IUFM rabacher les mêmes commentaires dévoyés de la télé.

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  8. L'Amérique et sa politique de déstabilisation au Venezuela

    Carlos Fazio
    El correo
    lun., 30 mar. 2015 13:20 UTC
    Traduction : Estelle et Carlos Debiasi

    L'Amérique Latine et les Caraïbes, principalement les nations de l'Alliance Bolivarienne pour les Peuples de Notre Amérique (ALBA), et en particulier, le Venezuela, sont le théâtre d'opérations d'un jeu géopolitique sourd entre les États-Unis d'Amérique et ses alliés de l'OTAN, contre la Chine et la Russie, deux puissances émergentes qui ont développé des liens économiques et de coopération technico-militaire avec des pays situées dans ce que d'usage Washington considère comme son « espace vital ».

    Rarement comme aujourd'hui -après le récent décret présidentiel de Barack Obama qui a désigné le Venezuela comme une « menace extraordinaire à la sécurité nationale et à la politique extérieure des Etats-Unis d'Amérique » -, les concepts brandis par Nicholas J. Spykman en 1942, quand après avoir défini la « Méditerranée Américaine » (qui comprenait le littoral du golfe du Mexique et la mer caribéenne, le Mexique, l'Amérique centrale, la Colombie, le Venezuela et la ceinture d'îles qui se succèdent depuis la Trinité à la pointe de la Floride, Cuba incluse), ont pris toute leur dimension ; il avait dit que cette région devait rester sous « la tutelle exclusive et indiscutée » de Washington.

    Dans son œuvre les « États-Unis face au monde », écrite trois ans avant la fin de la Deuxième Guerre mondiale, après avoir exposé la doctrine géopolitique de l'impérialisme telle que la classe dirigeante étasunienne la concevait, Spykman dit d'une façon crue éloquente :
    « Cela implique pour le Mexique, la Colombie et le Venezuela une situation de dépendance absolue à l'égard des États-Unis, de liberté simplement nominale ... »
    En 1973, le boycott de livraison d'hydrocarbure de l'Organisation de Pays exportateurs de Pétrole (OPEP) aux États-Unis, a mis en lumière la vulnérabilité de l'hégémon du capitalisme mondial. Depuis ce temps-là, les stratèges du complexe militaro-industriel ont dessiné et ont mis en pratique une série de projets géopolitiques -ou de conquête de l'espace dans leur zone d'influence-, aux dépens des nations faibles ou qui offrent peu de résistance, incluant la colonisation, l'annexion ou la conquête.

    Quatre décennies après, les États-Unis ont façonné l'Amérique du Nord comme un espace géopolitique sous la domination économique - financière des entreprises ayant leur siège sur son territoire et le contrôle militaire du Commando Nord du Pentagone. Et bien qu'en 2005 à Mar del Plata la Zone de Libre-échange des Amériques (ALCA) échoua, la liberté du Mexique et de la Colombie est aujourd'hui simplement nominale, comme l'avait annoncé Spykman en 1942, et leurs territoires ont été militarisés par l'empire US. Seuls, le Venezuela, Cuba et le Nicaragua échappent à ce dessein.

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  9. En plus de son importance géopolitique pour la défense du territoire continental des États-Unis dans l'optique d'un éventuel conflit armé avec une autre puissance, le Venezuela est le pays ayant la plus grande quantité de réserves prouvées d'hydrocarbure. De même, sous le leadership indiscuté de Hugo Chávez, le Venezuela a été le promoteur de l'ALBA et a promu l'UNASUR (l'Union de Nations Sudaméricaines) et la CELAC (la Communauté des États Latinoaméricains et Caribéens), gênant les plans pour une intégration verticale du sous-continent, dessinés par la Maison Blanche et le gouvernement de l'ombre des grandes entreprises étatsuniennes.

    Washington et le putschisme sans relâche

    Les considérations précédentes expliquent les tentatives successives sous le manteau de Washington pour mener à bien « changement de régime » au Venezuela : depuis le coup d'État civil-militaire-oligarchique d'avril 2002 (le premier coup médiatique du XXIe siècle), et l'Opération Septembre Noir de la fin de cette même année et du début 2003 - le dit « coup pétrolier » qui a suivi les directives du Dossier Confidentiel Numéro. 5, stratégie subversive des capitaines de l'industrie, des grands propriétaires terriens, éleveurs et la dite nomenklatura administrative des Pétroles de Venezuela (Pdvsa), sous la couverture politique et idéologique des principales entreprises multimédia du Venezuela et des Amériques -, en passant par diverses opérations clandestines et différentes modalités de la guerre à spectre complet (« coup d'état doux », guerre de faible intensité, guerre asymétrique, de l'information ou du quatrième génération, guerre économique et terrorisme des médias), jusqu'au Coup d'Etat raté du 11 et 12 février 2015.

    À ce sujet, on peut rappeler qu'avec comme axe une stratégie à plusieurs voies, l'escalade politico-propagandistique avait commencé en décembre dernier [Lire : L'Espagne et la tertiarisation du chaos au Venezuela de Carlos Fazio. El Correo, Paris, 29/09/2014] quand, au moment où on annonçait des négociations pour une reprise prochaine des relations diplomatiques avec Cuba, le président Obama a fait entrer en vigueur « la Loi pour la défense des droits de l'homme et de la société civile au Venezuela », une mesure d'ingérence en violation avec le droit international, approuvée par le Congrès. La nouvelle loi extraterritoriale, pièce centrale dans l'étape pour un changement de régime au Venezuela, est une réplique perfectionnée de ce que le même Obama, alors sénateur, avait jugé inefficace pendant plus de 50 ans contre Cuba.

    À partir du mois janvier 2015, les plans tendant à générer un nouveau climat d'angoisse économique et de violence chaotique déstabilisatrice se sont développés, ce qui a coïncidé avec le premier anniversaire des « guarimbas » [mot vénézuélien pour désigner des actes de vandalisme, des événements violents] de février 2014. Objectif ? Renverser Nicolás Maduro, président constitutionnel de la République Bolivarienne du Venezuela, dont on a fabriqué une image de gouvernant autoritaire et irrespectueux des droits de l'homme.

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  10. L'opposition vénézuélienne huilée par les millions tirés des contribuables des États-Unis à travers des agences officielles de Washington comme l'Agence pour le Développement International (USAID) et des fondations du même genre comme la National Endowment for Democracy (NED) et la Freedom House ; la guerre économique reposant sur la pénurie de produits de première nécessité - en particulier les aliments de base, les médicaments et les produits d'hygiène - pour provoquer la colère et le malaise dans la population ; le réseau étendu de médias privés de l'hémisphère occidentale ont fait leur travail comme élément de la guerre psychologique et du terrorisme médiatique. A l'intérieur du pays, leur mission principale était de générer un climat de peur et d'horreur paralysant à travers des outils habituels comme l'appropriation, la pénurie, le marché noir, l'inflation, l'usure, les campagnes de rumeurs et la violence de rue, et à l'extérieur du pays, d'encourager une corrélation des forces internationales qui avalisent tacitement la démarche putschiste et, une fois là, une éventuelle intervention militaire du Pentagone.
    Donc à vrai dire, il s'agissait de la deuxième phase de l'opération subversive ratée mise en œuvre au début de 2014 pour faire tomber le Président élu Nicolas Maduro. « LA SORTIE » -comme l'extrême-droite Vénézuélienne au plan séditieux, l'a nommée, pour sortir le président légitime du Venezuela du Palais de Miraflores -, a culminé avec un bilan de 43 morts et a amené en prison l'un des leaders de l'émeute, Leopoldo López, dirigeant du Parti Volonté Populaire.

    Dès lors, une de ses complices dans l'aventure conspiratrice, l'effrénée ex-congressiste Marie Corina Machado - signataire du Décret Carmona pendant le coup d'État d'avril 2002 -, avait pris les rênes de la nouvelle tentative de coup d'état avec l'appui de l'ambassadeur des États-Unis en Colombie, Kevin Witaker. « Nous disposons d'un chéquier plus fort que celle du régime pour briser les anneaux de sécurité », a dit Machado, qui depuis des années cultive les faveurs des membres du Congrès Cubano-Us de Miami, comme Marco Rubio, Iliana Ros Lethinen et Mario Díaz Balart, et ceux du maire de la ville Doral du sud de la Floride, Luigi Boria.

    Le facteur Brownfield

    Dans le cas vénézuélien, la genèse de l'intervention actuelle US renvoie au Comité des 40 (une dénomination prise par la Décision-Mémorandum Numéro. 40 du Conseil de Sécurité National des États-Unis), réuni par le secrétaire d'État Henry Kissinger en juin 1970 pour dessiner une stratégie de « PROFIL BAS, OU EN SOUS MAIN » destinée à faire avorter « la voie pacifique du socialisme » de Salvador Allende au Chili. Le plan du Pentagone et de l'Agence Centrale d'Intelligence (CIA) de l'époque de Richard Nixon, comprenait :

    1) création du chaos économique ;
    2) des actions paramilitaires ;
    3) offensive de propagande ;
    4) financement des secteurs de droite, et
    5) infiltration et divisionnisme dans la gauche chilienne.

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  11. Se basant sur cette stratégie -appliquée après avec des variantes contre le Nicaragua sandiniste, la Grenade et le Panama -, en août 2004 Washington avait envoyé à Caracas l'ambassadeur William Brownfield. Assigné au Bureau d'Initiatives pour la Transition du Venezuela (OIT), la principale mission de Brownfield était d'élaborer un plan à long terme pour renverser Hugo Chávez. Dans un câble diplomatique du 9 novembre 2006, diffusé sur le portail Wikileaks, le diplomate rappelait à ses chefs au sein du Département d'État les directrices établies deux ans auparavant dans le dénommé « Plan de cinq points contre le Gouvernement Bolivarien » :
    1) Renforcer les institutions démocratiques ;
    2) S'infiltrer dans la base politique de Chavez ;
    3) Diviser le chavisme ;
    4) Protéger les affaires vitales des États-Unis, et
    5) Isoler Chavez internationalement.
    L'OIT pour la Venezuela a été fermée en 2010, mais ses fonctions ont été transférées au bureau pour l'Amérique Latine de l'USAID, un vieil écran des actions d'ingérence et de la guerre psychologique de la CIA et du Pentagone.

    Reposant sur ces antécédents, la mise en ambiance ou le « tour de chauffe » médiatique de la nouvelle offensive déstabilisatrice contre le Venezuela [[Lire aussi sur sa préparation : a disposé, vers le milieu de janvier dernier, de la présence à Caracas des ex-présidents de la Colombie, du Chili et du Mexique -Andrés Pastrana, Sebastián Piñera et Felipe Calderón, respectivement -, invités à un forum par Marie Corina Machado et le parti Volonté Populaire. L'autre des objectifs était d'aller voir en prison Leopoldo López, érigé par Washington comme nouveau « combattant de la liberté », selon l'expression estampillée par Ronald Reagan pour les « contras » nicaraguayens et Oussama Ben Laden saoudien dans les années 80.

    La trame de la déstabilisation a été complétée, à la fin d'un janvier, avec la désertion de Leamsy Salazar, lieutenant de vaisseau des Forces armées Nationales Bolivarienne. En qualité de « témoin » protégé », le déserteur Salazar a déclaré devant un tribunal de New-York que le président de l'Assemblée Nationale du Venezuela, Diosdado Cabello, était le chef d'un présumé cartel Los Soles. « L'exclusivité », a été obtenue par le quotidien neofranquiste espagnol ABC, qui s'est basé sur des « des sources proches de l'investigation », et elle a été bien amplifiée au Mexique par les journaux Excélsior et La Razon qui, curieusement, n'ont cité comme source aucune agence internationale d'information, donc il est permis de croire que dans les trois cas ce fut de la désinformation semée d'intentions subversives et à des fins de propagande.

    Au sein du plan conspirateur en cours, ce n'est pas rien que William Brownfield -le « diplomate » qui en 2004 a élaboré le Plan en cinq points pour renverser Chavez et qui ensuite a exercé la fonction d'ambassadeur en Colombie de 2007 à 2010 -, valide la « consistance » du reportage d'ABC, qui implique Cuba et les FARC dans sa trame insolite. Ce n'est pas non plus rien que Brownfield soit actuellement secrétaire d'État adjoint des États-Unis pour les Narcotiques et la Sécurité internationale.

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  12. Les fonds pour la subversion

    Un autre élément clef du plan élaboré par Brownfield en 2004, est le financement des ONGs, des fondations, des associations et des partis d'opposition vénézuéliens, encadré dans la rubrique « défendre et renforcer des pratiques démocratiques, les institutions et les valeurs qui promeuvent les droits de l'homme et la participation de la société civile ». Le budget actuel des États-Unis (pour octobre 2014 jusqu'à octobre 2015) comprend cinq millions de dollars, et la dotation prévue pour l'exercice comptable prochain rajoute 500 000 dollars. De la même manière, Washington a intégré une nouvelle modalité qui consiste en enregistrer les ONGs vénézuéliennes comme des sociétés aux États-Unis, ce qui facilite la dotation de fonds et de surcroit elles peuvent avoir des contrats de sous-traitance par des entreprises US.

    Parmi les organisations réceptionnant des fonds des contribuables des États-Unis d'Amérique figurent la Nueva Conciencia Nacional ; la Fondacion Futuro Presente ; Humano y Libre, de Gustavo Tovar Arroyo, qui a organisé en 2010 la dénommée Fête Mexicaine pour entrainer des dirigeants estudiantins de l'extrême droite vénézuélienne à des méthodes de déstabilisation ; Espacio Civil ; Operacion Libertad ; Mujer y Ciudadanía ; Ventana por la libertad ; Súmate y Consorcio Desarrollo y Justicia les deux liées à la putschiste Marie Corina Machado.

    L'USAID, qui en 2011 a envoyé plus de 9 millions de dollars sur les 20 millions mis à disposition pour la déstabilisation des pays de l'ALBA, a en 2013 dédié 5 786 millions de dollars pour des programmes subversifs au Venezuela, principalement pour la formation de nouveaux jeunes leaders capables de s'illustrer dans l'affrontement avec le gouvernement. Le budget pour 2014 n'a pas été encore publié, probablement pour tenter de contourner les difficultés provoquées par les révélations et les mises en cause de l'agence AP sur le travail de l'USAID contre Cuba.

    De plus, les programmes US pour la subversion au Venezuela comprennent le National Endowment for Democracy (NED), qui en 2014 a destiné plus de 2, 3 millions de dollars à des organisations anti-bolivariennes, et la Freedom House, amplement dénoncé pour ses liens avec la CIA, qui maintient sa politique de consultation et de financement de l'opposition vénézuélienne, en approfondissant les stratégies de guerre psychologique et de campagne médiatique comme élément des techniques des « révolutions de couleurs » et de « coup d'état doux » de Gene Sharp, de Robert Helvey et de Peter Ackerman.

    Dans son rapport mondial annuel sur la liberté d'expression, Freedom House place le Venezuela comme l'un des pays où n'existe pas de liberté de la presse, ni d'expression et où les droits de l'homme sont violés ; le programme d'Obama, donc. En revanche on peut remarquer, que dans ce pays, existe une hégémonie des médias privés. Selon Luis Britto García, en 1998 le secteur privé était propriétaire de 80 % des stations de télévision et de 97 % des stations radio de la bande FM, et il n'y avait pas de médias communautaires. Ces médias privés se caractérisaient par une concentration élevée de la propriété, qu'elle soit horizontale et/ou verticale. Actuellement au Venezuela 2 896 médias opèrent ; 2 332 sont des entreprises privées. 65,18 % continuent à être privées et 30,76 % sont communautaires ; à peine 3,22 % sont du service public. Le changement principal se trouve dans la multiplication des médias communautaires, qui dans leur majorité ont peu de portée et tendent à avoir un temps limité.

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  13. Pour la radio, il y a 1 598 stations privées, 654 communautaires et à peine 80 de service public. Pour la télévision non cryptée, 55 canaux sont privés, 25 sont communautaires et 8 de service public. Presque tous les médias privés sont d'opposition, donc prétendre que l'État exerce une « hégémonie communicationnelle » avec les faibles moyens dont il dispose, comme Freedom House le claironne, c'est un mensonge qui peut seulement être interprété comme un élément d'une opération de guerre psychologique et de propagande noire pour exacerber la panique, pour déstabiliser le pays, pour générer une situation incontrôlable et pour provoquer des violences destinées à renverser par la voie de la terreur le gouvernement bolivarien. [Comme en Syrie, Ukraine, etc. NDLT]

    La faiblesse d'Obama et le risque interventionniste

    Dans ce contexte, les 11 et 12 février le gouvernement vénézuélien a annoncé avoir déjoué un « attentat putschiste » qui comptait avec la participation d'officiers actifs et de retraités de l'aviation militaire et d'autres éléments des Forces armées Nationales Bolivarienne, et dont l'objectif était de bombarder depuis un avion Tucano le Palais de Miraflores et de tuer le président Nicolás Maduro. D'autres cibles de la dite Opération Jéricho étaient le Ministère de la Défense et les studios du canal de télévision Télésur, pour semer le chaos et la confusion.

    Il est prévisible que devant le nouvel échec putschiste, et compte tenu de l'intérêt géopolitique dans la stratégie subversive de Washington envers le Venezuela, le président Obama et ses alliés d'extrême-droite de la région essaieront de raréfier le climat du prochain Sommet des Amériques, prévu pour la deuxième semaine d'avril au Panama. Avec la « déclaration de guerre » d'Obama, il est clair que les États-Unis d'Amérique ne sont pas intéressés par la démocratie et les droits de l'homme au Venezuela ; ce que lui importe, en revanche, c'est le pétrole et la position géographique du pays Sud-Américain. L'intérêt de la Maison Blanche est de réaffirmer sa politique de domination régionale, défiée par la Chine et la Russie ; restaurer le contrôle historique dans sa zone d'influence, auquel résistent aujourd'hui comme jamais auparavant des pays regroupés dans l'UNASUR, la CELAC et l'ALBA.

    Dans la conjoncture actuelle, les mots d'Obama, accusant le Venezuela d'être une « menace » à la sécurité nationale des États-Unis, en plus d'être ridicules, sont une expression claire de l'évolution classique des politiques d'agression impériale, qui vont de la rupture de l'ordre constitutionnel, des coups d'état doux et des révolutions de couleurs à une éventuelle intervention militaire directe du Pentagone. Comme l'a dénoncé l'ex-vice-président vénézuélien José Vicente Rangel, Washington dispose de 1 600 paramilitaires prêts à la frontière de la Colombie, en face des états Zulia et Táchira, 800 dans chaque zone limitrophe. C'est là le vrai danger à l'heure actuelle.

    Dans ce contexte, la guerre médiatique et économique et l'introduction de sanctions des États-Unis contre le gouvernement vénézuélien, ne font qu'affaiblir l'image d'Obama vis-à-vis du VII Sommet des Amériques organisé par l'OEA (l'Organisation d'États Américains). Nicolás Maduro arrivera au rendez-vous avec le soutien international, et il reste bien clair que, après avoir défendu le Venezuela, les présidents des pays de la région défendent la souveraineté et l'unité de Notre Amérique martienne [de José Marti] et bolivarienne.

    http://fr.sott.net/article/25188-L-Amerique-et-sa-politique-de-destabilisation-au-Venezuela

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  14. Les prélèvements verts sur la facture énergétique vont tripler d'ici à 2020 en raison des objectifs renouvelables, chiffres officiels suggèrent

    Le coût des subventions à l'énergie renouvelable passera de £ 3,1 milliards à £ 9,4 milliards à la fin de 2020


    Par Steven Swinford, rédacteur en chef adjoint politique
    10:00 PM GMT 19 mars 2015


    Le coût des prélèvements environnementaux pour soutenir des projets tels que les parcs d'éoliennes, panneaux solaires et biomasse passera de £3,1 milliards l'an dernier à £9,4 milliards à la fin de la décennie, selon le Bureau de la responsabilité du Budget.

    Chiffres séparés, publiés l'an dernier montrent que le compte de politiques pour 5 % de l'énergie des factures à l'heure actuelle - équivalent à 68 £ par an - à 15 % d'une facture annuelle d'énergie d'ici 2020, équivalant à £226 (308,63 €).

    La montée est alimentée par des cibles de l'énergie renouvelable, qui nécessitent de 30 pour cent de l'électricité de la Grande-Bretagne à provenir de sources renouvelables d'ici 2020.

    Il s'agit malgré l'inquiétude parmi les conservateurs supérieurs que les subventions pour les énergies renouvelables sont poussant vers le haut les factures de gaz et d'électricité populaire croissante.

    David Cameron a censément dit que le gouvernement doit se débarrasser de « cette merde verte » au cœur des préoccupations concernant les subventions sur l'énergie renouvelable.

    Il a promis l'an dernier pour « faire reculer » taxes vertes qui ajoutent une moyenne de 100 £ (136,57 €) par an pour les factures de carburant moyenne.

    Dans sa présentation devant les députés ce mois-ci il a également dit que les gens en ont « assez » avec les parcs éoliens en construction et que « ça suffit ».

    L'approche reflète un changement significatif dans l'approche des conservateurs aux subventions vertes.

    En 2006, quand David Cameron est devenu le leader des conservateurs, le parti a changé son logo pour un doodle d'un arbre vert et peu après adopté le mantra « vote bleu, allez vert ».

    Selon l'Office for Budget Responsibility, "prélèvements environnementaux" coûtera ménages £89 billion entre 2013-14 et 2019-2020.

    L'élément le plus grand d'entre eux est le « obligation de sources d'énergie renouvelables », qui subventionne des projets écologiques comme les nouveaux parcs éoliens. La subvention signifie parcs éoliens de recevoir 40 £ sur le prix de marché de l'énergie – ce qui donne un revenu total plus élevé d'environ £85 à 90 £/ MWh pendant 20 ans.

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  15. • Profits des Six grandes sociétés d'énergie ont « décuplé depuis 2007 »
    • Bigger éoliennes vont "dévaster" Lake District vues
    • Les propriétaires d'exploitations agricoles de vent "reçoivent des subventions de £ 115 000 pour le Royaume-Uni tous les emplois qu'ils créent"
    • Il s'agit de la prochaine génération de technologies d'énergie renouvelable
    Selon l'OBR, l'obligation représenté 2,5 milliards de livres sterling de la valeur 3.1billion £ des prélèvements environnementaux en 2013-14.

    Les prélèvements environnementaux incluent taxes vertes ainsi que les maisons chaudes, discount.

    Dr John Constable, directeur de la Fondation de l'énergie renouvelable, un organisme de bienfaisance qui a fait campagne contre les subventions sur l'énergie, a déclaré: "efforts du département du Trésor pour limiter les coûts environnementaux, qui sont dominées par les subventions à l'électricité renouvelable, ont jusqu'à présent échoué à maintenir les coûts dans des limites sûres.

    "9 milliards £ par an pendant des décennies est beaucoup trop et sera désenchanter le public avec les politiques actuelles de la mitigation du changement climatique.

    "Beaucoup vont dire que si la réduction des émissions est-ce cher, c'est juste pas la peine d'essayer, et, très franchement, ils auront raison. Les ressources pourraient être mieux dépensés, adaptation par exemple. »

    Il est venu comme Ed Davey, le Secrétaire à l'énergie, a déclaré dans une interview au magazine maison qu'il veut voir plus sur la terre ferme d'éoliennes.

    Il a dit qu'il était « du côté » de ceux qui soutiennent éoliens terrestres et accusé ses partenaires de la Coalition conservatrice de « écoute que les voix plus forts ».

    Un rapport du Centre for Policy Studies de réflexion plus tôt cette semaine trouvé que le véritable coût des éoliennes et des projets verts est beaucoup plus élevé que la ministre ont admis.

    Mise au rebut des cibles d'énergie verte du Royaume-Uni en faveur des centrales électriques au gaz serait aux consommateurs d'économiser 214 £ par an d'ici 2020, le rapport suggère – malgré l'insistance des ministres que l'impact total des politiques sera seulement 141 £ par ménage d'ici là.

    Vent et fermes solaires s'appuient sur les subventions pour qu'ils soient économiquement viable, et les coûts des subventions sont facturés aux consommateurs par le biais de ce qu'on appelle « prélèvements verts » sur les factures d'énergie.

    « Les coûts des énergies renouvelables intermittentes sont massivement sous-évalués », fait valoir la CPS, accusant des ministres d'un objectif politique de non-reconnaissance de délibérément « cacher les incidences plein coûts et opérationnelles » d'énergie verte.

    http://www.telegraph.co.uk/news/earth/environment/11483899/Green-levies-on-energy-bills-to-treble-by-2020-because-of-renewable-targets-official-figures-suggest.html

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    1. Voilà cette monstrueuse dictature venue du groupe nazi(onal socialiste) qui ne demande qu'à être renforcée en s'appuyant sur l'obligation incluse dans la consommation nécessaire ! Cette honte - nullement combattue par les partis au pouvoir ou dans l'opposition ! - s'ancre au fil des jours dans tous les pays. Ces factures sont la mort de chaque pays, car, aujourd'hui un pays sans énergie est un pays qui ne peut vivre.

      http://lebulldozerdanslatete.over-blog.com/article-14000-eoliennes-abandonnees-aux-etats-unis-120464979.html

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/10/a-propos-denergie-gratuite.html

      http://joannenova.com.au/2015/03/coal-is-like-torture-rage-guardian-friends-of-the-earth/

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  16. Top Gov't. Les scientifiques disent non aux vaccins pour leurs enfants


    Jon Rappoport
    Pas plus de fausses nouvelles
    30 mars 2015



    "Le taux de mortalité combiné de la scarlatine, diphtérie, coqueluche et rougeole chez les enfants jusqu'à quinze montre que près de 90 % de la baisse totale mortalité entre 1860 et 1965 avait eu lieu avant l'introduction des antibiotiques et la vaccination généralisée. En partie, cette récession peut être attribuée au logement amélioré et à une diminution de la virulence des micro-organismes, mais de loin le plus important facteur était une hôte-résistance plus élevée en raison de l'amélioration de la nutrition." — Ivan Illich, Némésis médicale, Bantam Books, 1977

    Albuquerque Journal, rapports 3/20 :

    2,3 % des enfants dans les écoles publiques de Los Alamos ne se font pas vacciner. Leurs parents ont bénéficié d'exemptions.

    C'est le taux le plus élevé de non-vaccination en l'État.

    Nous parlons des parents qui travaillent dans les laboratoires de Los Alamos.

    Gens avec des diplômes en sciences.

    Personnes qui travaillent pour le gouvernement fédéral.

    On dirait que le taux de vaccin dans cet environnement tiendraient à 100 %, sans poser de questions.

    Ce que ces gens savent-ils ? Pourquoi ils optent de vaccinations pour leurs enfants ?

    Ce sont des questions difficiles à répondre. Très dur.

    Hmm, nous devons penser. Par exemple, ont-ils fait des recherches réelles sur leurs propres, et si ils ont décidé que les vaccins sont dangereux et inefficaces ?

    Non, qui ne pouvait pas être elle. Bien sûr que non. Qui, dans son esprit serait arrivé à cette conclusion ?

    Il doit être ceci : ces sobres PhD scientifiques fédéraux, sont chassés dans la crainte d'yeux hagards anti-vaccins fous. Oui. C'est tout. Bien sûr.

    Ces scientifiques obey-the-government-at-all-costs ont déraillé.

    Dans les laboratoires de Los Alamos, où ils font la recherche nucléaire-bombe et maladie, il doit y avoir un terroriste, dont la mission consiste à subvertir « vaccins pour tout le monde » et, par cette tactique secrète, aide une révolte contre les vaccinations et permettre ainsi aux États-Unis entiers de succomber et meurent de... la rougeole et les oreillons.

    Oui. C'est tout.

    Enfin. Nous avons appris à la partie inférieure de celui-ci.

    Terrorisme au travail.

    Appelez dans le FBI et le DHS. Entourer les laboratoires de Los Alamos de réservoirs. Verrouiller l'endroit.

    Envoyer dans les braves hommes et femmes portant que Hazmat costumes (protection contre la rougeole et les oreillons) pour trouver le terroriste et l'emmener, morts ou vivants.

    Alors que j'ai écrit mon premier livre, AIDS Inc., en 1987, j'ai commencé à interviewer des gens sur leur santé. Ces entretiens se lance dans les zones qui n'avaient rien à voir avec le sida.

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  17. J'ai découvert un certain nombre de personnes qui étaient en excellente santé et n'avait jamais reçu une vaccination.

    Bien sûr, « science médicale » rarement, sinon jamais s'occupe de ceux qui est sain et comment ils ont obtenu de cette façon.

    Un facteur commun est apparu dans mes entretiens avec des personnes très sain : bonne nutrition.

    Grosse surprise, droite ?

    Plus les gens, j'ai parlé à, quelque chose est devenue plus évidente : non médical, naturellement immunité acquise à la maladie pourrait devenir un problème sérieux — pour le cartel médical.

    Sa solution ? Prétendre que cette immunité n'existe pas.

    Il s'agit d'une approche tout à fait folle.

    Oui, beaucoup de gens dans le monde entier n'ont pas accès aux aliments qui constituent la bonne nutrition.

    Peu importe, si l'objectif est vraiment excellente santé, cet aspect sous-jacent doit être adressé. Il n'existe aucun moyen autour de lui.

    Vous ne pouvez pas dire, « Eh bien, pour ces malheureux, nous leur accorder l'immunité avec les vaccins et gardent leur santé avec des médicaments. »

    C'est absurde. Il ne fonctionne pas. Il ne fait qu'empirer les choses.

    L'actuelle campagne enragée aux États-Unis pour injecter tous les êtres humains avec une multitude de vaccins est pure folie. Intentionnellement, elle ignore le fait que l'immunité naturelle devrait être l'objectif, qui ne peut être atteint par des moyens non médicaux.

    Pour dissimuler ce fait essentiel sur la santé, organismes de santé publique, médecins et l'industrie pharmaceutique d'assaut la population avec la propagande incessante, ce qui implique que tout le monde est malade ou sur le point de devenir malade tout le temps.

    Eh bien, devinez quoi ? Votre corps est le vôtre. C'est sans doute plus qu'autre chose, vous possédez vous-même.

    Apparemment, ce fait doit réaffirmer en ces temps.

    À moins, bien sûr, vous croyez l'État possède votre corps et peut y injecter quoi que ce soit il veut.

    Opérations de propagande sont conçues pour susciter la peur. La peur de tomber malade et, par conséquent, la nécessité pour les vaccins, ne suffit pas à convaincre l'ensemble de la population à plier et à obéir aux ordres.

    La campagne a ajouté une couche : de nombreux États envisagent des projets de loi qui rendraient obligatoire le vaccins. Dans ce cas, la peur de l'application de la loi serait le but.

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  18. Ça s'appelle un État policier.

    Pour certains, qui est égal à Paradise.

    Mais dans les laboratoires de Los Alamos, qui n'est pas le cas, au moins en ce qui concerne la vaccination. Sur toutes les autres questions, tous les scientifiques y jouent strictement par le livre.

    Mais la vaccination ? Protéger leurs enfants contre des germes et des produits chimiques toxiques, les injections ? Certains de ces scientifiques ont trouvé celui-là.

    C'est ce qu'on appelle un indice.

    http://www.thedailysheeple.com/top-govt-scientists-say-no-to-vaccines-for-their-kids_032015

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  19. La Crimée va placer des armes nucléaires sur son territoire sur ordre du Président : officiel

    RT.com
    29 mars 2015

    La Crimée appuierait l'implantation d'armes nucléaires sur son territoire une fois qu'une telle décision est prise à Moscou, a déclaré le chef de la République, Sergueï Aksionov.

    Que si une telle ordonnance vient de notre commandant en chef, nous voulons le soutenir," Aksionov a déclaré dans une interview à l'Agence de presse de Spoutnik.

    Il a ajouté qu'il était personnellement que les armes nucléaires soient parfaitement sans danger pour l'environnement de la Crimée, parce que les technologies russes dans ce domaine ont été le plus avancé au monde.

    Au cours de la dernière inspection majeure des Forces militaires russes du ministère de la défense a rendu compte il a prévu de déployer dix Tupolev 22M 3 bombardiers stratégiques à la Crimée, mais n'a pas précisé si il est prévu d'équiper l'avion avec des missiles et des bombes à ogives nucléaires.
    Début mars, un haut fonctionnaire du ministère des affaires étrangères a déclaré dans un discours que la Russie avait le droit de placer des armes nucléaires sur la péninsule.

    La Russie a naturellement le droit de mettre des armes nucléaires dans n'importe quelle région sur son territoire, si elle le juge nécessaire. Nous détenons que nous avons ce droit, même si Kiev a une opinion différente sur ce sujet, "le chef du département du ministère pour la non-prolifération et le contrôle des armes, Mikhail Ulyanov, a déclaré aux journalistes.

    – La République de Crimée est devenu partie de la Fédération de Russie il y a un peu plus d'un an après que plus de 96 pour cent de ses habitants – la majorité que d'entre eux sont d'origine russe – ont voté pour l'adoption, dans un référendum appelé de toute urgence. La décision a été motivée par le changement de régime en Ukraine, qui a renversé le Président démocratiquement élu et le gouvernement.

    Sergueï Aksionov est devenu le chef de la République de Crimée en octobre 2014. La nomination a été faite par le Président Vladimir Putin, après que candidature d'Aksionov a été avancée par l'Assemblée législative régionale.
    À la mi-mars de cette année, centre de recherche de l'opinion publique russe VTSIOM a mené une enquête qui a montré que plus de 90 pour cent des résidents de la Crimée, aujourd'hui ont des sentiments positifs à la réunification avec la Russie.

    http://www.thedailysheeple.com/crimea-will-place-nuclear-weapons-on-its-territory-on-presidents-orders-official_032015

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  20. Un exemple du racket de l'Etat Français sur ses concitoyens dans l'immobilier - témoignage d'une lecteur que je commente ensuite

    lundi, 30 mars 2015 14:24

    bonjour Charles

    Voici un exemple assez edifiant du racket de l'état français sur le contribuable modeste que je suis.

    J'herite voici 3 ans d'un terrain constructible au deces de mon oncle, moitié à lui moitié à mon père qui me donne sa part soit un terrain d'une valeur de 500 000 € je regle les frais de succession de 55 % sur la part de mon oncle (137500 €) et 20 % sur la part de mon père car le reste de la succession depassait les abattements (50000 €) soit un total de 187500 €. Aujourd'hui je veux vendre ce terrain mais comme la mairie impose 25 % de logements sociaux que le promoteur sera obligé de vendre à prix coutant à un organisme agréé, le prix du terrain est estimé aujourd'hui à 375 000 €. Sur cette vente la mairie retient 10 % de taxe soit 37500 € soit un total de retenu de 225000 €.

    Si par hasard ce terrain était passé constructible après l"heritage, les 34,5 % de csg et impots sur les plus values auraient abouti à 129375 € plus la taxe locale de 10 % soit un total de 164375 € (je n'ai pas compté la valeur du terrain agricole qui est insignifiante au regard de la valeur du constructible).

    Dans ces deux cas c'est moi qui "donne" le terrain pour les logements sociaux et subit donc de plein fouet la double peine.

    Si je decide de ne pas le vendre, il se trouve que l'etat nous concocte pour 2016 une taxe foncière sur les terrains à batir non construits de plusieurs € chaque année par m² (entre 3 et 5) donc pour une parcelle de 5000 m entre 15000 et 25000 € de taxe annuelle

    Ai-je vraiment le choix ?

    Mais je dois m'estimer heureux car d'autres personnes sur la commune ont vu leur terrain déclassé en non constructible sans possibilité bien sur de récupérer les frais de succession dejà versés.

    (suite en dessous:)

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  21. Mon commentaire

    Je suis moi même sous procès contre la ville de Rennes pour une affaire invraisemblable. J'ai mon meilleur ami rennais qui a été lui ruiné par la mairie comme des milliers d'autres propriétaires bretons. Il a perdu plus de 300.000 euros en saisie pour cause de rénovation expropriation. Une vie professionnelle de 15 ans mise à la poubelle en un claquement de doigt...

    J'ai reçu également de nombreux témoignages de partout en France de tous les hallucinants abus effectués par l'appareil d'Etat français sur le patrimoine immobilier des français.

    En fait, tant qu'on est pas concerné, on reste un peu dans le déni, incréduble.

    Puis, le jour où on voit l'improbable arriver dans sa propre vie, par le biais d'une obscure loi qui permet qu'on se fasse littéralement rincer de A à Z, on se dit :

    - Attends oh hé. On me fait cracher 66% d'impôt pour me faire vivre dans un état de droit. Et là, ce que je vois surtout, c'est une mafia de fonctionnaires qui ont tout pouvoir et qui s'amusent à me piquer tout mon blé par des moyens qui ressemblent à tout sauf à un etat de droit.

    Que dire de plus ?

    Que je vous souhaite de ne pas tomber dans ce cas de figure

    Que je souhaite que vous compreniez la haine que certains d'entre nous pouvont avoir accumulé

    Que l'immobilier est chaud un peu partout dans le monde (franchement, combien de pays où jamais aucune transaction immobilière n'est sujet à souci... ?)

    Que cette histoire de terrain rendu constructible en France par le pouvoir politique local est juste une immense brèche, un énorme pot de confiture qu'il faudrait que personne ne goûte... ?

    Bref, la problématique est complexe... Mais au final, soit vous vous mettez à 4 pattes, soit vous fuyez... parce que ne pas fuir, rester en France et attaquer, cela ne mène nulle part. Je suis pour ma part à 6 ans de procédure judiciaire contre la ville de Rennes le préfet et les notaires et autant vous dire que pour l'instant, j'ai cramé un fric montrueux et j'ai obtenu un résultat zéro ! Le temps a coulé. Mon capital est immobilisé. L'incertitude est maximale alors que j'ai tout fait dans les règles de l'art sur un plan juridique...

    Bien sûr au final, j'obtiendrais un résultat. Mais s'il faut 10 ans de procédure, quel intérêt ? Rapporté à la taille de la vie humaine, la rentabilité n'est pas géniale pour cette stratégie d'affronter à domicile les fonctionnaires sur leur terrain de jeu...

    Donc pour moi, soit on accepte de se faire mettre par les fonctionnaires, par le biais de taxes, de saisies, de blocages divers, soit on dit bye bye... et on va voir ailleurs si l'herbe est plus verte.

    Charles Dereeper

    http://www.objectifeco.com/riche-rentier/fiscalite/donations/un-exemple-du-racket-de-l-etat-francais-sur-ses-concitoyens-dans-l-immobilier-temoignage-d-une-lecteur-que-je-commente-ensuite.html

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    1. Après le triplement des subventions accordées aux 'verts' (en Angleterre) pour les éoliennes et panneaux solaire qui n'ont JAMAIS FONCTIONNE, qui NE FONCTIONNENT PAS et, NE FONCTIONNERONT JAMAIS, voici un autre exemple de la nazional socialiste (en France):

      (...) Si je decide de ne pas le vendre, il se trouve que l'etat nous concocte pour 2016 une taxe foncière sur les terrains à batir non construits de plusieurs € chaque année par m² (entre 3 et 5) donc pour une parcelle de 5000 m entre 15000 et 25000 € de taxe annuelle (...)

      Il s'agit là d'une taxe de mort repoussée 'après les élections d'hier' au 1er Janvier 2016 !

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  22. Cela fait 20ans que j’en rêve et m’y voilà enfin…expatrié sur l’Ile Maurice !

    mercredi, 25 février 2015 17:57

    Dans cet article je vais vous expliquer pourquoi je me retrouve sur aujourd’hui l’Ile Maurice.

    C’est-à-dire les contraintes avec lesquelles j’ai du arbitrer pour mon choix de pays. Et pourquoi je ne regrette absolument pas mon choix. Vous aurez aussi un petit panel des conditions de vie en terme de cout de la vie sur place.

    Quel fil conducteur j’ai suivi pour me retrouver sur cette petite ile ?
    Cela fait maintenant 20ans que je rêve d’une eau chaude, turquoise et de vagues parfaites.

    J’ai le souvenir de mes très longues années de collège pendant lesquelles je collais dans mon agenda des images de spots de surf paradisiaques que je découpais dans les magazines spécialisés.

    Aussi bizarre que cela puisse paraitre, j’ai débuté cette activité en Normandie, à la pointe du Cotentin dans une eau qui ne dépassait jamais les 18° l’été et dans des vagues de qualité très discutable.

    Je ne sais pas si c’est mon objectif de liberté et de surf qui m’a amené à surfer les vagues boursières pour obtenir mon indépendance financière ou s’il s’agit d’un pur hasard. Quoi qu’il en soit, la vie est bien faite puisque je réalise en ce moment mon rêve de gosse. Je suis expatrié dans une ile tropicale absolument sublime pour le surf et les activités nautiques : l’ile Maurice.

    Au début les contraintes de mon équation se limitaient à deux variables…
    Quand on pense 1-surf et 2-bourse à longueur de temps, il nous faut basiquement une plage bien orientée et un internet qui marche. Le reste devient limite superflu et on peut s’imaginer vivre dans de nombreux endroits.

    Ma préférence allait à l’Indonésie avec Bali qui arrivait de très loin en première position. Cette l’ile bénite des dieux porte en elle une générosité humaine qui transparait sur chaque sourire de son peuple.

    Même quand la police vous rackette quelques euros, cela se fait dans la bonne humeur à Bali :

    Vivre dans un climat de sérénité hindouiste, ca l’aurait fait pour moi.

    J’ai aussi passé un mois et demi super agréable au Costa Rica chez Charles Dereeper. Lisez son blog Costa Rica, ça vaut le détour. Les latinos c’est franchement moins friendly que les Balinais, mais le life style « pura vida » est lui aussi très apaisant.

    J’ai finalement opté pour l’ile Maurice.

    (suite en dessous:)

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  23. Pourquoi l’ile Maurice est-elle compatible avec une expatriation familiale ?
    Depuis mes 10 ans, la vie m’a offert deux nouvelles variables à gérer dans mon équation: une ravissante femme européenne et le plus beau bébé du monde. Là-contre partie, c’est que tout de suite, le champ des possibilités (quasiment la moitié du globe !) se restreint très rapidement à 0.001% du globe.

    Pour que ma chère et tendre puisse s’épanouir sans friction, il lui fallait éviter :

    La barrière de la langue qui a le don d’isoler les unilingues
    Des infrastructures à portée de main et comparables à ce que l’on trouve dans les pays développés (centres commerciaux pour le shopping et les sorties entre copines)
    Des crèches et écoles de bon niveau pour l’éducation de notre enfant
    Une qualité de vie qui ridiculise celle de la France (peuple généreux et accueillant, tranquillité et sécurité, logement haut de gamme accessible)
    Avec toutes ces contraintes, l’ile Maurice s’est révélée être un choix sans compromis !

    Voici pourquoi :

    Pour le prix d’un studio de 30m2 dans Paris, vous avez à l’ile Maurice un 180m2 tout neuf avec vue sur mer
    Les crèches sont nombreuses et on vient de trouver une « Montessori » pour 150€/mois, contre 600€/mois en France. À 10 ans les élèves sont pratiquement tous bilingues et les écoles publiques Mauriciennes ont un excellent niveau, le dilemme de mettre son enfant dans une école privée ou pas est sérieux.
    Les fruits, légumes, poissons frais sont ridiculement peu couteux. On trouve cependant dans les supermarchés tous nos produits français (compter +50% à +100% sur le prix).
    En France nous nous fournissions auprès d’une AMAP chez un maraicher bio pour 18euros le panier par semaine. Ici notre maraicher bio qui a le label Ecocert, nous fournit des quantités plus importantes pour 13 euros par panier.
    L’aéroport international nous permet de partir partout dans le monde. Un vol direct A/R pour Paris coute environ 900€ pour 11 heures de vol.
    Les Mauriciens parlent couramment anglais, français et créole. Les papiers officiels se remplissent en Anglais et la langue parlée sur l’ile est le Français.
    Il y a des centres commerciaux modernes avec tout ce dont un Européen a besoin en terme d’électronique, de vêtement, de soin.
    Il y a une sécurité sociale à l’ile Maurice. On y trouve des hôpitaux et des cliniques modernes avec des spécialistes expatriés à la pointe de leur profession.
    L’ile propose des activités variées : des golfs encore plus beaux que ceux du sud-ouest de la France, du quad, de la randonnée et du tracking, du VTT de descente, beaucoup de cyclistes sur les routes, de la plongée et toutes les activités nautiques possibles,etc.
    La fiscalité est douce et attractive (15% sur les revenus, 0% sur les dividendes et gains en capital)
    L’ambiance est au développement économique et à la création de richesse. J’ai croisé un ingénieur civil qui avait toujours rêvé de devenir architecte en France. Mais sans le diplôme qui va avec…tout lui était interdit en France. Le voilà désormais à l’ile Maurice, vivant son rêve d’architecte. Il existe encore des pays souples et permettant de vivre librement, l’Ile Maurice en fait partie.
    Voilà pour les côtés positifs de l’ile Maurice. Tout n’est pas non plus 100% paradisiaque.

    Je vous raconterai au fil des semaines et des mois ma petite vie familiale et les conseils qui pourront vous servir si vous comptez prendre votre retraite ou entreprendre ici.

    À bientôt !

    Cédric Froment

    http://www.objectifeco.com/dans-la-vie-des-auteurs/cela-fait-20ans-que-j-en-reve-et-m-y-voila-enfin-expatrie-sur-l-ile-maurice.html

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  24. Forces spéciales définies sur essaim au sud-ouest et exploiter non détecté parmi la population civile dans exercice militaire massive

    Opération Jade Helm verrez 1 200 militaires, y compris les bérets verts, les joints et les forces spéciales de l'armée de l'Air et les Marines en juillet

    Soldats armés d'obus à blanc seront exploitée dans et autour des villes de Texas, Nouveau-Mexique, Arizona, Californie, Nevada, Utah et Colorado pendant 8 semaines

    La dite formation militaire réaliste a certains résidents craignant que la perceuse est une préparation pour la loi martiale


    Par Dailymail.com journaliste
    23:56, 28 mars 2015


    Sept États du Sud-Ouest seront bientôt infiltrées par 1 200 militaires des opérations spéciales militaires dans le cadre d'une formation militaire intérieure controversée, dans lequel certains d'entre les soldats d'élite évolueront non détectés parmi les civils.

    Opération Jade Helm commence en juillet et dure pendant huit semaines. Soldats seront exploitée dans et autour des villes de Texas, Nouveau-Mexique, Arizona, Californie, Nevada, Utah et Colorado où certains d'entre eux wil chute des avions tout en transportant des armes chargé avec des blancs dans ce que les responsables militaires ont baptisé formation militaire réaliste.

    Mais avec les résidents des États du Texas et l'Utah surnommé « hostile » aux fins des exercices ensemble, Jade Helm a certains concernés que les forets sont trop réalistes.

    Manchettes comme Avant-poste de la liberté de l'opération Jade Helm — trains militaires pour la loi martiale dans le sud-ouest américain » abondent dans la blogosphère de droite etInfo Wars avertit que Jade Helm est simplement 'but de tester l'efficacité des techniques d'infiltration » sur l'opinion publique américaine.

    'Ils ont Delta Force, Navy SEALS avec l'armée formée s'emparer essentiellement,' Info Wars' Alex Jones a déclaré dimanche. « Texas est répertorié comme un secteur hostile, et bien sûr, nous sommes...Nous sommes ici pour défendre la République. »

    Le Houston Chronicle rapporte que, parmi les exercices prévus, soldats tentera d'exploiter non détectés parmi les populations civiles.
    Résidents, à leur tour, devront signaler toute activité suspecte afin de mesurer l'efficacité des soldats.
    Les responsables militaires disent qu'ils ont obtenu l'aller à venir pour les opérations des autorités locales telles que les maires et les commissions du comté.

    (suite en dessous:)

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  25. Et les députés du shérif dit le Houston Chronicle qu'ils assureraient les résidents vivant à proximité où avion était prévue de créer des perturbations et de déposer des soldats, civils et véhicules militaires seront Canon à travers et où obus à blanc seraient renvoyés.

    Jim Stewart avec le comté de Brazos, Bureau du shérif du Texas dit la chronique que ces exercices sont loin d'être quelque chose de nouveau.

    "Special ops pour années ont formés hors-post pour les années, où ils sortent et ont des gens qui sont des joueurs de rôle sur l'économie," a déclaré le vétéran d'intelligence d'armée. « Ils auront un scénario qu'ils vont suivre et ils vont interagir avec ces joueurs de rôle comme s'ils se trouvent dans un autre pays. »

    Cependant, l'US Army Special Operations Command dire Helm Jade est différent.

    "La taille et la portée de Jade Helm distingue celui-ci. Pour rester en avance sur les défis environnementaux rencontrés outre-mer, Helm Jade aura lieu dans sept États, « l'USASOC a écrit dans un communiqué le 24 mars.

    « Le relief diversifié dans ces États réplique zones que spécial opérations militaires régulièrement retrouvent opérant en outre-mer. »

    L'armée a également réagi à peur de l'opération en appelant une couverture ultra-conservatrice de l'alarmiste de forets "loi martiale" et inexactes.

    « Cette notion a été proposée par quelques individus qui ne connaissent pas comment et pourquoi USASOC effectue des exercices d'entraînement, » a dit porte-parole USASOC armée le lieutenant-colonel Mark Lastoria Stripes.

    « Cet exercice est entraînement de routine à maintenir un haut niveau de préparation des Forces d'opérations spéciales armée parce qu'ils doivent être prêts à appuyer les missions potentielles partout dans le monde à tout moment. »

    http://www.dailymail.co.uk/news/article-3013900/Fears-martial-law-special-ops-set-swarm-Southwest-operate-undetected-civilians-ve-deemed-HOSTILE-massive-military-exercise.html

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  26. Venezuela : Mille tambours contre les médias (photos)

    Thierry DERONNE
    30 mars 2015

    Au Brésil un militant du Mouvement des Travailleurs Ruraux Sans Terre parmi des milliers à manifester leur solidarité.
    Rarement un président états-unien a fait une telle unanimité contre lui. Après l’UNASUR soit les douze gouvernements sud-américains, la CELAC qui regroupe les 33 états d’Amérique Latine et des Caraïbes, l’ALBA, PetroCaribe, les 134 pays membres du G-77 + la Chine… bref, tout le sud de la planète a rejeté le décret Obama parce qu’”il viole le droit international, la souveraineté et l’indépendance politique du Venezuela”.
    Partout dans le monde, des mouvements sociaux soutiennent cet appel qui, au Venezuela, a déjà recueilli 5 millions de signatures. On peut le signer ici : http://bit.ly/1OyOoNz
    Parallèlement à cette mobilisation nationale, il semble que le travail de fond entrepris par le gouvernement Maduro pour contrer la guerre économique commence à porter ses fruits. Une étude de la firme privée Hinterlaces (réalisée du 14 au 18 mars sur base de 1200 interviews dans tout le pays) et portant sur le moral de la population montre que 65 % se disent “optimistes”, soit quatre points de plus qu’en janvier 2015. 34 % se disent “pessimistes” contre 38% en janvier.

    On fêtait le 24 mars le 161ème anniversaire de l’abolition de l’esclavage décidée par le président José Gregorio Monagas dans la foulée des décrets de Simon Bolivar. Une politique qui valut à ce dernier d’être traité par les journaux des grands planteurs esclavagistes du sud des États-Unis et des oligarchies latino-américaines de “César assoiffé de pouvoir”. Aujourd’hui, c’est en organisant une “marche des mille tambours” que le mouvement afrodescendant a exprimé son rejet des campagnes médiatiques et du décret du Président Obama déclarant le Venezuela “menace inhabituelle et extraordinaire pour la sécurité et la politique extérieure des États-Unis”. David Abello, du Conseil pour le Développement de la Communauté Afrodescendante, a déclaré : “En cette heure de l’Histoire, alors que nous sommes libres, nous ne permettrons pas qu’une quelconque ingérence cherche à nous recoloniser”.

    http://www.legrandsoir.info/venezuela-mille-tambours-contre-les-medias-photos.html

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  27. Des serviettes hygiéniques radioactives sur le marché mondial ?

    samedi 21 mars 2015

    Les douanes libanaises de l'aéroport de Beyrouth ont saisi plus de 500 kg de colis de serviettes hygiéniques provenant de Chine et ayant transité par Dubai 35 fois plus radioactives que les normes ne le consentent. Cette très inquiétante découverte jette le doute sur toute la ligne de production qui va des couches pour bébés aux serviettes hygiéniques haut de gamme de cette compagnie internationale de premier rang dont les produits sont achetés par des centaines de millions de personnes en Chine et dans le monde.

    Dans l’attente que les autorités européennes et mondiales de surveillance de la radioactivité prennent la peine de contrôler cette marchandise et de la retirer si nécessaire des rayons ainsi que de nous informer de l’origine (japonaise ?) de cette radioactivité délétère délivrée ici directement sur les muqueuses, l’AIPRI invite à la plus haute circonspection et recommande de vérifier la provenance de ce genre de produits. Nous n'avons qu'une vie.

    http://aipri.blogspot.fr/2015/03/des-serviettes-hygieniques-radioactives.html

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  28. Dédollarisation, AIIB: la Russie et la Chine poursuivent leur lune de miel à Bo'ao

    Ria Novosti
    lun., 30 mar. 2015 14:57 UTC

    La Russie et la Chine ont poursuivi leurs efforts de rapprochement tous azimuts dans le domaine économique dans le cadre du Forum de Bo'ao pour l'Asie (FBA), qui s'est clôturé dimanche dans la province insulaire chinoise de Hainan (sud).

    Banque asiatique d'investissement: la Russie répond présent

    Le premier vice-premier ministre russe Igor Chouvalov a annoncé samedi à Bo'ao que la Russie rejoignait la Banque asiatique d'investissement pour les infrastructures (AIIB). Selon lui, l'AIIB créera des possibilités supplémentaires pour le développement et la prospérité.

    Créée en 2014 à l'initiative de la Chine, cette banque, dont le capital statutaire s'élèvera à 1.000 milliards de dollars, a pour objectif d'investir dans des projets d'infrastructure dans la région Asie-Pacifique.

    Elle est considérée comme un concurrent de la Banque mondiale, basée à Washington, née des accords de Bretton Woods ainsi que de la Banque asiatique de développement (BAD), dominée par les Etats-Unis et le Japon. L'hostilité de Washington n'a pas empêché des pays comme le Royaume-Uni, la France, l'Italie, et l'Allemagne, la Suisse et aussi l'Australie et le Brésil, de manifester leur intérêt pour le projet.

    La dédollarisation en marche, mais trop lente

    Selon le vice-ministre russe des Finances Alexeï Moïsseïev, les participants d'une rencontre concernant le renoncement au dollar dans les relations commerciales réciproques ont de leur côté noté que les échanges en rouble et en yuan avaient connu un net essor, même si celui-ci restait insuffisant. En outre, le caractère fortement saisonnier des échanges russo-chinois risque de laisser libre cours aux spéculateurs, a-t-il noté.

    De son côté, le patron de la banque russe VTB Andreï Kostine déplore également la transition trop lente vers les échanges en devises réciproques. "Si l'on prend en compte la Chine avec son énorme chiffre d'affaire, 38% de ses échanges se font en yuans, dans les échanges réciproques avec la Russie, la part des échanges en devises nationales n'est que de 7%", a-t-il indiqué.

    La politique axée sur la dé-dollarisation, lancée il y a plusieurs années, est passée à la vitesse supérieure avec la mise en place de sanctions économiques contre la Russie par l'Occident, Etats-Unis en tête.

    (suite en dessous:)

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  29. Investissements de grande envergure

    Le Fonds russe pour les investissements directs a de son côté évoqué avec le fonds chinois Route de la soie une série de projets, notamment dans la construction d'autoroutes payantes et la création d'infrastructures visant à accéder aux gisements de matières premières.

    "Nous coopérons activement avec la fonds Route de la soie (...). Nous estimons que les besoins de la Russie en investissements d'infrastructure se chiffrent en centaines de milliards de dollars. La Banque asiatique d'investissement pour les infrastructures (AIIB) et le fonds Route de la soie sont de très importants partenaires économiques afin d'investir dans des projets clés en Russie", a souligné le directeur du Fonds russe pour les investissements directs Kirill Dmitriev.

    Ouvrir les marchés de la dette

    La Russie et la Chine examinent la possibilité pour les émetteurs de dette des deux pays d'investir sur leurs marchés réciproques, a déclaré le vice-ministre russe des Finances Alexeï Moïsseïev. "Nous avons évoqué l'entrée des émetteurs de dette russes sur le marché des capitaux chinois, et inversement", a-t-il confié à l'issue du Forum.

    http://fr.sott.net/article/25189-Dedollarisation-AIIB-la-Russie-et-la-Chine-poursuivent-leur-lune-de-miel-a-Bo-ao

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  30. Reuters demande "qui est plus une menace : Obama ou Poutine", surpris par la réponse

    Soumis par Tyler Durden le 30/03/2015 12:21-0400


    Aux États-Unis, les gens se sentent sous la menace, aussi bien au-delà de nos frontières et en leur sein et comme le rapporte Reuters, interrogé sur le Président américain Barack Obama et le Président russe Vladimir Poutine, c'était un appel de clôture pretty darn. Un nouveau Reuters/Ipsos sondage conclut un tiers des républicains croient que le Président Barack Obama représente une menace imminente pour les États-Unis, dépassant les inquiétudes du Président russe Vladimir Poutine et le président syrien Bachar al-Assad.

    Le blâme, selon un sociologue, « TV media ici et la politique américaine, beaucoup de commerce sur la peur. »

    Le bon côté de l'Administration, ISIS et Al Qaeda encore dépassent lui aussi plus de menaces imminentes... donc c'est bon (en considérant qu'il est un lauréat du prix Nobel de la paix).

    Sondage récent de Reuters/Ipsos A demandé plus de 3 000 américains ce qu'ils considèrent comme certaines des plus grandes menaces pour eux-mêmes et le pays. Dans l'ensemble, il était proche - 20 % vu Poutine comme une menace imminente contre 18 % qui dit la même chose sur Obama.
    Je pense qu'il est sûr de dire que un expert de la sécurité nationale ne peut-être pas consentir avec choix du public.

    Plus de gens craignent de Boko Haram, un groupe radical islamique effrayant mais déchiqueté au Nigeria, qui pourrait avoir de mal à payer pour des billets d'avion vers les États-Unis, que la Russie, qui a récemment envahi un pays européen majeur. Et un énorme 34 pour cent considèrent Kim Jong-un, le leader nord-coréen appauvris, une menace imminente. Kim peut avoir quelques armes nucléaires, mais sinon sa nation est un cas désespéré, si pauvre qu'il repose sur l'aide internationale pour nourrir sa population. Bien qu'étant donné la rapidité Sony Pictures tiré « The Interview » théâtres, je suppose que le public n'est pas seul à avoir peur du jeune homme avec la coiffure unique.

    Peut-être la partie plus inquiétante, est cependant, comment les américains découvre mutuellement, tout simplement parce que le parti politique qu'ils favorisent. 13 % d'entre nous voit les partis républicains et démocrate comme une menace imminente. C'est le même nombre qui pense que les chinois pourraient être.

    The Guardian note aussi, un tiers des républicains croient le Président Barack Obama pose une menace imminente pour les États-Unis, dépassant les inquiétudes du Président russe Vladimir Poutine et le président syrien Bashar al-Assad.

    Ceux qui ont été interrogés ont été plus préoccupé par les menaces liées à d'éventuelles attaques de terreur.

    État islamique militants étaient évaluées à une menace imminente de 58 % des personnes interrogées et al-Qaïda de 43 %. North Korean Leader Kim Jong Un était considéré comme une menace par 34 % et, l'Ayatollah Ali Khamenei de l'Iran, de 27 %.

    (suite en dessous:)

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  31. Pendant ce temps, le monde est certainement inquiet pour les États-Unis.
    Dans un sondage Gallup de personnes dans 65 pays, environ un quart nommé aux Etats-Unis comme la principale menace pour la paix dans le monde.
    Peut-être qui ne soient pas si surprenant, que seulement environ la moitié des Américains savent quel pays a été le seul à jamais larguer une bombe nucléaire.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-03-30/reuters-asks-who-more-threat-obama-or-putin-surprised-answer

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    1. Petit indice: Ce ne sont pas les personnes citées qui sont craintes mais seulement les armes qu'ils ont à la main. Et c'est d'ailleurs sous ce couvert qu'ils peuvent parler à dire des insultes et ordonner à des personnes d'aller assassiner.

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  32. Selon la TSA, vous pouvez être un terroriste si...

    Soumis par Tyler Durden le 30/03/2015 21:00-0400

    Nous étions désireux d'aider le FBI avec leur récente Poussée pour que les New yorkais restent "vigilants" quand il s'agit de reconnaître et signaler les ISIS "les recrues et les gens qui peuvent mener des attaques", mais comme nous avons remarqué que lorsque la directive a été d'abord publiée, "on ne savait pas ce qu'une personne, pardon, la recrue qui 'peut-être mener des attaques à New York' ressemble à. » » Faute d'orientation, nous avons supposé que Twitter utilisation conjointement avec Nutella manger pourrait bien être un signe de ce témoin, seulement d'apprendre que le cadeau réel est voyageant en Turquie d'Egypte avec un iPod.
    Heureusement, le TSA a publié un ensemble de directives qui, interprétée correctement, aidera à l'identification des terroristes qui pourraient chercher à utiliser des avions comme instruments du djihad. La liste complète est inférieure, mais nous tenons à signaler que vous n'avez pas à un certifié « comportement détection préposé » pour déterminer que si un individu « semble être déguisé, » manigances peuvent être envisagées. Autres signes de l'intention de commettre un acte terroriste comprennent : apparaître fin, béant, rasé récemment, clignotant, « gibbeuse » artères de cou, ce qui démontre une incapacité à faire correspondre les bagages de cabine avec corps type, incapacité à assimiler aux dernières tendances de la mode, poitrine battant, pleurer, rire, parler et, pire encore, sentant mauvais.
    * * *
    Interrogé sur l'efficacité des lignes directrices de la présélection, un ancien officier de détection comportement TSA dit L'intercepter ce qui suit :
    ""« [C' est] complet conneries. »

    http://www.zerohedge.com/news/2015-03-30/according-tsa-you-may-be-terrorist-if

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  33. Japon « se réveille, » se joint à la Chine dirigée par la Banque de développement (et dos puis sur)

    Soumis par Tyler Durden le 30/03/2015 21:00-0400


    C'est officiel : les Etats-Unis sont sur son propre quand il s'agit de s'opposer à la Chine dirigée par Asian Infrastructure Banque d'investissement (voir ici pour un résumé complet de l'évolution de l'AIIB). Nous supposons que c'était seulement une question de temps, mais que le Japon cherchera l'adhésion à l'espace de quelques mois de nouvelles viendra probablement encore comme un peu une surprise à Washington, étant donné la relation sinon ténue entre les deux pays et compte tenu du rôle de leadership du Japon dans l'ADB. Néanmoins, les Japonais viennent apparemment à la même conclusion que l'Australie et la Corée du Sud : ne rejoint pas n'est pas simplement une option peu importe comment bruyamment les Etats-Unis proteste. Voici plus de FT:

    Le Japon est susceptible de rejoindre la Banque d'investissement Infrastructure asiatique dans les prochains mois, selon l'Ambassadeur du pays à Pékin, un geste qui verrait Tokyo rompre les rangs avec Washington et quitter les Etats-Unis comme le seul grand irréductible.

    Masato Kitera a déclaré au Financial Times, qu'il a accepté avec conviction de chefs d'entreprise japonais que le pays serait "Inscrivez-vous à la Banque de développement axée sur la Chine en juin".

    « Les milieux d'affaires s'est réveillé tard, mais maintenant ils ont monté une grande campagne pour l'AIIB qui semble être très efficace, » a déclaré M. Kitera...

    Un mouvement japonais pour rejoindre la Banque serait un renversement de la rhétorique et, pour la Chine, le plus grand coup encore compte tenu de la relation hargneux entre les deux puissances asiatiques.

    Le Japon a également des liens étroits avec le rival de la Banque asiatique de développement, le chef dont il traditionnellement nomme et a par le passé mis en doute la nécessité d'une nouvelle banque...

    Aucun pays n'a été considérée comme plus favorable à la position américaine, comme le Japon, en partie parce que beaucoup de fonctionnaires dans les deux pays ont vu l'AIIB comme un défi direct à la Banque asiatique de développement sous contrôle japonais.

    Mais look cadres japonais sur des projets ambitieux de la Chine pour aider à construire des infrastructures dans la région comme une occasion d'affaires énormes, mais aussi une chance d'aider à réparer les relations effilochées.

    Donc en fin de compte, l'argent parle en effet, et la possibilité que l'entreprise de $ 50 milliards pourrait servir à consolider les relations entre Pékin et Tokyo apparemment s'est avérée suffisante pour l'emporter sur les "préoccupations" sur les normes de prêt du fonds. Bien sûr, comme nous l'avons souligné sur n'importe quel nombre d'occasions, les seule vraies préoccupations concernant la Banque tournent autour le degré auquel la Chine utilise l'institution comme instrument de politique étrangère, quelque chose de Beijing a cherché à minimiser, même si elle pousse pour les prêts à être libellés en yuan. La balle est maintenant dans la Cour de Washington en ce qui concerne l'adoption d'une position vers la Banque qui établit un équilibre confu entre prudence et acceptation.

    (suite en dessous:)

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  34. Pendant ce temps, quelqu'un à Washington a appelé quelqu'un à Tokyo comme indiqué par le texte suivant qui suis tombé sur Bloomberg lundi soir :

    NHK, JAPON NE REJOINDRE AIIB POUR L'INSTANT, DIT

    http://www.zerohedge.com/news/2015-03-30/japan-wakes-joins-china-led-development-bank

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  35. Le Japon ne sera pas de rejoindre AIIB le 31 Mars délai

    Xinhua et Journaliste De Personnel
    2015-03-31
    13:02 (GMT + 17)

    Le ministre des Finances du Japon, Taro Aso, a déclaré le Japon ne rejoindra pas l'infrastructure en Asie-Chine proposé Investment Bank (AIIB) avant la date limite du 31 Mars, un rapport local a déclaré mardi.
    Se exprimant lors d'une conférence de presse après la réunion du cabinet mardi, Aso a déclaré que le Japon doit maintenir la prudence vers le AIIB, selon Kyodo Nouvelles.

    Plus de 40 pays ont déposé des demandes pour l'adhésion fondateur du AIIB, y compris les principales économies de l'autre monde.
    Le AIIB, qui soutiendra des projets d'infrastructure en Asie, devrait être officiellement créé à la fin de cette année. La date limite d'inscription est le 31 Mars et les membres fondateurs sera confirmée le 15 Avril.

    http://www.wantchinatimes.com/news-subclass-cnt.aspx?id=20150331000058&cid=1101

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  36. Secrétaire du Trésor américain à visiter la Chine, peuvent discuter AIIB

    Reporter du personnel
    29/03/2015
    11:38 (GMT + 17)

    Jacob Lew, le secrétaire américain au Trésor, se rendra en Chine au nom du Président Obama de Mars 30-31 élever la spéculation quant à savoir si les Etats-Unis peut suivre ses alliés à se joindre à l'infrastructure de l'Asie Chine dirigée par Investment Bank (AIIB), rapports Huanqiu Net, le site du tabloïd nationaliste chinois Global Times.
    Depuis la visite est prévue avoir lieu à la date limite pour que les pays se appliquent à l'adhésion de la fondation de l'institution financière, plusieurs organes de presse au Japon spéculent que Lew peut discuter de la participation des États-Unis lors de la visite.
    Site Web de nouvelles japonaise Nikkei.com dit aux États-Unis n'a pas changé son attitude envers l'institution, mais Lew allons certainement en discuter quand il rencontre Lou Jiwei, le ministre des Finances de la Chine et bientôt-à-être la tête de la AIIB. Ils discuteront également de la visite du président Xi Jinping aux États-Unis en Septembre et stratégique sino-américain et le dialogue économique.
    Li Wei, un chercheur à l'Université Renmin de Chine à Beijing, considère également l'objectif principal de la visite de Lew à discuter la participation américaine à AIIB. La visite a été organisée à la hâte et Lew ne visite en Chine, a dit Li. Il croit que, malgré l'opposition politique aux États-Unis, il serait possible pour le pays à prendre part à l'institution dirigée par la Chine pour des raisons pratiques.
    Carlos Gutierrez, ancien secrétaire américain du Commerce, a déclaré le AIIB a un potentiel énorme, car l'Asie a des exigences énormes pour les infrastructures. Il favorisera également le développement de zones de libre-échange en Chine, a t-il ajouté.

    Références:
    Lou Jiwei
    Xi Jinping

    http://www.wantchinatimes.com/news-subclass-cnt.aspx?cid=1102&MainCatID=11&id=20150329000055

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  37. 5 cartes qui montrent que le prochain krach économique est droit devant


    Par Michael Snyder,
    le 30 mars 2015



    Quand une crise économique est à venir, il y a habituellement certains indicateurs qui apparaissent à l'avance. Par exemple, les prix des produits commencent habituellement à plonger avant le début d'une récession. Et comme vous pouvez le voir sur Bloomberg Commodity Index que vous pouvez trouver ici, cela s'est déjà passé. En outre, j'ai écrit précédemment sur comment le dollar américain s'est passé sur une très belle course, juste avant l'effondrement financier de 2008. C'est quelque chose qui se passe aussi au cours des derniers mois. Certaines personnes vous aurais à croire que personne ne peut anticiper la prochaine grande récession et que pour essayer de le faire est juste un exercice de « conjecture ». Mais ce n'est pas du tout le cas. Nous pouvons regarder en arrière sur l'histoire et voir les modèles qui continuez à répéter. Et beaucoup des mêmes schémas exactes qui s'est passé juste avant le précédent marché boursier accidents sont produisent à nouveau dès maintenant.

    Par exemple, nous allons parler du prix du pétrole. Il y a seulement deux fois dans l'histoire lorsque le prix du pétrole a chuté de plus de 50 dollars dans un délai de six mois. On était juste avant la crise financière en 2008, et l'autre vient de se passer...

    - voir graphique sur site -

    À la suite de s'écraser les prix du pétrole, nous assistons à plates-formes pétrolières, arrêtés aux Etats-Unis à un rythme torride. En effet, près de la moitié de l'huile toutes les plates-formes dans les Etats-Unis ont déjà fermé. Le commentaire et le graphique suivants viennent de Wolf Richter...

    La semaine dernière, les foreurs ralenti un autre 41 installations de forage pétrolier, selon Baker Hughes. Seulement 825 plates-formes étaient encore en cours vers le bas de 48,7 % depuis octobre. 23 semaines depuis, les foreurs ont ralenti 784 installations de forage pétrolier, la plus forte, plus profonde falaise-plongée dans l'histoire des données :

    - voir graphique sur site -

    Nous nous penchons sur un buste de fracking part entière et le buste ont déjà un impact dramatique sur les économies des États qui sont lourdement tributaires de l'industrie de l'énergie.

    Par exemple, suffit de cocher le numéro troublant qui vient de sortir au Texas...

    L'effondrement des prix du pétrole est marteler l'économie du Texas.

    La dernière fabrication outlook indice de la Fed de Dallas a plongé à nouveau en mars, à-17.4 de-11.2 en février, indiquant la détérioration des conditions commerciales dans l'État.
    Aïe.

    Mais cette douleur va se faire sentir au-delà de Texas. Ces dernières années, les banques de Wall Street ont fait une quantité massive d'argent emballage prêts l'industrie énergétique, obligations, etc. et de les brader pour les investisseurs.

    Si cela semble similaire au type de comportement qui ont précédé la crise des subprimes, c'est parce que c'est.

    Maintenant ces prêts, des obligations, etc. vont mal que le buste de la fracturation hydraulique s'intensifie, et celui qui est quitté détenant la totalité de ce document sans valeur à la fin de la journée va perdre une quantité extraordinaire d'argent. Voici plus de Wolf Richter...

    (suite en dessous:)

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  38. Cela convenait Wall Street très bien : selon Dealogic, banques extraite $ 31 milliards en frais de l'huile US et de l'industrie du gaz et de ses investisseurs au cours des cinq dernières années en gérant les offices de propriété industrielle, spin-offs, les transactions « effet de levier-prêt », la vente d'obligations et obligations pourries et M & A.

    C'est $ 6 milliards en frais par an ! Au cours des quatre dernières années, ces banques fait plus de $ 4 milliards en frais sur juste "leveraged prêts". Ces prêts à des sociétés surendettées, indésirable au prorata ont grimpé d'environ $ 40 milliards en 2009 à $ 210 milliards en 2014, avant on en est venu à un arrêt brutal.

    Pour Wall Street peu importe ce qui arrive à ces obligations à haut risque et l'effet de levier des prêts qu'ils ont pas replacée fonds communs de placement où ils peuvent se décomposer à vue-invisible. Et il n'est pas grave à Wall Street ce qui arrive à mobiliser des prêts après que qu'ils ont été reconditionnés dans hautement cotés Collateralized Loan Obligations qui sont ensuite vendus à des tiers.

    Dans le même temps, nous assistons aussi à un ralentissement dans le commerce mondial. Cela se produit généralement lorsque économique conditions sont sur le point de tourner à l'aigre, et c'est pourquoi il est si alarmante que le volume total du commerce mondial en janvier baissait de 1,4 % par rapport à décembre. Selon Tyler Durden de Zero Hedge, c'était la plus forte baisse depuis 2011...

    Présente les données les plus récentes du Bureau néerlandais de CPB pour l'analyse des politiques économiques, selon laquelle dans le commerce mondial de janvier en volume a chuté par un bond de 1,4 % de décembre : la plus forte chute depuis 2011 !

    - voir graphique sur site -

    Nous voyons quelques signes troublants aux Etats-Unis aussi bien.

    J'ai partagé le suivant tableau dans un article précédent, mais il convient de répéter. Il s'agit de Charles Hugh Smith, et il montre que les nouvelles commandes de biens de consommation baissent à un rythme sans précédent depuis la dernière récession...

    - voir graphique sur site -

    Eh bien, qu'en est-il de l'encours du marché ? C'était en hausse de plus de 200 points lundi. N'est pas si bonne nouvelle ?

    Oui, mais l'euphorie de Wall Street ne durera pas longtemps.

    Quelle entreprise bénéfice par action soit démarrer aplatissement ou commence à décliner, c'est un immense drapeau rouge. Nous l'avons vu juste avant le krach boursier de 2008, et ça se passe à nouveau dès maintenant. Le commentaire et le graphique suivants viennent de Phoenix Capital recherche...

    (suite en dessous:)

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  39. Jetez un oeil aux niveaux de stocks actuels affichage graphique et les changements ci-dessous en avant le bénéfice par action (BPA). Note, en particulier comment les divergences entre EPS et les stocks ont tendance à se dérouler (Astuce Regardez en 2007-2008).

    - voir graphique sur site -

    Nous savons tous ce qui vint ensuite.
    Et devinez quoi ?

    Selon CNBC, beaucoup de la « smart money » est tirant leur argent sur le marché boursier dès maintenant alors que le s'est bonne...

    Volabilité récente du marché a envoyé des investisseurs boursiers se précipiter pour les sorties et en argent.

    Sorties de fonds fondée sur l'équité en 2015 ont atteint leur plus haut niveau depuis 2009, grâce à un marché de dents de scie qui a subi des pressions de données économiques faibles, une appréciation du dollar et la perspective d'un resserrement monétaire.

    Fonds qui investissent dans les stocks ont vu $ 44 milliards en année sorties ou rachats, à ce jour, selon la Bank of America Merrill Lynch. Fonds d'actions ont vu sorties dans cinq des six dernières semaines, y compris $ 6,1 milliards la semaine dernière.
    Peu importe si vous êtes un millionnaire "sur papier" aujourd'hui.

    Ce qui importe, c'est si l'argent va être là quand vous avez vraiment besoin.

    À l'heure actuelle, beaucoup de gens ont été bercé dans un faux sentiment de complaisance par la flambée de la bourse et la bulle fausse stabilité économique que nous avons été en appréciant.

    Mais sous la surface, il y a beaucoup d'agitation en cours.

    Ceux qui recherchent les signes vont voir la prochaine crise approche bien à l'avance.

    Ceux qui ne sont pas vont obtenir absolument aveuglés par ce qui est à venir.

    Ne laissez pas arriver à vous.

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/5-charts-that-show-that-the-next-economic-crash-is-dead-ahead

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  40. Réchauffement à Bruxelles après les dernières propositions de Tsipras ?

    Par Phil Butler –
    Le 28 mars 2015 – Source Russia Insider

    Le Premier ministre grec semble jouer toutes les cartes susceptibles d’influer sur le meilleur scénario possible pour le pays en vue de son sauvetage financier. Il a soumis de nouveaux documents qui semblent être reçus avec un peu plus de chaleur par Bruxelles. Reste à savoir combien le potentiel russo-grec peut être alléchant.

    Dans la course aux rencontres entre le Premier ministre grec Alexis Tsipras et le président russe Vladimir Poutine au début du mois prochain, l’Union européenne et les dirigeants du FMI semblent assouplir leur position à l’égard de la nécessité impérieuse pour la Grèce d’obtenir des fonds. Ce qu’on appelle le groupe de Bruxelles, formé pour examiner les réformes promises par la Grèce, analyse aujourd’hui les documents qui lui ont été soumis. Dans une perspective plus large, il reste à voir ce que sera le jeu géostratégique et économique du Kremlin à l’égard de la Grèce.
    La semaine dernière, la Grèce a envoyé aux créanciers du pays une longue liste de réformes, avec la promesse de dégager un excédent budgétaire primaire [avant paiement des intérêts de la dette, NdT] cette année. L’approbation du groupe de Bruxelles sera nécessaire pour que Tsipras obtienne que soient dégelés les fonds indispensables, et pour prévenir un défaut de paiement. Le hic, pour la Grèce, est maintenant de créer l’atmosphère économique propre à satisfaire Bruxelles, tout en maintenant les promesses anti-austérité faites au peuple grec. Pour le moment, on ne sait pas si Tsipras s’est assis sur ses promesses électorales afin d’obtenir le financement permettant à la Grèce de rester solvable.

    L’atmosphère entre la Grèce et ses bailleurs de fonds s’est améliorée de façon assez spectaculaire à la nouvelle que Tsipras avait avancé la date d’une rencontre avec Poutine à Moscou, par peur évidente d’une alliance gréco-russe quelle qu’elle soit. La France, notamment, tente maintenant de jouer les médiateurs entre le groupe de Tsipras et la ligne dure des banquiers allemands émanant de Merkel. Sur cette opposition de Merkel, Thomas Oppermann, le chef de file du parti social-démocrate au Bundestag, a déclaré que l’éventuel défaut de la Grèce provoquerait une catastrophe. Il a déclaré à Bloomberg et à d’autres médias :

    Une sortie de la Grèce de la zone euro serait un désastre politique, pas seulement pour celle-ci mais pour toute l’idée de l’Europe.

    La preuve que l’Allemagne et la Grèce déconnectent a refait surface dans les informations contestées parues dans journal Bild, affirmant que le ministre grec des Finances, Yanis Varoufakis, très contesté, envisageait de démissionner. Quant au ministre, il a fait profil bas depuis les dernières négociations. Ce pourrait être un signe que la Grèce préfère un accord avec l’UE plutôt qu’un déplacement plus extrême dans le sens d’un alignement sur Poutine et la Russie. Le célèbre ou infâme (suivant à qui vous parlez) Tyler Durden, dans Zero Hedge, résume ainsi la position médiane:

    (suite en dessous:)

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  41. Comme Syriza fait face à la proposition peu enviable de renoncer à ses promesses de campagne ou de plonger l’économie et le système bancaire grecs dans la spirale mortelle de la drachme, il semble qu’Athènes joue la seule carte qu’il lui reste, qui est de menacer de se rendre au Kremlin.

    D’autres indicateurs plus subtils de l’état des finances grecques se reflètent dans la vente de biens de l’État, y compris de la Banque nationale grecque, qui s’est séparée de 5,849 Souverains-or en janvier. Avec la Russie qui investit davantage dans l’or que tout autre pays, ce n’est pas de la spéculation d’imaginer que cet or peut servir de garantie collatérale à un prêt direct de Moscou. Poutine a développé une stratégie de couverture financière de la Russie sur l’étalon-or, un mouvement dont certains disent qu’il serait plus qu’une petite épine dans le cœur de la Réserve fédérale américaine. La Russie détient actuellement plus de 1200 tonnes du précieux métal en réserve.

    Poutine, la semaine dernière, lors d’une rencontre avec des entrepreneurs internet, dont les projets sont soutenus par le Fonds pour le développement d’initiatives internet (Kremlin)

    Pendant ce temps, Fitch a abaissé la note de crédit de la Grèce vendredi, de crainte que le pays fasse faillite en raison son endettement, selon EUBusiness. Un article de Gold Seek décrit quelque chose qui ressemble une négociation de la dernière chance, du style «ça passe ou ça casse», ce week-end. Le total des dépôts bancaires en Grèce est tombé à 152.4 milliards d’euros en février, en dessous des 160.3 milliards de janvier, soit le niveau de dépôt le plus bas depuis juin 2005.

    Il semble que le calendrier soit crucial pour les parties concernées. Si le sauvetage de la Grèce par l’UE fait fiasco avant la visite de Tsipras à Moscou, alors Poutine aura toutes les cartes en main. Le FMI, l’UE et les parties intéressées à l’Ouest le savent certainement. Je serais vraiment surpris si le Groupe de Bruxelles échouait à donner le feu vert au moins au report de la sortie de la Grèce. La seule carte qui reste à jouer est sous le dôme du Kremlin.

    Traduit par Diane, relu par jj pour le Saker Francophone

    http://lesakerfrancophone.net/rechauffement-a-bruxelles-apres-les-dernieres-propositions-de-tsipras/

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  42. La Chine rachète tranquillement l'Europe

    15:24 30.03.2015

    La Chine rachète des entreprises en Europe sans que les gouvernements européens tentent d'endiguer ce processus. Une indifférence qui s'explique en premier lieu par les bénéfices rapportés à ces entreprises par les exportations de produits "made in China" et par les capacités grandissantes du marché chinois.

    La Chine renforce son influence en EuropeLes milieux d'affaires chinois continuent à racheter des entreprises européennes. PSA, IBM, Club Méditerranée, l'aéroport de Toulouse, le port du Pirée et désormais le géant italien Pirelli sont passés sous leur contrôle. L'Europe ferait bien de réfléchir aux conséquences de ce processus, estiment les experts.

    Selon le site d'information français Atlantico, le légendaire producteur de pneus Pirelli s'est retrouvé entre les mains de la China National Tire & Rubber qui a racheté 26,2% des actions du groupe italien et compte ensuite acquérir les autres titres en circulation.

    D'après Atlantico, on a appris il y a quelques jours qu'un groupe de sociétés chinoises allait racheter un ensemble de 18 immeubles à Berlin pour 1,5 milliard d'euros. Or, les Européens n'ont pratiquement pas réagi à cette nouvelle.
    Selon le président d'AB Marchés, Antoine Brunet, "l'indifférence se situe d'abord et avant tout au niveau des gouvernements occidentaux, qu'ils soient grecs ou italiens, français ou britanniques, allemands ou américains".

    "Depuis maintenant vingt ans, la Chine mène avec succès une grande stratégie offensive multidimensionnelle qui vise dans un même mouvement à déstabiliser les pays occidentaux et à ravir progressivement l'hégémonie mondiale aux Etats-Unis", a déclaré M. Brunet dans une interview au site Atlantico.

    Il a souligné que l'inertie des pays européens s'expliquait par le fait que leurs grandes entreprises exercent un "lobbying permanent en faveur de la Chine". Cette attitude n'a rien d'étonnant, car "une bonne partie de leurs profits provient des énormes marges sur l'exportation de produits made in China et du dynamisme de leurs ventes sur le marché intérieur chinois".

    Paris, Berlin et Rome souhaitent rejoindre la banque asiatique AIIBDans ce contexte, "une réaction de mauvaise humeur du Parti-Etat chinois à l'égard de leur pays pourrait compromettre brutalement l'évolution de leurs profits, de leurs cours de bourse et des bonus de leurs managers; c'est pourquoi elles s'emploient préventivement à ce que leur pays ne soit jamais en conflit avec Pékin", constate le président d'AB Marchés.

    (suite en dessous:)

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  43. Selon lui, en rachetant une part substantielle des actifs physiques d'un pays, la Chine plonge ce dernier dans la régression.

    "On voit déjà la Chine tourner comme un vautour autour de pays qui sont notoirement en très grande difficulté: le Venezuela, le Nicaragua, Cuba, l'Argentine, la Grèce… Autant de pays qui sont au bout du rouleau et qui, s’étant lourdement endettés et n'ayant pas ou plus d'actifs à vendre, n'ont plus qu'à négocier le moins mal possible l'abandon de leur souveraineté à une grande puissance, la Chine, la Russie ou les Etats-Unis…Mais c'est la Chine qui a les poches les plus profondes et qui a le plus de chances de les inscrire dans son orbite géopolitique", conclut Antoine Brunet.

    http://fr.sputniknews.com/economie/20150330/1015393443.html

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    1. Bizarre que quand ce sont des pays arabes ou des dictatures américaines qui s'installent en France le silence soit de mise !

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