La 'pyramide de Ponzi' n'est pas née d'une ignorance des responsables qui l'ont mis en place ni d'un 'accident de parcours'. Ils savaient tous ce qui allait se passer. C'est-à-dire l'inremboursabilité d'un montant collusif de dettes accumulées. Alors, quel est le but précis des escrocs qui l'ont mis en place ?
Les escrocs et successeurs et complices au fil des gouvernements comme des chefs d'Etats ont dont créé en premier lieux les faux-plafonds, c-à-d des sommets à ne pas dépasser. Mais - comme à chaque fois que le montant de la dette atteint le plafond - ... le plafond est relevé...!! Donc, la valeur des billets en circulation est nulle depuis la mise en service de la pyramide. Çà, tout le monde le sait et ne peut l'ignorer. Mais, le 'but précis' est simplement de conforter-réconforter les citoyens dans l'ignorance (en promettant - par exemple - la baisse du prix de l'essence) afin de que les Dirigeants conservent leur fauteuils. Donc, comme la peur fait vendre (voir les actualités), arrive comme les marronniers la fausse impression que la bulle gigantesque de la dette va exploser et donc, les Dirigeants arrivés en 'sauveurs' (juste-à-temps !) remontent le plafond et font marcher la planche-à-billets.
Même si certains reconnaissent le "marasme économique et social et sa gravité exceptionnelle" (Hahaha !) et qu'il irait de quelques-uns d'avoir à l'esprit de gouverner... les citoyens (!!! "Un président pour tous les français") alors qu'un chef d'Etat n'est élu que pour gouverner (gérer) le pays et non ses habitants, la lignée des cons qui se succèdent a toujours eu pour mission de péter plus haut que leur cul.
Chapitre II: Comment éviter la concurrence étrangère ?
Solution destructive: Faire la guerre contre-elle (solution retenue depuis toujours).
Solution constructive: Mettre le litre d'essence au prix du voisin puisqu'il se sert au même endroit.
Dans cette alternative ambivalente de politique, l'idée de se préoccuper du peuple productif passe à un cheveux de la poule aux oeufs d'or et de son avenir. Vu que la solution intelligente et définitive repose en fait du "qui s'en fout plein les poches ?". Ces derniers, ne sont pas 'à l'autre bout du monde' comme il pourrait se prétendre que les paradis fiscaux ne sont que des lieux inaccessibles à portée de fusil, mais bien a bout portant lors de différentiels à payer factures. Ainsi depuis des décennies en est-il que "c'est la faute au voisin" qui fait chier le monde avec ses ADM/images holographiques et mainmise sur ses réserves d'or et de pétrole ! Avez-vous les salaires et retraites de ces gens qui s'éloignent de vous ? Non ? Alors, ne cherchez pas plus loin.
Hollande au 20 heures de TF1 pour rassurer et convaincre
RépondreSupprimerFace à une crise aigüe, qu'il a qualifiée lui-même "d'exceptionnelle", le chef de l'Etat intervient ce soir lors du 20 heures de TF1, où il répondra aux questions de Claire Chazal. Le but : apaiser les angoisses des Français.
L'été n'a pas marqué de répit dans la crise, et la rentrée s'annonce difficile pour le gouvernement Ayrault et pour François Hollande. Face à un marasme économique et social dont le chef de l'Etat lui-même reconnaît la gravité et le caractère "exceptionnel", les Français s'impatientent et réclament des mesures urgentes. Ce soir, au 20 heures de TF1, François Hollande va devoir s'efforcer d'apaiser cette angoisse sociale et de convaincre que le gouvernement est au travail. Alors même que des sondages publiés à quelques heures de la prestation télévisée du président de la République montrent une impatience grandissante des Français (lire notre article : "Les Français attendent Hollande au tournant"). Des Français toutefois conscients de la nécessité de redresser les comptes publics et qui, face à la crise, se disent majoritairement prêts à faire des "efforts" (lire notre article : "Comptes publics : les Français prêts à faire des efforts").
Pour cette apparition télévisée, la première depuis le 14 juillet, François Hollande a choisi un format différent de l'allocution : plus court, moins solennel, plus conforme sans doute à l'image de la présidence "normale" qu'il affirmait vouloir incarner. Durant 25 minutes, il répondra aux questions de Claire Chazal sur le plateau du JT de TF1. L'enjeu n'en est pas moins grand : face à "la souffrance sociale des Français" et "la montée du chômage, il doit redéfinir le cap", a expliqué vendredi sur Canal+ un proche du chef de l'Etat, le ministre du Travail Michel Sapin. François Hollande doit aussi montrer qu'il est l'homme de la situation et imposer son style.
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"Préciser la feuille de route"
RépondreSupprimerIl ne suffira donc pas de faire de la pédagogie, d'expliquer les mesures déjà prises. Car le chef de l'Etat est très attendu sur les mesures fiscales et budgétaires drastiques qui devront inévitablement être prises pour que la France respecte ses engagements européens. Ce que rappelle François Bayrou, qui s'exprime pour la première fois depuis sa défaite à la présidentielle et aux législatives dans les colonnes du JDD (lire notre article : " 'L'heure de vérité' pour Hollande, selon Bayrou"). Pour autant, François Hollande ne devrait pas "entrer dans le détail", explique un proche. "Ce n'est pas à lui de le faire, il n'est pas là pour avoir un discours de technicien mais pour avoir un discours de stratège, c'est aux membres du gouvernement qu'il appartient de le faire". Tout juste l'entourage présidentiel promet-il "sans doute une indication" sur les intentions fiscales du gouvernement qui taraudent les Français. Pour le reste, il s'agira de "préciser la feuille de route du gouvernement, l'agenda politique, avec toutes les mesures envisagées".
Le président de la République ne devrait pas cependant pas échapper à une question sur la taxe exceptionnelle de 75% sur les revenus dépassant 1 million d'euros, promesse de campagne qui lui avait permis de rebondir alors que Nicolas Sarkozy regagnait du terrain mais qui, ces derniers jours, semblait s'enliser dans les méandres fiscaux. Le débat a été relancé samedi par la révélation d'une demande de naturalisation déposée à Bruxelles par le plus riche des Français, le patron de l'empire du luxe LVMH, Bernard Arnault, alors que la Belgique apparaît aujourd'hui comme un "paradis des rentiers" aux portes de la France (lire notre article : "Pourquoi la Belgique attire les exilés fiscaux"). Il ne pourra pas non plus échapper à une explication sur la manière d'éviter toute hausse "générale et indifférenciée" des impôts, comme il s'y est engagé vendredi, tout en réalisant l'effort de réduction du déficit public "le plus important depuis 30 ans". Cet effort devrait entraîner "15 à 20 milliards d'euros" de hausses d'impôts en 2013, croit savoir Le Journal du dimanche (lire notre article : "Jusqu'à 20 milliards de hausses d'impôts en 2013 ?").
François Hollande doit aussi imposer son style et le reconnaît volontiers. "Un style, cela s'imprime au fur et à mesure", a-t-il observé dans des confidences au Monde publiées samedi (lire notre article : "A la veille de son interview sur TF1, Hollande explique son action"). Le président "normal" est à la recherche d'un juste milieu entre la "présidence altière et rare" d'un François Mitterrand et la "réactivité maximale" d'un Nicolas Sarkozy. "Je ne veux pas être comme le bouchon au fil de l'eau", a-t-il insisté, revendiquant le droit à la "constance" dans l'action. "Dans cette période marquée par la montée des prix, les plans sociaux et la hausse du chômage, la chronologie des Français ne correspond pas à celle de l'action gouvernementale", reconnaît-il cependant.
http://lci.tf1.fr/politique/hollande-au-20-heures-de-tf1-pour-rassurer-et-convaincre-7512458.html
PSA : un rapport qui valide la fermeture d'Aulnay
RépondreSupprimerMis en ligne le 09 septembre 2012 à 12h31, mis à jour le 09 septembre 2012 à 12h35
Le rapport de l'expert mandaté par le gouvernement pour évaluer la situation de PSA Peugeot Citroën devrait "confirmer la grande fragilité du groupe" et "valider" la fermeture de son usine d'Aulnay-sous-Bois, affirme le Journal du Dimanche.
Un nouveau rendez-vous important se profile dans l'épineuse restructuration de PSA Peugeot Citroën, avec la présentation dans les prochains jours des premières conclusions de l'expert mandaté par le gouvernement pour évaluer la situation du constructeur automobile en crise. En première ligne, le ministre du Redressement productif les dévoilera mardi à Bercy aux syndicats de PSA. Arnaud Montebourg avait chargé fin juin Emmanuel Sartorius, ingénieur général des Mines, "de dégager un diagnostic précis, rigoureux et partagé sur la situation réelle du groupe PSA".
Mais d'ores et déjà, Le Journal du Dimanche dévoile les conclusions de ce fameux rapport. Des conclusions qui risquent de confirmer les craintes des syndicats. Car selon le journal dominical, ce rapport devrait tout simplement "confirmer la grande fragilité du groupe" et "valider" la fermeture de son usine d'Aulnay-sous-Bois. "Le rapport épingle aussi la gestion de la famille Peugeot", ajoute le JDD.
PSA plongé dans la plus grave crise de son histoire
La direction de PSA, qui dit perdre 200 millions d'euros de liquidités par mois, avait annoncé en juillet la fermeture de son usine d'Aulnay en 2014, mesure la plus spectaculaire d'un vaste plan de restructuration qui prévoit en tout 8000 suppressions de postes. Cette annonce avait provoqué un choc politique et social dans l'Hexagone où la dernière fermeture d'une usine automobile remonte à 1992 avec celle de Renault à Boulogne-Billancourt. Elle avait provoqué à l'encontre de la direction et de la famille actionnaire la colère du gouvernement, ce dernier mettant en doute les difficultés réelles du constructeur. C'ets alors qu'avait été commandé à Emmanuel Sartorius un rapport destiné à évaluer précisément la situation du constructeur automobile. Rapport qui, s'il faut en croire le JDD, ne fait donc que confirmer la situation de PSA...
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Mais le processus de restructuration est par ailleurs suspendu aux conclusions d'un autre rapport d'expertise sur la santé financière du groupe, demandé par les élus du comité central d'établissement. Le cabinet Secafi, chargé de cette mission, prévoit de rendre de premières conclusions fin octobre avant un rapport final dans la dernière semaine de novembre. Pour Christian Lafaye, délégué syndical central FO, le travail demandé à l'expert gouvernemental est "un complément au rapport demandé par les élus du CCE à Secafi Alpha qui ira plus en profondeur".
RépondreSupprimerPlongé dans la plus grave crise de son histoire, au moment où il s'apprête à célébrer le centenaire de son usine de Sochaux, berceau de la marque Peugeot, PSA a vu son image une nouvelle fois écornée cette semaine avec l'éviction de son titre du CAC 40, l'indice vedette de la Bourse de Paris. Ce retrait, symbolique, ne l'a finalement pas affecté vendredi, l'action ayant au contraire gagné plus de 6,5% à 9,26 euros. Les syndicats eux aussi ont minimisé la nouvelle. "Les salariés ne vont pas pleurer, et la sortie du CAC 40 n'est pas significative de la bonne santé du groupe qui repose sur un matelas de 12 milliards d'euros de trésorerie", a déclaré Jean-Pierre Mercier, délégué CGT d'Aulnay.
http://lci.tf1.fr/economie/entreprise/psa-un-rapport-qui-valide-la-fermeture-d-aulnay-7512501.html
(...)"Des conclusions qui risquent de confirmer les craintes des syndicats. Car selon le journal dominical, ce rapport devrait tout simplement "confirmer la grande fragilité du groupe" et "valider" la fermeture de" (...)
Syndicats... gouvernementaux.
(...)"La direction de PSA, qui dit perdre 200 millions d'euros de liquidités par mois,"(...) !!! Sur 'salaire de la Direction ?
(...)"la bonne santé du groupe qui repose sur un matelas de 12 milliards d'euros de trésorerie", a déclaré Jean-Pierre Mercier, délégué CGT d'Aulnay. " (...) OUF ! Soit 1 millard 500 millions à verser à chacun des 8.000 exclus !
http://www.alternatives-economiques.fr/
99 Ans de keynésien-monétariste « Gagnant »
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 08/09/2012 17:38-0400
Il y a 99 ans, que la Fed est née. Puis il y eut une guerre mondiale. Économie de plus tard, keynésienne des deux dernières décennies (sous une forme quelque peu mutée que celui envisagé par l'auteur, tout comme la règle de Taylor) est devenu l'étalon-or (réhabilitation du calembour) du statu quo, car elle donne l'establishment politique une justification « scientifique » de dépenser et de s'accumuler une dette gigantesque des charges sans crainte de la réaction de la part du public. Puis il y eut une autre guerre mondiale. Puis l'étalon-or a été effacé, permettant la création même de diluer l'instrument utilisé comme monnaie de référence et de franchir la barrière « gargantuesque » dans la délivrance des dépenses et la dette. Puis le monde est venu au bord de l'effondrement économique et systémique après une pyramide de ponzi de 1 Billiard $ en argent de crédit presque a implosé en lui-même. Le dernier chapitre de la reprise d'entreprise du modèle souverain établi par le traité de Westphalie arrive, comme le désendettement privé aux frais terminaux de la dette publique s'est déroulée à un rythme record. Il s'agit d'un bref est l'histoire du monde du siècle passé. Et pour résumer où nous en sommes actuellement, nous présentons le tableau ci-dessous. Dans le monde entier de « développé », il n'y a qu'un seul pays qui s'exécute à un excédent budgétaire, alors même que le monde « développé » entière est maintenant, selon la définition de Reinhart et Rogoff d'endettement public durable, insolvable. (...)
http://www.zerohedge.com/news/99-years-keynesian-monetarist-winning
Sunday, Septembre 9, 2012
RépondreSupprimerAfricom prend de l'ampleur de son activité sur tout le continent
http://www.informationclearinghouse.info/article32388.htm
À l'insu de la majorité des gens aux États-Unis, le Pentagone met en scène une attention accrue sur le continent africain. La formation de la United States Africa Command (Africom) en 2008 a signalé cette tendance qui s'était développée pendant au moins une décennie.
Cela ne devrait pas être surprenant compte tenu de l'histoire des États-Unis et de ses antécédents européens. Depuis le milieu du 15e siècle pays d'Europe occidentale ont été impliqués avec l'Afrique par la traite négrière atlantique et, plus tard la colonisation du continent. La rentabilité des colonies de l'hémisphère occidental est directement liée à l'exploitation de la main-d'œuvre africaine.
Bien que l'histoire officielle des États-Unis se targue sur les notions de liberté de l'individu, la capacité pour les réformes et les amendements à la Constitution, il y a aussi la résistance au changement profondément ancré dans le tissu de la culture politique, le droit et les structures économiques de société. Le système esclavagiste aux États-Unis a été introduit par les colons britanniques au cours de la deuxième décennie du 17e siècle, en Virginie.
Depuis l'époque de 1619 à 1865, près de deux-et-un demi-siècle, l'esclavage était un système économique rentable qui a fourni la richesse et de la technologie qui jailli Amérique à la position industrielle qu'il occupait au cours des dernières décennies du 19e siècle. Au tournant des 19e et 20e siècles, la soi-disant guerre hispano-américaine ouvrirait la voie à une nouvelle ère de l'impérialisme qui est devenu de plus en plus dominé par les États-Unis.
Avec une référence spécifique au système économique de l'esclavage et sa justification dans le système juridique américain, afro-américain WEB DuBois historien a écrit dans son ouvrage fondamental sur l'échec de la reconstruction au lendemain de la guerre civile, que «les esclaves noirs en Amérique représentaient la pire et la plus faible parmi les travailleurs des conditions modernes. "(reconstruction Noirs en Amérique, 1935)
DuBois a poursuivi en soulignant que «Selon une estimation, le maintien d'un esclave dans le Sud du maître coût d'environ 19 $ par année, ce qui signifie qu'ils ont été parmi les plus pauvres ouvriers salariés dans le monde moderne. Ils représentaient, en un sens très réel de la dégradation ultime de l'homme et la femme. En effet, le système était si réactionnaire, donc totalement incompatible avec le progrès moderne, que nous ne pouvons pas la saisir aujourd'hui. Peu importe comment dégradé l'ouvrier d'usine, il n'est pas de l'immobilier. "
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Illustrant la dégradation totale de l'Afrique sous le régime de l'esclavage aux États-Unis était l'infâme décision Dred Scott de 1857. DuBois rapporte que «Le statut juridique dans son ensemble de l'esclavage a été énoncé dans la déclaration extraordinaire d'un juge en chef (Taney) des États-Unis que les Noirs avaient toujours été considérés en Amérique comme n'ayant aucun droit que l'homme blanc a été tenu de respecter. "
RépondreSupprimerDans le domaine du processus de production de l'esclavage aux États-Unis, DuBois souligne que «Dans le cadre du concours de l'organisation industrielle de plus en plus, le système esclavagiste était en effet la source de profits immenses. Mais pour le propriétaire d'esclaves et de propriétaires de garder une part importante, voire raisonnable de ces bénéfices a été de plus en plus difficile. Le prix des produits esclave sur le marché libre pourrait être martelé par les marchands et les négociants agissant avec la connaissance et la collusion. Et le propriétaire de l'esclave a été, par conséquent, sans cesse obligés de trouver ses bénéfices non dans le prix élevé du coton et du sucre, mais en battant encore plus bas le coût de sa main-d'œuvre esclave. "
Un autre historien qui a étudié l'impact du système esclavagiste sur le développement de la civilisation américaine était le trinidadien CLR James. Il a écrit en 1970 que «le commerce triangulaire du sucre, du rhum et des esclaves dans une instance de l'accumulation de la richesse programmée telle que le monde a rarement vu. "L'esclavage américain", dit un auteur, «est unique en ce sens que pour la symétrie et la précision des contours, rien de tel n'avait jamais été vu auparavant. L'élément de l'ordre dans la barbarie était la suivante: la rationalisation de la main-d'œuvre sur lequel tout le processus de la colonisation dépendait eu l'africaine, à son point le plus essentiel. Si il (ou elle) n'avait pas été en mesure de travailler ou de maintenir lui-même (ou elle-même) ou apprendre la langue ou de maintenir la coopération dans son (ou ses) vie sociale, toute la question de l'Amérique comme une civilisation distincte pourrait jamais dû se produire. Nous pourrions alors parler d'une sorte de Nouvelle-Zélande ou peut-être au Canada. "(James, L'avenir dans le présent, 1980)
Pourtant, même la Nouvelle Zélande et le Canada n'aurait pas pu devenir Etats capitalistes alliés à l'impérialisme sans l'assujettissement forcé et l'enlèvement des peuples autochtones de ces terres. Le Canada, avait été un territoire esclave sous la domination britannique où le système a été éliminé dans les décennies qui ont précédé la guerre de Sécession aux États-Unis et par conséquent est devenu un havre pour les Africains fuyant l'emballement du système d'exploitation vers le sud.
De colonialisme à la guerre froide (1900-1990)
En conséquence de la traite négrière atlantique, le colonialisme a été institué en Amérique du Nord, dans les Caraïbes et en Amérique latine. La révolution haïtienne de 1791-1803 illustrait profondément la fragilité du système esclavagiste et colonial et surtout la capacité des êtres humains, quelle que soit dégradés, opprimés et exploités, d'organiser, lève-toi, rebelle et prendre le pouvoir par les maîtres d'esclaves.
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Entre la période de la guerre hispano-américaine, comme nous l'avons mentionné plus tôt, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, le progrès industriel et technologique des États-Unis a atteint des niveaux historiques. L'avènement de la chaîne de montage, de la finance spéculative et l'expansion des marchés mondiaux pour les produits industriels, a placé la classe dirigeante aux États-Unis dans une position économique et politique dominant par rapport à ses homologues européens et le Japon impérial.
RépondreSupprimerLe caractère des batailles au cours de la Seconde Guerre mondiale aux États-Unis épargné de la destruction qui a détruit le tissu économique et social de l'Europe et le Japon. La production de guerre aux États-Unis et l'endettement de l'Europe a catapulté l'élite dirigeante en Amérique pour dominer une position au sein du système capitaliste mondial.
Après 1945, il n'était que l'Union soviétique qui était en mesure de contester efficacement l'hégémonie américaine au niveau international. Autres orientation socialiste révolutions en Corée (1945-1948), la Chine (1949), le Vietnam (1945-1954) et la Yougoslavie (1945) ont présenté des défis supplémentaires pour le système capitaliste, tant militairement ainsi que de fournir un modèle alternatif pour l'organisation de la société, la planification de l'économie nationale et de la nature des relations internationales.
Cette menace à la domination américaine a abouti à la soi-disant guerre froide. Cette guerre est devenue chaude en 1950 avec le début de la guerre de Corée qui a duré trois ans et a impliqué la République populaire de Chine.
Au Vietnam, les Etats-Unis a tenu à assurer la domination française qui, inévitablement, a été défaite à Dien Bien Phu en 1954. En 1961, les Etats-Unis au Vietnam envoient des conseillers dans un effort pour arrêter le communisme. En 1965, des centaines de milliers de troupes d'occupation sont entré en Asie du Sud et y est resté pendant une décennie.
La Révolution cubaine de 1959, est rapidement devenu orientation socialiste et la réponse américaine à ce phénomène dans sa soi-disant «arrière-cour» a presque mené à une guerre nucléaire avec l'Union soviétique en 1962. La Révolution cubaine a encouragé les Etats-Unis pour entrer en République dominicaine en 1965 dans une tentative d'empêcher une autre intervention socialiste.
Cette même année, en Indonésie, le potentiel de la prise du pouvoir par le Parti communiste, le deuxième plus grand au moment juste à côté de la Chine, a provoqué la mort de centaines de milliers de personnes.
Avec une référence particulière à l'Afrique, le gouvernement américain après la Seconde Guerre mondiale du bout des lèvres à la lutte anti-coloniale, mais en réalité pris en charge la perpétuation du statu quo. Bien que les relations entre l'administration américaine et les Etats africains progressistes ont été établis au Ghana, la Guinée, l'Algérie, l'Egypte, la Tanzanie et d'autres, néanmoins, il est devenu évident, même pendant les années 1950 et 1960, et a été documenté plus tard, que les administrations successives de Washington étaient plus préoccupés par contenant soviétique, l'influence chinoise et cubaine que d'aider un véritable processus de décolonisation et d'indépendance.
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L'Algérie, une ancienne colonie française qui a gagné sa libération dans une longue lutte armée entre 1954-1961, a cherché des relations avec Washington. Cependant, même sous l'administration Kennedy, il y avait des efforts visant à décourager Alger du renforcement de sa coopération avec Cuba révolutionnaire. L'invasion de l'Algérie par le Maroc en 1963 a été encouragée et orchestrée par les Etats-Unis comme un moyen d'étouffer et de renverser la Révolution africaine.
RépondreSupprimerAu Ghana, Kwame Nkrumah, en vertu, en 1966, un coup d'Etat militaire et la police a été orchestré par la Central Intelligence Agency (CIA) et le Département d'Etat. Ces faits ont été au cours des révélations des années 1970 à la suite du scandale du Watergate et la déclassification des documents secrets.
En ce qui concerne l'Afrique du Sud, le Congrès national africain (ANC), chef de file Nelson Mandela a été jeté en prison en 1962 après qu'il s'était rendu en Algérie pour l'entraînement militaire fourni par le regretté Ahmed Ben Bella du Front de Libération Nationale (FLN). C'était le fonctionnement de la CIA en connivence avec le régime raciste d'apartheid qui a entraîné l'arrestation et la poursuite de Mandela qui a passé plus de 27 ans de prison.
Les anciennes colonies portugaises de l'Angola, du Mozambique et de la Guinée-Bissau ont représenté une bouée de sauvetage pour Lisbonne. Le Portugal a été un membre de l'Organisation du Traité Atlantique Nord (OTAN) et bénéficiait du soutien des Etats-Unis dans sa plus d'une décennie de guerre contre les mouvements de libération dans ces anciennes colonies.
Même après l'indépendance de l'Angola en 1975, les États-Unis ont collaboré avec les forces racistes sud-africain de la Défense (SADF) et le réactionnaire UNITA et FNLA groupes de guérilla dans le but de porter atteinte à la libération véritable et totale de cette nation riche en pétrole d'Afrique australe. C'est l'intervention des forces internationalistes cubains en Angola entre 1975-1989 qui ont assuré la défaite de la SADF et, par conséquent conduire à l'indépendance de la Namibie. Après l'indépendance de la Namibie en 1990, le régime d'apartheid, qui a bénéficié de centaines de millions de dollars des États-Unis l'investissement des entreprises et de l'assistance militaire, a accepté de libérer Nelson Mandela et d'autres prisonniers politiques en Afrique du Sud et d'entamer des négociations sérieuses avec les mouvements de libération pour un transfert de pouvoir.
Relations avec les États-Unis de l'Afrique dans la période après-guerre froide
À partir de la fin des années 1980, les Etats socialistes d'Europe de l'Est démêlé. En 1991, l'Union soviétique s'est effondrée.
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La Yougoslavie, qui avait poursuivi une voie socialiste indépendante, a éclaté en place au cours des années 1990 par la guerre civile, la partition et les éventuels bombardements de l'OTAN aux États-Unis de 1999.
RépondreSupprimerLa Chine, tout en restant socialiste, a modifié sa politique intérieure et étrangère à accueillir le grand commerce et les investissements avec les Etats-Unis après la mort de Mao Tsé-toung en 1976 et la montée en puissance de Deng-Tsao-Ping. Bon nombre des États de l'Afrique qui avait proclamé eux-mêmes socialiste ont commencé à s'inverser politiques relatives au contrôle état de la planification économique et anti-impérialiste de la politique étrangère.
Mais comment ces évolutions ont affecté la politique étrangère américaine envers l'Afrique ? S'il n'y a pas de menace réelle d'influence socialiste, pourquoi le Pentagone a accru sa participation militaire sur le continent ?
Pourquoi l'US Africa Command (Africom), créé en 2008 ? A la mise en place d'une base Pentagone dans la Corne de l'Afrique de Djibouti accroissement de l'instabilité en Afrique de qui pourrait conduire à une situation plus instable politique en Orient et en Afrique centrale ?
La réponse à ces questions réside dans les développements actuels en Afrique au cours des cinq dernières années. Laissez-nous examiner les événements dans plusieurs pays africains et le rôle des États-Unis et de ses alliés dans la région.
Libye: une guerre humanitaire ?
La guerre 2011 contre l'Etat d'Afrique du Nord de la Libye a représenté le premier projet complet de l'US Africa Command (Africom). Depuis la révolution de la Libye en 1969, les Etats-Unis avaient été en désaccord avec le pays et son chef le colonel Mouammar Kadhafi.
La Libye est une ancienne colonie italienne et pendant la Seconde Guerre mondiale aux États-Unis déménagé et a commencé à construire la base de la Force aérienne Wheelus. Alors que la guerre froide s'est intensifiée après la guerre, la Libye est devenue un avant-poste important pour le Pentagone.
Quand Kadhafi est arrivé au pouvoir (1/9/1969) la base aérienne américaine a été fermée et le pays a nationalisé ses ressources pétrolières. Plus tard, il a été déterminé que la Libye comprenait les plus grandes réserves connues de pétrole sur le continent.
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Dans les années 1980, début des relations entre les Etats-Unis et la Libye s'est aggravée avec la destruction en vol d'avions libyens par l'US Air Force en 1981. En 1986, la Libye a été bombardée dans deux villes, Tripoli et Benghazi, sous l'administration Reagan. Le gouvernement du pays a été accusé d'être derrière l'attaque d'un night-club Allemagne de l'Ouest qui a été fréquenté par les troupes américaines stationnées dans la région.
RépondreSupprimerLes sanctions économiques et une interdiction de voyager a été imposé à la Libye par les Etats-Unis Cet état de choses a duré jusqu'en 2003, quand, à la veille de la guerre contre l'Irak, les Etats-Unis déménagé à «normaliser» les relations avec la Libye en échange de son désarmement prétendue d '«armes de destruction massive. "
L'accroissement des échanges entre la Libye et les Etats-Unis ainsi que dans plusieurs États d'Europe occidentale. Cet état de choses continua jusqu'en 2009 quand un Libyen a été libéré d'une prison écossaise pour des raisons humanitaires.
Il avait été condamné dans les années 1990 pour son implication présumée dans l'attentat contre un avion de ligne au-dessus de Lockerbie, en Ecosse. Des deux Libyens jugés pour cette action, un seul a été condamné. Au moment de sa libération, l'affaire a été portée en appel et peut très bien avoir été renversé.
Relations dégradées entre les Etats-Unis et la Libye après 2009, et en Février 2011, quand une rébellion a éclaté dans l'est du pays, les Etats-Unis et de l'OTAN est intervenue par le biais d'un embargo sur les armes, un blocus naval et une campagne de bombardements massifs qui ont abouti à 26 000 sorties et près de 10.000 frappes aériennes. Le rebelle Conseil national de transition (CNT) a été installé comme «légitime» du gouvernement du pays.
Environ deux millions de Libyens et de ressortissants étrangers résidant dans le pays ont été déplacés, des milliers sont morts dans la guerre et l'instabilité engendrée par le groupe rebelle, la campagne aérienne, blocus naval et le gel de plus de $ 160 milliards d'actifs étrangers a eu des répercussions régionales se sont propagées à voisin du Mali, où une rébellion dans le nord du pays a précipité un coup d'Etat militaire et l'intervention éventuelle d'une force régionale armée soi-disant pour stabiliser la situation.
Aujourd'hui, la Libye est plus divisée que pendant toute période de son histoire post-indépendance avec les efforts sécessionnistes dans l'est, la recrudescence des combats dans le sud et l'échec de la CNT à régner dans les milices dans l'armée nationale.
Somalie: Une autre guerre pour le pétrole ?
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En Somalie, dans la Corne de l'Afrique, l'implication des États-Unis a étendu remonte au moins jusqu'à ce que les années 1970, lorsque l'administration Carter a encouragé le gouvernement militaire alors-de Mohamed SiadBarre à envahir la région d'Ogaden en Ethiopie. Après la défaite de la Somalie aux mains des militaires éthiopiennes et les forces internationalistes cubains alors dans le pays pour soutenir son orientation socialiste, l'état de la Somalie filé dans l'instabilité et les déficits alimentaires horribles.
RépondreSupprimerEn 1991, le régime SiadBarre s'était effondré sous les pressions internes et depuis ce temps il n'y a vraiment pas eu de gouvernement stable internationalement reconnu en Somalie. Fin 1992, des milliers de Marines américains entrés dans le pays dans "Opération Restore Hope», qui a été soutenu à l'époque, a été conçu pour fournir une aide humanitaire de la famine.
En seulement quelques mois, un soulèvement national a été lancé contre la présence américaine et des Nations Unies en Somalie a entraîné la mort de nombreux Marines ainsi que des milliers de Somaliens. Forces à la fois aux États-Unis et de l'ONU a retiré en 1994, de ne pas revenir jusqu'à la période récente.
Depuis 2006, les Etats-Unis a tenté de contrôler la situation à l'intérieur du pays. Le Gouvernement fédéral de transition (TFG) est essentiellement financé par les Etats-Unis et la Mission de l'Union africaine en Somalie (Amisom) se compose essentiellement de forces soutenues par les USA de l'Ouganda, le Burundi et Djibouti.
En Octobre 2011, les Forces de défense du Kenya (KDF) ont envahi le sud de la Somalie dans le but d'écraser le mouvement Al-Shabaab résistance islamique qui a été marqué par les Etats-Unis comme une organisation «terroriste». Il s'avère que cette intervention, l'opération "Linda Nchi," avait été prévu pour deux ans entre l'Africom, le Gouvernement fédéral de transition et le gouvernement kenyan.
En dépit de cette intervention ainsi, la Somalie n'est pas encore stable et la situation humanitaire reste catastrophique. Le Pentagone et la CIA a déployé des drones en Somalie a entraîné la mort de centaines de ressortissants. Ces drones sont tombés dans les camps de personnes déplacées tuant des civils innocents.
Ces attaques contre la Somalie est couplé avec une formidable présence navale par le Pentagone et l'Union européenne au large des côtes de la Somalie, dans le golfe d'Aden, l'une des voies maritimes les plus lucratifs dans le monde. Cette présence est ostensiblement orienté vers la lutte contre la piraterie, qui a été considérée comme un problème majeur dans la région.
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La Somalie a été déterminée comme étant une source importante de réserves de pétrole. Forage et la spéculation se déroulent dans la région séparatiste de Puntland, dans le nord par des entreprises canadiennes et britanniques. Entreprises américaines affirment avoir acheté des concessions pour le forage pétrolier et comme la Libye, ces projets seront inévitablement mené par des intérêts privés des entreprises.
RépondreSupprimerKony 2012: les forces spéciales et les conseillers à la rescousse
Peut-être l'aventure américaine la plus large publicité militaire en Afrique a récemment été le soi-disant «Invisible Children» campagne. Le 14 Octobre 2011, l'administration Obama a annoncé que 100 membres des Forces spéciales du Pentagone et des conseillers ont été envoyés à quatre états de l'Est et l'Afrique centrale pour traquer Joseph Kony, le chef de la Résistance du Seigneur (LRA).
La LRA a été largement battu dans le nord de l'Ouganda où elle a été fondée. Les restes du groupe se sont dispersés dans la République centrafricaine, le Sud-Soudan et la République démocratique du Congo (RDC).
L'Ouganda est en train de devenir un autre Etat producteur de pétrole et a des liens politiques, militaires et économiques aux États-Unis, la RDC est un trésor de minéraux stratégiques et le Sud-Soudan est inondé avec de l'huile.
Que Kony est capturé ou tué l'implication américaine dans la région va se poursuivre et être renforcée. Les États-Unis est de plus en plus dépendants des importations de pétrole en provenance d'Afrique, maintenant environ 25 pour cent de son offre globale de l'extérieur du pays.
Le rôle de la Chine
Nous aurions tort de ne pas mentionner le rôle croissant de la Chine dans les affaires africaines. Comme je l'ai écrit en 2010, "la plus forte croissance dans le commerce a eu lieu entre l'Afrique et les pays d'Asie, avec la République populaire de Chine est la plus importante. Commerce de la Chine avec l'Afrique a été enregistré à 93 milliards de dollars en 2008, ce qui en fait le deuxième plus important partenaire après les États-Unis qu'au Nigeria, un accord pétrolier signé récemment la coopération avec la Chine est rapporté à associer entre $ 32 milliards à $ 50 milliards en échanges et des investissements. "( l'Afrique et l'impérialisme)
Ce même article poursuit en notant un rapport des Nations Unies indique «que le commerce entre l'Afrique et la Chine, ont augmenté de 1.000 pour cent au cours de la période comprise entre 2000-2008." En 2010, «la Chine a représenté 11 pour cent du commerce extérieur du continent, avec la majeure partie des transactions qui se déroulent dans les secteurs des produits de base, y compris le carburant et les minéraux. "
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Conclusion
RépondreSupprimerVoici quelques-unes des questions importantes qui doivent être évaluées lors de l'évaluation Unis-Afrique. La source de cette relation a été économique depuis la traite négrière atlantique et de la période de domination coloniale directe.
Avec les Etats-Unis et l'Europe face à la pire crise économique depuis la Grande Dépression, nous verrons des efforts accrus visant à la capture et à la domination des ressources étrangères et des relations commerciales qui sont clairement liés à l'énorme restructuration du marché du travail à l'intérieur des États-Unis
Si cette intervention en Afrique continuera sur sa lancée dépend de l'évolution politique à l'intérieur des États-Unis et le niveau d'opposition en Afrique. Ce qui est clair, c'est que jusqu'à ce qu'un système plus équilibré et plus équitable du commerce et des relations internationales développe, les gens à l'intérieur des États-Unis continueront de payer un lourd tribut à la dépendance à l'égard du pétrole et d'autres ressources stratégiques en Afrique et d'autres régions du monde.
http://themancommon.blogspot.fr/2012/09/africom-is-spreading-its-activity.html
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N'oublions pas qu'en Martinique (Fr) les esclaves 'blancs' étaient plus nombreux que les esclaves 'noirs'.
Le taux de chômage réel à 19%
RépondreSupprimerSous la surface de vendredi rapport sur l'emploi est la réalité de combien désastreuse de l'économie d'Obama est vraiment.
Considérons les 11 faits économiques:
1. Lorsque vous incluez la figure d'œuvre sous-utilisée avec les 8.000.000 d'Américains qui ont perdu espoir et tout à fait cessé de chercher un emploi, de chômage réel se situe maintenant à un peu moins de 19 pour cent.
2. Si la main-d'œuvre étaient les mêmes que lorsque le président Obama a pris ses fonctions en Janvier 2009, le taux de chômage a rapporté vendredi serait 11,2 pour cent.
3. Un nombre record de 88.921.000 Américains ne sont plus dans la population active. Pour être inclus dans ce chiffre, une personne doit avoir plus de 16 ans, un civil, et non pas dans un hôpital psychiatrique ou de soins infirmiers à domicile, et ont cessé la chasse d'un emploi depuis au moins quatre semaines.
4. L'Américain moyen a perdu 40 pour cent de leur richesse de 2007 à 2010.
5. Chaque cinquième homme en Amérique n'a pas de travail.
6. Une personne sur deux Américains sont maintenant à faible revenu ou au-dessous du seuil de pauvreté.
7. Au cours des quatre dernières années, 400 000 bénéficiaires de bons alimentaires par mois ont été ajoutés à la dole bien-être.
8. En 2006-2007, 90 pour cent des diplômés des collèges atterri emplois. Sous Obama, juste 56 pour cent à trouver un emploi après l'université.
9. Un gallon d'essence coûte 1,84 $, quand Obama a pris ses fonctions. Aujourd'hui, un gallon d'essence coûte 3,77 $ (2,94 €/gal ). (Gal US=3,785 l).
10. Chaque quatrième prêt hypothécaire aux Etats-Unis est sous l'eau.
11. Sous Obama, les dépenses de santé ont augmenté en flèche de 18,9 pour cent.
Le dernier sondage Gallup montre suivi de M. Obama mène républicain Mitt Romney challenger de 49 à 45 pour cent.
http://www.breitbart.com/Big-Government/2012/09/08/Real-Unemployment-Now-19
Femme Trouve Renoir originale au marché aux puces
RépondreSupprimerLa peinture pourrait se vendre jusqu'à 100K $ plus tard ce mois-ci
Par Mark Russell , Newser personnel
Publié le 8 septembre 2012 06h50 HAC
(Newser) - Le lot boîte de marché aux puces était inférieur à 50 $, et l'acheteur a ramassé la plupart du temps pour la poupée Paul Bunyan qu'il contenait. Mais il s'avère que le lot boîte contenait également une peinture originale par Renoir qui pourrait rapporter jusqu'à 100.000 dollars dans une vente aux enchères à la fin du mois, les rapports des New York Times . La peinture-5.5-pouce par-9-pouces du bord de la Seine est considéré comme Renoir Paysage Bords de Seine . Il a été acheté dans une galerie française en 1925 et plus tard vendue à un collectionneur Maryland, historiens de l'art, mais ne savons pas quand ou comment il a disparu.
Les marchés aux puces sont connus pour produire des contrefaçons, mais des experts en art pense que c'est la chose réelle. "Vous venez de le voir, et vous savez qu'il est juste,» dit l'un à la maison d'enchères Potomack en Virginie. L'acheteur a la peinture il y a dans un sac en plastique blanc. "Elle a aimé le look de la trame, et a commencé à déchirer le papier sur le dos, et sa mère lui a dit d'arrêter», explique l'expert Potomack.
http://www.newser.com/story/153672/woman-finds-renoir-original-at-flea-market.html