12.12.2024
www.kla.tv/31377
La Cour suprême de l'État australien du Queensland a décidé que la vaccination obligatoire imposée pendant la p(l)anémie de Covid entre 2021 et 2022 était illégale et contraire aux droits de l'homme. Les travailleurs devaient se faire vacciner – sur ordre de l'État - ou présenter une dérogation.
Ce jugement pourrait être significatif et avoir des conséquences importantes pour l'analyse de la pandémie de Covid orchestrée dans le monde entier autour des certificats de vaccination et des droits civils. Le syndicat de la police du Queensland a commencé à déposer des plaintes pour obtenir des dommages et intérêts. En Allemagne également, ce jugement pourrait être déterminant pour le processus d'analyse.
Quand les responsables dans notre pays et à l'OMS seront-ils enfin tenus pour responsables ?
de ede
Sources / Liens :
Une autre cour suprême déclare illégale l'obligation de vaccination contre la maladie du Covid
https://tkp.at/2024/06/24/weiteres-hoechstgericht-erklaert-corona-impfzwang-fuer-
rechtswidrig
Enfin : L'obligation de vaccination est déclarée illégale par la Cour suprême australienne
https://legitim.ch/endlich-die-impfpflicht-wird-vom-obersten-gerichtshof-
australiens-fuer-rechtswidrig-erklaert/
Bill Gates et sa Fondation financent depuis plus d’une décennie des activités de type bioterroriste impliquant la grippe aviaire H5N1.
RépondreSupprimerle 12 décembre 2024
par pgibertie
Arcturus Therapeutics, une société spécialisée dans les produits pharmaceutiques à base d’ARNm, a discrètement annoncé lundi que la Food and Drug Administration (FDA) américaine avait approuvé sa demande d’IND (Investigational New Drug) pour ARCT-2304, une injection d’ARNm auto-amplificatrice (sa-ARNm) ciblant le virus de la grippe aviaire H5N1.
Le mois dernier, Arcturus Therapeutics a reçu une subvention de près d’un million de dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates pour le « développement de vaccins »,
@PinsolleT
Bill Gates et sa Fondation financent depuis plus d’une décennie des activités de type bioterroriste impliquant la grippe aviaire H5N1. Il doit y avoir un moratoire mondial immédiat et complet sur la recherche sur le gain de fonction, ainsi que des enquêtes approfondies sur le nombre croissant de laboratoires biologiques américains et internationaux – y compris leurs bailleurs de fonds – qui pourraient mener des recherches sur les armes biologiques, afin d’éviter une autre pandémie d’origine humaine.
Des chercheurs ont délibérément conçu le virus hautement pathogène de la grippe aviaire H5N1 pour qu’il se lie aux récepteurs humains par une seule mutation génétique, le rendant ainsi plus capable d’infecter les humains.
Cette manipulation alarmante, obtenue en modifiant la protéine hémagglutinine du « premier virus bovin H5N1 infectant les humains signalé », déplace la préférence naturelle du virus des oiseaux vers les humains, une étape cruciale vers une éventuelle transmission interhumaine.
Le document dit :
Dans cette étude, l’analyse de l’hémagglutinine (HA) du premier virus bovin H5N1 infectant l’homme signalé (A/Texas/37/2024, Texas) a révélé une préférence de liaison au récepteur de type aviaire. Notamment, une substitution Gln226Leu a changé la spécificité de liaison de l’HA du Texas aux récepteurs de type humain, qui a été renforcée lorsqu’elle a été combinée à une mutation Asn224Lys. Les structures cristallines de l’HA du Texas avec l’analogue du récepteur aviaire LSTa et son mutant Gln226Leu avec l’analogue du récepteur humain LSTc ont élucidé la base structurelle de cette reconnaissance préférentielle du récepteur.
Les scientifiques ont introduit des mutations dans le virus H5N1 du Texas pour tester sa capacité à se lier aux cellules humaines, en utilisant des tests avancés et une analyse de la structure cristalline pour comprendre comment ces changements améliorent son infectiosité.
Pour évaluer le potentiel des virus 2.3.4.4b récents à acquérir une spécificité de récepteur de type humain, nous avons introduit des mutations dans le site de liaison du récepteur (RBS) de la protéine Texas HA et évalué la liaison du récepteur à l’aide de la résonance plasmonique de surface (SPR), du test immuno-enzymatique (ELISA) et d’analyses de réseau de glycanes. De plus, nous avons déterminé les structures cristallines de Texas H5 HA et de son mutant Gln226Leu avec des analogues de récepteurs aviaires et humains pour fournir des informations sur la base moléculaire de la préférence du récepteur H5 HA.
RépondreSupprimerLes virus de la grippe aviaire nécessitent généralement plusieurs mutations pour se propager chez l’homme.
Cependant, les travaux des auteurs de l’étude montrent que la seule mutation qu’ils ont provoquée peut permettre au virus H5N1 du Texas de cibler les cellules humaines, augmentant considérablement le risque qu’il évolue et se propage entre humains.
Ils écrivent :
Étant donné que chaque mutation est indépendante et que la probabilité d’obtenir des mutations supplémentaires diminue de manière exponentielle, notre observation selon laquelle une seule mutation suffit à changer la spécificité du récepteur dans le Texas HA augmente considérablement la probabilité d’obtenir ce phénotype requis pour la transmission humaine.
Le co-auteur principal, le Dr James Paulson, titulaire de la chaire de chimie Cecil H. et Ida M. Green à Scripps Research, a confirmé que l’expérience de gain de fonction qu’il a réalisée sur le virus « a révélé que la mutation Q226L pourrait augmenter considérablement la capacité du virus à cibler et à s’attacher aux récepteurs de type humain ».
« Cette mutation donne au virus un point d’appui sur les cellules humaines qu’il n’avait pas auparavant, c’est pourquoi cette découverte est un signal d’alarme pour une éventuelle adaptation aux humains », a ajouté le Dr Paulson.
Capable de déclencher une pandémie, cette recherche de gain de fonction met en évidence la facilité inquiétante avec laquelle un simple ajustement peut transformer un virus zoonotique en une menace directe pour la santé publique mondiale.
Vous pouvez lire la publication complète de Science ci-dessous :
Scripps Research est un centre de recherche biomédicale à but non lucratif bien connu dont le siège est à San Diego.
Elle détient plus de 1 100 brevets, a produit 11 produits thérapeutiques approuvés par la FDA et a généré plus de 50 sociétés dérivées.
L’Institut est largement financé par les National Institutes of Health (NIH) des États-Unis, qui ont financé des recherches sur le gain de fonction liées à la pandémie de COVID-19.
RépondreSupprimerEn 2023, le NIH a donné 54 millions de dollars à Scripps, avec un financement total prévu de 282 millions de dollars sur cinq ans.
L’année précédente, l’Institut avait reçu une subvention de 3,8 millions de dollars du NIH pour améliorer ses capacités de biosécurité au niveau 3 (BSL-3).
Il est également financé en grande partie par la Fondation Bill & Melinda Gates ( ici , ici , ici , ici , ici , ici , ici ).
Les laboratoires BSL-3 travaillent avec des agents pathogènes, notamment :
Mycobacterium tuberculosis, responsable de la tuberculose ;
Bacillus anthracis, l’agent de l’anthrax ;
Yersinia pestis, responsable de la peste ;
Coxiella burnetii, qui provoque la fièvre Q ;
Rickettsia rickettsii, la cause de la fièvre pourprée des montagnes Rocheuses;
Francisella tularensis, responsable de la tularémie ;
Espèce de Brucella, connue pour provoquer la brucellose ;
SRAS-CoV-1, associé au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) ;
Virus de la fièvre jaune, qui cause la fièvre jaune ;
Virus du Nil occidental, responsable de la fièvre du Nil occidental ;
MERS-CoV, lié au syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) ;
Virus de la fièvre de la vallée du Rift, responsable de la fièvre de la vallée du Rift ;
Virus de l’encéphalite équine vénézuélienne et virus de l’encéphalite équine de l’Est, tous deux responsables d’encéphalites chez les humains et les animaux ;
Virus Chikungunya, responsable de la fièvre chikungunya ;
Chlamydia psittaci, qui provoque la psittacose.
Scripps critiqué pour avoir « publié la recette de la grippe pour la prochaine pandémie »
Dans un article du Telegraph intitulé « Des scientifiques sous le feu des critiques pour avoir publié dans une revue de renom la recette d’un vaccin contre la grippe en prévision de la prochaine pandémie », les experts mettent en garde contre « les implications en matière de biosécurité de la publication du plan de création d’un virus muté de la grippe aviaire bovine ».
RépondreSupprimerLes scientifiques de Scripps sont critiqués pour avoir « publié un plan visant à créer un virus de grippe aviaire muté qui pourrait provoquer une autre pandémie ».
L’article souligne comment les mutations du virus H5N1 ont augmenté la capacité du virus à se lier aux cellules humaines à des « niveaux proches de la pandémie ».
Le Dr Fillipa Lentzos, du King’s College et membre du Conseil de direction de la biosécurité du Royaume-Uni, a déclaré au Telegraph :
« À la lumière des débats actuels sur la recherche biologique à risque, le document aurait dû aborder de front les problèmes de biosécurité et de sûreté biologique, car nous ne voulons clairement pas déclencher accidentellement une pandémie d’origine humaine ni donner aux gens des idées sur la manière de le faire. »
« Une science responsable doit prendre en compte ces préoccupations. »
« Nous devrions bien sûr nous préparer à ce que le virus H5N1 bovin se transmette aux humains. Il n’est donc pas certain que la recherche apporte beaucoup en termes de changement réel des stratégies de préparation biologique. »
L’article cite le colonel à la retraite Hamish de Bretton-Gordon OBE, expert en contre-terrorisme chimique et biologique et ancien officier de l’armée britannique, qui met en garde contre les laboratoires déclenchant des pandémies :
« On peut combiner la fièvre de Lassa avec le Covid et on obtient une arme biologique terrifiante, bien plus terrifiante que l’anthrax ou même la variole », a-t-il déclaré. « Entre de mauvaises mains pour des raisons néfastes, elle pourrait être désastreuse. Il s’agit d’armes de destruction massive. »
Lord Vallance, ministre d’État britannique chargé des sciences, a averti qu’il existe « des utilisations potentiellement abusives de la biologie » et que « quelqu’un pourrait demander de manière inappropriée des choses » qui peuvent « potentiellement être utilisées à des fins inappropriées ».
https://pgibertie.com/2024/12/12/bill-gates-et-sa-fondation-financent-depuis-plus-dune-decennie-des-activites-de-type-bioterroriste-impliquant-la-grippe-aviaire-h5n1/
Rappel qu'un poison n'est PAS transmissible. Un cancer n'est pas transmissible. Seules, les maladies apportées par des microbes (c'est-à-dire: vivants) le sont.
SupprimerIl ne faut donc pas confondre poussière (appelée 'virus') c'est-à-dire TOTALEMENT inoffensive (sauf les poussières radioactives) avec des microbes qui eux sont des bactéries vivantes porteuses de maladies.
Le régime Biden prolonge discrètement la « déclaration d'urgence » COVID-19 pour protéger les grandes sociétés pharmaceutiques et les fabricants de vaccins à ARNm de toute responsabilité jusqu'en 2029
RépondreSupprimerPar Jim Hoft
Recherche mondiale,
12 décembre 2024
L’administration Biden a discrètement prolongé une « déclaration d’urgence » controversée en vertu de la loi sur la préparation du public et la préparation aux situations d’urgence (PREP) jusqu’au 31 décembre 2029.
« Le secrétaire Becerra a signé le 12e amendement à la déclaration en vertu de la loi PREP pour les contre-mesures médicales contre la COVID-19. Le secrétaire publie cet amendement en vertu de l'article 319F–3 de la loi sur le service de santé publique pour prolonger la durée de la déclaration jusqu'au 31 décembre 2029 et pour republier la déclaration dans son intégralité », selon l' annonce .
Le timing ? Heureusement, cela garantit que les grandes sociétés pharmaceutiques et les fabricants de vaccins à ARNm restent à l'abri de toute responsabilité tout au long du second mandat du président Trump et au-delà.
Selon l'avis du registraire fédéral examiné par The Gateway Pundit :
« Je modifie maintenant l’article XII de la Déclaration pour prolonger la période de couverture de la loi PREP jusqu’au 31 décembre 2029. La COVID-19 continue de présenter un risque crédible d’une future urgence de santé publique.
La COVID-19 continue de provoquer des maladies graves, une morbidité et une mortalité importantes lors des épidémies. Le risque de cas nationaux est élevé en raison des épidémies en cours au niveau national et international depuis la fin de l'année de l'épidémie de COVID-19.
Le développement et le stockage de vaccins, de thérapies, de dispositifs et de diagnostics pour la COVID-19 continuent d’être nécessaires pour que les États-Unis puissent se préparer à la menace crédible d’une urgence de santé publique due à des épidémies de COVID-19.
La couverture continue en vertu de la loi PREP, telle que prévue dans la présente déclaration, vise à se préparer et à atténuer le risque crédible présenté par la COVID-19.
RépondreSupprimerAlors que l'administration Biden insiste sur le fait que cette prolongation est une mesure de précaution pour les « futures urgences de santé publique », les critiques affirment qu'elle sent le copinage et la corruption, profitant aux géants pharmaceutiques tout en mettant de côté les inquiétudes croissantes du public américain concernant les dommages causés par les vaccins et la responsabilité.
La loi PREP prévoit une immunité de responsabilité étendue pour les fabricants et les distributeurs de vaccins, empêchant ainsi les poursuites judiciaires, sauf en cas de « faute intentionnelle ».
En prolongeant cette déclaration, le ministère de la Santé et des Services sociaux de Biden garantit des protections aux entreprises produisant des vaccins contre la COVID-19, garantissant que leurs bénéfices restent intacts, quels que soient les effets indésirables ou le tollé public.
« Les personnes couvertes qui bénéficient d'une immunité de responsabilité en vertu de la présente déclaration sont les « fabricants », les « distributeurs », les « planificateurs de programmes », les « personnes qualifiées » et leurs responsables, agents et employés, tels que ces termes sont définis dans la loi PREP et aux États-Unis.
Le terme « ordonnance » tel qu'utilisé ici et dans les directives émises par le Bureau du secrétaire adjoint à la santé désigne une ordonnance de médicament d'un prestataire, qui comprend la prescription de vaccins, ou une ordonnance de laboratoire, qui comprend la prescription d'ordonnances de laboratoire, si nécessaire.
« Personne qualifiée » comprend (A) un professionnel de la santé agréé ou une autre personne autorisée à prescrire, administrer ou dispenser de telles contre-mesures en vertu de la loi de l’État dans lequel la contre-mesure a été prescrite, administrée ou dispensée. »
La déclaration prévoit l’immunité de responsabilité pour les réclamations :
des pertes causées, découlant de, liées à ou résultant de l'administration ou de l'utilisation de contre-mesures contre les maladies, les menaces et les conditions
RépondreSupprimerdéterminé par le Secrétaire comme constituant un risque actuel ou crédible d'une future urgence de santé publique
aux entités et aux individus impliqués dans le développement, la fabrication, les tests, la distribution, l’administration et l’utilisation de ces contre-mesures.
Lisez l'avis de modification ici .
https://www.globalresearch.ca/biden-extends-covid-19-emergency-declaration-shield-big-pharma/5874860
Stupéfiant: pendant les 15 jours qui suivent la piqure ARNm covid le risque de tomber malade explose si l’on compare à la période précédant l’injection
RépondreSupprimerle 11 décembre 2024
par pgibertie
On en sait plus sur la fameuse zone d’ombre des 15 jours qui suivent la vaccination covid. On sait que les infections survenant à ce moment là sont systématiquement classés parmi les non vaccinés
- voir graph sur site -
On sait également que l’efficacité du vaccin est mesuré en comparant le nombre de cas après les 15 jours en question avec le nombre de cas pendant les 15 jours…..Et c’est ainsi que 28 jours après la vaccination le nombre de cas diminue de moitié….Conclusion, le vaccin serait efficace
Fauf que dans la réalité on mesure le nombre de cas 28 jours après la vaccination avec le nombre de cas qui FLAMBE dans les 15 jours qui suivent la piqure et à cause d’elle
L’étude en lien admet que les 9jours cruciaux correspondent bien à la période de flambée des cas (48% de plus que pour les non vaccinés qui comportent d’ailleurs tous les cas des 15 premiers jours)
Mais l’étude nous donne le nombre de tests et de cas positifs pendant la semaine qui précède la vaccination , c’est a dire les VRAIS NON VACCINES.
En moyenne pour le Pfizer 400 tests de contrôles sont effectués quotidiennement et donnent 5% de cas positifs, soit une quinzaine
Dans les 15 jours qui suivent l’injection le nombre de contrôles dépasse les 600 mais on compte cette fois ci 1 tiers de cas positifs soit 200
La situation redevient normale un mois après l’injection et on retombe à des niveaux de cas et de contamination comparables à la période prévaccinale
Ainsi le risque de tomber malade explose avec l’injection… On comprend pourquoi ceux qui tombent malades dans les 15jour qui suivent l’injection sont classés non vaccinés
156 930 adultes âgés de 70 ans et plus qui ont signalé des symptômes de la covid-19 entre le 8 décembre 2020 et le 19 février 2021 et qui ont été liés avec succès aux données de vaccination dans le Système national de gestion de la vaccination.
RépondreSupprimerLes participants âgés de 80 ans et plus vaccinés avec le BNT162b2 avant le 4 janvier 2021 avaient une probabilité plus élevée d’être testés positifs pour la covid-19 dans les neuf premiers jours après la vaccination (rapport de cotes jusqu’à 1,48, intervalle de confiance à 95 % 1,23 à 1,77),
- voir graph sur site -
https://pgibertie.com/2024/12/11/stupefiant-pendant-les-15-jours-qui-suivent-la-piqure-arnm-covid-le-risque-de-tomber-malade-explose-si-lon-compare-a-la-periode-precedant-linjection/
En Italie, malgré les hurlements de la gauche, Salvini obtient l’annulation des sanctions contre ceux qui avaient refusé les injections ARNm
RépondreSupprimerle 12 décembre 2024
par pgibertie
Le GVT italien a annulé aujourd’hui toutes les sanctions administratives émises à l’encontre des personnes qui avaient refusé la vaccination Covid. Cette vaccination avait été rendue obligatoire aux personnes ayant plus de 50 ans! Le refus était sanctionné d’une amende de 100€
Mario Draghi, le prédécesseur du Premier ministre Giorgia Meloni, a rendu la vaccination obligatoire pour les enseignants et les agents de santé et a étendu l’obligation à toutes les personnes de plus de 50 ans lors de son mandat 2021-2022. Selon le règlement, les fonctionnaires qui refusaient de se faire vacciner étaient suspendus de leur travail sans salaire et ceux de plus de 50 ans étaient condamnés à une amende de 100 euros. Dans la nouvelle annonce du gouvernement, il est indiqué que les amendes ont été supprimées, ainsi que toutes les obligations de paiement.
Des nouvelles du décret Milleproroghe
Récemment, le Conseil des ministres a approuvé un nouveau projet de décret Milleproroghe, qui introduit des changements importants concernant les sanctions en cas de vaccination obligatoire. Selon certaines informations, le gouvernement envisage d’interrompre « définitivement » la procédure de sanction en cours. Cela signifie que les amendes déjà infligées ne seront plus valables et que les jugements pendants seront considérés comme « éteints par la loi ». Par ailleurs, les sommes déjà versées par les citoyens seront remboursées, marquant un tournant important dans la gestion des sanctions liées à la vaccination.
Implications et réactions
Cette décision a suscité différentes réactions parmi les citoyens et les hommes politiques. D’une part, beaucoup saluent l’annulation des amendes, la considérant comme un pas vers la normalisation de la situation post-pandémique.
Le vice-Premier ministre et ministre de l’Infrastructure et des Transports, Matteo Salvini, leader de la Ligue nationaliste et l’un des principaux critiques des mesures restrictives pendant la pandémie, a affirmé qu’il était temps de « regarder vers l’avenir ».
« Il est juste de mettre fin une fois pour toutes au conflit avec le passé, et l’annulation des amendes et des sanctions est un signe de pacification nationale », a-t-il déclaré.
RépondreSupprimer« La décision d’annuler les amendes anti-vax est la énième page honteuse écrite par Giorgia Meloni. Expliquez aux médecins et aux infirmières cette monnaie électorale indigne sur leur peau», a déclaré le député Marco Furfaro, du Parti démocrate (PD) de centre-gauche.
- voir photo sur site :
https://pgibertie.com/2024/12/12/en-italie-malgre-les-hurlements-de-la-gauche-salvini-obtient-lannulation-des-sanctions-contre-ceux-qui-avaient-refuse-les-injections-arnm/
Une étude révèle que la contamination par l’ADN des vaccins COVID de Pfizer est jusqu’à quatre fois supérieure aux seuils légaux
RépondreSupprimerL'étude publiée cette semaine, qui a fait l'objet d'un examen par les pairs, a également mis en évidence la présence de contaminants de l'ADN du SV40 dans les vaccins, et les chercheurs ont également déterminé que les protéines de pointe (spike) produites par les vaccins persistent dans l'organisme plus longtemps qu'on ne l'affirme.
Par Michael Nevradakis
Mondialisation.ca,
12 décembre 2024
Des chercheurs ont trouvé de l‘ADN dans les vaccins COVID-19 de Pfizer à des niveaux trois à quatre fois supérieurs aux limites réglementaires, selon une nouvelle étude qui fait l’effet d’une bombe.
« Cela dépasse de loin la concentration maximale acceptable de 10 ng [nanogrammes] par dose clinique qui a été fixée par les autorités réglementaires internationales », écrivent les auteurs.
L’étude, publiée cette semaine dans la revue Science, Public Health Policy and the Law, a également révélé la présence de contaminants de l’ADN du virus simien 40 (SV40) dans les vaccins. Enfin, les chercheurs ont constaté que les protéines de pointe produites par les vaccins persistent dans l’organisme plus longtemps qu’on ne le prétend.
Ces conclusions ont conduit les auteurs à demander « l’arrêt immédiat de tous les produits biologiques à base d’ARN ».
Karl Jablonowski, docteur en sciences, chercheur principal à Children’s Health Defense (CHD), a déclaré au Defender que la contamination par l’ADN pouvait contribuer à l’augmentation des maladies auto-immunes chez les personnes vaccinées. « Le système immunitaire fonctionne sur la base de détections très sensibles pour déclencher des réponses », a-t-il déclaré.
« L’ADN déposé soudainement dans le sang pourrait déclencher la réponse de l’interféron », a déclaré M. Jablonowski. La réponse de l’interféron, lorsqu’il n’y a rien d’autre à trouver que le « soi », pourrait être le point de départ d’une maladie auto-immune.
L’étude a également montré que les protéines spike
Selon M. Steger, une autre découverte importante est l’identification de deux exemplaires d’une « séquence promoteur/enrichisseur de SV40 ». Steger a déclaré que cette séquence SV40 peut « agir dans les cellules humaines … pour encourager le transport nucléaire de l’ADN plasmidique », ce qui soulève des « problèmes de sécurité liés à l’intégration génomique involontaire de l’ADN résiduel » du plasmide.
La présence du SV40 « augmente le risque pour l’ADN plasmidique d’être transporté dans le noyau cellulaire et probablement intégré dans le génome », a déclaré M. Steger.
RépondreSupprimerSelon M. Jablonowski, le SV40 pénètre les barrières des cellules humaines et transfère l’ADN étranger directement dans les noyaux, « violant ce qui devrait rester inviolable ».
Selon M. Steger, les résultats montrent également « une production robuste de protéines de pointe par les cellules cultivées ». Les protéines produites « ne sont pas restées sur la membrane cellulaire » au point d’injection, mais ont été « emballées dans des exosomes ». Selon M. Steger, « cela signifie que la protéine spike produite peut être exportée dans tout le corps ».
produites après la vaccination persistent dans l’organisme pendant au moins sept jours après la vaccination, alors que Pfizer-BioNTech affirmait auparavant que cette période était plus courte. Les protéines spike sont également sujettes à l’excrétion.
Ces résultats « soulèvent de graves inquiétudes » concernant les vaccins à ARNm, conclut l’étude.
Kevin McKernan, fondateur de Medicinal Genomics, est le premier scientifique à avoir identifié la présence de SV40 dans les vaccins à ARNm. Il a qualifié la nouvelle étude de « tour de force sur le thème de la contamination par l’ADN ». M. McKernan a parlé de l’étude sur Substack et a déclaré dans un billet X que les auteurs de l’étude avaient « frappé un grand coup ».
L’immunologiste et biochimiste Jessica Rose, docteur en sciences, est du même avis. « Cet article est l’article du siècle. Il ne s’agit pas seulement d’une œuvre d’art en termes de présentation de l’étude. Il est très bien écrit et règle les questions en suspens concernant les allégations des organismes de réglementation selon lesquelles la question de la contamination par l’ADN est une information erronée », a déclaré Mme Rose.
Angus Dalgleish, professeur d’oncologie à l’université St George de Londres, a déclaré au Defender que l’étude « a utilisé avec diligence des techniques prouvant que ces échantillons contiennent de grandes quantités d’ADN » et que « ces échantillons pénètrent et s’expriment facilement dans une lignée de cellules rénales connue, utilisée comme norme pour examiner ces phénomènes ».
Cette nouvelle étude fait suite à la publication récente d’un article révisé par des pairs dans le Journal of American Physicians and Surgeons, qui mettait en évidence de graves problèmes de sécurité liés aux injections d’ARNm COVID-19. Les auteurs de cette étude ont demandé « au minimum » un moratoire sur ces injections.
RépondreSupprimerCes articles s’ajoutent à une liste de plus en plus longue de scientifiques et d’organisations qui demandent l’interdiction des vaccins à ARNm COVID-19. Il s’agit notamment du chirurgien général de Floride, de l’Association des médecins et chirurgiens américains, de Doctors for COVID Ethics, d’Americans for Health Freedom et du Conseil mondial de la santé.
En octobre, le conseil de santé de l’Idaho a décidé de ne plus proposer les vaccins COVID-19 dans ses 30 cliniques pour des raisons de sécurité. Le même mois, le gouvernement slovaque a publié un rapport proposant d’interdire les vaccins ARNm « dangereux ».
Cette nouvelle étude intervient alors que vient d’être lancée une bibliothèque en ligne, la SARS-CoV2 Spike Protein Pathogenicity Research Collection, une base de données de plus de 250 études évaluées par des pairs et détaillant les risques posés par les protéines de pointe.
Selon M. Dalgleish, cette dernière étude « confirme complètement » l’article du Journal of American Physicians and Surgeons (Journal des médecins et chirurgiens américains). « Les deux réunis devraient constituer une preuve juridique suffisante pour demander l’interdiction immédiate des vaccins à ARNm.
Les injections d’ARNm COVID « ont un mécanisme d’action dangereux ».
Dans une interview accordée au Défenseur, Klaus Steger, professeur d’andrologie moléculaire à l’université de Giessen en Allemagne et auteur correspondant de la nouvelle étude, a analysé les résultats de l’étude et leur importance.
L’étude a révélé la présence « d“”ADN résiduel dans les vaccins génétiques Pfizer-BioNTech à base d’ARNm [ARNm modifié], dont la concentration dépasse de loin les seuils fixés par les organismes de réglementation internationaux. Il est important de noter qu’une quantité significative de cet ADN résiduel est emballée dans des nanoparticules lipidiques », a déclaré M. Steger.
Selon M. Steger, cela est important car les nanoparticules lipidiques peuvent transporter l’ADN dans tout le corps humain. Il a ajouté :
Le premier problème est que les limites existantes fixées par les agences internationales de réglementation s’appliquent à l’« ADN nu », comme l’ADN résiduel dans les médicaments produits par des bactéries génétiquement modifiées, par exemple l’insuline ou certains antibiotiques.
RépondreSupprimer« Cependant, l’ADN des vaccins génétiques basés sur l’ARNm, ainsi que l’ARNm modifié, sont emballés dans des nanoparticules lipidiques et sont donc introduits dans nos cellules sans que notre système immunitaire ne s’en aperçoive.
Selon M. McKernan, l’étude montre que l’ADN « pénètre dans les cellules et ne se dégrade pas ». Selon M. Steger, « en raison des risques de sécurité liés à l’ADN emballé dans des nanoparticules lipidiques, la valeur limite pour l’ADN doit sans aucun doute être égale à zéro ».
Selon M. Steger, une autre découverte importante est l’identification de deux exemplaires d’une « séquence promoteur/enrichisseur de SV40 ». Steger a déclaré que cette séquence SV40 peut « agir dans les cellules humaines … pour encourager le transport nucléaire de l’ADN plasmidique », ce qui soulève des « problèmes de sécurité liés à l’intégration génomique involontaire de l’ADN résiduel » du plasmide.
La présence du SV40 « augmente le risque pour l’ADN plasmidique d’être transporté dans le noyau cellulaire et probablement intégré dans le génome », a déclaré M. Steger.
Selon M. Jablonowski, le SV40 pénètre les barrières des cellules humaines et transfère l’ADN étranger directement dans les noyaux, « violant ce qui devrait rester inviolable ».
Selon M. Steger, les résultats montrent également « une production robuste de protéines de pointe par les cellules cultivées ». Les protéines produites « ne sont pas restées sur la membrane cellulaire » au point d’injection, mais ont été « emballées dans des exosomes ». Selon M. Steger, « cela signifie que la protéine spike produite peut être exportée dans tout le corps ».
Le Dr Peter McCullough, cardiologue, a déclaré au Defender que « les vaccins COVID-19 à ARNm ont un mécanisme d’action dangereux. Ils contiennent le code génétique de la protéine de pointe potentiellement mortelle du SRAS-CoV-2. Une fois injectés dans l’organisme, il n’existe aucun moyen de contrôler leur biodistribution, leur durée ou la quantité de protéine de pointe produite ».
« Par conséquent, certaines victimes doivent présenter une mauvaise distribution, une surproduction de la protéine spike ou une susceptibilité à ses propriétés de dommages cellulaires et tissulaires », a déclaré M. McCullough.
Christof Plothe, médecin, membre du comité directeur du Conseil mondial de la santé, a déclaré au Defender que l’étude avait montré que la présence des protéines spike durait plus de sept jours, ce qui contredit les « modèles antérieurs qui suggéraient que les protéines spike resteraient ancrées au site d’injection et se dissiperaient dans les 48 heures ».
RépondreSupprimerSelon Mme Plothe, l’étude a également démontré que l’élimination des protéines de pointe est également possible. « La recherche a montré que les protéines spike ne sont pas simplement collées à la membrane cellulaire – au lieu de cela, elles sont emballées dans des exosomes, qui sont de minuscules vésicules qui peuvent être libérées des cellules et potentiellement se déplacer dans tout le corps.
Cette découverte a des implications majeures pour le concept de « shedding », suggérant que si les exosomes contiennent de l’ADN plasmidique, celui-ci pourrait être transmissible et pourrait même avoir la capacité de se répliquer, ce qui poserait des risques supplémentaires », a déclaré Plothe.
Selon M. Steger, ces mécanismes et ces risques ne se limitent pas aux vaccins COVID-19 de Pfizer-BioNTech, mais s’appliquent à tous les vaccins à ARNm. Il a déclaré :
« Les problèmes mis en évidence par notre étude sont des problèmes généraux typiques de ce nouveau type de vaccins génétiques à ARNm, de leur processus de production et de leur mode d’action.
« Cela signifie qu’indépendamment du type de plasmides futurs appliqués dans le processus de production, les vaccins génétiques à ARNm agiront de manière identique, c’est-à-dire qu’ils transfecteront génétiquement nos cellules corporelles et les convertiront en installations de production d’un antigène viral étranger sans aucun mécanisme de contrôle sur les effets secondaires négatifs indésirables ».
Selon M. Steger, cette situation présente des dangers importants pour la santé humaine, notamment des risques qui pourraient être transmis à la progéniture.
« Cela comporte non seulement le risque indéniable de provoquer une maladie auto-immune, mais, en ce qui concerne l’ADN plasmidique résiduel, cela augmente le risque de transmission de l’ADN au noyau cellulaire et d’insertion dans le matériel génétique – et, dans le pire des cas, même à la progéniture », a déclaré M. Steger.
RépondreSupprimerPfizer a déjà reconnu la présence de SV40 dans ses injections de COVID-19 « mais a minimisé les effets secondaires associés », a déclaré M. Plothe. M. Jablonowski a fait remarquer que Pfizer et BioNTech disposent des ressources nécessaires pour mener une telle étude, mais qu’ils ne l’ont pas fait.
« Cet article est à la portée de Pfizer-BioNTech », a déclaré M. Jablonowski. « Pourtant, trois chercheurs ont mis au point un travail très technique sans financement extérieur, montrant que Pfizer-BioNTech mettait en danger toutes les personnes à qui l’on avait injecté leur produit.
« Cet article explique pourquoi nous avons constaté un nombre record de blessures, d’invalidités et de décès après la vaccination par le COVID-19 », a déclaré M. McCullough. « Des appels ont été lancés dans le monde entier pour que ces produits ne soient plus utilisés chez l’homme. Le seul moyen d’empêcher d’autres dommages est de mettre un terme à la campagne de vaccination par le COVID-19 ».
Joseph Sansone, auteur de la résolution « Ban the Jab » adoptée par 10 comtés de Floride, a déclaré au Defender qu’il soutenait l’appel des auteurs en faveur d’un moratoire. Selon lui, l’étude « soulève de sérieuses inquiétudes quant aux changements génétiques et à la possibilité de prédisposer les générations futures au cancer et à d’autres maladies ».
Une nouvelle base de données d’études sur les protéines de pointe contribue aux appels à l’interdiction des injections d’ARNm
M. Steger a déclaré que son article était la cible d’une censure scientifique. Son équipe avait déjà soumis l’étude « à deux autres revues, toutes deux axées sur les vaccins ». Cependant, les deux revues ont « renvoyé le manuscrit immédiatement » sans l’examiner.
C’est ainsi qu’est née la Collection de recherche (Research Collection) sur la pathogénicité de la protéine de pointe du SRAS-CoV2, une base de données de « plus de 250 études scientifiques évaluées par des pairs confirmant que la protéine de pointe est hautement pathogène en soi ».
Erik Sass, assistant de recherche pour le projet, a déclaré au Défenseur : « Cette collection de recherches démontre que la protéine de pointe du SRAS-CoV2 peut infliger des dommages au corps humain par le biais d’un éventail remarquablement large de mécanismes. »
RépondreSupprimerLa base de données « fait également progresser notre compréhension des causes et des traitements possibles du “long COVID” et des lésions vaccinales résultant d’une production incontrôlée de la protéine spike dans tout le corps », a déclaré M. Sass.
M. Sass a indiqué que la base de données contient des études « publiées dans des revues scientifiques réputées après examen par les pairs “, mais que de nombreuses ” publications scientifiques autrefois respectées se sont écartées des normes élevées d’intégrité intellectuelle qui les rendaient dignes de foi ».
Selon M. Sass, le projet a été inspiré par la publication de « Toxic Shot: Facing the Dangers of the COVID ‘Vaccines’ » en juin, en particulier son chapitre sur les protéines de pointe. M. Sass est l’un des chercheurs qui ont contribué à ce chapitre.
« Au fur et à mesure de l’avancée des recherches, nous avons décidé de continuer à enrichir la collection pour en faire une ressource autonome de référence générale », a déclaré M. Sass.
Brian Hooker, docteur en médecine et directeur scientifique de la CHD, a qualifié la nouvelle base de données de « grande ressource pour les praticiens à la recherche d’options de traitement et pour les scientifiques qui étudient la toxicité très évidente du vaccin COVID-19 et de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 ».
« Nous avons besoin d’informations directement accessibles pour savoir ce que l’avenir nous réserve en matière de traitement de la multitude de maladies chroniques causées par l’exposition à la protéine spike », a déclaré Hooker. Pour M. Dalgleish, la base de données « constitue une preuve irréfutable “ que la protéine spike ” est extrêmement dangereuse et que son utilisation doit être interrompue immédiatement ».
« Des études comme la nôtre sont désormais publiées à des intervalles de plus en plus courts et se retrouvent parfois dans les médias grand public », a déclaré M. Steger. Ce n’est qu’une question de temps avant que le château de cartes des « vaccinations sûres et efficaces » ne s’effondre.
RépondreSupprimerMichael Nevradakis, Ph.D.
https://www.mondialisation.ca/une-etude-revele-que-la-contamination-par-ladn-des-vaccins-covid-de-pfizer-est-jusqua-quatre-fois-superieure-aux-seuils-legaux/5694745?doing_wp_cron=1734007436.0973401069641113281250
Covid : prophylaxie, vermifuge et homicides
RépondreSupprimerby Jean-Dominique Michel
15 Décembre 2021
Le refus obstiné des milieux se prétendant scientifiques de reconnaître la validité établie de certains traitements précoces contre le Covid est un scandale sanitaire d’une envergure sans précédent. Qui se soldera à n’en pas douter devant les tribunaux une fois l’état d’hystérie collective retombé. Nous savons aujourd’hui que des milliers de patients sont morts d’avoir […]
Le refus obstiné des milieux se prétendant scientifiques de reconnaître la validité établie de certains traitements précoces contre le Covid est un scandale sanitaire d’une envergure sans précédent. Qui se soldera à n’en pas douter devant les tribunaux une fois l’état d’hystérie collective retombé.
Nous savons aujourd’hui que des milliers de patients sont morts d’avoir été privés de soins. Instruits de rester chez eux et de ne surtout pas consulter alors qu’ils étaient en train de décompenser en oxygène, puis hospitalisés beaucoup trop tardivement, un nombre important d’entre eux auraient pu être sauvés si la médecine n’avait pas renié ses fondamentaux (voir la démonstration de Vincent Pavan lors de la 35ème séance du Conseil scientifique indépendant : cliquer ici).
Instrumentalisée à des fins lucratives par une industrie crapuleuse qui (comme le soulignait le rapport de la Chambre des Communes britanniques en 2005) a étendu ses tentacules à tous les niveaux décisionnels, la médecine hospitalière et universitaire occidentale est coupable de la plus vaste opération d’homicide (au moins) par négligence de tous les temps.
Les auteurs et complices de cette dérive abominable peuvent bien jouer les grands inquisiteurs sur les plateaux télé, la réalité les rattrapera tôt ou tard. Avec deux pointes aussi honteuses l’une que l’autre : dans le même temps où ils niaient la montagne d’évidence en faveur des principaux traitements précoces (trithérapie hydroxychloroquine – azithromycine – zinc et bien sûr ivermectine), ces mêmes « experts » promouvaient le toxique, inefficace et coûteux remdesivir sans la moindre donnée probante à l’appui de son usage…
La second pointe est que la campagne massive d’injection génique largement inefficace et toxique que l’on nous impose dans un élan de fanatisme hystérique digne des moments les plus sombres de notre histoire, ne pouvait être imposé qu’à la condition qu’il n’existât aucun traitement utile disponible. Ceci semble expliquer cela d’une manière qui crève d’autant plus les yeux que la propagande médiatique aura réussi l’exploit de faire croire que les traitements en question, parmi les plus sûrs de toute la pharmacopée, étaient en réalité dangereux ! Et que les injections géniques très risquées, sur lesquelles nous n’avons toujours aucun recul digne de ce nom, étaient parfaitement « sûres et efficaces » malgré des effets indésirables et un nombre de décès post-« vaccinaux » absolument sans précédent.
Toutes ces ignominies peuvent faire illusion un temps. Mais comme le souligne l’excellent observateur Eric Verhaege, diplômé de l’ENA et directeur du Courrier des Stratèges, dans une entretien avec Xavier Azalbert, directeur de la publication de France Soir : « Que ces gens-là ne s’imaginent pas qu’ils vont pouvoir échapper aux poursuites. »
RépondreSupprimerJe le dis ici modestement mais haut et fort depuis des mois : des « responsables » comme Alain Berset et Mauro Poggia, des scientifiques sous lourds conflits d’intérêts et aux propos frauduleux comme Didier Pittet, Antoine Flahaut, les membres de la « Task Force » ou encore Didier Tronno et Alessandro Diana finiront forcément devant les tribunaux. Grisés par leur pouvoir et la complaisance sans bornes des médias achetés, ils peuvent temporairement faire illusion. Le problème est qu’ils participent activement à une magouille rien moins que hideuse, manipulant la population et détruisant des vies. Les réveils ne peuvent être que douloureux.
En ce qui concerne l’ivermectine donc, remède sûr et éprouvé (sa découverte a valu à son auteur un prix Nobel), d’une efficacité remarquable contre le Covid-19, appuyé sur des dizaines d’études incomparablement plus rigoureuses que celles mentionnées à l’appui de l’autorisation du remdesivir ou des injections géniques, il aura été l’objet d’une campagne de dénigrement sans précédent de la part de ce qu’on appelle encore par habitude et paresse de pensée « la presse ».
Cette manipulation a été décrite en détails et, comme cas d’école de propagande réussie, figurera dans les manuels d’histoire. Avec un pitch d’une stupidité radieuse à laquelle il fallait toutefois penser : puisque ce remède multifonctionnel est aussi employé en médecine vétérinaire, on le qualifia de « remède pour les chevaux » ou même de « vermifuge pour équidés dangereux pour les humains », selon la lumineuse description du conseiller national socialiste Roger Nordman à la tribune du Conseil national. Si on savait certains socialistes capables d’être parfois bêtes à brouter du foin, le triste sire en question a franchi le mur du çon (d’avoine) les sabots dans les naseaux…
Pendant donc que nos autorités médicales et politiques truandent à tout va, les études et l’évidence clinique continuent à pleuvoir.
Dernière publication en date, à laquelle il sera difficile de trouver des poux, une étude rétrospective des données à l’échelle d’une ville entière au Brésil : la ville d’Itajai a offert de l’ivermectine en prophylaxie (0,2mg/j/kg pendant 2 jours toutes les 2 semaines) à ses 220’000 habitants sur une base volontaire. 60 % (à haut risque) ont pris le remède pendant 7 mois.
Verdict ? Les hospitalisation et la mortalité COVID ont été diminuées de moitié.
- voir clip sur site -
« Des résultats qui résistent à tous les facteurs de confusion raisonnables dans une analyse appariée par score de propension grâce à un riche ensemble de données. Les résultats peuvent être considérés comme quasi-randomisés. »
RépondreSupprimerVoici le résumé (abstract) de la publication (en pré-print):
Contexte : L’ivermectine a démontré différents mécanismes d’action qui pourraient potentiellement protéger à la fois de l’infection par le COVID-19 et des comorbidités liées au COVID-19. Sur la base de la littérature existante et du profil de sécurité de l’ivermectine, un programme d’utilisation prophylactique de l’ivermectine pour le COVID-19 a été mis en place dans toute la ville d’Itajai, une ville du sud du Brésil dans l’état de Santa Catarina.
L’objectif de cette analyse est d’évaluer les effets de l’utilisation de l’ivermectine pour la prévention de l’infection par le COVID-19, le risque de décès et la mortalité, par rapport aux non-utilisateurs.
Matériaux et méthodes : il s’agit d’une analyse rétrospective des données du registre du programme de prévention de l’infection à COVID-19 par l’ivermectine à l’échelle de la ville, basé sur des données médicales, entre juillet 2020 et décembre 2020. Toute la population d’Itajaí a été invitée à une visite médicale afin de compiler les paramètres démographiques et médicaux. En l’absence de contre-indications, l’ivermectine a été proposée comme traitement optionnel pendant 2 jours tous les 15 jours à une dose de 0,2mg/kg/jour. Les préférences et l’autonomie médicale des patients ont été préservées.
Les utilisateurs d’ivermectine ont été comparés à la population appariée par comorbidité de non-utilisateurs de COVID-19 selon l’âge, le sexe, le taux d’infection par COVID-19 et le taux de mortalité par COVID-19. Les résultats en termes de mortalité ont été ajustés pour toutes les variables pertinentes et le Propensity Score Matching (PSM) a été calculé. Résultats : Un total de 220 517 sujets ont été inclus dans l’analyse ; 133 051 (60,3%) utilisateurs d’ivermectine et 87 466 (39,7%) non-utilisateurs. L’infection au COVID-19 est survenue chez 4 311 (3,2 %) sujets traités et 3 034 (3,5 %) sujets non traités.
RépondreSupprimerCes données ont montré une réduction de 7% du taux d’infection par COVID-19 avec l’utilisation de l’ivermectine : rapport du taux d’infection par le COVID-19 (Rapport de risque (RR) de 0,93 ; intervalle de confiance (IC) à 95%, 0,89 – 0,98 ; p = 0,003). Un total de 62 décès (taux de mortalité de 1,4 %) est survenu chez les utilisateurs et 79 décès (taux de mortalité de 2,6 %) chez les non-utilisateurs, montrant une réduction de 48 % du taux de mortalité (RR, 0,52 ; IC à 95 %, 0,37 – 0,72 ; p = 0,0001). Le risque de mourir de COVID-19 chez les utilisateurs d’ivermectine était inférieur de 45% à celui des non-utilisateurs (RR, 0,55 ; 95%CI, 0,40 – 0,77 ; p = 0,0004).
Conclusion : L’utilisation prophylactique de l’ivermectine a montré une réduction significative du taux d’infection par le COVID-19, du taux de mortalité et des risques de mourir du COVID-19 dans une analyse calculée au niveau de la population, qui a contrôlé toutes les variables confusionnelles pertinentes.
Rappelons qu’en Suisse romande, à l’Hôpital Riviera-Chablais, une équipe avait conquis de haute lutte (après s’être vue interdire de continuer à utiliser le protocole de trithérapie mis au point à Marseile malgré l’évidence des résultats) le droit de soigner les patients Covid avec l’ivermectine. Après plus de 400 patients soignés ainsi parmi lesquels il n’y aura eu aucun décès, le CHUV (bastion de le corruption institutionnelle en Romandie avec les HUG) a exigé la cessation de ces soins, arguant que « ce n’est plus ainsi que l’on fait de la médecine ».
En effet, la nouvelle manière semblant être de laisser mourir les gens par privation de soins puis intubation violente (intervention hautement iatrogène) une fois qu’il est trop tard tout en prétendant à tort que les hôpitaux sont débordés. Ma foi, tant que cela sert l’intérêt des laboratoires qui arrosent copieusement services et chercheurs année après année, on ne voit pas pourquoi tout ce beau monde pinaillerait ni se soucierait des victimes qu’on aurait pu sauver. Et puis, n’est-ce -pas, on a le glorieux « vaccin » qui, selon les professions de foi touchantes de la RTS, de Tamedia et du Temps, constituait, constitue et constituera la « seule solution » malgré son échec aujourd’hui évident et l’illégalité intrinsèque de sa mise sur le marché.
« Seule solution » en tout cas pas (puisque ni seule, ni surtout solution), mais plus lucrative assurément. Je l’avais souligné dans le film Hold-Up (dont les principales thèses se sont confirmées dans la réalité, la dernière en date constatée étant les risques majeurs portés à la fertilité des « vaccinés »)…
… il y avait pour les labos des centaines de milliards de dollars à la clé de cette hideuse manipulation. Lesquels tombent dans la caisse mois après mois grâce à l’immoralité et à la stupidité de nos responsables. Champagne pour les uns, misère et dévastation pour les autres.
RépondreSupprimerComme le soulignait récemment le Pr Christian Perronne, lequel a dirigé pendant quinze ans la réponse sanitaire de la France aux épidémies, s’il avait été aux commandes, la « pandémie » serait terminée depuis longtemps. Les corrompus ne l’entendaient évidemment pas de cette oreille-là. Ni surtout leurs commanditaires…
https://anthropo-logiques.org/ivermectine-la-preuve-par-la-prophylaxie/
Un journal italien s'attaque aux vaccins anti-Covid
RépondreSupprimerle 12 décembre 2024 - 15:40
En Italie, l'édition du 12 décembre 2024 de La Verità va faire couler beaucoup d'encre. À la Une, le titre donne le ton : "Le vaccin n’a empêché ni les infections ni la transmission du virus". On y apprend aussi les décisions du gouvernement Meloni en faveur de la liberté vaccinale.
Les partis Frères d'Italie (celui de Giorgia Meloni) et celui de la Ligue n'ont jamais fait mystère de leur opposition aux restrictions sanitaires pendant la crise du Covid-19. En Italie, sous Mario Draghi, les contraintes sont allées jusqu'à l'obligation vaccinale, sous peine d'amende. Ainsi, les plus de 50 ans et les professionnels de santé qui refusaient de se faire vacciner devaient payer 100 euros.
Lorsque Giorgia Meloni est arrivée au pouvoir, les soignants non-vaccinés ont été réintégrés. Et, mardi dernier, le gouvernement italien a annulé les amendes infligées précédemment.
Sur la Une de La Verità, on lit qu'il s'agit là de rejeter une "injection de pur fondamentalisme idéologique". Selon le gouvernement actuel, "cette obligation était illégitime et non scientifique". "En abolissant les sanctions, on a remédié à un abus de pouvoir, à une atteinte à la Constitution", ajoute-t-il.
https://www.francesoir.fr/culture-medias/un-journal-italien-s-attaque-aux-vaccins-anti-covid
Trump : RFK Jr. étudiera le lien possible entre les vaccins infantiles et l'autisme
RépondreSupprimer"Je pense que quelqu'un doit le découvrir. Si vous remontez 25 ans en arrière, vous aviez très peu d'autisme. Maintenant, vous l'avez."
Par John Leake
Discours courageux
13 décembre 2024
Dans une interview du 8 décembre avec Meet The Press, Trump a fait remarquer que les cas d'autisme ont augmenté au cours des dernières décennies. Lorsqu'on lui a demandé si Kennedy explorerait la question, Trump a déclaré qu'il était "ouvert à tout".
"Quand on regarde certains des problèmes, quand on regarde ce qui se passe avec la maladie et la souffrance dans notre pays, quelque chose ne va pas", a déclaré Trump. "Je pense que quelqu'un doit le découvrir. Si vous remontez 25 ans en arrière, vous aviez très peu d'autisme. Maintenant, vous l'avez."
Comme le savent les lecteurs de ce Substack, Robert F. Kennedy, Jr. s'inquiète depuis longtemps du lien possible entre les vaccins infantiles et l'autisme. Il a trouvé particulièrement remarquable que l’incidence de l’autisme ait commencé à augmenter rapidement à la fin des années 1980, peu après l’adoption de la loi de 1986 sur les blessures causées par les vaccins chez les enfants, qui accordait aux fabricants de vaccins l’immunité contre toute responsabilité civile et pénale pour les blessures ou les décès causés par leurs produits.
Kennedy a remarqué qu’après l’adoption de cette loi, le nombre de vaccins du calendrier infantile a augmenté. Avec le calendrier actuel, les enfants peuvent recevoir jusqu’à 24 vaccins avant l’âge de 2 ans et jusqu’à 5 injections en une seule visite.
Tous ces antigènes injectés dans le corps des petits enfants pourraient-ils provoquer une réponse inflammatoire qui pourrait – d’une manière qui n’est pas encore entièrement comprise – endommager leur cerveau en développement ? En d’autres termes, la prolifération de toutes ces injections pourrait-elle être un facteur qui pourrait expliquer le graphique suivant ? Notez que ce graphique n’est qu’un des nombreux qui illustrent la montée de l’autisme, une tendance qui a commencé vers 1978 et s’est accélérée vers 1987.
RépondreSupprimerD’après mon expérience en tant qu’auteur de romans policiers, chaque fois que des individus ou des groupes s’opposent à ce qu’un incident suspect fasse l’objet d’une simple enquête, on peut être pratiquement certain que ces individus ou ces groupes cachent quelque chose. Il me semble que tout ce que Robert F. Kennedy Jr. propose de faire, c’est de charger des chercheurs impartiaux de mener une enquête en bonne et due forme. Quelle personne raisonnable qui se soucie des enfants s’opposerait à une telle enquête ?
Je soupçonne fortement le complexe biopharmaceutique de savoir trop bien que les vaccins infantiles ont très probablement contribué à la forte augmentation de l’autisme. Le complexe se battra probablement bec et ongles pour empêcher le grand public de comprendre cela. Le lobby de l’industrie du tabac et ses scientifiques à gages ont mené le même type de campagne de dissimulation pendant des décennies.
Cet article a été publié à l’origine sur Courageous Discourse.
https://www.lewrockwell.com/2024/12/no_author/trump-rfk-jr-will-study-possible-link-between-childhood-vaccines-and-autism/
Renouée du Japon: les racines de la plante la plus détestée au monde contiennent un puissant anti oxydant efficace contre la maladie de Lyme
RépondreSupprimerle 12 décembre 2024
par pgibertie
La renouée du Japon est considérée comme une invasive à éradiquer par les services municipaux alors que sa racine contient un taux élevé de resvératol, un antioxydant puissant !
A contrario de la plupart des végétaux, la renouée du Japon est friande de sols appauvris. Elle est, en effet, bio-indicatrice des sols pollués aux métaux lourds et à l’aluminium qu’elle apprécie beaucoup. Elle a, d’ailleurs, été la première plante à coloniser les coulées de lave riches en métaux. Son nom vient de la localisation des premiers sites industriels envahis par la plante qui se situaient au Japon.
Le resvératrol est un polyphénol de la classe des stilbènes présent dans certains fruits comme les raisins, les mûres ou les cacahuètes, et dans certaines plantes comme la renouée du Japon. On le retrouve en quantité notable dans le raisin, et donc dans le jus de raisin et le vin qui en est issu.
En dehors de la prévention de la maladie coronarienne, la liste des effets bénéfiques bien documentés de ce composé n’a cessé de croître : elle concerne l’inflammation, l’activation plaquettaire, l’angiogenèse, le maintien de la masse osseuse, la réduction de la masse adipeuse, la neuroprotection, la photoprotection, le vieillissement. Pendant une décennie, les observations étayant les bénéfices pour la santé du resvératol n’ont cessé de s’accumuler
Cette plante arbustive contient des niveaux élevés d’un polyphénol appelé resvératrol qui confère à cette plante des propriétés antitumorales, antimicrobiennes, anti-inflammatoires,
La renouée du Japon est considérée comme une invasive à éradiquer par les services municipaux alors que sa racine contient un taux élevé de resvératol, un antioxydant puissant !
A contrario de la plupart des végétaux, la renouée du Japon est friande de sols appauvris. Elle est, en effet, bio-indicatrice des sols pollués aux métaux lourds et à l’aluminium qu’elle apprécie beaucoup. Elle a, d’ailleurs, été la première plante à coloniser les coulées de lave riches en métaux. Son nom vient de la localisation des premiers sites industriels envahis par la plante qui se situaient au Japon.
RépondreSupprimerLe resvératrol est un polyphénol de la classe des stilbènes présent dans certains fruits comme les raisins, les mûres ou les cacahuètes, et dans certaines plantes comme la renouée du Japon. On le retrouve en quantité notable dans le raisin, et donc dans le jus de raisin et le vin qui en est issu.
En dehors de la prévention de la maladie coronarienne, la liste des effets bénéfiques bien documentés de ce composé n’a cessé de croître : elle concerne l’inflammation, l’activation plaquettaire, l’angiogenèse, le maintien de la masse osseuse, la réduction de la masse adipeuse, la neuroprotection, la photoprotection, le vieillissement. Pendant une décennie, les observations étayant les bénéfices pour la santé du resvératol n’ont cessé de s’accumuler
Cette plante arbustive contient des niveaux élevés d’un polyphénol appelé resvératrol qui confère à cette plante des propriétés antitumorales, antimicrobiennes, anti-inflammatoires, neuroprotectrices et cardioprotectrices.
La renouée du Japon fait entièrement partie de la pharmacopée de la médecine traditionnelle chinoise pour ses vertus thérapeutiques hors normes. Son secret ? Il réside dans sa teneur élevé en Resvératrol, une substance végétale que l’on retrouve en grande quantité dans les rhizomes de la plante. C’est d’ailleurs la plante la plus riche en Resvératrol au monde. Ce Resvératrol s’avère être un très puissant anti-inflammatoire et anti-oxydant présentant de nombreux bénéfices santé comme par exemple la lutte contre le vieillissement cellulaire. La substance est également connue pour prolonger la vie des cellules saines, et empêcher la multiplication des cellules malades.
Autre point super intéressant, la production du resvératrol par la renouée du Japon est en fait un mécanisme de défense naturel de la plante. Il s’agit là d’une réponse aux infections notamment des champignons mais aussi aux attaques extérieures comme les rayons UV ou les insectes qui provoquent des lésions. C’est une façon pour la renouée du Japon de protéger ses tissus fragilisés par la maladie et les nuisibles. Et il semblerait que cela se transpose très bien à l’humain notamment dans le cadre de maladies civilisationnelles modernes comme par exemple la maladie de Lyme…
Attention, on retrouve souvent le Resvératrol à l’état pur commercialisé en tant que substance isolée de la plante. Or il est très important dans le cadre de la maladie de Lyme de prendre la plante entière avec toutes ses substances actives. En effet, il existe une synergie entre les éléments et principes actifs d’une plante qui permettent de garder toute son efficacité et de la maximiser. Si vous prenez uniquement le Resvératrol les résultats ne seront probablement pas aussi efficaces contre la maladie de Lyme qu’avec la plante entière.
RépondreSupprimerVous trouverez toutes les plantes en teintures, en gélules ou encore en poudre sur LymeHerbs. C’est là bas que je commande mes plantes. Généralement je prends la renouée en teinture sans alcool mais la formule de la renouée sous forme de gélules est très bien aussi.
Du côté des contre-indications la plante est plutôt sécure et l’emploi est sans risque. Bien évidement il s’agit toujours de commencer doucement et de voir les éventuels réactions. En revanche, il faut rappeler que la plante présente aussi une action anti-coagulante et elle est donc déconseillée chez les personnes sous anti-coagulants, enceinte ou dans les 10 jours précédents une opération.
Propriétés
Comme ingrédient cosmétique, l’actif cosmétique resvératrol est reconnu pour ces propriétés :
Apaisant : des études montrent que le resvératrol est capable de diminuer l’inflammation en diminuant l’action d’une enzyme responsable de la production des prostaglandines, molécules impliquées dans le processus inflammatoire. Cet actif sera donc intéressant sur les peaux sensibles ou sujettes à inconfort
Antioxydant : grâce à ses propriétés anti-radicalaires, il permet de lutter contre les effets néfastes du stress oxydatif responsable du vieillissement prématuré (notamment lié au soleil, pollution, tabac…)
Anti-rides : une étude montre la capacité du resvératrol à aider à diminuer le nombre de rides installées, ainsi que leur profondeur, par une action « retinol-like ».
Anti-âge préventif : prévient le vieillissement cutané et augmente la durée de vie cellulaire, en activant une protéine de longévité présente dans les cellules de la peau (fibroblastes et kératinocytes).
Anti-taches et éclaircissant : permet d’aider à atténuer les taches pigmentaires et de freiner leur formation, en diminuant la production de mélanine.
Réparateur : une étude menée sur des kératinocytes humains montre la capacité du resvératrol à stimuler la production d’une protéine impliquée dans la formation de nouveaux vaisseaux sanguins, le VEGF, qui a un rôle important dans la croissance des nouveaux tissus et des organes. Le resvératrol est ainsi un bon stimulant du processus de réparation.
RépondreSupprimer@PinsolleT
« Des recherches récentes indiquent que certains médicaments botaniques, tels que la renouée du Japon, la griffe de chat et la scutellaire chinoise, peuvent combattre efficacement les bactéries de la maladie de Lyme, offrant des alternatives prometteuses aux antibiotiques traditionnels. »
https://japaneseknotweed.co.uk/treatment-and-removal/japanese-knotweed-identification/
https://pgibertie.com/2024/12/12/renouee-du-japon-les-racines-de-la-plante-la-plus-detestee-au-monde-contiennent-un-puissant-anti-oxydant-efficace-contre-la-maladie-de-lyme/
FoodWatch dénonce les arnaques liées aux produits de fêtes de fin d'année
RépondreSupprimerle 12 décembre 2024 - 10:35
Maison Montfort, Delpeyrat, Tipiak... Les fêtes de fin d'année approchant, l'ONG FoodWatch épingle une pelletée de marques et leurs produits particulièrement trompeurs afin de mettre en garde les consommateurs. Cerise sur le gâteau : chacun peut voter pour la "Casserole d'or 2024", soit la pire arnaque de l'année.
Paillettes et produits de fête mènent rapidement à des pratiques malhonnêtes. Dans un communiqué publié dimanche 8 décembre, FoodWatch explique que les marques gonflent les prix de leurs produits et les placent en rayon juste à côté de produits festifs, pour inciter à des "achats réflexes". Et de prendre un exemple limpide : "Placés à côté du foie gras ou du saumon, petits pots de confiture de figues ou d'oignon, de sel marin ou de citron, coûtent bien plus cher au kilo ou au litre que dans leur rayon habituel". Rien d'inhabituel, en somme, mais c'est toujours bien de le dire.
Comme le rapporte France Info, vient ensuite le problème des composants. Alors qu'en temps normal, demande oblige, les marques commencent à faire attention à la composition de leurs produits, la bride est lâchée pour Noël. Attention, par exemple au "bloc de foie gras de canard 'Gastronomique' au Sauternes de Maison Montfort", qui contient du nitrite de sodium (E250), alors que le foie gras "authentique" n'en contient pas. Par ailleurs, "on retrouve trop souvent de l'huile de palme dans les produits de fête pour remplacer le beurre dans la préparation des chocolats, feuilletés apéritifs et autres gâteaux de Noël", déplore FoodWatch.
Résultat, tout ceci donne suffisamment de matière à l'association pour organiser la "Troisième édition de la Casserole d'Or, l'élection la moins appréciée de l'industrie agroalimentaire".
https://www.francesoir.fr/lifestyle-vie-quotidienne/foodwatch-denonce-les-arnaques-liees-aux-produits-de-fetes-de-fin-d-annee
Le « vortex polaire » est sur nous : des épidémies arctiques vont se produire en décembre
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 13 DÉCEMBRE 2024 - 00:50
C'est presque cette période de l'année où se produit une division du vortex polaire, déplaçant l'air froid de l'Arctique du pôle Nord de la Terre vers le Canada et se déversant dans les 48 États contigus.
Les données de Bloomberg montrent que les mentions du « vortex polaire » dans les médias d'entreprise commencent généralement à augmenter fin décembre ou dans la première quinzaine de janvier, signalant que le compte à rebours a commencé.
- voir graph sur site -
Mercredi, le prévisionniste météorologique privé BAMWX a publié de nouveaux modèles météorologiques sur X, montrant que la confiance grandit quant à la possibilité d'une division du vortex polaire dans les 48 États contigus.
« Le décor est planté pour que des épidémies arctiques se produisent en décembre et donnent le coup d'envoi de la nouvelle année ! » BAMWX a écrit sur X.
- voir carte sur site -
BAMWX a déclaré : « Des tendances plus favorables pour des fronts froids plus forts au cours de la semaine 2. Je ne vois aucun signe d'une torche cohérente dans l'est des États-Unis. Les ensembles ne peuvent pas résoudre le modèle +TNH et +PNA pour le moment, ce qui les rend systématiquement trop chauds à la fin de la semaine 2. »
Michael Clark, météorologue en chef de BAMWX, était confiant quant à l'arrivée du vortex polaire.
Clark voit également un modèle de précipitations plus actif pour la moitié est des États-Unis.
"La persistance du PNA et du TPV (emplacement du vortex polaire troposphérique à 500 mb) est la raison pour laquelle nous pensons que les tempêtes peuvent facilement entraîner l'air arctique derrière elles", a déclaré BAMWX.
La persistance du PNA et du TPV (emplacement du vortex polaire troposphérique à 500 mb) est la raison pour laquelle nous pensons que les tempêtes peuvent facilement entraîner l'air arctique derrière elles.
Il est probable que les moyennes d'ensemble lissées ne présentent pas ces caractéristiques.
Par conséquent, les données d'IA à ce jour ont… pic.twitter.com/CvCqhXae1G
RépondreSupprimer— BAM Weather (BAMWX) (@bamwxcom) 11 décembre 2024
La moitié est des États-Unis semble se préparer à un Noël froid.
Et peut-être un Noël blanc...
"Les données des modèles d'IA GFS et ECMWF laissent entrevoir une menace de tempête plus importante vers le 22 décembre", a écrit BAMWX dans une prévision.
Les deux modèles GFS et les données du modèle d'IA de l'ECMWF laissent entrevoir une menace de tempête plus importante vers le 22 décembre.
Cette tempête est sur les cartes depuis plusieurs jours maintenant.
Il y a absolument une tempête là-bas, nous devons examiner les chances d'avoir un lien avec l'Arctique pour une tempête hivernale plus importante ? pic.twitter.com/037pXkPlgu
— BAM Weather (BAMWX) (@bamwxcom) 12 décembre 2024
Voici plus d'informations de Clark dans une vidéo intitulée "Stage set for ARCTIC OUTBREAKS to start 2025" ...
- voir clip sur site :
https://www.zerohedge.com/weather/polar-vortex-upon-us-arctic-outbreaks-round-out-december
La consommation de gaz et les prix de l'électricité en Allemagne augmentent en raison de la faible production éolienne
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 13 DÉCEMBRE 2024 - 09:30
Par Tsvetana Paraskova de OilPrice.com
Les prix intrajournaliers de l'électricité en Allemagne ont bondi et la production d'électricité au gaz naturel a atteint cette semaine son plus haut niveau depuis deux ans, alors que la faible vitesse du vent continue de déprimer la production d'énergie éolienne.
La consommation de gaz naturel pour la production d'électricité a augmenté mercredi pour atteindre son plus haut niveau depuis décembre 2022, car un déficit d'approvisionnement en électricité plus important a dû être comblé par des combustibles fossiles dans un contexte de très faible production d'énergie éolienne.
Les prix intrajournaliers de l'électricité ont bondi pendant les heures de pointe du mercredi, selon les données d'EEX citées par Bloomberg.
La marge énergétique de l'Allemagne, l'offre d'électricité disponible pour répondre à la demande, a chuté cette semaine à son plus bas niveau depuis le début de l'hiver, car la faible vitesse du vent et le temps plus froid mettent à rude épreuve le système électrique.
Cette semaine, la vitesse du vent en Allemagne a de nouveau baissé, tandis que des températures plus froides que d’habitude se sont installées sur une grande partie du nord-ouest de l’Europe.
Depuis début novembre, la « Dunkelflaute », qui signifie en allemand « accalmie du vent sombre », a souvent conduit les parcs éoliens de la plus grande économie européenne à ne produire qu’une fraction de leur capacité nominale, ce qui a conduit à des prix de l’électricité à un jour pour les heures de pointe à des niveaux jamais vus depuis la crise énergétique de pointe de 2022.
Les prix de l’électricité à court terme ont augmenté, car l’offre a fluctué tandis que la demande a augmenté avec les températures plus froides. L’Allemagne a dû importer davantage d’électricité de France et s’appuyer davantage sur les combustibles fossiles pour la production d’électricité pendant les périodes de faible vitesse du vent.
RépondreSupprimerLa vitesse du vent ne s’intensifiera que le week-end prochain, selon la modélisation de Bloomberg.
Cela signifie que l’Allemagne doit faire face à des prix horaires de l’électricité plus élevés et à une demande de gaz accrue jusqu’à vendredi au moins.
La production d'électricité à partir du gaz en Allemagne a augmenté de novembre à octobre, soit la plus forte hausse mensuelle jamais enregistrée, selon les données du groupe de réflexion sur l'énergie Ember citées par Reuters la semaine dernière.
Cela est principalement dû à la baisse de 25 % de la production d'énergie éolienne en octobre et novembre par rapport aux deux mêmes mois de l'année dernière.
https://www.zerohedge.com/energy/germanys-gas-use-and-power-prices-jump-amid-weak-wind-generation
Les troubles politiques en France pourraient aggraver les problèmes énergétiques de l'Europe
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 12 DÉCEMBRE 2024 - 11:00
Rédigé par Tsvetana Paraskova via OilPrice.com,
L'instabilité politique en France, premier exportateur européen d'électricité, suscite des inquiétudes quant à la réduction des exportations d'électricité et aggrave la crise énergétique.
La hausse des prix du gaz naturel et l'épuisement des réserves menacent la compétitivité de l'industrie européenne cet hiver, ce qui pourrait entraîner des réductions de production.
Les difficultés énergétiques de l'Europe soulignent la vulnérabilité du continent sur le marché mondial de l'énergie, en particulier avec la fin imminente des approvisionnements en gaz russe.
Les prix du gaz naturel et de l'électricité en Europe remontent à nouveau alors que la saison de chauffage commence, ce qui renforce les inquiétudes quant à l'émergence d'une nouvelle crise énergétique.
Les troubles politiques dans le premier exportateur européen d'électricité et la deuxième économie, la France, n'aident certainement pas.
Une crise gouvernementale prolongée après l’éviction du Premier ministre Michel Barnier la semaine dernière pourrait entraîner une réduction des exportations d’électricité de la France vers ses marchés interconnectés, notamment l’Allemagne et l’Italie, estime Gavin Maguire, analyste de marché chez Reuters.
Il s’agirait d’un autre choc énergétique pour les marchés européens, qui ont été aux prises avec la hausse des prix de l’électricité et du gaz naturel ces dernières semaines.
L’augmentation du déficit budgétaire et la possibilité d’un budget nul pour 2025 pourraient amener les responsables politiques français à chercher à freiner les exportations élevées d’électricité française, selon Maguire de Reuters.
La France étant le premier exportateur européen d’électricité, cela aurait des répercussions sur les marchés de l’électricité et les prix dans toute l’Europe.
Avec la chute du gouvernement, toute amélioration des finances publiques françaises sera désormais reportée jusqu’à la formation d’un nouveau gouvernement, ont déclaré les analystes d’ING la semaine dernière.
RépondreSupprimerEn tant qu’entreprise publique, le géant français de l’électricité EDF a contribué à l’accumulation de la dette publique du pays.
Mais le parc de réacteurs nucléaires d’EDF, qui fournit environ 70 % de l’électricité française, et le rebond de la production hydroélectrique ont permis à la France d’augmenter ses exportations d’électricité cette année.
« Portée par une forte production nucléaire et hydroélectrique, la France a exporté des quantités record d’électricité vers les pays voisins cette année, malgré les limitations des interconnexions orientales qui ont limité les exportations au printemps », a déclaré l’entreprise énergétique Engie lors de son briefing semestriel sur le marché européen de l’énergie en septembre.
La demande d’électricité en France reste inférieure aux niveaux de 2020, en partie en raison d’une perte de production industrielle et de compétitivité et des efforts d’économie d’énergie des consommateurs, a déclaré Engie, notant que la demande a rebondi plus rapidement en Allemagne, au Royaume-Uni, en Belgique et aux Pays-Bas.
Les exportations nettes d’électricité de la France devraient atteindre un niveau record en 2024, selon les données de l’opérateur de réseau français RTE. Cela s’explique par le fait que la maintenance de nombreux réacteurs nucléaires est terminée et que la production hydroélectrique a rebondi.
Il n’y a pas de menace imminente pour les énormes exportations d’électricité de la France. Pourtant, l’instabilité politique du plus grand exportateur net d’électricité d’Europe rend les marchés européens de l’électricité encore plus nerveux.
L’industrie européenne est sur le point de perdre encore plus de compétitivité, car les prix élevés de l’énergie, la hausse des prix du gaz naturel et les inquiétudes concernant l’approvisionnement en gaz cet hiver augmentent l’incertitude quant à l’utilisation des usines dans un contexte de hausse des coûts.
RépondreSupprimerLes prix de référence du gaz naturel européen oscillent autour de leur plus haut niveau depuis un an atteint le mois dernier, les vagues de froid de novembre ayant anéanti les espoirs et les prières d’un troisième hiver relativement doux d’affilée.
Ces dernières semaines, l’Europe a épuisé ses stocks de gaz naturel au rythme le plus rapide depuis 2016, la demande ayant augmenté avec les températures plus froides.
Cela s’ajoute à la fin imminente de l’approvisionnement en gaz par gazoduc russe vers l’Europe via l’Ukraine après le 31 décembre et à la concurrence croissante pour l’approvisionnement en GNL spot avec l’Asie pour la demande hivernale.
Cet hiver pourrait infliger davantage de souffrances aux industries qui dépendent du gaz naturel et forcer des réductions de production, ont déclaré des analystes et des dirigeants du secteur à Reuters.
Les coûts de l’énergie, bien plus élevés en Europe, désavantagent ses industries par rapport aux États-Unis, à l’Asie ou au Moyen-Orient.
Par exemple, le prix actuel du hub néerlandais est presque cinq fois plus élevé que le prix de référence du gaz naturel américain au Henry Hub.
Les prix spot de l’électricité les plus élevés en Europe depuis février 2023 menacent la production industrielle des principales économies et pèsent lourdement sur le sentiment des entreprises.
Dans un contexte de hausse des prix de l’énergie et d’épuisement rapide des stocks de gaz naturel, les marchés européens de l’énergie sont plus inquiets que d’habitude, car les gouvernements des deux plus grandes économies, l’Allemagne et la France, se sont désormais effondrés.
https://www.zerohedge.com/energy/political-turmoil-france-could-worsen-europes-energy-problems
L'énergie éolienne a atteint ses limites en Europe
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 12 DÉCEMBRE 2024 - 10:15
L'Europe commence à atteindre ses limites en matière d'énergie éolienne.
Des pays comme le Danemark et la Suède, autrefois leaders dans l'expansion de la capacité éolienne offshore, se heurtent désormais à des obstacles, car les prix de l'électricité et les incitations sont trop bas pour soutenir de nouveaux projets, selon Bloomberg.
Une récente vente aux enchères danoise pour l'éolien offshore n'a donné lieu à aucune offre, ce qui met en évidence le problème. Ce ralentissement du développement éolien risque de prolonger la dépendance aux combustibles fossiles, car la hausse des coûts remet en cause le succès antérieur du secteur dans la baisse des prix.
Le Danemark, qui a produit 58 % de son électricité à partir de l'énergie éolienne l'année dernière, un record mondial, n'a vu aucune offre lors de son plus grand appel d'offres éolien offshore jamais réalisé. Des entreprises comme l'entreprise publique Ørsted A/S ont cité des conditions d'investissement peu attrayantes, avec des prix de l'électricité bas dus à une offre excédentaire d'énergie éolienne.
Selon le rapport Bloomberg, la Suède est confrontée à des défis similaires, car des années d’expansion rapide de l’éolien ont fait baisser les rendements, décourageant ainsi de nouveaux projets. Les retards et les annulations de projets industriels verts dans le nord assombrissent encore davantage la demande future.
L’objectif du Royaume-Uni d’éliminer progressivement les combustibles fossiles d’ici 2030 nécessitera un changement majeur de la consommation d’électricité pour s’aligner sur l’offre fluctuante d’énergie renouvelable, affirme l’opérateur du réseau. Actuellement, des quantités record d’énergie éolienne sont gaspillées en raison des limitations du réseau.
Contrairement aux centrales au charbon et au gaz, les parcs éoliens fonctionnent lorsque les conditions le permettent, ce qui entraîne souvent une offre excédentaire et même des prix de l’électricité négatifs.
Si le solaire est confronté à des problèmes similaires, la baisse des coûts des panneaux a atténué l’impact. Le secteur éolien, cependant, est aux prises avec la hausse des coûts des matériaux comme l’acier et la main-d’œuvre. Encourager les consommateurs à ajuster la demande, en particulier avec l’électrification des transports, du chauffage et de l’industrie, pourrait stabiliser les prix et stimuler les investissements dans les énergies propres.
Brian Vad Mathiesen, professeur à l’université d’Aalborg au Danemark, a commenté : « Nous ne pouvons pas avoir un système électrique basé uniquement sur l’éolien et le solaire. Il existe d’importantes limites techniques et économiques à ce que nous pouvons intégrer au réseau.
https://www.zerohedge.com/markets/wind-power-has-hit-its-limits-europe
Exxon prévoit de grandes centrales au gaz naturel pour alimenter en électricité les centres de données
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 12 DÉCEMBRE 2024 - 01:40
Ce ne sont pas seulement les projets nucléaires qui se lancent dans la tendance de « vendre de l'électricité aux centres de données » : maintenant, le géant pétrolier Exxon rejoint la tendance.
En fait, Exxon prévoit une grande centrale alimentée au gaz naturel pour alimenter directement en électricité les centres de données, intégrant une technologie permettant de capturer plus de 90 % de ses émissions de carbone, selon le New York Times.
Il s'agirait de la première centrale électrique d'Exxon non dédiée à ses propres opérations. Les systèmes de capture du carbone restent rares et coûteux, malgré les subventions fédérales, ce qui limite leur adoption à plus grande échelle.
Le PDG Darren Woods a déclaré cette semaine : « Il existe très peu d’opportunités à court terme pour alimenter ces centres de données et le faire d’une manière qui minimise, voire élimine complètement, les émissions. »
Dan Ammann, directeur général d’Exxon, a ajouté : « Nous sommes motivés par la demande du marché. C’est une énergie à faible émission de carbone, disponible dans un délai accéléré et qui évite tous les problèmes d’interconnexion au réseau. »
Les géants de la technologie sont de plus en plus disposés à payer plus cher pour une énergie propre et fiable, y compris l’énergie nucléaire. Nous avons passé la majeure partie de l’année 2024 à documenter de nombreux géants de la technologie comme Google, Meta et Microsoft, qui ont tous signé des accords avec des producteurs d’énergie nucléaire pour sécuriser l’alimentation des centres de données à l’avenir.
Le New York Times ajoute qu’Exxon, après avoir sécurisé des terrains et engagé des clients potentiels, prévoit de lancer sa centrale au gaz dans les cinq ans, soit plus rapidement que la construction de nouveaux réacteurs nucléaires.
De manière unique, la centrale fonctionnerait hors réseau, évitant ainsi de longs délais de connexion au réseau. Cette démarche montre comment la croissance des centres de données et de l’IA transforme le secteur de l’énergie, poussant Exxon dans une activité qu’elle évitait autrefois.
RépondreSupprimerChevron pourrait également être le prochain. Son PDG Mike Wirth prédit que les projets d’énergie hors réseau deviendront plus courants, et Exxon explore des projets similaires, visant à lancer une centrale au gaz avec une technologie de capture du carbone.
Exxon prévoit de dépenser 30 milliards de dollars sur six ans pour la réduction des émissions et les énergies alternatives tout en augmentant la production de pétrole et de gaz. L'entreprise considère la demande croissante d'électricité des centres de données comme une opportunité d'entrer dans le secteur de l'électricité, en tirant parti de son expertise en matière de gestion du carbone et de réseaux de pipelines.
https://www.zerohedge.com/markets/exxon-plans-large-nat-gas-plants-supply-electricity-data-centers
Depuis des années, le PCC envoie des millions de dollars aux universités et aux ONG américaines pour promouvoir l’énergie verte
RépondreSupprimerPar Jo Nova
December 12th, 2024
Si vous avez le sentiment que nos universités travaillent pour l’ennemi, vous avez peut-être raison
La Chine est un pays en développement, trop pauvre pour réduire ses émissions de carbone par elle-même, mais elle parvient d’une manière ou d’une autre à trouver l’argent nécessaire pour aider la nation la plus riche du monde à réduire sa consommation de combustibles fossiles.
Le Washington Free Beacon a découvert qu’une organisation à but non lucratif pour le climat appelée Energy Foundation China était dirigée par d’anciens responsables du Parti communiste chinois. Les formulaires fiscaux montrent qu’ils envoyaient de l’argent à des universités américaines et à d’autres groupes de gauche pour les aider à rechercher et à promouvoir des choses comme « un avenir énergétique propre » et des « villes à faible émission de carbone ». L’argent finit par atterrir dans des endroits comme Harvard et UCLA, ainsi que dans des organisations à but non lucratif, comme le Conseil international pour les transports propres et le Conseil de défense des ressources naturelles.
La Chine, semble-t-il, travaille dur pour réduire les émissions de carbone dans les pays d’autres peuples
D’anciens responsables du PCC ont versé des millions de dollars à des universités et à des organisations à but non lucratif aux États-Unis pour promouvoir l’énergie verte, comme le montrent les formulaires fiscaux
Thomas Catenacci, Washington Free Post
Energy Foundation China, qui opère principalement depuis Pékin, promeut des politiques énergétiques conçues pour affaiblir les États-Unis, avertissent les organismes de surveillance
« Les liens directs de l’Energy Foundation avec le PCC sont incroyablement alarmants, car ils ont dépensé des millions de dollars pour promouvoir des initiatives climatiques radicales qui favorisent la Chine et nuisent à la production énergétique américaine », a déclaré Caitlin Sutherland, directrice exécutive de l’organisme de surveillance de l’éthique Americans for Public Trust, au Free Beacon.
« Leur argent noir a été versé à des groupes qui veulent interdire les cuisinières à gaz et éliminer progressivement les combustibles fossiles », a-t-elle poursuivi. « L’année prochaine, le Congrès devrait poursuivre son enquête pour déterminer dans quelle mesure la Chine mine la domination énergétique américaine par le biais de ce groupe. »
Il ne peut pas s’agir d’une stratégie cynique visant à tromper l’Occident mou et égocentrique et à acquérir un pouvoir industriel. Nooo ... Si seulement nous apprenions à nos enfants à penser par eux-mêmes afin qu’ils ne se laissent pas prendre à ces histoires ridicules
RépondreSupprimer« L’implication de cette fondation avec d’anciens responsables du gouvernement du Parti communiste chinois et son engagement actif auprès d’institutions universitaires américaines et d’autres ONG sont extrêmement préoccupants en ce qui concerne notre sécurité nationale, notre politique étrangère et notre politique énergétique, et la manière dont elles peuvent être compromises ou sapées », a déclaré l’ancien ambassadeur des États-Unis Joseph Cella, cofondateur du Michigan-China Economic and Security Review Group.
« Cela semble être une incursion quasi infranationale et une opération d’influence du PCC, car ils utilisent notre système ouvert et notre législation fiscale existante comme levier pour obtenir un avantage économique, politique ou dans le domaine des débats sociétaux et de l’opinion publique », a-t-il poursuivi.
La toile est emmêlée : au départ, ce groupe était une opération financée par les États-Unis
En 1991, la Fondation pour l’énergie a été créée en collaboration avec Pew Charitable Trusts, la famille Rockefeller et la Fondation MacArthur, donc une organisation à but non lucratif basée aux États-Unis. En 1999, la Fondation Packard a contribué à la création d’une filiale appelée Energy Foundation China, avec un bureau à Pékin. Mais il semble que dans les années qui ont suivi, la filiale chinoise ait discrètement pris le contrôle, car après la scission officielle de 2019, elle a conservé le numéro d’identification fiscale d’origine et l’adresse de San Francisco, ainsi que le nom officiel « Energy Foundation », mais la plupart du personnel est chinois et les principales opérations et activités de subventionnement se déroulent en Chine.
Après la scission, l’autre moitié de l’organisation est devenue la « United States Energy Foundation », qui génère un chiffre d’affaires d’environ 180 millions de dollars. En tant qu’organisations « de passage », elles peuvent recevoir des dons anonymes et les envoyer à des groupes politiquement actifs. Les lignes deviennent très floues quant à savoir qui influence quoi…
La gauche militante a qualifié Trump de dictateur.
RépondreSupprimerImaginez ce qu’ils ressentiront lorsqu’ils découvriront qu’ils sont les outils d’un véritable dictateur.
Merci à Marc Morano de Climate Depot et Willie Soon
https://joannenova.com.au/2024/12/for-years-the-ccp-has-been-sending-millions-to-us-universities-and-ngos-to-promote-green-energy/
(...) La Chine est un pays en développement, trop pauvre pour réduire ses émissions de carbone par elle-même, mais elle parvient d’une manière ou d’une autre à trouver l’argent nécessaire pour aider la nation la plus riche du monde à réduire sa consommation de combustibles fossiles. (...)
Supprimer' réduire sa consommation de combustibles fossiles', pourquoi ? La Chine (plus instruite qu'aucun autre pays) a compris le sens du mot 'climat' (qui vient uniquement des combustions magmatiques) et a donc choisi de n'en ternir compte sachant que TOUS les gaz émis par qui que ce soit se recyclent immédiatement dans l'atmosphère.
Après, il s'agit de 'pratiques commerciales' employées de partout dans le monde.
L’effondrement de l’arnaque de l’énergie verte à 5 000 milliards de dollars
RépondreSupprimerPar Doug Casey
International Man
13 décembre 2024
International Man : Les gouvernements du monde entier ont dépensé plus de 5 000 milliards de dollars au cours des deux dernières décennies pour subventionner l’éolien, le solaire et d’autres énergies dites renouvelables.
Cependant, même avec ce soutien financier astronomique, le monde dépend toujours des hydrocarbures pour 84 % de ses besoins énergétiques, soit une baisse de seulement 2 % depuis que les gouvernements ont commencé à dépenser massivement dans les énergies renouvelables il y a 20 ans.
Que se passe-t-il vraiment ici ?
Doug Casey : Il s’agit essentiellement du triomphe de la pseudoscience et de la psychologie aberrante sur la physique et la pensée critique.
Les Verts, qui ont fait avancer tout cela, disent qu’ils aiment la Terre et veulent la « sauver ». Mais en fait, ils détestent surtout les gens. Il ne s’agit pas seulement de forcer l’adoption de sources d’énergie non rentables. Beaucoup de ces mêmes personnes ont déclaré qu’elles souhaitaient réduire la population mondiale de 50 à 90 %. L’idée n’est pas d’augmenter le niveau de vie des gens, mais simplement de réduire leur consommation et peut-être leur nombre.
C’est une conséquence de la mainmise des gauchistes sur les systèmes scolaires du monde entier depuis plusieurs générations. Les professeurs, qui sont en position d’autorité, endoctrinent les enfants. Et les enfants discutent entre eux dans la bulle universitaire et ont le sentiment que ce qu’on leur dit est un fait, et non une opinion. Leur sentiment est renforcé par ce qu’ils entendent dans les médias et le gouvernement.
L’éolien et le solaire sont parfaits pour des utilisations sélectionnées, des situations particulières et des environnements isolés. Mais ils n’ont aucun sens en tant que forme de production d’énergie de masse pour une société industrielle. Non seulement ils sont extrêmement coûteux à construire et à exploiter, mais l’énergie qu’ils produisent est intermittente et peu fiable. Ils nécessitent des investissements énormes et peu rentables dans les technologies de batteries ou l’entretien de centrales électriques à hydrocarbures conventionnelles pour les périodes où le vent ne souffle pas ou où le soleil ne brille pas. FrançaisCe qui est le cas la plupart du temps…
International Man : Même avec un soutien gouvernemental considérable, les véhicules électriques (VE) peuvent à peine rivaliser avec les véhicules à essence.
Selon J.D. Power, une société d’études de marché, le VE moyen coûte toujours au moins 21 % de plus que le véhicule à essence moyen, même avec le soutien gouvernemental. Le président Trump a promis qu’il mettrait fin aux subventions pour les VE.
Les VE peuvent-ils concurrencer les véhicules à essence sur un pied d’égalité ?
Doug Casey : Tout d’abord, permettez-moi de dire que le gouvernement ne devrait rien subventionner. Ils créent des distorsions sur le marché, ce qui entraîne une mauvaise allocation du capital. Le résultat est que quelques types politiquement protégés en bénéficient tandis que la richesse globale de la société diminue.
Je n’ai rien contre les VE. Ils peuvent être beaucoup plus rapides et se manier beaucoup mieux que les véhicules à essence. Pour certaines utilisations, comme dans les villes, où les VE peuvent être facilement rechargés, ils ont certainement leur place dans l’écosystème automobile. Et au fil du temps, les batteries des VE s’amélioreront, leur permettant de réduire leurs coûts, de meilleures performances, un poids plus faible et une plus grande autonomie.
RépondreSupprimerMais les moteurs à combustion interne deviennent également de plus en plus efficaces. Il appartient aux producteurs et aux utilisateurs, et non aux bureaucrates, de décider de la technologie la plus économique et la plus satisfaisante. C’est une question de physique, et non de politique, à déterminer.
Subventionner des véhicules non rentables ne fait que gaspiller du capital, abaisser le niveau de vie général et ralentir le progrès. Il existe de graves problèmes que les partisans des véhicules électriques ne veulent pas prendre en compte, comme la quantité d’électricité supplémentaire nécessaire pour faire fonctionner ces véhicules. Cela nécessitera davantage de centrales électriques, presque toutes alimentées au charbon ou au gaz. Et un réseau considérablement amélioré pour distribuer cette énergie efficacement.
L’adoption prématurée et forcée des véhicules électriques entraînera probablement des faillites dans toute l’industrie automobile. Ce qui ralentira le progrès, éliminera de nombreux investisseurs et mettra au chômage de nombreux travailleurs. Voici une pensée radicale : le gouvernement ne devrait rien avoir à faire avec les voitures.
International Man : Certains ont soutenu que l’hystérie climatique était un stratagème mondialiste pour taxer et contrôler les gens ordinaires tout en enrichissant les initiés corrompus.
Que pensez-vous ?
Doug Casey : Nous avons connu deux énormes hystéries de masse au cours de la dernière décennie.
L'une concerne la santé, avec une nouvelle maladie et la création d'un vaccin censé la combattre. La deuxième est l'hystérie climatique, qui promet d'être encore plus perturbatrice.
Des générations d'étudiants ont été endoctrinés à croire que la Terre mère est ravagée par sa population humaine maléfique. En réalité, la Terre va très bien se porter. Les vrais dégâts sont causés par le genre de personnes qui veulent contrôler les autres. La réponse à la question de savoir ce qu'il faut faire est : rien. Les gens qui s'intéressent à tout devraient s'occuper de leurs propres affaires.
RépondreSupprimerLes Verts, eux, aiment s’impliquer dans de grandes causes, avec beaucoup de slogans et de mèmes, mais très peu de connaissances scientifiques ou techniques. Cependant, « s’impliquer » génère des émotions qui donnent un sens à leur vie généralement improductive. Dépourvus de religion traditionnelle, ils aspirent à quelque chose de plus grand qu’eux-mêmes. Il n’y a pas si longtemps, la cause du jour était la sauvegarde des baleines. Même si, à quelques exceptions près, les baleines n’ont pas été chassées depuis plus d’un siècle. Ou la sauvegarde des ours polaires, même leur population augmente depuis des décennies. Je me demande ce qui est arrivé au dard-escargot ?
Si ce n’est pas une chose, c’est autre chose. C’est toujours quelque chose pour mettre la population dans un état de peur et d’hystérie. L’élite qui contrôle la société les utilise pour maintenir la plèbe dans le droit chemin.
International Man : Avec le retour de Trump à la présidence, quelles sont les implications pour des choses comme les crédits carbone et la comptabilité carbone ?
Sont-ils en route vers les poubelles de l’histoire ?
Doug Casey : Trump est un conservateur culturel. Il ne veut pas voir de changement radical. C’est normal, car un changement radical est presque toujours dangereux. Il n’améliore que rarement l’état du monde.
Le problème avec Trump, c’est qu’il n’a aucune compréhension de l’économie ou de la science. De plus, même s’il est un conservateur culturel, il n’a aucune conviction philosophique fondamentale. Il fonctionne à l’instinct. Il est donc difficile de prédire ce qu’il va faire ou comment il réagira aux nouveaux développements.
Mais en général, nous pouvons nous attendre à ce qu’il mette moins l’accent sur le programme vert simplement parce qu’il n’aime pas ou ne fait pas confiance aux politiciens verts et aux guerriers verts. Ce qui est sage de sa part.
RépondreSupprimerLe matin en Amérique pourrait donc durer au moins une partie de son mandat de quatre ans.
Les crédits carbone et la comptabilité carbone sont destinés à la poubelle de l’histoire. Ils n’ont aucun sens. C’est vraiment une arnaque.
Le carbone, la base de toute vie sur la planète, est traité comme l’élément le plus mortel du tableau périodique. Les écologistes pensent que le gaz carbonique est plus toxique que le gaz moutarde ou le Zyklon-B. La guerre contre le gaz carbonique est idiote. C’est de la nourriture pour les plantes. Les plantes le respirent et ne peuvent pas vivre sans lui. Si vous voulez plus de plantes vertes, vous avez besoin de plus de gaz carbonique.
Les plantes ne peuvent pas pousser avec moins de 130 parties par million de gaz carbonique. Et même maintenant, il n’en reste que 400 environ. Dans le passé, la Terre avait plusieurs fois plus de gaz carbonique dans l’atmosphère, et toutes les formes de vie prospéraient. Les scientifiques sont bien conscients de ce fait, mais n’osent pas en parler de peur de perdre leur poste ou leur financement. C’est aussi dangereux que de nier l’existence des sorcières pendant les hystéries du Moyen-Âge. Une forme de science connue sous le nom de « La Science » est devenue presque aussi corrompue que la politique.
Les hystériques politiques ont le contrôle du pipeline d’information. Il faudra peut-être un certain temps pour que cela change. On ne peut cependant pas lutter éternellement contre la réalité. Je suppose que dans une décennie ou deux, les crédits carbone et la comptabilité carbone seront considérés comme une honte, aussi ridicules et contreproductifs que le recours à des saignées massives pour guérir de n’importe quel mal.
International Man : Quelles sont les implications les plus importantes de l’effondrement de l’arnaque de l’énergie verte en termes d’investissement ?
RépondreSupprimerQue pensez-vous des opportunités d’investissement dans les hydrocarbures et l’énergie nucléaire ?
Doug Casey : À mesure que les technologies éoliennes et solaires seront perfectionnées, elles seront parfaites pour des situations particulières dans des endroits isolés. Mais elles n’auront jamais de sens pour la production d’énergie de masse.
La mauvaise nouvelle est que d’énormes quantités de capitaux sont gaspillées et mal réparties dans ces domaines. Elles entraînent une baisse du niveau de vie, le gaspillage de capitaux limite le progrès et l’invention et la production de technologies viables.
Du point de vue d’un spéculateur, la bonne nouvelle est que nous devrions gagner beaucoup d’argent en restant à long terme sur les hydrocarbures (pétrole, gaz naturel et charbon). Et doubler nos investissements dans l’uranium et l’énergie nucléaire. La réalité l’emporte toujours. Elles sont très bon marché puisque le public est toujours pris dans l’hystérie verte et la pseudoscience Woke.
Reprinted with permission from International Man.
https://www.lewrockwell.com/2024/12/doug-casey/collapse-of-the-5-trillion-green-energy-scam/
A l'époque (dans notre jeunesse), alors que les machines autour de nous se comptait sur les doigts d'une main, il n'y avait que très peu d'esclaves presque gratuits pour laver le linge ou pour remplacer les charrettes et vélos. Le pain, la viande, le journal et l'essence coûtaient entre 20 et 50 fois moins cher qu'aujourd'hui. Mais la robotique est apparue. Des travaux pénibles disparaissaient au profit des machines qui travaillent 24/24 h presque sans être payées.
SupprimerDonc: il ne pouvait y avoir que bénéfices et satisfactions de ce que nous apporte le progrès réalisé par le Peuple. Mais la dictature s'est renforcée et a privé la population du plaisir de s'être éduquée toute seule et d'en saisir les fruits. La national socialiste (parti du juif adolph hitler) était de retour avec sa vert-marqu !
Nous nous découvrons donc dans un monde en décomposition face au Plan Dépopulation21 et aux escroqueries 'Global Warming/11 Septembre/Cocovide19' toujours en service.
Apple développe une puce de serveur d'IA nommée « Baltra »
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 11 DÉCEMBRE 2024 - 16:45
Nivida est sur le point de faire face à la concurrence après qu'un nouveau rapport de The Information indique qu'Apple développe sa première puce de serveur conçue pour l'intelligence artificielle.
Baptisée en interne « Baltra », la puce de serveur d'IA d'Apple devrait être prête pour la production en série d'ici 2026. Le développement de Baltra implique une collaboration avec Broadcom pour la technologie de mise en réseau, un composant essentiel pour le traitement de l'IA.
Contrairement aux concurrents du PDG Tim Cook, Apple a choisi « de développer sa propre puce de serveur, qui est destinée à un usage interne plutôt qu'à un produit de consommation, ce qui souligne également sa préférence de longue date à ne pas acheter de puces à Nvidia, qui domine le marché des puces d'IA », selon le rapport, citant trois personnes ayant une connaissance directe du projet.
The Information a ajouté plus de couleur :
La semaine dernière, Apple a déclaré qu'elle testait une puce conçue par Amazon pour entraîner ses grands modèles de langage. Apple utilisera probablement la nouvelle puce d'IA qu'elle développe pour l'inférence, où la puce traite de nouvelles données (comme un utilisateur décrivant une image possible) et les applique aux modèles pour générer une sortie, comme la production de l'image elle-même.
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Pendant ce temps, une grande partie de la puce d'IA comprend de nombreux doublons du moteur neuronal d'Apple, qui accélère les tâches d'IA, a déclaré l'une des personnes interrogées. Apple a initialement conçu l'ANE il y a des années pour une puce d'inférence destinée à sa voiture autonome aujourd'hui disparue. La conception a ensuite fait son chemin dans les iPhones lorsque les fonctions d'apprentissage automatique pour la photographie et la reconnaissance vocale ont pris leur essor, selon plusieurs personnes familières avec sa conception.
La démarche d'Apple pour entrer dans la course à l'IA a commencé l'automne dernier avec le déploiement de certaines de ses premières fonctionnalités d'IA générative, connues sous le nom d'Apple Intelligence, qui a depuis reçu une réponse décevante de la part des consommateurs.
Selon le site Web d'Apple, la nouvelle fonctionnalité d'IA peut « comprendre et créer du langage et des images ; hiérarchiser et résumer les notifications, le courrier et les messages ; et puiser dans les informations personnelles de votre appareil pour simplifier et accélérer les tâches quotidiennes ».
The Information a souligné : « Mais la conception d'une puce d'IA n'est pas une solution infaillible : à l'exception de Google, bon nombre de ces entreprises dépendent encore fortement des puces Nvidia pour entraîner leurs modèles en raison des exigences informatiques plus élevées de ce processus ».
RépondreSupprimerSur les marchés, les actions d'Apple ont augmenté d'un demi-point de pourcentage peu après l'ouverture de la séance de bourse, tandis que les actions de Broadcom ont augmenté de 6 %. Pendant ce temps, les actions de Nvidia n'ont pas été perturbées par le rapport, en hausse de 2 %.
Voici ce que les utilisateurs de X ont dit à propos du rapport...
https://www.zerohedge.com/technology/apple-reportedly-developing-ai-server-chip-named-baltra
Le saut quantique de Google : la puce Willow repousse les limites de la puissance de calcul
RépondreSupprimer11/12/2024
Kevin Hughes
Willow peut résoudre des problèmes en quelques minutes qui prendraient 10 septillions (Un septillion est l'entier naturel qui vaut 10_42 (1 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000) ou 1 000 0007, soit mille sextilliards.) d'années aux superordinateurs classiques, démontrant ainsi le potentiel de l'informatique quantique à surpasser les systèmes classiques.
Willow permet une correction d'erreur « en dessous du seuil », inversant la tendance à l'augmentation des erreurs avec davantage de qubits et ouvrant la voie à des systèmes quantiques évolutifs.
En améliorant les méthodes d'étalonnage, d'apprentissage automatique et de fabrication, Willow a augmenté le temps de cohérence des qubits et réduit les taux d'erreur d'un facteur deux.
Wilow a surpassé les ordinateurs classiques sur le test d'échantillonnage aléatoire des circuits, comme le détaille une publication Nature de l'équipe d'IA quantique de Google.
Bien que Willow représente un progrès significatif, les ordinateurs quantiques entièrement fonctionnels et à grande échelle sont encore loin, et de nouvelles réductions du taux d'erreur sont nécessaires pour la viabilité commerciale.
Google a dévoilé sa dernière puce quantique, baptisée « Willow », une avancée majeure qui pourrait redéfinir l’avenir de l’informatique. Ce processeur de pointe représente un bond en avant monumental dans le domaine de l’informatique quantique, en réalisant des prouesses qui étaient auparavant considérées comme insurmontables dans des décennies.
Willow, un processeur quantique de 105 qubits, a démontré sa capacité à résoudre en seulement cinq minutes un problème qui prendrait aux supercalculateurs les plus rapides du monde un temps incroyable de 10 septilliards d’années. Cette performance époustouflante souligne l’immense potentiel de l’informatique quantique, qui exploite les principes de la mécanique quantique pour effectuer des calculs bien au-delà des capacités des ordinateurs classiques. (Article connexe : La Chine pourrait remporter la course à l’informatique quantique avec un processeur battant des records)
L’une des réalisations les plus importantes de Willow est sa capacité à réduire les erreurs de manière exponentielle à mesure que le nombre de qubits augmente. Cette avancée, appelée « sous le seuil », a été proposée pour la première fois par l'informaticien Peter Shor en 1995 et a constitué un obstacle majeur au développement d'ordinateurs quantiques pratiques. En franchissant cette étape, Google a effectivement inversé la tendance à l'augmentation des erreurs avec davantage de qubits, ouvrant la voie à des systèmes quantiques évolutifs et fiables.
RépondreSupprimerLa technologie derrière Willow repose sur des qubits logiques, qui sont codés à l'aide d'un réseau de qubits physiques. Cette approche garantit que même si des qubits individuels échouent, le système peut continuer à fonctionner car les données sont réparties sur le qubit logique. Les chercheurs de Google y sont parvenus en améliorant les protocoles d'étalonnage, en améliorant les techniques d'apprentissage automatique pour détecter les erreurs et en affinant les méthodes de fabrication. Ces avancées ont non seulement augmenté le temps de cohérence des qubits, crucial pour le traitement parallèle, mais ont également réduit les taux d'erreur d'un facteur deux.
Les implications des capacités de correction d'erreur de Willow sont profondes. Les ordinateurs quantiques ont été confrontés à des taux d'erreur élevés, un qubit sur 1 000 tombant en panne sans correction appropriée. En revanche, les ordinateurs classiques présentent un taux d'erreur de seulement un sur un milliard de milliards de bits. La capacité de Willow à réduire les erreurs de manière exponentielle à mesure qu'il évolue change la donne, en s'attaquant à l'un des obstacles les plus importants à la construction d'ordinateurs quantiques à grande échelle.
"Ce que nous avons réussi à faire dans le domaine de la correction d'erreurs quantiques est une étape vraiment importante - pour la communauté scientifique et pour l'avenir de l'informatique quantique - qui consiste à montrer que nous pouvons créer un système qui fonctionne en dessous du seuil de correction d'erreurs quantiques", a déclaré Julian Kelly, directeur du matériel quantique de Google Quantum AI, dans une interview avec Live Science.
La réussite de Google est une étape scientifique majeure
RépondreSupprimerLa réussite de Google n'est pas seulement un triomphe technique, mais une étape scientifique majeure. L'équipe d'IA quantique de l'entreprise dirigée par Hartmut Neven a publié ses conclusions dans la revue Nature, détaillant comment Willow a surpassé les ordinateurs classiques sur le test d'échantillonnage aléatoire de circuits (RCS). Ce test, largement utilisé pour évaluer les processeurs quantiques, confirme que Willow est capable d'effectuer des tâches que les systèmes classiques ne peuvent pas effectuer.
Bien que les performances de Willow dans les tests de performance soient impressionnantes, l'objectif ultime est de développer des ordinateurs quantiques capables de résoudre des problèmes du monde réel. Google envisage des applications allant de la découverte de médicaments et de la conception de batteries à la fusion nucléaire et à l'optimisation de la logistique. Ces tâches, actuellement hors de portée des ordinateurs classiques, pourraient être révolutionnées par des processeurs quantiques capables de gérer des simulations et des calculs complexes.
Cependant, le chemin vers l'informatique quantique pratique est loin d'être terminé. Willow est encore un appareil expérimental et les experts préviennent qu'un ordinateur quantique pleinement fonctionnel à grande échelle ne sera probablement pas disponible avant des années. Le taux d'erreur, bien que considérablement réduit, doit encore baisser pour que les ordinateurs quantiques soient commercialement viables.
Les avancées de Google surviennent à un moment où l'informatique quantique devient une priorité mondiale. Des pays comme le Royaume-Uni ont lancé des centres nationaux d'informatique quantique, tandis que des entreprises et des instituts de recherche du monde entier investissent des milliards dans ce domaine. Des approches concurrentes, telles que les qubits à ions piégés développés par des chercheurs d'universités britanniques et japonaises, progressent également, soulignant la diversité des stratégies dans la course pour libérer le potentiel quantique.
Pour l'instant, Willow représente une étape importante plutôt qu'une percée, selon certains experts. Mais ses réalisations sont indéniables et les progrès réalisés en matière de correction des erreurs et de performances établissent une nouvelle norme pour l'informatique quantique. Le prochain défi de Google est de démontrer des calculs pratiques et commercialement pertinents sur ses puces quantiques, en allant au-delà des références vers des applications concrètes.
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Sources include:
BBC.com
Blog.google
LiveScience.com
Nature.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2024-12-11-google-willow-chip-pushes-boundaries-computing-power.html