Après les intempéries en Espagne, des voix s'élèvent contre les armes météorologiques et l'Agenda 2030
21.12.2024 www.kla.tv/31521
Le 29 octobre 2024, des intempéries dévastatrices accompagnées de fortes pluies et d'inondations ont provoqué des destructions dramatiques en Espagne et coûté la vie à quelques milliers de personnes. En outre, de nombreuses personnes ont été portées disparues.
La région de Valence a été particulièrement touchée. Les politiques et les principaux médias ont immédiatement accusé le changement climatique d'origine humaine d'être à l'origine de cette catastrophe. Ils ont comparé les dévastations à l'ouragan "Milton" en Floride et ont semé la panique quant à de futurs événements météorologiques de ce type. Quiconque exprimait des doutes sur ce récit officiel était immédiatement diabolisé en tant que complotiste. Le Premier ministre Pedro Sánchez, qui a fait la une des journaux pour des scandales de corruption, a également dénigré les "négationnistes", un terme créé par les politiques et les médias dominants pendant la "pandémie de Covid".
Le militant de la météo et du climat Nauzet Morgade est convaincu que les habitants de Valence ont été "victimes d'une lâche attaque militaire perpétrée par les plus hautes institutions et sous les yeux du monde entier". Morgade parle d'un "massacre" et d'une "attaque terroriste" par des armes météorologiques, les gens ayant été tués de sang-froid. Et il prévient que des personnes continueront à souffrir et à mourir si le public n'est pas informé de ces agissements criminels et si on n'y met pas fin. Dans une vidéo, il se penche sur ce sujet tabou et met en lumière le contexte des événements. À l'aide d'images satellites qu'il a capturées huit heures avant la catastrophe, il explique l'origine de ce phénomène météorologique mortel. Il est intéressant de noter que le 25 octobre 2024, soit quelques jours seulement avant la tragédie, les médias espagnols de référence ont soudainement annoncé que le Maroc allait désormais mener officiellement des expériences sur le climat. L'objectif était de générer plus de pluie. La question a été posée de savoir si cela représentait un risque pour l'Espagne. L'agence météorologique nationale espagnole AEMET a dû admettre l'année dernière, suite aux critiques du public, que ces modifications météorologiques sont utilisées depuis de nombreuses années pour provoquer ou empêcher la pluie. Mais on ne sait pas exactement comment ils influencent le temps dans les régions voisines.
Le militant de la météo et du climat Nauzet Morgade souligne en outre l'anomalie alarmante que constitue la démolition ou l'ouverture de nombreux barrages et retenues d'eau en Espagne ces dernières années - et ce, tenez-vous bien, sur la base de directives européennes. Les médias dominants en ont parlé dès 2022, expliquant que cela devait être fait pour "remédier à la fragmentation écologique des rivières". Mais le fait est, selon Morgade, que ces barrages ont autrefois recueilli les grandes masses de pluie de la Gota Fría, aujourd'hui appelée DANA, et ont évité de gros dégâts dus aux inondations. DANA est un phénomène météorologique qui provoque de grandes perturbations atmosphériques accompagnées de précipitations très intenses. Le militant de la météo rappelle qu'après la construction des lacs de retenue et des barrages au cours des dernières décennies, des lotissements et des maisons ont été construits dans des zones qui étaient auparavant considérées comme inondables. "Depuis la destruction des barrages et des digues, il n'est même plus nécessaire qu'il pleuve de manière aussi dramatique pour qu'une inondation se produise, l'eau n'a plus d'obstacles. Cela va désormais se produire chaque année", souligne Morgade. En clair, on ne peut s'empêcher de penser que, sur la base d'une règlementation européenne et au nom de la protection de l'environnement, ce sont précisément les ouvrages de régulation des cours d'eau qui, depuis des années, régulent les débits et protègent ainsi l'environnement et, bien sûr, les populations, qui vont être détruits ou ouverts. Cependant, au nom de la protection de l'environnement, la démolition des ouvrages de régulation et l'utilisation d'armes météorologiques provoquent les mêmes catastrophes qui en fait, avec la construction de ces ouvrages, appartenaient au passé. Et ces catastrophes récurrentes, voire amplifiées par les armes météorologiques, sont ensuite mises sur le compte du changement climatique prétendument provoqué par l'homme. C'est précisément ce qui viendrait couronner le tout.
L'avocat critique Aitor Guisasola, que les médias dominants avaient déjà qualifié de conspirationniste à l'époque du Covid, a également publié sa vidéo intitulée "MIGUEL BOSÉ explose de colère à cause de la DANA, du changement climatique, des inondations de Valence et de l'AGENDA 2030 - UN AVOCAT CONTRE LA DÉMAGOGIE." Il y exprime ses doutes quant au récit officiel. Dans ce cadre, Guisasola a attiré l'attention sur un post Instagram du célèbre musicien espagnol Miguel Bosé. Celui-ci a écrit : "Je suis bouleversé et accablé par la catastrophe qui s'est produite à Valence, mais aussi à Cuenca et Albacete. Mais surtout, je suis plein de colère parce que la perte de toutes ces vies, de toutes ces maisons, ces champs et ces propriétés est indéniablement due à des pratiques criminelles mises en œuvre par des gouvernements, Notamment la destruction de barrages et de réservoirs et, surtout, l'utilisation de la géo-ingénierie, des chemtrails ou de HAARP, qui sont devenus incontrôlables et ne causent que douleur, souffrance et pauvreté. Tout cela est déclenché à volonté par une bande criminelle et sanguinaire. Les gens doivent se réveiller et arrêter de croire que tout cela est dû au changement climatique, ce qu'on appelait autrefois le réchauffement de la planète [...]. Ils sont bien décidés à nous vendre quelque chose qu'ils provoquent eux-mêmes, afin d'en tirer profit une fois de plus. Tout comme ils l'ont fait avec les masques et les vaccins pendant la pandémie - au détriment des citoyens bien intentionnés et mal informés. [...] J'invite chacun à élever la voix et à exprimer sa colère pour mettre un terme à l'Agenda 2030. Celui-ci ne fait que favoriser une élite dont la seule intention est de détruire tout ce que des familles entières ont mis des générations à construire dans les campagnes et les villes [...]"
Le dimanche 3 novembre 2024, le parti Iustitia Europa a déposé une plainte devant la Cour suprême contre le président du gouvernement Pedro Sánchez et son ministre de l'Intérieur Fernando Grande-Marlaska pour violation du devoir de diligence, non-assistance à personne en danger, homicide involontaire et blessures corporelles lors de la gestion de la DANA et de ses conséquences.
Il est intéressant de noter - et chacun est vraiment libre de se faire sa propre opinion - que Klaus Schwab, le fondateur du Forum économique mondial (FEM), a annoncé en août 2024 que l'humanité devait se préparer à une "ère d'événements chocs" dans un avenir proche. Les inondations qui se produisent à l'échelle mondiale semblent donner raison à Klaus Schwab. On peut citer ici à titre d'exemple les catastrophes dues aux intempéries et aux fortes pluies à Dubaï, aux États-Unis [www.kla.tv/31051], en Autriche, en Hongrie, en République tchèque, en Roumanie, en Pologne, en Slovaquie et en Suisse. D'un point de vue purement pratique, ces événements chocs sont rendus possibles par une technologie d'armement dont nous parlerons en détail dans notre émission : "Une arme secrète a-t-elle provoqué la catastrophe de Tchernobyl ? Nous menace-t-elle à nouveau aujourd'hui ?" [www.kla.tv/31105] Avec sa "prophétie", Schwab alimente notamment l'hystérie sur le changement climatique, partie intégrante de son Agenda 2030 [www.kla.tv/26985]. Avec cet Agenda 2030, le FEM, en collaboration avec l'ONU, travaille de manière très ciblée à une transformation complexe de toutes les structures régionales et mondiales, avec pour objectif une dictature mondiale qui englobe tout. Pour toutes les catastrophes météorologiques, il convient donc de garder à l'esprit le lien entre les armes météorologiques et l'Agenda 2030 [www.kla.tv/28157].
de hm. Sources / Liens : Les intempéries en Espagne ont-elles été déclenchées par la géo-ingénierie ? https://transition-news.org/dana-in-valencia-https-www-youtube-com-watch-v
Une vue aérienne montre l'ampleur des inondations en Espagne Ticket: SE-1441 https://www.nbcnews.com/video/aerial-video-shows-scale-of-flood-devastation-in-spain-223204421799
Docu : 1. nombre de morts... 2. pas d'aide de la part des services officiels 3. parking de Bonair - fermé comme un terrain militaire https://youtube.com/watch?v=b-0VsAQCju0&si=OjLBeKBj_NPNfC5G
Les scientifiques de l'ONU avertissent que la DANA apportera des « inondations bibliques » en Espagne https://www.diariodemallorca.es/sociedad/2024/10/30/cientificos-onu-advierten-danas-traeran-inundaciones-biblicas-espana-110897152.html
La science met en garde : le changement climatique favorise les DANAS catastrophiques https://www.elperiodico.com/es/medio-ambiente/20241030/ciencia-avisa-cambio-climatico-favorece-110887960
Lien entre les inondations de Valence et la géo-ingénierie au Maroc ? https://tkp.at/2024/11/02/zusammenhang-von-flutkatastrophe-in-valencia-mit-geo-engineering-in-marokko/
Le Maroc se lance dans ses plans d’ensemencement des nuages pour augmenter les précipitations : un risque pour l'Espagne ? https://www.vozpopuli.com/actualidad/siembra-de-nubes-marruecos-sd.html
Une étude européenne appelle à la démolition des barrages et des réservoirs pour réparer les rivières de leur fragmentation écologique https://www.eldiario.es/castilla-la-mancha/estudio-europeo-pide-demoler-presas-embalses-curar-rios-fragmentacion-ecologica_1_7836986.html
L'Espagne en tête de la liste européenne de démolition des digues, barrages et seuils qui modifient les rivières https://www.lavanguardia.com/natural/20220517/8272089/espana-lidera-lista-europea-demolicion-presas-represas-azudes-alteran-rios.html
Comment l'Espagne est devenue une référence en matière de démolition de barrages https://www.rtve.es/noticias/20220822/rios-vuelven-fluir-espana-referente-demolicion-presas/2396789.shtml
Le maire prend la parole / Ils ne nous ont pas prévenus qu'ils allaient ouvrir les vannes du barrage : https://t.me/AGUAIURIS/10742
Pilar Esquinas était sur place https://youtube.com/watch?v=oUIRWRtiE9A&si=IwCF7am-xFrO24mp
MIGUEL BOSÉ explose de colère à cause de la DANA????, du changement climatique, des inondations de Valence et de l'AGENDA 2030 - UN AVOCAT CONTRE LA DEMAGOGIE https://www.youtube.com/watch?v=43AnvifXC-k
Iustitiaeurop a déposé une plainte devant la Cour suprême contre le président du gouvernement Pedro Sánchez et le ministre de l'Intérieur Fernando Grande-Marlaska. https://x.com/LMPardoAbogado/status/1853063613101064443?t=ubrEjDbQl5ojsB-LgYYKtA&s=08
Klaus Schwab du FEM met en garde contre une « ère d'événements chocs » https://tkp.at/2024/08/24/klaus-schwab-vom-wef-warnt-vor-einer-aera-der-schockereignisse/
Exemples de catastrophes environnementales et de fortes pluies Dubaï :https://www.youtube.com/watch?v=EOXylLZHe-U
LA FRAUDE MÉDICALE aux États-Unis est la NORME : si un médecin peut vous rendre malade, vous étiqueter malade et vous garder malade, sa pratique obtient plus de financement du système corrompu
22/12/2024 S.D. Wells
Le Dr Scott Jensen dénonce la fraude médicale de masse aux États-Unis, révélant que les systèmes de santé profitent davantage du maintien des patients malades.
Les compagnies d'assurance et les prestataires de soins de santé incitent les médecins à promouvoir les vaccins en offrant des primes substantielles basées sur les taux de vaccination, ce qui conduit à un cycle de maladie pour le profit.
Jensen met en évidence l'arnaque du diabète, où les patients sont étiquetés diabétiques sans traitement approprié, uniquement pour un gain financier.
Le système médical américain est critiqué pour sa nature toxique et corrompue, privilégiant le profit au détriment des soins aux patients.
La médecine occidentale privilégie les traitements coûteux et nocifs, notamment les médicaments et les vaccins addictifs, ce qui rend les patients plus malades et entraîne une mortalité précoce. Le Dr Scott Jensen dénonce la fraude médicale de masse qui se produit actuellement aux États-Unis. Cela dure depuis un certain temps. « Je suis le docteur Scott Jensen, et je n’exagère pas quand je vous dis que si vous êtes un patient, votre médecin, votre compagnie d’assurance, votre clinique, votre hôpital, nous pouvons tous être mieux payés si nous vous rendons plus malade. »
« Il existe toutes sortes de plans d’incitation distribués par les compagnies d’assurance, les gouvernements et les programmes gouvernementaux aux cliniques, aux prestataires et aux systèmes de santé. Les médecins peuvent littéralement obtenir des dizaines de milliers de dollars par an » pour faire pression sur les vaccins pour atteindre un certain seuil de patients, comme à 60 % et 80 %, et ils reçoivent ensuite des primes pour CHAQUE patient qui a reçu une injection de vaccins sales. Cela maintient les gens malades, donc les médecins et les hôpitaux sont mieux payés. C’est un cercle vicieux qui ne cesse de se répéter à cause… de l’argent. Les médecins ne se soucient pas du tout de la guérison de leurs patients, car cela signifie moins de salaire.
Le Dr Jensen continue de dénoncer toute l’arnaque du diabète en Amérique. « Si nous pouvons vous qualifier de diabétique sur la base de certains paramètres, même si nous ne vous traitons pas avec des médicaments et n’avons même pas vraiment fait quelque chose pour vous, si nous pouvons vous qualifier de diabétique et que nous faisons un test appelé A-1-C, … et si nous obtenons un résultat de 6,8, cela nous permet de vous qualifier de « diabétique » même si nous ne faisons rien pour vous » … « Donc, tout d’un coup, vous avez cette étrange incitation à qualifier autant de vos patients que possible de diabétiques. »
Le système médical américain en général devient de plus en plus toxique et corrompu de jour en jour, et il n’y a plus de « soins » dans le système de « soins de santé » traditionnel Auparavant, lorsque quelqu’un disait « dealer de drogue », il désignait quelqu’un dans la rue qui vendait de l’herbe, de la méthamphétamine ou de la cocaïne. De nos jours, cela désigne un charlatan médical qui vend des opioïdes hautement addictifs et des vaccins sales, comme l’ARNm et les vaccins contre la grippe. Votre visite chez le dealer est-elle couverte par une assurance ? Devinez quoi ? Cela n’a pas d’importance, car cela ne vous aide pas à guérir. C’est pourquoi Big Pharma doit donner des bonus aux médecins pour distribuer des médicaments mortels et des injections de prions Spike qui coagulent les vaisseaux.
Ce n’est pas une exagération, une théorie du complot ou une illusion que la plupart des médecins ne sont pas là pour aider leurs patients à guérir. Bien sûr, si vous avez un os cassé, une plaie profonde ou si vous attendez un bébé, l’hôpital est la meilleure option, mais à part cela, c’est comme un souhait de mort, pour les possibilités à court et à long terme.
La médecine occidentale ne se préoccupe pas des résultats des patients, à moins que ces résultats ne signifient que le patient se trouve six pieds sous terre. Le protocole hospitalier suit d’abord les priorités expérimentales les plus dangereuses, et les plus coûteuses aussi. En utilisant des médicaments addictifs, des prescriptions qui provoquent de nombreux effets secondaires horribles et des vaccins qui contiennent des neurotoxines et des protéines Spike qui ruinent votre santé, les médecins s’assurent que leurs patients reviennent en les gardant malades, confus et enfermés dans le système de soins des malades.
C’est pourquoi les personnes qui prennent des médicaments sur ordonnance et des vaccins sont les plus malades de la planète, et elles le restent jusqu’à leur mort prématurée. C’est malheureux, et la plupart d’entre elles n’écouteront pas un seul gramme de conseils des défenseurs de la santé naturelle qui en savent plus.
Réglez votre cadran Internet sur NaturalMedicine.news pour plus de conseils sur la façon d’utiliser des remèdes naturels pour la médecine préventive et pour la guérison, au lieu de succomber aux produits toxiques de Big Pharma, comme les médicaments addictifs et les vaccins sales, qui causent, propagent et aggravent les maladies et les troubles.
BOMBE : Les nanoparticules d'ARNm du Covid-19 ÉMETTENT DES SIGNAUX LUMINEUX qui communiquent les adresses MAC utilisées pour l'auto-assemblage à l'intérieur des vaisseaux sanguins
22/12/2024 S.D. Wells
Un scientifique a injecté les ingrédients du vaccin Pfizer/BioNTech Covid-19 sur une lame et les a observés au microscope à un grossissement de 100 fois. On a vu des particules microscopiques s'auto-assembler et émettre des signaux connus sous le nom de phénomène d'"adresse MAC", ressemblant à des lumières clignotantes.
Les microparticules ou nanoparticules, appelées "micropuces", ont été observées en train de communiquer entre elles via des signaux lumineux et de collaborer pour s'auto-assembler en structures ressemblant à des satellites miniatures à l'intérieur du corps, notamment des vaisseaux sanguins, des organes, des ovaires, des testicules et le cerveau.
L'analyse a révélé plus de 50 éléments chimiques non déclarés dans les ingrédients du vaccin Pfizer/BioNTech Covid-19, notamment de l'oxyde de graphène fluorescent, qui peuvent entraîner des effets indésirables sur la santé tels que la myocardite, la péricardite, l'inflammation chronique, le dysfonctionnement immunitaire, etc.
Les enfants qui reçoivent des vaccins seraient plus susceptibles de souffrir de problèmes de santé majeurs tout au long de leur vie, des études suggérant une corrélation entre le nombre de vaccins reçus et la détérioration de l'état de santé, notamment les infections, le TDA/TDAH, les problèmes de développement neurologique, l'eczéma et les allergies.
Le scientifique a souligné les inquiétudes concernant les dangers potentiels des « vaccins » à ARNm, les reliant à la propagation de technologies nocives à l'intérieur du corps et exhortant le public à être conscient des risques associés à ces vaccins.
Tel que diffusé sur la chaîne de télévision Children's Health Defense, un scientifique a injecté les ingrédients du vaccin Pfizer/BioNTech Covid-19 sur une lame et a zoomé sur ses actions avec un microscope à un grossissement de 100 fois. Vous pouvez littéralement voir des particules microscopiques agir comme des lumières clignotantes pendant qu'elles s'auto-assemblent.
Le scientifique explique que ces microparticules ou nanoparticules sont appelées « micropuces » car elles émettent des signaux connus sous le nom de phénomène d'« adresse MAC ». En arrière-plan, on peut voir des « nano et micro-robots qui communiquent entre eux via des signaux lumineux » alors qu'ils collaborent pour s'auto-assembler en ce qui ressemble à un satellite miniature. Il a déjà été prouvé que ce phénomène persiste dans le corps pendant au moins deux ans, les protéines de pointe et les nanoparticules voyageant dans la circulation sanguine vers les organes vitaux, les ovaires, les testicules et le cerveau.
Les particules en essaim utilisent la lumière pour communiquer entre elles et s'assembler en nano-conglomérats plus grands à l'intérieur des vaisseaux sanguins. Remarquez que cela se produit dans le sang, les organes et le cerveau de toute personne à qui on a injecté cette technologie de « vaccin » cauchemardesque contre le Covid-19. Ce scientifique a été témoin de ce phénomène dans le sang humain des personnes injectées, car la technologie « en essaim » crée des ravages à l'intérieur des vaisseaux sanguins grâce à la nanotechnologie de l'ARNm.
L’analyse révèle plus de 50 éléments chimiques non déclarés dans les ingrédients de l’injection, notamment de l’oxyde de graphène fluorescent. CINQUANTE éléments chimiques non déclarés utilisés pour provoquer des myocardites, des péricardites, des inflammations chroniques et graves, des dysfonctionnements immunitaires, des fausses couches, etc. Elle a documenté ce phénomène de manière approfondie, il ne s’agit donc pas d’un flacon corrompu qui aurait pu contenir ces contaminants et ces capacités technologiques.
C’est l’une des principales raisons pour lesquelles les enfants qui reçoivent des vaccins sont beaucoup plus susceptibles de souffrir de problèmes de santé majeurs tout au long de leur vie. À l’inverse, les enfants qui ne reçoivent pas ces vaccins ne souffrent pas de problèmes de santé chroniques, selon les études. En d’autres termes, plus un enfant reçoit de vaccins, plus sa santé se détériore, en particulier au cours des dix premières années, avec notamment des statistiques en flèche pour les infections, le TDA et le TDAH, les problèmes de développement neurologique, l’eczéma, les allergies, etc.
C’est pourquoi Fauci et le CDC se démènent et paniquent en ce moment pour dissimuler les origines du Covid-19, le financement des virus à gain de fonction et le financement et la fabrication des armes biologiques les plus mortelles sur Terre – les « vaccins » à ARNm.
C’est un génocide, les amis. C’est la forme la plus insidieuse d’armes de destruction massive jamais créée, et des milliards de personnes pensent que c’est de la médecine, et c’est le pire. Aidez à dénoncer cette situation. Partagez cet article. Partagez cette information partout. Ne laissez pas les coupables s’en tirer avec des meurtres de masse et des complots. C’est un message d’intérêt public de Natural Health News. Gardez les yeux ouverts.
Ajoutez le site Web de la peste à vos favoris pour obtenir des mises à jour sur les nouveaux virus à gain de fonction que le CDC et l’OMS libèrent dans la « nature » afin que tout le monde se fasse vacciner avec des nano-robots auto-assembleurs qui peuvent vous tuer grâce à la technologie d’assemblage MAC.
Toxicologie et virologie : l'Institut Rockefeller et la fraude criminelle à la polio
Par F. William Engdahl Recherche mondiale, 22 décembre 2024
Note d'introduction à la recherche mondiale
En octobre 2023, la Fondation Bill et Melinda Gates a lancé un projet de lutte contre la polio d'un milliard d'euros . Bill Gates exprime son engagement à éradiquer la polio dans le monde entier
Protéger des centaines de millions d’enfants ???
« Grâce aux innovations médicales, le monde a éradiqué une maladie humaine : la variole. Aujourd’hui, nous sommes sur le point d’en finir avec une autre : le poliovirus sauvage. Je m’engage à faire en sorte qu’aucun enfant, où que ce soit dans le monde, ne soit confronté à cette terrible maladie. Je suis également optimiste quant au fait que nous éradiquerons la polio une fois pour toutes et que nous rendrons les innovations en matière de santé plus accessibles à tous, en particulier aux habitants des pays les plus pauvres », a déclaré Bill Gates, coprésident de la Fondation Bill & Melinda Gates.
« Le financement attendu de 1,1 milliard d'euros vise à fournir de nouveaux fonds pour éradiquer une maladie humaine pour seulement la deuxième fois dans l'histoire et à aider à résoudre les défis de santé et de développement auxquels sont confrontées les personnes les plus vulnérables du monde, qui, autrement, n'ont pas un accès équitable aux services de santé et aux innovations.
De l'argent pour sauver les enfants du monde ??? La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a déclaré avec force :
« Nous sommes sur le point d’éradiquer la polio de la surface de la Terre. La Commission européenne, la BEI et la Fondation Bill & Melinda Gates s’associent pour franchir la dernière ligne droite.
Avec 1 milliard d’euros soutenus par notre stratégie d’investissement européenne Global Gateway, nous investirons dans des systèmes de santé plus solides à l’échelle mondiale et dans la production, la fabrication et l’administration locales de vaccins et de médicaments, là où ils sont le plus nécessaires.
« La coopération mondiale nous a aidés à mettre un terme à la pandémie de COVID-19. Elle nous aidera désormais à nous débarrasser définitivement de la polio. » (soulignement ajouté)
Toxicologie vs Virologie : L'Institut Rockefeller et la fraude criminelle liée à la polio
Par F. William Engdahl
Introduction
L’une des conséquences de l’apparition publique du nouveau virus SRAS Covid en 2019 est que la spécialisation médicale de la virologie a été élevée à un rang presque divin dans les médias.
Peu de gens comprennent les origines de la virologie et son ascension au rang de référence dans la pratique médicale d'aujourd'hui. Pour cela, il nous faut nous pencher sur les origines et la politique du premier institut de recherche médicale américain, le Rockefeller Institute for Medical Research, aujourd'hui l'Université Rockefeller , et sur ses travaux sur ce qu'ils prétendaient être un virus de la polio.
En 1907, une épidémie à New York a donné au directeur de l'Institut Rockefeller, le docteur Simon Flexner, une occasion en or de revendiquer la découverte d'un « virus » invisible causé par ce que l'on a arbitrairement appelé la poliomyélite. Le mot poliomyélite signifie simplement inflammation de la matière grise de la moelle épinière. Cette année-là, quelque 2 500 New-Yorkais, principalement des enfants, ont été diagnostiqués avec une forme de poliomyélite, pouvant entraîner la paralysie et même la mort.
La fraude de Flexner
L’aspect le plus frappant de toute la saga de la polio aux États-Unis au cours de la première moitié du XXe siècle était le fait que chaque phase clé de l’affaire était contrôlée par des personnes liées à ce qui allait devenir la cabale médicale Rockefeller. Cette fraude a commencé avec les déclarations du directeur de l’Institut Rockefeller, Simon Flexner , selon lesquelles lui et son collègue, Paul A. Lewis , avaient « isolé » un agent pathogène, invisible à l’œil nu, plus petit qu’une bactérie, qui, selon eux, était à l’origine de la maladie paralysante lors d’une série d’épidémies aux États-Unis. Comment en sont-ils arrivés à cette idée ?
Dans un article publié en 1909 dans le Journal of the American Medical Association, Flexner affirmait que Lewis et lui avaient isolé le virus responsable de la poliomyélite. Il rapportait qu’ils avaient réussi à « transmettre » la poliomyélite de singe en singe. Ils avaient commencé par injecter du tissu de moelle épinière humaine malade d’un jeune garçon décédé, probablement à cause du virus, dans le cerveau de singes. Après qu’un singe soit tombé malade, une suspension de son tissu de moelle épinière malade a été injectée dans le cerveau d’autres singes qui étaient également tombés malades.
Ils ont proclamé que les médecins de l'Institut Rockefeller avaient ainsi prouvé la causalité du virus de la poliomyélite dans cette mystérieuse maladie. Ils n'avaient rien fait de tel. Flexner et Lewis ont même admis que :
« Nous n’avons pas réussi à découvrir de bactéries, ni dans les préparations de films ni dans les cultures, qui pourraient expliquer la maladie ; et, comme parmi notre longue série de propagations du virus chez les singes, aucun animal ne présentait, dans les lésions, les cocci décrits par certains chercheurs précédents, et que nous n’avions pas réussi à obtenir de telles bactéries à partir du matériel humain que nous avions étudié, nous avons estimé qu’elles pouvaient être exclues de notre examen. »
Ils ont alors émis une hypothèse bizarre, un acte de foi, et non une affirmation scientifique. Ils ont pris leur hypothèse d’une action virale exogène et l’ont transformée en fait, sans aucune preuve. Ils ont affirmé : « Par conséquent, … l’agent infectieux de la poliomyélite épidémique appartient à la classe des virus minuscules et filtrables dont l’existence n’a pas encore été démontrée avec certitude au microscope. »Donc?
Simon Flexner a simplement affirmé que « cela doit » être un virus de la polio qui tue les singes, car ils ne pouvaient trouver aucune autre explication. En fait, il n’a pas cherché une autre source de la maladie. Il ne s’agissait pas d’isolement scientifique. Il s’agissait de spéculations insensées : « … jusqu’à présent, cela n’a pas été démontré avec certitude au microscope. » Ils l’ont admis dans un article complémentaire du JAMA du 18 décembre 1909 intitulé LA NATURE DU VIRUS DE LA POLIOMYÉLITE ÉPIDÉMIQUE.
Le soi-disant « virus » qu’ils injectaient aux singes n’était pas pur. Il contenait également une quantité indéterminée de contaminants. Il comprenait « de la moelle épinière, du cerveau et des matières fécales en purée, et même des mouches broyées et injectées aux singes pour provoquer une paralysie ». Jusqu’à ce que Jonas Salk obtienne l’approbation du gouvernement américain en avril 1955 pour un vaccin contre la polio, aucune preuve scientifique de l’existence d’un virus provoquant la poliomyélite, ou paralysie infantile comme on l’appelait communément, n’avait été apportée. C’est toujours le cas aujourd’hui. Le monde médical a cru Flexner sur parole lorsqu’il a déclaré qu’il « devait » s’agir d’un virus.
Institut Rockefeller, Flexner et l'Association médicale américaine
L'Institut Rockefeller a été fondé en 1901 à partir de la fortune de John D. Rockefeller dans la Standard Oil , pour être le premier institut biomédical des États-Unis. Il a été calqué sur l'Institut Pasteur en France (1888) et l'Institut Robert Koch en Allemagne (1891). Son premier directeur, Simon Flexner, a joué un rôle central et des plus criminels dans l'évolution de ce qui est devenu la pratique médicale américaine approuvée. L'objectif des Rockefeller était de contrôler complètement la pratique médicale américaine et de la transformer en un instrument, du moins au début, pour la promotion de médicaments approuvés par les intérêts des Rockefeller. À l'époque, ils cherchaient à monopoliser les médicaments produits à partir de leur raffinage du pétrole, comme ils l'avaient fait avec le pétrole.
Alors que le directeur de l'Institut Rockefeller, Simon Flexner, publiait ses études peu concluantes mais très acclamées sur la polio, il a demandé à son frère, Abraham Flexner , un professeur d'école sans formation médicale, de diriger une étude conjointe de l'American Medical Association (AMA), du Rockefeller General Education Board et de la Fondation Carnegie fondée par l'ami proche de Rockefeller, Andrew Carnegie.
L'étude de 1910 s'intitulait « Le rapport Flexner » et son objectif apparent était d'enquêter sur la qualité de toutes les écoles de médecine américaines. Le résultat du rapport était cependant prédéterminé. Les liens entre le riche Institut Rockefeller et l'AMA passaient par le biais du directeur corrompu de l'AMA, George H. Simmons.
Simmons était également le rédacteur en chef du très influent Journal of the American Medical Association, une publication distribuée à quelque 80 000 médecins à travers l'Amérique. Il aurait exercé un pouvoir absolu sur l'association des médecins. Il contrôlait les revenus publicitaires croissants des sociétés pharmaceutiques pour promouvoir leurs médicaments auprès des médecins de l'AMA dans son journal, une activité très lucrative. Il a joué un rôle clé dans le coup médical des Rockefeller qui devait redéfinir complètement la pratique médicale acceptable, en passant des traitements curatifs ou préventifs à l'utilisation de médicaments souvent mortels et à des interventions chirurgicales coûteuses. En tant que directeur de l'AMA, Simmons s'est rendu compte que la concurrence d'une prolifération d'écoles de médecine, y compris la chiropraxie, l'ostéopathie, l'homéopathie et la médecine naturelle alors reconnues, diminuait les revenus de ses médecins de l'AMA, car le nombre d'écoles de médecine était passé d'environ 90 en 1880 à plus de 150 en 1903.
Abraham Flexner, ancien directeur d’une école privée, a visité plusieurs écoles de médecine américaines en 1909 et a recommandé la fermeture de la moitié des 165 écoles de médecine, qu’il qualifiait de « non conformes ». Cette mesure a réduit la concurrence des autres approches de guérison des maladies. Ils ont impitoyablement ciblé les écoles de médecine naturopathique, chiropratique, ostéopathique, alors très répandues, ainsi que les écoles allopathiques indépendantes qui ne voulaient pas rejoindre le régime de l’AMA.
L'argent Rockefeller a ensuite été versé à des écoles sélectionnées, à condition que les professeurs soient sélectionnés par l'Institut Rockefeller et que le programme d'études soit axé sur les médicaments et la chirurgie comme traitement, et non sur la prévention, ni sur la nutrition, ni sur la toxicologie comme causes et solutions possibles. Ils ont dû accepter la théorie germinale de Pasteur, qui revendique le réductionnisme du « un germe pour une maladie » .Les médias contrôlés par Rockefeller ont lancé une chasse aux sorcières coordonnée contre toutes les formes de médecine alternative, les remèdes à base de plantes, les vitamines naturelles et la chiropraxie – tout ce qui n’est pas contrôlé par les médicaments brevetés par Rockefeller.
En 1919, le Rockefeller General Education Board et la Fondation Rockefeller avaient versé plus de 5 millions de dollars aux facultés de médecine de Johns Hopkins, Yale et Washington University à St. Louis. La même année, John D. Rockefeller accorda 20 millions de dollars supplémentaires en titres « pour l’avancement de l’enseignement médical aux États-Unis ». Cela équivaudrait à environ 340 millions de dollars aujourd’hui, une somme énorme. En bref, les intérêts financiers des Rockefeller avaient détourné l’enseignement et la recherche médicale aux États-Unis dans les années 1920.
Cette prise de contrôle médicale, soutenue par l'organisation de médecins la plus influente, l'AMA, et son chef corrompu, Simmons, a permis à Simon Flexner de créer littéralement la virologie moderne sous les règles de Rockefeller .Le très controversé Thomas Milton Rivers, alors directeur du laboratoire de virologie de l'Institut Rockefeller, a établi la virologie comme une discipline indépendante, distincte de la bactériologie, dans les années 1920. Il s'est rendu compte qu'il était beaucoup plus facile de manipuler les choses lorsqu'il pouvait prétendre que des agents pathogènes mortels étaient des germes invisibles ou des « virus ».Ironiquement, le terme « virus » vient du latin et signifie « poison ».
La virologie, une fraude médicale réductionniste, était une création de la cabale médicale Rockefeller. Ce fait très important est enterré dans les annales de la médecine d’aujourd’hui. Des maladies comme la variole, la rougeole ou la poliomyélite ont été déclarées causées par des agents pathogènes invisibles appelés virus spécifiques. Si les scientifiques pouvaient « isoler » le virus invisible, ils pourraient théoriquement trouver des vaccins pour protéger les gens contre les dangers. C’est ce que leur théorie a fait. Ce fut une énorme aubaine pour le cartel des sociétés pharmaceutiques Rockefeller, qui comprenait à l’époque American Home Products qui faisait la promotion de médicaments sans preuve d’effet, comme la Préparation H pour les hémorroïdes ou l’Advil pour soulager la douleur ; Sterling Drug, qui a repris les actifs américains, dont l’aspirine de l’allemand Bayer AG après la Première Guerre mondiale ; Winthrop Chemical ; American Cyanamid et sa filiale Lederle Laboratories ; Squibb et Monsanto.
Bientôt, les chercheurs en virologie de l’Institut Rockefeller, en plus de revendiquer la découverte du virus de la poliomyélite, prétendirent avoir découvert les virus responsables de la variole, des oreillons, de la rougeole et de la fièvre jaune. Puis ils annoncèrent la « découverte » de vaccins préventifs contre la pneumonie et la fièvre jaune. Toutes ces « découvertes » annoncées par l’Institut se révélèrent fausses. Grâce au contrôle de la recherche dans le nouveau domaine de la virologie, l’Institut Rockefeller, en collusion avec Simmons de l’AMA et son successeur tout aussi corrompu, Morris Fishbein, pouvait promouvoir de nouveaux vaccins brevetés ou des « remèdes » médicamenteux dans l’influente revue de l’AMA qui était envoyée à tous les médecins membres d’Amérique. Les sociétés pharmaceutiques refusant de payer pour des publicités dans la revue de l’AMA étaient mises à l’index par l’AMA.
En 1911, Simon Flexner et le très influent Institut Rockefeller réussirent à faire inscrire dans la loi américaine sur la santé publique les symptômes de ce que l’on appelait la poliomyélite comme une « maladie contagieuse et infectieuse causée par un virus aéroporté ». Pourtant, même eux admettaient ne pas avoir prouvé comment la maladie pénètre dans le corps humain. Comme l’a souligné un médecin expérimenté dans une revue médicale en 1911, « nos connaissances actuelles sur les modes de contagion possibles reposent presque entièrement sur les travaux effectués dans cette ville à l’Institut Rockefeller ». En 1951, le Dr Ralph Scobey, un critique de la précipitation des Rockefeller à juger la contagion de la polio, nota : « Cela reposait bien sûr sur des expériences sur les animaux plutôt que sur des recherches cliniques… » Scobey souligna également l’absence de preuve que la poliomyélite était contagieuse : « … les enfants atteints de la maladie étaient gardés dans des services d’hôpitaux généraux et aucun des autres pensionnaires des services de l’hôpital n’était atteint de la maladie ». L’attitude générale de l’époque se résumait en 1911 : « Il nous semble que, malgré l’absence de preuves absolues, les meilleurs intérêts de la communauté seraient préservés si nous considérions la maladie sous un angle contagieux. »(sic).
En classant les symptômes de la poliomyélite comme une maladie hautement contagieuse causée par un virus invisible, prétendument exogène ou externe, l'Institut Rockefeller et l'AMA ont pu interrompre toute recherche sérieuse sur des explications alternatives telles que l'exposition aux pesticides chimiques ou à d'autres toxines, pour expliquer les épidémies saisonnières de la maladie et les paralysies, voire les décès, principalement chez les très jeunes enfants. Ces conséquences devaient avoir des conséquences fatales qui perdurent jusqu'à aujourd'hui.
Entrez le DDT
Dans sa déclaration de 1952 à la Chambre des représentants des États-Unis enquêtant sur les dangers possibles des produits chimiques dans les produits alimentaires, le Dr Ralph R. Scobey a noté :
« Depuis près d’un demi-siècle, les recherches sur la poliomyélite se sont concentrées sur un prétendu virus exogène qui pénètre dans le corps humain et provoque la maladie. La manière dont la loi sur la santé publique est actuellement rédigée n’impose que ce type d’enquête. En revanche, aucune étude approfondie n’a été menée pour déterminer si le prétendu virus de la poliomyélite est une substance chimique autochtone qui ne pénètre pas du tout dans le corps humain, mais résulte simplement d’un ou de plusieurs facteurs exogènes, par exemple un poison alimentaire . »
Les toxines comme cause n’ont pas été étudiées, malgré de nombreuses preuves.
Dans les années 1930, avec la dépression économique et la guerre, peu de nouvelles épidémies majeures de poliomyélite ont été observées. Cependant, immédiatement après la fin de la Seconde Guerre mondiale, le drame de la polio a pris de l'ampleur. À partir de 1945, chaque été, de plus en plus d'enfants aux États-Unis étaient diagnostiqués avec la poliomyélite et hospitalisés. Moins de 1 % des cas ont été effectivement diagnostiqués par des analyses de sang ou d'urine. Environ 99 % ont été diagnostiqués par la simple présence de symptômes tels que des douleurs aiguës aux extrémités, de la fièvre, des maux d'estomac et de la diarrhée.
En 1938, avec le soutien de Franklin D. Roosevelt, victime présumée de la polio, la National Foundation for Infantile Paralysis (March of Dimes) a été fondée pour solliciter des dons exonérés d'impôts afin de financer la recherche sur la polio. Un médecin et chercheur allemand, le Dr Henry Kumm , est venu aux États-Unis et a rejoint l'Institut Rockefeller en 1928, où il est resté jusqu'à son entrée à la National Foundation en 1951 en tant que directeur de la recherche sur la polio. Kumm a été rejoint à la National Foundation par un autre vétéran clé de l'Institut Rockefeller, le soi-disant « père de la virologie », Thomas M. Rivers , qui a présidé le comité consultatif de recherche sur les vaccins de la fondation supervisant les recherches de Jonas Salk. Ces deux personnalités clés de l'Institut Rockefeller contrôlaient donc les fonds destinés à la recherche sur la polio, y compris le développement d'un vaccin.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, alors qu'il était encore au Rockefeller Institute, Henry Kumm était consultant auprès de l'armée américaine où il supervisait des études de terrain en Italie. Kumm dirigea des études de terrain sur l'utilisation du DDT contre le typhus et les moustiques vecteurs du paludisme dans les marais près de Rome et de Naples. Le DDT avait été breveté comme insecticide par la société pharmaceutique suisse Geigy et sa filiale américaine en 1940, et son utilisation sur les soldats de l'armée américaine avait été autorisée pour la première fois en 1943 comme désinfectant général contre les poux de tête, les moustiques et de nombreux autres insectes. Jusqu'à la fin de la guerre, presque toute la production de DDT aux États-Unis était destinée à l'armée. En 1945, les sociétés chimiques cherchaient avec enthousiasme de nouveaux marchés. Elles les ont trouvés.
L'image de droite provient de Beyond Pesticides
L'exposition au DDT au début de la vie est associée à un risque accru de cancer du sein - Beyond Pesticides Daily News Blog
Début 1944, les journaux américains annonçaient triomphalement que le typhus, « la terrible peste qui a suivi toutes les grandes guerres de l’histoire », ne représentait plus une menace pour les troupes américaines et leurs alliés grâce à la nouvelle poudre anti-poux de l’armée, le DDT. Lors d’une expérience à Naples, les soldats américains ont aspergé plus d’un million d’Italiens de DDT dilué dans du kérosène (!), tuant ainsi les poux du corps qui propageaient le typhus.
Henry Kumm, de l’Institut Rockefeller, et l’armée américaine savaient que, comme l’a dit un chercheur, « le DDT était un poison, mais il était suffisamment sûr pour la guerre. Toute personne blessée par le DDT serait considérée comme une victime de combat. » Le gouvernement américain a « restreint » un rapport sur les insecticides publié par le Bureau de la recherche scientifique et du développement en 1944 qui mettait en garde contre les effets toxiques cumulés du DDT sur les humains et les animaux.Le Dr Morris Biskind a noté dans un article de 1949 : « Le DDT étant un poison cumulatif, il est inévitable qu’une intoxication à grande échelle de la population américaine se produise. » En 1944, Smith et Stohlman des National Institutes of Health, après une étude approfondie de la toxicité cumulative du DDT, ont souligné : « La toxicité du DDT combinée à son action cumulative et à son absorbabilité par la peau fait que son utilisation présente un risque certain pour la santé. » Leurs avertissements ont été ignorés par les autorités supérieures.
Au lieu de cela, après 1945, le DDT a été présenté dans toute l’Amérique comme le nouveau pesticide miracle et « sûr », à l’image du Roundup de Monsanto avec le glyphosate trois décennies plus tard. On disait que le DDT était inoffensif pour les humains. Mais personne au gouvernement n’a sérieusement testé scientifiquement cette affirmation. Un an plus tard, en 1945, à la fin de la guerre, les journaux américains ont fait l’éloge du nouveau DDT comme d’une substance « magique », un « miracle ». Le Time a qualifié le DDT de « l’une des grandes découvertes scientifiques de la Seconde Guerre mondiale ».
Malgré des avertissements isolés concernant des effets secondaires non testés, selon lesquels il s’agissait d’un produit chimique persistant et toxique qui s’accumulait facilement dans la chaîne alimentaire, le gouvernement américain a approuvé l’utilisation générale du DDT en 1945. La Food and Drug Administration (FDA), contrôlée par les intérêts des Rockefeller-AMA-pharmaceutiques, a établi comme « sans danger » une teneur en DDT allant jusqu’à 7 parties par million dans les aliments, bien que personne n’ait prouvé cela. Les fabricants de produits chimiques à base de DDT ont alimenté la presse de photos et d’anecdotes. Les journaux ont rapporté avec enthousiasme comment le nouveau produit chimique miracle, le DDT, était testé aux États-Unis contre les moustiques du Sud que l’on croyait porteurs du paludisme, ainsi que « préservant les vignobles de l’Arizona, les vergers de Virginie-Occidentale, les champs de pommes de terre de l’Oregon, les champs de maïs de l’Illinois et les laiteries de l’Iowa ». Le DDT était partout aux États-Unis à la fin des années 1940.
Le gouvernement américain prétendait que le DDT, contrairement à l'arsenic et aux autres insecticides utilisés avant la guerre, était inoffensif pour les humains, même les nourrissons, et pouvait être utilisé sans restriction. À partir de 1945, des villes comme Chicago pulvérisèrent les plages publiques, les parcs et les piscines. Les ménagères achetèrent des pulvérisateurs de DDT à domicile pour pulvériser la cuisine et surtout les chambres des enfants, même leurs matelas. On demanda aux agriculteurs de pulvériser leurs cultures et leurs animaux, en particulier les vaches laitières, avec du DDT. Dans l'Amérique d'après-guerre, le DDT était promu, surtout par les sociétés pharmaceutiques Rockefeller comme American Home Products avec son aérosol DDT Black Flag, et Monsanto. De 1945 à 1952, la production américaine de DDT fut multipliée par dix .
Alors que les cas présumés de polio explosaient littéralement aux États-Unis après 1945, la théorie a été avancée, sans preuve, selon laquelle la polio était transmise, non par des pesticides toxiques comme le DDT, mais par des moustiques ou des mouches aux humains, plus particulièrement aux jeunes enfants ou aux nourrissons. Le message était que le DDT pouvait protéger votre famille en toute sécurité contre la polio invalidante. Les cas de polio officiellement répertoriés sont passés de quelque 25 000 en 1943, avant l'utilisation civile du DDT par les États-Unis, à plus de 280 000 cas en 1952, au plus fort de la maladie, soit une multiplication par dix.
En octobre 1945, le DDT, qui avait été utilisé par l'armée américaine sous la supervision de Henry Kumm, de l'Institut Rockefeller, fut autorisé par le gouvernement américain pour une utilisation générale comme insecticide contre les moustiques et les mouches. Les scientifiques dissidents qui mettaient en garde contre les effets toxiques du DDT sur les humains et les animaux furent réduits au silence. On expliqua aux familles que le DDT pouvait sauver leurs enfants de la redoutable polio en tuant les insectes redoutés.
Le ministère américain de l'Agriculture a conseillé aux agriculteurs de laver leurs vaches laitières avec une solution de DDT pour lutter contre les moustiques et les mouches. Les champs de maïs et les vergers ont été pulvérisés avec du DDT par voie aérienne. Cependant, le produit était incroyablement persistant et son effet toxique sur les plantes et les légumes était tel qu'il ne pouvait pas être éliminé par lavage. D'année en année, de 1945 à 1952, la quantité de DDT pulvérisée aux États-Unis a augmenté. Il en a été de même pour le nombre de cas humains de poliomyélite.
Au début des années 1950, le Congrès américain et les agriculteurs se sont de plus en plus intéressés aux dangers potentiels d’une utilisation massive de pesticides, non seulement du DDT, mais aussi de l’hexachlorure de benzène (BHC), encore plus toxique. En 1951, Morton Biskind , un médecin qui avait traité avec succès plusieurs centaines de patients empoisonnés au DDT, a témoigné devant la Chambre des représentants des États-Unis sur le lien possible entre la polio paralytique et les toxines, en particulier le DDT et le BHC. Il a noté :
« L’introduction de l’insecticide DDT (chlorophénothane) et de la série de substances encore plus mortelles qui ont suivi, pour une utilisation générale et incontrôlée par le public, n’a pas eu d’équivalent dans l’histoire. Il ne fait aucun doute qu’aucune autre substance connue de l’homme n’a jamais été développée aussi rapidement et répandue sans discrimination sur une aussi grande partie de la terre en si peu de temps. Cela est d’autant plus surprenant qu’à l’époque où le DDT a été mis à la disposition du public, de nombreuses données étaient déjà disponibles dans la littérature médicale montrant que cet agent était extrêmement toxique pour de nombreuses espèces animales différentes, qu’il s’accumulait dans les graisses corporelles et qu’il apparaissait dans le lait. À cette époque, quelques cas d’empoisonnement au DDT chez des êtres humains avaient également été signalés. Ces observations ont été presque complètement ignorées ou mal interprétées . »
Biskind a de nouveau témoigné devant le Congrès à la fin de 1950 :
« Au début de l’année dernière, j’ai publié une série d’observations sur l’intoxication humaine au DDT. Depuis peu de temps après la dernière guerre, les médecins ont observé un grand nombre de cas dans tout le pays, dans lesquels un ensemble de symptômes se sont manifestés, dont les plus marquants étaient une gastro-entérite, des symptômes nerveux récurrents et une faiblesse musculaire extrême… »
Il a décrit plusieurs exemples de cas de patients dont les symptômes graves, notamment la paralysie, ont disparu lorsque l’exposition au DDT et aux toxines apparentées a été éliminée :
« Mon expérience initiale sur plus de 200 cas que j’ai rapportés au début de l’année dernière s’est depuis considérablement étendue. Mes observations ultérieures ont non seulement confirmé l’idée selon laquelle le DDT est responsable d’un grand nombre de handicaps humains autrement inexplicables … »
Il a également été noté que les cas de polio étaient toujours plus nombreux pendant les mois d’été, lorsque les pulvérisations de DDT contre les insectes étaient maximales.
Les agents de l'Institut Rockefeller et de l'AMA, par l'intermédiaire de leurs agents au sein du gouvernement américain, ont créé l'urgence sanitaire américaine de 1946-1952 appelée polio. Ils y sont parvenus en faisant sciemment la promotion du DDT, un produit hautement toxique, comme moyen sûr de contrôler les insectes mythiques qui propagent la maladie redoutée. Leur campagne de propagande a convaincu la population américaine que le DDT était la clé pour arrêter la propagation de la poliomyélite.
La polio décline soudainement
Sous la direction de deux médecins de l’Institut Rockefeller, Henry Kumm et Thomas Rivers, la National Foundation for Infantile Paralysis (NFIP) a rejeté les critiques telles que Biskind et Scobey. Les traitements naturels, comme l’administration intraveineuse de vitamine C pour la paralysie infantile, ont été rejetés d’emblée comme étant du « charlatanisme ».jeEn avril 1953, le Dr Henry Kumm, principal consultant du Rockefeller Institute sur le DDT, est devenu directeur de la recherche sur la polio pour le NFIP. Il a financé les recherches sur le vaccin contre la polio menées par Jonas Salk.
Un médecin courageux de Caroline du Nord, le Dr Fred R. Klenner, qui avait également étudié la chimie et la physiologie, eut l'idée d'administrer de fortes doses d'acide ascorbique (vitamine C) par voie intraveineuse, en partant du principe que ses patients étaient victimes d'un empoisonnement aux toxines et que la vitamine C était un puissant détoxifiant. C'était bien avant les recherches du Dr Linus Pauling sur la vitamine C, qui lui valut le prix Nobel. Klenner obtint en quelques jours des résultats remarquables sur plus de 200 patients lors des épidémies estivales de 1949 à 1951.L’Institut Rockefeller et l’AMA ne s’intéressaient pas aux perspectives de guérison. Eux et la National Foundation for Infantile Paralysis contrôlée par Rockefeller finançaient uniquement le développement du vaccin contre la polio, sur la base de l’affirmation non prouvée de Flexner selon laquelle la polio était un virus contagieux et non le résultat d’un poison environnemental.
Puis, à partir de 1951-1952, alors que les cas de polio atteignaient un niveau record, un phénomène inattendu commença à se produire. Le nombre de cas diagnostiqués comme étant de la polio aux États-Unis commença à diminuer. Le nombre de victimes de la polio diminua de façon spectaculaire, année après année, jusqu'en 1955, bien avant que la National Foundation et le vaccin antipoliomyélitique de Jonas Salk ne soient approuvés pour un usage public et ne soient largement utilisés.
Environ un an avant la baisse soudaine des cas de polio, le ministère américain de l’Agriculture a conseillé aux agriculteurs dont les vaches laitières souffraient des effets graves du DDT de réduire leur utilisation de cette substance. L’inquiétude croissante du public quant à la sécurité du DDT pour les humains, notamment les audiences du Sénat américain sur le DDT et la polio en 1951, ont également conduit à une baisse significative de l’exposition au DDT jusqu’en 1955, même si le DDT n’a été officiellement interdit aux États-Unis qu’en 1972.
Les cas de polio ont diminué d’environ deux tiers entre 1952 et 1956, ce qui est un parallèle remarquable avec le déclin de l’utilisation du DDT. C’est bien après ce déclin, fin 1955 et 1956, que le vaccin antipolio Salk, développé par Rockefeller, a été administré pour la première fois à de larges populations. Salk et l’AMA ont attribué tout le mérite au vaccin. Les décès et les paralysies résultant du vaccin Salk ont été passés sous silence. Le gouvernement a modifié la définition de la polio pour réduire encore davantage les cas officiels. Simultanément, les cas de maladies de la moelle épinière similaires à la polio – paralysie flasque aiguë, syndrome de fatigue chronique, encéphalite, méningite, syndrome de Guillain-Barré, sclérose musculaire – ont augmenté de manière notable.
Pourquoi c'est important
Il y a plus d’un siècle, l’homme le plus riche du monde, le baron du pétrole John D. Rockefeller, et son cercle de conseillers ont entrepris de réorganiser complètement la pratique de la médecine aux États-Unis et dans le reste du monde. Le rôle de l’Institut Rockefeller et de personnalités comme Simon Flexner a littéralement supervisé l’invention d’une fraude médicale colossale autour d’allégations selon lesquelles un germe contagieux étranger invisible, le virus de la polio, provoquait une paralysie aiguë et même la mort chez les jeunes. Ils ont interdit politiquement toute tentative de relier la maladie à un empoisonnement aux toxines, qu’il s’agisse de pesticides à base de DDT ou d’arsenic, ou même d’un empoisonnement à base de vaccins contaminés. Leur projet criminel incluait une coopération étroite avec la direction de l’AMA et le contrôle de l’industrie pharmaceutique naissante, ainsi que de l’enseignement médical. Le même groupe Rockefeller a financé l’eugénisme nazi dans les Instituts Kaiser Wilhelm en Allemagne dans les années 1930 ainsi que l’American Eugenics Society. Dans les années 1970, ils ont financé la création de semences OGM brevetées qui ont toutes été développées par le groupe de fabricants de pesticides chimiques Rockefeller : Monsanto, DuPont et Dow.
Aujourd’hui, ce contrôle de la santé publique et du complexe médico-industriel est exercé par le protégé de David Rockefeller et défenseur de l’eugénisme, Bill Gates , tsar autoproclamé de l’OMS et des vaccins mondiaux. Le Dr Tony Fauci , directeur du NIAID, dicte les mandats de vaccination sans preuve. La fraude à l’origine du scandale du virus de la polio après la Seconde Guerre mondiale a été affinée avec l’utilisation de modèles informatiques et d’autres ruses aujourd’hui, pour faire avancer un virus mortel après l’autre, du Covid19 à la variole du singe en passant par le VIH. Comme pour la polio, aucun de ces virus n’a été isolé scientifiquement et n’a été prouvé comme étant à l’origine des maladies alléguées. Aucun.
La même Fondation Rockefeller, aujourd’hui exonérée d’impôts et se faisant passer pour une organisation caritative philanthropique, est au cœur de la tyrannie médicale mondiale derrière le covid19 et l’agenda eugéniste du Great Reset du Forum économique mondial.
Leur modèle de virus de la poliomyélite les a aidés à créer cette tyrannie médicale dystopique. On nous dit de « faire confiance à la science ».
Vidéo : La mort mystérieuse de l'inventeur du test PCR, le prix Nobel Dr Kary Mullis Le critique le plus notoire du Dr Fauci
Par Greg Reese et le professeur Michel Chossudovsky Recherche mondiale, 22 décembre 2024
« La PCR est un processus. Elle ne vous dit pas que vous êtes malade. » – Dr Kary Mullis , (image de droite), lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, décédé en août 2019.
« … La totalité ou une partie substantielle de ces résultats positifs pourraient être dus à ce que l’on appelle des tests faussement positifs . » – Dr Michael Yeadon , scientifique distingué, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer
« Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est appliquée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements pour justifier des mesures excessives telles que la violation d’un grand nombre de droits constitutionnels, … sous prétexte d’une pandémie basée sur un nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre réel de patients . » – Dr Pascal Sacré, médecin belge spécialisé en soins intensifs et analyste réputé en santé publique.
« J’ai vu des efforts massifs déployés pour gonfler délibérément le nombre de décès dus au Covid en requalifiant les patients atteints de cancer, les victimes d’accident vasculaire cérébral et toutes sortes de décès normaux comme étant dus au Covid, en fait pratiquement n’importe qui montant dans une ambulance. Les méthodes utilisées pour ce faire étaient totalement défectueuses, les tests PCR par exemple étant effectués sur 45 cycles, nous savons tous qu’ils ne valent rien , et pourtant des gens sont euthanasiés sur cette base et parfois uniquement sur la base d’une radiographie pulmonaire. » – John O’Looney, directeur de pompes funèbres, Milton Keynes, Royaume-Uni
Dès le début de cette crise en janvier 2020, toutes les décisions politiques de grande envergure, confirmées et présentées au public comme un « moyen de sauver des vies », étaient fondées sur des cas positifs de RT-PCR erronés et invalides.
Ces « estimations » invalides de la COVID-19 ont été utilisées pour justifier le confinement, la distanciation sociale, le port du masque, l’interdiction des rassemblements sociaux, des événements culturels et sportifs, la fermeture de l’activité économique, ainsi que l’application du « vaccin » à ARNm lancé en novembre 2020. Il n’existe pas de « cas confirmé de COVID-19 » . – Michel Chossudovsky, professeur d’économie (émérite), Université d’Ottawa.
Le regretté Dr Kary Mullis, l'inventeur du test PCR, dénonce Fauci et les grandes sociétés pharmaceutiques depuis 30 ans.
Production vidéo et analyse exceptionnelles de Greg Reese
VIDÉO. Le test de réaction en chaîne par polymérase par Greg Reese
- voir clip sur site -
Que l’héritage du regretté Dr Kary Mullis perdure.
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La méthodologie biaisée appliquée sous les directives de l'OMS pour détecter la propagation présumée du virus est le test de réaction en chaîne par polymérase à transcription inverse (RT-PCR) , qui est systématiquement appliqué dans le monde entier depuis février 2020. (Ce texte ci-dessous est un extrait du livre de Michel Chossudovsky, août 2022 )
La polymérase de transcription inverse Test de réaction en chaîne (RT-PCR)
par Michel Chossudovsky
Le test RT-PCR a été utilisé dans le monde entier pour générer des millions de « cas confirmés de COVID-19 » erronés, qui sont ensuite utilisés pour entretenir l’illusion que la prétendue pandémie est réelle.
Cette évaluation fondée sur des chiffres erronés a été utilisée pendant trois ans et demi pour lancer et entretenir la campagne de peur.
Le terme « confirmé » est une erreur de langage. Un « cas positif confirmé par RT-PCR » n’implique pas nécessairement un « cas confirmé de COVID-19 ».
« Un RT-PCR positif n’est pas synonyme de la maladie COVID-19 ! Les spécialistes de la PCR précisent qu’un test doit toujours être comparé au dossier clinique du patient testé , à l’état de santé du patient pour confirmer sa valeur [fiabilité]. » ( Dr Pascal Sacré)
La procédure utilisée par les autorités sanitaires nationales consiste à classer tous les cas positifs au test RT-PCR comme « cas confirmés de COVID-19 » (avec ou sans diagnostic médical). Ironiquement, ce processus routinier d'identification des « cas confirmés » déroge aux propres directives du CDC :
« La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou que le 2019-nCoV est l’agent causal des symptômes cliniques. La performance de ce test n’a pas été établie pour le suivi du traitement de l’infection par le 2019-nCoV. Ce test ne peut pas exclure les maladies causées par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux . » (soulignement ajouté)
La méthodologie utilisée pour détecter et estimer la propagation du virus est défectueuse et invalide.
Faux positifs
Le débat précédent, au début de la crise, portait sur la question des « faux positifs ».
Reconnu par l'OMS et le CDC, le test RT-PCR était connu pour produire un pourcentage élevé de faux positifs. Selon le Dr Pascal Sacré :
« Aujourd’hui, les autorités testent davantage de personnes, ce qui veut dire que les tests RT-PCR sont plus positifs. Cela ne signifie pas que le COVID-19 va revenir, ni que l’épidémie se propage par vagues. Il y a plus de personnes testées, c’est tout. »
Le débat sur les faux positifs (reconnus par les autorités sanitaires) pointe du doigt des erreurs dites « d’erreur » sans pour autant remettre en cause la validité globale du test RT-PCR comme moyen de détection de la prétendue propagation du virus SARS-CoV-2.
Le test PCR ne détecte pas l'identité du virus
Le test RT-PCR ne permet pas d'identifier ni de détecter le virus. Le test PCR permet d'identifier des fragments génétiques de nombreux virus (y compris les virus de la grippe de types A et B et les coronavirus qui déclenchent le rhume).
Les résultats du test RT-PCR ne peuvent pas « confirmer » si une personne qui se soumet au test est infectée par le SRAS-CoV-2.
Les échecs du test PCR, des chiffres ridiculement bas
Même si le nCoV 2019 avait été détecté et dûment identifié, le nombre de cas positifs confirmés (cumulatifs) par PCR-RT au cours de la période précédant le 11 mars 2020, utilisé comme justification pour imposer le confinement de plus de 190 pays, était ridiculement bas . Les 80 981 cas pour la Chine concernent également les cas positifs confirmés (cumulatifs) par PCR. Notez que les nouveaux cas en Chine (PCR positifs) au 12 mars 2020 sont de l'ordre de « 321 nouveaux »
- voir cadre sur site -
Pour plus de détails, voir :
L’OMS confirme que le test PCR Covid-19 est erroné : les estimations de « cas positifs » n’ont aucun sens. Le confinement n’a aucune base scientifique
Par le professeur Michel Chossudovsky , 10 décembre 2023
Il n’y a jamais eu de « nouveau coronavirus », il n’y a jamais eu de pandémie,
Par le professeur Michel Chossudovsky , 3 novembre 2024
Le 13 janvier 2021, l’OMS a reconnu que le test PCR n’était pas valide. Le texte officiel de l’OMS intitulé « Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SARS-CoV-2 » est présenté dans l’annexe ci-dessous.
Le Mea Culpa de l'OMS par Michel Chossudovsky
Les directives de l'OMS concernant les tests de diagnostic du SARS-CoV-2 stipulent qu'une interprétation prudente des résultats positifs faibles est nécessaire ( 1 ). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente.
L’OMS rappelle aux utilisateurs de dispositifs de diagnostic in vitro que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positif augmente ( 2 ). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée.
« Les positifs non valides » est le concept sous-jacent
Il ne s’agit pas d’une question de « faibles positifs » et de « risque d’augmentation des faux positifs ». Ce qui est en jeu, c’est une « méthodologie défectueuse » qui conduit à des estimations non valides.
Ce que confirme cet aveu de l’OMS, c’est que l’estimation de la positivité au covid issue d’un test PCR (avec un seuil d’amplification de 35 cycles ou plus) n’est pas valide . Dans ce cas, l’OMS recommande de refaire le test : « un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté… ».
L’OMS appelle à « refaire les tests » , ce qui revient à dire « nous avons fait une erreur ».
Cette recommandation est une formalité. Elle n'aura pas lieu. Des millions de personnes dans le monde ont déjà été testées, à partir de début février 2020. Néanmoins, nous devons conclure que, à moins d'être à nouveau testées, ces estimations (selon l'OMS) ne sont pas valables.
Depuis le début, le test PCR est systématiquement appliqué à un seuil d'amplification Ct de 35 ou plus, conformément aux recommandations de l'OMS de janvier 2020. Cela signifie que la méthodologie PCR telle qu'elle est appliquée dans le monde entier a conduit à la compilation de statistiques Covid erronées et trompeuses.
Et ce sont ces statistiques qui sont utilisées pour mesurer la progression de la soi-disant « pandémie ». Au-delà d’un cycle d’amplification de 35 ou plus, le test ne détectera pas de fragments du virus. Par conséquent, les « chiffres officiels du Covid » n’ont aucun sens.
Il s’ensuit qu’il n’existe aucune base scientifique permettant de confirmer l’existence d’une pandémie.
Ce qui signifie à son tour que le confinement/les mesures économiques qui ont entraîné la panique sociale, la pauvreté de masse et le chômage (soi-disant pour freiner la propagation du virus) n'ont aucune justification.
Selon l'avis scientifique :
« Si une personne est testée positive par PCR lorsqu'un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c'est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne soit réellement infectée est inférieure à 3 % , la probabilité que ce résultat soit un faux positif est de 97 % (Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, Clare Craig, Kevin McKernan, et al, Critique de l'étude Drosten )
- voir cadre sure site -
Comme indiqué ci-dessus, « la probabilité que ce résultat soit un faux positif est de 97 % » : il s’ensuit que l’utilisation de la détection > 35 cycles contribuera de manière indélébile à « augmenter » le nombre de « faux positifs ».
Au moment où nous écrivons ces lignes (mi-mars 2021), malgré la rétractation de l’OMS, le test PCR est largement utilisé pour faire grimper les chiffres en vue de maintenir la campagne de peur, de justifier les politiques de confinement en cours ainsi que la mise en œuvre du vaccin Covid.
Ironiquement, les chiffres erronés basés sur des « positifs non valides » sont à leur tour manipulés pour assurer une tendance à la hausse des soi-disant « cas confirmés de Covid-19 ».
De plus, ces tests PCR ne sont pas systématiquement accompagnés d’un diagnostic médical des patients testés.
Et maintenant, les autorités sanitaires nationales ont émis de (faux) avertissements concernant une « troisième vague » dans le cadre de leur campagne de propagande en faveur du vaccin contre le Covid-19.
L'OMS confirme que la procédure de test PCR Covid telle qu'appliquée n'est pas valide. Il n'existe absolument aucune base scientifique pour la mise en œuvre du vaccin Covid.
Tant l’OMS que l’évaluation scientifique de Pieter Borger et al (citée ci-dessus) confirment sans équivoque que les tests adoptés par les gouvernements pour justifier le confinement et la déstabilisation des économies nationales sont INVALIDES.
Données invalides et jeu des nombres
Il faut comprendre que ces « estimations invalides » sont les « chiffres » cités sans relâche 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 par les médias qui ont été utilisés pour alimenter la campagne de peur et « justifier » TOUTES les politiques mises en avant par les gouvernements :
confinement, fermeture de l'activité économique, la pauvreté et le chômage de masse, faillites distanciation sociale, masque facial, couvre-feu, le vaccin. le passeport santé Données non valides. Réfléchissez à deux fois avant de vous faire vacciner
Pour le texte complet de l'OMS daté du 13 janvier 2021 (Mea Culpa), voir ci-dessous
Vous trouverez ci-dessous la « rétractation » soigneusement formulée par l’OMS (en annexe) .
ANNEXE
Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SARS-CoV-2 Lien vers le document original de l'OMS
Type de produit : Technologies de test d'acide nucléique (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SARS-CoV-2
Date : 13 janvier 2021
Identifiant OMS : 2020/5, version 2
Public cible : professionnels de laboratoire et utilisateurs de DIV.
Objectif de cet avis : clarifier les informations précédemment fournies par l'OMS. Cet avis remplace l'avis d'information de l'OMS à l'intention des utilisateurs de dispositifs médicaux de diagnostic in vitro (DIV) 2020/05 version 1, publié le 14 décembre 2020.
Description du problème : L’OMS demande aux utilisateurs de suivre les instructions d’utilisation (IFU) lors de l’interprétation des résultats des échantillons testés à l’aide de la méthodologie PCR.
Les utilisateurs de DIV doivent lire et suivre attentivement le mode d’emploi pour déterminer si le réglage manuel du seuil de positivité de la PCR est recommandé par le fabricant.
Les recommandations de l'OMS concernant les tests diagnostiques pour le SARS-CoV-2 indiquent qu'il est nécessaire d'interpréter avec prudence les résultats positifs faibles ( 1 ). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente.
L’OMS rappelle aux utilisateurs de dispositifs de diagnostic in vitro que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positif augmente ( 2 ). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée.
La plupart des tests PCR sont indiqués comme une aide au diagnostic. Par conséquent, les prestataires de soins de santé doivent tenir compte de tout résultat en combinaison avec le moment de l'échantillonnage, le type d'échantillon, les spécificités du test, les observations cliniques, les antécédents du patient, le statut confirmé de tout contact et les informations épidémiologiques.
Veuillez lire attentivement la notice d'utilisation dans son intégralité. Contactez votre représentant local si un aspect du mode d’emploi ne vous paraît pas clair. Vérifiez le mode d'emploi de chaque envoi entrant pour détecter toute modification du mode d'emploi. Fournissez la valeur Ct dans le rapport au prestataire de soins de santé demandeur. Remarques
1. Tests de diagnostic du SRAS-CoV-2. Genève : Organisation mondiale de la Santé ; 2020, numéro de référence OMS WHO/2019-nCoV/laboratory/2020.6.
2. Altman DG, Bland JM. Tests diagnostiques 2 : valeurs prédictives. BMJ. 1994 9 juillet ;309(6947):102. doi : 10.1136/bmj.309.6947.102.
La FDA met à jour le rappel d'un médicament contre l'hypertension en raison d'un possible cancérigène
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 22 DÉCEMBRE 2024 - 01:50 Rédigé par Jack Phillips via The Epoch Times
Un troisième médicament contre l'hypertension a été rappelé aux États-Unis au cours des dernières semaines, selon un avis mis à jour sur le site Web de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis le 16 décembre.
L'avis indique qu'Aurobindo Pharma USA Inc., basée dans le New Jersey, rappelle les comprimés de Nebivolol en doses de 2,5 milligrammes dans des flacons de 30 comprimés, qui ne sont disponibles que sur ordonnance. Le Nebivolol, un type de bêtabloquant, est utilisé pour traiter l'hypertension artérielle.
Le rappel est dû à la « présence d'impuretés liées à la substance médicamenteuse nitrosamine », ajoutant que les niveaux de N-nitroso nébivolol découverts sont supérieurs à la « limite d'absorption acceptable », a-t-il déclaré. Le N-nitroso nébivolol est une nitrosamine et est considéré comme mutagène.
Le rappel a été lancé par Aurobindo au début du mois. La FDA a classé le rappel dans la classe II le 16 décembre, ce qui se produit lorsqu'il y a un faible risque de blessure ou de décès et une possibilité d'« événements indésirables » pouvant avoir des effets irréversibles. Ils sont émis si le produit peut causer des problèmes de santé médicalement réversibles ou temporaires, ou s'il existe un faible risque de conséquences graves sur la santé.
Les numéros de lot rappelés sont : NB0224001A et NB0224001B. Sa date d'expiration est avril 2027 et son code national des médicaments, ou NDC, est 59651-137-30, selon la FDA.
Les nitrosamines sont des composés qui peuvent augmenter le risque de cancer chez les individus exposés à ces substances au-delà des niveaux établis par la FDA, ou pendant de longues périodes, indique l’agence sur son site Internet.
« Une personne prenant un médicament contenant des nitrosamines à des niveaux égaux ou inférieurs aux limites d’apport journalier acceptables tous les jours pendant 70 ans ne devrait pas avoir de risque accru de cancer », ajoute la FDA.
Les personnes qui prennent des médicaments contenant d’éventuelles « impuretés de nitrosamines ne doivent pas arrêter de prendre leurs médicaments » et doivent plutôt en parler à un professionnel de la santé.
Les nitrosamines peuvent être trouvées en petites quantités dans l’environnement et les aliments, notamment « dans la viande, les légumes et les produits laitiers », indique la FDA.
Certains scientifiques ont émis des avertissements concernant ce qu’ils décrivent comme une contamination généralisée aux nitrosamines dans les médicaments pharmaceutiques, notant qu’ils sont classés comme des impuretés mutagènes connues de classe 1 par le Conseil international pour l’harmonisation des exigences techniques relatives aux produits pharmaceutiques à usage humain, un organisme de santé mondial.
En 2023, un article de recherche publié dans le Journal of Pharmaceutical Analysis a révélé que la présence de ces composés « a soulevé des inquiétudes mondiales en matière de sécurité en raison de leurs effets génotoxiques et mutagènes importants » et que ces « impuretés, même en quantités infimes, sont hautement toxiques et mutagènes, capables d’endommager l’ADN et d’augmenter par la suite le risque d’incidence du cancer ».
Autres rappels récents
Au cours des deux derniers mois, deux autres médicaments utilisés pour traiter l’hypertension artérielle ont été rappelés aux États-Unis, selon les avis de rappel de la FDA.
En novembre, la société new-yorkaise Evaric Pharmaceuticals Inc. a rappelé environ 200 600 flacons de ses comprimés de lisinopril en doses de 10 milligrammes après qu’un « pharmacien a découvert un fragment métallique intégré dans un comprimé de lisinopril de 10 mg ». Le rappel concerne les comprimés de lisinopril en doses de 10 milligrammes dans des flacons de 90 comprimés.
Quelques semaines auparavant, Lupin Pharmaceuticals, une société basée dans le Maryland, avait rappelé en octobre un autre médicament contre l’hypertension, le Ramipril, parce que « l’ingrédient pharmaceutique actif provenait d’un fournisseur non agréé », a déclaré la FDA.
Le rappel concerne les gélules de Ramipril en dosage de 2,5 milligrammes dans des flacons de 90, 100 et 500 comprimés, selon l’avis. Le médicament, un inhibiteur de l’enzyme de conversion de l’angiotensine (ECA) utilisé pour traiter l’hypertension artérielle, n’est disponible que sur ordonnance.
Le Sénateur Alain Houpert obtient l’annulation de deux décisions sur trois de la Chambre disciplinaire de première instance de l’Ordre des Médecins
le 21 décembre 2024 - 10:49 Alain Houpert
Après la sanction par Chambre disciplinaire de première instance de l’Ordre des Médecins, en novembre 2022, qui lui inflige une interdiction d’exercer la médecine pour 9 mois, et suite à trois plaintes émanant du Conseil national de l'Ordre des médecins, de quatre médecins de Côte-d'Or, et du syndicat UFML, pour infraction au Code de déontologie médicale, le sénateur et médecin Alain Houpert faisait appel de la décision.
Le 18 décembre 2024, la Chambre disciplinaire nationale annulait deux des trois sanctions, arguant d’une violation du principe juridique non bis in idem (interdiction de sanctions multiples pour les mêmes faits). Elle maintenait malgré tout une suspension de trois mois liée à la plainte du Conseil National de l’Ordre, affirmant que les déclarations en question ne relevaient pas d’un débat politique de santé publique.
Fort de ces avancées le sénateur, soutenu par son avocat Thomas Benages, conteste désormais cette dernière décision, qu’il considère comme une atteinte à la liberté d’expression des parlementaires de l’opposition, et fait appel devant le Conseil d’État, s’appuyant sur la jurisprudence de la Cour Européenne des Droits de l’Homme (arrêt Castells c/ Espagne, 1992) qui protège la liberté d’expression des élus, même hors du cadre parlementaire. Le sénateur s’émeut d’une ingérence des instances ordinales dans le débat démocratique et un musellement des voix dissidentes.
Une étude de Yale révèle que les protéines de pointe des vaccins COVID persistent pendant DEUX ANS : Les vaccins à ARNm réécrivent-ils l'ADN humain ?
21/12/2024 Lance D Johnson
Des scientifiques de Yale ont découvert la protéine de pointe COVID chez des individus vaccinés jusqu'à deux ans après la vaccination. Une étude suggère que le matériel génétique de l'ARNm peut s'intégrer à l'ADN humain, activant ainsi les structures de fabrication de protéines. Le Dr Akiko Iwasaki, scientifique de renom qui a initialement soutenu les vaccins à ARNm, dirige désormais l'étude.
Les sceptiques des vaccins mettent en garde contre les risques de contamination de l'ADN, citant des preuves d'ARNm auto-réplicatif et de transcription inverse. Des recherches révèlent que les vaccins à ARNm peuvent induire une inflammation chronique, une coagulation sanguine et des lésions neurologiques. Les résultats remettent en cause les affirmations selon lesquelles l'ARNm aurait des effets temporaires et localisés, ce qui soulève des inquiétudes quant aux impacts à long terme sur la santé. Des preuves suggèrent que les individus vaccinés peuvent devenir des « super-propagateurs » de protéines de pointe, mettant potentiellement en danger la santé publique. Des chercheurs trouvent des protéines de pointe chez des personnes vaccinées DEUX ANS après l'inoculation
Les scientifiques tirent la sonnette d'alarme quant aux conséquences à long terme de ces injections expérimentales contre la COVID-19. De nouvelles découvertes de l'Université Yale suggèrent que le matériel génétique des vaccins à ARNm pourrait non seulement persister dans le corps humain, mais également s'intégrer à l'ADN humain, modifiant fondamentalement notre code génétique. Cette découverte inquiétante a de profondes implications pour la santé de milliards de personnes dans le monde et soulève des questions urgentes sur l'éthique et la sécurité de la technologie des vaccins à ARNm.
Des chercheurs de Yale ont identifié des protéines de pointe COVID dans le sang de personnes vaccinées, jusqu'à deux ans après avoir reçu leur injection. Fait crucial, ces personnes n'ont jamais été infectées par le virus, comme l'ont confirmé des tests d'anticorps. Le système immunitaire détruit généralement les protéines de pointe nouvellement produites, mais la persistance de ces protéines suggère que certaines personnes vaccinées peuvent les produire de manière indépendante. Une explication plausible est que le matériel génétique délivré par les vaccins s'est intégré aux gènes humains, activant les structures de fabrication de protéines dans les cellules. Si cela se confirme, cela marquerait un changement radical dans notre compréhension de la sécurité des vaccins à ARNm.
Les implications de cette découverte sont stupéfiantes. Plus d’un milliard de personnes dans le monde ont reçu des vaccins à ARNm contre la COVID, et la possibilité que ces vaccins modifient l’ADN humain change la donne. Les conséquences pourraient s’étendre bien au-delà des risques sanitaires immédiats du Covid-19, entraînant potentiellement une inflammation chronique, des troubles auto-immuns et des lésions organiques à long terme. Les protéines de pointe produites par ces vaccins ne sont pas bénignes ; elles sont connues pour provoquer des caillots sanguins, des inflammations neurologiques et même des formations de type prion dans le cerveau, qui sont liées à la maladie d’Alzheimer.
La chercheuse principale de cette étude révolutionnaire est la Dre Akiko Iwasaki, immunologiste de renom et ancienne présidente de l’American Association of Immunologists. La Dre Iwasaki était autrefois une fervente partisane des vaccins à ARNm, rejetant les inquiétudes concernant leur sécurité comme « absurdes ». Cependant, les conclusions de son équipe suggèrent désormais que ces inquiétudes étaient peut-être fondées depuis le début. L’étude, baptisée LISTEN, a débuté en 2022 et a recruté environ 3 000 participants ayant signalé des blessures post-vaccinales. Les chercheurs ont trouvé des protéines de pointe dans les échantillons de sang des participants plus de 700 jours après leur dernière injection d’ARNm, une découverte qui remet en cause le récit des effets temporaires et localisés de l’ARNm.
Bienvenue dans le côté obscur du transhumanisme
La possibilité d’une intégration génétique n’est pas une préoccupation nouvelle chez les sceptiques des vaccins. Certains chercheurs avertissent depuis longtemps que les vaccins à ARNm pourraient contaminer l’ADN humain, un processus connu sous le nom de « transfection ». Le processus de fabrication des vaccins à ARNm implique l’utilisation de plasmides d’ADN, ce qui peut conduire à de petites quantités de contamination de l’ADN dans le produit final. Alors que les normes fédérales limitent la contamination autorisée de l’ADN à 10 nanogrammes par dose, les nanoparticules lipidiques utilisées pour protéger l’ARNm peuvent également protéger les contaminants de l’ADN, leur permettant potentiellement de s’intégrer dans les gènes humains.
Des recherches récentes menées par Kevin McKernan et d’autres chercheurs ont fourni de nouvelles preuves de la contamination de l’ADN dans les flacons de vaccins, soulevant des questions sur l’adéquation des normes réglementaires actuelles. Le Dr Richard M. Fleming, cardiologue nucléaire, a également averti que les vaccins à ARNm sont auto-réplicatifs et pourraient transformer les individus en « usines à protéines de pointe sans fin ». Ses recherches suggèrent que la séquence génétique du SARS-CoV-2 est conçue pour s’auto-assembler et s’auto-amplifier, s’intégrant dans l’ADN humain par transcription inverse. Ce processus pourrait détourner l’expression génétique saine, entraînant une inflammation chronique et des lésions organiques pour les années à venir.
Les conséquences de ces découvertes ne sont rien moins qu’alarmantes. Les personnes vaccinées pourraient non seulement souffrir de conséquences à long terme sur leur santé, mais pourraient également devenir des « super-propagateurs » de protéines de pointe, mettant potentiellement en danger la santé publique pendant des générations. L’idée que les vaccins à ARNm pourraient réécrire l’ADN humain et transformer les individus en vecteurs perpétuels d’armes biologiques est une perspective effrayante, qui s’aligne sur le domaine émergent du transhumanisme. Alors que les mises à jour génétiques deviennent la norme, la frontière entre l’humain et la machine s’estompe, soulevant des questions éthiques sur l’autonomie, le consentement et l’avenir de l’humanité.
Une nouvelle étude démystifie la sécurité cardiaque CAMPAGNE DE diffamation menée contre la thérapie combinée à l'hydroxychloroquine
20/12/2024 Lance D Johnson
Une nouvelle étude démystifie les inquiétudes concernant la sécurité cardiaque de l'hydroxychloroquine (HCQ) associée à l'azithromycine, à la vitamine C, à la vitamine D et au zinc. Malgré le dénigrement du protocole, l'étude ProgenaBiome ne trouve aucun risque cardiaque significatif chez les patients COVID-19 gravement malades traités avec ce protocole.
En utilisant une surveillance continue de l'ECG et une analyse statistique, l'étude conclut que le protocole est une option sûre et viable pour le traitement du COVID-19.
La recherche remet en question la suppression des traitements alternatifs du COVID-19, citant des controverses et une rétractation contraire à l'éthique d'études antérieures sur l'HCQ et l'azithromycine. Les intérêts biopharmaceutiques privilégient le profit à la santé publique, en promouvant des vaccins à ARNm plus coûteux.
Une étude exhorte les parties prenantes à donner la priorité aux politiques fondées sur des preuves et aux traitements accessibles.
L'HCQ, l'azithromycine, les vitamines C et D et le zinc sont à nouveau sans danger Dans une révélation stupéfiante qui remet en cause le discours dominant sur les traitements contre la COVID-19, une nouvelle recherche publiée dans la revue BMC Cardiovascular Disorders a définitivement démystifié les inquiétudes concernant la sécurité cardiaque de l'hydroxychloroquine associée à l'azithromycine, à la vitamine C, à la vitamine D et au zinc (HAZDPac). L'étude ProgenaBiome, menée par une équipe de chercheurs réputés dont Sabine Hazan, Adriana C. Vidal, Nicolas Hulscher, Amelia Goudzwaard, Peter A. McCullough et Alon A. Steinberg, fournit des preuves cruciales que cette thérapie combinée ne présente pas de risques cardiaques significatifs.
La présente étude, un essai de phase II en double aveugle randomisé contrôlé par placebo, a méticuleusement surveillé 83 patients COVID-19 gravement malades sur une période de 10 jours. Les patients recevant un traitement HAZDPac n'ont montré aucun allongement significatif de l'intervalle QTc par rapport à ceux sous placebo. Cette découverte est particulièrement significative car les inquiétudes concernant l'allongement de l'intervalle QTc ont été un obstacle majeur à l'utilisation de l'hydroxychloroquine pour le traitement de la COVID-19.
La conception de la recherche a utilisé une surveillance continue de l'ECG, ce qui a permis à l'équipe de recueillir des données très précises. À l'aide de tests t à deux échantillons, les chercheurs ont analysé les intervalles QTc enregistrés chez les patients du groupe de traitement et ceux sous placebo, sans qu'aucune différence significative ne soit observée. La conclusion de l'étude est sans équivoque : HAZDPac, une thérapie combinée puissante, reste une option sûre et viable pour traiter la COVID-19, et son utilisation n'entraîne pas de complications cardiaques.
Les résultats sont particulièrement remarquables à la lumière des débats éthiques en cours autour de la suppression des traitements alternatifs de la COVID-19. L'un de ces épisodes controversés concerne la rétractation d'une étude historique sur l'hydroxychloroquine et l'azithromycine publiée par la même équipe de recherche. Cette étude avait été largement citée par 6 713 scientifiques et chercheurs pendant quatre ans avant d'être injustement retirée de la circulation. Une telle rétractation soulève de sérieuses questions sur l'intégrité de la recherche scientifique et les motivations derrière de telles actions.
Un complexe biopharmaceutique conspire pour faire taire, vilipender et retirer des études sur des traitements utiles contre la COVID-19 Cette rétractation, qualifiée d'acte de « suppression contraire à l'éthique » par la communauté scientifique, est considérée comme faisant partie d'une stratégie plus large des intérêts biopharmaceutiques visant à privilégier le profit au détriment de la santé publique. « Le complexe biopharmaceutique », comme l'ont appelé certains critiques, est accusé de minimiser ou de censurer systématiquement les preuves qui pourraient soutenir l'utilisation de traitements moins chers, plus sûrs et plus accessibles comme l'hydroxychloroquine. La campagne de diffamation contre l'HCQ, par exemple, a conduit à des publications affirmant que l'HCQ avait causé 17 000 décès. Cela a été démasqué comme une fraude. Cette stratégie a ouvert la voie à la promotion de vaccins à ARNm plus coûteux et du remdesivir, imposés aux patients en vertu d'une autorisation d'utilisation d'urgence.
Malgré les défis importants rencontrés, les auteurs de cette étude restent inébranlables dans leur engagement envers la vérité scientifique et la santé publique. « Nous continuerons à mener, soutenir et diffuser des recherches de haute qualité », a déclaré le professeur Peter A. McCullough, une figure clé de la communauté scientifique. « Il est de notre devoir de maintenir l'intégrité scientifique et de veiller à ce que des traitements efficaces parviennent à ceux qui en ont besoin. »
Les implications de ces résultats sont profondes. Non seulement elles suggèrent que l’hydroxychloroquine est sans danger pour une utilisation ambulatoire, mais elles remettent également en question la dynamique du marché qui a régi la réponse à la pandémie. Si l’hydroxychloroquine s’avère être un traitement efficace et accessible, les implications pour les politiques de santé mondiales et l’accessibilité financière des soins pourraient être profondes.
Alors que la communauté scientifique continue de se débattre avec des défis éthiques et scientifiques dans le sillage de la pandémie, l’étude ProgenaBiome constitue un puissant témoignage de la résilience de la recherche scientifique et de l’engagement indéfectible envers la vérité et le bien-être public. C’est un appel à l’action pour que toutes les parties prenantes réévaluent leurs priorités et s’assurent que la recherche de traitements efficaces soit guidée par des preuves, et non par les diktats des intérêts commerciaux.
Berbérine : l'un des outils les plus puissants dont nous disposons pour réguler l'insuline
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 22 DÉCEMBRE 2024 - 21:10 Rédigé par Robert W Malone via The Epoch Times
Lors de la retraite du Brownstone Institute près de Hartford, dans le Connecticut, l'année dernière, j'ai entendu le Dr Paul Marik parler des médicaments réutilisés. Bien sûr, c'est l'une de mes passions depuis l'épidémie d'Ebola de 2014, avec la prise de conscience qu'un vaccin sûr et efficace ne pouvait pas être développé assez rapidement pour toute nouvelle maladie hautement infectieuse ou événement de menace biologique infectieuse émergente.
La berbérine étant dérivée de plantes, elle est considérée comme un nutraceutique. svf74/Shutterstock Malheureusement, notre gouvernement ou l'industrie pharmaceutique ne manifestent aucun intérêt à utiliser des médicaments réutilisés pour d'autres indications de maladies telles que le cancer. Et ce, malgré le fait que la modélisation informatisée, qui est très sophistiquée, suggère qu’il existe de nombreux médicaments pour lesquels le profil de sécurité du médicament déjà autorisé est bien connu, qui fonctionneraient bien pour divers types de cancer. Encore une fois, pas de profit, pas d’intérêt. Pas de fonds ou de soutien à la recherche. Une impasse.
De même, aux États-Unis, les « nutraceutiques » ne sont en grande partie pas réglementés, car ils existent dans la même catégorie que les compléments alimentaires et les additifs alimentaires par la FDA [Food and Drug Administration américaine]. Il n’y a aucun moyen pour une société pharmaceutique de faire d’énormes profits avec des médicaments réutilisés à moins de trouver un moyen de breveter le produit (formulations, co-administration avec d’autres agents, etc.). Même dans ce cas, cela peut être très difficile et comporte beaucoup de risques financiers – pour le faire passer par le processus de brevet (qui est plus difficile).
L’un des principaux exemples utilisés lors de la conférence de Marik lors de la retraite de Brownstone était le composé berbérine.
La berbérine étant dérivée de plantes, elle est considérée comme un nutraceutique. En conséquence, il existe peu d’essais cliniques randomisés et peu d’intérêt de la part des laboratoires pharmaceutiques ou du gouvernement pour ce médicament. Probablement parce qu’il n’y a pas de but lucratif en jeu. Par conséquent, la plupart d’entre nous n’en ont jamais entendu parler.
L’un des principaux arguments de Marik était que la berbérine semble être l’un des outils les plus puissants dont nous disposons pour réguler l’insuline et pourtant, comme il n’y a aucun profit à promouvoir ce produit, il n’y a presque pas de publicité ou de recherche significative sur ses avantages cliniques.
Les médecines traditionnelles utilisent de nombreuses plantes qui sont de véritables miracles que nous offre la nature. La berbérine se trouve dans de nombreuses plantes à travers le monde et est utilisée comme médicament essentiel dans le monde entier depuis plus de 3000 ans. Traditionnellement, ses utilisations ont beaucoup varié et comprennent le traitement des infections et des plaies, et comme antimicrobien pour divers types d’inflammation gastro-intestinale.
Les enzymes sont des protéines qui fonctionnent comme des catalyseurs biologiques dans le corps et agissent en accélérant les réactions chimiques. La berbérine agit en se liant à une variété d’enzymes individuelles et en modifiant leur efficacité.
Quels sont les bienfaits de la berbérine pour la santé ? (Remarque : il ne fait aucun doute que des recherches plus poussées sur ce composé sont nécessaires. Mais il existe des preuves accablantes que ce médicament présente de nombreux avantages pour la santé et ne doit pas être négligé lors de l’évaluation de l’utilisation de compléments alimentaires nutraceutiques.)
Athérosclérose
« L’athérosclérose est une maladie inflammatoire chronique des artères et est la cause sous-jacente d’environ 50 % de tous les décès dans la société occidentalisée »
« La berbérine est un extrait d’herbes traditionnelles chinoises connu pour ses effets antimicrobiens et anti-inflammatoires dans le système digestif. Ses mécanismes anti-MCV (maladies cardiovasculaires) sous-jacents suscitent actuellement l’intérêt, et ses actions pharmacologiques, telles que l’antioxydation, la régulation des neurotransmetteurs et des enzymes et les effets hypocholestérolémiants, ont été confirmées. Des études récentes ont montré que la berbérine pouvait inhiber à la fois la prolifération et l’apoptose des cellules musculaires lisses vasculaires (VSMC) induites par un stress mécanique d’étirement, ce qui suggère que la berbérine pourrait être un excellent médicament pour traiter l’athérosclérose. » Frontiers in Pharmacology, 2021 Pression artérielle Il a été démontré que la berbérine aide à contrôler la pression artérielle.
Contrôle de la glycémie (régulation de l'insuline) Il a été démontré que la berbérine réduit considérablement la glycémie chez les patients diabétiques.
Une étude montre que la berbérine associée aux probiotiques a eu le plus grand effet sur la glycémie, bien que la berbérine seule ait également été cliniquement significative dans la réduction de la glycémie, alors que les traitements de contrôle par placebo et par probiotiques seuls étaient inefficaces dans ces études. Il a été noté que la berbérine induisait plus d'effets secondaires gastro-intestinaux par rapport aux groupes témoins.
« Les hommes randomisés pour recevoir de la berbérine ont eu des réductions plus importantes du cholestérol total (-0,39 mmol/L, intervalle de confiance (IC) à 95 % -0,70 à -0,08) et du cholestérol des lipoprotéines de haute densité (-0,07 mmol/L, IC à 95 % -0,13 à -0,01) après 12 semaines. En considérant les changements après 8 et 12 semaines ensemble, la berbérine a réduit le cholestérol total et peut-être le cholestérol des lipoprotéines de basse densité (LDL-c), et a peut-être augmenté la testostérone. » Nutrients, 2021.
La prise régulière de suppléments de berbérine semble réduire le cholestérol total, le « mauvais » cholestérol et les triglycérides chez les personnes ayant un taux de cholestérol élevé. Comme il ne s'agit pas d'une statine et qu'elle agit par d'autres voies que les médicaments à base de statine, elle peut être bénéfique pour les personnes qui souhaitent réduire leur cholestérol mais ne souhaitent pas prendre de statines ou qui y sont résistantes.
(La question des statines est complexe et pas aussi claire que beaucoup le pensent. Mais cet essai n’est pas le lieu pour cette discussion. Je vous promets cependant qu’à un moment donné, nous aborderons cette analyse).
Maladies cardiaques
Les personnes atteintes d’une maladie cardiaque souffrent souvent de fatigue et d’un rythme cardiaque irrégulier. Des études montrent que la prise de suppléments de berbérine associée à des traitements standard contre les maladies cardiaques réduit ces symptômes. La berbérine a réduit le risque de décès par maladie cardiaque sans effets secondaires apparents.
« Cent cinquante-six patients atteints d’ICC et de >90 complexes ventriculaires prématurés (VPC) et/ou de tachycardie ventriculaire non soutenue (TV) sous surveillance Holter 24 heures sur 24 ont été répartis au hasard en 2 groupes. Tous les patients ont reçu un traitement conventionnel pour l’ICC, composé d’inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine, de digoxine, de diurétiques et de nitrates. Les patients du groupe de traitement (n = 79) ont également reçu de la berbérine à raison de 1,2 à 2,0 g/jour. Les 77 patients restants ont reçu un placebo. » …
« Après un traitement à la berbérine, on a observé une augmentation significativement plus importante de la FEVG, de la capacité d’exercice, une amélioration de l’indice de dyspnée-fatigue et une diminution de la fréquence et de la complexité des CVP par rapport au groupe témoin. On a observé une diminution significative de la mortalité chez les patients traités à la berbérine lors du suivi à long terme… p < 0,02). » AM J Cardiology, 2003 Remarque : cette étude a été menée en 2003, et pourtant, l’American Heart Association n’a entendu que des sonnettes d’alarme concernant les bienfaits de la berbérine.
Plus de risque de contamination pour les enfants pfizerisés que pour les non injectés . la presse n’en parlera pas
le 22 décembre 2024 par pgibertie
Il n’y avait aucune différence dans le risque d’infection ou de COVID-19 symptomatique selon le seul statut vaccinal, quel que soit le moment de la vaccination ou le type de fabricant. Cependant, les participants naïfs vaccinés avec Pfizer-BioNTech étaient plus susceptibles d’être infectés et de présenter des symptômes du COVID-19 que les autres participants naïfs et non vaccinés (HR : 2,59 [IC 95 % : 1,27-5,28]), alors que les participants présentant des preuves d'infection antérieure et qui ont été vaccinés avec Pfizer-BioNTech étaient moins susceptibles d’être infectés (HR : 0,22 [IC 95% : 0,05-0,95]).
Quelques semaines après avoir introduit un nouveau vaccin antipaludique, le Congo est ravagé par une nouvelle forme grave de la maladie
le 22 décembre 2024 par pgibertie
LUBUMBASHI, République démocratique du Congo – Le ministère de la Santé a annoncé mardi qu’une maladie non identifiée circulant dans la zone de santé de Panzi est une forme grave de paludisme.
Les autorités locales ont annoncé plus tôt ce mois-ci que la maladie avait tué 143 personnes en novembre dans la zone de santé de Panzi. Les symptômes de la maladie sont de la fièvre, des maux de tête, de la toux, un nez qui coule et des courbatures.
« Le mystère est enfin résolu. Il s’agit d’un cas de paludisme grave sous forme de maladie respiratoire », a indiqué le ministère de la Santé dans un communiqué, ajoutant que la malnutrition dans la région avait affaibli la population locale, la rendant plus vulnérable aux maladies.
Le communiqué indique également que 592 cas ont été signalés depuis octobre, avec un taux de mortalité de 6,2 %.
@BanounHelene
Le ministère de la Santé de la République démocratique du Congo a annoncé aujourd’hui que la maladie précédemment non identifiée inventée comme « Maladie X » par les médias et les CDC africains circulant dans la zone de santé de Panzi a été confirmée comme une forme grave de paludisme
Juste avant le début de cette épidémie de paludisme, fin octobre, le Congo a introduit le nouveau vaccin contre le paludisme R21 dans son programme national de vaccination https://afro.who.int/countries/democratic-republic-of-congo/news/democratic-republic-congo-introduces-r21-malaria-vaccine…
Résultats de l’essai clinique de ce vaccin R21 contre le paludisme https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38310910/
5139 enfants de 5 mois à 3 ans Efficacité sur la protection contre le paludisme mesurée 14j après la 3è dose seulement (3 mois après la 1ère dose) Le placebo est le vaccin anti-rage très réactogène Il y a 18 morts dans l’essai Effets indésirables : 4 902 avec le R21 et 2 375 avec le vaccin rage EI graves : 88 avec R21/Matrix et 41 avec vaccin rage
Décès : 15 avec R21 et 3 avec vaccin rage Conclusion : le vaccin est bien toléré! Les vaccinés contre le paludisme ont autant ou plus de paludisme sévère que ceux vaccinés contre la rage
On ne sait si le vaccin antipaludique protège contre la rage !
Le président Biden envisage-t-il une « grâce préventive » pour le Dr Anthony Fauci ? Il savait que le remdesivir entraînerait des décès
Par le professeur Michel Chossudovsky Recherche mondiale, 22 décembre 2024
« RFK Jr. accuse désormais directement et de manière importante Anthony Fauci de meurtre de masse.
Fauci, en tant que responsable principal de la réponse du gouvernement fédéral à la COVID, a fortement encouragé l’utilisation du Remdesivir, à n’importe quel stade et pour les personnes de tous âges, au début de la « crise du COVID », en autorisant l’ajout de 20 % à la facture totale des hôpitaux de Medicare. Les dangers du Remdesivir étaient déjà bien connus. » ( Prius)
Le 29 avril 2020, six semaines après la déclaration de « l’état d’urgence » national, Fauci a annoncé depuis la Maison Blanche que le Remdesivir « sera la norme de soins » pour le COVID.
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RFK Jr., dans son livre intitulé Le vrai Anthony Fauci, documente les « 30 années d'abus de pouvoir de Fauci , à la fois pendant l'épidémie du VIH et la pandémie de COVID-19 »
Selon RFK Jr., Tony Fauci savait dès le début que le remdesivir tuerait .
Le Washington Post a salué l'annonce d'Anthony Fauci (29 avril 2020) :
« Les résultats préliminaires, dévoilés à la Maison Blanche par Anthony S. Fauci, … ne constituent pas une solution miracle ou un remède… Mais en l’ absence de traitement approuvé pour le Covid-19, a déclaré [Lie] Fauci, ce traitement deviendra la norme de soins pour les patients hospitalisés…
« Les données montrent que le remdisivir a un effet clair, significatif et positif sur la réduction du temps de guérison », a déclaré Fauci.
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Les décès résultant du Remdesevir ont été largement documentés
Le remdesivir, qui est à ce jour le principal médicament contre la COVID approuvé pour une utilisation dans les hôpitaux américains, provoque régulièrement de graves lésions organiques et, souvent, la mort.
Malgré cela, la Food and Drug Administration américaine a approuvé le remdesivir pour une utilisation en milieu hospitalier et ambulatoire chez les enfants dès l'âge d'un mois (Dr Joseph Mercola, c'est nous qui soulignons).
Dans une étude scientifique de 2020 ( Clinical Microbiology and Infection, 1er mai 2021), les chercheurs ont évalué le risque accru de bradycardie chez les patients atteints de COVID-19 qui ont été exposés au remdesevir. L'analyse a porté sur tous les rapports de patients atteints de COVID-19 enregistrés jusqu'au 23 septembre 2020.
Les chercheurs ont constaté que parmi les 2 603 cas de patients atteints de COVID-19 à qui on a prescrit du remdesivir, 302 ont développé des effets indésirables cardiaques, dont 94 (soit 31 %) étaient des bradycardies. Sur les 94 cas de bradycardie, 80 % étaient des cas graves et 16 étaient mortels. Par rapport à l'hydroxychloroquine (HCQ), au lopinavir/ritonavir, au tocilizumab ou aux glucocorticoïdes, l'utilisation du remdesivir était associée à un risque plus élevé de signaler une bradycardie.
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Une « grâce préventive » du président sortant ? Le « pardon préventif » est un nouveau concept juridique inversé proposé par Joe Biden. Sa légitimité a été acceptée par les médias grand public. Il consiste à accorder une grâce à des individus qui risquent à un moment donné d’être accusés de crimes qu’ils ont commis auparavant.
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Bien que plusieurs noms aient été mentionnés dans des articles de presse (dont celui de Fauci) ( ABC News, 9 décembre 2024 ), rien ne prouve que Biden ait accordé une grâce préventive à Tony Fauci.
« Les experts juridiques ont déclaré que Biden peut protéger les personnes que Trump considère comme ses ennemis politiques en leur accordant des grâces préventives »
Pas de pardon préventif pour Fauci…
Oups : pas de « grâce préventive » pour le président sortant des États-Unis.
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Michel Chossudovsky , Global Research, 22 décembre 2024
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Vous trouverez ci-dessous le chapitre du professeur Michel Chossudovsky sur le remdesivir, extrait de son livre électronique, La crise mondiale du coronavirus, coup d'État mondial contre l'humanité .
Le texte ci-dessous a été publié pour la première fois deux mois après l'annonce de Fauci du 29 avril 2020. Il confirme que le Remdesevir a donné des résultats
LancetGate : « Les mensonges scientifiques sur le coronavirus » et la corruption des grandes sociétés pharmaceutiques. Hydroxychloroquine contre Remdesivir de Gilead
Par le professeur Michel Chossudovsky , Recherche mondiale , 5 juillet 2020
Introduction
La lutte contre l’hydroxychloroquine (HCQ), un médicament bon marché et efficace pour le traitement du Covid-19, est en cours . La campagne contre l’HCQ se fait par le biais de déclarations politiques calomnieuses, de diffamations médiatiques, sans parler d’une « évaluation » officielle, revue par des pairs et publiée le 22 mai par The Lancet, qui s’appuie sur de faux chiffres et des essais cliniques.
L'étude aurait été basée sur l'analyse des données de 96 032 patients hospitalisés pour COVID-19 entre le 20 décembre 2019 et le 14 avril 2020 dans 671 hôpitaux du monde entier. La base de données avait été fabriquée. L'objectif était de tuer le traitement à l'hydroxychloroquine ( HCQ) pour le compte de Big Pharma.
Alors que l’article de The Lancet a été rétracté, les médias ont accusé avec désinvolture « une petite entreprise américaine » nommée Surgisphere, dont les employés comprenaient « un auteur de science-fiction et un mannequin de contenu pour adultes » d’avoir diffusé des « données erronées » (Guardian) . Cette société basée à Chicago a été accusée d’avoir induit en erreur l’OMS et les gouvernements nationaux, les incitant à interdire l’HCQ. Aucun de ces tests n’a réellement eu lieu.
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Bien que la faute ait été imputée à Surgisphere, la vérité tacite (que ni la communauté scientifique ni les médias n'ont reconnue) est que l'étude a été coordonnée par le professeur de Harvard Mandeep Mehra sous les auspices du Brigham and Women's Hospital (BWH), partenaire de la Harvard Medical School.
Lorsque l'escroquerie a été révélée , le Dr Mandeep Mehra, titulaire de la chaire de médecine distinguée Harvey au Brigham and Women's Hospital, s'est excusé :
J'ai toujours mené mes recherches dans le respect des normes éthiques et professionnelles les plus strictes. Cependant, nous ne pouvons jamais oublier la responsabilité qui nous incombe en tant que chercheurs de veiller scrupuleusement à nous appuyer sur des sources de données qui respectent nos normes élevées.
Il est désormais clair pour moi que dans mon espoir de contribuer à cette recherche à un moment où le besoin s’en faisait sentir, je n’ai pas fait assez pour m’assurer que la source de données était appropriée à cet usage. Pour cela, et pour toutes les perturbations – directes et indirectes – je suis sincèrement désolé. (souligné par nous)
Mandeep R. Mehra, MD, MSC ( déclaration officielle sur le site Web de BWH)
Mais ce message « sincèrement désolé » n’était que la pointe de l’iceberg. Pourquoi ?
Des études sur le Remdesivir et l'hydroxychloroquine (HCQ) de Gilead Science ont été menées simultanément par le Brigham and Women's Hospital (BWH)
Alors que le rapport de The Lancet (22 mai 2020) coordonné par le Dr Mandeep Mehra avait pour but de « tuer » la légitimité de l’HCQ comme remède contre le Covid-19, une autre étude importante (connexe) était menée (en parallèle) au BWH concernant le Remdesivir pour le compte de Gilead Sciences Inc. Le Dr Francisco Marty, spécialiste des maladies infectieuses et professeur associé à la Harvard Medical School, s’est vu confier la coordination des tests d’essais cliniques du médicament antiviral Remdesivir dans le cadre du contrat de Brigham avec Gilead Sciences Inc :
Le Brigham and Women's Hospital a commencé à recruter des patients pour deux essais cliniques sur le médicament antiviral remdesivir de Gilead. Le Brigham est l'un des nombreux sites d'essais cliniques pour une étude initiée par Gilead sur le médicament chez 600 participants atteints d'une maladie à coronavirus modérée (COVID-19) et une étude initiée par Gilead sur 400 participants atteints d'une forme grave de COVID-19.
… Si les résultats sont prometteurs, cela pourrait conduire à une approbation par la FDA, et s’ils ne le sont pas, cela nous donne des informations cruciales dans la lutte contre le COVID-19 et nous permet de passer à d’autres thérapies. »
Si le Dr Mandeep Mehra n’a pas été directement impliqué dans l’étude Gilead Remdesevir BWH sous la supervision de son collègue Dr Francisco Marty, il a néanmoins eu des contacts avec Gilead Sciences Inc : « Il a participé à une conférence sponsorisée par Gilead début avril 2020 dans le cadre du débat sur le Covid-19 » (France Soir, 23 mai 2020)
Quel était le but de son étude (qui a échoué) ? De saper la légitimité de l’hydroxychloroquine ?
Selon France Soir, dans un rapport publié après la rétractation de The Lancet :
Les réponses souvent évasives du Dr Mandeep R. Mehra , … professeur à la Harvard Medical School, n’ont pas suscité la confiance, alimentant plutôt le doute sur l’intégrité de cette étude rétrospective et de ses résultats . (France Soir, 5 juin 2020)
Le Dr Mandeep Mehra était-il en conflit d’intérêts ? (C’est une question que doivent trancher le BWH et la Harvard Medical School).
Qui sont les principaux acteurs ? Le Dr Anthony Fauci, conseiller de Donald Trump, présenté comme « le plus grand expert américain en maladies infectieuses », a joué un rôle clé dans le dénigrement du remède à base d'HCQ, approuvé des années plus tôt par le CDC, ainsi que dans la légitimation du Remdesivir de Gilead.
Le Dr Fauci est à la tête de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) depuis l'administration Reagan. Il est connu pour être le porte-parole de Big Pharma.
Le Dr Fauci a lancé le Remdesivir fin juin (voir détails ci-dessous). Selon Fauci, le Remdesivir est le « médicament miracle contre le coronavirus » développé par Gilead Science Inc. Il s'agit d'une aubaine de 1,6 milliard de dollars.
Gilead Sciences Inc : Histoire
Gilead Sciences Inc est une société biopharmaceutique de plusieurs milliards de dollars qui est aujourd'hui impliquée dans le développement et la commercialisation du Remdesivir. Gilead a une longue histoire. Elle bénéficie du soutien de grands conglomérats d'investissement, notamment Vanguard Group et Capital Research & Management Co, entre autres. Elle a développé des liens avec le gouvernement américain.
En 1999, Gilead Sciences Inc. a développé le Tamiflu (utilisé comme traitement contre la grippe saisonnière et la grippe aviaire). À l'époque, Gilead Sciences Inc. était dirigée par Donald Rumsfeld (1997-2001), qui a ensuite rejoint l'administration de George W. Bush en tant que secrétaire à la Défense (2001-2006). Rumsfeld était responsable de la coordination des guerres illégales et criminelles en Afghanistan (2001) et en Irak (2003).
Rumsfeld a maintenu ses liens avec Gilead Sciences Inc tout au long de son mandat de secrétaire à la Défense (2001-2006). Selon CNN Money (2005) : « La perspective d’une épidémie de grippe aviaire… était une très bonne nouvelle pour le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld [qui possédait toujours des actions Gilead] et d’autres investisseurs politiquement connectés à Gilead Sciences ».
Anthony Fauci est à la tête du NIAID depuis 1984, utilisant sa position comme « intermédiaire » entre le gouvernement américain et les grandes sociétés pharmaceutiques. Pendant le mandat de Rumsfeld en tant que secrétaire à la Défense, le budget alloué au bioterrorisme a considérablement augmenté, impliquant des contrats avec les grandes sociétés pharmaceutiques, dont Gilead Sciences Inc. Anthony Fauci considérait que l’argent alloué au bioterrorisme au début de 2002 :
« Accélérer notre compréhension de la biologie et de la pathogénèse des microbes qui peuvent être utilisés dans les attaques, ainsi que de la biologie des hôtes des microbes, c'est-à-dire les êtres humains et leur système immunitaire. L'un des résultats devrait être des vaccins plus efficaces et moins toxiques. » (Rapport WPo)
En 2008, le Dr Anthony Fauci a reçu la Médaille présidentielle de la liberté des mains du président George W. Bush « pour ses efforts déterminés et agressifs visant à aider les autres à vivre plus longtemps et en meilleure santé ».
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Projet Remdesivir 2020 de Gilead Sciences Inc. Nous nous concentrerons sur les documents (et événements) clés
Chronologie
21 février : Communiqué initial relatif à l'essai NIH-NIAID sur le placebo du remdesivir
10 avril : L'étude de Gilead Sciences Inc publiée dans le NEJM sur « l'usage compassionnel du Remdesivir »
29 avril : Communiqué du NIH : Étude sur le Remdesivir (Rapport publié le 22 mai dans le NEJM)
22 mai : L'étude BWH-Harvard sur l'hydroxychloroquine coordonnée par le Dr Mandeep Mehra publiée dans The Lancet
22 mai : Remdesivir pour le traitement de la Covid-19 — Rapport préliminaire National Institute of Allergy and Infectious Diseases, National Institutes of Health, New England Journal of Medicine, (NEJM)
5 juin : Le (faux) rapport du Lancet ( 22 mai) sur l'HCQ est rétracté.
29 juin : annonce de Fauci. Accord de 1,6 milliard de dollars entre le HHS et Gilead Sciences Inc. pour le traitement du Remdevisir
10 avril : L'étude de Gilead Sciences Inc. publiée dans le NEJM sur « l'usage compassionnel du Remdesivir »
Un rapport sponsorisé par Gilead a été publié dans le New England Journal of Medicine dans un article intitulé « Compassionate Use of Remdesivir for Patients with Severe Covid-19 » (Utilisation compassionnelle du remdesivir pour les patients atteints de la forme grave de la Covid-19) . Il a été co-écrit par une liste impressionnante de 56 médecins et scientifiques éminents, dont beaucoup ont bénéficié d’honoraires de consultation de Gilead Sciences Inc.
Gilead Sciences Inc. a financé l’étude, à laquelle ont participé plusieurs membres du personnel en tant que co-auteurs.
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Français Les tests ont porté sur un total de 61 patients [qui] ont reçu au moins une dose de remdesivir au plus tard le 7 mars 2020 ; 8 de ces patients ont été exclus en raison d'informations manquantes après la référence (7 patients) et d'une date de début de remdesivir erronée (1 patient)... Sur les 53 patients restants inclus dans cette analyse, 40 (75 %) ont reçu la cure complète de 10 jours de remdesivir, 10 (19 %) ont reçu 5 à 9 jours de traitement et 3 (6 %) moins de 5 jours de traitement.
L’article du NEJM indique que « Gilead Sciences Inc a commencé à accepter les demandes de médecins pour une utilisation compassionnelle du remdesivir le 25 janvier 2020 ». De qui, d’où ? Selon l’OMS (30 janvier 2020), il y a eu 82 cas dans 18 pays hors de Chine, dont 5 aux États-Unis, 5 en France et 3 au Canada.
Plusieurs médecins et scientifiques de renom ont émis des doutes sur l’étude Compassionate Use of Remdesivir menée par Gilead, en insistant sur la petite taille de l’essai. Ironiquement, le nombre de patients participant à l’essai est inférieur au nombre de co-auteurs : « 53 patients » contre « 56 co-auteurs »
Ci-dessous, nous fournissons des extraits de déclarations scientifiques sur le projet Gilead NEJM ( soulignement ajouté par Science Media Centre ) publiées immédiatement après la publication de l'article du NEJM :
« L'usage compassionnel est plus justement décrit comme l'utilisation d'une thérapie non autorisée pour traiter un patient parce qu'il n'existe aucun autre traitement disponible . Les recherches basées sur ce type d'utilisation doivent être traitées avec une extrême prudence car il n'y a pas de groupe témoin ni de randomisation, qui sont quelques-unes des caractéristiques des bonnes pratiques dans les essais cliniques. » Prof Duncan Richard , Clinical Therapeutics, University of Oxford.
« Il est essentiel de ne pas surinterpréter cette étude. Plus important encore, il est impossible de connaître les résultats pour ce groupe relativement restreint de patients s'ils n'avaient pas reçu de remdesivir. » Dr Stephen Griffin , professeur associé, faculté de médecine, université de Leeds.
« La recherche est intéressante mais ne prouve rien à ce stade : les données proviennent d'une petite étude non contrôlée. Simon Maxwell, professeur de pharmacologie clinique et de prescription, Université d'Édimbourg.
« Les données de cette étude sont quasiment impossibles à interpréter. Il est très surprenant, voire même contraire à l’éthique, que le New England Journal of Medicine les ait publiées. Il serait plus approprié de publier les données sur le site Internet de la société pharmaceutique qui a parrainé et rédigé l’étude. Gilead a au moins clairement fait savoir que cela n’a pas été fait de la manière dont un article scientifique de haute qualité serait rédigé. » Stephen Evans, professeur de pharmacoépidémiologie à la London School of Hygiene & Tropical Medicine.
« Il est très difficile de tirer des conclusions utiles d’études non contrôlées comme celle-ci, en particulier dans le cas d’une nouvelle maladie pour laquelle nous ne savons pas vraiment à quoi nous attendre et dont les résultats varient considérablement d’un endroit à l’autre et au fil du temps. Il faut vraiment s’interroger sur l’éthique de ne pas procéder à une randomisation – cette étude représente avant tout une occasion manquée. » Professeur Adam Finn, professeur de pédiatrie à l’université de Bristol.
Pour consulter le document complet du Centre Science Média relatif aux expertises, cliquez ici .
29 avril : étude des National Institutes of Health (NIH) sur Remdevisir.
Le 29 avril, suite à la publication de l'étude Gilead Sciences Inc dans le NEJM le 10 avril, un communiqué de presse des National Institutes of Health (NIH) sur le Remdevisir a été publié. Le document complet a été publié le 22 mai par le NEJM sous le titre :
Remdesivir pour le traitement du Covid-19 – Rapport préliminaire (NEJM)
L'étude a été lancée le 21 février 2020. Le titre du communiqué de presse du 29 avril était :
« Des données évaluées par des pairs montrent que le remdesivir pour le COVID-19 améliore le temps de guérison »
Il s'agit d'un rapport parrainé par le gouvernement qui comprend des données préliminaires issues d'un essai randomisé portant sur 1063 patients hospitalisés. Les résultats de l'essai intitulé Adaptive COVID-19 Treatment Trial (ACTT) sont préliminaires, menés sous la direction du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) du Dr Fauci :
Un comité indépendant de surveillance des données et de la sécurité (DSMB) supervisant l'essai s'est réuni le 27 avril pour examiner les données et a partagé son analyse intermédiaire avec l'équipe de l'étude. Sur la base de leur examen des données, ils ont noté que le remdesivir était meilleur que le placebo du point de vue du critère d'évaluation principal, le temps de récupération, une mesure souvent utilisée dans les essais sur la grippe. La récupération dans cette étude a été définie comme un état suffisamment bon pour une sortie de l'hôpital ou un retour à un niveau d'activité normal.
Les résultats préliminaires indiquent que les patients ayant reçu du remdesivir ont eu un temps de récupération 31 % plus rapide que ceux ayant reçu un placebo (p<0,001). Plus précisément, le temps médian de récupération était de 11 jours pour les patients traités par remdesivir contre 15 jours pour ceux ayant reçu un placebo. Les résultats suggèrent également un avantage en termes de survie, avec un taux de mortalité de 8,0 % pour le groupe recevant du remdesivir contre 11,6 % pour le groupe placebo (p=0,059).
Dans le rapport précédent du NIH du 21 février 2020 (publié au début de l'étude), la méthodologie était décrite comme suit :
… Un essai clinique randomisé et contrôlé visant à évaluer l’innocuité et l’efficacité de l’antiviral expérimental remdesivir chez les adultes hospitalisés diagnostiqués avec la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) …
Les chiffres. Où ? Quand ? Le rapport du 21 février confirme que le premier participant à l’essai est « un Américain rapatrié après avoir été mis en quarantaine sur le navire de croisière Diamond Princess » qui a accosté à Yokohama (eaux territoriales japonaises). « Treize personnes rapatriées par le département d’État américain du navire de croisière Diamond Princess » ont été sélectionnées comme patients pour l’essai placebo. Ironiquement, au début de l’étude, 58,7 % des « cas confirmés » dans le monde (542 cas sur 924) (hors Chine) se trouvaient à bord du Diamond Cruise Princess, d’où ont été sélectionnés les premiers patients sous placebo.
Où et quand : Le test expérimental dans les 68 sites sélectionnés ? Cela a eu lieu plus tard car le 19 février (données de l'OMS), les États-Unis n'avaient enregistré que 15 cas positifs (voir tableau ci-dessous).
« Au total, 68 sites ont finalement rejoint l’étude – 47 aux États-Unis et 21 dans des pays d’Europe et d’Asie. » (soulignement ajouté)
Dans le rapport final du NEJM du 22 mai intitulé Remdesivir pour le traitement du Covid-19 — Rapport préliminaire :
L'essai a été mené sur 60 sites et 13 sous-sites aux États-Unis (45 sites), au Danemark (8), au Royaume-Uni (5), en Grèce (4), en Allemagne (3), en Corée (2), au Mexique (2), en Espagne (2), au Japon (1) et à Singapour (1). Les patients éligibles ont été assignés au hasard selon un rapport 1:1 pour recevoir soit du remdesivir, soit un placebo. La randomisation a été stratifiée selon le site d'étude et la gravité de la maladie au moment de l'inscription.
Le Washington Post a salué l'annonce d'Anthony Fauci (29 avril) :
« Les résultats préliminaires, dévoilés à la Maison Blanche par Anthony S. Fauci, … ne constituent pas la solution miracle ou le remède… Mais en l’ absence de traitement approuvé pour le Covid-19, a déclaré [Lie] Fauci, il deviendra la norme de soins pour les patients hospitalisés… Les données montrent que le remdisivir a un effet clair, significatif et positif sur la réduction du temps de guérison », a déclaré Fauci.
Le premier essai clinique rigoureux du gouvernement sur le médicament expérimental remdesivir comme traitement contre le coronavirus a donné des résultats mitigés à la communauté médicale mercredi - mais a stimulé les marchés boursiers et suscité l'espoir qu'une arme précoce pour aider certains patients était à portée de main.
Les résultats préliminaires, dévoilés à la Maison Blanche par Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, qui a dirigé l'essai contrôlé par placebo, ont révélé que le médicament accélérait la guérison des patients hospitalisés mais n'avait qu'un effet marginal sur le taux de mortalité.
… Les remarques de Fauci ont renforcé les spéculations selon lesquelles la Food and Drug Administration demanderait une autorisation d’utilisation d’urgence qui permettrait aux médecins de prescrire le médicament.
En plus des essais cliniques, le remdesivir a été administré à plus de 1 000 patients dans le cadre d'un usage compassionnel. [fait également référence à l'étude Gilead publiée le 10 avril dans le NEJM]
L'étude, portant sur [plus de] 1 000 patients sur 68 sites aux États-Unis et dans le monde (??) , offre la première preuve (??) issue d'une vaste étude clinique (??) randomisée (??) sur l'efficacité du remdesivir contre le COVID-19.
L’étude du NIH sur le placebo a fourni des « résultats préliminaires ». Bien que l’essai sur le placebo ait été « randomisé », la sélection globale des patients sur les 68 sites n’a pas été entièrement randomisée. Voir le rapport complet.
22 mai : Le faux rapport du Lancet sur l'hydroxychloroquine (HCQ)
Il convient de noter que le rapport complet du NIH-NIAID) intitulé Remdesivir pour le traitement du Covid-19 - Rapport préliminaire a été publié le 22 mai 2020 dans le NEJM, le même jour que le rapport controversé du Lancet sur l'hydroxychloroquine.
Immédiatement après sa publication, les médias se sont déchaînés, dénigrant le remède à base d'HCQ, tout en applaudissant le rapport NIH-NIASD publié le même jour.
Le remdesivir, seul médicament autorisé pour traiter le Covid-19,a accéléré le temps de guérison des patients atteints de la maladie,… « C’est un médicament très sûr et efficace », a déclaré Eric Topol, fondateur et directeur du Scripps Research Translational Institute. « Nous disposons désormais d’un premier médicament efficace contre le Covid-19, ce qui constitue une avancée majeure et sera complété par d’autres médicaments [et combinaisons de médicaments]. »
Lorsque l’article de Bingham-Harvard paru dans le Lancet sur l’HCQ a été rétracté le 5 juin, il était trop tard, il n’a reçu qu’une couverture médiatique minimale. Malgré cette rétractation, le traitement à base d’HCQ « avait été tué ».
29 juin : feu vert de Fauci. Le contrat de 1,6 milliard de dollars avec Gilead Sciences Inc. pour le Remdesivir
Le Dr Anthony Fauci a accordé le « feu vert » à Gilead Sciences Inc. le 29 juin 2020.
Le rapport semi-officiel parrainé par le gouvernement américain NIH-NIAID (22 mai) intitulé Remdesivir pour le traitement du Covid-19 — Rapport préliminaire (NEJM) a été utilisé pour justifier un accord majeur avec Gilead Sciences Inc.
Le rapport a été largement financé par l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), dirigé par le Dr Anthony Fauci, et par les National Institutes of Health (NIH).
Le 29 juin, sur la base des conclusions du rapport NIH-NIAID publié dans le NEJM, le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) a annoncé au nom de l'administration Trump un accord pour garantir d'importantes réserves du médicament remdesivir de Gilead Sciences Inc. pour le traitement du Covid-19 dans les hôpitaux et cliniques privés américains.
L'étude précédente de Gilead, basée sur des résultats de tests peu nombreux et publiée dans le NEJM (10 avril), portant sur 53 cas (et 56 co-auteurs), n'a pas été mise en avant. Les résultats de cette étude ont été remis en question par plusieurs médecins et scientifiques de renom.
Qui pourra se permettre le Remdesivir ? 500 000 doses de Remdesivir sont envisagées à 3 200 dollars par patient, soit 1,6 milliard de dollars (voir l' étude d'Elizabeth Woodworth )
Le médicament a également été approuvé pour la commercialisation dans l’Union européenne sous le nom de marque Veklury.
Si ce contrat est exécuté comme prévu, il représente pour Gilead Science Inc. et les hôpitaux et cliniques privés américains bénéficiaires une somme d’argent colossale.
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[Erreur dans le titre ci-dessus selon HHS : 3 200 $]
Selon le secrétaire d'État à la Santé et aux Services Sociaux de l'administration Trump, Alex Azar (29 juin 2020) :
« Dans la mesure du possible, nous voulons nous assurer que tout patient américain qui a besoin de remdesivir puisse l’obtenir [à 3 200 $]. L’administration Trump fait tout ce qui est en son pouvoir pour en savoir plus sur les thérapies vitales contre le COVID-19 et garantir l’accès à ces options pour le peuple américain. »
Documents sur le Remdesivir : un médicament utilisé pour soigner des militaires a entraîné la mort Remdesivir versus hydroxychloroquine (HCQ) Un timing précis :
L’étude du Lancet (publiée le 22 mai) avait pour but de saper la légitimité de l’hydroxychloroquine comme traitement efficace contre le Covid-19, dans le but de maintenir l’accord de 1,6 milliard de dollars entre le HHS et Gilead Sciences Inc. le 29 juin. La légitimité de cet accord reposait sur l’étude NIH-NIAID du 22 mai dans le NEJM qui était considérée comme « préliminaire ».
Ce que le Dr Fauci n’a pas reconnu, c’est que la chloroquine avait été « étudiée » et testée il y a quinze ans par le CDC comme médicament destiné à être utilisé contre les infections à coronavirus. Et que l’hydroxychloroquine a été utilisée récemment dans le traitement du Covid-19 dans plusieurs pays.
Selon le Virology Journal (2005), « la chloroquine est un puissant inhibiteur de l’infection et de la propagation du coronavirus du SRAS ». Elle a été utilisée lors de l’épidémie de SRAS-1 en 2002. Elle a reçu l’aval du CDC.
- voir cadre sur site -
L'HCQ n'est pas seulement efficace, elle est « peu coûteuse » par rapport au Remdesivir, à un prix estimé à « 3 120 $ pour un patient américain avec une assurance privée ».
Vous trouverez ci-dessous des extraits d'une interview du professeur Mehra de Harvard (qui a réalisé l'étude du Lancet du 22 mai) avec France Soir publiée immédiatement après la publication du rapport du Lancet (avant sa rétractation).
Dr Mandeep Mehra : Dans notre étude, il est assez évident que l’absence de bénéfice et le risque de toxicité observés pour l’hydroxychloroquine sont assez fiables. [en référence à l’étude du Lancet du 22 mai]
France Soir : Avez-vous les données pour le Remdesivir ?
MM : Oui, nous avons les données, mais le nombre de patients est trop faible pour que nous puissions conclure d’une manière ou d’une autre.
FS : Comme vous le savez, il y a en France une bataille pour et contre l’hydroxychloroquine qui est devenue un enjeu de santé publique impliquant même le lobbying financier des laboratoires pharmaceutiques. Pourquoi ne pas mesurer l’effet de l’un par rapport à l’autre pour mettre fin à toutes les spéculations ? …
MM : En fait, il n’y a aucune base rationnelle pour tester le Remdesivir par rapport à l’hydroxychloroquine. D’un côté, le Remdesivir a montré qu’il n’y avait pas de risque de mortalité et qu’il y avait une réduction du temps de guérison. De l’autre, pour l’hydroxychloroquine, c’est l’inverse : il n’a jamais été démontré d’avantage et la plupart des études sont de petite taille ou peu concluantes. De plus, notre étude montre qu’il y a des effets nocifs.
Il serait donc difficile et probablement contraire à l’éthique de comparer un médicament dont la nocivité est démontrée à un médicament offrant au moins une lueur d’espoir.
FS : Vous dites qu’il n’y a aucune base pour tester ou comparer le Remdesivir avec l’hydroxychloroquine, pensez-vous avoir tout fait pour conclure que l’hydroxychloroquine est dangereuse ?
MM : Exactement. …
Tout ce que nous disons, c'est qu'une fois qu'on a été infecté (5 à 7 jours après) au point de devoir être hospitalisé avec une charge virale sévère, l'utilisation de l'hydroxychloroquine et de ses dérivés n'est pas efficace.
Les dégâts causés par le virus sont déjà là et la situation est irréparable. Avec ce traitement [HCQ], il peut générer davantage de complications
FS Mandeep Mehra a déclaré qu'il n'avait aucun conflit d'intérêt avec les laboratoires et que cette étude était financée par les fonds de dotation de la chaire du professeur.
Il a participé à une conférence sponsorisée par Gilead début avril 2020 dans le cadre du débat sur le Covid-19.
( France Soir, traduit par l'auteur, c'est nous qui soulignons, 23 mai 2020)
En annexe, voir l'article de suivi de France Soir publié après la révélation de l'escroquerie entourant la base de données du rapport du Dr Mehra dans The Lancet.
Remarques finales Mensonges et corruption au énième degré impliquant le Dr Anthony Fauci, « The Boston Connection » et Gilead Sciences Inc.
L'étude Remdesivir de Gilead Sciences Inc. (plus de 50 auteurs) a été publiée dans le New England Journal of Medicine (10 avril 2020).
Le 22 mai 2020, le rapport préliminaire du NIH-NIAID sur le traitement du Covid-19, Remdesivir, a été publié dans le NEJM. Et le même jour, le 22 mai, le « faux rapport » sur l’hydroxychloroquine du Dr Mehra de BWH-Harvard a été publié par The Lancet.
La Harvard Medical School et le BWH portent la responsabilité d'avoir hébergé et financé le faux rapport du Lancet sur l'HCQ coordonné par le Dr Mandeep Mehra.
Y a-t-il un conflit d'intérêts ? BWH a participé simultanément à une étude sur le Remdesivir dans le cadre d'un contrat avec Gilead Sciences, Inc.
Bien que le rapport du Lancet coordonné par le Dr Mehra de Harvard ait été rétracté, il a néanmoins servi les intérêts de Gilead Sciences Inc.
Il est important qu'une évaluation scientifique et médicale indépendante soit entreprise, respectivement de l'étude évaluée par des pairs du Gilead Sciences Inc New England Journal of Medicine (NEMJ) (10 avril 2020) ainsi que de l'étude NIH-NIAID également publiée dans le NEJM (22 mai 2020).
Annexe
Rétractation de France Soir
La fraude concernant le rapport du Lancet a été révélée début juin. France Soir dans un article ultérieur (5 juin 2020) pointe du doigt la Boston Connection : La connexion de Boston , à savoir la relation insidieuse entre Gilead Sciences Inc et le professeur Mehra, la Harvard Medical School ainsi que les deux hôpitaux liés basés à Boston impliqués.
- voir cadre sur site -
(Extraits ici, pour accéder au texte complet cliquez ici traduction du français par France Soir, souligné dans l'article original)
Les réponses souvent évasives du Dr Mandeep R. Mehra, médecin spécialisé en chirurgie cardiovasculaire et professeur à la Harvard Medical School, n’ont pas suscité la confiance, alimentant plutôt le doute sur l’intégrité de cette étude rétrospective et de ses résultats.
… Cependant, les informations rapportées selon lesquelles le Dr Mehra avait assisté à une conférence sponsorisée par Gilead – producteur du remdesivir, un médicament en concurrence directe avec l’hydroxychloroquine (HCQ) – début avril, ont appelé à une enquête plus approfondie.
Il est important de garder à l’esprit que le Dr Mandeep Mehra a un cabinet au Brigham and Women’s Hospital (BWH) à Boston.
Cette étude s’est appuyée sur les dossiers médicaux partagés de 8 910 patients dans 169 hôpitaux du monde entier, également par Surgisphere.
Le financement de l'étude a été « soutenu par la chaire William Harvey en médecine cardiovasculaire du Brigham and Women's Hospital. Le développement et la maintenance de la base de données collaborative sur les résultats chirurgicaux ont été financés par Surgisphere. »
L’étude publiée le 22 mai visait à évaluer l’efficacité ou non de la chloroquine et de l’hydroxychloroquine, seules ou en association avec un antibiotique macrolide. …
Il est donc intéressant de noter qu'en l'espace de 3 semaines, 2 grandes études rétrospectives observationnelles sur de larges populations - 96 032 et 8 910 patients - réparties dans le monde entier ont été publiées dans deux revues différentes par le Dr Mehra, le Dr Desai et d'autres co-auteurs utilisant la base de données de Surgisphere, la société du Dr Desai.
Ces deux médecins et chirurgiens praticiens semblent posséder une capacité de travail exceptionnelle associée au don d’ubiquité.
La date du 22 mai est également marquante car le jour même, date de la publication dans The Lancet de l’étude très accusatrice contre l’HCQ, une autre étude était publiée dans le New England Journal of Medicine concernant les résultats d’un essai clinique du… remdesivir.
Dans la conclusion de cet essai randomisé, en double aveugle et contrôlé par placebo, « le remdesivir s’est avéré supérieur au placebo pour raccourcir le temps de guérison chez les adultes hospitalisés pour Covid-19 et présentant des signes d’infection des voies respiratoires inférieures ».
Concrètement : le même jour, le 22 mai, une étude dénigrait l’HCQ dans une revue tandis qu’une autre affirmait des preuves d’atténuation sur certains patients grâce au remdesivir dans une autre revue.
Il convient de noter que l'une des principales co-auteures, Elizabeth « Libby »* Hohmann, représente l'un des hôpitaux participants, le Massachusetts General Hospital de Boston, également affilié à la Harvard Medical School, tout comme le Brigham and Women's Hospital de Boston, où exerce le Dr Mandeep Mehra.
Coïncidence, probablement.
Après une enquête plus approfondie, nous avons découvert que les trois premiers essais cliniques majeurs sur le remdesivir de Gilead ont été menés par ces deux hôpitaux :
« Alors que le COVID-19 continue de faire le tour du monde, suivi par des scientifiques, le Massachusetts General Hospital (MGH) et le Brigham and Women's Hospital (BWH) mènent la recherche d'un traitement efficace.
« Les deux hôpitaux mènent des essais cliniques sur le remdesivir. »
Le MGH a rejoint ce que le National Institute of Health (NIH) décrit comme le premier essai clinique aux États-Unis d'un traitement expérimental contre la COVID-19, parrainé par le National Institute of Allergy and Infectious Diseases, qui fait partie du NIH . Le MGH est actuellement le seul hôpital de la Nouvelle-Angleterre à participer à cet essai, selon une liste de sites partagée par l'hôpital.
« C'est une entreprise gigantesque, avec des patients enregistrés dans une cinquantaine de sites à travers le pays, en voie de guérison .
« L'essai du NIH, qui peut être adapté pour évaluer d'autres traitements, vise à déterminer si le médicament soulage les problèmes respiratoires et autres symptômes du COVID-19, aidant ainsi les patients à quitter l'hôpital plus tôt.**
Pour rappel, le NIAID/NIH est dirigé par Antony Fauci, un farouche opposant à l’HCQ.
Coïncidence, probablement.
« À l’hôpital Brigham, deux essais supplémentaires initiés par Gilead , le développeur du médicament, détermineront si ce médicament soulage les symptômes chez les patients atteints d’une maladie modérée à grave sur des périodes de cinq et dix jours. Ces essais seront également randomisés, mais non contrôlés par placebo, et porteront sur 1 000 patients répartis dans des sites du monde entier. Ces patients, a noté le Dr Francisco Marty, médecin à l’hôpital Brigham et co-investigateur de l’étude, seront probablement recrutés à un rythme effarant. »
En conséquence, les premiers essais cliniques majeurs sur le remdesivir lancés le 20 mars, dont les résultats sont très importants pour Gilead, sont menés par le MGH et le BWH à Boston, précisément là où exerce le Dr Mehra, principal auteur de l'essai HCQ du 22 mai.
Le monde est petit ! Coïncidence, encore, probablement.
Le Dr Marty du BWH s'attendait à avoir des résultats deux mois plus tard. En effet, ces derniers jours, plusieurs médias américains ont rapporté les annonces de Gilead concernant les résultats positifs des essais cliniques sur le remdesivir à Boston :
« Résultats encourageants d’une nouvelle étude publiée mercredi sur le remdesivir pour le traitement des patients atteints de COVID-19.**
Brigham et le Dr Francisco Marty ont travaillé sur cette étude, et il affirme que les résultats montrent qu'il n'y a pas de différence majeure entre le traitement d'un patient avec un régime de cinq jours ou de dix jours.
…”Gilead annonce les résultats de l’essai de phase 3 du remdesivir chez des patients atteints d’une forme modérée de la COVID-19
– Une étude montre que le traitement de 5 jours au remdesivir a entraîné une amélioration clinique significativement plus importante par rapport au traitement avec le traitement standard seul
– Ces données s’ajoutent à l’ensemble des preuves issues d’études précédentes démontrant les bénéfices du remdesivir chez les patients hospitalisés atteints d’IDVOC-19
« Nous disposons désormais de trois essais contrôlés randomisés démontrant que le remdesivir a amélioré les résultats cliniques selon plusieurs mesures différentes », Gilead prévoit de soumettre les données complètes pour publication dans une revue à comité de lecture dans les semaines à venir .
Ces résultats annoncés par Gilead quelques jours après la publication le 22 mai de l'étude dans le Lancet démolissant l'HCQ, étude dont l'auteur principal est le Dr Mehra, sont probablement encore une coïncidence.
Autant de coïncidences qui s'additionnent pour donner des coïncidences ? Vraiment ?
Après les intempéries en Espagne, des voix s'élèvent contre les armes météorologiques et l'Agenda 2030
RépondreSupprimer21.12.2024
www.kla.tv/31521
Le 29 octobre 2024, des intempéries dévastatrices accompagnées de fortes pluies et d'inondations ont provoqué des destructions dramatiques en Espagne et coûté la vie à quelques milliers de personnes. En outre, de nombreuses personnes ont été portées disparues.
La région de Valence a été particulièrement touchée. Les politiques et les principaux médias ont immédiatement accusé le changement climatique d'origine humaine d'être à l'origine de cette catastrophe. Ils ont comparé les dévastations à l'ouragan "Milton" en Floride et ont semé la panique quant à de futurs événements météorologiques de ce type. Quiconque exprimait des doutes sur ce récit officiel était immédiatement diabolisé en tant que complotiste. Le Premier ministre Pedro Sánchez, qui a fait la une des journaux pour des scandales de corruption, a également dénigré les "négationnistes", un terme créé par les politiques et les médias dominants pendant la "pandémie de Covid".
Le militant de la météo et du climat Nauzet Morgade est convaincu que les habitants de Valence ont été "victimes d'une lâche attaque militaire perpétrée par les plus hautes institutions et sous les yeux du monde entier". Morgade parle d'un "massacre" et d'une "attaque terroriste" par des armes météorologiques, les gens ayant été tués de sang-froid. Et il prévient que des personnes continueront à souffrir et à mourir si le public n'est pas informé de ces agissements criminels et si on n'y met pas fin. Dans une vidéo, il se penche sur ce sujet tabou et met en lumière le contexte des événements. À l'aide d'images satellites qu'il a capturées huit heures avant la catastrophe, il explique l'origine de ce phénomène météorologique mortel. Il est intéressant de noter que le 25 octobre 2024, soit quelques jours seulement avant la tragédie, les médias espagnols de référence ont soudainement annoncé que le Maroc allait désormais mener officiellement des expériences sur le climat. L'objectif était de générer plus de pluie. La question a été posée de savoir si cela représentait un risque pour l'Espagne. L'agence météorologique nationale espagnole AEMET a dû admettre l'année dernière, suite aux critiques du public, que ces modifications météorologiques sont utilisées depuis de nombreuses années pour provoquer ou empêcher la pluie. Mais on ne sait pas exactement comment ils influencent le temps dans les régions voisines.
Le militant de la météo et du climat Nauzet Morgade souligne en outre l'anomalie alarmante que constitue la démolition ou l'ouverture de nombreux barrages et retenues d'eau en Espagne ces dernières années - et ce, tenez-vous bien, sur la base de directives européennes. Les médias dominants en ont parlé dès 2022, expliquant que cela devait être fait pour "remédier à la fragmentation écologique des rivières". Mais le fait est, selon Morgade, que ces barrages ont autrefois recueilli les grandes masses de pluie de la Gota Fría, aujourd'hui appelée DANA, et ont évité de gros dégâts dus aux inondations. DANA est un phénomène météorologique qui provoque de grandes perturbations atmosphériques accompagnées de précipitations très intenses. Le militant de la météo rappelle qu'après la construction des lacs de retenue et des barrages au cours des dernières décennies, des lotissements et des maisons ont été construits dans des zones qui étaient auparavant considérées comme inondables. "Depuis la destruction des barrages et des digues, il n'est même plus nécessaire qu'il pleuve de manière aussi dramatique pour qu'une inondation se produise, l'eau n'a plus d'obstacles. Cela va désormais se produire chaque année", souligne Morgade. En clair, on ne peut s'empêcher de penser que, sur la base d'une règlementation européenne et au nom de la protection de l'environnement, ce sont précisément les ouvrages de régulation des cours d'eau qui, depuis des années, régulent les débits et protègent ainsi l'environnement et, bien sûr, les populations, qui vont être détruits ou ouverts. Cependant, au nom de la protection de l'environnement, la démolition des ouvrages de régulation et l'utilisation d'armes météorologiques provoquent les mêmes catastrophes qui en fait, avec la construction de ces ouvrages, appartenaient au passé. Et ces catastrophes récurrentes, voire amplifiées par les armes météorologiques, sont ensuite mises sur le compte du changement climatique prétendument provoqué par l'homme. C'est précisément ce qui viendrait couronner le tout.
RépondreSupprimerL'avocat critique Aitor Guisasola, que les médias dominants avaient déjà qualifié de conspirationniste à l'époque du Covid, a également publié sa vidéo intitulée "MIGUEL BOSÉ explose de colère à cause de la DANA, du changement climatique, des inondations de Valence et de l'AGENDA 2030 - UN AVOCAT CONTRE LA DÉMAGOGIE." Il y exprime ses doutes quant au récit officiel. Dans ce cadre, Guisasola a attiré l'attention sur un post Instagram du célèbre musicien espagnol Miguel Bosé. Celui-ci a écrit :
"Je suis bouleversé et accablé par la catastrophe qui s'est produite à Valence, mais aussi à Cuenca et Albacete. Mais surtout, je suis plein de colère parce que la perte de toutes ces vies, de toutes ces maisons, ces champs et ces propriétés est indéniablement due à des pratiques criminelles mises en œuvre par des gouvernements, Notamment la destruction de barrages et de réservoirs et, surtout, l'utilisation de la géo-ingénierie, des chemtrails ou de HAARP, qui sont devenus incontrôlables et ne causent que douleur, souffrance et pauvreté. Tout cela est déclenché à volonté par une bande criminelle et sanguinaire. Les gens doivent se réveiller et arrêter de croire que tout cela est dû au changement climatique, ce qu'on appelait autrefois le réchauffement de la planète [...]. Ils sont bien décidés à nous vendre quelque chose qu'ils provoquent eux-mêmes, afin d'en tirer profit une fois de plus. Tout comme ils l'ont fait avec les masques et les vaccins pendant la pandémie - au détriment des citoyens bien intentionnés et mal informés. [...] J'invite chacun à élever la voix et à exprimer sa colère pour mettre un terme à l'Agenda 2030. Celui-ci ne fait que favoriser une élite dont la seule intention est de détruire tout ce que des familles entières ont mis des générations à construire dans les campagnes et les villes [...]"
Le dimanche 3 novembre 2024, le parti Iustitia Europa a déposé une plainte devant la Cour suprême contre le président du gouvernement Pedro Sánchez et son ministre de l'Intérieur Fernando Grande-Marlaska pour violation du devoir de diligence, non-assistance à personne en danger, homicide involontaire et blessures corporelles lors de la gestion de la DANA et de ses conséquences.
RépondreSupprimerIl est intéressant de noter - et chacun est vraiment libre de se faire sa propre opinion - que Klaus Schwab, le fondateur du Forum économique mondial (FEM), a annoncé en août 2024 que l'humanité devait se préparer à une "ère d'événements chocs" dans un avenir proche. Les inondations qui se produisent à l'échelle mondiale semblent donner raison à Klaus Schwab. On peut citer ici à titre d'exemple les catastrophes dues aux intempéries et aux fortes pluies à Dubaï, aux États-Unis [www.kla.tv/31051], en Autriche, en Hongrie, en République tchèque, en Roumanie, en Pologne, en Slovaquie et en Suisse. D'un point de vue purement pratique, ces événements chocs sont rendus possibles par une technologie d'armement dont nous parlerons en détail dans notre émission : "Une arme secrète a-t-elle provoqué la catastrophe de Tchernobyl ? Nous menace-t-elle à nouveau aujourd'hui ?" [www.kla.tv/31105] Avec sa "prophétie", Schwab alimente notamment l'hystérie sur le changement climatique, partie intégrante de son Agenda 2030 [www.kla.tv/26985]. Avec cet Agenda 2030, le FEM, en collaboration avec l'ONU, travaille de manière très ciblée à une transformation complexe de toutes les structures régionales et mondiales, avec pour objectif une dictature mondiale qui englobe tout. Pour toutes les catastrophes météorologiques, il convient donc de garder à l'esprit le lien entre les armes météorologiques et l'Agenda 2030 [www.kla.tv/28157].
de hm.
Sources / Liens :
Les intempéries en Espagne ont-elles été déclenchées par la géo-ingénierie ?
https://transition-news.org/dana-in-valencia-https-www-youtube-com-watch-v
Une vue aérienne montre l'ampleur des inondations en Espagne Ticket:
SE-1441
https://www.nbcnews.com/video/aerial-video-shows-scale-of-flood-devastation-in-spain-223204421799
Docu : 1. nombre de morts... 2. pas d'aide de la part des services officiels 3. parking de Bonair - fermé comme un terrain militaire
https://youtube.com/watch?v=b-0VsAQCju0&si=OjLBeKBj_NPNfC5G
Les scientifiques de l'ONU avertissent que la DANA apportera des « inondations bibliques » en Espagne
https://www.diariodemallorca.es/sociedad/2024/10/30/cientificos-onu-advierten-danas-traeran-inundaciones-biblicas-espana-110897152.html
La science met en garde : le changement climatique favorise les DANAS catastrophiques
https://www.elperiodico.com/es/medio-ambiente/20241030/ciencia-avisa-cambio-climatico-favorece-110887960
Lien entre les inondations de Valence et la géo-ingénierie au Maroc ?
https://tkp.at/2024/11/02/zusammenhang-von-flutkatastrophe-in-valencia-mit-geo-engineering-in-marokko/
Le Maroc se lance dans ses plans d’ensemencement des nuages pour augmenter les précipitations : un risque pour l'Espagne ?
https://www.vozpopuli.com/actualidad/siembra-de-nubes-marruecos-sd.html
Une étude européenne appelle à la démolition des barrages et des réservoirs pour réparer les rivières de leur fragmentation écologique
https://www.eldiario.es/castilla-la-mancha/estudio-europeo-pide-demoler-presas-embalses-curar-rios-fragmentacion-ecologica_1_7836986.html
L'Espagne en tête de la liste européenne de démolition des digues, barrages et seuils qui modifient les rivières
https://www.lavanguardia.com/natural/20220517/8272089/espana-lidera-lista-europea-demolicion-presas-represas-azudes-alteran-rios.html
Comment l'Espagne est devenue une référence en matière de démolition de barrages
https://www.rtve.es/noticias/20220822/rios-vuelven-fluir-espana-referente-demolicion-presas/2396789.shtml
Les vannes du barrage ont été ouvertes
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/shorts/zehz1eFGYz8?feature=share
https://youtube.com/watch?v=mUIH-00kGzk&si=O2aI5SLUznGBv5Oa
https://youtube.com/watch?v=ZxQ1CgJ6ris&si=-r7x7bTHh8OPsOhc
https://www.esdiario.com/nacional/241117/147024/ribera-desembalso-7-000-millones-litros-forata-aviso-poblacion.html
https://t.me/AGUAIURIS/10740
Le maire prend la parole / Ils ne nous ont pas prévenus qu'ils allaient ouvrir les vannes du barrage :
https://t.me/AGUAIURIS/10742
Pilar Esquinas était sur place
https://youtube.com/watch?v=oUIRWRtiE9A&si=IwCF7am-xFrO24mp
MIGUEL BOSÉ explose de colère à cause de la DANA????, du changement climatique, des inondations de Valence et de l'AGENDA 2030 - UN AVOCAT CONTRE LA DEMAGOGIE
https://www.youtube.com/watch?v=43AnvifXC-k
Iustitiaeurop a déposé une plainte devant la Cour suprême contre le président du gouvernement Pedro Sánchez et le ministre de l'Intérieur Fernando Grande-Marlaska.
https://x.com/LMPardoAbogado/status/1853063613101064443?t=ubrEjDbQl5ojsB-LgYYKtA&s=08
Klaus Schwab du FEM met en garde contre une « ère d'événements chocs »
https://tkp.at/2024/08/24/klaus-schwab-vom-wef-warnt-vor-einer-aera-der-schockereignisse/
Exemples de catastrophes environnementales et de fortes pluies
Dubaï :https://www.youtube.com/watch?v=EOXylLZHe-U
ÉTATS-UNIS: https://abcnews.go.com/US/hurricane-helene-by-the-numbers-flooding-death-toll/story?id=114360081
Autriche :https://info.bml.gv.at/themen/wasser/wasser-oesterreich/hydrographie/chronik-besonderer-ereignisse/hochwasser-september-2024.html
Roumanie, République tchèque, Pologne, Slovaquie :
https://www.tagesschau.de/ausland/europa/rumaenien-unwetter-zyklon-boris-100.html
https://www.zdf.de/nachrichten/panorama/wetter-unwetter-hochwasser-deutschland-tschechien-polen-oesterreich-100.html
Suisse: https://www.bafu.admin.ch/bafu/de/home/themen/wasser/dossiers/hochwasser-juni-2024.html#-777407701
https://www.kla.tv/fr
LA FRAUDE MÉDICALE aux États-Unis est la NORME : si un médecin peut vous rendre malade, vous étiqueter malade et vous garder malade, sa pratique obtient plus de financement du système corrompu
RépondreSupprimer22/12/2024
S.D. Wells
Le Dr Scott Jensen dénonce la fraude médicale de masse aux États-Unis, révélant que les systèmes de santé profitent davantage du maintien des patients malades.
Les compagnies d'assurance et les prestataires de soins de santé incitent les médecins à promouvoir les vaccins en offrant des primes substantielles basées sur les taux de vaccination, ce qui conduit à un cycle de maladie pour le profit.
Jensen met en évidence l'arnaque du diabète, où les patients sont étiquetés diabétiques sans traitement approprié, uniquement pour un gain financier.
Le système médical américain est critiqué pour sa nature toxique et corrompue, privilégiant le profit au détriment des soins aux patients.
La médecine occidentale privilégie les traitements coûteux et nocifs, notamment les médicaments et les vaccins addictifs, ce qui rend les patients plus malades et entraîne une mortalité précoce.
Le Dr Scott Jensen dénonce la fraude médicale de masse qui se produit actuellement aux États-Unis. Cela dure depuis un certain temps. « Je suis le docteur Scott Jensen, et je n’exagère pas quand je vous dis que si vous êtes un patient, votre médecin, votre compagnie d’assurance, votre clinique, votre hôpital, nous pouvons tous être mieux payés si nous vous rendons plus malade. »
« Il existe toutes sortes de plans d’incitation distribués par les compagnies d’assurance, les gouvernements et les programmes gouvernementaux aux cliniques, aux prestataires et aux systèmes de santé. Les médecins peuvent littéralement obtenir des dizaines de milliers de dollars par an » pour faire pression sur les vaccins pour atteindre un certain seuil de patients, comme à 60 % et 80 %, et ils reçoivent ensuite des primes pour CHAQUE patient qui a reçu une injection de vaccins sales. Cela maintient les gens malades, donc les médecins et les hôpitaux sont mieux payés. C’est un cercle vicieux qui ne cesse de se répéter à cause… de l’argent. Les médecins ne se soucient pas du tout de la guérison de leurs patients, car cela signifie moins de salaire.
Le Dr Jensen continue de dénoncer toute l’arnaque du diabète en Amérique. « Si nous pouvons vous qualifier de diabétique sur la base de certains paramètres, même si nous ne vous traitons pas avec des médicaments et n’avons même pas vraiment fait quelque chose pour vous, si nous pouvons vous qualifier de diabétique et que nous faisons un test appelé A-1-C, … et si nous obtenons un résultat de 6,8, cela nous permet de vous qualifier de « diabétique » même si nous ne faisons rien pour vous » … « Donc, tout d’un coup, vous avez cette étrange incitation à qualifier autant de vos patients que possible de diabétiques. »
RépondreSupprimerLe système médical américain en général devient de plus en plus toxique et corrompu de jour en jour, et il n’y a plus de « soins » dans le système de « soins de santé » traditionnel
Auparavant, lorsque quelqu’un disait « dealer de drogue », il désignait quelqu’un dans la rue qui vendait de l’herbe, de la méthamphétamine ou de la cocaïne. De nos jours, cela désigne un charlatan médical qui vend des opioïdes hautement addictifs et des vaccins sales, comme l’ARNm et les vaccins contre la grippe. Votre visite chez le dealer est-elle couverte par une assurance ? Devinez quoi ? Cela n’a pas d’importance, car cela ne vous aide pas à guérir. C’est pourquoi Big Pharma doit donner des bonus aux médecins pour distribuer des médicaments mortels et des injections de prions Spike qui coagulent les vaisseaux.
Ce n’est pas une exagération, une théorie du complot ou une illusion que la plupart des médecins ne sont pas là pour aider leurs patients à guérir. Bien sûr, si vous avez un os cassé, une plaie profonde ou si vous attendez un bébé, l’hôpital est la meilleure option, mais à part cela, c’est comme un souhait de mort, pour les possibilités à court et à long terme.
La médecine occidentale ne se préoccupe pas des résultats des patients, à moins que ces résultats ne signifient que le patient se trouve six pieds sous terre. Le protocole hospitalier suit d’abord les priorités expérimentales les plus dangereuses, et les plus coûteuses aussi. En utilisant des médicaments addictifs, des prescriptions qui provoquent de nombreux effets secondaires horribles et des vaccins qui contiennent des neurotoxines et des protéines Spike qui ruinent votre santé, les médecins s’assurent que leurs patients reviennent en les gardant malades, confus et enfermés dans le système de soins des malades.
C’est pourquoi les personnes qui prennent des médicaments sur ordonnance et des vaccins sont les plus malades de la planète, et elles le restent jusqu’à leur mort prématurée. C’est malheureux, et la plupart d’entre elles n’écouteront pas un seul gramme de conseils des défenseurs de la santé naturelle qui en savent plus.
Réglez votre cadran Internet sur NaturalMedicine.news pour plus de conseils sur la façon d’utiliser des remèdes naturels pour la médecine préventive et pour la guérison, au lieu de succomber aux produits toxiques de Big Pharma, comme les médicaments addictifs et les vaccins sales, qui causent, propagent et aggravent les maladies et les troubles.
RépondreSupprimerLes sources de cet article incluent :
Instagram.com
NaturalMedicine.news
https://www.naturalnews.com/2024-12-22-medical-fraud-in-america-is-the-norm.html
BOMBE : Les nanoparticules d'ARNm du Covid-19 ÉMETTENT DES SIGNAUX LUMINEUX qui communiquent les adresses MAC utilisées pour l'auto-assemblage à l'intérieur des vaisseaux sanguins
RépondreSupprimer22/12/2024
S.D. Wells
Un scientifique a injecté les ingrédients du vaccin Pfizer/BioNTech Covid-19 sur une lame et les a observés au microscope à un grossissement de 100 fois. On a vu des particules microscopiques s'auto-assembler et émettre des signaux connus sous le nom de phénomène d'"adresse MAC", ressemblant à des lumières clignotantes.
Les microparticules ou nanoparticules, appelées "micropuces", ont été observées en train de communiquer entre elles via des signaux lumineux et de collaborer pour s'auto-assembler en structures ressemblant à des satellites miniatures à l'intérieur du corps, notamment des vaisseaux sanguins, des organes, des ovaires, des testicules et le cerveau.
L'analyse a révélé plus de 50 éléments chimiques non déclarés dans les ingrédients du vaccin Pfizer/BioNTech Covid-19, notamment de l'oxyde de graphène fluorescent, qui peuvent entraîner des effets indésirables sur la santé tels que la myocardite, la péricardite, l'inflammation chronique, le dysfonctionnement immunitaire, etc.
Les enfants qui reçoivent des vaccins seraient plus susceptibles de souffrir de problèmes de santé majeurs tout au long de leur vie, des études suggérant une corrélation entre le nombre de vaccins reçus et la détérioration de l'état de santé, notamment les infections, le TDA/TDAH, les problèmes de développement neurologique, l'eczéma et les allergies.
Le scientifique a souligné les inquiétudes concernant les dangers potentiels des « vaccins » à ARNm, les reliant à la propagation de technologies nocives à l'intérieur du corps et exhortant le public à être conscient des risques associés à ces vaccins.
Tel que diffusé sur la chaîne de télévision Children's Health Defense, un scientifique a injecté les ingrédients du vaccin Pfizer/BioNTech Covid-19 sur une lame et a zoomé sur ses actions avec un microscope à un grossissement de 100 fois. Vous pouvez littéralement voir des particules microscopiques agir comme des lumières clignotantes pendant qu'elles s'auto-assemblent.
Le scientifique explique que ces microparticules ou nanoparticules sont appelées « micropuces » car elles émettent des signaux connus sous le nom de phénomène d'« adresse MAC ». En arrière-plan, on peut voir des « nano et micro-robots qui communiquent entre eux via des signaux lumineux » alors qu'ils collaborent pour s'auto-assembler en ce qui ressemble à un satellite miniature. Il a déjà été prouvé que ce phénomène persiste dans le corps pendant au moins deux ans, les protéines de pointe et les nanoparticules voyageant dans la circulation sanguine vers les organes vitaux, les ovaires, les testicules et le cerveau.
Les particules en essaim utilisent la lumière pour communiquer entre elles et s'assembler en nano-conglomérats plus grands à l'intérieur des vaisseaux sanguins. Remarquez que cela se produit dans le sang, les organes et le cerveau de toute personne à qui on a injecté cette technologie de « vaccin » cauchemardesque contre le Covid-19. Ce scientifique a été témoin de ce phénomène dans le sang humain des personnes injectées, car la technologie « en essaim » crée des ravages à l'intérieur des vaisseaux sanguins grâce à la nanotechnologie de l'ARNm.
RépondreSupprimerL’analyse révèle plus de 50 éléments chimiques non déclarés dans les ingrédients de l’injection, notamment de l’oxyde de graphène fluorescent. CINQUANTE éléments chimiques non déclarés utilisés pour provoquer des myocardites, des péricardites, des inflammations chroniques et graves, des dysfonctionnements immunitaires, des fausses couches, etc. Elle a documenté ce phénomène de manière approfondie, il ne s’agit donc pas d’un flacon corrompu qui aurait pu contenir ces contaminants et ces capacités technologiques.
C’est l’une des principales raisons pour lesquelles les enfants qui reçoivent des vaccins sont beaucoup plus susceptibles de souffrir de problèmes de santé majeurs tout au long de leur vie. À l’inverse, les enfants qui ne reçoivent pas ces vaccins ne souffrent pas de problèmes de santé chroniques, selon les études. En d’autres termes, plus un enfant reçoit de vaccins, plus sa santé se détériore, en particulier au cours des dix premières années, avec notamment des statistiques en flèche pour les infections, le TDA et le TDAH, les problèmes de développement neurologique, l’eczéma, les allergies, etc.
C’est pourquoi Fauci et le CDC se démènent et paniquent en ce moment pour dissimuler les origines du Covid-19, le financement des virus à gain de fonction et le financement et la fabrication des armes biologiques les plus mortelles sur Terre – les « vaccins » à ARNm.
C’est un génocide, les amis. C’est la forme la plus insidieuse d’armes de destruction massive jamais créée, et des milliards de personnes pensent que c’est de la médecine, et c’est le pire. Aidez à dénoncer cette situation. Partagez cet article. Partagez cette information partout. Ne laissez pas les coupables s’en tirer avec des meurtres de masse et des complots. C’est un message d’intérêt public de Natural Health News. Gardez les yeux ouverts.
Ajoutez le site Web de la peste à vos favoris pour obtenir des mises à jour sur les nouveaux virus à gain de fonction que le CDC et l’OMS libèrent dans la « nature » afin que tout le monde se fasse vacciner avec des nano-robots auto-assembleurs qui peuvent vous tuer grâce à la technologie d’assemblage MAC.
Sources for this article include:
Pandemic.news
GatewayPundit.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2024-12-22-covid-19-mrna-nanoparticles-emit-light-signals.html
Toxicologie et virologie : l'Institut Rockefeller et la fraude criminelle à la polio
RépondreSupprimerPar F. William Engdahl
Recherche mondiale,
22 décembre 2024
Note d'introduction à la recherche mondiale
En octobre 2023, la Fondation Bill et Melinda Gates a lancé un projet de lutte contre la polio d'un milliard d'euros . Bill Gates exprime son engagement à éradiquer la polio dans le monde entier
Protéger des centaines de millions d’enfants ???
« Grâce aux innovations médicales, le monde a éradiqué une maladie humaine : la variole. Aujourd’hui, nous sommes sur le point d’en finir avec une autre : le poliovirus sauvage. Je m’engage à faire en sorte qu’aucun enfant, où que ce soit dans le monde, ne soit confronté à cette terrible maladie. Je suis également optimiste quant au fait que nous éradiquerons la polio une fois pour toutes et que nous rendrons les innovations en matière de santé plus accessibles à tous, en particulier aux habitants des pays les plus pauvres », a déclaré Bill Gates, coprésident de la Fondation Bill & Melinda Gates.
« Le financement attendu de 1,1 milliard d'euros vise à fournir de nouveaux fonds pour éradiquer une maladie humaine pour seulement la deuxième fois dans l'histoire et à aider à résoudre les défis de santé et de développement auxquels sont confrontées les personnes les plus vulnérables du monde, qui, autrement, n'ont pas un accès équitable aux services de santé et aux innovations.
De l'argent pour sauver les enfants du monde ???
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a déclaré avec force :
« Nous sommes sur le point d’éradiquer la polio de la surface de la Terre. La Commission européenne, la BEI et la Fondation Bill & Melinda Gates s’associent pour franchir la dernière ligne droite.
Avec 1 milliard d’euros soutenus par notre stratégie d’investissement européenne Global Gateway, nous investirons dans des systèmes de santé plus solides à l’échelle mondiale et dans la production, la fabrication et l’administration locales de vaccins et de médicaments, là où ils sont le plus nécessaires.
« La coopération mondiale nous a aidés à mettre un terme à la pandémie de COVID-19. Elle nous aidera désormais à nous débarrasser définitivement de la polio. » (soulignement ajouté)
* * *
Toxicologie vs Virologie :
RépondreSupprimerL'Institut Rockefeller et la fraude criminelle liée à la polio
Par F. William Engdahl
Introduction
L’une des conséquences de l’apparition publique du nouveau virus SRAS Covid en 2019 est que la spécialisation médicale de la virologie a été élevée à un rang presque divin dans les médias.
Peu de gens comprennent les origines de la virologie et son ascension au rang de référence dans la pratique médicale d'aujourd'hui. Pour cela, il nous faut nous pencher sur les origines et la politique du premier institut de recherche médicale américain, le Rockefeller Institute for Medical Research, aujourd'hui l'Université Rockefeller , et sur ses travaux sur ce qu'ils prétendaient être un virus de la polio.
En 1907, une épidémie à New York a donné au directeur de l'Institut Rockefeller, le docteur Simon Flexner, une occasion en or de revendiquer la découverte d'un « virus » invisible causé par ce que l'on a arbitrairement appelé la poliomyélite. Le mot poliomyélite signifie simplement inflammation de la matière grise de la moelle épinière. Cette année-là, quelque 2 500 New-Yorkais, principalement des enfants, ont été diagnostiqués avec une forme de poliomyélite, pouvant entraîner la paralysie et même la mort.
La fraude de Flexner
L’aspect le plus frappant de toute la saga de la polio aux États-Unis au cours de la première moitié du XXe siècle était le fait que chaque phase clé de l’affaire était contrôlée par des personnes liées à ce qui allait devenir la cabale médicale Rockefeller. Cette fraude a commencé avec les déclarations du directeur de l’Institut Rockefeller, Simon Flexner , selon lesquelles lui et son collègue, Paul A. Lewis , avaient « isolé » un agent pathogène, invisible à l’œil nu, plus petit qu’une bactérie, qui, selon eux, était à l’origine de la maladie paralysante lors d’une série d’épidémies aux États-Unis. Comment en sont-ils arrivés à cette idée ?
Dans un article publié en 1909 dans le Journal of the American Medical Association, Flexner affirmait que Lewis et lui avaient isolé le virus responsable de la poliomyélite. Il rapportait qu’ils avaient réussi à « transmettre » la poliomyélite de singe en singe. Ils avaient commencé par injecter du tissu de moelle épinière humaine malade d’un jeune garçon décédé, probablement à cause du virus, dans le cerveau de singes. Après qu’un singe soit tombé malade, une suspension de son tissu de moelle épinière malade a été injectée dans le cerveau d’autres singes qui étaient également tombés malades.
Ils ont proclamé que les médecins de l'Institut Rockefeller avaient ainsi prouvé la causalité du virus de la poliomyélite dans cette mystérieuse maladie. Ils n'avaient rien fait de tel. Flexner et Lewis ont même admis que :
« Nous n’avons pas réussi à découvrir de bactéries, ni dans les préparations de films ni dans les cultures, qui pourraient expliquer la maladie ; et, comme parmi notre longue série de propagations du virus chez les singes, aucun animal ne présentait, dans les lésions, les cocci décrits par certains chercheurs précédents, et que nous n’avions pas réussi à obtenir de telles bactéries à partir du matériel humain que nous avions étudié, nous avons estimé qu’elles pouvaient être exclues de notre examen. »
Ils ont alors émis une hypothèse bizarre, un acte de foi, et non une affirmation scientifique. Ils ont pris leur hypothèse d’une action virale exogène et l’ont transformée en fait, sans aucune preuve. Ils ont affirmé : « Par conséquent, … l’agent infectieux de la poliomyélite épidémique appartient à la classe des virus minuscules et filtrables dont l’existence n’a pas encore été démontrée avec certitude au microscope. »Donc?
RépondreSupprimerSimon Flexner a simplement affirmé que « cela doit » être un virus de la polio qui tue les singes, car ils ne pouvaient trouver aucune autre explication. En fait, il n’a pas cherché une autre source de la maladie. Il ne s’agissait pas d’isolement scientifique. Il s’agissait de spéculations insensées : « … jusqu’à présent, cela n’a pas été démontré avec certitude au microscope. » Ils l’ont admis dans un article complémentaire du JAMA du 18 décembre 1909 intitulé LA NATURE DU VIRUS DE LA POLIOMYÉLITE ÉPIDÉMIQUE.
Le soi-disant « virus » qu’ils injectaient aux singes n’était pas pur. Il contenait également une quantité indéterminée de contaminants. Il comprenait « de la moelle épinière, du cerveau et des matières fécales en purée, et même des mouches broyées et injectées aux singes pour provoquer une paralysie ». Jusqu’à ce que Jonas Salk obtienne l’approbation du gouvernement américain en avril 1955 pour un vaccin contre la polio, aucune preuve scientifique de l’existence d’un virus provoquant la poliomyélite, ou paralysie infantile comme on l’appelait communément, n’avait été apportée. C’est toujours le cas aujourd’hui. Le monde médical a cru Flexner sur parole lorsqu’il a déclaré qu’il « devait » s’agir d’un virus.
Institut Rockefeller, Flexner et l'Association médicale américaine
L'Institut Rockefeller a été fondé en 1901 à partir de la fortune de John D. Rockefeller dans la Standard Oil , pour être le premier institut biomédical des États-Unis. Il a été calqué sur l'Institut Pasteur en France (1888) et l'Institut Robert Koch en Allemagne (1891). Son premier directeur, Simon Flexner, a joué un rôle central et des plus criminels dans l'évolution de ce qui est devenu la pratique médicale américaine approuvée. L'objectif des Rockefeller était de contrôler complètement la pratique médicale américaine et de la transformer en un instrument, du moins au début, pour la promotion de médicaments approuvés par les intérêts des Rockefeller. À l'époque, ils cherchaient à monopoliser les médicaments produits à partir de leur raffinage du pétrole, comme ils l'avaient fait avec le pétrole.
Alors que le directeur de l'Institut Rockefeller, Simon Flexner, publiait ses études peu concluantes mais très acclamées sur la polio, il a demandé à son frère, Abraham Flexner , un professeur d'école sans formation médicale, de diriger une étude conjointe de l'American Medical Association (AMA), du Rockefeller General Education Board et de la Fondation Carnegie fondée par l'ami proche de Rockefeller, Andrew Carnegie.
L'étude de 1910 s'intitulait « Le rapport Flexner » et son objectif apparent était d'enquêter sur la qualité de toutes les écoles de médecine américaines. Le résultat du rapport était cependant prédéterminé. Les liens entre le riche Institut Rockefeller et l'AMA passaient par le biais du directeur corrompu de l'AMA, George H. Simmons.
Simmons était également le rédacteur en chef du très influent Journal of the American Medical Association, une publication distribuée à quelque 80 000 médecins à travers l'Amérique. Il aurait exercé un pouvoir absolu sur l'association des médecins. Il contrôlait les revenus publicitaires croissants des sociétés pharmaceutiques pour promouvoir leurs médicaments auprès des médecins de l'AMA dans son journal, une activité très lucrative. Il a joué un rôle clé dans le coup médical des Rockefeller qui devait redéfinir complètement la pratique médicale acceptable, en passant des traitements curatifs ou préventifs à l'utilisation de médicaments souvent mortels et à des interventions chirurgicales coûteuses. En tant que directeur de l'AMA, Simmons s'est rendu compte que la concurrence d'une prolifération d'écoles de médecine, y compris la chiropraxie, l'ostéopathie, l'homéopathie et la médecine naturelle alors reconnues, diminuait les revenus de ses médecins de l'AMA, car le nombre d'écoles de médecine était passé d'environ 90 en 1880 à plus de 150 en 1903.
RépondreSupprimerAbraham Flexner, ancien directeur d’une école privée, a visité plusieurs écoles de médecine américaines en 1909 et a recommandé la fermeture de la moitié des 165 écoles de médecine, qu’il qualifiait de « non conformes ». Cette mesure a réduit la concurrence des autres approches de guérison des maladies. Ils ont impitoyablement ciblé les écoles de médecine naturopathique, chiropratique, ostéopathique, alors très répandues, ainsi que les écoles allopathiques indépendantes qui ne voulaient pas rejoindre le régime de l’AMA.
L'argent Rockefeller a ensuite été versé à des écoles sélectionnées, à condition que les professeurs soient sélectionnés par l'Institut Rockefeller et que le programme d'études soit axé sur les médicaments et la chirurgie comme traitement, et non sur la prévention, ni sur la nutrition, ni sur la toxicologie comme causes et solutions possibles. Ils ont dû accepter la théorie germinale de Pasteur, qui revendique le réductionnisme du « un germe pour une maladie » .Les médias contrôlés par Rockefeller ont lancé une chasse aux sorcières coordonnée contre toutes les formes de médecine alternative, les remèdes à base de plantes, les vitamines naturelles et la chiropraxie – tout ce qui n’est pas contrôlé par les médicaments brevetés par Rockefeller.
En 1919, le Rockefeller General Education Board et la Fondation Rockefeller avaient versé plus de 5 millions de dollars aux facultés de médecine de Johns Hopkins, Yale et Washington University à St. Louis. La même année, John D. Rockefeller accorda 20 millions de dollars supplémentaires en titres « pour l’avancement de l’enseignement médical aux États-Unis ». Cela équivaudrait à environ 340 millions de dollars aujourd’hui, une somme énorme. En bref, les intérêts financiers des Rockefeller avaient détourné l’enseignement et la recherche médicale aux États-Unis dans les années 1920.
Créer la virologie
RépondreSupprimerCette prise de contrôle médicale, soutenue par l'organisation de médecins la plus influente, l'AMA, et son chef corrompu, Simmons, a permis à Simon Flexner de créer littéralement la virologie moderne sous les règles de Rockefeller .Le très controversé Thomas Milton Rivers, alors directeur du laboratoire de virologie de l'Institut Rockefeller, a établi la virologie comme une discipline indépendante, distincte de la bactériologie, dans les années 1920. Il s'est rendu compte qu'il était beaucoup plus facile de manipuler les choses lorsqu'il pouvait prétendre que des agents pathogènes mortels étaient des germes invisibles ou des « virus ».Ironiquement, le terme « virus » vient du latin et signifie « poison ».
La virologie, une fraude médicale réductionniste, était une création de la cabale médicale Rockefeller. Ce fait très important est enterré dans les annales de la médecine d’aujourd’hui. Des maladies comme la variole, la rougeole ou la poliomyélite ont été déclarées causées par des agents pathogènes invisibles appelés virus spécifiques. Si les scientifiques pouvaient « isoler » le virus invisible, ils pourraient théoriquement trouver des vaccins pour protéger les gens contre les dangers. C’est ce que leur théorie a fait. Ce fut une énorme aubaine pour le cartel des sociétés pharmaceutiques Rockefeller, qui comprenait à l’époque American Home Products qui faisait la promotion de médicaments sans preuve d’effet, comme la Préparation H pour les hémorroïdes ou l’Advil pour soulager la douleur ; Sterling Drug, qui a repris les actifs américains, dont l’aspirine de l’allemand Bayer AG après la Première Guerre mondiale ; Winthrop Chemical ; American Cyanamid et sa filiale Lederle Laboratories ; Squibb et Monsanto.
Bientôt, les chercheurs en virologie de l’Institut Rockefeller, en plus de revendiquer la découverte du virus de la poliomyélite, prétendirent avoir découvert les virus responsables de la variole, des oreillons, de la rougeole et de la fièvre jaune. Puis ils annoncèrent la « découverte » de vaccins préventifs contre la pneumonie et la fièvre jaune. Toutes ces « découvertes » annoncées par l’Institut se révélèrent fausses. Grâce au contrôle de la recherche dans le nouveau domaine de la virologie, l’Institut Rockefeller, en collusion avec Simmons de l’AMA et son successeur tout aussi corrompu, Morris Fishbein, pouvait promouvoir de nouveaux vaccins brevetés ou des « remèdes » médicamenteux dans l’influente revue de l’AMA qui était envoyée à tous les médecins membres d’Amérique. Les sociétés pharmaceutiques refusant de payer pour des publicités dans la revue de l’AMA étaient mises à l’index par l’AMA.
Contrôler la recherche sur la polio
RépondreSupprimerEn 1911, Simon Flexner et le très influent Institut Rockefeller réussirent à faire inscrire dans la loi américaine sur la santé publique les symptômes de ce que l’on appelait la poliomyélite comme une « maladie contagieuse et infectieuse causée par un virus aéroporté ». Pourtant, même eux admettaient ne pas avoir prouvé comment la maladie pénètre dans le corps humain. Comme l’a souligné un médecin expérimenté dans une revue médicale en 1911, « nos connaissances actuelles sur les modes de contagion possibles reposent presque entièrement sur les travaux effectués dans cette ville à l’Institut Rockefeller ». En 1951, le Dr Ralph Scobey, un critique de la précipitation des Rockefeller à juger la contagion de la polio, nota : « Cela reposait bien sûr sur des expériences sur les animaux plutôt que sur des recherches cliniques… » Scobey souligna également l’absence de preuve que la poliomyélite était contagieuse : « … les enfants atteints de la maladie étaient gardés dans des services d’hôpitaux généraux et aucun des autres pensionnaires des services de l’hôpital n’était atteint de la maladie ». L’attitude générale de l’époque se résumait en 1911 : « Il nous semble que, malgré l’absence de preuves absolues, les meilleurs intérêts de la communauté seraient préservés si nous considérions la maladie sous un angle contagieux. »(sic).
En classant les symptômes de la poliomyélite comme une maladie hautement contagieuse causée par un virus invisible, prétendument exogène ou externe, l'Institut Rockefeller et l'AMA ont pu interrompre toute recherche sérieuse sur des explications alternatives telles que l'exposition aux pesticides chimiques ou à d'autres toxines, pour expliquer les épidémies saisonnières de la maladie et les paralysies, voire les décès, principalement chez les très jeunes enfants. Ces conséquences devaient avoir des conséquences fatales qui perdurent jusqu'à aujourd'hui.
Entrez le DDT
Dans sa déclaration de 1952 à la Chambre des représentants des États-Unis enquêtant sur les dangers possibles des produits chimiques dans les produits alimentaires, le Dr Ralph R. Scobey a noté :
« Depuis près d’un demi-siècle, les recherches sur la poliomyélite se sont concentrées sur un prétendu virus exogène qui pénètre dans le corps humain et provoque la maladie. La manière dont la loi sur la santé publique est actuellement rédigée n’impose que ce type d’enquête. En revanche, aucune étude approfondie n’a été menée pour déterminer si le prétendu virus de la poliomyélite est une substance chimique autochtone qui ne pénètre pas du tout dans le corps humain, mais résulte simplement d’un ou de plusieurs facteurs exogènes, par exemple un poison alimentaire . »
Les toxines comme cause n’ont pas été étudiées, malgré de nombreuses preuves.
RépondreSupprimerDans les années 1930, avec la dépression économique et la guerre, peu de nouvelles épidémies majeures de poliomyélite ont été observées. Cependant, immédiatement après la fin de la Seconde Guerre mondiale, le drame de la polio a pris de l'ampleur. À partir de 1945, chaque été, de plus en plus d'enfants aux États-Unis étaient diagnostiqués avec la poliomyélite et hospitalisés. Moins de 1 % des cas ont été effectivement diagnostiqués par des analyses de sang ou d'urine. Environ 99 % ont été diagnostiqués par la simple présence de symptômes tels que des douleurs aiguës aux extrémités, de la fièvre, des maux d'estomac et de la diarrhée.
En 1938, avec le soutien de Franklin D. Roosevelt, victime présumée de la polio, la National Foundation for Infantile Paralysis (March of Dimes) a été fondée pour solliciter des dons exonérés d'impôts afin de financer la recherche sur la polio. Un médecin et chercheur allemand, le Dr Henry Kumm , est venu aux États-Unis et a rejoint l'Institut Rockefeller en 1928, où il est resté jusqu'à son entrée à la National Foundation en 1951 en tant que directeur de la recherche sur la polio. Kumm a été rejoint à la National Foundation par un autre vétéran clé de l'Institut Rockefeller, le soi-disant « père de la virologie », Thomas M. Rivers , qui a présidé le comité consultatif de recherche sur les vaccins de la fondation supervisant les recherches de Jonas Salk. Ces deux personnalités clés de l'Institut Rockefeller contrôlaient donc les fonds destinés à la recherche sur la polio, y compris le développement d'un vaccin.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, alors qu'il était encore au Rockefeller Institute, Henry Kumm était consultant auprès de l'armée américaine où il supervisait des études de terrain en Italie. Kumm dirigea des études de terrain sur l'utilisation du DDT contre le typhus et les moustiques vecteurs du paludisme dans les marais près de Rome et de Naples. Le DDT avait été breveté comme insecticide par la société pharmaceutique suisse Geigy et sa filiale américaine en 1940, et son utilisation sur les soldats de l'armée américaine avait été autorisée pour la première fois en 1943 comme désinfectant général contre les poux de tête, les moustiques et de nombreux autres insectes. Jusqu'à la fin de la guerre, presque toute la production de DDT aux États-Unis était destinée à l'armée. En 1945, les sociétés chimiques cherchaient avec enthousiasme de nouveaux marchés. Elles les ont trouvés.
L'image de droite provient de Beyond Pesticides
L'exposition au DDT au début de la vie est associée à un risque accru de cancer du sein - Beyond Pesticides Daily News Blog
RépondreSupprimerDébut 1944, les journaux américains annonçaient triomphalement que le typhus, « la terrible peste qui a suivi toutes les grandes guerres de l’histoire », ne représentait plus une menace pour les troupes américaines et leurs alliés grâce à la nouvelle poudre anti-poux de l’armée, le DDT. Lors d’une expérience à Naples, les soldats américains ont aspergé plus d’un million d’Italiens de DDT dilué dans du kérosène (!), tuant ainsi les poux du corps qui propageaient le typhus.
Henry Kumm, de l’Institut Rockefeller, et l’armée américaine savaient que, comme l’a dit un chercheur, « le DDT était un poison, mais il était suffisamment sûr pour la guerre. Toute personne blessée par le DDT serait considérée comme une victime de combat. » Le gouvernement américain a « restreint » un rapport sur les insecticides publié par le Bureau de la recherche scientifique et du développement en 1944 qui mettait en garde contre les effets toxiques cumulés du DDT sur les humains et les animaux.Le Dr Morris Biskind a noté dans un article de 1949 : « Le DDT étant un poison cumulatif, il est inévitable qu’une intoxication à grande échelle de la population américaine se produise. » En 1944, Smith et Stohlman des National Institutes of Health, après une étude approfondie de la toxicité cumulative du DDT, ont souligné : « La toxicité du DDT combinée à son action cumulative et à son absorbabilité par la peau fait que son utilisation présente un risque certain pour la santé. » Leurs avertissements ont été ignorés par les autorités supérieures.
Au lieu de cela, après 1945, le DDT a été présenté dans toute l’Amérique comme le nouveau pesticide miracle et « sûr », à l’image du Roundup de Monsanto avec le glyphosate trois décennies plus tard. On disait que le DDT était inoffensif pour les humains. Mais personne au gouvernement n’a sérieusement testé scientifiquement cette affirmation. Un an plus tard, en 1945, à la fin de la guerre, les journaux américains ont fait l’éloge du nouveau DDT comme d’une substance « magique », un « miracle ». Le Time a qualifié le DDT de « l’une des grandes découvertes scientifiques de la Seconde Guerre mondiale ».
Malgré des avertissements isolés concernant des effets secondaires non testés, selon lesquels il s’agissait d’un produit chimique persistant et toxique qui s’accumulait facilement dans la chaîne alimentaire, le gouvernement américain a approuvé l’utilisation générale du DDT en 1945. La Food and Drug Administration (FDA), contrôlée par les intérêts des Rockefeller-AMA-pharmaceutiques, a établi comme « sans danger » une teneur en DDT allant jusqu’à 7 parties par million dans les aliments, bien que personne n’ait prouvé cela. Les fabricants de produits chimiques à base de DDT ont alimenté la presse de photos et d’anecdotes. Les journaux ont rapporté avec enthousiasme comment le nouveau produit chimique miracle, le DDT, était testé aux États-Unis contre les moustiques du Sud que l’on croyait porteurs du paludisme, ainsi que « préservant les vignobles de l’Arizona, les vergers de Virginie-Occidentale, les champs de pommes de terre de l’Oregon, les champs de maïs de l’Illinois et les laiteries de l’Iowa ». Le DDT était partout aux États-Unis à la fin des années 1940.
Le gouvernement américain prétendait que le DDT, contrairement à l'arsenic et aux autres insecticides utilisés avant la guerre, était inoffensif pour les humains, même les nourrissons, et pouvait être utilisé sans restriction. À partir de 1945, des villes comme Chicago pulvérisèrent les plages publiques, les parcs et les piscines. Les ménagères achetèrent des pulvérisateurs de DDT à domicile pour pulvériser la cuisine et surtout les chambres des enfants, même leurs matelas. On demanda aux agriculteurs de pulvériser leurs cultures et leurs animaux, en particulier les vaches laitières, avec du DDT. Dans l'Amérique d'après-guerre, le DDT était promu, surtout par les sociétés pharmaceutiques Rockefeller comme American Home Products avec son aérosol DDT Black Flag, et Monsanto. De 1945 à 1952, la production américaine de DDT fut multipliée par dix .
RépondreSupprimerAlors que les cas présumés de polio explosaient littéralement aux États-Unis après 1945, la théorie a été avancée, sans preuve, selon laquelle la polio était transmise, non par des pesticides toxiques comme le DDT, mais par des moustiques ou des mouches aux humains, plus particulièrement aux jeunes enfants ou aux nourrissons. Le message était que le DDT pouvait protéger votre famille en toute sécurité contre la polio invalidante. Les cas de polio officiellement répertoriés sont passés de quelque 25 000 en 1943, avant l'utilisation civile du DDT par les États-Unis, à plus de 280 000 cas en 1952, au plus fort de la maladie, soit une multiplication par dix.
En octobre 1945, le DDT, qui avait été utilisé par l'armée américaine sous la supervision de Henry Kumm, de l'Institut Rockefeller, fut autorisé par le gouvernement américain pour une utilisation générale comme insecticide contre les moustiques et les mouches. Les scientifiques dissidents qui mettaient en garde contre les effets toxiques du DDT sur les humains et les animaux furent réduits au silence. On expliqua aux familles que le DDT pouvait sauver leurs enfants de la redoutable polio en tuant les insectes redoutés.
Le ministère américain de l'Agriculture a conseillé aux agriculteurs de laver leurs vaches laitières avec une solution de DDT pour lutter contre les moustiques et les mouches. Les champs de maïs et les vergers ont été pulvérisés avec du DDT par voie aérienne. Cependant, le produit était incroyablement persistant et son effet toxique sur les plantes et les légumes était tel qu'il ne pouvait pas être éliminé par lavage. D'année en année, de 1945 à 1952, la quantité de DDT pulvérisée aux États-Unis a augmenté. Il en a été de même pour le nombre de cas humains de poliomyélite.
La pire épidémie de polio
RépondreSupprimerAu début des années 1950, le Congrès américain et les agriculteurs se sont de plus en plus intéressés aux dangers potentiels d’une utilisation massive de pesticides, non seulement du DDT, mais aussi de l’hexachlorure de benzène (BHC), encore plus toxique. En 1951, Morton Biskind , un médecin qui avait traité avec succès plusieurs centaines de patients empoisonnés au DDT, a témoigné devant la Chambre des représentants des États-Unis sur le lien possible entre la polio paralytique et les toxines, en particulier le DDT et le BHC. Il a noté :
« L’introduction de l’insecticide DDT (chlorophénothane) et de la série de substances encore plus mortelles qui ont suivi, pour une utilisation générale et incontrôlée par le public, n’a pas eu d’équivalent dans l’histoire. Il ne fait aucun doute qu’aucune autre substance connue de l’homme n’a jamais été développée aussi rapidement et répandue sans discrimination sur une aussi grande partie de la terre en si peu de temps. Cela est d’autant plus surprenant qu’à l’époque où le DDT a été mis à la disposition du public, de nombreuses données étaient déjà disponibles dans la littérature médicale montrant que cet agent était extrêmement toxique pour de nombreuses espèces animales différentes, qu’il s’accumulait dans les graisses corporelles et qu’il apparaissait dans le lait. À cette époque, quelques cas d’empoisonnement au DDT chez des êtres humains avaient également été signalés. Ces observations ont été presque complètement ignorées ou mal interprétées . »
Biskind a de nouveau témoigné devant le Congrès à la fin de 1950 :
« Au début de l’année dernière, j’ai publié une série d’observations sur l’intoxication humaine au DDT. Depuis peu de temps après la dernière guerre, les médecins ont observé un grand nombre de cas dans tout le pays, dans lesquels un ensemble de symptômes se sont manifestés, dont les plus marquants étaient une gastro-entérite, des symptômes nerveux récurrents et une faiblesse musculaire extrême… »
Il a décrit plusieurs exemples de cas de patients dont les symptômes graves, notamment la paralysie, ont disparu lorsque l’exposition au DDT et aux toxines apparentées a été éliminée :
« Mon expérience initiale sur plus de 200 cas que j’ai rapportés au début de l’année dernière s’est depuis considérablement étendue. Mes observations ultérieures ont non seulement confirmé l’idée selon laquelle le DDT est responsable d’un grand nombre de handicaps humains autrement inexplicables … »
Il a également été noté que les cas de polio étaient toujours plus nombreux pendant les mois d’été, lorsque les pulvérisations de DDT contre les insectes étaient maximales.
RépondreSupprimerLes agents de l'Institut Rockefeller et de l'AMA, par l'intermédiaire de leurs agents au sein du gouvernement américain, ont créé l'urgence sanitaire américaine de 1946-1952 appelée polio. Ils y sont parvenus en faisant sciemment la promotion du DDT, un produit hautement toxique, comme moyen sûr de contrôler les insectes mythiques qui propagent la maladie redoutée. Leur campagne de propagande a convaincu la population américaine que le DDT était la clé pour arrêter la propagation de la poliomyélite.
La polio décline soudainement
Sous la direction de deux médecins de l’Institut Rockefeller, Henry Kumm et Thomas Rivers, la National Foundation for Infantile Paralysis (NFIP) a rejeté les critiques telles que Biskind et Scobey. Les traitements naturels, comme l’administration intraveineuse de vitamine C pour la paralysie infantile, ont été rejetés d’emblée comme étant du « charlatanisme ».jeEn avril 1953, le Dr Henry Kumm, principal consultant du Rockefeller Institute sur le DDT, est devenu directeur de la recherche sur la polio pour le NFIP. Il a financé les recherches sur le vaccin contre la polio menées par Jonas Salk.
Un médecin courageux de Caroline du Nord, le Dr Fred R. Klenner, qui avait également étudié la chimie et la physiologie, eut l'idée d'administrer de fortes doses d'acide ascorbique (vitamine C) par voie intraveineuse, en partant du principe que ses patients étaient victimes d'un empoisonnement aux toxines et que la vitamine C était un puissant détoxifiant. C'était bien avant les recherches du Dr Linus Pauling sur la vitamine C, qui lui valut le prix Nobel. Klenner obtint en quelques jours des résultats remarquables sur plus de 200 patients lors des épidémies estivales de 1949 à 1951.L’Institut Rockefeller et l’AMA ne s’intéressaient pas aux perspectives de guérison. Eux et la National Foundation for Infantile Paralysis contrôlée par Rockefeller finançaient uniquement le développement du vaccin contre la polio, sur la base de l’affirmation non prouvée de Flexner selon laquelle la polio était un virus contagieux et non le résultat d’un poison environnemental.
Puis, à partir de 1951-1952, alors que les cas de polio atteignaient un niveau record, un phénomène inattendu commença à se produire. Le nombre de cas diagnostiqués comme étant de la polio aux États-Unis commença à diminuer. Le nombre de victimes de la polio diminua de façon spectaculaire, année après année, jusqu'en 1955, bien avant que la National Foundation et le vaccin antipoliomyélitique de Jonas Salk ne soient approuvés pour un usage public et ne soient largement utilisés.
Environ un an avant la baisse soudaine des cas de polio, le ministère américain de l’Agriculture a conseillé aux agriculteurs dont les vaches laitières souffraient des effets graves du DDT de réduire leur utilisation de cette substance. L’inquiétude croissante du public quant à la sécurité du DDT pour les humains, notamment les audiences du Sénat américain sur le DDT et la polio en 1951, ont également conduit à une baisse significative de l’exposition au DDT jusqu’en 1955, même si le DDT n’a été officiellement interdit aux États-Unis qu’en 1972.
RépondreSupprimerLes cas de polio ont diminué d’environ deux tiers entre 1952 et 1956, ce qui est un parallèle remarquable avec le déclin de l’utilisation du DDT. C’est bien après ce déclin, fin 1955 et 1956, que le vaccin antipolio Salk, développé par Rockefeller, a été administré pour la première fois à de larges populations. Salk et l’AMA ont attribué tout le mérite au vaccin. Les décès et les paralysies résultant du vaccin Salk ont été passés sous silence. Le gouvernement a modifié la définition de la polio pour réduire encore davantage les cas officiels. Simultanément, les cas de maladies de la moelle épinière similaires à la polio – paralysie flasque aiguë, syndrome de fatigue chronique, encéphalite, méningite, syndrome de Guillain-Barré, sclérose musculaire – ont augmenté de manière notable.
Pourquoi c'est important
Il y a plus d’un siècle, l’homme le plus riche du monde, le baron du pétrole John D. Rockefeller, et son cercle de conseillers ont entrepris de réorganiser complètement la pratique de la médecine aux États-Unis et dans le reste du monde. Le rôle de l’Institut Rockefeller et de personnalités comme Simon Flexner a littéralement supervisé l’invention d’une fraude médicale colossale autour d’allégations selon lesquelles un germe contagieux étranger invisible, le virus de la polio, provoquait une paralysie aiguë et même la mort chez les jeunes. Ils ont interdit politiquement toute tentative de relier la maladie à un empoisonnement aux toxines, qu’il s’agisse de pesticides à base de DDT ou d’arsenic, ou même d’un empoisonnement à base de vaccins contaminés. Leur projet criminel incluait une coopération étroite avec la direction de l’AMA et le contrôle de l’industrie pharmaceutique naissante, ainsi que de l’enseignement médical. Le même groupe Rockefeller a financé l’eugénisme nazi dans les Instituts Kaiser Wilhelm en Allemagne dans les années 1930 ainsi que l’American Eugenics Society. Dans les années 1970, ils ont financé la création de semences OGM brevetées qui ont toutes été développées par le groupe de fabricants de pesticides chimiques Rockefeller : Monsanto, DuPont et Dow.
Aujourd’hui, ce contrôle de la santé publique et du complexe médico-industriel est exercé par le protégé de David Rockefeller et défenseur de l’eugénisme, Bill Gates , tsar autoproclamé de l’OMS et des vaccins mondiaux. Le Dr Tony Fauci , directeur du NIAID, dicte les mandats de vaccination sans preuve. La fraude à l’origine du scandale du virus de la polio après la Seconde Guerre mondiale a été affinée avec l’utilisation de modèles informatiques et d’autres ruses aujourd’hui, pour faire avancer un virus mortel après l’autre, du Covid19 à la variole du singe en passant par le VIH. Comme pour la polio, aucun de ces virus n’a été isolé scientifiquement et n’a été prouvé comme étant à l’origine des maladies alléguées. Aucun.
La même Fondation Rockefeller, aujourd’hui exonérée d’impôts et se faisant passer pour une organisation caritative philanthropique, est au cœur de la tyrannie médicale mondiale derrière le covid19 et l’agenda eugéniste du Great Reset du Forum économique mondial.
RépondreSupprimerLeur modèle de virus de la poliomyélite les a aidés à créer cette tyrannie médicale dystopique. On nous dit de « faire confiance à la science ».
https://www.globalresearch.ca/toxicology-vs-virology-rockefeller-institute-criminal-polio-fraud/5786537
Vidéo : La mort mystérieuse de l'inventeur du test PCR, le prix Nobel Dr Kary Mullis
RépondreSupprimerLe critique le plus notoire du Dr Fauci
Par Greg Reese et le professeur Michel Chossudovsky
Recherche mondiale,
22 décembre 2024
« La PCR est un processus. Elle ne vous dit pas que vous êtes malade. » – Dr Kary Mullis , (image de droite), lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, décédé en août 2019.
« … La totalité ou une partie substantielle de ces résultats positifs pourraient être dus à ce que l’on appelle des tests faussement positifs . » – Dr Michael Yeadon , scientifique distingué, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer
« Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est appliquée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements pour justifier des mesures excessives telles que la violation d’un grand nombre de droits constitutionnels, … sous prétexte d’une pandémie basée sur un nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre réel de patients . » – Dr Pascal Sacré, médecin belge spécialisé en soins intensifs et analyste réputé en santé publique.
« J’ai vu des efforts massifs déployés pour gonfler délibérément le nombre de décès dus au Covid en requalifiant les patients atteints de cancer, les victimes d’accident vasculaire cérébral et toutes sortes de décès normaux comme étant dus au Covid, en fait pratiquement n’importe qui montant dans une ambulance. Les méthodes utilisées pour ce faire étaient totalement défectueuses, les tests PCR par exemple étant effectués sur 45 cycles, nous savons tous qu’ils ne valent rien , et pourtant des gens sont euthanasiés sur cette base et parfois uniquement sur la base d’une radiographie pulmonaire. » – John O’Looney, directeur de pompes funèbres, Milton Keynes, Royaume-Uni
Dès le début de cette crise en janvier 2020, toutes les décisions politiques de grande envergure, confirmées et présentées au public comme un « moyen de sauver des vies », étaient fondées sur des cas positifs de RT-PCR erronés et invalides.
Ces « estimations » invalides de la COVID-19 ont été utilisées pour justifier le confinement, la distanciation sociale, le port du masque, l’interdiction des rassemblements sociaux, des événements culturels et sportifs, la fermeture de l’activité économique, ainsi que l’application du « vaccin » à ARNm lancé en novembre 2020. Il n’existe pas de « cas confirmé de COVID-19 » . – Michel Chossudovsky, professeur d’économie (émérite), Université d’Ottawa.
* * *
Le regretté Dr Kary Mullis, l'inventeur du test PCR, dénonce Fauci et les grandes sociétés pharmaceutiques depuis 30 ans.
RépondreSupprimerProduction vidéo et analyse exceptionnelles de Greg Reese
VIDÉO. Le test de réaction en chaîne par polymérase
par Greg Reese
- voir clip sur site -
Que l’héritage du regretté Dr Kary Mullis perdure.
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La méthodologie biaisée appliquée sous les directives de l'OMS pour détecter la propagation présumée du virus est le test de réaction en chaîne par polymérase à transcription inverse (RT-PCR) , qui est systématiquement appliqué dans le monde entier depuis février 2020. (Ce texte ci-dessous est un extrait du livre de Michel Chossudovsky, août 2022 )
La polymérase de transcription inverse
Test de réaction en chaîne (RT-PCR)
par Michel Chossudovsky
Le test RT-PCR a été utilisé dans le monde entier pour générer des millions de « cas confirmés de COVID-19 » erronés, qui sont ensuite utilisés pour entretenir l’illusion que la prétendue pandémie est réelle.
Cette évaluation fondée sur des chiffres erronés a été utilisée pendant trois ans et demi pour lancer et entretenir la campagne de peur.
Le terme « confirmé » est une erreur de langage. Un « cas positif confirmé par RT-PCR » n’implique pas nécessairement un « cas confirmé de COVID-19 ».
« Un RT-PCR positif n’est pas synonyme de la maladie COVID-19 ! Les spécialistes de la PCR précisent qu’un test doit toujours être comparé au dossier clinique du patient testé , à l’état de santé du patient pour confirmer sa valeur [fiabilité]. » ( Dr Pascal Sacré)
La procédure utilisée par les autorités sanitaires nationales consiste à classer tous les cas positifs au test RT-PCR comme « cas confirmés de COVID-19 » (avec ou sans diagnostic médical). Ironiquement, ce processus routinier d'identification des « cas confirmés » déroge aux propres directives du CDC :
« La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou que le 2019-nCoV est l’agent causal des symptômes cliniques. La performance de ce test n’a pas été établie pour le suivi du traitement de l’infection par le 2019-nCoV. Ce test ne peut pas exclure les maladies causées par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux . » (soulignement ajouté)
La méthodologie utilisée pour détecter et estimer la propagation du virus est défectueuse et invalide.
Faux positifs
Le débat précédent, au début de la crise, portait sur la question des « faux positifs ».
Reconnu par l'OMS et le CDC, le test RT-PCR était connu pour produire un pourcentage élevé de faux positifs. Selon le Dr Pascal Sacré :
« Aujourd’hui, les autorités testent davantage de personnes, ce qui veut dire que les tests RT-PCR sont plus positifs. Cela ne signifie pas que le COVID-19 va revenir, ni que l’épidémie se propage par vagues. Il y a plus de personnes testées, c’est tout. »
RépondreSupprimerLe débat sur les faux positifs (reconnus par les autorités sanitaires) pointe du doigt des erreurs dites « d’erreur » sans pour autant remettre en cause la validité globale du test RT-PCR comme moyen de détection de la prétendue propagation du virus SARS-CoV-2.
Le test PCR ne détecte pas l'identité du virus
Le test RT-PCR ne permet pas d'identifier ni de détecter le virus. Le test PCR permet d'identifier des fragments génétiques de nombreux virus (y compris les virus de la grippe de types A et B et les coronavirus qui déclenchent le rhume).
Les résultats du test RT-PCR ne peuvent pas « confirmer » si une personne qui se soumet au test est infectée par le SRAS-CoV-2.
Les échecs du test PCR, des chiffres ridiculement bas
Même si le nCoV 2019 avait été détecté et dûment identifié, le nombre de cas positifs confirmés (cumulatifs) par PCR-RT au cours de la période précédant le 11 mars 2020, utilisé comme justification pour imposer le confinement de plus de 190 pays, était ridiculement bas . Les 80 981 cas pour la Chine concernent également les cas positifs confirmés (cumulatifs) par PCR. Notez que les nouveaux cas en Chine (PCR positifs) au 12 mars 2020 sont de l'ordre de « 321 nouveaux »
- voir cadre sur site -
Pour plus de détails, voir :
L’OMS confirme que le test PCR Covid-19 est erroné : les estimations de « cas positifs » n’ont aucun sens. Le confinement n’a aucune base scientifique
Par le professeur Michel Chossudovsky , 10 décembre 2023
Il n’y a jamais eu de « nouveau coronavirus », il n’y a jamais eu de pandémie,
Par le professeur Michel Chossudovsky ,
3 novembre 2024
Le 13 janvier 2021, l’OMS a reconnu que le test PCR n’était pas valide. Le texte officiel de l’OMS intitulé « Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SARS-CoV-2 » est présenté dans l’annexe ci-dessous.
Le Mea Culpa de l'OMS
par Michel Chossudovsky
Les directives de l'OMS concernant les tests de diagnostic du SARS-CoV-2 stipulent qu'une interprétation prudente des résultats positifs faibles est nécessaire ( 1 ). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente.
L’OMS rappelle aux utilisateurs de dispositifs de diagnostic in vitro que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positif augmente ( 2 ). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée.
RépondreSupprimer« Les positifs non valides » est le concept sous-jacent
Il ne s’agit pas d’une question de « faibles positifs » et de « risque d’augmentation des faux positifs ». Ce qui est en jeu, c’est une « méthodologie défectueuse » qui conduit à des estimations non valides.
Ce que confirme cet aveu de l’OMS, c’est que l’estimation de la positivité au covid issue d’un test PCR (avec un seuil d’amplification de 35 cycles ou plus) n’est pas valide . Dans ce cas, l’OMS recommande de refaire le test : « un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté… ».
L’OMS appelle à « refaire les tests » , ce qui revient à dire « nous avons fait une erreur ».
Cette recommandation est une formalité. Elle n'aura pas lieu. Des millions de personnes dans le monde ont déjà été testées, à partir de début février 2020. Néanmoins, nous devons conclure que, à moins d'être à nouveau testées, ces estimations (selon l'OMS) ne sont pas valables.
Depuis le début, le test PCR est systématiquement appliqué à un seuil d'amplification Ct de 35 ou plus, conformément aux recommandations de l'OMS de janvier 2020. Cela signifie que la méthodologie PCR telle qu'elle est appliquée dans le monde entier a conduit à la compilation de statistiques Covid erronées et trompeuses.
Et ce sont ces statistiques qui sont utilisées pour mesurer la progression de la soi-disant « pandémie ». Au-delà d’un cycle d’amplification de 35 ou plus, le test ne détectera pas de fragments du virus. Par conséquent, les « chiffres officiels du Covid » n’ont aucun sens.
Il s’ensuit qu’il n’existe aucune base scientifique permettant de confirmer l’existence d’une pandémie.
Ce qui signifie à son tour que le confinement/les mesures économiques qui ont entraîné la panique sociale, la pauvreté de masse et le chômage (soi-disant pour freiner la propagation du virus) n'ont aucune justification.
Selon l'avis scientifique :
« Si une personne est testée positive par PCR lorsqu'un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c'est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne soit réellement infectée est inférieure à 3 % , la probabilité que ce résultat soit un faux positif est de 97 % (Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, Clare Craig, Kevin McKernan, et al, Critique de l'étude Drosten )
- voir cadre sure site -
Comme indiqué ci-dessus, « la probabilité que ce résultat soit un faux positif est de 97 % » : il s’ensuit que l’utilisation de la détection > 35 cycles contribuera de manière indélébile à « augmenter » le nombre de « faux positifs ».
Au moment où nous écrivons ces lignes (mi-mars 2021), malgré la rétractation de l’OMS, le test PCR est largement utilisé pour faire grimper les chiffres en vue de maintenir la campagne de peur, de justifier les politiques de confinement en cours ainsi que la mise en œuvre du vaccin Covid.
RépondreSupprimerIroniquement, les chiffres erronés basés sur des « positifs non valides » sont à leur tour manipulés pour assurer une tendance à la hausse des soi-disant « cas confirmés de Covid-19 ».
De plus, ces tests PCR ne sont pas systématiquement accompagnés d’un diagnostic médical des patients testés.
Et maintenant, les autorités sanitaires nationales ont émis de (faux) avertissements concernant une « troisième vague » dans le cadre de leur campagne de propagande en faveur du vaccin contre le Covid-19.
L'OMS confirme que la procédure de test PCR Covid telle qu'appliquée n'est pas valide. Il n'existe absolument aucune base scientifique pour la mise en œuvre du vaccin Covid.
Tant l’OMS que l’évaluation scientifique de Pieter Borger et al (citée ci-dessus) confirment sans équivoque que les tests adoptés par les gouvernements pour justifier le confinement et la déstabilisation des économies nationales sont INVALIDES.
Données invalides et jeu des nombres
Il faut comprendre que ces « estimations invalides » sont les « chiffres » cités sans relâche 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 par les médias qui ont été utilisés pour alimenter la campagne de peur et « justifier » TOUTES les politiques mises en avant par les gouvernements :
confinement,
fermeture de l'activité économique,
la pauvreté et le chômage de masse,
faillites
distanciation sociale,
masque facial,
couvre-feu,
le vaccin.
le passeport santé
Données non valides. Réfléchissez à deux fois avant de vous faire vacciner
Michel Chossudovsky, 9 novembre 2024
RépondreSupprimerPour le texte complet de l'OMS daté du 13 janvier 2021 (Mea Culpa), voir ci-dessous
Vous trouverez ci-dessous la « rétractation » soigneusement formulée par l’OMS (en annexe) .
ANNEXE
Technologies de test des acides nucléiques (NAT)
qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR)
pour la détection du SARS-CoV-2
Lien vers le document original de l'OMS
Type de produit : Technologies de test d'acide nucléique (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SARS-CoV-2
Date : 13 janvier 2021
Identifiant OMS : 2020/5, version 2
Public cible : professionnels de laboratoire et utilisateurs de DIV.
Objectif de cet avis : clarifier les informations précédemment fournies par l'OMS. Cet avis remplace l'avis d'information de l'OMS à l'intention des utilisateurs de dispositifs médicaux de diagnostic in vitro (DIV) 2020/05 version 1, publié le 14 décembre 2020.
Description du problème : L’OMS demande aux utilisateurs de suivre les instructions d’utilisation (IFU) lors de l’interprétation des résultats des échantillons testés à l’aide de la méthodologie PCR.
Les utilisateurs de DIV doivent lire et suivre attentivement le mode d’emploi pour déterminer si le réglage manuel du seuil de positivité de la PCR est recommandé par le fabricant.
Les recommandations de l'OMS concernant les tests diagnostiques pour le SARS-CoV-2 indiquent qu'il est nécessaire d'interpréter avec prudence les résultats positifs faibles ( 1 ). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente.
L’OMS rappelle aux utilisateurs de dispositifs de diagnostic in vitro que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positif augmente ( 2 ). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée.
La plupart des tests PCR sont indiqués comme une aide au diagnostic. Par conséquent, les prestataires de soins de santé doivent tenir compte de tout résultat en combinaison avec le moment de l'échantillonnage, le type d'échantillon, les spécificités du test, les observations cliniques, les antécédents du patient, le statut confirmé de tout contact et les informations épidémiologiques.
Mesures à prendre par les utilisateurs de DIV :
RépondreSupprimerVeuillez lire attentivement la notice d'utilisation dans son intégralité.
Contactez votre représentant local si un aspect du mode d’emploi ne vous paraît pas clair.
Vérifiez le mode d'emploi de chaque envoi entrant pour détecter toute modification du mode d'emploi.
Fournissez la valeur Ct dans le rapport au prestataire de soins de santé demandeur.
Remarques
1. Tests de diagnostic du SRAS-CoV-2. Genève : Organisation mondiale de la Santé ; 2020, numéro de référence OMS WHO/2019-nCoV/laboratory/2020.6.
2. Altman DG, Bland JM. Tests diagnostiques 2 : valeurs prédictives. BMJ. 1994 9 juillet ;309(6947):102. doi : 10.1136/bmj.309.6947.102.
https://www.globalresearch.ca/video-mysterious-death-dr-fauci-most-notable-critic/5871158
RépondreSupprimerLa FDA met à jour le rappel d'un médicament contre l'hypertension en raison d'un possible cancérigène
PAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 22 DÉCEMBRE 2024 - 01:50
Rédigé par Jack Phillips via The Epoch Times
Un troisième médicament contre l'hypertension a été rappelé aux États-Unis au cours des dernières semaines, selon un avis mis à jour sur le site Web de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis le 16 décembre.
L'avis indique qu'Aurobindo Pharma USA Inc., basée dans le New Jersey, rappelle les comprimés de Nebivolol en doses de 2,5 milligrammes dans des flacons de 30 comprimés, qui ne sont disponibles que sur ordonnance. Le Nebivolol, un type de bêtabloquant, est utilisé pour traiter l'hypertension artérielle.
Le rappel est dû à la « présence d'impuretés liées à la substance médicamenteuse nitrosamine », ajoutant que les niveaux de N-nitroso nébivolol découverts sont supérieurs à la « limite d'absorption acceptable », a-t-il déclaré. Le N-nitroso nébivolol est une nitrosamine et est considéré comme mutagène.
Le rappel a été lancé par Aurobindo au début du mois. La FDA a classé le rappel dans la classe II le 16 décembre, ce qui se produit lorsqu'il y a un faible risque de blessure ou de décès et une possibilité d'« événements indésirables » pouvant avoir des effets irréversibles. Ils sont émis si le produit peut causer des problèmes de santé médicalement réversibles ou temporaires, ou s'il existe un faible risque de conséquences graves sur la santé.
Les numéros de lot rappelés sont : NB0224001A et NB0224001B. Sa date d'expiration est avril 2027 et son code national des médicaments, ou NDC, est 59651-137-30, selon la FDA.
Les nitrosamines sont des composés qui peuvent augmenter le risque de cancer chez les individus exposés à ces substances au-delà des niveaux établis par la FDA, ou pendant de longues périodes, indique l’agence sur son site Internet.
« Une personne prenant un médicament contenant des nitrosamines à des niveaux égaux ou inférieurs aux limites d’apport journalier acceptables tous les jours pendant 70 ans ne devrait pas avoir de risque accru de cancer », ajoute la FDA.
Les personnes qui prennent des médicaments contenant d’éventuelles « impuretés de nitrosamines ne doivent pas arrêter de prendre leurs médicaments » et doivent plutôt en parler à un professionnel de la santé.
Les nitrosamines peuvent être trouvées en petites quantités dans l’environnement et les aliments, notamment « dans la viande, les légumes et les produits laitiers », indique la FDA.
RépondreSupprimerCertains scientifiques ont émis des avertissements concernant ce qu’ils décrivent comme une contamination généralisée aux nitrosamines dans les médicaments pharmaceutiques, notant qu’ils sont classés comme des impuretés mutagènes connues de classe 1 par le Conseil international pour l’harmonisation des exigences techniques relatives aux produits pharmaceutiques à usage humain, un organisme de santé mondial.
En 2023, un article de recherche publié dans le Journal of Pharmaceutical Analysis a révélé que la présence de ces composés « a soulevé des inquiétudes mondiales en matière de sécurité en raison de leurs effets génotoxiques et mutagènes importants » et que ces « impuretés, même en quantités infimes, sont hautement toxiques et mutagènes, capables d’endommager l’ADN et d’augmenter par la suite le risque d’incidence du cancer ».
Autres rappels récents
Au cours des deux derniers mois, deux autres médicaments utilisés pour traiter l’hypertension artérielle ont été rappelés aux États-Unis, selon les avis de rappel de la FDA.
En novembre, la société new-yorkaise Evaric Pharmaceuticals Inc. a rappelé environ 200 600 flacons de ses comprimés de lisinopril en doses de 10 milligrammes après qu’un « pharmacien a découvert un fragment métallique intégré dans un comprimé de lisinopril de 10 mg ». Le rappel concerne les comprimés de lisinopril en doses de 10 milligrammes dans des flacons de 90 comprimés.
Quelques semaines auparavant, Lupin Pharmaceuticals, une société basée dans le Maryland, avait rappelé en octobre un autre médicament contre l’hypertension, le Ramipril, parce que « l’ingrédient pharmaceutique actif provenait d’un fournisseur non agréé », a déclaré la FDA.
Le rappel concerne les gélules de Ramipril en dosage de 2,5 milligrammes dans des flacons de 90, 100 et 500 comprimés, selon l’avis. Le médicament, un inhibiteur de l’enzyme de conversion de l’angiotensine (ECA) utilisé pour traiter l’hypertension artérielle, n’est disponible que sur ordonnance.
https://www.zerohedge.com/medical/fda-updates-recall-blood-pressure-medication-due-possible-carcinogen
Le Sénateur Alain Houpert obtient l’annulation de deux décisions sur trois de la Chambre disciplinaire de première instance de l’Ordre des Médecins
RépondreSupprimerle 21 décembre 2024 - 10:49
Alain Houpert
Après la sanction par Chambre disciplinaire de première instance de l’Ordre des Médecins, en novembre 2022, qui lui inflige une interdiction d’exercer la médecine pour 9 mois, et suite à trois plaintes émanant du Conseil national de l'Ordre des médecins, de quatre médecins de Côte-d'Or, et du syndicat UFML, pour infraction au Code de déontologie médicale, le sénateur et médecin Alain Houpert faisait appel de la décision.
Le 18 décembre 2024, la Chambre disciplinaire nationale annulait deux des trois sanctions, arguant d’une violation du principe juridique non bis in idem (interdiction de sanctions multiples pour les mêmes faits). Elle maintenait malgré tout une suspension de trois mois liée à la plainte du Conseil National de l’Ordre, affirmant que les déclarations en question ne relevaient pas d’un débat politique de santé publique.
Fort de ces avancées le sénateur, soutenu par son avocat Thomas Benages, conteste désormais cette dernière décision, qu’il considère comme une atteinte à la liberté d’expression des parlementaires de l’opposition, et fait appel devant le Conseil d’État, s’appuyant sur la jurisprudence de la Cour Européenne des Droits de l’Homme (arrêt Castells c/ Espagne, 1992) qui protège la liberté d’expression des élus, même hors du cadre parlementaire. Le sénateur s’émeut d’une ingérence des instances ordinales dans le débat démocratique et un musellement des voix dissidentes.
La justice avance...
https://www.francesoir.fr/politique-france/le-senateur-alain-houpert-obtient-l-annulation-de-deux-decisions-sur-trois-de-la
RépondreSupprimerUne étude de Yale révèle que les protéines de pointe des vaccins COVID persistent pendant DEUX ANS : Les vaccins à ARNm réécrivent-ils l'ADN humain ?
21/12/2024
Lance D Johnson
Des scientifiques de Yale ont découvert la protéine de pointe COVID chez des individus vaccinés jusqu'à deux ans après la vaccination.
Une étude suggère que le matériel génétique de l'ARNm peut s'intégrer à l'ADN humain, activant ainsi les structures de fabrication de protéines.
Le Dr Akiko Iwasaki, scientifique de renom qui a initialement soutenu les vaccins à ARNm, dirige désormais l'étude.
Les sceptiques des vaccins mettent en garde contre les risques de contamination de l'ADN, citant des preuves d'ARNm auto-réplicatif et de transcription inverse.
Des recherches révèlent que les vaccins à ARNm peuvent induire une inflammation chronique, une coagulation sanguine et des lésions neurologiques.
Les résultats remettent en cause les affirmations selon lesquelles l'ARNm aurait des effets temporaires et localisés, ce qui soulève des inquiétudes quant aux impacts à long terme sur la santé.
Des preuves suggèrent que les individus vaccinés peuvent devenir des « super-propagateurs » de protéines de pointe, mettant potentiellement en danger la santé publique.
Des chercheurs trouvent des protéines de pointe chez des personnes vaccinées DEUX ANS après l'inoculation
Les scientifiques tirent la sonnette d'alarme quant aux conséquences à long terme de ces injections expérimentales contre la COVID-19. De nouvelles découvertes de l'Université Yale suggèrent que le matériel génétique des vaccins à ARNm pourrait non seulement persister dans le corps humain, mais également s'intégrer à l'ADN humain, modifiant fondamentalement notre code génétique. Cette découverte inquiétante a de profondes implications pour la santé de milliards de personnes dans le monde et soulève des questions urgentes sur l'éthique et la sécurité de la technologie des vaccins à ARNm.
Des chercheurs de Yale ont identifié des protéines de pointe COVID dans le sang de personnes vaccinées, jusqu'à deux ans après avoir reçu leur injection. Fait crucial, ces personnes n'ont jamais été infectées par le virus, comme l'ont confirmé des tests d'anticorps. Le système immunitaire détruit généralement les protéines de pointe nouvellement produites, mais la persistance de ces protéines suggère que certaines personnes vaccinées peuvent les produire de manière indépendante. Une explication plausible est que le matériel génétique délivré par les vaccins s'est intégré aux gènes humains, activant les structures de fabrication de protéines dans les cellules. Si cela se confirme, cela marquerait un changement radical dans notre compréhension de la sécurité des vaccins à ARNm.
RépondreSupprimerLes implications de cette découverte sont stupéfiantes. Plus d’un milliard de personnes dans le monde ont reçu des vaccins à ARNm contre la COVID, et la possibilité que ces vaccins modifient l’ADN humain change la donne. Les conséquences pourraient s’étendre bien au-delà des risques sanitaires immédiats du Covid-19, entraînant potentiellement une inflammation chronique, des troubles auto-immuns et des lésions organiques à long terme. Les protéines de pointe produites par ces vaccins ne sont pas bénignes ; elles sont connues pour provoquer des caillots sanguins, des inflammations neurologiques et même des formations de type prion dans le cerveau, qui sont liées à la maladie d’Alzheimer.
La chercheuse principale de cette étude révolutionnaire est la Dre Akiko Iwasaki, immunologiste de renom et ancienne présidente de l’American Association of Immunologists. La Dre Iwasaki était autrefois une fervente partisane des vaccins à ARNm, rejetant les inquiétudes concernant leur sécurité comme « absurdes ». Cependant, les conclusions de son équipe suggèrent désormais que ces inquiétudes étaient peut-être fondées depuis le début. L’étude, baptisée LISTEN, a débuté en 2022 et a recruté environ 3 000 participants ayant signalé des blessures post-vaccinales. Les chercheurs ont trouvé des protéines de pointe dans les échantillons de sang des participants plus de 700 jours après leur dernière injection d’ARNm, une découverte qui remet en cause le récit des effets temporaires et localisés de l’ARNm.
Bienvenue dans le côté obscur du transhumanisme
La possibilité d’une intégration génétique n’est pas une préoccupation nouvelle chez les sceptiques des vaccins. Certains chercheurs avertissent depuis longtemps que les vaccins à ARNm pourraient contaminer l’ADN humain, un processus connu sous le nom de « transfection ». Le processus de fabrication des vaccins à ARNm implique l’utilisation de plasmides d’ADN, ce qui peut conduire à de petites quantités de contamination de l’ADN dans le produit final. Alors que les normes fédérales limitent la contamination autorisée de l’ADN à 10 nanogrammes par dose, les nanoparticules lipidiques utilisées pour protéger l’ARNm peuvent également protéger les contaminants de l’ADN, leur permettant potentiellement de s’intégrer dans les gènes humains.
Des recherches récentes menées par Kevin McKernan et d’autres chercheurs ont fourni de nouvelles preuves de la contamination de l’ADN dans les flacons de vaccins, soulevant des questions sur l’adéquation des normes réglementaires actuelles. Le Dr Richard M. Fleming, cardiologue nucléaire, a également averti que les vaccins à ARNm sont auto-réplicatifs et pourraient transformer les individus en « usines à protéines de pointe sans fin ». Ses recherches suggèrent que la séquence génétique du SARS-CoV-2 est conçue pour s’auto-assembler et s’auto-amplifier, s’intégrant dans l’ADN humain par transcription inverse. Ce processus pourrait détourner l’expression génétique saine, entraînant une inflammation chronique et des lésions organiques pour les années à venir.
RépondreSupprimerLes conséquences de ces découvertes ne sont rien moins qu’alarmantes. Les personnes vaccinées pourraient non seulement souffrir de conséquences à long terme sur leur santé, mais pourraient également devenir des « super-propagateurs » de protéines de pointe, mettant potentiellement en danger la santé publique pendant des générations. L’idée que les vaccins à ARNm pourraient réécrire l’ADN humain et transformer les individus en vecteurs perpétuels d’armes biologiques est une perspective effrayante, qui s’aligne sur le domaine émergent du transhumanisme. Alors que les mises à jour génétiques deviennent la norme, la frontière entre l’humain et la machine s’estompe, soulevant des questions éthiques sur l’autonomie, le consentement et l’avenir de l’humanité.
Sources include:
AlexBerensen.substack.com
Medicine.Yale.edu
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2024-12-21-yale-study-spike-proteins-covid-jabs-persist.html
Une nouvelle étude démystifie la sécurité cardiaque CAMPAGNE DE diffamation menée contre la thérapie combinée à l'hydroxychloroquine
RépondreSupprimer20/12/2024
Lance D Johnson
Une nouvelle étude démystifie les inquiétudes concernant la sécurité cardiaque de l'hydroxychloroquine (HCQ) associée à l'azithromycine, à la vitamine C, à la vitamine D et au zinc.
Malgré le dénigrement du protocole, l'étude ProgenaBiome ne trouve aucun risque cardiaque significatif chez les patients COVID-19 gravement malades traités avec ce protocole.
En utilisant une surveillance continue de l'ECG et une analyse statistique, l'étude conclut que le protocole est une option sûre et viable pour le traitement du COVID-19.
La recherche remet en question la suppression des traitements alternatifs du COVID-19, citant des controverses et une rétractation contraire à l'éthique d'études antérieures sur l'HCQ et l'azithromycine.
Les intérêts biopharmaceutiques privilégient le profit à la santé publique, en promouvant des vaccins à ARNm plus coûteux.
Une étude exhorte les parties prenantes à donner la priorité aux politiques fondées sur des preuves et aux traitements accessibles.
L'HCQ, l'azithromycine, les vitamines C et D et le zinc sont à nouveau sans danger
Dans une révélation stupéfiante qui remet en cause le discours dominant sur les traitements contre la COVID-19, une nouvelle recherche publiée dans la revue BMC Cardiovascular Disorders a définitivement démystifié les inquiétudes concernant la sécurité cardiaque de l'hydroxychloroquine associée à l'azithromycine, à la vitamine C, à la vitamine D et au zinc (HAZDPac). L'étude ProgenaBiome, menée par une équipe de chercheurs réputés dont Sabine Hazan, Adriana C. Vidal, Nicolas Hulscher, Amelia Goudzwaard, Peter A. McCullough et Alon A. Steinberg, fournit des preuves cruciales que cette thérapie combinée ne présente pas de risques cardiaques significatifs.
La présente étude, un essai de phase II en double aveugle randomisé contrôlé par placebo, a méticuleusement surveillé 83 patients COVID-19 gravement malades sur une période de 10 jours. Les patients recevant un traitement HAZDPac n'ont montré aucun allongement significatif de l'intervalle QTc par rapport à ceux sous placebo. Cette découverte est particulièrement significative car les inquiétudes concernant l'allongement de l'intervalle QTc ont été un obstacle majeur à l'utilisation de l'hydroxychloroquine pour le traitement de la COVID-19.
La conception de la recherche a utilisé une surveillance continue de l'ECG, ce qui a permis à l'équipe de recueillir des données très précises. À l'aide de tests t à deux échantillons, les chercheurs ont analysé les intervalles QTc enregistrés chez les patients du groupe de traitement et ceux sous placebo, sans qu'aucune différence significative ne soit observée. La conclusion de l'étude est sans équivoque : HAZDPac, une thérapie combinée puissante, reste une option sûre et viable pour traiter la COVID-19, et son utilisation n'entraîne pas de complications cardiaques.
RépondreSupprimerLes résultats sont particulièrement remarquables à la lumière des débats éthiques en cours autour de la suppression des traitements alternatifs de la COVID-19. L'un de ces épisodes controversés concerne la rétractation d'une étude historique sur l'hydroxychloroquine et l'azithromycine publiée par la même équipe de recherche. Cette étude avait été largement citée par 6 713 scientifiques et chercheurs pendant quatre ans avant d'être injustement retirée de la circulation. Une telle rétractation soulève de sérieuses questions sur l'intégrité de la recherche scientifique et les motivations derrière de telles actions.
Un complexe biopharmaceutique conspire pour faire taire, vilipender et retirer des études sur des traitements utiles contre la COVID-19
Cette rétractation, qualifiée d'acte de « suppression contraire à l'éthique » par la communauté scientifique, est considérée comme faisant partie d'une stratégie plus large des intérêts biopharmaceutiques visant à privilégier le profit au détriment de la santé publique. « Le complexe biopharmaceutique », comme l'ont appelé certains critiques, est accusé de minimiser ou de censurer systématiquement les preuves qui pourraient soutenir l'utilisation de traitements moins chers, plus sûrs et plus accessibles comme l'hydroxychloroquine. La campagne de diffamation contre l'HCQ, par exemple, a conduit à des publications affirmant que l'HCQ avait causé 17 000 décès. Cela a été démasqué comme une fraude. Cette stratégie a ouvert la voie à la promotion de vaccins à ARNm plus coûteux et du remdesivir, imposés aux patients en vertu d'une autorisation d'utilisation d'urgence.
Malgré les défis importants rencontrés, les auteurs de cette étude restent inébranlables dans leur engagement envers la vérité scientifique et la santé publique. « Nous continuerons à mener, soutenir et diffuser des recherches de haute qualité », a déclaré le professeur Peter A. McCullough, une figure clé de la communauté scientifique. « Il est de notre devoir de maintenir l'intégrité scientifique et de veiller à ce que des traitements efficaces parviennent à ceux qui en ont besoin. »
Les implications de ces résultats sont profondes. Non seulement elles suggèrent que l’hydroxychloroquine est sans danger pour une utilisation ambulatoire, mais elles remettent également en question la dynamique du marché qui a régi la réponse à la pandémie. Si l’hydroxychloroquine s’avère être un traitement efficace et accessible, les implications pour les politiques de santé mondiales et l’accessibilité financière des soins pourraient être profondes.
Alors que la communauté scientifique continue de se débattre avec des défis éthiques et scientifiques dans le sillage de la pandémie, l’étude ProgenaBiome constitue un puissant témoignage de la résilience de la recherche scientifique et de l’engagement indéfectible envers la vérité et le bien-être public. C’est un appel à l’action pour que toutes les parties prenantes réévaluent leurs priorités et s’assurent que la recherche de traitements efficaces soit guidée par des preuves, et non par les diktats des intérêts commerciaux.
RépondreSupprimerSources include:
PeterMcCulloughMD.substack.com
BMC.Biomedcentral.com
ScienceDirect.com
PeterMcCulloughMD.substack.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2024-12-20-new-research-debunks-cardiac-safety-smear-campaign.html
Berbérine : l'un des outils les plus puissants dont nous disposons pour réguler l'insuline
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 22 DÉCEMBRE 2024 - 21:10
Rédigé par Robert W Malone via The Epoch Times
Lors de la retraite du Brownstone Institute près de Hartford, dans le Connecticut, l'année dernière, j'ai entendu le Dr Paul Marik parler des médicaments réutilisés. Bien sûr, c'est l'une de mes passions depuis l'épidémie d'Ebola de 2014, avec la prise de conscience qu'un vaccin sûr et efficace ne pouvait pas être développé assez rapidement pour toute nouvelle maladie hautement infectieuse ou événement de menace biologique infectieuse émergente.
La berbérine étant dérivée de plantes, elle est considérée comme un nutraceutique. svf74/Shutterstock
Malheureusement, notre gouvernement ou l'industrie pharmaceutique ne manifestent aucun intérêt à utiliser des médicaments réutilisés pour d'autres indications de maladies telles que le cancer. Et ce, malgré le fait que la modélisation informatisée, qui est très sophistiquée, suggère qu’il existe de nombreux médicaments pour lesquels le profil de sécurité du médicament déjà autorisé est bien connu, qui fonctionneraient bien pour divers types de cancer. Encore une fois, pas de profit, pas d’intérêt. Pas de fonds ou de soutien à la recherche. Une impasse.
De même, aux États-Unis, les « nutraceutiques » ne sont en grande partie pas réglementés, car ils existent dans la même catégorie que les compléments alimentaires et les additifs alimentaires par la FDA [Food and Drug Administration américaine]. Il n’y a aucun moyen pour une société pharmaceutique de faire d’énormes profits avec des médicaments réutilisés à moins de trouver un moyen de breveter le produit (formulations, co-administration avec d’autres agents, etc.). Même dans ce cas, cela peut être très difficile et comporte beaucoup de risques financiers – pour le faire passer par le processus de brevet (qui est plus difficile).
L’un des principaux exemples utilisés lors de la conférence de Marik lors de la retraite de Brownstone était le composé berbérine.
La berbérine étant dérivée de plantes, elle est considérée comme un nutraceutique. En conséquence, il existe peu d’essais cliniques randomisés et peu d’intérêt de la part des laboratoires pharmaceutiques ou du gouvernement pour ce médicament. Probablement parce qu’il n’y a pas de but lucratif en jeu. Par conséquent, la plupart d’entre nous n’en ont jamais entendu parler.
L’un des principaux arguments de Marik était que la berbérine semble être l’un des outils les plus puissants dont nous disposons pour réguler l’insuline et pourtant, comme il n’y a aucun profit à promouvoir ce produit, il n’y a presque pas de publicité ou de recherche significative sur ses avantages cliniques.
Les médecines traditionnelles utilisent de nombreuses plantes qui sont de véritables miracles que nous offre la nature. La berbérine se trouve dans de nombreuses plantes à travers le monde et est utilisée comme médicament essentiel dans le monde entier depuis plus de 3000 ans. Traditionnellement, ses utilisations ont beaucoup varié et comprennent le traitement des infections et des plaies, et comme antimicrobien pour divers types d’inflammation gastro-intestinale.
RépondreSupprimerLes enzymes sont des protéines qui fonctionnent comme des catalyseurs biologiques dans le corps et agissent en accélérant les réactions chimiques. La berbérine agit en se liant à une variété d’enzymes individuelles et en modifiant leur efficacité.
Quels sont les bienfaits de la berbérine pour la santé ?
(Remarque : il ne fait aucun doute que des recherches plus poussées sur ce composé sont nécessaires. Mais il existe des preuves accablantes que ce médicament présente de nombreux avantages pour la santé et ne doit pas être négligé lors de l’évaluation de l’utilisation de compléments alimentaires nutraceutiques.)
Athérosclérose
« L’athérosclérose est une maladie inflammatoire chronique des artères et est la cause sous-jacente d’environ 50 % de tous les décès dans la société occidentalisée »
« La berbérine est un extrait d’herbes traditionnelles chinoises connu pour ses effets antimicrobiens et anti-inflammatoires dans le système digestif. Ses mécanismes anti-MCV (maladies cardiovasculaires) sous-jacents suscitent actuellement l’intérêt, et ses actions pharmacologiques, telles que l’antioxydation, la régulation des neurotransmetteurs et des enzymes et les effets hypocholestérolémiants, ont été confirmées. Des études récentes ont montré que la berbérine pouvait inhiber à la fois la prolifération et l’apoptose des cellules musculaires lisses vasculaires (VSMC) induites par un stress mécanique d’étirement, ce qui suggère que la berbérine pourrait être un excellent médicament pour traiter l’athérosclérose. » Frontiers in Pharmacology, 2021
Pression artérielle
Il a été démontré que la berbérine aide à contrôler la pression artérielle.
Contrôle de la glycémie (régulation de l'insuline)
Il a été démontré que la berbérine réduit considérablement la glycémie chez les patients diabétiques.
Une étude montre que la berbérine associée aux probiotiques a eu le plus grand effet sur la glycémie, bien que la berbérine seule ait également été cliniquement significative dans la réduction de la glycémie, alors que les traitements de contrôle par placebo et par probiotiques seuls étaient inefficaces dans ces études. Il a été noté que la berbérine induisait plus d'effets secondaires gastro-intestinaux par rapport aux groupes témoins.
Cholestérol
RépondreSupprimer« Les hommes randomisés pour recevoir de la berbérine ont eu des réductions plus importantes du cholestérol total (-0,39 mmol/L, intervalle de confiance (IC) à 95 % -0,70 à -0,08) et du cholestérol des lipoprotéines de haute densité (-0,07 mmol/L, IC à 95 % -0,13 à -0,01) après 12 semaines. En considérant les changements après 8 et 12 semaines ensemble, la berbérine a réduit le cholestérol total et peut-être le cholestérol des lipoprotéines de basse densité (LDL-c), et a peut-être augmenté la testostérone. » Nutrients, 2021.
La prise régulière de suppléments de berbérine semble réduire le cholestérol total, le « mauvais » cholestérol et les triglycérides chez les personnes ayant un taux de cholestérol élevé. Comme il ne s'agit pas d'une statine et qu'elle agit par d'autres voies que les médicaments à base de statine, elle peut être bénéfique pour les personnes qui souhaitent réduire leur cholestérol mais ne souhaitent pas prendre de statines ou qui y sont résistantes.
(La question des statines est complexe et pas aussi claire que beaucoup le pensent. Mais cet essai n’est pas le lieu pour cette discussion. Je vous promets cependant qu’à un moment donné, nous aborderons cette analyse).
Maladies cardiaques
Les personnes atteintes d’une maladie cardiaque souffrent souvent de fatigue et d’un rythme cardiaque irrégulier. Des études montrent que la prise de suppléments de berbérine associée à des traitements standard contre les maladies cardiaques réduit ces symptômes. La berbérine a réduit le risque de décès par maladie cardiaque sans effets secondaires apparents.
« Cent cinquante-six patients atteints d’ICC et de >90 complexes ventriculaires prématurés (VPC) et/ou de tachycardie ventriculaire non soutenue (TV) sous surveillance Holter 24 heures sur 24 ont été répartis au hasard en 2 groupes. Tous les patients ont reçu un traitement conventionnel pour l’ICC, composé d’inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine, de digoxine, de diurétiques et de nitrates. Les patients du groupe de traitement (n = 79) ont également reçu de la berbérine à raison de 1,2 à 2,0 g/jour. Les 77 patients restants ont reçu un placebo. » …
« Après un traitement à la berbérine, on a observé une augmentation significativement plus importante de la FEVG, de la capacité d’exercice, une amélioration de l’indice de dyspnée-fatigue et une diminution de la fréquence et de la complexité des CVP par rapport au groupe témoin. On a observé une diminution significative de la mortalité chez les patients traités à la berbérine lors du suivi à long terme… p < 0,02). » AM J Cardiology, 2003 Remarque : cette étude a été menée en 2003, et pourtant, l’American Heart Association n’a entendu que des sonnettes d’alarme concernant les bienfaits de la berbérine.
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Plus de risque de contamination pour les enfants pfizerisés que pour les non injectés . la presse n’en parlera pas
RépondreSupprimerle 22 décembre 2024
par pgibertie
Il n’y avait aucune différence dans le risque d’infection ou de COVID-19 symptomatique selon le seul statut vaccinal, quel que soit le moment de la vaccination ou le type de fabricant. Cependant, les participants naïfs vaccinés avec Pfizer-BioNTech étaient plus susceptibles d’être infectés et de présenter des symptômes du COVID-19 que les autres participants naïfs et non vaccinés (HR : 2,59 [IC 95 % : 1,27-5,28]), alors que les participants présentant des preuves d'infection antérieure et qui ont été vaccinés avec Pfizer-BioNTech étaient moins susceptibles d’être infectés (HR : 0,22 [IC 95% : 0,05-0,95]).
https://pgibertie.com/2024/12/22/plus-de-risque-de-contamination-pour-les-enfants-pfizerises-que-pour-les-non-injectes-la-presse-nen-parlera-pas/
Quelques semaines après avoir introduit un nouveau vaccin antipaludique, le Congo est ravagé par une nouvelle forme grave de la maladie
RépondreSupprimerle 22 décembre 2024
par pgibertie
LUBUMBASHI, République démocratique du Congo – Le ministère de la Santé a annoncé mardi qu’une maladie non identifiée circulant dans la zone de santé de Panzi est une forme grave de paludisme.
Les autorités locales ont annoncé plus tôt ce mois-ci que la maladie avait tué 143 personnes en novembre dans la zone de santé de Panzi. Les symptômes de la maladie sont de la fièvre, des maux de tête, de la toux, un nez qui coule et des courbatures.
« Le mystère est enfin résolu. Il s’agit d’un cas de paludisme grave sous forme de maladie respiratoire », a indiqué le ministère de la Santé dans un communiqué, ajoutant que la malnutrition dans la région avait affaibli la population locale, la rendant plus vulnérable aux maladies.
Le communiqué indique également que 592 cas ont été signalés depuis octobre, avec un taux de mortalité de 6,2 %.
@BanounHelene
Le ministère de la Santé de la République démocratique du Congo a annoncé aujourd’hui que la maladie précédemment non identifiée inventée comme « Maladie X » par les médias et les CDC africains circulant dans la zone de santé de Panzi a été confirmée comme une forme grave de paludisme
Juste avant le début de cette épidémie de paludisme, fin octobre, le Congo a introduit le nouveau vaccin contre le paludisme R21 dans son programme national de vaccination https://afro.who.int/countries/democratic-republic-of-congo/news/democratic-republic-congo-introduces-r21-malaria-vaccine…
Résultats de l’essai clinique de ce vaccin R21 contre le paludisme https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38310910/
5139 enfants de 5 mois à 3 ans Efficacité sur la protection contre le paludisme mesurée 14j après la 3è dose seulement (3 mois après la 1ère dose) Le placebo est le vaccin anti-rage très réactogène Il y a 18 morts dans l’essai Effets indésirables : 4 902 avec le R21 et 2 375 avec le vaccin rage EI graves : 88 avec R21/Matrix et 41 avec vaccin rage
Décès : 15 avec R21 et 3 avec vaccin rage Conclusion : le vaccin est bien toléré! Les vaccinés contre le paludisme ont autant ou plus de paludisme sévère que ceux vaccinés contre la rage
On ne sait si le vaccin antipaludique protège contre la rage !
https://pgibertie.com/2024/12/22/quelques-semaines-apres-avoir-introduit-un-nouveau-vaccin-antipaludique-le-congo-est-ravage-par-une-nouvelle-forme-grave-de-la-maladie/
Le président Biden envisage-t-il une « grâce préventive » pour le Dr Anthony Fauci ? Il savait que le remdesivir entraînerait des décès
RépondreSupprimerPar le professeur Michel Chossudovsky
Recherche mondiale,
22 décembre 2024
« RFK Jr. accuse désormais directement et de manière importante Anthony Fauci de meurtre de masse.
Fauci, en tant que responsable principal de la réponse du gouvernement fédéral à la COVID, a fortement encouragé l’utilisation du Remdesivir, à n’importe quel stade et pour les personnes de tous âges, au début de la « crise du COVID », en autorisant l’ajout de 20 % à la facture totale des hôpitaux de Medicare. Les dangers du Remdesivir étaient déjà bien connus. » ( Prius)
Le 29 avril 2020, six semaines après la déclaration de « l’état d’urgence » national, Fauci a annoncé depuis la Maison Blanche que le Remdesivir « sera la norme de soins » pour le COVID.
- voir clip sur site -
RFK Jr., dans son livre intitulé Le vrai Anthony Fauci, documente les « 30 années d'abus de pouvoir de Fauci , à la fois pendant l'épidémie du VIH et la pandémie de COVID-19 »
Selon RFK Jr., Tony Fauci savait dès le début que le remdesivir tuerait .
Le Washington Post a salué l'annonce d'Anthony Fauci (29 avril 2020) :
« Les résultats préliminaires, dévoilés à la Maison Blanche par Anthony S. Fauci, … ne constituent pas une solution miracle ou un remède… Mais en l’ absence de traitement approuvé pour le Covid-19, a déclaré [Lie] Fauci, ce traitement deviendra la norme de soins pour les patients hospitalisés…
« Les données montrent que le remdisivir a un effet clair, significatif et positif sur la réduction du temps de guérison », a déclaré Fauci.
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Les décès résultant du Remdesevir ont été largement documentés
Le remdesivir, qui est à ce jour le principal médicament contre la COVID approuvé pour une utilisation dans les hôpitaux américains, provoque régulièrement de graves lésions organiques et, souvent, la mort.
Malgré cela, la Food and Drug Administration américaine a approuvé le remdesivir pour une utilisation en milieu hospitalier et ambulatoire chez les enfants dès l'âge d'un mois (Dr Joseph Mercola, c'est nous qui soulignons).
Dans une étude scientifique de 2020 ( Clinical Microbiology and Infection, 1er mai 2021), les chercheurs ont évalué le risque accru de bradycardie chez les patients atteints de COVID-19 qui ont été exposés au remdesevir. L'analyse a porté sur tous les rapports de patients atteints de COVID-19 enregistrés jusqu'au 23 septembre 2020.
RépondreSupprimerLes chercheurs ont constaté que parmi les 2 603 cas de patients atteints de COVID-19 à qui on a prescrit du remdesivir, 302 ont développé des effets indésirables cardiaques, dont 94 (soit 31 %) étaient des bradycardies. Sur les 94 cas de bradycardie, 80 % étaient des cas graves et 16 étaient mortels. Par rapport à l'hydroxychloroquine (HCQ), au lopinavir/ritonavir, au tocilizumab ou aux glucocorticoïdes, l'utilisation du remdesivir était associée à un risque plus élevé de signaler une bradycardie.
- voir cadre sur site -
Télécharger le rapport complet
Une « grâce préventive » du président sortant ?
Le « pardon préventif » est un nouveau concept juridique inversé proposé par Joe Biden. Sa légitimité a été acceptée par les médias grand public. Il consiste à accorder une grâce à des individus qui risquent à un moment donné d’être accusés de crimes qu’ils ont commis auparavant.
- voir cadre sur site -
Bien que plusieurs noms aient été mentionnés dans des articles de presse (dont celui de Fauci) ( ABC News, 9 décembre 2024 ), rien ne prouve que Biden ait accordé une grâce préventive à Tony Fauci.
« Les experts juridiques ont déclaré que Biden peut protéger les personnes que Trump considère comme ses ennemis politiques en leur accordant des grâces préventives »
Pas de pardon préventif pour Fauci…
Oups : pas de « grâce préventive » pour le président sortant des États-Unis.
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Michel Chossudovsky , Global Research, 22 décembre 2024
- voir cadre sur site -
Vous trouverez ci-dessous le chapitre du professeur Michel Chossudovsky sur le remdesivir, extrait de son livre électronique, La crise mondiale du coronavirus, coup d'État mondial contre l'humanité .
Le texte ci-dessous a été publié pour la première fois deux mois après l'annonce de Fauci du 29 avril 2020. Il confirme que le Remdesevir a donné des résultats
* * *
LancetGate : « Les mensonges scientifiques sur le coronavirus » et la corruption des grandes sociétés pharmaceutiques.
RépondreSupprimerHydroxychloroquine contre Remdesivir de Gilead
Par le professeur Michel Chossudovsky ,
Recherche mondiale ,
5 juillet 2020
Introduction
La lutte contre l’hydroxychloroquine (HCQ), un médicament bon marché et efficace pour le traitement du Covid-19, est en cours . La campagne contre l’HCQ se fait par le biais de déclarations politiques calomnieuses, de diffamations médiatiques, sans parler d’une « évaluation » officielle, revue par des pairs et publiée le 22 mai par The Lancet, qui s’appuie sur de faux chiffres et des essais cliniques.
L'étude aurait été basée sur l'analyse des données de 96 032 patients hospitalisés pour COVID-19 entre le 20 décembre 2019 et le 14 avril 2020 dans 671 hôpitaux du monde entier. La base de données avait été fabriquée. L'objectif était de tuer le traitement à l'hydroxychloroquine ( HCQ) pour le compte de Big Pharma.
Alors que l’article de The Lancet a été rétracté, les médias ont accusé avec désinvolture « une petite entreprise américaine » nommée Surgisphere, dont les employés comprenaient « un auteur de science-fiction et un mannequin de contenu pour adultes » d’avoir diffusé des « données erronées » (Guardian) . Cette société basée à Chicago a été accusée d’avoir induit en erreur l’OMS et les gouvernements nationaux, les incitant à interdire l’HCQ. Aucun de ces tests n’a réellement eu lieu.
- voir cadre sur site -
Bien que la faute ait été imputée à Surgisphere, la vérité tacite (que ni la communauté scientifique ni les médias n'ont reconnue) est que l'étude a été coordonnée par le professeur de Harvard Mandeep Mehra sous les auspices du Brigham and Women's Hospital (BWH), partenaire de la Harvard Medical School.
Lorsque l'escroquerie a été révélée , le Dr Mandeep Mehra, titulaire de la chaire de médecine distinguée Harvey au Brigham and Women's Hospital, s'est excusé :
J'ai toujours mené mes recherches dans le respect des normes éthiques et professionnelles les plus strictes. Cependant, nous ne pouvons jamais oublier la responsabilité qui nous incombe en tant que chercheurs de veiller scrupuleusement à nous appuyer sur des sources de données qui respectent nos normes élevées.
Il est désormais clair pour moi que dans mon espoir de contribuer à cette recherche à un moment où le besoin s’en faisait sentir, je n’ai pas fait assez pour m’assurer que la source de données était appropriée à cet usage. Pour cela, et pour toutes les perturbations – directes et indirectes – je suis sincèrement désolé. (souligné par nous)
RépondreSupprimerMandeep R. Mehra, MD, MSC ( déclaration officielle sur le site Web de BWH)
Mais ce message « sincèrement désolé » n’était que la pointe de l’iceberg. Pourquoi ?
Des études sur le Remdesivir et l'hydroxychloroquine (HCQ) de Gilead Science ont été menées simultanément par le Brigham and Women's Hospital (BWH)
Alors que le rapport de The Lancet (22 mai 2020) coordonné par le Dr Mandeep Mehra avait pour but de « tuer » la légitimité de l’HCQ comme remède contre le Covid-19, une autre étude importante (connexe) était menée (en parallèle) au BWH concernant le Remdesivir pour le compte de Gilead Sciences Inc. Le Dr Francisco Marty, spécialiste des maladies infectieuses et professeur associé à la Harvard Medical School, s’est vu confier la coordination des tests d’essais cliniques du médicament antiviral Remdesivir dans le cadre du contrat de Brigham avec Gilead Sciences Inc :
Le Brigham and Women's Hospital a commencé à recruter des patients pour deux essais cliniques sur le médicament antiviral remdesivir de Gilead. Le Brigham est l'un des nombreux sites d'essais cliniques pour une étude initiée par Gilead sur le médicament chez 600 participants atteints d'une maladie à coronavirus modérée (COVID-19) et une étude initiée par Gilead sur 400 participants atteints d'une forme grave de COVID-19.
… Si les résultats sont prometteurs, cela pourrait conduire à une approbation par la FDA, et s’ils ne le sont pas, cela nous donne des informations cruciales dans la lutte contre le COVID-19 et nous permet de passer à d’autres thérapies. »
Si le Dr Mandeep Mehra n’a pas été directement impliqué dans l’étude Gilead Remdesevir BWH sous la supervision de son collègue Dr Francisco Marty, il a néanmoins eu des contacts avec Gilead Sciences Inc : « Il a participé à une conférence sponsorisée par Gilead début avril 2020 dans le cadre du débat sur le Covid-19 » (France Soir, 23 mai 2020)
Quel était le but de son étude (qui a échoué) ? De saper la légitimité de l’hydroxychloroquine ?
Selon France Soir, dans un rapport publié après la rétractation de The Lancet :
Les réponses souvent évasives du Dr Mandeep R. Mehra , … professeur à la Harvard Medical School, n’ont pas suscité la confiance, alimentant plutôt le doute sur l’intégrité de cette étude rétrospective et de ses résultats . (France Soir, 5 juin 2020)
RépondreSupprimerLe Dr Mandeep Mehra était-il en conflit d’intérêts ? (C’est une question que doivent trancher le BWH et la Harvard Medical School).
Qui sont les principaux acteurs ?
Le Dr Anthony Fauci, conseiller de Donald Trump, présenté comme « le plus grand expert américain en maladies infectieuses », a joué un rôle clé dans le dénigrement du remède à base d'HCQ, approuvé des années plus tôt par le CDC, ainsi que dans la légitimation du Remdesivir de Gilead.
Le Dr Fauci est à la tête de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) depuis l'administration Reagan. Il est connu pour être le porte-parole de Big Pharma.
Le Dr Fauci a lancé le Remdesivir fin juin (voir détails ci-dessous). Selon Fauci, le Remdesivir est le « médicament miracle contre le coronavirus » développé par Gilead Science Inc. Il s'agit d'une aubaine de 1,6 milliard de dollars.
Gilead Sciences Inc : Histoire
Gilead Sciences Inc est une société biopharmaceutique de plusieurs milliards de dollars qui est aujourd'hui impliquée dans le développement et la commercialisation du Remdesivir. Gilead a une longue histoire. Elle bénéficie du soutien de grands conglomérats d'investissement, notamment Vanguard Group et Capital Research & Management Co, entre autres. Elle a développé des liens avec le gouvernement américain.
En 1999, Gilead Sciences Inc. a développé le Tamiflu (utilisé comme traitement contre la grippe saisonnière et la grippe aviaire). À l'époque, Gilead Sciences Inc. était dirigée par Donald Rumsfeld (1997-2001), qui a ensuite rejoint l'administration de George W. Bush en tant que secrétaire à la Défense (2001-2006). Rumsfeld était responsable de la coordination des guerres illégales et criminelles en Afghanistan (2001) et en Irak (2003).
Rumsfeld a maintenu ses liens avec Gilead Sciences Inc tout au long de son mandat de secrétaire à la Défense (2001-2006). Selon CNN Money (2005) : « La perspective d’une épidémie de grippe aviaire… était une très bonne nouvelle pour le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld [qui possédait toujours des actions Gilead] et d’autres investisseurs politiquement connectés à Gilead Sciences ».
Anthony Fauci est à la tête du NIAID depuis 1984, utilisant sa position comme « intermédiaire » entre le gouvernement américain et les grandes sociétés pharmaceutiques. Pendant le mandat de Rumsfeld en tant que secrétaire à la Défense, le budget alloué au bioterrorisme a considérablement augmenté, impliquant des contrats avec les grandes sociétés pharmaceutiques, dont Gilead Sciences Inc. Anthony Fauci considérait que l’argent alloué au bioterrorisme au début de 2002 :
« Accélérer notre compréhension de la biologie et de la pathogénèse des microbes qui peuvent être utilisés dans les attaques, ainsi que de la biologie des hôtes des microbes, c'est-à-dire les êtres humains et leur système immunitaire. L'un des résultats devrait être des vaccins plus efficaces et moins toxiques. » (Rapport WPo)
En 2008, le Dr Anthony Fauci a reçu la Médaille présidentielle de la liberté des mains du président George W. Bush « pour ses efforts déterminés et agressifs visant à aider les autres à vivre plus longtemps et en meilleure santé ».
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Projet Remdesivir 2020 de Gilead Sciences Inc.
Nous nous concentrerons sur les documents (et événements) clés
Chronologie
21 février : Communiqué initial relatif à l'essai NIH-NIAID sur le placebo du remdesivir
10 avril : L'étude de Gilead Sciences Inc publiée dans le NEJM sur « l'usage compassionnel du Remdesivir »
29 avril : Communiqué du NIH : Étude sur le Remdesivir (Rapport publié le 22 mai dans le NEJM)
22 mai : L'étude BWH-Harvard sur l'hydroxychloroquine coordonnée par le Dr Mandeep Mehra publiée dans The Lancet
22 mai : Remdesivir pour le traitement de la Covid-19 — Rapport préliminaire National Institute of Allergy and Infectious Diseases, National Institutes of Health, New England Journal of Medicine, (NEJM)
5 juin : Le (faux) rapport du Lancet ( 22 mai) sur l'HCQ est rétracté.
29 juin : annonce de Fauci. Accord de 1,6 milliard de dollars entre le HHS et Gilead Sciences Inc. pour le traitement du Remdevisir
10 avril : L'étude de Gilead Sciences Inc. publiée dans le NEJM sur « l'usage compassionnel du Remdesivir »
Un rapport sponsorisé par Gilead a été publié dans le New England Journal of Medicine dans un article intitulé « Compassionate Use of Remdesivir for Patients with Severe Covid-19 » (Utilisation compassionnelle du remdesivir pour les patients atteints de la forme grave de la Covid-19) . Il a été co-écrit par une liste impressionnante de 56 médecins et scientifiques éminents, dont beaucoup ont bénéficié d’honoraires de consultation de Gilead Sciences Inc.
Gilead Sciences Inc. a financé l’étude, à laquelle ont participé plusieurs membres du personnel en tant que co-auteurs.
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Français Les tests ont porté sur un total de 61 patients [qui] ont reçu au moins une dose de remdesivir au plus tard le 7 mars 2020 ; 8 de ces patients ont été exclus en raison d'informations manquantes après la référence (7 patients) et d'une date de début de remdesivir erronée (1 patient)... Sur les 53 patients restants inclus dans cette analyse, 40 (75 %) ont reçu la cure complète de 10 jours de remdesivir, 10 (19 %) ont reçu 5 à 9 jours de traitement et 3 (6 %) moins de 5 jours de traitement.
L’article du NEJM indique que « Gilead Sciences Inc a commencé à accepter les demandes de médecins pour une utilisation compassionnelle du remdesivir le 25 janvier 2020 ». De qui, d’où ? Selon l’OMS (30 janvier 2020), il y a eu 82 cas dans 18 pays hors de Chine, dont 5 aux États-Unis, 5 en France et 3 au Canada.
Plusieurs médecins et scientifiques de renom ont émis des doutes sur l’étude Compassionate Use of Remdesivir menée par Gilead, en insistant sur la petite taille de l’essai. Ironiquement, le nombre de patients participant à l’essai est inférieur au nombre de co-auteurs : « 53 patients » contre « 56 co-auteurs »
Ci-dessous, nous fournissons des extraits de déclarations scientifiques sur le projet Gilead NEJM ( soulignement ajouté par Science Media Centre ) publiées immédiatement après la publication de l'article du NEJM :
« L'usage compassionnel est plus justement décrit comme l'utilisation d'une thérapie non autorisée pour traiter un patient parce qu'il n'existe aucun autre traitement disponible . Les recherches basées sur ce type d'utilisation doivent être traitées avec une extrême prudence car il n'y a pas de groupe témoin ni de randomisation, qui sont quelques-unes des caractéristiques des bonnes pratiques dans les essais cliniques. » Prof Duncan Richard , Clinical Therapeutics, University of Oxford.
« Il est essentiel de ne pas surinterpréter cette étude. Plus important encore, il est impossible de connaître les résultats pour ce groupe relativement restreint de patients s'ils n'avaient pas reçu de remdesivir. » Dr Stephen Griffin , professeur associé, faculté de médecine, université de Leeds.
« La recherche est intéressante mais ne prouve rien à ce stade : les données proviennent d'une petite étude non contrôlée. Simon Maxwell, professeur de pharmacologie clinique et de prescription, Université d'Édimbourg.
« Les données de cette étude sont quasiment impossibles à interpréter. Il est très surprenant, voire même contraire à l’éthique, que le New England Journal of Medicine les ait publiées. Il serait plus approprié de publier les données sur le site Internet de la société pharmaceutique qui a parrainé et rédigé l’étude. Gilead a au moins clairement fait savoir que cela n’a pas été fait de la manière dont un article scientifique de haute qualité serait rédigé. » Stephen Evans, professeur de pharmacoépidémiologie à la London School of Hygiene & Tropical Medicine.
« Il est très difficile de tirer des conclusions utiles d’études non contrôlées comme celle-ci, en particulier dans le cas d’une nouvelle maladie pour laquelle nous ne savons pas vraiment à quoi nous attendre et dont les résultats varient considérablement d’un endroit à l’autre et au fil du temps. Il faut vraiment s’interroger sur l’éthique de ne pas procéder à une randomisation – cette étude représente avant tout une occasion manquée. » Professeur Adam Finn, professeur de pédiatrie à l’université de Bristol.
Pour consulter le document complet du Centre Science Média relatif aux expertises, cliquez ici .
RépondreSupprimer29 avril : étude des National Institutes of Health (NIH) sur Remdevisir.
Le 29 avril, suite à la publication de l'étude Gilead Sciences Inc dans le NEJM le 10 avril, un communiqué de presse des National Institutes of Health (NIH) sur le Remdevisir a été publié. Le document complet a été publié le 22 mai par le NEJM sous le titre :
Remdesivir pour le traitement du Covid-19 – Rapport préliminaire (NEJM)
L'étude a été lancée le 21 février 2020. Le titre du communiqué de presse du 29 avril était :
« Des données évaluées par des pairs montrent que le remdesivir pour le COVID-19 améliore le temps de guérison »
Il s'agit d'un rapport parrainé par le gouvernement qui comprend des données préliminaires issues d'un essai randomisé portant sur 1063 patients hospitalisés. Les résultats de l'essai intitulé Adaptive COVID-19 Treatment Trial (ACTT) sont préliminaires, menés sous la direction du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) du Dr Fauci :
Un comité indépendant de surveillance des données et de la sécurité (DSMB) supervisant l'essai s'est réuni le 27 avril pour examiner les données et a partagé son analyse intermédiaire avec l'équipe de l'étude. Sur la base de leur examen des données, ils ont noté que le remdesivir était meilleur que le placebo du point de vue du critère d'évaluation principal, le temps de récupération, une mesure souvent utilisée dans les essais sur la grippe. La récupération dans cette étude a été définie comme un état suffisamment bon pour une sortie de l'hôpital ou un retour à un niveau d'activité normal.
Les résultats préliminaires indiquent que les patients ayant reçu du remdesivir ont eu un temps de récupération 31 % plus rapide que ceux ayant reçu un placebo (p<0,001). Plus précisément, le temps médian de récupération était de 11 jours pour les patients traités par remdesivir contre 15 jours pour ceux ayant reçu un placebo. Les résultats suggèrent également un avantage en termes de survie, avec un taux de mortalité de 8,0 % pour le groupe recevant du remdesivir contre 11,6 % pour le groupe placebo (p=0,059).
Dans le rapport précédent du NIH du 21 février 2020 (publié au début de l'étude), la méthodologie était décrite comme suit :
RépondreSupprimer… Un essai clinique randomisé et contrôlé visant à évaluer l’innocuité et l’efficacité de l’antiviral expérimental remdesivir chez les adultes hospitalisés diagnostiqués avec la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) …
Les chiffres. Où ? Quand ?
Le rapport du 21 février confirme que le premier participant à l’essai est « un Américain rapatrié après avoir été mis en quarantaine sur le navire de croisière Diamond Princess » qui a accosté à Yokohama (eaux territoriales japonaises). « Treize personnes rapatriées par le département d’État américain du navire de croisière Diamond Princess » ont été sélectionnées comme patients pour l’essai placebo. Ironiquement, au début de l’étude, 58,7 % des « cas confirmés » dans le monde (542 cas sur 924) (hors Chine) se trouvaient à bord du Diamond Cruise Princess, d’où ont été sélectionnés les premiers patients sous placebo.
Où et quand : Le test expérimental dans les 68 sites sélectionnés ? Cela a eu lieu plus tard car le 19 février (données de l'OMS), les États-Unis n'avaient enregistré que 15 cas positifs (voir tableau ci-dessous).
« Au total, 68 sites ont finalement rejoint l’étude – 47 aux États-Unis et 21 dans des pays d’Europe et d’Asie. » (soulignement ajouté)
Dans le rapport final du NEJM du 22 mai intitulé Remdesivir pour le traitement du Covid-19 — Rapport préliminaire :
L'essai a été mené sur 60 sites et 13 sous-sites aux États-Unis (45 sites), au Danemark (8), au Royaume-Uni (5), en Grèce (4), en Allemagne (3), en Corée (2), au Mexique (2), en Espagne (2), au Japon (1) et à Singapour (1). Les patients éligibles ont été assignés au hasard selon un rapport 1:1 pour recevoir soit du remdesivir, soit un placebo. La randomisation a été stratifiée selon le site d'étude et la gravité de la maladie au moment de l'inscription.
Le Washington Post a salué l'annonce d'Anthony Fauci (29 avril) :
« Les résultats préliminaires, dévoilés à la Maison Blanche par Anthony S. Fauci, … ne constituent pas la solution miracle ou le remède… Mais en l’ absence de traitement approuvé pour le Covid-19, a déclaré [Lie] Fauci, il deviendra la norme de soins pour les patients hospitalisés… Les données montrent que le remdisivir a un effet clair, significatif et positif sur la réduction du temps de guérison », a déclaré Fauci.
- voir cadre sur site -
Le premier essai clinique rigoureux du gouvernement sur le médicament expérimental remdesivir comme traitement contre le coronavirus a donné des résultats mitigés à la communauté médicale mercredi - mais a stimulé les marchés boursiers et suscité l'espoir qu'une arme précoce pour aider certains patients était à portée de main.
RépondreSupprimerLes résultats préliminaires, dévoilés à la Maison Blanche par Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, qui a dirigé l'essai contrôlé par placebo, ont révélé que le médicament accélérait la guérison des patients hospitalisés mais n'avait qu'un effet marginal sur le taux de mortalité.
… Les remarques de Fauci ont renforcé les spéculations selon lesquelles la Food and Drug Administration demanderait une autorisation d’utilisation d’urgence qui permettrait aux médecins de prescrire le médicament.
En plus des essais cliniques, le remdesivir a été administré à plus de 1 000 patients dans le cadre d'un usage compassionnel. [fait également référence à l'étude Gilead publiée le 10 avril dans le NEJM]
L'étude, portant sur [plus de] 1 000 patients sur 68 sites aux États-Unis et dans le monde (??) , offre la première preuve (??) issue d'une vaste étude clinique (??) randomisée (??) sur l'efficacité du remdesivir contre le COVID-19.
L’étude du NIH sur le placebo a fourni des « résultats préliminaires ». Bien que l’essai sur le placebo ait été « randomisé », la sélection globale des patients sur les 68 sites n’a pas été entièrement randomisée. Voir le rapport complet.
22 mai : Le faux rapport du Lancet sur l'hydroxychloroquine (HCQ)
Il convient de noter que le rapport complet du NIH-NIAID) intitulé Remdesivir pour le traitement du Covid-19 - Rapport préliminaire a été publié le 22 mai 2020 dans le NEJM, le même jour que le rapport controversé du Lancet sur l'hydroxychloroquine.
Immédiatement après sa publication, les médias se sont déchaînés, dénigrant le remède à base d'HCQ, tout en applaudissant le rapport NIH-NIASD publié le même jour.
Le remdesivir, seul médicament autorisé pour traiter le Covid-19,a accéléré le temps de guérison des patients atteints de la maladie,… « C’est un médicament très sûr et efficace », a déclaré Eric Topol, fondateur et directeur du Scripps Research Translational Institute. « Nous disposons désormais d’un premier médicament efficace contre le Covid-19, ce qui constitue une avancée majeure et sera complété par d’autres médicaments [et combinaisons de médicaments]. »
RépondreSupprimerLorsque l’article de Bingham-Harvard paru dans le Lancet sur l’HCQ a été rétracté le 5 juin, il était trop tard, il n’a reçu qu’une couverture médiatique minimale. Malgré cette rétractation, le traitement à base d’HCQ « avait été tué ».
29 juin : feu vert de Fauci. Le contrat de 1,6 milliard de dollars avec Gilead Sciences Inc. pour le Remdesivir
Le Dr Anthony Fauci a accordé le « feu vert » à Gilead Sciences Inc. le 29 juin 2020.
Le rapport semi-officiel parrainé par le gouvernement américain NIH-NIAID (22 mai) intitulé Remdesivir pour le traitement du Covid-19 — Rapport préliminaire (NEJM) a été utilisé pour justifier un accord majeur avec Gilead Sciences Inc.
Le rapport a été largement financé par l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), dirigé par le Dr Anthony Fauci, et par les National Institutes of Health (NIH).
Le 29 juin, sur la base des conclusions du rapport NIH-NIAID publié dans le NEJM, le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) a annoncé au nom de l'administration Trump un accord pour garantir d'importantes réserves du médicament remdesivir de Gilead Sciences Inc. pour le traitement du Covid-19 dans les hôpitaux et cliniques privés américains.
L'étude précédente de Gilead, basée sur des résultats de tests peu nombreux et publiée dans le NEJM (10 avril), portant sur 53 cas (et 56 co-auteurs), n'a pas été mise en avant. Les résultats de cette étude ont été remis en question par plusieurs médecins et scientifiques de renom.
Qui pourra se permettre le Remdesivir ? 500 000 doses de Remdesivir sont envisagées à 3 200 dollars par patient, soit 1,6 milliard de dollars (voir l' étude d'Elizabeth Woodworth )
Le médicament a également été approuvé pour la commercialisation dans l’Union européenne sous le nom de marque Veklury.
RépondreSupprimerSi ce contrat est exécuté comme prévu, il représente pour Gilead Science Inc. et les hôpitaux et cliniques privés américains bénéficiaires une somme d’argent colossale.
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[Erreur dans le titre ci-dessus selon HHS : 3 200 $]
Selon le secrétaire d'État à la Santé et aux Services Sociaux de l'administration Trump, Alex Azar (29 juin 2020) :
« Dans la mesure du possible, nous voulons nous assurer que tout patient américain qui a besoin de remdesivir puisse l’obtenir [à 3 200 $]. L’administration Trump fait tout ce qui est en son pouvoir pour en savoir plus sur les thérapies vitales contre le COVID-19 et garantir l’accès à ces options pour le peuple américain. »
Documents sur le Remdesivir : un médicament utilisé pour soigner des militaires a entraîné la mort
Remdesivir versus hydroxychloroquine (HCQ)
Un timing précis :
L’étude du Lancet (publiée le 22 mai) avait pour but de saper la légitimité de l’hydroxychloroquine comme traitement efficace contre le Covid-19, dans le but de maintenir l’accord de 1,6 milliard de dollars entre le HHS et Gilead Sciences Inc. le 29 juin. La légitimité de cet accord reposait sur l’étude NIH-NIAID du 22 mai dans le NEJM qui était considérée comme « préliminaire ».
Ce que le Dr Fauci n’a pas reconnu, c’est que la chloroquine avait été « étudiée » et testée il y a quinze ans par le CDC comme médicament destiné à être utilisé contre les infections à coronavirus. Et que l’hydroxychloroquine a été utilisée récemment dans le traitement du Covid-19 dans plusieurs pays.
Selon le Virology Journal (2005), « la chloroquine est un puissant inhibiteur de l’infection et de la propagation du coronavirus du SRAS ». Elle a été utilisée lors de l’épidémie de SRAS-1 en 2002. Elle a reçu l’aval du CDC.
- voir cadre sur site -
L'HCQ n'est pas seulement efficace, elle est « peu coûteuse » par rapport au Remdesivir, à un prix estimé à « 3 120 $ pour un patient américain avec une assurance privée ».
Vous trouverez ci-dessous des extraits d'une interview du professeur Mehra de Harvard (qui a réalisé l'étude du Lancet du 22 mai) avec France Soir publiée immédiatement après la publication du rapport du Lancet (avant sa rétractation).
Dr Mandeep Mehra : Dans notre étude, il est assez évident que l’absence de bénéfice et le risque de toxicité observés pour l’hydroxychloroquine sont assez fiables. [en référence à l’étude du Lancet du 22 mai]
France Soir : Avez-vous les données pour le Remdesivir ?
MM : Oui, nous avons les données, mais le nombre de patients est trop faible pour que nous puissions conclure d’une manière ou d’une autre.
RépondreSupprimerFS : Comme vous le savez, il y a en France une bataille pour et contre l’hydroxychloroquine qui est devenue un enjeu de santé publique impliquant même le lobbying financier des laboratoires pharmaceutiques. Pourquoi ne pas mesurer l’effet de l’un par rapport à l’autre pour mettre fin à toutes les spéculations ? …
MM : En fait, il n’y a aucune base rationnelle pour tester le Remdesivir par rapport à l’hydroxychloroquine. D’un côté, le Remdesivir a montré qu’il n’y avait pas de risque de mortalité et qu’il y avait une réduction du temps de guérison. De l’autre, pour l’hydroxychloroquine, c’est l’inverse : il n’a jamais été démontré d’avantage et la plupart des études sont de petite taille ou peu concluantes. De plus, notre étude montre qu’il y a des effets nocifs.
Il serait donc difficile et probablement contraire à l’éthique de comparer un médicament dont la nocivité est démontrée à un médicament offrant au moins une lueur d’espoir.
FS : Vous dites qu’il n’y a aucune base pour tester ou comparer le Remdesivir avec l’hydroxychloroquine, pensez-vous avoir tout fait pour conclure que l’hydroxychloroquine est dangereuse ?
MM : Exactement. …
Tout ce que nous disons, c'est qu'une fois qu'on a été infecté (5 à 7 jours après) au point de devoir être hospitalisé avec une charge virale sévère, l'utilisation de l'hydroxychloroquine et de ses dérivés n'est pas efficace.
Les dégâts causés par le virus sont déjà là et la situation est irréparable. Avec ce traitement [HCQ], il peut générer davantage de complications
FS Mandeep Mehra a déclaré qu'il n'avait aucun conflit d'intérêt avec les laboratoires et que cette étude était financée par les fonds de dotation de la chaire du professeur.
Il a participé à une conférence sponsorisée par Gilead début avril 2020 dans le cadre du débat sur le Covid-19.
( France Soir, traduit par l'auteur, c'est nous qui soulignons, 23 mai 2020)
En annexe, voir l'article de suivi de France Soir publié après la révélation de l'escroquerie entourant la base de données du rapport du Dr Mehra dans The Lancet.
Remarques finales
Mensonges et corruption au énième degré impliquant le Dr Anthony Fauci, « The Boston Connection » et Gilead Sciences Inc.
L'étude Remdesivir de Gilead Sciences Inc. (plus de 50 auteurs) a été publiée dans le New England Journal of Medicine (10 avril 2020).
Le 22 mai 2020, le rapport préliminaire du NIH-NIAID sur le traitement du Covid-19, Remdesivir, a été publié dans le NEJM. Et le même jour, le 22 mai, le « faux rapport » sur l’hydroxychloroquine du Dr Mehra de BWH-Harvard a été publié par The Lancet.
La Harvard Medical School et le BWH portent la responsabilité d'avoir hébergé et financé le faux rapport du Lancet sur l'HCQ coordonné par le Dr Mandeep Mehra.
RépondreSupprimerY a-t-il un conflit d'intérêts ? BWH a participé simultanément à une étude sur le Remdesivir dans le cadre d'un contrat avec Gilead Sciences, Inc.
Bien que le rapport du Lancet coordonné par le Dr Mehra de Harvard ait été rétracté, il a néanmoins servi les intérêts de Gilead Sciences Inc.
Il est important qu'une évaluation scientifique et médicale indépendante soit entreprise, respectivement de l'étude évaluée par des pairs du Gilead Sciences Inc New England Journal of Medicine (NEMJ) (10 avril 2020) ainsi que de l'étude NIH-NIAID également publiée dans le NEJM (22 mai 2020).
Annexe
Rétractation de France Soir
La fraude concernant le rapport du Lancet a été révélée début juin. France Soir dans un article ultérieur (5 juin 2020) pointe du doigt la Boston Connection : La connexion de Boston , à savoir la relation insidieuse entre Gilead Sciences Inc et le professeur Mehra, la Harvard Medical School ainsi que les deux hôpitaux liés basés à Boston impliqués.
- voir cadre sur site -
(Extraits ici, pour accéder au texte complet cliquez ici traduction du français par France Soir, souligné dans l'article original)
Les réponses souvent évasives du Dr Mandeep R. Mehra, médecin spécialisé en chirurgie cardiovasculaire et professeur à la Harvard Medical School, n’ont pas suscité la confiance, alimentant plutôt le doute sur l’intégrité de cette étude rétrospective et de ses résultats.
… Cependant, les informations rapportées selon lesquelles le Dr Mehra avait assisté à une conférence sponsorisée par Gilead – producteur du remdesivir, un médicament en concurrence directe avec l’hydroxychloroquine (HCQ) – début avril, ont appelé à une enquête plus approfondie.
Il est important de garder à l’esprit que le Dr Mandeep Mehra a un cabinet au Brigham and Women’s Hospital (BWH) à Boston.
Cette étude s’est appuyée sur les dossiers médicaux partagés de 8 910 patients dans 169 hôpitaux du monde entier, également par Surgisphere.
Le financement de l'étude a été « soutenu par la chaire William Harvey en médecine cardiovasculaire du Brigham and Women's Hospital. Le développement et la maintenance de la base de données collaborative sur les résultats chirurgicaux ont été financés par Surgisphere. »
L’étude publiée le 22 mai visait à évaluer l’efficacité ou non de la chloroquine et de l’hydroxychloroquine, seules ou en association avec un antibiotique macrolide. …
Il est donc intéressant de noter qu'en l'espace de 3 semaines, 2 grandes études rétrospectives observationnelles sur de larges populations - 96 032 et 8 910 patients - réparties dans le monde entier ont été publiées dans deux revues différentes par le Dr Mehra, le Dr Desai et d'autres co-auteurs utilisant la base de données de Surgisphere, la société du Dr Desai.
RépondreSupprimerCes deux médecins et chirurgiens praticiens semblent posséder une capacité de travail exceptionnelle associée au don d’ubiquité.
La date du 22 mai est également marquante car le jour même, date de la publication dans The Lancet de l’étude très accusatrice contre l’HCQ, une autre étude était publiée dans le New England Journal of Medicine concernant les résultats d’un essai clinique du… remdesivir.
Dans la conclusion de cet essai randomisé, en double aveugle et contrôlé par placebo, « le remdesivir s’est avéré supérieur au placebo pour raccourcir le temps de guérison chez les adultes hospitalisés pour Covid-19 et présentant des signes d’infection des voies respiratoires inférieures ».
Concrètement : le même jour, le 22 mai, une étude dénigrait l’HCQ dans une revue tandis qu’une autre affirmait des preuves d’atténuation sur certains patients grâce au remdesivir dans une autre revue.
Il convient de noter que l'une des principales co-auteures, Elizabeth « Libby »* Hohmann, représente l'un des hôpitaux participants, le Massachusetts General Hospital de Boston, également affilié à la Harvard Medical School, tout comme le Brigham and Women's Hospital de Boston, où exerce le Dr Mandeep Mehra.
Coïncidence, probablement.
Après une enquête plus approfondie, nous avons découvert que les trois premiers essais cliniques majeurs sur le remdesivir de Gilead ont été menés par ces deux hôpitaux :
« Alors que le COVID-19 continue de faire le tour du monde, suivi par des scientifiques, le Massachusetts General Hospital (MGH) et le Brigham and Women's Hospital (BWH) mènent la recherche d'un traitement efficace.
« Les deux hôpitaux mènent des essais cliniques sur le remdesivir. »
Le MGH a rejoint ce que le National Institute of Health (NIH) décrit comme le premier essai clinique aux États-Unis d'un traitement expérimental contre la COVID-19, parrainé par le National Institute of Allergy and Infectious Diseases, qui fait partie du NIH . Le MGH est actuellement le seul hôpital de la Nouvelle-Angleterre à participer à cet essai, selon une liste de sites partagée par l'hôpital.
« C'est une entreprise gigantesque, avec des patients enregistrés dans une cinquantaine de sites à travers le pays, en voie de guérison .
RépondreSupprimer« L'essai du NIH, qui peut être adapté pour évaluer d'autres traitements, vise à déterminer si le médicament soulage les problèmes respiratoires et autres symptômes du COVID-19, aidant ainsi les patients à quitter l'hôpital plus tôt.**
Pour rappel, le NIAID/NIH est dirigé par Antony Fauci, un farouche opposant à l’HCQ.
Coïncidence, probablement.
« À l’hôpital Brigham, deux essais supplémentaires initiés par Gilead , le développeur du médicament, détermineront si ce médicament soulage les symptômes chez les patients atteints d’une maladie modérée à grave sur des périodes de cinq et dix jours. Ces essais seront également randomisés, mais non contrôlés par placebo, et porteront sur 1 000 patients répartis dans des sites du monde entier. Ces patients, a noté le Dr Francisco Marty, médecin à l’hôpital Brigham et co-investigateur de l’étude, seront probablement recrutés à un rythme effarant. »
En conséquence, les premiers essais cliniques majeurs sur le remdesivir lancés le 20 mars, dont les résultats sont très importants pour Gilead, sont menés par le MGH et le BWH à Boston, précisément là où exerce le Dr Mehra, principal auteur de l'essai HCQ du 22 mai.
Le monde est petit ! Coïncidence, encore, probablement.
Le Dr Marty du BWH s'attendait à avoir des résultats deux mois plus tard. En effet, ces derniers jours, plusieurs médias américains ont rapporté les annonces de Gilead concernant les résultats positifs des essais cliniques sur le remdesivir à Boston :
« Résultats encourageants d’une nouvelle étude publiée mercredi sur le remdesivir pour le traitement des patients atteints de COVID-19.**
Brigham et le Dr Francisco Marty ont travaillé sur cette étude, et il affirme que les résultats montrent qu'il n'y a pas de différence majeure entre le traitement d'un patient avec un régime de cinq jours ou de dix jours.
…”Gilead annonce les résultats de l’essai de phase 3 du remdesivir chez des patients atteints d’une forme modérée de la COVID-19
– Une étude montre que le traitement de 5 jours au remdesivir a entraîné une amélioration clinique significativement plus importante par rapport au traitement avec le traitement standard seul
– Ces données s’ajoutent à l’ensemble des preuves issues d’études précédentes démontrant les bénéfices du remdesivir chez les patients hospitalisés atteints d’IDVOC-19
« Nous disposons désormais de trois essais contrôlés randomisés démontrant que le remdesivir a amélioré les résultats cliniques selon plusieurs mesures différentes », Gilead prévoit de soumettre les données complètes pour publication dans une revue à comité de lecture dans les semaines à venir .
RépondreSupprimerCes résultats annoncés par Gilead quelques jours après la publication le 22 mai de l'étude dans le Lancet démolissant l'HCQ, étude dont l'auteur principal est le Dr Mehra, sont probablement encore une coïncidence.
Autant de coïncidences qui s'additionnent pour donner des coïncidences ? Vraiment ?
https://www.globalresearch.ca/rfk-jr-accuses-fauci-mass-murder-remdesivir-kill/5875466