- ENTREE de SECOURS -



vendredi 2 février 2024

L'ONU sur le débat climatique : « Nous détenons ce savoir. »

 

01.02.2024
 

Dans le cadre des mesures urgentes de lutte contre le changement climatique, les Nations unies veulent contrôler toutes les publications sur Wikipédia relatives au climat et s'assurer qu'elles correspondent aux informations approuvées par l'ONU. Des experts du GIEC et de l'Institut de l'environnement SEI devront veiller à ce que Wikipédia joue un « rôle clé sur la promotion des connaissances relatives au changement climatique ». Melissa Fleming, sous-secrétaire générale des Nations unies pour la communication mondiale, a l'intention d'étendre cette mesure à d’autres plateformes : « Nous détenons ce savoir et nous pensons que le monde devrait le connaître [...] ». Mais pour le Dr John Clauser, lauréat du prix Nobel, le narratif de « la situation d'urgence climatique » est une « dangereuse corruption de la science qui menace l'économie mondiale et le bien-être de milliards de personnes ».

de Arnold / bri
Sources / Liens :
L'ONU veut censurer définitivement le débat sur le climat
https://tkp.at/2023/07/26/uno-will-nun-auch-klimadebatte-zensieren-we-own-the-science/

118 commentaires:

  1. Pourquoi il n’y a pas d’urgence climatique Titre libre : 1 100 scientifiques sont d'accord : il n'y a pas d'urgence climatique


    30.05.2023
    www.kla.tv/26181


    Le climat de la Terre change-t-il ? Bien sûr que oui. Sans interruption. Depuis des milliards d'années. L'homme a-t-il une influence sur ce phénomène ? Peut-être que oui. Mais manifestement pas dans la mesure où les adeptes de la nouvelle religion climatique veulent absolument nous le faire croire.

    Ce point de vue est partagé par environ 1 100 scientifiques et experts du monde entier qui s'opposent à l’hystérie climatique propagée, entre autres, par le Forum économique mondial. Ces scientifiques font partie du "Global Climate Intelligence Group" (CLINTEL). Dans la déclaration publiée par ce groupe dirigé par le professeur Ivar Giaever, physicien américano-norvégien et lauréat du prix Nobel, déclaration intitulée "Il n'y a pas d'urgence climatique" (en anglais : "There is no climate emergency") - on peut lire ceci :

    Selon les archives géologiques, le climat de la Terre varie depuis que la planète existe, et présente des périodes naturelles de froid et de chaleur. Nous nous trouvons donc dans une phase de réchauffement depuis la fin de la petite période glaciaire de 1850.

    Pour les experts, l'effet du gaz carbonique est gonflé par la politique climatique, alors qu'on ignore totalement que l'enrichissement de l'atmosphère en gaz carbonique est utile pour la croissance des plantes, l’agriculture et tout simplement comme base de toute vie sur Terre.
    Les innombrables mesures pour éviter le gaz carbonique s’avèrent donc néfastes. Elles entraînent en outre des coûts énormes. Il n'existe aucune preuve statistique - selon leur explication -, que le réchauffement climatique affecte la fréquence et l'intensité des cyclones, des inondations, des sécheresses et des catastrophes naturelles similaires.
    Le "Global Climate Intelligence Group" estime que la politique du "zéro carbone" [l'objectif des concepts "zéro carbone " est d'éliminer de l'atmosphère autant de dioxyde de carbone qu'on en produit] est irréaliste et, qu‘en fin de compte, elle détruit la vie. Il montre qu’il n'y a en réalité aucune raison d'être alarmiste et de paniquer en ce qui concerne le climat mondial.

    Chers téléspectateurs,
    Ces voix importantes issues des milieux scientifiques nous invitent à nous pencher sur ce sujet de manière objective et réfléchie.
    La peur attisée par la politique et les médias et l'ambiance alarmiste généralisée sont de mauvaises conseillères, comme le dit depuis toujours le dicton populaire. Car ce n'est qu'en dehors de toute peur que l'homme peut penser librement et raisonnablement et se forger une opinion indépendante et fondée. Et à partir de là, une position claire peut se développer.

    de ol
    Sources / Liens :
    1 100 scientifiques déclarent dans un manifeste : il n'y a pas d'urgence climatique
    https://report24.news/1-100-wissenschaftler-erklaeren-in-manifest-es-gibt-keinen-klimanotstand/

    CLINTEL : Déclaration mondiale sur le climat https://clintel.org/world-climate-declaration/

    https://www.kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr&id=26181&date=2024-02-01

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    1. (...) Le climat de la Terre change-t-il ? Bien sûr que oui. Sans interruption. Depuis des milliards d'années. L'homme a-t-il une influence sur ce phénomène ? Peut-être que oui. Mais manifestement pas dans la mesure où les adeptes de la nouvelle religion climatique veulent absolument nous le faire croire.

      Ce point de vue est partagé par environ 1 100 scientifiques et experts du monde entier (...)

      NON ! IL 'Y A PAS 1100 scientifiques qui diraient que 'peut-être que oui' car, le reproche est d'émettre du... gaz carbonique ! HOULALA !! Or, ces 1100 scientifiques sont au courant (ont étudié !) que le gaz carbonique N'EXISTE PLUS à la température supérieure à 30,9°C !
      Donc, comme notre corps, nos poumons sont à 37°C (37,2 le matin !)...
      (et que les pots d'échappement et cheminées d'usines sont à... HOULALA !).

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  2. La VRAIE transition énergétique se profile à l’horizon


    le 1 février 2024


    J’ai regardé avec effarement un reportage au sujet des catastrophes naturelles, sécheresses, inondations, cyclones, tremblements de terres et autres éruption volcaniques durant l’année 2015 (lien en fin d’article) et ma surprise fut que tout était plus ou moins provoqué par le réchauffement du climat, du moins ce réchauffement dominait le tableau « climatique ». Pourtant des situations comme des cyclones, des inondations ou des périodes de sécheresses prolongées n’ont rien à voir avec le climat puisqu’il s’agit de météorologie, des situations momentanées qui dûment répertoriées permettent de se faire une idée au sujet de l’évolution du climat avec des tendances générales.

    C’est ce que décrivit Emmanuel Leroy-Ladurie en se limitant par exemple à l’évolution du prix du pain et du blé au cours des siècles dans son ouvrage célèbre « Histoire du Climat depuis l’An Mil » paru en 1967 ! La dendrologie ou étude de la croissance des arbres déduite des cernes de croissance, parfaitement corroborée récemment par une étude de la croissance des stalagmites dans une région d’Allemagne du sud pour laquelle la dendrologie jusqu’à 1000 ans était disponible à peu de kilomètres de distance (lien en fin d’article). Le climat évolue selon des tendances longues, plusieurs décennies ou siècles et millénaires, et c’est précisément ce qu’Emmanuel Leroy-Ladurie a démontré.

    Aujourd’hui les pays occidentaux se focalisent sur les gaz dits à effet de serre car la consommation de combustibles fossiles ne cesse d’augmenter sans pour autant d’augmentation significative de la croissance économique. Selon la loi classique de l’économie dans une telle situation le prix du baril de pétrole brut devrait augmenter. Il y a cependant un problème avec ce prix libellé en dollars sur le marché international : si les États-Unis acceptaient que le cours du pétrole sur le marché international puisse être coté en une autre devise comme par exemple l’euro ou le renminbi des sommes gigantesques de dollars chercheraient alors à s’échanger contre des euros et contre la devise chinoise. Or il n’y a pas assez d’euros pour qu’une telle opération soit réalisable, si j’ai bien compris les mécanismes de l’économie e quant au renminbi les Chinois ne veulent pas entendre parler de dollars. Le fait que l’Arabie saoudite se soit entendue avec la Chine pour être payée en renminbi convertibles en or pour toute livraison de pétrole n’a pas rendu les Américains furieux comme le fut leur réaction avec l’Irak et la Libye paraît surprenant. Et pourtant malgré ma totale ignorance des mécanismes de l’économie je suspecte que les Américains ont laissé faire pour encourager d’autres pays à faire de même, donc pas seulement la Chine, afin que les dollars servant de devise pour acheter du pétrole reviennent aux États-Unis et soient investis dans l’économie domestique et embellissent l’indice boursier de Wall Street. Et le même mouvement provoquerait également l’embellie des indices boursiers européens. Ces mouvements massifs de dollars ont certainement été un facteur inflationniste aux USA alors la FED a augmenté ses taux directeurs provoquant une chute de la valeur de revente des T-bonds et puisque ces T-bonds sont aussi « liquides » que le dollar devise cette conjoncture a accéléré une sorte de début de dé-dollarisation. De nombreux pays vont suivre l’exemple de la Chine.

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  3. Revenons donc au pétrole. Les critères ESG ont provoqué une chute des investissements dans le secteur pétrolier, encore un autre paramètre qui normalement aurait du contribuer à une hausse du prix du baril et pourtant ce n’est pas le cas. La seule explication qui reste est une manipulation des cours par les grandes banques américaines. Malgré le fait que le cours de l’or soit également manipulé par les banques américaines dont en particulier JP Morgan depuis 2000 de 250 dollars l’once l’or a atteint 2040 dollars aujourd’hui, ce qui correspond à une perte de valeur du dollar d’un facteur 8 ! Le dollar est donc une monnaie de singe que les producteurs de pétrole (ou de gaz) cherchent à éviter et il en est de même des T-bonds. Tout s’explique donc avec la logique d’un néophyte et je n’éprouve aucune honte à me classer parmi les néophytes en économie. L’industrie du pétrole se répartit majoritairement entre les dix premières plus importantes compagnies :

    - voir graph sur site -

    Rosneft (russe) ne figure pas dans ce classement et Patrick Pouyanné, PDG de Total, la sixième dans ce classement, a déclaré à Davos que la production de pétrole brut diminuait chaque année de 3 à 4 %, l’équivalent de celle de Total, opérateur dans de nombreux pays dont par exemple le Gabon mais aussi la Russie où il n’est qu’extracteur équipementier des gisements. Il est impossible de trouver quelle est la production de pétrole de Total, seules les données comptables sont accessibles. Mais quand Pouyanné a précisé que la production globale de pétrole brut mondiale diminuait de l’équivalent de celle qu’il dirige et qu’il a ajouté qu’à partir de 2030 la production de Saoudi Arabian Oil Co (ex Aramco et maintenant cotée à la bourse de Riyad) allait diminuer, les résultats de l’injection d’eau de mer dans les gisements pour les activer devenant de moins en moins efficace, il est clair que les dirigeants saoudiens veulent préparer leur avenir et ne plus dépendre d’un dollar dévalué pour réaliser tous les projets dont rêve MBS pour son pays. Il faudra donc que le monde change de paradigme. Et si le climat commence à se refroidir la seule mesure actuellement intelligente de réduction des émission de gaz carbonique paraîtra être celle de l’isolation thermique des logements et de tous les autres bâtiments publics et industriels. La zone intertropicale ne sera à l’évidence pas concernée. Quel pays se préparent à cette échéance inévitable ? Pour l’instant seules la Russie et la Chine investissent massivement dans l’énergie nucléaire, surrégénérateurs et réacteurs à haute température en pensant aux générations futures comme la France lors de la décision de créer un parc électronucléaire moderne … gouverner c’est prévoir.

    - voir graph sur site -

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  4. La production mondiale de pétrole n’a jamais atteint le niveau pré-coronavirus ces dernières années et elle a tendance à baisser depuis novembre 2022. Total n’est pas le principal producteur de pétrole car l’essentiel de son chiffre d’affaires se situe dans l’activité de recherche de nouveaux gisements et de l’exploitation de ces derniers pour le compte de société nationales.de plus Total est étroitement associé à deux autres entreprises françaises de niveau international que sont Schlumberger pour les activités de logging et l’Air Liquide pour la liquéfaction du gaz naturel qui est inévitablement associé au pétrole dans les mêmes gisements. On peut ajouter que l’Air Liquide est ainsi devenu le premier producteur d’hélium.
    L’hélium (He-4) présent dans le gaz naturel provient de la désintégration du thorium et de l’uranium de la croute terrestre produisant des particules alpha. L’hélium est un gaz stratégique pourtant présent parfois dans le gaz naturel jusqu’à 5 % du total de gaz. L’utilisation de l’hélium dans les réacteurs nucléaires à haute température a pour but de résoudre la solution de production d’hydrogène à partir de l’eau par le procédé « iode-soufre » qui nécessite la mise en œuvre d’étapes à haute température. Il s’agit alors d’un hydrogène plus conforme aux désirs de réduction des émissions de gaz carbonique comme ce n’est pas le cas du cracking du méthane à 1100 °C qui la première source industrielle d’hydrogène.

    - voir doc sur site -

    Patrick Poyanné prévoit donc une baisse inévitable de la production de pétrole et le fameux « pic pétrolier » est vraisemblablement déjà atteint. La réduction des émissions de gaz carbonique deviendra alors non pas une décision autoritaire des gouvernements pour la plupart occidentaux mais un fait incontournable. Une autre conséquence également inévitable sera une augmentation du prix du baril de pétrole quelle que soit la devise utilisée pour évaluer son cours sur les marchés internationaux et cet « état de fait » réduira la croissance économique et il sera alors nécessaire d’imaginer d’autres scenarii pour les sociétés telles qu’on les connait aujourd’hui habituées à la croissance économique. Quel dirigeant politique oserait déclarer publiquement que la croissance économique fait maintenant partie de l’histoire et qu’il faudra s’habituer à une longue période de vaches maigres compte tenu d’une énergie moins abondante et plus coûteuse. Certes il reste d’immenses réserves de charbon qui devront être exploitées mais ce ne sera qu’un outil pour aider cette VRAIE transition énergétique (et non pas un rêve des écologistes) à être vécue en douceur.

    - voir clip sur site :

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2024/02/01/la-vraie-transition-energetique-se-profile-a-lhorizon/

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  5. Brûlez du pétrole, sauvez les forêts : le verdissement global s’accélère dans 55 % de la planète grâce aux combustibles fossiles


    Par Jo Nova
    February 2nd, 2024 |


    Merci à Kenneth Richard de NoTricksZone pour avoir trouvé cet article.

    Il est temps que nous arrêtions de déconner. De toute évidence, les combustibles fossiles nourrissent la planète, rendent les terres plus vertes et stimulent la croissance des arbres. Quiconque se soucie de l’environnement doit commencer à faire campagne pour augmenter nos émissions de combustibles fossiles.

    Récemment, une série d’études ont annoncé que l’ère du verdissement mondial pourrait être révolue, ou que le stress dû à la sécheresse pourrait brunir la Terre plus rapidement qu’elle ne verdissait. Mais une nouvelle étude montre que non seulement la Terre continue de devenir plus verte, mais que le rythme de la croissance verte s’accélère sur plus de la moitié de la planète.

    Chen et al ont utilisé quatre ensembles de données satellite pour estimer l'indice de surface foliaire (LAI). Ils ont découvert que la désertification de la Terre tant redoutée n’accélère que sur 7 % de la planète, tandis que le verdissement longtemps ignoré n’augmente pas mais accélère même sur 55 % de la Terre. À ce rythme-là, les coins arides de la Terre risquent de disparaître.

    De toute évidence, l’habitat des koalas profite énormément du charbon, du gaz et du pétrole. Mais pour être plus sérieux, les pauvres du monde le sont aussi. Si nous nous soucions des enfants d’Haïti, nous avons le devoir de libérer ce charbon, de brûler ce pétrole et de libérer ces réserves de diesel.

    Faites-le pour les enfants…

    - voir cartes sur site -

    LAI = Indice de Surface Feuille. https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2351989423004262#fig0020

    Partout dans le monde, le facteur dominant (selon le journal) était presque toujours le gaz carbonique ! .

    Le verdissement mondial se poursuit depuis l’an 2000
    Chen et al. 2024
    https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2351989423004262

    La fertilisation par le gaz carbonique reste le moteur dominant (75,63 %) des tendances sur Terre au cours des 20 dernières années.

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  6. RÉFÉRENCE

    Chen et al (2024) Le verdissement mondial se poursuit malgré l'augmentation du stress dû à la sécheresse depuis 2000, Global Ecology and Conservation
    Volume 49, janvier 2024, e02791

    https://joannenova.com.au/2024/02/burn-oil-save-forests-global-greening-is-accelerating-in-55-of-the-world-thanks-to-fossil-fuels/

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  7. Naviguer dans la complexité du changement climatique
    Un regard plus attentif sur la méthode scientifique et ses défis


    Par Frank Hollenbeck
    Mises.org
    2 février 2024


    Les sciences physiques ont considérablement fait progresser les connaissances en élucidant le fonctionnement de phénomènes simples. Dans un phénomène simple, nous disposons d’un nombre limité de variables importantes, toutes identifiables et mesurables. Cela nous permet de mener une expérience scientifique. Dans une telle expérience, nous maintenons constantes toutes les autres variables et examinons l’influence d’une variable sur le phénomène. On peut donc mesurer la direction de cette variable et son importance dans ce phénomène. Nous pouvons ensuite faire la même expérience avec toutes les autres variables pour déterminer leur direction d’influence et leur importance relative. Nous pouvons identifier quelles relations supposées sont correctes et lesquelles sont fausses. Nous pouvons tirer des conclusions sur des hypothèses concernant des phénomènes simples.

    Les phénomènes complexes, en revanche, comportent un ou plusieurs facteurs ou variables non mesurables ou inobservables, dont les influences et les interactions peuvent varier. Il est donc impossible de mener une expérience scientifique pour séparer les influences de chaque facteur. Cela limite considérablement la valeur des preuves empiriques ou historiques sur des phénomènes complexes puisqu’il est impossible de faire la distinction entre causalité et association.

    Les économistes ne connaissent que trop bien ce problème. Il y a plus de cent ans, les limites de l’empirisme en économie étaient devenues très claires. Dans l’article « L’élasticité de la demande de blé », R. A. Lehfeldt (1914) a tenté de déterminer l’élasticité de la demande en examinant les données historiques du prix du blé par rapport à la consommation de blé. Il a tenté de corriger les changements d'autres facteurs (ceteris paribus) et a trouvé que l'élasticité de la demande de blé était un facteur positif de +0,6.

    Faut-il conclure de cette étude que la courbe de demande en blé est ascendante ? Cette étude empirique n’a-t-elle pas montré que la théorie économique est fausse ? Faut-il réexaminer la théorie ?

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  8. Tout économiste sensé expliquerait que ce qui est observé ne sont pas des points sur une courbe de demande stable, mais des points d’intersection en constante évolution entre la demande et l’offre ou des points évoluant vers un tel équilibre. Une courbe de demande est comme une photographie : elle n'est valable que pour cette instance puisque d'autres facteurs changent constamment de sorte que les positions des courbes sont différentes d'une instance à l'autre. Il est impossible de mesurer empiriquement la pente d’une courbe de demande. Cela fait écho au principe d’incertitude de Heisenberg en physique, illustrant les difficultés inhérentes à la détermination simultanée de la position et de la vitesse d’un objet.

    Pourtant, de nombreuses autres études empiriques depuis 1914 sur différents biens et services ont démontré cette relation inverse entre prix et quantité demandée. Mais cet empirisme ne fait que soutenir cette hypothèse complexe : il ne pourra jamais la prouver.

    Les économistes, en général, ont peu à dire sur le changement climatique, même s’ils traitent régulièrement de phénomènes complexes similaires. Pourtant, lorsque les économistes commentent le changement climatique, ils ajoutent l’insulte à l’injure. William Nordhaus a reçu le prix Nobel en 2018 pour ses travaux sur un modèle d'évaluation intégré qui, selon lui, mesure l'impact du changement climatique d'origine humaine sur l'économie.

    Nous traitons donc ici de deux phénomènes complexes : le changement climatique d’origine humaine et son impact sur l’économie, ainsi que le développement d’un modèle mathématique pour décrire leurs interactions. Peu importe que de nombreux facteurs dans l’analyse de Nordhaus soient inobservables, et que ceux qui sont observables ont des impacts et des interactions qui sont soit instables, soit non mesurables. De plus, toutes les mesures de ces impacts ne sont que des estimations statistiques. Généralement, plus le modèle est grand, plus la variance des résultats est grande.

    Il est normal d’avoir des divergences d’opinions sur des hypothèses sur des phénomènes complexes. Ces divergences d’opinions ne seraient pas pertinentes si le niveau restait à ce niveau, mais Nordhaus a recommandé dans son discours que les gouvernements imposent des restrictions (par exemple, plafonnement et échange, taxes sur le carbone et réglementations) pour ralentir les émissions de gaz carbonique. L’Accord de Paris de 2015, par lequel 195 parties se sont engagées à lutter contre le changement climatique, visait à limiter le réchauffement climatique « bien en dessous » de 2°C d’ici la fin du siècle et à « poursuivre les efforts » pour maintenir le réchauffement dans la limite plus sûre de 1,5°C.

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  9. Une étude a montré que la combustion de combustibles fossiles est à l’origine de plus de 75 pour cent des émissions anthropiques de gaz à effet de serre et de plus de 90 % des émissions de gaz carbonique. Les combustibles fossiles produits à partir des gisements de pétrole, de gaz et de charbon existants sont largement suffisants pour dépasser la limite de 1,5°C. L'extraction de combustibles fossiles à partir de nouveaux gisements de pétrole et de gaz est incompatible avec une limite de 1,5°C, selon un rapport de l'Institut international du développement durable et un autre de l'Agence internationale de l'énergie.

    Nous avons donc un côté du débat sur le climat qui impose à la vie, à la liberté et à la propriété d’autrui quelque chose qui restera toujours une hypothèse non prouvée. Une étude récente a révélé que 99,9 % des études sur le climat s’accordent sur le fait que les humains sont à l’origine du changement climatique. Pourtant, il faut se demander combien de ces auteurs informent les lecteurs des limites de leurs conclusions ? Peut-on vraiment les appeler des scientifiques s’ils n’appliquent pas ou ne discutent pas de la méthode scientifique ?

    Perdue dans les détails de ce récent rapport de l'IPCC, on retrouve cette conclusion importante : « Dans la recherche et la modélisation du climat, nous devons reconnaître que nous avons affaire à un système chaotique non linéaire couplé, et donc que le long terme la prévision des futurs états climatiques n’est pas possible. Cette complexité conduit à une conclusion importante : reconnaître les connaissances limitées sur le changement climatique d’origine humaine.

    Dans un monde souvent marqué par des opinions bien arrêtées, un véritable débat sur le changement climatique doit commencer avec humilité, en reconnaissant les limites de la connaissance humaine. Équilibrer la compréhension scientifique, les considérations économiques et les décisions politiques dans ce paysage complexe nécessite une approche nuancée qui respecte à la fois la complexité du système climatique et les incertitudes inhérentes à la modélisation et aux prévisions.

    Pourtant, dans notre monde opiniâtre, une telle humilité est peu probable.

    https://www.lewrockwell.com/2024/02/frank-hollenbeck/navigating-the-complexity-of-climate-change/

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    1. (...) Dans un monde souvent marqué par des opinions bien arrêtées, un véritable débat sur le changement climatique doit commencer avec humilité, en reconnaissant les limites de la connaissance humaine. Équilibrer la compréhension scientifique, les considérations économiques et les décisions politiques dans ce paysage complexe nécessite une approche nuancée qui respecte à la fois la complexité du système climatique et les incertitudes inhérentes à la modélisation et aux prévisions. (...)

      ' en reconnaissant les limites de la connaissance humaine' !!

      LA science établit une bonne fois pour toutes (BORDEL DE MERDE !) que le gaz carbonique DISPARAÎT à une température supérieure de 30,9°C. Idem pour l'eau qui bout à 100°C et s'évapore (çà alors !!) ou se solidifie à 0°C !

      Rappel qu'il N'EXISTE PAS AU MONDE de modification climatique anthropique !
      TOUS les gaz exprimés se recyclent immédiatement et continuellement depuis DES milliards d'années (sans quoi la vie sur Terre ne serait JAMAIS apparue) !

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  10. GNL américain – Un autre piège pour l’UE ?


    2 février 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Joe Biden a annoncé la suspension des exportations de gaz vers les pays sans accord de libre-échange avec les États-Unis, invoquant les inquiétudes liées au changement climatique. Cela signifie que les exportations de GNL vers une grande partie de l’Europe et de l’Asie cesseront pratiquement (image).

    - voir carte sur site -

    La suspension affecte les nouveaux projets de GNL, tandis que les approvisionnements en gaz existants vers l'UE se poursuivront dans le cadre des accords existants. Plus de détails sur l’actualité concernant l’interdiction des nouveaux projets américains d’exportation de gaz naturel liquéfié (GNL) :

    C'est un plan brillamment orchestré.

    Étape 1 : Les États-Unis interdisent à l’Europe d’acheter du gaz « totalitaire » à la Russie et le remplacent par du GNL américain à un prix plus élevé.

    Étape 2 : Les États-Unis triplent leurs exportations vers l’Europe à des prix exorbitants.

    Étape 3 : Sans accès à des matières premières bon marché, les industries fuient l’UE vers les États-Unis, notamment de grands noms comme Mercedes et VAG.

    - voir graph sur site -

    Étape 4 : L’Europe veut augmenter ses importations, c’est-à-dire construire davantage de terminaux pour réduire les prix du gaz et ramener l’industrie.

    Étape 5 : Les États-Unis interdisent les nouveaux projets de GNL sous couvert de « sauvetage climatique », maintenant les prix élevés et les approvisionnements limités.

    La prochaine étape consiste à demander des fonds pour construire des terminaux et des navires respectueux de l’environnement, qui protègent le climat et promeuvent l’égalité des sexes.

    Quel que soit celui qui se cache derrière, la stratégie est brillamment mise en œuvre. L’Europe est désormais irrévocablement dépendante du gaz américain. C’est cher et cela ne suffit que pour les besoins de base. L’industrie fuit et il n’y a pas de lumière au bout du tunnel, car les États-Unis eux-mêmes interdisent de nouveaux projets visant à réduire les prix du gaz.

    The Economist ne soupçonne pas non plus de raisons factuelles derrière cette restriction : « Les limites imposées par Joe Biden aux exportations de GNL n'aident pas le climat – amélioreront-elles ses chances de réélection ?

    BNNBloomberg écrit que « l’Europe accro au gaz » a remplacé un risque par un autre. Le gaz en provenance des États-Unis était considéré comme sûr, mais il devenait chaque jour plus risqué.

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  11. L’article cite également des voix européennes qui voient clair dans la stratégie américaine :

    Au plus fort de la crise, le ministre français des Finances Bruno Le Maire a accusé les exportateurs de GNL d'utiliser la guerre russe contre l'Ukraine pour promouvoir « la domination économique américaine et un affaiblissement de l'Europe » et a appelé à un partenariat économique plus équilibré avec les États-Unis. L’Europe occidentale a à peine tenu compte de cet avertissement, important l’année dernière plus de GNL des États-Unis que des huit autres plus grands fournisseurs réunis. Plus l’Europe dépend des États-Unis, plus il sera difficile de résoudre les désaccords sur tous les sujets, depuis les prix jusqu’à la politique. "L'Europe risque de devenir dépendante d'un fournisseur unique et, en fin de compte, à la merci des prix qu'il fixe", a déclaré Ogan Kose, directeur général du cabinet de conseil Accenture.

    Il existe un risque de voir les factures énergétiques augmenter en Europe. Étant donné que la plupart des livraisons européennes de GNL se font via le marché spot volatil, les acheteurs y sont plus dépendants des fluctuations de l'offre mondiale que les acheteurs asiatiques, qui achètent principalement le gaz dans le cadre de contrats à long terme liés au prix du pétrole, a déclaré Massimo Di Odoardo, Vice-président. Président de la recherche sur le gaz et le GNL chez Wood Mackenzie. Les approvisionnements en GNL peuvent facilement être détournés vers le plus offrant, de sorte qu’une augmentation plus importante que prévu de la demande chinoise ou une panne des centrales nucléaires japonaises pourraient entraîner une augmentation du gaz américain arrivant en Asie et une perte pour l’Europe. À mesure que des capacités américaines supplémentaires arriveront sur le marché, les prix finiront par baisser.
    Et puis il y a les milliards d’euros qui sont transférés de Bruxelles à Kiev.

    https://tkp.at/2024/02/02/lng-aus-den-usa-eine-weitere-falle-fuer-die-eu/

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    1. (...) La prochaine étape consiste à demander des fonds pour construire des terminaux et des navires respectueux de l’environnement, qui protègent le climat et promeuvent l’égalité des sexes. (...)

      Par exemple les porte-containers à voiles ou à rames !

      'et promeuvent l’égalité des sexes' !! LA climat ! HAHAHAHA

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  12. La « maladie X » hypothétique. Le traité de l’OMS sur la pandémie est une fraude.


    Par Prof Michel Chossudovsky
    Mondialisation.ca,
    31 janvier 2024


    Des malades mentaux ou des psychopathes à la tête de l’OMS ? [Psychics or psychopaths at the helm?]
    — Felicity Arbuthnot , Global Research, 21 janvier 2024

    Introduction
    Le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, continue à tromper l’opinion publique mondiale.

    La « maladie X » n’existe pas . Il s’agit d’une hypothèse élaborée par un comité d’experts de l’OMS (2017-2018) composé de virologues et d’analystes des maladies. Elle a ensuite été envisagée dans le cadre des simulations Clade X (mai 2018) et Event 201 Simulation of a Pandemic (octobre 2019). Les deux événements ont eu lieu sous les auspices du Centre John Hopkins pour la sécurité sanitaire, avec le soutien de la Fondation Gates.

    Cela a ensuite été annoncé par Bill Gates lors de la conférence sur la sécurité de Munich en février 2022 :

    « Les risques de maladie grave due au Covid-19 ont été « considérablement réduits », mais une autre pandémie est presque certaine » . dit Bill Gates.

    « Une nouvelle pandémie potentielle proviendrait probablement d’un agent pathogène différent de celui de la famille des coronavirus» (CNBC).

    « Nous aurons une autre pandémie. Ce sera un agent pathogène différent la prochaine fois », a déclaré Gates.

    Comment pouvait-il savoir cela à l’avance ?

    « Prédire » et « se préparer » à la « maladie X », une menace inconnue
    Dans sa présentation au FEM de Davos24 , le directeur général de l’OMS, le Dr Tedros, est revenu sur la prémonition de Bill Gates, soulignant la prétendue gravité de la crise Covid-19 déclenchée début 2020, en contradiction flagrante avec les données officielles de l’OMS.

    Bill Gates est le mentor de Tedros. Ils entretiennent une relation personnelle étroite, qui frise parfois le « conflit d’intérêts ».

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  13. Bill Gates, Tedros et autres (soutenus par le « comité d’experts » de l’OMS) prédisent désormais la « maladie X » qui provient d’un hypothétique agent pathogène qui serait 20 fois plus mortel que le SRAS-CoV-2. Quelle absurdité!

    « Outre le fait qu’il va faire des ravages au sein de l’humanité, l’équipe de recherche n’a aucune idée de la nature du pathogène »

    Selon Forbes :

    La maladie X, une menace hypothétique inconnue, est le nom utilisé par les scientifiques pour favoriser le développement de contre-mesures, notamment des vaccins et des tests, à déployer en cas d’épidémie future. L’OMS a convoqué un groupe de plus de 300 scientifiques en novembre 2022 pour étudier le « pathogène inconnu qui pourrait provoquer une grave épidémie à l’échelle internationale », avançant un taux de mortalité 20 fois supérieur à celui du Covid-19.

    300 scientifiques pour étudier quelque chose d’inconnu et d’hypothétique ? Le buzz de la propagande médiatique, citant « l’opinion scientifique », est « une maladie X 20 fois plus dangereuse que la Covid »

    Une nouvelle campagne de peur a été lancée 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, consistant en des informations faisant état d’une prétendue nouvelle vague de décès dus au Covid, tout en ignorant totalement la vague de surmortalité et de morbidité résultant du « vaccin » contre la Covid-19.

    Vidéo : Un vaccin contre une hypothétique pandémie de « maladie X ».
    Produit par Lux Média . Michel Chossudovsky et Caroline Mailloux

    MICHEL CHOSSUDOVSKY – « MALADIE X » : LA PROCHAINE PANDÉMIE ?

    Faites défiler vers le bas pour lire la section sur le « vaccin » contre la maladie X.

    L’agent pathogène présumé de la « maladie X » « identifié » par le comité d’experts de l’OMS deux ans avant la crise du Covid-19

    Début février 2018, un comité d’experts de l’OMS s’est réuni à huis clos à Genève « pour envisager l’impensable ».

    Cliquez sur l’image pour accéder au texte

    « L’objectif était d’identifier les agents pathogènes susceptibles de se propager et de tuer des millions de personnes, mais pour lesquels il n’existe actuellement aucune contre-mesure, ou des contre-mesures insuffisantes. »

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  14. Le Comité d’experts s’est réuni à deux reprises, très probablement en 2017 :

    « C’était la troisième fois que le comité, composé d’éminents virologues, bactériologistes et experts en maladies infectieuses , se réunissait pour examiner les maladies à potentiel épidémique ou pandémique.

    Mais lorsque la liste 2018 a été publiée il y a deux semaines [mi-février 2018], elle comprenait une entrée inédite les années précédentes.

    En plus de huit maladies effrayantes mais familières, dont Ebola, Zika et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), la liste comprenait une neuvième menace mondiale : la maladie X. » ( Daily Telegraph , italiques ajoutés )

    Tout cela semble très scientifique et repose sur des experts engagés et rémunérés par l’OMS, sous les conseils de la Fondation Bill et Melinda Gates :

    « La maladie X représente la connaissance [quelle connaissance ?] qu’une grave épidémie internationale pourrait être provoquée par un agent pathogène actuellement inconnu comme pouvant causer une maladie humaine ».

    Les experts du panel de l’OMS affirment que la maladie X pourrait émerger de diverses sources et frapper à tout moment .

    « L’histoire nous dit qu’il est probable que la prochaine grande épidémie soit quelque chose que nous n’avons jamais vu auparavant », a déclaré John-Arne Rottingen, directeur général du Conseil norvégien de la recherche et conseiller scientifique auprès du comité de l’OMS.

    « Cela peut paraître étrange d’ajouter un « X », mais le but est de garantir que nous nous préparons et planifions de manière flexible en termes de vaccins et de tests de diagnostic.

    « Nous voulons voir des plates-formes « plug and play » développées qui fonctionneront pour n’importe quelle maladie ou pour un grand nombre de maladies ; des systèmes qui nous permettront de créer rapidement des contre-mesures. ( Télégraphe )

    Les travaux du « comité d’experts » ont été suivis de deux simulations sur table respectivement en mai 2018 et octobre 2019.

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  15. La simulation Clade X : « Parainfluenza Clade X »
    Quelques mois après la réunion d’experts de l’OMS à Genève début 2018, au cours de laquelle une hypothétique maladie X a été classée comme une « menace mondiale » , la simulation sur table de Clade X a été réalisée à Washington DC (mai 2018) sous les auspices de The Johns. Centre Hopkins pour la sécurité sanitaire.

    « Le scénario commence par une épidémie d’un nouveau virus parainfluenza, modérément contagieux et modérément mortel, et contre lequel il n’existe aucune contre-mesure médicale efficace ».

    Le virus s’appelle : « Parainfluenza Clade X »

    Prochaine propagande pandémique : le « Big One », Nipah, Ebola et Marburg, SRAS1, Machupo, « Virus Vampire », Maladie X
    « Maladie X » et simulation de la pandémie mondiale 201

    Le concept de maladie hypothétique X développé en 2017-2018 par un comité d’experts de l’OMS composé d’éminents virologues et experts en maladies a été simulé dans le cadre de la simulation sur table Event 201 d’une pandémie mortelle de virus corona. L’exercice mondial sur la pandémie s’est tenu à New York sous les auspices de la John Hopkins Bloomberg School of Health, Center for Heath Security (qui a accueilli la simulation Clade X en mai 2018). L’événement était parrainé par la Fondation Gates et le Forum économique mondial . (Événement 201 )

    Un rapport du 21 octobre 2019 « Exécution factice de la maladie X : les experts mondiaux de la santé se préparent à une pandémie mortelle et ses retombées confirment que la maladie X faisait partie de la simulation de la pandémie mondiale 201 :

    Vendredi, un panel de 15 personnalités internationales de haut niveau se sont réunis dans la salle de bal d’un hôtel de New York pour « simuler » un scénario dans lequel une pandémie fait rage à travers le monde, tuant des millions de personnes.

    Les experts de la santé s’attendent à ce que le monde soit confronté à une pandémie mondiale à évolution rapide. Les mises à jour arrivaient rapidement et en masse dans la salle de situation – et les nouvelles n’étaient pas bonnes. Le virus se propageait… L’ancienne directrice adjointe de la CIA a enlevé ses lunettes, s’est frotté les yeux et s’est adressé au panel. « Nous devons également considérer que les terroristes pourraient profiter de cette situation », a-t-elle déclaré. « Nous envisageons la possibilité d’une famine. Il existe un risque d’épidémies de maladies secondaires.

    « Je m’attends pleinement à ce que nous soyons confrontés à une pandémie mondiale à évolution rapide », a déclaré le Dr Mike Ryan,directeur exécutif du programme d’urgence sanitaire de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

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  16. S’adressant aux participants – et aux 150 observateurs – avant le début du scénario, il a déclaré que l’OMS s’occupe de 200 épidémies chaque année . Ce n’est qu’une question de temps avant qu’une de ces situations ne devienne une pandémie – définie comme une maladie répandue dans tout un pays ou dans le monde.» ( Télégraphe , italiques ajoutés)

    Vidéo : Tedros a déclaré que Covid était « la première maladie X »

    Preuve : pas de pandémie début 2020 . Déclarations trompeuses du Dr Tedros et décisions frauduleuses
    En un mot factuel :

    Le directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a lancé une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC) le 30 janvier 2020. Il y a eu 83 « cas confirmés » en dehors de la Chine pour une population de 6,4 milliards de personnes.
    Il n’existait aucune « base scientifique » pour justifier le déclenchement d’une urgence de santé publique mondiale.
    Le 20 février 2020 : Lors d’une conférence de presse à Genève, le directeur général de l’OMS, le Dr Tedros, a déclaré qu’il était « préoccupé par le fait que les chances de contenir l’épidémie de coronavirus se « réduisent »… « Je crois que la fenêtre d’opportunité est toujours là, mais que la fenêtre se rétrécit. Ces déclarations étaient basées sur 1 076 « cas confirmés » en dehors de la Chine.
    L’OMS a officiellement déclaré une pandémie mondiale le 11 mars 2020, alors que le nombre de cas de PCR hors de Chine (6,4 milliards d’habitants) était de l’ordre de 44 279 cas cumulés confirmés.
    Tous les cas dits confirmés sont le résultat du test PCR, qui ne détecte pas le virus .
    Aux États-Unis, le 9 mars 2020, il y avait 3 457 « cas confirmés » sur une population de 329,5 millions d’habitants.
    Au Canada, le 9 mars 2020, il y avait 125 « cas confirmés » sur une population de 38,5 millions de personnes.
    En Allemagne, le 9 mars 2020, il y avait 2948 « cas confirmés » sur une population de 83,2 millions d’habitants.
    Ce qui précède est un résumé. Faites défiler vers le bas pour les références et les analyses

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  17. La campagne de peur de la « maladie X » et le traité sur la pandémie
    Il existe une vaste littérature sur le Traité sur la pandémie et ses conséquences probables.

    Le Traité sur la pandémie consiste à créer une entité mondiale de santé sous les auspices de l’OMS. C’est la voie vers une « gouvernance mondiale » par laquelle la totalité de la population mondiale de 8 milliards d’habitants serait numérisée et intégrée dans une banque de données numériques mondiale.

    Toutes vos informations personnelles seraient contenues dans cette banque de données, conduisant à la dérogation aux droits humains fondamentaux ainsi qu’à la subordination des gouvernements nationaux à l’établissement financier dominant.

    Le Traité sur la pandémie serait lié à la création d’un système mondial d’identification numérique.

    D’après David Scripac

    « Un système mondial d’identification numérique est en préparation. [L’objectif] du FEM – et de toutes les banques centrales [est] demettre en œuvre un système mondial dans lequel les données personnelles de chacun seront incorporées dans le réseau de monnaie numérique de la banque centrale (CBDC).

    Peter Koenig décrit le processus sous-jacent comme suit :

    « une identification entièrement électronique – reliant tout à tout de chaque individu (dossiers de santé, bancaires, personnels et privés, etc.). »

    Bombe : un vaccin contre une hypothétique pandémie de « maladie X » « avec un agent pathogène inconnu »
    Annoncé par le Dr Tedros à Davos24, sans parler des nombreuses déclarations faisant autorité de Bill Gates, les gouvernements doivent se préparer à l’apparition de la « maladie X ».

    Un « vaccin » de pointe censé « renforcer notre immunité » contre la « maladie X » (qui est une construction hypothétique basée sur un agent pathogène inconnu) devrait être développé au « Centre de développement et d’évaluation des vaccins » britannique (UK Health and Campus de Porton Down de l’Agence de sécurité (UKHSA) dans le Wiltshire, inauguré en août 2023.

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  18. « Les ministres ont ouvert un nouveau centre de recherche sur les vaccins au Royaume-Uni, où les scientifiques travailleront à la préparation à la « maladie X », le prochain agent pathogène pandémique potentiel.

    Le professeur Dame Jenny Harries a déclaré : « Ce que nous essayons de faire maintenant, c’est de capturer cet excellent travail de Covid et de nous assurer que nous l’utilisons à mesure que nous avançons pour toute nouvelle menace de pandémie. »

    Elle a ajouté :

    « Ce que nous essayons de faire ici, c’est de garder un œil sur ceux que nous connaissons. Par exemple, avec le Covid, nous sommes toujours là pour tester tous les nouveaux variants avec les vaccins qui ont été fournis pour vérifier qu’ils sont toujours efficaces.

    « Mais nous étudions également la rapidité avec laquelle nous pouvons développer un nouveau test qui serait utilisé si un tout nouveau virus apparaissait quelque part . »

    L’ouverture de l’établissement est annoncée après que l’enquête Covid a entendu des preuves selon lesquelles les gouvernements précédents étaient mal préparés à une pandémie, leurs plans étant trop axés sur la possibilité d’une pandémie de grippe plutôt que sur d’autres virus. L’ancien Premier ministre David Cameron avait reconnu qu’il s’agissait d’une « erreur ».

    « Ce complexe de pointe nous aidera également à respecter notre engagement de produire de nouveaux vaccins dans les 100 jours suivant l’identification d’une nouvelle menace. »

    ( The Guardian , italiques ajoutés)

    Le « vaccin » contre la « maladie X » doit être développé sur le campus Porton Down du ministère britannique de la Defense
    Le « Centre de développement et d’évaluation des vaccins » (VDEC) – qui a pour mandat de développer le vaccin « contre la maladie X » – est classé comme une entité de recherche civile relevant du National Health Service (NHS) britannique.

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  19. Le VDEC il est néanmoins idéalement situé à :

    Le « Campus des sciences et technologies de la défense » à Porton Down, dans le Wiltshire, est l’une des installations de recherche militaire les plus secrètes et les plus controversées du ministère britannique de la Défense, spécialisée dans les tests d’armes biologiques et chimiques.

    * * *

    Cliquez sur la capture d’écran ci-dessus pour accéder à l’article du Daily Star

    Ce qu’il faut, c’est un mouvement de masse pour s’opposer à l’adoption du traité sur la pandémie à l’Assemblée mondiale de la santé. (27 mai 2024).
    Nous appelons également à l’annulation immédiate du « vaccin tueur » contre le Covid-19.
    Ironiquement, le directeur général de l’OMS, Tedros, admet que

    « L’élan a été ralenti par des positions bien établies et « un torrent de fausses nouvelles, de mensonges et de théories du complot ».

    Michel Chossudovsky, Global Research, 22 janvier 2024, révisé le 24 janvier 2024

    https://www.mondialisation.ca/la-maladie-x-hypothetique-le-traite-de-loms-sur-la-pandemie-est-une-fraude/5685743?doing_wp_cron=1706772125.5483400821685791015625

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  20. LES MATHEMATIQUES ACCUSENT Surmortalité en 2022 et 2023 associée aux taux de vaccination contre le Covid dans 25 pays européens »


    le 1 février 2024
    par pgibertie


    Il s’avère que les taux de vaccination contre le COVID-19 sont associés à une mortalité accrue de 25 %, et l’association est hautement statistiquement significative avec la valeur P de 0,0131, ce qui montre qu’il est peu probable qu’il s’agisse d’un résultat du hasard.

    Les modèles de régression linéaire sont relativement simples et fournissent une formule mathématique facile à interpréter pour générer des prévisions. La régression linéaire est une technique statistique établie qui s’applique facilement aux logiciels et au calcul. Les entreprises l’utilisent pour convertir de manière fiable et prévisible les données brutes en informatique décisionnelle et en informations exploitables.

    MATHÉMATIQUEMENT LA RELATION ENTRE LES DEUX VARIABLES TAUX DE VAXX ET SURMORTALITÉ EST SIGNIFICATIVE

    https://dailysceptic.org/2024/01/29/excess-mortality-in-2023-associated-with-covid-vaccination-rates-in-25-european-countries/

    On nous a dit que « les vaccins Covid sauvent des vies ». Les données réelles montrent malheureusement le contraire. La tendance observée dans les analyses précédentes se poursuit : les taux de vaccination sont associés à des augmentations, et non à des diminutions, de la mortalité totale.

    Les similitudes entre les relations entre les taux de vaccination et la surmortalité en 2023 et 2022 ( données 2022 discutées ici ) sont frappantes :

    - voir graph sur site -

    DEJA EN 2022 JC PEREZ/

    https://www.researchgate.net/publication/363701046_Heat_wave_excess_mortality_and_Covid19_vaccination_the_case_of_31_European_countries_in_2022?channel=doi&linkId=632afe44873eca0c00a49ff6&showFulltext=true
    https://t.co/zgu9NqfFA1

    V2surmortalityandCOVID19vaccinescorrelationTélécharger

    https://pgibertie.com/2024/02/01/les-mathematiques-accusent-surmortalite-en-2022-et-2023-associee-aux-taux-de-vaccination-contre-le-covid-dans-25-pays-europeens/

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  21. L'actrice de Star Trek, Margot Muraszkiewicz, est décédée après un an de lutte contre la SLA. Elle a été vaccinée contre le COVID-19.

    « Trek contre la SLA » : nouvelle « Turbo ALS » provoquée par les vaccins à ARNm contre la COVID-19 ?


    Par le Dr William Makis
    Recherche mondiale,
    31 janvier 2024



    15 novembre 2023 – L’actrice Margot Muraszkiewicz est décédée après un an de lutte contre une forme rapidement progressive de SLA.

    - voir photo sur site -

    Octobre 2022 – Elle avait été diagnostiquée en octobre 2022 et avait reçu un pronostic de 2 à 3 ans, mais elle est décédée seulement 1 an plus tard.

    - voir photo sur site -

    Autres cas récents :

    9 décembre 2023 – Andover, CT – Margaret Faasen, 64 ans, est décédée après une bataille contre la SLA. Elle était vaccinée contre le COVID-19.

    - voir photo sur site -

    6 novembre 2023 – NY – Kevin Grimmer, entraîneur de basket-ball SUNY, est décédé après un récent diagnostic de SLA (crédit : Resilient333 sur X).

    - voir photo sur site -

    6 novembre 2023 – Carl Torbuch, 72 ans, entraîneur de football universitaire, est décédé une semaine après avoir reçu un diagnostic de SLA.

    - voir photo sur site -

    25 octobre 2023 – Abdel Kharrazi, footballeur professionnel marocain, 47 ans, est décédé de la SLA le 25 octobre 2023.

    - voir photo sur site -

    7 octobre 2023 – Cincinnati, OH – Tracy Ann Glick, enseignante de 59 ans, est décédée subitement après une « courte bataille contre la SLA ».

    - voir photo sur site -

    6 octobre 2023 – Atlanta, Géorgie – Jim Poole, 57 ans, ancien lanceur de baseball de la MLB, est décédé le 6 octobre 2023 des « complications de la SLA » diagnostiquées 2 ans plus tôt.

    - voir photo sur site -

    30 septembre 2023 -Calgary, AB – Le vice-président des données et de l'analyse des Flames de Calgary, 42 ans, a subi une lésion cérébrale « catastrophique » après un arrêt cardiaque et est décédé subitement le 30 septembre 2023. Il luttait contre la SLA depuis 2019.

    Cliquez ici pour lire l'article complet .

    https://www.globalresearch.ca/star-trek-actress-margot-muraszkiewicz-died-after-one-year-battle-als-covid-19-vaccinated/5848196

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  22. Se rapprocher de la vérité sur les expériences sur les virus cérébraux : sont-elles le résultat d’une tactique de leurre ? Partie V


    1 février 2024
    par DDr. Siguna Mueller


    Dans la quatrième partie de cette série sur le virus du cerveau, j'ai souligné de nombreuses incohérences et lacunes qui auraient pu influencer les résultats de l'enquête. La question de savoir s’il s’agit d’accidents de laboratoire soulève la possibilité que les chercheurs n’aient pas rapporté tous leurs résultats, que des mutations supplémentaires aient pu se produire et que la variante virale clé en question ait été intentionnellement mal nommée. Tout cela est spéculatif, mais découle rationnellement des nombreuses incohérences trouvées dans l’étude.

    Même s'il se peut effectivement que les chercheurs aient effectué des travaux de laboratoire supplémentaires qui n'étaient pas explicitement mentionnés et qui auraient pu aboutir à des mutations non documentées, il est encore difficile de croire que cela suffirait à prouver l'émergence d'un virus tueur d'un à l'autre. expliquer les précurseurs inoffensifs.

    Il semble qu'il manque autre chose. Dans la quatrième partie , je suggère une autre possibilité : les incohérences et les lacunes ont peut-être contribué aux résultats de l'étude, mais des facteurs supplémentaires qui auraient pu être tout aussi importants ont été négligés.

    Dans cette partie, je me concentrerai sur un autre type de contributeur, non pas en termes de génétique ou de mécanismes biologiques ou évolutifs, mais en termes de financement.

    Et en fait, cela pourrait expliquer une grande partie de ce que je n’avais pas vu auparavant : la possibilité d’une tactique de leurre majeure.

    (Perspectives : la prochaine partie de cette série examinera la nouvelle version de la préimpression qui fait allusion à Bait and Switch #2).

    Précédent travail

    Comme indiqué, Lu, Song et leurs collègues (tous membres du laboratoire de Song) se sont concentrés, entre autres choses, sur le développement de vaccins dans leurs travaux antérieurs.

    Dans leur précédente publication par Lu et al. La variante du pangolin GX_P2V(short_3UTR), qui est liée au SRAS-CoV-2, a été étudiée pour deux raisons :

    Pour améliorer la compréhension de la pathogenèse du CoV,
    comme base pour un nouveau vaccin vivant atténué contre le SRAS-CoV-2.
    Les auteurs avaient une grande confiance dans GX_P2V(short_3UTR) en tant que candidat vaccin
    L'idée selon laquelle le variant GX_P2V (short_3UTR) pourrait devenir un vaccin contre le SAR-CoV-2 a été proposée par Lu et al. étayé par les résultats suivants :

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  23. Son caractère atténué a été testé et confirmé chez le hamster doré et la souris BALB/c, ainsi que complété par différents modèles d'infection in vitro.
    « Induction d'anticorps neutralisants significatifs contre le SRAS-CoV-2 » (cela a probablement été considéré comme extrêmement important puisque cette propriété a été soulignée dans le titre de l'article lui-même). Les auteurs ont découvert que lorsque les hamsters dorés étaient infectés par voie intranasale avec GX_P2V (short_3UTR), ils présentaient une courte durée d’infection productive dans les tissus pulmonaires et non extrapulmonaires. Notamment, cette infection a induit des anticorps neutralisants contre les pseudovirus du GX_P2V et du SARS-CoV-2.

    Titre élevé : Dans les sérums de hamster, GX_P2V(short_3UTR) avait un titre similaire en anticorps neutralisants contre le SRAS-CoV-2 par rapport aux sérums de patients Covid en convalescence.
    Activité de neutralisation croisée significative du virus GX_P2V(short_3UTR) : L'observation du titre élevé d'anticorps neutralisants contre les (pseudovirus du) SARS-CoV-2 dans les sérums de hamsters a été considérée comme très prometteuse. Les domaines de liaison aux récepteurs du GX_P2V et du SARS-CoV-2 n'ont qu'une identité d'acides aminés de 86,8 % et un seul résidu de liaison au récepteur critique. Par conséquent, le titre élevé observé suggère un grand potentiel de cette variante en tant que vaccin contre les variantes du SRAS-CoV-2. ou même des CoV associés.

    Remarque : Ces dernières années, les titres de NAb dans les mesures en éprouvette ont non seulement été considérés comme un indicateur de l'efficacité réelle du vaccin, mais ont également été élevés au rang de référence de facto ; De nombreuses études et publications ont suivi ce récit et ont supposé qu’un titre plus élevé pouvait être considéré comme la preuve d’une meilleure efficacité du vaccin. Cependant, cette approche est totalement inexacte. Le fait que cette norme constitue non seulement un piètre substitut mais conduit souvent à de graves interprétations et résultats erronés a longtemps été caché au public. Voir aussi mon livre , dans lequel je discute de certaines des « vérités qui dérangent » dans ce contexte.

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  24. Les auteurs avaient une explication hypothétique de la cause de la nature atténuée de GX_P2V(short_3UTR)
    Lu et coll. reconnaissez que le virus GX_P2V de type sauvage d’origine n’a pas été isolé et n’était donc pas disponible pour une analyse comparative. Ils se concentrent sur l’atténuation de GX_P2V(short_3UTR) dans les modèles animaux testés et demandent spécifiquement :

    « Comment GX_P2V pourrait-il produire ces phénotypes atténuants malgré des capacités de croissance similaires à celles du SRAS-CoV-2 ?

    Selon eux, le ralentissement peut s'expliquer et ils évoquent deux raisons. Une raison importante est la suppression de 104 nucléotides dans la région hypervariable (HVR) du 3′-UTR de GX_P2V (short_3UTR). Ceci est basé sur des résultats analogues obtenus dans un modèle murin du virus de l'hépatite (MHV), qui ont démontré un lien entre les mutations HVR et la pathogénicité virale.

    (Remarque : Ironiquement, Lu et al. postulent également que l'atténuation peut être liée à la faible virulence de la protéine de pointe GX_P2V. Je trouve cela intéressant car cela suggère qu'ils sont probablement conscients du potentiel négatif du SRAS-CoV -2. "La protéine Spike qui est devenue la base essentielle de la plupart des vaccins contre le SRAS-CoV-2. La conception troublante et uniforme du vaccin a été enracinée et rendue possible par le récit officiel, qui s'opposait avec véhémence à la toxicité inhérente de Spike. J'ai tout cela dans mon livre .)

    Les auteurs ont proposé une nouvelle stratégie d'atténuation pour produire un vaccin vivant contre le Covid basé sur la suppression de 104 ntd
    Il est peut-être intéressant de noter que la Chine utilisait encore activement des vaccins vivants atténués au début de la pandémie. Lu et ses collègues louent l'efficacité de ces vaccins en raison de leur capacité à stimuler l'immunité humorale et cellulaire et à produire une réponse immunitaire durable. Avant le battage médiatique autour des vaccins à ARNm, la plupart des gens auraient été d’accord avec cette évaluation.

    Cependant, l’un des plus grands défis de ces vaccins est de garantir qu’ils soient (de façon permanente !) atténués.

    Dans ce contexte , Lu et ses collègues suggèrent que leurs résultats peuvent également être utilisés comme une nouvelle stratégie d'atténuation, et soulignent

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  25. « Le raccourcissement du 3′-UTR est une nouvelle stratégie pour produire une variante vivante atténuée du SRAS-CoV-2 qui justifie une enquête plus approfondie.

    En résumant les avantages attendus de GX_P2V(short_3UTR), les travaux publiés par Lu et al. très optimiste quant à cette variante du CoV du pangolin, comme suit :

    GX_P2V(short_3UTR) lui-même pourrait servir de vaccin vivant atténué contre le SRAS-CoV-2.
    Sa nature atténuée a également le potentiel en tant que vecteur vaccinal pour l’expression d’antigènes protecteurs tels que les RBD du SRAS-CoV-2.
    Le raccourcissement du 3′-UTR est une nouvelle stratégie pour produire une variante vivante atténuée du SRAS-CoV-2.
    Un changement d’objectifs de recherche – des vaccins aux retombées : s’agit-il d’un appât et d’un changement délibéré ?
    Compte tenu de leur confiance dans le développement d'un nouveau vaccin contre le Covid-19, il ne serait pas surprenant que le groupe de Song et Lu ait étudié plus en détail GX_P2V(short_3UTR) pour son potentiel anticipé.

    Apparemment, ils ont testé ce candidat vaccin sur divers modèles animaux, y compris le modèle de souris humanisée mentionné dans la prépublication. Et c’est exactement là que la grosse erreur aurait pu se produire.

    Dans ce contexte, leur conclusion selon laquelle le taux de mortalité élevé du virus était « surprenant » prend désormais tout son sens. C’est en fait le contraire de ce qu’ils avaient prédit dans leurs travaux précédents.

    La rumeur veut que la politique chinoise de « publier ou périr » soit aussi impitoyable que partout ailleurs, voire pire.

    À quoi tout cela aurait-il pu ressembler du point de vue de ces chercheurs ?

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  26. Il semblait qu’ils disposaient d’un modèle convaincant pour un nouveau candidat vaccin vivant atténué, comprenant un mécanisme pour faciliter cette atténuation.
    « Étonnamment », cependant, cette idée s'est retournée contre eux : leurs propres expériences sur des souris humanisées semblaient avoir l'effet inverse.
    Certains diront peut-être qu’ils ont consacré beaucoup d’efforts à ces virus – en vain.
    Certains pourraient même dire que les chercheurs suivent le battage médiatique (ou l’argent).
    L'article de Lu et al. a été publié en 2022, alors que l’utilisation de vaccins vivants atténués contre le Covid était à son terme en Chine. Mais ensuite, le discours a changé avec l’affirmation selon laquelle les vaccins inactivés produisaient une réponse en anticorps plus faible que ceux utilisant la technologie de l’ARNm (cette affirmation va plus loin, voir mon livre). Le nouveau battage médiatique semble avoir atteint la Chine au cours de l’année 2023, et au printemps 2023, la Chine disposait de son propre vaccin à ARNm contre le Covid .
    Lorsque le battage médiatique autour de la supériorité des vaccins à ARNm est devenu courant, Lu, Song et leurs collègues travaillaient encore sur leur candidat vaccin vivant. Ne serait-il pas dommage que tout le travail sur GX_P2V(short_3UTR) soit gaspillé sur une technologie vaccinale obsolète ?
    Dans le même temps, l’énorme pression exercée par l’OMS/WEF et d’autres agences à trois lettres pour détecter de nouveaux virus potentiellement pathogènes aurait pu offrir une issue au dilemme.
    Je laisse au lecteur le soin de se faire une opinion sur la raison de la publication de la nouvelle prépublication de Song et al. aurait pu être.

    Quoi qu’il en soit, certaines choses sont sûres :

    Les travaux sur GX_P2V(short_3UTR) ont attiré beaucoup d'attention - non pas en raison de leur potentiel en tant que vaccin, mais, comme Song et al. souligner en raison du risque de propagation inexploré de ces virus.
    Le fait est que ni le caractère atténué d’un virus ni sa prétendue létalité élevée ne peuvent être rigoureusement prouvés. à moins qu’elles ne soient démontrées sur des modèles in vitro et in vivo appropriés au moyen de tests statistiquement significatifs et de manière reproductible et confirmés par de multiples laboratoires et institutions indépendants. .
    Or, le financement de la recherche aujourd’hui ne semble pas nécessiter l’existence d’un véritable virus ou d’une véritable pandémie. Il suffit de croire que quelque chose a le potentiel de se transformer en quelque chose. (Pourtant, un tueur apparemment parfait attirerait certainement beaucoup plus d’attention qu’un virus réputé inoffensif).
    conclusion
    En résumé, Song et ses collaborateurs rapportent dans leur prépublication que la plupart des expériences de laboratoire de base ont rapidement modifié le pouvoir pathogène d’une variante du CoV du pangolin. La petite taille de l’échantillon (n=4) et d’autres incohérences soulèvent certaines questions.

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  27. Cependant, si l’on analyse le contexte dans lequel le travail a été réalisé, y compris ses résultats et objectifs antérieurs, l’émergence du prétendu virus tueur peut en réalité s’expliquer, comme le résume la partie inférieure de la figure ci-dessous.

    - voir schéma sur site -

    Cette figure prolonge l'analyse de la partie 4 de cette série en considérant le contexte dans lequel les expériences semblent avoir eu lieu. Il aurait été logique que les résultats « inattendus » – qui contredisent la raison et les attentes – soient passés sous silence et présentés différemment.
    Il semble néanmoins prématuré de blâmer les chercheurs qui pourraient être contraints de lancer des appâts juste pour sauver leur peau.

    S’il y a quelque chose à blâmer, c’est bien le système – mais il ne s’agit pas simplement de nourrir les scientifiques avec un récit unique et de les soumettre à une énorme pression pour qu’ils produisent.

    Pendant des décennies, j'ai travaillé professionnellement, entre autres, dans le domaine de la cryptographie et de la sécurité des données. L’une des plus grandes préoccupations en matière de sécurité sur Internet au début était décrite à l’origine comme « le voleur déguisé en flic » . À l’époque, cela semblait purement hypothétique, et « police » et « voleur » ne faisaient pas seulement référence à ces catégories spécifiques de personnes, mais étaient également des espaces réservés à d’autres entités.

    Le lecteur peut tirer ses propres conclusions quant à savoir si nous avons maintenant atteint l'état dans lequel cette mauvaise astuce est devenue une réalité, par exemple. B. en ce qui concerne les plans de recherche, les résultats expérimentaux, mais aussi les autorités et organisations de réglementation qui sont censées enquêter et tester de manière impartiale et permettre réellement une science réelle et authentique.

    L' original en anglais est ici sur Substack par Dr. Trouvez Siguna Mueller . Traduction en allemand par TKP.

    Autres articles de la série :

    L'analyse rationnelle de nouvelles expériences mortelles sur des virus cérébraux révèle des incohérences invisibles et d'importants risques biologiques cachés (PARTIE I)
    L'analyse rationnelle de nouvelles expériences sur un virus cérébral mortel révèle des incohérences invisibles et des risques biologiques cachés importants - PARTIE II
    Les expériences sur les virus cérébraux sont hautement contre-productives
    Le « virus mortel du cerveau » est-il une maladie ? le résultat d'une erreur de laboratoire ? Partie IV

    https://tkp.at/2024/02/01/der-wahrheit-ueber-die-experimente-mit-dem-hirnvirus-naeher-kommen-sind-sie-das-ergebnis-einer-lockvogeltaktik-teil-v/

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  28. Un vaccinateur parle des dommages causés par le vaccin


    1 février 2024
    de Thomas Oysmüller


    Certains jours, 1 000 personnes de son cabinet ont été traitées avec de l'ARNm. Désormais, il ne recommande plus la vaccination. Au contraire.

    Il y a des médecins qui réfléchissent à leur comportement. L'un d'eux est le Dr. Volker Eissing de Papenburg dans l'Emsland. En 2021, son cabinet était un fief de la vaccination. Aujourd’hui 700 et demain 1250 – la file d’attente est interminable », déclarait-il fin 2021. « L’ambiance est bonne, tout le monde est « content d’être vacciné ». Mais près de trois ans plus tard, il voit les choses différemment.

    Dommages causés par la vaccination après le festival de vaccination

    C’est tout à fait remarquable, car le journal régional NOZ décrit « sans conteste » Eissing comme l’un des « plus grands partisans » de l’injection du Covid. En 2021, il appelait à une vaccination rapide, rapide et généralisée ; il fallait « vacciner » la population. Il y avait déjà des vents contraires pour ses relations publiques claires en matière de vaccination, y compris de la part de ses collègues. Selon ses propres déclarations, il a vacciné 17 600 personnes dans son cabinet – rien qu’au cours de l’été 2021.

    Eissing affirme que son approche était correcte « à l’époque » : « À cette époque, il n’y avait pas d’alternative à la vaccination, car on ne savait pas encore du tout dans quelle mesure la vague de Corona se propagerait. Peu importe qu’il s’agisse d’un vaccin Astra, Pfizer ou d’un vaccin Spoutnik venu de Russie. » Il s’en tient donc à son argument : il n’y aurait « pas d’alternative » à la vaccination. Mais c’est alors que commence le contre-discours : les politiciens n’auraient pas dû se contenter de s’engager en faveur de la vaccination à l’ARNm et les dégâts causés par la vaccination sont réels. Très réel. Voici comment le NOZ rapporte :

    Trois ans après le début de la campagne nationale de vaccination, de plus en plus d'experts admettent qu'ils ont sous-estimé les effets secondaires des vaccinations. Des maladies également connues dans la pratique de Volker Eissing. « La liste des dégâts est incroyablement longue. "À commencer par la thrombose, l'embolie pulmonaire, l'inflammation musculaire ou l'inflammation articulaire au sens d'une maladie de type rhumatisme", l'homme de 63 ans cite quelques exemples. Des poussées cutanées explosives qui n’ont pas disparu, des difficultés respiratoires et une fatigue chronique après les vaccinations et non dues à des infections corona se sont également produites. "Il est très difficile de prouver que tout cela est un dommage vaccinal", estime le médecin généraliste.

    Bien que la preuve scientifique soit difficile à apporter, l’opinion médicale semble parvenir à une conclusion claire. Il assume sa propre responsabilité :

    « Chaque patient vacciné est venu volontairement et a également été vacciné volontairement. Nous l’avons fait grâce aux connaissances que nous avons reçues de l’industrie pharmaceutique et des politiciens.

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  29. Mais il a au moins changé sa propre approche après qu’il est devenu clair combien de problèmes de santé importants étaient liés au vaccin Covid : « Aujourd’hui, nous ne vaccinons qu’à la demande expresse des patients. Lorsqu’on nous le demande, nous ne recommandons pas la vaccination.

    https://tkp.at/2024/02/01/impfarzt-spricht-ueber-impfschaeden/

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  30. Le vaccin Covid de Pfizer a provoqué des comportements similaires à l’autisme chez la progéniture de rats vaccinés pendant la grossesse

    Le vaccin BNT162b Covid-19 de Pfizer administré à des rates en gestation a été associé à des changements structurels et biochimiques significatifs dans le cerveau de la progéniture et à des déficits notables dans plusieurs domaines comportementaux. Ces effets peuvent ne pas être directement liés à l'humain et la période d'étude n'a pas permis d'envisager la possibilité que ces effets soient réversibles.


    Par Angelo DePalma
    Mondialisation.ca,
    01 février 2024


    Les thérapies géniques à ARNm (“vaccins”) Covid-19 ont probablement été les premiers médicaments injectables recommandés aux femmes enceintes sur la base de 11 semaines de tests seulement alors que, selon la Food and Drug Administration américaine, le temps moyen nécessaire pour tester la sécurité d’un médicament est de huit ans et demi.

    Aujourd’hui, une étude turque publiée dans Neurochemical Research, réalisée par Mumin Alper Erdogan et al, suggère que l’administration de vaccins à ARNm à des femmes enceintes pourrait avoir des effets néfastes sur le développement neurologique de leurs enfants.

    Les chercheurs ont étudié la progéniture de rates enceintes ayant reçu le vaccin à ARNm BNT162b2 de Pfizer. Plus précisément, ils ont examiné les comportements des rats liés au développement neurologique, leurs performances motrices et les modifications de la chimie du cerveau affectant le développement neurologique.

    Les chercheurs ont constaté des différences très importantes dans l’expression de certaines protéines et de certains gènes, suggérant que ces changements étaient responsables des déficits comportementaux et de performance observés.

    Cet effet était le plus évident chez les rats mâles, qui présentaient des “comportements prononcés de type autistique“, tels qu’une activité sociale réduite et un comportement répétitif.

    Les males présentaient également des troubles de la coordination et de l’agilité, ainsi qu’une forte diminution des populations de certaines cellules cérébrales.

    Comment l’étude a été conçue
    Les rates enceintes ont reçu soit une injection placebo d’eau salée stérile, soit une dose du vaccin BNT162b2. Pour s’assurer que tous les petits reçoivent le même niveau de soins maternels, les chercheurs ont permis aux mères de ne garder que quatre petits, qu’elles ont allaités pendant 21 jours.

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  31. À la fin des 21 jours, 41 jeunes rats ont survécu : 10 mâles et 10 femelles nés de rats ayant reçu le placebo, et 13 mâles et 8 femelles nés de rats vaccinés.

    Les animaux testés ont été séparés par sexe et par catégorie de traitement (mâle ou femelle, traité ou non traité) et élevés séparément jusqu’à l’âge de 50 jours, date à laquelle les évaluations comportementales ont commencé.

    Les rats ont été soumis à quatre tests de comportement standard pour observer leur préférence pour les activités sociales ou non sociales, le temps passé avec des étrangers ou des objets non familiers, l’intérêt pour l’exploration ou le comportement “investigateur” et la coordination motrice.

    Après avoir soumis les souris à des tests comportementaux, les chercheurs ont sacrifié des groupes de trois ou quatre souris, traitées ou non, mâles ou femelles, et ont extrait leur cerveau pour quantifier les différences dans la structure cérébrale, le type de cellules nerveuses présentes et les niveaux de substances chimiques et de gènes associés au comportement autistique.

    Tout au long des tests comportementaux et de laboratoire, les chercheurs ont utilisé des statistiques qui leur ont permis de quantifier les différences entre les rats mâles et femelles et entre les rats traités et non traités.

    Différences entre les sexes pour certains comportements, mais pas pour d’autres

    Les chercheurs n’ont trouvé aucune différence liée au sexe dans les résultats combinés des mesures comportementales de la sociabilité ou de la nouveauté sociale, ce qui les a amenés à déclarer que “les effets du vaccin sur ces comportements sociaux n’étaient pas modulés de manière différentielle par le sexe”.

    Un résultat très proche de la signification statistique a été découvert pour une mesure, le “social novelty index” (indice de nouveauté social), un terme rarement utilisé dans les études sur les rats.

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  32. Erdogan et al. ont défini l’indice de nouveauté comme “le temps que le rat passe dans la chambre avec “l’étranger 2″ [divided] divisé par le temps passé dans la chambre avec l’”étranger 1″ précédemment présenté”. En d’autres termes, cette mesure quantifie la disposition d’un rat à s’engager avec des étrangers après une première expérience avec un “étranger”.

    Cependant, lorsqu’ils ont combiné l’indice de nouveauté avec d’autres mesures d’interaction sociale, ils n’ont pas observé de différences significatives entre les sexes.

    Des différences entre les sexes ont toutefois été constatées dans deux autres tests comportementaux : le “temps de chute” et la “sociabilité”.

    Le “temps de chute (time to fall)” ou “temps de latence pour tomber” (latency time to fall, terminologie des auteurs) mesure le temps pendant lequel un rat maintient son équilibre sur une tige tournant à différentes vitesses, qui est une mesure des aptitudes motrices et de l’endurance.

    Parmi les rats dont les mères ont reçu le vaccin BNT162b2 pendant la gestation, les mâles ont obtenu de bien moins bons résultats que les femelles. Cependant, les différences entre males et femelles n’étaient pas présentes dans le groupe traité par placebo.

    En outre, lorsque l’on compare les groupes vaccinés et les groupes placebo au sein de chaque sexe, les différences très importantes et statistiquement significatives observées chez les males n’étaient pas observées chez les femelles.

    Une tendance similaire est apparue pour d’autres mesures de la sociabilité.

    Bien qu’aucune différence n’ait été observée en fonction du sexe ou du statut vaccinal de la mère dans la préférence relative d’un animal pour un deuxième “étranger” par rapport au premier étranger, les petits mâles de mères vaccinées étaient beaucoup moins susceptibles de s’engager dans la première expérience non familière.

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  33. Les animaux du groupe vacciné ont également passé beaucoup moins de temps avec le deuxième étranger que les rats du groupe placebo.

    Erdogan et al. ont conclu les résultats de leurs tests comportementaux :

    “Alors que l’impact du vaccin sur les paramètres d’interaction sociale n’a pas varié entre les sexes, les performances motrices ont été significativement affectées de manière dépendante du sexe dans le groupe vacciné. Cela souligne l’importance de considérer le sexe comme une variable biologique dans la recherche sur les vaccins et met en évidence la nécessité d’études ciblées pour explorer plus avant les implications de ces effets spécifiques au sexe.”

    Les rats mâles du groupe vacciné présentaient un nombre plus faible de cellules nerveuses spécialisées associées à la coordination physique
    Les rats mâles du groupe vacciné présentaient un nombre significativement moins élevé de cellules dans les régions CA1 et CA3 de l’hippocampe que les rats mâles dont les mères n’avaient pas été vaccinées, ainsi qu’un nombre moins élevé de cellules de Purkinje, des cellules nerveuses spécialisées, dans le cervelet. Les auteurs n’ont pas abordé spécifiquement la signification de ces résultats dans leur discussion.

    Chez l’homme, les cellules de Purkinje sont responsables de la coordination physique et affectent certaines réponses comportementales et émotionnelles. La région A1 de l’hippocampe régit la mémoire spatiale et la région CA3 est impliquée dans les crises d’épilepsie et la neurodégénérescence – mais là encore, les auteurs n’ont pas discuté de la signification de ces différences dans le contexte de leur étude.

    Les chercheurs ont également cherché des preuves de la présence de cytokines à médiation inflammatoire dans le cerveau des rats, par exemple plusieurs interleukines et le facteur de nécrose tumorale alpha, mais ils n’ont pas trouvé de différences significatives entre les sexes ou les groupes de vaccins.

    Cependant, les niveaux de facteur neurotrophique dérivé du cerveau (BDNF) étaient significativement plus bas chez les descendants mâles et femelles des mères vaccinées que chez les descendants des mères ayant reçu un traitement placebo.

    Le BDNF, présent dans le système nerveux central, l’intestin et d’autres tissus, participe à la survie et à la croissance des neurones, contrôle l’activité des neurotransmetteurs et affecte la plasticité neuronale, un facteur essentiel de l’apprentissage et de la mémoire.

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  34. L’expression des gènes a montré des effets du sexe et du traitement tout aussi importants. Par exemple, l’expression du gène mTOR était significativement plus élevée et l’expression du gène WNT significativement plus faible entre les mâles du groupe vacciné et ceux du groupe placebo.

    Chez l’homme, les gènes WNT sont les précurseurs de 19 facteurs de croissance protéiques différents, structurellement apparentés, qui régissent l’activité et la santé des cellules au cours du développement. Chez l’adulte, les protéines dérivées de la WNT assurent le bon fonctionnement des fonctions biologiques de l’organisme, tandis qu’une activation inappropriée de la WNT a été impliquée dans le cancer et d’autres maladies.

    Le mTOR (mechanistic target of rapamycin kinase) est un gène dont les deux produits protéiques contrôlent la production de protéines, la croissance cellulaire et la manière dont les cellules répondent à des stress tels que les dommages à l’ADN et la privation de nutriments. Le sirolimus, un inhibiteur de mTOR, prévient les rejets d’organes après transplantation.

    Des rates enceintes ont reçu une dose humaine adulte
    Bien que certains des effets de la vaccination maternelle sur les niveaux de gènes et de protéines, en particulier les différences entre males et femelles, soient très significatifs, Erdogan et al. n’ont pas réussi à démontrer de manière convaincante leur lien avec des déficits comportementaux tout aussi profonds.

    Par exemple, après avoir décrit en détail les différences entre les hippocampes dans la section “Résultats” et fait référence aux régions CA1 et CA3 en tant que “régions désignées pour l’évaluation des lésions”, ni la CA1 ni la CA3 n’ont été mentionnées dans la discussion.

    Les auteurs soulignent que leurs résultats reflètent les différences entre hommes et femmes dans les études sur l’autisme humain et qu’il est dangereux d’extrapoler les résultats des études sur les rats à l’homme.

    Le problème le plus flagrant d’Erdogan et al. est que les rates enceintes ont reçu la même dose de BNT162b2 – 30 microgrammes – que celle administrée aux humains adultes. En supposant que le poids moyen d’une femme humaine adulte est de 170 livres et que le poids typique d’un rat est d’environ 1 livre, les rats ont reçu environ 170 fois la dose administrée à l’humain.

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  35. Erdogan et al. n’ont pas non plus mentionné la posologie dans leur analyse, bien que la médecine ait depuis longtemps apprécié la relation entre la dose, la réponse et la sécurité, et qu’il existe des preuves que même le doublement de la dose de BNT162b2 entraîne des risques pour la sécurité.

    Enfin, Erdogan n’a pas précisé le calendrier de ses interventions en général, ni le calendrier relatif de l’administration du vaccin par rapport à celui du placebo. La première préoccupation est mineure, car les rats ont été vaccinés au 13e jour, soit à mi-parcours de leur période de gestation, et les femelles humaines pourraient vraisemblablement recevoir la piqûre à n’importe quel moment.

    Le moment de l’administration du vaccin et du placebo dans l’étude n’était cependant pas clair. Erdogan et al. ont écrit que les rats ont reçu le vaccin “au treizième jour de la gestation”, mais que les rats placebo ont reçu le vaccin “le même jour de la gestation”.

    Cela peut signifier “le même jour que les rats vaccinés”, c’est-à-dire le 13e jour de gestation, ou le jour où elles sont devenues enceintes. Si c’est le jour où elles sont devenues enceintes, il est possible que le choix du moment ait influé sur les résultats.

    Erdogan et al. ont reconnu que d’autres études étaient nécessaires pour confirmer que ces observations s’appliquent à l’humain, car “une compréhension globale des risques et des avantages de la vaccination par Covid-19, en particulier pendant la grossesse, reste essentielle”.

    https://www.mondialisation.ca/le-vaccin-covid-de-pfizer-a-provoque-des-comportements-similaires-a-lautisme-chez-la-progeniture-de-rats-vaccines-pendant-la-grossesse/5685917?doing_wp_cron=1706855805.3499169349670410156250

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  36. Une journaliste star publie les dégâts de son vaccin et se fait attaquer par Big Pharma


    2 février 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    L'ancienne star de Fox News, Megyn Kelly, a révélé qu'elle avait été « ciblée » par l'industrie pharmaceutique après avoir rendu public les effets secondaires qu'elle a subis suite à l'injection d'ARNm Covid de Moderna. Kelly a révélé en septembre qu'on lui avait diagnostiqué le syndrome d'immunodéficience acquise par le vaccin (vaccin SIDA).

    Dans un épisode de « The Megyn Kelly Show », l’animatrice a expliqué que son système immunitaire avait été endommagé par le vaccin Covid. Elle a fait part du diagnostic et a déclaré qu'elle regrettait d'avoir pris le vaccin :

    « Je regrette de m'être fait vacciner même si je suis une femme de 52 ans parce que je ne pense pas en avoir besoin. Je ne pense pas que j’aurais eu des problèmes.

    « J’ai été vacciné plusieurs fois contre le COVID, et c’était à une époque où le vaccin avait cessé de faire ce qu’il était censé faire depuis longtemps. Pour la première fois, j'ai été testé positif pour un problème auto-immun lors de mon examen médical annuel », a poursuivi Kelly.

    Elle est allée voir le meilleur rhumatologue de New York et lui a demandé : « Est-ce que cela pourrait être lié au fait que j'ai reçu ce foutu rappel et que j'ai ensuite contracté le COVID dans les trois semaines ?

    "Et elle dit. ,Oui. Oui.' Je n’étais pas le seul à avoir vu cela se produire.

    Kelly affirme désormais que Moderna, le fabricant du vaccin qu'elle a reçu, l'a ciblée parce qu'elle parlait de sa blessure.

    "Moderna a été très, très contrariée, entre autres, par le fait que j'ai dit dans cette émission qu'après ma troisième vaccination contre le Covid, ma vaccination de rappel... j'ai eu un résultat positif à un test auto-immun que mon médecin de famille m'a donné", a-t- elle déclaré. dit .

    Une enquête menée par le journaliste Lee Fang a révélé que Kelly était la cible du « système de signalement de désinformation » de Moderna. La société a exprimé sa crainte que les commentaires de Kelly n’alimentent « l’hésitation à l’égard du vaccin ».

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  37. Dans un rapport pour Real Clear Investigations , Fang écrit :

    Moderna a averti que de tels commentaires « pourraient décourager les personnes qui envisagent de se faire vacciner ».

    Dans son avertissement concernant Kelly, la société a noté que ses commentaires s’ajoutaient aux inquiétudes croissantes concernant les maladies auto-immunes et les vaccinations contre le COVID-19.

    L'e-mail de désinformation de Moderna proposait ensuite des données qui semblaient confirmer plutôt que réfuter les affirmations de Kelly.

    L’alerte s’est conclue par l’annonce d’un rapport du NIH montrant un lien entre la vaccination contre le SRAS-CoV-2 et les maladies cutanées inflammatoires et auto-immunes.

    Moderna n'a pas contesté les conclusions de l'étude du NIH, mais a noté qu'elles « circulent sur des sites anti-vaccination en ligne ».

    Lors de son émission de mardi, Kelly a répondu qu'elle était "ciblée par Moderna".

    "J'ai été ciblé par Moderna, qui craint beaucoup que cela contribue à l'inquiétude croissante concernant les maladies auto-immunes suite aux vaccinations contre le COVID-19 ", a déclaré Kelly.

    « Moderna a été très, très contrariée, entre autres, par le fait que j'ai dit dans cette émission qu'après ma troisième vaccination contre le Covid, ma vaccination de rappel, dont il faut pouvoir travailler à New York, j'ai obtenu un résultat positif » J’ai passé un test auto-immunitaire que mon médecin de famille m’a fait.

    Kelly a noté que Moderna avait pris des mesures contre elle même si la société avait reconnu les effets secondaires nocifs de l’injection d’ARNm de Covid dans ses notes internes.

    https://tkp.at/2024/02/02/starjournalistin-veroeffentlicht-ihren-impfschaden-und-wird-von-big-pharma-angegriffen/

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  38. Le British Medical Journal (BMJ) rapporte que les autorités sanitaires britanniques estiment que « les maladies circulatoires et le diabète… sont responsables de l’augmentation » ».

    Le BMJ affirme que la « désinformation sur les réseaux sociaux » conduit à une « hésitation à l’égard du vaccin » parmi le public.

    Le BMJ affirme que les gouvernements du monde entier devraient recourir à des « interventions comportementales » pour mettre fin à « l’hésitation à la vaccination ». Cette affirmation a été faite dans un article du BMJ par les propriétaires de la revue, la British Medical Association.

    L’hésitation ici est spécifiquement liée à la « désinformation » diffusée sur les réseaux sociaux.
    Dans l’article, le BMJ appelle à accroître la visibilité des « informations fiables sur la santé » provenant de sources reconnues.

    https://tkp.at/2024/02/02/analyst-schlaegt-alarm-wegen-ploetzlicher-todesfaelle-bei-kindern/

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  39. Une nouvelle étude montre une forte augmentation des lésions cardiaques chez les personnes vaccinées


    2 février 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Les nombreux dégâts causés par la campagne de vaccination deviennent de plus en plus évidents. De plus en plus de spécialistes du cancer signalent un nombre croissant de personnes souffrant d'un turbo-cancer. Les lésions cardiaques sont reconnues comme un effet secondaire immédiat depuis 2021. L’ampleur des dégâts devient de plus en plus évidente. Selon d'autres études, les lésions cardiaques continuent d'augmenter.

    Selon les informations officielles, l’étude a constaté une forte augmentation des cas de myocardite chez les personnes vaccinées avec les injections expérimentales du Covid. Les chercheurs à l’origine de cette étude évaluée par des pairs ont publié leurs résultats dans la revue mondialement reconnue Sage Journals.

    Selon l'étude, les chercheurs ont analysé les données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) du gouvernement américain. VAERS est une base de données sur les blessures et les événements indésirables signalés par les vaccins, maintenue par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis.

    L'étude a été menée par Peter A. McCullough, Jessica Rose et Nicolas Hulscher et s'intitule « Déterminants de la myocardite induite par le vaccin COVID-19 ».

    Après avoir analysé les données, l’étude a révélé une augmentation alarmante des cas de myocardite suite aux vaccinations contre le COVID-19 aux États-Unis. La myocardite est une inflammation du muscle cardiaque (myocarde). L'inflammation peut affecter la capacité du cœur à pomper le sang, entraînant des caillots sanguins, un accident vasculaire cérébral, un arrêt cardiaque et éventuellement la mort.

    La myocardite est un effet secondaire connu des vaccins à ARNm du Covid, mais la plupart des gens ne savent pas qu'ils en sont atteints, ce qui en fait une bombe à retardement potentielle pour les personnes touchées.

    La nouvelle étude qui a découvert le lien entre l’insuffisance cardiaque et les injections s’est concentrée sur les vaccins Pfizer-BioNTech BNT162b2, Moderna mRNA-1273 et Janssen Ad26.COV2.S.

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  40. Extrait de l'étude :

    Résultats:

    Nous avons constaté que le nombre de rapports de myocardite au VAERS après la vaccination contre le COVID-19 en 2021 était 223 fois supérieur à la moyenne de tous les vaccins combinés au cours des 30 dernières années. Cela représente une augmentation de 2 500 % du nombre absolu de signalements au cours de la première année de la campagne par rapport aux niveaux historiques d'avant 2021. Les données démographiques ont montré que la myocardite était plus fréquente chez les adolescents (50 %) et les hommes (69 %). Au total, 76 % des cas ont nécessité des soins d’urgence et une hospitalisation. Sur le total des cas de myocardite signalés, 92 personnes (3 %) sont décédées. La myocardite est survenue plus fréquemment après la deuxième dose (p < 0,00001) et les personnes de moins de 30 ans étaient plus susceptibles de développer une myocardite que les personnes de plus de 30 ans (p < 0,00001).

    Conclusion:

    La vaccination contre la COVID-19 est fortement associée au signal de sécurité indésirable grave de la myocardite, en particulier chez les enfants et les jeunes adultes, entraînant des hospitalisations et des décès. Des recherches plus approfondies sur les mécanismes sous-jacents de la myocardite induite par le vaccin contre la COVID-19 sont essentielles pour élaborer des stratégies efficaces de réduction des risques et garantir la sécurité des programmes de vaccination contre la COVID-19 dans toutes les populations.

    Comme le rapporte Peter McCullough dans son Substack, une autre étude de Nicolas Hulscher intitulée « Autopsy Proven Fatal COVID-19 Vaccine-Induced Myocarditis » a été ajoutée à la liste de vote en tête des études PrePrint et est maintenant disponible pour voter ici .

    https://tkp.at/2024/02/02/neue-studie-beweist-sprunghaften-anstieg-von-herzschaeden-bei-geimpften/

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  41. Combien y a-t-il de maladies ?
    Bienvenue dans l'absurdité de la médecine moderne


    JON RAPPOPORT
    1 FÉVRIER 2024


    Le Journal of the American Medical Library Association : « [Il existe] 2 catégories distinctes : anatomique et globale. La section des maladies anatomiques comprend 18 grandes catégories avec plus de 26 000 maladies représentant toutes les zones du corps, y compris les maladies du sang, des os, du système immunitaire, des muscles et de la reproduction. La section sur les maladies mondiales contient 6 catégories : cancer, maladies fœtales, génétiques, infectieuses, métaboliques et rares, ainsi que près de 18 000 maladies spécifiques. »

    Total : 44 000 maladies.

    À cela s’ajoutent environ 300 troubles dits mentaux.

    Le Journal mentionne également ceci : « …plus de 19 000 entrées de maladies, qui correspondent à plus de 13 000 gènes… »

    Il n’existe AUCUN traitement génétique qui guérisse AUCUNE maladie à tous les niveaux. Par conséquent, affirmer que ces 19 000 maladies sont d’origine génétique n’est qu’une simple spéculation.

    Mais revenons à l’affirmation originale du Journal : 44 000 maladies du corps distinctes. Qui savait?

    Qui aurait cru que des chercheurs pourraient fabriquer autant d’absurdités ?

    Si c’était vrai, nous serions tous morts. Nous ne serions pas nés.

    MÉDECIN AU PATIENT : « Joe, je tiens à te féliciter. Vous êtes en bonne santé. D’une manière ou d’une autre, vous avez réussi à éviter 44 000 maladies. Je n'ai aucune idée de comment. Peut-être que vous en avez eu quelques milliers et que vous avez récupéré.

    JOE : "Eh bien, j'ai arrêté de boire et je fais 30 pompes chaque matin."

    Voici la vérité. Les médecins, les hôpitaux, les facultés de médecine, les sociétés pharmaceutiques et de vaccins et les chercheurs ont VENDU 44 000 « maladies ». Les a commercialisés. Les a promus.

    Pour s’assurer que tout le monde soit sous son parapluie.

    N’importe quel jour, vous pourriez entrer dans le cabinet d’un médecin et il pourrait trouver une maladie à diagnostiquer. Au moins une, sinon 50.

    Je serais prêt à parier qu’il existe des traitements standards pour les 44 000 maladies. Sinon, pourquoi les nommer ? Pourquoi prétendre qu’ils existent ?

    Un jour, cela arrivera : après un entretien avec un médecin ou un singe dressé qui aboutira à une liste de vos symptômes, un gadget médical IA mettra 3 secondes pour cracher un diagnostic, après avoir consulté une base de données des 44 000 maladies.

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  42. Le diagnostic sera inscrit dans votre dossier médical. Le fait que vous ayez ou non exécuté par la suite l'ordonnance du médicament sera également noté. Et un système permettra de savoir si vous avez ingéré les médicaments.

    Gardez cela à l’esprit également. Tous les médicaments que vous pouvez prendre pour ces 44 000 maladies ont été approuvés et certifiés sûrs et efficaces.

    Nous vivons donc dans un monde médical d’Alice au pays des merveilles.

    Un monde complètement fabriqué.

    J'essaie de trouver une analogie avec tout cela.

    En voici un :

    https://jonrappoport.substack.com/p/how-many-diseases-are-there?utm_source=post-email-title&publication_id=806546&post_id=141272307&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=9atnc&utm_medium=email

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  43. La prépublication mise à jour sur les expériences « Brain Virus » est très discutable – Partie VI


    2 février 2024
    par DDr. Siguna Mueller


    La version 2 de l’étude préprint de Song et al., publiée le 21 janvier 2024, a permis de clarifier certaines choses et de confirmer ce que j’avais déjà suggéré auparavant, mais a également introduit des arguments et des conclusions vraiment troublants qui ne semblaient pas justifiés. Quoi qu’il en soit, ces recherches ou les connaissances acquises par certains acteurs n’annulent pas son potentiel en tant qu’arme biologique – qu’elle soit secrète, manifeste ou fausse.
    Pour expliquer le taux de mortalité élevé dans la version 2, la réponse courte dans la prépublication mise à jour est la suivante : GX_P2V(short_3UTR) est de nature fortement atténuée (les versions précédentes semblaient affirmer le contraire). Mais cela a tué toutes leurs souris humanisées.

    « Des mutations adaptées aux cellules peuvent entraîner une mortalité de 100 % chez les souris hACE2 »
    Avant de nous plonger dans la version 2 de la prépublication, nous devons rappeler comment ces mutations sont apparues : la variante virale GX_P2V(short_3UTR) est le résultat du passage de GX_P2V, vraisemblablement dans des cellules Vero. Deux mutations ont été créées, dont une délétion 104ntd. Par la suite, GX_P2V(short_3UTR) a été cloné via des tests sur plaques, entraînant plusieurs modifications uniques du ntd, dont certaines dans le gène Spike.

    Dans la version 2, les auteurs ont d'abord redoublé l'idée que les mutations pourraient être responsables de la forte mortalité observée, en écrivant :
    « Les mutations adaptées aux cellules du coronavirus pangolin GX_P2V… peuvent entraîner la mortalité chez les souris hACE2. »

    Notez l’utilisation du mot « cause ». Comme je l’ai mentionné plus tôt, la dénomination de chaque variante dans son œuvre est souvent ambiguë. Cependant, dans ce contexte, il est clair que la variante adaptée aux cellules mentionnée ci-dessus est GX_P2V(short_3UTR).

    Cependant, plus tard, ils soulignent clairement (c'est nous qui soulignons)
    "la nature fondamentale de GX_P2V(short_3UTR) comme gravement affaiblie".

    La combinaison des deux dernières affirmations semble impliquer une contradiction. Il existe cependant une autre facette que je n'ai évoquée que brièvement dans les posts précédents et que j'ai dû mettre au rancart faute d'informations suffisantes :

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  44. Les virus n'existent pas indépendamment d'un hôte.
    Leur virulence et leur pathogénicité sont déterminées par leur interaction avec l’hôte, tant au niveau de la population qu’au niveau individuel.
    Les virus à ARN comme les CoV mutent rapidement. Des mutations importantes ont été observées même chez des individus sensibles (voir aussi mon livre où j'en ai discuté plus en détail dans le contexte de la variante SARS-CoV-2 Omicron).
    Il y a beaucoup de battage médiatique autour des modèles animaux capables de prédire les interactions complexes et dynamiques entre les virus et leur hôte. La complexité de ces relations a jusqu’à présent été totalement sous-estimée.
    La version mise à jour de la prépublication de Song et al. fournit plus d’informations sur le modèle animal spécifique et largement inconnu qu’ils ont utilisé (du moins tel que présenté par les auteurs).

    Une autre cause – l’implication de leur modèle unique de souris transgénique humaine ACE2
    Les auteurs ne le disent pas explicitement, mais ils semblent avoir leur propre compréhension de la « causalité ». La façon dont cela est écrit ci-dessus indique clairement le mécanisme responsable de la mortalité élevée : les mutations adaptatives cellulaires. Mais après avoir présenté cela comme la cause, ils décrivent une autre « autre » cause.

    Chanson et coll. prenez du recul et blâmez leur modèle animal pour le taux de mortalité élevé.
    En particulier, ils attribuent la pathogénicité inattendue du virus à l’expression élevée d’ACE2 dans le cerveau de leur « modèle de souris transgénique humaine ACE2 spécialement développé ».
    Ils confirment également ce qu’ils avaient suggéré dans leur version 1, à savoir que ces souris hACE2 auraient une « physiologie anormale ».
    Song et ses collègues prétendent-ils que c'est leur modèle animal « spécialement conçu » qui, à lui seul, rend les souris malades ? Est-ce qu’ils disent que ce sont les changements pathologiques dans le modèle animal qui ont tué les souris ?

    Cela ne semble pas non plus être le cas. Ils semblent plutôt détourner leurs arguments de la possibilité que le modèle animal seul puisse être le coupable.

    Dans ce contexte, il n’est évidemment pas vrai que A conduise au phénomène Z ; au lieu de cela, les moyens A plus les moyens B et éventuellement de nombreux autres facteurs (inconnus/indéterminés) pris ensemble sont le résultat du phénomène Z.

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  45. Cela montre simplement qu’en réalité, il n’y a presque jamais une seule cause à quoi que ce soit dans la vie et que beaucoup de choses, sinon toutes, sont liées. (La question complexe de la causalité est une autre histoire, voir par exemple mon livre , dans lequel j'ai écrit un chapitre entier sur le moment où, soi-disant selon les critères de l'OMS, les événements indésirables consécutifs à la vaccination ont provoqué ou non un événement indésirable observé).

    Pourtant, la prépublication mise à jour prend une tournure étrange. Bien qu’il semble initialement que les auteurs soulignent que la variante du virus et le modèle animal sont à l’origine de la mortalité, ils infirment ensuite cet argument.

    Distraire du fait que le modèle animal peut présenter de sérieux défauts en le présentant comme la solution
    Dans les premières parties de mes commentaires sur l’étude de Song et al. Des problèmes avec leur modèle de souris particulier ont été suspectés. Dans la version 2 de leur prépublication, Song et ses collaborateurs répètent leurs préoccupations concernant ce modèle, mais développent ensuite un argument entièrement nouveau. Franchement, la façon dont ils procèdent est assez inquiétante.

    Un nouveau regard sur le modèle animal
    Immédiatement après avoir admis la physiologie anormale, Song et ses collègues concluent (c'est nous qui soulignons)

    "Les résultats des infections chez la souris dans cette étude ne sont donc pas liés aux infections humaines."

    Mais pourquoi au fait ? Cette affirmation est nouvelle dans la version préimprimée mise à jour, mais n’est en aucun cas étayée.

    Les seules explications possibles auxquelles je pense sont :

    a) Étant donné que le modèle murin lui-même semble provoquer des pathologies chez ces souris, l’argument contextuel semble être que la même chose ne s’appliquerait pas aux infections humaines.

    (Remarque : je ne le crois pas, parce que

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  46. La déclaration ci-dessus ne constitue pas une preuve que les personnes ne subiront pas d’effets indésirables si elles sont infectées par le virus.
    En outre, il convient de rappeler que Song et ses collègues ont également souligné qu'ils pensaient que ce étaient les mutations adaptées aux cellules qui étaient à l'origine de la mortalité élevée).
    b) De même, Song et al.

    "Dans des circonstances normales, les cerveaux humains et murins ont une faible expression d'ACE2."

    Pour eux, cela semble être la preuve que l’expression de l’ACE2 n’est PAS élevée chez l’homme en général. Et cette dernière vise évidemment à montrer que l’injection du virus, muté en culture cellulaire, à l’homme est donc sans danger.

    Est-ce qu’ils disent que leur virus est affaibli parce que l’expression de l’ACE2 est normalement faible dans le cerveau humain ?

    Si c’est une expression élevée de l’ACE2 qui a tué les souris infectées, comment savez-vous qu’une expression inférieure de l’ACE2 ne pose pas de problèmes ?

    Enfin, ACE2 joue un rôle important dans l’infection par le CoV. Le SARS-CoV-2 l’utilise (entre autres) comme récepteur cellulaire pour pénétrer dans les cellules humaines ; Mais apparemment, cela affecte également le fonctionnement normal de l'ACE2 .

    Un nouveau changement dans les objectifs de la recherche
    Et c’est là le nœud du problème. Sur la base de leurs arguments, Song et ses collègues croient fermement que (c'est moi qui souligne)

    "[GX_P2V(short_3UTR)], qui partage un certain degré d' homologie avec le SRAS-CoV-2 , pourrait être utile pour évaluer l'efficacité des candidats vaccins à large spectre contre la COVID-19 contre de futures variantes inconnues."

    Étonnamment, l’attention change à nouveau ; plutôt que comme candidat vaccin lui-même, l’objectif semble désormais être d’utiliser GX_P2V(short_3UTR) comme proxy pour le SRAS-CoV-2.

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  47. Ils soulignent également que

    « Notre modèle d’infection mortelle chez la souris ne présente aucune réponse inflammatoire évidente dans les principaux organes touchés , les poumons et le cerveau, fournissant ainsi un modèle alternatif pour évaluer l’efficacité des médicaments antiviraux dans l’inhibition de la réplication virale in vivo. »

    C’est également un écart par rapport aux objectifs précédents. Aujourd'hui, Song et ses collègues affirment que leur modèle de souris non testé, dans lequel les souris testées ont peut-être été tuées, est un modèle de substitution parfait qui peut être utilisé dans toutes sortes d'expériences futures, en particulier pour évaluer l'efficacité des médicaments et des vaccins contre le SRAS. -CoV-2.

    Comment arrivez-vous à cette conclusion ? Evidemment de leur point de vue :

    Le virus lui-même est inoffensif.

    Leur modèle murin hACE2 est un modèle animal parfait pour ce type d’expérimentation car il induit des pathologies spécifiques chez les animaux.
    Ce sont ces pathologies qui prédisposent les souris à mourir lorsqu’elles sont infectées par le virus.
    Mais comme les humains ne souffrent pas de ces maladies, le modèle est parfait pour effectuer des tests de médicaments et de vaccins à usage humain. (Le modèle de souris a été intentionnellement doté de caractéristiques humaines.)
    À l’heure actuelle, il s’agit d’une simple hypothèse selon laquelle le modèle animal présente UNE vulnérabilité spécifique non présente chez l’homme et que cela seul permet au virus de tuer ces souris.

    En réalité, il existe une relation complexe entre un agent pathogène et son hôte . (Cependant, cela ne semble pas faire partie du cadre théorique utilisé par Song et al.).

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  48. Appât et interrupteur numéro 2
    Dans la quatrième partie, j’ai décrit le scénario possible d’une première tactique de leurre dans laquelle le développement d’un vaccin était remplacé par un nouveau virus redoutable.

    Mais Song et ses collègues se sont peut-être vite rendu compte que les choses ne collent toujours pas. Ils ont finalement souligné que ce n’était pas le virus lui-même qui tuait le virus. Dans la nouvelle publication anticipée, ils soulignent à nouveau que tout pourrait être lié au modèle animal.

    Cependant, ils n’ont peut-être pas pris connaissance des lacunes de leur modèle animal spécifique avant d’avoir mené toutes les expériences et publié leurs résultats.

    Au lieu de conclure que leur modèle animal était peut-être défectueux ou inadapté, les auteurs renversent le problème avec une autre tactique apparente d’appât et de changement. Cela se fait à travers une série d’arguments suivants. Ceux-ci sont essentiellement les suivants :

    " Un grand modèle animal exagère certaines caractéristiques qui ne sont normalement pas observées dans une véritable infection humaine " .
    L’affirmation selon laquelle un bon modèle animal est essentiellement un modèle irréaliste semble quelque peu exagérée. Cependant, cela correspond de très près à la présentation des auteurs.

    Chanson et coll. faire la différence entre les infections humaines et celles de leurs animaux de laboratoire

    Ceci est basé sur le processus de réflexion suivant :

    "Il est très probable que la forte pathogénicité du GX_P2V C7 chez nos souris hACE2 soit due à la forte expression de hACE2 dans le cerveau des souris."
    "Dans des circonstances normales, les cerveaux humains et murins ont une faible expression d'ACE2."
    « Par conséquent, les résultats de l’infection chez la souris dans cette étude n’ont aucune corrélation avec les infections humaines. »
    Préoccupations et contre-arguments
    Certains pourraient trouver la conclusion ci-dessus extrêmement troublante pour diverses raisons.

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  49. Expression de l'ACE2 dans le cerveau : Song et al. Bien qu’ils soulignent des études suggérant que les cerveaux humains « normaux » ont de faibles niveaux d’expression d’ACE2, cela a maintenant changé.
    Au cours des premières années de la pandémie, la distribution de l’ACE2 dans le cerveau était controversée. Cependant, des études ultérieures ont largement réfuté les faibles profils d’expression de l’ACE2 (ce qui peut être dû en partie à des méthodes de détection très sensibles aux différentes formes de l’enzyme). Par exemple, les résultats de 2021 suggèrent que l'expression de l'ACE2 dans le cerveau est régulée négativement dans la maladie d'Alzheimer (MA), tandis que Reveret et ses collègues ont récemment découvert des niveaux plus élevés d'ACE2 soluble dans le cerveau de la MA. Ils ont également découvert que dans le cerveau de la souris, la protéine ACE2 est localisée principalement dans le système microvasculaire, tandis que dans le cerveau humain, elle se trouve plus fréquemment dans les neurones.
    De plus , Lukiw et ses collègues ont confirmé que l'ACE2 est fortement exprimé dans de nombreux types de cellules, de tissus et de systèmes organiques humains. Surtout, ils ont également trouvé « une expression significative de l’ACE2 dans diverses régions anatomiques du cerveau et du SNC », à savoir « une expression élevée de l’ACE2 » dans l’amygdale, le cortex cérébral et le tronc cérébral, et « le niveau le plus élevé d’expression de l’ACE2 » dans le pont et le tronc cérébral. moelle oblongate dans le tronc cérébral humain. De plus, les modèles d'expression d'ACE2 spécifiques aux tissus ont également montré des niveaux d'expression significatifs d'ACE2 dans le cerveau fœtal, selon la figure 2.
    L’infection et la maladie humaines sont influencées par l’expression de l’ACE2, mais pas seulement par ce facteur. On ne sait pas exactement comment Song et al. imaginez que l’ensemble du contexte physiopathologique et de l’histoire immunitaire ne soit pas du tout pertinent.
    Puzzle sur la différence entre le cerveau et les poumons : Si la suspicion d'une "infection cérébrale tardive" n'est possible que dans le cerveau des souris expérimentales en raison de leur forte expression d'ACE2 (et est exclue chez l'homme en raison de la faible expression supposée de cette enzyme dans le cerveau humain), on devrait alors pouvoir observer au moins certaines pathologies dans d’autres organes ou tissus qui ont une expression suffisamment élevée de l’ACE2.

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  50. Paradoxalement, Song et al. chez leurs souris transgéniques humaines ACE2, « des charges virales élevées » dans les tissus pulmonaires et cérébraux, qui, ont-ils souligné, « sont en corrélation avec la forte expression de hACE2 dans ces tissus ».
    Mais si la surexpression de l’ACE2 dans le cerveau est un phénomène si unique qui a tué ces souris, alors pourquoi les poumons des souris infectées n’ont-ils présenté « aucun changement pathologique significatif » ?
    "Le fait que le modèle animal soit irréaliste est une bonne chose"
    Cela peut aussi paraître dur. Cependant, c'est là le cœur de l'argumentation de Song et de ses collègues. Leur argument est le suivant :

    Concernant le modèle de souris hACE2 qu’ils ont utilisé : « Nous sommes informés que ces souris hACE2 ont une physiologie anormale, comme l’indiquent des taux sériques de triglycérides, de cholestérol et de lipase relativement réduits par rapport à ceux des souris C57BL/6J de type sauvage. »
    Cet aveu peut être trouvé dans les deux versions préimprimées.
    L’affirmation selon laquelle le modèle est très avantageux en raison de l’expression ACE2 repose sur les raisons suivantes :
    (a) En raison de la forte expression de l’ACE2 dans le cerveau de la souris, qui n’est pas présente dans le cerveau humain, les souris transgéniques humaines ACE2 n’auraient « aucune corrélation avec les infections humaines ».

    (b) Ces caractéristiques d'expression ACE2 dans le modèle de souris « ne modifient pas non plus la propriété fondamentale de GX_P2V(short_3UTR) d'être fortement atténuée ».

    De toute évidence, ces arguments cherchent à étayer l’affirmation suivante :

    Outre la surexpression artificiellement induite de l'ACE-2 dans le cerveau, responsable de la mortalité observée chez la souris (qui n'est que spéculation à ce stade), le modèle murin hACE2 devrait être capable de supporter une véritable infection humaine par GX_P2V(short_3UTR ) imiter.
    Outre la question de l’expression de l’ACE2, les propriétés virales telles que les mécanismes supplémentaires d’entrée cellulaire, la susceptibilité tissulaire, la virulence et la transmissibilité ne devraient pas être modifiées/affectées par le modèle animal.
    C'est difficile pour moi de comprendre. Bien que l'ACE2 joue un rôle essentiel dans l'infection des cellules humaines, le SRAS-CoV-2, par exemple, repose sur des co-récepteurs et des mécanismes supplémentaires (décrits plus en détail dans mon livre), et l'infectivité à elle seule n'est pas le seul facteur en jeu qui détermine la issue d’une infection.

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  51. Pour renverser le problème de l’expression ACE2, Song et ses collègues semblent avoir toutes les raisons de faire l’éloge de leur modèle, détournant ainsi l’attention de ses défauts inhérents vers ses avantages présumés :

    Song et ses collègues soulignent l’applicabilité de leur modèle animal et attirent l’attention sur autre chose : il n’a provoqué aucune inflammation dans les principaux organes touchés, y compris le cerveau.
    En conséquence, concluent-ils, cela « fournit un modèle alternatif pour évaluer l’efficacité des médicaments antiviraux dans l’inhibition de la réplication virale in vivo ».

    conclusion

    La version mise à jour de la prépublication affirmait initialement que la mortalité élevée de GX_P2V(short_3UTR) était causée par des mutations dans la culture cellulaire. Cependant, la mortalité inattendue de cette variante a ensuite été attribuée au modèle unique de souris humanisée. Enfin, la seule cause a été attribuée à l’expression artificiellement augmentée de l’ACE2 dans le cerveau de ce modèle animal particulier.

    Dans un geste étrange, au lieu d'admettre les défauts inhérents à leur modèle de souris (problèmes connus et encore inconnus), Song et ses collègues, dans une apparemment nouvelle tactique d'appât et de changement, affirment que le modèle animal utilisé présente des avantages majeurs (résumés dans la figure ci-dessous). Ils soulignent qu’il a été spécifiquement développé, apparemment en raison de la forte expression de l’ACE2 dans le cerveau, ce qui, selon eux, en fait un excellent modèle pour la recherche antivirale.

    - voir schéma sur site -

    Résumé de la version préimprimée 2 par Song et ses collègues.
    Cependant, l’affirmation selon laquelle l’expression de l’ACE2 dans le cerveau est faible chez l’homme s’est révélée fausse, et pas seulement pour des conditions « normales ».

    La pathogénicité présumée des variantes GX_P2V varie considérablement selon les modèles animaux utilisés, allant de virus inoffensifs à des virus apparemment parfaits.

    Ce qui est intéressant, c’est que Song et al. Dans leur conclusion sur le GX_P2V(short_3UTR), ils s’abstiennent de son potentiel tueur précédemment signalé et soulignent uniquement son homologie avec le SRAS-CoV-2, ce qui pourrait le rendre utile pour la recherche sur un vaccin contre le COVID-19.

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  52. Ironiquement, la série de publications commençant par celle de Lu et al. à propos de la première prépublication de Song et al. Place à la seconde, maintenant le cercle et nous sommes - presque - de retour au début : ces expériences visaient à l'origine à caractériser GX_P2V(short_3UTR) dans différents modèles animaux afin de déterminer sa pathogénicité et son potentiel comme candidat vaccin.

    Les résultats de Song et de ses collègues donnent cependant à l’ensemble une tournure problématique. Supposons que GX_P2V(short_3UTR) soit réellement utilisé à nouveau (directement ou indirectement) pour le développement de vaccins CoV.

    Malheureusement, lors de la caractérisation du modèle animal de Song et al. ont supposé qu’une mortalité ou une pathologie importante surviendrait chez les souris transgéniques hACE2 même lorsqu’elles étaient infectées par la variante « intrinsèquement atténuée ».
    Dans le contexte du développement de vaccins, les préoccupations pertinentes pour les humains seraient probablement écartées et discutées, comme décrit ci-dessus.
    Cependant, si GX_P2V(short_3UTR) est réévalué pour son potentiel de débordement, il sera intéressant de voir si nous sommes à nouveau informés de son potentiel pathogène….
    (Et donc la recherche – et le financement – ​​de nombreuses expériences de type GoF ne s’arrêteront apparemment jamais).

    Dans l'ensemble, la version mise à jour de la prépublication ne fournit pas de confirmation ou de refus clair quant à savoir si GX_P2V(short_3UTR) présente un risque de débordement (c'est-à-dire est réellement dangereux), ni comment cela pourrait être décrit par diverses agences à 3 lettres. Quoi qu’il en soit, cela n’exclut pas son potentiel en tant qu’arme biologique secrète, manifeste ou fausse . Et cela pourrait malheureusement se produire de plusieurs manières (mais je me garderai bien d’exprimer certaines des idées que j’ai à ce sujet).

    L' original en anglais est ici sur Substack par Dr. Trouvez Siguna Mueller . Traduction en allemand par TKP.

    Autres articles de la série :

    L'analyse rationnelle de nouvelles expériences mortelles sur des virus cérébraux révèle des incohérences invisibles et d'importants risques biologiques cachés (PARTIE I)
    L'analyse rationnelle de nouvelles expériences sur un virus cérébral mortel révèle des incohérences invisibles et des risques biologiques cachés importants - PARTIE II
    Les expériences sur les virus cérébraux sont hautement contre-productives
    Le « virus mortel du cerveau » est-il le résultat d’une erreur de laboratoire ? Partie IV
    Se rapprocher de la vérité sur les expériences sur les virus cérébraux : sont-elles le résultat d’une tactique de leurre ? Partie V

    https://tkp.at/2024/02/02/der-aktualisierte-preprint-zu-den-brain-virus-experimenten-ist-hoechst-bedenklich-teil-vi/

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    Réponses
    1. RAPPEL qu'u 'virus' est UNE POUSSIÈRE et non un microbe.
      Poussière TOTALEMENT INOFFENSIVE sauf poussière radioactives (ce qui n'est ici pas le cas).

      Mais, cette nano-poussière (moins de 1µ) peut-être une poudre empoisonnée ! (ce qui EST le cas).

      RASSUREZ-VOUS cette poussière (appelée 'virus' !) N'EST PAS dans l'air mais UNIQUEMENT offerte en seringues. "Si t'es piqué tu l'as. Si tu l'as t'es mort".

      Supprimer
  53. Pfizer et big Pharma veulent sauver l’essentiel: le fric!Que les victimes se fassent connaitre,ils acheteront leur silence …


    le 2 février 2024
    par pgibertie


    - voir graph sur site -

    Confidence : Pfizer essayerait de moneyer le silence de plusieurs victimes d’effets secondaires ainsi que les voix de quelques scientifiques dont le discours serait devenu trop gênant.

    Deux cabinets d’avocats, mandatés à cet effet, travaillent sur ce sujet en France. Un réunion avec l’ansm tenue à ce sujet en décembre et le ministre de la santé de l’époque aurait été mis au courant. Les sources rappellent que le fabricant est relevé de tous ces risques par l’état contractant hormi en cas de démonstration de la défectuosité du produit.

    https://pgibertie.com/2024/02/02/pfizer-et-big-pharma-veulent-sauver-lessentiel-le-fricque-les-victimes-se-fassent-connaitreils-acheteront-leur-silence/

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  54. Début de la manie et de la psychose Vaccination de rappel post-bivalent à ARNm contre la COVID-19
    16 cas dans la littérature


    Par le Dr William Makis
    Recherche mondiale,
    2 février 2024


    Décembre 2023 (Darren Cheng Han Teo et al) – Le premier cas signalé d’apparition de manie et de psychose après une vaccination de rappel à ARNm bivalent hétérologue contre le COVID-19 (4e dose).

    Il existe des rapports de cas décrivant des manifestations neuropsychiatriques associées à la suite d'une vaccination contre le COVID-19 , mais aucun n'a encore été signalé après un rappel bivalent hétérologue.
    Homme de 47 ans sans antécédent de maladie psychiatrique a présenté des symptômes maniaques et psychotiques pendant 4 jours après le premier vaccin bivalent Moderna contre la COVID-19 une semaine avant son admission.
    Avant cela, il a reçu 3 doses du vaccin Pfizer contre la COVID-19 sans effets secondaires importants.
    3 jours après le bivalent de l'ARNm Moderna, il a signalé avoir développé une humeur élevée, une irritabilité accrue, une agitation psychomotrice, une énergie accrue, une diminution du besoin de sommeil, une distraction accrue, de la grandeur et des délires paranoïaques liés au travail et à la famille.
    sa capacité à fonctionner au travail a été affectée.
    il n'avait pas d'antécédents familiaux de troubles psychiatriques.
    aucun antécédent de consommation de substances ou d'alcool , et il fonctionnait bien dans sa profession dans la discipline des sciences, de la technologie, de l'ingénierie et des mathématiques (STEM).

    Un cerveau IRM avec contraste amélioré n'était pas remarquable
    Sa présentation évoquait un autre trouble bipolaire spécifié et apparenté avec des caractéristiques psychotiques maniaques et conformes à l'humeur (DSM-V). Le diagnostic différentiel (DSM-V) incluait un trouble bipolaire I et un trouble psychotique bref
    Il a été mis sous olanzapine orale, titrée jusqu'à 7,5 mg une fois par jour, en raison de ses symptômes maniaques et psychotiques. Il a obtenu son congé après 8 jours de traitement hospitalier, où il a démontré une résolution complète de ses symptômes maniaques et psychotiques . Par la suite, il a choisi d'arrêter le traitement par l'olanzapine par voie orale environ 12 jours après sa sortie. Il est resté en bonne santé un mois après sa sortie, avec un rétablissement complet de son fonctionnement lorsqu'il a été examiné en ambulatoire, sans récidive des symptômes maniaques et psychotiques.
    Psychose et manie avec les vaccins COVID-19
    Examinons quelques autres cas publiés.

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  55. 3ème dose d'ARNm

    Septembre 2022 (Kita et al) : Un Japonais de 37 ans a eu une psychose et une tentative de suicide après un rappel d'ARNm de Moderna.

    Un Japonais de 37 ans sans antécédents psychiatriques a reçu un rappel Moderna
    Il s'est présenté 4 jours après le vaccin Moderna avec un bavardage et des délires grandioses, affirmant qu'il avait gagné 2 milliards de yens dans les courses de chevaux . Souffrait d'instabilité émotionnelle (pleurs), d'insomnie, d'excitation, d'hyperactivité et de déviance sexuelle.
    Il a été libéré. Neuf jours après le rappel Moderna , il a sauté du 2ème étage de sa maison et a été ramené à l'hôpital en ambulance.
    Il a fait preuve de fuite d'idées, d'hyperactivité, de distraction, d'hyperthymie et d'illusions religieuses, comme dire « mon enfant est Dieu » . Il a fait preuve d'un manque de perspicacité et est devenu furieux lorsque ses actions ont été restreintes.
    Diagnostic : manie aiguë avec caractéristiques psychotiques , séjour 66 jours à l'hôpital.

    *

    2ème dose d'ARNm

    Juin 2023 (Fekih-Romdhane et al) – Une femme de 26 ans souffre de psychose aiguë et de lupus après le 2e ARNm Pfizer

    Une femme de 26 ans a reçu la 2e dose de Pfizer
    4 jours plus tard, présenté aux urgences avec agitation psychomotrice aiguë, discours incohérent et insomnie totale évoluant depuis 5 jours
    on lui a diagnostiqué un bref trouble psychotique
    on a également découvert qu'il souffrait d'une cérébrite aiguë de LED (lupus)
    2023 Mai (Yen-Li Lien et al.) : Un garçon de 15 ans a eu une psychose après le 2ème ARNm Pfizer (Taiwan)

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  56. Un garçon taïwanais de 15 ans s'est présenté aux urgences avec agitation, étirement involontaire des membres et cris 2 jours après la 2e dose de Pfizer
    Après son admission, il avait des comportements bizarres, notamment s'asseoir et se coucher fréquemment et adopter le maniérisme de prier au lit.
    eu des hallucinations auditives et des délires qui ont persisté > 1 mois après la sortie
    Il était en bonne santé sans antécédents médicaux particuliers avant la vaccination
    2022 novembre (Alphonso et al) – Femme mariée américano-asiatique de 45 ans, souffrant de psychose après le 2e ARNm de Moderna

    Femme de 45 ans sans antécédents psychiatriques, présentée en psychiatrie après une psychose de 3 mois .
    Sa nouvelle paranoïa et ses hallucinations auditives ont commencé 1 mois après avoir reçu son deuxième vaccin Moderna contre la COVID-19 . Elle a brusquement quitté son emploi de 18 ans et a arrêté de manger – perdant 56 livres en 4 mois.
    La patiente ne s'habillait que dans le noir, croyant que les gens pouvaient la voir dans son placard ou sa salle de bain derrière une porte fermée . Elle faisait les cent pas toute la journée et a arrêté de faire les tâches ménagères qu'elle accomplissait depuis des années.
    Elle réveillait son mari au milieu de la nuit pour essayer de le convaincre que les voisins allaient lui faire du mal et entraient par effraction dans leur maison .
    En raison de cette peur irrationnelle, elle ne dormait que 2 à 3 heures par nuit et ne dormait plus dans la chambre , préférant s'enfermer dans la salle de bain pour dormir .
    Elle entendait des chuchotements de gens qui parlaient d'elle et avait des conversations approfondies avec eux. Elle ne ferait cela que dans une pièce seule, avec la porte fermée .
    2022 septembre (Guina et al) – Un homme de race blanche de 40 ans a eu une exacerbation du trouble bipolaire I suite au 2e ARNm de Moderna

    Un homme blanc de 40 ans a reçu la 2e dose de Moderna et ses symptômes ont commencé immédiatement après
    Il a signalé une humeur dépressive, des idées suicidaires et des hallucinations auditives l'encourageant à se suicider.
    il a perdu son emploi après une altercation verbale avec son patron, l'incitant à se faire hospitaliser
    à son admission, il était hyperactif, impulsif, irritable, fuite d'idées, discours sous pression et hyperverbal, mauvaise mémoire
    Sa seule hospitalisation antérieure remonte à cinq ans avant la vaccination pour manie et impulsivité.
    Septembre 2022 (Guina et al) – Une femme afro-américaine de 60 ans après la 2e dose d'ARNm de Pfizer a présenté une exacerbation du trouble bipolaire (psychose)

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  57. Une patiente afro-américaine de 60 ans présentant un BD1 auparavant stable s'est présentée après trois semaines d'humeur dépressive, d'anxiété et de diminution du besoin de sommeil.
    On a observé qu'elle avait une énergie accrue, une impulsivité, un affect labile, un discours verbeux avec des phrases répétitives, une pensée tangentielle et une fuite des idées, une paranoïa et des idées de référence, ce qui correspond à un épisode mixte avec des caractéristiques psychotiques.
    Elle a signalé que ses symptômes ont commencé dans la semaine suivant la réception de la deuxième dose du vaccin Pfizer-BioNTech contre la COVID-19 . Elle a nié avoir des idées suicidaires et homicides. Ses symptômes étaient pénibles et l’ont amenée à s’absenter du travail à plusieurs reprises, même si elle était satisfaite de son travail.
    Mai 2022 (Deng et al) – Un homme de 45 ans a eu une psychose et une tentative de suicide après 2 doses de Pfizer

    Un homme de 45 ans a reçu 2 doses d’ARNm Pfizer en mai 2021.
    En juin 2021, il s'est présenté aux urgences pour dépression, paranoïa, agitation intermittente et a reçu des diagnostics préliminaires de trouble bipolaire et de délire.
    a signalé au psychiatre qu'il entendait des voix et qu'il se sentait déprimé , et qu'il avait également des épisodes de pleurs incontrôlables.
    il a été libéré après 2 semaines
    2 mois après ses 2 doses de Pfizer il a tenté de se suicider en se noyant dans les toilettes. Il se sentait déprimé et suicidaire
    a également eu des hallucinations auditives, de la paranoïa et des délires de persécution.
    Son discours a été jugé répétitif, dénué de sens et inintelligible . Il se cognait fréquemment la tête avec ses poings . Des mitaines douces furent placées sur ses mains.
    lors de son admission dans une unité psychiatrique pour adultes, il levait ses deux jambes en l'air et se cognait la tête et le haut du corps sur la civière de manière rythmée. Son discours était en grande partie inintelligible, à l'exception de la répétition répétée de « Que Dieu vous bénisse » et de la répétition de phrases prononcées par le personnel. Après avoir été libéré des moyens de contention, M. A a continué à être agité, à crier, à se frapper au visage, à se cogner le haut du corps et à donner des coups de pied. Il avait besoin d'une prise physique pour appliquer des contraintes à 4 points afin d'éviter toute automutilation.
    2022 Mai (Borovina et al) – Un homme de 41 ans développe une psychose après le 2e ARNm de Pfizer

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  58. Un homme de 41 ans a reçu la 2e dose d'ARNm de Pfizer
    5 jours plus tard, j'avais des maux de tête, des délires paranoïaques et une anxiété sévère
    aux urgences, il avait une humeur dépressive et irritable et des hallucinations olfactives
    il a obtenu son congé avec des symptômes psychotiques persistants et a dû être réadmis avec des modifications à ses médicaments antipsychotiques
    Février 2022 (Aljeshi et al) – Une femme de 20 ans en Arabie Saoudite a eu une psychose après le deuxième vaccin à ARNm contre le COVID-19

    Un étudiant de 20 ans a reçu son deuxième vaccin à ARNm (l'Arabie saoudite donne les vaccins à ARNm Pfizer et Moderna).
    elle s'est présentée aux urgences avec 4 semaines d'anxiété, de troubles du sommeil, d'agitation et de perte d'appétit qui ont commencé 4 jours après son deuxième vaccin d'ARNm.
    aux urgences, elle s'est plainte « d'entendre des voix terrifiantes et de voir des gens au hasard la regarder »
    À l'hôpital, elle est devenue agitée, agressive, désorientée et s'est plainte d'hallucinations auditives et visuelles. Elle avait un discours décousu et un comportement manifestement désorganisé et perturbateur et était désorientée.
    on lui a diagnostiqué une psychose aiguë et elle est restée à l'hôpital 28 jours
    2022 (Renemane et al) – Un Letton de 45 ans a eu une psychose et une tentative de suicide après le 2ème ARNm

    Un Letton de 45 ans a reçu sa 2e dose de vaccin à ARNm
    insomnie, anxiété, tremblements immédiatement apparus
    2 semaines après le vaccin, « j'ai découvert de la poudre blanche sous le tapis de son appartement »
    Un mois après le vaccin, il « recevait des ordres », notamment celui de se suicider.
    il a attaché une corde, a essayé de se pendre mais son père l'en a empêché.
    2021 octobre ( Reinfeld et al. ) – Un homme de 31 ans a eu une psychose après le 2e ARNm de Moderna

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  59. Un homme hispanique célibataire de 31 ans a reçu deux doses de Moderna
    les symptômes ont commencé il y a 1 mois, après avoir reçu la 1ère dose de vaccin à ARNm, et se sont nettement aggravés 3 semaines après avoir reçu la 2ème dose.
    amené aux urgences par la police
    était anxieux, réservé, superficiel et grandiose.
    Il a déclaré être devenu « clairvoyant », être capable de parler avec des morts, entendre « des gens tambouriner devant sa maison » et la voix constante d'un collègue qu'il croyait être son amant.
    2021 octobre (Yesilkaya et al) – Un Turc de 57 ans a fait une tentative de suicide après la 2e dose de Pfizer

    Homme de 57 ans s'est présenté aux urgences avec irritabilité, insomnie, parler tout seul et tentative de suicide avec pensées d'extinction 3 jours après avoir reçu la 2ème dose de Pfizer.
    avait augmenté le débit de parole, la vitesse et l'activité psychomotrice
    n'avait pas d'antécédents de maladie psychiatrique
    *

    1ère dose d'ARNm

    Février 2023 (Neves et al) – Une Brésilienne de 38 ans souffrait de psychose réfractaire après le premier ARNm de Pfizer

    a reçu la première dose de Pfizer et s'est présentée aux urgences dans les 24 heures
    Elle est devenue délirante, agressive, échevelée, avec une mauvaise hygiène, un visage hostile, un manque d'orientation personnelle et un manque de coopération avec les médecins et le personnel.
    Elle pensait que le personnel la persécutait et que plusieurs maires de la ville étaient ses parents. Son humeur était dysphorique et enragée .
    Elle a été soumise à des médicaments psychiatriques mais son état ne s'est pas amélioré.
    Après 6 mois d'hospitalisation, elle est restée hostile, persécutrice et refusant de parler au personnel et sa psychose a été définie comme réfractaire. Elle ne s'en est jamais remise.
    2021 novembre (Flannery et al) – Une femme de 20 ans a eu une psychose après le premier ARNm de Pfizer

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  60. 20 ans présenté aux urgences 1 semaine après la 1ère dose de Pfizer
    eu des hallucinations auditives
    un matin, elle a enlevé ses vêtements et est allée à la selle par terre, puis est devenue de plus en plus psychotique
    2021 octobre (Yesilkaya et al) – Un Turc de 42 ans a eu une psychose après la première dose d'ARNm de Pfizer

    Un homme de 42 ans sans antécédents psychiatriques a été admis aux urgences psychiatriques 5 jours après la 1ère dose de Pfizer avec des plaintes d' irritabilité et d'insomnie .
    Le patient avait l'illusion que sa famille était suivie par l'État profond et qu'elle était en danger .
    Examen physique : humeur anxieuse, dysphorique, délires de persécution et de référence
    Diagnostiqué avec manie aiguë/épisode psychotique
    Septembre 2021 (Al-Mashdali et al) – Un homme de 32 ans a eu une psychose après le premier ARNm de Moderna

    Un homme de 32 ans a reçu la 1ère dose d’ARNm de COVID-19 Moderna
    en 24 heures, il a développé une confusion aiguë, des troubles de la mémoire et des hallucinations auditives.

    Mon avis…
    Des cas de psychose et de manie ont maintenant été signalés après les 4e, 3e, 2e et 1re doses des vaccins Pfizer ou Moderna contre la COVID-19. Certains de ces cas aboutissent à des tentatives de suicide.

    Ce cas le plus récent montre que les nouveaux boosters d’ARNm du COVID-19, à saveur bivalente, peuvent également provoquer des psychoses et des manies, tout comme les boosters d’origine et les injections d’ARNm d’origine.

    Je note plusieurs observations :

    Les cas publiés concernent uniquement des psychoses ou des manies survenues quelques jours ou au plus 2 à 3 semaines après la dernière dose d’ARNm. Je suppose que plus le délai après la vaccination par ARNm est long, moins le médecin est susceptible de lier la psychose aux vaccins.
    La plupart des cas sont publiés en dehors des États-Unis, car les médecins étrangers sont moins susceptibles d'être menacés par leurs commissions médicales et moins susceptibles de se voir retirer leur licence pour avoir signalé ces cas et les avoir publiés.
    Tous les cas ne se résolvent pas avec des médicaments psychiatriques. Certains entraînent une invalidité permanente.

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  61. Les adolescents peuvent également développer une psychose après des injections d’ARNm – obliger les enfants à pouvoir faire du sport ou aller à l’université/au collège était une faute professionnelle médicale – les risques dépassaient clairement tout avantage possible.
    PERSONNE n’étudie l’effet à long terme des injections d’ARNm sur la santé mentale.
    Les vaccins à ARNm contre la COVID-19 de Pfizer et Moderna entraînent un risque accru d’idées suicidaires, conduisant à des tentatives de suicide. Il ne s’agit pas là d’une controverse ni d’une théorie du complot. Ce risque à lui seul devrait faire retirer ces vaccins d’ARNm du marché.

    https://www.globalresearch.ca/new-paper-first-reported-case-new-onset-mania-psychosis-post-bivalent-mrna-covid-19-booster-vaccination/5848409?doing_wp_cron=1706889204.6549930572509765625000

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  62. EXCLUSIF Données personnelles : un piratage chez Malakoff Médéric ?

    Mauvaise nouvelle pour les clients de l’assureur Malakoff Médéric : le groupe a signalé, le 31 janvier 2024 selon nos informations, un piratage qui a conduit à la fuite de données personnelles. Toutefois, ce n’est pas directement l’assureur qui est frappé, mais un de ses sous-traitants. Pas des moindres : celui qui permet d’utiliser le tiers-payant pour les mutuelles.


    Par Paolo Garoscio
    le 1 février 2024 à 7h20


    Dans 20% des attaques les pirates utilisent des identifiants compromis.

    Piratage : des numéros de sécurité sociale dans la nature

    Selon le mail qui nous a été transféré et qui a été envoyé par Malakoff Médéric aux clients touchés, le piratage aurait frappé Viamedis qui, selon son site, « propose des outils afin de lutter contre les erreurs, les abus et la fraude ». En particulier, Viamedis est utilisé par Malakoff Médéric pour permettre le tiers-payant de ses clients de contrats de mutuelle.

    Les données personnelles qui auraient fuité sont nombreuses et potentiellement dangereuses. Dans le mail, Malakoff Médéric souligne que l’état civil, la date de naissance, le nom de l’assureur et les garanties du contrat ont fuité. Mais, surtout, le numéro de sécurité sociale aurait pu être volé, ce qui associé aux autres données personnelles dérobées peut donner lieu à des attaques majeures.

    D’autres assureurs frappés par le piratage chez Viamedis ?

    Si le mail qui nous a été transféré a été envoyé par Malakoff Médéric, l’assureur n’est peut-être pas le seul touché. Viamedis gère en effet le tiers-payant de 20 millions de bénéficiaires en France, représentant pas moins de 2,6 milliards de prestations santé payées et 76 millions de factures traitées… chaque année.

    Le site Internet de Viamédis est, ce jeudi 1er février 2024, hors service, affichant une erreur 503. Ce qui paraît cohérent avec ce qu’a annoncé Malakoff Médéric qui déclare que Viamedis a « déconnecté » la plateforme dès la découverte de l’intrusion. Comme le demande la loi, une plainte a été déposée et le piratage a été signalé aux autorités compétentes, en l’occurrence la CNIL et l’ANSSI.

    Piratage Viamedis Malakoff

    Attention aux attaques de phishing utilisant les données personnelles

    Si, heureusement, le piratage n’aurait pas permis aux attaquants de récupérer les données de santé, les données médicales ou encore les coordonnées bancaires des clients, le risque d’une utilisation malveillante des données dérobées est réel.

    Avec des informations aussi sensibles que le numéro de Sécurité sociale ou encore le nom de l’assureur, les pirates pourraient lancer des attaques de phishing massives. Les Français devront donc faire très attention dans les mois à venir et redoubler de vigilance face à de potentiels mails visant à leur voler encore plus de données, et tout particulièrement celles qui intéressent le plus les hackers : les coordonnées bancaires !

    https://www.economiematin.fr/piratage-viamedis-malakoff-donnee-personnelle

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    1. Après les piratages des systèmes d'alarme et des (très attendus) compteurs électrique , voici qu'arrive enfin le piratage bancaire qui vous informera que l'argent sur votre compte ne vous appartient plus dès que vous le déposez en banque mais... qu'il n'appartient plus au banquier s'il est volé !!

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  63. La plupart des gens ne réalisent pas que Google est une entreprise qui contrôle, censure et déforme des informations vitales.


    01/30/2024
    S.D. Wells


    La plupart des gens pensent que Google est une sorte de bibliothèque publique d'informations disponibles à portée de main, fournissant des faits précis sur tout ce qui existe sous le soleil, mais rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité, en particulier lorsqu'il s'agit de sujets liés à la santé, à la sécurité et aux droits de l'homme. Il ne fait aucun doute qu’avec plus de 85 % de part de marché de la recherche et 95 % du trafic mobile, Google est de loin le moteur de recherche le plus populaire (on parle de monopoles).

    Dans le monde, près de 100 millions d'élèves et d'enseignants utilisent « G Suite » comme principale source d'informations, et plus de 40 millions utilisent Google Classroom comme système de « gestion de l'apprentissage ». . Comme Wikipédia, la plupart des informations sur la santé naturelle sont déformées, tordues, censurées, discréditées à tort et qualifiées de « médecine de charlatan ».

    L’IA et les algorithmes s’ajoutent rapidement à ce chaos, privant des milliards de personnes du droit à des informations utiles qui pourraient changer leur vie, prolonger leur vie, prévenir et guérir les maladies.

    Plus puissant et pire que Wikipédia et WebMD, le maléfique Google trompe des milliards de personnes sur leur santé et leur sécurité.
    Il existait autrefois un terme appelé « brûler des livres », qui signifiait littéralement brûler certains livres d'histoire afin que le grand public instruit ne puisse pas rechercher d'informations sur des événements sur lesquels les politiciens et les crétins de l'industrie pharmaceutique ne veulent pas que quiconque connaisse la vérité. Aujourd’hui, brûler des livres est beaucoup plus simple, car aucun feu n’est nécessaire, ni même les poubelles ou les bennes à ordures.

    Google « brûle délibérément des livres » en censurant massivement tous les sites Web de santé « non traditionnels » qui gagnent en popularité parce qu'ils disent la vérité sur des sujets importants en matière de santé (et de sécurité). Cela est particulièrement vrai en ce qui concerne la pandémie (alias plandémie) et les « vaccinations » mortelles à base d’ARNm qui provoquent des caillots vasculaires, des turbo-cancers, le syndrome des vaccins longs et des maladies auto-immunes.

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  64. La plus grande « cérémonie » d’autodafé de livres a lieu quotidiennement, hébergée par le moteur de recherche Google, et des millions, voire des milliards, de résultats de recherche de personnes sont modifiés, bloqués et interdits en coulisses. Ce n’est pas non plus une théorie du complot. Même lorsque les résultats de recherche appropriés en matière de santé et de sécurité s'affichent, ils n'apparaissent pas sur la première page de résultats, même s'il s'agit des recherches les plus populaires. Tout cela fait partie des algorithmes de Google et des efforts de l'IA pour travailler en tandem avec les grandes sociétés pharmaceutiques pour supprimer les remèdes naturels et la prévention des maladies, des troubles et de la médecine holistique en général.

    Google fonctionne comme la « police de la pensée » pour tout ce qui concerne la santé et la sécurité, car il dé-plateforme et censure des informations précieuses et souvent vitales pour survivre à l'assaut des maladies créées en laboratoire dans cette nouvelle ère de maladie. Des contenus de haute qualité sur la santé, par exemple sur l'ivermectine, la vitamine D, le zinc et la quercétine, qui aident à combattre et à prévenir les infections à Covid-19, sont introuvables si vous utilisez le moteur de recherche de Google.

    Même les recherches et les informations cliniques publiées dans des revues médicales universitaires sont censurées par Google lorsqu’elles aident les gens à découvrir des produits pharmaceutiques et des vaccins qui causent plus de mal que de bien. Google n'est PAS transparent sur tout ce travail de police et d'autodafé qui a lieu, et c'est sûr. La plupart des Américains n’en ont aucune idée, en particulier les enfants, les adolescents et ceux qui pensent également que les médias sociaux sont une source d’actualités et d’informations réelles.

    Il est important que chacun réalise que Google est une entreprise technologique qui est une filiale d’une entreprise, axée sur l’intelligence artificielle et le contrôle des plateformes médiatiques et des systèmes d’exploitation. Ils détiennent le monopole du contrôle de l’information et sont « trop importants pour faire faillite », diraient beaucoup. C'est une dictature de Google. Les nazis de Google diffusent de la propagande et censurent tout ce qui va à l'encontre du « récit » dominant.

    Faites vos propres recherches et n’utilisez pas Google. Essayez le moteur de recherche Brave BETA et obtenez plus de nouvelles véridiques et d’informations réelles. Ajoutez Censored.news à vos sites Web préférés pour obtenir des informations véridiques sur les histoires d'horreur liées aux grandes technologies et à la santé mentale qui sont censurées par les médias de masse pendant que vous lisez ceci.

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  65. Les sources de cet article incluent :

    Blog.Hubspot.com
    NaturalNews.com
    DailyMail.co.uk
    SelfHack.com

    https://www.naturalnews.com/2024-01-30-people-dont-realize-google-controls-censors-information.html

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  66. L’obsession du FEM pour l’IA et les puces cérébrales. « Nous » pouvons créer un système d’IA « là où nous n’avons même pas besoin d’élections démocratiques » Klaus Schwab


    Par Peter Koenig
    Mondialisation.ca,
    31 janvier 2024


    Souvenez-vous de l’interview de Klaus Schwab de 2016 avec un animateur de la télévision suisse romande, dans laquelle Schwab disait quelque chose comme : « Imaginez que d’ici 2025, nous pourrions tous avoir une puce implantée quelque part dans notre corps ou notre cerveau, et nous pourrons peut-être communiquer les uns avec les autres. sans téléphone, même sans utiliser notre voix… » ? Klaus Schwab appelle cela une fusion entre le monde physique, numérique et biologique.

    Il parle également d’avoir des « majordomes » personnalisés sous forme de robots, qui ne sont pas seulement des esclaves, mais plutôt des assistants, car ils fonctionnent avec l’intelligence artificielle (IA) et apprendront de nous….

    L’obsession de Schwab pour la quatrième révolution industrielle – la numérisation complète de tout – semble sans limites . Regardez cette interview complète de 2016 (vidéo 28 min.), avec les humains pucés, à partir de 00:02:30.

    - voir clip sur site -

    Tout cela évolue vers la mondialisation et un gouvernement mondial unique, pour lequel une population mondiale considérablement réduite est à l’ordre du jour. Cela reste l’objectif numéro UN du Forum économique mondial, conformément à la Grande Réinitialisation et à l’Agenda 2030 des Nations Unies. Le rêve de Klaus Schwab de la quatrième révolution industrielle, l’IA et la numérisation d’absolument tout ne sont que des instruments pour y parvenir plus rapidement.

    Un autre outil était la Covid et les « vaccins » comme armes biologiques, et peut-être que le FEM Davos24 a propagé un nouveau virus « X » – qui n’existe pas encore, mais qui rôde quelque part (Gates, Tedros, OMS) et, ce qui est tout à fait ridicule, des « vaccins » sont déjà en cours de développement – et l’un des principaux instruments de ce génocide mondialiste est l’énorme canular climatique .

    Le mensonge climatique est en préparation, au moins depuis le rapport dévastateur du Club de Rome sur les « Limites de la croissance », qui constitue encore le modèle d’une grande partie de ce qui se passe aujourd’hui, y compris la réduction de la population. Avec le changement climatique, tous les rêves eugénistes peuvent se réaliser. Si nous, les citoyens [le peuple], les laissons faire.

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  67. Le Club de Rome, une invention de Rockefeller, a également son siège en Suisse (Winterthour), tout comme le FEM-WEF, l’OMS, GAVI (l’alliance vaccination-pharma [industrie pharmaceutique]) et – la Banque des règlements internationaux (BRI), également appelée Banque centrale de toutes les banques centrales. Le tout avec une immunité diplomatique totale et hors taxes. Une coïncidence?

    L’interview de Klaus Schwab à la télévision suisse a eu lieu le 10 janvier 2016, juste avant le FEM-WEF Davos16, le 46 e FEM, organisé sous le thème «Maîtriser la quatrième révolution industrielle».

    Huit ans plus tard, le 54 ème FEM Davos24, qui vient de se terminer le 19 janvier dernier, portait le titre « Rebuilding Trust », « Rétablir la confiance ». Au début, on pourrait penser que le FEM se rend compte qu’il s’enfonce dans un désarroi de plus en plus profond auprès des populations du monde entier, y compris des grandes entreprises et des fiers adhérents du FEM, et qu’il a effectivement besoin de rétablir la confiance.

    Rien n’est plus faux. Les thèmes abordés lors des plénières du FEM, « le changement climatique », l’arrivée d’une nouvelle maladie « X » encore inconnue et « déjà quelque part là-bas », et l’admiration culte d’une IA toujours plus perfectionnée – n’ont pas vraiment contribué à « Rétablir la confiance ».

    Surtout si l’on considère certaines sessions isolées, avec un public limité, où l’obsession de Klaus Schwab pour les implants de micropuces, l’IA – et lire dans les pensées [mindreading]-, est au centre de l’attention.

    Ce sont certainement quelques-uns des moments les plus terrifiants du FEM Davos24. Par exemple, lorsqu’il s’entretient avec Sergey Brin, co-fondateur de Google et ancien président d’Alphabet, la société mère de Google. Une valeur nette de 118 milliards de dollars américains (2024) fait de M. Brin la 9e personne la plus riche du monde (Forbes).

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  68. Klaus Schwab prétend rêver :

    « Imaginez que nous soyons assis ici dans dix ans et que nous ayons un implant dans notre cerveau, et je peux immédiatement sentir, parce que nous avons tous des implants, que je peux mesurer vos ondes cérébrales, et je peux immédiatement vous dire comment les gens réagissent à votre réponse… est-ce c’est imaginable ?

    Sergey Brin a l’air plutôt abasourdi par la question, visiblement mal à l’aise, ne sait que dire, puis lève les yeux au ciel, puis un peu gêné, jette les bras en l’air et dit avec hésitation… « Je pense que c’est imaginable… » ​​C’est un spectacle. pour le cirque.

    Et cela nous rappelle l’interview de Klaus Schwab accordée à la télévision suisse romande en 2016.

    *

    Le fondateur et président du FEM-WEF va ensuite plus loin dans son obsession en suggérant :

    « Nous pouvons créer un système dans lequel nous n’avons même pas besoin d’élections démocratiques, car nous pouvons prédire comment vous allez penser et ressentir… »

    Peu importe que les élections démocratiques appartiennent à un passé révolu. Au cours des vingt dernières années, il n’y a pratiquement pas eu d’élections dans le monde qui n’aient pas été manipulées d’une manière ou d’une autre par les Maîtres de l’Univers… même dans la patrie des Maîtres et des empereurs autoproclamés.

    Il est intéressant de noter que Schwab fait toujours référence à Nous , car dans NOUS vous contrôlons, vos pensées, vos sentiments, nous vous mettons dans un mode « prédictif ».

    Ce que M. Schwab ne dit jamais, cependant, et c’est fortement implicite, c’est que le « Nous » qui contrôle les ondes cérébrales électroniques influencera votre pensée comme nous le souhaitons.

    Voir ci-dessous un clip vidéo de 5 minutes pour les moments terrifiants de la folle « planification prédictive ». Parce qu’il s’agit d’un rituel de culte, Klaus Schwab – et d’autres de son acabit de l’âge sombre, prédisant, disant et avertissant les gens de ce qu’ils envisagent de faire de nous, Nous, le Peuple, est une Obligation [Must], pour qu’ils réussissent.

    - voir clip sur site -

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  69. Lors d’une autre session du FEM Davos24, quelqu’un a demandé : « Que pouvons-nous faire pour éviter que le mauvais président soit élu ? »

    Aucun nom n’a été cité, mais il était évident que le commentateur faisait référence à Donald Trump, un altermondialiste, qui remporterait les États-Unis haut la main, si des élections équitables étaient organisées aujourd’hui.

    Nous vivons actuellement dans le monde occidental sous une dictature sectaire, et la plupart d’entre nous ne l’ont même pas encore remarqué. Imprégnées d’une pensée sectaire vieille de plusieurs milliers d’années, les actions obscures ne réussiront que si elles sont communiquées d’une manière ou d’une autre aux personnes qui seront affectées.

    Souvent, cela se fait sous forme de camouflage, de fantasmes ou de films (Hollywood fait partie de la culture sectaire), de sorte que les gens prennent la chose au sérieux et ne se révoltent pas. Lorsqu’ils sont touchés, il est déjà trop tard.

    L’obsession des puces implantées et de l’IA qui régissent notre quotidien, des robots remplaçant les humains sur le marché du travail, existe depuis longtemps. L’endoctrinement ou l’ingénierie sociale, l’une des principales agences de manipulation mentale, comme l’appelle l’Institut Tavistock, basé au Royaume-Uni, a été réalisé à la perfection. Tavistock travaille probablement en collaboration avec Hollywood, pour prendre le pouls d’événements tels que le FEM-Davos, l’Assemblée générale des Nations Unies et de nombreux événements internationaux, ainsi que régionaux, pour connaître les réactions et impulsions des gens.

    C’est pourquoi il est si difficile aujourd’hui de voir la supercherie [canular], par exemple la supercherie climatique, et même de reconnaître qu’on a été trompé. Admettre à soi-même et aux autres être tombé dans le piège du mensonge ou de la manipulation mentale est l’obstacle le plus difficile à surmonter – et à se réveiller. Les ingénieurs sociaux le savent.

    Nous vivons dans une situation de dissonance cognitive dans un environnement dystopique, où tout semble et devient « normal ». Nous sommes bien au-delà du 1984 de George Orwell – où la guerre est la paix et la haine est l’amour.

    Lors du FEM de Davos24, quelqu’un aurait déclaré : « Nous devons bombarder notre chemin vers la paix ». Désolé, la référence n’est plus disponible. La référence a été victime de « fact-checkers » éliminant les « fausses informations ».

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  70. Nous DEVONS être conscients et attentifs à ce qui se passe autour de nous. A Bruxelles, on nous fait peur avec la mise en œuvre prochaine de l’identification numérique qui serait liée à tout ce qui est personnel, aux dossiers médicaux, aux dossiers de vaccination, aux dossiers bancaires et, en fin de compte, à la monnaie numérique programmable de la Banque centrale (CBDC) qui exerce un contrôle total. Lorsque cela arrivera, et que nous permettrons cela par négligence, nous serons condamnés.

    L’identification numérique, un terme mal choisi, car il ne s’agit pas simplement d’une pièce d’identité, mais d’une forme de déguisement, qui se développe à l’envers [ is being built up in reverse]. En Suisse et ailleurs en Europe, les gens sont contraints d’adopter le code QR sur votre téléphone intelligent [e-banking] qui est la première étape pour contrôler l’argent, ce que vous achetez et où vous achetez ou faites n’importe quelle transaction monétaire, parce que vous êtes suivi à la trace par le téléphone intelligent. Le code QR collecte toutes les données.

    La tyrannie bancaire est déjà là. Si vous souhaitez continuer à utiliser votre compte bancaire, vous devez respecter les règles du système financier. Cela n’a rien à voir avec les lois – c’est l’ ordre fondé sur des règles .

    Le code QR peut contenir une quantité presque illimitée de données personnelles, ainsi que des données relatives à l’endroit et à la raison pour laquelle vous dépensez votre argent – ​​vous en savez finalement plus sur vous que vous-même.

    Soyons vigilants, conscients et prêts à construire un système monétaire et bancaire alternatif, géré par les citoyens [le peuple] et pour les citoyens [le peuple]. Il n’est plus question de Gauche ou de Droite. Nous DEVONS combattre le mondialisme .

    https://www.mondialisation.ca/lobsession-du-fem-pour-lia-et-les-puces-cerebrales-nous-pouvons-creer-un-systeme-dia-la-ou-nous-navons-meme-pas-besoin-delections-democratiques-klaus-schwab/5685841?doing_wp_cron=1706773543.1769299507141113281250

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  71. Systèmes d'IA qui manipulent le système nerveux humain (pensées, émotions, perceptions) et dérogent aux droits humains fondamentaux

    Devrait être carrément interdit. Lettre ouverte au Parlement européen


    Par Mojmir Babacek
    Recherche mondiale,
    31 janvier 2024


    Le 9 décembre 2023, le Parlement européen a publié un communiqué de presse dans lequel il déclare avoir conclu un accord politique avec le Conseil de l'Union européenne « sur un projet de loi visant à garantir que l'IA en Europe est sûre, respecte les droits fondamentaux et la démocratie ». Le futur projet de loi est censé interdire « les systèmes d’IA qui manipulent le comportement humain pour contourner leur libre arbitre ».

    Selon le communiqué de presse, les députés se sont également « mis d'accord » sur des « obligations claires » concernant « les systèmes d'IA utilisés pour influencer le résultat des élections et le comportement des électeurs » (voir ceci ). Personne ni aucun endroit n’a développé ces questions. En réponse à la pétition de plusieurs représentants et membres d'organisations mondiales de défense des droits de l'homme, la présidente de la commission des pétitions du Parlement européen, Dolors Montserrat , a cité le document préparatoire du PE, qui déclarait :

    « La mise sur le marché, la mise en service ou l'utilisation de certains systèmes d'IA ayant pour objectif ou pour effet de déformer matériellement le comportement humain, susceptible de provoquer des dommages physiques ou psychologiques, devraient être interdites. Cette limitation doit être comprise comme incluant les neurotechnologies assistées par des systèmes d'IA qui sont utilisées pour surveiller, utiliser ou influencer les données neuronales collectées via les interfaces cerveau-ordinateur dans la mesure où elles déforment matériellement le comportement d'une personne physique d'une manière qui provoque ou est susceptible de causer à cette personne ou à une autre personne un préjudice important.

    Ces déclarations abordent et cachent à la fois la faisabilité d’ une manipulation massive du système nerveux humain (pensées, émotions, perceptions, fonctionnement des organes internes ou même causer la mort de personnes) à distance. Il est évident que ce n'est que lorsque des masses de cerveaux sont contrôlées à distance que les systèmes d'IA peuvent être « utilisés pour influencer le résultat des élections et le comportement des électeurs » en formant les opinions politiques des électeurs et en imposant leur décision de voter pour certains partis ou certaines personnes.

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  72. D’ailleurs, 11 organisations de défense des droits humains ont répondu à Dolors Montserrat :

    « Nous sommes profondément préoccupés par votre réponse à la pétition numéro 0716/2023.

    Après avoir étudié les informations sur l'accord entre le Parlement européen et les États membres de l'UE sur la législation sur l'intelligence artificielle (voir ceci et ceci ), nous ne voyons pas leur intention sincère d'empêcher la manipulation des émotions de la pensée humaine, etc. par les agences gouvernementales en utilisant de micro-ondes pulsées, d'ondes électromagnétiques extra longues ou d'autres énergies encore inédites. Cela signifie que jusqu’à présent, aucune mesure n’a été prise pour empêcher le développement des États membres de l’Union européenne vers des régimes totalitaires où la pensée des citoyens sera contrôlée par les gouvernements utilisant ces radiations et l’intelligence artificielle. Pour éviter une telle situation, les gouvernements devraient déclassifier les technologies de contrôle à distance du système nerveux humain et créer des agences objectivement capables et légalement obligées de divulguer les violations des droits de l'homme et de la démocratie par les technologies de l'IA. Lorsque les gouvernements les maintiennent classifiés, ils se réservent la possibilité de manipuler l’esprit de leurs citoyens, quand bon leur semble. La possession de ces outils les dégagera de toute responsabilité envers leurs citoyens dans les cas où des catastrophes pourraient survenir en raison du fait qu'ils ont négligé les dangers liés au développement ultérieur de la civilisation.

    Les preuves scientifiques prouvant qu'au moins les micro-ondes pulsées (y compris les transmissions des systèmes de téléphonie cellulaire) et les ondes électromagnétiques extra longues peuvent être utilisées pour contrôler les pensées, les émotions, les perceptions humaines, provoquer des douleurs, etc. à distance peuvent être trouvées ici .

    La proposition de législation, qui satisferait aux exigences du système politique en matière de respect des droits de l'homme et des libertés des citoyens à l'ère électronique, peut être consultée ici .

    En résumé, nous pensons que la loi européenne sur l’IA devrait inclure une législation interdisant explicitement aux gouvernements de l’UE, y compris les forces de l’ordre, les agences de renseignement et l’armée, d’utiliser l’intelligence artificielle pour manipuler à distance les pensées, les émotions humaines, etc. des énergies inédites. La législation devrait également inclure l'obligation pour les gouvernements de l'UE de protéger leurs citoyens contre de telles manipulations par des gouvernements ou d'autres entités tiers.

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  73. Il convient de se demander très sérieusement si, dans un avenir pas si lointain, où la majorité des citoyens de l'État pourraient être au chômage ou sous-employés en raison de l'utilisation de l'intelligence artificielle , ils seront autorisés à avoir la liberté de voter selon leurs opinions ou si l'État Le pouvoir décidera qu’ils ne sont pas assez responsables pour faire le bon choix lors des élections et produira plutôt leurs décisions dans leur esprit.

    De cette manière, ils n’auraient même pas le droit de voter contre l’utilisation de l’intelligence artificielle, qui les prive de leur emploi et de leur dignité. Selon l’analyse du Fonds monétaire international, l’introduction de l’intelligence artificielle « devrait affecter près de 40 % de tous les emplois » dans le monde et environ 60 % dans les économies avancées et de cette manière « l’IA va probablement aggraver les inégalités globales » ( regarde ça ).

    Le commandant Cornelis van der Klaauw de la Marine royale néerlandaise et expert en communications stratégiques et en opérations d'information du Centre de guerre interarmées de l'OTAN a écrit dans un article en 2023 :

    « La raison pour laquelle les attaques cognitives passent inaperçues auprès de leurs cibles est que les activités cognitives contournent l'esprit conscient et ciblent directement le subconscient d'une personne… la plupart de nos décisions sont prises par notre subconscient… Les attaques cognitives visent à exploiter les émotions enracinées dans notre subconscient, contourner notre esprit conscient et rationnel.

    Vous pouvez signer la pétition adressée au Parlement européen exigeant que les députés produisent la législation qui garantira la démocratie et le respect des droits de l'homme dans l'Union européenne de manière transparente et sans équivoque en cliquant ici . Le texte de la pétition se trouve en annexe ci-dessous.

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  74. ANNEXE

    Texte de la pétition
    INTERDIRE LA TÉLÉCOMMANDE DU SYSTÈME NERVEUX HUMAIN
    Une initiative de Mojmír Babáček

    Nous, soussignés, demandons au Parlement européen d'inclure dans la législation sur l'intelligence artificielle les éléments suivants :

    1. Interdire l'utilisation de l'intelligence artificielle pour contrôler et/ou décoder à distance l'activité du système nerveux humain avec des ondes électromagnétiques, des énergies dirigées, des ondes potentielles, des connexions non locales de photons ou d'électrons ou toute autre énergie, sans consentement explicite.

    2. Interdire à toutes les organisations gouvernementales de l'UE, y compris les forces de l'ordre, les agences de renseignement, l'armée et leurs sous-traitants, d'utiliser l'intelligence artificielle pour contrôler et/ou décoder à distance l'activité du système nerveux humain des civils en utilisant les moyens mentionnés ci-dessus. La législation devrait également inclure l'obligation pour les gouvernements de l'UE de protéger leurs citoyens contre de telles manipulations par des gouvernements ou d'autres entités tiers.

    3. Prévoir la création d'agences de l'UE qui sont objectivement capables et légalement obligées d'enquêter et de divulguer les violations des droits de l'homme et de la démocratie par l'intelligence artificielle utilisée pour contrôler et/ou décoder à distance l'activité du système nerveux humain à l'aide des moyens susmentionnés. moyens. Les agences de l'UE mentionnées devraient fonctionner indépendamment des États membres de l'UE et l'UE devrait se fixer pour objectif d'engager l'Organisation des Nations Unies comme dernier arbitre pour décider des cas dans lesquels des personnes du monde entier porteront plainte contre des violations de leurs droits humains par ces neurotechnologies et intelligence artificielle.

    Nous vous rappelons que Gabriela Ramos, sous-directrice générale pour les sciences sociales et humaines de l'UNESCO, a déclaré le 13 juillet 2023 : « Nous sommes sur la voie d'un monde dans lequel les algorithmes nous permettront de décoder les processus mentaux des gens et de manipuler directement les mécanismes cérébraux. qui sous-tendent leurs intentions, leurs émotions et leurs décisions »

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  75. De plus, le commandant Cornelis van der Klaauw de la Marine royale néerlandaise et expert en communications stratégiques et en opérations d'information du Centre de guerre interarmées de l'OTAN a écrit dans un article en 2023 :

    « La raison pour laquelle les attaques cognitives passent inaperçues auprès de leurs cibles est que les activités cognitives contournent l’esprit conscient et ciblent directement le subconscient d’une personne… la plupart de nos décisions sont prises par notre subconscient… les attaques cognitives ne relèvent plus de la science-fiction.

    Ils ont déjà lieu… la nanotechnologie neuronale peut être utilisée pour rapprocher des robots de taille nanométrique d'un neurone via la circulation sanguine et permettre de relier le cerveau humain directement (c'est-à-dire sans être intercepté par nos sens) à un ordinateur, en utilisant l'intelligence artificielle au passage… La guerre n'est plus un concept purement militaire ; il est devenu beaucoup plus vaste et complexe. À l’avenir, il n’y aura qu’une seule règle en matière de guerre :

    Il n'y a pas de règles. Alors que d’autres domaines peuvent apporter des victoires tactiques et opérationnelles, le domaine humain est le seul domaine dans lequel nous pouvons remporter une victoire totale.

    Nous espérons que vous ne voterez pas en faveur d’un avenir dans lequel les grandes puissances se battront pour contrôler le cerveau de la population mondiale.

    Pour une argumentation détaillée, voir les articles suivants.

    Les effets des micro-ondes pulsées et des ondes électromagnétiques à très basse fréquence sur le cerveau humain ? Les gouvernements « classifient » régulièrement les informations relatives à la manipulation du système nerveux humain

    La dignité des êtres humains et leur personnalité : neurotechnologie et manipulation du système nerveux humain. « Sauver la liberté et la démocratie ». Lettre ouverte à l'Union européenne et aux gouvernements du monde entier

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  76. ORGANISATIONS

    Spolek za zákaz manipulace lidské nervové soustavy radiofrekvenčním zářením

    https://www.svobodamysleni.cz/

    (République tchèque)

    Schutzschild Ev

    https://schutzschild-ev.de

    (Allemagne)

    Justice ciblée

    https://targetedjustice.com

    (ETATS-UNIS)

    Fondation STOPEG (STOP aux armes électroniques et au gangstalking)

    https://www.stopeg.com/

    (Pays-Bas)

    Coalition internationale contre la torture électronique et la robotisation des êtres vivants (ICATOR)
    Avenue Paul Hymans 120/47, B – 1200 Bruxelles
    https://icator.be

    (Belgique)

    ACOFOINMENEF (Association contre toutes formes d'interférences et de contrôle mental et neurophysiologique)

    https://associazionevittimearmielettroniche-mentali.org/

    (Italie)

    MOVIMENTO AMPIO CONTROLE LA TORTURA TECNOLOGICA PSICOLOGICA E MENTALE

    https://movimentoampio.blogspot.com

    (Italie)

    Föreningen för hjärnans integritet i Sverige (Société pour l'intégrité cérébrale en Suède)

    https://www.bolagsfakta.se/8024512561-FORENINGEN_FOR_HJARNANS_INTEGRITET_I_SVERIGE

    (Suède)

    Stowarzyszenie STOP Zorganizowanym Elektronicznym Torturom

    https://stopzet.pl/

    (Pologne)

    ADVHER (Association de Défense des Victimes de Harcélement Electromagnétique et en Réseau)

    https://www.net1901.org/association/ASSOCIATION-DE-DEFENSE-DES-VICTIMES-DE-HARCELEMENT-ELECTROMAGNETIQUE-ET-EN-RESEAU-ADVHER,1181155.html#gsc.tab=0

    (France)

    Royaume-Uni ciblé

    https://www.targetedsurvivors.com/ _

    (Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord)

    The Allen Institute for Human Rights (États-Unis d'Amérique)

    PO BOX 193, NORD PEMBROKE, MA.

    https://aihr.foundation/

    (ETATS-UNIS)

    Justice ciblée

    https://targetedjustice.com

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  77. (ETATS-UNIS)

    Organisation des victimes d'armes psychotroniques (contrôle mental)

    https://organizationofmindcontrolvictims.com/

    (Canada)

    PMP pour la Société de Bharat sûr contre la torture secrète et les armes à énergie

    www.CovertEnergyTorture.org

    (Inde )

    https://www.globalresearch.ca/open-letter-european-parliament-protect-fundamental-human-rights/5848032

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  78. Les entreprises se tournent vers l’IA car la véritable intelligence est difficile à trouver


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 31 JANVIER 2024 - 17H25
    Rédigé par Mike Shedlock via MishTalk.com,


    Aujourd'hui, UPS a annoncé qu'elle utiliserait l'intelligence artificielle (IA) pour réduire le nombre d'employés de bureau. Il rejoint Google, Amazon et d’autres dans cette transition. Si seulement nous pouvions faire la même chose pour le gouvernement.

    UPS va supprimer 12 000 emplois
    Le Wall Street Journal rapporte qu'UPS va supprimer 12 000 emplois et exiger le retour dans ses bureaux cinq jours par semaine

    United Parcel Service UPS a annoncé son intention de supprimer environ 12 000 emplois cette année et de rendre obligatoire le travail du personnel dans les bureaux cinq jours par semaine à partir du 4 mars. Les réductions visent principalement le personnel de direction ainsi que les travailleurs contractuels, ont déclaré mardi les dirigeants d'UPS, ajoutant que ces Il est peu probable que les emplois reviennent même lorsque les volumes de colis rebondissent. L'entreprise compte environ 85 000 salariés cadres.

    La directrice générale d'UPS, Carol Tomé, a déclaré que ces réductions faisaient partie des efforts visant à changer le fonctionnement d'UPS. Cette initiative inclut l’utilisation de l’intelligence artificielle et d’autres nouvelles technologies pour dynamiser ses opérations, a-t-elle déclaré.

    UPS, basée à Atlanta, rejoint également un certain nombre d'entreprises qui souhaitent que leurs employés travaillent depuis leurs bureaux tous les jours de la semaine. L’entreprise a été confrontée à des négociations collectives controversées l’année dernière, au cours desquelles des responsables syndicaux ont déclaré que les chauffeurs et le personnel de l’entrepôt estimaient qu’il était injuste que le personnel de bureau puisse travailler à domicile pendant la pandémie de Covid-19, alors qu’ils ne le pouvaient pas.

    Réflexions sur l'injustice
    Les chauffeurs affirment qu’il est injuste pour les employés de bureau de travailler à domicile, mais ils ne le peuvent pas.

    J’ai la solution équitable : laisser tout le monde travailler à domicile à condition qu’il puisse toujours répondre aux exigences de son emploi.

    Q : En quoi consiste réellement l’exigence de travail à domicile ?
    R : Encourager les travailleurs à démissionner volontairement.

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  79. Google met en garde contre de nouveaux licenciements
    Veuillez noter que le mémo interne du PDG de Google met en garde contre de nouveaux licenciements à venir.

    Le PDG de Google, Sundar Pichai, a averti ses employés de s'attendre à de nouveaux licenciements dans les mois à venir alors que le géant de la technologie se réoriente vers l'intelligence artificielle « et au-delà ».

    Duolingo se tourne vers l'IA
    Notez également que Duolingo licencie du personnel pour se tourner vers l'IA.

    Duolingo a licencié environ 10 % de ses travailleurs contractuels, a déclaré mardi l'entreprise à CNN, alors que l'application de technologie éducative s'appuie davantage sur l'intelligence artificielle.

    Bien que tous les licenciements ne soient pas dus à la technologie, l’entreprise d’apprentissage des langues a licencié certains sous-traitants fin 2023 pour laisser la place aux changements liés à l’IA dans la façon dont le contenu est généré et partagé.

    Il a été proactif en ajoutant l'IA à sa plate-forme, en créant un nouveau niveau d'abonnement baptisé « Duolingo Max » en mars qui intègre le modèle de langage avancé GPT-4 d'OpenAI pour ajouter des fonctionnalités basées sur l'IA, notamment des conversations complètes avec un chatbot pour mettre en pratique les compétences et obtenir des explications générées par l’IA sur les raisons pour lesquelles une réponse est bonne ou fausse.

    "L'IA générative accélère notre travail en nous aidant à créer de nouveaux contenus beaucoup plus rapidement", a écrit le PDG Luis von Ahn dans une lettre aux actionnaires de novembre.

    Annonces d'intelligence artificielle et lecture de la paume
    Amazon est à la pointe de l'intelligence artificielle générative.

    « L'IA générative aide les annonceurs à rendre leurs publicités plus attrayantes et visuellement plus riches, et offre une meilleure expérience publicitaire aux clients. »

    À l'aide d'Amazon Ad Console, les annonceurs sélectionnent simplement leur produit et cliquent sur « Générer ». En quelques secondes seulement, l'outil fournit une série d'images sur le thème du style de vie et de la marque.

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  80. Payez avec votre paume

    Pas de portefeuille ? Aucun problème. Amazon a utilisé l'IA générative pour développer Amazon One, un service d'identité sans contact rapide et pratique qui permet aux clients d'utiliser leur paume pour effectuer des paiements, vérifier leur âge ou entrer dans des lieux.

    Amazon One offre un taux de précision de 99,9999 %, ce qui dépasse la précision des autres alternatives biométriques : c'est encore plus précis que de scanner deux iris. Vous pouvez utiliser Amazon One dans plus de 500 magasins Whole Foods Market aux États-Unis et dans plus de 100 sites clients à travers le pays, notamment Crunch Fitness, les magasins Hudson dans les aéroports et plusieurs stades et lieux de divertissement.

    Prédire le Blitz

    Les alertes défensives sont la dernière fonctionnalité améliorée par l'IA de Thursday Night Football. La fonctionnalité, diffusée lors du flux alternatif hebdomadaire de TNF, Prime Vision with Next Gen Stats, suit les mouvements des joueurs défensifs avant le snap et met en évidence en temps réel les « joueurs d’intérêt » susceptibles de précipiter le quart-arrière.

    Intelligence artificielle et au-delà

    Je n'ai vraiment rien écrit ci-dessus. Au lieu de cela, un robot d’IA générative a lu dans mes pensées. Tout ce que j'avais à faire était de réfléchir, et non de dire : « Bonjour AI, écrivez sur les licenciements chez UPS sous un angle que personne d'autre n'a abordé. »

    Pouf c'était ça. Alexa a lu dans mes pensées et a généré ce message.

    La véritable intelligence est difficile à trouver
    Il existe un besoin désespéré d’intelligence artificielle au sein du gouvernement, car la recherche d’une véritable intelligence s’avère vaine.

    Par exemple, Biden laisse TikTok définir la politique énergétique américaine, les États-Unis perdent, la Russie gagne

    Suite aux demandes du lobby TikTok, Biden suspendra les exportations de GNL. Ironiquement, les gagnants sont le charbon et la Russie. Les perdants sont les États-Unis et l’environnement.

    Et voici un vrai doozie. L’accord sur l’immigration du cheval de Troie de Biden permettrait d’accueillir 1,8 million de migrants supplémentaires

    Les Républicains ont effectivement négocié ce compromis.

    Les entreprises ne sont pas non plus à l’abri, comme le souligne l’ouvrage Dealers Beg GM for Hybrid Vehicles, Can GM Do Anything Right?

    Please send in the AI ASAP.

    https://www.zerohedge.com/technology/companies-turn-ai-because-real-intelligence-hard-find

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    Réponses
    1. Après le 'déjà vaccin contre une maladie qui n'existe pas' ! voici qu'entre en compétition les vides du cerveau avec l''intelligence qui n'existe pas ! (artificielle).

      WHOÂW !

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  81. Carte de paiement : promotion d’une monnaie de banque centrale numérique en Allemagne


    1 février 2024
    de Thomas Oysmüller


    Les migrants sont désormais utilisés pour la première fois en Allemagne pour introduire des crédits numériques réservés. C’est l’élément crucial de la prochaine monnaie numérique. D’abord pour les migrants, puis pour tout le monde.

    La carte de paiement pour les réfugiés et les migrants prépare la monnaie numérique de la banque centrale (CBDC) par la porte dérobée. À partir de cet été, une « carte de paiement pour réfugiés » sera disponible dans toute l’Allemagne, ce qui signifie que de l’argent sera réservé pour la première fois : l’élément central (et le plus menaçant) de la nouvelle monnaie numérique.

    Argent non gratuit
    Pour l’économiste Ernst Wolff, l’introduction rapide et soudaine n’est « possible que grâce à la préparation de la CBDC en arrière-plan ». Il s’agit d’une « manœuvre perfide vers l’argent frais ». Au premier plan, cela semble discret : les réfugiés ne reçoivent plus d’argent liquide, mais uniquement du crédit numérique sur une carte. Mais ce qui semble anecdotique peut avoir des conséquences considérables.

    Avec la carte de paiement, la caractéristique la plus importante de la monnaie numérique de banque centrale est déployée pour la première fois : l’argent ne peut plus être librement disposé. Les critiques tournent autour de ce point depuis des années : si votre compte gaz carbonique est dépassé, vous ne pouvez plus réserver de vol, même si vous disposez en réalité de suffisamment d'argent. Mais celui-ci est programmé de telle manière qu’il ne peut être dépensé qu’à certaines fins. Avec la carte de paiement, l'argent dont son propriétaire ne peut disposer librement est normalisé pour la première fois.

    C’est exactement ce qui est désormais mis en œuvre avec la carte de paiement. Et les critiques, y compris dans les rangs des critiques culturels, sont silencieuses. Peut-être parce qu’elle est présentée comme une « mesure » contre la migration. La carte de paiement est présentée politiquement comme une mesure contre la « migration illégale » – et, fait remarquable, un certain nombre de personnes pensent que cette « mesure » sera réellement utile.

    La rapidité avec laquelle le gouvernement des feux tricolores met soudainement en œuvre le projet devrait également donner matière à réflexion. Il n’y a pas eu de débat majeur. L'idée de la carte de paiement est même venue de l'AfD, contre laquelle des manifestations avaient lieu au même moment, y compris aux feux tricolores. Le compte « Intelligence Artificielle » a écrit sur Twitter :

    « Ce qui est remarquable dans ce processus, c’est que jusqu’à récemment, ce sujet n’était pas du tout abordé dans les médias. L’introduction d’une telle carte de paiement nécessite des mois de préparation. En Thuringe, la carte de paiement a déjà été introduite dans certains districts. Les décisions et les préparatifs se sont déroulés en grande partie à l’insu des médias.

    Le processus est également important car cette carte de paiement crée un précédent. L’argent ne peut plus être dépensé arbitrairement. Qui sait si le transfert de la carte de paiement aux destinataires de l'argent des citoyens est déjà en discussion. Enfin, cette technologie serait parfaite pour garantir à l’avenir le respect des budgets gaz carbonique dans la lutte contre le changement climatique.

    À cet égard, le ministre allemand des Finances FDP, Christian Lindner, a probablement raison lorsqu'il déclare : « L'introduction de la carte de paiement à l'échelle nationale est une étape importante. » Cependant, pas en ce qui concerne la migration, mais en ce qui concerne les CBDC.

    https://tkp.at/2024/02/01/bezahlkarte-vorstoss-fuer-digitales-zentralbankgeld-in-deutschland/

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  82. L’avenir de l’IA pourrait être formidable, ou catastrophique


    par Peter Grad , Tech Xplore
    RAPPORT DU 30 JANVIER 2024


    Une enquête menée auprès de près de 3 000 experts en apprentissage automatique sur la façon dont nos vies seront différentes dans un monde d’IA a été réalisée et les résultats sont connus.

    La bonne nouvelle : une majorité pense que l’IA va inaugurer une vague de progrès remarquables dans des domaines tels que la science, la littérature, les mathématiques, la musique et l’architecture, et ce, des années plus tôt qu’une enquête similaire prévue il y a deux ans.

    La mauvaise nouvelle, c'est que nous allons tous mourir.

    C'est du moins le sentiment de 38 à 51 % des personnes interrogées qui estiment qu'il existe une probabilité d'au moins 10 % d'un scénario d'extinction déclenché par l'IA. Près de 60 % ont déclaré que la probabilité était d’au moins 1 sur 20.

    L'enquête a été menée par AI Impacts, qui étudie les conséquences à long terme de l'intelligence artificielle.

    Tous les résultats n’étaient pas centrés sur le pessimisme. Les chercheurs ont constaté que le développement clé de l’IA progresse à un rythme si rapide que les personnes interrogées pensent que plusieurs réalisations clés seront atteintes des années plus tôt que prévu il y a à peine deux ans.

    Par exemple, les personnes interrogées ont déclaré qu'il y avait au moins 50 % de chances que les machines acquièrent la capacité d'accomplir toutes les tâches humaines possibles sans assistance humaine – et ce, mieux et à moindre coût – d'ici 2047. Il y a deux ans, la date cible estimée était 2060.

    D’autres réalisations intéressantes en matière d’IA étaient prévues dès la fin des années 2020. Ils incluent la possibilité de générer une vidéo sous d’autres angles, d’écrire un roman à succès du New York Times et, voilà, de plier le linge.

    Et imaginez générer une chanson impeccable avec le style et le son de Taylor Swift, The Weeknd ou Ed Sheeran, impossible à distinguer de l'artiste réel. Cela sera réalisable d’ici quelques années, estime l’enquête. Certains efforts crédibles ont déjà été publiés. L’éthique de telles réalisations n’a pas été abordée dans l’étude.

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  83. Au total, 70 % des experts estiment que les bons résultats sont plus probables que les mauvais, à mesure que l’IA devient plus intelligente et plus puissante.

    L'étude intitulée « Des milliers d'auteurs d'IA sur l'avenir de l'IA » a été publiée sur le serveur de préimpression arXiv le 5 janvier.

    L'étude a révélé que sur 39 tâches décrites dans leurs questionnaires, 35 avaient au moins 50 % de chances d'être accomplies dans un délai d'une décennie. Ces tâches consistaient notamment à battre un humain au Go (après que chacun ait appris le même nombre de jeux), à reconnaître un objet après l'avoir vu une seule fois et à remporter le prestigieux et notoirement difficile concours de mathématiques Putnam.

    Alors que quelques-uns ont exprimé leur inquiétude quant à un événement d'extinction, plus de la moitié des personnes interrogées ont exprimé une inquiétude « substantielle » ou « extrême » face aux tendances troublantes de l'IA, en particulier la diffusion d'informations fausses et trompeuses.

    Comme l'a récemment averti un reportage de NBC : « Une convergence d'événements au pays et à l'étranger, sur les médias traditionnels et sociaux – et dans un environnement d'autoritarisme croissant, de profonde méfiance et de troubles politiques et sociaux – rend les dangers de la propagande, des mensonges et du complot théories plus désastreuses que jamais. »

    Alors que l’opinion publique américaine se méfie d’un autre affrontement probable entre le président Biden et l’ancien président Trump, ainsi que d’élections clés dans plus de 50 autres pays, la capacité de la désinformation générée par l’IA menace d’avoir un impact sur l’alchimie politique au sein et entre les nations du monde.

    L'enquête a également révélé une "extrême inquiétude" de la part des personnes interrogées concernant les deepfakes, la manipulation des tendances de l'opinion publique, l'utilisation potentielle de l'IA par les dirigeants autoritaires pour contrôler les populations et la propagation des inégalités par des utilisateurs irresponsables de l'IA.

    Les trois quarts des personnes interrogées ont déclaré que « plus » ou « beaucoup plus » de recherches sur la sécurité devraient être menées pour répondre aux préoccupations croissantes concernant les abus liés à l'IA.

    "Alors que les scénarios optimistes reflètent le potentiel de l'IA à révolutionner divers aspects du travail et de la vie", conclut le rapport, "les prédictions pessimistes, en particulier celles impliquant des risques d'extinction, rappellent brutalement les enjeux élevés impliqués dans le développement et le déploiement de l'IA. ".

    https://techxplore.com/news/2024-01-future-ai-great-catastrophic.html

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  84. La loi européenne sur l’IA profitera-t-elle en premier au Royaume-Uni ?

    La loi européenne sur l’IA a creusé un nouveau fossé avec le Royaume-Uni. Une analyse de Jason Reeds pour Contrepoints


    le 2 février 2024
    Jason Reed


    Cela fait quatre ans que le Royaume-Uni a officiellement quitté l’Union européenne. Depuis le Brexit, la Grande-Bretagne a connu trois premiers ministres et d’innombrables crises gouvernementales. Néanmoins, malgré le chaos de Westminster, il devient déjà clair à quel point les régulateurs du Royaume-Uni et de l’UE perçoivent différemment l’industrie technologique. Le Royaume-Uni est un pays mitigé, avec quelques signes encourageants pour les fans de liberté et d’innovation. L’UE, quant à elle, s’engage sur la voie d’une réglementation antitrust agressive sur différents fronts.

    « Déclaration de Bletchley » de l'IA

    Nulle part cette tendance n’est plus claire que dans le domaine de l’intelligence artificielle, peut-être le domaine d’innovation technologique le plus attrayant pour un régulateur. Rishi Sunak, le Premier ministre britannique, est doué en technologie et n’aurait pas l’air déplacé dans la Silicon Valley. On le retrouve même régulièrement en vacances en Californie. Cette vision du monde se reflète dans l’approche du gouvernement britannique en matière d’IA.

    Sunak a accueilli le premier sommet mondial sur la sécurité de l’IA en novembre 2023. Des représentants du monde entier – notamment des États-Unis, de l’UE et de la France – ont signé un document qu’il a créé appelé « Déclaration de Bletchley » au nom de leurs gouvernements.

    En décrivant la Déclaration de Bletchley, le gouvernement britannique adopte un ton de modération. "Nous reconnaissons que les pays devraient considérer l'importance d'une approche de gouvernance et de réglementation favorable à l'innovation et proportionnée qui maximise les avantages et prend en compte les risques associés à l'IA", indique le communiqué officiel.

    En d’autres termes, la Grande-Bretagne n’a pas l’intention de permettre à l’IA de se déchaîner sur un marché non réglementé, mais elle ne considère pas non plus l’innovation comme une menace. Il reconnaît que ne pas exploiter les opportunités de l’IA signifierait laisser tomber les générations actuelles et futures qui pourraient en bénéficier. La Déclaration de Bletchley représente une approche réfléchie de la réglementation de l’IA qui promet de surveiller de près les innovations pour détecter tout signe de menace pour la sécurité, mais évite de placer le gouvernement au centre du récit et d’être prescriptif sur ce que l’IA devrait ou ne devrait pas faire.

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  85. Rishi Sunak, Elon Musk et l’avenir de la Grande-Bretagne

    La position britannique a donc un ton très différent de celui des régulateurs activistes ailleurs dans le monde, qui semblent considérer toute nouvelle avancée technologique comme une opportunité de montrer leurs muscles. Dans l’UE, par exemple, ou aux États-Unis de Biden, les régulateurs sautent sur l’occasion pour se vanter de « demander des comptes aux entreprises technologiques », ce qui signifie généralement rendre la croissance économique et l’innovation plus difficiles.

    La Grande-Bretagne est sur une voie différente qui pourrait, si elle reste fidèle à sa direction actuelle, en faire un futur pôle d’activité technologique et économique. Sunak a même profité du sommet pour interviewer Elon Musk. "Nous assistons ici à la force la plus perturbatrice de l'histoire", a déclaré Musk à Sunak lors de leur discussion sur l'IA. " "Il viendra un moment où aucun travail ne sera nécessaire - vous pouvez avoir un travail si vous en voulez un pour votre satisfaction personnelle, mais l'IA fera tout."

    De SpaceX à Tesla en passant par Twitter, Musk est devenu un précurseur du pouvoir de l’innovation technologique et du libre marché. Bien qu’il soit souvent controversé, le fait de l’embrasser de cette manière en lui parlant sur scène par un Premier ministre souriant avait sûrement pour but d’envoyer un signal au monde indiquant que la Grande-Bretagne est prête à faire des affaires avec l’industrie technologique.

    Bruxelles fait les choses différemment

    Cette approche britannique modérée de l’IA contraste avec la stratégie de l’UE. Bruxelles se vante avec enthousiasme que sa loi sur l’IA est la première réglementation complète au monde sur l’intelligence artificielle, axée sur la « protection » des citoyens contre l’IA et faisant partie de la stratégie interventionniste plus large de l’UE en matière antitrust. Le contraste est clair : la Grande-Bretagne est prête à travailler avec les entreprises technologiques, alors que l’UE estime qu’elle doit les supprimer.

    Alors que la Grande-Bretagne, en dehors de l'UE, a réussi à rassembler calmement les dirigeants du monde pour se mettre d'accord sur des principes communs sensés pour réglementer l'IA, le bloc européen était au contraire déterminé à « gagner la course » et à devenir le premier régulateur à innover en matière de réglementation de l'IA. une loi sur l’IA.

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  86. Les résultats de la réglementation excessive de l’UE

    La Grande-Bretagne post-Brexit est loin d’être parfaite, mais ces deux approches contrastées de la gestion de l’IA montrent à quelle vitesse les choses peuvent mal tourner lorsqu’une institution comme l’UE se met en tête qu’elle a le devoir de réglementer de plus en plus au fil des années. Il existe également des signes encourageants ailleurs. Les ministres du gouvernement britannique à l’origine du « projet de loi sur la sécurité en ligne » ont finalement abandonné leur promesse irréalisable d’« espionner » tout le cryptage de bout en bout.

    Les résultats de la réglementation excessive de l’UE deviennent déjà évidents. OpenAI, la société derrière ChatGPT soutenue par Microsoft, a choisi Londres comme emplacement pour sa première base internationale. Pendant ce temps, Google, un autre géant de la technologie qui est également leader du marché dans la course aux pionniers de l'IA via sa filiale DeepMind, a annoncé son intention de construire un nouveau centre de données d'un milliard de dollars au Royaume-Uni. Ces investissements auraient-ils été dirigés vers l’UE si Bruxelles n’avait pas envoyé le message aux entreprises technologiques que l’Europe constituerait pour elles un environnement réglementaire strict ?

    Vous vous installez confortablement à Washington ?

    Même s’ils prétendent vouloir responsabiliser une génération d’entrepreneurs technologiques, les bureaucrates européens semblent déterminés à tout réglementer. Aucune mesure antitrust n’est interdite. Outre leur insistance sur la nécessité de « protéger » les Européens de l’innovation technologique, ils semblent également apprécier d’attirer l’attention de l’autre côté de l’océan Atlantique grâce à leurs efforts en matière de réglementation.

    Les gigantesques lois sur les marchés numériques et sur les services numériques de l’UE semblent bénéficier de l’approbation de certaines personnes nommées par le président Biden. La vice-présidente exécutive de la Commission européenne, Margrethe Vestager, a été photographiée souriante avec des responsables du ministère de la Justice après s'être rendue aux États-Unis pour discuter de ses efforts antitrust.

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  87. Un scepticisme partagé à l’égard de la technologie

    Au moment du voyage transatlantique de Vestager, il est devenu évident que l’UE et les États-Unis adoptaient une approche similaire pour attaquer la technologie publicitaire de Google, par crainte d’un monopole. Est-ce qu'ils travaillaient ensemble ? « La Commission [européenne] pourrait se sentir enhardie par le fait que le DOJ [américain] poursuit pratiquement le même procès », a observé Dirk Auer, directeur de la politique de concurrence à l'International Center for Law and Economics.

    Lina Khan, la présidente militante de la Commission fédérale du commerce des États-Unis qui occupe ses journées en poursuivant les entreprises technologiques en justice pour de fausses raisons, a également clairement indiqué qu'elle partage le point de vue de l'UE selon lequel l'antitrust doit être actif et agressif dans ses batailles contre l'industrie technologique. . "L'une des grandes promesses de l'antitrust est que nous disposons de lois séculaires censées suivre le rythme des évolutions du marché, des nouvelles technologies et des nouvelles pratiques commerciales", a-t-elle déclaré récemment lors d'un événement universitaire. « Afin d’être fidèles à cette [promesse], nous devons nous assurer que cette doctrine est mise à jour. »

    Que se passe-t-il ensuite ?

    Que les véritables motivations de l’UE soient réelles ou politiques, il n’en reste pas moins que la volonté apparente de Bruxelles d’augmenter de façon exponentielle le fardeau réglementaire pesant sur les investisseurs et les entrepreneurs technologiques en Europe ne fera que nuire aux Européens, et profitera peut-être indirectement au Royaume-Uni en y dirigeant l’innovation.

    Malgré son immense bureaucratie, l’UE manque de freins et contrepoids quant à son pouvoir de réglementation. Les membres clés de son exécutif – comme les dirigeants de la Commission européenne, comme Ursula von der Leyen – ne sont pas élus. Ils se sentent habilités à lancer des croisades réglementaires contre les industries de leur choix, souvent technologiques. Peut-être seront-ils choqués de changer de comportement après les résultats des élections parlementaires européennes dans quelques mois.

    https://www.contrepoints.org/2024/02/02/471044-will-the-eu-ai-act-benefit-the-uk-first

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  88. Vers un nouveau système monétaire international


    Par Peter Koenig
    Recherche mondiale,
    1er février 2024


    Contexte et introduction

    Cette introduction relativement longue est jugée nécessaire pour comprendre comment nous en sommes arrivés là où nous en sommes aujourd’hui ; comprendre le plan à long terme de l'Occident (États-Unis) visant à dominer l'économie mondiale avec sa monnaie, le dollar américain, à laquelle a été ajouté il y a 23 ans environ le cousin du dollar américain, l'euro, avec le même « soutien zéro » base.

    *

    Le système monétaire international (SMI) actuel, créé par l'Occident (États-Unis), est en proie à l'injustice depuis le début, lorsqu'il a été créé par le biais de la loi dite de la Réserve fédérale (FRA), signée par le président américain Woodrow Wilson le 23 décembre 1913.

    La FRA était censée avoir fourni au gouvernement américain les moyens de contrôler l’inflation et, plus important encore, elle a provoqué l’internationalisation du dollar américain en tant que monnaie mondiale. Cela signifie que le dollar américain pourrait être utilisé à l’échelle internationale comme monnaie d’échange, ce qui en ferait de facto une monnaie de réserve internationale. En tant que tel, il était de plus en plus utilisé par les pays du monde entier comme monnaie de réserve majeure, permettant ou « obligeant » Washington à augmenter sa masse monétaire.

    En 1834, les États-Unis ont fixé le prix de l’or à 20,67 dollars l’once, niveau auquel il est resté jusqu’en 1933. D’autres grands pays ont rejoint l’étalon-or dans les années 1870. La période de 1880 à 1914 est connue comme l’étalon-or classique. Pendant cette période, la plupart des pays ont adhéré (à des degrés divers) à l’or.

    La loi exigeait que la Réserve fédérale détienne de l'or équivalant à 40 % de la valeur de la monnaie qu'elle émet, à savoir le dollar américain, et qu'elle convertisse ces dollars en or au prix fixe de 20,67 dollars l'once d'or pur.

    La loi sur la Réserve fédérale de 1913 a effectivement créé la Banque de réserve fédérale appelée « la Fed ».

    Aux fins de la « stabilité financière » (des États-Unis) et de l’ajustement aux « situations économiques internationales variables », la FRA a également autorisé la Fed à émettre des taux d’intérêt comme instruments d’orientation pour le système bancaire américain, et de facto encore plus pour le système bancaire international, comme La FED a également internationalisé le dollar américain, en particulier pour le commerce, de sorte que progressivement les pays négociant en dollars américains se sont dollarisés , à des degrés divers. Le commerce en dollars américains, quel que soit le pays, est devenu une règle non écrite.

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  89. Cela signifiait qu'en moyenne et au fil du temps, plus de 90 % des réserves internationales étaient détenues en or et en dollars américains, augmentant ainsi encore plus la dépendance de leurs économies à l'égard des États-Unis – ou de la monnaie américaine.

    Cela signifiait également que les États-Unis pouvaient imprimer des dollars de plus en plus sans discernement – ​​sans soutien – alors que le monde dépendait de plus en plus du dollar américain pour le commerce et les réserves nationales.

    Lorsqu'en juillet 1944 la Conférence de Bretton Woods (BW) créa non seulement le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale, mais aussi un nouveau Gold Standard, les États-Unis, organisateurs et « propriétaires » effectifs de la Conférence BW et de ses résultats, dans un geste astucieux, il a « convaincu » les délégués participants de 44 pays d’accepter que le nouvel étalon-or – 1 once troy (environ 31,1 grammes) soit rattaché au dollar américain.

    Au lieu de fixer la valeur de l’or selon la moyenne pondérée des 5 ou 6 monnaies clés émergentes après la Seconde Guerre mondiale – en appliquant le principe du DTS – le cours de l’or a été fixé à 35 $ US/once troy (t-oz) ; la valeur de l'or utilisée pour garantir les monnaies des pays participant à la BW était exprimée en dollars américains .

    Cela signifiait que l’or était de facto remplaçable par le dollar américain.

    Les États-Unis contrôlaient et contrôlent toujours totalement le FMI et la Banque mondiale, avec un droit de veto. Les États-Unis sont le plus grand actionnaire avec une part de 16,5 %, ce qui leur donne effectivement un droit de veto, puisque les décisions importantes nécessitent 85 % pour être approuvées.

    Ce contrôle total sur le FMI et la Banque mondiale est également la raison pour laquelle la Chine est largement sous-représentée au FMI et à la Banque mondiale. La Chine est la deuxième plus grande économie en termes de PIB absolu et la plus grande économie du monde en termes de parité de pouvoir d'achat, ou PPA – voir ci-dessous.

    L’administration américaine a besoin de l’approbation du Congrès pour toute réforme des quotes-parts du FMI. Il a fallu des années au gouvernement pour que le Congrès appose son sceau sur la réforme de 2010 qui a augmenté le vote de la Chine aux dépens des pays européens, mais PAS aux dépens des États-Unis.

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  90. De même, ce n'est qu'en octobre 2016 que le yuan chinois (RMB) a été accepté pour rejoindre le panier de droits de tirage spéciaux (DTS) du FMI. En mai 2022, la pondération du DTS a été « ajustée » pour le dollar américain, passant de 41,73 % à 43,38 % actuellement, et pour le yuan, de 10,92 % à 12,28 %. La pondération de l'euro est tombée à 29,31% contre 30,93%, celle du yen est tombée à 7,59% contre 8,33% et la livre sterling est tombée à 7,44% contre 8,09%.

    Il ne fait aucun doute, si l’on compare l’économie chinoise avec celle des États-Unis et de l’Europe, que le yuan est largement sous-évalué. Une évaluation plus juste du yuan dans le panier de devises du DTS (USD, euro, yuan chinois, livre sterling, yen japonais) est une priorité absolue.

    Les États-Unis abandonnent l’étalon-or

    Lorsqu'en 1971, le président Nixon a abandonné l'étalon-or, via le FMI contrôlé par les États-Unis, ce qui signifie que les États-Unis n'adhèrent plus à l'adossement de leur monnaie (le dollar américain) à l'or, le prix de l'or est monté en flèche et le dollar américain a pris de facto le rôle de référence. d'or.

    Cela constituait une raison incontestable pour les États-Unis d’imprimer sans discernement des dollars américains, car le monde en avait besoin pour leur commerce international et leurs réserves nationales.

    Le deuxième coup dur est survenu lorsqu'en 1974, après la crise pétrolière artificiellement créée de 1973-1974, les États-Unis ont «négocié» avec l'Arabie Saoudite, chef de l'OPEP (Organisation des pays exportateurs de pétrole), que les hydrocarbures, principalement le pétrole et le gaz, ne seraient que des exportations. négociés en dollars américains, ce qui a incité les pétrodollars à inonder le monde.

    En échange, les États-Unis fourniraient à l’Arabie saoudite une protection militaire et l’aideraient à conclure des contrats d’armement et à investir dans des infrastructures.

    À ce jour, le pétrole reste l’actif le plus précieux de la planète. Plus de 85 % de toute l’énergie utilisée pour alimenter l’économie mondiale provient des hydrocarbures.

    L’accord de transaction en dollars de l’OPEP a permis aux États-Unis d’imprimer à nouveau indistinctement davantage de dollars américains, car tous les pays du monde avaient besoin de dollars américains pour acheter leur énergie (hydrocarbures), renforçant ainsi la domination monétaire des États-Unis sur le monde.

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  91. Aujourd'hui, environ 60 % des monnaies les plus utilisées dans le monde (anciennement appelées « monnaies convertibles ») sont le dollar américain. Alors que le monde est inondé de dollars américains totalement non garantis, le yuan chinois, la monnaie de la deuxième ou sans doute la plus grande économie (en termes de PPA), ne représente qu'environ 5 %.

    Ce déséquilibre doit être corrigé.

    Les indications en faveur d’une dédollarisation se multiplient. Au début des années 1990, plus de 90 % de toutes les réserves monétaires étaient détenues en titres libellés en dollars américains. De même, environ 90 % de l’ensemble du commerce international s’effectuait en dollars américains. Aujourd’hui, ces proportions ont été réduites respectivement à environ 50 % et 65 %.

    Il convient de mentionner que de nombreux pays de l'OPEP ont abandonné totalement ou partiellement la règle non écrite du commerce des hydrocarbures en dollars américains, remplaçant le dollar par des monnaies locales ou par le yuan.

    Mais il reste encore beaucoup à faire.

    Revenons au président Wilson, signataire de la loi sur la Réserve fédérale.
    Peu avant sa mort en février 1924, le président Wilson en vint apparemment à regretter d'avoir signé le projet de loi (Federal Reserve Act), en disant :

    « Je suis un homme très malheureux. J'ai involontairement ruiné mon pays. Une grande nation industrielle est contrôlée par son système de crédit. Notre système de crédit est concentré. La croissance de la nation et toutes nos activités sont donc entre les mains de quelques hommes. Nous sommes devenus l'un des gouvernements les plus mal gouvernés, l'un des plus complètement contrôlés et dominés du monde civilisé, non plus un gouvernement de libre opinion, non plus un gouvernement de conviction et du vote de la majorité, mais un gouvernement de libre opinion. opinion et contrainte d’un petit groupe d’hommes dominants.

    S’il s’agit bien d’une citation exacte du président Woodrow Wilson, sa clairvoyance a eu des répercussions jusqu’à ce jour : le monde est gouverné par une petite élite et un système inégal, encore aujourd’hui largement dominé par une monnaie unique, le dollar américain, qui est soutenu par une monnaie unique. par rien, ni par l'or, ni par les matières premières, ni même par la propre économie des États-Unis.

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  92. Si le PIB et la dette sont une indication de la valeur d'une monnaie, considérez ceci : le PIB américain actuel en termes absolus est d'environ 27 000 milliards de dollars américains (suivi par l'équivalent chinois de 19 400 milliards de dollars américains), comparé à une dette américaine actuelle de 33 200 milliards de dollars. – environ 123 % du PIB (la dette actuelle de la Chine équivaut à 12 600 milliards de dollars américains – soit un ratio dette/PIB d'environ 65 %).

    Cependant, la dette réelle des États-Unis, également appelée « passif non financé », s’élève actuellement à environ 290 000 milliards de dollars (près de 11 fois le PIB américain actuel). Environ 40 % des dettes non financées sont constituées d'intérêts courus sur des dettes jamais destinées à être payées, et 20 % de dettes médicales non satisfaites, principalement liées aux blessures et aux traumatismes psychiques des anciens combattants ; et environ 12 % concernent des engagements non capitalisés en matière de sécurité sociale.

    Un indicateur économique peu utilisé est la parité de pouvoir d’achat (PPA). Il égalise la valeur d’un panier de biens qu’une monnaie peut acheter, en éliminant les différences de niveaux de prix entre les pays. Le facteur PIB-PPA aux États-Unis est de 23 600 milliards de dollars américains, contre 33 500 milliards de dollars américains en Chine (estimation 2023).

    Converti en par habitant et par an (pc/an). PPA : US = 69 500 US$ ; et Chine = équivalent 24 000 dollars américains. Cela signifie qu'en Chine, vous pouvez acheter pour 24 000 $ US/pièce/an, ce qui coûterait aux États-Unis 69 500 $ US/pièce/an.

    En termes économiques réels, le PIB-PPA est plus significatif que le PIB non ajusté.

    Vers un nouveau système monétaire international
    Toute réforme monétaire doit être envisagée et menée en tenant compte de l’ordre international actuel, fortement marqué par des conflits toujours croissants entre l’Ouest et l’Est.

    Les puissances occidentales cherchent à préserver leur statut en rivalisant avec le développement autonome et souverain des nations indépendantes, ou des nations qui s’efforcent de devenir et de rester indépendantes des crocs occidentaux.

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  93. Pour renforcer leur contrôle sur les événements mondiaux – et de facto , pour tenter d’établir un « gouvernement mondial unique » – les puissances occidentales ont mis en place ce qu’on appelle des « ordres fondés sur des règles » tentant d’effacer les lois internationales et nationales établies. En conséquence, la Cour internationale de Justice (CIJ) de La Haye est devenue inopérante et a disparu.

    La philosophie de vie et de coopération de la Chine et de la Russie avec le monde, et en particulier avec l'Asie, favorise un espace de stabilité et de développement commun.

    L’année 2023 a montré que la Grande Eurasie et l’Asie ont jusqu’à présent résisté aux influences extérieures négatives, qui ont les conséquences les plus dramatiques en Europe et au Moyen-Orient.

    En résumé, l’Asie et l’Eurasie restent un espace de coopération et non de compétition. Les principales puissances régionales sont en mesure de parvenir à des conditions équitables envers leurs petits partenaires.

    Les nouveaux BRICS-11 (5+6), géographiquement dispersés, ajoutent une nouvelle dimension à la coopération internationale – et à un détachement constructif du régime de sanctions occidental (américain) et du dictat mondial dominé par le dollar américain.

    *

    Un système monétaire international nouveau ou révisé : pourrait être envisagé.
    Général

    Attribuer un rôle plus important aux PPP – dans l'évaluation économique ainsi que dans la moyenne pondérée des DTS du FMI ;
    Une réduction massive des dollars américains inonde le monde.
    FMI / Banque mondiale

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  94. Le yuan chinois sera réévalué en DTS, en fonction de la puissance économique de la Chine
    La contribution chinoise au FMI et à la Banque mondiale sera réévaluée, selon la moyenne pondérée des économies des pays membres
    Le droit de veto au sein de ces organisations doit être réévalué ; soit abandonnés complètement, c'est-à-dire un participant – une voix, soit attribués en fonction des pouvoirs de vote nouvellement évalués.
    Banque asiatique d'infrastructure et d'investissement (AIIB)

    L'AIIB doit devenir un acteur toujours plus fort dans le développement économique international, non pas en tant que concurrent de la Banque mondiale et du FMI, mais plutôt en tant que coopérateur et leader ou co-leader dans des secteurs spécifiques, où l'AIIB pourrait avoir un avantage comparatif.
    L'AIIB pourrait prendre la tête des investissements multidevises (développement économique), en promouvant les monnaies locales, en partant du principe que les monnaies locales renforcent la souveraineté et la force économique d'une nation.
    Devises virtuelles / de trading

    Dans le but de dédollariser – c’est-à-dire d’équilibrer les monnaies dans la circulation mondiale – et d’interdire/bloquer efficacement les sanctions (économiques), qui se sont révélées préjudiciables aux économies plus petites et plus faibles :

    Promouvoir le trading en monnaies locales – Accords SWAP
    Abandonner le système de transfert SWIFT – en le remplaçant par non pas un, mais différents systèmes de transfert, non liés au dollar américain ;
    Développer une ou plusieurs monnaies d'échange virtuelles de type DTS (moyenne pondérée d'indicateurs économiques spécifiques) ;
    Type DTS – désigne une monnaie de négociation internationale (ITC) basée sur les principes appliqués au DTS du FMI ;
    L'AIIB pourrait être à l'avant-garde du développement d'un ITC
    BRICS-plus pourrait constituer un premier essai d’un CIT commun de type DTS ;
    Monnaies numériques – y compris les monnaies numériques de la banque centrale (CBDC)

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  95. À utiliser spécifiquement pour le commerce international ;
    Si elles sont utilisées pour les transactions personnelles et commerciales quotidiennes, les monnaies numériques, incl. Les CBDC ne devraient pas remplacer les transactions en espèces, laissant les gens libres de choisir entre les espèces et les monnaies numériques
    Garantie des devises

    La propre économie d'un pays devrait déterminer le flux monétaire d'un pays, en tenant compte des réserves internationales et des fluctuations de la croissance économique interne et de la contraction.
    Au lieu de l'or ou d'autres métaux précieux, les monnaies pourraient être adossées à un ou plusieurs paquets de, disons, 20 à 25 matières premières utilisées à l'échelle internationale, dont env. un troisième pourrait être spécifique à un pays.

    De tels paquets de produits pourraient également inclure de l'or et d'autres métaux précieux, mais avant tout des produits alimentaires essentiels et couramment utilisés et différents types de matières premières, y compris les hydrocarbures (notamment le pétrole et le gaz) – et éventuellement d'autres (peut-être 10 à 15 % ?), de des indicateurs sociaux moins tangibles ; comme la santé publique ; niveau d'éducation; une coopération internationale pacifique; capacité de résolution des conflits….
    Il est entendu que ces indicateurs, les paquets de produits, et éventuellement les indicateurs sociaux, devraient être périodiquement examinés et réévalués par un organisme international désigné par la Communauté des Nations.

    La Communauté des Nations n'est pas nécessairement représentée par les Nations Unies. L'ONU, telle qu'elle existe et fonctionne aujourd'hui, n'est plus l'ONU créée en octobre 1945 à San Francisco, pour remplacer la Société des Nations (créée après la Première Guerre mondiale), dans le but spécifique d'aider à résoudre les conflits internationaux et de promouvoir la paix et la paix. l’harmonie entre les nations, car elle est aujourd’hui dominée par les États-Unis et quelques alliés des États-Unis.

    Même si une révision de l’ONU est nécessaire, elle dépasse la tâche consistant à concevoir un système monétaire international révisé ou nouveau.

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  96. Conclusion

    Le processus d’introduction d’un nouveau système de « garantie monétaire » pourrait prendre du temps et pourrait commencer en Asie, sous la direction de la Chine et de la Russie, s’étendre aux pays de l’ASEAN et des BRICS, et éventuellement être adopté également en Occident, c’est-à-dire une révision et une refonte réussies du FMI et de la Banque mondiale.

    L'AIIB et l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS), ainsi que l'Institut monétaire international (IMI) de Chine, pourraient jouer un rôle de premier plan dans la conception de programmes de soutien monétaire.

    Voici quelques idées qui pourraient être examinées et discutées lors du séminaire sur un « Nouveau système monétaire international » le 23 janvier 2024 à Pékin.

    https://www.globalresearch.ca/towards-new-international-monetary-system/5848233

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    Réponses
    1. Tout est question de marchés. Oui mais... de FAUX marchés !(je ne sais pas si le terme exact existe) car dès lors qu'a été créé la monnaie elle s'étendait et s'entendait sur l'or. Oui mais, comme très vite les dirigeants de l'époque (disons les criminels psychopathes couronnés) se sont aperçu que le volume de l'or dans le sol était moindre que le fer... Aïe-aïe-aïe ! D'où l'arrivée de 'l'or(-papier' appelé 'billets de banques'. Aaaaalors là c'était LE bouquet ! Pchitt ! Plus que dalle ! Rien, nada, l'or n'existe plus et ton billet tu peux te le foutre au c.. !

      Car, TOUT ce qui est appelé 'Matière Première' (or, argent, fer, cuivre, pétrole jusqu'au jus d'orange - si-si ! le jus d'oranges fait partie des MP ! - a un 'prix' fixé non pas par des transactions d'achats-ventes mais par... un 'bureau' ! Ouais ! Donc, le prix de l'or (pour revenir à lui) se fait A LA TÊTE DU CLIENT ! Compris ? C'est pourquoi son prix est toujours au prix-plancher !

      Car, siiiiii le marché étai libre... le prix de l'or serait à 100 fois celui d'aujourd'hui ! (et là attention ! si demain le prix de l'or est libéré... tu ne sortiras pas dans la rue avec une bague au doigt, boucles d'oreilles pou collier en or !! Ce serait LA guerre civile avec des centaines de millions de morts ! ("Où t'as planqué ton or .! OÙ ?? !").

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  97. Fier de payer ?


    Par Laurence M. Vance
    2 février 2024


    Aux États-Unis, les 1 % des contribuables les plus riches paient plus d’impôts sur le revenu que les 90 % les plus pauvres réunis, et les 50 % des contribuables les plus pauvres ne paient qu’environ 3 % des impôts sur le revenu. La version actuelle du code des impôts comporte sept tranches d’imposition. Cinq d’entre eux dépassent les 20 %, le taux le plus élevé étant de 37 %. Cela s'ajoute aux 12,4 % (répartis à parts égales entre l'employeur et l'employé) d'impôt de sécurité sociale que les Américains paient sur les premiers 168 600 $ de leur revenu et aux 2,9 % (répartis à parts égales entre l'employeur et l'employé) de l'impôt Medicare que les Américains paient sur chaque dollar de revenu. leurs revenus. Les riches aux États-Unis paient certainement leur « juste part ». Et puis il y a l’impôt sur les successions qui varie de 18 à 40 % sur les actifs supérieurs à 13,61 millions de dollars.

    Certains riches aux États-Unis pensent qu’ils ne paient pas suffisamment d’impôts. Dans une lettre ouverte adressée aux dirigeants mondiaux réunis lors de la récente réunion de Davos, certains des plus riches du monde ont supplié d’être davantage imposés. « En tant que membres les plus riches de la société », ils disent qu'ils seraient :

    Fier de payer plus pour lutter contre les inégalités extrêmes.
    Fier de payer plus pour contribuer à réduire le coût de la vie des travailleurs.
    Fier de payer plus pour mieux éduquer la prochaine génération.
    Fier de payer plus pour des systèmes de santé résilients.
    Fier de payer plus pour une meilleure infrastructure.
    Fier de payer plus pour une transition verte.
    Fier de payer plus d’impôts sur notre extrême richesse.

    La lettre est signée par des résidents de 17 pays, dont les Américains Abigail Disney (héritière de Disney), Valerie Rockefeller (héritière de Rockefeller), George Zimmer (ancien PDG de Men's Wearhouse) et Holly Marklyn (dirigeante à la retraite de Microsoft).

    Je note que Bill Gates, Jeff Bezos et Mark Zuckerberg n'ont pas signé la lettre ouverte.

    Si les super riches des États-Unis sont si fiers de payer plus, alors qu’est-ce qui les en empêche ?

    Pourquoi les super riches n’écrivent-ils pas un chèque à chaque Américain qui gagne moins de 50 000 dollars par an ?

    Pourquoi les super riches n’achètent-ils pas une nouvelle voiture à chaque Américain ?

    Pourquoi les super riches n’inscrivent-ils pas tous les Américains à un service de repas ?

    Pourquoi les super riches ne donnent-ils pas à chaque enfant un bon pour fréquenter l’école de son choix ?

    s un emploi à tous les chômeurs américains dans leur fondation ?

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  98. Pourquoi les super riches ne garantissent-ils pas à chaque Américain un revenu de base universel ?

    Pourquoi les super riches ne construisent-ils pas des maisons et ne les donnent-ils pas aux Américains pauvres ?

    Pourquoi les super riches ne paient-ils pas toutes les autoroutes d’Amérique ?

    Pourquoi les super riches ne donnent-ils pas un million de dollars à toutes les banques alimentaires des États-Unis ?

    Pourquoi les super riches ne garantissent-ils pas à chaque Américain un emploi rémunéré au minimum 20 dollars de l’heure ?

    Pourquoi les super riches ne construisent-ils pas de nouveaux hôpitaux et cliniques gratuites ?

    Pourquoi les super riches ne paient-ils pas pour que chaque Américain ait une éducation universitaire ?

    Pourquoi les super riches ne remboursent-ils pas les cartes de crédit et les dettes étudiantes de tous les Américains ?

    Pourquoi les super riches ne paient-ils pas un appartement pour chaque sans-abri ?

    Pourquoi les super riches ne donnent-ils pas un million de dollars à toutes les œuvres caritatives des États-Unis ?

    Pourquoi les super riches ne paient-ils pas pour l’assurance maladie de tous les Américains ?

    Pourquoi les super riches comme Abigail Disney n’achètent-ils pas à chaque Américain un billet pour Disney World ?

    Qu’attendent les super riches ? Pourquoi attendent-ils que le gouvernement les taxe davantage ? S’ils sont fiers de payer, pourquoi ne paient-ils pas et ne se taisent-ils pas ?

    https://www.lewrockwell.com/2024/02/laurence-m-vance/proud-to-pay/

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    1. (...) Pourquoi les super riches ne donnent-ils pas... (...)

      L'argent est un rapport. 'Pourquoi les super riches ne donnent-ils pas...'

      Un grand pourcentage de personnes au monde (j'ignore le %) joue chaque jour ou semaine ou mois à des jeux de loterie, tiercé, etc. Pourquoi ?? Devenir riche ! Et, si vous deveniez riche vous... HOULALA ! N'exagérons pas ! Ton fric tu te le gardes ! Te te le dépenses ! Tu feras travailler DES milliers de personnes à bâtir maisons, mobilier ou tondre tes pelouses, astiquer tes caisses et hélicoptères, yachts, avions ou sous-marins !

      Oui mais voila... si ti as la malchance d'investir en entreprises... t'auras des impôts qui ne seront JAMAIS redistribués aux contribuables !! sans compter sur les agents de la dictature gouvernementale (appelés syndicats) qui vont tout faire pour te faire couler !

      Donc, 1°) tu vas te la couler douce en îles au soleil et 2°) tu planquera ta galette en paradis tropicaux pour pas te la faire voler !
      Voila voila !

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  99. La campagne de désinformation de l'UE n'est rien d'autre qu'une expansion du pouvoir


    2 février 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a appelé les élites mondiales réunies lors du sommet annuel du Forum économique mondial (WEF) de 2024 à concentrer leurs énergies sur la censure de la soi-disant « désinformation ». A l'ouverture de la réunion annuelle du WEF à Davos, Leyen a appelé à une coopération accrue entre les gouvernements et les entreprises privées pour imposer la censure dans le secteur technologique face à la « désinformation à l'échelle industrielle ».
    Comme indiqué, Leyen a suivi dans son discours le contenu du « Rapport sur les risques mondiaux » du président du WEF, Klaus Schwab. La présidente de la Commission européenne, qui siégeait auparavant au conseil d'administration du WEF, a profité de son discours à Davos mardi pour souligner les prétendus "risques" liés à la liberté d'expression du public et à l'expression d'idées fausses. Ces risques sont "sérieux". parce qu’ils « limitent notre capacité à relever les grands défis mondiaux auxquels nous sommes confrontés » – le changement climatique, démographique et technologique, ainsi que « l’intensification des conflits régionaux et l’augmentation de la concurrence géopolitique ».

    Dans son « Freedom Blog », David Thunder , chercheur et maître de conférences en philosophie politique à l'Université de Navarre à Pampelune, analyse les véritables intentions de Leyen :

    Selon la présidente de la Commission, von der Leyen , la réponse aux risques de mésinformation et de désinformation est que les entreprises et les gouvernements « travaillent ensemble » pour maîtriser le problème. Bien que von der Leyen n'utilise pas le mot « censure » dans son discours, l'exemple qu'elle donne de « coopération » entre les entreprises et les gouvernements est la loi européenne sur les services numériques, qui restreint les principales plateformes en ligne telles que X/Twitter et Meta/Facebook. légalement tenu de censurer la désinformation, la désinformation et les discours de haine.

    Rares sont ceux qui remettraient en question l’affirmation selon laquelle l’intelligence artificielle, les robots et divers acteurs malveillants peuvent utiliser les médias sociaux et autres autoroutes de l’information numérique pour confondre, désorienter et manipuler les citoyens. Mais comme tout politicien intelligent, la présidente de la Commission européenne sait comment utiliser une crise pour étendre son propre pouvoir, et son discours du 16 janvier à Davos a été un chef-d’œuvre de manipulation de crise.

    Elle aurait pu utiliser sa position unique de leader pour mettre en lumière la véritable nature de la menace de désinformation, qui vient de toutes les directions – non seulement d'acteurs privés malveillants, mais aussi de gouvernements menant des campagnes « d'information » pour manipuler les instincts primaires des gens, notamment la peur et la solidarité. , pour l'utiliser pour soutenir leurs politiques préférées. Mme von der Leyen aurait pu utiliser sa plateforme pour avertir son public des dangers de confier les clés d’Internet à une poignée d’acteurs puissants ayant un intérêt évident à faire taire ses critiques.

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  100. Mais au lieu de cela, dans son propre intérêt politique, il a présenté une image totalement intéressée, partiale et malhonnête des risques de « désinformation » et de « désinformation », qui rappelle les réflexions d’un dictateur. Le discours général qu’elle a véhiculé était que les propageurs de « désinformation » contrecarraient la coopération mondiale, mais que si les entreprises et les gouvernements unissaient leurs forces, ils pourraient étouffer dans l’œuf cette avalanche de désinformation et de désinformation. Cette vision est erronée à bien des égards :

    Cette vision naïve de « nous, l'élite économique et politique héroïque du monde » et « d'eux, les méchants producteurs de désinformation » détourne l'attention du fait plutôt gênant que la désinformation et la mésinformation apparaissent de tous les côtés du spectre politique. Il n’existe pas d’« équipe mondiale » chargée de supprimer la « désinformation ». Si ces dernières années nous ont appris quelque chose, c'est que ceux qui appliquent les règles à la « désinformation » (par exemple les « fact checkers ») sont souvent ceux qui mentent ou trompent le public, que ce soit sur l'origine du coronavirus, la sécurité et l’efficacité des vaccins à ARNm ou d’autres questions d’importance publique.

    Étant donné que la « mésinformation » et la « désinformation » sont répandues dans tout le spectre politique et ne sont pas entre les mains de quelques acteurs malveillants faciles à appréhender, les perceptions de ce qui constitue de la désinformation et de la désinformation varient souvent dans la pratique en fonction des intérêts et des préjugés politiques de chacun. et n’est pas une catégorie moralement ou politiquement neutre.

    Les dictateurs et les tyrans sont prompts à accuser leurs détracteurs de désinformation et à brouiller la frontière entre dissidence raisonnable et « désinformation » malveillante – ils ont évidemment reconnu l’utilité du terme comme outil de propagande. Les tentatives répétées de faire taire les critiques sous prétexte qu'ils menacent la démocratie de « désinformation » sont réservées aux dictateurs et non aux dirigeants attachés aux principes de responsabilité démocratique. Un dirigeant démocrate accepte que ses politiques soient publiquement remises en question, même si cela retarde leur mise en œuvre. Un dirigeant tyrannique, en revanche, est impatient face aux critiques et préférerait simplement les faire taire.

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  101. Enfin, l’appel à la solidarité et à la coopération dans la lutte contre la désinformation est pour le moins fallacieux, si l’on considère que l’exemple de coopération public-privé cité par von der Leyen implique une ingérence coercitive des bureaucrates européens dans les politiques de modération des plateformes en ligne. Personne ne prétendrait que les plateformes en ligne sont gérées par des anges ou que leurs politiques de modération sont à l’abri des critiques, mais tout le discours selon lequel « travaillons ensemble pour le bien commun » s’effondre lorsque le principal instrument de « collaboration » est la législation via les services numériques.) qui intronise une élite politique et ses employés comme arbitres obligatoires de la vérité et du mensonge sur Internet. Il s’agit d’une simple prise de pouvoir de la part de la Commission européenne et des gouvernements des États membres de l’UE , et non d’une « collaboration » avec des entreprises pour lutter contre la désinformation.

    https://tkp.at/2024/02/02/desinformations-kampagne-der-eu-ist-nichts-anderes-als-machtausweitung/

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    1. (...) Bien que von der Leyen n'utilise pas le mot « censure » dans son discours, l'exemple qu'elle donne de « coopération » entre les entreprises et les gouvernements est la loi européenne sur les services numériques, qui restreint les principales plateformes en ligne telles que X/Twitter et Meta/Facebook. légalement tenu de censurer la désinformation, la désinformation et les discours de haine. (...)

      Le blog (60 articles): SUPPRIMÉ !

      - Excalibur trad...

      Jeudi 4 Janvier 2024

      La DR Carrie Madej n'A PLUS LE DROIT DE S'EXPRIMER SUR LE BLOGSPOT DE BLOGGER DE GOOGLE !!

      * * *

      LA DR. CARRIE MADEJ NOUS MET EN GARDE CONTRE LE VACCIN.

      - voir sur:

      https://odysee.com/6367:d

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  102. Trump met en garde : il y a désormais 100 % de chances que des attaques terroristes majeures se produisent aux États-Unis, grâce à la politique d’OUVERTURE DES FRONTIÈRES de Biden


    31/01/2024
    Arsène Tolède


    L'ancien président Donald Trump a averti que les politiques d'ouverture des frontières de l'administration Biden garantissent que les États-Unis seront confrontés à des attaques terroristes majeures perpétrées par des immigrants illégaux.

    "Il y a à peine trois ans, nous avions la frontière la plus solide et la plus sûre de l'histoire des États-Unis. Aujourd'hui, nous sommes confrontés à une catastrophe qui nous attend", a écrit Trump dans son compte sur la plateforme de médias sociaux Truth Social. "C'est la pire frontière de l'histoire du monde, une plaie ouverte dans notre autrefois grand pays." (Connexe : Des vétérans de la communauté du renseignement mettent en garde contre un "danger imminent" auquel les États-Unis sont confrontés en raison de l'INVASION DE MIGRANTS à la frontière sud.)

    À travers cette soi-disant « plaie ouverte », Trump a prévenu que « les terroristes affluent » sans contrôle, « du monde entier ». Il a poursuivi : "Il y a désormais 100 pour cent de chances qu'il y ait des attaques terroristes majeures aux États-Unis. Fermez la frontière !"

    Trump a également utilisé son profil Truth Social pour envoyer un message aux républicains du Sénat et de la Chambre des représentants afin qu'ils votent contre un accord bipartisan qui, selon l'administration Biden, pourrait résoudre la crise à la frontière sud.

    "Un mauvais accord frontalier est bien pire que pas d'accord frontalier", a écrit Trump. Il a souligné que les démocrates ont transformé la frontière et les milliers d'immigrants illégaux qui la traversent en une « arme de destruction massive », et que les États-Unis sont passés de la « meilleure » frontière de l'histoire à la « pire » en seulement trois ans. , grâce à l’administration Biden.

    L’administration Biden et les membres du Sénat favorables à l’accord frontalier affirment qu’il s’agirait de l’un des projets de loi sur l’immigration les plus sévères adoptés par le Congrès depuis un siècle. En échange, Biden et les démocrates seraient en mesure d’augmenter l’aide militaire financée par les contribuables à l’Ukraine ainsi qu’à d’autres pays comme Taiwan.

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  103. "Cela ne va pas [passer], et je me battrai jusqu'au bout", a déclaré Trump lors d'un événement de campagne le 27 janvier au Nevada.

    Président Johnson : L’accord frontalier est « mort dès son arrivée »
    Le président de la Chambre, Mike Johnson (R-LA), qui a déclaré qu'il discutait fréquemment avec Trump au sujet de la frontière, s'est prononcé en faveur des souhaits de l'ancien président. Il a qualifié l'accord de "mort à l'arrivée" et a redoublé d'accent dans une déclaration ultérieure, affirmant que les conditions proposées étaient insuffisantes pour mettre un terme aux passages illégaux des frontières.

    Bien que le texte du projet de loi sur les frontières n'ait pas encore été publié, des détails divulgués à la presse suggèrent qu'il inclura une mesure qui abaissera le plafond du nombre de personnes pouvant demander l'asile chaque jour à la frontière sud. Cela fermerait effectivement la frontière si le nombre de migrants rencontrés atteignait 8 500 en une seule journée, soit une moyenne quotidienne de 5 000 en une semaine.

    Ces restrictions ne sont que temporaires et ne resteront en vigueur que jusqu'à ce que le nombre de passages illégaux diminue et reste faible pendant une période prolongée. L’accord accélérerait également la procédure d’asile, permettant aux véritables demandeurs d’asile de recevoir dans un délai de six mois la bonne nouvelle qu’ils attendaient tout en accélérant l’expulsion des demandeurs d’asile frauduleux.

    L'opposition de Trump a également suscité des inquiétudes parmi un petit groupe de républicains, parmi lesquels le sénateur de l'Utah Mitt Romney.

    "La frontière est une question très importante pour Donald Trump", a déclaré Romney aux journalistes dans un communiqué dans lequel il affirme que Trump voulait maintenir la crise frontalière jusqu'en novembre afin de pouvoir ensuite s'attribuer le mérite de l'avoir résolue. "Le fait qu'il communique aux sénateurs et aux membres du Congrès républicains qu'il ne veut pas que nous résolvions le problème des frontières – parce qu'il veut en rejeter la faute sur Biden – est vraiment épouvantable."

    Apprenez-en davantage sur la crise frontalière actuelle sur OpenBorders.news.

    Regardez le Health Ranger Mike Adams et le lieutenant-colonel à la retraite de la réserve de l'armée américaine Anthony Shaffer discuter du programme de Trump sur la sécurité des frontières et l'immigration dans le « Health Ranger Report » ci-dessous.

    Cette vidéo provient de la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires connexes:

    Biden accepte un accord qui permet de FERMER la frontière lorsque le Texas est submergé – Mais pourquoi attendre ? Arrêtez-le maintenant !

    Trump appelle les États à DÉPLOYER DES TROUPES DE GARDE NATIONALE au Texas pour protéger la frontière au milieu de la querelle Abbott-Biden.

    25 gouverneurs républicains promettent leur soutien au gouverneur du Texas Greg Abbott et à son DÉFI envers les ordres illégaux de Biden visant à permettre une INVASION MIGRANTE illimitée des États-Unis.

    Les sources incluent :

    InfoWars.com
    LaHill.com 1
    Axios.com
    Politico.com
    LeMessenger.com
    TheHill.com 2
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2024-01-31-trump-100-percent-chance-terror-attacks-us.html

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  104. L’invasion menée par le gouvernement fédéral doit être stoppée par les lois et l’application des lois des États

    Les gouverneurs prennent des mesures temporaires, mais l’invasion reste un problème persistant. Les législateurs des États doivent prendre des mesures permanentes.


    Par James Anthony
    2 février 2024


    Le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a officiellement déclaré le 24 janvier 2024 que plus de 6 millions d’immigrants illégaux ont traversé la frontière sud du Texas en seulement 3 ans, et que l’autorité constitutionnelle du Texas pour se défendre et se protéger de cette invasion est la loi suprême du pays.

    Le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, a reconnu que le Texas avait parfaitement le droit d'appliquer la loi fédérale pour se défendre, et il avait déjà commencé à envoyer des gens pour l'aider il y a des années. Un soutien similaire ou plus restreint a été rapidement exprimé par plusieurs représentants des États de Caroline du Sud, et au total par les gouverneurs de 25 États.

    Invasion et pouvoirs constitutionnels

    Les membres d’un groupe, quelle que soit sa taille, doivent être capables de protéger la vie, la liberté et les biens de chacun des gouvernements en n’admettant que les personnes qui soutiennent la protection de ces choses contre les gouvernements. Pour ce faire, aux États-Unis, nous utilisons la Constitution pour déléguer un pouvoir énuméré au gouvernement national afin d'établir une règle uniforme de naturalisation, et un pouvoir de soutien pour que cette règle compte véritablement et nous protège correctement.

    Des règles constitutionnelles nationales sur la naturalisation et l'immigration ont été adoptées, mais elles sont systématiquement bafouées. Le congrès actuel et le président Biden utilisent les Nations Unies comme organisation holding par l’intermédiaire de laquelle ils financent 248 organisations « non gouvernementales » dans 17 pays d’Amérique latine pour organiser l’invasion des États-Unis par des extraterrestres. Parmi tous les étrangers qu’ils ont rencontrés à la frontière sud-ouest, les subordonnés complices du président Biden en ont arrêté au maximum 11,5 %.

    Pour que les gouvernements des États puissent garantir de manière adéquate la vie, la liberté et les biens de leurs résidents, ils devraient promulguer et appliquer des lois constitutionnelles qui repoussent les envahisseurs. Rob Natelson et Andrew Hyman ont compilé un dossier approfondi selon lequel, compte tenu de l'état des États au moment de la ratification de la Constitution, les membres du gouvernement de l'État se sont vu déléguer le pouvoir constitutionnel lors de l'invasion actuelle pour émettre des avertissements, ériger des barrières, lever des troupes et des navires de l'État, utiliser ceux-ci pour mener une guerre défensive, créer des points de contrôle, renvoyer les envahisseurs, capturer des combattants, saisir leurs biens, tuer des combattants qui ne se rendent pas, lancer des attaques préventives, incursion dans les souverainetés voisines qui abritent l'ennemi, suspendre l'habeas corpus et détenir des prisonniers de guerre. .

    Les gouvernements des États n’ont pas besoin d’utiliser tous ces pouvoirs, mais ils doivent être conscients qu’ils disposent d’un pouvoir plus que suffisant pour protéger leur peuple contre l’invasion.

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  105. Lois étatiques et application nécessaires

    Les législateurs des États ont le devoir d’adopter des règles d’engagement suffisamment claires pour protéger leurs citoyens dans les situations dans lesquelles ils les mettent en danger. Ils ont le devoir de déclarer qu'une invasion est présente et qu'elle sera repoussée.

    Les législateurs et les gouverneurs des États ont le devoir d’adopter des projets de loi qui établiraient des lois, comprenant des règles et des sanctions associées, qui ne violeraient pas les lois constitutionnelles nationales et qui auraient une force suffisante pour assurer la sécurité des résidents de l’État. Ils peuvent y parvenir en reproduisant dans les lois des États un ensemble minimal de règles et de sanctions contenues dans les lois nationales existantes. Idéalement, ils devraient plutôt élaborer de meilleures lois qui soient des modèles exemplaires, dont l’utilisation pratique sera bientôt prouvée.

    Les gouverneurs et tous les autres dirigeants de l'État auxquels sont conférés certains des pouvoirs exécutifs de l'État ont le devoir d'exécuter les lois constitutionnelles. Surtout à la suite de l’expérience récente des prises de pouvoir rationalisées par le Covid, les dirigeants devraient résolument renoncer à tout recours aux pouvoirs d’urgence – des pouvoirs qu’ils n’auraient pas dû être délégués, et si ceux-ci sont délégués, qu’ils ne devraient jamais accepter. Ils pourraient trouver opportun, au début, d’appliquer les lois nationales existantes, en recourant aux tribunaux d’État et aux prisons.

    Étapes vers la liberté

    Le gouvernement national prive indûment les résidents de l’État de leur vie, de leur liberté et de leurs biens par le biais d’invasions, mais il ne s’agit là que d’un domaine politique parmi tant d’autres. Il est essentiel de réagir en soutenant la Constitution : en adoptant par voie législative des projets de loi constitutionnels composés uniquement de règles et de sanctions, et en signant ces projets de loi par l’exécutif et en acceptant l’entière responsabilité de l’exécution des lois constitutionnelles.

    La Constitution définit avant tout les processus. Soutenir la Constitution exige de mener à bien ces processus. Chaque bon pas dans n'importe quel domaine forme une personne sur la voie qu'elle doit suivre dans tous les domaines.

    L’invasion actuelle, dont ses architectes entendent provoquer la tyrannie, peut – et devrait – au contraire être un catalyseur qui accroît la liberté.

    https://www.lewrockwell.com/2024/02/james-anthony/federally-driven-invasion-must-be-ended-by-state-laws-and-enforcement/

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  106. Trump : l’attentat terroriste du 11 septembre 2001 est l’œuvre des États-Unis


    1 février 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    D'un point de vue technique et grâce à l'émission de la BBC du 9 novembre 2001, il est clair depuis longtemps que l'effondrement des trois tours du WTC ne pouvait être provoqué que par une démolition hautement professionnelle. Après presque un quart de siècle de primaires, l'ancien président américain et désormais nouveau candidat à la présidentielle Donald Trump a décidé de dire la vérité sur l'attaque des Twin Towers à New York. Selon Trump, les autorités américaines lui ont « interdit de parler » pendant quatre ans, mais il souhaite désormais s’exprimer ouvertement.
    « Il n’y a pas eu d’attaque contre les tours jumelles du World Trade Center. Il n’y a pas eu l’attaque que l’on avait laissé croire impliquant d’autres pays. Mais nous avons fini par nous laisser entraîner dans une guerre au Moyen-Orient. Nous avons dépensé 9 000 milliards de dollars, nous avons tué des millions de personnes », a déclaré Trump.

    Trump a confirmé l’une des principales versions des attentats du 11 septembre, qui remet tout en perspective. La tragédie, qui a fait des milliers de morts, a permis aux États d’envahir l’Afghanistan, l’Irak puis la Libye et la Syrie. « Grâce » également aux attentats terroristes, l’attention a été détournée de l’opération américaine et de l’OTAN en Yougoslavie.

    Déjà à cette époque, les Américains incitaient le monde musulman à justifier une augmentation du budget militaire et la présence de leurs contingents dans d’autres régions et à se donner « carte blanche » pour commettre des crimes dans le monde entier.

    Et maintenant, je m'inquiète vraiment pour la vie de Donald Trump.

    🇺🇸 L'ATTAQUE DU 11 SEPTEMBRE ÉTAIT L'ŒUVRE DES ÉTATS-UNIS

    Donald Trump : "Je suis resté silencieux sur cette question pendant quatre ans, mais maintenant j'en parle tout le temps, nous n'avons pas eu d'attentats contre le WTC (Twin Towers), nous n'avons pas eu d'attentats comme vous l'avez vu et il n'y avait aucune preuve que d'autres pays étaient impliqués... mais nous avons fini par nous laisser entraîner dans une guerre au Moyen-Orient... Nous avons dépensé 9 000 milliards de dollars, nous avons tué des millions de personnes, de notre côté, de leur côté, ... et qu'avons-nous obtenu ? Rien. Tout ce que nous avons eu, c'est la mort et le sang.

    L'ancien président américain a qualifié la politique étrangère du pays de honteuse et a souligné que la politique actuelle était une fois de plus empêtrée dans le Moyen-Orient.

    C'est ce que disent les techniciens

    Le titulaire de la chaire à la TU Ingolstadt Prof. Dr. Maximilian Ruppert est ingénieur en structure et expert en dynamitage. Le 4 novembre 2023, lors du Congrès du Club des Mots Clairs, il parlera publiquement pour la première fois de sa vie de la façon dont il a vécu accidentellement le 11 septembre 2001 (11 septembre) avec un groupe d'experts en ingénieurs en structures. et comment il l'évalue aujourd'hui. Personnellement, pour lui, c'était le début de la fin de la science. Voici la conférence sur le plus grand acte terroriste des temps modernes . Et ici en guise d'interview :

    En voici quelques extraits :

    Langemann : Après avoir observé cet effondrement... y avait-il des doutes dans ce petit cercle ? Auraient-ils pu dire : "Eh bien, peut-être que c'est vraiment un événement différent, parce que... les avions, nous les avons tous vus."

    Ruppert : Non, aucun doute. Pas un seul. Cela ne s'est pas produit. Nous l’avons su immédiatement. Cela a dû être rendu possible par une explosion planifiée, quelle que soit la manière dont elle a été réalisée. Mais nous l’avons immédiatement su : ils ont été abattus de manière contrôlée. Et nous n'avions vu que les deux tours. Je n'ai compris la troisième tour [WTC 7] que plusieurs années plus tard.

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  107. A propos de cette troisième tour, la confusion règne autour de l'histoire bizarre de la journaliste de la BBC Jane Stanley, qui a couvert en direct de New York l'effondrement du WTC7 le jour des attentats. Elle a signalé l'effondrement du WTC7 20 minutes plus tôt le 11 septembre, le bâtiment était toujours debout et clairement visible derrière elle.

    L’historien Daniel Ganser a également traité en détail du 11 septembre. Comme indiqué ici , plusieurs ingénieurs en construction de l'ETH Zurich et d'universités américaines ont prouvé que l'effondrement n'est possible que par une démolition ciblée, ce que Ganser a qualifié d'«exemples particulièrement flagrants de fausses informations».

    Un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a également accusé les États-Unis d'être responsables du 11 septembre, comme indiqué ici .

    https://tkp.at/2024/02/01/trump-terroranschlag-vom-11-september-2001-war-werk-der-usa/

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  108. Corinne Lalo , vraie écolo: supprimer la contradiction, c’est prendre parti pour un discours qui correspond à celui du gouvernement et d’intérêts privés.


    le 2 février 2024
    par pgibertie


    Corinne Lalo : "Toute la population est contaminée par les polluants du quotidien"
    Bénéficiant de plus de 35 ans d’expérience professionnelle, Corinne Lalo est journaliste d’investigation, grand reporter pour la presse écrite, la radio et la télévision (principalement à TF1 jusqu’en 2018 ) et spécialiste des questions d’environnement et santé. Elle a travaillé notamment sur des grands scandales de santé publique (sang contaminé, vaccin contre l’hépatite B, grippe H1N1, Médiator). Dans cet “Entretien essentiel“, elle analyse l’évolution du journalisme au fil de sa carrière et dresse un bilan sans appel : « une dégradation constante de la liberté d’informer ». Désormais, l’objectif des médias est de s’assurer que la population n’entende plus « qu’un seul son de cloche » au lieu d’exposer différents points de vue sur une polémique en vue d’aider les Français à se former leur propre opinion. Or, souligne-t-elle, « supprimer la contradiction, c’est prendre parti pour un discours » : un discours qui correspond à celui du gouvernement, qui lui-même assure la défense d’intérêts privés.

    https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/corinne-lalo-les-medias-ne-font-plus-de-l-information-mais-de-la-communication

    Une contre-enquête sur l’imposture pandémique, par Corinne Lalo, journaliste d’investigation et grand reporter, qui a traité les grands scandales de santé publique.Vous avez peut-être la vague sensation d’avoir été manipulés depuis le début de l’affaire Covid ? Vous avez raison! Peut-être avez-vous cru de bonne foi aux discours officiels, fondés sur la peur, mais qu’avec le temps, ensuite, votre confiance a fondu comme neige au soleil ? Cette sensation de malaise n’est pas surprenante, elle est le fruit d’une succession de mensonges accumulés depuis 2020, et même bien avant. Voici une sélection des 10 plus gros mensonges et les vérités qui dérangent de cette pandémie Covid artificielle. Et ce qu’il faudrait faire pour éviter que cela se reproduise. En résumé: La crise du Covid était en grande partie artificielle La gravité de la pandémie a été largement exagérée La peur a été orchestrée pour tétaniser la population Les contremesures comme les confinements ont été désastreuses Les campagnes de vaccinations étaient dangereuses et contreproductives Les conflits d’intérêts au niveau supranational expliquent la supercherie

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  109. Fausse pandémie, Vrais mensonges – Les dix plus grosses tromperies du Covid et les vérités qui dérangent

    Certains fantasment sur un humain augmenté… Encore faudrait-il commencer par arrêter de le diminuer au point de menacer sa survie. Le principal danger ne vient pas des virus, mais des produits chimiques qui ont envahi notre environnement quotidien et dérèglent notre système hormonal : les perturbateurs endocriniens. En cinquante ans, les hommes ont perdu plus de la moitié de leurs spermatozoïdes et leur testostérone décline.

    Les femmes voient leurs capacités de reproduction décroître avec la montée de nouvelles maladies ovariennes. Les cas d’autisme et d’allergies explosent chez les enfants. Des maladies autrefois rarissimes comme le diabète, l’obésité, les dysfonctions de la thyroïde, l’endométriose deviennent communes. Cette perte de potentialité n’est pas propre à l’espèce humaine, c’est toute la biodiversité qui est menacée.

    https://pgibertie.com/2024/02/02/corinne-lalo-vraie-ecolo-supprimer-la-contradiction-cest-prendre-parti-pour-un-discours-qui-correspond-a-celui-du-gouvernement-et-dinterets-prives/

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