- ENTREE de SECOURS -



lundi 19 février 2024

Conférence de Munich sur la sécurité – bras militaire du gouvernement fantôme mondial ?!

 

106 commentaires:

  1. Conférence de Munich sur la sécurité – bras militaire du gouvernement fantôme mondial ?!


    17.02.2024
    www.kla.tv/28218


    "Promouvoir la paix par le dialogue", "Être le premier forum mondial de débats sur la politique de sécurité internationale".

    Tels sont, entre autres, les objectifs de la Conférence de Munich sur la sécurité.
    Mais comment la Conférence de Munich sur la sécurité peut-elle s'engager pour la paix et contribuer à la résolution des conflits si les groupes d'armement qui gagnent de l'argent grâce aux guerres sont ses sponsors ?

    Se pourrait-il donc que la conférence de Munich sur la sécurité ne serve pas la sécurité de la population européenne ? Se pourrait-il qu'elle soit devenue, sans tenir compte des États-nations et de la volonté du peuple, le bras militaire du gouvernement mondial secret composé du groupe Bilderberg, du CFR et de l'ECFR, voire qu'elle ait été créée dans ce but ?
    Restez à l'écoute et découvrez dans l'émission suivante des révélations percutantes, et qui se cache réellement derrière la Conférence de Munich sur la sécurité.

    Du 16 au 18 février 2024 se tiendra la Conférence de Munich sur la sécurité. Elle fêtera à cette occasion son 60e anniversaire.
    Fondée en 1963, la Conférence de Munich sur la sécurité est une réunion internationale qui se tient chaque année à Munich et au cours de laquelle des responsables politiques, des représentants de l'armée et de l'économie ainsi que des organisations non gouvernementales, entre autres, mènent des débats stratégiques sur la situation de la sécurité mondiale.

    Avant de chercher quels sont les objectifs de la Conférence de Munich sur la sécurité, nous aimerions d'abord nous demander qui sont ses sponsors, car derrière les sponsors se révèlent aussi les objectifs de la Conférence de Munich sur la sécurité. Selon un vieil adage qui existait déjà à l'époque des troubadours : De celui dont je mange le pain, je chante aussi la chanson !

    Le site officiel de la Conférence de Munich sur la sécurité mentionne entre autres les sponsors suivants : Atlantic Council, Atlantic Bridge, Bill & Melinda Gates Foundation, Rockefeller Brothers Fund (famille Rockefeller), Rockefeller Foundation (famille Rockefeller), le think tank Chatham House, l'ECFR, c'est-à-dire le Conseil européen pour les relations internationales. L'Open Society Foundations de George Soros n'est actuellement plus mentionnée comme sponsor, mais l'était ces dernières années.
    Des groupes d'armement sont également cités comme sponsors, notamment Airbus, Rheinmetall, MBDA, une entreprise d'armement européenne et Lockheed Martin. Selon le journal Handelsblatt du 12 mars 22, Lockheed Martin est le plus grand groupe d'armement au monde. En 2020, le groupe a vendu des armes pour une valeur totale de plus de 58 milliards de dollars.

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  2. Alors que l'industrie de l'armement se présente comme un sponsor, la Conférence de Munich sur la sécurité décrit ses objectifs vers l'extérieur comme suit : La Conférence de Munich sur la sécurité est le premier forum mondial de débats sur la politique de sécurité internationale. Elle vise à promouvoir la confiance et à contribuer à la résolution pacifique des conflits en facilitant un dialogue continu, organisé et informel au sein de la communauté internationale de la sécurité, conformément à sa devise initiale : « Promouvoir la paix par le dialogue. »

    Mais comment la Conférence de Munich sur la sécurité peut-elle s'engager pour la paix et contribuer à la résolution des conflits si les groupes d'armement qui gagnent de l'argent grâce aux guerres sont ses sponsors ? On voit ici un conflit d'intérêts évident. L'évolution récente du conflit entre la Russie et l'Ukraine montre à quel point la Conférence de Munich sur la sécurité s'est engagée ces dernières années en faveur du règlement pacifique des conflits. Quatre exemples à ce sujet :

    1er exemple

    Après l'éclatement du conflit ukrainien en 2013/2014, Wolfgang Ischinger, alors président de la Conférence de Munich sur la sécurité, s'était prononcé en 2015 en faveur des projets de la délégation américaine de livrer des armes à l'Ukraine. Ischinger considérait cela comme « approprié et important ».

    2e exemple

    Par l'intermédiaire de l'ancienne chancelière allemande Angela Merkel, on a appris en décembre 2022 que les accords de Minsk de 2015, c'est-à-dire le cessez-le-feu décidé en commun pour régler le conflit entre la Russie et l'Ukraine, n'ont été soutenus que pour gagner du temps afin de réarmer l'Ukraine. Elle a également été une invitée régulière des conférences de Munich sur la sécurité en 2015, 2017 et 2019.

    3e exemple

    Début avril 2022 (à peine deux mois après l'invasion par les troupes russes) le Premier ministre britannique de l'époque, Boris Johnson, a empêché l'Ukraine et la Russie de parvenir à un accord par le biais de négociations de paix. Il aurait suffi que les deux parties signent le traité de paix proposé à Istanbul. Mais cela n'a pas eu lieu, car Boris Johnson a empêché à la dernière minute la partie ukrainienne de signer le traité. En promettant de nouvelles livraisons d'armes, Johnson a insisté pour que le conflit soit gagné sur le champ de bataille plutôt que par le dialogue.
    Johnson a participé à la 58e Conférence de Munich sur la sécurité, qui s'est tenue en février 2022, soit juste avant qu'il ne fasse échouer la conclusion d'un traité de paix entre la Russie et l'Ukraine.

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  3. 4e exemple

    La même démarche peut être observée lors de la conférence sur la sécurité de février 2023 : le nouveau président de la Conférence de Munich sur la sécurité, Christoph Heusgen, a continué à défendre avec véhémence la livraison de chars de combat allemands Leopard à l'Ukraine. De même, à l'époque, le chancelier allemand Olaf Scholz avait exigé, en ce qui concerne l'Ukraine : « Nous avons besoin d'une production permanente de nos principaux systèmes d'armes. »

    Enfin, depuis 2023, les représentants de la Russie ne sont plus invités à la Conférence de Munich sur la sécurité.

    Conclusion intermédiaire

    Pour rappel, comment la Conférence de Munich sur la sécurité se présente-t-elle elle-même ? Elle se présente comme le premier forum mondial de débats sur la politique de sécurité internationale. La Conférence de Munich sur la sécurité vise à promouvoir la confiance et à contribuer à la résolution pacifique des conflits en facilitant un [...] dialogue continu au sein de la communauté internationale de la sécurité, conformément à sa devise initiale : « Promouvoir la paix par le dialogue ».

    En revanche, les quatre exemples cités ne montrent aucun effort de la part de la Conférence de Munich sur la sécurité pour résoudre le conflit russo-ukrainien de manière pacifique par le biais d'un dialogue ouvert, mais au contraire, le conflit est encore attisé par des livraisons d'armes et l'empêchement de parvenir à un accord !

    La question se pose donc : Si la Conférence de Munich sur la sécurité ne sert pas à résoudre le conflit russo-ukrainien de manière pacifique, à quoi sert-elle ? Et quels sont les véritables objectifs de la Conférence de Munich sur la sécurité, ou quels sont les tenants et aboutissants dont la population n'est pas du tout consciente ?

    Pour répondre à ces questions, nous devons nous pencher sur la genèse, les commanditaires et les organisations derrière la Conférence de Munich sur la sécurité.

    Les commanditaires de la Conférence de Munich sur la sécurité

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  4. Les fondateurs

    Le précurseur de la Conférence sur la sécurité est le Mouvement international d'études de défense. Il a été initié en 1963 par Ewald-Heinrich von Kleist-Schmenzin, un officier allemand et résistant. La première réunion était limitée à 60 participants, dont Helmut Schmidt et Henry Kissinger.
    Henry Kissinger, décédé en 2023, est considéré comme l'un des initiateurs de la Conférence de Munich sur la sécurité. Il est connu comme un stratège global qui a marqué la politique mondiale pendant des décennies. Henry Kissinger était membre du Conseil des relations étrangères depuis 1956, puis du comité directeur du CFR et il participait régulièrement aux réunions Bilderberg. Il était actif au niveau de la direction du groupe Bilderberg, le Conseil consultatif.
    Depuis 2009, la Conférence de Munich sur la sécurité décerne à des personnalités le prix Edwald von Kleist. Le premier prix a été décerné à Henry Kissinger.

    Les présidents

    La Conférence de Munich sur la sécurité a été dirigée par von Kleist-Schmenzin jusqu'en 1997. Elle a ensuite été dirigée par Horst M. Teltschik de 1999 à 2008. Teltschik était un proche d'Helmut Kohl et travaillait à la chancellerie fédérale. Il est notamment membre du Conseil d'administration de la Konrad-Adenauer-Stiftung, le Conseil consultatif de l'Initiative atlantique. Horst Teltschik a également participé aux conférences Bilderberg en 1982, 1984, 1988 et 1990 et a été membre du Bureau consultatif international du Conseil des relations étrangères, CFR.

    De 2008 à 2022, la Conférence de Munich sur la sécurité a été présidée par Wolfgang Ischinger. Ischinger est un juriste et diplomate allemand. Il a participé à plusieurs reprises à la conférence Bilderberg et au Forum économique mondial, FEM. Il est notamment membre du Conseil européen pour les relations internationales, la branche européenne du CFR. Il était également bien connu d'Henry Kissinger et a prononcé un discours lors de la cérémonie organisée à l'occasion du centenaire de la naissance d'Henry Kissinger. Dans son discours, Ischinger a mentionné que le fondateur de la Conférence de Munich sur la sécurité, Ewald von Kleist, avait eu des échanges étroits avec Henry Kissinger pendant de nombreuses décennies.

    Conclusion intermédiaire : Sion considère les fondateurs et les présidents de la Conférence de Munich sur la sécurité, on voit clairement les liens avec le stratège mondial Henry Kissinger, le groupe Bilderberg et le CFR, le Conseil des relations étrangères.
    Pour compléter le tableau de la Conférence de Munich sur la sécurité, nous allons à présent citer les membres du Conseil consultatif. Notez la fréquence à laquelle le nom d'Henry Kissinger et de son think tank, la Commission trilatérale, le groupe Bilderberg, le CFR ou son bras européen, l'ECFR, sont mentionnés. L'importance et les intérêts de ces organisations seront ensuite mis en évidence.

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  5. Les membres du Conseil consultatif

    En 2009, le Conseil consultatif de la Conférence de Munich sur la sécurité a été créé pour assister le président dans l'orientation stratégique et le développement de la Conférence sur la sécurité.
    Presque tous les membres de ce Conseil consultatif de la conférence sur la sécurité ont déjà participé à des conférences Bilderberg :
    Paul Achleitner, président du conseil de surveillance de la Deutsche Bank AG, de 2012 à 2022. Il a participé à la conférence Bilderberg de 2015 à 2019 et est membre du comité de direction.
    Oliver Bäte est président du directoire d'Allianz SE. Il a participé à la conférence Bilderberg en 2017 et est membre du groupe allemand de la Commission Trilatérale. La Commission Trilatérale est un think tank privé de conseil politique fondé en juillet 1973 à l'initiative de Henry Kissinger et David Rockefeller. Elle a pour but de favoriser les échanges entre les élites d'Amérique du Nord, d'Europe occidentale et du Japon.
    Carl Bildt, ancien Premier ministre du Royaume de Suède, est vice-président pour l'Europe de la Commission Trilatérale. Il est l'un des présidents de l'ECFR et participe régulièrement à la conférence Bilderberg.
    Josep Borrell Fontelles est vice-président de la Commission européenne et a participé à la conférence Bilderberg de 2023.
    Thomas Enders est président de la Société de politique étrangère depuis juin 2019 et a participé à la conférence Bilderberg en 1984, 2005 et de 2009 à 2015.
    Fu Ying, ancienne vice-ministre des Affaires étrangères de République populaire de Chine et participante à la conférence Bilderberg en 2011 et 2012.
    John F. Kerry, ancien secrétaire d'État américain, participant à la conférence Bilderberg 2012.
    Radosław Sikorski, ancien ministre des Affaires étrangères de la République de Pologne est membre du cercle dirigeant de Bilderberg et membre de l'ECFR.

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  6. D'autres personnes du Conseil consultatif, l'organe directeur de la Conférence de Munich sur la sécurité, sont également fortement impliquées dans le CFR et l'ECFR, fondé par Soros.
    Ine Marie Eriksen Søreide, présidente de la commission des affaires étrangères et de la défense du Parlement du Royaume de Norvège. Elle a été ministre de la Défense de 2013 à 2017. Elle est membre de la branche européenne du CFR, l'ECFR.
    James G. Stavridis, ancien amiral de la marine américaine et membre du CFR.
    Arancha González Laya, diplomate espagnole, elle a été ministre espagnole des Affaires étrangères de 2020 à 2021. Elle est membre du ECFR.
    Jane Harman, femme politique américaine du parti démocrate, elle est membre du CFR et de la Commission trilatérale.
    Kersti Kaljulaid, économiste et femme politique estonienne. Elle a été présidente de la République d'Estonie de 2016 à 2021. Elle est membre de l'ECFR.
    David Miliband, ancien homme politique britannique qui a été ministre des affaires étrangères du Royaume-Uni de 2007 à 2010. Il est membre de l'ECFR.

    Lien entre l'OTAN et la Conférence de Munich sur la sécurité

    Jens Stoltenberg, le secrétaire général de l'OTAN, participe lui aussi régulièrement à la Conférence de Munich sur la sécurité. Stoltenberg, qui est également membre du groupe Bilderberg, ici lors de son discours à la Conférence sur la sécurité en 2023.

    Mesdames et Messieurs, cela apparaît clairement :

    Presque tous les membres de la direction de la Conférence de Munich sur la sécurité ont des liens avec le groupe Bilderberg, le CFR et l'ECFR. Comme Kla.TV l'a expliqué dans différentes émissions, ces derniers ont été mis en place en tant que gouvernement fantôme par la famille Rockefeller et ses alliés comme Henry Kissinger et George Soros. Leur objectif : imposer un nouvel ordre mondial et mettre en place un gouvernement mondial unique.
    Jetons donc un coup d'œil à ces organisations.

    Les organisations derrière la Conférence de Munich sur la sécurité et leurs intérêts

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  7. Le groupe Bilderberg et le CFR

    Kla.TV a déjà parlé en détail du groupe Bilderberg dans l'émission. Le groupe Bilderberg - le gouvernement fantôme secret ? www.kla.tv/26318.
    Le groupe Bilderberg a été fondé à l'initiative de David Rockefeller. Le plan stratégique pour la création du club Bilderberg a vu le jour au sein du Conseil des relations étrangères, ou CFR. Le CFR est un groupe de réflexion privé américain, fondé en 1921, qui tire les ficelles comme une sorte de gouvernement fantôme aux États-Unis.
    La conférence annuelle de Bilderberg s'est tenue du 18 au 21 mai 2023. À partir du moment où une personne participe à une conférence Bilderberg, elle reste liée au groupe Bilderberg. Après chaque conférence, chaque participant et tous les anciens participants reçoivent un compte rendu de la réunion. En outre, depuis 1963, ils reçoivent un document explicatif correspondant, c'est-à-dire l'agenda du club Bilderberg.

    Le Conseil européen pour les relations internationales

    L'ECFR, le bras européen du CFR, a été fondé et financé en premier lieu par George Soros. George Soros était lui-même jusqu'en 2020 membre du Comité consultatif de la Conférence de Munich sur la sécurité. Soros est considéré, avec David Rockefeller et Henry Kissinger, comme l'un des stratèges mondiaux en ce qui concerne la mise en place d'un gouvernement fantôme caché. Kla.TV a parlé de Goerge Soros et de son Open Society Foundations dans l’émission : « George Soros – Le réseau du stratège mondial dévoilé ».

    L’OSF est un réseau de fondations et d'organisations non gouvernementales créée par George Soros en 1979. Soros est l'un des grands stratèges mondiaux, dont l'objectif est d'établir un Nouvel Ordre Mondial (également appelé NOM) qui assujettit les peuples.
    Soros utilise l’OSF comme un outil pour financer des activités politiques visant à mettre en œuvre ce Nouvel Ordre Mondial. Partout où Soros se produit, il en résulte une déstabilisation, un chaos, une guerre ou des changements politiques dans le sens de ses intérêts. On peut reconnaître sa signature aussi bien dans le coup d'État de l'Euromaïdan de 2013-2014 en Ukraine, que dans le mouvement des réfugiés depuis 2015. Mais il existe également des indices concrets montrant que Soros a participé à toutes les « révolutions de couleur » – c'est-à-dire aux renversements de gouvernements – de ces 15 dernières années. Cela va de la Géorgie au Venezuela en passant par le « printemps arabe ». L'OSF est active dans 120 pays à travers le monde.

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  8. George Soros participe régulièrement à la conférence de Munich sur la sécurité, la dernière fois, lors de la conférence de 2023, avec son fils Alexander Soros. En 2021, son fils a rejoint pour 2 ans le Comité consultatif de cette Conférence sur la sécurité. Alexander Soros est président l’Open Society Foundations, fondée par son père. Il est membre de l'ECFR.

    Autres stratèges mondiaux impliqués

    Richard Nathan Haass, président du CFR jusqu'en 2022, est lui aussi un participant régulier de la Conférence de Munich sur la sécurité. Sa dernière présence à la conférence remonte à 2023. De même, des représentants de la Fondation Rockefeller et du Rockefeller Brothers Fund (une fondation de la famille Rockefeller) figurent chaque année sur la liste des participants à la Conférence de Munich sur la sécurité.

    Bill Gates n'est pas seulement un sponsor de la Conférence sur la sécurité, il y participe également, les dernières fois en 2017 et 2022. Gates apparaît toujours comme un stratège global et suit le même agenda que David Rockefeller, Henry Kissinger et George Soros.

    Conclusion

    Si on considère tous ces éléments cumulés, on ne peut nier que la Conférence de Munich sur la sécurité ne sert pas la sécurité de la population européenne, mais plutôt les intérêts de quelques stratèges mondiaux et groupes de réflexion. Se pourrait-il qu'elle soit devenue, sans tenir compte des États-nations et de la volonté du peuple, le bras militaire du gouvernement mondial secret composé du groupe Bilderberg, du CFR et de l'ECFR, voire qu'elle ait été créée dans ce but ?

    Le journal « Die Linke » a écrit à ce sujet de manière pertinente le 4 février 2010 : La Conférence de Munich sur la sécurité reste une rencontre dominée par l'industrie de l'armement et les politiciens bellicistes, où les principales puissances militaires de ce monde discutent de leurs guerres d'intervention et se donnent mutuellement une légitimité à cet effet.

    En diffusant cette émission, aidez-nous à mettre au jour ces liens et ces dessous et à placer la Conférence de Munich sur la sécurité sous surveillance mondiale ! Ce n'est qu'en mettant en lumière les responsables des guerres que l'on pourra espérer la paix !

    Nous terminerons par une citation de l'écrivain russe Léon Tolstoï (1828-1910) :
    « Dans toute l'histoire, il n'y a pas de guerre qui n'ait été concoctée par les gouvernements, par les gouvernements seuls, indépendamment des intérêts du peuple, pour lequel la guerre est toujours funeste, même si elle réussit. »

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  9. de CH./MW./bub.
    Sources / Liens :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Conf%C3%A9rence_de_Munich_sur_la_s%C3%A9curit%C3%A9

    https://www.dw.com/de/acht-fakten-zur-m%C3%BCnchner-sicherheitskonferenz/a-37563343

    https://securityconference.org/ueber-uns/ueber-die-msc/

    Participants à la 58e Conférence sur la sécurité
    https://de.wikipedia.org/wiki/58._M%C3%BCnchner_Sicherheitskonferenz

    Vidéo de la Conférence de Munich sur la sécurité 2023_Highlights
    https://www.youtube.com/watch?v=aMEDtV3Sv-E

    Sponsors et objectifs de la Conférence de Munich sur la sécurité
    https://de.wiktionary.org/wiki/wes_Brot_ich_ess,_des_Lied_ich_sing

    https://securityconference.org/ueber-uns/partner-und-sponsoren/

    https://de.wikipedia.org/wiki/Denkfabrik

    https://securityconference.org/ueber-uns/ueber-die-msc/

    Lockheed Martin - Groupe d'armement
    https://www.handelsblatt.com/unternehmen/rheinmetall-boeing-und-co-das-sind-die-groessten-ruestungskonzerne-der-welt-2022/25317786.html

    Angela Merkel - Participation à la Conférence de Munich sur la sécurité
    https://securityconference.org/msc-2015/agenda/

    https://securityconference.org/msc-2017/agenda/

    https://securityconference.org/msc-2019/

    La position d'Angela Merkel sur les accords de Minsk
    https://www.zeit.de/2022/53/angela-merkel-russland-krieg-wladimir-putin

    Boris Johnson empêche la signature d'un traité de paix
    Analyse du général Kujat en mars 2023
    https://www.kla.tv/25795

    Analyse du général Kujat en novembre 2023
    https://www.youtube.com/watch?v=Ws0wX6ZTjkk,

    à partir de la minute 28:44
    https://dserver.bundestag.de/btd/20/061/2006106.pdf

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  10. https://de.wikipedia.org/wiki/58._M%C3%BCnchner_Sicherheitskonferenz

    Conférence de Munich, livraison d'armes américaines à l'Ukraine
    http://sicherheitskonferenz.de/de/Ischinger-will-US-Waffenlieferungen-an-Kiew

    https://www.stuttgarter-zeitung.de/inhalt.muenchner-sicherheitskonferenz-ischinger-befuerwortet-waffenlieferungen.dce283ee-57b1-4649-b798-dadf71b1cc9b.html

    https://www.lpb-bw.de/chronik-ukrainekonflikt

    https://esut.de/2023/02/meldungen/40052/bundeskanzler-scholz-wir-brauchen-eine-permanente-produktion-unserer-wichtigsten-waffensysteme/

    La Russie exclue de la Conférence de Munich sur la sécurité
    https://www.tichyseinblick.de/daili-es-sentials/muenchner-sicherheitskonferenz-schliesst-erstmals-afd-vertreter-aus/

    https://www.tagesspiegel.de/internationales/sicherheitskonferenz-im-ukrainekrieg-zeitenwende-gegen-russland-9361436.html

    Participants en 2023
    https://securityconference.org/assets/user_upload/MSC_2023_List_of_Confirmed_Participants_final.pdf

    Ewald-Heinrich von Kleist-Schmenzin
    https://www.cfr.org/henry-kissinger-chair-us-foreign-policy

    https://de.wikipedia.org/wiki/Ewald-Heinrich_von_Kleist

    Horst M. Teltschik
    https://de.wikipedia.org/wiki/Horst_Teltschik

    https://www.cfr.org/sites/default/files/report_pdf/CFR_annual_report_2002_0.pdf

    Wolfgang Ischinger
    https://de.wikipedia.org/wiki/Wolfgang_Ischinger Ticket:

    SE-
    https://securityconference.org/news/meldung/rede-ischinger-festakt-henry-kissingers-100-geburtstag/

    Liens Conférence de Munich sur la sécurité avec le FEM et le CFR
    https://securityconference.org/ueber-uns/advisory-council/

    https://de.wikipedia.org/wiki/Paul_Achleitner

    Oliver Bäte
    https://de.wikipedia.org/wiki/Trilaterale_Kommission

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  11. https://de.wikipedia.org/wiki/Oliver_B%C3%A4te

    Carl Bildt
    https://ecfr.eu/leadership/

    https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_Bilderberg_participants

    Josep Borrell
    https://de.wikipedia.org/wiki/Josep_Borrell

    https://bilderbergmeetings.org/meetings/meeting-2023/participants-2023

    Thomas Enders
    https://de.wikipedia.org/wiki/Thomas_Enders

    Fu Ying
    https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_Bilderberg_participants

    John F. Kerry
    https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_Bilderberg_participants

    Radosław Sikorski
    https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_Bilderberg_participants

    https://ecfr.eu/profile/radosaw_sikorski/

    George Soros

    https://web.archive.org/web/20201102025059/https://securityconference.org/ueber-uns/advisory-council/

    George Soros et son fils
    https://securityconference.org/assets/user_upload/MSC_2023_List_of_Confirmed_Participants_final.pdf

    https://web.archive.org/web/20230630163932/https://securityconference.org/ueber-uns/advisory-council/

    https://ecfr.eu/council/

    ici avec George Soros :
    https://web.archive.org/web/20200422204738/https://securityconference.org/ueber-uns/advisory-council/

    ici avec Alexander Soros :
    https://web.archive.org/web/20211204050718/https://securityconference.org/ueber-uns/advisory-council/

    Ine Marie Eriksen Søreide
    https://de.wikipedia.org/wiki/Ine_Marie_Eriksen_S%C3%B8reide

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  12. https://ecfr.eu/council/

    James G. Stavridis
    https://de.wikipedia.org/wiki/James_G._Stavridis

    https://www.cfr.org/membership/roster

    Arancha González Laya
    https://de.wikipedia.org/wiki/Arancha_Gonz%C3%A1lez

    https://ecfr.eu/council/

    Jane Harman
    https://de.wikipedia.org/wiki/Jane_Harman

    https://www.cfr.org/membership/roster

    KerstiKaljulaid
    https://de.wikipedia.org/wiki/Kersti_Kaljulaid

    https://ecfr.eu/council/

    Richard Haass
    https://securityconference.org/assets/user_upload/MSC_2023_List_of_Confirmed_Participants_final.pdf

    https://www.cfr.org/membership/roster

    Des représentants du Rockefeller Brothers Fund à la Conférence de Munich sur la sécurité
    https://securityconference.org/assets/02_Dokumente/03_Materialien/200320_MSC2020_ListofAttendees.pdf

    Le projet de paix de l'UE est en guerre
    https://politik.watson.de/international/ukraine-blog/597328923-ukraine-krieg-eu-stockt-militaerhilfe-fuer-die-ukraine-um-500-millionen-euro-auf

    https://www.n-tv.de/politik/EU-will-Munitionsproduktion-fuer-Ukraine-ankurbeln-article24094315.html

    https://www.die-linke.de/start/presse/detail/sicherheitskonferenz-wird-welt-unsicherer-machen/

    Citation de Léon Tolstoï
    https://www.schreiben.net/artikel/zitate-sprueche-krieg-23416/

    https://www.kla.tv/fr

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  13. Identité numérique : Plus de sécurité avec le règlement eIDAS 2024 ?

    En 2014, l’Europe a adopté le Règlement eIDAS (Electronic Identification And Trust Services) qui établit un ensemble de normes dédiées à l’identification électronique et aux services de confiance pour les transactions électroniques au sein de l’Union européenne.


    Par Pierre Feligioni
    le 18 février 2024 à 8h00


    90 % de toutes les atteintes à la sécurité impliquent une fuite de mot de passe

    Le règlement eIDAS, dans sa version 2014, définissait des services de confiance bien précis, qu’ils soient qualifiés ou non par le superviseur national (l’ANSSI pour la France). Ceux-ci incluaient la création et délivrance de certificats qualifiés de signatures ou de cachets électroniques, la validation et préservation de signatures et cachets, l’horodatage, l’envoi de recommandé électronique, l’authentification qualifiée de site internet. Cependant, depuis dix ans, les pratiques et besoins ne cessent d’évoluer. Si les transactions en ligne maintiennent leur progression, la pandémie de 2020 a, de son côté, généralisé l’adoption du numérique en entreprise, et le risque cyber, comme les fraudes ou l’usurpation d’identité, ont gagné du terrain grâce à une sophistication accrue. C’est pourquoi une révision du texte est aujourd’hui nécessaire. Cette nouvelle version du règlement eIDAS, appelée eIDAS V2, vient ainsi compléter le texte d’origine, mais surtout détermine les nouveaux services de confiance, et régir le Wallet européen, dont le lancement est prévu dès 2025. Un décryptage de cette évolution et de ce qu’elle implique pour les entreprises s’impose.

    Encadrement de la signature avancée, de la signature et du cachet qualifié à distance

    Le Règlement eIDAS, dans sa version d’origine, déterminait trois niveaux de signature : simple, avancée et qualifiée. Dans sa nouvelle version, le texte prévoit également d’indiquer les exigences de sécurité et les normes applicables que devront respecter les signatures avancées pour prétendre à un tel niveau de sécurité au sein de l’UE.

    Elles devront établir un lien univoque avec le signataire et permettre de l’identifier. Les moyens qui permettront de les créer seront sous le contrôle exclusif du signataire (téléphone, PC, …). Enfin, elles garantiront qu’aucune modification de l’acte signé ne pourra être effectuée.

    De même, des normes applicables seront ajoutées pour la signature et le cachet qualifié à distance et devront être respectés par tous les fournisseurs de service de confiance européens. Cette signature qualifiée à distance devra ainsi être identique à la signature avancée, mais avec en plus le fait de devoir reposer elle-même sur un certificat qualifié et être créée à l’aide d’un dispositif de création de signature électronique qualifiée géré par un prestataire de service de confiance qualifié.
    Une nouvelle génération de services de confiance

    Depuis 2014, les besoins des utilisateurs ont changé, et avec eux, les usages ont évolué, et les menaces se sont multipliées. La nouvelle version du Règlement eIDAS étend sa liste de services de confiance, avec notamment l’archivage, l’émission d’attestations d’attributs ou encore le registre distribué.

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  14. L’archivage électronique pourra désormais s’étendre à tous types de documents, même ceux n’ayant pas été signés électroniquement, à la différence du service de confiance de préservation de signatures et de cachets électroniques. Les normes d’archivage sont actuellement élaborées au niveau des législations nationales. Cette hétérogénéité impose ainsi aux PSCo de localiser par Etats membres leurs solutions pour répondre aux législations locales. Le nouveau service de confiance d’archivage électronique va remédier à cette situation en permettant une harmonisation européenne.
    Par ailleurs, le Règlement eIDAS 2024 définit l’émission d’attestation d’attributs tels que diplômes, permis de conduire, e-passeport, ou encore données de santé certifiées. Ceux-ci permettront à son détenteur de justifier de caractéristiques personnelles pour sécuriser tout acte en ligne au sein de l’Union Européenne.

    Seront également reconnus en tant que services de confiance les signatures et cachets qualifiés à distance. En effet, bien qu’encadrés par la version d’origine du texte, ils n’étaient pas encore considérés comme tels jusqu’ici.

    L’EUID Wallet

    Enfin, l’encadrement du e-wallet sera déployé en Europe dès 2025. Concrètement, il s’agit d’un portefeuille numérique protégeant l’identité numérique des citoyens européens. Cette identité numérique européenne doit être disponible et utilisable gratuitement par tous les citoyens, résidents et entreprises de l’UE notamment pour accéder à des services publics et privés en ligne nécessitant une authentification renforcée dans toute l’Europe. Elle est également requise pour permettre aux citoyens européens de prouver leur majorité, d’ouvrir un compte bancaire, de remplir une déclaration fiscale, ou encore de s’inscrire dans une université dans son pays d’origine ou un autre État membre.
    Avec un objectif ambitieux d’une adoption par 80% de la population européenne d’ici 2030, cette identification numérique sera fournie gratuitement par le pays d’origine, avec la garantie d’une remise personnelle à chaque citoyen qui en fera la demande s’il le souhaite. Elle se présentera sous forme d’un portefeuille (ou e-wallet) hébergé par exemple dans un smartphone. Dans ce coffre-fort électronique, le citoyen pourra télécharger, stocker et utiliser ses données personnelles telles que permis de conduire, diplôme, carte bancaire, prescription médicale...

    Ce portefeuille offrira ainsi de multiples possibilités d’utilisation et devra permettre aux utilisateurs de choisir les aspects de leur identité, les données et les certificats qu'ils partagent avec des tiers et de conserver l’historique de ces interactions. L’e-wallet intègre donc une multiplicité de supports et de sources privées ou publiques. Le e-wallet sera doté d’un niveau d’identification élevé permettant de réaliser des signatures qualifiées. Dans tous les cas, l’utilisateur aura le choix d’utiliser son portefeuille d'identité numérique mais ne pourra y être contraint.

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  15. Le portefeuille pourra enfin prouver l’attribut personnel spécifique d’un individu, attestant ainsi d'un rôle ou d'une qualité propre d’une personne : aptitude à exercer une profession ou délégation de pouvoir au sein d'une organisation. Ces attributs pourront être intégrés dans des certificats qualifiés et seront inclus dans une signature numérique et protégés par cette dernière.

    La nouvelle version du Règlement eIDAS devrait entrer en vigueur début 2024, après de nombreuses années de débats et retravail. Si l’archivage devient un service de confiance à part entière, ou que les signatures avancées et signatures qualifiées se voient enfin dotées d’un niveau de sécurité homogène au sein de tous les Etats Membres de l’Union Européenne, le Wallet, lui, est au cœur de toutes les discussions. Il devient en effet le cœur d’eIDAS 2024 et s’il est adopté massivement, il marquera un tournant dans le développement des transactions sécurisées au sein de l’Union Européenne et pour le marché des prestataires de services de confiance.

    https://www.economiematin.fr/identite-numerique-version-2024-reglement-eidas-feligioni

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  16. Peu après la révélation d’un “vaste réseau de propagande russe”, 20 canaux Telegram francophones censurés


    France-Soir
    le 19 février 2024 - 12:54


    Une vingtaine de canaux Telegram véhiculant du contenu pro-russe ont été supprimés jeudi 15 février.

    MONDE - Quelques jours après la révélation par l’organisme français de lutte contre les ingérences étrangères d’un “réseau de propagande russe” à destination des États-Unis et de l’Europe, au moins une vingtaine de canaux Telegram ont été supprimés jeudi 15 février. Dans un rapport dévoilé lundi 12 février 2024, l’autorité en question, Viginum, affirmait que ces chaînes constituaient les sources d’une partie des 193 “portails d’informations” qui publiaient des contenus qualifiés de “pro-russes” et qui faisaient partie d’un réseau surnommé “Portal Kombat”.

    Lundi dernier, Viginum révélait l’existence d’un réseau “structuré” et “coordonné” d’au moins 193 portails d’informations. Cet organisme, chargé de lutter contre les ingérences numériques étrangères, détaille dans un rapport les résultats de ses quatre mois d’enquête. Les sites d’informations, “aux caractéristiques similaires, diffusent des contenus pro-russes à destination d’audience internationale”, sur le continent européen et outre-Atlantique.

    20 canaux Telegram accusés d’être les sources de Pravda

    Le rapport évoque trois écosystèmes, comprenant chacun un ensemble de ces portails d’informations. L’écosystème dit “historique” est le plus conséquent et comportaient 147 sites en activité depuis 2013 et ciblant exclusivement les “audiences russes et ukrainiennes”. Chacun de ces sites étaient enregistrés dans des noms de domaines comportant le nom des localités russes et ukrainiennes. "Plusieurs de ces sites, notamment ceux qui ciblaient l'Ukraine, sont aujourd'hui inactifs ou hors-ligne", précise Viginum.

    Deux autres écosystèmes ont pris le relais à partir de 2022, année de l’invasion russe. Il s’agit des portails affiliés au nom de domaine “news.ru”, qui sont au nombre de 41, créés entre avril et décembre 2022. Ce deuxième écosystème ciblait précisément les audiences russophones d’Ukraine. "Certains sites ciblent des localités très précises et stratégiques à l'image de Kherson ou Marioupol", détaille encore le rapport.

    Le troisième écosystème est le plus récent. Fondés en juin 2023, ces sites appartiennent au nom de domaine “Pravda”, qui signifie “vérité” en russe et qui fait référence à l’ancien quotidien du Parti communiste soviétique. Ces portails visent cette fois-ci des pays occidentaux “qui ont publiquement affiché leur soutien à l'Ukraine".

    Selon l’audience, les noms de domaine des portails mentionnent la langue. Parmi les pays ciblés figurent la France avec pravda-fr.com, l'Allemagne, l'Autriche et la Suisse avec pravda-de.com, la Pologne avec pravda-pl.com, l'Espagne avec pravda-es.com, le Royaume-Uni et les États-Unis avec pravda-en.com.

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  17. Viginum conclut "avec un haut degré de confiance" que ces trois écosystèmes "appartiennent à la même infrastructure numérique" et le réseau est surnommé "Portal Kombat", “en référence à sa stratégie informationnelle offensive" et à la célèbre série de jeux vidéo, Mortal Kombat.

    Le rapport s’intéresse également aux sources de ce troisième écosystème, “Pravda” (P11). Viginum dévoile alors une liste de 20 chaînes Telegram francophones, des groupes réunissant plusieurs utilisateurs dans une conversation de l’application de messagerie et dans lequel des contenus sont diffusés en fil.

    Les canaux sont classés selon le nombre d'articles repris par Pravda et BrainlessChanel, "Vbachir", “urssiejournal” ou “russosphère” semblent être les principales sources durant la période d’analyse. Nous y retrouvons également tass_fr, versions françaises de l'une des principales agences de presse en Russie, ainsi que RTenfrançais.

    Pravda reste accessible, les canaux Telegram “censurés”

    “Les articles diffusés servent principalement à la couverture du conflit en Ukraine”, mais les chaînes Telegram ne sont plus disponibles depuis jeudi. Il n’est plus possible de les rechercher et ceux qui en étaient membres retrouvent le message suivant : “Ce canal ne peut être affiché, car il a enfreint la législation locale”, sans aucun détail supplémentaire à propos des articles violés ou de ce qui est reproché aux contenus. La mesure est d’autant plus surprenante que des portails de Pravda, y compris la version française, sont toujours accessibles depuis le territoire français.

    La fermeture des canaux est rapidement qualifiée de “censure” de la part des habitués, qui dénoncent la suppression de ces fils qui permettaient aux Français d’obtenir des points de vue divergents et variés sur le conflit en Ukraine. Certains ne manquent pas d’exprimer leur inquiétude où l’on assiste à un désintérêt des médias à l’interview accordée par Vladimir Poutine à Tucker Carlson, ou encore à communiquer du Conseil d’État, qui ordonne à l’ARCOM de contrôler le contenu des programmes de CNews.

    Avec cette fermeture des canaux Telegram, le gouvernement gagne du terrain. En octobre, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, qui intervenait quelques jours après l’attentat d’Arras qui a coûté la vie à Dominique Bernand, professeur de français, exprimait son optimisme à “pouvoir négocier une porte dérobée” avec les applications de messagerie chiffrée.

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  18. Il a notamment évoqué Whatsapp, Signal et Telegram, qui seraient utilisés par les terroristes et les délinquants pour communiquer. "Si nous étions capables de dire à WhatsApp, à Signal, à Telegram : ‘Donnez-nous la conversation de cette personne parce qu'elle présente une menace', nous gagnerions énormément de temps", justifie-t-il. Seul souci : le protocole de chiffrement de bout en bout qui permet aux deux interlocuteurs d’être les seules personnes à accéder au contenu de la discussion. Gérald Darmanin a ainsi regretté que la loi n’impose pas à ces sociétés la création d’une “porte dérobée”, c’est-à-dire une brèche dans le chiffrement sur demande d’un juge ou d’un préfet.

    Une opération “impossible” selon les spécialistes, car un affaiblissement du chiffrement ouvrirait une “porte dérobée” aux autorités comme aux personnes ou organisations malveillantes. En attendant de pouvoir forcer les applications de messagerie à mener une telle manœuvre, il semble possible de faire du forcing sur elles pour supprimer des contenus.

    https://www.francesoir.fr/politique-monde/peu-apres-la-revelation-d-un-vaste-reseau-de-propagande-russe-20-canaux-telegram

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  19. 2024 est la dernière année de la liberté d’expression et de la démocratie dans le monde occidental
    Redéfinir la démocratie d'une manière qui élimine la démocratie


    Par le Dr Paul Craig Roberts
    Recherche mondiale,
    19 février 2024


    Ne vous laissez pas décourager par le ton alarmiste du titre de cette chronique. Il ne s’agit pas d’une « théorie du complot ». Cette chronique est un rapport factuel comme vous le verrez si vous continuez à lire.

    Tout le monde doit comprendre que l’élite dirigeante aux États-Unis met en œuvre une décision visant à redéfinir la démocratie d’une manière qui l’élimine, rend le Congrès superflu, rend le vote inutile et rejette la Constitution comme un document obsolète incompatible avec le pouvoir que l’élite dirigeante entend exercer. sur les Américains et le reste du monde.

    La décision a été prise de redéfinir la démocratie, de la volonté du peuple à la protection du « caractère sacré des institutions démocratiques ». Justement, que sont les « institutions démocratiques » ? Il ne s’agit pas d’institutions telles que le Congrès et le gouvernement représentatif ou l’État de droit et un pouvoir judiciaire indépendant, que nous considérons actuellement comme des institutions démocratiques. Les « institutions démocratiques » sont les institutions de l'industrie de la censure, telles que le complexe militaro-sécuritaire, le Département d'État, l'OTAN, la CIA, le FBI, le FMI, la Banque mondiale, les ONG, l'Atlantic Council, l'Aspen Institute, la presse, Black Rock, JP Morgan/Chase et d’autres institutions de recherche de consensus qui établissent les programmes et contrôlent les récits. Exprimer son désaccord avec le consensus construit par ces institutions d’élite est considéré comme « une attaque contre la démocratie ». En d’autres termes, la « démocratie » est la propriété des institutions d’élite, et le caractère sacré de ces institutions d’élite doit être protégé des personnes définies par Hillary Clinton comme « les déplorables de Trump ». La volonté du peuple est éliminée du tableau.

    Cela pourrait vous surprendre, mais les universités (Stanford, par exemple, sont pleinement impliquées), les grandes entreprises, en particulier les entreprises technologiques et les médias sociaux, les facultés de droit, les associations médicales, ainsi que les gouverneurs et membres du Congrès associés au WEF acceptent la redéfinition de la démocratie qui exclut la volonté du peuple. Ils conviennent également que la Constitution est incompatible avec le pouvoir qu’ils entendent exercer sur les citoyens. Au moment où j'écris, le Département d'État est occupé à faire obstacle à l'enquête de la Chambre des représentants sur l'utilisation par le pouvoir exécutif de l'argent des contribuables pour censurer ce que nous pouvons entendre sur le Covid, le « vaccin » contre le Covid, la fraude électorale, la guerre en Ukraine, l'Iran, la Russie. , Chine, etc. Voir ceci .

    Le 16 février, Tucker Carlson a interviewé Mike Benz, le plus grand expert mondial de l'industrie de la censure. Vous avez ici une explication complète et précise de qui nous gouverne – et non, ce ne sont pas les Rothschild et les Bilderberg – et pourquoi le gouvernement américain a décidé d’approfondir le Premier Amendement : voir ceci .

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  20. Combinez ces obstacles à la prise de conscience avec le fait que les vérités inconfortables sont un mauvais frein aux nouvelles, et que la censure est établie comme une question de sécurité nationale avec l'argument qu'elle nous assure notre sécurité et « protège la démocratie ».

    Par conséquent, la criminalisation de la vérité s’accélère. Même le mot « vérité » est appelé à devenir un mot de haine qui ne peut être prononcé.

    Toute information que vous avez enregistrée et qui vous aide à comprendre la tyrannie qui nous engloutit doit être stockée sur des clés USB et non dans le cloud, car toutes les informations qui portent atteinte aux « institutions de construction de consensus » seront reléguées dans le trou de la mémoire.

    Remarque : aux 47-48 minutes de l'interview, la redéfinition de la démocratie est expliquée. Comme il y a plus d’agences gouvernementales américaines engagées dans la mort du Premier Amendement que vous n’en avez jamais entendu parler, regardez plusieurs fois la vidéo d’une heure afin de vous rendre compte de la profondeur du terrier du lapin.

    Remarque : L’Atlantic Council, l’une des principales organisations antidémocratiques de « recherche de consensus (faux récits) », est peut-être associée au scandale Burisma/Hunter Biden. Burisma, une entreprise ukrainienne, a nommé Hunter Biden à son conseil d'administration et lui a versé d'importantes sommes d'argent pour protéger son père contre les poursuites engagées contre l'entreprise par les autorités ukrainiennes. Le vice-président américain Biden a effectivement admis à la télévision, et il en était même fier, qu'il avait utilisé des milliards de dollars provenant de l'argent des contribuables américains pour menacer l'Ukraine de suspendre l'aide américaine à moins que l'Ukraine ne licencie le procureur, une offre que l'Ukraine ne pouvait pas refuser. Sally Painter, membre du conseil d'administration de l'Atlantic Council, fait l'objet d'une enquête du ministère américain de la Justice (sic) pour lobbying illégal au nom de Burisma. Elle et Karen Tramontano, ancienne membre du conseil d'administration du Conseil de l'Atlantique, ont créé un partenariat entre le Conseil de l'Atlantique et Burisma.

    Burisma a contribué 300 000 $ au Conseil atlantique. C’était peut-être le prix d’achat pour que les responsables de Burisma prennent la parole lors des forums de l’Atlantic Council et pour que les membres prestigieux de l’Atlantic Council prennent la parole lors d’une conférence de Burisma en Ukraine en 2018. Tout cela pour montrer la protection américaine de l’entreprise aux autorités judiciaires ukrainiennes.

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  21. En 2021, l'ambassade des Émirats arabes unis a fait don de plus d'un million de dollars au Conseil atlantique, et le ministère des Affaires étrangères des Émirats arabes unis a ajouté 100 à 250 000 dollars supplémentaires. Cela aurait pu être le prix à payer pour que l’Atlantic Council use de son influence pour que l’ONU choisisse les Émirats arabes unis comme lieu de sa conférence sur le changement climatique en 2023.

    Apparemment, l'Atlantic Council n'a pas divulgué les dons des Émirats arabes unis comme requis ou appropriés.

    L'Atlantic Council, l'un des principaux membres de l'industrie de la censure antidémocratique, est soutenu par les malheureux contribuables américains inconscients, grâce à des subventions provenant de l'argent des contribuables des ministères de la Défense, de l'État et de l'Énergie, ainsi que de l'Agence américaine pour le développement international. Ainsi, il est clair que « notre » gouvernement à Washington finance le remplacement de la démocratie américaine soumise à la volonté du peuple par la protection gouvernementale des institutions d’élite qui ont changé la définition de la démocratie pour la mettre au service de leurs agendas.

    Voici d’autres donateurs majeurs de l’Atlantic Council :

    Adrienne Arsht, Facebook, Goldman Sachs, la Fondation Rockefeller, le ministère britannique des Affaires étrangères et du Commonwealth, les Émirats arabes unis, une société suisse System Capital Management, Abu Dhabu National Oil Company, le ministère suédois des Affaires étrangères, le Département d'État américain, l'ambassade de Bahreïn, l'ambassade du Japon, le ministère finlandais de la Défense, le ministre lituanien de la Défense, le ministère norvégien de la Défense, le ministère norvégien des Affaires étrangères, Chevron Corporation, Google, Crescent Petroleum, John D. et Catherine Fondation T. MacArthur, Raytheon Technologies, John FW Rogers (Goldman Sachs), Carnegie Corp de New York, Délégation de l'UE aux États-Unis, Ministère allemand des Affaires étrangères, Fondation JP Morgan Chase, Département américain de la Défense, Département américain de l'Énergie, Fondation Charles Koch. Amazon, Verizon, Pfizer, Aramco, Lockheed Martin, réseau Omidyar.

    Toutes ces informations sont disponibles sur le site Internet de l'Atlantic Council .

    Donc non, ce n’est pas une théorie du complot.

    https://www.globalresearch.ca/2024-last-year-free-speech-democracy-western-world/5849998

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  22. Cartographie des 50 meilleurs pôles scientifiques et technologiques au monde


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 19 FÉVRIER 2024 - 04:45


    En 2023, le monde a connu une autre vague d’innovation scientifique et technologique (S&T), depuis l’introduction de la première pilule contraceptive en vente libre aux États-Unis jusqu’à la croissance fulgurante de ChatGPT et de l’intelligence artificielle.

    Cette carte, réalisée via Niccolo Conte de Visual Capitalist, explore les 50 principaux pôles scientifiques et technologiques au monde à la pointe de ces innovations, sur la base des données du Global Innovation Index 2023. Les pôles ont été classés en fonction de leur part combinée de demandes de brevet internationales et de publications scientifiques.

    - voir cadre sur site -

    Dominance de l’Asie de l’Est en matière de S&T
    Les cinq pôles scientifiques et technologiques les plus importants au monde se trouvent en Asie de l’Est.

    Le cluster Tokyo-Yokohama, le mieux classé, représentait un peu plus de 10 % de toutes les demandes de brevet entre 2018 et 2022.

    Cluster Pays/économie Demandes de brevet Publications scientifiques

    Tokyo-Yokohama 🇯🇵 Japon 127 418 115 020
    Shenzhen-Hong Kong-Guangzhou 🇨🇳/🇭🇰 Chine/Hong Kong 113 482 153 180
    Séoul 🇰🇷 Corée du Sud 63 447 133 604
    Pékin 🇨🇳 Chine 38 067 279 485
    Shanghai-Suzhou 🇨🇳 Chine 32 924 162 635
    San José-San Francisco 🇺🇸 États-Unis 47 269 58 575
    Osaka-Kobe-Kyoto 🇯🇵 Japon 38 413 51 948
    Boston-Cambridge 🇺🇸 États-Unis 18 184 76 378
    San Diego 🇺🇸 États-Unis 23 261 20 928
    New York 🇺🇸 États-Unis 13 838 74 849
    Nanjing 🇨🇳 Chine 7 143 113 488
    Paris 🇫🇷 France 15 176 61 692
    Wuhan 🇨🇳 Chine 6 250 89 756
    Hangzhou 🇨🇳 Chine 10 755 62 924
    Nagoya 🇯🇵 Japon 17 736 16 091
    Los Angeles, 🇺🇸 États-Unis 11 556 44 058
    Washington, DC–Baltimore 🇺🇸 États-Unis 5 525 76 039
    Daejeon 🇰🇷 Corée du Sud 12 275 25 552
    Xi'an 🇨🇳 Chine 1 786 86 937
    Londres 🇬🇧 Grande-Bretagne 5 981 59 068
    Seattle 🇺🇸 États-Unis 11 472 20 322
    Munich 🇩🇪 Allemagne 10 248 24 239
    Qingdao 🇨🇳 Chine 7 286 39 745
    Chengdu 🇨🇳 Chine 2 046 67 334
    Cologne 🇩🇪 Allemagne 7 466 34 286
    Amsterdam–Rotterdam 🇳🇱 Pays-Bas 4 230 52 864
    Taipei–Hsinchu 🇹🇼 Taïwan 3 907 52 752
    Houston 🇺🇸 États-Unis 8 475 24 636
    Stuttgart 🇩🇪 Allemagne 9 342 14 874
    Tel Aviv–Jérusalem 🇮🇱 Israël 7 268 24 219
    Moscou 🇷🇺 Russie 2 036 55 086
    Chicago 🇺🇸 États-Unis 5 763 32 343
    Singapour 🇸🇬/🇲🇾 Singapour/Malaisie 4 861 36 803
    Téhéran 🇮🇷 Iran 249 63,113
    Philadelphie 🇺🇸 États-Unis 5 390 32 309
    Tianjin 🇨🇳 Chine 1 267 53 680
    Changsha 🇨🇳 Chine 1 149 52 768
    Stockholm 🇸🇪 Suède 6 069 19 984
    Minneapolis 🇺🇸 États-Unis 6 625 15 375
    Hefei 🇨🇳 Chine 2 549 38 974
    Eindhoven 🇳🇱 Pays-Bas 7 982 5 339
    Melbourne 🇦🇺 Australie 2 126 40 056
    Berlin 🇩🇪 Allemagne 3 624 30 464
    Chongqing 🇨🇳 Chine 1 651 41 412
    Francfort-sur-le-Main 🇩🇪 Allemagne 5 410 18 590
    Sydney 🇦🇺 Australie 2 539 33 695
    Raleigh 🇺🇸 États-Unis 3 057 30 206
    Madrid 🇪🇸 Espagne 1 580 38 849
    Zurich 🇨🇭 Suisse 3,759 24,437
    Milan 🇮🇹 Italie 2 578 31 077

    Le premier cluster américain de la liste, la région de la baie de San Francisco, abrite de grandes entreprises technologiques telles qu'Adobe, eBay, Google et PayPal.

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  23. Avec Cambridge au Royaume-Uni, la région de la baie de San Francisco est l'un des pôles à plus forte intensité de S&T par rapport à la densité globale de la population.

    Pour la première fois, la Chine arrive en tête de la liste des pays comptant le plus grand nombre de clusters parmi les 100 premiers, avec 24 au total. Viennent ensuite les Etats-Unis, avec 21 clusters, puis l'Allemagne avec 9.

    En outre, presque tous les clusters chinois ont progressé dans le classement par rapport à l'année dernière, seul Pékin perdant une place.

    São Paulo, Brésil); Bangalore, Delhi, Chennai et Mumbai (Inde) ; Téhéran (République islamique d'Iran) ; Istanbul et Ankara (Turquie) ; et Moscou (Fédération de Russie) sont les seuls pôles d’économies à revenu intermédiaire en dehors de la Chine.

    Selon le Global Innovation Index, les États-Unis sont en tête des dépenses en recherche et développement (R&D), suivis par la Chine, le Japon, l’Allemagne et la République de Corée.

    https://www.zerohedge.com/technology/mapping-worlds-top-50-science-and-technology-hubs

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  24. Voici où les gens vivent plus longtemps


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 18 FÉVRIER 2024 - 22H55


    Avec l’amélioration des soins médicaux et du niveau de vie dans de nombreux pays du monde, le XXe siècle a été marqué par une augmentation spectaculaire de l’espérance de vie à la naissance.

    Même si certains des progrès les plus significatifs sont visibles entre 1900 et 1950, outre les effets immédiats de la Seconde Guerre mondiale, en raison de divers développements économiques et politiques, même au cours des 50 dernières années, on a assisté à une augmentation constante de la durée de vie estimée des individus dans le monde. population. Par exemple, la durée de vie moyenne mondiale d’une personne née en 1971 était de 58 ans, tandis qu’en 2021, ce nombre est passé à 71 ans, soit une augmentation d’environ 19 %.

    Et, comme le détaille Florian Zandt de Statista ci-dessous, il existe certains pays dans le monde où cette hausse a été encore plus prononcée.

    - voir carte sur site -

    Infographie : Où l'espérance de vie a-t-elle augmenté ? | Statiste
    Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

    Pour garantir une meilleure comparabilité et montrer une image plus variée, nous avons utilisé les données de la Banque mondiale pour ces deux nouvelles années et calculé les trois pays par continent avec la plus grande variation en pourcentage de l'espérance de vie.

    Le Bangladesh occupe la première place non seulement en Asie mais dans le monde entier. L'espérance de vie à la naissance dans ce pays asiatique est passée de 26 en 1971 à 72 en 2021.

    Bien que ce chiffre soit impressionnant, il coïncide avec un facteur externe diminuant les chances de vivre longtemps : la guerre d’indépendance du Bangladesh de 1971 entre les nationalistes pakistanais et bengalis, dont la victoire a jeté les bases de la fondation du Bangladesh. L’année précédente, les habitants du Pakistan oriental, comme on l’appelait alors, avaient une espérance de vie de 43 ans, ce qui représenterait une augmentation de 40,6 % par rapport à 2021.

    Hormis le Bangladesh, les pays des continents africain et asiatique, qui dans cette définition incluent la péninsule arabe, la Turquie et la Russie, ont enregistré les plus fortes augmentations en pourcentage de l'espérance de vie à la naissance, les Amériques arrivant en troisième position en raison de l'augmentation dans des pays comme le Guatemala, El Salvador et Bolivie.

    Alors que les deux plus grandes superpuissances de l'après-guerre, les États-Unis et la Russie, puis l'URSS, n'ont vu leur espérance de vie augmenter que de sept et deux pour cent respectivement, certains pays de l'Europe d'après-guerre ont également connu une croissance à deux chiffres à cet égard. .

    Malte et le Luxembourg se classant deuxième et troisième pourraient s'expliquer par l'afflux de personnes fortunées et leur meilleur accès aux soins médicaux et à d'autres commodités. Le fait que le Portugal occupe la première place en Europe avec une augmentation en pourcentage d'environ 18 pour cent est plus difficile à expliquer. Les experts citent une variété de facteurs comme une stabilité politique accrue depuis la ratification de sa constitution en 1976, laissant l'Association européenne de libre-échange qu'il a cofondée en 1960 pour la Communauté économique européenne en 1986 avec l'Espagne, et le climat, l'alimentation et les communautés du pays. mode de vie contribuant à une meilleure santé globale.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/heres-where-people-are-living-longer

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  25. Cette juge nommée par les conservateurs qui tient la vie de Julian Assange entre ses mains
    Les membres de la famille de la juge Dame Victoria Sharp ont accédé à des postes hauts placés dans l'establishment britannique après avoir été nommés par des ministres conservateurs.


    Par Mark Curtis
    Mondialisation.ca,
    17 février 2024


    Dame Victoria Sharp a été désignée juge de la High Court qui se prononcera la semaine prochaine sur la demande d’arrêt de l’extradition de Julian Assange vers les États-Unis.

    L’éditeur de WikiLeaks est détenu comme prisonnier politique dans la prison de haute sécurité de Belmarsh à Londres depuis avril 2019. S’il est extradé, il risque une peine de 175 ans de prison aux États-Unis.

    L’un de ses précédents juges, Lady Arbuthnot, premier magistrat de Westminster, est mariée à un ancien ministre de la Défense conservateur et a déjà reçu des avantages financiers de la part d’organisations partenaires du Foreign Office.

    Un autre ancien juge, le Lord Chief Justice Ian Burnett, est un ami de longue date du ministre britannique qui a permis l’arrestation d’Assange en le forçant à quitter son asile à l’ambassade d’Équateur à Londres.

    La famille de Dame Victoria entretient également des relations particulières avec le Parti conservateur.

    Tous dans le même sac

    Son père était le baron Sharp of Grimsdyke, un pair à vie anobli en 1984. Il a été président du géant de la téléphonie Cable & Wireless pendant les années 1980, et a privatisé l’entreprise après avoir été approché par le secrétaire à l’industrie de Margaret Thatcher, Keith Joseph.

    Eric Sharp a commencé sa carrière au ministère de l’Énergie. Il est mentionné dans un câble de WikiLeaks en sa qualité de président du géant américain de la chimie Monsanto, poste qu’il a occupé de 1975 à 1981.

    Le frère jumeau de Dame Victoria, Richard, a été président de la BBC de 2021 à 2023, après avoir été nommé à ce poste par le premier ministre de l’époque, Boris Johnson.

    M. Sharp a démissionné après qu’un rapport a révélé qu’il avait enfreint les règles relatives aux nominations publiques. Il avait aidé à mettre en place une garantie de prêt de 800 000 livres sterling pour Boris Johnsonlorsqu’il était Premier ministre.

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  26. Avant d’être nommé président de la BBC, Richard Sharp avait fait don de plus de 400 000 livres au parti conservateur.

    Richard Sharp a également un lien avec l’actuel Premier ministre, qui ne serait probablement pas chagriné de voir Assange traverser l’Atlantique.

    M. Sharp a travaillé pendant plus de 20 ans pour le géant bancaire Goldman Sachs et aurait supervisé le travail de Rishi Sunak au cours de ses premières années dans le secteur financier.

    La nomination

    Dame Victoria a été nommée à son poste prestigieux de présidente de la division de la High Court, alors Queen’s bench(aujourd’hui King’s Bench Division), en avril 2019 – la première femme à obtenir ce poste.

    Elle a accédé à ce poste sur les conseils de Theresa May, alors Premier ministre, et de David Gauke, ministre de la Justice. Cette nomination fait suite à une recommandation du Lord Chief Justice Ian Burnett.

    L’année dernière, Mme Sharp a failli être nommée Lady Chief Justice, le plus haut magistrat du pays, quand Dame Sue Carr, une autre juge en chef, a remporté le poste convoité.

    Avant sa nomination à la High Court, Mme Sharp, en tant que QC [Queen’s Counsel, a agi dans plusieurs affaires très médiatisées, représentant par exemple les sociétés de médias Associated Newspapers et Times Newspapers.

    En 2021, Mme Sharp a condamné neuf manifestants pour le climat, membres d’Insulate Britain, à des peines de prison allant de deux à six mois pour avoir perturbé pacifiquement les infrastructures routières.

    Plus récemment, elle a instruit le procès en diffamation intenté par le partisan du Brexit, Aaron Banks, contre la journaliste Carole Cadwalladr. Mme Sharp a décidé que Mme Cadwalladr devait payer 60 % des frais de justice de M. Banks, qui s’élevaient à environ 1 million de livres sterling.

    Cette décision a été largement critiquée par les groupes de défense de la liberté de la presse et les médias, qui ont estimé qu’elle contribuait à museler le journalisme d’intérêt public.

    Le cas d’Assange illustre encore mieux ce type de menace : quelqu’un qui révèle la vérité sur les politiques étrangères des États-Unis et de l’Occident doit-il être autorisé par les autorités britanniques à être envoyé à sa mort effective sur ordre d’une puissance étrangère ?

    https://www.mondialisation.ca/cette-juge-nommee-par-les-conservateurs-qui-tient-la-vie-de-julian-assange-entre-ses-mains/5686538?doing_wp_cron=1708255348.7225170135498046875000

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  27. Le père d’Assange prend la parole : « Mon fils est politiquement persécuté ».


    Par John Shipton, Berenice Galli, et Manlio Dinucci
    Mondialisation.ca,
    17 février 2024


    Extraits de l’interview de John Shipton, père de Julian Assange, par Berenice Galli.

    « Je tiens à dire que lors de mes déplacements aux États-Unis, en Australie, en Nouvelle-Zélande et en Europe, j’ai rencontré de nombreux autres combattants de la liberté d’expression. Nous sommes donc de plus en plus forts, malgré le fait que l’Europe, ainsi que les États-Unis, l’Australie, le Canada et le Royaume-Uni, se sont absurdement rendus partenaires et complices d’un génocide, comme le stipule l’article 2 C de la Convention de Genève sur le génocide.

    J’ai commencé à désespérer des États vassaux. Tous les premiers ministres d’Europe, à l’exception d’Orban et du premier ministre slovaque, semblent sortir de la même usine, comme s’ils étaient autant de bouteilles de Coca Cola, ils ont quelques petites différences, maison fin de compte, ils sont tous les mêmes. Et ça, c’est vraiment un problème.

    Je ne me lasserai jamais de le répéter : celle contre Julian est une persécution et une poursuite politique et les avocats de l’accusation font ce qu’on leur dit de faire : continuer la poursuite. Il me semble qu’à ce stade, nous en sommes à 27 affaires judiciaires auxquelles Julian a dû faire face. Le problème est que le système qui poursuit sa persécution est toujours en place : le ministère de la justice n’a pas encore été dissous, par exemple, et poursuit cette persécution, tout comme le ministère des affaires étrangères du Royaume-Uni colonial, ainsi que le service des poursuites de la Couronne, qui n’ont pas cessé d’exister. La prison de Belmarsh paie toujours les geôliers qui gardent Julian enfermé ; le service des poursuites judiciaires des États-Unis continue de chercher à inculper Julian.

    Ces personnes, ces représentants du gouvernement sont autant entachés par la persécution de Julian que par le génocide au moyen-orient qu’ils soutiennent. On ne peut pas l’effacer ! Ces… il m’est difficile de le dire… ces 17 000 enfants ne ressusciteront pas ! Leur sang fécondera la terre de Gaza. Et que naîtra-t-il de cette terre ? Quelle colère se répandra dans l’âme de millions d’êtres humains à travers le monde, qui se manifestera par la haine et la violence pour défendre l’esprit de ces enfants perdus ? Nous devons comprendre cela ».

    Article original en italien.

    Bref résumé de la revue de presse internationale Grandangolo de vendredi 16 février 2024 à 21h30, sur la chaine italienne 262 Byoblu.

    Traduction : Mondialisation.ca

    Vidéo en italien :

    https://www.byoblu.com/2024/02/16/parla-il-padre-di-assange-mio-figlio-perseguito-politicamente/

    - voir clip sue site :

    https://www.mondialisation.ca/le-pere-dassange-prend-la-parole-mon-fils-est-politiquement-persecute/5686511?doing_wp_cron=1708254824.2333199977874755859375

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  28. QUI prêtera aux Etats occidentaux en 2024 ? La confiscation des avoirs russes pour les donner à Zélensky aura un effet boomerang dévastateur pour nous


    le 18 février 2024
    par pgibertie


    Les mauvaises idées succèdent aux mauvaises idées, après les désastreux effets (pour nous) des sanctions contre la Russie, le spécialiste écolo des rats parisiens Bayou et les macroniens phosphorent sur la confiscation des avoirs russes pour aider l’Ukraine . Une décision qui détruira la réputation de l’Europe auprès des investisseurs chinois et non occidentaux qui comprendront que de telles confiscations les concerneront un jour .

    Très mauvaise idée au moment où les Etats occidentaux font exploser leurs dettes, qui leur prètera? et à quels taux?

    Depuis le début du conflit ukrainien en 2022, les États-Unis et l’UE ont bloqué près de 300 milliards de dollars d’actifs appartenant à la Banque centrale russe. Sur ce montant, 196.6 milliards d’euros (211 milliards de dollars) sont détenus par la chambre de compensation belge Euroclear, qui a gagné près de 4,4 milliards d’euros d’intérêts sur le solde l’année dernière.

    En début de semaine, le Conseil de l’Europe a pris des mesures en vue d’une éventuelle confiscation de ces revenus d’intérêts. Le Département d’État a révélé plus tard que Washington « continue de discuter activement avec ses partenaires, y compris le G7 », concernant d’éventuelles façons de saisir les avoirs russes.

    Jeudi 15 février, deux députés français ont proposé de les confisquer au profit de la reconstruction de l’Ukraine. Un texte transpartisan soumis par Renaissance, le parti présidentiel, et les Écologistes, dont le député Julien Bayou,« Avec Benjamin Haddad, qui est le président du groupe d’amitié France-Ukraine, dont je fais partie, on demande à la France de peser au niveau européen pour confisquer les avoirs russes qui sont actuellement gelés au niveau européen, explique le député. Il y a 300 milliards d’euros qui, pour une bonne partie, sont en Belgique, qui sont des avoirs de la Banque centrale russe qui sont gelés depuis bientôt deux ans. On n’en fait rien et nous proposons de les affecter au soutien à l’Ukraine. Là, il s’agit de cinq fois les sommes qui ont été débloquées au niveau européen lors du dernier paquet d’aide. »

    La saisie des réserves gelées de la Russie est un sujet délicat, nécessitant une évaluation solide des fondements juridiques.

    Gita Gopinath du FMI souligne l’importance d’un soutien juridique suffisant avant de procéder à de telles actions. Les décisions prises dans ce domaine complexe et délicat doivent tenir compte des conséquences à long terme sur les membres du FMI et sur l’économie mondiale. Une approche prudente et réfléchie est essentielle pour une résolution appropriée de cette question.

    En effet, l’utilisation des fonds russes gelés pourrait mettre en péril la réputation de l’euro. C’est ce que déclare le vice-président de la banque. L’UE ne devrait pas utiliser les avoirs russes gelés pour aider à reconstruire l’Ukraine, a déclaré le vice-président de la Banque centrale européenne (BCE), Luis de Guindos. Selon le haut-responsable, une telle action pourrait avoir de graves implications pour la monnaie unique européenne.

    « Nous devons être prudents, car cela pourrait nuire à notre réputation. Nous devons regarder au-delà de ce conflit de manière isolée. Et cela pourrait avoir des implications pour l’euro en tant que monnaie sûre. L’euro est la deuxième monnaie la plus importante au monde et nous devons tenir compte de sa réputation à long terme », a prévenu M. de Guindos. Il indique que, même si la BCE est « favorable à l’aide et au soutien de l’Ukraine de toutes les manières possibles » ; il existe « d’autres moyens de financer la reconstruction de l’Ukraine ».

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  29. De nombreux avertissements, selon lesquels de telles mesures pourraient mettre en péril la crédibilité du système financier occidental et des monnaies occidentales

    Parallèlement à des vagues successives de sanctions antirusses , dès le printemps 2022 des voix de plus en plus audibles ont commencé à se lever pour faire jouer une nouvelle carte considérée comme particulièrement efficace contre l’économie russe : la confiscation pure et simple des actifs gelés de la banque centrale de Russie qui s’élèvent à plus de 300 milliards de dollars et leur injection dans la lutte contre Moscou.

    Après plus d’un an et demi depuis le début des diverses réflexions sur la possibilité de la spoliation de l’argent souverain russe, le 24 janvier 2024, la Commission des affaires étrangères du Sénat des EU a fait le premier pas tangible dans ce sens en approuvant le projet de loi « Rebuilding Economic Prosperity and Opportunity (REPO) for Ukrainians Act » (« Reconstruction de la prospérité et des opportunités économiques pour les Ukrainiens ») visant à confisquer les actifs russes, afin de les transférer vers l’Ukraine et, surtout donner l’exemple à suivre à ses partenaires européens qui détiennent la plus grande part de l’investissement étranger de Russie. Avec cette approbation, la confiscation des fonds souverains russes peut avoir lieu dès son adaptation par l’ensemble du Sénat, de la Chambre des représentants et la promulgation par le président Joe Biden.

    Les États disposent de l’immunité souveraine, en ce qui concerne leur propriété, et sont exemptés de la juridiction des autres pays – l’expropriation de leurs biens est interdite. Les dispositions du droit international sont sans équivoque et ne sont pas soumises à une interprétation : l’unique possibilité légale de confisquer les actifs souverains d’un état est la décision du Conseil de sécurité de l’ONU, le verdict de la Cour internationale de Justice de l’ONU ou un accord signé par les parties concernées dans le cadre d’un traité de paix sur les réparations suite à un conflit armé.

    Parmi les effets délétères qui seront inévitablement produits par la confiscation des actifs russes, on peut citer deux majeurs, dont le premier est l’autodestruction de la réputation étatique que bénéficiait jusqu’à présent l’ensemble du monde Occidental en tant qu’espace du respect des droits. La perte inévitable de cette réputation mènera directement à la perte de confiance vers le système financier occidental basé sur le dollar et l’euro et donc vers la sûreté d’investissement dans des produits financiers proposés par ce dernier.

    Depuis le début du conflit orchestré par les EU en Ukraine via le coup d’état de 2014, la Russie s’est débarrassée de l’intégralité de la dette étasunienne. Si encore en 2010 la Russie faisait partie des dix plus grands détenteurs de bons du Trésor étasunien, avec plus de 176 milliards, . Aujourd’hui l’investissement russe dans la dette étasunienne est nul.

    La baisse de la demande du dollar sur la scène internationale enclenchera automatiquement une dévaluation de la monnaie et, de fait, la baisse de la demande de bons du Trésor qui mènera, mécaniquement, à une augmentation de leur taux d’intérêt, en rendant, tout simplement, impossible le financement de la dette publique étasunienne au niveau que l’on connait aujourd’hui.

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  30. En tandem avec la Russie, la Chine de même, se débarrasse progressivement de ce dangereux débiteur. Si en 2015 elle détenait des bons outre-Atlantique pour plus de 1270 milliards, au début de la guerre en Ukraine ce chiffre s’élevait à moins de 970 milliards, soit une baisse de ¼ en 7 ans. Et malgré cette baisse déjà très significative, dès février 2022 l’Empire du Milieu a fait encore diminuer ses avoirs en dette américaine à -24 %.

    En prenant l’exemple de plusieurs pays, la Russie, la Chine en tête, c’est l’Egypte qui vient de prendre la voie de la dédollarisation en faveur des monnaies nationales dans les échanges commerciaux russo-égyptiens. Parallèlement à la dédollarisation de ses échanges, l’Egypte a également fait grandement diminuer son investissement dans des bons du trésor américain, avec la diminution de plus de 70% depuis le début de la guerre en Ukraine.

    La situation sur le marché européen n’est guère plus enviable : la fuite des capitaux étrangers y prenne de l’ampleur et ne fera que s’accentuer.

    Pratiquement aucun Etat hors bloc « atlantiste » ne prendra le risque de se faire spolier, si un jour leur politique souveraine ira à l’encontre des intérêts américains ou européens : non seulement les actifs étatiques actuellement présents sur le marché occidental le quitteront d’une manière accélérée, mais, surtout, les futurs fonds se tourneront vers des produits financiers qui ne représenteront pas des risques associés à l’offre occidentale, notamment ceux des marchés alternatifs de l’Asie et du Golfe Persique.

    Le second effet majeur de la spoliation des réserves souveraines de la banque centrale de Russie sera la légitimation directe de la Russie dans sa légalisation de la nationalisation/confiscation des actifs occidentaux présents sur le marché russe à titre de dédommagement financier vis-à-vis des avoir spoliés.

    Du côté de la Russie, la confiscation à titre de compensation des actifs des grands groupes occidentaux présents sur le territoire russe serait tout à fait légitime aux yeux des acteurs économiques non-occidentaux

    Ainsi, les pertes financières russes causées par des initiatives occidentales seront non seulement réputées nulles, mais en plus elles seront directement converties en pertes financières considérables des entreprises du camp adverse. En se basant sur des statistiques nationales, on peut estimer les pertes par pays en milliards de dollars. Notamment, la France perdra jusqu’à 16,6 milliards, les Pays-Bas jusqu’à 50,1 milliards, le Royaume-Uni jusqu’à 18,9 milliards, la Suisse jusqu’à 28,5 milliards, l’Allemagne jusqu’à 17,3 milliards, l’Italie jusqu’à 12,9 milliards, Japon jusqu’à 4,6 milliards, le Canada jusqu’à 2,9 milliards et les Etats-Unis jusqu’à 9,6 milliards.

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  31. Avec le principe des vases communicants, Moscou récupèrera ainsi ses actifs financiers actuellement bloqués pour un délai indéterminé et, de fait, ce n’est pas l’argent russe, mais celui des entreprises occidentales qui sera envoyé à l’Ukraine.

    Des problèmes pour la dette publique américaine: 1400 mds de S de déficit 2024 à financer par emprunt mais surtout 8,9 000mds de dette mature arrivée à échéance . Au total 10 000 mds de s à faire financer par l’étranger….

    Un montant record de 8 900 milliards de dollars de dette publique arrivera à échéance au cours de l’année prochaine. Parallèlement, le déficit public en 2024 devrait atteindre 1 400 milliards de dollars. Cela signifie que quelqu’un devra acheter plus de 10 000 milliards de dollars d’obligations du gouvernement américain en 2024. Cela représente actuellement près d’un tiers de l’encours de la dette fédérale américaine. Et ce, alors que la Fed devrait commencer à réduire ses taux, ce qui rendrait l’achat de ces obligations moins attractif. Qui va financer toute cette dette ?

    - voir graph et cadre sur site -

    https://pgibertie.com/2024/02/18/qui-pretera-aux-etats-occidentaux-en-2024-la-confiscation-des-avoirs-russes-pour-les-donner-a-zelensky-aura-un-effet-boomerang-devastateur-pour-nous/

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  32. Méfiez-vous des grosses méchantes bombes nucléaires spatiales russes !


    Par Drago Bosnic
    Recherche mondiale,
    18 février 2024


    Il est vraiment inexplicable que le « méchant » Kremlin soit « vaincu » en Ukraine , principalement parce que ses soldats « manquent » d’armes et de munitions et sont obligés de se battre avec « des pelles et des branches d’arbres », mais la Russie est quand même capable de déployer « des armes nucléaires dans l’espace ».

    C’est précisément la « logique » de la machine de propagande dominante, coincée dans un vide schizophrénique consistant à tenter de sous-estimer Moscou tout en exagérant grossièrement ses pertes et la nécessité de le présenter comme une menace immédiate pour l’Occident politique.

    Ainsi, le 14 février, le républicain de l'Ohio Mike Turner, président de la commission du renseignement de la Chambre des représentants, a déclaré que son panel avait « mis à la disposition de tous les membres du Congrès des informations concernant une menace grave à la sécurité nationale ». La menace majeure, imminente, grave et terrifiante pour la sécurité s’est vite révélée être les « armes nucléaires spatiales russes » !

    La machine de propagande dominante n'a pas précisé comment ces armes sont arrivées dans l'espace, car la Russie n'est qu'une « station-service nucléaire avec peu ou pas d'économie réelle ». Cependant, en toute sincérité, ABC News a cité « deux sources proches des délibérations au Capitole » qui auraient déclaré que « les renseignements ont à voir avec la volonté des Russes d’envoyer une arme nucléaire dans l’espace ».

    Pourtant, ce que les médias alarmistes ont « oublié » de mentionner dans leurs reportages, c’est que cette « arme nucléaire dans l’espace » serait en réalité une arme antisatellite à propulsion nucléaire (ASAT).

    Il y a une énorme différence entre avoir des ogives thermonucléaires pointées vers la Terre depuis l'espace et avoir un vaisseau spatial à propulsion nucléaire. L'armée russe possède déjà le premier, puisqu'elle a été le premier opérateur mondial du FOBS au début des années 1960.

    FOBS, acronyme de Fractional Orbital Bombardment System (СЧОБ en russe) , est un système d'arme thermonucléaire présent sur les missiles balistiques intercontinentaux (ICBM), conçu pour rendre leur portée effectivement illimitée.

    La Chine n’a testé sa propre version de la technologie qu’en 2021 , tandis que les États-Unis n’ont pas réussi à créer quelque chose de similaire.

    Ainsi, la Russie dispose de cette capacité depuis plus d’un demi-siècle, alors pourquoi y a-t-il tout d’un coup un tel battage médiatique autour d’un supposé ASAT à propulsion nucléaire ?

    Il est extrêmement difficile d’ignorer le fait que cela est utilisé comme une nouvelle excuse pour promouvoir simultanément plusieurs programmes bellicistes.

    Premièrement, cela renforce l’idée qu’il « ne peut y avoir de paix » avec Moscou , et

    Deuxièmement, cela donne à Washington DC l’excuse parfaite pour poursuivre la militarisation de l’espace, commencée des années avant l’opération militaire spéciale (SMO).

    Le président de la Chambre, Mike Johnson, a joué le rôle d'un « bon flic » et a déclaré qu'il n'y avait « pas besoin d'alarmer le public », tandis que Turner a conservé son rôle de « mauvais flic », appelant le président Joe Biden à « déclassifier les informations sur une affaire nationale grave ». menace pour la sécurité ».

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  33. D'un autre côté, trois membres de la commission du renseignement de la Chambre des représentants ont déclaré à Politico que « la menace causée par cette nouvelle capacité russe est inquiétante », mais qu'il s'agit d'une « préoccupation à plus long terme, pas d'une affaire d'aujourd'hui » et qu'il s'agit d'un « problème sérieux ». , mais pas une crise immédiate ».

    En d’autres termes, il est extrêmement probable que Moscou n’ait même pas déployé ce système ASAT (à condition qu’il envisage de le faire). Le 15 février, la Maison Blanche l'a même affirmé, le porte-parole du Conseil de sécurité nationale, John Kirby, confirmant vaguement cette hypothèse en affirmant qu'elle est « liée à une capacité [ASAT] que la Russie est en train de développer ».

    En fait, Kirby a même déclaré qu'« il ne s'agit pas d'une capacité active déployée ». En d’autres termes, c’était un aveu que le mode panique de « fin du monde » de la machine de propagande dominante au cours des deux derniers jours était absolument inutile.

    Kirby a même admis que, bien que cette capacité russe soit « troublante », l'arme elle-même ne constitue pas vraiment une menace pour la sécurité de quiconque , car « elle ne peut pas être utilisée pour attaquer des êtres humains ou provoquer une destruction physique ici sur Terre ».

    Il est très important de noter que les armes ASAT ont existé pendant une grande partie de la (Première) Guerre froide et que toute la campagne de peur que nous avons vue ces deux derniers jours serait presque la même que si quelqu'un se plaignait des armes thermonucléaires qui existent depuis près de 80 ans à ce stade . Pire encore, ces dernières peuvent réellement détruire le monde, contrairement aux armes ASAT.

    Pourtant, les États-Unis et l’OTAN cherchent bel et bien à militariser l’espace, et tous deux l’ont affirmé ces dernières années.

    Cela inclut les hauts responsables de l'alliance belligérante, en particulier son secrétaire général Jens Stoltenberg qui a déclaré ouvertement que l'espace était le « prochain domaine opérationnel » en 2019 . Bien plus tôt, pendant la (Première) Guerre froide, l’administration Reagan avait lancé le très vanté programme SDI (Strategic Defence Initiative), désormais mieux connu sous son nom plus populaire de « Star Wars ».

    Cependant, contrairement aux États-Unis, dont l’IDS était en grande partie un coup de pub, la Russie a en réalité construit des armes spatiales, notamment des lasers orbitaux . De plus, en 1987, elle a lancé un vaisseau spatial armé de laser appelé « Polyus/Skif-DM » . Même si le programme a été abandonné en raison du démantèlement malheureux de l’Union soviétique, Moscou a conservé son savoir-faire.

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  34. En fait, la Russie a même construit ces dernières années des défenses terrestres à laser et autres systèmes de défense ASAT à énergie dirigée , réactivant de nombreux programmes, en particulier à la suite des attaques à longue portée soutenues par l'OTAN par le régime de Kiev . En effet, l' alliance militaire la plus agressive au monde , une menace chronique pour la sécurité mondiale , fournit des données de ciblage à ses marionnettes néo-nazies grâce à l'utilisation de divers moyens ISR (renseignement, surveillance, reconnaissance), y compris son vaste réseau de satellites spatiaux. Elle a même intégré des sociétés spatiales privées telles que SpaceX dans ses capacités militaires . La Russie et la Chine voient cela comme une menace et réagissent de la même manière , notamment par une coopération technologique étroite . Cependant, l’Occident politique refuse catégoriquement leurs propositions visant à faire respecter les traités internationaux interdisant la militarisation de l’espace.

    https://www.globalresearch.ca/beware-big-bad-russian-space-nukes/5849772

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  35. Des scientifiques tentent des expériences risquées dans l’air et l’eau dans l’espoir d’arrêter le changement climatique !


    le 18 février 2024


    Traduction d’un article de Mish Shedlock paru sur son site https://mishtalk.com . Les inserts entre crochets précisent quelques points et ne sont pas de Mish mais de votre serviteur.

    Les scientifiques qui cherchent désespérément à enrayer ou à renverser le changement climatique déversent des produits chimiques dans l’océan et pulvérisent de l’eau salée dans l’air. Qu’est-ce qui peut mal tourner ? Je parle du court et du long terme.

    Rejeter des produits chimiques dans l’océan ? Pulvériser de l’eau salée dans les nuages? Injecter des particules réfléchissantes dans le ciel ? Les scientifiques recourent à des techniques autrefois impensables pour refroidir la planète parce que les efforts mondiaux pour contrôler les émissions de gaz à effet de serre échouent.

    Ces approches de géo-ingénierie étaient autrefois considérées comme taboues par les scientifiques et les régulateurs qui craignaient que le bricolage avec l’environnement pourrait avoir des conséquences involontaires, mais les chercheurs reçoivent maintenant des fonds publics et des investissements privés pour sortir du laboratoire et tester ces méthodes à l’extérieur.

    Modifier le climat

    - voir photo sur site -

    Augmenter la brillance des nuages marins. Des chercheurs à bord d’un navire au large de la côte nord-est de l’Australie, près des îles Whitsunday [d’Airlie Beach, Queensland, située au fond de la baie Pioneer des bateaux sont disponibles pour aller voir la Grande Barrière de corail], pulvérisent un mélange saumâtre à travers des buses haute pression dans l’air afin d’essayer de rendre plus lumineux les nuages de basse altitude qui se forment au-dessus de l’océan. Les scientifiques espèrent que les nuages plus grands et plus brillants refléteront la lumière du Soleil loin de la Terre, ombrageront la surface de l’océan et rafraîchiront les eaux autour de la Grande Barrière de corail, où le réchauffement des températures océaniques a contribué à la mortalité massive des coraux [encore une remarque issue de la propagande car le blanchissement des coraux est provoqué par des attaques virales qui apparaissent et disparaissent sans explication]. Le projet de recherche, connu sous le nom d’éclaircissement des nuages marins, est dirigé par l’Université Southern Cross dans le cadre du programme de restauration et d’adaptation des récifs, d’une valeur de 64,55 millions de dollars, soit 100 millions de dollars australiens.
    Solutions Stardust : En Israël, une startup appelée « Stardust Solutions » a commencé à tester un système pour disperser un nuage de minuscules particules réfléchissantes à environ 60000 pieds (20000 km) d’altitude, réfléchissant la lumière du Soleil loin de la Terre pour refroidir l’atmosphère dans un concept connu sous le nom de gestion du rayonnement solaire, ou SRM (solar radiation management).

    Jeter de la soude dans l’océan : Au Massachusetts, des chercheurs de la Woods Hole Oceanographic Institution prévoient de verser cet été 6000 gallons d’une solution liquide d’hydroxyde de sodium (soude) dans l’océan à 10 miles au sud de Martha’s Vineyard. Ils espèrent que la base chimique agira comme un gros comprimé pansement réduisant l’acidité d’une parcelle d’eau de surface et absorbant 20 tonnes de dioxyde de carbone de l’atmosphère, le stockant en toute sécurité dans l’océan. Cela me rappelle une idée ratée des années 1960 dont nous avons discuté à l’école primaire. À l’époque, l’idée était de vaporiser du charbon de bois sur la glace de l’Arctique pour arrêter le refroidissement mondial.

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  36. A-t-on besoin des volcans ? Les expériences visant à refroidir l’atmosphère en réfléchissant la lumière du soleil loin de la Terre sont une tentative d’imiter ce qui se passe quand un volcan entre en éruption. En 1991, le mont Pinatubo, un volcan actif aux Philippines, a déversé du soufre et des cendres dans la haute atmosphère, abaissant la température de la Terre d’un demi degré Celsius pendant toute une année. Mais jusqu’à il y a quelques années, de nombreux scientifiques s’opposaient aux interventions humaines, craignant une pente glissante qui permettrait à la société d’éviter de prendre des décisions difficiles sur la réduction des émissions et pourrait finalement se retourner contre l’humanité.

    - voir photo sur site -

    Oui, jetons de la cendre en l’air. Qu’est-ce qui peut mal tourner ? De la soude dans l’océan ? Pourquoi pas ? Si on a trop de cendre dans l’air et de soude dans l’océan, on peut l’enlever, non ?

    Lignes directrices de la Maison-Blanche

    Ne vous inquiétez pas, le président Biden a des lignes directrices sur la modification du rayonnement solaire : https://www.whitehouse.gov/wp-content/uploads/2023/06/Congressionally-Mandated-Report-on-Solar-Radiation-Modification.pdf . Le présent plan de recherche a été préparé en réponse à une exigence énoncée dans l’exposé des motifs conjoints qui accompagne la section B de la Loi de 2022 sur les crédits consolidés et dirige le Bureau de la politique des sciences et de la technologie (OSTP, Office of Science and Technology Policy) avec le soutien de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), pour fournir un plan de recherche pour « les interventions solaires et autres interventions climatiques rapides ». Non seulement nous avons besoin de nuages plus brillants, mais nous avons besoin de plus de cendres dans le ciel pour l’assombrir. Je suis certain que si nous pouvons dépenser des milliards de dollars pour éclaircir les nuages en pulvérisant de l’eau salée dans l’air tout en assombrissant le ciel, tout ira bien. Plus sérieusement, quelqu’un pense-t-il vraiment que cette idée peut éventuellement s’étendre à l’échelle mondiale? À quel prix ?

    Risques à court et à long terme

    Ironiquement, le risque à court terme est que l’un de ces plans soit effectivement couronné de succès. Et gardez à l’esprit que les données seront manipulées pour montrer le succès, ne serait-ce que pour obtenir plus de financement. Ensuite, nous augmenterons les dépenses à hauteur de dizaines de milliards de dollars, en jouant avec mère nature, pour ensuite faire face au risque à long terme. Le risque à long terme, c’est que nous faisons quelque chose de vraiment stupide, comme jeter du charbon de bois dans l’Arctique, comme on l’a proposé dans les années 1960, pour faire fondre la glace dans l’Arctique.

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  37. Autres nouvelles liées au climat…

    Pourquoi les panneaux solaires sont-ils 44% moins chers en Chine qu’aux États-Unis ?

    https://mishtalk.com/economics/why-are-solar-panels-44-percent-cheaper-in-china-than-the-us/ Le 6 février, j’ai remarqué que les coûts réels de la carboneutralité deviennent impossibles à cacher : https://mishtalk.com/economics/the-true-costs-of-net-zero-are-becoming-impossible-to-hide/

    Bloomberg annonce une hausse de 48 % des coûts Les plans d’énergie éolienne de Biden sont admirés mais morts dans l’œuf. Même avec des subventions massives, ces projets ne sont pas économiques.

    Le plus gros outil de Biden

    Le porte-parole de la Maison-Blanche, Michael Kikukawa, a déclaré que M. Biden « a utilisé tous les outils disponibles pour faire progresser l’industrie éolienne offshore américaine en pleine croissance ». En effet ! Son plus grand outil de persuasion est un paquet de mensonges commençant par une affirmation que ces projets sont moins chers et vont se payer eux-mêmes.

    Commentaire contrarien de votre serviteur. Puisqu’il a été question dans cet article de Mish Shedlock, analyste financier de son état, de l’Océan qui est le « puits de gaz carbonique » majeur sur notre planète, le règne végétal arrivant loin derrière, et puisqu’il a été également évoqué les éruptions volcaniques une façon de modifier le climat en intervenant au niveau des océans existe déjà ! Il s’agit d’un objet de débats vifs alimenté par les écologistes qui ne comprennent définitivement rien. Il y a des dizaines de milliers de bateaux qui sillonnent les océans jour et nuit. Ces bateaux sont propulsés par de gigantesques moteurs diesel mis au point pour utiliser un résidu pétrolier dont on ne sait que faire. Lors d’un trajet à bord d’un porte container de 270 mètres de long entre Le Havre et Pointe-à-Pitre en Guadeloupe j’ai pu visiter la salle des machines de cet énorme navire. C’était passionnant. Le responsable des machines m’a expliqué dans les moindres détails le fonctionnement de ces moteurs entraînant un arbre d’hélice d’une vingtaine de mètres de long. Il y avait deux moteurs et deux arbres d’hélice et une multitude de groupes électrogènes pour alimenter en particulier les groupes frigorifiques maintenant des températures adéquates dans un multitude de containers. De mémoire les moteurs diesel deux-temps de propulsion comprenaient six cylindres en ligne d’une cylindrée totale de plus de 500 litres. Ils sont couplés directement à l’arbre d’hélice et la vitesse de rotation ne dépasse par deux-cent tours/minute (toujours de mémoire). Les dizaines de mètres-cube d’huile de lubrification du carter sont centrifugés en continu, l’une des utilisations essentielles des groupes électrogènes.

    - voir photo sur site -

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  38. La controverse liée à ces très gros navires concerne la nature du carburant et les dégagements de fumées (et naturellement de gaz carbonique). Puisqu’il s’agit de moteurs deux-temps inévitablement les gaz de combustion contiennent des poussières et la combustion du carburant est loin d’être parfaite. Par conséquent le navire ne peut pas être « propre ». Le carburant est constitué d’une fraction visqueuse riche en soufre (jusqu’à 5 % en poids) que seuls ces moteurs diesel sont capables d’utiliser comme carburant car ils ont été conçus pour l’usage spécifique d’un tel carburant qui doit être maintenu à une température suffisante, 50 à 60 °C, pour ne pas « figer ». Pour les obsédés du réchauffement du climat ce carburant présente pourtant des avantages que Shedlock n’a pas mentionné et pour cause : les écologistes ne veulent pas en entendre parler et c’est là que leur stupidité se révèle. La combustion de ce carburant dégage des quantités massives de poussières et également des oxydes de soufre. Il a été question de poussières dans l’énumération de Shedlock et des éruptions volcaniques. Très bien mais la question est la suivante : tous les navires en circulation sur les océans ne représentent-ils pas, réunis, à une importante éruption volcanique continue chaque jour de l’année ? Ah ! Mais les éruptions volcaniques sont des phénomènes naturels alors que ces gros bateaux sont des destructeurs d’origine humaine de l’environnement. Et pourtant ils contribuent au refroidissement du climat …

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2024/02/18/des-scientifiques-tentent-des-experiences-risquees-dans-lair-et-leau-dans-lespoir-darreter-le-changement-climatique/

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  39. Influence du changement climatique : le niveau de la mer augmente-t-il – fortement ou pas du tout ?


    19 février 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Selon la presse grand public et les milieux politiques, une « catastrophe climatique imminente » constamment évoquée est à venir. L'une des conséquences présumées est une forte élévation du niveau de la mer due à la fonte des glaciers et des masses de glace au Groenland et en Antarctique. Cela aurait pour conséquence que des pays entiers sombreraient dans la mer et deviendraient inhabitables.

    Jusqu'à il y a quelques années, le terme « changement climatique » était encore utilisé - mais aujourd'hui, des expressions telles que « réchauffement climatique, réchauffement climatique, catastrophe climatique » et plus récemment l'expression « âge de la terre en ébullition » sont utilisées par le secrétaire général de l'ONU.

    Il est donc grand temps de revenir à la réalité.

    Dès le 30 juin 1989, l’ONU affirmait : « Un haut responsable environnemental de l’ONU affirme que des nations entières pourraient disparaître de la surface de la Terre à cause de l’élévation du niveau de la mer si la tendance au réchauffement climatique n’est pas inversée d’ici l’an 2000. » -Environnementaliste dit que des nations entières pourraient disparaître de la surface de la terre à cause de l’élévation du niveau de la mer si les tendances au réchauffement climatique ne sont pas inversées d’ici l’an 2000. »)

    On sait désormais (2024) que cela ne s’est pas produit en 2000 – ni dans les années suivantes.

    En 2009, une réunion du cabinet sous-marin a eu lieu aux Maldives, avec une attention médiatique appropriée pour attirer l'attention sur les conséquences dramatiques d'une éventuelle augmentation des jeux marins.

    La crainte d'une élévation du niveau de la mer circule depuis plus de quatre décennies - l'article du Spiegel des années 80 est bien connu dans ce contexte : « La cathédrale de Cologne a les « pieds mouillés » à cause du changement climatique ! La cathédrale de Cologne est construite à 53 m d'altitude. La première question qui se pose est de savoir si une telle élévation du niveau de la mer est même possible ?

    Une estimation approximative montre si la fonte de la glace d'eau douce mondiale (glace de l'Antarctique, glace du Groenland, glaciers des continents) peut entraîner une augmentation correspondante du niveau de la mer en raison de températures considérablement plus élevées :

    Fondamentalement oui, car la quantité totale de glace d’eau douce mondiale serait suffisante pour élever le niveau de la mer de 70 mètres. Ce qui n'est pas pris en compte, c'est l'expansion des lacs intérieurs, ainsi que le réchauffement de l'eau - et donc son expansion (densité plus faible).

    Donc théoriquement oui, la cathédrale de Cologne pourrait se trouver à environ 15 mètres sous l'eau.

    La question suivante est maintenant : à quelle vitesse un tel événement pourrait-il se produire ?

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  40. L'IPCC postule que les océans de la planète augmenteront de 3 mm par an. Avec une élévation théorique des océans de 3 mm par an, il faudrait 23 000 ans avant que les 15 mètres inférieurs de la cathédrale de Cologne soient sous l'eau.

    Ainsi, même selon le GIEC, il ne s’agit pas d’un véritable problème.

    Mais tout cela est-il vraiment vrai ? Comment l’élévation du niveau de la mer est-elle réellement déterminée ?

    Les niveaux d'eau sont documentés dans les ports et à des points de mesure définis, comme à Cuxhaven :

    - voir graph sur site -

    Source : Nils-Axel Mörner, « SEA LEVEL IS NOT RISING », SÉRIE DE RÉIMPRESSION SPPI, 6 décembre 2012, pp. 7-25

    Comme vous pouvez le constater, le niveau de la mer à Cuxhaven augmente depuis 1860, ce qui est également prévisible à la fin de l'Holocène. On constate également que cette augmentation s’est considérablement stabilisée au cours des dernières décennies.

    À quoi ressemblent les autres niveaux d’eau dans le monde ?

    - voir graph sur site -

    Source : Document A-4
    lors de la Conférence internationale sur la géoéthique du 9 au 19 octobre 2015, à Prague et Primbra, en République tchèque, organisée par Vaclav Nemec, Géoéthique : les principes d'éthique en sciences naturelles, Nils-Axel Mörner

    Comme on peut le constater, 184 niveaux d’eau dans le monde présentent de fortes différences. La raison en est la montée et la descente des plaques continentales, qui se déplacent les unes contre les autres et les unes sur les autres. Donc:

    - voir graph sur site -

    Il est donc clair que l’augmentation du niveau de la mer de 3 mm/an annoncée par l'IPCCC est beaucoup trop élevée. En réalité, cela représente en réalité 1,14 mm/an. La question qui se pose immédiatement ici est la suivante : peut-on même mesurer valablement 1,14 mm/an ? Compte tenu du marnage, des vagues, des imprécisions de mesure, etc., la montée des océans de la planète pourrait donc être nulle.

    Une méthode alternative pour mesurer les niveaux d’eau consiste à déterminer les contours/superficie des îles plates à l’aide d’images satellite et de relevés.

    - voir graph sur site -

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  41. Source : Webb, Arthur P. et Paul S. Kench. « La réponse dynamique des îles récifales à l'élévation du niveau de la mer : données probantes issues d'une analyse multidécennale du changement insulaire dans le Pacifique central. » Global and Planetary Change 72.3 (2010) : 234-246.

    Oui, il y a des îles dont la superficie est de plus en plus petite. Cependant, dans la majorité des îles des mers du Sud examinées, la superficie des terres augmente – ou reste la même.

    Si vous vérifiez maintenant et posez la question : la glace d’eau douce fond-elle réellement ? Naturellement, on peut observer des tendances locales très différentes. Les glaciers européens reculent, tout comme les glaces du Groenland. La glace de l'Antarctique ne change que légèrement

    (Source : Bilan de masse des calottes glaciaires du Groenland et de l'Antarctique de 1992 à 2020, Earth Syst. Sci. Data, 15, 1597-1616, 2023, https://doi.org/10.5194/essd-15-1597-2023 )

    Résumé:

    Même si les données de l'IPCC étaient correctes (3 mm par an), il faudrait 23 000 ans pour que toute la glace fonde.
    L'IPCC a « sélectionné » les niveaux d'eau : le niveau de la mer augmente au maximum d'environ 1 mm/an, il peut également atteindre 0 mm/an.
    Les îles des mers du Sud ne perdent aucune superficie, bien au contraire.
    Contre-vérification : Il n'y a aucune preuve que la glace de l'Antarctique diminue systématiquement, changeant d'avant en arrière dans une fourchette de 0,5 %.
    Dans la vidéo suivante, je discute avec Univ. Prof. Dr. Werner Bergholz sur le thème de « l'élévation du niveau de la mer » due au changement climatique :

    - voir clip sur site -

    https://tkp.at/2024/02/19/einfluss-von-klimaaenderungen-steigt-der-meeresspiegel-stark-oder-gar-nicht/

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    Réponses
    1. Lorsqu'un attardé mental vous pose la question "La mer monte t-elle ?" répondez-lui que, depuis DES millions d'années les pluies, les fleuves et les rivières ont jeté dans les mers et les océans DES milliards de km3 d'eau... sans que le niveau ne monte !!! Çà alors !!
      Et le gros con de répondre: "C'est normal, avec le réchauffement climatique l'eau s'évapore !"

      Là, on a touché le fond.

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  42. 10 raisons pour lesquelles le monde ne peut pas fonctionner sans combustibles fossiles


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 17 FÉVRIER 2024 - 22H20
    Rédigé par Gail Tverberg via Our Finite World,


    Les banques, les gouvernements et les entreprises seraient confrontés à la faillite en raison du rôle essentiel des combustibles fossiles dans l’économie.

    Les infrastructures critiques comme l’électricité, Internet et les systèmes commerciaux s’effondreraient sans le soutien des combustibles fossiles.

    L’agriculture et le chauffage domestique deviendraient inefficaces et inaccessibles au plus grand nombre, ce qui entraînerait des bouleversements sociaux généralisés.

    Il est désormais courant de parler de l’abandon des combustibles fossiles pour prévenir le changement climatique. Le résultat est à peu près le même si nous manquons de combustibles fossiles : nous perdons des combustibles fossiles, mais c’est parce que nous ne pouvons pas les extraire. Mais pratiquement personne ne nous dit dans quelle mesure le système actuel dépend des combustibles fossiles.

    L’économie est extrêmement dépendante des combustibles fossiles. S’il n’y a pas assez de combustibles fossiles pour tout le monde, il y aura probablement des conflits pour savoir ce qui est disponible. Certains pays recevront probablement bien plus que leur juste part, tandis que le reste de la population mondiale se retrouvera avec très peu, voire pas du tout, de combustibles fossiles.

    Si la perte totale ou presque totale des combustibles fossiles constitue un risque pour une partie de la population mondiale, il pourrait être utile de réfléchir à certaines des causes qui ne vont pas.

    Voici quelques-unes de mes idées sur les choses qui changent, la plupart du temps pour le pire, dans une économie privée de combustibles fossiles.

    [1] Les banques, telles que nous les connaissons, feront probablement faillite.

    Avant que les banques ne fassent faillite dans des régions pratiquement dépourvues de combustibles fossiles, je suppose que nous assisterons généralement à une hyperinflation. Les gouvernements augmenteront considérablement la masse monétaire dans une vaine tentative de faire croire aux gens que davantage de biens et de services sont produits. Cette approche sera utilisée parce que les gens assimilent avoir plus d’argent à la possibilité d’acheter plus de biens et de services. Malheureusement, sans combustibles fossiles, il sera très difficile de produire de très nombreux biens.

    Plus d’argent entraînera simplement plus d’inflation, car il faut des ressources physiques, y compris les types d’énergie appropriés, pour faire fonctionner toutes sortes de machines destinées à fabriquer des biens. La création de services nécessite également de l’énergie fossile, mais généralement dans une moindre mesure que la création de biens. Par exemple, la paire de ciseaux utilisée pour couper les cheveux est fabriquée à partir d’énergie fossile. La personne qui coupe les cheveux doit être payée ; son salaire doit être suffisamment élevé pour couvrir les coûts liés à l'énergie, comme l'achat et la préparation des aliments. Le salon de coupe de cheveux devra également payer pour l’énergie fossile nécessaire au chauffage et à l’éclairage, en supposant même que cette énergie soit disponible.

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  43. Les banques feront faillite parce qu’une part trop importante des dettes ne pourra être remboursée avec intérêts. Une partie du problème résidera dans le fait que, même si les salaires augmenteront, les prix des biens et des services augmenteront encore plus rapidement, rendant les biens inabordables. Une autre partie du problème réside dans le fait que les économies de services, comme celles des États-Unis et de la zone euro, seront affectées de manière disproportionnée par une économie en déclin. Dans une telle économie, les gens se feront couper les cheveux moins souvent. Au lieu de cela, ils dépenseront leur argent pour des produits de première nécessité, notamment de la nourriture, de l’eau et des ustensiles de cuisine. Les entreprises de services, telles que les salons de coiffure et les restaurants, feront faillite faute de clients, ce qui entraînera des défauts de paiement sur leurs dettes.

    [2] Les gouvernements d’aujourd’hui échoueront.

    Si les banques font faillite, les gouvernements d’aujourd’hui connaîtront également la faillite. Leur échec sera en partie dû aux tentatives de sauvetage des banques. Un autre problème sera la baisse des recettes fiscales en raison de la diminution de la production de biens et de services. Les programmes de retraite deviendront de plus en plus difficiles à financer. Toutes ces questions conduiront à des politiques de plus en plus conflictuelles. Dans certains cas, les gouvernements centraux peuvent se dissoudre, laissant les États et d’autres unités plus petites, comme les provinces actuelles, continuer à fonctionner seuls.

    Les organisations intergouvernementales, telles que les Nations Unies et l’OTAN, verront leurs voix de moins en moins écoutées avant d’échouer. Obtenir un financement suffisant de la part des États membres deviendra un problème croissant.

    Les dictatures dirigées par des dirigeants qui exercent un pouvoir absolu et les aristocraties dirigées par des dirigeants dotés de droits héréditaires sont les types de gouvernements qui ont le moins besoin d’énergie. Ces phénomènes risquent de devenir plus courants sans les combustibles fossiles.

    [3] Presque toutes les entreprises d’aujourd’hui feront faillite.

    Les combustibles fossiles sont essentiels pour toutes sortes d’entreprises. Ils sont utilisés dans l’extraction des matières premières et dans le transport des marchandises. Nous utilisons des combustibles fossiles pour paver les routes et pour construire presque tous les bâtiments actuels. Sans combustibles fossiles, même de simples réparations des infrastructures existantes deviennent impossibles. Sans combustibles fossiles adéquats, les entreprises internationales risquent particulièrement de se diviser en unités plus petites. Il leur sera impossible d’opérer dans des régions du monde où l’approvisionnement en combustibles fossiles est pratiquement inexistant.

    Les combustibles fossiles sont même utilisés dans la fabrication de panneaux solaires, d’éoliennes et de pièces de rechange pour véhicules électriques. Parler du solaire et de l’éolien comme d’« énergies renouvelables » est dans une large mesure trompeur. Au mieux, ils peuvent être décrits comme des « prolongateurs » de combustibles fossiles. Ils pourraient résoudre un problème d’approvisionnement en combustibles fossiles légèrement faible, mais ils sont loin d’être des substituts adéquats.

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  44. [4] Le réseau électrique et Internet disparaîtront.

    Les combustibles fossiles sont importants pour entretenir le système de transmission électrique. Par exemple, la restauration des lignes électriques tombées en panne après des tempêtes nécessite des combustibles fossiles. Le raccordement de panneaux solaires ou d’éoliennes au réseau électrique nécessite des combustibles fossiles. Les systèmes de panneaux solaires domestiques peuvent fonctionner jusqu'à ce que leurs onduleurs tombent en panne. Une fois leurs onduleurs tombés en panne, leur utilité sera grandement dégradée. Des combustibles fossiles sont nécessaires pour fabriquer de nouveaux onduleurs.

    Les combustibles fossiles sont également importants pour entretenir chaque élément du système Internet. De plus, sans réseau électrique, il devient impossible d’utiliser des ordinateurs pour se connecter à Internet.

    [5] Le commerce international sera considérablement réduit.

    À cette époque de l’année, beaucoup d’entre nous se souviennent de l’histoire des trois rois d’Orient venus rendre visite à l’enfant Jésus avec de précieux cadeaux. Nous nous souvenons également des histoires bibliques de Paul voyageant dans des pays lointains. Grâce à ces exemples et à bien d’autres, nous savons que le commerce et les voyages internationaux peuvent se poursuivre sans combustibles fossiles.

    Le problème est que sans combustibles fossiles, certaines régions du monde n’auront que très peu à offrir en échange de biens fabriqués à partir de combustibles fossiles. Les pays dotés de combustibles fossiles se rendront vite compte que la dette publique des pays sans combustibles fossiles ne signifie pas grand-chose lorsqu’il s’agit de payer des biens et des services. En conséquence, le commerce sera réduit pour correspondre aux exportations disponibles. Les exportations de biens seront probablement très limitées dans les régions du monde fonctionnant sans combustibles fossiles.

    [6] L’agriculture deviendra beaucoup moins efficace.

    L’agriculture d’aujourd’hui est devenue incroyablement efficace grâce à de gros équipements mécaniques, généralement alimentés au diesel, ainsi qu’à un grand nombre de produits chimiques, notamment des herbicides, des insecticides et des engrais. De plus, des clôtures et des filets fabriqués à partir de combustibles fossiles sont utilisés pour éloigner les animaux nuisibles indésirables. Dans certains cas, les serres sont utilisées pour fournir un climat contrôlé aux plantes. En utilisant des combustibles fossiles, des semences hybrides spécialisées sont développées qui mettent l’accent sur les caractéristiques que les agriculteurs considèrent comme souhaitables. Toutes ces « aides » auront tendance à disparaître.

    Sans ces aides, l’agriculture deviendra bien moins efficace. La figure 1 montre que même avec une légère réduction de l’utilisation des combustibles fossiles en 2020, la part de l’emploi fourni par l’agriculture a augmenté.

    - voir graph sur site -

    Figure 1. Emploi mondial dans l'agriculture en pourcentage de l'emploi total, tel que compilé par la Banque mondiale.

    L'emploi dans l'agriculture est essentiel. Ces travailleurs n'ont pas été licenciés, même si les travailleurs du tourisme et ceux de la confection de vêtements de luxe ont perdu leur emploi, de sorte que la part des emplois agricoles dans l'emploi total a augmenté.

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  45. [7] Les besoins futurs en main-d’œuvre seront probablement disproportionnés dans le secteur agricole.

    Les gens ont besoin de manger. Même si l’économie fonctionne de manière très inefficace, les gens auront besoin de nourriture. On peut s’attendre à ce que la part de la population dans l’agriculture (y compris la chasse et la cueillette) augmente considérablement.

    Certains espèrent qu’un passage à l’utilisation de la permaculture résoudra le problème de la dépendance de l’agriculture aux combustibles fossiles. Je considère la permaculture principalement comme un prolongement des combustibles fossiles, plutôt que comme une solution pour se passer des combustibles fossiles, car elle suppose l’utilisation de nombreux dispositifs basés sur les combustibles fossiles, tels que les clôtures modernes et les outils d’aujourd’hui. De plus, au mieux, la permaculture ne résout que partiellement le problème de l’inefficacité, car elle nécessite une énorme quantité de travail pratique.

    - voir graph sur site -

    Figure 2. Comparaison de l'emploi agricole aux États-Unis en proportion de l'emploi total, avec un ratio similaire pour les pays les moins avancés des Nations Unies, basé sur les données de la Banque mondiale.

    Aujourd’hui, il existe un large écart entre la part de l’emploi dans l’agriculture aux États-Unis et dans les mêmes statistiques pour le groupe des pays les moins avancés des Nations Unies. La plupart de ces pays se trouvent en Afrique subsaharienne. Ils utilisent très peu de combustibles fossiles.

    La part de l'emploi agricole aux États-Unis s'est récemment élevée à environ 1,7 %. Dans la partie de l'Europe utilisant l'euro, la part de l'emploi dans l'agriculture a récemment atteint en moyenne environ 3,0 %. Que ce soit aux États-Unis ou en Europe, il faudrait un changement considérable en matière d'emploi pour atteindre 70 % d'emplois agricoles (comme cela a été le cas au début des années 1990 pour le groupe des pays les moins avancés de l'ONU), ou même jusqu'à 55 % (comme cela a été récemment le cas du même groupe). groupe).

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  46. [8] Le chauffage domestique deviendra un article de luxe réservé aux riches.

    Sans combustibles fossiles, le bois deviendra très demandé pour sa valeur calorifique. Le bois sera nécessaire pour cuire les aliments ; il est très difficile de subsister avec un régime composé uniquement d'aliments crus. Le bois sera également demandé pour fabriquer du charbon de bois, qui pourra à son tour être utilisé pour fondre certains métaux. Avec cette demande en bois, la déforestation risque de devenir un problème majeur dans de nombreuses régions du monde. Le bois en général sera assez cher, étant donné le coût considérable de sa récolte et de son transport sur de longues distances sans le bénéfice des combustibles fossiles.

    Les personnes vivant dans des zones boisées peu peuplées peuvent être en mesure de récolter leur propre bois pour chauffer leur maison. Pour d’autres, le chauffage domestique deviendra probablement un luxe, accessible uniquement aux très riches.

    [9] Vivre seul deviendra une chose du passé.

    Sans suffisamment de chaleur et avec à peine assez de bois pour cuisiner, les gens (et leurs animaux) devront se serrer davantage les uns contre les autres. Les maisons abritant plusieurs générations, construites sur un lieu destiné à l’élevage des animaux de ferme, pourraient redevenir populaires. Il sera plus efficace de cuisiner pour de grands groupes que pour une seule personne à la fois. Les habitants des régions froides se blottissent les uns contre les autres dans des lits pour se réchauffer. Ou bien ils se blottissent contre leurs chiens, comme dans le dicton, nuit à trois chiens, ce qui signifie une nuit suffisamment froide pour nécessiter trois chiens pour garder une personne au chaud.

    Même dans les régions chaudes du monde, les gens vivront ensemble en groupes, tout simplement parce que l’entretien d’un foyer pour une seule personne deviendra incroyablement coûteux. La nourriture et le combustible pour cuisiner représenteront une part considérable du revenu d’une famille. Il ne restera que peu de choses pour d'autres dépenses.

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  47. [10] Les gouvernements et leurs lois perdront de l’importance. Au contraire, de nouvelles traditions et de nouvelles religions joueront un rôle plus important dans le maintien de l’ordre.

    Les gouvernements ont fait des dizaines de promesses, mais sans un approvisionnement croissant en combustibles fossiles (ou un substitut adéquat), ils ne seront pas en mesure de les tenir. Les retraites disparaîtront. La capacité des gouvernements à faire appliquer les lois sur la propriété va probablement disparaître. Sans un bon substitut aux combustibles fossiles, un désordre de masse est probable.

    Les gens ont soif d’ordre. Sans ordre, il est impossible de faire des affaires. Nous savons par expérience récente que les « groupes de développement durable », constitués par des personnes partageant un intérêt commun pour le développement durable, ont tendance à ne pas fonctionner suffisamment bien pour rétablir l’ordre. Ils ont tendance à s’effondrer dès que des obstacles surviennent.

    Ce qui a semblé fonctionner pour rétablir l’ordre dans le passé, c’est une combinaison de traditions et de religions. Dans un monde en évolution, les traditions et les religions devront probablement changer. Dans le livre Communities that Abide de Dmitry Orlov et al., les auteurs soulignent qu’avoir un leader fort (non élu) et un ensemble partagé de croyances religieuses aide à maintenir un groupe uni. En fait, cela aide si le groupe est quelque peu persécuté. Se battre pour une cause commune fait partie de ce qui unit le groupe.

    Les Dix Commandements de la Bible sont interprétés d’une manière qui suggère fortement qu’il s’agit de règles de comportement au sein du groupe, et non de comportements en général. Par exemple, « Tu ne tueras pas » s'applique aux autres membres du groupe ; des guerres contre d’autres groupes étaient très attendues. Dans ces guerres, on s’attendait à ce que des membres d’un autre groupe soient tués. Cela semblerait permettre aujourd’hui à Israël de tuer des membres du Hamas. Sans suffisamment de combustibles fossiles, les combats deviennent plus fréquents.

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  48. Conclusion

    À mon avis, le problème auquel le monde est confronté aujourd’hui est semblable à celui auquel les petites économies ont été confrontées à maintes reprises dans le passé : la population est devenue trop nombreuse pour la base de ressources de l’économie, qui comprend désormais les combustibles fossiles. Les dirigeants d’aujourd’hui reformulent le problème en s’éloignant volontairement des combustibles fossiles pour prévenir le changement climatique et rendre la situation moins effrayante.

    À mon avis, le monde doit réduire son utilisation des combustibles fossiles car, en fin de compte, ce sont les lois de la physique qui déterminent les prix de vente des combustibles fossiles. Nous extrayons d’abord les combustibles fossiles peu coûteux à produire. Le problème est que les prix de vente des combustibles fossiles ne peuvent pas augmenter arbitrairement. Les prix doivent être à la fois :

    Suffisamment élevé pour que les producteurs réalisent des bénéfices, avec des fonds restants pour le réinvestissement et pour des impôts adéquats pour leurs gouvernements.

    Suffisamment bas pour que les consommateurs puissent se permettre d’acheter de la nourriture et d’autres biens de consommation produits avec ces combustibles fossiles.

    Si nous supposons que tous les combustibles fossiles qui semblent se trouver sous terre peuvent réellement être extraits, le changement climatique dû à leur combustion pourrait effectivement constituer un problème. Mais il est difficile d’envisager qu’ils puissent réellement être extraits, étant donné le problème de l’accessibilité financière. Les politiciens maintiendront les prix à un niveau bas pour inciter les électeurs à voter pour eux, au moins.

    Les chercheurs ont travaillé avec diligence pour trouver des solutions, mais jusqu’à présent, leur succès a été médiocre. Chaque solution supposée nécessite une utilisation importante de combustibles fossiles. Nous devons donc réfléchir à ce qui pourrait arriver si nous étions obligés de nous passer des combustibles fossiles et de les remplacer par un substitut adéquat.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/10-reasons-why-world-cant-run-without-fossil-fuels

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  49. Les inondations et leurs conséquences


    18 Février 2024
    Willi l'agriculteur*


    Les inondations ne sont pas encore terminées, même si elles ont disparu de l'attention des médias. Le gel de ces derniers jours a toutefois permis de réduire considérablement les craintes de ruptures de digues. Quelles sont les conséquences des inondations pour la nature et donc pour l'agriculture ?

    Dans le nord et l'est de l'Allemagne, plusieurs centaines de milliers d'hectares de terres agricoles et de pâturages ont été inondés. Comme l'eau stagne maintenant depuis plus de dix jours dans les champs, on peut supposer que les semis d'hiver comme le blé d'hiver, l'orge d'hiver et le colza d'hiver ne pourront plus être sauvés. Les inondations pendant la période sans végétation (hiver) ne sont pas aussi critiques qu'au printemps et en été. D'une part, il n'y a pas de croissance à ce moment-là, d'autre part, il fait nettement plus froid et l'eau est généralement aussi plus riche en oxygène. Mais les plantes finissent tout de même par étouffer.

    Et maintenant ?

    Pour les agriculteurs concernés, cela signifie que lorsque l'eau se sera écoulée, ils devront semer une culture de printemps. Cela ne sera guère possible dans les semaines à venir, car les sols sont tellement détrempés qu'ils ne sont pas praticables. Le choix de la culture d'été sera décidé en fonction de l'utilisation ultérieure. Ceux qui ont du bétail cultiveront un fourrage comme l'orge de printemps ou le maïs. Il sera également décisif de savoir si l'on dispose de suffisamment de semences, car il s'agit d'un événement que personne n'a pu planifier de cette manière. En règle générale, les agriculteurs doivent prendre en charge les frais de réensemencement (et bien sûr aussi les frais de premier ensemencement). Il ne faut pas s'attendre à un bénéfice économique sur les surfaces inondées.

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  50. Bâtiments d'habitation et étables

    Outre les champs et prairies, les bâtiments agricoles et les habitations sont également touchés. Les dommages qui y sont causés peuvent être couverts par une assurance contre les éléments naturels. Toutefois, ce type d'assurance n'est pas très bon marché, surtout si les bâtiments sont situés dans des régions où les inondations sont fréquentes. Un problème plus important se pose lorsque du fourrage a été stocké à proximité de la ferme et qu'il a également été inondé. Celui-ci devient inutilisable au bout de quelques jours. Il est également clair que dans de nombreux cas, il n'est actuellement pas possible de sortir et que les animaux sont logés à l'étable toute la journée.

    Et la faune sauvage ?

    Le gibier devrait avoir quitté à temps les surfaces inondées. L'espace vital et donc l'offre de nourriture se sont toutefois raréfiés. La population devrait en tenir compte lorsqu'elle se trouve dans la nature.

    Montée des eaux souterraines

    L'abondance de pluie est positive pour les eaux souterraines. Les niveaux des eaux souterraines ne peuvent plus être considérés comme normaux que dans quelques cas ; de très nombreuses stations de mesure affichent des valeurs extrêmes, comme le montre la carte ci-dessous.

    https://www.grundwasserstandonline.nlwkn.niedersachsen.de/Karte

    Les médias

    La chaîne de télévision WDR rapporte à quel point les agriculteurs aident de manière constructive et désintéressée à surmonter la catastrophe avec leurs machines :

    https://www1.wdr.de/fernsehen/aktuelle-stunde/alle-videos/hochwasser-und-landwirtschaft-ein-problem-100.html

    Des aides de l'État ?

    Divers hommes politiques, dont le chancelier fédéral, se sont rendus dans la zone sinistrée. Des incidents isolés ont eu lieu à cette occasion. Aucune promesse concrète n'a été faite quant à l'aide que le gouvernement fédéral apportera aux personnes touchées. Une seule la déclaration a été faite : « On ne laisse personne seul ».

    https://www.zeit.de/video/2024-01/6344268141112/olaf-scholz-im-hochwassergebiet-wir-werden-niemanden-alleine-lassen

    https://seppi.over-blog.com/2024/02/les-inondations-et-leurs-consequences.html

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    1. Pleut-il plus qu'avant ? Non ! Mais alors... pourquoi l'eau ne s'écoule t-elle pas ?
      Les rivières et les fleuves n'ont pas été dragués depuis... plus de 40 ans !!
      Donc, dès qu'il pleut même '4 gouttes'! çà déborde !

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  51. La conclusion qui s'impose est que c'est la peur fabriquée, et non les faits, qui est utilisée pour manipuler le comportement des consommateurs, en particulier le fait allégué de nuire « aux enfants ». Nous sommes câblés pour réagir à la peur. Les appels à la peur influencent efficacement les attitudes, les intentions et les comportements et sont rarement inefficaces. L'EWG et la filière biologique savent que le fait d'éveiller les inquiétudes des parents sur la santé et la sécurité potentielles de leurs enfants, même si ces craintes sont infondées, incitera de nombreux parents à adopter le message biologique. Cependant, je pense que toute personne raisonnable conviendra que les exemples de portions quotidiennes sûres de l'USDA pour les enfants devraient montrer que nos fruits et légumes sont sûrs et convaincre toute personne raisonnable qu'il n'est pas nécessaire de dépenser environ 40 % de plus de son budget alimentaire, déjà limité, pour acheter des produits biologiques.

    Source : Pesticide Data Program Annual Summary Calendar Year 2022, USDA

    Dietary Pesticides 99.99 Percent Natural, Pesticide Facts

    https://seppi.over-blog.com/2024/02/si-votre-enfant-ne-peut-pas-manger-plus-de-340-pommes-moyennes-par-jour-vous-pouvez-renoncer-aux-produits-biologiques.html

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  52. Produits alimentaires et pesticides : où est la déontologie du consumérisme ?


    19 Février 2024


    Dans son numéro de février 2024, 60 Millions de Consommateurs nous a livré un exemple caricatural de manipulation de l'opinion s'agissant de la présence de pesticides... de traces... dans les produits alimentaires. L'alimentation du fonds de commerce prime sur la déontologie. Et c'est un phénomène récurrent.

    En couverture du numéro : « Riz – Sans pesticides, c'est mieux ! » Huit pages, dont une double page d'entrée en matière avec une grande, sinon immense, photo d'un bol de riz. Il faut bien que la revue soit suffisamment épaisse... En titre : « Basmati, thaï, long grain et de Camargue – du riz, oui, mais sans pesticides ».

    Il est clair que pour un produit tel que le riz, il est difficile de produire un comparatif multi-critères. La revue s'est donc limitée dans ses tableaux comparatifs, outre les indications « passeport » habituelles, à un « nutri-score 2024 » – qui, surprise, surprise, est « B » dans tous les cas – et trois éléments : « pesticides », « arsenic inorganique » et « aflatoxine », intervenant pour 70 %, 20 % et 10 %, respectivement.

    Pourquoi cette clé, et surtout cette prépondérance écrasante des pesticides ? Mystère !

    En fait, non : cela reflète une martingale du consumérisme qui alimente le fonds de commerce de ses revues, et ce, en alimentant la phobie des pesticides dans le lectorat et, au-delà, dans la population générale, laquelle phobie incite à payer pour les mauvaises nouvelles qui alimentent la phobie... Un cercle vicieux pour le bon sens et la rationalité, et vertueux pour les affaires.

    Si l'on veut jouer au jeu de l'anxiogenèse – sachant toutefois que, sauf accident, tous ces produits sont sains, loyaux et marchands selon une formule juridique – on devrait plutôt pointer les aflatoxines, cancérogènes et génotoxiques avérés.

    - voir cadre sur site -

    La revue a donc fait tester 40 références (14 riz basmati, 10 riz thaï, 10 riz long grain et 6 riz de Camargue).

    Entendons-nous bien : il s'agit à chaque fois d'un paquet de riz à partir duquel se déploiera le laïus consumériste, allant des louanges ou quasi à l'assassinat ou quasi. Lorsque l'on sait comment opère la filière du riz, avec souvent de petits producteurs, on comprend facilement que l'analyse d'un seul paquet de riz n'est en aucune manière représentative de la marque en cause.

    Ce n'est pas un cas isolé. Les tests sur des baguettes et des croissants de mars 2023, ou sur des confitures d'avril 2023, par exemple, avaient aussi été réalisés à chaque fois sur une baguette, un croissant ou un pot, respectivement.

    L'objectif auto-proclamé de défense du consommateur n'est donc pas vraiment au rendez-vous. On est au contraire dans le domaine des agissements pour lesquels il existe des qualifications juridiques. Quant aux marques qui subissent la marque d'infamie d'une note globale figurant dans un rectangle rouge, elles pourraient aussi, à notre sens, se plaindre de dénigrement.

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  53. Pour les pesticides, on aurait cherché la bagatelle de... 650 molécules, certes par une procédure à haut débit. Là encore, le lecteur est induit en erreur. On sait d'avance, dans les milieux informés, qu'on n'emploie pas 650 pesticides dans la production et la conservation du riz. Ce chiffre, c'est de l'esbroufe.

    On trouvera dans la revue des noms qui sonnent comme des injures, mais aucune donnée chiffrée avec un point de comparaison. Ainsi dans la péroraison de Mme Sylvie Metzelard en éditorial :

    « On aimerait se passer tout particulièrement de certaines substances détectées, comme le tébuconazole ou la cyperméthrine que la France et l'Europe, via l'Anses et l'Echa, considèrent comme potentiellement cancérogènes, mutagènes et reprotoxiques... Bien sûr, nous restons généralement dans les limites autorisées - du moins quand celles-ci existent, car cela n'est pas toujours le cas. »

    La cyperméthrine... largement utilisée en médecine vétérinaire...

    Soyons aussi réalistes : nous n'aurions pas lu : « nous restons généralement dans les limites autorisées », s'il y avait vraiment eu un dépassement ! Une demi-vérité est un vrai mensonge...

    On s'étonnera aussi de l'absence alléguée de limites maximales de résidus pour certaines substances. Ici aussi, le texte aurait été différent si on avait trouvé une trace de pesticide sans LMR.

    En fait, est en cause ici le pipéronyl butoxide, un synergisant pour lequel il n'existe pas de LMR européenne. Mais les autorités françaises ont fixé une LMR nationale à 10 mg/kg sur les céréales cultivées en France uniquement. Demi-vérité...

    Ce fait a pourtant été évoqué par la même auteure dans le numéro de mars 2023, apropos des baguettes...

    60 millions concède : « Aucune étude n’a, jusqu’ici, démontré de risque réel à son usage… », mais c'est pour susciter néanmoins l'angoisse : « mais celui-ci est croissant. En témoigne sa présence dans treize références de notre sélection. » En témoigne ? C'est du bluff.

    Cette situation tout à fait ordinaire et rassurante n'a pas empêché la revue de distribuer des mauvais points pour six produits, dont cinq avec un « - - » (double moins) expliqué de manière étonnante : « Un produit avec au moins une molécule à risque ou interdite en Europe ne peut avoir une mention positive sur "Pesticides" ».

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  54. Encore une fois, il s'agit de détection de traces, en dessous des LMR, de niveaux qu'on ne pouvait sans doute pas préciser sans tomber dans le ridicule. Bref, de riz sains, loyaux et marchands.

    Au total, on aurait « détecté » neuf substances, dans quinze produits au total (sur 40). Et 60 Millions ajoute : « soit plus du tiers de notre panel ». Ah bon !

    Parmi ces substances il y a l'isoprothiolane, un fongicide identifié dans trois produits qui serait « interdit d'usage dans l'Union européenne, mais dont les résidus sont autorisés dans les produits alimentaires ». Et de s'indigner : « Autrement dit, on protège les agriculteurs et la végétation de notre continent, mais pas ceux des autres zones du globe, où ces substances continuent d’être utilisées… »

    En réalité, le fabricant n'a pas demandé d'autorisation de mise en marché sur le territoire européen.

    Les riz basmati, bios exceptés, sont épinglés : ils sont « les plus contaminés ». Une formulation qui laisse grandement à désirer et induit en erreur ceux qui lisent le texte et n'auraient pas été préalablement « intoxiqués » par le tableau comparatif.

    60 Millions a trouvé une « sachante » à même de fournir une explication :

    « Un constat qui n’étonne pas Delphine Marie-Vivien, chercheuse au Cirad : "Pour l’Inde, principal pays producteur avec le Pakistan, le riz basmati représente un produit très rémunérateur. Il y a quinze ans, les producteurs ont ajouté des variétés plus productives et poussé vers une riziculture plus intensive et utilisatrice de pesticides." »

    Foi de juriste spécialisée en propriété intellectuelle et, plus particulièrement, indications géographiques...

    60 Millions est un peu plus précis sur l'arsenic. Après avoir agité quelques épouvantails au sujet des pesticides, elle écrit :

    « Seul l’arsenic inorganique, naturellement présent dans les sols, pose problème pour la santé humaine ; pour cela, il ne doit pas dépasser une valeur seuil de 0,15 mg/kg pour les riz usinés (blancs) et non étuvés, et de 0,25 mg/kg pour les riz étuvés (incollables) et décortiqués, comme le riz semi-complet. »

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  55. Par construction du système alimentaire, « conventionnel » mais aussi « biologique », ce risque est parfaitement assumé et il est géré de telle manière que ce risque de présence de « traces » ne soit pas un risque pour la santé publique.

    La déontologie consisterait à le reconnaître et à agir en conséquence.

    La déontologie consisterait aussi à prendre la mesure de ses responsabilités. La moindre des choses consisterait à rédiger un article de telle manière qu'il ne mène pas à des interprétations abusives – tel le « Les marques de riz à ne surtout pas acheter pour éviter les pesticides, selon 60 millions de consommateurs » de Notre Temps, qui n'est cité qu'à titre d'illustration d'une très problématique dérive médiatique.

    https://seppi.over-blog.com/2024/02/produits-alimentaires-et-pesticides-ou-est-la-deontologie-du-consumerisme.html

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    1. Mais qu'est-ce donc qu'un 'pesticide' ??! (PESTE !! HOULALA !)

      Il s'agit d'un remède. Un médicament destiné aux plantes pour lutter contre les maladies et les insectes ravageurs.

      Sans ce remède ZÉRO plante ne peuvent pousser !

      Donc, soir retourner aux siècles pré cédants où la population était presque toute paysanne et crevait de faim, c-à-d 'bio' (donc: FAMINE), soit se tourner vers les médicaments testés depuis x décennies pour sauver les plantes.

      De nos jours les directives politiques des 'chefs d’États' s'orientent vers la famine du monde où seules des plantes recevant des remèdes seront proposées à des prix prohibitifs afin que seuls les riches puissent consommer !

      C'est l'extermination de l'agriculture et des consommateurs.

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  56. Les agriculteurs polonais vont bloquer toute la frontière avec l'Ukraine ainsi que les centres de transport, les dépôts ferroviaires et les ports maritimes


    Par Julien Rose
    Recherche mondiale,
    19 février 2024


    Après la découverte choquante de milliers de tonnes de colza ukrainien illégal dans un dépôt de carburant, de gaz et de camions près de la frontière ukrainienne, les agriculteurs polonais se sont engagés à intensifier leurs actions contre toutes les importations alimentaires en provenance de pays extérieurs à l'UE et à accroître la pression sur Bruxelles et le Le gouvernement polonais doit abandonner la mise en œuvre du « Green Deal » et interdire les importations massives et incontrôlées de produits alimentaires entrant en Pologne.

    NSZZ RI Solidarity a annoncé le 9 février 2024 une grève générale des agriculteurs de 30 jours, qui a rencontré un soutien sans précédent de la part de l'ensemble de la communauté agricole et du public.

    Un communiqué du 16/02/2024 du Syndicat national des agriculteurs solidaires sur la grève générale des agriculteurs précise :

    « Nous savons que ce n’est que le début d’un long chemin vers la victoire….

    Le problème de la rentabilité de la production agricole, de la transformation et d'autres industries dans notre pays est l'afflux incontrôlé de marchandises en provenance d'Ukraine, importées en raison de l'ouverture de la frontière de l'UE avec ce pays.

    C'est pourquoi, le 20 février, dans le cadre de la grève générale des agriculteurs de 30 jours, nous annonçons que toutes les activités de protestation se concentreront sur le blocus complet de tous les postes frontaliers entre la Pologne et l'Ukraine et sur les manifestations sur le terrain.

    Non seulement les postes frontaliers seront bloqués, mais également les centres de transport et les routes d'accès aux gares ferroviaires de transbordement et aux ports maritimes.

    …Nos actions n'ont qu'un seul objectif : « Assurer la sécurité alimentaire du pays, en fournissant au public une alimentation polonaise saine et de qualité supérieure. »

    https://www.globalresearch.ca/polish-farmers-block-entire-border-ukraine-transport-hubs-railway-depots-seaports/5849901

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  57. La protestation des agriculteurs en Inde reprend. Une lutte pour l’avenir de l’alimentation et de l’agriculture


    Résistance à la « corporatisation néolibérale »
    Par Colin Todhunter
    Recherche mondiale,
    19 février 2024


    En 2021, après un an de protestation, les agriculteurs indiens ont obtenu l'abrogation de trois lois agricoles destinées à « libéraliser » le secteur agricole. Aujourd’hui, en 2024, les agriculteurs manifestent à nouveau. Les problèmes sous-jacents et la facilitation de la corporatisation néolibérale de l’agriculture qui ont déclenché la précédente protestation demeurent et n’ont pas été résolus.

    La Banque mondiale, l'Organisation mondiale du commerce, l'agro-industrie mondiale et le capital financier s'efforcent de transformer le secteur agricole indien en société. Ce plan remonte au début des années 1990 et à la crise des changes en Inde, qui a été utilisée (et manipulée) pour mettre ce plan en marche. Cette politique et ce processus d'« ajustement structurel » impliquent le remplacement du système de production alimentaire actuel par une agriculture contractuelle et un modèle industriel d'agriculture et de vente au détail de produits alimentaires qui servent les intérêts susmentionnés.

    L’objectif est de réduire le rôle du secteur public dans l’agriculture à un rôle de facilitateur du capital privé, ce qui nécessite une agriculture industrielle. Les bénéficiaires comprendront Cargill, Archer Daniels Midlands, Louis Dreyfus, Bunge et les géants indiens de la vente au détail et de l'agro-industrie, ainsi que les sociétés mondiales de technologie agricole, de semences et d'agrochimie et les grandes entreprises technologiques avec leur « agriculture basée sur les données ».

    Le plan consiste à déplacer la paysannerie, à créer un marché foncier et à fusionner les propriétés foncières pour former des fermes plus grandes, mieux adaptées aux investisseurs fonciers internationaux et à l’agriculture industrielle. En conséquence, une stratégie continue a été mise en place pour rendre l'agriculture non viable pour de nombreux petits exploitants agricoles indiens et chasser des centaines de millions de personnes de l'agriculture vers les centres urbains déjà étendus pour former des zones périurbaines, qui ont souvent tendance à contenir des la terre la plus fertile sur le plan agricole. La perte de ces terres devrait être une préoccupation en soi.

    Et que feront ces centaines de millions ? Poussés vers les villes en raison d’un appauvrissement délibéré, ils serviront de main-d’œuvre bon marché ou, plus probablement, d’armée de réserve de main-d’œuvre au chômage ou sous-employée pour le capital mondial – une main-d’œuvre qui est remplacée par l’automatisation. Ils seront à la recherche d'emplois de plus en plus difficiles à trouver (la Banque mondiale rapporte qu'il y a plus de 23 % de chômage chez les jeunes en Inde ).

    L'appauvrissement des agriculteurs résulte de la hausse des coûts des intrants, du retrait de l'aide gouvernementale, de la dette et de son remboursement, ainsi que des impacts des importations bon marché et subventionnées, qui dépriment les revenus des agriculteurs.

    Alors que les entreprises indiennes reçoivent des aides massives et voient leurs prêts annulés , l'absence de revenus sûrs, l'exposition aux prix volatils et manipulés du marché international et aux importations bon marché contribuent à la misère des agriculteurs qui ne sont pas en mesure de couvrir les coûts de production et d'obtenir un revenu décent. standard de vie.

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  58. La pression exercée par les nations les plus riches sur le gouvernement indien pour qu'il réduise davantage le soutien accordé aux agriculteurs et s'ouvre aux importations et au libre-échange axé sur l'exportation n'est basée que sur l'hypocrisie. Par exemple, selon l’analyste politique Devinder Sharma, les subventions accordées aux producteurs américains de blé et de riz sont supérieures à la valeur marchande de ces deux cultures. Il note également que, chaque jour, chaque vache en Europe reçoit une subvention d'une valeur supérieure au revenu quotidien d'un agriculteur indien.

    La Banque mondiale, l’Organisation mondiale du commerce, les investisseurs institutionnels mondiaux et les géants transnationaux de l’agro-industrie exigent une agriculture contractuelle dictée par les entreprises et une marchandisation néolibérale à grande échelle pour la vente et l’achat de produits. Ils exigent que l’Inde sacrifie ses agriculteurs et sa propre sécurité alimentaire au profit d’une poignée de milliardaires.

    Les agriculteurs sont simplement considérés comme des producteurs de matières premières (cultures) qui sont escroquées par les fournisseurs d’intrants chimiques et biotechnologiques et les conglomérats de transformation alimentaire et de vente au détail. Plus les agriculteurs peuvent être mis sous pression, plus ces sociétés peuvent réaliser de profits importants. Cela implique de créer une dépendance des agriculteurs à l’égard d’intrants externes coûteux et de marchés et de chaînes d’approvisionnement dominés par les entreprises. Les sociétés agroalimentaires mondiales ont intelligemment et cyniquement tissé un discours qui assimile l'éradication de la souveraineté alimentaire et la création de dépendance à la « sécurité alimentaire ».

    Les revendications des agriculteurs

    En 2018, une charte a été publiée par le Comité de coordination All India Kisan Sangharsh (un groupe de coordination d'environ 250 organisations d'agriculteurs). Les agriculteurs étaient préoccupés par la pénétration croissante des sociétés prédatrices, par le fardeau insupportable de l’endettement et par les disparités croissantes entre les agriculteurs et les autres secteurs.

    Ils voulaient que le gouvernement prenne des mesures pour réduire les coûts des intrants agricoles, tout en rendant illégaux et punissables les achats de produits agricoles en dessous du prix minimum de soutien (MSP).

    La charte appelle également à une discussion particulière sur l'universalisation du système de distribution publique, le retrait des pesticides interdits ailleurs et la non-approbation des semences génétiquement modifiées sans une évaluation complète des besoins et de l'impact.

    D'autres revendications incluaient l'absence d'investissement direct étranger dans l'agriculture et la transformation alimentaire, la protection des agriculteurs contre le pillage des entreprises au nom de l'agriculture contractuelle, l'investissement dans les collectifs d'agriculteurs pour créer des organisations de producteurs agricoles et des coopératives paysannes et la promotion de l'agroécologie basée sur des modèles de culture appropriés. et la renaissance de la diversité des semences locales.

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  59. Ces revendications restent d’actualité aujourd’hui en raison de l’inaction du gouvernement. En fait, les trois lois agricoles qui ont été abrogées après un an de protestation des agriculteurs en 2021 visaient exactement le contraire. Leur objectif était d’exposer l’agriculture indienne à une dose massive de marchandisation néolibérale et de thérapie de choc. Bien que les lois aient été abrogées, les intérêts des entreprises qui les sous-tendaient n’ont jamais disparu et sont catégoriques pour que le gouvernement indien mette en œuvre les politiques dont ils ont besoin.

    Cela signifierait que l'Inde réduirait les achats et la distribution par l'État de denrées alimentaires essentielles, éradiquerait ses stocks régulateurs alimentaires – si vitaux pour la sécurité alimentaire nationale – et achèterait les besoins du pays avec ses réserves de change sur les marchés mondiaux de matières premières manipulés. Cela rendrait le pays entièrement dépendant de l’attraction des investissements étrangers et des financements internationaux.

    Pour garantir la souveraineté alimentaire et la sécurité alimentaire nationale, l' Unité de recherche en économie politique (RUPE) , basée à Mumbai , affirme que les MSP, par le biais des achats publics de cultures et de produits essentiels, devraient être étendus à de nombreux secteurs importants tels que le maïs, le coton, les graines oléagineuses et les légumineuses. . Pour l’instant, seuls les agriculteurs de certains États producteurs de riz et de blé sont les principaux bénéficiaires des marchés publics au MSP.

    Étant donné que la consommation de protéines par habitant en Inde est extrêmement faible et a encore diminué au cours de la période de libéralisation, la fourniture de légumineuses dans le système de distribution publique (PDS) est attendue depuis longtemps et désespérément nécessaire. Le PDS travaille avec le gouvernement central, via la Food Corporation of India, et est responsable de l'achat de céréales alimentaires auprès des agriculteurs dans les MSP situés dans les marchés ou mandis gérés par l'État. Il attribue ensuite les grains à chaque État. Les gouvernements des États livrent ensuite aux « magasins de rationnement ».

    Aujourd’hui, en 2024, les dirigeants des syndicats agricoles cherchent (entre autres revendications) à obtenir des garanties concernant un prix d’achat minimum pour les récoltes. Bien que le gouvernement annonce des prix de soutien pour plus de 20 cultures chaque année, les agences gouvernementales n'achètent que du riz et du blé au niveau de soutien et, même dans ce cas, seulement dans certains États.

    Les agences d'État achètent les deux produits de base aux prix de soutien minimum fixés par le gouvernement pour constituer des réserves afin de gérer le plus grand programme de protection alimentaire au monde qui permet à plus de 800 millions d'Indiens de recevoir gratuitement du riz et du blé. Actuellement, c'est plus de la moitié de la population qui, par foyer, recevra cinq kilos par mois de ces denrées alimentaires essentielles pendant au moins les quatre prochaines années, ce qui leur serait refusé par le « libre marché ». Comme nous l’avons vu partout dans le monde, le pillage des entreprises sous couvert de marchandisation néolibérale n’est pas favorable aux pauvres et à ceux qui sont dans le besoin et qui dépendent du soutien de l’État pour exister.

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  60. Si les marchés publics concernaient une plus large gamme de cultures au niveau du MSP – et que les MSP étaient garantis pour le riz et le blé dans tous les États – cela contribuerait à lutter contre la faim et la malnutrition, encouragerait la diversification des cultures et atténuerait la détresse des agriculteurs. En effet, comme l’ont affirmé divers commentateurs, en aidant ainsi des centaines de millions de personnes impliquées dans l’agriculture, cela donnerait un élan massif au pouvoir d’achat rural et à l’économie en général.

    Au lieu de réduire le rôle du secteur public et d’abandonner le système à ce qui constitue une classe milliardaire transnationale et ses entreprises, il est nécessaire d’élargir davantage les marchés publics et la distribution publique.

    Le RUPE note que cela coûterait environ 20 % des aides actuelles (« incitations ») reçues par les entreprises et leurs propriétaires très riches, qui ne profitent en aucune façon à la majeure partie de la population. Il convient également de noter que les prêts accordés à seulement cinq grandes entreprises en Inde représentaient en 2016 l’équivalent de la totalité de la dette agricole.

    Cependant, il est clair que l’existence du MSP, du système de distribution public et des stocks régulateurs publics constituent un obstacle aux intérêts de l’agro-industrie mondiale.

    Les autres revendications des agriculteurs incluent une exemption totale de la dette, un régime de retraite pour les agriculteurs et les ouvriers agricoles, la réintroduction des subventions supprimées par le projet de loi (amendement) sur l'électricité de 2020 et le droit à une compensation équitable et à la transparence concernant les acquisitions de terres.

    En attendant, l’administration actuelle tient à démontrer au capital financier international et à l’agrocapital qu’elle se montre dure envers les agriculteurs et reste ferme dans sa volonté de faciliter le programme pro-corporatif.

    Après la récente rupture des négociations entre le gouvernement et les représentants des agriculteurs, ces derniers ont décidé de marcher et de manifester pacifiquement à Delhi. Mais à la frontière de Delhi, les agriculteurs ont été confrontés à des barricades, des gaz lacrymogènes et à la violence de l'État.

    Les agriculteurs répondent aux besoins les plus essentiels de l’humanité et ne sont pas « l’ennemi intérieur ». Les projecteurs devraient être tournés vers « l’ennemi de l’au-delà ». Au lieu de décrire les agriculteurs comme « anti-nationaux », comme tentent de le faire une partie des médias et des commentateurs éminents en Inde, l’accent doit être mis sur la contestation des intérêts qui cherchent à tirer profit de la sape de la sécurité et de la souveraineté alimentaire de l’Inde et de l’appauvrissement des agriculteurs.

    Les questions abordées dans l’article ci-dessus sont exposées dans le livre gratuit de l’auteur (2022), accessible ci-dessous.

    https://www.globalresearch.ca/farmers-protest-india-reignites-struggle-future-food-agriculture/5849962

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  61. Pourquoi les agriculteurs protestent-ils ? – Un agriculteur parle


    18 février 2024
    par Andrea Drescher


    Les agriculteurs allemands et d’autres pays européens protestent depuis des semaines contre la politique de leurs gouvernements respectifs. Dans les médias grand public, il n’y a pratiquement pas de reportages négatifs à ce sujet, voire pas du tout. Les protestations locales trouvent au mieux un écho dans la presse locale - à partir de la page 2 - et s'intéressent rarement aux motivations des agriculteurs.

    On n’y trouve pratiquement rien sur les véritables problèmes des agriculteurs. La suppression des aides au diesel agricole semble être le principal problème des agriculteurs - du moins selon les médias. Et sans surprise, le club de l’extrême droite est de plus en plus souvent attiré. Dans l’émission « Bonjour Basse-Saxe » du 7 février 2024, le porte-parole fédéral de l’organisation de protestation paysanne « LSV », Anthony Lee, a été accusé par un sociologue agricole d’extrémisme de droite par le NDR. Beaucoup supposent ou espèrent que cela aura des conséquences juridiques. Les problèmes ne devraient pas être éliminés en diffamant ceux qui les identifient afin de les faire taire.

    Début février, une manifestation de protestation a eu lieu en Rhénanie du Nord-Westphalie, au cours de laquelle l'un des agriculteurs actifs a abordé spécifiquement les problèmes actuels de l'agriculture. Cela est également compréhensible pour ceux qui n’ont pas encore fait face à la situation de l’agriculture. Dans une courte interview, il explique pourquoi il s'implique et autorise également la publication du manuscrit de son discours. Cependant, d'après l'expérience d'Anthony Lee, il préfère ne pas être nommé.

    Êtes-vous politiquement actif depuis longtemps ?

    Non. Comme la plupart d’entre nous, je n’ai pas beaucoup d’expérience en matière de démonstration. Nous avons activement signalé les problèmes pour la première fois en 2019, mais je n'étais pas en première ligne. À ce moment-là, nous étions sous sédatifs. Angela Merkel nous a promis que cela serait réglé dans le cadre de la Commission du futur. Nous nous en sommes occupés et avons développé des concepts adaptés. Lorsque Cem Öszdemir a pris ses fonctions, il a été dit que les questions étaient au sommet des priorités. Ils sont probablement toujours là. Rien n'a changé.

    Je n'ai pas non plus emmené le tracteur à Berlin. Cependant, j’ai contacté des hommes politiques en janvier lors de la « Semaine verte » et j’ai essayé de parler aux responsables. J’ai alors compris que notre demande de démission du gouvernement des feux tricolores n’avait en réalité aucune chance.

    Pourquoi ?

    Les trois partis ont quelque chose à perdre. Et cette défaite rassemble tout le monde contre le croque-mitaine de l’AFD. Ils ne démissionneront pas. Et même si quelqu’un de nouveau arrive, il devra passer encore deux ans à apprendre les ficelles du métier. Nous ne pouvons donc qu’espérer que les dirigeants actuels repenseront et corrigeront leurs décisions malheureuses.

    Mais ils sont toujours dans la rue. Pourquoi ?

    Nous devons attirer l’attention sur l’injustice dans la manière dont nous, les agriculteurs, sommes traités politiquement en Allemagne.

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  62. Imaginez : deux gros élèves sont dans une classe d'école, mais toute la classe est au régime. Seulement 80 % de la quantité de calories dont les enfants ont besoin pour grandir. Une telle forme de malnutrition serait un scandale !

    Il n’en va pas autrement au champ : les plantes sous-alimentées sont affaiblies et sont plus rapidement attaquées par les champignons et les insectes. En règle générale, le rendement et la qualité de la récolte diminuent. Quelque chose de similaire a été tenté au Danemark il y a 10 ou 15 ans, mais les règles ont depuis été à nouveau assouplies . Et on fait les mêmes erreurs, même si l’expérience est là.

    Vous êtes confronté à de nombreuses difficultés en tant qu’agriculteur. Merci donc de nous avoir permis d’imprimer votre discours ci-dessous.
    Volontier!

    Le discours
    Cher maire,

    Chers représentants de la politique et de la presse,

    Chers intéressés,

    Chers collègues professionnels

    Je suis heureux que presque tous mes collègues professionnels soient réunis ici devant la mairie.

    Cela montre à quel point le bât blesse et à quel point le pays brûle.

    Il est en fait plus logique de manifester à Berlin et à Bruxelles. Oui c'est le cas! Mais le gouvernement s'est visiblement tellement distancié des citoyens et aussi de nous, agriculteurs, que nous avons décidé de manifester ici localement afin de sensibiliser les décideurs régionaux. Dans le but que la base politique pousse encore plus « vers le haut » ses possibilités.

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  63. La question du diesel agricole est la goutte qui fait déborder le vase : ici en Allemagne, nous avons reçu par le passé environ 50 % de la taxe sur les huiles minérales pour nos tracteurs. La taxe sur le pétrole a été introduite pour l'entretien des routes et nous voyageons principalement hors route avec nos tracteurs dans nos prairies et nos champs. Dans l’UE et dans le monde, les carburants agricoles sont subventionnés dans de nombreux pays. En Allemagne, nous obtenons le prix du marché mondial pour la grande majorité des produits de base. Désormais, nous ne sommes plus compétitifs par rapport aux autres pays à l’intérieur et à l’extérieur de l’UE. Le fait que les fermes meurent est encore alimenté. Sur le plan politique, il est de plus en plus important de soutenir les petites et moyennes exploitations familiales et, surtout, de renforcer l'agriculture biologique. Cela produit exactement le contraire ! Les petites et moyennes exploitations agricoles ne sont naturellement pas aussi efficaces que les grandes exploitations en ce qui concerne la consommation de diesel par kg de céréales, de colza ou de lait produit. Une exploitation familiale de taille moyenne dans le Bergisches Land avec 120 vaches pensait jusqu'à récemment qu'elle faisait tout correctement : en été, les vaches paissent et en hiver, elles reçoivent principalement de l'ensilage d'herbe fait maison. Grâce à la récolte répétée de l'herbe, à sa propre gestion du lisier à l'aide d'outils standards tels qu'une mélangeuse d'aliments, une telle entreprise familiale consomme 80 000 litres de diesel par an. À l’avenir, il lui manquera 16 000 € en raison de l’arrêt du diesel agricole. En raison de la tarification décidée du CO2, cela représente rapidement un montant nettement plus élevé en €. Il ne peut pas simplement emmener avec lui ses prairies, son écurie et ses animaux et émigrer, comme le font déjà discrètement et secrètement de nombreuses entreprises de production à forte intensité énergétique en Allemagne. L’économie écologique, fortement favorisée par les politiques, est également touchée de manière disproportionnée. Les agriculteurs biologiques disposent de moins de pesticides et d’aucun engrais minéral. Le binage et le hersage ainsi qu'un faible rendement par hectare signifient simplement que la consommation de diesel par unité produite est nettement plus élevée. De plus en plus d’exploitations agricoles devront inévitablement fermer leurs portes et, en échange, de plus en plus de denrées alimentaires seront importées de l’étranger. Les aliments venus de l’étranger sont souvent produits selon des normes nettement inférieures : notamment d’autres normes sociales et environnementales. La politique européenne favorise donc indirectement la déforestation de la forêt amazonienne, car ce qui est moins produit ici est produit ailleurs et selon des normes et des qualités sur lesquelles nous ne pouvons plus influencer. Je ne veux même pas parler des risques qui nous guettent si l'Europe ne peut pas importer suffisamment de nourriture en raison d'une crise. Nous avons déjà pratiqué cela une fois avec du papier toilette !

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  64. Nous devrions à nouveau mettre de côté 4 % des terres arables à partir de cette année. Nous devons encore payer le loyer de l'espace. Au début de la guerre en Ukraine, notre ministre de l'Agriculture Özdemir a déclaré que nous avions désormais besoin de chaque main de céréales. Là, sur les 4%, quelque chose pourrait grandir !

    Nous bénéficions d'une situation agricole très favorable en Allemagne et dans le monde. Nous avons certains des agriculteurs les mieux formés au monde. Nous parvenons à fonctionner de manière durable depuis des générations. La politique de ces dernières années nous met progressivement en échec et mat dans les bureaux par le biais de lois réglementaires et/ou de bureaucratie.

    Saviez-vous que nos zones sont enregistrées par satellite tous les 5 jours, évaluées par l'IA et que si des écarts ne peuvent pas être expliqués par une personne à l'écran, le service de contrôle technique examine les zones sur place ? Lors de la phase de test NRW en 2022, les inspecteurs régionaux de l'UE sont restés sur mon exploitation pendant 4 jours.

    Le bureau régional de contrôle alimentaire est présent régulièrement. C'est une bonne chose. Nous n'avons rien à cacher. Mais une fois par an, un échantillon de produit est prélevé pour être examiné pour détecter les radiations (de Tchernobyl), et personne ne peut m'expliquer ce problème !

    L'Office national de la statistique (IT.NRW) me demande chaque année les statistiques sur les légumes, les statistiques sur les fruits, les statistiques L+F tous les 3 ans, maintenant les toutes nouvelles statistiques sur les employés et sans oublier les statistiques mensuelles sur le nombre d'œufs. pondu par mes joyeuses poules pondeuses. Aide!

    Ce dont toute petite entreprise peut chanter une chanson : les obligations d'enregistrement dans le cadre de la loi sur le salaire minimum, l'enregistrement des heures de travail représente beaucoup de travail !

    Association professionnelle et office de sécurité au travail, je remplis également le dossier ! - Qui écrit reste !

    Tout le monde connaît le conseiller fiscal, mais qu'en est-il du conseiller en culture, du conseiller qui vous aide à demander un financement de l'UE, sans oublier le conseiller qui vous aide à remplir les obligations d'enregistrement selon l'ordonnance sur les engrais, etc. Ce sont tous des emplois cofinancés par l’agriculture. Les règles sont désormais si compliquées que consultants et inspecteurs n’ont pas toujours la même vision des faits et prennent également des décisions opposées. L’agriculteur se tient au milieu et paie la note.

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  65. Nous pourrions offrir aux consommateurs d’excellents petits fruits locaux. Mais essayez d’acheter des framboises ou des myrtilles allemandes au supermarché pendant la saison des framboises. Cela sera difficile pour vous, car en raison des longues heures de travail manuel et du fait que le salaire minimum allemand s'applique également aux travailleurs saisonniers étrangers, la production ici diminuera fortement d'ici quelques années, car les supermarchés, avec leur pouvoir de marché, préfèrent acheter pas cher à l'étranger !

    De nombreuses exploitations agricoles dépendent fortement du marketing direct et/ou de l’élevage de chevaux. D'une part, la possession de chevaux en pension souffre actuellement de coûts en forte augmentation et, d'autre part, la proportion de la population pouvant se permettre l'entretien d'un cheval diminue.

    Nous, commerçants directs, misons sur un élevage et des produits artisanaux de haute qualité, particulièrement respectueux du bien-être animal. Cela signifie que les fruits et légumes sont bien sûr un peu plus chers que dans les magasins discount. Avec le début de la guerre en Ukraine et l’inflation qui en découle, nous, spécialistes du marketing direct, sommes confrontés à des temps difficiles. Certains supermarchés bio et magasins de produits naturels ont déjà fermé définitivement leurs portes.

    Si vous souhaitez nous soutenir, nous les agriculteurs, venez dans nos fermes et parlez-nous des produits spéciaux que nous produisons localement pour vous. Choisissez l'agriculteur en qui vous avez confiance.

    Ce cadre politiquement fixé permet à nous, entrepreneurs agricoles, de démontrer ici aujourd'hui que nous souhaitons transmettre nos entreprises à la prochaine génération. Compte tenu des conditions actuelles, je peux malheureusement le déconseiller à mes enfants.

    La politique et l’administration locales ont toujours été bien disposées à notre égard. Veuillez transmettre nos préoccupations aux politiques étatiques et fédérales.

    https://tkp.at/2024/02/18/warum-protestieren-die-bauern-ein-landwirt-spricht/

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  66. Mémoire de Clémens Arvay


    19 février 2024
    de Thomas Oysmüller


    Dimanche marquait le premier anniversaire de la mort de Clemens Arvay. Il prédisait déjà le prochain scandale médical et l’escalade de l’autoritarisme dans l’État à l’été 2020. Pour rappel.

    Il y a un an, la mort subite du biologiste Clemens Arvay avait choqué l'opinion. Ce petit article sur le premier anniversaire de l'événement tragique de dimanche a pour but d'apporter un petit quelque chose à la mémoire de cette personne extraordinaire. Le but n'est pas de traiter du contexte et des circonstances du décès, mais de rappeler l'œuvre d'Arvay.

    Risque de vaccination génétique

    Clemens Arvay avait déjà mis en garde en juin 2020 - six mois avant l'approbation de la première vaccination contre le Covid - avec une précision surprenante sur l'évolution qui s'est produite ensuite : « Rapide ou sûr : la vaccination corona imminente comme danger ? » était le nom de l'article paru comme contribution au débat dans le magazine d'investigation désormais abandonné Addendum . Il a mis en garde non seulement contre la sécurité douteuse de la prochaine vaccination contre le Covid, mais aussi contre la vaccination obligatoire par la porte dérobée et un discours de plus en plus autoritaire.

    Le texte n’est plus disponible en ligne, mais il a été enregistré dans la machine de stockage « Wayback ». Le point de vue d’Arvay : « Le risque d’un vaccin opportun contre le COVID-19 ne peut être expliqué. Arguments pour lesquels l’approbation précoce d’un vaccin pourrait signifier plus de risques que d’espoir.

    Voici le texte clairvoyant, légèrement raccourci – publié le 3 juin 2020 :

    De nombreux experts affirment qu’un retour à la « normalité », c’est-à-dire la fin des mesures restrictives et des règles de conduite prescrites, n’est possible qu’avec l’utilisation d’un vaccin contre le SRAS-CoV-2, l’agent pathogène à l’origine du COVID-19. Récemment, Frank Ulrich Montgomery, président de l'Association médicale mondiale, s'est même prononcé en faveur de la vaccination obligatoire. Selon lui, cela ne devrait pas être imposé par la coercition directe, mais par des restrictions pour les personnes non vaccinées dès qu'un vaccin a été approuvé. Les critiques décrivent souvent ce modèle comme une vaccination obligatoire par la porte dérobée. Le délai d'approbation est souvent de 12 à 18 mois.

    […]
    Cependant, en termes de sécurité, la troisième phase clinique est la plus importante. Un seul vaccin – génétique – a jusqu’à présent atteint le début de la troisième phase clinique. A ce stade, il est examiné si le candidat vaccin conduit à une efficacité à long terme satisfaisante, c'est-à-dire si la vaccination dure suffisamment longtemps. En ce qui concerne la sécurité, cette phase 3 est particulièrement importante, car il convient également d'enregistrer d'éventuels effets secondaires à long terme, c'est-à-dire des conséquences négatives sur la santé qui surviennent avec un certain temps. Les phases de suivi sont de la plus haute importance à ce stade clinique. Par conséquent, la phase 3 dure généralement quatre à six ans, parfois plus. Il est évident que tout raccourcissement de cette phase entraîne inévitablement une augmentation du risque car les effets secondaires à long terme peuvent alors être négligés. Des périodes de suivi suffisamment longues constituent la clé de la sécurité des médicaments. L’essentiel est que plusieurs milliers de participants sont généralement inclus dans la troisième phase clinique, mais pas tous en même temps, mais progressivement sous surveillance à long terme. Les assurances selon lesquelles le nouveau vaccin sera « sûr » ne devraient être considérées que comme de belles paroles, tant que l’on parle d’une période d’attente de seulement douze à 18 mois. Il n'y a que du rapide ou du sûr. Les deux à la fois sont impossibles.

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  67. D’une part, l’information peut être introduite à l’aide de l’ARN – ce qu’on appelle l’acide ribonucléique. Le coronavirus est un virus à ARN. Son génome est donc présent sous forme d’ARN et non d’ADN. Pour la vaccination, l’ARN messager viral ou ARNm est produit de manière synthétique. Ce sont des transcrits, c’est-à-dire des copies de certaines sections de gènes viraux. Ces transcriptions contiennent les informations nécessaires à la construction de la protéine. Bien entendu, l’ARNm de la vaccination doit être manipulé pour qu’il ressemble suffisamment au nôtre, car on dit qu’il est incorporé « accidentellement » dans notre production de protéines. Il faut savoir que l’ARNm est également constamment produit dans nos propres cellules. Parce que notre ADN est d'abord écrasé en ARNm - c'est ce qu'on appelle la transcription - et cet ARNm sert ensuite de modèle de copie pour la production de protéines. Les vaccinations à ARN trompent nos cellules de sorte que les minuscules « usines à protéines » des cellules produisent les protéines du virus.

    Les vaccinations ADN poursuivent le même objectif via un mécanisme un peu plus compliqué. (D’ailleurs, ADN signifie acide désoxyribonucléique.) Mais cela conduit également nos cellules à contenir finalement l’ARNm du virus et à produire l’antigène viral. La troisième variante des vaccins géniques, les vaccinations à vecteur viral, est encore plus compliquée. L'ARN ou l'ADN génétiquement manipulés est inséré dans un virus de transport, ce qui conduit à la libération de l'information dans nos cellules via des mécanismes d'intégration génétique, avec pour résultat là encore que nous finissons par produire nous-mêmes la protéine du coronavirus.

    […]
    Les réactions auto-immunes indésirables constituent également le plus grand risque associé aux vaccins à ADN. Mais avec ces vaccins, il existe également un risque d’absorption involontaire d’ADN génétiquement manipulé dans notre noyau cellulaire. Cette possibilité a même été relevée par des chercheurs travaillant eux-mêmes sur les vaccins à ADN, par exemple dans l’Asian Pacific Journal of Tropical Biomedicine. Si l’ADN manipulé pénètre dans notre noyau cellulaire, il peut activer des oncogènes ou désactiver des sections anti-cancérigènes de notre génome. Dans les deux cas, le risque de cancer augmenterait, et cela ne pourrait se manifester qu’avec un certain temps. Les acteurs pharmaceutiques minimisent souvent ce risque potentiel. Il n’est pas rare qu’ils comparent les vaccinations ADN avec l’apport d’ADN provenant des aliments. Mais cette comparaison est inadmissible. L’ADN du vaccin est modifié de telle manière que – comme décrit – il trompe nos processus génétiques et est intégré dans la production de protéines de nos cellules. En raison de ces processus d’intégration, le risque est beaucoup plus élevé qu’en cas d’ingestion de nourriture. Cela s'applique également si l'ADN génétiquement manipulé est introduit à l'aide d'un vecteur viral, c'est-à-dire un virus de transport.

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  68. […]
    On peut généralement se demander s’il est possible de trouver un vaccin efficace contre le coronavirus. Comme mentionné, ce projet a souvent échoué. Un autre exemple est un vaccin passif contenant des anticorps contre le coronavirus félin FIP. Les chats vaccinés étaient plus sensibles à l’infection virale que les chats non vaccinés. Bien sûr : de nombreux vaccins comptent parmi les médicaments les plus efficaces de l’histoire de la médecine. Mais tous les bons vaccins ont une chose en commun : ils ont été testés pendant une période suffisamment longue avec toutes les périodes de suivi nécessaires pour détecter les effets secondaires tardifs. La suspension des règles de vaccination constitue une violation massive du principe de précaution. Quiconque parle d’un vaccin « sûr » ne peut pas aussi parler de douze à 18 mois. Ce ne sont que des paroles en l’air de la part des parties prenantes.

    Cette position fait-elle de vous un théoricien du complot ? Un porteur de chapeau en aluminium ? Eh bien, au moins, tu serais en bonne compagnie. Le virologue de renommée internationale, le professeur Shibo Jiang de l'université Fudan de Shanghai, a également plaidé en ligne pour la retenue dans la revue Nature : « Ne vous précipitez pas pour utiliser des vaccins et des médicaments contre le COVID-19 sans tests de sécurité détaillés. » Et il n'y a rien à ajouter à cela. .

    https://tkp.at/2024/02/19/erinnerung-an-clemens-arvay/

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  69. Désamorcer la bombe à retardement des produits dérivés : quelques solutions proposées. Ellen Brun


    Par Ellen Brown
    Recherche mondiale,
    19 février 2024


    La « classe protégée » bénéficie d’une « sphère de sécurité » uniquement parce que ses paris sont si risqués que les laisser échouer pourrait faire planter l’économie. Mais pourquoi les laisser parier ?

    Ceci est la suite d'un article du 15 janvier intitulé « Le capitalisme de casino et le marché : il est temps pour un autre « moment Lehman » ? », évoquant la menace d'un événement « cygne noir » en 2024 qui pourrait faire éclater la bulle des produits dérivés.

    Cette bulle représente désormais plus de dix fois le PIB mondial et est si interconnectée et fragile qu’une crise imprévue pourrait déclencher l’effondrement non seulement de la bulle mais de l’économie. Pour éviter ce résultat, en cas de faillite d’une grande institution financière, les créanciers dérivés sont placés en première ligne pour récupérer les actifs – pas seulement les dépôts des clients mais aussi leurs actions et obligations. Ceci est rendu possible par le Uniform Commercial Code, en vertu duquel tous les actifs détenus par les courtiers, les banques et les « parties centrales de compensation » ont été « dématérialisés » en pools fongibles et sont détenus au « nom de la rue ».

    Cet article examinera plusieurs alternatives proposées pour diffuser ce que Warren Buffett a appelé une bombe à retardement prête à exploser. Ce genre de bombe vient d’exploser sur le marché boursier chinois, contribuant à sa chute ; et le résultat pourrait être bien pire aux États-Unis, où le marché boursier joue un rôle bien plus important dans l’économie.

    La crise des produits dérivés chinois

    Un article du 30 janvier sur Bloomberg News note que « le début d'année brutal des actions chinoises est au moins en partie imputé à l'impact d'un dérivé financier relativement nouveau connu sous le nom de boule de neige. Les produits sont liés à des indices, et une caractéristique clé est que lorsque les indicateurs tombent en dessous des niveaux intégrés, les maisons de courtage vendent leurs positions à terme associées.

    De plus amples détails figurent dans un article du 23 janvier intitulé « Les produits dérivés « boule de neige » alimentent l'avalanche du marché boursier chinois ». Il déclare : « La chute du marché boursier chinois entraîne des pertes sur des milliards de dollars de produits dérivés liés aux indices boursiers du pays, alimentant de nouvelles ventes à mesure que les investisseurs particuliers se déchargent de leurs positions…. Les produits Snowball sont similaires aux produits indiciels vendus lors de la crise financière de 2008, les investisseurs pariant que les actions américaines ne chuteraient pas de plus de 25 ou 30 % », ce qu’ils ont fait.

    Les actions chinoises ont augmenté le 6 février, alors que les autorités ont pris des mesures pour soutenir un marché en difficulté, notamment en imposant de nouvelles restrictions de « tolérance zéro » pour les ventes à découvert malveillantes .

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  70. La plus grande menace américaine

    Le marché boursier chinois est beaucoup plus jeune et plus petit que celui des États-Unis, et son rôle dans l’économie est bien moindre. Ainsi, l'économie chinoise reste relativement protégée des hauts et des bas perturbateurs du marché boursier. Ce n’est pas le cas aux États-Unis, où la spéculation sur le casino des produits dérivés a fait tomber l’assureur international AIG et la banque d’investissement Lehman Brothers en 2008, déclenchant la crise financière mondiale de 2008-09. AIG a dû être renflouée par les contribuables pour empêcher l’effondrement des banques de produits dérivés trop grandes pour faire faillite, et Lehman Brothers a connu une faillite désordonnée qui a mis des années à être résolue.

    Dans un article de décembre 2010 sur Seeking Alpha intitulé « Derivatives: The Big Banks' Quadrillion-Dollar Financial Casino », l'avocat Michael Snyder a écrit :

    « Les produits dérivés ont été au cœur de la crise financière de 2007 et 2008, et chaque fois que la prochaine crise financière surviendra, les produits dérivés joueront sans aucun doute à nouveau un rôle énorme…. Aujourd’hui, le système financier mondial est devenu un casino géant où l’on parie sur à peu près tout ce que l’on peut imaginer, et où les grandes banques de Wall Street gagnent énormément d’argent. Le système… est totalement dominé par les grandes banques internationales.

    Les spéculateurs dominent les régulateurs

    Dans une publication de 2009 de la Faculté de droit de Cornell intitulée Comment la déréglementation des produits dérivés a conduit à un désastre et pourquoi la re-réglementation peut en empêcher un autre , le professeur Lynn Stout a proposé de stabiliser le marché en revenant aux règles dérivées du 20e siècle. Elle a souligné que les produits dérivés sont essentiellement des paris et qu’avant 2000, les États-Unis et le Royaume-Uni réglementaient les produits dérivés principalement par une règle de common law connue sous le nom de « règle interdisant les contrats sur différence ». Elle a expliqué:

    La règle interdisant les contrats sur différence ne vous empêchait pas de parier sur tout ce qui vous plaisait : compétitions sportives, prix du blé, taux d’intérêt. Mais si vous vouliez vous adresser au tribunal pour faire exécuter votre pari, vous deviez démontrer à la satisfaction du juge qu'au moins une des parties au pari avait un intérêt économique réel dans le sous-jacent et utilisait le contrat dérivé pour se couvrir contre un risque pour cet intérêt.… Utiliser les produits dérivés de cette manière constitue une véritable couverture et sert un objectif social utile en réduisant le risque.

    … En vertu de la règle interdisant les contrats sur différence et de sa doctrine sœur en droit des assurances (l'exigence d'un « intérêt assurable »), les contrats dérivés dont il n'était pas possible de prouver qu'ils couvraient un intérêt économique dans le sous-jacent étaient considérés comme rien de plus que des paris légalement inapplicables.

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  71. … Les hedge funds, par exemple, devraient en réalité s'appeler « fonds de spéculation », car il est clair qu'ils utilisent des produits dérivés pour tenter de réaliser des bénéfices aux dépens des autres traders.

    La règle interdisant les contrats différentiels est morte en 2000, lorsque les États-Unis ont adopté une déréglementation globale avec l’adoption du Commodity Futures Modernization Act (CFMA) :

    La CFMA a non seulement déclaré les dérivés financiers exemptés de la surveillance de la CFTC ou de la SEC, mais elle a également déclaré tous les dérivés financiers juridiquement exécutoires. La CFMA a ainsi éliminé d’un seul coup une contrainte juridique sur la spéculation sur les produits dérivés qui remontait non seulement à des décennies, mais à des siècles. C’est ce changement de loi – et non un éclair de génie à Wall Street – qui a créé le marché actuel des produits dérivés financiers, estimé à 600 000 milliards de dollars.

    Le casino bénéficie de privilèges spéciaux

    Non seulement les dérivés spéculatifs sont désormais juridiquement exécutoires, mais en vertu de la loi sur la faillite de 2005, les titres dérivés bénéficient de protections spéciales . La plupart des créanciers sont « suspendus » de faire valoir leurs droits pendant qu'une entreprise est en faillite, mais de nombreux contrats dérivés sont exemptés de ces suspensions. De même, en vertu de la loi Dodd Frank de 2010, les demandeurs dérivés bénéficient d’une « super priorité » en cas de faillite d’une institution financière. Ils ont le privilège de réclamer des garanties immédiatement, sans contrôle judiciaire, avant même le début de la procédure de faillite. Les déposants deviennent des « créanciers non garantis » qui ne peuvent récupérer leurs fonds qu’après des créances sur produits dérivés, pensions et autres créances garanties, en supposant qu’il reste quelque chose à récupérer, ce qui serait peu probable en cas de crise majeure des produits dérivés.

    Cela est vrai non seulement pour les dépôts dans une banque en faillite, mais aussi pour les actions, obligations et fonds du marché monétaire détenus par un courtier qui fait faillite. En vertu de la loi sur la faillite de 2005 et des articles 8 et 9 du Uniform Commercial Code (UCC), une « sphère de sécurité » est accordée aux entités décrites dans les documents judiciaires comme « la classe protégée ». Les clients qui ont acheté les actifs n'ont qu'un « droit de sécurité », un droit contractuel faible à une part proportionnelle d'un pool résiduel d'actifs fongibles, tous détenus au nom de Cede & Co., le mandataire de Depository Trust and Clearing Corp. .(DTCC). Comme l’ a dit l’analyste financier de Wall Street, John Rubino, dans un podcast du 27 janvier :

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  72. Ce que nous considérions autrefois comme un renflouement bancaire dans le cadre duquel elles acceptaient votre dépôt afin de soutenir une banque en faillite, s'étend désormais à l'ensemble de l'économie financière, où tout ce que vous avez sur un compte, n'importe où, peut tout simplement disparaître, parce qu'il est va en transférer la propriété à ces grandes entités dominantes du système financier qui ont besoin de ces actifs pour éviter d’exploser.

    Les spéculateurs sur les produits dérivés sont considérés comme « garantis » parce qu’ils déclarent une partie de ce qu’ils pourraient finir par devoir comme « marge », mais la raison pour laquelle cette garantie partielle est supérieure à la garantie à 100 % fournie par le déposant ou l’acheteur n’est pas expliquée. La « classe protégée » bénéficie d’une « sphère de sécurité » uniquement parce que ses paris sont si risqués que les laisser échouer pourrait faire planter l’économie. Mais pourquoi les laisser parier ?

    La solution des régulateurs

    La solution adoptée par les dirigeants du G20 après la crise financière mondiale a toutefois été d’obliger les banques à compenser les produits dérivés de gré à gré par l’intermédiaire de contreparties centrales (CCP), qui se dressent entre l’acheteur et le vendeur et protègent l’une ou l’autre partie en cas d’explosion de l’autre. En mars 2020, 60 % des swaps sur défaut de crédit et 80 % des swaps de taux d’intérêt étaient compensés de manière centralisée. Le problème, comme le souligne une publication de décembre 2023 de la Banque des règlements internationaux , est que ces mesures prises pour protéger le système peuvent en réalité amplifier le risque.

    Les contreparties centrales ont tendance à demander davantage de garanties que les banques ne le faisaient avant la crise ; et lorsqu’une contrepartie centrale augmente son exigence de marge initiale pour couvrir le risque de défaut, cela s’applique à tous les acteurs du marché, ce qui signifie que les appels de liquidités sont synchronisés. Comme expliqué dans un article de Reuters de mai 2022 :

    Il est logique que les CCP demandent davantage de garanties en période de panique : c'est à ce moment-là que les défauts sont les plus probables. Le problème est que les appels de marge semblent avoir aggravé la situation. En mars 2020, par exemple, une « ruée vers le cash » a vu les investisseurs liquider même des fonds du marché monétaire de premier ordre et des titres du Trésor américain.

    … Les appels de marge généralisés ont intensifié la panique financière deux fois en autant d'années, les banques centrales ayant effectivement renfloué les marchés en 2020. C'est mieux qu'en 2008, lorsque les contribuables ont dû intervenir. Mais le problème des appels de marge reste entier.

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  73. … Les chambres de compensation des contreparties centrales (CCP) devraient envisager de demander à leurs clients davantage de garanties pendant les périodes fastes afin de réduire le risque d'appels de marge déstabilisateurs en cas de panique financière, a déclaré un responsable de la Banque d'Angleterre le 19 mai.

    Pourtant, comme l’observe Michael Snyder, tout cela vise à permettre aux grandes banques internationales de gérer le plus grand casino de produits dérivés que le monde ait jamais connu. Pourquoi ne pas simplement fermer le casino ? La solution suggérée par le professeur Stout est que le Congrès revienne à la règle d'avant 2000 selon laquelle les paris spéculatifs sur les produits dérivés n'étaient pas exécutoires devant les tribunaux. Cela impliquerait d’annuler les privilèges de « superpriorité » prévus dans la loi sur la faillite de 2005 et la loi Dodd-Frank. Mais ce ne sera pas une solution miracle, car on peut s’attendre à ce que Wall Street et notre Congrès divisé se livrent un combat prolongé.

    Et si la DTCC faisait faillite ?

    Dans un article de revue de droit de 2015 intitulé « Échec du Clearinghouse : Dodd-Frank's Fatal Flaw ? ", Le professeur Stephen Lubben souligne un risque plus inquiétant lié à la poussée de tous les produits dérivés sur les bourses ; et cette préoccupation est partagée par l'ancien gestionnaire de fonds spéculatifs David Rogers Webb dans son livre de 2024 « The Great Taking ». Les bourses sont censées être plus sûres que les transactions privées de gré à gré, car la bourse intervient en tant que teneur de marché , acceptant le risque pour les deux parties à la transaction. Mais en cas de dépression économique générale, les bourses elles-mêmes pourraient faire faillite. Aucune disposition à ce sujet n’est prévue dans la loi Dodd-Frank, qui prétend décréter « plus de plans de sauvetage ». Pourtant, explique le professeur Lubben, le gouvernement interviendrait sans aucun doute pour sauver le marché de l’effondrement.

    La solution qu'il propose est que le Congrès prenne des dispositions législatives pour nationaliser toute bourse, maison de courtage ou contrepartie centrale de compensation en faillite avant qu'elle ne fasse faillite. C’est une chose sur laquelle notre Congrès bloqué pourrait accepter, car dans les circonstances actuelles, cela n’impliquerait pas de changements majeurs, de confiscation de richesses ou de nouvelles charges fiscales ; et cela pourrait protéger leur propre fortune contre la confiscation si la DTCC devait faire faillite.

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  74. Autres solutions fédérales possibles

    Une autre alternative qui non seulement pourrait fonctionner, mais qui pourrait en même temps résoudre les problèmes budgétaires du Congrès, consisterait à imposer une taxe de 0,1 % sur toutes les transactions financières. Voir Scott Smith, A Tale of Two Economies: A New Financial Operating System , qui montre que les transactions financières américaines (l'économie financiarisée) dépassent 7,6 quadrillions de dollars, soit plus de 350 fois le revenu national américain (l'économie productive). Voir mon article précédent résumant tout cela ici . Sur une taxe sur les transactions financières freinant la spéculation sur les produits dérivés, voir aussi ici , ici et ici .

    Il existe d'autres solutions possibles aux problèmes de titre des clients. La pratique archaïque consistant à détenir tous les actifs titrisés sous le nom de Cede & Co n’est plus nécessaire. La numérisation des actions et des obligations était une étape raisonnable et efficace dans les années 1970, mais aujourd’hui, la cryptographie numérique est devenue si sophistiquée que « Les contrats intelligents » peuvent être attachés par une technologie de grand livre distribué (DLT) de type blockchain aux actifs numériques, permettant de suivre les participants, les dates, les conditions et d’autres détails contractuels. Les États du Delaware et du Wyoming ont exploré la possibilité de conserver des listes d’actionnaires d’entreprises sur une blockchain gérée par l’État ; mais comme on pouvait s’y attendre, les mesures ont rencontré une opposition. La pratique consistant à détenir des actifs au nom de la rue s'est avérée très lucrative pour les courtiers et les banques membres de la DTCC, car elle facilite la vente à découvert et la « réhypothécation » des garanties.

    En octobre 2023, le DTCC a signalé qu'il étudiait l'adoption du DLT ; mais l’objectif semble uniquement être des échanges plus rapides et plus sûrs. Aucune mention n'a été faite de la restitution du titre enregistré aux acheteurs des actifs négociés, ce qui pourrait être fait grâce à la technologie du grand livre distribué.

    La solution innovante du Dakota du Sud

    La solution la plus facilement réalisable est probablement celle contenue dans un projet de loi du Dakota du Sud déposé le 29 janvier. Le projet de loi est détaillé dans un article du 2 février intitulé « Vous pourriez perdre votre épargne-retraite lors du prochain krach financier, à moins que d'autres ne suivent l'exemple de cet État ». qui observe :

    … [S]i votre courtier… devait faire faillite, les créanciers garantis du courtier (les personnes à qui le courtier doit de l'argent) seraient habilités à prendre les investissements que vous avez payés afin de régler les dettes impayées….

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  75. Pour éviter une catastrophe à l’avenir, un mouvement national est désespérément nécessaire pour modifier le Code de commerce uniforme existant. Bien entendu, cela ne sera pas facile à réaliser, notamment parce que les lobbyistes des banques et d’autres intérêts financiers puissants se battront certainement à coups de pied et de cris pour empêcher les décideurs politiques de leur retirer leur avantage sur les consommateurs.

    La bonne nouvelle est que cette « grande appropriation » peut être stoppée au niveau de l’État. Les Américains n’ont pas besoin de compter sur un Congrès divisé pour faire leur travail. Parce que l'UCC est une loi d'État, les législateurs des États peuvent prendre des mesures concrètes pour restaurer les droits de propriété de leurs électeurs et les protéger en cas de crise financière.

    Lundi, les législateurs du Dakota du Sud ont présenté un projet de loi qui ferait exactement cela. La législation garantirait que les investisseurs individuels ont la priorité sur les titres détenus par les sociétés de courtage et autres intermédiaires.

    Cela modifierait également les dispositions juridictionnelles de sorte que les affaires soient tranchées dans l'État de l'investisseur individuel, plutôt que dans l'État du courtier, du dépositaire ou de la société de compensation. Cela garantirait que les investisseurs individuels puissent s'appuyer sur les lois de leur État local.

    Espérons que d’autres États suivront l’exemple du Dakota du Sud. Le Tennessee, par exemple, aurait un tel projet de loi en préparation.

    https://www.globalresearch.ca/defusing-derivatives-time-bomb-some-proposed-solutions/5849888

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  76. Insérez les sites de clivage de la furine à la jonction S1/S2 de la protéine de pointe
    Assemblez les virus synthétiques en six segments
    Identifier les coronavirus qui ne diffèrent pas de plus de 25 % du SRAS1
    Sélectionnez les domaines de liaison aux récepteurs aptes à infecter les récepteurs ACE2 humains
    Le SRAS-CoV-2 correspond aux paramètres de recherche DEFUSE

    Comme l'explique Kopp,6 le SRAS-CoV-2 fait correspondre ces paramètres de recherche au T. Il possède un site de clivage de la furine dans la protéine de pointe à la jonction S1/S2, et son génome peut être divisé en six chaînes d'ADN uniformément espacées en utilisant enzymes de restriction appelées BsaI et BsmBI. Il est peu probable que cet espacement uniforme se produise dans les génomes des virus naturels.

    La raison pour laquelle les scientifiques assemblent des virus à l’aide de morceaux d’ADN régulièrement espacés est parce que c’est plus facile à manipuler. Cela leur permet de synthétiser chimiquement les morceaux individuels, puis de les assembler pour créer un génome complet.

    Cette « empreinte digitale » synthétique révélatrice trouvée dans le génome du SRAS-CoV-2, a été détaillée dans une prépublication de 2022 par Bruttel et. al.7 Comme l’a noté Wade8, l’essentiel est que « si votre virus a des sites de reconnaissance régulièrement espacés, il y a fort à parier qu’il a été créé dans un laboratoire ». Il s’avère que le projet de proposition DEFUSE comprenait même un formulaire de commande pour BsmBI – un fait souligné par Bruttel dans un post sur Twitter/X.9

    Les variations génomiques du SRAS-CoV-2 se situent également dans la plage de 25 % indiquée dans la proposition, et ses domaines de liaison aux récepteurs ont été optimisés dès le départ pour les récepteurs ACE2 humains, ce qui lui a permis de se propager comme une traînée de poudre. Wade écrit :10

    « La découverte de la nouvelle recette renforce certainement la possibilité que l'espacement régulier des sites de reconnaissance BsaI et BsmBI dans le SRAS2 soit la signature d'une origine synthétique.

    En effet, Richard H. Ebright, biologiste moléculaire à l'Université Rutgers, qui avait qualifié l'article de 2022 de « remarquable… mais pas décisif », affirme désormais que les preuves contenues dans les nouveaux documents « élèvent les preuves fournies par la séquence du génome du niveau remarquable ». au niveau d’une arme fumante.

    Matt Ridley, co-auteur de « Viral : The Search for the Origin of COVID-19 » est d’accord, notant que toutes les nouvelles caractéristiques du SRAS-CoV-2 sont expliquées par les méthodes de recherche proposées détaillées dans les documents DEFUSE.

    "Jeu terminé." Ridley a écrit.11 « Les dernières révélations fournissent une confirmation précise que toutes les nombreuses caractéristiques suspectes du SRAS-CoV-2 qui impliquent qu’il est d’origine humaine ont été exposées de manière exhaustive dans la proposition DEFUSE à laquelle l’Institut de virologie de Wuhan était partenaire. »

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  77. EcoHealth était bien conscient des risques de pandémie

    Selon le projet DEFUSE obtenu par l'USRTK, le plan était de synthétiser entre huit et 16 souches de virus de chauve-souris de type SRAS ayant un potentiel de propagation chez l'homme, afin de créer un vaccin qui serait ensuite utilisé sur les chauves-souris dans les régions où il y a une activité militaire. .

    Il est important de noter qu’EcoHealth et l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) étaient bien conscients du potentiel que cette recherche pourrait déclencher une pandémie humaine. Un mémo de planification contient une note indiquant : « Nous DEVONS indiquer clairement dans la proposition que notre approche ne mènera pas l'évolution dans le mauvais sens, par ex. conduire à l’évolution d’une souche plus virulente qui devient alors pandémique. »12

    À l’heure actuelle, il semblerait que ce soit exactement ce qui s’est passé. Un virus synthétique a été concocté et s'est échappé d'une manière ou d'une autre du WIV. Que ce soit intentionnel ou non, c'est une autre affaire. Quoi qu’il en soit, la morale de l’histoire est que la recherche sur les gains de fonction présente d’énormes risques pour la santé publique, et si le risque de pandémie existe, alors la recherche ne devrait probablement pas être autorisée.

    Des documents montrent des pratiques trompeuses pour obtenir des subventions

    Une autre chose que révèlent ces nouveaux documents est la façon dont Daszak a utilisé des indications erronées pour tenter de tromper le gouvernement américain sur l’endroit où cette recherche manifestement risquée serait menée. Même s’il avait l’intention de faire réaliser une grande partie du travail au WIV, il a minimisé le rôle des chercheurs chinois et a donné l’impression que la recherche serait menée aux États-Unis.

    La Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) a finalement rejeté13 la proposition en raison de « faiblesses importantes », notamment le fait que la proposition ne comportait aucune sorte d’évaluation des risques ni de plan d’atténuation des risques. La question de savoir si quelqu’un d’autre a fourni le financement et, si oui, qui, reste ouverte. Tel que rapporté par Wade :14

    « La proposition DEFUSE a été rédigée par Peter Daszak, directeur de l’EcoHealth Alliance à New York, avec des partenaires dont Shi Zhengli de l’Institut de virologie de Wuhan et Ralph Baric de l’Université de Caroline du Nord…

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  78. Certains observateurs estiment que lorsque la DARPA a refusé de financer le projet, les membres chinois du groupe ont peut-être décidé de trouver leur propre financement et d'aller de l'avant unilatéralement. Cela est plausible, dans la mesure où Baric et Shi étaient des collaborateurs mais aussi des rivaux. Baric étant bloqué faute de fonds de la DARPA, Shi aurait peut-être vu l’occasion de prendre les devants si elle pouvait acquérir des fonds auprès de sources chinoises.

    Daszak, le chef du projet, avait de toute façon prévu de confier une grande partie du travail à l’équipe de Shi à Wuhan, même si cela signifiait tromper le ministère de la Défense en lui faisant croire que l’essentiel des recherches serait effectué par Baric aux États-Unis.

    Dans une note trouvée dans les nouveaux documents, Daszak a écrit : « Si nous remportons ce contrat, je ne propose pas que tout ce travail soit nécessairement réalisé par Ralph, mais je tiens à souligner le côté américain de cette proposition afin que la DARPA sont à l’aise avec notre équipe. Une fois que nous aurons obtenu les fonds, nous pourrons alors répartir qui fait quel travail exact, et je pense qu’un grand nombre de ces analyses peuvent être effectuées à Wuhan.

    Daszak est directeur de recherche, pas virologue, et n’a peut-être pas pleinement compris les conséquences de cette décision. Le projet DEFUSE, s'il avait été entrepris par Baric, aurait été réalisé dans le deuxième niveau de sécurité le plus élevé, connu sous le nom de BSL-3, car Baric pensait que la manipulation des virus liés au SRAS était un travail dangereux et a mené ses recherches dans un BSL. -3 laboratoire.

    Les Chinois étaient moins impressionnés par les dangers. Shi a travaillé sur des virus liés au SRAS principalement dans des laboratoires BSL-2, qui ont des exigences de sécurité minimales, bien qu'elle ait testé les virus sur des souris humanisées dans des conditions BSL-3.

    Lorsque le SRAS2 est apparu pour la première fois dans le monde, il possédait toutes les propriétés uniques que l’on peut attendre d’un virus fabriqué selon la recette DEFUSE. Au lieu de développer lentement la capacité d’attaquer les cellules humaines, comme doivent le faire les virus naturels lorsqu’ils passent des animaux aux humains, le SRAS2 était immédiatement infectieux pour les humains, peut-être parce qu’il avait déjà été adapté chez des souris de laboratoire humanisées aux récepteurs des cellules humaines…

    Malgré des recherches intensives, aucun précurseur du SRAS2 n’a été trouvé dans la nature. Compte tenu de la date de 2018 de la proposition DEFUSE, les chercheurs de Wuhan auraient pu synthétiser le virus d’ici 2019, ce qui explique parfaitement le moment autrement inexpliqué de la pandémie de COVID-19 ainsi que son lieu d’origine. Tout s’accorde. »

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  79. Leçons de la grande dissimulation du COVID

    Dans un article du 1er novembre 2023, le sénateur Paul a passé en revue ce que nous avons appris de « la grande dissimulation du COVID » :15

    « La dissimulation du COVID a commencé en Chine. Mais d’une certaine manière, nous en faisons trop grand cas. Personne ne devrait être surpris qu’un gouvernement totalitaire dirigé par le Parti communiste chinois cherche à dissimuler sa responsabilité dans une pandémie mondiale. Ce qui était ahurissant – et sur lequel nous devrions concentrer notre attention – c’est la dissimulation dans notre propre pays menée par le Dr Anthony Fauci et ses collègues bureaucrates de la santé publique.

    Et ils auraient pu s’en tirer avec leur tromperie si un juge fédéral n’avait pas ordonné la divulgation de leurs courriels. En bref, ces courriels révèlent qu'au même moment où le Dr Fauci et d'autres « experts » de la santé publique désavouaient publiquement l'idée que le virus COVID provenait d'une fuite de l'Institut de virologie de Wuhan en Chine, ils étaient globalement d'accord entre eux. que c'était probablement ce qui s'était passé. Alors pourquoi cacher le fait ?

    Selon Paul, Fauci et ses collaborateurs ont choisi de cacher la vérité parce que celle-ci révélerait leurs actions potentiellement criminelles. En tant que directeur des Instituts nationaux des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), Fauci avait financé des recherches risquées sur les gains de fonction au WIV – un laboratoire de qualité inférieure en termes de sécurité.

    De plus, il a permis à cette recherche d’avancer même s’il y avait un moratoire sur la recherche sur le gain de fonction aux États-Unis. Le moratoire a été mis en place justement parce que les experts craignaient que le risque de créer une pandémie humaine soit trop élevé.

    Fauci cache-t-il une conscience coupable ?

    Avec le recul, ils avaient raison, et si le SRAS-CoV-2 était admis comme étant un virus d’origine humaine provenant d’un laboratoire, la seule réponse rationnelle serait de demander des comptes aux parties responsables et d’arrêter définitivement ce type de recherche. Il ne fait aucun doute que cette perspective aurait terrifié Fauci et toutes les autres personnes impliquées.

    Selon Paul, la conscience de Fauci l’empêchait de dormir se reflétait dans le fait qu’il envoyait des e-mails au milieu de la nuit au début de la pandémie au lieu d’être confortablement blotti dans son lit. Un e-mail à 3 heures du matin a été envoyé à Robert Kadlec, alors secrétaire à la préparation et à la réponse à la santé et aux services sociaux.

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  80. « Cela vient de sortir aujourd’hui. Donne une vision équilibrée », a écrit Fauci. Ci-joint se trouvait un article de Science plaidant en faveur d’une origine zoonotique du virus et discréditant la théorie des fuites en laboratoire.

    «Lorsque cet e-mail a été découvert, j'ai d'abord été perplexe quant à son timing et à son urgence», écrit Paul. « Mais j’ai ensuite appris que l’une des tâches de Kadlec était de présider le comité chargé d’examiner les propositions de gain de fonction à des fins de sécurité – et que la proposition de recherche sur le coronavirus de Wuhan n’a jamais été soumise à son comité !

    En d’autres termes, Paul pense que Fauci a envoyé cet e-mail à Kadlec pour cacher le fait qu’il avait accepté une recherche sur le gain de fonction qui aurait dû se retrouver sur le bureau de Kadlec pour un examen de sécurité, mais ne l’a pas fait.

    Comportement digne d’un complot

    D’autres comportements suggèrent également que Fauci et ses collaborateurs paniquaient à l’idée que le COVID puisse être attribué à leurs propres activités. Paul écrit :

    « Jeremy Farrar, l'Anthony Fauci du Royaume-Uni, a déclaré à son frère qu'au début de la pandémie, « quelques scientifiques, dont moi, commençaient à soupçonner qu'il pourrait s'agir d'un accident de laboratoire ».

    Farrar écrit dans son livre Spike : « Pendant cette période, je faisais des choses que je n'avais jamais faites auparavant : acquérir un téléphone portable, tenir des réunions clandestines, garder des secrets difficiles. »

    En effet, de nombreux bureaucrates occidentaux, notamment aux États-Unis, ont commencé à utiliser diverses formes de communication pour protéger leurs messages des futures demandes d’informations. Nous avons un e-mail de l’un des assistants de Fauci demandant aux autres employés du gouvernement d’éviter d’utiliser les adresses e-mail du gouvernement. Ce qui, soit dit en passant, est un crime.

    Et puis il y a les articles publiés dans des revues scientifiques qui « démystifient » – sans présenter la moindre preuve – l’idée selon laquelle le SRAS-CoV-2 pourrait être d’origine humaine, et condamnent « les théories du complot suggérant que le COVID-19 n’a pas d’origine naturelle ». » Après une enquête plus approfondie, eux aussi ont été liés à des coupables clés qui sont fortement incités à cacher la vérité, y compris Fauci.

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  81. Nous devons mettre un terme à la recherche sur les gains de fonction

    Comme l’a souligné Paul, le nombre de scientifiques s’inquiétant d’une autre fuite de laboratoire aux conséquences bien plus désastreuses est en augmentation :16

    « Avec le COVID, le taux de mortalité était bien inférieur à 1 %. Des expériences sont actuellement menées avec des virus susceptibles d'entraîner des taux de mortalité compris entre 15 et 50 pour cent. En 2021, le biochimiste du MIT Kevin Esvelt a écrit :

    « Une fois que nous considérons la possibilité d'une mauvaise utilisation [de la recherche sur les gains de fonction], sans parler d'une mauvaise utilisation créative, une telle recherche apparaît comme un pari que la civilisation ne peut pas se permettre de risquer… J'implore tous les scientifiques, bailleurs de fonds et nations travaillant dans ce domaine. champ : Veuillez arrêter.

    Plus besoin d’essayer de découvrir ou de créer des virus capables de provoquer une pandémie, d’améliorer leur virulence ou de les assembler plus facilement. Il n’est plus nécessaire de tenter de savoir quels composants permettent aux virus d’infecter ou de se répliquer efficacement dans les cellules humaines, ni de concevoir des moyens héréditaires d’échapper à l’immunité. Fini les expériences susceptibles de diffuser des plans pour des épidémies.

    Le potentiel de catastrophe ne peut être surestimé. À l’heure actuelle, les gens peuvent commander de l’ADN synthétique sur Internet, et s’ils savent ce qu’ils font, ils peuvent fabriquer le virus de la polio, parmi tant d’autres…

    Les informations requises sont accessibles au public grâce aux initiatives financées par les contribuables pour identifier tous les virus dans le monde. Avec le soutien de personnes comme Peter Daszak et Bill Gates, les États-Unis sont depuis des décennies le principal bailleur de fonds international pour l’identification des virus pandémiques.

    Cela devrait nous faire réfléchir : ces programmes consistent à extraire des virus rares de grottes où les humains pourraient ne jamais les rencontrer et à les transporter vers les principales zones métropolitaines, à manipuler les virus pour les rendre plus dangereux et transmissibles, et à publier les connaissances qui en résultent dans le monde.

    Même si l’objectif est de prévenir de futures pandémies, le rapport bénéfice-risque ne tient pas la route. Alors que les partisans de l’identification des virus dans le monde affirment que les connaissances acquises aideront au développement de vaccins, des décennies d’identification des virus ont été infructueuses, car aucun vaccin humain n’a été développé avant une épidémie humaine.

    Si nous continuons sur cette voie, Esvelt estime que les « pandémies délibérées » tueront « beaucoup plus de personnes que ce que l’identification pourrait sauver. » Penser que nous pouvons prévenir de futures pandémies, même si nous continuons à rechercher, cataloguer et manipuler des virus dangereux, est une erreur. le comble de l’orgueil.

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  82. Au cours des dernières années, les « experts » de la santé publique se sont trompés sur presque tout. Si nous voulons éviter ce genre de catastrophes à l’avenir, nous devons réformer le gouvernement et maîtriser les scientifiques incontrôlables et leurs facilitateurs.

    Je ne pourrais pas être plus d'accord. Nous devons mettre un terme à la recherche sur les gains de fonction pour la sécurité de l’humanité, et ne pas permettre que l’avidité ou la simple curiosité scientifique conduisent à la création d’un agent pathogène qui pourrait anéantir l’humanité.

    Le projet de loi de dépenses de 2022 contient une directive adressée au secrétaire à la Santé et aux Services sociaux, à la page 3 354, interdisant de « ne pas financer la recherche menée par une entité étrangère dans une installation située dans un pays préoccupant… impliquant des agents pathogènes à potentiel pandémique ou des agents biologiques ou des toxines. » 17

    C’est un pas dans la bonne direction, mais comme le souligne Paul, « les Américains et leurs représentants doivent surveiller attentivement si nos agences de santé publique tentent de l’éviter ».

    À cette fin, un groupe de réforme du gain de fonction recommande désormais que les expériences de gain de fonction qui confèrent une « transmissibilité humaine efficace » à un agent pathogène soient réglementées. Cela « empêcherait explicitement les bureaucrates comme Fauci de danser autour de la définition du gain de fonction et de détourner le regard alors que les chercheurs créent des virus qui se propagent plus facilement chez les humains », écrit Paul.

    Nous créons des armes biologiques et des antidotes contre ces armes biologiques, et cela doit cesser.
    À l’heure actuelle, la recherche sur les gains de fonction est autorisée à condition qu’elle soit menée dans le but de créer un vaccin, ce qui est une erreur logique. Nous n’avons jamais été capables de construire de manière préventive un agent pathogène qui apparaîtrait plus tard au cours de l’évolution naturelle.

    Non, nous créons de nouveaux agents pathogènes qui n’existent pas dans la nature, puis développons des vaccins contre ceux-ci. En d’autres termes, nous créons des armes biologiques et des antidotes à ces armes biologiques, et cela doit cesser. Pour que cela se produise, le public doit commencer à « faire du bruit » afin que nos élus commencent à comprendre que nous ne permettrons pas que cette question soit ignorée.

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  83. Sources and References

    1, 8, 10, 12, 14 City Journal January 25, 2024
    2 USRTK US Geological Survey letter December 5, 2023
    3, 4, 6 USRTK January 18, 2024
    5 DEFUSE Proposal March 27, 2018
    7 BioRxiv October 20, 2022
    9 X Dr. Valentin Bruttel January 18, 2024
    11 X Matt Ridley January 18, 2024
    13 Rejection of DEFUSE Project Proposal
    15, 16, 17 Imprimis Hillsdale, Lessons From the Great COVID Cover-Up

    https://www.lewrockwell.com/2024/02/joseph-mercola/the-story-of-the-decade/

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  84. Mortalité toutes causes: les statistiques néo zélandaises en désaccord avec l’état officiel des connaissances médicales en France sur la sécurité des injections Pfizer Moderna


    le 18 février 2024
    par pgibertie


    Comment évolue la mortalité en fonction du statut vaccinal covid et du nombre de doses. La France ne fournit malheureusement pas de telles statistiques.

    Normalement les non vaccinés devraient avoir un taux de mortalité toutes causes plus élevé que ceux que protège la vaccination

    Vous observerez donc la mortalité des non vaccinés au cours des derniers mois (violet très foncé) et la comparerez à celle des vaccinés en fonction du nombre de doses

    On notera que les non vaccinés semblent ne pas connaitre de surmortalité à la différence des vaccinés ce qui doit être pris avec prudence car c’est en contradiction avec l’assurance de vaccins éfficaces et surs en France

    Chacun doit pouvoir prendre en compte ces informations pour un choix éclairé

    le gouvernement néo-zélandais a publié aujourd’hui des statistiques brutes de mortalité par dose de covid vax (y compris les non vaccinés) conformément à la demande de la Official Information Act. En combinaison avec les données divulguées par@BarryYoungNZ , nous comparons désormais une mortalité dans chaque groupe de dose (y compris 0 dose)

    Pour clarifier : la référence est basée sur la population totale de la Nouvelle-Zélande (contemporaine), ce qui signifie que la référence inclut les personnes vaccinées. Descendre en dessous de 0 % implique que la cohorte s’en sort mieux que la population *dans son ensemble*

    Cette méthode permet de comparer les cohortes au reste de la population en temps réel. La saisonnalité est intégrée.

    Les cohortes sont ajustées en fonction de l’âge. Veuillez consulter la feuille de calcul

    - voir graph sur site -

    Sources

    Spreadsheet https://docs.google.com/spreadsheets/d/1BwtabtrYjvSfAKlI3o_OTUlgPN_NrzCXTsPM_QT6gKI/… Mortality-by-dose-by-month (OIA request) https://fyi.org.nz/request/25021-number-of-covid19-vax-deaths-by-age-band-location-and-month#incoming-96520… NZ Stats (official metrics) https://infoshare.stats.govt.nz Min. Health git repo (for deducing unvaxxed group size from cumulative first-dose-by-date data) https://github.com/minhealthnz/nz-covid-data/

    Pour les mortalités covid c ‘est pire…

    - voir graph sur site -

    https://pgibertie.com/2024/02/18/mortalite-toute-causes-les-statistiques-neo-zelandaises-en-desaccord-avec-letat-officiel-des-connaissances-medicales-en-france-sur-la-securite-des-injections-pfizer-moderna/

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  85. VIDÉO

    Version Odysée

    [Cliquez sur le titre supérieur et le coin droit pour accéder au mode plein écran]

    Cliquez ici pour accéder à Odysée

    Parmi tous les acteurs majeurs des grandes sociétés pharmaceutiques, Pfizer a un casier judiciaire aux États-Unis (jugement du DoD de 2009).

    https://www.globalresearch.ca/video-pfizers-secret-report-on-the-covid-vaccine-beyond-manslaughter-the-evidence-is-overwhelming-the-vaccine-should-be-immediately-withdrawn-worldwide/5780561

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  86. La vaccination contre la grippe pendant la grossesse n'a pas fait l'objet de suffisamment de recherches


    19 février 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Ces dernières années, de prétendus « comités d’experts » ont élaboré des recommandations en matière de vaccination. Selon les pays, les bébés devraient recevoir 35 à 45 vaccins, parfois administrés sous forme de vaccins multiples, au cours des 24 premiers mois de leur vie. L'Association médicale du Serment d'Hippocrate entame maintenant un examen attendu depuis longtemps des preuves des recommandations générales en matière de vaccination, qui dans de nombreux cas n'existent pas d'un point de vue scientifique, avec une publication sur la vaccination contre la grippe pendant la grossesse.

    Parce que fondé sur des preuves signifie toujours : les avantages doivent dépasser les inconvénients/risques. C'est exactement ce qui devrait en réalité être une évidence et qui est également prévu dans le droit professionnel de la médecine, mais ce n'est plus le cas. Selon l'ordre des médecins, le StIKo recommande de plus en plus de vaccinations dont les bénéfices ne sont pas seulement scientifiquement prouvés et dont les risques sont (trop) élevés ou n'ont pas été déterminés ou pris en compte.

    Cela pose la question de l'orientation scientifique et de l'indépendance du StIKo. Il en va de même pour le Conseil national de vaccination en Autriche et les autorités correspondantes dans d'autres pays.

    Horst Seehofer s'est déjà plaint haut et fort de l'influence de l'industrie pharmaceutique sur la politique.

    Voici quelques extraits de l’analyse de l’association médicale professionnelle :

    Les bénéfices sont souvent inexistants et les effets secondaires sont largement sous-estimés.
    Le StiKo recommande aux femmes enceintes de se faire vacciner contre la grippe. Peut-on vraiment compter sur leur sécurité ?

    Les vaccinations destinées aux femmes enceintes doivent répondre à des exigences de sécurité élevées, car elles peuvent nuire à la fois à la mère et à l'enfant. Les effets immunologiques sur les fœtus et les embryons en particulier sont très complexes, car ils sont particulièrement sensibles aux poisons et aux infections au cours de leur développement rapide dans l'utérus. Les deux sont contenus en petites quantités dans les vaccins. C'est pour cette raison qu'il convient, dans la mesure du possible, de ne donner aucun médicament aux femmes enceintes et, même avec des analgésiques, de faire preuve d'une grande retenue.

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  87. En ce qui concerne les vaccins, qui sont généralement utilisés pour les personnes en bonne santé, le législateur fixe en effet des normes de sécurité particulièrement élevées, qui doivent être respectées encore plus strictement pour les femmes enceintes.

    Cependant, cela a été de plus en plus ignoré ces dernières années, y compris dans les recommandations du StIKo, une autorité subordonnée au RKI et donc au ministre de la Santé, ce qui a entraîné de nombreux effets secondaires et décès, même chez des personnes auparavant en bonne santé et même chez des enfants. et les bébés. Depuis lors, de nombreuses maladies, dont le cancer, sont devenues beaucoup plus courantes.

    La question urgente se pose - surtout après des années de fausses affirmations prouvées de la part du BMG sur la prétendue sécurité et l'efficacité des vaccinations contre le Covid-19 :

    La population peut-elle encore faire confiance aux recommandations du BMG et du StiKO ?
    Pour rappel : en août 2021, le StiKo recommandait également la vaccination des jeunes contre le Covid-19, même si

    dont le risque d'effets secondaires ou de décès dus aux vaccinations était déjà clairement bien supérieur au risque de maladie Covid-19...
    Même s’il était clair dès le début et a été confirmé dans de grandes études en avril et juillet 2021, ces vaccinations ne peuvent pas offrir de protection contre l’infection d’autrui en raison du mode d’action du modRNA.
    et donc, en fin de compte, ceux-ci n’ont jamais été adaptés pour empêcher la propagation de la pandémie.
    Cependant, cela a été transmis à la population d'une manière complètement différente : à travers toutes les chaînes de télévision et les autorités, les gens et même les enfants ont été culpabilisés de sorte qu'ils ne devaient se faire vacciner que parce qu'ils pourraient autrement contaminer les autres. Malheureusement, c’est le contraire qui s’est avéré : selon des études, les personnes vaccinées étaient 2 à 3 fois plus sensibles aux infections et contagieuses pendant 1 à 2 jours de plus.

    Cela soulève des doutes considérables sur l'orientation éthique et scientifique du StIKo et des autorités supérieures .

    Le StIKo recommande la vaccination contre le Covid-19 aux femmes enceintes volant à l'aveugle
    Ces doutes sur l'orientation éthique et scientifique du StIKo sont renforcés par sa recommandation selon laquelle les vaccinations contre le Covid-19, qui ont fait l'objet de recherches beaucoup trop récentes et potentiellement manipulatrices génétiquement, devraient également être administrées aux femmes enceintes à partir du 4e mois, car celles-ci auraient des risques accrus d’évolutions graves du Covid-19.

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  88. L'ÄBVHE considère que cela est irresponsable, d'autant plus que les bases de données sur les effets secondaires ont explosé dans le monde entier depuis l'introduction de la vaccination, que les femmes sont particulièrement responsables de 70 à 75 % des effets secondaires et que 90 % des femmes enceintes vaccinées au cours des 3 premiers mois ont subi un avortement précoce ou mortinaissances. Il n'existe aucune étude à long terme prouvant la sécurité de ces vaccinations chez les femmes enceintes et pourtant le StIKo recommande ces vaccinations, que l'ÄBVHE qualifie d'expérimentation humaine inadmissible.

    Pfizer lui-même l'a expliqué dans son information produit du 8 janvier 2024 :

    « Les données disponibles sur les vaccinations Comirnaty administrées aux femmes enceintes sont insuffisantes pour pouvoir évaluer les risques de sécurité des vaccinations pendant la grossesse » (traduit en conséquence par ÄBVHE).

    La surmortalité observée dans le monde entier et la baisse continue des taux de natalité dans les pays à taux de vaccination élevés depuis l’introduction de la vaccination sont des signaux de risque extrêmes qui auraient dû depuis longtemps conduire à un arrêt mondial de la vaccination. Nous fournirons ultérieurement des informations sur les problèmes liés à une surveillance insuffisante des médicaments.

    ….

    Le StIKo recommande également aux femmes enceintes des vaccins contre la grippe insuffisamment testés
    Le StIKo recommande la vaccination contre la grippe pour toutes les femmes enceintes en priorité, sans qu'il y ait de nécessité médicale, car les femmes enceintes sont généralement bien protégées par leur propre système immunitaire ou peuvent renforcer leur système immunitaire avec des remèdes naturels sûrs si des symptômes de carence apparaissent. .

    L'efficacité revendiquée pour les femmes enceintes elles-mêmes ou leur fœtus - et cela s'applique à tous les vaccins contre la grippe autorisés en Allemagne - n'a pas encore été prouvée.

    La prétendue réduction des décès et des hospitalisations chez les femmes enceintes due à la vaccination contre la grippe ne peut pas être scientifiquement prouvée, mais les effets secondaires sont accrus. (Demicheli, Jefferson Ferroni, et al. ; 2018 ; Donzelli 2018).

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  89. Selon la publication spécialisée indépendante « arznei-telegramm » (2020 ; 51 : 78), le vaccin sur culture cellulaire « FluceVax », autorisé en Allemagne pour une utilisation chez les enfants à partir de 2 ans et les femmes enceintes, convient également à la vaccination. en raison des données limitées sur la grossesse, les femmes enceintes ne sont pas suffisamment documentées et doivent donc être considérées comme dangereuses.

    De même, selon les données actuelles, une vaccination contre la grippe n’a aucun effet sur la prévention de l’hospitalisation ou du décès des nourrissons (Sukamaran et.al., 2018).

    Voici l’intégralité du texte de l’ordre médical :

    L'Ordre des médecins informe : Vaccination contre la grippe pour les femmes enceintes. Bénéfices non prouvés, risques certainement

    https://tkp.at/2024/02/19/grippe-impfung-in-der-schwangerschaft-nicht-ausreichend-erforscht/

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  90. L’opposition aux injections d’ARNm désormais considérée comme un CRIME en France, les contrevenants encourent 45 000 euros d’amende et 3 ans de prison pour avoir remis en question « la science »


    18/02/2024
    Ethan Huff


    Le gouvernement français vient d’adopter une loi prévoyant des amendes et des peines d’emprisonnement pour les personnes refusant de se faire injecter des « vaccins » à ARNm (ARNmod).

    Toute opposition aux injections d'ARNm-LNP (nananoparticules lipidiques) en France est désormais considérée comme une « aberration sectaire ». Les violations entraînent une amende de 45 000 euros et jusqu'à trois ans d'emprisonnement.

    "Il ne tolérera aucune critique sur les traitements thérapeutiques qui seront recommandés ou rendus obligatoires par l'Etat", a tweeté le Dr Kat Lindley. "Quiconque oserait critiquer ouvertement ces thérapies sera passible d'amendes et d'emprisonnement."

    Connue sous le nom d'article 4, cette loi hautement antilibérale interdit aux résidents et aux citoyens de dire quoi que ce soit de mal sur les traitements « thérapeutiques » comme les injections d'ARNm qui sont soit obligatoires, soit simplement recommandées par le gouvernement français.

    "Déjà, des médecins de renom sont visés, que cet article va faire taire", a déclaré Annie Arnaud, un compte X français. "La France s'engage dans une voie totalitaire. Macron et ses acolytes sont partisans du WEF (Forum économique mondial) et des politiques mondialistes."

    "C'est une catastrophe pour le pays où une majorité de citoyens n'obéissent plus à la propagande vaccinale. Des troubles sociaux à venir."

    (Connexe : Saviez-vous que les injections d’ARNm provoquent le cancer ?)

    Le fascisme médical en hausse
    Certains témoignages affirment que l'article 4 a été proposé mais n'a pas été adopté, il reste donc à voir si une quelconque application sera appliquée à cause de cette prétendue décision. Néanmoins, le fait qu’il y ait des politiciens qui croient en ce type de fascisme médical est préoccupant en soi.

    "C'est néanmoins un avertissement très important pour tout le monde sur la manière dont les membres fascistes extrémistes du WEF et d'autres mondialistes tentent de faire passer leurs idées incroyablement malades partout, dans tous les pays libres", écrit un article.

    "C'est aussi la raison du mélange actuel de meurtres de masse des anciennes cultures gardiennes de la liberté, des individus détenant ces cultures de liberté, de meurtres de masse par des poisons et de toutes autres manières, et combinés avec le remplacement par des immigrants totalitaires qui a lieu, et combiné avec une législation fasciste extrémiste flottant partout. Cette poussée massive a commencé avec les mesures extrêmes de covid. Elles n'étaient pas temporaires, elles étaient censées être pleinement mises en œuvre à partir de ce moment et au-delà. C'est aussi pourquoi les "mesures d'urgence" ont été maintenues. pendant des années après toute « urgence » – afin de conditionner les populations à des mesures fascistes extrêmes. »

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  91. Une autre personne a écrit qu’il est essentiel pour nous, le peuple, quel que soit le pays dans lequel nous vivons, de prendre la parole et de dénoncer ce genre de choses. Non seulement cela, mais nommer et dénoncer tous les médecins fascistes du gouvernement qui promeuvent ce genre de choses dissuadera également les abus de pouvoir du gouvernement.

    Un autre récit écrit que l'article 4 a en fait été adopté « lors d'un deuxième vote », ce qui signifie que la France est désormais une dictature médicale où les résidents et les citoyens doivent prendre les « médicaments » prescrits par le gouvernement – et le faire avec un sourire approbateur.

    Pendant ce temps, la France accuse la Russie de fomenter une campagne de désinformation concernant son gouvernement en cette année électorale clé.

    Les autorités russes affirment que la Russie mène depuis longtemps une campagne de manipulation en ligne contre les partisans occidentaux de l'Ukraine, parmi lesquels figure bien entendu la France.

    Le ministère français des Affaires étrangères a publié une déclaration selon laquelle "aucune tentative de manipulation ne détournera la France de son soutien à l'Ukraine face à la guerre d'agression de la Russie".

    Si l'industrie du vaccin doit forcer les gens à prendre ses produits derrière le canon d'une arme pour pouvoir les vendre et fabriquer de grandes sociétés pharmaceutiques, il est probablement temps de réévaluer ce que signifie fournir des « soins de santé » et probablement d'arrêter d'utiliser ce terme. tout à fait. Apprenez-en davantage sur BadMedicine.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Twitter.com
    NaturalNews.com
    APNews.com

    https://www.naturalnews.com/2024-02-18-opposition-mrna-crime-france-prison-fines.html

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  92. Projet de loi «Dérive Sectaire». Les Français qui s’opposent au vaccin contre la Covid-19 seront-ils punis par cette loi pour « provocation »?

    Oui : « Le rapport « secret » de Pfizer sur le vaccin anti-Covid dit la vérité


    Par Prof Michel Chossudovsky
    Mondialisation.ca,
    20 février 2024


    Introduction
    Le 14 février 2024, l’Assemblée nationale française a adopté un projet de loi controversé « visant à renforcer la lutte contre la « dérive sectaire » .

    Cliquez ici pour voir la vidéo de l’Assemblée nationale, le 14 février 2024

    Le projet de loi est une initiative du gouvernement français d’ Emmanuel Macron qui sera présenté au Sénat par le ministre de l’Intérieur au nom de la Première ministre Elizabeth Borne.

    Décret de présentation

    La Première ministre,

    Sur le rapport du ministre de l’intérieur et des outre-mer,

    Vu l’article 39 de la Constitution,

    Décrète :

    Le présent projet de loi visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires, délibéré en conseil des ministres après avis du Conseil d’État, sera présenté au Sénat par le ministre de l’intérieur et des outre-mer, qui sera chargé d’en exposer les motifs et d’en soutenir la discussion, avec le concours de la secrétaire d’État auprès du ministre de l’intérieur et des outre-mer, chargée de la citoyenneté et auprès du ministre de l’intérieur et des outre-mer et du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires, chargée de la ville.

    Fait à Paris, le 15 novembre 2023

    Signé : Élisabeth BORNE

    Par la Première ministre :

    Le ministre de l’intérieur et des outre-mer

    Signé : Gérald DARMANIN

    La secrétaire d’État auprès du ministre de l’intérieur et des outre-mer, chargée de la citoyenneté et auprès du ministre de l’intérieur et des outre-mer et du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires, chargée de la ville

    Signé : Sabrina AGRESTI-ROUBACHE

    - voir cadre sur site -

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  93. Débat parlementaire sur la « Dérive Sectaire »
    Le projet de loi a été débattu pour la première fois le 13 février 2024.

    « Une coalition d’oppositions a rejeté l’article [IV] mardi soir [13 février], comme l’a fait le Sénat fin 2023. Les députés LFI, LR et RN dénoncent une menace pour les « libertés publiques » et pour les « lanceurs d’alerte » qui critiquent l’article. l’industrie pharmaceutique.

    Le lendemain (14 février 2024), tard dans la nuit, à l’issue de la période des questions, un vote serré a eu lieu (116-108) annulant le vote de la veille. Environ 40 % des 577 membres de l’Assemblée nationale étaient présents au moment du vote.

    Après de longs débats, les députés ont adopté le 14 février en première lecture le projet de loi contre les « abominations sectaires », dans lequel ils ont réintégré le controversé article 4, qui crée un nouveau délit de « provocation à l’abstention de soins médicaux ». (« provocation à l’abstention de soins »)

    … L’article 4 du chapitre III, propose de modifier le Code pénal pour punir la « provocation » sur une personne malade à « abandonner ou s’abstenir de suivre un traitement médical », si cet abandon est présenté comme bénéfique alors qu’il pourrait entraîner des conséquences dangereuses.

    ( France Info italiques ajoutés)

    Selon France Info :

    Le rejet de la mesure dans la nuit du mardi 13 février avait provoqué un tollé dans les rangs macronistes à l’Assemblée. Après de longs débats, les députés ont adopté en première lecture le projet de loi contre les dérives sectaires mercredi 14 février, dans lequel ils ont réintégré le controversé article 4, qui crée un nouveau délit de « provocation à l’abstention de soins » médicaux.

    L’article en question a pour but de lutter contre les « charlatans » et les « gourous 2.0 », qui promeuvent sur internet des méthodes présentées comme des « solutions miracles » pour guérir de maladies graves comme les cancers. Souvent sans formation scientifique et au mépris de la science, elles peuvent dériver vers des comportements d’emprise sectaire.

    La secrétaire d’Etat chargée de la Citoyenneté et de la Ville, Sabrina Agresti-Roubache, a souligné à l’ouverture des débats que le nombre de signalements à la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) a doublé depuis 2010, notamment à cause de l’épidémie de Covid-19 et de l’utilisation des réseaux sociaux.

    En punissant ces comportements, le délit de « provocation à l’abstention de soins » servirait donc à « combler une véritable lacune de notre arsenal en nous dotant de moyens efficaces de lutte contre les dérives thérapeutiques à caractère sectaire », … Jusqu’à trois ans de prison pour ces « provocations »

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  94. Comme on peut le lire dans sa première version sur le site de l’Assemblée nationale, l’article 4 du chapitre III, propose de modifier le Code pénal pour punir « la provocation » sur une personne malade à « abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical », si cet abandon est présenté comme bénéfique alors qu’il pourrait entraîner des conséquences dangereuses.

    La « provocation » à adopter des pratiques présentées comme bénéfiques, alors qu’elles exposent à « un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente » est également concernée. Ces délits seraient punis d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende, ou trois ans et 45 000 euros d’amende quand cette provocation « a été suivie d’effets ».

    Après de longs débats, les députés ont adopté en première lecture le 14 février le projet de loi « visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires »,

    « dans lequel ils ont réintégré le controversé article 4, qui crée un nouveau délit de « provocation à l’abstention de soins médicaux » . ( « provocation à l’abstention de soins ») ( France Info , italiques ajoutés)

    « Dérive sectaire » et le projet de loi
    Dérive séctaire pointe du doigt la non-conformité en réponse à un discours officiel du gouvernement.

    C’est un concept totalitaire.

    Il fait référence à la Miviludes, une agence gouvernementale française chargée des mouvements sectaires (voir ci-dessous)

    Le terme aberration est également utilisé pour identifier les groupes.

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  95. lien vers le site du gouvernement français

    Le projet de loi étend le concept de « dérive sectaire »
    Quel est l’objet du projet de loi :

    « …renforcer la lutte contre les dérives sectaires, délibéré en Conseil des ministres

    Cela implique d’étendre le concept de dérive sectaire totalitaire à la santé et à la médecine.

    Le projet de loi :

    » crée un nouveau délit de « provocation à l’abstention de soins ».

    Le texte de ce projet de loi est chaotique, avec des propos confus. Il reconnaît que la dite dérive sectaire s’est considérablement accrue pendant la crise du coronavirus.

    Dérive sectaire et le vaccin contre le Covid-19
    Alors que le projet de loi ne fait pas explicitement référence au vaccin contre le Covid-19, il accuse néanmoins ceux qui sont opposés au vaccin de « dérive sectaire ». Le projet de loi en quelque sorte criminalise le mouvement de protestation s’opposant au vaccin contre le Covid-19.

    L’objectif consiste à conférer une légitimité au vaccin contre le Covid-19 qui a entraîné une montée en flèche de la surmortalité.

    Ce que le projet de loi laisse entendre, c’est une peine pouvant aller jusqu’à « trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende » pouvant très bien viser les citoyens français qui osent s’exprimer contre le vaccin Covid-19.

    Il s’agit non seulement de milliers de scientifiques et de médecins, mais également des citoyens de toutes les régions de France, au sein de leurs communautés respectives, qui s’opposent au vaccin contre le Covid-19.

    En même temps, cela porte atteinte aux droits fondamentaux. Cela souligne également la criminalisation de la démocratie parlementaire.

    Je devrais également mentioner que « la dérive sectaire » n’est pas un concept légal.

    Selon David Guyon (avocat):

    En réalité, il est patent que toute personne qui aurait critiqué la vaccination contre la covid 19 pourrait entrer sous le coup de cette infraction. or, les infractions précitées ne permettent pas de réprimer les avis dissidents sur la politique sanitaire.

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  96. En l’espèce, il convient d’avoir un avis qui est à l’encontre du consensus scientifique et qui est seulement susceptible d’avoir des conséquences graves. Il n’est donc pas nécessaire d’obtenir un résultat.

    En conséquence, un tel texte serait dramatique et réprimerait toute contestation de la parole officielle. C’est pourquoi il doit être combattu. »

    - voir cadre sur site -

    Le mensonge est devenu la vérité. La dérogation des droits humains fondamentaux
    Ce que cette décision – qui doit encore être votée par le Sénat français – implique que LE MENSONGE EST DEVENU LA VÉRITÉ .

    Vous pouvez être arrêté pour avoir informé vos amis et voisins que le vaccin contre le Covid-19 est une substance toxique ?

    Cela signifie-t-il que vous ne pouvez même pas citer les données officielles sur la mortalité et la morbidité ?

    Cela signifie-t-il que les nombreuses études sur la surmortalité liées au vaccin contre le Covid-19 ne peuvent être ni publiées ni citées ?

    Pouvez-vous être arrêté pour avoir déclaré que Pfizer – qui mène le programme mondial de vaccination contre le Covid-19 – a un casier judiciaire auprès du ministère américain de la Justice ?

    - voir cadre sur site -

    En d’autres mots, le « vaccin » contre le Covid-19 distribué à l’échelle de la planète entière est produit par une société pharmaceutique qui a été inculpée par le ministère américain de la Justice (2009) pour « marketing frauduleux ».

    Gardez à l’esprit qu’il s’agit d’une accusation pénale. Il ne s’agissait pas d’un recours collectif civil.

    Le vaccin contre le Covid-19 tue nos enfants
    Pfizer tue nos enfants. Et nos gouvernements sont soudoyés par les grandes sociétés pharmaceutiques.

    Selon le nouveau projet de loi, peut-on être arrêté pour avoir déclaré la vérité ?

    Nos enfants et adolescents meurent dans le monde entier

    Étudiante au Lycée Valabre de Luynes-Gardannem, Aix-en-Provence, France, Sofia Benharira, 16 ans est décédée le 21 septembre 2021, 7 jours après avoir reçu le vaccin mortel Pfizer. Crises cardiaques et thrombose.

    Cela se produit partout dans le monde.

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  97. Des enfants et des adolescents meurent.

    - voir photo de la fille assassinée sur site -

    17h06 · 25 septembre 2021
    Soit les médias omettent de signaler les décès liés au vaccin, soit ils déclarent (avec autorité) que les décès sont imputables au Covid-19.

    Quelle est la vérité. Examinez les données. Mortalité excédentaire
    Les preuves qui ont été ouvertement ignorées tant par le gouvernement français que par l’Assemblée nationale sont accablantes :

    De nombreuses études confirment que le vaccin contre le Covid-19 a déclenché une tendance mondiale à la hausse de la mortalité et de la morbidité.

    Visiblement, l’Assemblée Nationale n’a pas reconnu les données provenant de sources officielles qui confirment une tendance à la hausse de la mortalité liée au vaccin contre le Covid-19.

    Voir l’importante étude sur la surmortalité intitulée :

    Mortalité associée au vaccin contre le COVID-19 dans l’hémisphère sud

    Par Pr Denis Rancourt , Dr Marine Baudin , Dr Joseph Hickey , et Dr Jérémie Mercier , le 13 février 2024

    Ce qui est affiché ci-dessous sont des graphiques pour 6 pays, pour consulter tous les graphiques (section 5.1), cliquez ici

    Ce qui est révélateur est que pour la plupart des pays, la même tendance caractérise la relation entre la mortalité toutes causes confondues et le nombre de doses du vaccin administrées.

    - voir graph sur site -

    Mortalité liée au vaccin : pays sélectionnés.
    ( Pr Denis Rancourt, Dr Marine Baudin, Dr Joseph Hickey et Dr Jérémie Mercier)

    ACM Toutes causes de mortalité. Nombre de décès par mois

    Doses Vax administrées par semaine

    Mortalité. Moyenne mobile sur 1 an

    - voir graph sur site -

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  98. Pfizer devrait-il être condamné à une amende de 45000 euros et à trois ans de prison ?
    Ce que contient le rapport « confidentiel » de Pfizer, ce sont des preuves détaillées des impacts du « vaccin » sur la mortalité et la morbidité. Ces données qui émanent de la « Bouche du Cheval » peuvent désormais être utilisées pour affronter ainsi que formuler des procédures juridiques contre les grandes sociétés pharmaceutiques, les gouvernements, l’OMS et les médias.

    Les membres de l’Assemblée nationale doivent prendre connaissance de ce rapport. Devant un tribunal, les preuves contenues dans ce rapport confidentiel de Pfizer ( associées aux données sur les décès et événements indésirables compilées par les autorités nationales) sont irréfutables : car ce sont leurs données et leurs estimations et non pas les nôtres.

    Il s’agit de facto d’un Mea Culpa de la part de Pfizer. #Oui, c’est un vaccin tueur

    Pfizer était pleinement conscient que le vaccin à ARNm qu’il commercialise dans le monde entier entraînerait une vague de mortalité et de morbidité. Cela équivaut à un crime contre l’humanité de la part de Big Pharma.

    Pfizer savait dès le départ qu’il s’agissait d’un vaccin tueur.

    Il s’agit également d’un Mea Culpa et d’une trahison de la part des gouvernements nationaux corrompus du monde entier (avec quelques exceptions) qui sont menacés et soudoyés par les grandes sociétés pharmaceutiques.

    Aucune tentative n’a été faite par les gouvernements pour appeler au retrait du vaccin tueur.

    Michel Chossudovsky, le 18 février 2024

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  99. À propos de l’auteur
    Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRM), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.

    Il a entrepris des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a beaucoup écrit sur les économies des pays en développement en mettant l’accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également entrepris des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes (CEPA), FNUAP, ACDI, OMS, gouvernement du Venezuela, John Hopkins International Journal of Health Services (1979, 1983)

    Il est l’auteur de douze livres dont The Globalization of Poverty et The New World Order (2003) – La mondialisation de la pauvreté, America’s « War on Terrorism » (2005) – Guerre et Mondialisation, The Globalization of War, America’s Long War against Humanity (2015).

    Il collabore à l’Encyclopédie Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues. En 2014, il a reçu la médaille d’or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d’agression de l’OTAN contre la Yougoslavie. On peut le joindre à crgeditor@yahoo.com

    Voir en anglais : Michel Chossudovsky, Notice biographique

    Articles de Michel Chossudovsky sur Global Research

    Articles en français de Michel Chossudovsky sur Mondialisation.ca

    https://www.mondialisation.ca/projet-de-loi-derive-sectaire-les-francais-qui-sopposent-au-vaccin-contre-la-covid-19-seront-ils-punis-par-cette-loi-pour-provocation/5686585?doing_wp_cron=1708414186.7176909446716308593750

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  100. Santé : les médicaments plus chers dès le 1er avril 2024

    La santé se trouve aujourd’hui au cœur d’une réforme. La franchise médicale, part non remboursée par la Sécurité sociale lors de l’achat de médicaments, va être revue à la hausse. Cette mesure, inscrite au Journal officiel le 17 février 2024, double le montant précédemment fixé. Mais qu’implique réellement cette augmentation ?


    Par Paolo Garoscio
    le 19 février 2024 à 11h00


    64% des Français rejettent l'augmentation des franchises médicales.

    Santé : qu'est-ce que la franchise médicale ?

    La franchise médicale représente le montant qui reste à la charge du patient après remboursement par la Sécurité sociale. La franchise est à payer sur les boîtes de médicament, mais aussi en cas de transports sanitaires et lors certaines consultations médicales.

    Toutefois, le gouvernement a veillé à ce que les plafonds annuels de dépenses, fixés à 50 euros pour les franchises et les participations forfaitaires, restent inchangés. Les mineurs, les femmes enceintes et les bénéficiaires de la complémentaire santé solidaire restent exemptés de ces frais supplémentaires.

    Pourquoi une hausse de la franchise médicale ?

    Cette mesure s'inscrit dans un contexte de dégradation des comptes de la Sécurité sociale, exacerbée par l'augmentation des dépenses de santé. Le gouvernement, qui veut faire des économies sur les dépenses, prévoit avec cette hausse un moyen de générer des rentrées d’argent supplémentaires. En effet, cette réforme devrait permettre de réaliser 800 millions d'euros d'économies.

    Elle répond également à une nécessité d'adapter le montant de la franchise médicale, inchangé depuis 2008, à l'évolution des coûts de la santé. Initialement fixée à 50 centimes par boîte de médicaments, la franchise médicale passe désormais à un euro.

    La santé va coûter plus cher aux Français

    Avec cette augmentation, le coût des médicaments pour les patients connaîtra une hausse. Chaque boîte de médicament, désormais taxée d'un euro, contribuera à alourdir la charge financière des ménages français déjà lourdement pénalisés par l’inflation. Cependant, le gouvernement assure que les plafonds annuels de 50 euros pour les franchises et les participations forfaitaires limiteront l'impact sur les budgets les plus serrés.

    La nouvelle tarification prendra effet le 31 mars 2024, selon ce qu’a fixé, le 17 février 2024, la publication du décret d’application au Journal Officiel.

    https://www.economiematin.fr/sante-medicaments-prix-franchise-medicale

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  101. Étude sur les dommages causés aux vaccins auprès de 99 millions de personnes vaccinées contre le Covid


    20 février 2024
    de Thomas Oysmüller


    Une étude évaluée par des pairs qui a évalué les données de 99 millions de personnes vaccinées dans le monde montre des risques importants liés à la vaccination contre le Covid.

    Dans les cercles d’experts, l’étude, publiée dans la revue médicale Vaccine , est susceptible de relancer le débat sur les risques par rapport aux bénéfices de la vaccination contre le Covid. Les chercheurs résument clairement les résultats : « Cette analyse transnationale a confirmé les signaux de sécurité déjà connus pour la myocardite, la péricardite, le syndrome de Guillain-Barré et la thrombose du sinus veineux cérébral. Des signaux de sécurité potentiels supplémentaires ont été identifiés et nécessitent une enquête plus approfondie.

    Le rouge chez Pfizer

    Stefan Homburg, qui a souligné l’étude sur X, ajoute que cette étude relève de la science orthodoxe. L’étude affirme que les vaccins « protégeraient contre les maladies graves et la mort ». Cependant, cette affirmation n’est ni étayée ni argumentée. Homburg ajoute : « Les grandes études d’approbation menées par Pfizer et Moderna n’ont pas prouvé un tel bénéfice. »

    Le fait qu’aucune critique fondamentale à l’égard de la vaccination ne puisse émerger de la recherche se voit également en ce qui concerne le financement. Plusieurs chercheurs étaient soutenus par le CDC, et d’autres avaient déjà travaillé pour Big Pharma (dont Pfizer). En conséquence – pourrait-on penser – la conclusion est la suivante (souligné par TKP) :

    « Bien que notre étude ait confirmé des signaux de sécurité rares précédemment identifiés suite à la vaccination contre le COVID-19 et ait fourni la preuve de plusieurs autres résultats importants, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour confirmer les associations et évaluer la signification clinique. "

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  102. Vous ne vous penchez donc pas trop par la fenêtre. Les « rares signaux de sécurité » ont déjà été reconnus. Dans le passé, c’est-à-dire avant 2020, cela aurait suffi à retirer du marché des produits médicaux. Mais les choses sont différentes avec les vaccinations contre le Covid – notamment celles basées sur l’ARNm.

    Mais si l’on examine ensuite le document de plus près, l’étude détecte des « signaux de sécurité importants » – et pas seulement pour le vaccin d’AstraZeneca, qui a désormais été retiré du marché. Surtout dans le cas de myocardite et de péricadite, les statistiques des seringues à ARNm sont rouges :

    - voir graph sur site -

    L’étude dit :

    «Cependant, notre étude confirme les résultats de cas rares antérieurs de myocardite et de péricardite après la première et la deuxième doses de vaccins à ARNm. Une vaste étude de cohorte portant sur 23,1 millions d'habitants dans quatre pays nordiques a révélé un risque accru de myocardite chez les jeunes hommes âgés de 16 à 24 ans, sur la base de 4 à 7 événements excédentaires en 28 jours pour 100 000 vaccinés après une deuxième dose de BNT162b2 et entre 9 et 28 pour 100 000 personnes vaccinées après une deuxième dose d’ARNm-1273. […] À la lumière de ces résultats, l'OMS a publié des lignes directrices mises à jour sur ces signaux de sécurité et sur la vaccination à ARNm contre le COVID-19, et l'EMA a publié les informations sur le produit pour les vaccins BNT162b2 [Biontech, note] et ARNm-1273 [Moderna , note. ] mis à jour. La TGA et le CDC continuent de surveiller et d’examiner les données concernant la myocardite et la péricardite après la vaccination contre le COVID-19. »

    Donc rien de nouveau, tout est au vert.

    Presque tous les vaccins Covid arrivés sur le marché (du moins à court terme) étaient représentés parmi les 99 millions de vaccinés. Mais le vaccin Pfizer est de loin celui qui a été le plus étudié : l'étude a enregistré 183 millions d'injections avec l'ARNm de Pfizer. En ce qui concerne AstraZeneca, pour lequel des millions de vaccins ont été administrés, l’enquête est bien plus critique que les substances à ARNm.

    Le professeur allemand Homburg lit l'étude d'une manière résolument différente : « Dans l'ensemble, il s'agit peut-être du plus grand échec de l'histoire de la médecine. Je suis désolé pour les cobayes dont les expériences ont échoué, d’autant plus qu’ils ont souvent été forcés.»

    https://tkp.at/2024/02/20/impfschaden-studie-mit-99-millionen-covid-geimpften/

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  103. ENCORE 1 ARTICLE CENSURÉ ! (120 - 1 = 119)

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