- ENTREE de SECOURS -



jeudi 1 février 2024

Le problème des fadas du climat, plus ils tuent notre agriculture plus nous importons de la merde carbonnée: c’est 50 % de notre « empreinte carbone »,

 

 le 31 janvier 2024

  par pgibertie


Voici un exemple illustré de ce qu’ils sont capables de faire, tout en hurlant aux émissions de gaz carbonique. Voici du bœuf vendu dans la Marne en France. Il est né en Autriche, a été élevé en Argentine, est parti aux US, où il a été abattu, puis a été découpé en France, pour ensuite finir en magasin. Ce bœuf a parcouru au minimum 30.100 kms ! Mais n’oubliez pas d’éteindre votre wifi pour économiser de l’énergie..

Le socialiste néerlandais Frans Timmermans, commissaire européen chargé de mettre en œuvre l’ambitieux Pacte vert pour l’Europe, a rejeté toute idée d’assouplissement des objectifs de durabilité dans la politique alimentaire du bloc, lors d’un discours devant les législateurs de la commission de l’environnement du Parlement européen (ENVI), lundi 7 mars 2023

« S’il vous plaît, ne croyez pas à l’illusion selon laquelle […] vous favoriseriez la production alimentaire en la rendant moins durable, en renonçant à la stratégie “de la ferme à la table”, en ne la rendant pas plus résiliente en termes d’environnement naturel et de production alimentaire », a-t-il averti.

Le problème des écolos sectaires: leurs contradictions. Plus ils tuent notre agriculture plus nous importons de la merde carbonnée

La part des émissions liées aux importations des produits agricoles a augmenté en France, et compte désormais pour près de la moitié de l’empreinte carbone alimentaire française, indique jeudi (25 janvier) dans un rapport le Haut conseil pour le climat.

Selon ce rapport, publié en pleine mobilisation des agriculteurs, « 46 % des émissions alimentaires sont des émissions importées », soit 63 millions de tonnes équivalents gaz carbonique., contre 42 % en 2010 avec 61 millions de tonnes.

Les importations atteignent ainsi « 40 à 50 % » des légumes les plus consommés en France, et la part de fruits, poissons et crustacés importés est également élevée, détaille le Haut conseil pour le climat (HCC).

« Par ailleurs, 20 % de la viande bovine et 30 à 40 % du porc ou de la volaille consommés en France sont importés », souligne l’organisme indépendant, selon lequel « en vingt ans, les importations de viandes et préparations de volailles ont été multipliées par plus de quatre », pour « en partie répondre à la demande de l’industrie agro-alimentaire » et de la restauration.

L’élevage est à lui seul responsable de 59 % des émissions de l’agriculture, un secteur qui comptait lui-même pour 18 % des émissions de gaz à effet de serre (GES) de la France en 2021. Le système alimentaire dans son ensemble représente 22 % de l’empreinte carbone globale des Français, selon le HCC.

Les bovins sont la principale source d’émissions directes de l’élevage (83 %), qui sont essentiellement dues au méthane que les vaches produisent en rotant et à la gestion de leurs déjections.

Les émissions de l’élevage ont diminué de 15 % entre 1990 et 2021, mais cette baisse résulte principalement d’une réduction du cheptel en raison des « difficultés socio-économiques du secteur », note l’organisme indépendant.

L’élevage est régulièrement épinglé pour ses importantes émissions de gaz à effet de serre, et la Cour des comptes avait en mai 2023 recommandé de « définir une stratégie de réduction » du nombre de vaches élevées en France.

« Cela ne servirait à rien de donner des consignes de taux de diminution du cheptel bovin parce que si la consommation ne diminue pas en parallèle, cela augmente les importations », a estimé lors d’une conférence de presse Marion Guillou, membre du Haut conseil pour le climat.

« Aujourd’hui, le poids carbone des importations des pays en dehors de l’Union européenne est supérieur au poids carbone des productions européennes bovines », a-t-elle souligné, à l’heure où l’UE négocie des accords commerciaux avec plusieurs pays (Australie, Vietnam, Chili, pays du Mercosur).

Le HCC recommande plutôt de commencer par manger moins de produits d’origines animales : une baisse de la consommation d’au moins 30 % aiderait à réduire de moitié les émissions d’origine agricole d’ici 2050.

-On peut contrôler un champ agricole par satellite au mètre près mais pas les points de deal ? -On peut venir contrôler des agriculteurs avec des armes mais pas arrêter des délinquants récidivistes ? -On peut emmerder des agriculteurs avec de l’administratif sans fin et leur mettre des pénalités mais pas appliquer des oqtf ? -On peut éborgner des gilets jaunes mais pas arrêter des blacks blocs ?

JOHN CLAUSER, LAURÉAT DU PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2022

: « Je peux affirmer avec beaucoup d’assurance qu’il n’y a PAS d’urgence climatique. » Aussi dérangeant que cela puisse être pour beaucoup de gens. Mon message est que la planète n’est PAS en danger. … le gaz carbonique. atmosphérique et le méthane ont un effet négligeable sur le climat.

Les politiques gouvernementales qui ont été mises en place sont totalement inutiles et devraient être éliminées. Jusqu’à présent, nous avons totalement mal identifié quel est le processus dominant qui contrôle le climat, et tous les différents modèles sont basés sur une physique incomplète et incorrecte.

Le processus dominant est le « mécanisme du thermostat réflexif soleil-nuage ». Les nuages sont tous d’un blanc éclatant et ils réfléchissent 90 % de la lumière du soleil vers l’espace, ce qui en fait l’aspect le plus crucial mais le plus négligé du système climatique. Les deux tiers de la Terre sont recouverts d’océans.

Rien que l’océan Pacifique représente la moitié de la Terre. La couverture nuageuse moyenne de la Terre est de 67 % ; environ 50 % sur les terres et 75% sur les océans. Je soutiens que les propriétés remarquables des nuages mentionnées ci-dessus s ont la pièce manquante du puzzle. Je peux affirmer avec beaucoup d’assurance qu’il n’y a pas d’urgence climatique. »

https://pgibertie.com/2024/01/31/le-probleme-des-fadas-du-climat-plus-ils-tuent-notre-agriculture-plus-nous-importons-de-la-merde-carbonnee-cest-50-de-notre-empreinte-carbone/

53 commentaires:

  1. L'agriculture – notre production alimentaire – à la croisée des chemins (réponses à Atlantico)


    1 Février 2024


    Atlantico m'a demandé de répondre à une série de questions pour un article à trois claviers et six mains (avec le poseur de questions), « Crise dans l’agriculture : la redoutable schizophrénie française ». Mon compagnon du jour fut M. Jean-Luc Demarty, un ancien haut-fonctionnaire de la Commission Européenne qui fut aux premières loges des questions agricoles et de commerce extérieur, y compris des accords bilatéraux maintenant vilipendés. Ci-dessous, mes réponses.

    1 - Il y a deux grands types d’agricultures en France : une agriculture industrialisée et une agriculture indépendante. Quelle est la réalité de la répartition entre l’agriculture industrialisée et l’agriculture indépendante ? Quelles sont les parts de productions, les parts pour les exportations de l’agriculture pour chacune de ces deux catégories ?

    La terminologie de cette question, dont on peut discuter, a l'avantage de permettre une mise au point qui serait salutaire si elle était entendue par toutes les parties prenantes – du Président de la République Emmanuel Macron, qui n'a pas évoqué un « réarmement agricole et alimentaire », pourtant nécessaire, dans ses récentes prises de parole – au consommateur.

    L'agriculture française est très diversifiées ; Mme Sylvie Brunel, grande défenseuse de cette agriculture (mais pas que), en parle avec passion et brio. Mis à part la distinction entre « agriculture biologique », soumise à un cahier des charges et un agrément, et « agriculture conventionnelle », toutes les formes de classification comportent une part d'arbitraire qui leur font perdre leur sens.

    Sans compter qu'un « céréalier » qui aurait un petit élevage de poules pourrait émarger dans les deux catégories.

    Les termes que vous avez choisis semblent recouvrir une dichotomie syndicale. L'« agriculture industrielle », ce serait celle qui est représentée par le duo Fédération Nationale des Syndicats d'Exploitants Agricoles et Jeunes Agriculteurs (FNSEA-JA –56 % des voix aux élections de 2021 aux chambres d'agriculture) et la Coordination Rurale (22 %) ; l'« agriculture indépendante », ce serait celle représentée par la Confédération Paysanne (20 %) et le Mouvement de Défense des Exploitants Familiaux (MODEF – 2 %).

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  2. Mais la FNSEA fédère toutes les formes d'agriculture et les agriculteurs de la Conf' sont loin d'être indépendants des fournisseurs et des clients de l'agriculture...

    Et, au fond, cela n'a pas beaucoup d'importance tant que les agriculteurs, dans leur grande diversité, peuvent, chacun pour sa part, vivre décemment de leur activité et apporter leur contribution à la satisfaction des besoins de la population en aliments, fibres textiles, matières premières. Ainsi qu'à la gestion de notre environnement et de notre biodiversité. Car oui, les agriculteurs sont les gestionnaires d'un peu plus de la moitié de la superficie de la France métropolitaine (et même plus si on y inclut leurs forêts).

    Il est important de rappeler ces deux rôles essentiels en ces jours où le monde agricole est en pleine agitation et risque de se livrer à des manifestations de grande ampleur – à l'instar de ce qui s'est passé aux Pays-Bas et, tout récemment, en Allemagne (où la messe n'est pas encore dite).

    Pour rester dans les clichés, il y a de la place pour tous : d'une part, pour les exploitations de grande taille (à l'échelle française !) livrant par exemple des céréales à des coopératives qui approvisionneront l'industrie agroalimentaire – et, in fine, le consommateur citadin et autre fréquentant un supermarché – mais aussi les filières d'élevage, des filières industrielles ainsi que les marchés d'exportation ; et, d'autre part, pour les paysans-boulangers approvisionnant une clientèle locale. Des producteurs de légumes pour la transformation en conserves et surgelés, et des maraîchers vendant sur des marchés. Etc.

    2 - Pourquoi la France est-elle très attachée idéologiquement et émotionnellement au modèle d’une agriculture indépendante, mais pourquoi notre pays ne se donne pas réellement les moyens de soutenir durablement ce modèle indépendant ?

    La première question est d'ordre sociologique et fait intervenir plusieurs facteurs.

    La France est un pays de vieille tradition agricole dont une partie importante de la population n'a pas vraiment saisi les réalités de la transformation et de la modernisation du monde agricole. « Martine à la ferme » est longtemps resté une référence que Caroline et son tracteur n'ont pas détrônée.

    Il y a aussi, et surtout, un formidable « agribashing » qui dénigre ou vilipende l'agriculture qui nous nourrit, qualifiée notamment d'« industrielle » ou de « productiviste » et censée être polluante (ah, le tapage sur le glyphosate...), insensible au bien-être des animaux, assujettie aux caprices des multinationales honnies, etc.

    Le site de production de poulets le plus moderne d'Europe est en construction en Croatie : 95 millions de poulets devraient en sortir chaque année. En France, un projet de construction dans l'Yonne d'un site de production d'un peu moins de 40.000 places – évidemment contesté avec le soutien implicite des médias – a été qualifié de « méga-poulailler » ou de « ferme-usine ». On mesure là le gouffre qui sépare l'opinion française (une certaine opinion) et le monde réel.

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  3. Mais il n'y a pas que les faiseurs d'opinion, bien relayés par les médias, que ce soit des partis politiques ou des organisations – certaines associées à des intérêts économiques particuliers.

    Nos gouvernants ont pour la plupart eu une attitude au mieux ambiguë au sujet de la forme que devait revêtir l'agriculture française.

    On se souviendra notamment du ministre Didier Guillaume qui a fait l'apologie de « ce que faisaient nos grands-parents » (vidéo). M. Julien Denormandie a été une notable exception, lui qui expliquait que la « révolution agricole, cette 3ème révolution agricole, elle est très simple à comprendre, elle est fondée sur 3 choses, le numérique, la robotique et la génétique ».

    Il y a enfin un paradoxe : si l'agriculture qui nous nourrit n'a pas bonne presse, les Français ont une bonne opinion des agriculteurs.

    3- Combien de personnes travaillent dans l’agriculture industrialisée et combien de travailleurs sont mobilisés dans l’agriculture indépendante ?

    Il faudra se contenter des chiffres clés globaux compte tenu de l'absence de pertinence de la distinction : en 2020, il y avait 416.436 exploitations en activité et 700.762 « unité de travail annuel », les chefs d’exploitation et co-exploitants étant 366,2 mille. Les actifs permanents sont au nombre de 540,9 mille en France métropolitaine.

    Simplifions en ne tenant pas compte du commerce international : une unité de travail annuel nourrit 100 personnes.

    Il faut aussi ajouter à cela deux éléments : les agriculteurs sont à la base d'un important segment de l'activité économique et sociale de la France. Et la population agricole est vieillissante. Pour trois agriculteurs qui partent, on ne compte qu'un jeune qui s’installe ; c'est là un très important enjeu.

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  4. 4 - Sommes-nous prêts à assumer les coûts de ce modèle traditionnel ?

    Se repose ici une double question de définition ! Qu'est-ce que le « coût » ? Qu'est-ce que le « modèle traditionnel » ? Il y a aussi la question de l'évolution de ce « modèle » qui n'est pas un gabarit unique mais un ensemble d'une grande diversité.

    Tout bien considéré, la réponse n'est hélas pas vraiment positive. Mais il faut voir cela comme un défi à relever.

    Le fait est que nous rémunérons les agriculteurs plutôt mal. Le problème de la relève est un signe qui ne trompe pas.

    Nous avons aussi de très grosses difficultés avec l'acceptation des conditions dans lesquelles s'exerce l'activité agricole – répétons : nourricière.

    Par exemple, l'utilisation de produits phytosanitaires est un gage, partiel, de quantité, de qualité et de régularité de la production alimentaire. Elle a des incidences sanitaires et environnementales non nulles– qu'il faut évaluer en termes de coûts-bénéfices propres ainsi que comparés à celles des alternatives (par exemple, vaut-il mieux désherber avec un passage du vilipendé glyphosate ou de la charrue autrefois célébrée dans « labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France »?).

    Sommes-nous prêts à assumer les conséquences, par exemple, de « zones de non-traitement » de 150 mètres autour des lieux de vie comme le promeuvent des associations plus ou moins en cheville avec des intérêts économiques que nous ne préciserons pas ici. Savons-nous du reste que notre air intérieur est souvent plus pollué que l'extérieur ?

    Les conditions d'élevage posent des questions similaires. Sommes-nous prêts à assumer, par exemple, le surcoût de la production des œufs si nous interdisons l'élimination – aka broyage --des poussins mâles ?

    Dans cette affaire, le plus gros problème est à mon sens, outre le battage médiatique des contempteurs de notre agriculture, l'absence ou la pauvreté de la communication de ceux qui devraient l'expliquer et la défendre.

    Il n'est pourtant pas si difficile d'expliquer que ces subventions si décriées que touchent les agriculteurs bénéficient in fine aux citoyens par la gestion de l'environnement et aux consommateurs par des prix abordables.

    Des questions similaires se posent pour les contraintes administratives et normatives, quelquefois contradictoires. On les dit souvent « imposées par Bruxelles » alors qu'elles sont le fruit du travail conjoint de la Commission, des gouvernements des États membres et du Parlement Européen. En France, meilleure élève de la classe, elles sont souvent surtransposées ou introduites avant d'être « vendues » à Bruxelles.

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  5. Ajoutons enfin la question du changement climatique. Il ne se résume pas à la question de l'eau et des sécheresses estivales, et donc de l'irrigation. Il y a un effort important de vulgarisation à faire. Cet effort concerne du reste aussi les « OGM » – les produits de la transgenèse (sans dout condamné pendant encore longtemps en Europe) et des nouvelles techniques génomiques reposant notamment sur CRISPR-Cas9, qui a valu un prix Nobel à la Française Emmanuelle Charpentier et l'Américaine Jennifer Doudna.

    Nous serons sans doute « prêts à assumer les coûts » du « modèle » tel qu'il s'établira et évoluera à l'avenir quand cet effort aura été fait.

    5 - Les consommateurs ont-ils une responsabilité dans cette schizophrénie française sur l’agriculture car étant attachés à leur pouvoir d’achat ?

    Oui, certainement. Mais on ne peut pas leur reprocher, surtout par les temps qui courent, de chercher à réduire leurs dépenses alimentaires (13 % du budget des ménages en moyenne) qui sont devenues la variable d'ajustement après paiement des dépenses contraintes.

    En revanche, on peut reprocher une sorte de double langage à ceux qui répondent aux sondages d'opinion : le message donné à l'entrée du supermarché ne correspond souvent pas à celui qu'on trouve dans le chariot à la sortie ! Un reproche assorti d'un bonnet d'âne à ceux qui innocemment prennent ces sondages pour argent comptant pour faire avancer leur business, ou pire pour ceux qui le font en connaissance de cause.

    6 - Avons-nous les moyens de maintenir ce système traditionnel dans un monde où l’agroalimentaire est devenu beaucoup plus industriel ?

    Oui, bien sûr, pour le système tel qu'il évoluera en fonction des diverses circonstances ! Mais la vraie question est celle de la place relative des différentes formes de production et de consommation.

    Soyons clair : promouvoir, notamment, une agriculture biologique occupant 25 % de la surface agricole utile – l'objectif de « farm to fork » (de la ferme à la table) – est irresponsable.

    Sur le plan de la politique agricole, il s'agira de définir – sur la base de la rationalité et non de la bien-pensance ou des petits calculs politiciens – les moyens à mettre en œuvre pour permettre à chacune de ces formes de contribuer à notre souveraineté alimentaire.

    C'est là, en dernière analyse, l'enjeu majeur de la réponse à donner aux manifestations d'agriculteurs en cours et à sa tragique conséquence, que nous espérons isolée.

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  6. 7 - Ce modèle traditionnel est-il vraiment le plus susceptible de garantir notre souveraineté alimentaire ?

    Ce que l'on entend traditionnellement par « modèle traditionnel », certainement pas.

    Pendant de nombreuses années, notre politique s'est fondée sur la « montée en gamme ». Nous ne pouvions être compétitifs avec nos concurrents selon les dogmes en vigueur (mais nos politiques irrationnelles de « meilleur élève de la classe » y ont fortement contribué)... donc produisons par exemple des poulets labels au lieu de poulets ordinaires... Résultat : nous consommons aujourd'hui plus de poulets importés que de poulets d'origine française.

    L'agriculture biologique – le modèle idéalisé de ce « modèle traditionnel » – a des rendements à l'hectare inférieurs à l'agriculture conventionnelle – pas nécessairement « productiviste » – avec des différences allant jusqu'à plus de 50 % en Allemagne (en France, c'est quasiment « secret défense », mais pour le blé, voir ici). La différence en production nette peut être encore plus importante en raison des contraintes comme des rotations plus longues (avec aussi des cultures moins productives) et les aléas liés à une protection phytosanitaire au mieux limitée.

    Cette forme d'agriculture a toujours une place, mais pour alimenter des marchés de niche.

    Au-delà de ce « modèle » il y a les ambitions de l'Union Européenne – encore une fois : de la Commission, des États membres et du Parlement Européen – du « Green Deal » et de « Farm to Fork » (de la ferme à la table). Les études d'impact affichent des réductions de production de l'ordre de 15 à 20 %, ce qui est véritablement insupportable dans le principe et, encore plus, dans la conjoncture géopolitique actuelle.

    Heureusement, on est en train de prendre la mesure du désastre, et les manifestations des agriculteurs contribueront sans doute à déciller les yeux.

    Mais il faut une vision à long terme. Enbref, poser les fondations de la « 3ème révolution agricole, […] fondée [notamment] sur 3 choses, le numérique, la robotique et la génétique » de M. Julien Denormandie.

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  7. 8 - Le libre échange est aussi beaucoup mis à l’index mais les traités ne sont pas aussi injustes qu’on le dit et nous apportent aussi des gains de pouvoir d’achat. Comment équilibrer le système de ce point de vue ?

    Le libre échange est effectivement la bête noire des organisations d'agriculteurs et de politiciens à la recherche de « combats » valorisants sur le plan personnel.

    Vous avez raison de dire que les traités ne sont pas aussi injustes qu'on le dit. Sous réserve de vérification dans la durée, l'accord avec le Canada, provisoirement appliqué, est profitable pour les producteurs de fromage sans heurter les intérêts de nos producteurs de viande. Et il y a des producteurs canadiens qui ne sont pas contents.

    Ce genre d'accords fait nécessairement des contents silencieux et des mécontents bruyants des deux bords. Comment équilibrer ? Pour autant que ces accords aient un avenir, sans doute en y mettant suffisamment de garde-fous... et en faisant de la pédagogie.

    https://seppi.over-blog.com/2024/02/l-agriculture-notre-production-alimentaire-a-la-croisee-des-chemins-reponses-a-atlantico.html

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  8. Les agriculteurs britanniques sont également prêts à manifester


    1 février 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Les attaques contre l’agriculture ont également lieu sur un large front en Europe. Ils devraient laisser la place à la production industrielle de viande et à la production végétale dite « verticale », qui est elle aussi industrielle. Pour les gens, il s’agit de la disponibilité continue d’aliments sains et naturels, mais pour les agriculteurs, il s’agit d’une question de survie. Le mot semble désormais s’être répandu parmi les agriculteurs britanniques.

    Les agriculteurs jouent un rôle central au Royaume-Uni, apportant une contribution importante à l'économie, à la sécurité alimentaire et à la durabilité environnementale du pays. Par leur engagement et leur expertise, ils assurent un approvisionnement constant en aliments nutritifs, soutiennent l'économie locale, préservent les ressources naturelles et prennent soin des paysages uniques qui définissent l'identité de notre pays. Reconnaître et soutenir le rôle essentiel des agriculteurs est essentiel pour soutenir le secteur agricole et promouvoir une nation prospère et résiliente.

    Pourtant, les agriculteurs britanniques de tout le pays sont mécontents et bouleversés. Pendant ce temps, leurs homologues européens, des Pays-Bas à l'Allemagne, en passant par la France et la Roumanie, sont descendus dans la rue pour protester, emmenant leurs tracteurs et leurs remorques pour bloquer les routes. Certains agriculteurs écossais ont manifesté cette semaine.

    Alors que se passe-t-il ?

    Premièrement : les coûts augmentent. Depuis la pandémie, les agriculteurs ont été confrontés à de fortes augmentations du coût de tout, des engrais aux salaires en passant par l’énergie nécessaire à la production. De nombreux agriculteurs ont complètement abandonné le secteur en raison de pressions financières. Selon le National Farmers Union (NFU), 5 % des producteurs laitiers quitteront le secteur en 2022.

    La moitié des agriculteurs qui cultivent des fruits et légumes craignent de devoir mettre la clé sous la porte l’année prochaine. On estime que 103 900 agriculteurs travaillaient au Royaume-Uni au deuxième trimestre 2023, contre 111 300 au trimestre précédent. Les agriculteurs britanniques sont confrontés à des coûts de production croissants et fluctuants en raison de la guerre en Ukraine, de l'expiration d'un système de paiement financé par l'UE qui les aidait à maintenir leurs revenus et d'une vague de criminalité rurale que la police semble incapable de prévenir.

    Deuxièmement, les agriculteurs subissent toujours la pression des supermarchés et n’achètent pas suffisamment de produits britanniques. Les groupes agroalimentaires ont exprimé leur consternation face aux marges bénéficiaires minimes laissées aux producteurs primaires une fois que tous les autres acteurs de la chaîne alimentaire ont reçu leur part de l’argent. Les marges bénéficiaires tout au long de la chaîne alimentaire sont serrées, mais les transformateurs et les agriculteurs souffrent inutilement si la part du lion revient aux détaillants en plein essor.

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  9. Troisièmement, le gouvernement a tout jeté par la fenêtre avec ses politiques et n'a pas donné aux agriculteurs la possibilité de planifier à l'avance. En l'espace d'un an, trois secrétaires d'État du DEFRA ( Département de l'Environnement, de l'Alimentation et des Affaires Rurales ) ont chacun adopté des approches différentes à l'égard du secteur agricole britannique. L’idée d’un gouvernement éveillé soutenu par les travaillistes fait dresser les cheveux sur la tête de nombreux agriculteurs. Les agriculteurs se sentaient trompés dans les accords commerciaux avec l’Australie et la Nouvelle-Zélande et étaient en colère contre Boris Johnson. Recruter des travailleurs est particulièrement difficile de nos jours et, après une certaine renaissance, les jeunes réfléchissent à deux fois avant de poursuivre une formation agricole car ils voient les fermes britanniques soumises à une forte pression.

    Quatrième le système de subventions britannique, qui a remplacé la politique agricole commune de l'UE et dans le cadre duquel les agriculteurs recevaient des paiements directs en fonction des terres qu'ils cultivaient, est impopulaire. Avec le nouveau règlement, les agriculteurs seront payés pour fournir des biens publics tels que la protection de la nature et l'amélioration de l'environnement. Les ministres insistent sur le fait que cela conduira à un système plus équitable et contribuera à atteindre des objectifs climatiques plus larges, mais les agriculteurs sont sceptiques, affirmant que le processus de demande est compliqué, peu pratique et lent à mettre en œuvre. Parallèlement, les paiements directs ont été réduits, puis arrêtés l’année dernière. Ils ont été remplacés par des paiements couplés, qui seront progressivement supprimés en 2027.

    Le système britannique fonctionne légèrement différemment de celui de la plupart des pays de l’UE, mais il a finalement le même effet de déplacement des agriculteurs.

    https://tkp.at/2024/02/01/auch-britische-landwirte-jetzt-bereit-fuer-demonstrationen/

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  10. Le verdissement global de la Terre se poursuit grâce au gaz carbonique


    1 février 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Le gaz carbonique est diabolisé par l’ONU, la FEM , l’UE et Cie comme un gaz totalement dangereux qui non seulement fait « bouillir » la terre (© António Guterres) ou provoque la « maladie X » (© Tedros Ghebreyesus). En fait, toute vie en dépend, car en dessous de 0,015 % de concentration de gaz carbonique, toutes les plantes meurent. A l’inverse, plus ils sont nombreux, plus leur croissance est rapide. Et la croissance peut être mesurée, comme le montre une nouvelle étude.

    TKP a déjà fait état à plusieurs reprises d’études démontrant un verdissement progressif de zones auparavant arides. La raison en est bien connue et relativement simple. Les plantes utilisent la lumière du soleil pour former du sucre à partir du gaz carbonique et de l’eau, et à partir de là, toutes les autres substances végétales et la vie en général sur terre et dans la mer.

    Une teneur plus élevée en gaz carbonique dans l'air, actuellement d'environ 0,042 % en volume, permet une absorption plus rapide par les interstices situés sous les feuilles, appelés stomies, qui se ferment plus tôt et perdent donc moins d'eau. L’effet est une croissance plus rapide, même dans les zones les plus sèches. Détails sur le processus ici .

    Plusieurs études ont déjà prouvé ce verdissement de la terre à partir de données satellitaires ( par exemple ici et ici ). Une étude récemment publiée par Xin Chen et al. intitulée « Le verdissement mondial continue malgré l'augmentation du stress dû à la sécheresse depuis 2000 » en fournit une preuve supplémentaire .

    « La végétation est l'une des composantes fondamentales des écosystèmes terrestres et un régulateur du changement climatique ( Alkama et al., 2022 , Griscom et al., 2017 ). Depuis les années 1980, l'indice mondial de surface foliaire (LAI) basé sur des observations satellitaires a montré une tendance à la hausse significative, communément appelée verdissement ( Piao et al., 2020a ). De nombreuses études ont confirmé le phénomène de verdissement et examiné les forces motrices et les influences correspondantes ( Chen et al., 2019a , Chen et al., 2022b , Zhu et al., 2016 ). Ces études ont révélé que le verdissement de la planète pourrait réduire le réchauffement climatique grâce à une séquestration accrue du carbone terrestre et au refroidissement de la surface ( Chen et al., 2019b , Zeng et al., 2018 )."

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  11. Cependant , un contre-mouvement de « brunissement » semble également avoir commencé après 2000. Ainsi, la conclusion du verdissement a été récemment remise en question, certaines études révélant que le verdissement mondial a stagné, voire diminué, après 2000. La coloration brune est passée.

    L'incohérence de ces résultats a également conduit à une controverse généralisée parmi les études concernant l'identification des facteurs clés. Les études soutenant le brunissement global l'attribuent principalement à un stress de sécheresse croissant et signalent des mécanismes possibles tels qu'une forte augmentation de la différence de pression de vapeur saturante atmosphérique qui limite la croissance de la végétation .

    Plusieurs ensembles de données clés du LAI ont récemment fait l’objet d’importantes mises à jour, offrant ainsi l’opportunité de réexaminer le changement mondial de la végétation et ses facteurs déterminants sur près de deux décennies.

    En utilisant ces données, les auteurs de la nouvelle étude arrivent à la conclusion suivante :

    « En résumé, sur la base des dernières données de télédétection, nous avons examiné la question importante des tendances mondiales du changement de la végétation après 2000. Surtout, nous avons introduit le concept de taux de croissance pour caractériser le taux de verdissement/brunissement. Nos résultats ont montré que le verdissement mondial se poursuit sur la période 2001-2020, avec 55,15 % des zones connaissant un verdissement accéléré, principalement en Inde et dans les plaines européennes, contre 7,28 % connaissant un brunissement. … En analysant différentes sous-régions de la Terre, nous avons constaté que la tendance à la sécheresse ne faisait que ralentir le verdissement global, mais n’entraînait pas de brunissement.

    Plus de vert assure le refroidissement et la stabilisation du climat. Il n’est vraiment pas question de faire bouillir la terre.

    https://tkp.at/2024/02/01/die-globale-begruenung-der-erde-setzt-sich-weiter-fort-dank-co2/

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  12. Marc Fesneau promet 80 millions d'euros aux vignerons

    A la veille de son déplacement à Bruxelles mercredi après-midi "pour une série de discussions visant à accélérer le traitement des urgences européennes ", le ministre de l'Agriculture Marc Fesneau a rappelé "l'objectif" de "mener un dialogue pour apporter une série de réponses concrètes et non en " aboutir à une situation de blocus.

    A cette occasion, il a annoncé que le gouvernement mettrait sur la table 80 millions d'euros d'aides supplémentaires pour les viticulteurs et couvrirait "les intérêts de l'emprunt pour 2024" afin de soulager les liquidités des viticulteurs en difficulté.

    8 autoroutes d'Île-de-France concernées

    Au total, huit autoroutes de l'agglomération parisienne sont concernées par des blocages et des fermetures partielles, comme le rapporte le site de surveillance du trafic Sytadin. Il y a environ 200 à 300 tracteurs d'agriculteurs en colère qui se dirigent péniblement vers la capitale. Le convoi, parti mercredi matin dans le sud-est, s'est retrouvé bloqué dans le département du Loiret en fin de matinée, selon des journalistes de l'AFP présents sur place.

    Une vingtaine de tracteurs sont restés bloqués près de Sully-sur-Loire. La préfète de la région Centre-Val de Loire et du département du Loiret, Sophie Brocas, a indiqué sur place à l'AFP qu'elle "attendait la conclusion" d'une réunion qui se déroulait selon elle depuis 11h30 à Matignon avec les responsables de la Coordination rurale.

    Après avoir été bloqué à plusieurs reprises par les forces de l'ordre, le convoi continue d'être étroitement surveillé tandis que des chars sont positionnés à proximité du marché de Rungis.

    Les tracteurs se rapprochent de Lyon

    Autour de Lyon, les tracteurs continuent d'avancer pour encercler la troisième ville de France : après qu'une partie de l'autoroute A89 à l'ouest ait été bloquée mardi soir, des parties d'autoroutes dans les autres sens (A46, A42 et A47) seront également bloquées. être bloqué tôt le matin, être coupé « rapidement ».

    #Agriculteurs Une dizaine de tracteurs de la Loire et des Coteaux du Lyonnais sont sur le ? @A89Trafic à La Tour-de-Salvagny. Au loin, un cordon de gendarmes mobiles les bloque en direction de #Lyon. Blocus initialement prévu jusqu'à jeudi soir.

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  13. Plusieurs axes concernés

    Plusieurs autres grands axes de transport de la région - notamment autour d'Orange, Nîmes, Arles, Aix-en-Provence et Grenoble - ont été touchés par endroits par des barrages filtrants, des blocus ou des manifestations. A Nantes, le pont Cheviré est bloqué.

    https://tkp.at/2024/01/31/frankreich-landwirte-ruecken-nach-paris-und-lyon-vor-massive-strassenblockaden/

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  14. Du mensonge climatique à la frugalité contrainte: la logique ecolomacronienne dans un rapport que vous devez lire, les khmers verts ont défini votre avenir


    le 1 février 2024
    par pgibertie


    Madame Toussaint , tête de liste des écolos , madame Hayer tête de liste probable des macroniens auraient joué à la fermière au Trianon comme jadis Marie Antoinette… Sans croissance pas d’amélioration de la situation matérielle de la population , le délire climatique n ‘est justifié par aucune donnée scientifique . Le gaz carbonique d’origine humaine n’a aucun rôle sur les températures , tout s ‘explique par le soleil et la géothermie . J’invite à lire dans ce blog les comptes rendus d’études sur la question

    La vraie écologie aurait sa place: lutter contre la pollution , défendre les bons produits et la biodiversité , mais cette écologie n’a strictement rien de commun avec le délire médiatique et politique

    La très officielle Agence du développement a publié un rapport 2050 qui sert de bible au politique.

    Tout part du fameux « réchauffement d’origine humaine » Quatre scénario sont envisagés .

    Le plus raisonnable est écarté (10 % de réduction de la cons de viande : le plus vertueux réduit des deux tiers la viande , la construction delogements neufs et la mobilité, les residences secondaires seront transformes en résidences principales

    - voir cadre sur site -

    https://librairie.ademe.fr/recherche-et-innovation/5070-prospective-transitions-2050-resume-executif.html

    S4, le seul qui renonce à ce levier, conduit à une fuite en avant qui paraît risquée : faute de pouvoir décarboner l’énergie, la société est réduite à dépenser d’énormes quantités d’énergie
    pour extraire le gaz carbonique de l’air ambiant. Le pari technologique et économique est énorme.
    S3, qui se place dans la prolongation de nos habitudes actuelles, mise sur les technologies pour augmenter le potentiel de l’efficacité énergétique, pour pouvoir se contenter d’une sobriété modérée. Cela suppose l’atteinte effective de l’équilibre entre développement de ces technologies et augmentation des consommations. Mais le temps de développement de ces technologies retarde la diminution des émissions, conduisant à un solde global d’émission important sur la période de transition.

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  15. S1 et S2 font le choix d’une mobilisation plus importante de la sobriété en changeant la logique de développement socio-économique : une consommation réduite et des modes de vie
    plus raisonnés qui privilégient les liens sociaux à l’accumulation de biens matériels, ce qui correspond à des aspirations qui s’affirment de plus en plus dans nos sociétés. Ainsi, S1 et S2
    développent la sobriété d’usage (déplacement à pied ou à vélo, commerces de proximité privilégiés…), la sobriété dimensionnelle (alléger le poids des véhicules…) et la sobriété coopérative (habitat plutôt collectif, location d’équipements qu’on utilise peu souvent plutôt que de les acquérir…). Cette sobriété permet de sécuriser l’atteinte de la neutralité carbone : les émissions résiduelles sont plus facilement compensées par les puits de carbone naturels et la chute des émissions est suffisamment rapide pour que la somme des émissions sur toute la durée de la transition reste modérée

    La sobriété heurte cependant le mode de pensée dominant de la culture consumériste du monde moderne. Elle est souvent perçue comme une privation et s’avère clivante : ce qui semble être une privation pour une génération ou un individu donné peut au contraire apparaître comme une évidence pour un autre. Or, la mise en œuvre à grande échelle de politiques de sobriété nécessite des transformations sociales rapides et fortes, qui peuvent rencontrer de fortes résistances. S2 surmonte cette difficulté par la recherche d’un consensus social au travers d’une gouvernance ouverte, mais ceci ralentit le rythme de la transformation.

    S1, qui a des objectifs de sobriété beaucoup plus forts et plus rapides, doit inévitablement
    recourir en parallèle à la contrainte via la réglementation ou le rationnement via des quotas, ce qui impose un important effort d’explication et des compensations pour la faire accepter. La difficulté à y parvenir fait courir le risque de clivages forts, voire violents, au sein de la société.

    - voir doc sur site -

    https://pgibertie.com/2024/02/01/du-mensonge-climatique-a-la-frugalite-contrainte-la-logique-ecolomacronienne-dans-un-rapport-que-vous-devez-lire-les-khmers-verts-ont-defini-votre-avenir/

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  16. Les bobos écolo socialistes de Paris entendent développer la production agricole…parisienne , le cheptel ratier mis à contribution ?


    le 31 janvier 2024
    par pgibertie


    Adjointe à la Maire de Paris en charge de l’alimentation durable, de l’agriculture et des circuits courts, Audrey Pulvar compte sur les 20 hectares cultivés à Paris

    La ville porte un plaidoyer auprès de l’Union européenne pour que les collectivités soient autorisées à réserver 50 % de leur marché à de la proximité. « Aujourd’hui il faut ruser », commente Audrey Pulvar. Un chantier colossal, selon Stéphane Linou : « Entre les 2 % actuels d’autonomie alimentaire des aires urbaines et les 100 %, on a de la marge. Il faut créer un entre-deux, pour qu’on n’ait pas à se taper dessus en cas de problème. »

    https://pgibertie.com/2024/01/31/les-bobos-ecolo-socialistes-de-paris-entendent-developper-la-production-agricole-parisienne-le-cheptel-ratier-mis-a-contribution/

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    1. Aââââh enfin de vraies salades polluées 100 % par le putain d'air des villes à la con !

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  17. Prix en rayon : les huiles, les céréales et la volaille devraient baisser

    Les négociations commerciales annuelles viennent de se terminer. Selon Richard Panquiault, président de l’Institut des liaisons et d’études des industries de consommation (Ilec), « il y aura des baisses, mais la majorité des produits sera en hausse ».


    Par Anton Kunin
    le 1 février 2024 à 10h42


    En janvier 2024, les prix à la consommation ont augmenté de 3,1 % sur un an.

    Les prix d’une poignée de produits peuvent potentiellement baisser

    Avec la conclusion des négociations commerciales annuelles entre la grande distribution et les fournisseurs agro-industriels, le panorama des prix en rayon se précise. D'après Richard Panquiault, président de l'Institut des liaisons et d’études des industries de consommation (Ilec), une fédération qui regroupe un grand nombre de marques de grande consommation, si certains produits verront leurs prix baisser, la tendance générale penche vers une augmentation.

    Les produits bénéficiant de baisses tarifaires concernent principalement les domaines de la volaille, des céréales, des huiles, et parfois de l'alimentation animale, selon Richard Panquiault. Cependant, l'impact de ces réductions sur les étiquettes en magasin reste incertain, la fixation finale des prix au consommateur relevant exclusivement des distributeurs. Par ailleurs, l'annonce d'une prochaine loi régulant les promotions sur les produits détergents pourrait entraîner une baisse de leurs prix dès mars 2024, anticipée par les industriels. Cette mesure spécifique illustre la complexité du mécanisme de formation des prix, influencé par une législation en constante évolution.

    Inflation et défis climatiques : une hausse inévitable ?

    L'inflation, loin d'être un souvenir, continue de marquer l'économie, amplifiée par les dérèglements climatiques affectant la production agricole mondiale. Richard Panquiault souligne l'impact direct de ces phénomènes sur les prix de produits de base comme les oranges ou l'huile, illustrant la sensibilité des coûts de consommation aux aléas climatiques. Cette réalité économique met en lumière les défis auxquels doivent faire face distributeurs et producteurs, dans un contexte de négociations commerciales tendues.

    À quelques heures de la fin des négociations, un flou persiste quant à la conclusion des accords. Le 31 janvier 2024 au matin, Richard Panquiault peignait un paysage contractuel fragmenté : un tiers des accords déjà signé, un autre en voie de l'être, et le dernier tiers incertain. Il critique par ailleurs certaines centrales d'achat étrangères pour leur non-respect du droit français, malgré les directives claires du gouvernement et des instances judiciaires nationales.

    https://www.economiematin.fr/prix-alimentaires-rayon-grande-distribution-ilec

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    1. Grâce aux accords d'importations massives de merdes toxiques, voici que les rayons vont en dégouliner ! Du poulet de 6000 km + des céréales et des huiles que personnes ne veut là-bas ! que faire ? L'export !

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  18. Malgré l’afflux d’argent, la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) a rapporté que 2023 a été l’année la plus chaude jamais enregistrée.

    Les stations de surveillance du climat de la NOAA ont constaté que la température moyenne de la surface des terres et des océans de la Terre en 2023 était de 1,35 degrés Celsius supérieure à la moyenne préindustrielle.
    "Non seulement 2023 a été l'année la plus chaude des 174 années d'enregistrement climatique de la NOAA, mais elle a été de loin la plus chaude", a déclaré Sarah Kapnick, scientifique en chef de la NOAA.
    « Une planète qui se réchauffe signifie que nous devons nous préparer aux impacts du changement climatique qui se produisent ici et maintenant, comme les événements météorologiques extrêmes qui deviennent à la fois plus fréquents et plus graves. »

    Mais un nombre croissant de climatologues affirment que les relevés de température sont erronés et que les milliers de milliards de dollars investis sont basés sur un problème qui n’existe pas.

    Plus de 90 % des stations de surveillance de la température de la NOAA ont un biais thermique, selon Anthony Watts, météorologue, chercheur principal pour l'environnement et le climat au Heartland Institute, auteur du site Web sur le climat Watts Up With That et directeur d'une étude qui a examiné les températures de la NOAA. stations climatiques.
    « Et avec un chiffre aussi élevé, supérieur à 90 %, les méthodes employées par la NOAA pour tenter de réduire ce chiffre ne fonctionnent pas parce que le biais est trop écrasant », a déclaré M. Watts à Epoch Times.

    « Les quelques stations qui restent et qui ne sont pas biaisées parce qu'elles se trouvent, par exemple, en dehors de la ville, dans un champ et sont une station de recherche agricole qui existe depuis 100 ans… leurs données sont complètement submergées par un ensemble beaucoup plus vaste de données. données biaisées. Il n’y a aucun moyen d’ajuster cela.

    Le météorologue Roy Spencer était d'accord.

    « Les données des thermomètres de surface ont encore de faux effets de réchauffement dus à l’îlot de chaleur urbain, qui augmente avec le temps », a déclaré M. Spencer.

    Il est le principal chercheur scientifique de l'Université d'Alabama, le chef de l'équipe scientifique américaine pour le radiomètre avancé à balayage micro-ondes sur le satellite Aqua de la NASA, et le récipiendaire de la médaille d'excellence scientifique de la NASA pour son travail sur la surveillance de la température par satellite.

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  19. M. Spencer a également déclaré que les modèles climatiques informatisés utilisés pour piloter les changements de politique énergétique sont encore plus erronés.

    Le lieutenant-colonel John Shewchuk, météorologue consultant certifié, a déclaré que les problèmes liés aux relevés de température vont au-delà du biais thermique. Le lieutenant-colonel à la retraite était un officier météorologique avancé de l'armée de l'air.

    « Après avoir lu de nombreux rapports sur les ajustements apportés par la NOAA au USHCN [U.S. Historical Climatology Network], j’ai décidé de télécharger et d’analyser les données moi-même », a déclaré le lieutenant-colonel Shewchuk à Epoch Times.
    «J'ai pu confirmer ce que d'autres ont trouvé. Il est évident que, dans l’ensemble, les températures passées se sont refroidies tandis que les températures actuelles se sont réchauffées.

    Il affirme que la NOAA et la NASA ont ajusté les données historiques sur les températures de manière à rendre le passé plus froid et, ce faisant, à rendre la tendance actuelle au réchauffement plus prononcée.

    Lectures de température erronées

    L’effet d’îlot de chaleur urbain provoque des températures plus élevées dans les zones où se trouvent davantage de bâtiments, de routes et d’autres formes d’infrastructures qui absorbent puis rayonnent la chaleur du soleil, selon l’Environmental Protection Agency.

    L’agence estime que « les températures diurnes dans les zones urbaines sont de 1 à 7 degrés Fahrenheit plus élevées que les températures dans les zones périphériques, et les températures nocturnes sont d’environ 2 à 5 degrés Fahrenheit plus élevées ».
    Par conséquent, la NOAA exige que toutes ses stations d'observation climatique soient situées à au moins 100 pieds d'éléments tels que le béton, l'asphalte et les bâtiments.

    Cependant, en mars 2009, M. Watts a publié un rapport qui montre que 89 % des stations de la NOAA présentaient des problèmes de chaleur due au fait qu'elles étaient situées à moins de 100 pieds de ces éléments, et que beaucoup étaient situées à proximité des pistes d'aéroport.
    "Nous avons trouvé des stations situées à côté des ventilateurs d'extraction des unités de climatisation, entourées de parkings et de routes asphaltées, sur des toits brûlants et à proximité de trottoirs et de bâtiments qui absorbent et rayonnent la chaleur", a déclaré M. Watts.

    "Nous avons trouvé 68 stations situées dans des usines de traitement des eaux usées, où le processus de digestion des déchets entraîne des températures plus élevées que dans les zones environnantes."

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  20. Le rapport concluait que le relevé de température américain n’était pas fiable et que, parce qu’il était considéré comme « le meilleur au monde », les bases de données mondiales sur la température étaient également « compromises et peu fiables ».

    À la suite du rapport, le Bureau de l'inspecteur général (OIG) des États-Unis et le Government Accountability Office ont confirmé les conclusions de M. Watt et ont déclaré que la NOAA prenait des mesures pour résoudre les problèmes.
    "La NOAA reconnaît qu'il existe des problèmes avec les données de l'USHCN en raison de biais introduits par des moyens tels qu'un déplacement de site non documenté, un mauvais emplacement ou des changements d'instruments", indique le rapport du BIG.
    "Tous les experts estiment qu'un système de reporting climatique amélioré et modernisé est nécessaire pour éliminer le besoin d'ajustement des données."

    Malgré les assurances, M. Watts doutait que la NOAA résolve ces problèmes et en avril 2022 et mai 2022, lui et son équipe ont revisité bon nombre des mêmes stations de température qu'ils avaient observées en 2009.

    Il a publié ses conclusions dans une nouvelle étude le 27 juillet 2022. Elle a révélé qu’un nombre encore plus élevé, environ 96 %, des stations de température de la NOAA ne respectaient toujours pas ses propres normes.
    "J'ai identifié deux biais principaux dans le réseau de températures de surface aux États-Unis, et très probablement dans le monde entier", a déclaré M. Watts.

    « Le biais le plus important est l’effet d’îlot de chaleur urbain. Ce qui se passe, c’est que parce que la chaleur est retenue par les surfaces et libérée dans l’air la nuit, la température nocturne n’est pas aussi basse qu’elle pourrait l’être si le thermomètre était en dehors de la ville et dans un champ.

    Au fil des années, a-t-il expliqué, de plus en plus d'infrastructures ont été construites autour des emplacements des thermomètres, et la nuit, l'asphalte et le béton libèrent la chaleur absorbée et font monter la température.

    « Vous pouvez examiner n’importe quel ensemble de données climatiques, peu importe qui les produit, et vous pouvez constater cet effet. Les températures basses augmentent beaucoup plus rapidement et les températures élevées restent pratiquement inchangées. Mais c’est la température moyenne qui est utilisée pour suivre le changement climatique », a déclaré M. Watts.

    Il a déclaré que même si la NOAA et la NASA prétendent pouvoir ajuster leurs données pour tenir compte de l'effet d'îlot de chaleur urbain, le biais est impossible à surmonter car le problème affecte 96 % des stations de surface.

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  21. Il a déclaré que les quelques thermomètres situés dans les stations climatiques ne subissant pas de biais thermique affichent la moitié du taux de réchauffement actuellement signalé.
    Température transitoire
    Le deuxième biais principal identifié par M. Watts concerne les lectures de température transitoires, qui sont des changements de température à court terme qui peuvent donner une fausse lecture.
    La NOAA a commencé à remplacer ses thermomètres à mercure entre le milieu et la fin des années 1980, selon M. Watts.

    La majorité de son réseau est désormais constituée de thermomètres électroniques capables de mesurer la température en quelques secondes.
    "Mais ils enregistrent uniquement les températures maximales et minimales de la journée, et celles-ci peuvent être faussées par de simples effets du vent", a-t-il déclaré.

    « Par exemple, vous pouvez placer l’un de ces capteurs de température près d’un parking, qui se trouve à l’est du thermomètre. Et le vent est resté majoritairement du sud toute la journée. Mais ensuite, tout d’un coup, il y a un changement de vent, et ce changement de vent peut être causé par un certain nombre de choses différentes. Cela pourrait être dû à un changement dans les conditions météorologiques. Cela pourrait être dû à quelque chose qui bloque le vent du sud, comme un semi-remorque s'arrêtant à proximité.

    « Ainsi, le vent souffle soudainement de l’est, traversant le parking et captant cette chaleur rayonnante. Et le thermomètre y répondra en l’espace d’une seconde ou deux. Et il signalera une température élevée à cause de cette rafale de vent qui ne représente pas nécessairement la météo de ce jour-là. C'est une anomalie. Et la même chose peut arriver la nuit.

    M. Watts a déclaré que la température transitoire est un problème tellement connu que le Met Office du Royaume-Uni et le Bureau australien de météorologie ont abandonné leur réseau de haute technologie et se réorganisent pour obtenir des lectures plus précises.

    "Ce sont des problèmes que la NOAA n'a pas vraiment résolus", a-t-il déclaré. « Les personnes qui collectent les données climatiques ne quittent jamais le bureau et n’administrent pas ces stations. Elles [les stations] sont confiées aux bureaux extérieurs du National Weather Service – et les bureaux extérieurs du National Weather Service manquent de personnel.

    « Certaines stations, comme ici dans l’Ouest, se trouvent à des centaines de kilomètres ou plus du bureau du National Weather Service, elles ne peuvent donc pas se rendre sur place et effectuer régulièrement la maintenance. Et lorsque le Service météorologique national s’est modernisé au début des années 1990, de nombreux bureaux du Service météorologique ont été fermés à travers le pays.

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  22. « Ainsi, l’entretien de ces thermomètres – et beaucoup de ces moniteurs sont gérés par le public, dont beaucoup sont bénévoles – a diminué. J'ai eu des bénévoles, quand je vais en visite, ils me demandent si je peux demander au service météo de venir réparer quelque chose. Mais ils ne le peuvent pas, car le problème est qu’ils n’ont pas le budget nécessaire.

    « En fin de compte, le Cooperative Observer Network, le réseau COOP, est littéralement un groupe hétéroclite de bénévoles combinés avec certaines agences publiques, telles que les commissariats de police, les casernes de pompiers, les services forestiers, etc.
    "Il ne s'agit pas d'un réseau rigoureusement contrôlé scientifiquement au niveau opérationnel."

    La NOAA elle-même a déclaré sur son site Internet que ses relevés de température ne sont pas précis et que l’agence ajoute une marge d’erreur à ses températures.
    Ni la NOAA ni la NASA n’ont répondu à l’heure de publication à la demande de commentaires d’Epoch Times concernant les anomalies transitoires de température ou à l’affirmation de M. Watts selon laquelle l’ajustement pour un biais thermique est impossible.
    Ajustement des lectures de température

    La NOAA a également ajusté les données historiques de température.

    "Normalement, lors de la correction d'erreurs de données, on s'attendrait à un résultat plus aléatoire dans les ajustements des données, à la hausse comme à la baisse, mais les résultats montrent plutôt un processus systématique de refroidissement du passé et de réchauffement du présent", a déclaré le lieutenant-colonel Shewchuk.

    Un exemple est la gare islandaise de Reykjavik.
    Le record de février 1936 pour la station de Reykjavik a montré une température moyenne de moins 0,2 degrés Celsius pour le mois et une température moyenne annuelle de 5,78 degrés Celsius, selon l'Institut Goddard pour l'analyse de la température de surface des études spatiales (GISTEMP). Les données mensuelles originales de GISTEMP étaient connues sous le nom de v2 ou version 2.

    En 2019, la NOAA a publié une version mise à jour de son logiciel, GISTEMP v4.
    Il montre la température moyenne de la station de Reykjavik pour février 1936 à moins 1,02 degrés Celsius et la température moyenne annuelle à 5,01 degrés Celsius. Cela représente un ajustement à la baisse de 0,82 degrés Celsius pour le mois et de 0,77 degrés Celsius pour l’année après la mise à jour du logiciel.
    Lorsque l'on compare les données mensuelles GISTEMP v2 avec les données mensuelles v4, un refroidissement global du passé est observé.

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  23. « Incroyablement, la plage d'ajustement des données dépasse 2 degrés Fahrenheit, ce qui est significatif par rapport aux tendances actuelles des températures », a déclaré le lieutenant-colonel Shewchuk.

    « La NOAA utilise également un processus d'ajustement des données de suivi très inhabituel, dans le cadre duquel elle revient périodiquement en arrière et réajuste les données précédemment ajustées. Cela rend difficile la recherche de la vérité terrain, qui ressemble davantage à des sables mouvants.

    En réponse à la demande de commentaires d'Epoch Times sur les ajustements des données historiques, le responsable des affaires publiques de la NOAA, John Bateman, a déclaré avoir contacté l'un des experts en climat du Centre national d'information environnementale (NCEI) de la NOAA, qui a répondu : « Le NCEI applique corrections pour tenir compte des changements historiques dans l'emplacement de la station, les instruments de température, les pratiques d'observation et, dans une moindre mesure, les conditions d'implantation. Nos approches sont documentées dans la littérature évaluée par des pairs. À l’échelle nationale, les données corrigées sont en bon accord avec le réseau américain de référence climatique (USCRN), qui bénéficie de conditions d’implantation impeccables.

    La NASA n’a pas répondu à la demande de commentaires d’Epoch Times sur les ajustements des données historiques.

    Lectures satellites

    Pour obtenir une lecture plus précise des fluctuations des températures à la surface de la Terre, M. Spencer et le climatologue John Christy ont développé un ensemble de données sur la température mondiale à partir de données micro-ondes observées depuis des satellites.
    M. Christy est professeur de sciences atmosphériques à l'Université d'Alabama à Huntsville et directeur du Earth System Science Center. Avec M. Spencer, il a reçu la Médaille d'excellence scientifique de la NASA pour son travail de surveillance de la température par satellite.

    Ils ont démarré leur projet en 1989 et analysé des données remontant à 1979.

    Selon les données satellitaires, depuis 1979, la température de la Terre augmente régulièrement de 0,14 degré Celsius tous les 10 ans.
    Et même si 2023 a été l’année la plus chaude jamais enregistrée en raison de tendances linéaires au réchauffement, ils affirment que ce n’est pas une cause de panique dans l’opinion publique.

    « Oui, il semble que 2023 ait été la plus chaude des 100 dernières années. Mais les chiffres comptent. L’ampleur n’est pas assez grande pour que quiconque puisse la ressentir », a déclaré M. Spencer.

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  24. « De plus, une seule année est une question de temps, pas de climat. Ce qui compte, c’est la tendance à long terme, disons sur plusieurs décennies.

    Il a déclaré que les données de 2023, ajoutées aux 45 années de données depuis 1979, ne modifient pas la tendance générale d'une augmentation de 0,14 degrés Celsius tous les 10 ans.

    "Je crois que les satellites et les thermomètres montrent une tendance au réchauffement, surtout depuis les années 1970", a déclaré M. Spencer.

    « Mais la force de cette tendance est considérablement moindre que ce que prédisent les modèles climatiques, et ce sont ces modèles qui sont utilisés pour plaider en faveur de changements dans la politique énergétique et de réduction des émissions de CO2. »

    Le lieutenant-colonel Shewchuk a convenu que les données de température satellitaires sont plus précises et montrent une tendance au réchauffement beaucoup plus faible que la tendance au réchauffement basée sur la surface de la NOAA.

    "Les données satellitaires constituent une meilleure mesure du changement de température globale car [elles] ne souffrent pas des problèmes conventionnels de localisation des stations de température de surface ni des nombreuses formes d'activités d'édition de données de la NOAA", a-t-il déclaré.
    Les relevés satellitaires sont également « régulièrement calibrés sur les données des radiosondes (ballons météorologiques), qui constituent la référence en matière de données atmosphériques ».

    M. Spencer a publié un rapport le 24 janvier qui aborde les inexactitudes de la modélisation climatique.
    « Le réchauffement du système climatique mondial au cours du dernier demi-siècle a été en moyenne inférieur de 43 % à celui produit par les modèles climatiques informatisés utilisés pour promouvoir des changements dans la politique énergétique », indique le rapport.
    « Contrairement aux reportages des médias et aux communiqués de presse des organisations environnementales, le réchauffement climatique ne justifie aucune réglementation basée sur le carbone. »
    M. Spencer a déclaré que le public a été amené à croire que la modélisation est « assez précise », mais qu'un certain nombre de variables supplémentaires ont été ajoutées à la modélisation, ce qui aboutit à des estimations de température plus élevées.

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  25. « Les allégations actuelles d’une crise climatique sont invariablement le résultat du recours aux modèles produisant le plus grand réchauffement, et non aux observations réelles du système climatique qui révèlent des changements anodins au cours du siècle dernier ou plus », a-t-il écrit.
    La NASA confirme les relevés au sol
    La NASA affirme sur son site Internet que les thermomètres au sol sont plus précis que les mesures satellitaires.
    "Alors que les satellites fournissent des informations précieuses sur la température de la Terre, les thermomètres au sol sont considérés comme plus fiables car ils mesurent directement la température là où résident les gens", a déclaré la NASA.

    « Les données satellitaires nécessitent un traitement et une modélisation complexes pour convertir les mesures de luminosité en mesures de température, ce qui fait des thermomètres au sol une source d'informations sur la température plus directe et plus précise pour nous. »

    M. Spencer a rapidement souligné les failles de l’affirmation de la NASA.

    "Les thermomètres de surface ne couvrent qu'une infime partie de la Terre, alors que les satellites assurent une couverture mondiale presque complète", a-t-il déclaré.

    "La plainte de la NASA selon laquelle les 16 satellites distincts doivent être reconstitués 'comme un puzzle' est ironique puisque les enregistrements de température de surface sont reconstitués à partir de centaines (voire de milliers) de stations, dont presque aucune, où que ce soit, fournissant une information continue. enregistrement ininterrompu, non affecté par les effets croissants des îlots de chaleur urbains.

    « Enfin, le reproche est que les satellites mesurent uniquement la profondeur de l’atmosphère, pas la surface où vivent les gens. ... Eh bien, si tel est le cas, pourquoi les températures des profondeurs océaniques sont-elles présentées comme étant si précieuses pour la recherche sur le climat ? Toutes ces mesures sont importantes en elles-mêmes, et chaque système possède ses forces et ses faiblesses. Notre ensemble de données satellitaires est largement utilisé par les climatologues du monde entier.

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  26. Quant aux critiques de la NASA selon lesquelles les satellites ne mesurent pas directement la température mais plutôt la luminosité de l’atmosphère terrestre, ce qui les rend inexactes, M. Spencer a déclaré : « À proprement parler, c’est vrai. Mais les thermomètres de surface sont électroniques, donc (techniquement) ils mesurent la résistance électrique.

    « Les satellites sont calibrés avec des thermomètres à résistance en platine de la plus haute qualité, conformes aux normes des laboratoires. Si la NASA veut mettre en cause les données satellitaires de télédétection, elle pourrait tout aussi bien arrêter sa myriade de programmes de satellites terrestres, qui présentent le même (supposé) « défaut ».

    Le lieutenant-colonel Shewchuk a qualifié d’« absurde » l’affirmation de la NASA selon laquelle les données satellitaires sont inférieures aux relevés de température de surface.

    « Les données satellitaires UAH sont la seule source de données véritablement mondiale. Il mesure efficacement la température de l’ensemble de l’atmosphère terrestre, et en particulier de la basse troposphère, là où notre météo est réellement créée », a-t-il déclaré.

    "La seule limite est que les données satellitaires ne commencent qu'en 1979."

    M. Watts a déclaré que lorsqu’il a examiné les données des stations au sol dans les champs herbeux (en l’absence d’effet d’îlot de chaleur urbain), les relevés de température correspondaient étroitement aux données satellite de M. Spencer.

    Lorsqu'on lui a demandé pourquoi la NOAA n'utilise pas uniquement des thermomètres là où il n'y a aucune possibilité d'effet d'îlot de chaleur urbain, M. Spencer a répondu : « Je pense que leur objectif n'est pas d'obtenir l'enregistrement de température à long terme le plus précis possible, mais d'utiliser autant de données de thermomètres que possible. comme ils peuvent mettre la main dessus. C’est une bonne chose de construire un programme financé par le Congrès et de garder les gens employés.

    Le montant actuel, soit 1 300 milliards de dollars par an, dépensé pour les initiatives climatiques est loin d’être suffisant, selon la Climate Policy Initiative.

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  27. Grid on the Edge : le gouvernement du Queensland a éteint des milliers de climatiseurs domestiques six fois au cours des 8 dernières semaines


    Par Jo Nova
    February 1st, 2024


    Vous ne posséderez rien et serez chaud et dérangé

    Bienvenue dans l'Australie moderne où le réseau est si fragile que les pauvres doivent acheter des climatiseurs que le gouvernement peut éteindre à distance. L’état de délabrement est tel que le Queensland n’a plus assez d’électricité pour permettre à la racaille d’avoir la climatisation quand elle le souhaite – seuls les riches peuvent le faire.

    Les sociétés énergétiques de l'État du Queensland offrent à leurs clients jusqu'à 400 $ de remise en argent lorsqu'ils achètent un climatiseur, mais en échange, elles autorisent le gouvernement à pénétrer dans leurs maisons et à éteindre le climatiseur lorsque le réseau est en difficulté, ce qui semble être beaucoup. dernièrement. Cela ne devait durer que « quelques jours par an ».

    C’est une façon de gérer le réseau – considérez-le comme 170 000 mini-pannes de courant au lieu d’une seule grande :

    Energex coupe l'électricité à distance de 170 000 climatiseurs six fois par mois
    Actualités ABC

    Le réseau électrique public du Queensland a éteint à distance près de 170 000 climatiseurs à six reprises au cours des deux derniers mois dans le cadre d’un programme visant à protéger le réseau électrique.

    PeakSmart


    C’est donc ici que quelqu’un possède un instrument Hi-Tech conçu pour le garder au frais, qu’il ne peut pas utiliser pendant les jours les plus chauds de l’année. Ils appellent cela le programme PeakSmart (comme eux seuls peuvent le faire). L’époque du luxe où les consommateurs pouvaient contrôler leurs propres appareils électroménagers, obtenir une électricité fiable et bon marché et n’avoir pas besoin de systèmes invasifs et compliqués pour conserver une partie de leur argent est révolue.

    Cela permet également aux sociétés d’énergie d’envoyer des personnes chez vous pour « visiter » pour le thé de l’après-midi, ou plutôt, pour vérifier que vous n’avez pas arraché les boîtiers du contrôleur Peaksmart. Ils vous donneront un préavis de cinq jours. C'est gentil de leur part, hein ?

    Si vous aimez votre climatiseur vous pouvez le garder (mais vous ne pouvez pas l’utiliser…)
    Ergon et Energex ont déclaré que la limitation PeakSmart ne devrait se produire que « quelques fois » par an.

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  28. Il y a eu six événements depuis le 1er décembre et neuf au cours de la dernière année – le taux le plus élevé depuis le début du programme.

    Lundi et samedi de la semaine dernière, Energex a utilisé son accès à distance pour limiter le fonctionnement de 169 490 climatiseurs à 50 % de leur puissance entre 16 h 20 et 18 h 50 dans le sud-est.

    Ce que j'aime le plus, c'est quand ils nous disent que vous ne remarquerez rien de différent avec un compresseur qui ne fonctionne qu'à moitié, mais ils ne vous diront pas quand ils couperont votre climatisation (au cas où vous le feriez). avis). D'une manière ou d'une autre, ils coupent votre système de refroidissement en secret, mais trouvent le temps de le dire à l'entreprise auprès de laquelle vous avez acheté le climatiseur, juste au cas où vous le remarqueriez et appelleriez un réparateur.

    Les utilisateurs ne sont pas informés du moment où leur unité est affectée, mais les installateurs et les réparateurs sont informés au cas où les clients signaleraient ce qu'ils pensent être un dysfonctionnement.

    Les locataires ou les nouveaux propriétaires peuvent ne pas se rendre compte que leurs logements sont équipés de cet appareil.

    Plusieurs installateurs contactés par ABC ont déclaré qu'ils se méfiaient des compteurs et de la possibilité pour le gouvernement et les fournisseurs d'énergie de contrôler un appareil dans la maison.

    Jusqu’à présent, les richesses des riches s’étendaient progressivement aux pauvres. Avons-nous atteint le point où cela s’inverse ?

    https://joannenova.com.au/2024/02/grid-on-the-edge-queensland-govt-switched-off-thousands-of-home-air-conditioners-six-times-in-the-last-8-weeks/

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  29. Les arbres ont du mal à « respirer » à mesure que le climat se réchauffe, selon des chercheurs


    31 JANVIER 2024
    par Adrienne Berard, Université d'État de Pennsylvanie


    En analysant un ensemble de données mondiales sur les tissus des arbres, une équipe dirigée par des chercheurs de Penn State a démontré que le taux de photorespiration des arbres est jusqu'à deux fois plus élevé dans les climats plus chauds, en particulier lorsque l'eau est limitée. Ils ont découvert que le seuil de cette réponse dans les climats subtropicaux, comme cette partie de la région de la crête et de la vallée des Appalaches, commence à être franchi lorsque les températures diurnes moyennes dépassent environ 68 degrés Fahrenheit (20°C) et s'aggrave à mesure que les températures augmentent davantage.

    Les arbres ont du mal à séquestrer le gaz carbonique qui piége la chaleur dans des climats plus chauds et plus secs, ce qui signifie qu'ils pourraient ne plus servir de solution pour compenser l'empreinte carbone de l'humanité alors que la planète continue de se réchauffer, selon une nouvelle étude menée par Penn State. des chercheurs.

    "Nous avons constaté que les arbres des climats plus chauds et plus secs toussent au lieu de respirer", a déclaré Max Lloyd, professeur adjoint de recherche en géosciences à Penn State et auteur principal de l'étude récemment publiée dans Proceedings of the National Academy of Sciences. "Ils renvoient bien plus de gaz carbonique dans l'atmosphère que les arbres dans des conditions plus fraîches et plus humides."

    Grâce au processus de photosynthèse, les arbres éliminent le gaz carbonique de l’atmosphère pour produire une nouvelle croissance. Pourtant, dans des conditions stressantes, les arbres rejettent du gaz carbonique dans l’atmosphère, un processus appelé photorespiration. En analysant un ensemble de données mondiales sur les tissus des arbres, l’équipe de recherche a démontré que le taux de photorespiration est jusqu’à deux fois plus élevé dans les climats plus chauds, en particulier lorsque l’eau est limitée.

    Ils ont découvert que le seuil de cette réponse dans les climats subtropicaux commence à être franchi lorsque les températures diurnes moyennes dépassent environ 68 degrés Fahrenheit et s'aggrave à mesure que les températures augmentent davantage.

    Les résultats compliquent une croyance largement répandue sur le rôle des plantes dans l’extraction ou l’utilisation du carbone de l’atmosphère, offrant ainsi de nouvelles informations sur la manière dont les plantes pourraient s’adapter au changement climatique. Il est important de noter que les chercheurs ont noté qu’à mesure que le climat se réchauffe, leurs résultats démontrent que les plantes pourraient être moins capables d’extraire le gaz carbonique de l’atmosphère et d’assimiler le carbone nécessaire au refroidissement de la planète.

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  30. "Nous avons déséquilibré ce cycle essentiel", a déclaré Lloyd. "Les plantes et le climat sont inextricablement liés. Ce sont les organismes photosynthétiques qui absorbent le plus de CO2 de notre atmosphère. Il s'agit d'un élément important de la composition de l'atmosphère, ce qui signifie que de petits changements ont un impact important."

    Les plantes absorbent actuellement environ 25 % du gaz carbonique émis par les activités humaines chaque année, selon le ministère américain de l'Énergie, mais ce pourcentage est susceptible de diminuer à l'avenir à mesure que le climat se réchauffe, a expliqué Lloyd, surtout si l'eau est plus rare.

    "Quand nous pensons à l'avenir du climat, nous prédisons que le gaz carbonique va augmenter, ce qui en théorie est bon pour les plantes car ce sont les molécules qu'elles respirent", a déclaré Lloyd. "Mais nous avons montré qu'il y aura un compromis que certains modèles dominants ne prennent pas en compte. Le monde va se réchauffer, ce qui signifie que les plantes seront moins capables d'absorber ce gaz carbonique."

    Dans l'étude, les chercheurs ont découvert que la variation de l'abondance de certains isotopes d'une partie du bois appelés groupes méthoxyles sert de traceur de la photorespiration dans les arbres. Vous pouvez considérer les isotopes comme des variétés d’atomes, a expliqué Lloyd. Tout comme vous pouvez avoir des versions de glace à la vanille et au chocolat, les atomes peuvent avoir différents isotopes avec leurs propres « saveurs » uniques en raison des variations de leur masse.

    L'équipe a étudié les niveaux de « saveur » méthoxyle de l'isotope dans des échantillons de bois provenant d'une trentaine de spécimens d'arbres provenant de divers climats et conditions à travers le monde pour observer les tendances de la photorespiration. Les spécimens proviennent d'archives de l'Université de Californie à Berkeley, qui contiennent des centaines d'échantillons de bois collectés dans les années 1930 et 1940.

    "La base de données était à l'origine utilisée pour former les forestiers à identifier les arbres de différents endroits du monde, nous l'avons donc réutilisée pour essentiellement reconstruire ces forêts afin de voir dans quelle mesure elles absorbaient du gaz carbonique", a déclaré Lloyd.

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  31. Jusqu'à présent, les taux de photorespiration ne pouvaient être mesurés en temps réel qu'à l'aide de plantes vivantes ou de spécimens morts bien conservés qui retenaient des glucides structurels, ce qui signifiait qu'il était presque impossible d'étudier la vitesse à laquelle les plantes absorbaient le carbone à grande échelle ou dans le passé. Lloyd a expliqué.

    Maintenant que l'équipe a validé un moyen d'observer le taux de photorespiration à l'aide du bois, il a déclaré que la méthode pourrait offrir aux chercheurs un outil permettant de prédire dans quelle mesure les arbres pourraient "respirer" à l'avenir et comment ils se comportaient dans les climats passés.

    La quantité de gaz carbonique dans l’atmosphère augmente rapidement ; elle est déjà plus grande qu'à aucun autre moment au cours des 3,6 millions d'années, selon la National Oceanic and Atmospheric Administration. Mais cette période est relativement récente dans les temps géologiques, a expliqué Lloyd.

    L’équipe va maintenant travailler à découvrir les taux de photorespiration dans un passé ancien, il y a des dizaines de millions d’années, en utilisant du bois fossilisé. Les méthodes permettront aux chercheurs de tester explicitement les hypothèses existantes concernant l’influence changeante de la photorespiration des plantes sur le climat au fil des temps géologiques.

    "Je suis géologue, je travaille dans le passé", a déclaré Lloyd. "Donc, si nous nous intéressons à ces grandes questions sur le fonctionnement de ce cycle lorsque le climat était très différent de celui d'aujourd'hui, nous ne pouvons pas utiliser de plantes vivantes. Nous devrons peut-être remonter des millions d'années en arrière pour mieux comprendre ce que pourrait être notre avenir. ressembler."

    Les autres auteurs de l'article sont Rebekah A. Stein, Daniel A. Stolper, Daniel E. Ibarra et Todd E. Dawson de l'Université de Californie à Berkeley ; Richard S. Barclay et Scott L. Wing du Musée national d'histoire naturelle Smithsonian et David W. Stahle de l'Université de l'Arkansas.

    https://phys.org/news/2024-01-trees-struggle-climate.html

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  32. Atlanta Water Company facture 30 000 $ à l'entrepreneur pour la consommation d'eau sur un terrain sans conduite d'eau


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 31 JANVIER 2024 - 23H20


    Aujourd'hui, dans le cadre de l'actualité « l'automatisation, c'est mieux », un entrepreneur d'Atlanta est confronté à une facture d'eau de 30 000 $ pour un terrain qui n'est même pas raccordé à une conduite d'eau.

    Jeff Raw, président-directeur général de Revive Construction Group, a déclaré qu'il n'avait même pas encore commencé la construction d'un site dans le quartier d'East Lake à Atlanta lorsqu'il a reçu d'énormes factures d'Atlanta Watershed Management.

    Il a tenté de faire ajuster sa facture et s'est même adressé à la commission d'appel de la société de services publics, mais s'est vu refuser la possibilité de modifier la facture, selon un rapport de Yahoo Finance, citant une enquête de FOX 5 Atlanta.

    «J'ai l'impression que c'est de l'extorsion», a-t-il déclaré. "C'est criminel."

    Atlanta Watershed Management a installé un compteur d'eau autonome sur un terrain non aménagé en octobre 2022. En un mois, Revive Construction a reçu une facture de 8 899 $, prétendument pour avoir utilisé 305 184 gallons d'eau, dépassant de loin la consommation domestique moyenne de l'EPA de 9 000 gallons par mois.

    Sur cinq mois, les factures ont totalisé 29 669,43 $ pour plus d'un million de gallons d'eau, (3 785 411 litres) ce à quoi l'entreprise de construction a fait appel. La commission d'appel de la gestion du bassin versant d'Atlanta a suggéré que l'eau avait été utilisée, coulée ou volée. Raw, de Revive Construction, a critiqué le conseil d'administration, se sentant accusé de vol.

    Initialement, la société de services publics a reconnu une fuite et a réduit la facture à 219,29 $, mais est ensuite revenue aux frais initiaux de 30 000 $. L'appel de Raw contre cette décision a échoué, même si un employé senior du service public a soutenu sa cause.

    Comme le souligne l’article, si vous êtes confronté à une facture d’eau étonnamment élevée, ne vous précipitez pas pour la payer. Au lieu de cela, prenez des mesures pour confirmer votre consommation réelle d’eau et corriger toute anomalie.

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  33. Commencez par comparer le relevé de votre compteur d’eau avec celui de votre facture. Une inadéquation peut servir de preuve pour demander un ajustement de facture. Si la facture est exacte, votre prochaine étape consiste à vérifier les fuites. Éteignez toutes les sources d’eau et surveillez le compteur. S’il continue de bouger, il s’agit probablement d’une fuite, que l’on retrouve souvent dans les toilettes.

    Une action rapide est cruciale en cas de fuite pour éviter d’importants dégâts des eaux et d’éventuelles réclamations d’assurance, ajoutant ainsi à votre charge financière. Il est conseillé de faire appel à un plombier pour la détection et la réparation des fuites. Conservez des dossiers détaillés, comme le rapport du plombier, pour justifier votre demande de correction de facture.

    https://www.zerohedge.com/markets/atlanta-water-company-charges-contractor-30000-water-usage-lot-no-water-line

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  34. L'EPA rétablit l'autorisation du chlorpyrifos pour les cultures aux États-Unis d'Amérique


    1 Février 2024
    AGDAILY Reporters*


    L'Agence Américaine de Protection de l'Environnement (EPA) a annoncé cette semaine sa décision de rétablir l'utilisation du pesticide chlorpyrifos sur les cultures, y compris le soja, à la suite d'une décision récente de la Cour d'appel des États-Unis pour le huitième circuit.

    La Cour avait estimé que l'EPA avait illégalement révoqué les tolérances [limites maximales de résidus], mettant ainsi fin à l'utilisation de l'insecticide en 2021.

    La décision de l'EPA s'aligne sur l'arrêt rendu le 2 novembre [2023] par la Cour d'appel du huitième circuit, qui a estimé que l'EPA avait négligé de prendre en compte les conclusions de ses propres scientifiques pour mettre fin à des utilisations du chlorpyrifos qui s'avéraient sûres. La Cour a annulé la règle de l'EPA, rétablissant ainsi toutes les utilisations agricoles du pesticide.

    Sous la pression des organisations environnementales, l'EPA avait révoqué en 2021 toutes les « tolérances » pour le chlorpyrifos qui établissaient un niveau de pesticide autorisé dans les aliments, plutôt que d'opter pour une modification des tolérances.

    Cette interdiction de l'utilisation du chlorpyrifos sur les cultures destinées à l'alimentation humaine et animale découlait d'une décision de la Cour du neuvième circuit qui avait donné à l'EPA le choix d'interdire toutes les utilisations ou de faire une constatation sur les niveaux de résidus provenant d'utilisations sûres dans un délai de 60 jours. L'EPA devrait rétablir officiellement l'utilisation du chlorpyrifos dans les plus brefs délais, après l'entrée en vigueur de l'arrêt du huitième circuit.

    En décembre 2022, l'EPA avait émis un avis d'intention d'annuler trois produits pesticides à base de chlorpyrifos parce qu'ils portaient une étiquette indiquant qu'ils pouvaient être utilisés sur des aliments.

    Le chlorpyrifos est une classe chimique d'insecticides utilisée depuis les années 60 pour traiter plus de 80 cultures différentes contre les parasites. Rien que sur le soja, il contribue à atténuer les effets de la chrysomèle des feuilles [Cerotoma trifurcata], du puceron du soja, des chenilles, des sauterelles, des cicadelles et d'autres parasites. Des groupes d'agriculteurs ont déclaré que l'utilisation du chlorpyrifos a permis d'éviter jusqu'à 40 % de pertes de rendement pour le soja dans le Midwest.

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  35. Les agriculteurs comptent sur des pesticides tels que le chlorpyrifos pour protéger leurs cultures et maintenir les pratiques de conservation. Le Congrès a mis en place des processus fondés sur la science pour garantir une utilisation sûre et sans danger pour les personnes et l'environnement.

    Les groupes de producteurs, dont l'Association Américaine du Soja (ASA), avaient exprimé leurs inquiétudes quant aux interdictions générales du chlorpyrifos, soulignant l'impact négatif sur les cultures et les moyens de subsistance des agriculteurs lorsque les agences ne tiennent pas compte de leur propre science et de leurs propres processus.

    M. Alan Meadows, directeur de l'ASA, s'est exprimé au nom de l'industrie du soja et a fait part de sa satisfaction.

    « Les producteurs de soja américains se félicitent de l'annonce du rétablissement des tolérances et des utilisations du chlorpyrifos, et de l'engagement de l'EPA à procéder à un examen scientifique du pesticide, comme l'a ordonné la Cour du huitième circuit. Les données scientifiques de l'EPA ont montré à plusieurs reprises qu'il existe au moins 11 utilisations sûres et très bénéfiques du chlorpyrifos, y compris pour le soja – un fait que nous continuerons à rappeler à l'agence tout au long de ce processus », a déclaré M. Meadows.

    Bien que l'EPA autorise la reprise de toutes les utilisations révoquées du chlorpyrifos, elle prévoit de proposer une nouvelle règle révoquant les tolérances de résidus de pesticides pour toutes les utilisations, à l'exception des 11 spécifiées par le tribunal. Ces 11 utilisations, qui concernent des cultures telles que la luzerne, le soja, les agrumes, les pêches et les cerises acidulées, utilisent le chlorpyrifos pour lutter contre divers insectes.
    ______________

    * Source : EPA reinstates previously banned chlorpyrifos for crops | AGDAILY

    https://seppi.over-blog.com/2024/02/l-epa-retablit-l-autorisation-du-chlorpyrifos-pour-les-cultures-aux-etats-unis-d-amerique.html

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  36. Le Nigeria approuve la dissémination commerciale de variétés de maïs génétiquement modifié


    30 Janvier 2024
    Alex Abutu, Alliance pour la Science*


    Le gouvernement fédéral du Nigeria a approuvé la dissémination commerciale de variétés de maïs transgéniques résistantes à des insectes et tolérantes à la sécheresse, connues sous le nom de maïs TELA.

    L'approbation a été accordée par le Comité National sur la Dénomination, l'Enregistrement et la lLbération des Variétés de Plantes, des Races de Bétail/Poissons (NCNRRCVLF), dirigé par le professeur Olusoji Olufajo, lors de sa 33e réunion au Centre National des Ressources Génétiques et de la Biotechnologie (NACGRAB), à Ibadan, le 11 janvier 2024.

    Les quatre variétés approuvées par le NVRC sont SAMMAZ 72T, SAMMAZ 73T, SAMMAZ 74T et SAMMAZ 75T.

    Les nouvelles variétés de maïs sont tolérantes à la sécheresse et résistantes au foreur des tiges [pyrale] et aux chenilles légionnaires d'automne, ce qui se traduit par un avantage en termes de rendement, celui-ci pouvant atteindre 10 tonnes par hectare dans le cadre de bonnes pratiques agronomiques. La moyenne nationale pour des hybrides similaires est de six tonnes par hectare.

    « Très fiers de nos scientifiques »

    Les foreurs des tiges réduisent la production de maïs dans plusieurs pays d'Afrique. Dans le même temps, les chenilles légionnaires d'automne peuvent détruire jusqu'à 20 millions de tonnes de maïs en Afrique chaque année, une quantité qui serait suffisante pour nourrir 100 millions de personnes.

    La dissémination et l'enregistrement des quatre variétés font suite à l'autorisation de dissémination dans l'environnement accordée en octobre 2021 par l'Agence Nationale de Gestion de la Biosécurité (NBMA).

    Le développement des variétés améliorées a été mené par l'Institut de Recherche Agricole (IAR) Samaru, l'Université Ahmadu Bello de Zaria, par le biais du Partenariat Public-Privé TELA Maize coordonné par l'AATF. Le Projet TELA Maize est mis en œuvre en Afrique du Sud, en Éthiopie, au Kenya, au Mozambique et au Nigeria.

    Le professeur Ado Yusuf, directeur exécutif de l'IAR, s'est déclaré satisfait de l'introduction des quatre nouvelles variétés de maïs : « L'IAR est très fier de ses scientifiques qui s'attaquent aux défis de la productivité du maïs dans le pays et au-delà. Ces variétés ont fait l'objet de recherches approfondies et ont été développées à l'aide d'outils biotechnologiques au cours de plusieurs années de tests continus et de revalidation. »

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  37. Le Dr Canisius Kanangire, directeur exécutif de l'AATF, a déclaré : « Le lancement du maïs TELA au Nigeria contribuera à la sécurité alimentaire et nutritionnelle, conformément au programme de transformation agricole du gouvernement fédéral. L'AATF réaffirme son engagement inébranlable à relever les défis auxquels les agriculteurs sont confrontés sur tout le continent" »

    Réduire l'utilisation des pesticides

    Le professeur Garba Sharubutu, secrétaire exécutif du Conseil de la Recherche Agricole du Nigeria (ARCN), a déclaré que l'approbation du maïs TELA au Nigeria est une étape cruciale qui confirme le potentiel de la biotechnologie pour assurer la sécurité alimentaire et nutritionnelle et améliorer les moyens de subsistance des ménages agricoles en Afrique.

    Le professeur Mustapha Abdullahi, directeur général de l'Agence Nationale de Développement des Biotechnologies (NABDA), s'est réjoui de cette autorisation, déclarant qu'avec l'arrivée du maïs TELA, les agriculteurs réduiront au strict minimum l'utilisation de pesticides sur le maïs, ce qui est bénéfique pour l'homme, le bétail et l'environnement.

    Le Dr Sylvester Oikeh, directeur du Projet TELA Maize, a salué la décision du Nigeria en appelant les autres pays africains à agir en faveur des agriculteurs. « Je suis encouragé par cette décision du gouvernement fédéral du Nigeria, qui reflète son engagement à répondre aux besoins des agriculteurs. Je félicite les scientifiques pour leur travail acharné et leur dévouement qui ont permis de rapprocher le produit des agriculteurs. J'espère que d'autres pays prendront des décisions similaires pour le bien des agriculteurs », a déclaré M. Oikeh.

    Les autres partenaires du projet TELA Maize sont les instituts nationaux de recherche agricole du Kenya, du Mozambique, de l'Éthiopie et de l'Afrique du Sud, le Centre International d'Amélioration du Maïs et du Blé (CIMMYT) et Bayer, avec le financement de la Fondation Bill et Melinda Gates et de l'Agence des États-Unis pour le Développement International (USAID).
    _______________

    * Alex Abutu est journaliste scientifique à la Fondation Africaine pour les Technologies Agricoles (AATF), où il dirige les stratégies de communication et de plaidoyer en Afrique occidentale et centrale.

    Spurce : Nigeria approves commercial release of GM maize varieties - Alliance for Science

    https://seppi.over-blog.com/2024/01/le-nigeria-approuve-la-dissemination-commerciale-de-varietes-de-mais-genetiquement-modifie.html

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  38. Un tribunal australien ordonne aux employeurs d’indemniser les victimes de la vaccination


    31 janvier 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Dans une décision révolutionnaire, le tribunal du travail d'Australie du Sud a reconnu la responsabilité de l'employeur dans les blessures liées à la vaccination lorsque la vaccination est devenue une condition d'emploi. Il a statué que le Département de la protection de l’enfance (DCP) doit verser une indemnisation et des frais médicaux à un éducateur qui a contracté une péricardite à la suite d’une vaccination de rappel contre le Covid dans le cadre d’une politique de vaccination sur le lieu de travail.
    Dans une décision datée du 15 janvier 2024, le tribunal a estimé que l'emploi de Daniel Shepherd était « une cause contributive importante » à sa blessure, qui l'a laissé incapable d'exercer ses fonctions au travail depuis, rapporte Dystopian Down Under .

    Shepherd a reçu un rappel Covid en février 2022 comme condition de son emploi continu au sein du DCP. Le DCP a reconnu que la péricardite de Shepherd avait été causée par la vaccination de rappel, mais a nié toute responsabilité dans la blessure, arguant qu'elle n'était pas due à l'emploi de Shepherd mais plutôt à un ordre de santé publique légal émis par le gouvernement de l'État (PHO). Loi de 2004 (EMA).

    Cependant, le tribunal a rejeté l'argument du DCP et a statué que Shepherd avait droit à une indemnisation pour accident du travail parce que la blessure résultait à la fois du mandat de vaccination imposé par l'État et de son emploi.

    " C'est une bonne décision ", a déclaré l'avocat des droits de l'homme Peter Fam du cabinet d'avocats Maat's Method de Sydney, créant un précédent important en matière de responsabilité des employeurs pour les blessures résultant des exigences de vaccination sur le lieu de travail.

    " L'aspect le plus important de cette affaire, à mon avis, est que le tribunal a déclaré l'employeur responsable malgré une ordonnance sanitaire existante ", a déclaré l'avocat de Sydney, Peter Fam de Maat's Method.

    De nombreux employeurs australiens ont cherché à se soustraire à la responsabilité des accidents du travail subis dans le cadre des exigences de vaccination contre le Covid, au motif qu’ils suivaient simplement les ordres du gouvernement de l’État.

    Cependant, en vertu de la loi sur l'indemnisation des accidents du travail, le lieu de travail est responsable si l'emploi est « une cause importante de la blessure », que d'autres facteurs y aient également contribué, explique Fam.

    Bien que le PHO exige que l'employé se fasse vacciner dans le cadre de son emploi, « le tribunal a jugé que la blessure qu'il a subie à la suite de la vaccination était suffisamment liée à son travail et à son emploi pour justifier une indemnisation de la part de l'employeur ».

    Augmentation massive des effets secondaires graves dès le début de la vaccination
    Dystopian Down Under rend également compte du rapport sur la sécurité des vaccins finalement publié par le gouvernement d'Australie occidentale pour 2021. Comme on le sait, une politique extrême de pandémie a été menée en Australie. On se souvient de ce qui se passait autour de la star du tennis Novak Djokovic.

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  39. Pandémie de Corona : l'ordre public a été compromis par des mesures


    31 janvier 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Les quatre dernières années ont apporté des changements que presque personne n’aurait cru possibles auparavant. La recette elle-même était simple. Vous créez en laboratoire un virus qui n’est ni plus dangereux ni sensiblement différent des autres virus corona, mais qui peut être vendu comme « nouveau ». Cela a suffi à semer la peur et la panique et à suspendre les lois et les droits fondamentaux.

    Il suffisait alors d’un test capable de détecter un « risque épidémiologique » chez chaque personne. Grâce au virologue Christian Drosten, le test était disponible pratiquement en même temps que les premières nouvelles concernant le « nouveau » virus.

    L'OMS a ensuite diffusé la nouvelle d'un taux de mortalité par infection prétendument élevé, d'environ 3 %, bien que cela ait déjà été réfuté par plusieurs études en février et mars, comme l'a rapporté tkp.at pour la première fois le 10 avril 2020 . A cette époque, je ne travaillais en épidémiologie que depuis deux semaines, pour la première fois de ma vie. Comme pour une grippe moyenne, la mortalité par infection n'était que d'environ 0,125 %.

    Avec ces exigences, des mesures pourraient alors être imposées de manière dictatoriale, violant l’ordre public. L' Initiative GGI, l'Association verte pour les droits fondamentaux et la liberté d'information, propose une fois de plus une analyse des violations scandaleuses de la loi provoquées par les mesures Corona. Cette analyse est plus que jamais d’actualité, car l’Organisation mondiale de la santé souhaite faire de ces violations du droit la future règle à travers des traités contraignants au regard du droit international.

    Briser le tabou de l’État de droit : preuve de liberté en cas de restrictions aux droits fondamentaux
    Pendant la crise du Corona, de nombreuses nouvelles réglementations ont été adoptées, auparavant considérées comme impensables. Les limites de ce qui était possible étaient de plus en plus repoussées. L’une des violations les plus fondamentales des tabous juridiques a été le renversement de facto de la charge de la preuve en cas de restrictions aux droits fondamentaux. Des hypothèses générales ont été intégrées aux réglementations. Il est urgent de réagir à ces évolutions et de les prévenir à l’avenir.

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  40. L’essence de la démocratie et de l’État de droit est que chacun est libre de faire ce qu’il veut tant que cela n’est pas interdit par la loi. L’État, à l’inverse, ne peut rien faire s’il n’est pas expressément autorisé par la loi ou le règlement (art. 18 B-VG, principe de légalité). Un autre élément important de notre système juridique est la règle de la charge de la preuve. Le principe « celui qui prétend doit prouver » s’applique ici. Quiconque prétend pouvoir revendiquer un droit ou imposer une obligation à autrui doit fournir les preuves nécessaires. La simple affirmation ne suffit pas. Il n'y a qu'un soi-disant renversement de la charge de la preuve dans quelques cas exceptionnels, mais principalement en droit privé. Le principe de l'enquête s'applique dans les procédures administratives. Cela signifie que l'autorité est généralement tenue d'enquêter sur les faits de l'affaire et de fournir les preuves nécessaires. Une forme de renversement de la charge de la preuve n'est autorisée que dans une mesure très limitée dans des cas exceptionnels, s'il existe des preuves valables.

    Le Green Pass comme preuve de liberté

    Les mesures d'isolement et les restrictions de circulation en cas de maladies à déclaration obligatoire (c'est-à-dire les restrictions à la liberté de mouvement) n'étaient auparavant autorisées que si les personnes étaient malades, suspectées de l'être ou soupçonnées d'être infectées. Les définitions sont les suivantes :

    Sont considérées comme malades les personnes chez qui la maladie a déjà été diagnostiquée , celles qui présentent des symptômes suggérant la présence de la maladie sont considérées comme suspectées d'être atteintes de la maladie, et celles qui ne présentent aucun symptôme de la maladie sauf pour dont l' infection a été bactériologiquement prouvée est considérée comme suspectée d'être porteuse infectieuse de l'agent pathogène, ou qui est par ailleurs certaine ou peut être présumée sur la base de son expérience, qu'elle a été exposée à l'infection et peut faciliter sa propagation. [1]

    Dans tous les cas, il devait y avoir des informations concrètes et personnelles suggérant une menace potentielle.

    Ce système a été mis à mal pendant la crise du Corona. Dans le cadre du système du « pass vert », les personnes en bonne santé devaient prouver qu'elles étaient pratiquement libres pour pouvoir vaquer normalement à leur vie quotidienne.

    On considère généralement que toutes les personnes courent un « risque épidémiologique » et que de graves atteintes aux droits fondamentaux sont donc justifiées. Ils ont pu prouver leur indépendance en apportant « la preuve d’un faible risque épidémiologique ».

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  41. Contre la dignité humaine

    Cette approche constitue une rupture de tabou en matière de droits fondamentaux et de principes de l'État de droit : le système est de facto renversé. Parce qu’il est contraire à la dignité humaine de supposer généralement qu’une personne est intrinsèquement dangereuse jusqu’à « preuve » du contraire.

    Imaginez si, dans une procédure pénale, chaque accusé était présumé coupable au lieu d'être innocent. La porte serait ouverte à l’arbitraire.

    Ce principe était également la raison pour laquelle la détention préventive proposée pour les réfugiés aurait de toute façon échoué en raison du droit constitutionnel, car la restriction de la liberté basée sur des déclarations générales, qui, bien que renforcées par des évaluations statistiques, ne permettent aucune déclaration concrète sur la situation. danger d'un individu spécifique, sont incompatibles avec notre constitution et ne peuvent être conciliées. On ne comprend pas pourquoi cela était parfaitement clair pour les avocats dans le cas de la détention préventive, mais l'égalité du système n'a pas été reconnue dans le contexte du Corona.

    Les dommages collatéraux deviennent la norme

    La proportionnalité doit également être prise en compte ici. Le fait est qu’à l’époque, la grande majorité des gens, au moins bien plus de 90 pour cent de la population, n’étaient pas malades du Covid-19, mais étaient en bonne santé, mais chacun devait constamment prouver qu’il était libre. Le système juridique accepte souvent des dommages collatéraux mineurs, car les cas difficiles peuvent difficilement être évités. Mais un niveau aussi disproportionné de restrictions objectivement injustifiées était auparavant impensable.

    Conclusion : Les événements nécessitent un examen approfondi. Quels mécanismes pourraient conduire à un tel dérapage de l’État de droit et à un rejet des principes fondamentaux du système juridique ? Existe-t-il des liens ou des influences qui favorisent un tel contournement du droit actuel ? Quelles mesures de sécurité peuvent être prises pour éviter qu’une telle situation ne se reproduise ? La réflexion et l’analyse à cet égard n’ont pas encore eu lieu, mais elles sont inévitables dans une véritable démocratie libérale.

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  42. Référence:

    [1] § 1, paragraphe 2, de l'ordonnance du 22 février 1915 concernant l'isolement des personnes malades, suspectées d'être malades et suspectées d'être infectées et la désignation des maisons et des appartements https://www.ris.bka.gv .at/GeltendeFassung.wxe?Abfrage=Bundesnormen&Rechtesnummer =10010177

    https://tkp.at/2024/01/31/corona-plandemie-recht-und-gesetz-wurden-durch-massnahmen-ausgehebelt/

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  43. Le « virus mortel du cerveau » est-il le résultat d’une erreur de laboratoire ? Partie IV


    30 janvier 2024
    par DDr. Siguna Mueller


    Les résultats concernant la mortalité élevée peuvent-ils s’expliquer en grande partie par des incohérences dans l’étude ? À l’origine, la discussion sur l’étude sur les virus cérébraux menée par Song et al. « seulement » se compose de trois parties. Cependant, plusieurs ambiguïtés subsistent dans cette étude. Les auteurs présentent une variante du virus comme 100 % pathogène chez les souris humanisées, ce qui contraste fortement avec les résultats d’un autre groupe de chercheurs qui ont classé ce virus comme non nocif du tout. D’autres inquiétudes sont apparues, soulevant des questions sur les conséquences possibles.

    Dans cette optique, la quatrième partie de mon analyse cherche à comprendre si le virus du cerveau pourrait être le résultat d’erreurs de laboratoire ou d’analyse, facilitées par certaines des lacunes identifiées ici.

    Pourquoi cette question se pose-t-elle ?

    Ces dernières semaines, l'étude de Song et al. fortement critiqué sur diverses plateformes de médias sociaux. Des rumeurs ont émergé selon lesquelles le nouveau virus tueur aurait été délibérément inventé par le PCC, et des liens hypothétiques ont été établis avec la maladie X, qui a été « promise » à plusieurs reprises par l’OMS. D’autres pensent qu’il s’agit simplement d’une plaisanterie et d’une campagne alarmiste.

    Dans l’esprit d’une science véritable et indépendante, il est essentiel de prendre du recul et d’envisager toutes les options raisonnables.

    L'analyse de l'étude de Song et al. a mis en lumière plusieurs incohérences difficiles à ignorer. Il y a donc trois scénarios possibles :

    Les ambiguïtés et les lacunes n’ont eu aucune influence sur l’émergence du nouveau virus tueur.
    La haute pathogénicité du virus obtenu est le résultat de quelques incidents de laboratoire causés par des problèmes et des failles méconnus.

    Les incohérences et les lacunes n’ont fait que contribuer à la forte pathogénicité du virus, mais d’autres facteurs clés ont été négligés.

    Dans le premier cas, les chercheurs ont eu de la chance (si c’est le bon mot dans ce contexte !). Le deuxième cas nécessite un examen plus détaillé et sera traité séparément.

    Dans cette partie, je vais donc examiner les expériences elles-mêmes et me demander si elles sont le résultat de certaines ambiguïtés qui ont ensuite conduit à de graves erreurs.

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  44. La confusion apparente entre GX_P2V et GX_P2V(short_3UTR)
    Comme je l'ai déjà mentionné, la dénomination des variantes individuelles dans Lu et al. ainsi que Song et al . ambiguë. Ceci n’est pas seulement d’intérêt académique mais pourrait avoir de graves implications en matière de risques biologiques.

    Pour résumer brièvement l’importance de cette préoccupation :

    Song et ses collègues soulignent que le virus GX_P2V original n’était pas un pathogène humain ; Le groupe de Zheng-Li Shi a également constaté qu'il était plutôt inoffensif lorsqu'il était testé sur divers modèles animaux.
    Dans la prépublication, Song et al. citant leurs propres travaux antérieurs, ils ont également reconnu la nature atténuée de GX_P2V.

    Cependant, un examen de cette publication antérieure montre que la variante testée n'était pas GX_P2V, mais GX_P2V(short_3UTR).

    Un aperçu de la liste des auteurs de l'étude pré-imprimée de Song et al. et celui de Lu et al. confirme que ce travail a été effectivement réalisé par le même groupe de recherche. Cela rend ce qui précède encore plus intéressant. Ceci est essentiel car :

    L'étude de prépublication met en évidence le fait que GX_P2V n'a pas provoqué de maladie manifeste chez les souris hACE2.
    Étonnamment, Lu et al. jamais que le modèle animal qu’ils ont utilisé incluait des souris humanisées ; les deux seuls modèles animaux décrits étaient des hamsters dorés et des souris BALB/C de type sauvage, soulignant que GX_P2V(short_3UTR) y était atténué.
    Il ne semble pas plausible que Song et ses collaborateurs n'aient pas pu se souvenir, dans leur étude préliminaire, de ce qu'ils avaient fait dans leurs propres travaux antérieurs. La signification est la suivante :

    Si Song et al. a écrit que GX_P2V(short_3UTR) (au lieu de GX_P2V) n'était PAS pathogène pour les souris humanisées qu'ils avaient précédemment testées, alors cette préimpression montrant une létalité à 100 % de cette même variante pour leurs souris hACE2 n'aurait aucun sens !

    Même si un modèle de souris différent avait été utilisé dans l’étude préalable à la publication, personne ne croirait à un changement aussi radical du pouvoir pathogène.

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  45. Des mutations obscures et non signalées obtenues grâce à des expériences de culture cellulaire cryptiques ?
    On ne sait pas si la confusion apparente entre GX_P2V et GX_P2V(short_3UTR) a nui aux expériences de Song et de ses collaborateurs.

    Est-il possible que la nomenclature ambiguë des variantes ait conduit à des erreurs expérimentales ?
    Chanson et coll. savaient que leurs résultats n'étaient pas cohérents avec ceux de Zhengli Shi et al. convenu. Ils ont tenté d'expliquer cela, d'une part, en affirmant que le groupe de Zhengli Shi « a testé la virulence du GX_P2V dans deux modèles de souris hACE2 différents », mais en se contredisant ensuite immédiatement dans le même paragraphe en affirmant cela.

    J'ai passé beaucoup de temps à essayer de comprendre quand et comment l'apparente confusion quant à la dénomination des variantes virales aurait pu surgir. J'ai découvert que dans les publications pertinentes de Zheng-Li Shi et al ., Lu et al. et Song et coll. Il y avait une ambiguïté considérable dans la dénomination des différentes variantes.

    - voir schéma sur site -

    La figure 1 montre certains des différents noms de variantes virales utilisés dans les publications pertinentes. J'ai déjà écrit sur la partie supérieure.
    En plus de ce qui précède, ce qui suit, la prépublication de Song et al. Les déclarations recueillies soulèvent plusieurs questions relatives aux points suivants

    Identité et pureté des virus examinés

    Chanson et coll. Tout en minimisant l'écart entre leurs résultats et ceux du laboratoire de Zhengli Shi, ils déclarent qu'ils « n'ont pas isolé la souche sauvage GX_P2V ». Certains peuvent trouver cela inquiétant, notamment lorsqu’il s’agit d’étudier le potentiel mutagène et les propriétés de ses variantes.

    D’autres passages non signalés ont-ils été effectués et si oui, avec quelles variantes ?
    Concernant l'analyse génétique, Lu et al expliquent avoir comparé les différences de séquence entre le premier passage de l'échantillon GX_P2V et le huitième passage de l'isolat GX_P2V. En outre, la prépublication semble introduire davantage d’incertitude en indiquant que les variantes examinées dans l’étude préimprimée ont été obtenues de la manière suivante :

    "Pour obtenir un clone génétiquement homogène pour les tests sur les animaux, nous avons cloné le mutant transféré par deux tests sur plaques consécutifs."

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  46. Il semble que « le clone passé » fasse référence à GX_P2V(short_3UTR), mais il n'est pas précisé combien de fois il a été passé. De plus, les noms (Fig. 1) indiquent « premier passage », « passage précoce » et « 8. Passage » suggère qu’il pourrait également y avoir eu des passages ultérieurs.

    Ça suit:

    Il existe une réelle possibilité que certaines variantes aient été adoptées.
    De plus, les variantes ont probablement été examinées par des tests sur plaques dans plusieurs lignées cellulaires différentes.
    Cependant, il ne ressort pas clairement des publications que toutes les expériences en laboratoire avec toutes les variantes ont été clairement ventilées et prises en compte.
    Si des passages supplémentaires ou des tests sur plaque ont été effectués, des mutations supplémentaires, éventuellement non détectées, peuvent avoir été ajoutées.
    Le contexte de l’étude des variantes du virus pour déterminer leur adéquation en tant que vaccin vivant atténué a peut-être placé le virus sous une pression évolutive importante.
    Ce dernier point peut être particulièrement pertinent. Certains des résultats connexes peuvent ne pas avoir été rapportés de manière adéquate. Pire encore, des erreurs dans les expériences en laboratoire, notamment un isolement ou une purification inadéquats, pourraient avoir entraîné une contamination qui pourrait être similaire à ce que certains ont suggéré comme étant la clé de la création du SRAS-CoV-2 en laboratoire.

    Des mutations cryptiques au cours d'expériences en laboratoire pourraient avoir conduit au site de clivage de la furine dans un précurseur du SRAS-CoV-2
    En général, on pourrait penser que les mutations « arbitraires » qui surviennent en laboratoire à la suite d’une erreur ou d’un oubli n’ont certainement pas beaucoup d’impact. La plupart penseraient que de telles modifications génétiques sont probablement inoffensives ou rendent même les virus moins viables.

    Il existe des preuves solides suggérant le contraire. Dans le contexte du SRAS-CoV-2, un exemple sous-estimé a été rapporté pour la première fois par Ambati et al . proposé, qui établissait la présence dans le génome de ce virus d'une séquence brevetée (essentiellement) par Moderna en 2017 . Il est très peu probable que cela puisse être une coïncidence, et pas seulement sur la base des calculs effectués par Ambati et ses collègues. De plus, dans une étude de suivi publiée dans Frontiers , j'ai décrit plusieurs objectifs et mécanismes de recherche spécifiques qui fournissent le cadre de la recherche proposée par Ambati et al. une intégration spéciale du génome postulé aurait pu se former.

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  47. Implications potentielles

    Il existe de nombreuses incohérences dans les expériences menées par Song et ses collaborateurs et dans la manière dont elles sont rapportées. En outre, il existe des preuves évidentes d'omissions et il se pourrait que ces lacunes, sciemment ou inconsciemment, soient devenues un terrain fertile pour un certain nombre d'erreurs.

    Nous ne pouvons pas exclure l'implication d'autres mutagènes.

    Bien qu’il soit difficile d’imaginer que la transmission et le clonage aient pu soudainement conduire à l’émergence d’un virus tueur, si tel était effectivement le cas, il existe quelques explications partielles à cela :

    Le groupe a peut-être mené plus d’expériences que ce qui est explicitement indiqué.
    Puisque l’objectif initial de leurs travaux était de développer ces virus en vaccins atténués, il est possible que certaines procédures de laboratoire non reconnues ou non signalées aient exercé une pression évolutive significative sur le virus.
    Des incidents expérimentaux tels qu'une contamination auraient pu produire des mutations renforçant la virulence qui n'auraient peut-être pas été clairement décrites.
    Effets possibles des mutations cryptiques
    Si les expériences en laboratoire donnaient accidentellement à certaines variantes des modifications génétiques qui n'avaient pas été détectées ou non signalées, cela aurait pu avoir un impact significatif.

    Le variant utilisé pour l’étude sur la souris pourrait avoir subi des mutations améliorant la virulence sans être détecté par les chercheurs.
    La variante initiale utilisée pour déterminer les différences génomiques des nouvelles variantes peut présenter des modifications génétiques non détectées.
    L’interprétation de leurs résultats pourrait donc être fondamentalement erronée.
    Les incohérences auraient pu fausser l'analyse génétique
    L’un des objectifs des études sur les virus cérébraux était d’identifier génétiquement chaque variante, et Song et ses collaborateurs ont fourni des données génomiques détaillées sur leurs variantes virales. Mais les lacunes individuelles et leur combinaison pourraient facilement contrecarrer même les analyses de mutation les plus sophistiquées.

    Même si l'analyse génétique était réalisée par séquençage du génome entier (WGS), les lacunes individuelles pourraient toujours conduire à des conclusions erronées pour les raisons suivantes

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  48. Problèmes avec le séquençage de novo : WGS tente de déterminer les informations de séquence génétique d'un organisme entier (ou d'un virus). Cependant, comme cette technologie repose sur des principes stochastiques, elle est intrinsèquement sujette aux erreurs. Malgré des avancées techniques majeures, elle reste exigeante. C'est particulièrement le cas lorsqu'il n'existe pas de génome modèle ni de validation indépendante par des laboratoires indépendants - par ex. B. avec de nouveaux virus et des virus incomplètement connus tels que le nouveau virus du cerveau.
    Même si le séquençage du génome entier est effectué avec suffisamment de précision, il reste sujet à des erreurs de manipulation. Par exemple, l’ambiguïté potentielle dans la dénomination des variantes décrites ci-dessus pourrait conduire à une interversion des variantes individuelles, ce qui nuirait à toute véritable analyse.
    De même, les analyses génétiques pourraient s’avérer tout à fait inutiles en cas d’identification erronée si les virus ont acquis des mutations supplémentaires inattendues.
    conclusion
    La prépublication de Song et de ses collègues soulève de sérieuses questions. Les résultats revendiqués sont contradictoires avec ceux obtenus par d'autres. Il n’est pas clair si l’incohérence apparente est due à des lacunes et des incohérences inhérentes à l’étude, ou si ce sont les coupables cachés qui ont rendu le virus plus pathogène.

    Certaines des conclusions de l'étude de Song et al. Les lacunes identifiées sont résumées dans la figure 2.

    - voir schéma sur site -

    La figure 2 résume diverses lacunes et incohérences dans l'étude de Song et al. ensemble. Ces problèmes et d’autres connexes peuvent avoir favorisé le développement de variantes virales, en tant que cause partielle ou principale de la pathogénicité étonnamment élevée.
    Il serait difficile d'expliquer le pouvoir pathogène du nouveau variant à la lumière des résultats du laboratoire de Zheng-Li Shi . L'implication méconnue du type de lacunes observées dans l'étude de Song et al. La découverte a peut-être rendu le virus plus mortel (option 1 dans la figure), mais elle est passée inaperçue ou n'a pas été prise en compte lorsque les résultats ont été présentés .

    L'existence même de ces lacunes et ambiguïtés est extrêmement préoccupante . Même s’il est impossible de conclure qu’ils ont réellement conduit à des erreurs de laboratoire ou à des erreurs dans la conception et la mise en place initiales des expériences et, par conséquent, à l’augmentation surprenante de la pathogénicité du virus, les mêmes problèmes peuvent en eux-mêmes encourager le développement d'autres variantes pathogènes en soutenant financièrement .

    (Perspectives : dans la cinquième partie de cette série, je changerai de vitesse, examinerai l'option 3 de la figure et demanderai si le virus tueur présumé est le résultat d'une campagne de leurre délibérée) .

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  49. L' original en anglais est ici sur Substack par Dr. Trouvez Siguna Mueller . Traduction en allemand par TKP.

    Autres articles de la série :

    L'analyse rationnelle de nouvelles expériences sur des virus cérébraux mortels révèle des incohérences invisibles et d'importants risques biologiques cachés (PARTIE I)

    Une analyse rationnelle des nouvelles expériences avec le virus mortel du cerveau révèle des incohérences invisibles et d'importants risques biologiques cachés. DEUXIEME PARTIE

    Les expériences sur les virus cérébraux sont hautement contre-productives

    https://tkp.at/2024/01/30/ist-das-toedliche-gehirnvirus-das-ergebnis-eines-laborfehlers-teil-iv/

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  50. Professeur Angus Dalgleish, spécialiste du cancer : Covid Booster est une bombe à retardement contre le cancer


    1 février 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Il est désormais suffisamment prouvé que les injections de Covid peuvent à la fois provoquer le cancer comme effet secondaire direct et, comme bombe à retardement, provoquer des épidémies des années plus tard. Les liens ont été prouvés par des études et des évaluations de bases de données sur les effets secondaires et ont également été largement rapportés ici dans TKP . Le professeur britannique Angus Dalglissh, spécialiste du cancer, a déjà rapporté plusieurs observations. Fin 2023, il écrivait sur l’augmentation des rechutes de cancers stables dans sa clinique de mélanome.
    Dans un nouvel article de The Conservator Woman , il rapporte qu'aucun des patients présentant des rechutes n'avait les causes classiques, telles que : B. une dépression grave due à un deuil, un divorce ou une faillite. "La seule chose qu'ils avaient en commun était qu'ils avaient récemment reçu un rappel de vaccination à ARNm Covid", écrit Dalgleish.

    Dalgleish rapporte qu'il a demandé à ses collègues non seulement au Royaume-Uni mais aussi en Australie de partager leurs expériences. En aucun cas, une telle connexion n’a été refusée. » Ils étaient même tout aussi alarmés par le lien entre les rappels de vaccination et les rechutes, qu’ils ont également observés, ainsi que par la hausse des nouveaux cancers, notamment chez les moins de 50 ans. Outre le mélanome, ces collègues étaient également très préoccupés par une augmentation soudaine du nombre de jeunes patients atteints d’un cancer colorectal.

    Dalgleish et ses collègues ont fait part de leurs expériences et de leurs préoccupations aux autorités médicales, mais celles-ci ont refusé de mener une enquête appropriée. Ils ont affirmé que les observations étaient une coïncidence et qu'ils devaient prouver le lien. Il ne faut surtout pas qu’ils inquiètent les patients.

    Récemment, l'American Cancer Society (ACS) a également signalé une augmentation du nombre de nouveaux cas de cancer aux États-Unis l'année dernière, à plus de 2 millions , un grand nombre de ces cas survenant chez des patients plus jeunes. William Dahat, directeur scientifique de l'ACS, a également révélé que les cancers sont plus agressifs et que les tumeurs sont plus volumineuses au moment du diagnostic, en particulier chez les patients plus jeunes. Ce qui est également intéressant, c’est qu’une différence dans le microbiome (la communauté de micro-organismes tels que les champignons, les bactéries et les virus qui vivent dans un environnement différent) a été constatée chez les patients de moins de 50 ans par rapport à ceux de plus de 50 ans.

    Dalgleish rapporte en outre que cette augmentation a également été abordée dans un rapport de Phinance Technologies fin 2023, « qui analysait en détail les données de l'Office britannique des statistiques nationales (ONS) qui montraient que l'invalidité et les décès en 2021 et 2022 ont augmenté de façon spectaculaire dans tous les domaines. tranches d’âge, mais surtout dans la tranche d’âge de 15 à 44 ans.

    Le magazine Lancet a publié avant Noël un article sur l'augmentation de 11 à 15 pour cent des décès chez les moins de 25 ans et chez les 25 à 49 ans. C’est la tendance observée dans de nombreux pays qui ont examiné les données. L’Allemagne, par exemple, signale une augmentation de la surmortalité, passant de 7 pour cent en 2020 à 24 pour cent en 2023 .

    Après une pandémie, le nombre de décès devrait diminuer car on ne peut pas mourir deux fois !

    Le lien entre les vaccins Covid et la myocardite et les décès précoces, en particulier chez les jeunes, démontré par Peter McCullough et ses collègues et par Aseem Malhotra au Royaume-Uni est indéniable. Il existe désormais également un rapport confirmant du CDC aux États-Unis, « des données que les autorités de ce pays ne prennent pas en compte pour ne pas inquiéter les patients vaccinés !

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  51. Selon Dalgleish, la première raison évidente est le confinement lui-même, car tous les tests de dépistage ont été annulés ou retardés, entraînant une augmentation des détections de cancer et des diagnostics tardifs. De nombreux facteurs négatifs liés au mode de vie, tels que le manque d’exercice et la surconsommation de nourriture, notamment de plats à emporter, ont certainement augmenté en raison des confinements.

    Dalgleish cite la littérature avec de nombreux rapports faisant état de cancers survenant quelques jours après l'administration des vaccins, en particulier dans le cas des lymphomes et des leucémies. « Il existe plusieurs rapports faisant état de tumeurs imagées par TEP explosant au site d'injection du Covid et dans la zone de drainage, avec des conseils de ne pas injecter de vaccins Covid à proximité de cancers connus ! En dehors de mes observations cliniques, plusieurs amis ont développé un cancer après une vaccination de rappel Covid totalement inutile, qui n’a été administrée que pour faciliter les voyages.

    Des explications causales scientifiques plausibles sont nécessaires pour établir un lien possible entre une vaccination de rappel et l’apparition d’un cancer. Malheureusement, pour ceux qui insistent encore sur le fait que ces cas sont de pures coïncidences, il existe plusieurs explications convaincantes. Dalgleish dit :

    « Premièrement , il a été rapporté que les réponses des lymphocytes T sont supprimées après les vaccinations de rappel (et non après les deux premières injections) et que cela est particulièrement prononcé chez certains patients atteints de cancer.

    Deuxièmement, après le premier rappel, le répertoire d’anticorps passe d’une réponse protectrice des lymphocytes B à dominante IgG1 et IgG3 à une réponse IgG4 tolérante, qui est encore exacerbée par d’autres rappels, comme indiqué dans un article récent de Science Immunology . Puisque de nombreux cancers sont contrôlés par une immunité efficace pilotée par les lymphocytes T, la perturbation soudaine de ce contrôle expliquerait clairement le développement de la leucémie à cellules B et des lymphomes, des mélanomes, du cancer des cellules rénales et des tumeurs colorectales - toutes les tumeurs qui répondent à l'immunothérapie peuvent être traitées. .»

    Un autre rapport de Loacker et al. dans Clin Chem Lab Med montre que les vaccins à ARNm augmentent PD-L1 sur les granulocytes et les monocytes, ce qui signifie qu'ils font exactement le contraire de ce que font les médicaments d'immunothérapie contre ces tumeurs, et ce qui explique à son tour pourquoi beaucoup de ces tumeurs semblent être contre. résistant à cette thérapie par ailleurs efficace. Pris ensemble, l’effet de ces boosters sur la réponse immunitaire peut facilement expliquer les rechutes et l’apparition de ce que l’on appelle les turbo-cancers.

    D'autres rapports démontrent la présence de plasmides d'ADN et de séquences SV 40 (un gène cancérigène connu), ainsi que la capacité de l'ARNm à se lier aux gènes suppresseurs clés . Bien que cela soit controversé et contesté, cela a conduit à la prise de conscience qu'il existe des variations significatives d'un lot à l'autre qui pourraient être à l'origine du processus cancéreux, mais qui ne deviendront probablement pas apparentes avant plusieurs années. « La possibilité même que nous soyons assis sur une bombe à retardement cancérigène signifie que nous ne devons plus jamais nous lancer dans un programme de vaccination de masse contre une autre maladie potentielle.

    Dalgleish conclut son rapport par un avertissement : « Mais si le gouvernement ne se réveille pas maintenant, nous serons à la merci de l’Organisation mondiale de la santé qui fera exactement la même chose si elle décide de libérer le virus de la maladie X pour en reprendre le contrôle et pour détruire à nouveau nos vies.

    https://tkp.at/2024/02/01/krebsspezialist-prof-angus-dalgleish-covid-booster-ist-eine-krebs-zeitbombe/

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