« Nous sommes arrivés à un point de basculement, on ne peut plus continuer comme ça », ces mots sont ceux de Marie-Hélène Thoraval, maire de Romans sur Isère qui s’est exprimée suite à la mort tragique du jeune Thomas lors d’une rixe dans la commune de Crépol.
En fait ces mots sont également dans la bouche de beaucoup de Français ; il y a une exaspération grandissante, un ras le bol au vu des événements tragiques que notre pays connaît. On a l’impression qu’il n’y a plus une journée sans que les médias ne nous relatent une attaque au couteau, des passages à tabac, des femmes qui se font violer à tout bout de champ, des morts souvent pour parfois de simples histoires de voisinage etc. etc., la liste serait longue, au point où certains ne parlent plus de faits divers mais de faits de société. Et comme si cela ne suffisait pas, on a affaire à une justice laxiste et même plus puisque parfois la victime se retrouve sur le banc des accusés. On a par exemple des témoignages de propriétaires à la rue parce qu’ils ont la surprise de voir leur maison occupée par des squatteurs, n’importe quelle personne censée dirait que quelques minutes suffiraient à la police pour les déloger, et bien non, ce sont parfois des mois de tractations et même parfois le squatteur porte plainte car il manque des barres de sécurité aux fenêtres de l’étage. Ça s’appelle marcher sur la tête. Toutes ces injustices, toute cette violence sont donc insupportables, il y a un : « c’en est assez ! », on a envie de dire : il faut un retour à de la rigueur, de la fermeté, à une justice qui punisse sévèrement le coupable, à plus de contrôle afin de connaître l’identité des auteurs de troubles. Oui il faudrait des caméras à chaque coin de rue, de plus en plus de surveillance de toute sorte. Mais est-ce vraiment la solution ? Ou dit autrement, ne faudrait-il pas traiter le problème en amont, c’est-à-dire essayer de comprendre pourquoi on en est arrivé là ? Oui car si le vase déborde, il ne s’est pas rempli tout seul et il y a bien eu une première goutte qui a été versée.
Un homme il y a déjà très longtemps avait déjà attiré notre attention sur ces sujets précisément. C’était il y a un peu plus de 2 000 ans, vous comprenez peut-être à qui je fais allusion, oui, je veux parler de Jésus. Là tu te dis qu’il s’agit certainement d’un truc religieux et tu t’apprêtes à stopper la vidéo mais ce n’est pas le cas et tu verras même que cela concerne justement le contrôle d’aujourd’hui et même la fameuse IA, cette intelligence artificielle dont on parle tant. En fait cet homme avait expliqué un principe de vie tout simple : celui de la semence et de la récolte. C’est-à-dire qu’une petite semence peut produire un arbre énorme qui peut un jour tomber sur une maison et tuer ses habitants. Donc si je néglige cette plus petite semence, le petit commencement, la première goutte, un jour ça finira mal. Par exemple en termes de violence on devrait considérer la plus petite insulte envers son prochain comme une semence. Ou si on prend tout ce domaine de la perversion d’aujourd’hui, il s’agit de considérer la petite convoitise comme un départ, là aussi une semence qui a de fortes chances d’être un arbre dans beaucoup de cas, vous comprenez ? Malheureusement nous n’avons pas pris au sérieux ces avertissements, et je dis bien avertissements et pas commandements et encore moins aujourd’hui car la plupart du temps on entend dire : « Il y bien plus grave », et surtout sous-entendu « Il y a plus grave que ce que je fais » ; n’est-ce pas que c’est comme ça, je connais ça chez moi. Et puis on a vite fait d’inventer des formules « Oh ! y a pas mort d’homme » ou concernant la convoitise « y a pas de mal à se rincer l’œil », « la fidélité conjugale, c’est ringard » etc. et comme ça on pense que le problème est réglé. Mais regarde aujourd’hui dans quelle perversion le monde est tombé, cela va même jusqu’à vouloir mettre en place des lois qui légaliseraient la pédophilie ; et que dire des viols dont les femmes sont victimes, en 2 ans on est passé de 67 à 205 par jour en France, beaucoup de femmes disent aller au travail la peur au ventre.
Donc comme je l’ai dit nous n’avons pas pris au sérieux ces avertissements ou dit autrement ces lois de la nature, et en quelque sorte nous les avons jetés par-dessus notre épaule. Voici qu’ils nous reviennent en pleine figure, car le contrôle et la merveilleuse IA vont se charger de nous épier et nous écouter dans les moindres recoins de notre vie. Car il serait naïf de croire que l’IA ne servira qu’à poursuivre les voleurs, les violeurs et les criminels. Non, ça, c’est juste le prétexte pour accepter des caméras tous les 10 m, mais nous serons contrôlés également de plus en plus dans nos maisons, car le projet de nos élites est qu’on devienne tous transparents. Oui même toi qui dis souvent que tu n’as rien à te reprocher, encore une fois « y’a pire que moi », eh bien tu risques même de te retrouver en premier sur la liste, et cela est possible grâce à toutes les nouvelles technologies comme la 5G, le Linky, la Wifi, et ce n’est que le début.
Alors il y a quelques jours le commissaire européen Thierry Breton dans un entretien s’est voulu rassurant en disant que le contrôle selon le modèle chinois et son crédit social n’arriveraient pas en Europe, en quelque sorte : « Continuez d’être rivés sur vos portables, vous n’avez rien à craindre ». En l’écoutant j’ai immédiatement pensé au fameux nuage radioactif de Tchernobyl qui selon les dirigeants de l’époque ne devait pas passer la frontière. Mais Thierry Breton se garde bien de nous dire que déjà à Bologne en Italie ce système de contrôle et d’éducation a été introduit, il se garde également de nous dire que déjà toutes nos conversations sont écoutées grâce à nos portables… même éteints. Alors bien sûr cela se fait grâce à l’IA qui est capable de reconnaître des mots dans les conversations, donc on peut imaginer facilement qu’un jour la police débarquera chez vous parce que vous avez eu dans des conversations des propos racistes, antisémites, et même des insultes, des blagues déplacées envers les homosexuels, les femmes etc. D’ailleurs en 2018 déjà il y avait une réflexion sur un projet de loi visant à punir le harcèlement de rue - par exemple des regards trop appuyés sur les femmes - c’est-à-dire la fameuse convoitise ! Génial, avec la reconnaissance faciale tout deviendra facile. N’est-ce pas que tout à coup on se sent concerné ? Et ça ne s’arrête pas là car déjà aux Etats-Unis se pratique le contrôle des ondes cérébrales de certains employés de nombreuses multinationales, et c’est bien connu, ce qui se fait au pays de l’oncle Sam arrivera un jour chez nous. Plus près, à Davos en Suisse, s’est déroulé du 15 au 20 janvier 2024 le séminaire du FEM intitulé « Etes-vous prêt pour la transparence cérébrale ? ». Pour résumer ce chapitre, nos dirigeants veulent introduire ce contrôle selon le modèle chinois qui imposera à chaque individu un fonctionnement à 100% conforme aux dirigeants et qui punira tout écart de conduite.
C’est donc comme un boomerang qui nous revient dessus, et au regard de ce qui se prépare, ça ressemble plutôt à l’enfer ; et maintenant il faut réfléchir à deux fois avant de désirer tous ces contrôles n’est-ce pas, car il y a une autre issue. En effet si nous ne sommes pas que des victimes de ce qui nous arrive mais aussi acteurs, nous pouvons l’être également pour un nouveau monde, beaucoup déjà ont choisi ce chemin. Imaginez par exemple un monde sans policiers car personne ne penserait à voler, un monde où on s’excuse immédiatement après avoir blessé son prochain, où on pardonne à celui qui nous a blessé… Et on peut comme ça continuer d’imaginer ce qu’est ce nouveau monde, c’est très facile. Cette fois c’est le paradis sur terre. Je vous laisse sous l’émission une source qui vous donne un aperçu de ce paradis qui existe déjà.
de jpl. Sources / Liens : Affaire de Crépol. Maire de Romans Valeurs Actuelles, décembre 2023 n° 4542, p. 24 à 26
Responsabilité des propriétaires Article 1244 du code civil
La semence qui devient un arbre La Bible, Evangile de Matthieu, chap. 5 versets 21 à 28
Encouragement à la pédophilie https://www.causeur.fr/peut-il-y-avoir-un-consentement-de-lenfant-a-un-acte-sexuel-avec-un-autre-enfant-262959
Surveillance à la chinoise à Bologne (Italie) https://iatranshumanisme.com/2022/04/23/le-credit-social-a-la-chinoise-sinvite-en-italie/
Aux États-Unis, 1 décès sur 5 causé par une maladie cardiaque
PAR TYLER DURDEN JEUDI 08 FÉVRIER 2024 - 02:15
Même si les nouveaux cas de cancer aux États-Unis devraient franchir la barre des deux millions pour la première fois en 2024, les maladies cardiaques restent la principale cause de décès aux États-Unis, selon les Centers for Disease Control and Prevention.
Outre les affections liées à ces maladies, Florian Zandt de Statista rapporte que, selon le CDC, Covid-19 est le troisième plus grand nombre de morts en 2021.
Bien qu’il existe des données plus récentes, 2021 est actuellement la dernière année pour laquelle des données complètes et définitives sur la mortalité dans le pays sont disponibles.
Infographie : Quelles sont les principales causes de décès aux États-Unis ? | Statiste
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Les autres causes de décès les plus répandues aux États-Unis comprennent les accidents, les accidents vasculaires cérébraux et les maladies respiratoires, responsables de 64,7 contre 41,1. et 34,7 décès pour 100 000 habitants, respectivement.
La maladie d'Alzheimer, qui pourrait devenir plus importante dans les sociétés vieillissantes au cours des deux prochaines décennies, se classe au septième rang avec 31 décès pour 100 000 habitants et une part de 3,4 pour cent du total des décès enregistrés par le CDC.
- voir cadre sur site -
Au total, environ 3,5 millions de décès ont été enregistrés aux États-Unis en 2021, soit une hausse de 80 000 par rapport à 2020.
Cette augmentation du nombre de décès s’accompagne d’une baisse de l’espérance de vie dans le pays. Selon les données du CDC, l'espérance de vie à la naissance en 2021 a diminué de 0,6 an pour les femmes et de 0,7 an pour les hommes sur un an.
Les vaccins COVID sont les plus dangereux au cours du premier trimestre de la grossesse, selon une étude
Nouveau-nés suédois et norvégiens : les résultats postnatals dépendent du trimestre de vaccination
IGOR TCHOUDOV 8 FÉVRIER 2024 Une nouvelle étude a été publiée hier dans JAMA.
https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2814537 Son objectif était de prouver que les vaccins contre la COVID sont « sans danger pour la grossesse ».
Signification Dans cette vaste étude basée sur la population, la vaccination des personnes enceintes avec des vaccins à ARNm contre la COVID-19 n'était pas associée à des risques accrus d'événements indésirables néonatals chez leurs nourrissons.
En effet, les auteurs montrent que les nourrissons nés de mères vaccinées subissent moins de conséquences indésirables que les mères non vaccinées :
Résultats Sur 196 470 nouveau-nés inclus (51,3 % de sexe masculin, 93,8 % nés à terme, 62,5 % nés en Suède), 94 303 (48,0 %) ont été exposés à la vaccination contre la COVID-19 pendant la grossesse. Les nourrissons exposés n'ont présenté aucun risque accru d'issues néonatales indésirables, et ils ont présenté un risque plus faible d'hémorragie intracrânienne néonatale non traumatique (taux d'événements, 1,7 contre 3,2/1 000 ; rapport de cotes ajusté [aOR], 0,78 [IC à 95 %, 0,61-0,99]), encéphalopathie hypoxique-ischémique (1,8 vs 2,7/1 000 ; aOR, 0,73 [IC à 95 % : 0,55-0,96]) et mortalité néonatale (0,9 vs 1,8/1 000 ; aOR, 0,68 [IC à 95 % : 0,50-0,91]).
Les auteurs admettent :
Il est peu probable que la vaccination par ARNm contre la COVID-19 pendant la grossesse réduise directement la mortalité néonatale, bien que d’autres aient suggéré qu’un tel effet protecteur soit biologiquement plausible.12 Le vaccin ne semble pas traverser le placenta ni provoquer d’inflammation placentaire, et n’a pas pu être retracé dans sang de cordon.25,26 Les résultats de la présente étude n'ont pas pu élucider les mécanismes qui expliquent pourquoi les nourrissons d'individus vaccinés présentaient des risques plus faibles de certaines conséquences, notamment la mortalité. Une confusion non mesurée due au fait que les individus vaccinés sont en meilleure santé peut avoir contribué à la diminution de la morbidité et de la mortalité néonatales associées à la vaccination contre la COVID-19 pendant la grossesse.
Je montrerai que les données fournies dans l’étude, y compris l’analyse des sous-groupes et des trimestres, suggèrent que les vaccins Covid administrés aux femmes enceintes peuvent être dangereux pour les fœtus si les mères ont été vaccinées au cours du premier trimestre.
Regardons.
Analyses de sensibilité et trimestrielles Cette étude sur les nourrissons nés en Suède et en Norvège pendant la pandémie comprend des données précieuses et difficiles à trouver :
Les analyses de sensibilité montrent des sous-ensembles de mères, par exemple les mères vaccinées qui n’ont pas eu le COVID-19 pendant la grossesse.
Répartition par trimestre d’exposition au vaccin COVID.
Considérées ensemble, les données mentionnées ci-dessus soulèvent de sérieuses questions sur la sécurité du vaccin Covid pendant la grossesse.
Ceux qui vantent les avantages de la vaccination maternelle contre le COVID affirment souvent que les vaccins préviennent le COVID-19, qui est dangereux pour les fœtus. Cette étude comporte une analyse de sensibilité qui dément cette théorie.
Tout d’abord, les vaccins contre la COVID n’ont PAS réduit de manière significative les infections pendant la grossesse, comme le montre le tableau 1 :
- voir sur site -
Les données de l’analyse de sensibilité montrent que les nourrissons dont les mères ont évité le COVID-19 pendant la grossesse ont des résultats similaires à ceux de tous les nourrissons (y compris ceux dont les mères ont eu le Covid pendant la grossesse) :
- voir sur site -
Par conséquent, la « protection vaccinale contre l’infection » ne réduit pas le risque relatif d’effets indésirables. L’examen du sous-ensemble de mères qui n’ont pas eu le Covid montre que les infections n’ont rien à voir avec le risque relatif de ces effets indésirables.
Les auteurs suggèrent que des « facteurs de confusion inexpliqués », parfois décrits comme « l’effet du vacciné en bonne santé », pourraient être à l’origine du risque relatif réduit entre les résultats des vaccins et ceux des non vaccinés.
Différence inquiétante entre les vaccinations du premier et du troisième trimestre Imaginez une substance parfaitement inutile mais inoffensive : une solution saline ou une pilule de sucre. Un tel traitement, administré aux femmes enceintes, n'entraînerait pas de résultats disparates selon le trimestre d'exposition. En termes scientifiques, le risque relatif d'événements indésirables ressentis par les nouveau-nés dont les mères ont reçu une substance inoffensive ne dépendrait pas du trimestre d'exposition.
Pourquoi, alors, les nouveau-nés dont les mères ont été vaccinées au cours du premier trimestre de la grossesse (lorsque les principaux organes se forment) connaissent-ils des taux d'événements postnatals indésirables environ 50 % plus élevés que ceux nés de mères vaccinées au troisième trimestre ?
Regarde ça:
- voir sur site -
Les taux de presque tous les résultats négatifs chez les nourrissons (entourés en bleu) sont pires pour les nourrissons du premier trimestre que pour les nourrissons du troisième trimestre.
Pouvons-nous effectuer un test statistique sur certaines de ces différences pour voir si la disparité des résultats dans les deux échantillons pourrait être due au pur hasard ? Regardez le résultat ci-dessus, « thrombocytopénie néonatale », surligné en rouge.
Le test statistique approprié pour cela est appelé « test Z à deux proportions » :
Les données montrent que les nourrissons exposés au vaccin plus tôt (au cours du premier trimestre de la grossesse) sont plus susceptibles de souffrir de thrombocytopénie après la naissance. P = 0,00001 suggère que la différence n’est pas due au hasard.
La seule explication que je puisse personnellement trouver est que les vaccins Covid, administrés au cours du premier trimestre, interfèrent d’une manière ou d’une autre avec le développement du fœtus et rendent plus probable la thrombocytopénie (et une foule d’autres résultats).
Le même effet apparaît lorsque l’on examine « tous les résultats indésirables ». Voir supplément :
- voir sur site -
Les nourrissons exposés au cours du premier trimestre ont un risque 0,68/0,49 - 1 = 39 % plus élevé de subir une issue indésirable.
Comment un « vaccin sûr » qui « n’affecte pas la grossesse » peut-il rendre le premier trimestre d’exposition plus dangereux ?
Un résultat similaire a été récemment observé dans une autre étude : le risque de troubles du développement neurologique était également plus élevé pour l’exposition au premier trimestre que pour le troisième trimestre :
Une sous-analyse des grossesses qui ont évité le COVID-19 montre que la « réduction des effets indésirables dus aux vaccins » est probablement due à une confusion et non à une réduction des infections.
Dans le même temps, la disparité inexplicable entre les nourrissons exposés au cours du premier trimestre et les nourrissons exposés au troisième trimestre suggère que les vaccins Covid affectent négativement le développement du fœtus.
Qu'en penses-tu? Existe-t-il une tendance suggérant que les vaccins Covid ne sont pas sans danger pour la grossesse ? Dites-nous ce que vous en pensez – et n'hésitez pas à être en désaccord avec moi !
L’avènement du suicide assisté par un médecin pose clairement la question : considérons-nous désormais la mort comme un « traitement » légitime, une forme de « soins de santé » ?
John M. Grondelski February 8, 2024
Le Parti démocrate est clairement le parti de la mort en ce qui concerne les enfants à naître depuis au moins 1976, lorsqu'il s'est opposé pour la première fois à un amendement constitutionnel visant à renverser Roe. Il devient cependant de plus en plus évident que le Parti démocrate – en particulier son aile « progressiste » (c’est-à-dire la plus à gauche) – est également le parti de l’euthanasie, comme en témoigne la vague de lois sur le « suicide assisté par un médecin » (PAS). surgissant cette année dans plusieurs législatures des États bleus.
Le Michigan, qui encourage également le trafic de bébés (appelé « maternité de substitution commerciale »), dispose désormais d'un ensemble de lois sur le PAS, présentées par la députée Mary Cavanagh, qui se présente comme une « championne vocale » de « nos populations les plus vulnérables » ( dont, vraisemblablement, « nous n'en voulons pas trop »). Au cours de la semaine du 16 janvier, un comité sénatorial de Virginie, par vote de parti, a approuvé un projet de loi PAS. Les législateurs du Maryland et du Massachusetts tiendront bientôt des audiences pour prétendre avoir écouté le public avant de faire adopter les projets de loi PAS.
J'ai récemment écrit que le PAS était inextricablement lié à des incohérences logiques. Les taux de suicide aux États-Unis explosent dans diverses données démographiques. Les hommes blancs se suicident et, si l’on combine cela avec ce que le Dr Stephen Doran appelle à juste titre « les morts par désespoir » – le suicide au ralenti par l’alcoolisme ou la toxicomanie – l’espérance de vie des hommes blancs diminue.
Mais il ne s’agit pas seulement de mâles blancs morts. Le taux de suicide chez les adolescents et les jeunes adultes est également en augmentation, à une étape de la vie où les gens devraient être le plus remplis d’espoir et d’ambition pour l’avenir.
Nous faisons beaucoup de bruit au sujet de la « lutte contre le suicide ». « Vous n’êtes pas seul », entonnons-nous solennellement. « Nous sommes là pour vous aider ! »
N’envoyons-nous pas des signaux contradictoires si nous faisons toutes ces affirmations et disons ensuite à des personnes apparemment sur le point de mourir qu’elles peuvent se suicider ?
Ou à quels autres jeux jouons-nous ? Le modus operandi culturel général actuel est que nous ne pouvons pas critiquer un suicide « normal » (c’est-à-dire non-PAS) car il est clair que cette personne a dû être « folle » et, par conséquent, sa responsabilité a été diminuée. Nous imputons toutes sortes de détresse psychologique et de maladie pour excuser ces suicides… mais ensuite nous prétendons qu'un suicide PAS est un acte parfaitement rationnel et défendable ?
Dit moi si j'ai bien compris. Une personne qui se suicide est généralement considérée aujourd'hui comme suffisamment chargée psychologiquement pour diminuer sa responsabilité, sauf dans une situation in extremis où, confrontée à une condition prétendument fatale et irréversible, elle devient soudainement pleinement lucide mentalement et capable de prendre une décision légitime et déterminante pour sa vie. décision ?
Hein ?
Les partisans du PAS, bien sûr, doivent prétendre que ces décisions sont rationnelles, compétentes et doivent donc être respectées – sinon le château de cartes du PAS s’effondre. La raison pour laquelle, en proie à une maladie mortelle et face à un diagnostic terminal (peut-être erroné) on acquiert soudainement une lucidité mentale jusqu'alors indisponible n'est, bien sûr, jamais expliquée.
Mais je crains que, tout comme les partisans du PAS prétendent que les demandes de suicide assisté par un médecin sont « rationnelles », les types « pastoraux » reviendront soudainement à leurs affirmations d’irrationalité afin de justifier les funérailles publiques et autres services ecclésiastiques auprès de ceux qui acceptent. leur propre vie. Nous avons déjà vu le président de l'Académie pontificale pour la vie, Mgr Paglia, se demander si la manie de « l'accompagnement » de ce pontificat devait s'étendre jusqu'à être présent lorsque quelqu'un se suicide par PAS. Combien de temps avant qu’on nous dise que nous devrions offrir des bénédictions ex tempore « courtes et simples » au suicide envisagé ? Ou peut-être sacrilèger les derniers sacrements ?
Ce qui m’a vraiment touché, c’est le récent débat sur l’exécution par hypoxie d’azote en Alabama le 25 janvier. L'Alabama a exécuté un meurtrier essentiellement par suffocation : en lui donnant uniquement de l'azote mais pas d'oxygène pour respirer. L'Alabama a expérimenté cette méthode parce que les États ont depuis longtemps des difficultés à se procurer les médicaments utilisés pour les injections mortelles : les sociétés pharmaceutiques refusent de les vendre. Les États étaient également enclins à bâcler les exécutions par injection létale, car les lignes intraveineuses étaient généralement placées par le personnel pénitentiaire, les professionnels de la santé refusant de participer à l'administration de la peine de mort. Ils insistent sur le fait que donner la mort est incompatible avec leur vocation de guérisseur ; et, jusqu’à présent, aucun État n’a cherché à forcer leur conscience.
Or, je ne prône pas la participation active du personnel soignant dans les cas capitaux (contrairement au médecin traditionnel qui constate le décès), mais je constate un double standard. Comment se fait-il que le soignant prostitue sa vocation dans le couloir de la mort mais pas dans une affaire PAS ? Comment se fait-il que l’État respecte son droit de ne pas participer aux affaires capitales mais – déjà dans certaines juridictions (par exemple, l’Ontario) – s’attende à ce qu’il ait un devoir professionnel d’orienter un patient vers un autre médecin qui le tuera s’il ne le fait pas ?
Nous revenons à la question centrale : la mort fait-elle toujours partie de la médecine ? Le vieux « paradigme » du médecin qui combat la mort a-t-il été remplacé par celui qui considère la « mort » comme faisant partie de son bagage médical ? La mort fait-elle parfois partie de la médecine ? Le vieux « paradigme » du médecin qui combat la mort a-t-il été remplacé par celui qui considère la « mort » comme faisant partie de son bagage médical ?
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Le battement de tambour retentit déjà à Washington pour prétendre que l’avortement – l’homicide prénatal – relève des « soins de santé ». Dans ce cas, nous prétendons qu’il n’y a qu’un seul patient – la mère – alors que l’enfant à naître n’est, au mieux, qu’un « amas de cellules ». Cela nous éloigne de la question de la mort.
Mais l’affaire PAS place la mort au premier plan. Bien que nous puissions ourdir et truquer la question de savoir si un enfant à naître est une « vie humaine », il n’existe aucun indice par lequel nous pouvons nier l’humanité du patient – même du patient mourant – assis devant nous. Et c’est pourquoi nous ne pouvons pas poser ici la question de la mort. Nous devons répondre à la question carrée : « La mort est-elle un soin de santé ? »
Ce qui devrait nous inquiéter sérieusement, c’est que pour beaucoup de nos pairs – y compris, apparemment, un parti politique majeur – la réponse est « oui ».
Les vaccins à ARNm sont extrêmement toxiques, préviennent désormais les scientifiques de Moderna
08/02/202 Ethan Huff
Une nouvelle recherche publiée dans la revue Nature Reviews Drug Discovery révèle que les « vaccins » à ARNm (ARNmod) sont tout sauf sûrs – et cela vient de scientifiques qui travaillent chez Moderna, l’un des principaux fabricants mondiaux d’injections d’ARNm.
La technologie ribonucléique messagère modifiée produite par Moderna et Pfizer pour les injections d'ARNm respectives des sociétés est administrée au corps humain à l'aide d'une technologie relativement nouvelle de nanoparticules lipidiques (LNP). La technologie LNP présente encore de nombreux défauts, pour le dire à la légère, qui doivent être résolus si les produits vaccinaux associés doivent un jour être considérés comme sûrs, même à distance.
"Un défi majeur consiste désormais à réduire efficacement les risques de toxicité potentiels associés à la technologie de l'ARNm", ont écrit les scientifiques, ajoutant que les risques de toxicité incluent "les composants structurels des nanoparticules lipidiques, les méthodes de production, la voie d'administration et les protéines produites à partir d'ARNm complexés".
Les auteurs Eric Jacquinet, Dimitrios Bitounis et Maximillian Rogers travaillent tous chez Moderna, ils voient donc directement le profil de toxicité de l’ARNm.
Certains des effets secondaires connus des injections d’ARNm déjà déclenchées dans le cadre de l’opération Warp Speed pour le coronavirus de Wuhan (COVID-19) comprennent un choc allergique grave et une inflammation cardiaque. Certains cas de ces blessures peuvent impliquer une hypersensibilité, mais la réalité est que la plupart d’entre elles proviennent de la toxicité inhérente de la technologie des ARNm et des LNP.
L'étude explique que « n'importe quel composant LNP-ARNm » pourrait être responsable de blessures associées, mais que la plupart des cas de blessures, selon les auteurs, sont probablement déclenchés par des nanoparticules lipidiques PEGylées, qu'ils décrivent comme « le composant le plus potentiellement réactogène » de Coups d’ARNm.
Comme nous l’avons signalé en 2021, le PEG, également connu sous le nom de polyéthylène glycol, est hautement allergène. Au début de la « pandémie », les réactions aux injections de COVID étaient imputées au PEG, tout comme elles le sont dans une large mesure dans cette nouvelle étude, bien que nous ayons également partagé des preuves suggérant que la technologie de l’ARNm pourrait être capable de reprogrammer génétiquement le corps humain, potentiellement le rendant transhumain.
Quoi qu’il en soit, l’ARNm est toxique, tout comme son composant PEG. Malgré cela, la communauté scientifique reste divisée sur les véritables causes de la toxicité de l’ARNm, probablement parce que la technologie est encore si nouvelle que peu d’entre eux l’ont étudiée suffisamment en profondeur pour parvenir à des conclusions solidement définitives.
Les chercheurs de Moderna qui ont rédigé la nouvelle étude ont tiré leurs propres conclusions du consortium de données précédemment publiées sur le sujet, ainsi que de leur propre expérience de travail chez un fabricant d’ARNm. Pour être clair, les scientifiques n’ont mené aucune de leurs propres nouvelles expériences lors de la compilation de leur étude.
(Connexe : avez-vous entendu le rapport secret de Pfizer montrant que le fabricant d’ARNm savait depuis au moins février 2021 que ses vaccins contre le COVID tuaient des gens, mais qu’il continuait quand même à les vendre et à les distribuer ?)
L'écran de fumée de sécurité de l'ARNm de Moderna
Une chose que la nouvelle étude souligne et dont nous avons également rendu compte est le fait que les protéines de pointe et d'autres composants d'ARNm persistent dans les tissus et organes humains pendant des mois, voire plus, malgré les affirmations du fabricant selon lesquelles le contenu de l'injection quitte le corps dans les jours qui suivent l'injection. Se pourrait-il que cette longue persistance soit un autre facteur de l’extrême toxicité de l’ARNm ?
Étonnamment, les scientifiques de Moderna à l’origine du nouvel article affirment toujours que l’injection d’ARNm de leur entreprise est « sûre et efficace » – parce qu’ils seraient probablement licenciés s’ils avaient dit la vérité. Ceci en dépit du fait que l’intégralité de leur article révèle l’extrême toxicité de l’ARNm, qu’ils qualifient de « compliquée ».
Pour rendre l'ARNm plus sûr, les scientifiques appellent à une approche à plusieurs volets qui comprend la réalisation de tests de laboratoire plus avancés, la réalisation de certains ajustements des essais précliniques et la réalisation de davantage d'essais sur les animaux qui tiennent mieux compte des "différences de physiologie humaine et animale".
Le Dr Robert Malone, l'un des inventeurs de l'ARNm, a critiqué la nouvelle étude car elle minimise les risques de la technologie. Il est également sceptique quant à la véritable intention de l'étude, suggérant qu'elle pourrait faire partie de ce que l'on appelle un hangout limité, une technique de propagande qui dit une certaine vérité tout en l'enveloppant de désinformation destinée à empêcher la découverte d'autres informations plus importantes. information.
"Mon interprétation la plus généreuse de l'intention générale de l'article est que cet article résume et représente les informations concernant les risques et les toxicités de cette technologie de plateforme que Moderna souhaite divulguer d'une manière qui met l'entreprise, ses activités et la technologie de plateforme sous-jacente dans la meilleure lumière possible", a déclaré le Dr Malone.
"Une interprétation moins généreuse de l'intention est que cet article représente une forme subtile de stratégie de propagande communément appelée un lieu de rencontre limité."
Malgré les possibilités limitées de Hangout, la nouvelle étude en dit long sur les dangers et l'inefficacité des injections d'ARNm, même si ses auteurs ont tenté de la minimiser en affirmant toujours qu'elles sont « sûres et efficaces ».
"Dites simplement non à tous les 'vaccins'", a écrit un commentateur à ce sujet. "Mieux vaut perdre son emploi que sa vie."
"Je me demande combien de scientifiques et de PDG qui ont développé ces vaccins dangereux l'ont pris eux-mêmes", a déclaré un autre, sceptique quant au soutien total du PDG de Moderna, Stéphane Bancel, aux injections d'ARNm de son entreprise.
"SADS, myocardite, fib A, maladies autonomes, maladies à prions, accidents vasculaires cérébraux, crises cardiaques, paralysie de Bell – wow", a déclaré quelqu'un d'autre à propos des nombreux autres effets indésirables connus des injections d'ARNm. "Si j'avais été vacciné, je serais en train de me gratter la peau pour essayer de l'enlever !"
Ce n’est jamais une bonne idée de s’injecter des produits chimiques vaccinaux mortels, en particulier ceux à ARNm. Apprenez-en davantage sur ChemicalViolence.com.
La rémunération des médecins traitants dépendra de leur soumission à la doxa de Big Pharma ,de piquer et ne ne pas prescrire d’antibiotiques
le 10 février 2024 par pgibertie
Juste inacceptable déontologiquement ce que propose l’Assurance Maladie. Conditionner une part de la rémunération forfaitaire aux vaccinations réalisées par chaque patient. Conflit d’intérêts majeur.
C’est du chantage pur et dur! Les patients doivent rester libres d’accepter ou de refuser n’importe quel examen ou protocole de santé.
L’assurance Maladie veut conditionner la rémunération forfaitaire des généralistes aux vaccins obligatoires et non obligatoires. Ce qui compte : piquer, piquer, piquer
Regardez bien , la rémunération sera liée à la capacité de PIQUER les patients et A NE PAS PRESCRIRE D ANTIBIOTIQUES
Des objectifs existent déjà, et limitent la liberté de soins
Concernant les pratiques de prescription, 68 % des participants déclarent, en se basant sur leur dernier relevé de rémunération sur objectifs de santé publique (Rosp)4 sur les prescriptions effectuées en 2020, atteindre l’objectif cible. Celui-ci correspond à la prescription d’antibiotiques dans 20 % des cas ou moins aux patients de 16 à 65 ans sans affection de longue durée et dont ils sont le médecin traitant.
Valletoux n’est pas médecin, un ex journaliste à carrière politique, sa fonction médicale est une présidence d’association Il est maire et titulaire d’un Deug d’histoire, sa légitimité est nulle, à part d’avoir montré son obéissance à BigPharma dans les années précédentes
Après Aurélien Rousseau qui voulait nous faire « AVALER des COULEUVRES », on reste dans le MÊME domaine avec Frédéric » AVALE TOUT »
Si l’article 4 de la loi Darmanin passe, il n’y aura plus de scandale sanitaire car il sera interdit de les dénoncer: ils pourront vous empoisonner en toute impunité…
le 9 février 2024 par pgibertie
La macronie soutenue par les écolos et les socialistes a réintroduit à l’Assemblée le fameux article 4 qui punit toute forme de débat scientifique et de remise en question de la politique du gouvernement
- voir doc et photos (insoutenables d'enfants handicapés physiques) sur site -
L’article 4, également supprimé par le Sénat et relatif aux dérives thérapeutiques, a suscité plus de débats en commission des lois. Selon l’exposé des motifs du projet de loi, cet article vise notamment à créer un « nouveau délit de provocation à l’abandon ou l’abstention de soins ».
« Qui trop embrasse mal étreint« , a cependant mis en garde Thomas Ménagé (Rassemblement national), estimant que « c’est tout le débat scientifique et médical qui risque[ait] d’être mise sous cloche« . Le député a aussi indiqué que si cette disposition était rétablie, elle ferait office de « ligne rouge« qui empêcherait son groupe de voter en faveur du texte. De même, les groupes Gauche démocrate et républicaine, La France insoumise et Les Républicains ont indiqué soutenir la suppression opérée par les sénateurs, afin de préserver la liberté d’expression, et en l’espèce la liberté des débats scientifiques et médicaux.
Il faut dire que dans son avis consultatif, le Conseil d’Etat avait alerté sur cet aspect du texte, estimant que les faits ciblés étaient déjà couverts par la répression de l’exercice illégal de la médecine. Selon cet avis, la mesure pourrait porter atteinte à la liberté d’expression, quand elle s’exerce au travers d' »un discours général et impersonnel, par exemple tenu sur un blog ou un réseau social » et remettre en cause, « par une incrimination de contestations de l’état actuel des pratiques thérapeutiques, la liberté des débats scientifiques et le rôle des lanceurs d’alerte ».
L’offensive est menée dans une tribune par les teletoubibs les plus célèbres
Parmi les signataires : Mathieu Molimard (consultant Pfizer et promoteur d’une « étude totalement pipotée)), Rémi Salomon (« papi et mamie mangeront leur bûche de Noël à la cuisine » c’est lui), Alain Fischer (« Monsieur vaccin »), Jérôme Marty (« on a des milliers d’années d’expérience sur les vaccins » c’est lui),Nul doute que le nouveau ministre de la santé les soutient:
La secte dénommée Ordre National des Médecins soutient le projet de loi Darmanin contre les lanceurs d’alerte :la menace se précise Publié le 27 janvier 2024 par pgibertie
adresse pétition https://www.abolition-article-4.com/signature La macronie et ses alliés entend faire réintroduire le fameux article 4 supprimé par le Sénat dans le fameux projet Darmanin sur les « Dérives sectaires » Le 6 février sera discuté cette loi sur les dérives sectaires et les … Lire la suite →
Firmin Lebodo? La protégée de Fantomas est bien Big-pharmaco compatible! Et Didier Raoult dénonce le projet Darmanin sur la science qui doit obeir au gouvernement. Publié le 22 décembre 2023 par pgibertie
Totalement dévouée à Fantomas, la nouvelle ministre de la santé sera bien dans la ligne des autres détenteurs macroniens du poste Au Havre, dès que les premières questions concernant la candidature d’Édouard Philippe pour la présidentielle de 2027 se sont posées, … Lire la suite →
La pétition contre le projet Darmanin qui assimile les lanceurs d’alerte à des dérives sectaires Publié le 25 novembre 2023 par pgibertie
PETITION contre le projet de loi Darmanin qui entend punir de 15000 à 45000 euros et 3 ans d’emprisonnement toute interrogation sur les médicaments et vaccins Publié le 21 novembre 2023 par pgibertie
Pétition contre l’article 4 du projet de loi déposé au Sénat le 15 novembre dernier. Cet article, qui vise à « lutter contre les dérives sectaires », compromet en réalité très gravement la liberté d’expression dans le domaine médical et scientifique https://abolition-article-4.com/ … Lire la suite →
Victimes et scientifiques contre les désinformateurs signataires de la tribune de l’Express et la censure des études sur les dangers des injections covid Publié le 31 janvier 2024 par pgibertie
Deux tribunes contradictoires La première publié dans l’Express et reprise par les média en France réfute la possibilité d’effets secondaires…Ils osent . https://www.lexpress.fr/amp/sciences-sante/sante/reseaux-sociaux-medias-mettons-fin-a-la-propagation-impunie-de-fausses-informations-medicales-LDQ7GCFEBBEQNHDY44TC6P3MZA/ Parmi les signataires : Mathieu Molimard (consultant Pfizer et promoteur d’une « étude totalement
Il n’y a pas que Creutzfeld Jakob! Les amyloïdoses post injections sont causées par le dépôt de fibrilles amyloïdes attribué à un mauvais repliement des protéines
le 9 février 2024 par pgibertie
Les fibrinaloides. Mélange de fibrine et de Spike.Le Long COVID/PASC est, à son niveau le plus fondamental, une amylose. Le vaccin peut induire la même amylose car il incite l’organisme à produire la même protéine amyloïdogène que celle trouvée dans le virus.
- voir photo de morgelons sur site -
@AnneliseBocquet apporte de précieuses mais inquietantes informations; ci dessous
AMYLOSE… POST-COVID SYNDROMS AND POST-INJECTIONS On se dirige de plus en plus vers les amyloses… C’est quoi ?
Vous vous souvenez des fibres blanches retrouvés dans Died-Suddenly ? Je vous remets une illustration… et essayez de ne pas paniquer.
Bon… ben… ce sont des fibrinaloides. Mélange de fibrine et de Spike. Comme les publications mises en lien ci-dessous l’indiquent, ce phénomène amyloide peut être à l’origine des encephalomyelites myalgiques, que l’on retrouve dans les syndromes post-covid et les effets graves post-injections. Walter Chesnut,, avait averti, il y a plus de 2 ans…
Ce n’est pas que Creutzfeldt Jakob… Creutzfeldt Jakob n’est qu’une forme particulière des pathologies prion-like et amyloides.
@Marc_Doyer
@guilhemeric
@AAVIC_TEAM
https://twitter.com/AnneliseBocquet/status/1754404898152550787?t=EQMcN7MiGh_blRmK8O9aQg&s=19… Et je pense que le LPS présent dans les injections anti-covid ont permis le développement de la pathologie de Creutzfeldt Jakob. https://twitter.com/AnneliseBocquet/status/1754543251095228857?t=vJmYHx81aTzBZHh0Lx9yAw&s=19… La protéine Spike dite « vaccinale » ou Spike 2 proline (Spike 2P) présente une meilleure affinité pour le LPS du fait des 2 modifications proline. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36240490/ « LPS alters the migration of S2 more prominently compared to S1 (Figure 3), particularly for the prefusion stabilized construct (Supplementary Figure S7B), suggesting a more pronounced interaction with S2. » Est-ce que les variants Omicron peuvent induire un tel phénomène ?
« Interaction with other proteins can be influenced by the Spike amyloidogenic tracts. It has been shown that Spike induces structural changes in β and γ fibrin(ogen), complement 3, and prothrombin, increasing their resistance to trypsinization, which, among other mechanisms, may contribute to hypercoagulation in patients with COVID-19… heparin is known for its association with various amyloid fibrils. Interestingly, surface plasmon resonance and circular dichroism spectroscopy demonstrated that heparin can directly bind to and induce conformational changes in the Spike RBD of SARS-CoV-2. »
Comment va-t-on s’en débarrasser ? Bonne question ! Je ne sais pas. Mais sachez juste que les dirigeants et les responsables de tous ces dégâts ne veulent absolument pas en entendre parler. Et ils savaient… pour le virus et pour les injections anti-covid. Ils savaient. Ils savaient et feront tout pour détruire cette information !
Fibrinaloid formation… https://twitter.com/NameIsSpartacus/status/1694220003305046476?t=ynL0BMRv7Q2mBLJni03awA&s=19…https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37584410/https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36015078/ « The Occurrence of Hyperactivated Platelets and Fibrinaloid Microclots in Myalgic Encephalomyelitis/Chronic Fatigue Syndrome (ME/CFS) »
@guilhemeric
UN ESPOIR LA QUERCETINE
Les amyloïdoses sont causées par le dépôt de fibrilles amyloïdes attribué à un mauvais repliement des protéines . Dans cette étude, nous avons examiné les activités antiamyloïdogènes et antioxydantes de la quercétine , un flavonol végétal du groupe des flavonoïdes des polyphénols, sur la protéine prion de souris (moPrP) avec des approches biophysiques. Comme le montrent les résultats, la quercétine se lie à la région C-terminale de moPrP et la liaison de la quercétine n’affecte pas la structure de moPrP. Cependant, la liaison de la quercétine accélère la fibrillation du moPrP et modifie la structure des fibrilles du moPrP. Contrairement aux fibrilles de prion typiques, les fibrilles liées à la quercétine sont sensibles à la protéinase K et sont faiblement structurées. De plus, en raison de la forte activité antioxydante des flavonoïdes, les fibrilles liées à la quercétine ne sont pas déséquilibrées en radicaux libres et ne sont donc pas toxiques pour les cellules de neuroblastome . La quercétine montre sa particularité par rapport aux médicaments antiamyloïdogènes typiques qui suppriment le développement de l’amyloïde ou éliminent les amyloïdes formés. La liaison à la quercétine convertit le moPrP en fibrilles sensibles à la protéase et non cytotoxiques. Ce travail constitue une solution puissante pour l’avancement du traitement antiamyloïdogène .
•La liaison de la quercétine à la protéine prion est déterminée et le réseau du site de liaison au niveau moléculaire est visualisé. •Contrairement aux études conventionnelles sur les médicaments amyloïdogènes, la quercétine accélère la fibrillation de la protéine prion. •La quercétine transforme les fibrilles en formes sensibles à la protéase, structurellement lâches et non cytotoxiques. •La quercétine montre sa particularité par rapport aux médicaments antiamyloïdogènes typiques.
Après les essais nocturnes sur vaches endormies dans les champs avec des piqûres handicapantes et mortelles sont enfin arrivées les piqûres handicapantes et mortelles pour hommes et femmes et enfants ! WHÔAW ! appelées 'Les inoculations profondes des criminels qui dirigent' ! sous le pseudonymes rigolo de 'cocovide19' (ex 'Coronavirus 1er') puis d'Alpha-Beta-Charly-Delta et Omicron (Les 4 mousquetaires ou les 3 petits cochons ou les 7 mercenaires, le 5é élément, ou 50 doigts de la main.) bref, LE tringlinocéphale qui va te fourrer sa tête de partout ! LA Gretamoilescouilles du 21è siècle arrivée par la seringue du 20 h.
Sans oublier les essais sur moutons ('La tremblante du mouton' ! J'sais pô si vous avez vu le film) puis, tournage vers 'La diarrhée porcine' (discours de micron) et sa 'Grippe aviaire' qui fait la folie dans tous les poulaillers ! ("Ma poooule c'est toiiii aaaa ! " chantait Maurice Chevalier).
Flim-Flam-Grippe Par le capitaine Randall 10 février 2024
Idiot ?
Bête ne veut pas forcément dire « stupide »,… plutôt « muet ». Les médecins sont paralysés par des commissions médicales où les écarts par rapport aux normes de pratique peuvent aboutir à un médecin suréduqué poursuivi pour faute professionnelle, déchu de son permis et « retournant des hamburgers au fast-food local ! »
Les médecins et les infirmières que j'ai connus sont soucieux de leur nutrition, utilisent des suppléments de qualité et protègent leur propre santé et celle de leur famille. Pourtant, ils n’ont pas la liberté de s’exprimer ou de pratiquer de manière indépendante, mais sont obligés de suivre les traitements symptomatiques imposés par le monopole pharmaceutique des soins de santé.
On pourrait penser qu’après avoir perdu des patients et confronté des proches en pleurs, davantage de médecins qui en savent plus pourraient dénoncer ?
Saison de la grippe ?
Quoi, personne ne te l'a dit ? Un contributeur majeur à ces afflictions saisonnières est l’air froid SEC ou l’air intérieur chaud et SEC… SEC étant ici le mot-clé qui dessèche les sinus et les poumons !
Lorsque les muqueuses normalement humides se dessèchent, les bactéries et les virus prolifèrent de manière incontrôlable. C’est le nez qui coule et la toux productive qui expulsent physiquement la prolifération. La NAC, par voie orale et via un nébuliseur, provoque la fluidité et l'écoulement du mucus. Un mucus pusy épais et une toux sèche empêchent l’oxygénation. L’air intérieur sec chauffé électriquement sent le vicié et le « brûlé » et regorge d’ions positifs. Les humidificateurs et la chaleur radiante naturelle sont préférés.
Les conditions de faible luminosité en hiver réduisent également la production de vitamine D et de mélatonine.
À l’extérieur, des foulards épais maintiennent les voies respiratoires humides.
Cela s’ajoute à un public avec un système immunitaire peu dynamique, un air/eau pollué >>> une charge généralisée de toxines métalliques/industrielles, des carences en vitamines D et C et en minéraux… sans parler de l’excrétion de vaxxxine et des variantes améliorées.
Comme toujours; la question de savoir si les virus du rhume/grippe se propagent ou étaient déjà présents dans les voies nasales en attendant que les conditions favorables à leurs populations explosent ?
Les injections hypodermiques sont modélisées à partir de crocs de cobra ; des aiguilles creuses qui délivrent le poison directement dans la circulation sanguine. L'alimentation, la respiration et l'absorption par la peau sont les moyens par lesquels les molécules étrangères pénètrent généralement dans le système, mais ces voies présentent des barrières que les injections directes ne présentent pas. Il existe des procédures relativement sûres et appropriées comme les liquides intraveineux, les cocktails de vitamines/minéraux et d'autres produits chimiques d'urgence… et puis il y a les vaxxxines (3 X signifie universellement poison) qui injectent divers métaux et particules pathogènes qui provoquent une inflammation et court-circuitent l'immunité naturelle. , augmentent généralement la sensibilité aux variantes microbiennes ciblées et peuvent avoir des effets secondaires horribles, dont beaucoup durent indéfiniment. Ceux-ci peuvent être particulièrement dangereux pour les femmes enceintes et les bébés.
Théorie des germes fragiles
Les « germes » sont responsables de nombreuses maladies, mais ils sont déjà présents partout sur la peau, dans les voies respiratoires et dans le tractus intestinal. Nous coexistons dans une relation symbiotique où beaucoup sont utiles et résistent à ceux qui peuvent devenir pathogènes… jusqu'à ce que la santé générale et l'immunité naturelle déclinent.
Les agents pathogènes attendent de manière opportuniste des conditions de manque d'oxygène, de pH faible, de température corporelle basse et de voies respiratoires desséchées, où les facteurs immunitaires sont sous-produits en raison d'une mauvaise nutrition, d'une toxicité, d'un traumatisme, d'un stress émotionnel et d'un manque de soins personnels, etc.
Selon de nombreux médecins objectifs qui défient les pratiques standard et les données pharmaceutiques frauduleuses, les vaxxxinations censées prévenir des maladies pour la plupart non mortelles paralysent l'immunité adaptative.
La « théorie des germes » défectueuse a évolué à partir des premières expériences de Louis Pasteur et a été renforcée par l’avènement de la pénicilline (inhibition microbienne d’autres microbes), similaire aux capacités de protection d’un biome diversifié et sain. Une fois que les antibiotiques ont éliminé les probiotiques résidents, d’horribles autres infections « apparaissent de nulle part », et c’est pourquoi il est généralement recommandé de manger du yaourt et des probiotiques après une cure d’anti-B.
Alors que les fragments bactériens/viraux ont tendance à entraîner les cellules immunitaires à une souche particulière, et que les adjuvants toxiques produisent une inflammation ; le système immunitaire adaptatif d’un patient est affaibli, devenant plus sensible aux souches mutantes, aux infections et aux réinfections.
Les dommages oxydatifs/inflammatoires peuvent entraîner l'autisme, les allergies et l'auto-immunité, tandis que les injections sournoises d'ARNm peuvent endommager l'ADN et produire à jamais des protéines de pointe, une coagulation et un déclin du système.
« Tout le monde devrait-il être soumis aux effets secondaires du vaxxx et à une immunité réduite à l’avenir… pour prévenir l’immunité naturelle et l’inconfort des maladies infantiles généralement non mortelles ?
« Lorsque les exemptions de non-participation sont débattues, il semble toujours que la santé d’un infime pourcentage d’enfants immunodéprimés l’emporte… afin qu’ils puissent « fréquenter les écoles publiques en toute sécurité ». Culpable de se conformer ?
Les 4 piliers de la santé
Au cours des dernières décennies, les gens ont été conditionnés à recourir aux vaxxxinations et aux médicaments pour prévenir ou guérir les maladies. Ils ont été déconcertés par la médecine pharmaceutique et leur rejet de la prévention naturelle et des remèdes maison. En tant que monopole officiel légalement protégé, ils ont renforcé le contrôle de tous les soins de santé en exigeant des normes de soins et une vaxxxination universelle. Soutenus par le gouvernement et sa machine terroriste en réseau, les soins de santé standard affaiblissent le public et constituent davantage un portail de dépopulation que de guérison.
"Ils nous ont aveuglés par la science", en confondant une population déjà confrontée à des défis scientifiques avec des recommandations charabia et des décrets auto-enrichissants nuisibles comme les mythologies du cholestérol et des statines, les escroqueries à la crème solaire, les publicités élogieuses pour les médicaments et en attribuant les maladies à la génétique alors que les gènes en sont rarement la cause.
Il faut être proactif ; curieux, studieux et sensible à son propre corps. Il existe d'innombrables livres, entrées sur Internet et opinions concernant les 4 piliers utilisant une bouillie de synonymes ; il faut donc trouver son propre chemin. Ce qui fonctionne… fonctionne.
*1 Alimentation
Anti-nutriments ; Évitez tous les fast-foods transformés en usine et la malbouffe. Des huiles végétales polyinsaturées malsaines pour le cœur, du sirop de maïs à haute teneur en fructose et divers conservateurs sont présents dans chacun d'eux. Pesticides, herbicides, antibiotiques et viandes de parc d'engraissement ; Oh mon!
Les légumineuses et certains légumes doivent être bien cuits pour éliminer les facteurs négatifs.
Laits crus de pâturage, beurres, viandes et fromages..œufs fermiers, légumes bio ; Ouais! Les pommes de terre, le riz, le blé biologique, la semoule de maïs et le gruau sont des glucides sains et nécessaires. Miel, sirop d'érable et sucre de canne brut avec modération.
*2 Toxines
Aucun endroit sur Terre n’est exempt de polluants environnementaux ! Je recommande une analyse capillaire des métaux/minéraux pour voir où l'on en est en ce qui concerne les charges de métaux lourds (mercure, cadmium, aluminium, plomb, arsenic, etc.) et les niveaux de minéraux (magnésium, potassium, sélénium, zinc, iode, traces). Les métaux chargés positivement annulent l’énergie électronique dont dépend la vie et conduisent à de nombreuses maladies chroniques « lointaines ».
Les ions métalliques s'accrochent aux organes et aux tissus du corps où ils produisent sans cesse des radicaux libres nocifs et attirent également les virus, les bactéries, les moisissures et les levures qui exsudent des endotoxines. Ignorer les fardeaux métalliques, comme le fait la plupart des médicaments, revient à blâmer à tort la source d’une longue liste de problèmes et à les maltraiter.
Une désintoxication douce est réalisée en utilisant des doses de vitamine C de tolérance au gros intestin (2 à 8 grammes de C pure, la moitié moins de bicarbonate de soude pétillant dans 4 onces d'eau) à jeun 2-3-4 fois/jour… avec des chélateurs de chlorelle, d'argile et/ou de charbon de bois. pris avec les repas… semaine après semaine. Des tests capillaires de suivi montreront que les niveaux de métaux ont été considérablement réduits.
Les suppléments de silice comme la prêle et l'eau de Fidji sont spécifiques à la toxicité de l'aluminium, la glycine s'oppose aux herbicides Roundup responsables de carences généralisées en manganèse et le bore/iode/tamarin aide à réduire les fluorures et les halogènes plus légers.
Le sauna, la transpiration et le jeûne excrètent de nombreuses toxines.
Une désintoxication plus vigoureuse peut être effectuée par voie orale ou intraveineuse avec EDTA ou DMPS.
L'utilisation d'enzymes protéolytiques peut exposer les métaux en dissolvant les films de fibrine qui protègent les zones d'inflammation.
(La médecine conventionnelle ignore les charges métalliques, utilise des tests sanguins sans valeur et évite l’analyse des cheveux, défavorise les thérapies chélatrices… pour cacher les causes profondes de nombreuses maladies chroniques… et maintient ainsi le « business » en plein essor avec des foules de malades délibérément gardées dans l’ignorance).
*3 choix de style de vie
Les modes de vie urbains sédentaires, l'évitement du soleil, les dépendances aux écrans, au téléphone, au sucre, à l'alcool et aux informations télévisées ne devraient jamais remplacer le respect de la nature, une activité physique ciblée, les loisirs ou l'acquisition d'une grande variété de vrais aliments et de bouillons de cuisine, de soupes, de ragoûts et tout le reste. .
*4 États émotionnels
C’est peut-être le problème le plus difficile à résoudre. Les émotions sont un domaine psycho-spirituel qui donne le ton à toute la vie et à la santé physique d’une personne. Le stress est l’ennemi provoqué par un ego immature avec sa peur, son sentiment de perte de contrôle et de manque de confiance. Les effets directs paralysent le système immunitaire, les cycles de sommeil, toute guérison et régénération et diminuent même le QI et le jugement pratique.
( L'expérience personnelle a montré que les grippes/rhumes suivent toujours le stress, le surmenage, les expositions toxiques et la dépression. Que les symptômes mentaux proviennent d'états émotionnels ou de métaux toxiques sous-jacents ou de poisons organiques est un paradoxe de la poule ou de l'œuf. Comme chaque événement viral vérifié que j'avais eu pour résultat Dans les articulations vertébrales douloureuses et raides, ma théorie est de longue date que les rhumes/grippes sont en fait des événements de désintoxication facilités par les virus, au cours desquels les virus et les bactéries consomment et éliminent les toxines chargées positivement par lesquelles ils sont attirés. Une fois les douleurs atténuées, les articulations bougent librement et sans douleur. pour moi, ces jours de misère fiévreuse étaient vraiment un processus de guérison naturel.).
Premiers secours contre la grippe
Le rhume, la grippe, le VRS, le covid, la BPCO, les sinus et autres infections des voies respiratoires répondent au peroxyde d'hydrogène NÉBULISANT à 1-3 % enrichi de 2 gouttes d'iode de Lugol qui détruisent tous les agents pathogènes... nébulisez pendant quelques minutes toutes les quelques heures jusqu'à ce que les symptômes disparaissent. Ceci est suivi par la nébulisation de NAC/n-acétylcystéine ; une capsule dissoute dans 20 ml d'eau, suffisamment pour remplir la tasse du nébuliseur. La NAC provoque une toux initiale, fluidifie le mucus pour éliminer physiquement les débris/« toux sèche » et alimente la production de glutathion, le GLUT étant un puissant antioxydant interne.
Le peroxyde d'hydrogène est la molécule active naturellement générée par la réponse immunitaire innée et est également libérée dans le cadre de la vitamine C à forte dose.
La vitamine C en grande quantité, les vitamines A&D (huile de foie de morue), le complexe B1/B, les composés de magnésium, de zinc, d'iode et de soufre sont des incontournables à la fois en prévention et en traitement.
L'ivermectine s'est avérée utile pour le covid (disponible dans les fournitures agricoles/peut être utilisée par voie transdermique en application sur la peau du ventre)… et les enzymes protéolytiques aident à détruire les protéines de pointe (nattokinase, lumbrokinase, papaïne, bromélaïne).
Le sauna élimine les toxines car la fièvre artificielle impliquée détruit les agents pathogènes et replie les protéines.
L'huile d'origan est un antibiotique de secours, antiparasitaire.
Le bleu de méthylène devient populaire pour traiter les infections des voies urinaires et les problèmes neurologiques. Voir ici et ici.
Le colostrum bovin (premier lait maternel) contient de nombreux facteurs immunitaires qui peuvent être ajoutés de manière appropriée aux préparations pour nourrissons ou pris par les adultes.
Le VRS chez les jeunes enfants peut être traité en nébulisant du peroxyde d'hydrogène dilué (0,1 à 1,0 %) ou en ajoutant du H2O2 aux humidificateurs de chevet.
Ne rejetez pas le remède de grand-mère ; Mâchez de l'ail cru et préparez une soupe au poulet !
Le coup de gras se présente toujours sous la forme d’une pneumonie et d’une septicémie. Les mesures extrêmes incluent des cocktails de vitamine C IV qui peuvent ajouter de la vitamine B1 et de l'hydrocortisone, éventuellement avec de l'azithromycine (le protocole très efficace du Dr Marik).
Le chlorite MMS, l’oxygène hyperbare, le peroxyde d’hydrogène oral et les thérapies à l’ozone sont d’autres options puissantes.
Soyez informé des médecins et des cliniques à proximité qui offrent ces traitements en cas de besoin ; des traitements rarement disponibles dans les hôpitaux. Voir l'outil de recherche de médecins ACAM.org.
L'hospitalisation avec antibiotiques IV est pour moi un dernier recours. L’application sérieuse des mesures préventives et des traitements ci-dessus devrait éviter toute hospitalisation.
Le vieux dicton : « Celui qui se soigne a un imbécile pour médecin » peut s’appliquer ou non. Il est sage d’en savoir plus dès le départ plutôt que de se fier aveuglément aux documents système et aux informations populaires.
Morsure de serpent !
Avant de vous laisser « mordre par un serpent », renseignez-vous sur les opinions étudiées des médecins « anti-vaxxx ». Google : Drs. Malone, McCulloch, Martin, Mercola, Thomas Levy, Andrew Saul, Kory, Klinghardt, Brownstein, Suzanne Humphries, A Midwestern Doctor et documentation de RFK Jr….
N'oubliez pas que la vie est en fin de compte un phénomène électrique qui existe dans un équilibre entre les antioxydants chargés négativement et les électrons métaboliques de l'ATP…. et des ennemis oxydatifs chargés positivement comme les acides, les métaux, le stress, les agents pathogènes et leurs endotoxines.
Certains des médecins les plus avisés se concentrent désormais sur « l’efficacité métabolique » et sur la capacité des mitochondries à transformer le carburant et l’oxygène en énergie électrique ATP. Ils parlent de nutriments critiques, de potentiel zêta/pH du système, d'eau structurée (H3O2) et de caractéristiques de viscosité sanguine/fluide liées à la santé ou au déclin de toutes les fonctions biochimiques et de l'expression de l'ADN... C'est la médecine « redox », la condensation la plus simple. de toutes les connaissances scientifiques complexes et déroutantes que je me sens obligé de rendre compréhensibles et utiles aux professionnels formés ainsi qu'aux ave
2024 ?
La « maladie X » est un thème ancien et récurrent dans les films et les livres depuis au moins les années 1980. Maintenant c'est de retour ! Même sans nouveau virus mortel, la peur elle-même constitue la contagion ultime qui se propage à la vitesse des médias électroniques. La peur à elle seule réalise les rêves humides des mondialistes de contrôle de la population tout en réduisant la force immunitaire humaine, le QI et le jugement rationnel.
La panique et l’hystérie sont aussi invisibles que les germes. Nous avons tous vu ce qui a résulté de la pandémie planifiée de Covid ; une hypocondrie générée par les médias et un confinement mondial. Intelligent, hein ?
Cela a toujours été une bonne idée de rester à l’écart d’un avenir effrayant et de « Soyez ici maintenant ! » Pourtant, en cette période chaotique de guerres, de pandémies et de divisions sociales ; Qui sait? Peut-être que la merde frappera le ventilateur cette année dans un plan de dernière minute visant à perpétuer l’État profond mondial ? Les pathétiques poseurs de Washington, de Jérusalem, de Londres, d’Ottawa, de l’OMS et de Davos sont en mode panique.
Il doit y avoir au moins une centaine de laboratoires biologiques secrets dans le monde qui concoctent « QUI » sait quoi. Ensuite, nous avons une soif de sang médiatique croissante pour détruire l’Iran, un peuple intelligent capable de frapper notre patrie.
Il est prudent de se préparer individuellement aux tempêtes et aux pannes de courant. Je ne comprends pas pourquoi la « sécurité intérieure » n’a jamais pris la peine de sceller nos frontières ou de renforcer le réseau électrique tout en dépensant des milliards en hypersécurité invasive et en pure stupidité.
La moindre des choses pour protéger sa santé est de connaître les 4 piliers de la santé et de disposer de fournitures et de suppléments. L'« assurance maladie » ne s'applique qu'en cas de maladie.
N’est-il pas préférable de prévenir les maladies évitables ou d’avoir des options de traitement à portée de main plutôt que de souffrir et de recoller les morceaux… c’est ce qu’on appelle le bon sens !
Harvard renouvelle son mandat de vaccination contre le COVID-19 et rejoint 69 autres écoles
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 09 FÉVRIER 2024 - 23H00 Écrit par Matthew Lysiak via The Epoch Times
Les étudiants de l’Université Harvard continueront de devoir se faire vacciner contre le COVID-19 afin de s’inscrire pour le semestre à venir, a récemment annoncé l’école, rejoignant 69 autres écoles à travers le pays qui nécessitent toujours le vaccin.
« Harvard exige que tous les étudiants qui seront sur le campus bénéficient d’une certaine protection contre le COVID-19 grâce à la vaccination », indique un communiqué publié par l’école. « Cela peut se faire par le biais de la première série primaire de vaccination contre le COVID-19 ou de l’un des rappels COVID-19 les plus récents. »
Les étudiants qui ne présentent pas les documents approuvés ne pourront pas s'inscrire aux cours, le site Web avertissant que s'ils "ne se conforment pas à tout moment à l'une des vaccinations requises, les suspensions d'inscription seront automatiquement appliquées".
Le Dr Mary Talley Bowden, praticienne au Texas et fondatrice de la Coalition pour la liberté de la santé, a déclaré à Epoch Times que le vaccin contre la COVID-19 est inefficace, mais que rendre obligatoire des procédures médicales viole les droits protégés par la Constitution des étudiants.
« Je suis profondément préoccupé par le fait qu'une université autrefois considérée comme la meilleure du pays ait adopté une politique qui ignore complètement les données montrant que les vaccins contre la COVID n'empêchent pas la transmission », a déclaré le Dr Bowden.
« De plus, rendre obligatoires les injections de COVID viole les droits de l’homme et constitue une discrimination à l’égard des étudiants en établissant des règles qui ne s’appliquent qu’à eux, mais pas à l’ensemble du campus. »
Bien que les étudiants soient tenus de se faire vacciner contre le COVID-19, il est recommandé mais non obligatoire pour les membres du corps professoral ou le personnel de l’école, selon les services de santé de l’université Harvard (HUHS).
"Le HUHS n'exige plus que les employés soumettent des documents sur le vaccin COVID-19", indique le site Web. « Alors que nous nous efforçons de maintenir les niveaux élevés de vaccination nécessaires pour protéger notre communauté, Harvard recommande fortement d'être à jour selon la définition du CDC pour tous les membres de la communauté de Harvard, y compris les professeurs, les étudiants, le personnel et les chercheurs, qui auront des problèmes. présence sur le campus.
Les responsables gouvernementaux ont commencé à faire pression sur les écoles pour qu’elles incitent les élèves à se faire vacciner presque immédiatement après son arrivée sur le marché.
En 2021, Jerome Adams, alors chirurgien général, a exhorté les écoles à rendre obligatoire le vaccin contre le COVID-19 dans une « Lettre ouverte aux dirigeants de l’enseignement supérieur ». M. James a déclaré qu’il « demandait aux dirigeants de prendre des mesures énergiques pour se rapprocher le plus possible de 100 % de leurs étudiants, professeurs et personnel vaccinés au début de l’année universitaire ».
La lettre poursuit en disant que pour « tous les collèges et universités, nous encourageons également les mesures visant à faciliter la vaccination. Organisez des cliniques de vaccination éphémères pour rencontrer les étudiants à leur retour sur le campus, y compris lors de l'emménagement, de l'orientation, des matchs de football et des hayons, ainsi que lors d'événements de la vie étudiante. Offrir des congés payés au personnel et aux professeurs pour se faire vacciner et en cas d'effets secondaires. Engagez-vous auprès de vos dirigeants étudiants pour faire connaître la vaccination aux autres étudiants. ... L'engagement entre pairs est l'un des meilleurs moyens de parvenir à un changement de comportement chez les jeunes adultes.
Controverse
Cependant, au cours des deux dernières années, les vaccins contre la COVID-19 ont été embourbés dans la controverse. Les vaccins originaux contre le COVID-19 ont été pris par plus de 80 pour cent des Américains après que les autorités se sont engagées à ce que les vaccins préviennent efficacement la contraction et stoppent la propagation de la maladie.
Cependant, une fois qu’il a été révélé que les injections n’avaient pas fonctionné comme promis, l’intérêt pour le rappel ultérieur a considérablement diminué.
Les vaccins pourraient également être attribués à de nombreux rapports faisant état d’effets néfastes sur la santé qui auraient été causés par les injections. Les vaccins contre le COVID-19 ont été désignés comme principal suspect dans plus de 1,5 million de rapports d’événements indésirables, selon la base de données VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) de la Food and Drug Administration (FDA). Les chiffres pourraient être encore plus élevés. Une étude financée par la FDA à Harvard a révélé que les cas VAERS représentent moins de 1 pour cent des événements indésirables liés aux vaccins.
Malgré la controverse, les mandats de vaccination contre le COVID-19 continuent d'être en vigueur pour les étudiants de 70 ans (y compris Harvard) parmi les 800 meilleurs collèges des États-Unis, selon des données récentes acquises par No College Mandates. Cette organisation se décrit comme un « groupe de parents, de médecins, d’infirmières, de professeurs, d’étudiants et d’autres parties prenantes des collèges concernés travaillant vers l’objectif commun de mettre fin aux mandats de vaccination contre la COVID-19 ».
Lucia Sinatra, co-fondatrice de No College Mandates, a déclaré à Epoch Times que les preuves montrent que les établissements d'enseignement supérieur ont tourné le dos à la méthode scientifique.
« Je ne vois pas comment ils peuvent continuer à justifier une politique de mandat réservé aux étudiants au nom de la sécurité de la communauté », a déclaré Mme Sinatra. «Il y a de tels obstacles à empêcher toute sorte de débat ouvert sur ce que montrent les données réelles que c'est littéralement époustouflant.
« C’est idiot, et l’histoire n’aura pas une incidence positive sur ces institutions d’élite », a ajouté Mme Sinatra.
Le Dr Bowden affirme que la dynamique prend de l’ampleur, avec plus de 17 000 médecins et scientifiques appelant au retrait du marché des vaccins contre le COVID-19.
Cependant, pour mettre fin à ces mandats, il faudrait un changement de direction politique, selon le Dr Bowden, qui a aidé à former un comité d'action politique – Americans for Health Freedom – dédié au financement de campagnes soutenant cette cause.
« La pandémie a mis notre constitution à rude épreuve, et nous avons besoin que nos élus interviennent et protègent les personnes qui les ont élus », a déclaré le Dr Bowden. "Americans for Health Freedom s'efforce d'éduquer le public et de soutenir les politiciens qui se battront pour la liberté médicale."
Le plan de 25 milliards de dollars du gouvernement néerlandais pour se débarrasser des agriculteurs… et financé par les contribuables
Le gouvernement néerlandais affirme qu'il doit nationaliser la moitié des terres des éleveurs de bétail - une superficie équivalente à environ un tiers de la Hollande - afin de réduire l'azote, mais les experts estiment que ce plan présente de sérieuses lacunes.
Par Dr Joseph Mercola Mondialisation.ca, 09 février 2024
L’histoire en un coup d’œil :
Les éleveurs néerlandais possèdent 70 % du territoire de la Hollande, mais le gouvernement fait pression pour que 50 % de leurs terres soient rachetées, sous prétexte que cela est nécessaire pour réduire la pollution.
Selon les experts, la volonté de se débarrasser des agriculteurs n’a rien à voir avec l’environnement, mais vise plutôt à prendre le contrôle de terres précieuses. Les modèles informatiques utilisés par le gouvernement pour étayer son plan de réduction de l’azote par l’achat de terres agricoles reposent sur l’hypothèse erronée que l’azote migre d’un champ à l’autre.
Les organisations non gouvernementales (ONG), qui sont principalement financées par le gouvernement, sont à l’origine de la campagne visant à expulser les agriculteurs de leurs terres, ce qui fait d’elles des prolongements du gouvernement. Un fonds gouvernemental de 25 milliards de dollars, créé avec l’argent des contribuables, a été mis en place pour acheter les terres des agriculteurs ; une fois qu’un agriculteur aura vendu ses terres, il lui sera légalement interdit d’établir une exploitation agricole ailleurs en Europe. Nitrogen 2000 est un documentaire important de 45 minutes sur la lutte des agriculteurs néerlandais de 2019 à 2023. Les éleveurs néerlandais possèdent 70 % du territoire de la Hollande, mais en 2019, le gouvernement a commencé à faire pression pour obtenir le rachat forcé de 50 % de leurs terres, sous prétexte que cela est nécessaire pour réduire la pollution.
Mais pour les quelque 60 000 agriculteurs des Pays-Bas, l’agriculture est un mode de vie, souvent transmis de génération en génération, qui est nécessaire pour fournir de la nourriture à la population.
Selon un communiqué de presse du film, “les agriculteurs néerlandais sont ceux qui produisent le plus de nourriture par hectare, et les Pays-Bas sont le deuxième exportateur mondial de produits agricoles”.
Les fermes sont imbriquées dans le tissu de leurs communautés, de sorte que “tout le monde, même si vous vivez en ville comme à Amsterdam ou à Rotterdam, à cinq minutes en voiture, vous verrez des vaches, vous verrez des terres agricoles… C’est tellement ancré dans notre société, dans notre mode de vie, que les agriculteurs font partie de notre culture. Tout le monde a un membre de sa famille qui a été agriculteur”, explique le commentateur politique Sietske Bergsma.
Mais comme l’explique dans le film le professeur Han Lindeboom, écologiste marin à l’université et au centre de recherche de Wageningen, “le gouvernement a adopté la position selon laquelle nous avons un énorme problème avec la nature et qu’en raison des réglementations de l’UE ( [European Union]), nous devons la sauver”. Et aujourd’hui, nous voulons résoudre ce problème en éliminant simplement un grand nombre d’exploitations agricoles”.
Le gouvernement néerlandais affirme qu’il doit nationaliser la moitié des terres des éleveurs de bétail – une superficie équivalente à environ un tiers de la Hollande – afin de réduire l’azote, mais les experts estiment que ce plan présente de sérieuses lacunes.
L’azote est-il vraiment le problème ? Le carbone et l’azote ont été déclarés ennemis de l’environnement par les autorités du monde entier, ce qui a entraîné toute une série de restrictions. Les Nations unies ont déclaré que l’azotedoit être géré afin de sauver la planète, et l’azote est décrit comme “l’un des problèmes de pollution les plus importants auxquels l’humanité est confrontée”.
L’azote se trouve non seulement dans les engrais, mais il constitue également environ 70 % de l’airet est essentiel à la croissance des plantes.
“L’azote n’est un problème que pour quelques plantes”, explique M. Lindeboom. “Il y a certaines plantes qui ne l’aiment pas et qui disparaissent. D’autres plantes l’apprécient et apparaissent. En fait, ce que l’on fait, c’est changer la nature”.
“Ils ont déclaré que l’azote était le principal problème”, poursuit M. Lindeboom, conseiller auprès de l’Institut royal néerlandais de recherche sur la mer (NIOZ), dans le communiqué de presse. “Eh bien, je suis un expert en azote et j’ose dire qu’il ne l’est pas”.
Selon M. Lindeboom, les modèles informatiques utilisés par le gouvernement pour étayer son plan d’achat de terres agricoles reposent sur l’hypothèse erronée que l’azote migre d’un champ à l’autre.
L’UE abrite également le plus grand réseau de zones protégées au monde, une zone connue sous le nom de Natura 2000, qui couvre 18 % du territoire de l’UE. Rien qu’en Hollande, il existe 162 zones Natura 2000. Dans 118 d’entre elles, on dit qu’il y a des organismes vivants qui n’aiment pas trop l’azote.
“En 2021, le réseau Natura 2000 de l’Union européenne a publié une carte des zones des Pays-Bas qui sont désormais protégées contre les émissions d’azote. Tout agriculteur néerlandais dont l’exploitation se trouve à moins de cinq kilomètres d’une zone protégée Natura 2000 devra désormais réduire considérablement sa production d’azote, ce qui limitera sa production”, explique Roman Balmakov, journaliste à l’Epoch Times et animateur de l’émission “Facts Matter” (Les faits comptent).
Le gouvernement oblige les agriculteurs à quitter le pays De nombreux agriculteurs néerlandais risquent à présent de perdre leur exploitation en raison des règles controversées sur l’azote.
L’agriculteur Jos Block dit :
“Les règles relatives à l’azote nous posent de nombreux problèmes, car notre exploitation est située à proximité de Natura 2000 et dans cette zone. Et c’est vraiment un problème pour nous. C’est ma terre. Je suis le propriétaire. Mais il s’agit également d’une zone naturelle, Natura 2000.
“Dans ce domaine, le gouvernement affirme que nous devons réduire de 95 % l’azote qui sort des étables.
Mais des experts, dont M. Lindeboom, estiment que cette mesure n’est “absolument pas nécessaire pour sauver la nature” et que le gouvernement “s’en prend beaucoup trop aux agriculteurs”.
Le producteur laitier néerlandais Nynke Koopmans, du Forum pour la démocratie, fait partie de ceux qui pensent que le problème de l’azote est inventé.
“C’est un gros mensonge”, dit-elle. “L’azote n’a rien à voir avec l’environnement. Il s’agit en fait de se débarrasser des agriculteurs”. Un autre agriculteur a déclaré que si les nouvelles règles relatives à l’azote entraient en vigueur, il devrait réduire son troupeau de 58 vaches laitières à six. Le spécialiste de l’azote Jaap C.
Hanekamp, docteur en sciences, travaillait pour un comité gouvernemental d’étude de l’azote, chargé d’analyser le modèle d’azote du gouvernement.
Il l’a dit à Balmakov :
“L’ensemble de la politique est basé sur le modèle de dépôt concernant la manière de traiter les émissions d’azote dans les zones naturelles.
“J’ai examiné les études de validation et j’ai montré que le modèle est en fait merdique. Il ne fonctionne pas. Et cela n’a pas d’importance. Ils continuent à l’utiliser. Ce qui est, dans un sens, troublant. Je veux dire, vraiment, pouvons-nous faire une telle chose en termes de politique ? Utiliser un modèle qui ne fonctionne pas ? Il ne s’agit jamais d’innovation, mais toujours de se débarrasser des agriculteurs”.
Depuis quelque temps, le gouvernement néerlandais resserre progressivement son emprise sur les agriculteurs. Chaque année, les agriculteurs doivent fournir des informations détaillées sur le nombre de vaches qu’ils élèvent et sur le nombre de vaches qu’ils prévoient d’élever à l’avenir.
Le gouvernement impose également aux agriculteurs le type de cultures qu’ils doivent pratiquer et exige des analyses compliquées et coûteuses du fumier pour détecter la présence de phosphates et d’ammoniac, ce qui entraîne une hausse des coûts et une baisse des revenus des agriculteurs.
Les ONG financées par le gouvernement font pression pour se débarrasser des agriculteurs Les ONG, qui sont principalement financées par le gouvernement, sont à l’origine de la campagne visant à expulser les agriculteurs de leurs terres, ce qui fait d’elles des prolongements du gouvernement. Un fonds gouvernemental de 25 milliards de dollars, créé avec l’argent des contribuables, a également été mis en place pour acheter les terres des agriculteurs.
Lorsqu’un agriculteur vend ses terres, il lui est légalement interdit de s’installer ailleurs en Europe. Entre-temps, les ONG peuvent même finir par cultiver la terre une fois qu’elles ont évincé l’agriculteur.
Selon le communiqué de presse du film :
“Les ONG – à savoir Dierenbescherming, Varkens in Nood, Greenpeace, Vogelbescherming, Natuurmonumenten – sont les principales organisations qui font pression en faveur de la politique de l’azote.
“Leur budget est financé par le gouvernement néerlandais. Lorsqu’un agriculteur est racheté, les ONG deviennent les gardiennes de la terre et, dans certains cas, remettent des vaches sur la terre pour la gérer.
Commentant cette politique, l’agriculteur Bolk a déclaré : “Je fais la même chose que les organisations de protection de la nature en Hollande… Je trouve très étrange qu’un agriculteur ne soit pas autorisé à le faire, mais qu’une organisation de protection de la nature puisse faire la même chose que moi et qu’il n’y ait pas de problème d’azote”.
Le véritable agenda, cependant, peut être retracé jusqu’au Club de Rome, un groupe de réflexion qui s’est aligné sur le néo-malthusianisme – l’idée qu’une population trop nombreuse décimerait les ressources – et qui avait l’intention de mettre en œuvre un agenda mondial de dépopulation.
Ils ont rédigé un document incroyable dans lequel ils déclarent : “Nous avons besoin d’une nouvelle justification pour cet État tout-puissant””, a déclaré le journaliste international Alex Newman. “La nouvelle excuse sera donc de dire que l’environnement va être endommagé et que le climat va nous nuire.
M. Balmakov poursuit :
“Je n’arrivais pas à croire ce que je venais d’entendre, à savoir que les dirigeants du monde avaient réellement exposé ce plan mondialiste en termes clairs dans un livre physique, dès 1991. Je suis allé sur Amazon. Et tenez, le voilà.
La première révolution mondiale”, qui déclare, je cite : “En cherchant un ennemi commun pour nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et d’autres choses du même genre feraient l’affaire. Et donc, le véritable ennemi, c’est l’humanité elle-même”.
Dans sa quête de réduction de l’azote, le gouvernement néerlandais cible les agriculteurs et non l’industrie, comme les briqueteries, qui produisent également de l’azote pour construire de nouvelles maisons. La raison, selon de nombreuses personnes, réside dans la terre elle-même.
La crise de l’azote est-elle une couverture pour le contrôle des terres ? Des méthodes agricoles innovantes et des changements dans l’alimentation peuvent réduire les émissions du bétail. Mais même lorsque les agriculteurs ont dit au gouvernement qu’ils étaient prêts à se débarrasser de leurs vaches, mais pas de leurs terres, le gouvernement a refusé.
“Sous le couvert de la démocratie et du libéralisme, ils suppriment des droits“, déclare le commentateur politique Sietske Bergsma. Et la plupart des gens s’en accommodent parce qu’ils se sentent responsables – peut-être parce qu’il est si “progressiste” de se préoccuper du climat – et qu’ils sont prêts à sacrifier leur propre bien-être.
Le récit est basé sur la peur et sur le fait de dire aux gens ce qu’ils doivent faire pour être en sécurité.
“Nous avons payé un prix très élevé pour cela, car nous avons renoncé à toutes nos libertés pour nous sentir en sécurité”, ajoute M. Bergsma. “Et évidemment, cette sécurité est aussi très factice parce qu’on ne peut pas être en sécurité sans être libre. Il ne s’agit pas de sauver la planète. Il s’agit de contrôler le gouvernement, car c’est en fait ce qui se passe.”
Une fois les agriculteurs évincés, les mondialistes suggèrent que la consommation d’insectesprotégera la planète en éliminant le besoin de bétail, en réduisant l’utilisation des terres agricoles et en protégeant l’environnement.
L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture encourage également la consommation d’insectes et d’aliments à base d’insectes.
En 2023, la Commission européenne a approuvé deux programmes néerlandais visant à racheter les terres des agriculteurs.
Bien que certains agriculteurs aient protesté contre les plans de réduction des émissions d’azote, plus de 750 agriculteurs néerlandais s ‘étaient inscrits au programme de rachat en novembre 2023, et environ 3 000 devraient être éligibles au programme.
Des programmes similaires sont également à l’étude au Canada, en Irlande et aux États-Unis.
Mais en fin de compte, comme l’explique le journaliste environnemental Rypke Zeilmaker:
“Il ne s’agit pas de protéger la nature. Seuls ceux qui, dans ce processus, ont acquis le plus d’argent auront le pouvoir de gouverner.
“Il s’agit de donner le contrôle des ressources entre les mains d’un petit nombre. Regardez le pouvoir des ONG. Qui soutiennent-elles vraiment ? Qui leur verse de l’argent ? Ce sont toujours les gouvernements et les milliardaires qui le font. …
“Il s’agit donc de la relation entre le gouvernement et les ONG. Dans une certaine mesure, vous pouvez vendre le public. Vous pouvez acheter l’opinion publique. …
“Il s’agit avant tout de faire peur. Il s’agit de faire craindre l’avenir aux gens pour qu’ils approuvent des politiques qu’ils n’approuveraient jamais s’ils étaient sobres.
'Les [politiques] ce sont des fouilles-merdes !" disait Suzanne Flon dans le film 'En toute innocence'. Pourquoi je vous (re)parle de Fukushima aujourd'hui ? Parce que c'est çà !
Le 11 Mars 2011 il y a eu un tremblement de terre de magnitude 9 ai large du Japon. Ce n'est pas grave pour une centrale nucléaire qui peut en supporter le double car cette place-forte est construite pour. Oui mais... car il y a un mais (çà alors !!), les réacteurs (comme de partout dans le monde) sont approvisionnée en eau depuis les fleuves, mers ou océans. ET donc, pour ce transfert il est nécessaire d'avoir des pompes et des tuyaux. Oui mais, là où le bat blesse c'est que ces tuyaux (en fer ou en PVC) sont posés à-même le sol jusqu'aux réacteurs. C'est pourquoi, lorsqu'arrive une forte secousse... ils se cassent !! Çà alors !! C'est pété ! Bêh oui 'C'est pété' !
ET là, on se pose la question "Mais pourquoi ces GROS CONS D’INGÉNIEURS-DE-MES-DEUX ne les ont pas monté sur vérins ??!"
Réponse:... TOUTES les centrales électrique du monde sont construite sur le même modèle !" AÎE-aïe-aïe !!! (Y a des cons partout ! et au-dessus y a des super-cons et au-dessus des suprt-gros-cons qui dirigent les pays !). C'est pourquoi - vous le comprendrez bien - les merdias du monde entier n'ont pas parlé de cette affaire des tuyaux mais porté les gros titres sur 'le danger du nucléaire' !!!
Bref, vous l'avez compris, les monarchies, républiques et empires sont des dictatures dirigées par des gros-gros cons ! Et là, vous vous dites, mais pourquoi parler de Fukushima aujourd'hui ? Parce que les inviteurs comme les invités de Davos où autres connards de l'informatique, l'IA ou de la voiture électrique n'en savent pas plus que vous mais eux, eux ils ont des milliards pour faire croire qu'ils sont intelligents (mais n'ont pas eu le temps d'explicationner à la TEPCO japonaise le pourquoi des vérins seraient une bonne chose à mettre aux tuyaux). Voilà-voilà !
Les points de suspension ne remplacent pas les vérins !
C'est un peu l'histoire de l'italien Christopho Colombo (contemporains de Léonardo de Vinci) qui emporta de l'eau en tonneaux pour... traverser l'Atlantique 'vers les Indes' !! Car à l'époque du 'très grand savant de Vonci, ils ne savaient même pas dessaler l'eau de mer !! (au 16e siècle !).
Enquête appréciative : évaluation du développement, valeurs qui sous-tendent la recherche, apprentissage par la pratique, collecte de données
Méthodes d’enquête appréciative et de collecte de données : réflexions sur le travail en tant qu’ancien coordonnateur de recherche
Par Tina Rénier Recherche mondiale, 9 février 2024
J'ai commencé mon parcours au Centre for Employment Innovation le lundi 26 octobre 2020 en tant que coordonnateur de recherche pour les projets Nova Scotia Works Diversity et Inclusion & Certification au Canada. Ce fut un mandat passionnant, accueillant et aussi difficile pour essayer de donner un sens à la grande variété de documents à examiner, comprendre et analyser, couplés aux lectures sur les méthodes de collecte et d'analyse de données pour le cours d'évaluation développementale pour l'impact social .
Introduction
L’enquête appréciative s’est démarquée pour moi, car il s’agit à la fois d’une philosophie de recherche et d’une utilisation dans la collecte de données.
J'ai appris que l'enquête appréciative est un cadre ou une approche qui centre les contributions de la communauté et des parties prenantes dans un changement autodéterminé. Il est utilisé pour identifier les défis d’un point de vue systémique et pour examiner les forces des équipes et des communautés en utilisant les capacités internes.
Par exemple, au lieu qu'un expert extérieur demande à une communauté : « Qu'est-ce qui ne va pas et que puis-je faire pour résoudre le problème ? » un évaluateur développemental qui utilise l’approche d’enquête appréciative demanderait à la communauté :
Quels étaient les points forts ?
Quels ont été les points de tensions, de revers et de faiblesses ? Qu'avons-nous appris et que pouvons-nous appliquer à partir des moments forts dans le prochain plan d'action ? »
Cela est évident dans l'argument de Michael Patton (2011), où il affirme qu'un évaluateur développemental est intégré au projet et qu'il ne se contente pas de collecter des données, de les analyser et de rédiger un rapport, mais qu'il engage activement les communautés et les parties prenantes (p. 305). Il a ensuite expliqué que le processus de co-création implique : conceptualiser ensemble l'innovation sociale, générer des questions d'enquête, déterminer quelles données collecter et comment les collecter, suivre l'évolution des conditions, ce qui émerge et prêter attention aux nouveaux apprentissages ( Patton, 2011, p.307).
Cela signifie donc que l’enquête appréciative nécessite un changement de pensée, passant d’une vision des problèmes comme une question de déficit individuel à une reconnaissance du fait que les membres de l’écosystème ont un rôle déterminant à jouer dans l’innovation et le changement sociaux. Le changement ne se produit pas de manière linéaire et prévisible, et il ne se produit pas non plus lorsqu'il y a « UNE VOIX » qui façonne, dirige et détermine le récit. Le changement se produit lorsque la communauté impliquée est capable de se considérer comme des partenaires dans le processus de changement plutôt que comme de simples bénéficiaires des avantages du programme. Tous les membres de la communauté et les parties prenantes doivent être impliqués dans la conceptualisation, la conception, la collecte de données, leur analyse et l'élaboration du rapport comme un groupe, en assemblant les pièces d'un grand puzzle pour donner un sens à la situation dans son ensemble.
Ceci est directement lié à mes expériences de travail passées où nous en sommes aux premières phases de création d'une évaluation évolutive pour les deux projets. Nous n'en étions pas au stade où nous faisions des entretiens et des discussions de groupe, mais nous en sommes au stade où je dois collecter des données en temps réel, comme assister à des réunions Zoom/Microsoft Teams, échanger des e-mails et écouter des informations importantes de manière informelle. des espaces tels que des déjeuners-débats ou des réunions en face à face où nous nous éloignons socialement.
J'ai personnellement été témoin de cas où les discussions peuvent s'écarter du point initial de l'ordre du jour, puis je poserai des questions de clarté telles que « pourriez-vous partager plus de détails sur les raisons pour lesquelles il en est ainsi ? et les participants me donneraient un contexte politique et historique plus large sur les origines d'un problème - c'est-à-dire les obstacles multiples et systémiques qui empêchent les Afro-Néo-Écossais et les personnes d'ascendance africaine de trouver un travail intéressant et pourquoi cela persiste.
J'observerais ensuite les moments de tension jusqu'aux moments où le groupe décide de la manière de procéder, soit en forgeant des partenariats avec des innovateurs sociaux qui ont des objectifs similaires, soit en s'appuyant sur l'expertise des membres de la communauté locale pour le soutenir au fur et à mesure du développement du programme.
Apprendre par la pratique est la clé. J'ai appliqué ce que Patton (2011) appelle « la réactivité situationnelle en tant qu'évaluateur du développement » (p. 314). La réactivité situationnelle consiste simplement à savoir quand être une voix active, quand être interactif avec l'équipe et quand être réactif ou permettre aux conversations et aux orientations d'action de se dérouler de manière organique. En d'autres termes, on ne s'attend pas à ce qu'un évaluateur développemental soit « complètement silencieux ou domine la discussion » lors des réunions ou qu'il collecte toute forme de données en temps réel.
L’enquête appréciative me met également au défi de comprendre qu’avant de collecter/recueillir des données, j’ai besoin de savoir quelles sont les valeurs qui sous-tendent la recherche, quelles données collecter, dans quel but et pour qui ?
Cela nous amène à la lecture du cours de Cobb et Donnelly (2015), où tous deux affirment que les valeurs qui sous-tendent un projet sont les mêmes que celles qui éclairent l'évaluation (p.6). J’ai immédiatement lié cette citation en réfléchissant au travail du Centre pour l’innovation en emploi (CEI). Bien que la recherche et l’innovation soient l’un des quatre (4) piliers de notre travail, la recherche et l’innovation ne sont pas isolées mais s’associent à la collaboration et à l’engagement. Nous effectuons des recherches communautaires, axées sur les praticiens et qui cherchent également à identifier des pratiques innovantes ou exemplaires pour rendre le développement et la prestation de services d'emploi plus diversifiés et inclusifs. Après avoir établi ces principes et objectifs clairs, il est préférable de déterminer quelles méthodes de collecte de données doivent être utilisées. Les enquêtes sont des méthodes de collecte de données quantitatives populaires utilisées dans la recherche pour notre entreprise et d’autres institutions.
Les méthodes de collecte de données quantitatives telles que les enquêtes sont avantageuses en termes de coût et de rapidité et répondent à des questions telles que combien ou quel pourcentage d'une population est affecté par le problème à étudier ? (Ferris, 2011). Cependant, l'inconvénient de l'utilisation de méthodes quantitatives de collecte de données telles que les enquêtes est que vous avez besoin d'un statisticien expérimenté pour développer l'instrument de collecte de données de manière à ce que la population à enquêter représente la population générale (échantillon représentatif) en utilisant un intervalle de confiance. Par exemple, dans un projet de recherche de groupe de 2018 intitulé « Les facteurs socio-démographiques qui affectent la participation électorale aux élections générales de 2011 en Jamaïque », les chercheurs, dont moi-même, ont interrogé 1 500 personnes en utilisant un intervalle de confiance de 95 %. Il n'est pas possible d'enquêter sur l'ensemble des 2,9 millions d'habitants de la Jamaïque. L'intervalle de confiance a donc été utilisé pour aider les chercheurs à constituer un échantillon représentant la population totale. Sans cela, lorsqu’il s’agira d’interpréter et d’analyser des données quantitatives, celles-ci seront inexactes et pratiquement inutiles.
De plus, les chiffres ne peuvent à eux seuls donner une idée complète des raisons pour lesquelles un problème existe/persiste et comment il affecte une communauté . Cela ne veut pas dire que les méthodes quantitatives de collecte de données ne sont pas importantes, mais cela dépend de l'objectif de la recherche, du problème à étudier, des questions de recherche et des valeurs de la recherche.
C’est là que les méthodes qualitatives de collecte de données telles que les discussions de groupe et les entretiens approfondis deviennent plus utiles. Selon Curry (2015), les entretiens approfondis explorent les expériences et les perceptions individuelles de manière riche en détails, tandis que les discussions de groupe génèrent des informations uniques sur les expériences et les normes partagées. Celles-ci s'appliquent aux phases précédentes des rapports d'évaluation de développement du projet Nova Scotia Works Diversity and Inclusion et à la nouvelle phase du projet sur lequel j'ai travaillé. Les entretiens approfondis sont utiles lorsqu'un évaluateur/chercheur en développement souhaite aborder un sujet sensible en examinant un point de vue individuel en profondeur et dans le cas du projet, les sujets sensibles engloberaient la discrimination, l'exclusion, les sentiments d'aliénation sur le lieu de travail. ou ne pas trouver de travail pendant de longues périodes, racisme, etc.
Un défi majeur avec cette méthode de collecte de données est de savoir comment établir un climat de confiance avec le participant afin qu'il n'y ait aucune crainte de représailles. Ceci est lié au thème de « l'éthique de la recherche » où vous suivez un ensemble de principes ou de lignes directrices pour garantir la protection d'un participant, comme la confidentialité, l'anonymat et le consentement éclairé, mais l'éthique en soi ne permettra pas à un participant victime de l’oppression institutionnalisée/systémique pour s’exprimer avec audace. J'ai appris quelques idées lors des séances en petits groupes du cours Évaluation développementale pour l'impact social, où un chercheur doit respecter à la fois l'éthique et trouver des façons créatives de poser des questions d'entretien pour obtenir des idées ou des détails riches, ce qui inclut : avoir un ton conversationnel, relation entre le chercheur et le participant mais sans être trop impliqué, écoute active et empathique et pose de questions très claires ou simples. Vous pouvez poser des questions qui évoquent des images ou lier les questions à des thèmes culturellement pertinents ou sensibles. Par exemple, les peuples d'ascendance africaine sont liés à une histoire et une culture d'oralité ou d'expressions orales. Si vous pouvez lier les questions à des expressions proverbiales populaires, à des danses ou à des chants communautaires, ou à toute coutume communautaire, ce serait un bon moyen de les impliquer et de les encourager. une communication plus détendue et authentique.
D’un autre côté, les discussions de groupe sont un moyen d’obtenir un point de vue de groupe sur une question de manière très détaillée. Les discussions de groupe sont idéales pour inclure des personnes d'horizons divers et de générations différentes afin d'élargir le spectre de l'examen d'un problème et elles fourniront un espace sûr, en particulier pour les membres de la communauté qui ne sont pas alphabétisés ou qui hésitent à s'exprimer seuls. Le défi d'un groupe de discussion est d'observer et de contrôler la dynamique du pouvoir : ceux qui s'expriment avec audace contre ceux qui ne le font pas, le point de vue des hommes contre le point de vue des femmes, les vieux contre les jeunes, etc. Il est essentiel qu'une opportunité juste et égale soit donnée aux différentes voix de partager leurs expériences et leurs perceptions et il est tout aussi essentiel qu'un chercheur accorde une attention particulière aux moments de silence et au moment où il doit intervenir pour donner à un autre membre du groupe une chance de partager. Ce que je retiens le plus de ce cours sur l'évaluation développementale de l'impact social vient de la Dre Paula Romanow vers la fin de la discussion de jeudi, où elle dit que lors de l'analyse de données qualitatives, même si une personne partage son expérience ou sa perception, cela reste important.
Des bugs au menu ? Les politiques climatiques et ESG de Biden menacent l’approvisionnement alimentaire, prévient un groupe de réflexion
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 10 FÉVRIER 2024 - 03h40 Rédigé par Tom Ozimek via The Epoch Times
Un nouveau rapport du groupe de réflexion de droite The Buckeye Institute a tiré la sonnette d’alarme sur les politiques de contrôle climatique zéro émission nette de l’administration Biden et sur le fait que les points à l’ordre du jour menacent la production alimentaire américaine.
Le rapport, publié le 7 février, révèle que les politiques et mandats climatiques guidés par le programme environnemental, social et de gouvernance (ESG) poussé par l’administration Biden entraînent un prix élevé pour les agriculteurs et les consommateurs américains.
"Pour mieux apprécier les coûts réels que les fermes et les ménages américains paieront probablement pour les politiques et les objectifs de zéro émission nette de l'administration Biden, le centre de recherche économique du Buckeye Institute a développé une ferme de maïs modèle qui doit respecter les nouvelles règles du gouvernement en matière d'émissions de carbone", a écrit les auteurs du rapport, Trevor W. Lewis et M. Ankith Reddy, tous deux analystes de recherche économique au sein du groupe de réflexion.
"Comme prévu, les coûts d'exploitation de la ferme ont tous augmenté de manière significative", ont-ils ajouté.
En analysant les chiffres, les chercheurs ont découvert que les agriculteurs américains verront leurs coûts d’exploitation augmenter d’environ 34 % grâce aux politiques de zéro émission nette de l’administration Biden.
Non seulement le modèle prédisait que les politiques gouvernementales de tarification du carbone augmenteraient les coûts d’exploitation des exploitations agricoles, mais les consommateurs seraient également confrontés à un coup dur pour leur portefeuille.
"La tarification du carbone augmentera la facture moyenne des courses aux États-Unis de 110 dollars par mois, soit 1 330 dollars par an, soit 15 pour cent", estiment les chercheurs.
Menace pour l'approvisionnement alimentaire Les politiques du gouvernement en matière de zéro émission nette que le rapport Buckeye a prises en compte dans son analyse incluent les implications de la réadhésion aux Accords de Paris sur le climat, qui ciblent les émissions de gaz à effet de serre.
Afin d’atteindre les objectifs du pacte climatique, l’administration Biden s’est engagée à réduire les émissions de gaz à effet de serre de l’Amérique de 50 à 52 % d’ici 2030 et à atteindre zéro émission nette à l’échelle de l’économie d’ici 2050.
« Pour parvenir à l’économie décarbonée souhaitée par l’administration, il faudra des politiques agressives de réduction des émissions climatiques qui drainent et remplacent les combustibles fossiles de tous les secteurs de l’économie américaine », écrivent les auteurs du rapport.
L’administration Biden a déjà commencé à mettre en œuvre des politiques réglementaires strictes destinées à réduire les émissions de carbone du secteur énergétique américain, tandis qu’une règle finale imminente sur les rapports ESG, qui doit entrer en vigueur en avril 2024, menace d’imposer la conformité carbone à d’autres secteurs.
Beaucoup de ces politiques ont été testées en Europe, les chercheurs concluant que les résultats ont été un « échec total ».
« Malgré ces avertissements retentissants de la part de leurs homologues européens, les décideurs politiques américains ont réengagé l’industrie américaine à respecter les mêmes normes d’émissions nettes nulles et ont imposé le même type d’obligations coûteuses aux fermes et aux entreprises qui, en fin de compte, réduiront les approvisionnements alimentaires et énergétiques sans atteindre les avantages escomptés. " ils se disputèrent.
« Les résultats de la modélisation de Buckeye étaient prévisibles et peu surprenants, mais de nombreux décideurs américains ne semblent pas disposés à les aborder, ni même à les reconnaître. Cela doit changer, sinon les États-Unis seront confrontés à des conséquences économiques désastreuses », conclut le résumé du rapport.
La Maison Blanche n’a pas répondu à une demande de commentaires sur les conclusions du rapport.
Will Hild, directeur exécutif de Consumers’ Research, a commenté le rapport dans un article sur X.
« Les agriculteurs et les éleveurs dépensent des sommes énormes pour tout, depuis les engrais, les semences et les aliments pour animaux jusqu'aux machines lourdes et aux pesticides, pour produire la nourriture que nous mangeons. Pourtant, le culte du climat et les élites ESG font monter en flèche ces coûts », a-t-il écrit.
« Cela impose un fardeau financier plus lourd aux producteurs agricoles et impose des coûts alimentaires plus élevés aux Américains qui travaillent dur », a-t-il poursuivi.
« Les moyens de subsistance des agriculteurs et des éleveurs américains ne devraient pas être menacés en raison de coûts d’exploitation gonflés ou de la perte d’accès aux capitaux des banques réveillées. Le peuple américain ne devrait pas non plus être victime d’une taxe écrasante imposée sur ses produits d’épicerie par les extrémistes climatiques.»
« L’agriculture est la sécurité nationale »
Le rapport Buckeye intervient environ une semaine après qu’une douzaine de commissaires républicains à l’agriculture ont averti dans une lettre du 29 janvier adressée aux principaux dirigeants de banques que l’adhésion à l’Alliance bancaire nette zéro des Nations Unies aurait un impact négatif sur les agriculteurs et menacerait la sécurité alimentaire de l’Amérique.
Parallèlement à leur adhésion à l’alliance, des banques comme JPMorgan Chase et Bank of America se sont engagées à ce que les prêts qu’elles accordent « s’alignent sur la voie vers la carboneutralité d’ici le milieu du siècle ou avant ».
Tyler Harper, commissaire à l’agriculture de Géorgie et l’un des signataires de la lettre, a déclaré à Epoch Times dans une interview précédente que l’engagement en faveur de politiques de zéro émission nette avait un impact négatif sur la sécurité nationale.
« En fin de compte, l’agriculture est synonyme de sécurité nationale, et si nous ne sommes pas capables de nous nourrir en tant que nation, nous ne pouvons pas nous protéger », a-t-il déclaré.
"Quand vous regardez le Sri Lanka et les impacts dévastateurs que [les mandats climatiques] ont eu là-bas, vous regardez les Pays-Bas et ce qu'ils ont fait pour mettre en œuvre certaines de ces politiques là-bas et l'impact dévastateur que cela a eu sur leur économie agricole - nous avons vu Nous ne voulons pas que cela se produise ici », a ajouté M. Harper.
En 2019, après que le gouvernement du Sri Lanka a mis en œuvre des règles visant à réduire l’utilisation d’azote dans les engrais, les rendements des cultures se sont effondrés, entraînant de violentes manifestations qui ont finalement renversé le gouvernement.
Aux Pays-Bas, les tentatives réglementaires visant à imposer des politiques de zéro émission nette ont conduit à de nombreuses protestations de la part des agriculteurs.
« Veux-tu manger les insectes ? Pendant ce temps, un récent documentaire original d’Epoch intitulé « Pas d’agriculteurs, pas de nourriture : allez-vous manger les insectes ? explore les politiques de contrôle climatique préconisées par les gouvernements du monde entier et la manière dont ils forcent les agriculteurs à cesser leurs activités, menaçant ainsi l’approvisionnement alimentaire.
« C'est la prochaine crise mondiale qui est ignorée par les médias du monde entier », a déclaré à Epoch Times Roman Balmakov, animateur de l'émission « Facts Matter » d'EpochTV et réalisateur du documentaire, lors d'une interview en marge de la première mondiale du documentaire. film en septembre 2023.
Le documentaire plonge dans l’histoire de la « crise climatique » et comment elle a été conçue par les dirigeants du monde lors des conférences des Nations Unies sur l’environnement et le développement, également connues sous le nom de Sommet de la Terre, en juin 1992, peu après la fin de la guerre froide.
Le film plonge également dans l’Agenda 30, anciennement connu sous le nom d’Agenda 21, expliquant comment les politiques mondiales définies par l’ONU visent à mettre fin à l’agriculture privée et à créer une dépendance à l’égard d’un gouvernement mondial unique qui contrôlera l’approvisionnement alimentaire mondial.
"Les responsables de certaines des organisations les plus puissantes de la planète ont déterminé que l'agriculture, en particulier l'élevage, est responsable du réchauffement climatique et que le réchauffement climatique est responsable des prix élevés des denrées alimentaires et des pénuries alimentaires", a expliqué M. Balmakov. .
Le documentaire explore l’impact des politiques climatiques radicales au Sri Lanka et aux Pays-Bas, tout en explorant également l’impact des réglementations carboneutres et autres aux États-Unis.
Les solutions proposées par les gouvernements du monde entier pour résoudre le changement climatique « pourraient vous surprendre », déclare M. Balmakov dans le film.
"Selon les Nations Unies, [les insectes] pourraient en fait être votre futur dîner", dit-il.
Kevin Stocklin et Jana Pruet ont contribué à ce rapport.
En janvier froid, le réseau électrique du Texas a résisté... à peine
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 10 FÉVRIER 2024 - 01h00 Rédigé par Bill King via RealClear Wire,
Lors de la récente tempête hivernale Heather (du 13 au 16 janvier), le réseau texan a été en mesure de produire suffisamment d'énergie pour répondre à la demande, mais à peine. Depuis la tempête hivernale Uri (février 2021), il semble que des améliorations aient été apportées à la fiabilité de la production de gaz naturel. En outre, il y a eu des ajouts significatifs de capacité d’énergies renouvelables, principalement solaires, et une petite quantité de stockage d’énergie (batteries). Tout cela a contribué à empêcher un nouvel effondrement du réseau. Mais nous avons aussi eu de la chance. Cette tempête n'était pas aussi violente qu'Uri en termes d'intensité, de durée et de précipitations.
Pendant la tempête, les Texans ont utilisé une quantité record d'électricité en hiver, soit 78 138 mégawatts, le 16 janvier à 7 h 50. À ce moment-là, les données d'ERCOT montraient que le système disposait de 5 229 mégawatts en capacité de réponse physique (PRC). ERCOT commence à appeler des alertes lorsque les réserves d'exploitation tombent en dessous de 2 500 mégawatts. À 1 500 mégawatts, ERCOT commence des « pannes contrôlées », c’est-à-dire des pannes d’électricité en continu.
Il me semble donc qu’au plus fort de la tempête, nous avions environ 7 % de réserves. Le montant des réserves en pourcentage de la demande totale varie considérablement, même au cours d'une journée, mais se situe généralement entre 10 et 20 %. Ainsi, même si nous n’avons jamais menacé de voir la grille échouer cette fois-ci, je pense qu’il est probable que si Heather avait été aussi mauvaise qu’Uri, la grille aurait probablement échoué à nouveau, mais peut-être pas aussi gravement qu’avec Uri.
La récente tempête a cependant souligné une fois de plus le dilemme auquel le Texas est confronté avec sa combinaison actuelle de sources de production. Le jargon industriel pour cela est appelé le « mix énergétique ». Le Texas possède le mix énergétique le plus diversifié du pays, et beaucoup pourraient être surpris d'apprendre que le Texas génère le plus haut niveau d'énergies renouvelables du pays, l'éolien et le solaire contribuant à plus de 30 % de la production totale.
Le réseau du Texas a été principalement conçu pour fonctionner pendant la chaleur estivale, lorsque les pics de demande sont généralement limités à plusieurs heures en fin d'après-midi et en début de soirée. En hiver, lors des périodes de froid extrême, les pointes de demande peuvent être beaucoup plus longues. Dans le cas d'Uri, le pic de demande a duré plusieurs jours.
L’éolien et le solaire fonctionnent mieux en été. En règle générale, les énergies renouvelables ne fonctionnent pas très bien pendant les tempêtes hivernales. En raison des moins bonnes performances des énergies renouvelables et des périodes prolongées de forte demande, le réseau du Texas court un risque bien plus élevé de panne catastrophique en hiver.
La contribution de l’éolien et du solaire est tombée proche de zéro pendant plusieurs heures à Heather et pendant plusieurs jours à Uri. Par exemple, le 15 janvier à 7 heures du matin, l’énergie éolienne ne produisait que 4 700 mégawatts et l’énergie solaire était à zéro. À cette époque, l’énergie éolienne et solaire représentait moins de 7 % de l’électricité utilisée par les Texans.
Dans ces situations, la charge retombe sur d’autres sources, principalement le gaz naturel. À plusieurs reprises au cours de la récente tempête, le gaz naturel produisait près de 70 % de l’électricité du Texas.
Cette dynamique signifie que pour avoir un réseau fiable, nous devons disposer d’une capacité de production distribuable suffisante pour combler la différence lorsque le soleil ne brille pas et que le vent ne souffle pas. Pour l’instant, du moins, il s’agit de production de gaz naturel.
Mais le problème est que lorsque le vent souffle et que le soleil brille, l’énergie éolienne et solaire produit de l’électricité à un coût nettement inférieur, ce qui rend difficile la compétitivité du gaz naturel pendant ces périodes. Pour l’énergie éolienne, l’avantage en termes de coûts est presque entièrement imputable aux subventions gouvernementales. Mais l’énergie solaire arrive un peu en dessous du gaz naturel, sans aucune subvention, et le coût de l’énergie solaire continue de baisser.
Dans un système fondé sur le marché comme ERCOT, le problème de concurrence pour le gaz naturel est encore plus difficile à une époque où l’énergie éolienne et solaire produit beaucoup d’électricité. En effet, l’éolien et le solaire ont des coûts d’investissement initiaux élevés, mais les coûts marginaux (d’intrants) sont presque nuls. Même lorsque les prix de l’électricité sont très bas, les opérateurs éoliens sont incités à continuer de produire car leur principale filiale gouvernementale est basée sur la quantité d’électricité qu’ils produisent. Dans certains cas, les opérateurs éoliens continueront à produire même à des prix de marché négatifs (c’est-à-dire que le réseau est surapprovisionné en électricité) car ils continuent de percevoir le crédit d’impôt à la production. En revanche, les producteurs de gaz naturel, dont les coûts de carburant et d’exploitation sont importants, ne peuvent pas se permettre de continuer à produire lorsque le prix tombe en dessous de leurs coûts de production.
En conséquence, il existe aujourd’hui très peu d’incitations à investir dans la production de gaz naturel au Texas. Le Texas a récemment proposé un ensemble d'incitations pour développer une production supplémentaire de gaz naturel, notamment des prêts à faible taux. Il n’y avait pas de preneurs.
Ainsi, si le Texas veut être assuré qu’il disposera d’une énergie distribuable adéquate pour faire face à des conditions météorologiques extrêmes, l’État devra la subventionner avec l’argent des contribuables ou l’exiger par voie réglementaire, ce qui entraînerait en fin de compte une augmentation des tarifs. Je laisserai à un autre jour l’ironie d’une subvention gouvernementale entraînant la création d’une autre subvention gouvernementale ou d’une réglementation supplémentaire.
La seule autre alternative est de construire une capacité de stockage de l’électricité. Actuellement, cela signifie des piles. À un moment donné lors de la récente tempête, les batteries produisaient plus de 1 000 mégawatts. Le record absolu de contribution des batteries au réseau était de 2 172 mégawatts en février 2023. Ainsi, actuellement, les batteries apportent une très petite contribution.
On assiste à un boom de la construction de batteries de stockage, les utilisateurs d’électricité étant de plus en plus méfiants quant à la fiabilité du réseau. Et nous verrons probablement ce nombre continuer à augmenter. Cependant, comme vous pouvez le constater sur le graphique ci-dessus, le coût du stockage sur batterie est très élevé. Cela diminuera probablement avec le temps, mais il reste encore un long chemin à parcourir.
En raison des prix bon marché du gaz naturel et de la contribution significative de l'énergie éolienne et solaire, les Texans bénéficient des prix de l'électricité les plus bas du pays, soit 18 % inférieurs à la moyenne nationale. Mais ce faible coût a un prix : un manque inhérent de fiabilité du réseau. Et c’est une économie qui est souvent anéantie lorsqu’une tempête comme celle d’Uri cause des milliards de dollars de dégâts, sans parler du bilan humain.
Le réseau texan a tenu bon malgré cette tempête, mais la question à long terme de la construction d’un réseau fiable au Texas est loin d’être résolue.
Bill est un résident de longue date de la région de Houston. Il a mené une carrière variée en tant qu'homme d'affaires et avocat. Bill a été rédacteur d'opinion pour le Houston Chronicle de 2004 à 2015, écrivant plus de 400 chroniques et éditoriaux et siégeant finalement au comité de rédaction. En 1996, Bill a été élu au conseil municipal de Kemah, au Texas, où il a ensuite été maire de Kemah de 2001 à 2005. Il a perdu sa candidature indépendante à la mairie de Houston en 2015 lors de l’élection à la mairie la plus serrée de l’histoire de Houston.
"Le printemps est annulé" : les météorologues mettent en garde contre un "changement de configuration" des grosses tempêtes de neige dans le nord-est
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 09 FÉVRIER 2024 - 16H40
Les météorologues de X surveillent la prochaine grande tempête hivernale qui pourrait déverser de la neige sur le centre de l'Atlantique et le nord-est la semaine prochaine.
Mercredi, le rapport d'Arcfield Weather a montré que les températures supérieures à la normale dans la moitié est prendraient fin d'ici la fin du week-end.
Le printemps est annulé selon les dernières prévisions hebdomadaires européennes sur les anomalies de température. Il en est ainsi pendant la majeure partie du mois de mars. pic.twitter.com/HSwG7ZwCNX – Spot On Weather (@eulermatthew4) 9 février 2024
Bloomberg a noté dans un rapport : « La ceinture d'air arctique autour du pôle Nord, connue sous le nom de vortex polaire, est sur le point de s'affaiblir et d'envoyer une explosion froide vers les États-Unis. Et parce que le phénomène météorologique El Niño est en pleine force, les profondeurs le gel pourrait entrer en collision avec des conditions orageuses sur la côte Est pour libérer de la neige ce mois-ci. »
"Je pense qu'il y a quelques tempêtes de neige à venir", a déclaré Paul Pastelok, principal prévisionniste à long terme pour AccuWeather.
Pastelok a poursuivi: "Une ou deux grosses tempêtes ne sont pas hors de propos ici pour février ou début mars."
Les météorologues sur X ont publié une série de modèles qui prévoient une accumulation de neige au début de la semaine prochaine pour les régions du centre de l'Atlantique au nord-est.
Gagnant, gagnant, dîner de poulet… Nous avons un modèle de consensus !
Les analyses nocturnes des modèles européens et GFS se sont concentrées sur la NEPA comme point zéro pour la neige. Certains détails doivent encore être réglés en ce qui concerne la force de la tempête, l'emplacement des fentes sèches et la quantité d'humidité qui… pic.twitter.com/zsVeA04F7p – Mark Margavage (@MeteoMark) 9 février 2024
La tempête lundi/mardi la semaine prochaine préparera le terrain pour un changement de configuration qui « pourrait » produire une grosse chute de neige plus tard ce mois-ci. Celui-ci sera une pluie de neige pour Baltimore. Difficile d'avoir de grosses accumulations comme celle-là, mais il pourrait neiger pendant une partie du trajet du mardi matin. Restez à l'écoute...❄️🚂 pic.twitter.com/Yydv3eaMDl – Tony Pann (@TonyPannWBAL) 9 février 2024
6z GEFS vs EPS signifient des chutes de neige. GEFS est plus au sud avec le sud de l'AP jusqu'à New York dans la zone Bullseye. EPS est plus au nord avec un State College à Boston Bullseye. Penchant vers l'EPS. Mise à jour avec les exécutions du modèle 12z. #MdWx pic.twitter.com/OAMMCfu9Xc – Ryan Kane (@ryankanerWX) 9 février 2024
La menace de #neige augmente dans la vallée de l'Ohio lundi ?
Si nous parvenons à mettre ce système en phase, nous aurions juste assez d’air froid pour ❄️.
Beaucoup de pièces mobiles ici, pas encore un slam dunk, mais le dernier @CIPSAnalogs montre qu'historiquement cette configuration produit #MOwx #ILwx #INwx #OHwx pic.twitter.com/c0s7mlGB7c — Kirk 🇺🇸 Hinz | BAM ⚡️Météo (@Met_khinz) 8 février 2024
Le printemps est annulé ? 🚨Le printemps est annulé🚨
Un deuxième réchauffement stratosphérique soudain majeur se profile pour la troisième semaine de février. Cela signifie que le risque de temps froid aux États-Unis est accru jusqu'au mois de mars, de sorte que toute possibilité d'un printemps précoce est désormais à 100 % exclue. Les Marmottes avaient tort. Oh… https://t.co/IMEIFxQgPK pic.twitter.com/jcE46RsOu2 – Mark Margavage (@MeteoMark) 9 février 2024
Pendant ce temps, Punxsutawney Phil - le célèbre oracle météorologique de la marmotte - s'est peut-être trompé dans ses prévisions du début du printemps vendredi dernier.
L’UE se met à genoux devant les agriculteurs : abandonne des dispositions clés de sa proposition climatique pour 2040
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 9 FÉVRIER 2024 - 23H55
La Commission européenne s'est mise à genoux devant les agriculteurs protestataires et abandonne des passages clés d'une proposition pour un nouvel objectif à l'horizon 2040 visant à réduire la pollution par les gaz à effet de serre.
Selon le plan de l'exécutif européen, « tous les secteurs » doivent désormais contribuer à cet effort – mais la réduction de 30 % de la production agricole d'ici 2040, précédemment imposée, a disparu. Le projet révisé a également exclu l'obligation pour les citoyens de modifier leur mode de vie, comme manger moins de viande, et de mettre fin aux subventions aux combustibles fossiles, rapporte Politico.
Des manifestations d’agriculteurs ont éclaté dans de nombreux pays d’Europe ces dernières semaines, le secteur agricole exprimant son mécontentement face aux politiques vertes de l’UE. Certaines des plus grandes manifestations ont eu lieu en Allemagne, provoquées par la réduction des subventions au diesel. Bruxelles a fait face à des appels de groupes industriels et de certains partis politiques pour qu’ils établissent une trajectoire climatique à l’horizon 2040 qui n’enflamme pas davantage la colère.
Le plan de l'UE devrait être présenté mardi et recommandera une réduction de 90 pour cent des émissions totales de l'UE d'ici 2040 par rapport aux niveaux de 1990 – une suggestion conforme aux avis scientifiques.
La version mise à jour du plan, qui est encore sujette à changement, présente l'agriculture sous un jour plus positif que les versions précédentes. Le rôle que joue le secteur dans la « souveraineté alimentaire » de l’UE a également été souligné.
"Nous devons nous assurer d'avoir une approche équilibrée", a déclaré la Commission européenne Wopke Hoekstra, qui a dévoilé la proposition révisée. "La grande majorité de nos citoyens sont conscients des effets du changement climatique, veulent être protégés, mais s'inquiètent également de ce que cela implique pour leurs moyens de subsistance."
Dans le même temps, la BBC rapporte que l'UE a également abandonné son projet de réduire de moitié l'utilisation des pesticides dans l'ensemble de l'UE, qui devait entrer en vigueur d'ici 2030 dans le cadre du soi-disant « Green Deal ».
Les changements ont été menés par le puissant Parti populaire européen (PPE) de centre-droit, la famille politique de la plus haute dirigeante européenne Ursula Von der Leyen, et constitue le groupe le plus important du Parlement européen.
"Nos agriculteurs méritent d'être écoutés", a déclaré Mme von der Leyen lors d'une réunion parlementaire mardi. "Je sais qu'ils s'inquiètent de l'avenir de l'agriculture et de leur avenir en tant qu'agriculteurs."
Le porte-parole du PPE pour l'environnement, Peter Liese, a déclaré lundi que l'objectif d'une réduction de 90 % par rapport aux niveaux de 1990 d'ici 2040 était conditionné à une plus grande attention accordée aux « opportunités positives » pour les agriculteurs, et moins à « de nouveaux instruments qui considèrent plutôt les agriculteurs comme des ennemis du système ». politique climatique. »
Cela dit, un responsable de l'UE a déclaré à Politico qu'il est difficile d'échapper à la réalité : le secteur agricole « pourrait et devrait » contribuer aux objectifs climatiques de l'UE.
"Malgré toute la sémantique de la [Commission], il existe une analyse d'impact sans équivoque qui présente des arguments (commerciaux) très convaincants en faveur d'un objectif global ambitieux et de tous les sous-objectifs pour les secteurs", a déclaré le responsable.
Un député canadien veut criminaliser les discours en faveur des combustibles fossiles
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 09 FÉVRIER 2024 - 16H20 Rédigé par Mark Jeftovic via BombThrower.com,
Le projet de loi C-372 prévoit des sanctions allant jusqu'à 1 000 000 $ et deux ans de prison pour toute promotion des combustibles fossiles comme étant autre chose qu'une menace existentielle pour l'humanité.
Juste au moment où vous pensiez que le Canada ne pouvait pas devenir plus stalinien, un député du parti d'extrême gauche NPD du pays appelle à ce que tout discours qui « promeuve les combustibles fossiles » – même les déclarations véridiques comme la comparaison des émissions relatives du gaz naturel par rapport au charbon – soit rejeté. être interdit et criminalisé.
Le député Charlie Angus, de Timmins, dans le nord de l'Ontario (où la température moyenne en février oscille entre -7°C et -21°C) a présenté un projet de loi d'initiative parlementaire C-372 intitulé « Loi sur la publicité concernant les combustibles fossiles » qui « interdirait la promotion des combustibles fossiles ». sauf conformément aux dispositions de la Loi.
Promotion définie comme :
« une représentation concernant un produit ou un service par quelque moyen que ce soit, directement ou indirectement, y compris toute communication d'informations sur le produit ou le service, son prix et sa distribution, susceptible d'influencer et de façonner les attitudes, les croyances et les comportements à l'égard du produit ou du service. .”
Ce qui n’est pas expressément autorisé est interdit…
« Le présent texte édicte la Loi sur la publicité sur les combustibles fossiles afin d'interdire la promotion des combustibles fossiles, sauf conformément aux dispositions de la loi. »
Le seul discours public qui serait autorisé à ce sujet serait des représentations littéraires ou dramatiques qui « utilisent ou représentent » des combustibles fossiles, ou des « opinions ou commentaires », à condition que dans les deux cas, l’auteur ou le créateur n’ait aucun lien ou ne reçoive aucune contrepartie. directement ou indirectement » de l’industrie des combustibles fossiles.
Le préambule qualifie le changement climatique de « menace existentielle » et cite comme prétexte la saison des incendies de forêt de 2023.
« Alors qu’en 2023, le Canada a connu la pire saison d’incendies de forêt jamais enregistrée, le pays dépassant la plus grande superficie jamais brûlée en un an, totalisant plus de 7,9 millions d’hectares. »
Il n’est pas mentionné que dans de nombreux cas survenus tout au long de la saison des incendies de forêt 2023, comme les incendies du lac Cavan au Québec et le tristement célèbre incendie du lac Barrington en Nouvelle-Écosse, la cause était un incendie criminel (et non une « ébullition mondiale »).
« Réclamé, sans preuve… »
L’expression « revendiqué sans preuve » est devenue un incontournable des médias institutionnels. Cela dément une partisanerie ancrée qui rappelle l’agitprop de la fin de l’ère soviétique. Cela est particulièrement visible si quelqu’un à la droite de Staline ose remettre en question les préceptes du socialisme technocratique.
Pourtant, le projet de loi C-372 regorge de telles affirmations…
Attendu que la pollution de l’air causée par les combustibles fossiles entraîne des millions de décès prématurés dans le monde, y compris des dizaines de milliers de décès prématurés au Canada seulement, et constitue une cause majeure de cancer, de maladies respiratoires, d’issues de grossesse défavorables, de maladies infantiles et de symptômes cardiovasculaires ;
Il s’agit d’une déclaration fondée sur la foi (à égalité avec les cris déséquilibrés d’Al Gore à Davos 2023 selon lesquels « le changement climatique provoque l’équivalent de 600 000 bombes de classe Hiroshima par jour ! »). Cela va également à l’encontre des données quantifiables provenant de multiples sources et études montrant que les décès liés au climat sont en chute libre depuis plus d’un siècle.
Via WSJ : Nous sommes plus à l’abri des catastrophes climatiques que jamais
Il est également établi que chaque année, plus d’humains meurent du froid extrême que des effets de la chaleur ou du réchauffement, dans un rapport de 2 pour 1.
Le projet de loi C-372 affirme en outre, sans preuve (est-ce que je fais bien cela ?), que
« La production et la consommation de combustibles fossiles ont entraîné une crise de santé publique nationale très préoccupante et urgente, d’une manière similaire à la crise de santé publique provoquée par la consommation de tabac ; »
Selon les propres mesures de Statistique Canada, le tabac tue encore 48 000 Canadiens chaque année. Ce projet de loi prétend que chaque jour, l'équivalent de 131 Canadiens meurent à cause du changement climatique induit par les combustibles fossiles. Si c’est vrai, pourquoi ne pas réduire de moitié le problème total des décès liés au climat et au tabac en interdisant purement et simplement le tabac ?
Il n'y a qu'un seul problème : la liberté d'expression
« Le Parlement estime que la publicité sur les combustibles fossiles utilise actuellement des techniques qui induisent sciemment le public en erreur et ne divulguent pas les dommages sanitaires et environnementaux associés à leur utilisation, empêchant ainsi une prise de décision éclairée par les consommateurs et sapant le soutien du public à une action climatique efficace. »
Par « empêcher les Canadiens de prendre des décisions éclairées » il entend probablement toute critique des taxes sur le carbone inexorablement plus élevées (qui sont appliquées injustement selon les caprices du favoritisme politique) ou attirer l'attention sur des non-solutions ridicules et symboliques comme l'énergie éolienne. des turbines, ou obliger les Canadiens à payer pour des pompes à chaleur coûteuses dans des climats inférieurs à zéro.
(Rappel : nous sommes au Canada)
De plus, les entreprises et les scientifiques employés contre rémunération par l'industrie énergétique canadienne, qui est responsable de 7,5 % du PIB total du Canada (dont 75 % en Alberta), ne sont pas autorisés à défendre leur industrie ou leurs moyens de subsistance contre les assauts de la science indésirable. et le fanatisme idéologique, ou pour le contrer avec des contrefactuels mesurés, rationnels et fondés sur la science.
Alors que le projet de loi C-372 affirme que « la protection de l'environnement constitue un usage valable du pouvoir fédéral en matière de droit criminel ». Il serait exagéré d’appliquer les dispositions de la Loi sur la protection de l’environnement aux activités normales du secteur énergétique, sans parler de la liberté d’expression. Il n’y en a aucune mention dans la Constitution canadienne, ni dans la Charte canadienne des droits et libertés.
L’article 2(a) de ce dernier déclare comme un droit fondamental de tous les Canadiens « la liberté de conscience et de religion » (même si personne ne semblait avoir ce droit lorsqu’il était temps de refuser les vaccins Covid).
Et bien sûr, 2(b) « la liberté de pensée, de croyance, d’opinion et d’expression, y compris la liberté de la presse et des autres médias de communication »
Qu'on le veuille ou non, la communication implique de se promouvoir, de se défendre et d'adopter une position ferme et défendable selon laquelle nous avons le devoir moral de fournir une énergie abondante à la société grâce à une utilisation pratique et judicieuse de combustibles fossiles plus propres.
Cela dit, le gouvernement canadien (dont le NPD est le partenaire junior dans une coalition libérale-socialiste au pouvoir) n’a aucun scrupule à entraver les droits constitutionnels des Canadiens.
Un juge fédéral a récemment statué que l’invocation par le gouvernement Trudeau de la Loi sur les situations d’urgence, qui a entraîné la saisie des comptes bancaires des Canadiens et la répression violente de la manifestation #FreedomConvoy, était à la fois illégale et inconstitutionnelle (le gouvernement fédéral a l’intention de faire appel de la décision).
En réalité, le projet de loi C-372 a à peu près autant de chances d’être adopté qu’un projet de loi de Liz Warren, mais le NPD soutient le Parti libéral de Justin Trudeau dans une mince coalition minoritaire au pouvoir – ils pourraient, en théorie, le faire adopter.
Après cela, il serait illégal pour moi d'observer que les habitants de Timmins, en Ontario, la circonscription de Charlie Angus, ne survivraient pas à un seul hiver sans combustibles fossiles (et comme je détiens des actions de l'Impériale et de Canadian Natural Resources, cela pourrait être interprété comme « bénéficier des bénéfices de l’extermination climatique », ou quelque chose du genre).
Le fait que ce projet de loi ait même été inscrit au registre parlementaire témoigne du déphasage de la coalition libérale-socialiste au pouvoir.
Je vous laisse avec cet extrait du ministre fédéral de l’Environnement, Steven Guilbeault, criant « le changement climatique est réel », comme un véritable cinglé à la Chambre des communes du Canada…
Les Canadiens détestent la taxe carbone, et comme je l’ai documenté mois après mois dans la section « Get Woke, Go Broke » de The Bitcoin Capitalist, le public en a fini avec le discours ESG et l’hystérie climatique. C'est fini.
Plus les politiciens s’en rendront compte tard, mieux ce sera – car c’est le seul domaine dans lequel je suis un accélérationniste sans vergogne. Continue comme ça Charlie ! Allez Guilbeault!
Comme annoncé précédemment, nous fermons The Bitcoin Capitalist aux nouveaux membres une fois que le Bitcoin sera réduit de moitié, vous pouvez vous faufiler sous le fil ici. Vous pouvez également vous inscrire gratuitement à la liste de diffusion Bombthrower, ici – et recevoir mon rapport de survie CBDC lorsqu'il sera publié.
Électrique vs essence : quelle recharge automobile est la moins chère ?
Une récente étude met en lumière l’écart de coût significatif entre la recharge des véhicules électriques et le plein d’essence, soulignant l’avantage économique de l’électromobilité malgré la hausse des prix de l’électricité.
Par Rédaction le 10 février 2024 à 13h00
L'électromobilité, un choix économique malgré la hausse de l'électricité
Dans le contexte actuel de transition énergétique, la question de la rentabilité entre les véhicules électriques et thermiques est plus pertinente que jamais. Une étude récente du fabricant de bornes Qovoltis, relayée par Tom’s Guide, apporte une lumière nouvelle sur cette interrogation. Selon cette analyse, malgré une augmentation moyenne de 9 % des tarifs de l'électricité en février, recharger un véhicule électrique à domicile coûterait trois fois moins cher que de faire le plein d'essence pour un véhicule à moteur thermique.
L'étude se base sur le cas d'un SUV compact, tel que le Mercedes EQB ou le Volvo XC40, avec une consommation de 18 kWh aux 100 km. Les résultats mettent en avant une variation significative du coût de recharge, allant de 2,50 à 10,60 euros pour 100 km, en fonction du lieu et du moment choisis pour la recharge.
Bien choisir son moment et son lieu de recharge électrique
Le coût de la recharge d’un véhicule électrique varie grandement selon le lieu et l'heure de la recharge. La solution la plus économique est de recharger son véhicule à domicile pendant les heures « super creuses », une option disponible seulement sur certains contrats d'électricité spécifiques et pendant une plage horaire limitée durant la nuit. Durant ces heures, le coût atteint 3,70 euros pour 100 km en heures creuses, contre 5,30 euros sans tenir compte de l'horaire. À l'opposé, une recharge rapide sur autoroute peut coûter jusqu'à 10,60 euros pour 100 km. Pourtant, même à ce tarif, rouler en électrique reste moins onéreux que l'utilisation d'un véhicule thermique, qui coûte environ 13,80 euros pour 100 km, en se basant sur une consommation moyenne de 7,5 litres au 100 et un prix de l'essence à 1,85 euro le litre.
La récente augmentation du prix de l'électricité a inévitablement eu un impact sur le coût de la recharge à domicile, avec une hausse de 75 centimes pour 100 km en heure creuse depuis février 2023. Cependant, une borne de recharge domestique permet généralement de récupérer au moins 80 % de l'énergie nécessaire pendant ces périodes à tarif réduit. Malgré cela, une enquête de BVA pour Enedis révèle que seulement 26 % des propriétaires de véhicules électriques utilisent le pilotage de la recharge pour optimiser leurs coûts.
Selon Ehsan Emami, fondateur de Qovoltis, les économies réalisées sur la durée de vie d'un véhicule électrique, estimées à dix ans, sont considérables. En incluant le coût d'achat d'une borne à domicile et les frais de recharge, un automobiliste pourrait économiser jusqu'à 13.000 euros. Cette donnée souligne non seulement l'avantage économique de l'électrique sur le long terme mais aussi l'importance de l'adoption de pratiques de recharge optimisées pour maximiser les économies.
D'une part (HAHAHA !) il faut 3 ou 4 heures pour faire le plein (HAHAHAHA !) et d'autre part, siiii vous envisagez de brancher votre voiture chez vous... ELLE PRENDRA FEU CHEZ VOUS !! YOUPIIIIE ! (comptez 15 à 20 camions de pompiers pour éteindre l'incendie de la putain de voiture électrique ° la maison et le voisinage... HAHAHAHA !
Automobile : la ZFE de Strasbourg, conservée ou supprimée ?
Dans l’Eurométropole de Strasbourg, la question de la Zone à Faibles Émissions (ZFE) a récemment semé la confusion parmi les automobilistes et les responsables politiques. La présidente de la métropole, Pia Imbs, a clarifié la situation en indiquant que la ZFE restera bien en vigueur.
Par Axelle Ker le 9 février 2024 à 16h26
des Français sont contre les ZFE selon la grande consultation du Sénat (mai 2023).
Suppression de la ZFE de Strasbourg : un imbroglio médiatique et politique L'histoire débute avec une annonce dans les Dernières Nouvelles d'Alsace (DNA), qui mettait en avant une baisse significative de la pollution de l'air, notamment du dioxyde d'azote (NO2), sous le seuil réglementaire à Strasbourg. Cette nouvelle, interprétée à tort comme le prélude à une suspension de la ZFE, a généré un flot de réactions en chaîne. « Pour la première fois en 2023, la concentration de dioxyde d'azote (NO2) mesurée dans l’Eurométropole de Strasbourg est passée sous la limite réglementaire », soulignaient les DNA, alimentant ainsi l'espoir d'une levée des restrictions pour les automobilistes strasbourgeois.
Cependant, la réalité s'est avérée plus nuancée. La présidente de l'Eurométropole, Pia Imbs, a dû clarifier la situation jeudi 8 février 2024 à l'occasion d'une conférence de presse. Cette dernière a ainsi confirmé le maintien de la ZFE, et de son mode d'application qui resterait « pédagogique », en raison de l'absence des outils de contrôle automatique promis par l'État.
Les règles en vigueur et les sanctions associées
Au cœur de la ZFE, les restrictions de circulation se basent sur les vignettes Crit'Air, des indicateurs de la pollution émise par les véhicules. Depuis le 1ᵉʳ janvier 2024, les véhicules arborant une vignette Crit'Air 4 (et ceux sans vignette, implicitement plus polluants) sont interdits de circulation au sein de l'Eurométropole de Strasbourg et elle s'étendra aux véhicules Crit'Air 3 à partir du 1ᵉʳ janvier 2025.
Les automobilistes contrevenant à ces règles s'exposent à des amendes de 3e classe, soit 68 euros pour les véhicules légers et 135 euros pour les poids lourds. Les forces de l'ordre procèdent à des contrôles aléatoires pour vérifier si la vignette Crit'Air du véhicule est en adéquation avec les restrictions en vigueur dans la ZFE. Pas de changement en vue donc pour les automobilistes de Strasbourg. Ce serait même tout l'inverse : les seuils réglementaires européens pour le dioxyde d'azote pourraient bientôt devenir plus stricts puisque l'Union européenne envisage de revoir à la baisse ses normes.
Début des guerres de propagande : l’immigration illégale augmentera le PIB américain de 7 000 milliards de dollars
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 10 FÉVRIER 2024 - 02h00
Il y a un mois, nous avons posé une question simple : à l'heure où l'administration Biden s'attribue à bout de souffle le mérite d'un marché du travail "fort", entre guillemets, comment n'est-ce pas le plus grand sujet de discussion politique en ce moment que depuis octobre 2019, les personnes nées dans le pays Les travailleurs américains ont perdu 1,4 million d'emplois ; tandis qu'au cours de la même période, les travailleurs nés à l'étranger ont créé 3 millions d'emplois.
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Quelques semaines plus tard, lorsque le rapport grotesque et ridicule sur l’emploi de janvier a été publié, nous avons réexécuté l’analyse pour trouver quelque chose d’encore plus choquant. Non seulement tous les gains d'emploi au cours de l'année écoulée ont été entièrement dus aux travailleurs à temps partiel, mais les travailleurs nés dans le pays ont encore chuté de 560 000, portant la baisse totale sur deux mois à un peu moins de 2 millions. Cela signifie que non seulement toutes les créations d'emplois au cours des 4 dernières années ont été exclusivement destinées aux travailleurs nés à l'étranger, mais qu'il n'y a eu aucune création d'emplois pour les travailleurs américains nés dans le pays depuis juillet 2018 (vous ne nous croyez pas ? allez-y et vérifiez). les données directement de la Fed).
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Source : Fed de St Louis FRED Nés dans le pays et nés à l'étranger
Eh bien, petit à petit, nos observations sont devenues virales, et bientôt le fait que l'immigration était la seule source de croissance aux États-Unis a été repris par tout le monde, par des personnes sans importance comme de faux (ou est-ce un fax) économistes comme Paul Krugman, tous le chemin vers la personne la plus importante du monde (avec tout le respect que je dois à Dementia Joe), le président de la Fed, Jerome Powell, et même le Congressional Budget Office. Et cela nécessitait une réponse de propagande immédiate.
Alors, à quoi ressemble le retour de flamme de la propagande contre ce « plus grand sujet de discussion politique » ?
Eh bien, commençons par Goebbels, l'animal de compagnie du New York Times, Paul Krugman, qui se trouve être l'économiste le plus surfait du monde et qui, en 1998, a déclaré que « d'ici 2005 environ, il deviendra clair que l'impact d'Internet sur l'économie n'a pas été considérable ». plus grand que celui du fax", concède que "toute l'augmentation de l'emploi depuis la veille de la pandémie de Covid-19 a impliqué des travailleurs nés à l'étranger" (mais parce que les faits sont "politiques", il se moque du fait que "Trump et ceux qui l'entourent clairement croient que les immigrés enlèvent les emplois aux Américains nés dans le pays"), puis il perd toute trace de crédibilité que les libéraux peuvent encore avoir en lui - puisque quiconque sait cliquer sur un hyperlien comme celui-ci peut le comprendre d'eux-mêmes - lorsqu'il affirme que les immigrés "n'ont pas pris les emplois des personnes nées dans le pays, qui sont plus susceptibles d'être employées dans leurs années de travail les plus actives qu'avant la pandémie". Génial, le seul problème, c'est si l'on examine également la qualité des emplois plutôt que simplement la quantité, et constate que tous les emplois de l'année écoulée ont été des emplois à temps partiel.
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Est-ce là la qualité des emplois auxquels Krugman estime que les Américains nés dans le pays ont droit ? Ne répondez pas à cela : c’est de la rhétorique. Comme nous l’avons montré à plusieurs reprises, les Américains non immigrants n’ont trouvé aucun emploi depuis 6 ans, donc tout l’argument de Krugman n’est qu’un gigantesque homme de paille.
Quant au taux d’emploi des Amérindiens d’âge très actif, tout ce que Krugman confirme, c’est que la population d’Américains nés dans le pays diminue aussi vite que leur emploi, ce qui maintient le numérateur et le dénominateur plus ou moins inchangés. Dans le même temps, non seulement tous les nouveaux emplois vont aux immigrants (qu'ils soient légaux ou illégaux), mais toute la croissance de la population américaine est également due aux immigrants (qu'ils soient légaux ou illégaux), ce qui, la dernière fois que nous avons vérifié, est précisément ce que dit la théorie du remplacement. c'est tout.
Peut-être que pour son prochain exercice de propagande, l'économiste préféré des démocrates pourra répondre à cette question : pourquoi tant d'Américains nés dans le pays sont-ils si terrifiés à l'idée de fonder une famille et d'élever des enfants dans ce nirvana bidénomique où tout est si merveilleux, et pourquoi toute croissance est-elle en à la fois la main-d'œuvre et la population, laissées aux immigrants (qu'ils soient légaux ou illégaux).
Bien sûr, il ne le fera pas, car cela nécessite de comprendre la véritable nature du problème, ce qui irait à l'encontre de son idéologie ; et au lieu de cela, il sautera directement à la conclusion de propagande que l’on pourrait attendre d’un menteur professionnel, à savoir que « les immigrants sont vraiment bons pour l’économie américaine – et les nativistes vraiment mauvais ».
* * *
Bien sûr, si c’était seulement Krugman qui faisait toute la propagande judiciaire, nous ne nous soucierions même pas de cette réponse, mais nous avons été plutôt étonnés d’entendre nul autre que le président de la Fed aborder le sujet de l’immigration dans son interview de 60 minutes. Heureusement, contrairement à l’écomédiste du New York Times, le point de vue de Powell était bien plus précis, quoique bien plus sinistre. Pour ceux qui l’ont manqué, voici ce que Powell a dit lorsque l’animateur Scott Pelley lui a demandé pourquoi le retour de l’immigration aux États-Unis après la pandémie (lorsque Trump a verrouillé toutes les frontières) était si important :
PELLEY : Pourquoi l’immigration était-elle importante ?
POWELL : Parce que, vous savez, les immigrants arrivent et ils ont tendance à travailler à un rythme égal ou supérieur à celui des non-immigrants. Les immigrants qui viennent dans le pays ont tendance à être présents sur le marché du travail à un niveau légèrement plus élevé que les Amérindiens. Mais c'est en grande partie à cause de la différence d'âge. Ils ont tendance à être plus jeunes.
PELLEY : Pourquoi l’immigration est-elle si importante pour l’économie ?
POWELL : Eh bien, tout d’abord, la politique d’immigration n’est pas le travail de la Fed. La politique d'immigration des États-Unis est vraiment importante et fait l'objet de nombreuses discussions en ce moment, et cela ne nous regarde pas. Nous ne définissons pas la politique d'immigration. Nous ne le commentons pas.
Je dirai cependant qu’au fil du temps, l’économie américaine a bénéficié de l’immigration. Et, franchement, au cours de la dernière année, une grande partie du retour à un meilleur équilibre du marché du travail est due au retour de l’immigration à des niveaux plus typiques de l’ère pré-pandémique.
PELLEY : Le pays avait besoin de travailleurs.
POWELL : C’est vrai. Et c’est donc ce qui se passe.
Deux points ici : premièrement, qu'il le veuille ou non, Powell vient d'insulter quelques centaines de millions d'Américains nés dans le pays qui ne travailleraient pas à un « taux supérieur à celui des non-immigrés », c'est-à-dire qu'ils sont de simples vieux paresseux. , et puis il y a une insinuation bien plus inquiétante : lorsque Powell dit qu'« une grande partie du retour à un meilleur équilibre du marché du travail est due au retour de l'immigration à des niveaux plus typiques de l'ère pré-pandémique », ce qu'il Ce que cela signifie en réalité, c'est que la raison pour laquelle l'inflation a chuté si rapidement depuis son pic de juin 2022 (à 9,1 % en glissement annuel) sans augmentation correspondante du taux de chômage, c'est parce que les immigrants (qu'ils soient légaux ou illégaux) remplaçaient les emplois de ces travailleurs amérindiens. qui quittaient le marché du travail ! En d’autres termes, vous devez remercier la théorie du remplacement pour la baisse de l’inflation (c’est-à-dire des salaires) qui n’aurait pas été possible sans la poussée de l’immigration, ce qui explique pourquoi les travailleurs amérindiens n’ont vu aucun gain d’emploi en 6 années!
Ce qui explique également pourquoi les salaires des travailleurs du secteur privé ont effectivement chuté au cours des deux dernières années, alors même que la croissance des salaires dans le gouvernement a atteint un niveau record. C'est vrai, la théorie du remplacement pour toi... mais pas pour l'État profond, qui profite de tous les avantages de la baisse des salaires (grâce à Paco qui tond à nouveau votre pelouse) et pousse les salaires des fonctionnaires (c'est-à-dire l'État profond) à un niveau plus élevé. un record absolu !
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Mais alors que la tentative de Powell de transformer l'immigration (presque entièrement illégale puisque c'est de là que venait la majeure partie des travailleurs au cours des deux dernières années) était au moins fondée sur la vérité - et c'est pourquoi la conclusion inquiétante sur la raison pour laquelle tout cela se produit a émergé - le troisième et dernier choc de propagande est venu de nul autre que le Congressional Budget Office "bipartisan", qui a publié cette semaine son dernier "Budget and Economic Outlook: 2024 to 2034", et qui, sans surprise pour une année électorale, s'est montré résolument plus optimiste que l'édition de l'année dernière, en grande partie à cause d'une poignée d'hypothèses ridicules sur le futur budget et déficit américain, dont nous discuterons dans un article ultérieur - certains des "points forts" sont i) pas de récession pendant une décennie, ii) les taux de chômage culmine à un peu plus de 4 %, iii) l'inflation culmine à 2 %, iv) les dépenses discrétionnaires diminuent considérablement, en grande partie à cause d'une forte baisse des dépenses de Medicaid - et pourtant, même avec toutes ces hypothèses ridicules triées sur le volet, le rapport dette/PIB américain continue à atteindre un niveau catastrophique, hyperinflationniste de 172% d’ici 2054.
Quoi qu’il en soit, comme c’est une année électorale, le CBO – dont les prévisions ont été complètement fausses et trop optimistes chaque année au cours de ce siècle – a été chargé de proposer des arguments optimistes à l’administration Biden, comme le nombre de milliards de dollars de croissance du PIB nominal. l’économie américaine progressera si elle maintient le cap actuel au cours de la prochaine décennie, et elle a fait ce qui lui avait été ordonné. En fait, cela a si bien fonctionné que la chroniqueuse économique préférée du WaPo et maître d'information, Catherine Rampell, a fait l'éloge avec effusion des prévisions du CBO sur X (anciennement Twitter). Certes, même elle n'a pas pu masquer le fait que les États-Unis sont sur une trajectoire budgétaire insoutenable, soulignant que « grâce en grande partie à ces taux d'intérêt plus élevés que prévu, le CBO a augmenté son estimation des dépenses nettes d'intérêt au cours de la période ». la prochaine décennie de 1,2 billion de dollars (soit 11 %) » (alerte spoiler : les dépenses dues à la montée en flèche des intérêts seront de plusieurs ordres de grandeur supérieures).
Mais ce qui compte pour cette analyse, c’est la ligne de conduite du CBO et l’objectif qu’il visait pour atteindre l’augmentation économique mandatée. Pouvez-vous deviner d’où vient l’essentiel de la croissance économique ?
Eh bien, c'est vrai : l'immigration !
Voici à quoi ressemblent les prévisions du CBO en matière de main-d'œuvre aujourd'hui par rapport à il y a un an. Pourquoi cette poussée ? Eh bien, comme l'explique le CBO, la croissance démographique plus élevée jusqu'en 2026 est « principalement due à une immigration accrue », qui « a plus que compensé une baisse de la participation au marché du travail due au ralentissement de la demande de travailleurs et à l'augmentation de l'âge moyen de la population » - traduction : plus travailleurs immigrés, moins de travailleurs amérindiens. Et ce n'est pas tout : selon le CBO, « une grande partie des immigrants récents et projetés devraient être âgés de 25 à 54 ans – des adultes dans leurs années les plus actives ».
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Et voici à nouveau votre théorie du remplacement, mais cette fois avec une belle tournure, qui, comme le chroniqueur du WaPo, a été présentée par nul autre que le directeur du CBO, Phill Swagel, qui écrit qu'« à la suite de ces changements dans la main-d'œuvre, nous estimons que De 2023 à 2034, le PIB sera supérieur d’environ 7 000 milliards de dollars et les revenus seront supérieurs d’environ 1 000 milliards de dollars à ce qu’ils auraient été autrement. »
Et voilà. Il y a un mois, nous nous demandions pourquoi l'augmentation du nombre de travailleurs immigrés n'était « pas le principal sujet de discussion politique à l'heure actuelle ».
Eh bien, quelques semaines plus tard, c'est exactement ce qui apparaît, et la réponse de la propagande a été stupéfiante, avec des personnalités de l'establishment telles que Krugman, qui accuse quiconque croit que l'immigration est mauvaise d'appartenir au lumpenprolétariat, qui, ironiquement, est un marxiste. terme...
"Non, l'IA et l'automatisation, malgré tous les changements qu'elles peuvent apporter, ne supprimeront pas d'emplois, et les immigrants non plus. Ne rejoignez pas le lumpencommentariat" - source
... Powell, qui accuse les travailleurs nés dans le pays d'être paresseux et affirme que l'immigration contribue à vaincre l'inflation déclenchée par sa politique...
"... une grande partie du retour à un meilleur équilibre du marché du travail est due au retour de l'immigration à des niveaux plus typiques de l'ère pré-pandémique." - source
... et enfin le CBO...
"En 2033, la population active sera plus nombreuse de 5,2 millions de personnes, principalement en raison d'une immigration nette plus élevée. En raison de ces changements dans la population active, nous estimons que de 2023 à 2034, le PIB augmentera d'environ 7 000 milliards de dollars et les revenus diminueront. supérieurs d'environ 1 000 milliards de dollars à ce qu'ils auraient été autrement. » - source
... tous se sont prononcés en faveur de l'immigration (principalement de type illégal, écrasant l'inflation parce qu'il fait exploser les salaires).
Certes, de nombreuses voix rationnelles - même celles des économistes conventionnels - se sont élevées pour contester ces hypothèses et conclusions ridicules, mais aucune d'entre elles ne sera entendue car, comme cela devrait être désormais tout à fait clair, l'immigration sera le facteur décisif du Lors des élections de novembre, et si la machine de propagande de Biden peut faire d’une pierre deux coups, à savoir que l’immigration (illégale) est en réalité bénéfique pour les États-Unis et qu’elle finira par stimuler l’économie de plusieurs milliers de milliards, tant mieux.
Et donc, avec les élections il y a encore neuf mois, on peut s'attendre à ce que le thème de l'immigration illégale soit la plus grande chose imaginable pour les États-Unis, domine les ondes des grands médias libéraux qui sont aussi le canal de propagande le plus bruyant dont dispose l'establishment, dont Le destin dépend désormais de la nécessité de convaincre des centaines de millions d’Américains que les dizaines de milliers de clandestins qui entrent chaque jour dans le pays grâce à la politique d’ouverture des frontières de Biden sont en réalité la meilleure chose qui puisse leur arriver.
Approvisionner en terres rares les secteurs européens des hautes technologies
Un groupe de matières premières indispensables pourrait aider l’Europe à réduire les vulnérabilités de la chaîne d’approvisionnement.
Par Horizon le 10 février 2024 à 8h00
L'industrie représente 12,4% du PIB en France
Le docteur Arne Petter Ratvik soutient la production de produits haute technologie en Europe à partir d’une source à basse technologie: les engrais.
Expert en métaux chez SINTEF, un organisme de recherche norvégien indépendant, M. Ratvik soutient que certaines matières premières dont ont besoin les secteurs européens de l’automobile, de l’informatique, de l’électronique, de l’énergie, etc. peuvent être extraites des engrais ordinaires.
Attraction magnétique Prenons l’exemple des aimants industriels. Ils sont fabriqués à partir de matières premières appelées «terres rares» et qui constituent la croûte terrestre. Ils sont essentiels à la fabrication d’une multitude d’équipements, des smartphones et tablettes jusqu’aux réfrigérateurs et micro-ondes.
«Les terres rares issues des engrais pourraient produire de très bons aimants», a déclaré M. Ratvik, chercheur principal au SINTEF.
Il a dirigé un projet de recherche financé par l’UE qui avait pour but de fournir une plus grande quantité de terres rares à l’Europe en les extrayant pendant la fabrication des engrais. Intitulé SecREEts, le projet a duré quatre ans et demi et s’est achevé en novembre 2022.
Garantir l’accès de l’Europe aux matières premières est devenu une priorité politique de l’UE alors que les difficultés géostratégiques mettent en évidence des vulnérabilités au niveau des chaînes d’approvisionnement européennes.
Certains pays situés hors UE, comme la Chine, la République démocratique du Congo et l’Afrique du Sud, contrôlent certaines matières premières stratégiques.
Par exemple, d’après la Commission européenne, la Chine raffine toutes les terres rares utilisées dans les aimants permanents du monde entier.
En mars 2023, la Commission a proposé de fixer des objectifs européens d’au moins 10 % pour l’extraction, 40 % pour la transformation et 15 % pour le recyclage en Europe des matières premières stratégiques, parmi lesquelles figurent les terres rares.
Fabriquer des terres rares
Les terres rares sont constituées de 17 éléments métalliques dont les propriétés particulières sont à l’origine de progrès technologiques dans différents secteurs.
SecREEts s’est concentré sur trois terres rares essentielles à la transition énergétique verte de l’UE: le dysprosium, le néodyme et le praséodyme, entrant tous dans la fabrication des aimants permanents qui équipent les véhicules électriques et les éoliennes.
Selon la production européenne d’engrais, la technique d’extraction mise au point par l’équipe du projet pourrait couvrir entre 5 et 10 % de la demande européenne en dysprosium, en néodyme et en praséodyme, selon M. Ratvik.
«Nous avons mis au point un procédé d’extraction au sein-même du procédé de production d’engrais afin d’isoler les terres rares», a-t-il déclaré.
M. Ratvik a déclaré que, par exemple, les roches phosphatées utilisées pour fabriquer les engrais contiennent entre 0,3 % et 1 % de terres rares. Actuellement, ces éléments restent simplement présents dans le produit final sans présenter aucune utilité.
L’engrais phosphaté est produit en dissolvant des roches phosphatées dans de l’acide. Au cours des étapes suivantes, les éléments indésirables sont transformés en solides et filtrés, un processus chimique appelé «précipitation».
Pour mettre au point sa technique, l’équipe SecREEts a inclus une étape de précipitation supplémentaire permettant d’éliminer les terres rares du flux de production d’engrais.
Dans le cadre du projet, les terres rares ont subi une transformation supplémentaire et été envoyées à des producteurs d’aimants d’Allemagne et du Royaume-Uni.
D’après M. Ratvik, cette activité a conduit à la création d’aimants puissants et extrêmement performants.
Influences étrangères
Pendant qu’il réfléchit aux moyens de déployer la méthode d’extraction du projet SecREEts à l’échelle industrielle ainsi qu’aux obstacles induits par la guerre en Ukraine (la Russie et l’Ukraine étant tous deux d’importants fournisseurs de phosphate naturel, utilisé pour la production d’engrais), un autre chercheur européen étudie comment deux pays asiatiques partenaires de l’UE appréhendent les problèmes de chaîne d’approvisionnement.
Le docteur Jewellord Nem Singh, expert en minéraux essentiels et en politique industrielle aux Pays-Bas, s’est rendu au Japon et en Corée du Sud pour aborder la question avec des représentants du gouvernement et de l’industrie.
Basé à l’Institut international d’études sociales de La Haye, M. Nem Singh dirige un projet de recherche financé par l’UE sur les répercussions géopolitiques des terres rares. Intitulé GRIP-ARM, le projet s’étend sur cinq ans et prendra fin en janvier 2026.
L’initiative se concentre sur la Chine, le Brésil et le Kazakhstan en tant que pays producteurs de minéraux, ainsi que sur l’UE, le Japon et la Corée en tant que consommateurs de terres rares.
Les chercheurs du projet GRIP-ARM étudient comment l’UE pourrait pérenniser son approvisionnement en terres rares tout en réduisant les coûts socio-environnementaux associés à leur extraction.
«Nous essayons notamment de comprendre les conditions qui ont conduit les gouvernements et les entreprises à prendre des décisions spécifiques concernant la façon de s’approvisionner en minéraux stratégiques», a déclaré M. Nem Singh.
Puissance de transformation
Il a déclaré que l’avantage économique de la Chine dans le domaine des terres rares ne vient pas seulement du fait qu’elle contrôle environ 60 % des réserves mondiales connues, mais aussi de l’extraction et de la transformation.
La question fondamentale à laquelle l’UE est confrontée (et à laquelle M. Nem Singh espère contribuer à répondre par le biais du projet GRIP-ARM) est la possibilité pour l’Europe de se passer de la Chine à des étapes clés de la chaîne d’approvisionnement liée aux technologies fondamentales.
«Il convient de déterminer s’il est possible de produire ces segments de la chaîne d’approvisionnement en Europe», a-t-il déclaré.
Les recherches présentées dans le cadre de cet article ont été financées par l’UE, notamment par le biais du Conseil européen de la recherche (CER) dans le cas du projet GRIP-ARM. Les opinions des personnes interrogées ne reflètent pas nécessairement celles de la Commission européenne.
Version française sous-titrée de l’entretien Poutine-Carlson
Par Président Vladimir Poutine et Tucker Carlson Mondialisation.ca, 09 février 2024
Ci-dessous, la version intégrale (2 heures et 7 minutes) sous-titrée en français de l’entretien entre Tucker Carlson et le président Vladimir Poutine, diffusé hier soir à minuit heure française sur le site et le compte X du journaliste américain.
En milieu de journée, ce vendredi 9 février, cette interview très attendue, avait été visionnée par près de 90 millions de personnes sur le site officiel X du journaliste américain…
Amusant échange à propos du sabotage de Nord Stream, après une heure et dix minutes d’échanges entre les deux hommes :
TC : Qui a saboté Nord Stream ?
VP : Vous.
TC (ironique) : Désolé, mais ce jour-là, j’avais un rendez-vous.
VP : Pas vous personnellement, mais la CIA.
VP : Je ne vais pas m’étendre sur le sujet. Dans la guerre de propagande, les USA sont les meilleurs. Les Etats-Unis contrôlent à peu près tous les grands médias de l’Ouest.
- voir clip sur site -
En milieu de journée ce vendredi 9 février, la vidéo de l’interview de Vladimir Poutine par Tucker Carlson avait déjà été visionnée par près de 90 millions de personnes sur le compte X officiel du journaliste américain.
En savoir un peu plus sur Tucker Carlson :
Né en 1969 à San Francisco, Tucker Swanson McNear Carlson est né d’un père ancien ambassadeur des Etats-Unis et dirigeant de médias. Sa mère Lisa McNear, une artiste, quitte sa famille alors que Tucker Carlson est encore un enfant. Il est par la suite adopté par Patricia Swanson, héritière de la marque agro-alimentaire Swanson, seconde épouse de son père.
Après avoir débuté sa carrière dans l’hebdomadaire conservateur The Weekly Standard, Tucker Carlson est passé par CNN (2000-2005) puis MSNBC (2005-2008), où il anime des émissions d’actualité. Il débarque sur Fox News en 2009. A partir de 2016, il présente quotidiennement Tucker Carlson Tonight, une émission d’une heure qui lui vaut une notoriété internationale. Son influence est très grande dans les cercles conservateurs américains. De manière surprenante, la chaîne Fox News annonce à la fin avril 2023 qu’elle se sépare de son animateur le plus populaire. Mal lui en prend : ses audiences plongent. En juin 2023, Tucker Carlson lance son propre programme sur le réseau social Twitter, format raccourci de son ancienne émission.
D’après ses déclarations, Carlson, fervent défenseur de la liberté d’expression, a travaillé des mois pour obtenir un entretien exclusif avec le président russe Vladimir Poutine.
Certains lui voient déjà un avenir politique de premier ordre : on parle de lui comme d’un possible colistier de Donald Trump ou comme du prochain porte-parole de la Maison-Blanche, si l’ancien président républicain est réélu en novembre 2024.
Les parcs éoliens provoquent-ils le réchauffement climatique et des dommages climatiques ?
10 février 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Il semblerait que la meilleure protection climatique consiste à cesser de brûler des hydrocarbures, de cesser de cultiver et de manger des insectes, de conduire des voitures électriques et de n’utiliser que l’électricité produite par le photovoltaïque et les éoliennes. Cette « transition énergétique » nécessite d’immenses systèmes solaires, parcs éoliens et stockage par batteries. Cependant, nous avons déjà vu que les mesures prises dans le domaine du transport maritime et la construction de systèmes solaires conduisent au réchauffement climatique. Mais quelles sont les conséquences des éoliennes ?
Tout d’abord, nous devons garder à l’esprit qu’en matière de météorologie et de climat, nous avons affaire à des systèmes très complexes et non linéaires. Les changements individuels peuvent donc avoir des conséquences inattendues et de grande envergure. Le soleil, sa distance à la Terre, son activité et son champ magnétique ont la plus grande influence sur le climat. Les nuages et la teneur en eau de l’atmosphère ont la plus grande influence sur Terre. La vapeur d’eau représente déjà 95 % de l’effet des gaz à effet de serre, tout le reste est secondaire. Pour le prix Nobel de physique John Clauser, les nuages sont également des facteurs d'influence décisifs, mais il considère le CO2 comme insignifiant.
Nous avons récemment présenté dans un article l'analyse du détective de l'énergie, selon laquelle les systèmes solaires et les pompes à chaleur conduisent à l'élimination de la vapeur d'eau de l'atmosphère par condensation. Le chauffage par convection de l'environnement se produit pendant la journée et le refroidissement la nuit, ce qui affecte la teneur en eau. Avec les systèmes photovoltaïques, nous intervenons massivement dans les processus climatiques naturels. L’effet asséchant de l’atmosphère provoque simultanément un réchauffement plus important pendant la journée et un refroidissement local la nuit.
Dans cet article, son collègue Sander-Faes a montré comment la chaleur record dans l'Atlantique est causée par les mesures de protection de l'environnement prises sur les cargos : comme Paul Voosen l'a récemment rapporté dans Science (le magazine) le 2 août 2023, c'est la cause du réchauffement océanique. record de chaleur « Réduire la pollution [grâce] aux nuages de traces de navires réduit et contribue au réchauffement climatique. »
L’énergie éolienne dans le Burgenland – protection du climat ou dommage climatique ? Le détective énergétique se demande encore :
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Image 1 : Cet ancien moulin à vent de Podersdorf a été construit en 1849 pour moudre le grain. Il documente l'utilisation précoce de l'énergie éolienne dans le Burgenland.
Cependant, l'utilisation moderne de l'énergie éolienne n'a commencé qu'en 1997. L'année dernière, le 2 juillet 2023, a été célébré le 25e anniversaire du parc éolien de Zurndorf. En 1998, le premier parc éolien du Burgenland comprenant six éoliennes est entré en service à Zurndorf. Aujourd’hui, ce parc éolien a une puissance maximale de plus de 52 mégawatts. Fin 2023, IG Windkraft prévoyait un total de 469 centrales éoliennes et une puissance totale de 1 427 mégawatts.
La puissance éolienne installée par habitant dans le district de Neusiedl am See est d'environ 20,2 kW par personne. Dans le Burgenland, nous sommes dans une situation où, sur une zone très limitée, la seule énergie éolienne produit davantage d'électricité que l'État lui-même n'en consomme. La production annuelle d'énergie éolienne s'élève à 3 milliards de kWh et représente donc 177 % de la consommation électrique du Burgenland.
Dans le Burgenland, la forte production d'énergie éolienne est concentrée sur une zone relativement petite, composée des districts nord de Neusiedl am See, Eisenstadt-Raum, Mattersburg et Oberpullendorf. Dans le même temps, l’expansion de l’énergie éolienne s’est produite dans un laps de temps relativement court. Cela crée une situation dans laquelle la question de l’énergie éolienne peut être bien examinée.
L'Institut central autrichien de météorologie et de géodynamique publie notamment en permanence des données sur la température de l'air. La station d’Eisenstadt est en effet idéalement située dans la région dans laquelle a eu lieu cette expansion massive de l’énergie éolienne. Les valeurs moyennes de la température de l'air sont disponibles aussi bien pour les années suivant le début de l'expansion que pour une période suffisamment longue avant.
Malheureusement, les conclusions que l’on peut en tirer sont très inquiétantes. Ceci est déjà montré dans notre premier diagramme (Figure 3). Dans cette évaluation, nous trouvons l'évolution de la température moyenne mensuelle de l'air pour toute la série de mesures disponibles à partir de janvier 1961. La séparation des couleurs de l'évolution de la température marque la différence entre le temps avant et après l'utilisation de l'énergie éolienne.
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Figure 3 : Tendance des températures depuis 1961 ; la courbe bleue correspond au temps sans utiliser l'énergie éolienne. La courbe verte montre la progression à partir du moment où l'énergie éolienne est utilisée. Le changement de tendance linéaire est très alarmant !
La courbe bleue commence en 1961 et se termine en décembre 1996. Elle couvre donc la période sans recours à l'énergie éolienne. La courbe verte qui suit couvre la période de janvier 1997 à décembre 2023. L'énergie éolienne s'est massivement développée au niveau régional. Cette courbe se termine en décembre 2023 avec une température de +3,8°C. Cette valeur finale est supérieure de 5,6 Kelvin à la valeur de départ de janvier 1961.
Cependant, ce qui est important ici n'est pas la comparaison des valeurs individuelles, mais plutôt l'évolution des deux sections de courbe. Une tendance linéaire a été calculée séparément pour les deux sections à l'aide d'une feuille de calcul. La ligne pointillée bleu-noir, qui s'étend de gauche à droite, correspond à la tendance linéaire calculée pour la période 1961 à fin 1996.
En résumé, le détective énergétique utilise ces évaluations pour déterminer :
Dans la période de temps disponible avant l’installation des éoliennes, aucune tendance perceptible à une augmentation significative de la température de l’air n’a été observée !
Malheureusement, la situation est complètement différente pour la période pendant laquelle l’énergie éolienne est utilisée, c’est-à-dire pour les années 1997 à 2023. Il y a ici une tendance linéaire qui correspondrait à une augmentation de la température d’environ 7,2 degrés d’ici 100 ans !
Hormis la construction des éoliennes, nous ne connaissons aucune autre cause qui, d'une part, pourrait expliquer cette tendance à la hausse de la température de l'air au cours de la période 1997 à 2023 et, d'autre part, n'était pas présente dans le période antérieure (1970 - 1996 ou 1961 - 1996).
De notre point de vue, il faut donc actuellement supposer que la construction concentrée d'éoliennes dans la région en question est à l'origine de la tendance à la hausse de la température de l'air.
L’utilisation à grande échelle de l’énergie éolienne extrait l’énergie du flux éolien naturel d’équilibrage, c’est-à-dire un processus climatique naturel, et la convertit en énergie électrique. Cela signifie que l’énergie actuellement utilisée techniquement est absente des processus solaires naturels antérieurs des événements climatiques normaux, qui ne sont pas influencés par la technologie humaine. Nous avions déjà signalé ce danger au gouvernement fédéral autrichien en 2018 !
Sur la base de nos connaissances actuelles, on ne peut donc pas supposer que de telles éoliennes servent à la protection du climat. Au contraire, cette évaluation semble suggérer que l’utilisation à grande échelle de l’énergie éolienne elle-même déclenche au moins un changement climatique local !
Les analyses que nous créons s’appuient sur des données publiques accessibles à tous. Nous invitons donc tous ceux qui sont intéressés à vérifier par eux-mêmes ces évaluations et conclusions logiques. Nous serions reconnaissants pour toute information complémentaire utile !
Les investissements ESG dans un programme climatique « net zéro » « doivent être arrêtés », déclarent les commissaires républicains à l’agriculture, sinon l’inflation alimentaire et la FAMINE suivront.
09/02/2024 Ethan Huff
Douze commissaires républicains à l'agriculture ont envoyé une lettre à six des plus grandes mégabanques américaines pour leur faire savoir que la tendance relativement nouvelle en matière d'investissement ESG (gouvernance environnementale, sociale et d'entreprise) menace de perturber l'approvisionnement alimentaire du pays tout en augmentant le prix des denrées alimentaires. Bank of America (BofA), Citigroup, Goldman Sachs, JPMorgan Chase, Morgan Stanley et Wells Fargo sont tous membres d'un programme organisé par les Nations Unies (ONU) appelé Net-Zero Banking Alliance (NZBA) qui « s'engage à financer des projets ambitieux ». action climatique. » L'un des principaux objectifs de la NZBA est de forcer l'économie américaine à produire zéro émission de « gaz à effet de serre » d'ici 2050, ce qui, selon les commissaires républicains à l'agriculture, entraînera de « graves conséquences » pour les agriculteurs du pays.
"Atteindre zéro émission nette de gaz à effet de serre dans l'agriculture nécessite une refonte complète des infrastructures agricoles – l'un des objectifs de la NZBA", indique la lettre.
"Cela aurait un impact catastrophique sur nos agriculteurs. Les feuilles de route proposées pour un objectif zéro net décrivent des changements dramatiques, peu pratiques et coûteux dans les opérations agricoles et d'élevage américaines, tels que le passage aux machines et équipements électriques ; l'installation de panneaux solaires et d'éoliennes sur site ; le passage à les engrais organiques ; la modification des systèmes d'irrigation des rizières ; et la réduction de moitié de la consommation de viande de ruminants aux États-Unis, ce qui coûte des millions d'emplois dans le secteur de l'élevage. »
(Vérification des faits : la plupart des projets de « compensation » carbone sont une arnaque, tout comme l’ensemble de l’industrie du changement climatique.)
D’ici 2050, la demande alimentaire mondiale devrait augmenter considérablement. Associé au projet de zéro émission nette de la NSBA visant à interdire essentiellement les émissions, le résultat final sera des pénuries alimentaires et une famine généralisées, suivies rapidement par une famine massive et des décès.
"...ces changements augmenteront les coûts alimentaires et diminueront la production alimentaire à un moment où la demande alimentaire mondiale devrait augmenter de façon spectaculaire", ajoute la lettre.
"Cela est aggravé par le fait que l'Américain moyen a eu du mal à suivre le rythme de l'inflation pendant le mandat de l'administration Biden. La réalité pourrait être bien pire. Ces effets frapperont le plus durement les pauvres."
Si le projet de zéro émission nette l’emportait sur la raison et la science solide, le secteur agricole américain pourrait subir des dommages permanents, ce qui menacerait à son tour la sécurité alimentaire du pays.
"Les agriculteurs américains ne devraient pas être obligés de mettre en danger notre approvisionnement alimentaire", déclare la lettre.
Les commissaires à l'agriculture qui ont signé la lettre comprennent ceux de l'Alabama, de la Floride, de la Géorgie, du Kentucky, de l'Iowa, de la Louisiane, du Mississippi, de la Caroline du Nord, du Dakota du Nord, de la Caroline du Sud, du Texas et de la Virginie occidentale.
Dans un communiqué, Will Hild, directeur exécutif du groupe de surveillance Consumers' Research, a noté que les agriculteurs et les éleveurs soutiennent l'économie américaine, et pourtant ils sont la cible des « cartels climatiques internationaux comme la NZBA ».
"Les responsables et les commissaires agricoles ont mis le doigt sur la tête dans leur lettre : si leur extrémisme climatique malavisé se poursuit sans relâche, ces méga-banques mettront gravement en danger l'ensemble de notre approvisionnement alimentaire", a ajouté Hild.
"J'applaudis les États pour leur action et j'ai hâte de travailler avec eux pour défendre les consommateurs américains contre ces malversations des entreprises."
Soit dit en passant, toute implication dans le zéro net constitue un crime contre l'humanité car, comme nous continuons de le signaler, le fanatisme climatique est essentiellement une dépopulation massive et un génocide des « mangeurs inutiles », comme les élitistes appellent souvent les pauvres du monde.
Les dernières nouvelles sur l’arnaque au changement climatique sont disponibles sur GreenTyranny.news.
L'immigration massive en Allemagne coûtera aux contribuables jusqu'à 19 200 milliards d'euros, prévient un éminent expert universitaire
09/02/2024 Rédacteurs de l'actualité
L’immigration massive pourrait coûter à l’Allemagne jusqu’à 19 200 milliards d’euros, et a déjà coûté au pays 5 800 milliards d’euros, selon un éminent universitaire allemand en finances publiques, le professeur Bernd Raffelhüschen, de l’Université Albert Ludwig de Fribourg. (Article de John Cody republié sur RMX.news)
Souvent qualifiée de « pape des retraites », l’étude du professeur Raffelhüschen fait irruption dans le discours promu par les partis pro-migration et les chefs d’entreprise, qui prétendent que l’immigration de masse sauvera les finances publiques et le marché du travail de l’Allemagne.
« L’immigration, telle qu’elle s’est produite jusqu’à présent, nous coûte économiquement au total 5 800 milliards d’euros », écrit le professeur dans une nouvelle étude.
Cependant, contrairement à d’autres économistes qui affirment que l’Allemagne subit un préjudice financier en raison de la main-d’œuvre non qualifiée et a besoin de main-d’œuvre plus qualifiée, Raffelhüschen affirme également que l’importation de main-d’œuvre qualifiée coûtera en réalité plus cher au système fiscal et de retraite allemand que la fermeture complète des frontières à toute immigration.
Les chiffres élevés de la dette fournis par Raffelhüschen ne sont peut-être pas si loin de la vérité, du moins par rapport à d’autres pays. Comme Remix News l'a déjà rapporté, plusieurs professeurs néerlandais de renom ont récemment publié une étude détaillant comment les migrants ont coûté aux Pays-Bas au moins 400 milliards d'euros depuis 1995, et que les Pays-Bas ont accepté beaucoup moins de migrants que l'Allemagne. En Norvège, des chercheurs ont découvert que seulement la moitié des migrants ont un emploi, malgré les dépenses de l'État de 6,6 milliards d'euros en projets d'intégration sur le marché du travail sur une période de 10 ans.
Le professeur Raffelhüschen montre dans son étude qu'en raison du vieillissement rapide de la société allemande, il existe « un écart énorme entre ce que les entreprises et les employés versent au système fiscal et social allemand », qui comprend les impôts, les garderies, les retraites et l'assurance maladie, et ce ils peuvent exiger à l’avenir en termes de retraite, de soins de santé et de protection sociale.
Cet « écart de durabilité » atteindra la somme colossale de 19 200 milliards d’euros si l’Allemagne continue d’autoriser 300 000 étrangers à entrer dans le pays chaque année, selon le professeur. Comme il le note dans son étude, le processus d’intégration prend un temps extrêmement long pour la plupart des étrangers, et pendant cette période, ils ont peu de revenus – et souvent aucun revenu – et il y a donc un décalage important en ce qui concerne leur contribution au système social. Même ceux qui trouvent un emploi ont souvent des niveaux de revenus bien inférieurs, au point qu’ils ont souvent droit à l’aide sociale, ce qui représente une charge énorme pour le vaste système de protection sociale allemand.
Raffelhüschen a également expliqué ce qui arriverait à l’Allemagne si le pays « mettait théoriquement une clôture autour de l’Allemagne à partir de maintenant », ce qui signifierait qu’aucun immigrant n’entrerait.
Dans un tel scénario, cela réduirait le futur déficit financier de 19 200 milliards d’euros à 13 400 milliards d’euros, soit une baisse de 5 800 milliards d’euros.
"C'est le prix de l'immigration dans notre système actuel", a déclaré l'expert social.
Raffelhüschen explique comment il arrive à ses conclusions, écrivant qu'en moyenne, les migrants ont besoin de six ans pour s'intégrer et rejoindre le marché du travail allemand et cotisent très peu au système de retraite pendant cette période – voire rien du tout.
2 millions de migrants pourraient obtenir la citoyenneté allemande en vertu d'une nouvelle loi
Même après leur entrée sur le marché du travail, s’ils y parviennent, ils gagnent moins et contribuent donc très peu au système social.
Cependant, ces étrangers entrent également dans le système d’assurance maladie obligatoire, où ils bénéficient des mêmes prestations que les Allemands qui cotisent parfois au système depuis des décennies.
Le professeur donne un exemple : « Un demandeur d'asile arrive en Allemagne à l'âge de 26 ans, est rejeté au bout de deux à trois ans, mais reste ici avec tolérance. Puis il commence progressivement son premier emploi, obtient son diplôme et entame, à 35 ans, une carrière de contribuable. Ses droits à pension étant faibles, il bénéficie d'une sécurité de base en tant que retraité – pour laquelle ses cotisations n'auraient jamais été suffisantes.»
Il note que « cela n’en vaut pas la peine. Tout cela est beaucoup trop cher.
Une main d’œuvre qualifiée ne sauvera pas le système de retraite allemand Le professeur va plus loin en calculant ce qui se passerait si l’Allemagne acceptait 100 000 étrangers hautement qualifiés en plus des 300 000 migrants actuels par an, ce qui coûterait au système social allemand 14 200 milliards d’euros par an. Cependant, cela coûterait encore plus cher que d’accepter un système sans immigration, où le « déficit de durabilité » ne s’élèverait qu’à 13 400 milliards d’euros.
Raffelhüschen déclare : « Si nous continuons comme avant, nous serions stupides comme un roc. Même si la structure par âge des migrants peut potentiellement générer un dividende de rajeunissement démographique, cela ne conduit à un solde budgétaire positif de la migration dans aucun des scénarios envisagés.
Il soutient que les Allemands doivent travailler plus longtemps et bénéficier de moins de retraites, que seuls les résidents légaux ne devraient pas avoir accès aux systèmes sociaux et de retraite et que les cotisations doivent augmenter.
Microsoft brevète une méthode pour « informatiser le corps humain » et l'utiliser comme moyen de transmission d'énergie, de surveillance et de contrôle des données.
02/09/2024 Lance D Johnson
La dernière innovation informatique de Microsoft vise à « informatiser le corps humain » et à utiliser les personnes comme supports conducteurs pour transmettre l’énergie et les données. Ce système sera capable de collecter des informations intimes sur le corps à des fins de surveillance et d’analyse des données et, à terme, pour contrôler à distance les comportements et les pensées des personnes. En informatisant le corps humain et en numérisant chaque impulsion, motif et comportement, les humains deviennent des créatures piratables dont la perception peut être contrôlée par des stimulants émotionnels et sensoriels qui leur sont directement transmis.
Un brevet de Microsoft laisse présager un avenir d'humains piratables, câblés pour le contrôle Le brevet US6754472B1 expose les plans de Microsoft visant à utiliser les humains comme appareil pour distribuer de l'énergie aux appareils couplés au corps humain. En utilisant le corps humain comme source d’énergie et en connectant les personnes à des périphériques, Microsoft peut transformer le corps humain en réseau informatique. Les entreprises peuvent alors extraire des données et stimuler les sens humains, tout en exposant les organes internes et les systèmes cellulaires aux CEM. À mesure que le corps humain s’informatise, les entreprises peuvent alors communiquer des messages et utiliser les récits officiels pour guider le comportement des gens. En fournissant un flux constant de données, les humains seront contrôlés par les appareils mêmes couplés à leur corps informatisé. À mesure que la technologie progresse, ces signaux de puissance et de communication peuvent être transmis d’un corps à un autre par le toucher.
Cette invention ne nécessitera pas l'utilisation de dispositifs portables dotés d'une interface directe. Cette invention peut également comprendre plusieurs micropuces portables qui n'ont pas d'interface directe. Au lieu de cela, ces micropuces peuvent être utilisées comme relais dans tout le corps, collectant et transmettant des données, de l’énergie et des informations à l’utilisateur. Dans un exemple, des boucles d’oreilles pourraient être utilisées pour mesurer le pouls d’une personne ou elles pourraient transmettre le son à l’oreille à l’aide d’un téléphone portable rangé dans la poche de la personne.
À mesure que davantage de données personnelles sont collectées sur le corps de la personne, elles peuvent être traitées par des systèmes d’IA et utilisées à des fins prédatrices et/ou néfastes. Toute la surveillance peut être utilisée pour contrôler davantage le comportement des gens, leurs habitudes d’achat, leurs affiliations politiques, etc.
Bill Gates s'est récemment entretenu avec Sam Altman, PDG d'OpenAI, sur l'utilisation de l'IA pour résoudre le problème de la « polarisation » et arrêter la propagation de la « désinformation ». Bien entendu, l’IA pourrait être conçue pour contrôler la parole et imposer les mensonges comme des faits. Cela se produit déjà. Les informations consommées par les gens sont déjà fortement surveillées et contrôlées. Les décisions des masses sont déjà fortement influencées par le marketing ciblé, les préférences en matière de flux d’actualités et les systèmes de censure conçus par la Silicon Valley et l’élite mondiale.
Le comportement et la pensée des gens sont déjà modifiés par des systèmes d’IA et des boucles de rétroaction qui maintiennent les gens dans un état zombie, consumériste et abrutissant. Qu'on le veuille ou non, les systèmes informatiques et les réseaux d'information sont déjà utilisés comme armes pour contrôler les gens dans une chambre d'écho qui leur fait subir un lavage de cerveau encore plus poussé. À mesure que les humains deviennent plus connectés et adoptent la technologie de Microsoft, ils ne feront que devenir plus soumis, avec seulement une illusion d’autonomie, de pensée originale et d’individualité.
Des micropuces de la taille de grains de sable peuvent être déployées pour la surveillance humaine Des micropuces de la taille d’un grain de sable sont déployées pour interagir avec les humains et les paysages afin de surveiller l’activité humaine et d’analyser l’environnement. Des scientifiques de l’Université Northwestern ont développé une micropuce volante de la taille d’un grain de sable. Cette micropuce se déplace dans les airs et tourne comme un hélicoptère. Les chercheurs pensent que ces micropuces peuvent être déployées comme dispositifs électroniques sans fil « pour la surveillance de l’environnement, la surveillance de la population, la gestion des maladies » et peuvent être utilisées pour « d’autres applications qui exigent une couverture sur de vastes échelles spatiales ».
Ainsi, l’avenir envisagé par Microsoft est disponible et les humains seront progressivement fusionnés dans un État informatisé. Reste à savoir si cela se fera avec ou sans notre consentement, mais les commodités offertes par ces technologies et la promesse d'une vie plus connectée, sûre et sécurisée, suffisent généralement à inciter à la conformité.
C’est pourquoi il est essentiel de s’affranchir des systèmes de collecte de données, de la surveillance informatisée, du piratage de nos cellules, du marketing ciblé, des boucles de retour d’informations et des ruées vers la dopamine numérique.
Auto-piégés par les Deepfakes : où sont les bugs ?
Si le chemin vers la diffusion massive de l’IA générative est clair, éprouvé et explicable, d’où vient la crise actuelle autour des deepfake ?
le 11 février 2024 Yannick Chatelain
Par Dr Sylvie Blanco, Professor Senior Technology Innovation Management à Grenoble École de Management (GEM) & Dr. Yannick Chatelain Associate Professor IT / DIGITAL à Grenoble École de Management (GEM) & GEMinsights Content Manager.
« C’est magique, mais ça fait un peu peur quand même ! » dit Hélène Michel, professeur à Grenoble Ecole de Management, alors qu’elle prépare son cours « Innovation et Entrepreneuriat ». Et d’ajouter, en riant un peu jaune : « Regarde, en 20 minutes, j’ai fait le travail que je souhaite demander à mes étudiants en 12 heures. J’ai créé un nouveau service, basé sur des caméras high tech et de l’intelligence artificielle embarquée, pour des activités sportives avec des illustrations de situations concrètes, dans le monde réel, et un logo, comme si c’était vrai ! Je me mettrai au moins 18/20 ». Cet échange peut paraître parfaitement anodin, mais la possibilité de produire des histoires et des visuels fictifs, perçus comme authentiques – des hypertrucages (deepfakes en anglais) – puis de les diffuser instantanément à l’échelle mondiale, suscitant fascination et désillusion voire chaos à tous les niveaux de nos sociétés doit questionner. Il y a urgence ! En 2024, quel est leur impact positif et négatif ? Faut-il se prémunir de quelques effets indésirables immédiats et futurs, liés à un déploiement massif de son utilisation et où sont les bugs ?
DeepFake : essai de définition et origine
En 2014, le chercheur Ian Goodfellow a inventé le GAN (Generative Adversarial Networks), une technique à l’origine des deepfakes. Cette technologie utilise deux algorithmes s’entraînant mutuellement : l’un vise à fabriquer des contrefaçons indétectables, l’autre à détecter les faux. Les premiers Deepfakes sont apparus en novembre 2017 sur Reddit où un utilisateur anonyme nommé « u/deepfake » a créé le groupe subreddit r/deepfake. Il y partage des vidéos pornographiques avec les visages d’actrices X remplacés par ceux de célébrités hollywoodiennes, manipulations reposant sur le deep learning. Sept ans plus tard, le mot « deepfake » est comme entré dans le vocabulaire courant. Le flux de communications quotidiennes sur le sujet est incessant, créant un sentiment de fascination en même temps qu’une incapacité à percevoir le vrai du faux, à surmonter la surcharge d’informations de manière réfléchie.
Ce mot deepfake, que l’on se garde bien de traduire pour en préserver l’imaginaire technologique, est particulièrement bien choisi. Il contient en soi, un côté positif et un autre négatif. Le « deep », de deep learning, c’est la performance avancée, la qualité quasi authentique de ce qui est produit. Le fake, c’est la partie « trucage », la tromperie, la manipulation. Si on revient à la réalité de ce qu’est un deepfake (un trucage profond), c’est une technique de synthèse multimédia (image, son, vidéos, texte), qui permet de réaliser ou de modifier des contenus grâce à l’intelligence artificielle, générant ainsi, par superposition, de nouveaux contenus parfaitement faux et totalement crédibles. Cette technologie est devenue très facilement accessible à tout un chacun via des applications, simples d’utilisations comme Hoodem, DeepFake FaceSwap, qui se multiplient sur le réseau, des solutions pour IOS également comme: deepfaker.app, FaceApp, Zao, Reface, SpeakPic, DeepFaceLab, Reflect.
Des plus et des moins
Les deepfakes peuvent être naturellement utilisés à des fins malveillantes : désinformation, manipulation électorale, diffamation, revenge porn, escroquerie, phishing… En 2019, la société d’IA Deeptrace avait découvert que 96 % des vidéos deepfakes étaient pornographiques et que 99 % des visages cartographiés provenaient de visages de célébrités féminines appliqués sur le visage de stars du porno (Cf. Deep Fake Report : the state of deepfakes landscape, threats, and impact, 2019). Ces deepfakes malveillants se sophistiquent et se multiplient de façon exponentielle. Par exemple, vous avez peut-être été confrontés à une vidéo où Barack Obama traite Donald Trump de « connard total », ou bien celle dans laquelle Mark Zuckerberg se vante d’avoir « le contrôle total des données volées de milliards de personnes ». Et bien d’autres deepfakes à des fins bien plus malveillants circulent. Ce phénomène exige que chacun d’entre nous soit vigilant et, a minima, ne contribue pas à leur diffusion en les partageant
Si l’on s’en tient aux effets médiatiques, interdire les deepfakes pourrait sembler une option. Il est donc important de comprendre qu’ils ont aussi des objectifs positifs dans de nombreuses applications : dans le divertissement pour créer des effets spéciaux plus réalistes et immersifs, pour adapter des contenus audiovisuels à différentes langues et cultures ; dans la préservation du patrimoine culturel, à des fins de restauration et d’animation historiques ; dans la recherche médicale pour générer des modèles de patients virtuels basés sur des données réelles, ce qui pourrait être utile dans le développement de traitements ; dans la formation et l’éducation, pour simuler des situations réalistes et accroître la partie émotionnelle essentielle à l’ancrage des apprentissages. Ainsi, selon une nouvelle étude publiée le 19 avril 2023 par le centre de recherche REVEAL de l’université de Bath : « Regarder une vidéo de formation présentant une version deepfake de vous-même, par opposition à un clip mettant en vedette quelqu’un d’autre, rend l’apprentissage plus rapide, plus facile et plus amusant ». (Clarke & al., 2023)
Comment avons-nous mis au point et démocratisé des outils technologiques de manière aussi peu appropriée, au sens de E.F. Schumacher (1973) dans son ouvrage Small is Beautiful : A Study of Economics as If People Mattered. L’idée qu’il défend est celle d’une technologie scientifiquement éprouvée, à la fois adaptable aux besoins spécifiques de groupes d’utilisateurs clairement identifiés et acceptables par toutes les parties prenantes de cette utilisation, tout au long de son cycle de vie, sans dégrader l’autonomie des communautés impliquées.
Considérons la période covid. Elle a très nettement favorisé une « aliénation des individus et des organisations à la technologie », entraînant des phénomènes de perte de contrôle et de confiance face à des utilisations non appropriées du numérique profitant de la vulnérabilité des citoyens (multiplication des arnaques santé par exemple). Ils se sont trouvés sur-sollicités et noyés sous un déluge de contenus – sans disposer des ressources nécessaires pour faire face de manière pérenne et sécurisée. Avec l’IA générative et la prolifération des deepfakes, le défi d’échapper à la noyade et d’éviter d’être victime de manipulations devient démesuré !
La mécanique allant de la technologie à la société est (toujours) bien ancrée dans la théorie de Schumpeter datant du début du 20ème siècle : les efforts et les investissements dans la technologie génèrent du développement économique par l’innovation et la productivité, qui se traduit ensuite en progrès social, par exemple, par la montée du niveau d’éducation. La question de l’adoption de la technologie par le marché de masse est un élément central de la réussite des acteurs économiques.
Comme le souligne très bien le philosophe Alain Damasio, les citoyens adoptent les solutions numériques (faciles d’utilisation et accessibles) et se réfugient dans un « techno-cocon » pour trois raisons principales : la paresse (les robots font à leur place), la peur associée à l’isolement (on a un réseau mondial d’amis) et les super-pouvoir (le monde à portée de main avec son smartphone). Cela s’applique parfaitement à l’IA générative : créer des contenus sans effort, presque instantanément, avec un résultat d’expert. Ainsi, dans le fantasme collectif, eut égard à la puissance réelle et exponentielle des outils disponibles, nous voilà bientôt, tous écrivains, tous peintres, tous photographes, tous et toutes réalisateurs… nous voilà capables de produire en quelques minutes ce qui a priori nous aurait demandé des heures. Et dans le même temps, nous servons à l’amélioration continue des performances de ces technologies, au service de quelques grandes entreprises mondiales.
Deepfakes : où est le « Bug » ? Si le chemin vers la diffusion massive de l’IA générative est clair, éprouvé et explicable, d’où vient la crise actuelle autour des deepfake ? L’analyse des mécanismes de diffusion fait apparaître deux bugs principaux.
Le premier bug s’apparente à ce que Nunes et al. (2014) appelle le phénomène « big bang disruption ». La vitesse extrêmement rapide à laquelle se déploient massivement certaines applications technologiques, ne laisse pas le temps de se prémunir contre ses effets indésirables, ni de se préparer à une bonne appropriation collective. On est continuellement en mode expérimentation, les utilisateurs faisant apparaître des limites et les big techs apportant des solutions à ces problèmes, le plus souvent technologiques. C’est la course à la technologie – en l’occurrence, la course aux solutions de détection des deepfakes en même temps que l’on tente d’éduquer et de réglementer. Cette situation exige que l’on interroge notre capacité à sortir du système établi, à sortir de l’inertie et de l’inaction – à prendre le risque de faire autrement !
Le second bug est que, selon Schumpeter, la diffusion technologique produit le progrès social par l’innovation et l’accroissement de la productivité – mais cette dynamique ne peut pas durer éternellement ni s’appliquer à toutes technologies ! Si l’on considère par exemple la miniaturisation des produits électroniques, elle a obligé à un certain stade, à changer les équipements permettant de produire les puces électroniques afin qu’ils puissent manipuler des composants extrêmement petits. Peut-on en changer l’équipement qui sert à traiter les contenus générés par l’IA, c’est-à-dire nos cerveaux ? Doivent-ils apprendre à être plus productifs pour absorber les capacités des technologies de l’IA générative ? Il y a là un second bug de rupture cognitive, perceptive et émotionnelle que la société expérimente, emprisonnée dans un monde numérique qui s’est emparée de toutes les facettes de nos vies et de nos villes.
Quid de la suite : se discipliner pour se libérer du péril deepfake ?
Les groupes de réflexion produisant des scénarii, générés par l’IA ou par les humains pleuvent – pro-techno d’une part, pro-environnemental ou pro-social d’autre part. Au-delà de ces projections passionnantes, l’impératif est d’agir – de se prémunir contre les effets indésirables, jusqu’à une régression de la pensée comme le suggère E. Morin, tout en profitant des bénéfices liés aux deepfakes.
Face à un phénomène qui s’est immiscé à tous les niveaux de nos systèmes sociaux, les formes de mobilisation doivent être nombreuses, multi-formes et partagées. En 2023 par exemple, la Région Auvergne-Rhône-Alpes a mandaté le pôle de compétitivité Minalogic et Grenoble Ecole de Management pour proposer des axes d’action face aux dangers des deepfakes. Un groupe d’experts* a proposé quatre axes étayés par des actions intégrant les dimensions réglementaires, éducatives, technologiques et les capacités d’expérimentations rapides – tout en soulignant que le levier central est avant tout humain, une nécessité de responsabilisation de chaque partie prenante.
Il y aurait des choses simples que chacun pourrait décider de mettre en place pour se préserver, voire, pour créer un effet boule de neige favorable à amoindrir significativement le pouvoir de malveillance conféré par les deepfakes. Quelques exemples : prendre le temps de réfléchir sans se laisser embarquer par l’instantanéité associée aux deepfakes ; partager ses opinions et ses émotions face aux deepfakes le plus possible entre personnes physiques ; accroître son niveau de vigilance sur la qualité de l’information et de ses sources ; équilibrer l’expérience du monde en version numérique et en version physique, au quotidien pour être en mesure de comparer, etc. Toutefois, se pose la question du passage à l’action disciplinée à l’échelle mondiale !
Il s’agit d’un changement de culture numérique intrinsèquement long. Or, le temps fait cruellement défaut ! Des échéances majeures comme les J.O. de Paris ou encore les élections américaines constituent des terrains de jeux fantastiques pour les deepfakes de toutes natures – un chaos informationnel idoine pour immiscer des informations malveillantes qu’aucune plateforme media ne sera en mesure de détecter et de neutraliser de manière fiable et certaine.
La réalité ressemble à un scénario catastrophe : le mur est là, avec ces échanges susceptibles de marquer le monde ; les citoyens tous utilisateurs d’IA générative sont lancés à pleine vitesse droit dans ce mur, inconscients ; les pilotes de la dynamique ne maîtrisent pas leur engin supersonique, malgré des efforts majeurs ! Pris de vitesse, nous voilà mis devant ce terrible paradoxe : « réclamer en tant que citoyens la censure temporelle des « hypertrucages » pour préserver la liberté de penser et la liberté d’expression ».
Le changement de culture à grande échelle ne peut que venir d’une exigence citoyenne massive. Empêcher quelques bigs techs de continuer à générer et exploiter les vulnérabilités de nos sociétés est plus que légitime. Le faire sans demi-mesure est impératif : interdire des outils numériques tout comme on peut interdire des médicaments, des produits alimentaires ou d’entretien. Il faut redonner du poids aux citoyens dans la diffusion de ces technologies et reprendre ainsi un coup d’avance, pour que la liberté d’expression ne devienne pas responsable de sa propre destruction.
Ce mouvement, le paradoxe du « ChatBlanc », pourrait obliger les big techs à (re)prendre le temps d’un développement technologique approprié, avec ses bacs à sable voire des plateformes dédiées pour les créations avec IA. Les citoyens les plus éclairés pourraient avoir un rôle d’alerte connu, reconnu et effectif pour décrédibiliser ceux qui perdent la maîtrise de leurs outils. Au final, c’est peut-être la sauvegarde d’un Internet libre qui se joue !
Ce paradoxe du « ChatBlanc », censurer les outils d’expression pour préserver la liberté d’expression à tout prix trouvera sans aucun doute de très nombreux opposants. L’expérimenter en lançant le mois du « ChatBlanc » à l’image du « dry january » permettrait d’appréhender le sujet à un niveau raisonnable tout en accélérant nos apprentissages au service d’une transformation culturelle mondiale.
*Lucal Bisognin, Sylvie Blanco, Stéphanie Gauttier, Emmanuelle Heidsieck (Grenoble Ecole de Management) ; Kai Wang (Grenoble INP / GIPSALab / UGA), Sophie Guicherd (Guicherd Avocat), David Gal-Régniez, Philippe Wieczorek (Minalogic Auvergne-Rhône-Alpes), Ronan Le Hy (Probayes), Cyril Labbe (Université Grenoble Alpes / LIG), Amaury Habrard (Université Jean Monnet / LabHC), Serge Miguet (Université Lyon 2 / LIRIS) / Iuliia Tkachenko (Université Lyon 2 / LIRIS), Thierry Fournel (Université St Etienne), Eric Jouseau (WISE NRJ).
Des chercheurs de K-State réduisent la teneur en gluten du blé panifiable tout en préservant la qualité de la pâte
10 Février 2024 Pat Melgares, service de presse de K-State Research and Extension*
Des chercheurs de K-State ont utilisé la technique d'édition de gènes connue sous le nom de CRISPR-Cas9 pour réduire la présence de deux types de gènes codant pour le gluten dans le génome du blé.
Cette avancée pourrait rendre les aliments à base de blé plus sûrs pour les personnes sensibles au gluten.
11 décembre 2023
MANHATTAN (Kan) - Des chercheurs de l'Université de l'État du Kansas ont fait une percée dans le développement d'aliments à base de blé contenant moins de gluten, une découverte qui pourrait atténuer les effets néfastes pour les personnes atteintes de la maladie cœliaque ou d'autres maladies auto-immunes.
Des scientifiques du Centre de Ressources Génétiques du Blé de K-State et du Service de Recherche Agricole de l'USDA, en partenariat avec Kansas Wheat, ont utilisé avec succès une technique d'édition de gènes connue sous le nom de CRISPR-Cas9 pour réduire la présence de deux types de gènes codant pour le gluten, appelés gliadines, connues pour être riches en peptides immunoréactifs, les acides aminés qui forment les protéines.
Le gluten est une protéine souvent présente dans le blé, l'orge et le seigle. Lorsque les personnes atteintes de la maladie cœliaque consomment du gluten, leur organisme déclenche une réaction immunitaire qui attaque l'intestin grêle et les petites saillies en forme de doigts, appelées villosités, qui aident l'organisme à absorber correctement les nutriments.
Selon la Celiac Disease Foundation, la maladie cœliaque touche 1 personne sur 100 dans le monde, mais seulement 30 % d'entre elles sont correctement diagnostiquées.
« Nous avons été très surpris de constater qu'une fois ces gènes édités, nous avons réduit de 47 fois l'immunotoxicité causée par les gènes des gliadines dans le blé », a déclaré M. Eduard Akhunov, professeur distingué du Département de Pathologie Végétale de K-State et directeur du Wheat Genetics Resource Center.
M. Akhunov dirige un groupe de scientifiques qui appliquent des méthodes avancées de génomique, de génétique et d'édition du génome pour améliorer le blé. Dans ce projet, l'édition des gènes du gluten a été réalisée par le chercheur postdoctoral Zitong Yu.
Selon M. Akhunov, le gluten ne sera probablement jamais complètement éliminé du blé, car il est important pour la fabrication du pain. Le gluten donne la texture, la saveur et l'humidité à des produits tels que le pain, les bagels, les pâtisseries, les nouilles, etc.
« Dans nos lignées éditées, nous avons également constaté qu'en dépit d'une réduction de la toxicité (réduction due à des niveaux plus faibles de molécules de gluten toxiques), nous n'avons pas constaté de réduction de la qualité de la pâte, qui est importante pour la fabrication du pain », a déclaré M. Akhunov. « C'est extrêmement important. Nous avons atteint ces deux objectifs apparemment contradictoires : réduire la toxicité tout en conservant la capacité de produire une pâte de qualité. »
M. Akhunov a ajouté que même si les niveaux réduits de gluten obtenus dans le cadre de cette étude ne rendront pas le blé immédiatement sûr pour les personnes atteintes d'une forme sévère de la maladie cœliaque, « il est important d'aller de l'avant »
« Les variétés de blé présentant des niveaux de toxicité réduits contribueront à élargir les options de produits à base de blé pour les personnes souffrant de problèmes mineurs liés au gluten », a-t-il déclaré. « Les connaissances acquises dans le cadre de cette recherche pourraient éventuellement ouvrir la voie au développement de nouvelles variétés plus sûres pour les personnes atteintes de la maladie cœliaque. »
La nature même des études scientifiques et de la sélection du blé fait que les variétés à teneur réduite en gluten ne seront peut-être pas disponibles pour les consommateurs avant de nombreuses années. M. Aaron Harries, vice-président de la recherche et des opérations pour Kansas Wheat, a déclaré que cette caractéristique ne serait pas incluse dans toutes les nouvelles variétés et « serait très probablement cultivée sous contrat avec des fabricants de produits alimentaires ».
« La recherche sur le blé est axée sur le développement de nouvelles variétés qui répondent aux exigences des consommateurs, tant au niveau national qu'international », a déclaré M. Harries. « La mise au point d'un blé plus sûr pour les personnes atteintes de la maladie cœliaque réduit le nombre de consommateurs contraints d'envisager des alternatives au blé. »
Il ajoute : « Au Kansas, de nombreux producteurs de blé et des membres de leur famille sont atteints de la maladie cœliaque. Il est ironique et regrettable qu'ils gagnent leur vie en cultivant du blé, mais qu'ils ne puissent pas consommer d'aliments à base de blé. La plupart des consommateurs préféreraient ne pas renoncer aux aliments à base de blé dans leur régime alimentaire. Le développement de variétés de blé consommables par les personnes atteintes de la maladie cœliaque leur faciliterait grandement la vie. »
CRISPR-Cas9 est un outil d'édition du génome qui est plus rapide, moins cher et plus précis que les méthodes d'ingénierie du génome utilisées précédemment. M. Akhunov explique que son équipe de recherche a travaillé avec un cultivar de blé commun appelé Fielder, qui se prête à l'édition du génome.
Les recherches de K-State, qui ont été financées par Kansas Wheat, l'Institut National de l'Alimentation et de l'Agriculture de l'USDA et la Fondation Bill et Melinda Gates, sont publiées dans le numéro du 17 novembre du Plant Biotechnology Journal. _____________
Ma note : Voici le résumé (découpé, et sous réserve de l'adage bien connu des traducteurs) de « CRISPR-based editing of the ω- and γ-gliadin gene clusters reduces wheat immunoreactivity without affecting grain protein quality » (l'édition basée sur CRISPR des groupes de gènes ω et γ-gliadine réduit l'immunoréactivité du blé sans affecter la qualité des protéines du grain) de Zitong Yu, Ural Yunusbaev, Allan Fritz, Michael Tilley, Alina Akhunova, Harold Trick, Eduard Akhunov :
« L'immunotoxicité du blé est associée à une réaction anormale aux peptides dérivés du gluten. Les tentatives de réduction de l'immunotoxicité par la sélection et la biotechnologie affectent souvent la qualité de la pâte.
Ici, l'édition multiplexée par CRISPR-Cas9 du cultivar Fielder a été utilisée pour modifier les gènes codant pour le gluten, en se concentrant spécifiquement sur les copies des gènes ω et γ-gliadine, qui ont été identifiés comme étant abondants dans les peptides immunoréactifs sur la base de l'analyse des génomes de blé assemblés à l'aide des technologies de séquençage à longue lecture.
Le séquençage du génome entier d'une lignée éditée a montré la mutation ou la suppression de presque toutes les copies du gène ω-gliadine et de la moitié des copies du gène γ-gliadine et a confirmé l'absence d'édition dans les gènes α/β-gliadine.
La réduction estimée à 75 % et 64 % de la teneur en ω- et γ-gliadine, respectivement, n'a pas eu d'impact négatif sur les caractéristiques de qualité des protéines du grain et de la pâte du point de vue de l'utilisation finale.
Une réduction de l'immunoréactivité de 47 fois par rapport à une lignée non éditée a été démontrée à l'aide d'anticorps dirigés contre des peptides immunotoxiques.
Nos résultats indiquent que la modification ciblée par CRISPR des copies des gènes ω- et γ-gliadine, déterminées comme étant abondantes dans les peptides immunoréactifs par l'analyse d'ensembles génomiques de haute qualité, est un moyen efficace de réduire l'immunotoxicité des cultivars de blé tout en minimisant l'impact de l'édition sur la qualité des protéines.
On peut aussi (re)lire « CRISPR peut rapprocher la science du consommateur » et « Trois mythes répandus sur le blé et le rôle du gluten ».
Tôt le matin, il a plu 60 mm en peu de temps. Une bénédiction pour les agriculteurs qui ont maintenant semé leur maïs. Étonnant : lorsque nous nous rendons dans le champ vers 11 heures, l'eau a complètement disparu. En fin d'après-midi, les semis reprennent, seule la récolte de soja est interrompue.
Qu'y a-t-il de nouveau pour nous ? Ce que presque personne ne sait en Allemagne : celui qui exploite des surfaces dans la région du Mato Grosso doit présenter 35 % de sa surface totale comme surface forestière (reserva). Sans cette mesure, il ne peut pas pratiquer l'agriculture. Le contrôle se fait par arpentage et contrôle par satellite. Celui qui abat un arbre indigène doit demander une autorisation. Le non-respect de cette règle entraîne une amende très élevée et, dans les cas les plus graves, une interdiction d'exercer.
L'exploitation de Jose Eduardo s'étend sur 1.800 ha, dont 600 ha de réserva, c'est-à-dire de forêt originelle. Les cultures sont le soja, le maïs et une sorte de culture intermédiaire composée de 10 espèces végétales, mais qui n'est pas récoltée et qui sert à améliorer le sol. La ferme a une teneur en humus d'environ 4 %. Des mesures sont effectuées pour déterminer l'empreinte carbone et la comparer avec celle de la reserva. La photo ci-dessus représente une telle reserva, mais sa croissance est nettement inférieure à celle de la forêt amazonienne. Le Mato Grosso est encore subtropical et plus sec, avec 1.500 à 1.800 mm de précipitations par an.
L'exploitation pratique également la production de semences de maïs. Elle a loué ses porcheries ; le locataire produit 11.000 porcs à l'engrais par an en trois bandes. Tous les porcs sont élevés en stabulation libre, refroidie si nécessaire par des sprinklers. Les porcs sont vendus à 120 kg. Le lisier va dans une installation de biogaz et est ensuite utilisé comme engrais dans les champs. L'électricité est produite par le photovoltaïque de la ferme ; le reste est injecté dans le réseau.
Une fois de plus, nous découvrons les problèmes de logistique. Le port de Santos est à 2.300 km, celui de Santarem, au nord sur l'Amazone, à 1.500 km seulement, mais il faut alors transborder dans de petits bateaux qui vont jusqu'au port de l'Atlantique où les denrées sont à nouveau transbordées.
Dans le Mato Grosso, on a constamment besoin de nouveaux travailleurs, les salaires sont très bons par rapport au reste du Brésil.
Après la visite de la ferme, nous avons parcouru environ 300 km en bus pour retourner à Cuiaba. Les routes sont pleines de camions, il n'y a qu'une seule route entre Cuiaba et l'Amazonie.
Je dois y aller, nous dînons dans 10 minutes.
Encore une remarque. Nos rendez-vous sont très serrés et Internet n'est pas disponible partout, si bien que j'ai peu l'occasion de lire les commentaires et d'y répondre. Merci de votre compréhension.
Aujourd'hui, nous allons à Campo Verde. Ce n'est pas très loin de l'endroit où nous étions hier. Après seulement trois heures de route, nous arrivons à l'exploitation que nous visitons aujourd'hui. Nous apprenons chaque jour à quel point le Mato Grosso est grand à lui seul. Et ce n'est qu'un État parmi tant d'autres. Nous visitons une exploitation familiale de 9.000 ha, gérée par le père et le fils. Mais attention : il faut à nouveau déduire 35 % de reserva (surface forestière initiale). Il ne reste donc « que » 6.500 ha pour l'agriculture et l'élevage.
Le propriétaire de l'exploitation (75 ans) a commencé avec 20 ha dans le sud du Brésil et avec un supermarché à la frontière avec l'Argentine. Un jour, à cause de la guerre des Malouines, il n'y avait presque plus de clients (parce que l'argent manquait) et il a plié bagage. Il a acheté 200 hectares à Campo Verde, où se trouvaient en 1988 deux ou trois maisons, comme toujours sans électricité ni eau courante. Aujourd'hui, Campo Verde est une petite ville de 40.000 habitants où tout le monde vit d'une manière ou d'une autre avec et de l'agriculture. Les 200 hectares sont devenus peu à peu les 9.000 hectares actuels, reserva comprise.
Qu'est-ce qui est différent ?
L'exploitation produit du soja et du maïs, comme tout le monde ici. Mais aussi du coton, du riz et 500 ha de haricots, qui sont très souvent consommés ici. Une autre particularité est la production de viande avec l'élevage de vaches allaitantes. Les taureaux restent quatre mois dans le troupeau pour la monte naturelle. Il élève 3.000 animaux sur 2.500 ha. Je laisse à chacun le soin de calculer la charge en UGB par hectare. Voici une photo du pâturage. Je ne pense pas que vous puissiez reconnaître les animaux.
Pour la finition, les animaux arrivent à la ferme où ils sont nourris sur une litière de balle de riz pendant quelques semaines. Ils vont dans un abattoir à proximité (150 km). Il commercialise environ 75 % de sa viande dans son propre supermarché en ville. Le reste est exporté vers la Chine. Nous avons déjeuné dans ce supermarché. Cela aurait pu être un supermarché avec restaurant quelque part en Europe, sauf que les légumes étaient un peu différents. Il y avait des fruits que je n'avais jamais vus auparavant.
Les bovins sont abattus à un poids vif de 620 kg (mâle) et 450 kg (femelle), le taux de réforme est de 56 %. Au Brésil, la viande de bœuf arrive en première position, suivie de la volaille, puis seulement du porc. Selon ses déclarations, 150 kg sont consommés par habitant au Brésil. Sa déclaration : « Manger de la viande est bon pour la santé ». Lorsqu'on lui demande comment il voit l'avenir : positif, il y aura moins d'engraisseurs, la génétique s'améliore constamment et l'élevage est également de plus en plus professionnel. Il nourrit ses animaux exclusivement avec ses propres aliments (+ minéraux et vitamines). En fait, ce sont des bovins bio.
En faisant le tour, nous avons découvert un drone pour l'épandage de produits phytosanitaires. La quantité épandue par hectare est de 10 L (dix litres !!), le réservoir suffit pour 4 ha. Le pilote a besoin d'environ une minute pour changer la batterie et la recharger. Le drone vole à 4 mètres au-dessus de la culture et a une largeur de travail de 12 mètres. Le rendement journalier est de 150 ha. Le drone pourrait donc traiter quatre fois toutes les surfaces de mon exploitation en une journée...
Deux autres chiffres que j'ai calculés :
Si le seul Mato Grosso faisait 4 % de jachère, cela représenterait 3,7 millions d'hectares, soit environ un tiers des cultures allemandes.
Nous verrons demain une exploitation de 300.000 ha de grandes cultures. L'Allemagne compte 11 millions d'ha de terres arables. Il faudrait 37 chefs d'exploitation pour des exploitations de cette taille afin d'exploiter les terres arables de l'Allemagne.
Dans notre bus, il y a 35 agriculteurs. Nous en cherchons encore deux...
Bien sûr, ce ne sont que des jeux de chiffres. Mais ils peuvent donner matière à réflexion.
Encore une fois, à titre personnel : je décris ici dans mon journal ce que nous voyons. Ce n'est pas une évaluation. Je ne dis pas aujourd'hui si je trouve cela bon ou mauvais. Mais il se peut très bien que je le fasse après le voyage.
En Amérique du Nord et en Europe les arbres consomment très peu de gaz carbonique jusqu'à zéro pendant l'hiver, tandis qu'en régions ensoleillées ils consomment beaucoup mais toujours moins que les plantes. Sous serres ou en régions tropicales-équatoriales les plantes grandissent parfois de 20 cm par jour ! (8° % la nuit et 20 % le jour). C'est pourquoi en pays sous dictature ils font tout po éliminer les paysans qui osent nourrir la population humaine et animale.
Le Réseau mondial contre les armes et l'énergie nucléaire dans l'espace. Une table ronde de la 31e Conférence générale annuelle
Par Michael Welch , Tamara Lorincz , Lisa Savage , Juyeon Rhee et Christian Sorensen Recherche mondiale, 10 février 2024
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Global Research est un site Web axé principalement sur la vérité et la responsabilité des gouvernements, et l'une des divisions les plus importantes sur ce sujet concerne la question de la vérité derrière la guerre. [1]
Et même si nous parlons fréquemment ces dernières années de la question de la guerre en Ukraine, de la guerre au Yémen et des violences similaires contre la Libye, la Syrie, l'Afghanistan, l'Irak, la Yougoslavie, etc., il existe un autre élément important qui est quelque peu ignoré. Cette pièce a à voir avec la militarisation de l’espace.
La United States Space Force a été fondée en 2019. Il s'agit d'une division des forces armées américaines, aux côtés de la Marine, de l'Armée, des Marines et de l'Air Force, et existerait pour donner accès aux opérations spatiales et par conséquent un nouveau champ sur lequel cibler les ennemis. . Cette dimension supplémentaire semble rarement abordée dans les débats médiatiques publics. Mais ses conséquences pourraient être fondamentales pour quiconque s’inquiète de la guerre en 2023 et au-delà. [2]
Le Réseau mondial contre les armes et l'énergie nucléaire dans l'espace (GN) existe depuis 1992. Il a été fondé par la Coalition de Floride pour la paix et la justice (FCPJ) ; Citoyens pour la paix dans l'espace (Colorado Springs) ; et Karl Grossman, professeur de journalisme basé à New York . Bruce Gagnon en a été le coordonnateur. L'organisation a été un outil pédagogique efficace pour ses membres et les 170 organisations à travers le monde auxquelles elle est affiliée. [3]
Lors de cette 31e assemblée générale annuelle, qui s'est tenue sur ZOOM le 15 juillet, un certain nombre de discussions éloquentes résument non seulement les systèmes de défense antimissile balistique (Star Wars), mais également le développement de l'OTAN dans la région Asie-Pacifique, la domination du spectre complet et l'évolution de propagande à l’ère des médias sociaux et d’Internet. Ces discussions sont au centre de cette édition estivale du Global Research News Hour.
Étaient présents à cette discussion le président du conseil d'administration du GN , Dave Webb , l'américano-coréen Juyeon Rhee , le journaliste indépendant Christian Sorenson , l'éducatrice et organisatrice à la retraite Lisa Savage , et la militante pacifiste et universitaire canadienne Tamara Lorincz .
Dave Webb est professeur émérite et président du conseil d'administration du GN. Il est un professeur d'ingénierie universitaire à la retraite qui s'est tourné vers les études sur la paix et les conflits. Il a été président de la Campagne pour le désarmement nucléaire (CND) au Royaume-Uni, président de la CND de la région du Yorkshire et mécène du groupe britannique Scientists for Global Responsibility.
Juyeon Rhee est membre de Nodutdol for Korean Community Development, basé à New York, depuis 2000. Elle est également membre du conseil d'administration du Korea Policy Institute et membre du comité directeur de la Tongil Peace Foundation. Elle est membre de plusieurs organisations coréennes à l’étranger soutenant le travail de paix et de réunification.
Christian Sorensen est un chercheur basé en Nouvelle-Angleterre et un journaliste indépendant aux États-Unis qui s'intéresse principalement aux entreprises qui profitent de la guerre. Vétéran de l’Air Force, il est l’auteur du livre Understanding the War Industry.
Lisa Savage est une éducatrice à la retraite, organisatrice et ancienne candidate au Sénat américain en 2020. Elle vit à Solon, dans le Maine et blogue sur https://went2thebridge.substack.com
Tamara Lorincz est candidate au doctorat en gouvernance mondiale à la Balsillie School for International Affairs de l'Université Wilfrid Laurier au Canada. Elle est membre de la Voix canadienne des femmes pour la paix et siège au conseil d'administration du GN.
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L' émission Global Research News Hour est diffusée tous les vendredis à 13 h CT sur CKUW 95.9FM à l'Université de Winnipeg. Le programme est également disponible en podcast sur globalresearch.ca .
Autres stations diffusant l'émission :
CIXX 106,9 FM, diffusant depuis le Fanshawe College de London, en Ontario. Il est diffusé le dimanche à 6 heures du matin.
Pour décarboner : de l’acide formique à partir du gaz carbonique « atmosphérique » ?
le 10 février 2024
Les délires engendrés par l’affirmation sans fondements scientifiques de l’IPCC au sujet des quantités infinitésimales de gaz carbonique (0,041 % !) que contient l’atmosphère provoquant un réchauffement alarmant du climat ont conduit à des excès divers en pure perte comme l’installation de forêts de moulins à vent d’une rare inefficacité. L’angoisse existentielle alimentée par la présence de ce gaz considéré comme délétère pour le climat a conduit diverses entreprises créées pour la « bonne cause » par de fieffés coquins à imaginer des usines à gaz (c’est le cas de le dire) pour capturer cet excès de gaz carbonique et l’injecter dans le sous-sol.
Cela me rappelle l’escroquerie d’une entreprise française qui avait affirmé à la société TEPCO (Tokyo Electric Power Co/gestionnaire de centrales électrique au Japon) qu’elle maîtrisait une technique « prouvée » pour séparer l’eau tritiée accumulée dans des centaines de réservoirs sur le site de l’usine électro-nucléaire de Fukushima-Daïchi. Capturer le gaz carbonique de l’atmosphère est du même ordre de stupidité et du même ordre de grandeur dans le domaine de la fraude scientifique et de l’escroquerie.
Pourtant compte tenu de la composition physico-chimique de l’atmosphère les deux seuls gaz réactifs sont l’oxygène et paradoxalement le gaz carbonique. Et c’est ce dernier gaz qui a préoccupé une équipe de physico-chimistes de l’Université de Technologie de Wuhan et d’autres instituts de recherche de diverses universités de Chine pour prouver qu’il était possible de « capturer » le gaz carbonique contenu dans l’atmosphère par un procédé économique transposable industriellement selon les résultats obtenus en laboratoire qui valorise le produit de capture à des fins également industrielles en tant qu’intermédiaire de synthèse chimique. L’article relatant ces travaux paru dans la revue Nature le premier février 2024 m’a paru digne d’intérêt dans la mesure où la technique décrite est appuyée sur des faits scientifiques prouvés : toute publication scientifique doit permettre à quiconque dispose des moyens nécessaires de reproduire les expériences décrites y compris si celles-ci ont été brevetées et ce doit être le cas pour cet article dirigé par le Docteur Bao Yu Xia ( https://doi.org/10.1038/s41586-023-06917-5 ).
Typiquement le gaz carbonique sorti de la cheminée d’une centrale électrique ou d’une chaudière de raffinerie de pétrole brûlant un combustible carboné peut être capturé directement en utilisant de la chaux ou de la soude mais ce procédé est coûteux pour l’installation et en ce qui concerne l’apport continu de soude. L’équipe du Docteur Bao Yu Xia a mis à profit les propriétés chimiques du gaz carbonique pour transformer celui-ci dissous dans l’eau sous forme d’acide carbonique dans une cellule électro-catalytique à base de plomb judicieusement récupéré dans des batteries plomb-acide. Le potentiel négatif et le pH maintenu entre 1 et 2 permet de récupérer de l’acide formique. Sous l’effet du potentiel appliqué à la cellule de l’ordre de -0,6 / -0,8 volt et quelques milli-Ampères le transfert de protons conduit, selon le diagramme de Pourbaix liant la relation entre le pH et le potentiel appliqué à la cellule électro-catalytique, à de l’acide formique ( https://en.wikipedia.org/wiki/Pourbaix_diagram ).
- voir schéma sur site -
Le plomb reste indemne au cours de ce processus et selon les auteurs de cette étude la cellule peut fonctionner de manière satisfaisante pendant plus de 5000 heures. De plus les matériaux utilisés sont peu coûteux et se prêtent à une extension industrielle infinie. Seule la membrane échangeuse de protons est critique dans la configuration de la cellule mais elle est déjà produite industriellement en particulier pour les piles à combustible. PEM = Proton exchange membrane
- voir schéma sur site -
Un procédé en milieu alcalin avait été décrit en 2008 par l’équipe de Docteur K. B. Kokoh à l’Université de Poitiers en France mais il n’avait pas été développé en vue d’applications industrielles adjoignant un catalyseur. Seul était mis à profit le pH alcalin du coté de la cathode et la présence d’une membrane échangeuses de cations de type Nafion … regrettable.
L’acide formique est un produit industriel important car 720 000 tonnes sont produites chaque année (1000 dollars/tonne) essentiellement par l’Allemagne (BASF) et la Chine (Feicheng Chemicals). Près du tiers de l’acide formique est utilisée dans les élevages pour préserver la qualité des fourrages ensilés pour les bovins afin de contrôler la fermentation lactique et l’alimentation dans les élevages de volailles pour éliminer les bactéries dont E. coli. Plus du quart de l’acide formique est consommé par les tanneries et le traitement des fibres textiles. La production industrielle d’acide formique sous forme d’ester méthylique est le produit de condensation du monoxyde de carbone avec du méthanol, l’ester est ensuite hydrolysé en acide et libération du méthanol qui est recyclé dans le processus. Quant au méthanol il est produit massivement par condensation à chaud et sous haute pression en présence d’un catalyseur cuivre-oxyde de zinc du monoxyde de carbone (CO) avec de l’hydrogène, deux gaz industriels communs. L’avenir du procédé de conversion du gaz carbonique en acide formique a probablement un avenir devant lui nonobstant les faibles tonnages espérés car en dehors des cheminées des grosses chaudières industrielles les quantités atmosphériques sont infiniment trop faibles pour alimenter un tel procédé électro-catalytique.
L’escalade continue des prix du gaz n’est pas un phénomène passager mais une réalité économique aux racines profondes, aggravée par des facteurs structurels et conjoncturels. Entre demandes en baisse, coûts de réseau fixes et transition énergétique, comprendre les causes de cette hausse s’avère essentiel pour anticiper les défis à venir.
Par Rédaction le 11 février 2024 à 11h30
La récente annonce d'une nouvelle hausse des prix du gaz en juillet prochain, oscillant entre 5,5 % et 10,4 % selon les foyers, a jeté un froid parmi les consommateurs français. Cette augmentation, loin d'être une surprise, s'inscrit dans un contexte énergétique complexe et préoccupant. L'évolution des prix reflète une série de facteurs interdépendants, dont la baisse de la demande, les coûts fixes de l'entretien du réseau, et les enjeux de la transition énergétique.
Demande en baisse, prix en hausse : un cercle vicieux
La baisse de la demande de gaz, encouragée par le gouvernement pour éviter une pénurie suite à la crise du gaz russe en été 2022, a entraîné un paradoxe économique. Moins de consommation devrait théoriquement mener à des prix plus bas, mais la réalité du marché énergétique est tout autre. « Comme on a toujours autant besoin des tuyaux et qu’on a la même exigence de qualité et de sécurité, si on répartit les dépenses d’utilisation du réseau sur moins de consommation, forcément, consommateur par consommateur, ça fait un tout petit peu plus », explique Emmanuelle Wargon, présidente de la Commission de régulation de l'énergie. Cette logique explique en partie pourquoi, même avec une consommation en baisse, les prix peuvent grimper.
Les coûts de l'entretien du réseau, incompressibles et fixes, doivent être répartis sur un nombre décroissant de consommateurs, entraînant inévitablement une augmentation du coût unitaire. Nicolas Golberg, associé Energie chez Colombus Consulting, précise que la facture d'énergie ne se limite pas au coût de la molécule elle-même mais inclut également les taxes et l'entretien du réseau.
La transition énergétique et ses coûts
L'avenir du marché du gaz est également marqué par les défis de la transition énergétique. La volonté de réduire la consommation de gaz fossile, au profit de sources moins polluantes mais plus coûteuses, annonce un avenir où les prix ne peuvent que continuer à augmenter. La mutation vers des gaz plus verts, tels que le biogaz ou l'hydrogène, nécessite des adaptations significatives du réseau de transport existant, ce qui représente un coût supplémentaire pour le système énergétique.
Patrice Geoffon, professeur au Laboratoire d'Economie de Paris-Dauphine, souligne l'ampleur de la transformation en cours pour accueillir ces nouvelles formes d'énergie dans le réseau. Cette transition, si elle est nécessaire pour des raisons environnementales, a un coût qui sera inévitablement répercuté sur les consommateurs.
Une facture de gaz salée pour les consommateurs
Les implications de ces augmentations pour les consommateurs sont loin d'être négligeables. Avec la hausse des prix du gaz, s'ajoute la perspective d'augmentations similaires pour d'autres sources d'énergie, comme l'électricité et le pétrole, exacerbant le fardeau financier des ménages. Nicolas Leclerc, cofondateur du cabinet de conseil en énergie Omnegy, alerte sur une période d'au moins quatre années de hausse continue du prix du gaz, amplifiée par une fiscalité qui ne tendra qu'à augmenter pour compenser la baisse de la consommation.
L'amélioration de l'isolation des logements et l'optimisation des systèmes de chauffage deviennent des impératifs pour les foyers au gaz, souligne Nicolas Golberg. Face à l'augmentation inévitable des coûts énergétiques, la rénovation thermique des logements apparaît comme une des seules voies pour maintenir des factures à un niveau soutenable.
Cet avenir énergétique, marqué par des coûts croissants et des défis environnementaux, impose une réflexion profonde sur notre consommation et sur les moyens de la rendre plus durable et moins onéreuse. Les années à venir seront décisives dans la manière dont les consommateurs et les pouvoirs publics navigueront dans cette transition énergétique complexe, cherchant un équilibre entre impératifs écologiques et réalités économiques.
(...) Cette logique explique en partie pourquoi, même avec une consommation en baisse, les prix peuvent grimper. (...)
Les gaz (propane & butane) proviennent des nappes pétrolières qui en poussent le pétrole brûlant à s'évacuer en derricks. Mais, il y a torchères ! Torchères qui n'auraient pas lieu d'être car le gaz se vend C'est là le problème directeur des marchés !
Ci-dessus, vous pouvez voir une capture d'écran d'un diagramme de température provenant d'un reportage de la chaîne de télévision autrichienne ORF III. À gauche se trouve également celle de l’organisation onusienne IPCC Intergovernmental Panel on Climate Change (Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique), connue sous le nom de « Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat ». Même cette organisation ne nie pas qu’il y ait eu des périodes nettement plus chaudes au cours de l’Holocène, la période qui s’est écoulée depuis la fin de la dernière période glaciaire il y a environ 12 000 ans, que pendant la période chaude moderne.
Il s'agit de l'émission sur la chaîne de télévision ORF III du 29 décembre 2023, pour laquelle le physicien Dr. Bernhard Strehl a déposé une plainte auprès de l'autorité de régulation compétente KommAustria. L’article était intitulé « Autriche – Toute l’histoire (5/10) » avec le sous-titre « Otages du froid » sur une longue période de froid.
La plainte indique :
« Le programme est qualifié de documentaire sur le thème de l’histoire. ….
Ce programme est truffé de désinformations, de demi-vérités, de distorsions, de fausses connexions, etc. En particulier, deux graphiques de température sont présentés au cours du programme, qui montrent tous deux une augmentation de température considérablement exagérée (« pics ») à l’heure actuelle. Ces représentations sont fausses, trompeuses, manipulatrices et ne sont étayées par aucune étude scientifique fiable.
Concernant les graphismes, la plainte explique :
Minute 17:32 Un graphique à taille humaine s'enroule de gauche à droite, montrant une progression de la température dans le temps depuis l'année 0 jusqu'à aujourd'hui.
- voir graph sur site -
Ce graphique et le deuxième graphique ci-dessous sont d'une importance cruciale pour l'évaluation du programme. C’est pourquoi les deux sont discutés de manière très détaillée.
Il y a quelques problèmes avec le graphique, comme « C° » au lieu de « °C ». De plus, les noms des axes ne sont pas corrects. La représentation en perspective crée une impression totalement fausse d’une augmentation de température sans précédent.
Ce graphique contient plusieurs informations incorrectes :
1. Les valeurs de température affichées ne reflètent pas la température moyenne mondiale. Dans la période indiquée, celle-ci se situe entre environ 13°C et environ 17°C. La valeur zéro est choisie de manière totalement arbitraire à un moment donné peu avant « aujourd’hui ».
2. L’intervalle de temps entre la période chaude romaine et la période chaude médiévale par rapport à l’intervalle de temps entre la période chaude médiévale et le petit âge glaciaire est beaucoup trop court. Cela donne l’impression que le Petit Âge Glaciaire a eu lieu très tard après la Période Chaude Médiévale. Mais cela a suivi immédiatement la période chaude médiévale.
3. Les valeurs de température de la courbe ne peuvent pas être vérifiées. M. Pfeiffer lui-même dit au début de l'émission (minute 02:21 voir ci-dessus) qu'il y avait un refroidissement moyen allant jusqu'à 2°C. Ce 2°C est également mentionné dans le texte d'information du programme ; voir pièce jointe. Dans le graphique ORF, la différence de température entre le maximum de la Période Chaude Médiévale et le minimum du Petit Âge Glaciaire est inférieure à 0,4°C, soit seulement un cinquième du refroidissement réel.
4. Le graphique montre une augmentation spectaculaire d’environ 1,7°C vers la fin de la courbe de température. Cela est contraire à la science. Comme déjà mentionné, le caractère dramatique de la montée est encore accentué par la coloration de la ligne et son élargissement supplémentaire.
Les fausses déclarations dans l’émission ont d’autres points forts :
Minute 17:49 Un deuxième graphique de température s'affiche de gauche à droite. M. Pfeifer déclare : « Cette image se dessine sur une période de 11 000 ans. »
Commentaire : Cependant, si vous regardez attentivement la chronologie, vous pouvez immédiatement voir que la période indiquée n'est pas de 11 000 ans, mais de 12 000 ans. La période de 0 à aujourd'hui ; c'est-à-dire 2 000 ans et en plus celui avant l'année zéro jusqu'à l'année 10 000.
Le physicien Strehl explique notamment : « Dans ce graphique, l'augmentation jusqu'à présent est encore plus spectaculaire ; il monte presque verticalement. La coloration à l'extrémité droite vers le haut est maintenant d'un rouge riche.
Le premier rapport d'évaluation du GIEC de 1990 mentionné ci-dessus contient également à la page 202 un diagramme de courbe de température pour la période allant d'il y a environ 12 000 ans à aujourd'hui (voir annexe GIEC AR 1 1990, page 202).
Le GIEC utilise la température de 1900 comme ligne de 0°C ; selon le GIEC, il y a environ 12 000 ans, les températures étaient de 4°C en dessous de la ligne zéro. Cependant, l’ORF n’avait qu’une température négative d’un peu moins de -1,0°C il y a 12 000 ans, ce qui s’écarte considérablement des -4°C du diagramme du GIEC. « Le graphique ORF déforme délibérément la courbe de température réelle et donne ainsi l'impression que des changements de température majeurs ne se sont produits que dans un passé récent ; "surtout comme si les températures actuelles étaient plus élevées qu'à tout autre moment au cours des 12 000 dernières années." Ce qui est tout simplement faux.
Et cette production de fausses nouvelles est financée par l’argent des impôts et des cotisations obligatoires.
La goutte qui fait déborder le vase
RépondreSupprimer08.02.2024
www.kla.tv/28125
« Nous sommes arrivés à un point de basculement, on ne peut plus continuer comme ça », ces mots sont ceux de Marie-Hélène Thoraval, maire de Romans sur Isère qui s’est exprimée suite à la mort tragique du jeune Thomas lors d’une rixe dans la commune de Crépol.
En fait ces mots sont également dans la bouche de beaucoup de Français ; il y a une exaspération grandissante, un ras le bol au vu des événements tragiques que notre pays connaît. On a l’impression qu’il n’y a plus une journée sans que les médias ne nous relatent une attaque au couteau, des passages à tabac, des femmes qui se font violer à tout bout de champ, des morts souvent pour parfois de simples histoires de voisinage etc. etc., la liste serait longue, au point où certains ne parlent plus de faits divers mais de faits de société. Et comme si cela ne suffisait pas, on a affaire à une justice laxiste et même plus puisque parfois la victime se retrouve sur le banc des accusés. On a par exemple des témoignages de propriétaires à la rue parce qu’ils ont la surprise de voir leur maison occupée par des squatteurs, n’importe quelle personne censée dirait que quelques minutes suffiraient à la police pour les déloger, et bien non, ce sont parfois des mois de tractations et même parfois le squatteur porte plainte car il manque des barres de sécurité aux fenêtres de l’étage. Ça s’appelle marcher sur la tête. Toutes ces injustices, toute cette violence sont donc insupportables, il y a un : « c’en est assez ! », on a envie de dire : il faut un retour à de la rigueur, de la fermeté, à une justice qui punisse sévèrement le coupable, à plus de contrôle afin de connaître l’identité des auteurs de troubles. Oui il faudrait des caméras à chaque coin de rue, de plus en plus de surveillance de toute sorte. Mais est-ce vraiment la solution ? Ou dit autrement, ne faudrait-il pas traiter le problème en amont, c’est-à-dire essayer de comprendre pourquoi on en est arrivé là ? Oui car si le vase déborde, il ne s’est pas rempli tout seul et il y a bien eu une première goutte qui a été versée.
Un homme il y a déjà très longtemps avait déjà attiré notre attention sur ces sujets précisément. C’était il y a un peu plus de 2 000 ans, vous comprenez peut-être à qui je fais allusion, oui, je veux parler de Jésus. Là tu te dis qu’il s’agit certainement d’un truc religieux et tu t’apprêtes à stopper la vidéo mais ce n’est pas le cas et tu verras même que cela concerne justement le contrôle d’aujourd’hui et même la fameuse IA, cette intelligence artificielle dont on parle tant. En fait cet homme avait expliqué un principe de vie tout simple : celui de la semence et de la récolte. C’est-à-dire qu’une petite semence peut produire un arbre énorme qui peut un jour tomber sur une maison et tuer ses habitants. Donc si je néglige cette plus petite semence, le petit commencement, la première goutte, un jour ça finira mal. Par exemple en termes de violence on devrait considérer la plus petite insulte envers son prochain comme une semence. Ou si on prend tout ce domaine de la perversion d’aujourd’hui, il s’agit de considérer la petite convoitise comme un départ, là aussi une semence qui a de fortes chances d’être un arbre dans beaucoup de cas, vous comprenez ? Malheureusement nous n’avons pas pris au sérieux ces avertissements, et je dis bien avertissements et pas commandements et encore moins aujourd’hui car la plupart du temps on entend dire : « Il y bien plus grave », et surtout sous-entendu « Il y a plus grave que ce que je fais » ; n’est-ce pas que c’est comme ça, je connais ça chez moi. Et puis on a vite fait d’inventer des formules « Oh ! y a pas mort d’homme » ou concernant la convoitise « y a pas de mal à se rincer l’œil », « la fidélité conjugale, c’est ringard » etc. et comme ça on pense que le problème est réglé. Mais regarde aujourd’hui dans quelle perversion le monde est tombé, cela va même jusqu’à vouloir mettre en place des lois qui légaliseraient la pédophilie ; et que dire des viols dont les femmes sont victimes, en 2 ans on est passé de 67 à 205 par jour en France, beaucoup de femmes disent aller au travail la peur au ventre.
RépondreSupprimerDonc comme je l’ai dit nous n’avons pas pris au sérieux ces avertissements ou dit autrement ces lois de la nature, et en quelque sorte nous les avons jetés par-dessus notre épaule. Voici qu’ils nous reviennent en pleine figure, car le contrôle et la merveilleuse IA vont se charger de nous épier et nous écouter dans les moindres recoins de notre vie. Car il serait naïf de croire que l’IA ne servira qu’à poursuivre les voleurs, les violeurs et les criminels. Non, ça, c’est juste le prétexte pour accepter des caméras tous les 10 m, mais nous serons contrôlés également de plus en plus dans nos maisons, car le projet de nos élites est qu’on devienne tous transparents. Oui même toi qui dis souvent que tu n’as rien à te reprocher, encore une fois « y’a pire que moi », eh bien tu risques même de te retrouver en premier sur la liste, et cela est possible grâce à toutes les nouvelles technologies comme la 5G, le Linky, la Wifi, et ce n’est que le début.
RépondreSupprimerAlors il y a quelques jours le commissaire européen Thierry Breton dans un entretien s’est voulu rassurant en disant que le contrôle selon le modèle chinois et son crédit social n’arriveraient pas en Europe, en quelque sorte : « Continuez d’être rivés sur vos portables, vous n’avez rien à craindre ». En l’écoutant j’ai immédiatement pensé au fameux nuage radioactif de Tchernobyl qui selon les dirigeants de l’époque ne devait pas passer la frontière. Mais Thierry Breton se garde bien de nous dire que déjà à Bologne en Italie ce système de contrôle et d’éducation a été introduit, il se garde également de nous dire que déjà toutes nos conversations sont écoutées grâce à nos portables… même éteints. Alors bien sûr cela se fait grâce à l’IA qui est capable de reconnaître des mots dans les conversations, donc on peut imaginer facilement qu’un jour la police débarquera chez vous parce que vous avez eu dans des conversations des propos racistes, antisémites, et même des insultes, des blagues déplacées envers les homosexuels, les femmes etc. D’ailleurs en 2018 déjà il y avait une réflexion sur un projet de loi visant à punir le harcèlement de rue - par exemple des regards trop appuyés sur les femmes - c’est-à-dire la fameuse convoitise ! Génial, avec la reconnaissance faciale tout deviendra facile. N’est-ce pas que tout à coup on se sent concerné ? Et ça ne s’arrête pas là car déjà aux Etats-Unis se pratique le contrôle des ondes cérébrales de certains employés de nombreuses multinationales, et c’est bien connu, ce qui se fait au pays de l’oncle Sam arrivera un jour chez nous. Plus près, à Davos en Suisse, s’est déroulé du 15 au 20 janvier 2024 le séminaire du FEM intitulé « Etes-vous prêt pour la transparence cérébrale ? ».
Pour résumer ce chapitre, nos dirigeants veulent introduire ce contrôle selon le modèle chinois qui imposera à chaque individu un fonctionnement à 100% conforme aux dirigeants et qui punira tout écart de conduite.
C’est donc comme un boomerang qui nous revient dessus, et au regard de ce qui se prépare, ça ressemble plutôt à l’enfer ; et maintenant il faut réfléchir à deux fois avant de désirer tous ces contrôles n’est-ce pas, car il y a une autre issue. En effet si nous ne sommes pas que des victimes de ce qui nous arrive mais aussi acteurs, nous pouvons l’être également pour un nouveau monde, beaucoup déjà ont choisi ce chemin. Imaginez par exemple un monde sans policiers car personne ne penserait à voler, un monde où on s’excuse immédiatement après avoir blessé son prochain, où on pardonne à celui qui nous a blessé… Et on peut comme ça continuer d’imaginer ce qu’est ce nouveau monde, c’est très facile. Cette fois c’est le paradis sur terre. Je vous laisse sous l’émission une source qui vous donne un aperçu de ce paradis qui existe déjà.
RépondreSupprimerde jpl.
Sources / Liens :
Affaire de Crépol. Maire de Romans
Valeurs Actuelles, décembre 2023 n° 4542, p. 24 à 26
Responsabilité des propriétaires
Article 1244 du code civil
La semence qui devient un arbre
La Bible, Evangile de Matthieu, chap. 5 versets 21 à 28
Encouragement à la pédophilie
https://www.causeur.fr/peut-il-y-avoir-un-consentement-de-lenfant-a-un-acte-sexuel-avec-un-autre-enfant-262959
Surveillance à la chinoise à Bologne (Italie)
https://iatranshumanisme.com/2022/04/23/le-credit-social-a-la-chinoise-sinvite-en-italie/
https://www.kla.tv/fr
Aux États-Unis, 1 décès sur 5 causé par une maladie cardiaque
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 08 FÉVRIER 2024 - 02:15
Même si les nouveaux cas de cancer aux États-Unis devraient franchir la barre des deux millions pour la première fois en 2024, les maladies cardiaques restent la principale cause de décès aux États-Unis, selon les Centers for Disease Control and Prevention.
Outre les affections liées à ces maladies, Florian Zandt de Statista rapporte que, selon le CDC, Covid-19 est le troisième plus grand nombre de morts en 2021.
Bien qu’il existe des données plus récentes, 2021 est actuellement la dernière année pour laquelle des données complètes et définitives sur la mortalité dans le pays sont disponibles.
Infographie : Quelles sont les principales causes de décès aux États-Unis ? | Statiste
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Les autres causes de décès les plus répandues aux États-Unis comprennent les accidents, les accidents vasculaires cérébraux et les maladies respiratoires, responsables de 64,7 contre 41,1. et 34,7 décès pour 100 000 habitants, respectivement.
La maladie d'Alzheimer, qui pourrait devenir plus importante dans les sociétés vieillissantes au cours des deux prochaines décennies, se classe au septième rang avec 31 décès pour 100 000 habitants et une part de 3,4 pour cent du total des décès enregistrés par le CDC.
- voir cadre sur site -
Au total, environ 3,5 millions de décès ont été enregistrés aux États-Unis en 2021, soit une hausse de 80 000 par rapport à 2020.
Cette augmentation du nombre de décès s’accompagne d’une baisse de l’espérance de vie dans le pays. Selon les données du CDC, l'espérance de vie à la naissance en 2021 a diminué de 0,6 an pour les femmes et de 0,7 an pour les hommes sur un an.
https://www.zerohedge.com/medical/1-5-deaths-us-caused-heart-disease
Les vaccins COVID sont les plus dangereux au cours du premier trimestre de la grossesse, selon une étude
RépondreSupprimerNouveau-nés suédois et norvégiens : les résultats postnatals dépendent du trimestre de vaccination
IGOR TCHOUDOV
8 FÉVRIER 2024
Une nouvelle étude a été publiée hier dans JAMA.
https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2814537
Son objectif était de prouver que les vaccins contre la COVID sont « sans danger pour la grossesse ».
Signification Dans cette vaste étude basée sur la population, la vaccination des personnes enceintes avec des vaccins à ARNm contre la COVID-19 n'était pas associée à des risques accrus d'événements indésirables néonatals chez leurs nourrissons.
En effet, les auteurs montrent que les nourrissons nés de mères vaccinées subissent moins de conséquences indésirables que les mères non vaccinées :
Résultats Sur 196 470 nouveau-nés inclus (51,3 % de sexe masculin, 93,8 % nés à terme, 62,5 % nés en Suède), 94 303 (48,0 %) ont été exposés à la vaccination contre la COVID-19 pendant la grossesse. Les nourrissons exposés n'ont présenté aucun risque accru d'issues néonatales indésirables, et ils ont présenté un risque plus faible d'hémorragie intracrânienne néonatale non traumatique (taux d'événements, 1,7 contre 3,2/1 000 ; rapport de cotes ajusté [aOR], 0,78 [IC à 95 %, 0,61-0,99]), encéphalopathie hypoxique-ischémique (1,8 vs 2,7/1 000 ; aOR, 0,73 [IC à 95 % : 0,55-0,96]) et mortalité néonatale (0,9 vs 1,8/1 000 ; aOR, 0,68 [IC à 95 % : 0,50-0,91]).
Les auteurs admettent :
Il est peu probable que la vaccination par ARNm contre la COVID-19 pendant la grossesse réduise directement la mortalité néonatale, bien que d’autres aient suggéré qu’un tel effet protecteur soit biologiquement plausible.12 Le vaccin ne semble pas traverser le placenta ni provoquer d’inflammation placentaire, et n’a pas pu être retracé dans sang de cordon.25,26 Les résultats de la présente étude n'ont pas pu élucider les mécanismes qui expliquent pourquoi les nourrissons d'individus vaccinés présentaient des risques plus faibles de certaines conséquences, notamment la mortalité. Une confusion non mesurée due au fait que les individus vaccinés sont en meilleure santé peut avoir contribué à la diminution de la morbidité et de la mortalité néonatales associées à la vaccination contre la COVID-19 pendant la grossesse.
Je montrerai que les données fournies dans l’étude, y compris l’analyse des sous-groupes et des trimestres, suggèrent que les vaccins Covid administrés aux femmes enceintes peuvent être dangereux pour les fœtus si les mères ont été vaccinées au cours du premier trimestre.
RépondreSupprimerRegardons.
Analyses de sensibilité et trimestrielles
Cette étude sur les nourrissons nés en Suède et en Norvège pendant la pandémie comprend des données précieuses et difficiles à trouver :
Les analyses de sensibilité montrent des sous-ensembles de mères, par exemple les mères vaccinées qui n’ont pas eu le COVID-19 pendant la grossesse.
Répartition par trimestre d’exposition au vaccin COVID.
Considérées ensemble, les données mentionnées ci-dessus soulèvent de sérieuses questions sur la sécurité du vaccin Covid pendant la grossesse.
Ceux qui vantent les avantages de la vaccination maternelle contre le COVID affirment souvent que les vaccins préviennent le COVID-19, qui est dangereux pour les fœtus. Cette étude comporte une analyse de sensibilité qui dément cette théorie.
Tout d’abord, les vaccins contre la COVID n’ont PAS réduit de manière significative les infections pendant la grossesse, comme le montre le tableau 1 :
- voir sur site -
Les données de l’analyse de sensibilité montrent que les nourrissons dont les mères ont évité le COVID-19 pendant la grossesse ont des résultats similaires à ceux de tous les nourrissons (y compris ceux dont les mères ont eu le Covid pendant la grossesse) :
- voir sur site -
Par conséquent, la « protection vaccinale contre l’infection » ne réduit pas le risque relatif d’effets indésirables. L’examen du sous-ensemble de mères qui n’ont pas eu le Covid montre que les infections n’ont rien à voir avec le risque relatif de ces effets indésirables.
Les auteurs suggèrent que des « facteurs de confusion inexpliqués », parfois décrits comme « l’effet du vacciné en bonne santé », pourraient être à l’origine du risque relatif réduit entre les résultats des vaccins et ceux des non vaccinés.
Différence inquiétante entre les vaccinations du premier et du troisième trimestre
RépondreSupprimerImaginez une substance parfaitement inutile mais inoffensive : une solution saline ou une pilule de sucre. Un tel traitement, administré aux femmes enceintes, n'entraînerait pas de résultats disparates selon le trimestre d'exposition. En termes scientifiques, le risque relatif d'événements indésirables ressentis par les nouveau-nés dont les mères ont reçu une substance inoffensive ne dépendrait pas du trimestre d'exposition.
Pourquoi, alors, les nouveau-nés dont les mères ont été vaccinées au cours du premier trimestre de la grossesse (lorsque les principaux organes se forment) connaissent-ils des taux d'événements postnatals indésirables environ 50 % plus élevés que ceux nés de mères vaccinées au troisième trimestre ?
Regarde ça:
- voir sur site -
Les taux de presque tous les résultats négatifs chez les nourrissons (entourés en bleu) sont pires pour les nourrissons du premier trimestre que pour les nourrissons du troisième trimestre.
Pouvons-nous effectuer un test statistique sur certaines de ces différences pour voir si la disparité des résultats dans les deux échantillons pourrait être due au pur hasard ? Regardez le résultat ci-dessus, « thrombocytopénie néonatale », surligné en rouge.
Le test statistique approprié pour cela est appelé « test Z à deux proportions » :
Les données montrent que les nourrissons exposés au vaccin plus tôt (au cours du premier trimestre de la grossesse) sont plus susceptibles de souffrir de thrombocytopénie après la naissance. P = 0,00001 suggère que la différence n’est pas due au hasard.
La seule explication que je puisse personnellement trouver est que les vaccins Covid, administrés au cours du premier trimestre, interfèrent d’une manière ou d’une autre avec le développement du fœtus et rendent plus probable la thrombocytopénie (et une foule d’autres résultats).
Le même effet apparaît lorsque l’on examine « tous les résultats indésirables ». Voir supplément :
- voir sur site -
Les nourrissons exposés au cours du premier trimestre ont un risque 0,68/0,49 - 1 = 39 % plus élevé de subir une issue indésirable.
Comment un « vaccin sûr » qui « n’affecte pas la grossesse » peut-il rendre le premier trimestre d’exposition plus dangereux ?
Un résultat similaire a été récemment observé dans une autre étude : le risque de troubles du développement neurologique était également plus élevé pour l’exposition au premier trimestre que pour le troisième trimestre :
- voir sur site -
ht tps://www.igor-chudov.com/p/male-infants-and-male-rat-pups-disproportionally
RépondreSupprimerRésumé
Une sous-analyse des grossesses qui ont évité le COVID-19 montre que la « réduction des effets indésirables dus aux vaccins » est probablement due à une confusion et non à une réduction des infections.
Dans le même temps, la disparité inexplicable entre les nourrissons exposés au cours du premier trimestre et les nourrissons exposés au troisième trimestre suggère que les vaccins Covid affectent négativement le développement du fœtus.
Qu'en penses-tu? Existe-t-il une tendance suggérant que les vaccins Covid ne sont pas sans danger pour la grossesse ? Dites-nous ce que vous en pensez – et n'hésitez pas à être en désaccord avec moi !
https://www.igor-chudov.com/p/covid-vaccines-are-most-dangerous?utm_source=post-email-title&publication_id=441185&post_id=140691287&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=9atnc&utm_medium=email
La mort est-elle un soin de santé ?
RépondreSupprimerL’avènement du suicide assisté par un médecin pose clairement la question : considérons-nous désormais la mort comme un « traitement » légitime, une forme de « soins de santé » ?
John M. Grondelski
February 8, 2024
Le Parti démocrate est clairement le parti de la mort en ce qui concerne les enfants à naître depuis au moins 1976, lorsqu'il s'est opposé pour la première fois à un amendement constitutionnel visant à renverser Roe. Il devient cependant de plus en plus évident que le Parti démocrate – en particulier son aile « progressiste » (c’est-à-dire la plus à gauche) – est également le parti de l’euthanasie, comme en témoigne la vague de lois sur le « suicide assisté par un médecin » (PAS). surgissant cette année dans plusieurs législatures des États bleus.
Le Michigan, qui encourage également le trafic de bébés (appelé « maternité de substitution commerciale »), dispose désormais d'un ensemble de lois sur le PAS, présentées par la députée Mary Cavanagh, qui se présente comme une « championne vocale » de « nos populations les plus vulnérables » ( dont, vraisemblablement, « nous n'en voulons pas trop »). Au cours de la semaine du 16 janvier, un comité sénatorial de Virginie, par vote de parti, a approuvé un projet de loi PAS. Les législateurs du Maryland et du Massachusetts tiendront bientôt des audiences pour prétendre avoir écouté le public avant de faire adopter les projets de loi PAS.
J'ai récemment écrit que le PAS était inextricablement lié à des incohérences logiques. Les taux de suicide aux États-Unis explosent dans diverses données démographiques. Les hommes blancs se suicident et, si l’on combine cela avec ce que le Dr Stephen Doran appelle à juste titre « les morts par désespoir » – le suicide au ralenti par l’alcoolisme ou la toxicomanie – l’espérance de vie des hommes blancs diminue.
Mais il ne s’agit pas seulement de mâles blancs morts. Le taux de suicide chez les adolescents et les jeunes adultes est également en augmentation, à une étape de la vie où les gens devraient être le plus remplis d’espoir et d’ambition pour l’avenir.
Nous faisons beaucoup de bruit au sujet de la « lutte contre le suicide ». « Vous n’êtes pas seul », entonnons-nous solennellement. « Nous sommes là pour vous aider ! »
N’envoyons-nous pas des signaux contradictoires si nous faisons toutes ces affirmations et disons ensuite à des personnes apparemment sur le point de mourir qu’elles peuvent se suicider ?
Ou à quels autres jeux jouons-nous ? Le modus operandi culturel général actuel est que nous ne pouvons pas critiquer un suicide « normal » (c’est-à-dire non-PAS) car il est clair que cette personne a dû être « folle » et, par conséquent, sa responsabilité a été diminuée. Nous imputons toutes sortes de détresse psychologique et de maladie pour excuser ces suicides… mais ensuite nous prétendons qu'un suicide PAS est un acte parfaitement rationnel et défendable ?
RépondreSupprimerDit moi si j'ai bien compris. Une personne qui se suicide est généralement considérée aujourd'hui comme suffisamment chargée psychologiquement pour diminuer sa responsabilité, sauf dans une situation in extremis où, confrontée à une condition prétendument fatale et irréversible, elle devient soudainement pleinement lucide mentalement et capable de prendre une décision légitime et déterminante pour sa vie. décision ?
Hein ?
Les partisans du PAS, bien sûr, doivent prétendre que ces décisions sont rationnelles, compétentes et doivent donc être respectées – sinon le château de cartes du PAS s’effondre. La raison pour laquelle, en proie à une maladie mortelle et face à un diagnostic terminal (peut-être erroné) on acquiert soudainement une lucidité mentale jusqu'alors indisponible n'est, bien sûr, jamais expliquée.
Mais je crains que, tout comme les partisans du PAS prétendent que les demandes de suicide assisté par un médecin sont « rationnelles », les types « pastoraux » reviendront soudainement à leurs affirmations d’irrationalité afin de justifier les funérailles publiques et autres services ecclésiastiques auprès de ceux qui acceptent. leur propre vie. Nous avons déjà vu le président de l'Académie pontificale pour la vie, Mgr Paglia, se demander si la manie de « l'accompagnement » de ce pontificat devait s'étendre jusqu'à être présent lorsque quelqu'un se suicide par PAS. Combien de temps avant qu’on nous dise que nous devrions offrir des bénédictions ex tempore « courtes et simples » au suicide envisagé ? Ou peut-être sacrilèger les derniers sacrements ?
Ce qui m’a vraiment touché, c’est le récent débat sur l’exécution par hypoxie d’azote en Alabama le 25 janvier. L'Alabama a exécuté un meurtrier essentiellement par suffocation : en lui donnant uniquement de l'azote mais pas d'oxygène pour respirer. L'Alabama a expérimenté cette méthode parce que les États ont depuis longtemps des difficultés à se procurer les médicaments utilisés pour les injections mortelles : les sociétés pharmaceutiques refusent de les vendre. Les États étaient également enclins à bâcler les exécutions par injection létale, car les lignes intraveineuses étaient généralement placées par le personnel pénitentiaire, les professionnels de la santé refusant de participer à l'administration de la peine de mort. Ils insistent sur le fait que donner la mort est incompatible avec leur vocation de guérisseur ; et, jusqu’à présent, aucun État n’a cherché à forcer leur conscience.
Or, je ne prône pas la participation active du personnel soignant dans les cas capitaux (contrairement au médecin traditionnel qui constate le décès), mais je constate un double standard. Comment se fait-il que le soignant prostitue sa vocation dans le couloir de la mort mais pas dans une affaire PAS ? Comment se fait-il que l’État respecte son droit de ne pas participer aux affaires capitales mais – déjà dans certaines juridictions (par exemple, l’Ontario) – s’attende à ce qu’il ait un devoir professionnel d’orienter un patient vers un autre médecin qui le tuera s’il ne le fait pas ?
RépondreSupprimerNous revenons à la question centrale : la mort fait-elle toujours partie de la médecine ? Le vieux « paradigme » du médecin qui combat la mort a-t-il été remplacé par celui qui considère la « mort » comme faisant partie de son bagage médical ?
La mort fait-elle parfois partie de la médecine ? Le vieux « paradigme » du médecin qui combat la mort a-t-il été remplacé par celui qui considère la « mort » comme faisant partie de son bagage médical ?
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Le battement de tambour retentit déjà à Washington pour prétendre que l’avortement – l’homicide prénatal – relève des « soins de santé ». Dans ce cas, nous prétendons qu’il n’y a qu’un seul patient – la mère – alors que l’enfant à naître n’est, au mieux, qu’un « amas de cellules ». Cela nous éloigne de la question de la mort.
Mais l’affaire PAS place la mort au premier plan. Bien que nous puissions ourdir et truquer la question de savoir si un enfant à naître est une « vie humaine », il n’existe aucun indice par lequel nous pouvons nier l’humanité du patient – même du patient mourant – assis devant nous. Et c’est pourquoi nous ne pouvons pas poser ici la question de la mort. Nous devons répondre à la question carrée : « La mort est-elle un soin de santé ? »
Ce qui devrait nous inquiéter sérieusement, c’est que pour beaucoup de nos pairs – y compris, apparemment, un parti politique majeur – la réponse est « oui ».
https://crisismagazine.com/opinion/is-death-healthcare?utm_source=Crisis+Magazine&utm_campaign=3635dc17cf-Crisis_DAILYRSS_EMAIL&utm_medium=email&utm_term=
0_a5a13625fd-3635dc17cf-28418891&mc_cid=3635dc17cf&mc_eid=0d1dd27b48
Les vaccins à ARNm sont extrêmement toxiques, préviennent désormais les scientifiques de Moderna
RépondreSupprimer08/02/202
Ethan Huff
Une nouvelle recherche publiée dans la revue Nature Reviews Drug Discovery révèle que les « vaccins » à ARNm (ARNmod) sont tout sauf sûrs – et cela vient de scientifiques qui travaillent chez Moderna, l’un des principaux fabricants mondiaux d’injections d’ARNm.
La technologie ribonucléique messagère modifiée produite par Moderna et Pfizer pour les injections d'ARNm respectives des sociétés est administrée au corps humain à l'aide d'une technologie relativement nouvelle de nanoparticules lipidiques (LNP). La technologie LNP présente encore de nombreux défauts, pour le dire à la légère, qui doivent être résolus si les produits vaccinaux associés doivent un jour être considérés comme sûrs, même à distance.
"Un défi majeur consiste désormais à réduire efficacement les risques de toxicité potentiels associés à la technologie de l'ARNm", ont écrit les scientifiques, ajoutant que les risques de toxicité incluent "les composants structurels des nanoparticules lipidiques, les méthodes de production, la voie d'administration et les protéines produites à partir d'ARNm complexés".
Les auteurs Eric Jacquinet, Dimitrios Bitounis et Maximillian Rogers travaillent tous chez Moderna, ils voient donc directement le profil de toxicité de l’ARNm.
Certains des effets secondaires connus des injections d’ARNm déjà déclenchées dans le cadre de l’opération Warp Speed pour le coronavirus de Wuhan (COVID-19) comprennent un choc allergique grave et une inflammation cardiaque. Certains cas de ces blessures peuvent impliquer une hypersensibilité, mais la réalité est que la plupart d’entre elles proviennent de la toxicité inhérente de la technologie des ARNm et des LNP.
L'étude explique que « n'importe quel composant LNP-ARNm » pourrait être responsable de blessures associées, mais que la plupart des cas de blessures, selon les auteurs, sont probablement déclenchés par des nanoparticules lipidiques PEGylées, qu'ils décrivent comme « le composant le plus potentiellement réactogène » de Coups d’ARNm.
Comme nous l’avons signalé en 2021, le PEG, également connu sous le nom de polyéthylène glycol, est hautement allergène. Au début de la « pandémie », les réactions aux injections de COVID étaient imputées au PEG, tout comme elles le sont dans une large mesure dans cette nouvelle étude, bien que nous ayons également partagé des preuves suggérant que la technologie de l’ARNm pourrait être capable de reprogrammer génétiquement le corps humain, potentiellement le rendant transhumain.
Quoi qu’il en soit, l’ARNm est toxique, tout comme son composant PEG. Malgré cela, la communauté scientifique reste divisée sur les véritables causes de la toxicité de l’ARNm, probablement parce que la technologie est encore si nouvelle que peu d’entre eux l’ont étudiée suffisamment en profondeur pour parvenir à des conclusions solidement définitives.
RépondreSupprimerLes chercheurs de Moderna qui ont rédigé la nouvelle étude ont tiré leurs propres conclusions du consortium de données précédemment publiées sur le sujet, ainsi que de leur propre expérience de travail chez un fabricant d’ARNm. Pour être clair, les scientifiques n’ont mené aucune de leurs propres nouvelles expériences lors de la compilation de leur étude.
(Connexe : avez-vous entendu le rapport secret de Pfizer montrant que le fabricant d’ARNm savait depuis au moins février 2021 que ses vaccins contre le COVID tuaient des gens, mais qu’il continuait quand même à les vendre et à les distribuer ?)
L'écran de fumée de sécurité de l'ARNm de Moderna
Une chose que la nouvelle étude souligne et dont nous avons également rendu compte est le fait que les protéines de pointe et d'autres composants d'ARNm persistent dans les tissus et organes humains pendant des mois, voire plus, malgré les affirmations du fabricant selon lesquelles le contenu de l'injection quitte le corps dans les jours qui suivent l'injection. Se pourrait-il que cette longue persistance soit un autre facteur de l’extrême toxicité de l’ARNm ?
Étonnamment, les scientifiques de Moderna à l’origine du nouvel article affirment toujours que l’injection d’ARNm de leur entreprise est « sûre et efficace » – parce qu’ils seraient probablement licenciés s’ils avaient dit la vérité. Ceci en dépit du fait que l’intégralité de leur article révèle l’extrême toxicité de l’ARNm, qu’ils qualifient de « compliquée ».
Pour rendre l'ARNm plus sûr, les scientifiques appellent à une approche à plusieurs volets qui comprend la réalisation de tests de laboratoire plus avancés, la réalisation de certains ajustements des essais précliniques et la réalisation de davantage d'essais sur les animaux qui tiennent mieux compte des "différences de physiologie humaine et animale".
Le Dr Robert Malone, l'un des inventeurs de l'ARNm, a critiqué la nouvelle étude car elle minimise les risques de la technologie. Il est également sceptique quant à la véritable intention de l'étude, suggérant qu'elle pourrait faire partie de ce que l'on appelle un hangout limité, une technique de propagande qui dit une certaine vérité tout en l'enveloppant de désinformation destinée à empêcher la découverte d'autres informations plus importantes. information.
"Mon interprétation la plus généreuse de l'intention générale de l'article est que cet article résume et représente les informations concernant les risques et les toxicités de cette technologie de plateforme que Moderna souhaite divulguer d'une manière qui met l'entreprise, ses activités et la technologie de plateforme sous-jacente dans la meilleure lumière possible", a déclaré le Dr Malone.
RépondreSupprimer"Une interprétation moins généreuse de l'intention est que cet article représente une forme subtile de stratégie de propagande communément appelée un lieu de rencontre limité."
Malgré les possibilités limitées de Hangout, la nouvelle étude en dit long sur les dangers et l'inefficacité des injections d'ARNm, même si ses auteurs ont tenté de la minimiser en affirmant toujours qu'elles sont « sûres et efficaces ».
"Dites simplement non à tous les 'vaccins'", a écrit un commentateur à ce sujet. "Mieux vaut perdre son emploi que sa vie."
"Je me demande combien de scientifiques et de PDG qui ont développé ces vaccins dangereux l'ont pris eux-mêmes", a déclaré un autre, sceptique quant au soutien total du PDG de Moderna, Stéphane Bancel, aux injections d'ARNm de son entreprise.
"SADS, myocardite, fib A, maladies autonomes, maladies à prions, accidents vasculaires cérébraux, crises cardiaques, paralysie de Bell – wow", a déclaré quelqu'un d'autre à propos des nombreux autres effets indésirables connus des injections d'ARNm. "Si j'avais été vacciné, je serais en train de me gratter la peau pour essayer de l'enlever !"
Ce n’est jamais une bonne idée de s’injecter des produits chimiques vaccinaux mortels, en particulier ceux à ARNm. Apprenez-en davantage sur ChemicalViolence.com.
Sources for this article include:
Nature.com
TheEpochTimes.com
NaturalNews.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2024-02-08-mrna-vaccines-extremely-toxic-moderna-scientists-warn.html
La rémunération des médecins traitants dépendra de leur soumission à la doxa de Big Pharma ,de piquer et ne ne pas prescrire d’antibiotiques
RépondreSupprimerle 10 février 2024
par pgibertie
Juste inacceptable déontologiquement ce que propose l’Assurance Maladie. Conditionner une part de la rémunération forfaitaire aux vaccinations réalisées par chaque patient. Conflit d’intérêts majeur.
C’est du chantage pur et dur! Les patients doivent rester libres d’accepter ou de refuser n’importe quel examen ou protocole de santé.
L’assurance Maladie veut conditionner la rémunération forfaitaire des généralistes aux vaccins obligatoires et non obligatoires. Ce qui compte : piquer, piquer, piquer
Regardez bien , la rémunération sera liée à la capacité de PIQUER les patients et A NE PAS PRESCRIRE D ANTIBIOTIQUES
Des objectifs existent déjà, et limitent la liberté de soins
Concernant les pratiques de prescription, 68 % des participants déclarent, en se basant sur leur dernier relevé de rémunération sur objectifs de santé publique (Rosp)4 sur les prescriptions effectuées
en 2020, atteindre l’objectif cible. Celui-ci correspond à la prescription d’antibiotiques dans 20 % des cas ou moins aux patients de 16 à 65 ans sans affection de longue durée et dont ils sont le
médecin traitant.
- voir doc sur site -
https://www.ameli.fr/medecin/exercice-liberal/facturation-remuneration/remuneration-objectifs/medecin-traitant-adulte
Valletoux n’est pas médecin, un ex journaliste à carrière politique, sa fonction médicale est une présidence d’association Il est maire et titulaire d’un Deug d’histoire, sa légitimité est nulle, à part d’avoir montré son obéissance à BigPharma dans les années précédentes
Après Aurélien Rousseau qui voulait nous faire « AVALER des COULEUVRES », on reste dans le MÊME domaine avec Frédéric » AVALE TOUT »
- voir doc sur site -
https://pgibertie.com/2024/02/10/la-remuneration-des-medecins-traitants-dependra-de-leur-soumission-a-la-doxa-de-big-pharma-de-piquer-et-ne-ne-pas-prescrire-dantibiotiques/
Si l’article 4 de la loi Darmanin passe, il n’y aura plus de scandale sanitaire car il sera interdit de les dénoncer: ils pourront vous empoisonner en toute impunité…
RépondreSupprimerle 9 février 2024
par pgibertie
La macronie soutenue par les écolos et les socialistes a réintroduit à l’Assemblée le fameux article 4 qui punit toute forme de débat scientifique et de remise en question de la politique du gouvernement
- voir doc et photos (insoutenables d'enfants handicapés physiques) sur site -
L’article 4, également supprimé par le Sénat et relatif aux dérives thérapeutiques, a suscité plus de débats en commission des lois. Selon l’exposé des motifs du projet de loi, cet article vise notamment à créer un « nouveau délit de provocation à l’abandon ou l’abstention de soins ».
« Qui trop embrasse mal étreint« , a cependant mis en garde Thomas Ménagé (Rassemblement national), estimant que « c’est tout le débat scientifique et médical qui risque[ait] d’être mise sous cloche« . Le député a aussi indiqué que si cette disposition était rétablie, elle ferait office de « ligne rouge« qui empêcherait son groupe de voter en faveur du texte. De même, les groupes Gauche démocrate et républicaine, La France insoumise et Les Républicains ont indiqué soutenir la suppression opérée par les sénateurs, afin de préserver la liberté d’expression, et en l’espèce la liberté des débats scientifiques et médicaux.
Il faut dire que dans son avis consultatif, le Conseil d’Etat avait alerté sur cet aspect du texte, estimant que les faits ciblés étaient déjà couverts par la répression de l’exercice illégal de la médecine. Selon cet avis, la mesure pourrait porter atteinte à la liberté d’expression, quand elle s’exerce au travers d' »un discours général et impersonnel, par exemple tenu sur un blog ou un réseau social » et remettre en cause, « par une incrimination de contestations de l’état actuel des pratiques thérapeutiques, la liberté des débats scientifiques et le rôle des lanceurs d’alerte ».
L’offensive est menée dans une tribune par les teletoubibs les plus célèbres
https://www.lexpress.fr/amp/sciences-sante/sante/reseaux-sociaux-medias-mettons-fin-a-la-propagation-impunie-de-fausses-informations-medicales-LDQ7GCFEBBEQNHDY44TC6P3MZA/
Parmi les signataires : Mathieu Molimard (consultant Pfizer et promoteur d’une « étude totalement pipotée)), Rémi Salomon (« papi et mamie mangeront leur bûche de Noël à la cuisine » c’est lui), Alain Fischer (« Monsieur vaccin »), Jérôme Marty (« on a des milliers d’années d’expérience sur les vaccins » c’est lui),Nul doute que le nouveau ministre de la santé les soutient:
La secte dénommée Ordre National des Médecins soutient le projet de loi Darmanin contre les lanceurs d’alerte :la menace se précise
RépondreSupprimerPublié le 27 janvier 2024 par pgibertie
adresse pétition https://www.abolition-article-4.com/signature La macronie et ses alliés entend faire réintroduire le fameux article 4 supprimé par le Sénat dans le fameux projet Darmanin sur les « Dérives sectaires » Le 6 février sera discuté cette loi sur les dérives sectaires et les … Lire la suite →
Firmin Lebodo? La protégée de Fantomas est bien Big-pharmaco compatible! Et Didier Raoult dénonce le projet Darmanin sur la science qui doit obeir au gouvernement.
Publié le 22 décembre 2023 par pgibertie
Totalement dévouée à Fantomas, la nouvelle ministre de la santé sera bien dans la ligne des autres détenteurs macroniens du poste Au Havre, dès que les premières questions concernant la candidature d’Édouard Philippe pour la présidentielle de 2027 se sont posées, … Lire la suite →
La pétition contre le projet Darmanin qui assimile les lanceurs d’alerte à des dérives sectaires
Publié le 25 novembre 2023 par pgibertie
PETITION contre le projet de loi Darmanin qui entend punir de 15000 à 45000 euros et 3 ans d’emprisonnement toute interrogation sur les médicaments et vaccins
Publié le 21 novembre 2023 par pgibertie
Pétition contre l’article 4 du projet de loi déposé au Sénat le 15 novembre dernier. Cet article, qui vise à « lutter contre les dérives sectaires », compromet en réalité très gravement la liberté d’expression dans le domaine médical et scientifique https://abolition-article-4.com/ … Lire la suite →
Victimes et scientifiques contre les désinformateurs signataires de la tribune de l’Express et la censure des études sur les dangers des injections covid
Publié le 31 janvier 2024 par pgibertie
Deux tribunes contradictoires La première publié dans l’Express et reprise par les média en France réfute la possibilité d’effets secondaires…Ils osent . https://www.lexpress.fr/amp/sciences-sante/sante/reseaux-sociaux-medias-mettons-fin-a-la-propagation-impunie-de-fausses-informations-medicales-LDQ7GCFEBBEQNHDY44TC6P3MZA/ Parmi les signataires : Mathieu Molimard (consultant Pfizer et promoteur d’une « étude totalement
https://pgibertie.com/2024/02/09/si-larticle-4-de-la-loi-darmanin-passe-il-ny-aura-plus-de-scandale-sanitaire-car-il-sera-interdit-de-les-denoncer-ils-pourront-vous-empoisonner-en-toute-impunite/
Il n’y a pas que Creutzfeld Jakob! Les amyloïdoses post injections sont causées par le dépôt de fibrilles amyloïdes attribué à un mauvais repliement des protéines
RépondreSupprimerle 9 février 2024
par pgibertie
Les fibrinaloides. Mélange de fibrine et de Spike.Le Long COVID/PASC est, à son niveau le plus fondamental, une amylose. Le vaccin peut induire la même amylose car il incite l’organisme à produire la même protéine amyloïdogène que celle trouvée dans le virus.
- voir photo de morgelons sur site -
@AnneliseBocquet apporte de précieuses mais inquietantes informations; ci dessous
AMYLOSE… POST-COVID SYNDROMS AND POST-INJECTIONS On se dirige de plus en plus vers les amyloses… C’est quoi ?
Vous vous souvenez des fibres blanches retrouvés dans Died-Suddenly ? Je vous remets une illustration… et essayez de ne pas paniquer.
Bon… ben… ce sont des fibrinaloides. Mélange de fibrine et de Spike. Comme les publications mises en lien ci-dessous l’indiquent, ce phénomène amyloide peut être à l’origine des encephalomyelites myalgiques, que l’on retrouve dans les syndromes post-covid et les effets graves post-injections. Walter Chesnut,, avait averti, il y a plus de 2 ans…
Ce n’est pas que Creutzfeldt Jakob… Creutzfeldt Jakob n’est qu’une forme particulière des pathologies prion-like et amyloides.
@Marc_Doyer
@guilhemeric
@AAVIC_TEAM
https://twitter.com/AnneliseBocquet/status/1754404898152550787?t=EQMcN7MiGh_blRmK8O9aQg&s=19… Et je pense que le LPS présent dans les injections anti-covid ont permis le développement de la pathologie de Creutzfeldt Jakob. https://twitter.com/AnneliseBocquet/status/1754543251095228857?t=vJmYHx81aTzBZHh0Lx9yAw&s=19… La protéine Spike dite « vaccinale » ou Spike 2 proline (Spike 2P) présente une meilleure affinité pour le LPS du fait des 2 modifications proline. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36240490/ « LPS alters the migration of S2 more prominently compared to S1 (Figure 3), particularly for the prefusion stabilized construct (Supplementary Figure S7B), suggesting a more pronounced interaction with S2. » Est-ce que les variants Omicron peuvent induire un tel phénomène ?
Oui… carrément ! Propriétés amyloides accrues = interactions fibrine/heparine = formations fibrinaloides. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36362302/
« Interaction with other proteins can be influenced by the Spike amyloidogenic tracts. It has been shown that Spike induces structural changes in β and γ fibrin(ogen), complement 3, and prothrombin, increasing their resistance to trypsinization, which, among other mechanisms, may contribute to hypercoagulation in patients with COVID-19… heparin is known for its association with various amyloid fibrils. Interestingly, surface plasmon resonance and circular dichroism spectroscopy demonstrated that heparin can directly bind to and induce conformational changes in the Spike RBD of SARS-CoV-2. »
RépondreSupprimerComment va-t-on s’en débarrasser ? Bonne question ! Je ne sais pas. Mais sachez juste que les dirigeants et les responsables de tous ces dégâts ne veulent absolument pas en entendre parler. Et ils savaient… pour le virus et pour les injections anti-covid. Ils savaient. Ils savaient et feront tout pour détruire cette information !
Fibrinaloid formation… https://twitter.com/NameIsSpartacus/status/1694220003305046476?t=ynL0BMRv7Q2mBLJni03awA&s=19…https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37584410/https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36015078/ « The Occurrence of Hyperactivated Platelets and Fibrinaloid Microclots in Myalgic Encephalomyelitis/Chronic Fatigue Syndrome (ME/CFS) »
@guilhemeric
UN ESPOIR LA QUERCETINE
Les amyloïdoses sont causées par le dépôt de fibrilles amyloïdes attribué à un mauvais repliement des protéines . Dans cette étude, nous avons examiné les activités antiamyloïdogènes et antioxydantes de la quercétine , un flavonol végétal du groupe des flavonoïdes des polyphénols, sur la protéine prion de souris (moPrP) avec des approches biophysiques. Comme le montrent les résultats, la quercétine se lie à la région C-terminale de moPrP et la liaison de la quercétine n’affecte pas la structure de moPrP. Cependant, la liaison de la quercétine accélère la fibrillation du moPrP et modifie la structure des fibrilles du moPrP. Contrairement aux fibrilles de prion typiques, les fibrilles liées à la quercétine sont sensibles à la protéinase K et sont faiblement structurées. De plus, en raison de la forte activité antioxydante des flavonoïdes, les fibrilles liées à la quercétine ne sont pas déséquilibrées en radicaux libres et ne sont donc pas toxiques pour les cellules de neuroblastome . La quercétine montre sa particularité par rapport aux médicaments antiamyloïdogènes typiques qui suppriment le développement de l’amyloïde ou éliminent les amyloïdes formés. La liaison à la quercétine convertit le moPrP en fibrilles sensibles à la protéase et non cytotoxiques. Ce travail constitue une solution puissante pour l’avancement du traitement antiamyloïdogène .
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0753332222005662?via%3Dihub
RépondreSupprimer•La liaison de la quercétine à la protéine prion est déterminée et le réseau du site de liaison au niveau moléculaire est visualisé.
•Contrairement aux études conventionnelles sur les médicaments amyloïdogènes, la quercétine accélère la fibrillation de la protéine prion.
•La quercétine transforme les fibrilles en formes sensibles à la protéase, structurellement lâches et non cytotoxiques.
•La quercétine montre sa particularité par rapport aux médicaments antiamyloïdogènes typiques.
https://pgibertie.com/2024/02/09/il-ny-a-pas-que-creutzfeld-jakob-les-amyloidoses-post-injections-sont-causees-par-le-depot-de-fibrilles-amyloides-attribue-a-un-mauvais-repliement-des-proteines/
Après les essais nocturnes sur vaches endormies dans les champs avec des piqûres handicapantes et mortelles sont enfin arrivées les piqûres handicapantes et mortelles pour hommes et femmes et enfants ! WHÔAW ! appelées 'Les inoculations profondes des criminels qui dirigent' ! sous le pseudonymes rigolo de 'cocovide19' (ex 'Coronavirus 1er') puis d'Alpha-Beta-Charly-Delta et Omicron (Les 4 mousquetaires ou les 3 petits cochons ou les 7 mercenaires, le 5é élément, ou 50 doigts de la main.) bref, LE tringlinocéphale qui va te fourrer sa tête de partout ! LA Gretamoilescouilles du 21è siècle arrivée par la seringue du 20 h.
SupprimerSans oublier les essais sur moutons ('La tremblante du mouton' ! J'sais pô si vous avez vu le film) puis, tournage vers 'La diarrhée porcine' (discours de micron) et sa 'Grippe aviaire' qui fait la folie dans tous les poulaillers ! ("Ma poooule c'est toiiii aaaa ! " chantait Maurice Chevalier).
Pas de docs "stupides" !
RépondreSupprimerFlim-Flam-Grippe
Par le capitaine Randall
10 février 2024
Idiot ?
Bête ne veut pas forcément dire « stupide »,… plutôt « muet ». Les médecins sont paralysés par des commissions médicales où les écarts par rapport aux normes de pratique peuvent aboutir à un médecin suréduqué poursuivi pour faute professionnelle, déchu de son permis et « retournant des hamburgers au fast-food local ! »
Les médecins et les infirmières que j'ai connus sont soucieux de leur nutrition, utilisent des suppléments de qualité et protègent leur propre santé et celle de leur famille. Pourtant, ils n’ont pas la liberté de s’exprimer ou de pratiquer de manière indépendante, mais sont obligés de suivre les traitements symptomatiques imposés par le monopole pharmaceutique des soins de santé.
On pourrait penser qu’après avoir perdu des patients et confronté des proches en pleurs, davantage de médecins qui en savent plus pourraient dénoncer ?
Saison de la grippe ?
Quoi, personne ne te l'a dit ? Un contributeur majeur à ces afflictions saisonnières est l’air froid SEC ou l’air intérieur chaud et SEC… SEC étant ici le mot-clé qui dessèche les sinus et les poumons !
Lorsque les muqueuses normalement humides se dessèchent, les bactéries et les virus prolifèrent de manière incontrôlable. C’est le nez qui coule et la toux productive qui expulsent physiquement la prolifération. La NAC, par voie orale et via un nébuliseur, provoque la fluidité et l'écoulement du mucus. Un mucus pusy épais et une toux sèche empêchent l’oxygénation. L’air intérieur sec chauffé électriquement sent le vicié et le « brûlé » et regorge d’ions positifs. Les humidificateurs et la chaleur radiante naturelle sont préférés.
Les conditions de faible luminosité en hiver réduisent également la production de vitamine D et de mélatonine.
À l’extérieur, des foulards épais maintiennent les voies respiratoires humides.
Cela s’ajoute à un public avec un système immunitaire peu dynamique, un air/eau pollué >>> une charge généralisée de toxines métalliques/industrielles, des carences en vitamines D et C et en minéraux… sans parler de l’excrétion de vaxxxine et des variantes améliorées.
Comme toujours; la question de savoir si les virus du rhume/grippe se propagent ou étaient déjà présents dans les voies nasales en attendant que les conditions favorables à leurs populations explosent ?
Quand le serpent mord
RépondreSupprimerLes injections hypodermiques sont modélisées à partir de crocs de cobra ; des aiguilles creuses qui délivrent le poison directement dans la circulation sanguine. L'alimentation, la respiration et l'absorption par la peau sont les moyens par lesquels les molécules étrangères pénètrent généralement dans le système, mais ces voies présentent des barrières que les injections directes ne présentent pas. Il existe des procédures relativement sûres et appropriées comme les liquides intraveineux, les cocktails de vitamines/minéraux et d'autres produits chimiques d'urgence… et puis il y a les vaxxxines (3 X signifie universellement poison) qui injectent divers métaux et particules pathogènes qui provoquent une inflammation et court-circuitent l'immunité naturelle. , augmentent généralement la sensibilité aux variantes microbiennes ciblées et peuvent avoir des effets secondaires horribles, dont beaucoup durent indéfiniment. Ceux-ci peuvent être particulièrement dangereux pour les femmes enceintes et les bébés.
Théorie des germes fragiles
Les « germes » sont responsables de nombreuses maladies, mais ils sont déjà présents partout sur la peau, dans les voies respiratoires et dans le tractus intestinal. Nous coexistons dans une relation symbiotique où beaucoup sont utiles et résistent à ceux qui peuvent devenir pathogènes… jusqu'à ce que la santé générale et l'immunité naturelle déclinent.
Les agents pathogènes attendent de manière opportuniste des conditions de manque d'oxygène, de pH faible, de température corporelle basse et de voies respiratoires desséchées, où les facteurs immunitaires sont sous-produits en raison d'une mauvaise nutrition, d'une toxicité, d'un traumatisme, d'un stress émotionnel et d'un manque de soins personnels, etc.
Selon de nombreux médecins objectifs qui défient les pratiques standard et les données pharmaceutiques frauduleuses, les vaxxxinations censées prévenir des maladies pour la plupart non mortelles paralysent l'immunité adaptative.
La « théorie des germes » défectueuse a évolué à partir des premières expériences de Louis Pasteur et a été renforcée par l’avènement de la pénicilline (inhibition microbienne d’autres microbes), similaire aux capacités de protection d’un biome diversifié et sain. Une fois que les antibiotiques ont éliminé les probiotiques résidents, d’horribles autres infections « apparaissent de nulle part », et c’est pourquoi il est généralement recommandé de manger du yaourt et des probiotiques après une cure d’anti-B.
Alors que les fragments bactériens/viraux ont tendance à entraîner les cellules immunitaires à une souche particulière, et que les adjuvants toxiques produisent une inflammation ; le système immunitaire adaptatif d’un patient est affaibli, devenant plus sensible aux souches mutantes, aux infections et aux réinfections.
RépondreSupprimerLes dommages oxydatifs/inflammatoires peuvent entraîner l'autisme, les allergies et l'auto-immunité, tandis que les injections sournoises d'ARNm peuvent endommager l'ADN et produire à jamais des protéines de pointe, une coagulation et un déclin du système.
« Tout le monde devrait-il être soumis aux effets secondaires du vaxxx et à une immunité réduite à l’avenir… pour prévenir l’immunité naturelle et l’inconfort des maladies infantiles généralement non mortelles ?
« Lorsque les exemptions de non-participation sont débattues, il semble toujours que la santé d’un infime pourcentage d’enfants immunodéprimés l’emporte… afin qu’ils puissent « fréquenter les écoles publiques en toute sécurité ». Culpable de se conformer ?
Les 4 piliers de la santé
Au cours des dernières décennies, les gens ont été conditionnés à recourir aux vaxxxinations et aux médicaments pour prévenir ou guérir les maladies. Ils ont été déconcertés par la médecine pharmaceutique et leur rejet de la prévention naturelle et des remèdes maison. En tant que monopole officiel légalement protégé, ils ont renforcé le contrôle de tous les soins de santé en exigeant des normes de soins et une vaxxxination universelle. Soutenus par le gouvernement et sa machine terroriste en réseau, les soins de santé standard affaiblissent le public et constituent davantage un portail de dépopulation que de guérison.
"Ils nous ont aveuglés par la science", en confondant une population déjà confrontée à des défis scientifiques avec des recommandations charabia et des décrets auto-enrichissants nuisibles comme les mythologies du cholestérol et des statines, les escroqueries à la crème solaire, les publicités élogieuses pour les médicaments et en attribuant les maladies à la génétique alors que les gènes en sont rarement la cause.
Il faut être proactif ; curieux, studieux et sensible à son propre corps. Il existe d'innombrables livres, entrées sur Internet et opinions concernant les 4 piliers utilisant une bouillie de synonymes ; il faut donc trouver son propre chemin. Ce qui fonctionne… fonctionne.
RépondreSupprimer*1 Alimentation
Anti-nutriments ; Évitez tous les fast-foods transformés en usine et la malbouffe. Des huiles végétales polyinsaturées malsaines pour le cœur, du sirop de maïs à haute teneur en fructose et divers conservateurs sont présents dans chacun d'eux. Pesticides, herbicides, antibiotiques et viandes de parc d'engraissement ; Oh mon!
Les légumineuses et certains légumes doivent être bien cuits pour éliminer les facteurs négatifs.
Laits crus de pâturage, beurres, viandes et fromages..œufs fermiers, légumes bio ; Ouais! Les pommes de terre, le riz, le blé biologique, la semoule de maïs et le gruau sont des glucides sains et nécessaires. Miel, sirop d'érable et sucre de canne brut avec modération.
*2 Toxines
Aucun endroit sur Terre n’est exempt de polluants environnementaux ! Je recommande une analyse capillaire des métaux/minéraux pour voir où l'on en est en ce qui concerne les charges de métaux lourds (mercure, cadmium, aluminium, plomb, arsenic, etc.) et les niveaux de minéraux (magnésium, potassium, sélénium, zinc, iode, traces). Les métaux chargés positivement annulent l’énergie électronique dont dépend la vie et conduisent à de nombreuses maladies chroniques « lointaines ».
Les ions métalliques s'accrochent aux organes et aux tissus du corps où ils produisent sans cesse des radicaux libres nocifs et attirent également les virus, les bactéries, les moisissures et les levures qui exsudent des endotoxines. Ignorer les fardeaux métalliques, comme le fait la plupart des médicaments, revient à blâmer à tort la source d’une longue liste de problèmes et à les maltraiter.
Une désintoxication douce est réalisée en utilisant des doses de vitamine C de tolérance au gros intestin (2 à 8 grammes de C pure, la moitié moins de bicarbonate de soude pétillant dans 4 onces d'eau) à jeun 2-3-4 fois/jour… avec des chélateurs de chlorelle, d'argile et/ou de charbon de bois. pris avec les repas… semaine après semaine. Des tests capillaires de suivi montreront que les niveaux de métaux ont été considérablement réduits.
Les suppléments de silice comme la prêle et l'eau de Fidji sont spécifiques à la toxicité de l'aluminium, la glycine s'oppose aux herbicides Roundup responsables de carences généralisées en manganèse et le bore/iode/tamarin aide à réduire les fluorures et les halogènes plus légers.
RépondreSupprimerLe sauna, la transpiration et le jeûne excrètent de nombreuses toxines.
Une désintoxication plus vigoureuse peut être effectuée par voie orale ou intraveineuse avec EDTA ou DMPS.
L'utilisation d'enzymes protéolytiques peut exposer les métaux en dissolvant les films de fibrine qui protègent les zones d'inflammation.
(La médecine conventionnelle ignore les charges métalliques, utilise des tests sanguins sans valeur et évite l’analyse des cheveux, défavorise les thérapies chélatrices… pour cacher les causes profondes de nombreuses maladies chroniques… et maintient ainsi le « business » en plein essor avec des foules de malades délibérément gardées dans l’ignorance).
*3 choix de style de vie
Les modes de vie urbains sédentaires, l'évitement du soleil, les dépendances aux écrans, au téléphone, au sucre, à l'alcool et aux informations télévisées ne devraient jamais remplacer le respect de la nature, une activité physique ciblée, les loisirs ou l'acquisition d'une grande variété de vrais aliments et de bouillons de cuisine, de soupes, de ragoûts et tout le reste. .
*4 États émotionnels
C’est peut-être le problème le plus difficile à résoudre. Les émotions sont un domaine psycho-spirituel qui donne le ton à toute la vie et à la santé physique d’une personne. Le stress est l’ennemi provoqué par un ego immature avec sa peur, son sentiment de perte de contrôle et de manque de confiance. Les effets directs paralysent le système immunitaire, les cycles de sommeil, toute guérison et régénération et diminuent même le QI et le jugement pratique.
( L'expérience personnelle a montré que les grippes/rhumes suivent toujours le stress, le surmenage, les expositions toxiques et la dépression. Que les symptômes mentaux proviennent d'états émotionnels ou de métaux toxiques sous-jacents ou de poisons organiques est un paradoxe de la poule ou de l'œuf. Comme chaque événement viral vérifié que j'avais eu pour résultat Dans les articulations vertébrales douloureuses et raides, ma théorie est de longue date que les rhumes/grippes sont en fait des événements de désintoxication facilités par les virus, au cours desquels les virus et les bactéries consomment et éliminent les toxines chargées positivement par lesquelles ils sont attirés. Une fois les douleurs atténuées, les articulations bougent librement et sans douleur. pour moi, ces jours de misère fiévreuse étaient vraiment un processus de guérison naturel.).
RépondreSupprimerPremiers secours contre la grippe
Le rhume, la grippe, le VRS, le covid, la BPCO, les sinus et autres infections des voies respiratoires répondent au peroxyde d'hydrogène NÉBULISANT à 1-3 % enrichi de 2 gouttes d'iode de Lugol qui détruisent tous les agents pathogènes... nébulisez pendant quelques minutes toutes les quelques heures jusqu'à ce que les symptômes disparaissent. Ceci est suivi par la nébulisation de NAC/n-acétylcystéine ; une capsule dissoute dans 20 ml d'eau, suffisamment pour remplir la tasse du nébuliseur. La NAC provoque une toux initiale, fluidifie le mucus pour éliminer physiquement les débris/« toux sèche » et alimente la production de glutathion, le GLUT étant un puissant antioxydant interne.
Le peroxyde d'hydrogène est la molécule active naturellement générée par la réponse immunitaire innée et est également libérée dans le cadre de la vitamine C à forte dose.
La vitamine C en grande quantité, les vitamines A&D (huile de foie de morue), le complexe B1/B, les composés de magnésium, de zinc, d'iode et de soufre sont des incontournables à la fois en prévention et en traitement.
L'ivermectine s'est avérée utile pour le covid (disponible dans les fournitures agricoles/peut être utilisée par voie transdermique en application sur la peau du ventre)… et les enzymes protéolytiques aident à détruire les protéines de pointe (nattokinase, lumbrokinase, papaïne, bromélaïne).
Le sauna élimine les toxines car la fièvre artificielle impliquée détruit les agents pathogènes et replie les protéines.
L'huile d'origan est un antibiotique de secours, antiparasitaire.
Le bleu de méthylène devient populaire pour traiter les infections des voies urinaires et les problèmes neurologiques. Voir ici et ici.
RépondreSupprimerLe colostrum bovin (premier lait maternel) contient de nombreux facteurs immunitaires qui peuvent être ajoutés de manière appropriée aux préparations pour nourrissons ou pris par les adultes.
Le VRS chez les jeunes enfants peut être traité en nébulisant du peroxyde d'hydrogène dilué (0,1 à 1,0 %) ou en ajoutant du H2O2 aux humidificateurs de chevet.
Ne rejetez pas le remède de grand-mère ; Mâchez de l'ail cru et préparez une soupe au poulet !
Le coup de gras se présente toujours sous la forme d’une pneumonie et d’une septicémie. Les mesures extrêmes incluent des cocktails de vitamine C IV qui peuvent ajouter de la vitamine B1 et de l'hydrocortisone, éventuellement avec de l'azithromycine (le protocole très efficace du Dr Marik).
Le chlorite MMS, l’oxygène hyperbare, le peroxyde d’hydrogène oral et les thérapies à l’ozone sont d’autres options puissantes.
Soyez informé des médecins et des cliniques à proximité qui offrent ces traitements en cas de besoin ; des traitements rarement disponibles dans les hôpitaux. Voir l'outil de recherche de médecins ACAM.org.
L'hospitalisation avec antibiotiques IV est pour moi un dernier recours. L’application sérieuse des mesures préventives et des traitements ci-dessus devrait éviter toute hospitalisation.
Le vieux dicton : « Celui qui se soigne a un imbécile pour médecin » peut s’appliquer ou non. Il est sage d’en savoir plus dès le départ plutôt que de se fier aveuglément aux documents système et aux informations populaires.
Morsure de serpent !
Avant de vous laisser « mordre par un serpent », renseignez-vous sur les opinions étudiées des médecins « anti-vaxxx ». Google : Drs. Malone, McCulloch, Martin, Mercola, Thomas Levy, Andrew Saul, Kory, Klinghardt, Brownstein, Suzanne Humphries, A Midwestern Doctor et documentation de RFK Jr….
N'oubliez pas que la vie est en fin de compte un phénomène électrique qui existe dans un équilibre entre les antioxydants chargés négativement et les électrons métaboliques de l'ATP…. et des ennemis oxydatifs chargés positivement comme les acides, les métaux, le stress, les agents pathogènes et leurs endotoxines.
Certains des médecins les plus avisés se concentrent désormais sur « l’efficacité métabolique » et sur la capacité des mitochondries à transformer le carburant et l’oxygène en énergie électrique ATP. Ils parlent de nutriments critiques, de potentiel zêta/pH du système, d'eau structurée (H3O2) et de caractéristiques de viscosité sanguine/fluide liées à la santé ou au déclin de toutes les fonctions biochimiques et de l'expression de l'ADN... C'est la médecine « redox », la condensation la plus simple. de toutes les connaissances scientifiques complexes et déroutantes que je me sens obligé de rendre compréhensibles et utiles aux professionnels formés ainsi qu'aux ave
RépondreSupprimer2024 ?
La « maladie X » est un thème ancien et récurrent dans les films et les livres depuis au moins les années 1980. Maintenant c'est de retour ! Même sans nouveau virus mortel, la peur elle-même constitue la contagion ultime qui se propage à la vitesse des médias électroniques. La peur à elle seule réalise les rêves humides des mondialistes de contrôle de la population tout en réduisant la force immunitaire humaine, le QI et le jugement rationnel.
La panique et l’hystérie sont aussi invisibles que les germes. Nous avons tous vu ce qui a résulté de la pandémie planifiée de Covid ; une hypocondrie générée par les médias et un confinement mondial. Intelligent, hein ?
Cela a toujours été une bonne idée de rester à l’écart d’un avenir effrayant et de « Soyez ici maintenant ! » Pourtant, en cette période chaotique de guerres, de pandémies et de divisions sociales ; Qui sait? Peut-être que la merde frappera le ventilateur cette année dans un plan de dernière minute visant à perpétuer l’État profond mondial ? Les pathétiques poseurs de Washington, de Jérusalem, de Londres, d’Ottawa, de l’OMS et de Davos sont en mode panique.
Il doit y avoir au moins une centaine de laboratoires biologiques secrets dans le monde qui concoctent « QUI » sait quoi. Ensuite, nous avons une soif de sang médiatique croissante pour détruire l’Iran, un peuple intelligent capable de frapper notre patrie.
Il est prudent de se préparer individuellement aux tempêtes et aux pannes de courant. Je ne comprends pas pourquoi la « sécurité intérieure » n’a jamais pris la peine de sceller nos frontières ou de renforcer le réseau électrique tout en dépensant des milliards en hypersécurité invasive et en pure stupidité.
La moindre des choses pour protéger sa santé est de connaître les 4 piliers de la santé et de disposer de fournitures et de suppléments. L'« assurance maladie » ne s'applique qu'en cas de maladie.
RépondreSupprimerN’est-il pas préférable de prévenir les maladies évitables ou d’avoir des options de traitement à portée de main plutôt que de souffrir et de recoller les morceaux… c’est ce qu’on appelle le bon sens !
https://www.lewrockwell.com/2024/02/capt-randall/no-mo-dumb-docs/
Harvard renouvelle son mandat de vaccination contre le COVID-19 et rejoint 69 autres écoles
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 09 FÉVRIER 2024 - 23H00
Écrit par Matthew Lysiak via The Epoch Times
Les étudiants de l’Université Harvard continueront de devoir se faire vacciner contre le COVID-19 afin de s’inscrire pour le semestre à venir, a récemment annoncé l’école, rejoignant 69 autres écoles à travers le pays qui nécessitent toujours le vaccin.
« Harvard exige que tous les étudiants qui seront sur le campus bénéficient d’une certaine protection contre le COVID-19 grâce à la vaccination », indique un communiqué publié par l’école. « Cela peut se faire par le biais de la première série primaire de vaccination contre le COVID-19 ou de l’un des rappels COVID-19 les plus récents. »
Les étudiants qui ne présentent pas les documents approuvés ne pourront pas s'inscrire aux cours, le site Web avertissant que s'ils "ne se conforment pas à tout moment à l'une des vaccinations requises, les suspensions d'inscription seront automatiquement appliquées".
Le Dr Mary Talley Bowden, praticienne au Texas et fondatrice de la Coalition pour la liberté de la santé, a déclaré à Epoch Times que le vaccin contre la COVID-19 est inefficace, mais que rendre obligatoire des procédures médicales viole les droits protégés par la Constitution des étudiants.
« Je suis profondément préoccupé par le fait qu'une université autrefois considérée comme la meilleure du pays ait adopté une politique qui ignore complètement les données montrant que les vaccins contre la COVID n'empêchent pas la transmission », a déclaré le Dr Bowden.
« De plus, rendre obligatoires les injections de COVID viole les droits de l’homme et constitue une discrimination à l’égard des étudiants en établissant des règles qui ne s’appliquent qu’à eux, mais pas à l’ensemble du campus. »
Bien que les étudiants soient tenus de se faire vacciner contre le COVID-19, il est recommandé mais non obligatoire pour les membres du corps professoral ou le personnel de l’école, selon les services de santé de l’université Harvard (HUHS).
"Le HUHS n'exige plus que les employés soumettent des documents sur le vaccin COVID-19", indique le site Web. « Alors que nous nous efforçons de maintenir les niveaux élevés de vaccination nécessaires pour protéger notre communauté, Harvard recommande fortement d'être à jour selon la définition du CDC pour tous les membres de la communauté de Harvard, y compris les professeurs, les étudiants, le personnel et les chercheurs, qui auront des problèmes. présence sur le campus.
Les responsables gouvernementaux ont commencé à faire pression sur les écoles pour qu’elles incitent les élèves à se faire vacciner presque immédiatement après son arrivée sur le marché.
En 2021, Jerome Adams, alors chirurgien général, a exhorté les écoles à rendre obligatoire le vaccin contre le COVID-19 dans une « Lettre ouverte aux dirigeants de l’enseignement supérieur ». M. James a déclaré qu’il « demandait aux dirigeants de prendre des mesures énergiques pour se rapprocher le plus possible de 100 % de leurs étudiants, professeurs et personnel vaccinés au début de l’année universitaire ».
La lettre poursuit en disant que pour « tous les collèges et universités, nous encourageons également les mesures visant à faciliter la vaccination. Organisez des cliniques de vaccination éphémères pour rencontrer les étudiants à leur retour sur le campus, y compris lors de l'emménagement, de l'orientation, des matchs de football et des hayons, ainsi que lors d'événements de la vie étudiante. Offrir des congés payés au personnel et aux professeurs pour se faire vacciner et en cas d'effets secondaires. Engagez-vous auprès de vos dirigeants étudiants pour faire connaître la vaccination aux autres étudiants. ... L'engagement entre pairs est l'un des meilleurs moyens de parvenir à un changement de comportement chez les jeunes adultes.
RépondreSupprimerControverse
Cependant, au cours des deux dernières années, les vaccins contre la COVID-19 ont été embourbés dans la controverse. Les vaccins originaux contre le COVID-19 ont été pris par plus de 80 pour cent des Américains après que les autorités se sont engagées à ce que les vaccins préviennent efficacement la contraction et stoppent la propagation de la maladie.
Cependant, une fois qu’il a été révélé que les injections n’avaient pas fonctionné comme promis, l’intérêt pour le rappel ultérieur a considérablement diminué.
Les vaccins pourraient également être attribués à de nombreux rapports faisant état d’effets néfastes sur la santé qui auraient été causés par les injections. Les vaccins contre le COVID-19 ont été désignés comme principal suspect dans plus de 1,5 million de rapports d’événements indésirables, selon la base de données VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) de la Food and Drug Administration (FDA). Les chiffres pourraient être encore plus élevés. Une étude financée par la FDA à Harvard a révélé que les cas VAERS représentent moins de 1 pour cent des événements indésirables liés aux vaccins.
Malgré la controverse, les mandats de vaccination contre le COVID-19 continuent d'être en vigueur pour les étudiants de 70 ans (y compris Harvard) parmi les 800 meilleurs collèges des États-Unis, selon des données récentes acquises par No College Mandates. Cette organisation se décrit comme un « groupe de parents, de médecins, d’infirmières, de professeurs, d’étudiants et d’autres parties prenantes des collèges concernés travaillant vers l’objectif commun de mettre fin aux mandats de vaccination contre la COVID-19 ».
Lucia Sinatra, co-fondatrice de No College Mandates, a déclaré à Epoch Times que les preuves montrent que les établissements d'enseignement supérieur ont tourné le dos à la méthode scientifique.
« Je ne vois pas comment ils peuvent continuer à justifier une politique de mandat réservé aux étudiants au nom de la sécurité de la communauté », a déclaré Mme Sinatra. «Il y a de tels obstacles à empêcher toute sorte de débat ouvert sur ce que montrent les données réelles que c'est littéralement époustouflant.
RépondreSupprimer« C’est idiot, et l’histoire n’aura pas une incidence positive sur ces institutions d’élite », a ajouté Mme Sinatra.
Le Dr Bowden affirme que la dynamique prend de l’ampleur, avec plus de 17 000 médecins et scientifiques appelant au retrait du marché des vaccins contre le COVID-19.
Cependant, pour mettre fin à ces mandats, il faudrait un changement de direction politique, selon le Dr Bowden, qui a aidé à former un comité d'action politique – Americans for Health Freedom – dédié au financement de campagnes soutenant cette cause.
« La pandémie a mis notre constitution à rude épreuve, et nous avons besoin que nos élus interviennent et protègent les personnes qui les ont élus », a déclaré le Dr Bowden. "Americans for Health Freedom s'efforce d'éduquer le public et de soutenir les politiciens qui se battront pour la liberté médicale."
https://www.zerohedge.com/medical/harvard-renews-covid-19-vaccine-mandate-joining-69-other-schools
Le plan de 25 milliards de dollars du gouvernement néerlandais pour se débarrasser des agriculteurs… et financé par les contribuables
RépondreSupprimerLe gouvernement néerlandais affirme qu'il doit nationaliser la moitié des terres des éleveurs de bétail - une superficie équivalente à environ un tiers de la Hollande - afin de réduire l'azote, mais les experts estiment que ce plan présente de sérieuses lacunes.
Par Dr Joseph Mercola
Mondialisation.ca,
09 février 2024
L’histoire en un coup d’œil :
Les éleveurs néerlandais possèdent 70 % du territoire de la Hollande, mais le gouvernement fait pression pour que 50 % de leurs terres soient rachetées, sous prétexte que cela est nécessaire pour réduire la pollution.
Selon les experts, la volonté de se débarrasser des agriculteurs n’a rien à voir avec l’environnement, mais vise plutôt à prendre le contrôle de terres précieuses.
Les modèles informatiques utilisés par le gouvernement pour étayer son plan de réduction de l’azote par l’achat de terres agricoles reposent sur l’hypothèse erronée que l’azote migre d’un champ à l’autre.
Les organisations non gouvernementales (ONG), qui sont principalement financées par le gouvernement, sont à l’origine de la campagne visant à expulser les agriculteurs de leurs terres, ce qui fait d’elles des prolongements du gouvernement.
Un fonds gouvernemental de 25 milliards de dollars, créé avec l’argent des contribuables, a été mis en place pour acheter les terres des agriculteurs ; une fois qu’un agriculteur aura vendu ses terres, il lui sera légalement interdit d’établir une exploitation agricole ailleurs en Europe.
Nitrogen 2000 est un documentaire important de 45 minutes sur la lutte des agriculteurs néerlandais de 2019 à 2023. Les éleveurs néerlandais possèdent 70 % du territoire de la Hollande, mais en 2019, le gouvernement a commencé à faire pression pour obtenir le rachat forcé de 50 % de leurs terres, sous prétexte que cela est nécessaire pour réduire la pollution.
Mais pour les quelque 60 000 agriculteurs des Pays-Bas, l’agriculture est un mode de vie, souvent transmis de génération en génération, qui est nécessaire pour fournir de la nourriture à la population.
Selon un communiqué de presse du film, “les agriculteurs néerlandais sont ceux qui produisent le plus de nourriture par hectare, et les Pays-Bas sont le deuxième exportateur mondial de produits agricoles”.
Les fermes sont imbriquées dans le tissu de leurs communautés, de sorte que “tout le monde, même si vous vivez en ville comme à Amsterdam ou à Rotterdam, à cinq minutes en voiture, vous verrez des vaches, vous verrez des terres agricoles… C’est tellement ancré dans notre société, dans notre mode de vie, que les agriculteurs font partie de notre culture. Tout le monde a un membre de sa famille qui a été agriculteur”, explique le commentateur politique Sietske Bergsma.
Mais comme l’explique dans le film le professeur Han Lindeboom, écologiste marin à l’université et au centre de recherche de Wageningen, “le gouvernement a adopté la position selon laquelle nous avons un énorme problème avec la nature et qu’en raison des réglementations de l’UE ( [European Union]), nous devons la sauver”. Et aujourd’hui, nous voulons résoudre ce problème en éliminant simplement un grand nombre d’exploitations agricoles”.
Le gouvernement néerlandais affirme qu’il doit nationaliser la moitié des terres des éleveurs de bétail – une superficie équivalente à environ un tiers de la Hollande – afin de réduire l’azote, mais les experts estiment que ce plan présente de sérieuses lacunes.
RépondreSupprimerL’azote est-il vraiment le problème ?
Le carbone et l’azote ont été déclarés ennemis de l’environnement par les autorités du monde entier, ce qui a entraîné toute une série de restrictions. Les Nations unies ont déclaré que l’azotedoit être géré afin de sauver la planète, et l’azote est décrit comme “l’un des problèmes de pollution les plus importants auxquels l’humanité est confrontée”.
L’azote se trouve non seulement dans les engrais, mais il constitue également environ 70 % de l’airet est essentiel à la croissance des plantes.
“L’azote n’est un problème que pour quelques plantes”, explique M. Lindeboom. “Il y a certaines plantes qui ne l’aiment pas et qui disparaissent. D’autres plantes l’apprécient et apparaissent. En fait, ce que l’on fait, c’est changer la nature”.
“Ils ont déclaré que l’azote était le principal problème”, poursuit M. Lindeboom, conseiller auprès de l’Institut royal néerlandais de recherche sur la mer (NIOZ), dans le communiqué de presse. “Eh bien, je suis un expert en azote et j’ose dire qu’il ne l’est pas”.
Selon M. Lindeboom, les modèles informatiques utilisés par le gouvernement pour étayer son plan d’achat de terres agricoles reposent sur l’hypothèse erronée que l’azote migre d’un champ à l’autre.
L’UE abrite également le plus grand réseau de zones protégées au monde, une zone connue sous le nom de Natura 2000, qui couvre 18 % du territoire de l’UE. Rien qu’en Hollande, il existe 162 zones Natura 2000. Dans 118 d’entre elles, on dit qu’il y a des organismes vivants qui n’aiment pas trop l’azote.
“En 2021, le réseau Natura 2000 de l’Union européenne a publié une carte des zones des Pays-Bas qui sont désormais protégées contre les émissions d’azote. Tout agriculteur néerlandais dont l’exploitation se trouve à moins de cinq kilomètres d’une zone protégée Natura 2000 devra désormais réduire considérablement sa production d’azote, ce qui limitera sa production”, explique Roman Balmakov, journaliste à l’Epoch Times et animateur de l’émission “Facts Matter” (Les faits comptent).
Le gouvernement oblige les agriculteurs à quitter le pays
RépondreSupprimerDe nombreux agriculteurs néerlandais risquent à présent de perdre leur exploitation en raison des règles controversées sur l’azote.
L’agriculteur Jos Block dit :
“Les règles relatives à l’azote nous posent de nombreux problèmes, car notre exploitation est située à proximité de Natura 2000 et dans cette zone. Et c’est vraiment un problème pour nous. C’est ma terre. Je suis le propriétaire. Mais il s’agit également d’une zone naturelle, Natura 2000.
“Dans ce domaine, le gouvernement affirme que nous devons réduire de 95 % l’azote qui sort des étables.
Mais des experts, dont M. Lindeboom, estiment que cette mesure n’est “absolument pas nécessaire pour sauver la nature” et que le gouvernement “s’en prend beaucoup trop aux agriculteurs”.
Le producteur laitier néerlandais Nynke Koopmans, du Forum pour la démocratie, fait partie de ceux qui pensent que le problème de l’azote est inventé.
“C’est un gros mensonge”, dit-elle. “L’azote n’a rien à voir avec l’environnement. Il s’agit en fait de se débarrasser des agriculteurs”. Un autre agriculteur a déclaré que si les nouvelles règles relatives à l’azote entraient en vigueur, il devrait réduire son troupeau de 58 vaches laitières à six. Le spécialiste de l’azote Jaap C.
Hanekamp, docteur en sciences, travaillait pour un comité gouvernemental d’étude de l’azote, chargé d’analyser le modèle d’azote du gouvernement.
Il l’a dit à Balmakov :
“L’ensemble de la politique est basé sur le modèle de dépôt concernant la manière de traiter les émissions d’azote dans les zones naturelles.
“J’ai examiné les études de validation et j’ai montré que le modèle est en fait merdique. Il ne fonctionne pas. Et cela n’a pas d’importance. Ils continuent à l’utiliser. Ce qui est, dans un sens, troublant. Je veux dire, vraiment, pouvons-nous faire une telle chose en termes de politique ? Utiliser un modèle qui ne fonctionne pas ? Il ne s’agit jamais d’innovation, mais toujours de se débarrasser des agriculteurs”.
Depuis quelque temps, le gouvernement néerlandais resserre progressivement son emprise sur les agriculteurs. Chaque année, les agriculteurs doivent fournir des informations détaillées sur le nombre de vaches qu’ils élèvent et sur le nombre de vaches qu’ils prévoient d’élever à l’avenir.
RépondreSupprimerLe gouvernement impose également aux agriculteurs le type de cultures qu’ils doivent pratiquer et exige des analyses compliquées et coûteuses du fumier pour détecter la présence de phosphates et d’ammoniac, ce qui entraîne une hausse des coûts et une baisse des revenus des agriculteurs.
Les ONG financées par le gouvernement font pression pour se débarrasser des agriculteurs
Les ONG, qui sont principalement financées par le gouvernement, sont à l’origine de la campagne visant à expulser les agriculteurs de leurs terres, ce qui fait d’elles des prolongements du gouvernement. Un fonds gouvernemental de 25 milliards de dollars, créé avec l’argent des contribuables, a également été mis en place pour acheter les terres des agriculteurs.
Lorsqu’un agriculteur vend ses terres, il lui est légalement interdit de s’installer ailleurs en Europe. Entre-temps, les ONG peuvent même finir par cultiver la terre une fois qu’elles ont évincé l’agriculteur.
Selon le communiqué de presse du film :
“Les ONG – à savoir Dierenbescherming, Varkens in Nood, Greenpeace, Vogelbescherming, Natuurmonumenten – sont les principales organisations qui font pression en faveur de la politique de l’azote.
“Leur budget est financé par le gouvernement néerlandais. Lorsqu’un agriculteur est racheté, les ONG deviennent les gardiennes de la terre et, dans certains cas, remettent des vaches sur la terre pour la gérer.
Commentant cette politique, l’agriculteur Bolk a déclaré : “Je fais la même chose que les organisations de protection de la nature en Hollande… Je trouve très étrange qu’un agriculteur ne soit pas autorisé à le faire, mais qu’une organisation de protection de la nature puisse faire la même chose que moi et qu’il n’y ait pas de problème d’azote”.
Le véritable agenda, cependant, peut être retracé jusqu’au Club de Rome, un groupe de réflexion qui s’est aligné sur le néo-malthusianisme – l’idée qu’une population trop nombreuse décimerait les ressources – et qui avait l’intention de mettre en œuvre un agenda mondial de dépopulation.
RépondreSupprimerIls ont rédigé un document incroyable dans lequel ils déclarent : “Nous avons besoin d’une nouvelle justification pour cet État tout-puissant””, a déclaré le journaliste international Alex Newman. “La nouvelle excuse sera donc de dire que l’environnement va être endommagé et que le climat va nous nuire.
M. Balmakov poursuit :
“Je n’arrivais pas à croire ce que je venais d’entendre, à savoir que les dirigeants du monde avaient réellement exposé ce plan mondialiste en termes clairs dans un livre physique, dès 1991. Je suis allé sur Amazon. Et tenez, le voilà.
La première révolution mondiale”, qui déclare, je cite : “En cherchant un ennemi commun pour nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et d’autres choses du même genre feraient l’affaire. Et donc, le véritable ennemi, c’est l’humanité elle-même”.
Dans sa quête de réduction de l’azote, le gouvernement néerlandais cible les agriculteurs et non l’industrie, comme les briqueteries, qui produisent également de l’azote pour construire de nouvelles maisons. La raison, selon de nombreuses personnes, réside dans la terre elle-même.
La crise de l’azote est-elle une couverture pour le contrôle des terres ?
Des méthodes agricoles innovantes et des changements dans l’alimentation peuvent réduire les émissions du bétail. Mais même lorsque les agriculteurs ont dit au gouvernement qu’ils étaient prêts à se débarrasser de leurs vaches, mais pas de leurs terres, le gouvernement a refusé.
“Sous le couvert de la démocratie et du libéralisme, ils suppriment des droits“, déclare le commentateur politique Sietske Bergsma. Et la plupart des gens s’en accommodent parce qu’ils se sentent responsables – peut-être parce qu’il est si “progressiste” de se préoccuper du climat – et qu’ils sont prêts à sacrifier leur propre bien-être.
Le récit est basé sur la peur et sur le fait de dire aux gens ce qu’ils doivent faire pour être en sécurité.
RépondreSupprimer“Nous avons payé un prix très élevé pour cela, car nous avons renoncé à toutes nos libertés pour nous sentir en sécurité”, ajoute M. Bergsma. “Et évidemment, cette sécurité est aussi très factice parce qu’on ne peut pas être en sécurité sans être libre. Il ne s’agit pas de sauver la planète. Il s’agit de contrôler le gouvernement, car c’est en fait ce qui se passe.”
Une fois les agriculteurs évincés, les mondialistes suggèrent que la consommation d’insectesprotégera la planète en éliminant le besoin de bétail, en réduisant l’utilisation des terres agricoles et en protégeant l’environnement.
L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture encourage également la consommation d’insectes et d’aliments à base d’insectes.
En 2023, la Commission européenne a approuvé deux programmes néerlandais visant à racheter les terres des agriculteurs.
Bien que certains agriculteurs aient protesté contre les plans de réduction des émissions d’azote, plus de 750 agriculteurs néerlandais s ‘étaient inscrits au programme de rachat en novembre 2023, et environ 3 000 devraient être éligibles au programme.
Des programmes similaires sont également à l’étude au Canada, en Irlande et aux États-Unis.
Mais en fin de compte, comme l’explique le journaliste environnemental Rypke Zeilmaker:
“Il ne s’agit pas de protéger la nature. Seuls ceux qui, dans ce processus, ont acquis le plus d’argent auront le pouvoir de gouverner.
“Il s’agit de donner le contrôle des ressources entre les mains d’un petit nombre. Regardez le pouvoir des ONG. Qui soutiennent-elles vraiment ? Qui leur verse de l’argent ? Ce sont toujours les gouvernements et les milliardaires qui le font. …
“Il s’agit donc de la relation entre le gouvernement et les ONG. Dans une certaine mesure, vous pouvez vendre le public. Vous pouvez acheter l’opinion publique. …
“Il s’agit avant tout de faire peur. Il s’agit de faire craindre l’avenir aux gens pour qu’ils approuvent des politiques qu’ils n’approuveraient jamais s’ils étaient sobres.
https://www.mondialisation.ca/le-plan-de-25-milliards-de-dollars-du-gouvernement-neerlandais-pour-se-debarrasser-des-agriculteurs-et-finance-par-les-contribuables/5686226?doing_wp_cron=1707549468.4754650592803955078125
'Les [politiques] ce sont des fouilles-merdes !" disait Suzanne Flon dans le film 'En toute innocence'.
SupprimerPourquoi je vous (re)parle de Fukushima aujourd'hui ? Parce que c'est çà !
Le 11 Mars 2011 il y a eu un tremblement de terre de magnitude 9 ai large du Japon. Ce n'est pas grave pour une centrale nucléaire qui peut en supporter le double car cette place-forte est construite pour. Oui mais... car il y a un mais (çà alors !!), les réacteurs (comme de partout dans le monde) sont approvisionnée en eau depuis les fleuves, mers ou océans. ET donc, pour ce transfert il est nécessaire d'avoir des pompes et des tuyaux. Oui mais, là où le bat blesse c'est que ces tuyaux (en fer ou en PVC) sont posés à-même le sol jusqu'aux réacteurs. C'est pourquoi, lorsqu'arrive une forte secousse... ils se cassent !! Çà alors !! C'est pété ! Bêh oui 'C'est pété' !
ET là, on se pose la question "Mais pourquoi ces GROS CONS D’INGÉNIEURS-DE-MES-DEUX ne les ont pas monté sur vérins ??!"
Réponse:... TOUTES les centrales électrique du monde sont construite sur le même modèle !" AÎE-aïe-aïe !!! (Y a des cons partout ! et au-dessus y a des super-cons et au-dessus des suprt-gros-cons qui dirigent les pays !). C'est pourquoi - vous le comprendrez bien - les merdias du monde entier n'ont pas parlé de cette affaire des tuyaux mais porté les gros titres sur 'le danger du nucléaire' !!!
Bref, vous l'avez compris, les monarchies, républiques et empires sont des dictatures dirigées par des gros-gros cons ! Et là, vous vous dites, mais pourquoi parler de Fukushima aujourd'hui ?
Parce que les inviteurs comme les invités de Davos où autres connards de l'informatique, l'IA ou de la voiture électrique n'en savent pas plus que vous mais eux, eux ils ont des milliards pour faire croire qu'ils sont intelligents (mais n'ont pas eu le temps d'explicationner à la TEPCO japonaise le pourquoi des vérins seraient une bonne chose à mettre aux tuyaux). Voilà-voilà !
Les points de suspension ne remplacent pas les vérins !
C'est un peu l'histoire de l'italien Christopho Colombo (contemporains de Léonardo de Vinci) qui emporta de l'eau en tonneaux pour... traverser l'Atlantique 'vers les Indes' !! Car à l'époque du 'très grand savant de Vonci, ils ne savaient même pas dessaler l'eau de mer !! (au 16e siècle !).
Enquête appréciative : évaluation du développement, valeurs qui sous-tendent la recherche, apprentissage par la pratique, collecte de données
RépondreSupprimerMéthodes d’enquête appréciative et de collecte de données : réflexions sur le travail en tant qu’ancien coordonnateur de recherche
Par Tina Rénier
Recherche mondiale,
9 février 2024
J'ai commencé mon parcours au Centre for Employment Innovation le lundi 26 octobre 2020 en tant que coordonnateur de recherche pour les projets Nova Scotia Works Diversity et Inclusion & Certification au Canada. Ce fut un mandat passionnant, accueillant et aussi difficile pour essayer de donner un sens à la grande variété de documents à examiner, comprendre et analyser, couplés aux lectures sur les méthodes de collecte et d'analyse de données pour le cours d'évaluation développementale pour l'impact social .
Introduction
L’enquête appréciative s’est démarquée pour moi, car il s’agit à la fois d’une philosophie de recherche et d’une utilisation dans la collecte de données.
J'ai appris que l'enquête appréciative est un cadre ou une approche qui centre les contributions de la communauté et des parties prenantes dans un changement autodéterminé. Il est utilisé pour identifier les défis d’un point de vue systémique et pour examiner les forces des équipes et des communautés en utilisant les capacités internes.
Par exemple, au lieu qu'un expert extérieur demande à une communauté : « Qu'est-ce qui ne va pas et que puis-je faire pour résoudre le problème ? » un évaluateur développemental qui utilise l’approche d’enquête appréciative demanderait à la communauté :
Quels étaient les points forts ?
Quels ont été les points de tensions, de revers et de faiblesses ? Qu'avons-nous appris et que pouvons-nous appliquer à partir des moments forts dans le prochain plan d'action ? »
Cela est évident dans l'argument de Michael Patton (2011), où il affirme qu'un évaluateur développemental est intégré au projet et qu'il ne se contente pas de collecter des données, de les analyser et de rédiger un rapport, mais qu'il engage activement les communautés et les parties prenantes (p. 305). Il a ensuite expliqué que le processus de co-création implique : conceptualiser ensemble l'innovation sociale, générer des questions d'enquête, déterminer quelles données collecter et comment les collecter, suivre l'évolution des conditions, ce qui émerge et prêter attention aux nouveaux apprentissages ( Patton, 2011, p.307).
Cela signifie donc que l’enquête appréciative nécessite un changement de pensée, passant d’une vision des problèmes comme une question de déficit individuel à une reconnaissance du fait que les membres de l’écosystème ont un rôle déterminant à jouer dans l’innovation et le changement sociaux. Le changement ne se produit pas de manière linéaire et prévisible, et il ne se produit pas non plus lorsqu'il y a « UNE VOIX » qui façonne, dirige et détermine le récit. Le changement se produit lorsque la communauté impliquée est capable de se considérer comme des partenaires dans le processus de changement plutôt que comme de simples bénéficiaires des avantages du programme. Tous les membres de la communauté et les parties prenantes doivent être impliqués dans la conceptualisation, la conception, la collecte de données, leur analyse et l'élaboration du rapport comme un groupe, en assemblant les pièces d'un grand puzzle pour donner un sens à la situation dans son ensemble.
Ceci est directement lié à mes expériences de travail passées où nous en sommes aux premières phases de création d'une évaluation évolutive pour les deux projets. Nous n'en étions pas au stade où nous faisions des entretiens et des discussions de groupe, mais nous en sommes au stade où je dois collecter des données en temps réel, comme assister à des réunions Zoom/Microsoft Teams, échanger des e-mails et écouter des informations importantes de manière informelle. des espaces tels que des déjeuners-débats ou des réunions en face à face où nous nous éloignons socialement.
RépondreSupprimerJ'ai personnellement été témoin de cas où les discussions peuvent s'écarter du point initial de l'ordre du jour, puis je poserai des questions de clarté telles que « pourriez-vous partager plus de détails sur les raisons pour lesquelles il en est ainsi ? et les participants me donneraient un contexte politique et historique plus large sur les origines d'un problème - c'est-à-dire les obstacles multiples et systémiques qui empêchent les Afro-Néo-Écossais et les personnes d'ascendance africaine de trouver un travail intéressant et pourquoi cela persiste.
J'observerais ensuite les moments de tension jusqu'aux moments où le groupe décide de la manière de procéder, soit en forgeant des partenariats avec des innovateurs sociaux qui ont des objectifs similaires, soit en s'appuyant sur l'expertise des membres de la communauté locale pour le soutenir au fur et à mesure du développement du programme.
Apprendre par la pratique est la clé. J'ai appliqué ce que Patton (2011) appelle « la réactivité situationnelle en tant qu'évaluateur du développement » (p. 314). La réactivité situationnelle consiste simplement à savoir quand être une voix active, quand être interactif avec l'équipe et quand être réactif ou permettre aux conversations et aux orientations d'action de se dérouler de manière organique. En d'autres termes, on ne s'attend pas à ce qu'un évaluateur développemental soit « complètement silencieux ou domine la discussion » lors des réunions ou qu'il collecte toute forme de données en temps réel.
L’enquête appréciative me met également au défi de comprendre qu’avant de collecter/recueillir des données, j’ai besoin de savoir quelles sont les valeurs qui sous-tendent la recherche, quelles données collecter, dans quel but et pour qui ?
Cela nous amène à la lecture du cours de Cobb et Donnelly (2015), où tous deux affirment que les valeurs qui sous-tendent un projet sont les mêmes que celles qui éclairent l'évaluation (p.6). J’ai immédiatement lié cette citation en réfléchissant au travail du Centre pour l’innovation en emploi (CEI). Bien que la recherche et l’innovation soient l’un des quatre (4) piliers de notre travail, la recherche et l’innovation ne sont pas isolées mais s’associent à la collaboration et à l’engagement. Nous effectuons des recherches communautaires, axées sur les praticiens et qui cherchent également à identifier des pratiques innovantes ou exemplaires pour rendre le développement et la prestation de services d'emploi plus diversifiés et inclusifs. Après avoir établi ces principes et objectifs clairs, il est préférable de déterminer quelles méthodes de collecte de données doivent être utilisées. Les enquêtes sont des méthodes de collecte de données quantitatives populaires utilisées dans la recherche pour notre entreprise et d’autres institutions.
RépondreSupprimerLes méthodes de collecte de données quantitatives telles que les enquêtes sont avantageuses en termes de coût et de rapidité et répondent à des questions telles que combien ou quel pourcentage d'une population est affecté par le problème à étudier ? (Ferris, 2011). Cependant, l'inconvénient de l'utilisation de méthodes quantitatives de collecte de données telles que les enquêtes est que vous avez besoin d'un statisticien expérimenté pour développer l'instrument de collecte de données de manière à ce que la population à enquêter représente la population générale (échantillon représentatif) en utilisant un intervalle de confiance. Par exemple, dans un projet de recherche de groupe de 2018 intitulé « Les facteurs socio-démographiques qui affectent la participation électorale aux élections générales de 2011 en Jamaïque », les chercheurs, dont moi-même, ont interrogé 1 500 personnes en utilisant un intervalle de confiance de 95 %. Il n'est pas possible d'enquêter sur l'ensemble des 2,9 millions d'habitants de la Jamaïque. L'intervalle de confiance a donc été utilisé pour aider les chercheurs à constituer un échantillon représentant la population totale. Sans cela, lorsqu’il s’agira d’interpréter et d’analyser des données quantitatives, celles-ci seront inexactes et pratiquement inutiles.
De plus, les chiffres ne peuvent à eux seuls donner une idée complète des raisons pour lesquelles un problème existe/persiste et comment il affecte une communauté . Cela ne veut pas dire que les méthodes quantitatives de collecte de données ne sont pas importantes, mais cela dépend de l'objectif de la recherche, du problème à étudier, des questions de recherche et des valeurs de la recherche.
C’est là que les méthodes qualitatives de collecte de données telles que les discussions de groupe et les entretiens approfondis deviennent plus utiles. Selon Curry (2015), les entretiens approfondis explorent les expériences et les perceptions individuelles de manière riche en détails, tandis que les discussions de groupe génèrent des informations uniques sur les expériences et les normes partagées. Celles-ci s'appliquent aux phases précédentes des rapports d'évaluation de développement du projet Nova Scotia Works Diversity and Inclusion et à la nouvelle phase du projet sur lequel j'ai travaillé. Les entretiens approfondis sont utiles lorsqu'un évaluateur/chercheur en développement souhaite aborder un sujet sensible en examinant un point de vue individuel en profondeur et dans le cas du projet, les sujets sensibles engloberaient la discrimination, l'exclusion, les sentiments d'aliénation sur le lieu de travail. ou ne pas trouver de travail pendant de longues périodes, racisme, etc.
RépondreSupprimerUn défi majeur avec cette méthode de collecte de données est de savoir comment établir un climat de confiance avec le participant afin qu'il n'y ait aucune crainte de représailles. Ceci est lié au thème de « l'éthique de la recherche » où vous suivez un ensemble de principes ou de lignes directrices pour garantir la protection d'un participant, comme la confidentialité, l'anonymat et le consentement éclairé, mais l'éthique en soi ne permettra pas à un participant victime de l’oppression institutionnalisée/systémique pour s’exprimer avec audace. J'ai appris quelques idées lors des séances en petits groupes du cours Évaluation développementale pour l'impact social, où un chercheur doit respecter à la fois l'éthique et trouver des façons créatives de poser des questions d'entretien pour obtenir des idées ou des détails riches, ce qui inclut : avoir un ton conversationnel, relation entre le chercheur et le participant mais sans être trop impliqué, écoute active et empathique et pose de questions très claires ou simples. Vous pouvez poser des questions qui évoquent des images ou lier les questions à des thèmes culturellement pertinents ou sensibles. Par exemple, les peuples d'ascendance africaine sont liés à une histoire et une culture d'oralité ou d'expressions orales. Si vous pouvez lier les questions à des expressions proverbiales populaires, à des danses ou à des chants communautaires, ou à toute coutume communautaire, ce serait un bon moyen de les impliquer et de les encourager. une communication plus détendue et authentique.
D’un autre côté, les discussions de groupe sont un moyen d’obtenir un point de vue de groupe sur une question de manière très détaillée. Les discussions de groupe sont idéales pour inclure des personnes d'horizons divers et de générations différentes afin d'élargir le spectre de l'examen d'un problème et elles fourniront un espace sûr, en particulier pour les membres de la communauté qui ne sont pas alphabétisés ou qui hésitent à s'exprimer seuls. Le défi d'un groupe de discussion est d'observer et de contrôler la dynamique du pouvoir : ceux qui s'expriment avec audace contre ceux qui ne le font pas, le point de vue des hommes contre le point de vue des femmes, les vieux contre les jeunes, etc. Il est essentiel qu'une opportunité juste et égale soit donnée aux différentes voix de partager leurs expériences et leurs perceptions et il est tout aussi essentiel qu'un chercheur accorde une attention particulière aux moments de silence et au moment où il doit intervenir pour donner à un autre membre du groupe une chance de partager. Ce que je retiens le plus de ce cours sur l'évaluation développementale de l'impact social vient de la Dre Paula Romanow vers la fin de la discussion de jeudi, où elle dit que lors de l'analyse de données qualitatives, même si une personne partage son expérience ou sa perception, cela reste important.
RépondreSupprimerhttps://www.globalresearch.ca/appreciative-inquiry-data-collection-methods-reflections-working-former-research-coordinator/5848846
Des bugs au menu ? Les politiques climatiques et ESG de Biden menacent l’approvisionnement alimentaire, prévient un groupe de réflexion
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 10 FÉVRIER 2024 - 03h40
Rédigé par Tom Ozimek via The Epoch Times
Un nouveau rapport du groupe de réflexion de droite The Buckeye Institute a tiré la sonnette d’alarme sur les politiques de contrôle climatique zéro émission nette de l’administration Biden et sur le fait que les points à l’ordre du jour menacent la production alimentaire américaine.
Le rapport, publié le 7 février, révèle que les politiques et mandats climatiques guidés par le programme environnemental, social et de gouvernance (ESG) poussé par l’administration Biden entraînent un prix élevé pour les agriculteurs et les consommateurs américains.
"Pour mieux apprécier les coûts réels que les fermes et les ménages américains paieront probablement pour les politiques et les objectifs de zéro émission nette de l'administration Biden, le centre de recherche économique du Buckeye Institute a développé une ferme de maïs modèle qui doit respecter les nouvelles règles du gouvernement en matière d'émissions de carbone", a écrit les auteurs du rapport, Trevor W. Lewis et M. Ankith Reddy, tous deux analystes de recherche économique au sein du groupe de réflexion.
"Comme prévu, les coûts d'exploitation de la ferme ont tous augmenté de manière significative", ont-ils ajouté.
En analysant les chiffres, les chercheurs ont découvert que les agriculteurs américains verront leurs coûts d’exploitation augmenter d’environ 34 % grâce aux politiques de zéro émission nette de l’administration Biden.
Non seulement le modèle prédisait que les politiques gouvernementales de tarification du carbone augmenteraient les coûts d’exploitation des exploitations agricoles, mais les consommateurs seraient également confrontés à un coup dur pour leur portefeuille.
"La tarification du carbone augmentera la facture moyenne des courses aux États-Unis de 110 dollars par mois, soit 1 330 dollars par an, soit 15 pour cent", estiment les chercheurs.
Menace pour l'approvisionnement alimentaire
Les politiques du gouvernement en matière de zéro émission nette que le rapport Buckeye a prises en compte dans son analyse incluent les implications de la réadhésion aux Accords de Paris sur le climat, qui ciblent les émissions de gaz à effet de serre.
Afin d’atteindre les objectifs du pacte climatique, l’administration Biden s’est engagée à réduire les émissions de gaz à effet de serre de l’Amérique de 50 à 52 % d’ici 2030 et à atteindre zéro émission nette à l’échelle de l’économie d’ici 2050.
RépondreSupprimer« Pour parvenir à l’économie décarbonée souhaitée par l’administration, il faudra des politiques agressives de réduction des émissions climatiques qui drainent et remplacent les combustibles fossiles de tous les secteurs de l’économie américaine », écrivent les auteurs du rapport.
L’administration Biden a déjà commencé à mettre en œuvre des politiques réglementaires strictes destinées à réduire les émissions de carbone du secteur énergétique américain, tandis qu’une règle finale imminente sur les rapports ESG, qui doit entrer en vigueur en avril 2024, menace d’imposer la conformité carbone à d’autres secteurs.
Beaucoup de ces politiques ont été testées en Europe, les chercheurs concluant que les résultats ont été un « échec total ».
« Malgré ces avertissements retentissants de la part de leurs homologues européens, les décideurs politiques américains ont réengagé l’industrie américaine à respecter les mêmes normes d’émissions nettes nulles et ont imposé le même type d’obligations coûteuses aux fermes et aux entreprises qui, en fin de compte, réduiront les approvisionnements alimentaires et énergétiques sans atteindre les avantages escomptés. " ils se disputèrent.
« Les résultats de la modélisation de Buckeye étaient prévisibles et peu surprenants, mais de nombreux décideurs américains ne semblent pas disposés à les aborder, ni même à les reconnaître. Cela doit changer, sinon les États-Unis seront confrontés à des conséquences économiques désastreuses », conclut le résumé du rapport.
La Maison Blanche n’a pas répondu à une demande de commentaires sur les conclusions du rapport.
Will Hild, directeur exécutif de Consumers’ Research, a commenté le rapport dans un article sur X.
« Les agriculteurs et les éleveurs dépensent des sommes énormes pour tout, depuis les engrais, les semences et les aliments pour animaux jusqu'aux machines lourdes et aux pesticides, pour produire la nourriture que nous mangeons. Pourtant, le culte du climat et les élites ESG font monter en flèche ces coûts », a-t-il écrit.
« Cela impose un fardeau financier plus lourd aux producteurs agricoles et impose des coûts alimentaires plus élevés aux Américains qui travaillent dur », a-t-il poursuivi.
« Les moyens de subsistance des agriculteurs et des éleveurs américains ne devraient pas être menacés en raison de coûts d’exploitation gonflés ou de la perte d’accès aux capitaux des banques réveillées. Le peuple américain ne devrait pas non plus être victime d’une taxe écrasante imposée sur ses produits d’épicerie par les extrémistes climatiques.»
RépondreSupprimer« L’agriculture est la sécurité nationale »
Le rapport Buckeye intervient environ une semaine après qu’une douzaine de commissaires républicains à l’agriculture ont averti dans une lettre du 29 janvier adressée aux principaux dirigeants de banques que l’adhésion à l’Alliance bancaire nette zéro des Nations Unies aurait un impact négatif sur les agriculteurs et menacerait la sécurité alimentaire de l’Amérique.
Parallèlement à leur adhésion à l’alliance, des banques comme JPMorgan Chase et Bank of America se sont engagées à ce que les prêts qu’elles accordent « s’alignent sur la voie vers la carboneutralité d’ici le milieu du siècle ou avant ».
Tyler Harper, commissaire à l’agriculture de Géorgie et l’un des signataires de la lettre, a déclaré à Epoch Times dans une interview précédente que l’engagement en faveur de politiques de zéro émission nette avait un impact négatif sur la sécurité nationale.
« En fin de compte, l’agriculture est synonyme de sécurité nationale, et si nous ne sommes pas capables de nous nourrir en tant que nation, nous ne pouvons pas nous protéger », a-t-il déclaré.
"Quand vous regardez le Sri Lanka et les impacts dévastateurs que [les mandats climatiques] ont eu là-bas, vous regardez les Pays-Bas et ce qu'ils ont fait pour mettre en œuvre certaines de ces politiques là-bas et l'impact dévastateur que cela a eu sur leur économie agricole - nous avons vu Nous ne voulons pas que cela se produise ici », a ajouté M. Harper.
En 2019, après que le gouvernement du Sri Lanka a mis en œuvre des règles visant à réduire l’utilisation d’azote dans les engrais, les rendements des cultures se sont effondrés, entraînant de violentes manifestations qui ont finalement renversé le gouvernement.
Aux Pays-Bas, les tentatives réglementaires visant à imposer des politiques de zéro émission nette ont conduit à de nombreuses protestations de la part des agriculteurs.
« Veux-tu manger les insectes ?
Pendant ce temps, un récent documentaire original d’Epoch intitulé « Pas d’agriculteurs, pas de nourriture : allez-vous manger les insectes ? explore les politiques de contrôle climatique préconisées par les gouvernements du monde entier et la manière dont ils forcent les agriculteurs à cesser leurs activités, menaçant ainsi l’approvisionnement alimentaire.
« C'est la prochaine crise mondiale qui est ignorée par les médias du monde entier », a déclaré à Epoch Times Roman Balmakov, animateur de l'émission « Facts Matter » d'EpochTV et réalisateur du documentaire, lors d'une interview en marge de la première mondiale du documentaire. film en septembre 2023.
RépondreSupprimerLe documentaire plonge dans l’histoire de la « crise climatique » et comment elle a été conçue par les dirigeants du monde lors des conférences des Nations Unies sur l’environnement et le développement, également connues sous le nom de Sommet de la Terre, en juin 1992, peu après la fin de la guerre froide.
Le film plonge également dans l’Agenda 30, anciennement connu sous le nom d’Agenda 21, expliquant comment les politiques mondiales définies par l’ONU visent à mettre fin à l’agriculture privée et à créer une dépendance à l’égard d’un gouvernement mondial unique qui contrôlera l’approvisionnement alimentaire mondial.
"Les responsables de certaines des organisations les plus puissantes de la planète ont déterminé que l'agriculture, en particulier l'élevage, est responsable du réchauffement climatique et que le réchauffement climatique est responsable des prix élevés des denrées alimentaires et des pénuries alimentaires", a expliqué M. Balmakov. .
Le documentaire explore l’impact des politiques climatiques radicales au Sri Lanka et aux Pays-Bas, tout en explorant également l’impact des réglementations carboneutres et autres aux États-Unis.
Les solutions proposées par les gouvernements du monde entier pour résoudre le changement climatique « pourraient vous surprendre », déclare M. Balmakov dans le film.
"Selon les Nations Unies, [les insectes] pourraient en fait être votre futur dîner", dit-il.
Kevin Stocklin et Jana Pruet ont contribué à ce rapport.
https://www.zerohedge.com/commodities/bugs-menu-bidens-climate-and-esg-policies-threaten-food-supply-think-tank-warns
En janvier froid, le réseau électrique du Texas a résisté... à peine
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 10 FÉVRIER 2024 - 01h00
Rédigé par Bill King via RealClear Wire,
Lors de la récente tempête hivernale Heather (du 13 au 16 janvier), le réseau texan a été en mesure de produire suffisamment d'énergie pour répondre à la demande, mais à peine. Depuis la tempête hivernale Uri (février 2021), il semble que des améliorations aient été apportées à la fiabilité de la production de gaz naturel. En outre, il y a eu des ajouts significatifs de capacité d’énergies renouvelables, principalement solaires, et une petite quantité de stockage d’énergie (batteries). Tout cela a contribué à empêcher un nouvel effondrement du réseau. Mais nous avons aussi eu de la chance. Cette tempête n'était pas aussi violente qu'Uri en termes d'intensité, de durée et de précipitations.
Pendant la tempête, les Texans ont utilisé une quantité record d'électricité en hiver, soit 78 138 mégawatts, le 16 janvier à 7 h 50. À ce moment-là, les données d'ERCOT montraient que le système disposait de 5 229 mégawatts en capacité de réponse physique (PRC). ERCOT commence à appeler des alertes lorsque les réserves d'exploitation tombent en dessous de 2 500 mégawatts. À 1 500 mégawatts, ERCOT commence des « pannes contrôlées », c’est-à-dire des pannes d’électricité en continu.
Il me semble donc qu’au plus fort de la tempête, nous avions environ 7 % de réserves. Le montant des réserves en pourcentage de la demande totale varie considérablement, même au cours d'une journée, mais se situe généralement entre 10 et 20 %. Ainsi, même si nous n’avons jamais menacé de voir la grille échouer cette fois-ci, je pense qu’il est probable que si Heather avait été aussi mauvaise qu’Uri, la grille aurait probablement échoué à nouveau, mais peut-être pas aussi gravement qu’avec Uri.
La récente tempête a cependant souligné une fois de plus le dilemme auquel le Texas est confronté avec sa combinaison actuelle de sources de production. Le jargon industriel pour cela est appelé le « mix énergétique ». Le Texas possède le mix énergétique le plus diversifié du pays, et beaucoup pourraient être surpris d'apprendre que le Texas génère le plus haut niveau d'énergies renouvelables du pays, l'éolien et le solaire contribuant à plus de 30 % de la production totale.
Source des données : ERCOT
Le réseau du Texas a été principalement conçu pour fonctionner pendant la chaleur estivale, lorsque les pics de demande sont généralement limités à plusieurs heures en fin d'après-midi et en début de soirée. En hiver, lors des périodes de froid extrême, les pointes de demande peuvent être beaucoup plus longues. Dans le cas d'Uri, le pic de demande a duré plusieurs jours.
RépondreSupprimerL’éolien et le solaire fonctionnent mieux en été. En règle générale, les énergies renouvelables ne fonctionnent pas très bien pendant les tempêtes hivernales. En raison des moins bonnes performances des énergies renouvelables et des périodes prolongées de forte demande, le réseau du Texas court un risque bien plus élevé de panne catastrophique en hiver.
La contribution de l’éolien et du solaire est tombée proche de zéro pendant plusieurs heures à Heather et pendant plusieurs jours à Uri. Par exemple, le 15 janvier à 7 heures du matin, l’énergie éolienne ne produisait que 4 700 mégawatts et l’énergie solaire était à zéro. À cette époque, l’énergie éolienne et solaire représentait moins de 7 % de l’électricité utilisée par les Texans.
Dans ces situations, la charge retombe sur d’autres sources, principalement le gaz naturel. À plusieurs reprises au cours de la récente tempête, le gaz naturel produisait près de 70 % de l’électricité du Texas.
Cette dynamique signifie que pour avoir un réseau fiable, nous devons disposer d’une capacité de production distribuable suffisante pour combler la différence lorsque le soleil ne brille pas et que le vent ne souffle pas. Pour l’instant, du moins, il s’agit de production de gaz naturel.
Mais le problème est que lorsque le vent souffle et que le soleil brille, l’énergie éolienne et solaire produit de l’électricité à un coût nettement inférieur, ce qui rend difficile la compétitivité du gaz naturel pendant ces périodes. Pour l’énergie éolienne, l’avantage en termes de coûts est presque entièrement imputable aux subventions gouvernementales. Mais l’énergie solaire arrive un peu en dessous du gaz naturel, sans aucune subvention, et le coût de l’énergie solaire continue de baisser.
Dans un système fondé sur le marché comme ERCOT, le problème de concurrence pour le gaz naturel est encore plus difficile à une époque où l’énergie éolienne et solaire produit beaucoup d’électricité. En effet, l’éolien et le solaire ont des coûts d’investissement initiaux élevés, mais les coûts marginaux (d’intrants) sont presque nuls. Même lorsque les prix de l’électricité sont très bas, les opérateurs éoliens sont incités à continuer de produire car leur principale filiale gouvernementale est basée sur la quantité d’électricité qu’ils produisent. Dans certains cas, les opérateurs éoliens continueront à produire même à des prix de marché négatifs (c’est-à-dire que le réseau est surapprovisionné en électricité) car ils continuent de percevoir le crédit d’impôt à la production. En revanche, les producteurs de gaz naturel, dont les coûts de carburant et d’exploitation sont importants, ne peuvent pas se permettre de continuer à produire lorsque le prix tombe en dessous de leurs coûts de production.
RépondreSupprimerEn conséquence, il existe aujourd’hui très peu d’incitations à investir dans la production de gaz naturel au Texas. Le Texas a récemment proposé un ensemble d'incitations pour développer une production supplémentaire de gaz naturel, notamment des prêts à faible taux. Il n’y avait pas de preneurs.
Ainsi, si le Texas veut être assuré qu’il disposera d’une énergie distribuable adéquate pour faire face à des conditions météorologiques extrêmes, l’État devra la subventionner avec l’argent des contribuables ou l’exiger par voie réglementaire, ce qui entraînerait en fin de compte une augmentation des tarifs. Je laisserai à un autre jour l’ironie d’une subvention gouvernementale entraînant la création d’une autre subvention gouvernementale ou d’une réglementation supplémentaire.
La seule autre alternative est de construire une capacité de stockage de l’électricité. Actuellement, cela signifie des piles. À un moment donné lors de la récente tempête, les batteries produisaient plus de 1 000 mégawatts. Le record absolu de contribution des batteries au réseau était de 2 172 mégawatts en février 2023. Ainsi, actuellement, les batteries apportent une très petite contribution.
On assiste à un boom de la construction de batteries de stockage, les utilisateurs d’électricité étant de plus en plus méfiants quant à la fiabilité du réseau. Et nous verrons probablement ce nombre continuer à augmenter. Cependant, comme vous pouvez le constater sur le graphique ci-dessus, le coût du stockage sur batterie est très élevé. Cela diminuera probablement avec le temps, mais il reste encore un long chemin à parcourir.
En raison des prix bon marché du gaz naturel et de la contribution significative de l'énergie éolienne et solaire, les Texans bénéficient des prix de l'électricité les plus bas du pays, soit 18 % inférieurs à la moyenne nationale. Mais ce faible coût a un prix : un manque inhérent de fiabilité du réseau. Et c’est une économie qui est souvent anéantie lorsqu’une tempête comme celle d’Uri cause des milliards de dollars de dégâts, sans parler du bilan humain.
RépondreSupprimerLe réseau texan a tenu bon malgré cette tempête, mais la question à long terme de la construction d’un réseau fiable au Texas est loin d’être résolue.
Bill est un résident de longue date de la région de Houston. Il a mené une carrière variée en tant qu'homme d'affaires et avocat. Bill a été rédacteur d'opinion pour le Houston Chronicle de 2004 à 2015, écrivant plus de 400 chroniques et éditoriaux et siégeant finalement au comité de rédaction. En 1996, Bill a été élu au conseil municipal de Kemah, au Texas, où il a ensuite été maire de Kemah de 2001 à 2005. Il a perdu sa candidature indépendante à la mairie de Houston en 2015 lors de l’élection à la mairie la plus serrée de l’histoire de Houston.
https://www.zerohedge.com/energy/january-cold-texas-electricity-grid-held-barely
"Le printemps est annulé" : les météorologues mettent en garde contre un "changement de configuration" des grosses tempêtes de neige dans le nord-est
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 09 FÉVRIER 2024 - 16H40
Les météorologues de X surveillent la prochaine grande tempête hivernale qui pourrait déverser de la neige sur le centre de l'Atlantique et le nord-est la semaine prochaine.
Mercredi, le rapport d'Arcfield Weather a montré que les températures supérieures à la normale dans la moitié est prendraient fin d'ici la fin du week-end.
Le printemps est annulé selon les dernières prévisions hebdomadaires européennes sur les anomalies de température. Il en est ainsi pendant la majeure partie du mois de mars. pic.twitter.com/HSwG7ZwCNX
– Spot On Weather (@eulermatthew4) 9 février 2024
Bloomberg a noté dans un rapport : « La ceinture d'air arctique autour du pôle Nord, connue sous le nom de vortex polaire, est sur le point de s'affaiblir et d'envoyer une explosion froide vers les États-Unis. Et parce que le phénomène météorologique El Niño est en pleine force, les profondeurs le gel pourrait entrer en collision avec des conditions orageuses sur la côte Est pour libérer de la neige ce mois-ci. »
"Je pense qu'il y a quelques tempêtes de neige à venir", a déclaré Paul Pastelok, principal prévisionniste à long terme pour AccuWeather.
Pastelok a poursuivi: "Une ou deux grosses tempêtes ne sont pas hors de propos ici pour février ou début mars."
Les météorologues sur X ont publié une série de modèles qui prévoient une accumulation de neige au début de la semaine prochaine pour les régions du centre de l'Atlantique au nord-est.
Gagnant, gagnant, dîner de poulet…
Nous avons un modèle de consensus !
RépondreSupprimerLes analyses nocturnes des modèles européens et GFS se sont concentrées sur la NEPA comme point zéro pour la neige. Certains détails doivent encore être réglés en ce qui concerne la force de la tempête, l'emplacement des fentes sèches et la quantité d'humidité qui… pic.twitter.com/zsVeA04F7p
– Mark Margavage (@MeteoMark) 9 février 2024
La tempête lundi/mardi la semaine prochaine préparera le terrain pour un changement de configuration qui « pourrait » produire une grosse chute de neige plus tard ce mois-ci. Celui-ci sera une pluie de neige pour Baltimore. Difficile d'avoir de grosses accumulations comme celle-là, mais il pourrait neiger pendant une partie du trajet du mardi matin. Restez à l'écoute...❄️🚂 pic.twitter.com/Yydv3eaMDl
– Tony Pann (@TonyPannWBAL) 9 février 2024
6z GEFS vs EPS signifient des chutes de neige. GEFS est plus au sud avec le sud de l'AP jusqu'à New York dans la zone Bullseye. EPS est plus au nord avec un State College à Boston Bullseye. Penchant vers l'EPS. Mise à jour avec les exécutions du modèle 12z. #MdWx pic.twitter.com/OAMMCfu9Xc
– Ryan Kane (@ryankanerWX) 9 février 2024
La menace de #neige augmente dans la vallée de l'Ohio lundi ?
Si nous parvenons à mettre ce système en phase, nous aurions juste assez d’air froid pour ❄️.
Beaucoup de pièces mobiles ici, pas encore un slam dunk, mais le dernier @CIPSAnalogs montre qu'historiquement cette configuration produit #MOwx #ILwx #INwx #OHwx pic.twitter.com/c0s7mlGB7c
— Kirk 🇺🇸 Hinz | BAM ⚡️Météo (@Met_khinz) 8 février 2024
Le printemps est annulé ?
🚨Le printemps est annulé🚨
Un deuxième réchauffement stratosphérique soudain majeur se profile pour la troisième semaine de février. Cela signifie que le risque de temps froid aux États-Unis est accru jusqu'au mois de mars, de sorte que toute possibilité d'un printemps précoce est désormais à 100 % exclue. Les Marmottes avaient tort. Oh… https://t.co/IMEIFxQgPK pic.twitter.com/jcE46RsOu2
– Mark Margavage (@MeteoMark) 9 février 2024
Pendant ce temps, Punxsutawney Phil - le célèbre oracle météorologique de la marmotte - s'est peut-être trompé dans ses prévisions du début du printemps vendredi dernier.
https://www.zerohedge.com/weather/spring-canceled-meteorologists-warn-pattern-change-big-snowstorms-northeast
L’UE se met à genoux devant les agriculteurs : abandonne des dispositions clés de sa proposition climatique pour 2040
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 9 FÉVRIER 2024 - 23H55
La Commission européenne s'est mise à genoux devant les agriculteurs protestataires et abandonne des passages clés d'une proposition pour un nouvel objectif à l'horizon 2040 visant à réduire la pollution par les gaz à effet de serre.
Selon le plan de l'exécutif européen, « tous les secteurs » doivent désormais contribuer à cet effort – mais la réduction de 30 % de la production agricole d'ici 2040, précédemment imposée, a disparu. Le projet révisé a également exclu l'obligation pour les citoyens de modifier leur mode de vie, comme manger moins de viande, et de mettre fin aux subventions aux combustibles fossiles, rapporte Politico.
Des manifestations d’agriculteurs ont éclaté dans de nombreux pays d’Europe ces dernières semaines, le secteur agricole exprimant son mécontentement face aux politiques vertes de l’UE. Certaines des plus grandes manifestations ont eu lieu en Allemagne, provoquées par la réduction des subventions au diesel. Bruxelles a fait face à des appels de groupes industriels et de certains partis politiques pour qu’ils établissent une trajectoire climatique à l’horizon 2040 qui n’enflamme pas davantage la colère.
Le plan de l'UE devrait être présenté mardi et recommandera une réduction de 90 pour cent des émissions totales de l'UE d'ici 2040 par rapport aux niveaux de 1990 – une suggestion conforme aux avis scientifiques.
La version mise à jour du plan, qui est encore sujette à changement, présente l'agriculture sous un jour plus positif que les versions précédentes. Le rôle que joue le secteur dans la « souveraineté alimentaire » de l’UE a également été souligné.
"Nous devons nous assurer d'avoir une approche équilibrée", a déclaré la Commission européenne Wopke Hoekstra, qui a dévoilé la proposition révisée. "La grande majorité de nos citoyens sont conscients des effets du changement climatique, veulent être protégés, mais s'inquiètent également de ce que cela implique pour leurs moyens de subsistance."
Dans le même temps, la BBC rapporte que l'UE a également abandonné son projet de réduire de moitié l'utilisation des pesticides dans l'ensemble de l'UE, qui devait entrer en vigueur d'ici 2030 dans le cadre du soi-disant « Green Deal ».
Les changements ont été menés par le puissant Parti populaire européen (PPE) de centre-droit, la famille politique de la plus haute dirigeante européenne Ursula Von der Leyen, et constitue le groupe le plus important du Parlement européen.
"Nos agriculteurs méritent d'être écoutés", a déclaré Mme von der Leyen lors d'une réunion parlementaire mardi. "Je sais qu'ils s'inquiètent de l'avenir de l'agriculture et de leur avenir en tant qu'agriculteurs."
Le porte-parole du PPE pour l'environnement, Peter Liese, a déclaré lundi que l'objectif d'une réduction de 90 % par rapport aux niveaux de 1990 d'ici 2040 était conditionné à une plus grande attention accordée aux « opportunités positives » pour les agriculteurs, et moins à « de nouveaux instruments qui considèrent plutôt les agriculteurs comme des ennemis du système ». politique climatique. »
Cela dit, un responsable de l'UE a déclaré à Politico qu'il est difficile d'échapper à la réalité : le secteur agricole « pourrait et devrait » contribuer aux objectifs climatiques de l'UE.
"Malgré toute la sémantique de la [Commission], il existe une analyse d'impact sans équivoque qui présente des arguments (commerciaux) très convaincants en faveur d'un objectif global ambitieux et de tous les sous-objectifs pour les secteurs", a déclaré le responsable.
https://www.zerohedge.com/political/eu-bends-knee-farmers-drops-key-provisions-2040-climate-proposal
Un député canadien veut criminaliser les discours en faveur des combustibles fossiles
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 09 FÉVRIER 2024 - 16H20
Rédigé par Mark Jeftovic via BombThrower.com,
Le projet de loi C-372 prévoit des sanctions allant jusqu'à 1 000 000 $ et deux ans de prison pour toute promotion des combustibles fossiles comme étant autre chose qu'une menace existentielle pour l'humanité.
Juste au moment où vous pensiez que le Canada ne pouvait pas devenir plus stalinien, un député du parti d'extrême gauche NPD du pays appelle à ce que tout discours qui « promeuve les combustibles fossiles » – même les déclarations véridiques comme la comparaison des émissions relatives du gaz naturel par rapport au charbon – soit rejeté. être interdit et criminalisé.
Le député Charlie Angus, de Timmins, dans le nord de l'Ontario (où la température moyenne en février oscille entre -7°C et -21°C) a présenté un projet de loi d'initiative parlementaire C-372 intitulé « Loi sur la publicité concernant les combustibles fossiles » qui « interdirait la promotion des combustibles fossiles ». sauf conformément aux dispositions de la Loi.
Promotion définie comme :
« une représentation concernant un produit ou un service par quelque moyen que ce soit, directement ou indirectement, y compris toute communication d'informations sur le produit ou le service, son prix et sa distribution, susceptible d'influencer et de façonner les attitudes, les croyances et les comportements à l'égard du produit ou du service. .”
Ce qui n’est pas expressément autorisé est interdit…
« Le présent texte édicte la Loi sur la publicité sur les combustibles fossiles afin d'interdire la promotion des combustibles fossiles, sauf conformément aux dispositions de la loi. »
Le seul discours public qui serait autorisé à ce sujet serait des représentations littéraires ou dramatiques qui « utilisent ou représentent » des combustibles fossiles, ou des « opinions ou commentaires », à condition que dans les deux cas, l’auteur ou le créateur n’ait aucun lien ou ne reçoive aucune contrepartie. directement ou indirectement » de l’industrie des combustibles fossiles.
RépondreSupprimerLe préambule qualifie le changement climatique de « menace existentielle » et cite comme prétexte la saison des incendies de forêt de 2023.
« Alors qu’en 2023, le Canada a connu la pire saison d’incendies de forêt jamais enregistrée, le pays dépassant la plus grande superficie jamais brûlée en un an, totalisant plus de 7,9 millions d’hectares. »
Il n’est pas mentionné que dans de nombreux cas survenus tout au long de la saison des incendies de forêt 2023, comme les incendies du lac Cavan au Québec et le tristement célèbre incendie du lac Barrington en Nouvelle-Écosse, la cause était un incendie criminel (et non une « ébullition mondiale »).
« Réclamé, sans preuve… »
L’expression « revendiqué sans preuve » est devenue un incontournable des médias institutionnels. Cela dément une partisanerie ancrée qui rappelle l’agitprop de la fin de l’ère soviétique. Cela est particulièrement visible si quelqu’un à la droite de Staline ose remettre en question les préceptes du socialisme technocratique.
Pourtant, le projet de loi C-372 regorge de telles affirmations…
Attendu que la pollution de l’air causée par les combustibles fossiles entraîne des millions de décès prématurés dans le monde, y compris des dizaines de milliers de décès prématurés au Canada seulement, et constitue une cause majeure de cancer, de maladies respiratoires, d’issues de grossesse défavorables, de maladies infantiles et de symptômes cardiovasculaires ;
Il s’agit d’une déclaration fondée sur la foi (à égalité avec les cris déséquilibrés d’Al Gore à Davos 2023 selon lesquels « le changement climatique provoque l’équivalent de 600 000 bombes de classe Hiroshima par jour ! »). Cela va également à l’encontre des données quantifiables provenant de multiples sources et études montrant que les décès liés au climat sont en chute libre depuis plus d’un siècle.
Via WSJ : Nous sommes plus à l’abri des catastrophes climatiques que jamais
Il est également établi que chaque année, plus d’humains meurent du froid extrême que des effets de la chaleur ou du réchauffement, dans un rapport de 2 pour 1.
Le projet de loi C-372 affirme en outre, sans preuve (est-ce que je fais bien cela ?), que
« La production et la consommation de combustibles fossiles ont entraîné une crise de santé publique nationale très préoccupante et urgente, d’une manière similaire à la crise de santé publique provoquée par la consommation de tabac ; »
Selon les propres mesures de Statistique Canada, le tabac tue encore 48 000 Canadiens chaque année. Ce projet de loi prétend que chaque jour, l'équivalent de 131 Canadiens meurent à cause du changement climatique induit par les combustibles fossiles. Si c’est vrai, pourquoi ne pas réduire de moitié le problème total des décès liés au climat et au tabac en interdisant purement et simplement le tabac ?
RépondreSupprimerIl n'y a qu'un seul problème : la liberté d'expression
« Le Parlement estime que la publicité sur les combustibles fossiles utilise actuellement des techniques qui induisent sciemment le public en erreur et ne divulguent pas les dommages sanitaires et environnementaux associés à leur utilisation, empêchant ainsi une prise de décision éclairée par les consommateurs et sapant le soutien du public à une action climatique efficace. »
Par « empêcher les Canadiens de prendre des décisions éclairées » il entend probablement toute critique des taxes sur le carbone inexorablement plus élevées (qui sont appliquées injustement selon les caprices du favoritisme politique) ou attirer l'attention sur des non-solutions ridicules et symboliques comme l'énergie éolienne. des turbines, ou obliger les Canadiens à payer pour des pompes à chaleur coûteuses dans des climats inférieurs à zéro.
(Rappel : nous sommes au Canada)
De plus, les entreprises et les scientifiques employés contre rémunération par l'industrie énergétique canadienne, qui est responsable de 7,5 % du PIB total du Canada (dont 75 % en Alberta), ne sont pas autorisés à défendre leur industrie ou leurs moyens de subsistance contre les assauts de la science indésirable. et le fanatisme idéologique, ou pour le contrer avec des contrefactuels mesurés, rationnels et fondés sur la science.
Alors que le projet de loi C-372 affirme que « la protection de l'environnement constitue un usage valable du pouvoir fédéral en matière de droit criminel ». Il serait exagéré d’appliquer les dispositions de la Loi sur la protection de l’environnement aux activités normales du secteur énergétique, sans parler de la liberté d’expression. Il n’y en a aucune mention dans la Constitution canadienne, ni dans la Charte canadienne des droits et libertés.
L’article 2(a) de ce dernier déclare comme un droit fondamental de tous les Canadiens « la liberté de conscience et de religion » (même si personne ne semblait avoir ce droit lorsqu’il était temps de refuser les vaccins Covid).
Et bien sûr, 2(b) « la liberté de pensée, de croyance, d’opinion et d’expression, y compris la liberté de la presse et des autres médias de communication »
Qu'on le veuille ou non, la communication implique de se promouvoir, de se défendre et d'adopter une position ferme et défendable selon laquelle nous avons le devoir moral de fournir une énergie abondante à la société grâce à une utilisation pratique et judicieuse de combustibles fossiles plus propres.
RépondreSupprimerCela dit, le gouvernement canadien (dont le NPD est le partenaire junior dans une coalition libérale-socialiste au pouvoir) n’a aucun scrupule à entraver les droits constitutionnels des Canadiens.
Un juge fédéral a récemment statué que l’invocation par le gouvernement Trudeau de la Loi sur les situations d’urgence, qui a entraîné la saisie des comptes bancaires des Canadiens et la répression violente de la manifestation #FreedomConvoy, était à la fois illégale et inconstitutionnelle (le gouvernement fédéral a l’intention de faire appel de la décision).
En réalité, le projet de loi C-372 a à peu près autant de chances d’être adopté qu’un projet de loi de Liz Warren, mais le NPD soutient le Parti libéral de Justin Trudeau dans une mince coalition minoritaire au pouvoir – ils pourraient, en théorie, le faire adopter.
Après cela, il serait illégal pour moi d'observer que les habitants de Timmins, en Ontario, la circonscription de Charlie Angus, ne survivraient pas à un seul hiver sans combustibles fossiles (et comme je détiens des actions de l'Impériale et de Canadian Natural Resources, cela pourrait être interprété comme « bénéficier des bénéfices de l’extermination climatique », ou quelque chose du genre).
Le fait que ce projet de loi ait même été inscrit au registre parlementaire témoigne du déphasage de la coalition libérale-socialiste au pouvoir.
Je vous laisse avec cet extrait du ministre fédéral de l’Environnement, Steven Guilbeault, criant « le changement climatique est réel », comme un véritable cinglé à la Chambre des communes du Canada…
Les Canadiens détestent la taxe carbone, et comme je l’ai documenté mois après mois dans la section « Get Woke, Go Broke » de The Bitcoin Capitalist, le public en a fini avec le discours ESG et l’hystérie climatique. C'est fini.
Plus les politiciens s’en rendront compte tard, mieux ce sera – car c’est le seul domaine dans lequel je suis un accélérationniste sans vergogne. Continue comme ça Charlie ! Allez Guilbeault!
* * *
Comme annoncé précédemment, nous fermons The Bitcoin Capitalist aux nouveaux membres une fois que le Bitcoin sera réduit de moitié, vous pouvez vous faufiler sous le fil ici. Vous pouvez également vous inscrire gratuitement à la liste de diffusion Bombthrower, ici – et recevoir mon rapport de survie CBDC lorsqu'il sera publié.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/political/canadian-mp-wants-criminalize-speech-endorses-fossil-fuels
(...) le changement climatique provoque l’équivalent de 600 000 bombes de classe Hiroshima par jour ! »). (...)
SupprimerHAHAHAHAHA ! Aâââaaah LE CON !
"You’re Not in Kansas Anymore" !! HAHAHA !
Électrique vs essence : quelle recharge automobile est la moins chère ?
RépondreSupprimerUne récente étude met en lumière l’écart de coût significatif entre la recharge des véhicules électriques et le plein d’essence, soulignant l’avantage économique de l’électromobilité malgré la hausse des prix de l’électricité.
Par Rédaction
le 10 février 2024 à 13h00
L'électromobilité, un choix économique malgré la hausse de l'électricité
Dans le contexte actuel de transition énergétique, la question de la rentabilité entre les véhicules électriques et thermiques est plus pertinente que jamais. Une étude récente du fabricant de bornes Qovoltis, relayée par Tom’s Guide, apporte une lumière nouvelle sur cette interrogation. Selon cette analyse, malgré une augmentation moyenne de 9 % des tarifs de l'électricité en février, recharger un véhicule électrique à domicile coûterait trois fois moins cher que de faire le plein d'essence pour un véhicule à moteur thermique.
L'étude se base sur le cas d'un SUV compact, tel que le Mercedes EQB ou le Volvo XC40, avec une consommation de 18 kWh aux 100 km. Les résultats mettent en avant une variation significative du coût de recharge, allant de 2,50 à 10,60 euros pour 100 km, en fonction du lieu et du moment choisis pour la recharge.
Bien choisir son moment et son lieu de recharge électrique
Le coût de la recharge d’un véhicule électrique varie grandement selon le lieu et l'heure de la recharge. La solution la plus économique est de recharger son véhicule à domicile pendant les heures « super creuses », une option disponible seulement sur certains contrats d'électricité spécifiques et pendant une plage horaire limitée durant la nuit. Durant ces heures, le coût atteint 3,70 euros pour 100 km en heures creuses, contre 5,30 euros sans tenir compte de l'horaire. À l'opposé, une recharge rapide sur autoroute peut coûter jusqu'à 10,60 euros pour 100 km. Pourtant, même à ce tarif, rouler en électrique reste moins onéreux que l'utilisation d'un véhicule thermique, qui coûte environ 13,80 euros pour 100 km, en se basant sur une consommation moyenne de 7,5 litres au 100 et un prix de l'essence à 1,85 euro le litre.
L'impact de la hausse des prix de l'électricité
RépondreSupprimerLa récente augmentation du prix de l'électricité a inévitablement eu un impact sur le coût de la recharge à domicile, avec une hausse de 75 centimes pour 100 km en heure creuse depuis février 2023. Cependant, une borne de recharge domestique permet généralement de récupérer au moins 80 % de l'énergie nécessaire pendant ces périodes à tarif réduit. Malgré cela, une enquête de BVA pour Enedis révèle que seulement 26 % des propriétaires de véhicules électriques utilisent le pilotage de la recharge pour optimiser leurs coûts.
Selon Ehsan Emami, fondateur de Qovoltis, les économies réalisées sur la durée de vie d'un véhicule électrique, estimées à dix ans, sont considérables. En incluant le coût d'achat d'une borne à domicile et les frais de recharge, un automobiliste pourrait économiser jusqu'à 13.000 euros. Cette donnée souligne non seulement l'avantage économique de l'électrique sur le long terme mais aussi l'importance de l'adoption de pratiques de recharge optimisées pour maximiser les économies.
https://www.economiematin.fr/electrique-essence-voiture-cout
D'une part (HAHAHA !) il faut 3 ou 4 heures pour faire le plein (HAHAHAHA !) et d'autre part, siiii vous envisagez de brancher votre voiture chez vous... ELLE PRENDRA FEU CHEZ VOUS !! YOUPIIIIE !
Supprimer(comptez 15 à 20 camions de pompiers pour éteindre l'incendie de la putain de voiture électrique ° la maison et le voisinage... HAHAHAHA !
Automobile : la ZFE de Strasbourg, conservée ou supprimée ?
RépondreSupprimerDans l’Eurométropole de Strasbourg, la question de la Zone à Faibles Émissions (ZFE) a récemment semé la confusion parmi les automobilistes et les responsables politiques. La présidente de la métropole, Pia Imbs, a clarifié la situation en indiquant que la ZFE restera bien en vigueur.
Par Axelle Ker
le 9 février 2024 à 16h26
des Français sont contre les ZFE selon la grande consultation du Sénat (mai 2023).
Suppression de la ZFE de Strasbourg : un imbroglio médiatique et politique
L'histoire débute avec une annonce dans les Dernières Nouvelles d'Alsace (DNA), qui mettait en avant une baisse significative de la pollution de l'air, notamment du dioxyde d'azote (NO2), sous le seuil réglementaire à Strasbourg. Cette nouvelle, interprétée à tort comme le prélude à une suspension de la ZFE, a généré un flot de réactions en chaîne. « Pour la première fois en 2023, la concentration de dioxyde d'azote (NO2) mesurée dans l’Eurométropole de Strasbourg est passée sous la limite réglementaire », soulignaient les DNA, alimentant ainsi l'espoir d'une levée des restrictions pour les automobilistes strasbourgeois.
Cependant, la réalité s'est avérée plus nuancée. La présidente de l'Eurométropole, Pia Imbs, a dû clarifier la situation jeudi 8 février 2024 à l'occasion d'une conférence de presse. Cette dernière a ainsi confirmé le maintien de la ZFE, et de son mode d'application qui resterait « pédagogique », en raison de l'absence des outils de contrôle automatique promis par l'État.
Les règles en vigueur et les sanctions associées
Au cœur de la ZFE, les restrictions de circulation se basent sur les vignettes Crit'Air, des indicateurs de la pollution émise par les véhicules. Depuis le 1ᵉʳ janvier 2024, les véhicules arborant une vignette Crit'Air 4 (et ceux sans vignette, implicitement plus polluants) sont interdits de circulation au sein de l'Eurométropole de Strasbourg et elle s'étendra aux véhicules Crit'Air 3 à partir du 1ᵉʳ janvier 2025.
Les automobilistes contrevenant à ces règles s'exposent à des amendes de 3e classe, soit 68 euros pour les véhicules légers et 135 euros pour les poids lourds. Les forces de l'ordre procèdent à des contrôles aléatoires pour vérifier si la vignette Crit'Air du véhicule est en adéquation avec les restrictions en vigueur dans la ZFE. Pas de changement en vue donc pour les automobilistes de Strasbourg. Ce serait même tout l'inverse : les seuils réglementaires européens pour le dioxyde d'azote pourraient bientôt devenir plus stricts puisque l'Union européenne envisage de revoir à la baisse ses normes.
https://www.economiematin.fr/automobile-zfe-eurometropole-strasbourg?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook
Début des guerres de propagande : l’immigration illégale augmentera le PIB américain de 7 000 milliards de dollars
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 10 FÉVRIER 2024 - 02h00
Il y a un mois, nous avons posé une question simple : à l'heure où l'administration Biden s'attribue à bout de souffle le mérite d'un marché du travail "fort", entre guillemets, comment n'est-ce pas le plus grand sujet de discussion politique en ce moment que depuis octobre 2019, les personnes nées dans le pays Les travailleurs américains ont perdu 1,4 million d'emplois ; tandis qu'au cours de la même période, les travailleurs nés à l'étranger ont créé 3 millions d'emplois.
- voir graph sur site -
Quelques semaines plus tard, lorsque le rapport grotesque et ridicule sur l’emploi de janvier a été publié, nous avons réexécuté l’analyse pour trouver quelque chose d’encore plus choquant. Non seulement tous les gains d'emploi au cours de l'année écoulée ont été entièrement dus aux travailleurs à temps partiel, mais les travailleurs nés dans le pays ont encore chuté de 560 000, portant la baisse totale sur deux mois à un peu moins de 2 millions. Cela signifie que non seulement toutes les créations d'emplois au cours des 4 dernières années ont été exclusivement destinées aux travailleurs nés à l'étranger, mais qu'il n'y a eu aucune création d'emplois pour les travailleurs américains nés dans le pays depuis juillet 2018 (vous ne nous croyez pas ? allez-y et vérifiez). les données directement de la Fed).
- voir graph sur site -
Source : Fed de St Louis FRED Nés dans le pays et nés à l'étranger
Eh bien, petit à petit, nos observations sont devenues virales, et bientôt le fait que l'immigration était la seule source de croissance aux États-Unis a été repris par tout le monde, par des personnes sans importance comme de faux (ou est-ce un fax) économistes comme Paul Krugman, tous le chemin vers la personne la plus importante du monde (avec tout le respect que je dois à Dementia Joe), le président de la Fed, Jerome Powell, et même le Congressional Budget Office. Et cela nécessitait une réponse de propagande immédiate.
Alors, à quoi ressemble le retour de flamme de la propagande contre ce « plus grand sujet de discussion politique » ?
Eh bien, commençons par Goebbels, l'animal de compagnie du New York Times, Paul Krugman, qui se trouve être l'économiste le plus surfait du monde et qui, en 1998, a déclaré que « d'ici 2005 environ, il deviendra clair que l'impact d'Internet sur l'économie n'a pas été considérable ». plus grand que celui du fax", concède que "toute l'augmentation de l'emploi depuis la veille de la pandémie de Covid-19 a impliqué des travailleurs nés à l'étranger" (mais parce que les faits sont "politiques", il se moque du fait que "Trump et ceux qui l'entourent clairement croient que les immigrés enlèvent les emplois aux Américains nés dans le pays"), puis il perd toute trace de crédibilité que les libéraux peuvent encore avoir en lui - puisque quiconque sait cliquer sur un hyperlien comme celui-ci peut le comprendre d'eux-mêmes - lorsqu'il affirme que les immigrés "n'ont pas pris les emplois des personnes nées dans le pays, qui sont plus susceptibles d'être employées dans leurs années de travail les plus actives qu'avant la pandémie". Génial, le seul problème, c'est si l'on examine également la qualité des emplois plutôt que simplement la quantité, et constate que tous les emplois de l'année écoulée ont été des emplois à temps partiel.
RépondreSupprimer- voir graph sur site -
Est-ce là la qualité des emplois auxquels Krugman estime que les Américains nés dans le pays ont droit ? Ne répondez pas à cela : c’est de la rhétorique. Comme nous l’avons montré à plusieurs reprises, les Américains non immigrants n’ont trouvé aucun emploi depuis 6 ans, donc tout l’argument de Krugman n’est qu’un gigantesque homme de paille.
Quant au taux d’emploi des Amérindiens d’âge très actif, tout ce que Krugman confirme, c’est que la population d’Américains nés dans le pays diminue aussi vite que leur emploi, ce qui maintient le numérateur et le dénominateur plus ou moins inchangés. Dans le même temps, non seulement tous les nouveaux emplois vont aux immigrants (qu'ils soient légaux ou illégaux), mais toute la croissance de la population américaine est également due aux immigrants (qu'ils soient légaux ou illégaux), ce qui, la dernière fois que nous avons vérifié, est précisément ce que dit la théorie du remplacement. c'est tout.
Peut-être que pour son prochain exercice de propagande, l'économiste préféré des démocrates pourra répondre à cette question : pourquoi tant d'Américains nés dans le pays sont-ils si terrifiés à l'idée de fonder une famille et d'élever des enfants dans ce nirvana bidénomique où tout est si merveilleux, et pourquoi toute croissance est-elle en à la fois la main-d'œuvre et la population, laissées aux immigrants (qu'ils soient légaux ou illégaux).
Bien sûr, il ne le fera pas, car cela nécessite de comprendre la véritable nature du problème, ce qui irait à l'encontre de son idéologie ; et au lieu de cela, il sautera directement à la conclusion de propagande que l’on pourrait attendre d’un menteur professionnel, à savoir que « les immigrants sont vraiment bons pour l’économie américaine – et les nativistes vraiment mauvais ».
RépondreSupprimer* * *
Bien sûr, si c’était seulement Krugman qui faisait toute la propagande judiciaire, nous ne nous soucierions même pas de cette réponse, mais nous avons été plutôt étonnés d’entendre nul autre que le président de la Fed aborder le sujet de l’immigration dans son interview de 60 minutes. Heureusement, contrairement à l’écomédiste du New York Times, le point de vue de Powell était bien plus précis, quoique bien plus sinistre. Pour ceux qui l’ont manqué, voici ce que Powell a dit lorsque l’animateur Scott Pelley lui a demandé pourquoi le retour de l’immigration aux États-Unis après la pandémie (lorsque Trump a verrouillé toutes les frontières) était si important :
PELLEY : Pourquoi l’immigration était-elle importante ?
POWELL : Parce que, vous savez, les immigrants arrivent et ils ont tendance à travailler à un rythme égal ou supérieur à celui des non-immigrants. Les immigrants qui viennent dans le pays ont tendance à être présents sur le marché du travail à un niveau légèrement plus élevé que les Amérindiens. Mais c'est en grande partie à cause de la différence d'âge. Ils ont tendance à être plus jeunes.
PELLEY : Pourquoi l’immigration est-elle si importante pour l’économie ?
POWELL : Eh bien, tout d’abord, la politique d’immigration n’est pas le travail de la Fed. La politique d'immigration des États-Unis est vraiment importante et fait l'objet de nombreuses discussions en ce moment, et cela ne nous regarde pas. Nous ne définissons pas la politique d'immigration. Nous ne le commentons pas.
Je dirai cependant qu’au fil du temps, l’économie américaine a bénéficié de l’immigration. Et, franchement, au cours de la dernière année, une grande partie du retour à un meilleur équilibre du marché du travail est due au retour de l’immigration à des niveaux plus typiques de l’ère pré-pandémique.
PELLEY : Le pays avait besoin de travailleurs.
POWELL : C’est vrai. Et c’est donc ce qui se passe.
Deux points ici : premièrement, qu'il le veuille ou non, Powell vient d'insulter quelques centaines de millions d'Américains nés dans le pays qui ne travailleraient pas à un « taux supérieur à celui des non-immigrés », c'est-à-dire qu'ils sont de simples vieux paresseux. , et puis il y a une insinuation bien plus inquiétante : lorsque Powell dit qu'« une grande partie du retour à un meilleur équilibre du marché du travail est due au retour de l'immigration à des niveaux plus typiques de l'ère pré-pandémique », ce qu'il Ce que cela signifie en réalité, c'est que la raison pour laquelle l'inflation a chuté si rapidement depuis son pic de juin 2022 (à 9,1 % en glissement annuel) sans augmentation correspondante du taux de chômage, c'est parce que les immigrants (qu'ils soient légaux ou illégaux) remplaçaient les emplois de ces travailleurs amérindiens. qui quittaient le marché du travail ! En d’autres termes, vous devez remercier la théorie du remplacement pour la baisse de l’inflation (c’est-à-dire des salaires) qui n’aurait pas été possible sans la poussée de l’immigration, ce qui explique pourquoi les travailleurs amérindiens n’ont vu aucun gain d’emploi en 6 années!
RépondreSupprimerCe qui explique également pourquoi les salaires des travailleurs du secteur privé ont effectivement chuté au cours des deux dernières années, alors même que la croissance des salaires dans le gouvernement a atteint un niveau record. C'est vrai, la théorie du remplacement pour toi... mais pas pour l'État profond, qui profite de tous les avantages de la baisse des salaires (grâce à Paco qui tond à nouveau votre pelouse) et pousse les salaires des fonctionnaires (c'est-à-dire l'État profond) à un niveau plus élevé. un record absolu !
- voir graph sur site -
Mais alors que la tentative de Powell de transformer l'immigration (presque entièrement illégale puisque c'est de là que venait la majeure partie des travailleurs au cours des deux dernières années) était au moins fondée sur la vérité - et c'est pourquoi la conclusion inquiétante sur la raison pour laquelle tout cela se produit a émergé - le troisième et dernier choc de propagande est venu de nul autre que le Congressional Budget Office "bipartisan", qui a publié cette semaine son dernier "Budget and Economic Outlook: 2024 to 2034", et qui, sans surprise pour une année électorale, s'est montré résolument plus optimiste que l'édition de l'année dernière, en grande partie à cause d'une poignée d'hypothèses ridicules sur le futur budget et déficit américain, dont nous discuterons dans un article ultérieur - certains des "points forts" sont i) pas de récession pendant une décennie, ii) les taux de chômage culmine à un peu plus de 4 %, iii) l'inflation culmine à 2 %, iv) les dépenses discrétionnaires diminuent considérablement, en grande partie à cause d'une forte baisse des dépenses de Medicaid - et pourtant, même avec toutes ces hypothèses ridicules triées sur le volet, le rapport dette/PIB américain continue à atteindre un niveau catastrophique, hyperinflationniste de 172% d’ici 2054.
Quoi qu’il en soit, comme c’est une année électorale, le CBO – dont les prévisions ont été complètement fausses et trop optimistes chaque année au cours de ce siècle – a été chargé de proposer des arguments optimistes à l’administration Biden, comme le nombre de milliards de dollars de croissance du PIB nominal. l’économie américaine progressera si elle maintient le cap actuel au cours de la prochaine décennie, et elle a fait ce qui lui avait été ordonné. En fait, cela a si bien fonctionné que la chroniqueuse économique préférée du WaPo et maître d'information, Catherine Rampell, a fait l'éloge avec effusion des prévisions du CBO sur X (anciennement Twitter). Certes, même elle n'a pas pu masquer le fait que les États-Unis sont sur une trajectoire budgétaire insoutenable, soulignant que « grâce en grande partie à ces taux d'intérêt plus élevés que prévu, le CBO a augmenté son estimation des dépenses nettes d'intérêt au cours de la période ». la prochaine décennie de 1,2 billion de dollars (soit 11 %) » (alerte spoiler : les dépenses dues à la montée en flèche des intérêts seront de plusieurs ordres de grandeur supérieures).
RépondreSupprimerMais ce qui compte pour cette analyse, c’est la ligne de conduite du CBO et l’objectif qu’il visait pour atteindre l’augmentation économique mandatée. Pouvez-vous deviner d’où vient l’essentiel de la croissance économique ?
Eh bien, c'est vrai : l'immigration !
Voici à quoi ressemblent les prévisions du CBO en matière de main-d'œuvre aujourd'hui par rapport à il y a un an. Pourquoi cette poussée ? Eh bien, comme l'explique le CBO, la croissance démographique plus élevée jusqu'en 2026 est « principalement due à une immigration accrue », qui « a plus que compensé une baisse de la participation au marché du travail due au ralentissement de la demande de travailleurs et à l'augmentation de l'âge moyen de la population » - traduction : plus travailleurs immigrés, moins de travailleurs amérindiens. Et ce n'est pas tout : selon le CBO, « une grande partie des immigrants récents et projetés devraient être âgés de 25 à 54 ans – des adultes dans leurs années les plus actives ».
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Et voici à nouveau votre théorie du remplacement, mais cette fois avec une belle tournure, qui, comme le chroniqueur du WaPo, a été présentée par nul autre que le directeur du CBO, Phill Swagel, qui écrit qu'« à la suite de ces changements dans la main-d'œuvre, nous estimons que De 2023 à 2034, le PIB sera supérieur d’environ 7 000 milliards de dollars et les revenus seront supérieurs d’environ 1 000 milliards de dollars à ce qu’ils auraient été autrement. »
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Et voilà. Il y a un mois, nous nous demandions pourquoi l'augmentation du nombre de travailleurs immigrés n'était « pas le principal sujet de discussion politique à l'heure actuelle ».
RépondreSupprimerEh bien, quelques semaines plus tard, c'est exactement ce qui apparaît, et la réponse de la propagande a été stupéfiante, avec des personnalités de l'establishment telles que Krugman, qui accuse quiconque croit que l'immigration est mauvaise d'appartenir au lumpenprolétariat, qui, ironiquement, est un marxiste. terme...
"Non, l'IA et l'automatisation, malgré tous les changements qu'elles peuvent apporter, ne supprimeront pas d'emplois, et les immigrants non plus. Ne rejoignez pas le lumpencommentariat" - source
... Powell, qui accuse les travailleurs nés dans le pays d'être paresseux et affirme que l'immigration contribue à vaincre l'inflation déclenchée par sa politique...
"... une grande partie du retour à un meilleur équilibre du marché du travail est due au retour de l'immigration à des niveaux plus typiques de l'ère pré-pandémique." - source
... et enfin le CBO...
"En 2033, la population active sera plus nombreuse de 5,2 millions de personnes, principalement en raison d'une immigration nette plus élevée. En raison de ces changements dans la population active, nous estimons que de 2023 à 2034, le PIB augmentera d'environ 7 000 milliards de dollars et les revenus diminueront. supérieurs d'environ 1 000 milliards de dollars à ce qu'ils auraient été autrement. » - source
... tous se sont prononcés en faveur de l'immigration (principalement de type illégal, écrasant l'inflation parce qu'il fait exploser les salaires).
Certes, de nombreuses voix rationnelles - même celles des économistes conventionnels - se sont élevées pour contester ces hypothèses et conclusions ridicules, mais aucune d'entre elles ne sera entendue car, comme cela devrait être désormais tout à fait clair, l'immigration sera le facteur décisif du Lors des élections de novembre, et si la machine de propagande de Biden peut faire d’une pierre deux coups, à savoir que l’immigration (illégale) est en réalité bénéfique pour les États-Unis et qu’elle finira par stimuler l’économie de plusieurs milliers de milliards, tant mieux.
Et donc, avec les élections il y a encore neuf mois, on peut s'attendre à ce que le thème de l'immigration illégale soit la plus grande chose imaginable pour les États-Unis, domine les ondes des grands médias libéraux qui sont aussi le canal de propagande le plus bruyant dont dispose l'establishment, dont Le destin dépend désormais de la nécessité de convaincre des centaines de millions d’Américains que les dizaines de milliers de clandestins qui entrent chaque jour dans le pays grâce à la politique d’ouverture des frontières de Biden sont en réalité la meilleure chose qui puisse leur arriver.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/economics/biden-unleashes-propaganda-machine-illegal-immigration-will-boost-us-gdp-7-trillion
VIVE L'ESCLAVAAAAAGE !
SupprimerUn étranger se nourrit de peu et donc est payé suivant sin QI.
Ainsi, la marge de profit s'agrandit ! D'où le 'plein les poches' des importateurs-esclavagistes.
Approvisionner en terres rares les secteurs européens des hautes technologies
RépondreSupprimerUn groupe de matières premières indispensables pourrait aider l’Europe à réduire les vulnérabilités de la chaîne d’approvisionnement.
Par Horizon
le 10 février 2024 à 8h00
L'industrie représente 12,4% du PIB en France
Le docteur Arne Petter Ratvik soutient la production de produits haute technologie en Europe à partir d’une source à basse technologie: les engrais.
Expert en métaux chez SINTEF, un organisme de recherche norvégien indépendant, M. Ratvik soutient que certaines matières premières dont ont besoin les secteurs européens de l’automobile, de l’informatique, de l’électronique, de l’énergie, etc. peuvent être extraites des engrais ordinaires.
Attraction magnétique
Prenons l’exemple des aimants industriels. Ils sont fabriqués à partir de matières premières appelées «terres rares» et qui constituent la croûte terrestre. Ils sont essentiels à la fabrication d’une multitude d’équipements, des smartphones et tablettes jusqu’aux réfrigérateurs et micro-ondes.
«Les terres rares issues des engrais pourraient produire de très bons aimants», a déclaré M. Ratvik, chercheur principal au SINTEF.
Il a dirigé un projet de recherche financé par l’UE qui avait pour but de fournir une plus grande quantité de terres rares à l’Europe en les extrayant pendant la fabrication des engrais. Intitulé SecREEts, le projet a duré quatre ans et demi et s’est achevé en novembre 2022.
Garantir l’accès de l’Europe aux matières premières est devenu une priorité politique de l’UE alors que les difficultés géostratégiques mettent en évidence des vulnérabilités au niveau des chaînes d’approvisionnement européennes.
Certains pays situés hors UE, comme la Chine, la République démocratique du Congo et l’Afrique du Sud, contrôlent certaines matières premières stratégiques.
Par exemple, d’après la Commission européenne, la Chine raffine toutes les terres rares utilisées dans les aimants permanents du monde entier.
RépondreSupprimerEn mars 2023, la Commission a proposé de fixer des objectifs européens d’au moins 10 % pour l’extraction, 40 % pour la transformation et 15 % pour le recyclage en Europe des matières premières stratégiques, parmi lesquelles figurent les terres rares.
Fabriquer des terres rares
Les terres rares sont constituées de 17 éléments métalliques dont les propriétés particulières sont à l’origine de progrès technologiques dans différents secteurs.
SecREEts s’est concentré sur trois terres rares essentielles à la transition énergétique verte de l’UE: le dysprosium, le néodyme et le praséodyme, entrant tous dans la fabrication des aimants permanents qui équipent les véhicules électriques et les éoliennes.
Selon la production européenne d’engrais, la technique d’extraction mise au point par l’équipe du projet pourrait couvrir entre 5 et 10 % de la demande européenne en dysprosium, en néodyme et en praséodyme, selon M. Ratvik.
«Nous avons mis au point un procédé d’extraction au sein-même du procédé de production d’engrais afin d’isoler les terres rares», a-t-il déclaré.
M. Ratvik a déclaré que, par exemple, les roches phosphatées utilisées pour fabriquer les engrais contiennent entre 0,3 % et 1 % de terres rares. Actuellement, ces éléments restent simplement présents dans le produit final sans présenter aucune utilité.
L’engrais phosphaté est produit en dissolvant des roches phosphatées dans de l’acide. Au cours des étapes suivantes, les éléments indésirables sont transformés en solides et filtrés, un processus chimique appelé «précipitation».
Pour mettre au point sa technique, l’équipe SecREEts a inclus une étape de précipitation supplémentaire permettant d’éliminer les terres rares du flux de production d’engrais.
Dans le cadre du projet, les terres rares ont subi une transformation supplémentaire et été envoyées à des producteurs d’aimants d’Allemagne et du Royaume-Uni.
RépondreSupprimerD’après M. Ratvik, cette activité a conduit à la création d’aimants puissants et extrêmement performants.
Influences étrangères
Pendant qu’il réfléchit aux moyens de déployer la méthode d’extraction du projet SecREEts à l’échelle industrielle ainsi qu’aux obstacles induits par la guerre en Ukraine (la Russie et l’Ukraine étant tous deux d’importants fournisseurs de phosphate naturel, utilisé pour la production d’engrais), un autre chercheur européen étudie comment deux pays asiatiques partenaires de l’UE appréhendent les problèmes de chaîne d’approvisionnement.
Le docteur Jewellord Nem Singh, expert en minéraux essentiels et en politique industrielle aux Pays-Bas, s’est rendu au Japon et en Corée du Sud pour aborder la question avec des représentants du gouvernement et de l’industrie.
Basé à l’Institut international d’études sociales de La Haye, M. Nem Singh dirige un projet de recherche financé par l’UE sur les répercussions géopolitiques des terres rares. Intitulé GRIP-ARM, le projet s’étend sur cinq ans et prendra fin en janvier 2026.
L’initiative se concentre sur la Chine, le Brésil et le Kazakhstan en tant que pays producteurs de minéraux, ainsi que sur l’UE, le Japon et la Corée en tant que consommateurs de terres rares.
Les chercheurs du projet GRIP-ARM étudient comment l’UE pourrait pérenniser son approvisionnement en terres rares tout en réduisant les coûts socio-environnementaux associés à leur extraction.
«Nous essayons notamment de comprendre les conditions qui ont conduit les gouvernements et les entreprises à prendre des décisions spécifiques concernant la façon de s’approvisionner en minéraux stratégiques», a déclaré M. Nem Singh.
Puissance de transformation
Il a déclaré que l’avantage économique de la Chine dans le domaine des terres rares ne vient pas seulement du fait qu’elle contrôle environ 60 % des réserves mondiales connues, mais aussi de l’extraction et de la transformation.
La question fondamentale à laquelle l’UE est confrontée (et à laquelle M. Nem Singh espère contribuer à répondre par le biais du projet GRIP-ARM) est la possibilité pour l’Europe de se passer de la Chine à des étapes clés de la chaîne d’approvisionnement liée aux technologies fondamentales.
RépondreSupprimer«Il convient de déterminer s’il est possible de produire ces segments de la chaîne d’approvisionnement en Europe», a-t-il déclaré.
Les recherches présentées dans le cadre de cet article ont été financées par l’UE, notamment par le biais du Conseil européen de la recherche (CER) dans le cas du projet GRIP-ARM. Les opinions des personnes interrogées ne reflètent pas nécessairement celles de la Commission européenne.
https://www.economiematin.fr/approvisionnement-terres-rares-technologie-horizon?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook
Version française sous-titrée de l’entretien Poutine-Carlson
RépondreSupprimerPar Président Vladimir Poutine et Tucker Carlson
Mondialisation.ca,
09 février 2024
Ci-dessous, la version intégrale (2 heures et 7 minutes) sous-titrée en français de l’entretien entre Tucker Carlson et le président Vladimir Poutine, diffusé hier soir à minuit heure française sur le site et le compte X du journaliste américain.
En milieu de journée, ce vendredi 9 février, cette interview très attendue, avait été visionnée par près de 90 millions de personnes sur le site officiel X du journaliste américain…
Amusant échange à propos du sabotage de Nord Stream, après une heure et dix minutes d’échanges entre les deux hommes :
TC : Qui a saboté Nord Stream ?
VP : Vous.
TC (ironique) : Désolé, mais ce jour-là, j’avais un rendez-vous.
VP : Pas vous personnellement, mais la CIA.
VP : Je ne vais pas m’étendre sur le sujet. Dans la guerre de propagande, les USA sont les meilleurs. Les Etats-Unis contrôlent à peu près tous les grands médias de l’Ouest.
- voir clip sur site -
En milieu de journée ce vendredi 9 février, la vidéo de l’interview de Vladimir Poutine par Tucker Carlson avait déjà été visionnée par près de 90 millions de personnes sur le compte X officiel du journaliste américain.
En savoir un peu plus sur Tucker Carlson :
Né en 1969 à San Francisco, Tucker Swanson McNear Carlson est né d’un père ancien ambassadeur des Etats-Unis et dirigeant de médias. Sa mère Lisa McNear, une artiste, quitte sa famille alors que Tucker Carlson est encore un enfant. Il est par la suite adopté par Patricia Swanson, héritière de la marque agro-alimentaire Swanson, seconde épouse de son père.
Après avoir débuté sa carrière dans l’hebdomadaire conservateur The Weekly Standard, Tucker Carlson est passé par CNN (2000-2005) puis MSNBC (2005-2008), où il anime des émissions d’actualité. Il débarque sur Fox News en 2009. A partir de 2016, il présente quotidiennement Tucker Carlson Tonight, une émission d’une heure qui lui vaut une notoriété internationale. Son influence est très grande dans les cercles conservateurs américains. De manière surprenante, la chaîne Fox News annonce à la fin avril 2023 qu’elle se sépare de son animateur le plus populaire. Mal lui en prend : ses audiences plongent. En juin 2023, Tucker Carlson lance son propre programme sur le réseau social Twitter, format raccourci de son ancienne émission.
D’après ses déclarations, Carlson, fervent défenseur de la liberté d’expression, a travaillé des mois pour obtenir un entretien exclusif avec le président russe Vladimir Poutine.
RépondreSupprimerCertains lui voient déjà un avenir politique de premier ordre : on parle de lui comme d’un possible colistier de Donald Trump ou comme du prochain porte-parole de la Maison-Blanche, si l’ancien président républicain est réélu en novembre 2024.
https://www.mondialisation.ca/entretien-le-president-vladimir-poutine-avec-le-journaliste-tucker-carlson/5686199?doing_wp_cron=1707553131.1870350837707519531250
Les parcs éoliens provoquent-ils le réchauffement climatique et des dommages climatiques ?
RépondreSupprimer10 février 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Il semblerait que la meilleure protection climatique consiste à cesser de brûler des hydrocarbures, de cesser de cultiver et de manger des insectes, de conduire des voitures électriques et de n’utiliser que l’électricité produite par le photovoltaïque et les éoliennes. Cette « transition énergétique » nécessite d’immenses systèmes solaires, parcs éoliens et stockage par batteries. Cependant, nous avons déjà vu que les mesures prises dans le domaine du transport maritime et la construction de systèmes solaires conduisent au réchauffement climatique. Mais quelles sont les conséquences des éoliennes ?
Tout d’abord, nous devons garder à l’esprit qu’en matière de météorologie et de climat, nous avons affaire à des systèmes très complexes et non linéaires. Les changements individuels peuvent donc avoir des conséquences inattendues et de grande envergure. Le soleil, sa distance à la Terre, son activité et son champ magnétique ont la plus grande influence sur le climat. Les nuages et la teneur en eau de l’atmosphère ont la plus grande influence sur Terre. La vapeur d’eau représente déjà 95 % de l’effet des gaz à effet de serre, tout le reste est secondaire. Pour le prix Nobel de physique John Clauser, les nuages sont également des facteurs d'influence décisifs, mais il considère le CO2 comme insignifiant.
Nous avons récemment présenté dans un article l'analyse du détective de l'énergie, selon laquelle les systèmes solaires et les pompes à chaleur conduisent à l'élimination de la vapeur d'eau de l'atmosphère par condensation. Le chauffage par convection de l'environnement se produit pendant la journée et le refroidissement la nuit, ce qui affecte la teneur en eau. Avec les systèmes photovoltaïques, nous intervenons massivement dans les processus climatiques naturels. L’effet asséchant de l’atmosphère provoque simultanément un réchauffement plus important pendant la journée et un refroidissement local la nuit.
Dans cet article, son collègue Sander-Faes a montré comment la chaleur record dans l'Atlantique est causée par les mesures de protection de l'environnement prises sur les cargos : comme Paul Voosen l'a récemment rapporté dans Science (le magazine) le 2 août 2023, c'est la cause du réchauffement océanique. record de chaleur « Réduire la pollution [grâce] aux nuages de traces de navires réduit et contribue au réchauffement climatique. »
RépondreSupprimerL’énergie éolienne dans le Burgenland – protection du climat ou dommage climatique ?
Le détective énergétique se demande encore :
- voir photo sur site -
Image 1 : Cet ancien moulin à vent de Podersdorf a été construit en 1849 pour moudre le grain. Il documente l'utilisation précoce de l'énergie éolienne dans le Burgenland.
Cependant, l'utilisation moderne de l'énergie éolienne n'a commencé qu'en 1997. L'année dernière, le 2 juillet 2023, a été célébré le 25e anniversaire du parc éolien de Zurndorf. En 1998, le premier parc éolien du Burgenland comprenant six éoliennes est entré en service à Zurndorf. Aujourd’hui, ce parc éolien a une puissance maximale de plus de 52 mégawatts. Fin 2023, IG Windkraft prévoyait un total de 469 centrales éoliennes et une puissance totale de 1 427 mégawatts.
La puissance éolienne installée par habitant dans le district de Neusiedl am See est d'environ 20,2 kW par personne. Dans le Burgenland, nous sommes dans une situation où, sur une zone très limitée, la seule énergie éolienne produit davantage d'électricité que l'État lui-même n'en consomme. La production annuelle d'énergie éolienne s'élève à 3 milliards de kWh et représente donc 177 % de la consommation électrique du Burgenland.
Dans le Burgenland, la forte production d'énergie éolienne est concentrée sur une zone relativement petite, composée des districts nord de Neusiedl am See, Eisenstadt-Raum, Mattersburg et Oberpullendorf. Dans le même temps, l’expansion de l’énergie éolienne s’est produite dans un laps de temps relativement court. Cela crée une situation dans laquelle la question de l’énergie éolienne peut être bien examinée.
L'Institut central autrichien de météorologie et de géodynamique publie notamment en permanence des données sur la température de l'air. La station d’Eisenstadt est en effet idéalement située dans la région dans laquelle a eu lieu cette expansion massive de l’énergie éolienne. Les valeurs moyennes de la température de l'air sont disponibles aussi bien pour les années suivant le début de l'expansion que pour une période suffisamment longue avant.
Malheureusement, les conclusions que l’on peut en tirer sont très inquiétantes. Ceci est déjà montré dans notre premier diagramme (Figure 3). Dans cette évaluation, nous trouvons l'évolution de la température moyenne mensuelle de l'air pour toute la série de mesures disponibles à partir de janvier 1961. La séparation des couleurs de l'évolution de la température marque la différence entre le temps avant et après l'utilisation de l'énergie éolienne.
RépondreSupprimer- voir graph sur site -
Figure 3 : Tendance des températures depuis 1961 ; la courbe bleue correspond au temps sans utiliser l'énergie éolienne. La courbe verte montre la progression à partir du moment où l'énergie éolienne est utilisée. Le changement de tendance linéaire est très alarmant !
La courbe bleue commence en 1961 et se termine en décembre 1996. Elle couvre donc la période sans recours à l'énergie éolienne. La courbe verte qui suit couvre la période de janvier 1997 à décembre 2023. L'énergie éolienne s'est massivement développée au niveau régional. Cette courbe se termine en décembre 2023 avec une température de +3,8°C. Cette valeur finale est supérieure de 5,6 Kelvin à la valeur de départ de janvier 1961.
Cependant, ce qui est important ici n'est pas la comparaison des valeurs individuelles, mais plutôt l'évolution des deux sections de courbe. Une tendance linéaire a été calculée séparément pour les deux sections à l'aide d'une feuille de calcul. La ligne pointillée bleu-noir, qui s'étend de gauche à droite, correspond à la tendance linéaire calculée pour la période 1961 à fin 1996.
En résumé, le détective énergétique utilise ces évaluations pour déterminer :
Dans la période de temps disponible avant l’installation des éoliennes, aucune tendance perceptible à une augmentation significative de la température de l’air n’a été observée !
Malheureusement, la situation est complètement différente pour la période pendant laquelle l’énergie éolienne est utilisée, c’est-à-dire pour les années 1997 à 2023. Il y a ici une tendance linéaire qui correspondrait à une augmentation de la température d’environ 7,2 degrés d’ici 100 ans !
Hormis la construction des éoliennes, nous ne connaissons aucune autre cause qui, d'une part, pourrait expliquer cette tendance à la hausse de la température de l'air au cours de la période 1997 à 2023 et, d'autre part, n'était pas présente dans le période antérieure (1970 - 1996 ou 1961 - 1996).
De notre point de vue, il faut donc actuellement supposer que la construction concentrée d'éoliennes dans la région en question est à l'origine de la tendance à la hausse de la température de l'air.
L’utilisation à grande échelle de l’énergie éolienne extrait l’énergie du flux éolien naturel d’équilibrage, c’est-à-dire un processus climatique naturel, et la convertit en énergie électrique. Cela signifie que l’énergie actuellement utilisée techniquement est absente des processus solaires naturels antérieurs des événements climatiques normaux, qui ne sont pas influencés par la technologie humaine. Nous avions déjà signalé ce danger au gouvernement fédéral autrichien en 2018 !
RépondreSupprimerSur la base de nos connaissances actuelles, on ne peut donc pas supposer que de telles éoliennes servent à la protection du climat. Au contraire, cette évaluation semble suggérer que l’utilisation à grande échelle de l’énergie éolienne elle-même déclenche au moins un changement climatique local !
Les analyses que nous créons s’appuient sur des données publiques accessibles à tous. Nous invitons donc tous ceux qui sont intéressés à vérifier par eux-mêmes ces évaluations et conclusions logiques. Nous serions reconnaissants pour toute information complémentaire utile !
https://tkp.at/2024/02/10/verursachen-windparks-erderwaermung-und-klimaschaeden/
Les investissements ESG dans un programme climatique « net zéro » « doivent être arrêtés », déclarent les commissaires républicains à l’agriculture, sinon l’inflation alimentaire et la FAMINE suivront.
RépondreSupprimer09/02/2024
Ethan Huff
Douze commissaires républicains à l'agriculture ont envoyé une lettre à six des plus grandes mégabanques américaines pour leur faire savoir que la tendance relativement nouvelle en matière d'investissement ESG (gouvernance environnementale, sociale et d'entreprise) menace de perturber l'approvisionnement alimentaire du pays tout en augmentant le prix des denrées alimentaires.
Bank of America (BofA), Citigroup, Goldman Sachs, JPMorgan Chase, Morgan Stanley et Wells Fargo sont tous membres d'un programme organisé par les Nations Unies (ONU) appelé Net-Zero Banking Alliance (NZBA) qui « s'engage à financer des projets ambitieux ». action climatique. » L'un des principaux objectifs de la NZBA est de forcer l'économie américaine à produire zéro émission de « gaz à effet de serre » d'ici 2050, ce qui, selon les commissaires républicains à l'agriculture, entraînera de « graves conséquences » pour les agriculteurs du pays.
"Atteindre zéro émission nette de gaz à effet de serre dans l'agriculture nécessite une refonte complète des infrastructures agricoles – l'un des objectifs de la NZBA", indique la lettre.
"Cela aurait un impact catastrophique sur nos agriculteurs. Les feuilles de route proposées pour un objectif zéro net décrivent des changements dramatiques, peu pratiques et coûteux dans les opérations agricoles et d'élevage américaines, tels que le passage aux machines et équipements électriques ; l'installation de panneaux solaires et d'éoliennes sur site ; le passage à les engrais organiques ; la modification des systèmes d'irrigation des rizières ; et la réduction de moitié de la consommation de viande de ruminants aux États-Unis, ce qui coûte des millions d'emplois dans le secteur de l'élevage. »
(Vérification des faits : la plupart des projets de « compensation » carbone sont une arnaque, tout comme l’ensemble de l’industrie du changement climatique.)
ESG, zéro émission nette et génocide de masse
RépondreSupprimerD’ici 2050, la demande alimentaire mondiale devrait augmenter considérablement. Associé au projet de zéro émission nette de la NSBA visant à interdire essentiellement les émissions, le résultat final sera des pénuries alimentaires et une famine généralisées, suivies rapidement par une famine massive et des décès.
"...ces changements augmenteront les coûts alimentaires et diminueront la production alimentaire à un moment où la demande alimentaire mondiale devrait augmenter de façon spectaculaire", ajoute la lettre.
"Cela est aggravé par le fait que l'Américain moyen a eu du mal à suivre le rythme de l'inflation pendant le mandat de l'administration Biden. La réalité pourrait être bien pire. Ces effets frapperont le plus durement les pauvres."
Si le projet de zéro émission nette l’emportait sur la raison et la science solide, le secteur agricole américain pourrait subir des dommages permanents, ce qui menacerait à son tour la sécurité alimentaire du pays.
"Les agriculteurs américains ne devraient pas être obligés de mettre en danger notre approvisionnement alimentaire", déclare la lettre.
Les commissaires à l'agriculture qui ont signé la lettre comprennent ceux de l'Alabama, de la Floride, de la Géorgie, du Kentucky, de l'Iowa, de la Louisiane, du Mississippi, de la Caroline du Nord, du Dakota du Nord, de la Caroline du Sud, du Texas et de la Virginie occidentale.
Dans un communiqué, Will Hild, directeur exécutif du groupe de surveillance Consumers' Research, a noté que les agriculteurs et les éleveurs soutiennent l'économie américaine, et pourtant ils sont la cible des « cartels climatiques internationaux comme la NZBA ».
"Les responsables et les commissaires agricoles ont mis le doigt sur la tête dans leur lettre : si leur extrémisme climatique malavisé se poursuit sans relâche, ces méga-banques mettront gravement en danger l'ensemble de notre approvisionnement alimentaire", a ajouté Hild.
"J'applaudis les États pour leur action et j'ai hâte de travailler avec eux pour défendre les consommateurs américains contre ces malversations des entreprises."
RépondreSupprimerSoit dit en passant, toute implication dans le zéro net constitue un crime contre l'humanité car, comme nous continuons de le signaler, le fanatisme climatique est essentiellement une dépopulation massive et un génocide des « mangeurs inutiles », comme les élitistes appellent souvent les pauvres du monde.
Les dernières nouvelles sur l’arnaque au changement climatique sont disponibles sur GreenTyranny.news.
Les sources de cet article incluent :
ZeroHedge.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2024-02-09-esg-investing-net-zero-food-inflation-famine.html
L'immigration massive en Allemagne coûtera aux contribuables jusqu'à 19 200 milliards d'euros, prévient un éminent expert universitaire
RépondreSupprimer09/02/2024
Rédacteurs de l'actualité
L’immigration massive pourrait coûter à l’Allemagne jusqu’à 19 200 milliards d’euros, et a déjà coûté au pays 5 800 milliards d’euros, selon un éminent universitaire allemand en finances publiques, le professeur Bernd Raffelhüschen, de l’Université Albert Ludwig de Fribourg.
(Article de John Cody republié sur RMX.news)
Souvent qualifiée de « pape des retraites », l’étude du professeur Raffelhüschen fait irruption dans le discours promu par les partis pro-migration et les chefs d’entreprise, qui prétendent que l’immigration de masse sauvera les finances publiques et le marché du travail de l’Allemagne.
« L’immigration, telle qu’elle s’est produite jusqu’à présent, nous coûte économiquement au total 5 800 milliards d’euros », écrit le professeur dans une nouvelle étude.
Cependant, contrairement à d’autres économistes qui affirment que l’Allemagne subit un préjudice financier en raison de la main-d’œuvre non qualifiée et a besoin de main-d’œuvre plus qualifiée, Raffelhüschen affirme également que l’importation de main-d’œuvre qualifiée coûtera en réalité plus cher au système fiscal et de retraite allemand que la fermeture complète des frontières à toute immigration.
Les chiffres élevés de la dette fournis par Raffelhüschen ne sont peut-être pas si loin de la vérité, du moins par rapport à d’autres pays. Comme Remix News l'a déjà rapporté, plusieurs professeurs néerlandais de renom ont récemment publié une étude détaillant comment les migrants ont coûté aux Pays-Bas au moins 400 milliards d'euros depuis 1995, et que les Pays-Bas ont accepté beaucoup moins de migrants que l'Allemagne. En Norvège, des chercheurs ont découvert que seulement la moitié des migrants ont un emploi, malgré les dépenses de l'État de 6,6 milliards d'euros en projets d'intégration sur le marché du travail sur une période de 10 ans.
Le professeur Raffelhüschen montre dans son étude qu'en raison du vieillissement rapide de la société allemande, il existe « un écart énorme entre ce que les entreprises et les employés versent au système fiscal et social allemand », qui comprend les impôts, les garderies, les retraites et l'assurance maladie, et ce ils peuvent exiger à l’avenir en termes de retraite, de soins de santé et de protection sociale.
Cet « écart de durabilité » atteindra la somme colossale de 19 200 milliards d’euros si l’Allemagne continue d’autoriser 300 000 étrangers à entrer dans le pays chaque année, selon le professeur. Comme il le note dans son étude, le processus d’intégration prend un temps extrêmement long pour la plupart des étrangers, et pendant cette période, ils ont peu de revenus – et souvent aucun revenu – et il y a donc un décalage important en ce qui concerne leur contribution au système social. Même ceux qui trouvent un emploi ont souvent des niveaux de revenus bien inférieurs, au point qu’ils ont souvent droit à l’aide sociale, ce qui représente une charge énorme pour le vaste système de protection sociale allemand.
RépondreSupprimerUne clôture autour de l'Allemagne
Raffelhüschen a également expliqué ce qui arriverait à l’Allemagne si le pays « mettait théoriquement une clôture autour de l’Allemagne à partir de maintenant », ce qui signifierait qu’aucun immigrant n’entrerait.
Dans un tel scénario, cela réduirait le futur déficit financier de 19 200 milliards d’euros à 13 400 milliards d’euros, soit une baisse de 5 800 milliards d’euros.
"C'est le prix de l'immigration dans notre système actuel", a déclaré l'expert social.
Raffelhüschen explique comment il arrive à ses conclusions, écrivant qu'en moyenne, les migrants ont besoin de six ans pour s'intégrer et rejoindre le marché du travail allemand et cotisent très peu au système de retraite pendant cette période – voire rien du tout.
2 millions de migrants pourraient obtenir la citoyenneté allemande en vertu d'une nouvelle loi
Même après leur entrée sur le marché du travail, s’ils y parviennent, ils gagnent moins et contribuent donc très peu au système social.
Cependant, ces étrangers entrent également dans le système d’assurance maladie obligatoire, où ils bénéficient des mêmes prestations que les Allemands qui cotisent parfois au système depuis des décennies.
Le professeur donne un exemple : « Un demandeur d'asile arrive en Allemagne à l'âge de 26 ans, est rejeté au bout de deux à trois ans, mais reste ici avec tolérance. Puis il commence progressivement son premier emploi, obtient son diplôme et entame, à 35 ans, une carrière de contribuable. Ses droits à pension étant faibles, il bénéficie d'une sécurité de base en tant que retraité – pour laquelle ses cotisations n'auraient jamais été suffisantes.»
Il note que « cela n’en vaut pas la peine. Tout cela est beaucoup trop cher.
RépondreSupprimerUne main d’œuvre qualifiée ne sauvera pas le système de retraite allemand
Le professeur va plus loin en calculant ce qui se passerait si l’Allemagne acceptait 100 000 étrangers hautement qualifiés en plus des 300 000 migrants actuels par an, ce qui coûterait au système social allemand 14 200 milliards d’euros par an. Cependant, cela coûterait encore plus cher que d’accepter un système sans immigration, où le « déficit de durabilité » ne s’élèverait qu’à 13 400 milliards d’euros.
Raffelhüschen déclare : « Si nous continuons comme avant, nous serions stupides comme un roc. Même si la structure par âge des migrants peut potentiellement générer un dividende de rajeunissement démographique, cela ne conduit à un solde budgétaire positif de la migration dans aucun des scénarios envisagés.
Il soutient que les Allemands doivent travailler plus longtemps et bénéficier de moins de retraites, que seuls les résidents légaux ne devraient pas avoir accès aux systèmes sociaux et de retraite et que les cotisations doivent augmenter.
Read more at: RMX.news
https://www.naturalnews.com/2024-02-09-mass-immigration-to-germany-will-cost-taxpayers.html
Microsoft brevète une méthode pour « informatiser le corps humain » et l'utiliser comme moyen de transmission d'énergie, de surveillance et de contrôle des données.
RépondreSupprimer02/09/2024
Lance D Johnson
La dernière innovation informatique de Microsoft vise à « informatiser le corps humain » et à utiliser les personnes comme supports conducteurs pour transmettre l’énergie et les données. Ce système sera capable de collecter des informations intimes sur le corps à des fins de surveillance et d’analyse des données et, à terme, pour contrôler à distance les comportements et les pensées des personnes. En informatisant le corps humain et en numérisant chaque impulsion, motif et comportement, les humains deviennent des créatures piratables dont la perception peut être contrôlée par des stimulants émotionnels et sensoriels qui leur sont directement transmis.
Un brevet de Microsoft laisse présager un avenir d'humains piratables, câblés pour le contrôle
Le brevet US6754472B1 expose les plans de Microsoft visant à utiliser les humains comme appareil pour distribuer de l'énergie aux appareils couplés au corps humain. En utilisant le corps humain comme source d’énergie et en connectant les personnes à des périphériques, Microsoft peut transformer le corps humain en réseau informatique. Les entreprises peuvent alors extraire des données et stimuler les sens humains, tout en exposant les organes internes et les systèmes cellulaires aux CEM. À mesure que le corps humain s’informatise, les entreprises peuvent alors communiquer des messages et utiliser les récits officiels pour guider le comportement des gens. En fournissant un flux constant de données, les humains seront contrôlés par les appareils mêmes couplés à leur corps informatisé. À mesure que la technologie progresse, ces signaux de puissance et de communication peuvent être transmis d’un corps à un autre par le toucher.
Cette invention ne nécessitera pas l'utilisation de dispositifs portables dotés d'une interface directe. Cette invention peut également comprendre plusieurs micropuces portables qui n'ont pas d'interface directe. Au lieu de cela, ces micropuces peuvent être utilisées comme relais dans tout le corps, collectant et transmettant des données, de l’énergie et des informations à l’utilisateur. Dans un exemple, des boucles d’oreilles pourraient être utilisées pour mesurer le pouls d’une personne ou elles pourraient transmettre le son à l’oreille à l’aide d’un téléphone portable rangé dans la poche de la personne.
À mesure que davantage de données personnelles sont collectées sur le corps de la personne, elles peuvent être traitées par des systèmes d’IA et utilisées à des fins prédatrices et/ou néfastes. Toute la surveillance peut être utilisée pour contrôler davantage le comportement des gens, leurs habitudes d’achat, leurs affiliations politiques, etc.
Bill Gates s'est récemment entretenu avec Sam Altman, PDG d'OpenAI, sur l'utilisation de l'IA pour résoudre le problème de la « polarisation » et arrêter la propagation de la « désinformation ». Bien entendu, l’IA pourrait être conçue pour contrôler la parole et imposer les mensonges comme des faits. Cela se produit déjà. Les informations consommées par les gens sont déjà fortement surveillées et contrôlées. Les décisions des masses sont déjà fortement influencées par le marketing ciblé, les préférences en matière de flux d’actualités et les systèmes de censure conçus par la Silicon Valley et l’élite mondiale.
Le comportement et la pensée des gens sont déjà modifiés par des systèmes d’IA et des boucles de rétroaction qui maintiennent les gens dans un état zombie, consumériste et abrutissant. Qu'on le veuille ou non, les systèmes informatiques et les réseaux d'information sont déjà utilisés comme armes pour contrôler les gens dans une chambre d'écho qui leur fait subir un lavage de cerveau encore plus poussé. À mesure que les humains deviennent plus connectés et adoptent la technologie de Microsoft, ils ne feront que devenir plus soumis, avec seulement une illusion d’autonomie, de pensée originale et d’individualité.
Des micropuces de la taille de grains de sable peuvent être déployées pour la surveillance humaine
RépondreSupprimerDes micropuces de la taille d’un grain de sable sont déployées pour interagir avec les humains et les paysages afin de surveiller l’activité humaine et d’analyser l’environnement. Des scientifiques de l’Université Northwestern ont développé une micropuce volante de la taille d’un grain de sable. Cette micropuce se déplace dans les airs et tourne comme un hélicoptère. Les chercheurs pensent que ces micropuces peuvent être déployées comme dispositifs électroniques sans fil « pour la surveillance de l’environnement, la surveillance de la population, la gestion des maladies » et peuvent être utilisées pour « d’autres applications qui exigent une couverture sur de vastes échelles spatiales ».
Ainsi, l’avenir envisagé par Microsoft est disponible et les humains seront progressivement fusionnés dans un État informatisé. Reste à savoir si cela se fera avec ou sans notre consentement, mais les commodités offertes par ces technologies et la promesse d'une vie plus connectée, sûre et sécurisée, suffisent généralement à inciter à la conformité.
C’est pourquoi il est essentiel de s’affranchir des systèmes de collecte de données, de la surveillance informatisée, du piratage de nos cellules, du marketing ciblé, des boucles de retour d’informations et des ruées vers la dopamine numérique.
Sources include:
Expose-News.com
Patents.Google.com
NaturalNews.com
Nature.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2024-02-09-microsoft-patents-method-to-computerize-human-body.html
Auto-piégés par les Deepfakes : où sont les bugs ?
RépondreSupprimerSi le chemin vers la diffusion massive de l’IA générative est clair, éprouvé et explicable, d’où vient la crise actuelle autour des deepfake ?
le 11 février 2024
Yannick Chatelain
Par Dr Sylvie Blanco, Professor Senior Technology Innovation Management à Grenoble École de Management (GEM) & Dr. Yannick Chatelain Associate Professor IT / DIGITAL à Grenoble École de Management (GEM) & GEMinsights Content Manager.
« C’est magique, mais ça fait un peu peur quand même ! » dit Hélène Michel, professeur à Grenoble Ecole de Management, alors qu’elle prépare son cours « Innovation et Entrepreneuriat ». Et d’ajouter, en riant un peu jaune : « Regarde, en 20 minutes, j’ai fait le travail que je souhaite demander à mes étudiants en 12 heures. J’ai créé un nouveau service, basé sur des caméras high tech et de l’intelligence artificielle embarquée, pour des activités sportives avec des illustrations de situations concrètes, dans le monde réel, et un logo, comme si c’était vrai ! Je me mettrai au moins 18/20 ». Cet échange peut paraître parfaitement anodin, mais la possibilité de produire des histoires et des visuels fictifs, perçus comme authentiques – des hypertrucages (deepfakes en anglais) – puis de les diffuser instantanément à l’échelle mondiale, suscitant fascination et désillusion voire chaos à tous les niveaux de nos sociétés doit questionner. Il y a urgence ! En 2024, quel est leur impact positif et négatif ? Faut-il se prémunir de quelques effets indésirables immédiats et futurs, liés à un déploiement massif de son utilisation et où sont les bugs ?
DeepFake : essai de définition et origine
En 2014, le chercheur Ian Goodfellow a inventé le GAN (Generative Adversarial Networks), une technique à l’origine des deepfakes. Cette technologie utilise deux algorithmes s’entraînant mutuellement : l’un vise à fabriquer des contrefaçons indétectables, l’autre à détecter les faux. Les premiers Deepfakes sont apparus en novembre 2017 sur Reddit où un utilisateur anonyme nommé « u/deepfake » a créé le groupe subreddit r/deepfake. Il y partage des vidéos pornographiques avec les visages d’actrices X remplacés par ceux de célébrités hollywoodiennes, manipulations reposant sur le deep learning. Sept ans plus tard, le mot « deepfake » est comme entré dans le vocabulaire courant. Le flux de communications quotidiennes sur le sujet est incessant, créant un sentiment de fascination en même temps qu’une incapacité à percevoir le vrai du faux, à surmonter la surcharge d’informations de manière réfléchie.
Ce mot deepfake, que l’on se garde bien de traduire pour en préserver l’imaginaire technologique, est particulièrement bien choisi. Il contient en soi, un côté positif et un autre négatif. Le « deep », de deep learning, c’est la performance avancée, la qualité quasi authentique de ce qui est produit. Le fake, c’est la partie « trucage », la tromperie, la manipulation. Si on revient à la réalité de ce qu’est un deepfake (un trucage profond), c’est une technique de synthèse multimédia (image, son, vidéos, texte), qui permet de réaliser ou de modifier des contenus grâce à l’intelligence artificielle, générant ainsi, par superposition, de nouveaux contenus parfaitement faux et totalement crédibles. Cette technologie est devenue très facilement accessible à tout un chacun via des applications, simples d’utilisations comme Hoodem, DeepFake FaceSwap, qui se multiplient sur le réseau, des solutions pour IOS également comme: deepfaker.app, FaceApp, Zao, Reface, SpeakPic, DeepFaceLab, Reflect.
RépondreSupprimerDes plus et des moins
Les deepfakes peuvent être naturellement utilisés à des fins malveillantes : désinformation, manipulation électorale, diffamation, revenge porn, escroquerie, phishing… En 2019, la société d’IA Deeptrace avait découvert que 96 % des vidéos deepfakes étaient pornographiques et que 99 % des visages cartographiés provenaient de visages de célébrités féminines appliqués sur le visage de stars du porno (Cf. Deep Fake Report : the state of deepfakes landscape, threats, and impact, 2019). Ces deepfakes malveillants se sophistiquent et se multiplient de façon exponentielle. Par exemple, vous avez peut-être été confrontés à une vidéo où Barack Obama traite Donald Trump de « connard total », ou bien celle dans laquelle Mark Zuckerberg se vante d’avoir « le contrôle total des données volées de milliards de personnes ». Et bien d’autres deepfakes à des fins bien plus malveillants circulent. Ce phénomène exige que chacun d’entre nous soit vigilant et, a minima, ne contribue pas à leur diffusion en les partageant
Si l’on s’en tient aux effets médiatiques, interdire les deepfakes pourrait sembler une option. Il est donc important de comprendre qu’ils ont aussi des objectifs positifs dans de nombreuses applications : dans le divertissement pour créer des effets spéciaux plus réalistes et immersifs, pour adapter des contenus audiovisuels à différentes langues et cultures ; dans la préservation du patrimoine culturel, à des fins de restauration et d’animation historiques ; dans la recherche médicale pour générer des modèles de patients virtuels basés sur des données réelles, ce qui pourrait être utile dans le développement de traitements ; dans la formation et l’éducation, pour simuler des situations réalistes et accroître la partie émotionnelle essentielle à l’ancrage des apprentissages. Ainsi, selon une nouvelle étude publiée le 19 avril 2023 par le centre de recherche REVEAL de l’université de Bath : « Regarder une vidéo de formation présentant une version deepfake de vous-même, par opposition à un clip mettant en vedette quelqu’un d’autre, rend l’apprentissage plus rapide, plus facile et plus amusant ». (Clarke & al., 2023)
Comment en est-on arrivés là ?
RépondreSupprimerComment avons-nous mis au point et démocratisé des outils technologiques de manière aussi peu appropriée, au sens de E.F. Schumacher (1973) dans son ouvrage Small is Beautiful : A Study of Economics as If People Mattered. L’idée qu’il défend est celle d’une technologie scientifiquement éprouvée, à la fois adaptable aux besoins spécifiques de groupes d’utilisateurs clairement identifiés et acceptables par toutes les parties prenantes de cette utilisation, tout au long de son cycle de vie, sans dégrader l’autonomie des communautés impliquées.
Considérons la période covid. Elle a très nettement favorisé une « aliénation des individus et des organisations à la technologie », entraînant des phénomènes de perte de contrôle et de confiance face à des utilisations non appropriées du numérique profitant de la vulnérabilité des citoyens (multiplication des arnaques santé par exemple). Ils se sont trouvés sur-sollicités et noyés sous un déluge de contenus – sans disposer des ressources nécessaires pour faire face de manière pérenne et sécurisée. Avec l’IA générative et la prolifération des deepfakes, le défi d’échapper à la noyade et d’éviter d’être victime de manipulations devient démesuré !
La mécanique allant de la technologie à la société est (toujours) bien ancrée dans la théorie de Schumpeter datant du début du 20ème siècle : les efforts et les investissements dans la technologie génèrent du développement économique par l’innovation et la productivité, qui se traduit ensuite en progrès social, par exemple, par la montée du niveau d’éducation. La question de l’adoption de la technologie par le marché de masse est un élément central de la réussite des acteurs économiques.
Comme le souligne très bien le philosophe Alain Damasio, les citoyens adoptent les solutions numériques (faciles d’utilisation et accessibles) et se réfugient dans un « techno-cocon » pour trois raisons principales : la paresse (les robots font à leur place), la peur associée à l’isolement (on a un réseau mondial d’amis) et les super-pouvoir (le monde à portée de main avec son smartphone). Cela s’applique parfaitement à l’IA générative : créer des contenus sans effort, presque instantanément, avec un résultat d’expert. Ainsi, dans le fantasme collectif, eut égard à la puissance réelle et exponentielle des outils disponibles, nous voilà bientôt, tous écrivains, tous peintres, tous photographes, tous et toutes réalisateurs… nous voilà capables de produire en quelques minutes ce qui a priori nous aurait demandé des heures. Et dans le même temps, nous servons à l’amélioration continue des performances de ces technologies, au service de quelques grandes entreprises mondiales.
Deepfakes : où est le « Bug » ?
RépondreSupprimerSi le chemin vers la diffusion massive de l’IA générative est clair, éprouvé et explicable, d’où vient la crise actuelle autour des deepfake ? L’analyse des mécanismes de diffusion fait apparaître deux bugs principaux.
Le premier bug s’apparente à ce que Nunes et al. (2014) appelle le phénomène « big bang disruption ». La vitesse extrêmement rapide à laquelle se déploient massivement certaines applications technologiques, ne laisse pas le temps de se prémunir contre ses effets indésirables, ni de se préparer à une bonne appropriation collective. On est continuellement en mode expérimentation, les utilisateurs faisant apparaître des limites et les big techs apportant des solutions à ces problèmes, le plus souvent technologiques. C’est la course à la technologie – en l’occurrence, la course aux solutions de détection des deepfakes en même temps que l’on tente d’éduquer et de réglementer. Cette situation exige que l’on interroge notre capacité à sortir du système établi, à sortir de l’inertie et de l’inaction – à prendre le risque de faire autrement !
Le second bug est que, selon Schumpeter, la diffusion technologique produit le progrès social par l’innovation et l’accroissement de la productivité – mais cette dynamique ne peut pas durer éternellement ni s’appliquer à toutes technologies ! Si l’on considère par exemple la miniaturisation des produits électroniques, elle a obligé à un certain stade, à changer les équipements permettant de produire les puces électroniques afin qu’ils puissent manipuler des composants extrêmement petits. Peut-on en changer l’équipement qui sert à traiter les contenus générés par l’IA, c’est-à-dire nos cerveaux ? Doivent-ils apprendre à être plus productifs pour absorber les capacités des technologies de l’IA générative ? Il y a là un second bug de rupture cognitive, perceptive et émotionnelle que la société expérimente, emprisonnée dans un monde numérique qui s’est emparée de toutes les facettes de nos vies et de nos villes.
Quid de la suite : se discipliner pour se libérer du péril deepfake ?
Les groupes de réflexion produisant des scénarii, générés par l’IA ou par les humains pleuvent – pro-techno d’une part, pro-environnemental ou pro-social d’autre part. Au-delà de ces projections passionnantes, l’impératif est d’agir – de se prémunir contre les effets indésirables, jusqu’à une régression de la pensée comme le suggère E. Morin, tout en profitant des bénéfices liés aux deepfakes.
Face à un phénomène qui s’est immiscé à tous les niveaux de nos systèmes sociaux, les formes de mobilisation doivent être nombreuses, multi-formes et partagées. En 2023 par exemple, la Région Auvergne-Rhône-Alpes a mandaté le pôle de compétitivité Minalogic et Grenoble Ecole de Management pour proposer des axes d’action face aux dangers des deepfakes. Un groupe d’experts* a proposé quatre axes étayés par des actions intégrant les dimensions réglementaires, éducatives, technologiques et les capacités d’expérimentations rapides – tout en soulignant que le levier central est avant tout humain, une nécessité de responsabilisation de chaque partie prenante.
Il y aurait des choses simples que chacun pourrait décider de mettre en place pour se préserver, voire, pour créer un effet boule de neige favorable à amoindrir significativement le pouvoir de malveillance conféré par les deepfakes. Quelques exemples : prendre le temps de réfléchir sans se laisser embarquer par l’instantanéité associée aux deepfakes ; partager ses opinions et ses émotions face aux deepfakes le plus possible entre personnes physiques ; accroître son niveau de vigilance sur la qualité de l’information et de ses sources ; équilibrer l’expérience du monde en version numérique et en version physique, au quotidien pour être en mesure de comparer, etc. Toutefois, se pose la question du passage à l’action disciplinée à l’échelle mondiale !
RépondreSupprimerIl s’agit d’un changement de culture numérique intrinsèquement long. Or, le temps fait cruellement défaut ! Des échéances majeures comme les J.O. de Paris ou encore les élections américaines constituent des terrains de jeux fantastiques pour les deepfakes de toutes natures – un chaos informationnel idoine pour immiscer des informations malveillantes qu’aucune plateforme media ne sera en mesure de détecter et de neutraliser de manière fiable et certaine.
La réalité ressemble à un scénario catastrophe : le mur est là, avec ces échanges susceptibles de marquer le monde ; les citoyens tous utilisateurs d’IA générative sont lancés à pleine vitesse droit dans ce mur, inconscients ; les pilotes de la dynamique ne maîtrisent pas leur engin supersonique, malgré des efforts majeurs ! Pris de vitesse, nous voilà mis devant ce terrible paradoxe : « réclamer en tant que citoyens la censure temporelle des « hypertrucages » pour préserver la liberté de penser et la liberté d’expression ».
Le changement de culture à grande échelle ne peut que venir d’une exigence citoyenne massive. Empêcher quelques bigs techs de continuer à générer et exploiter les vulnérabilités de nos sociétés est plus que légitime. Le faire sans demi-mesure est impératif : interdire des outils numériques tout comme on peut interdire des médicaments, des produits alimentaires ou d’entretien. Il faut redonner du poids aux citoyens dans la diffusion de ces technologies et reprendre ainsi un coup d’avance, pour que la liberté d’expression ne devienne pas responsable de sa propre destruction.
Ce mouvement, le paradoxe du « ChatBlanc », pourrait obliger les big techs à (re)prendre le temps d’un développement technologique approprié, avec ses bacs à sable voire des plateformes dédiées pour les créations avec IA. Les citoyens les plus éclairés pourraient avoir un rôle d’alerte connu, reconnu et effectif pour décrédibiliser ceux qui perdent la maîtrise de leurs outils. Au final, c’est peut-être la sauvegarde d’un Internet libre qui se joue !
Ce paradoxe du « ChatBlanc », censurer les outils d’expression pour préserver la liberté d’expression à tout prix trouvera sans aucun doute de très nombreux opposants. L’expérimenter en lançant le mois du « ChatBlanc » à l’image du « dry january » permettrait d’appréhender le sujet à un niveau raisonnable tout en accélérant nos apprentissages au service d’une transformation culturelle mondiale.
RépondreSupprimer*Lucal Bisognin, Sylvie Blanco, Stéphanie Gauttier, Emmanuelle Heidsieck (Grenoble Ecole de Management) ; Kai Wang (Grenoble INP / GIPSALab / UGA), Sophie Guicherd (Guicherd Avocat), David Gal-Régniez, Philippe Wieczorek (Minalogic Auvergne-Rhône-Alpes), Ronan Le Hy (Probayes), Cyril Labbe (Université Grenoble Alpes / LIG), Amaury Habrard (Université Jean Monnet / LabHC), Serge Miguet (Université Lyon 2 / LIRIS) / Iuliia Tkachenko (Université Lyon 2 / LIRIS), Thierry Fournel (Université St Etienne), Eric Jouseau (WISE NRJ).
https://www.contrepoints.org/2024/02/11/471437-auto-pieges-par-les-deepfakes-ou-sont-les-bugs
Des chercheurs de K-State réduisent la teneur en gluten du blé panifiable tout en préservant la qualité de la pâte
RépondreSupprimer10 Février 2024
Pat Melgares, service de presse de K-State Research and Extension*
Des chercheurs de K-State ont utilisé la technique d'édition de gènes connue sous le nom de CRISPR-Cas9 pour réduire la présence de deux types de gènes codant pour le gluten dans le génome du blé.
Cette avancée pourrait rendre les aliments à base de blé plus sûrs pour les personnes sensibles au gluten.
11 décembre 2023
MANHATTAN (Kan) - Des chercheurs de l'Université de l'État du Kansas ont fait une percée dans le développement d'aliments à base de blé contenant moins de gluten, une découverte qui pourrait atténuer les effets néfastes pour les personnes atteintes de la maladie cœliaque ou d'autres maladies auto-immunes.
Des scientifiques du Centre de Ressources Génétiques du Blé de K-State et du Service de Recherche Agricole de l'USDA, en partenariat avec Kansas Wheat, ont utilisé avec succès une technique d'édition de gènes connue sous le nom de CRISPR-Cas9 pour réduire la présence de deux types de gènes codant pour le gluten, appelés gliadines, connues pour être riches en peptides immunoréactifs, les acides aminés qui forment les protéines.
Le gluten est une protéine souvent présente dans le blé, l'orge et le seigle. Lorsque les personnes atteintes de la maladie cœliaque consomment du gluten, leur organisme déclenche une réaction immunitaire qui attaque l'intestin grêle et les petites saillies en forme de doigts, appelées villosités, qui aident l'organisme à absorber correctement les nutriments.
Selon la Celiac Disease Foundation, la maladie cœliaque touche 1 personne sur 100 dans le monde, mais seulement 30 % d'entre elles sont correctement diagnostiquées.
« Nous avons été très surpris de constater qu'une fois ces gènes édités, nous avons réduit de 47 fois l'immunotoxicité causée par les gènes des gliadines dans le blé », a déclaré M. Eduard Akhunov, professeur distingué du Département de Pathologie Végétale de K-State et directeur du Wheat Genetics Resource Center.
M. Akhunov dirige un groupe de scientifiques qui appliquent des méthodes avancées de génomique, de génétique et d'édition du génome pour améliorer le blé. Dans ce projet, l'édition des gènes du gluten a été réalisée par le chercheur postdoctoral Zitong Yu.
Selon M. Akhunov, le gluten ne sera probablement jamais complètement éliminé du blé, car il est important pour la fabrication du pain. Le gluten donne la texture, la saveur et l'humidité à des produits tels que le pain, les bagels, les pâtisseries, les nouilles, etc.
RépondreSupprimer« Dans nos lignées éditées, nous avons également constaté qu'en dépit d'une réduction de la toxicité (réduction due à des niveaux plus faibles de molécules de gluten toxiques), nous n'avons pas constaté de réduction de la qualité de la pâte, qui est importante pour la fabrication du pain », a déclaré M. Akhunov. « C'est extrêmement important. Nous avons atteint ces deux objectifs apparemment contradictoires : réduire la toxicité tout en conservant la capacité de produire une pâte de qualité. »
M. Akhunov a ajouté que même si les niveaux réduits de gluten obtenus dans le cadre de cette étude ne rendront pas le blé immédiatement sûr pour les personnes atteintes d'une forme sévère de la maladie cœliaque, « il est important d'aller de l'avant »
« Les variétés de blé présentant des niveaux de toxicité réduits contribueront à élargir les options de produits à base de blé pour les personnes souffrant de problèmes mineurs liés au gluten », a-t-il déclaré. « Les connaissances acquises dans le cadre de cette recherche pourraient éventuellement ouvrir la voie au développement de nouvelles variétés plus sûres pour les personnes atteintes de la maladie cœliaque. »
La nature même des études scientifiques et de la sélection du blé fait que les variétés à teneur réduite en gluten ne seront peut-être pas disponibles pour les consommateurs avant de nombreuses années. M. Aaron Harries, vice-président de la recherche et des opérations pour Kansas Wheat, a déclaré que cette caractéristique ne serait pas incluse dans toutes les nouvelles variétés et « serait très probablement cultivée sous contrat avec des fabricants de produits alimentaires ».
« La recherche sur le blé est axée sur le développement de nouvelles variétés qui répondent aux exigences des consommateurs, tant au niveau national qu'international », a déclaré M. Harries. « La mise au point d'un blé plus sûr pour les personnes atteintes de la maladie cœliaque réduit le nombre de consommateurs contraints d'envisager des alternatives au blé. »
Il ajoute : « Au Kansas, de nombreux producteurs de blé et des membres de leur famille sont atteints de la maladie cœliaque. Il est ironique et regrettable qu'ils gagnent leur vie en cultivant du blé, mais qu'ils ne puissent pas consommer d'aliments à base de blé. La plupart des consommateurs préféreraient ne pas renoncer aux aliments à base de blé dans leur régime alimentaire. Le développement de variétés de blé consommables par les personnes atteintes de la maladie cœliaque leur faciliterait grandement la vie. »
RépondreSupprimerCRISPR-Cas9 est un outil d'édition du génome qui est plus rapide, moins cher et plus précis que les méthodes d'ingénierie du génome utilisées précédemment. M. Akhunov explique que son équipe de recherche a travaillé avec un cultivar de blé commun appelé Fielder, qui se prête à l'édition du génome.
Les recherches de K-State, qui ont été financées par Kansas Wheat, l'Institut National de l'Alimentation et de l'Agriculture de l'USDA et la Fondation Bill et Melinda Gates, sont publiées dans le numéro du 17 novembre du Plant Biotechnology Journal.
_____________
* Source : K-State researchers lower gluten content, maintain dough quality in bread wheat
Ma note : Voici le résumé (découpé, et sous réserve de l'adage bien connu des traducteurs) de « CRISPR-based editing of the ω- and γ-gliadin gene clusters reduces wheat immunoreactivity without affecting grain protein quality » (l'édition basée sur CRISPR des groupes de gènes ω et γ-gliadine réduit l'immunoréactivité du blé sans affecter la qualité des protéines du grain) de Zitong Yu, Ural Yunusbaev, Allan Fritz, Michael Tilley, Alina Akhunova, Harold Trick, Eduard Akhunov :
« L'immunotoxicité du blé est associée à une réaction anormale aux peptides dérivés du gluten. Les tentatives de réduction de l'immunotoxicité par la sélection et la biotechnologie affectent souvent la qualité de la pâte.
Ici, l'édition multiplexée par CRISPR-Cas9 du cultivar Fielder a été utilisée pour modifier les gènes codant pour le gluten, en se concentrant spécifiquement sur les copies des gènes ω et γ-gliadine, qui ont été identifiés comme étant abondants dans les peptides immunoréactifs sur la base de l'analyse des génomes de blé assemblés à l'aide des technologies de séquençage à longue lecture.
Le séquençage du génome entier d'une lignée éditée a montré la mutation ou la suppression de presque toutes les copies du gène ω-gliadine et de la moitié des copies du gène γ-gliadine et a confirmé l'absence d'édition dans les gènes α/β-gliadine.
La réduction estimée à 75 % et 64 % de la teneur en ω- et γ-gliadine, respectivement, n'a pas eu d'impact négatif sur les caractéristiques de qualité des protéines du grain et de la pâte du point de vue de l'utilisation finale.
RépondreSupprimerUne réduction de l'immunoréactivité de 47 fois par rapport à une lignée non éditée a été démontrée à l'aide d'anticorps dirigés contre des peptides immunotoxiques.
Nos résultats indiquent que la modification ciblée par CRISPR des copies des gènes ω- et γ-gliadine, déterminées comme étant abondantes dans les peptides immunoréactifs par l'analyse d'ensembles génomiques de haute qualité, est un moyen efficace de réduire l'immunotoxicité des cultivars de blé tout en minimisant l'impact de l'édition sur la qualité des protéines.
On peut aussi (re)lire « CRISPR peut rapprocher la science du consommateur » et « Trois mythes répandus sur le blé et le rôle du gluten ».
https://seppi.over-blog.com/2024/02/des-chercheurs-de-k-state-reduisent-la-teneur-en-gluten-du-ble-panifiable-tout-en-preservant-la-qualite-de-la-pate.html
Voyage d'étude au Brésil, jours 6 et 7
RépondreSupprimer10 Février 2024
Willi l'agriculteur*
Jour 6
Tôt le matin, il a plu 60 mm en peu de temps. Une bénédiction pour les agriculteurs qui ont maintenant semé leur maïs. Étonnant : lorsque nous nous rendons dans le champ vers 11 heures, l'eau a complètement disparu. En fin d'après-midi, les semis reprennent, seule la récolte de soja est interrompue.
Qu'y a-t-il de nouveau pour nous ? Ce que presque personne ne sait en Allemagne : celui qui exploite des surfaces dans la région du Mato Grosso doit présenter 35 % de sa surface totale comme surface forestière (reserva). Sans cette mesure, il ne peut pas pratiquer l'agriculture. Le contrôle se fait par arpentage et contrôle par satellite. Celui qui abat un arbre indigène doit demander une autorisation. Le non-respect de cette règle entraîne une amende très élevée et, dans les cas les plus graves, une interdiction d'exercer.
L'exploitation de Jose Eduardo s'étend sur 1.800 ha, dont 600 ha de réserva, c'est-à-dire de forêt originelle. Les cultures sont le soja, le maïs et une sorte de culture intermédiaire composée de 10 espèces végétales, mais qui n'est pas récoltée et qui sert à améliorer le sol. La ferme a une teneur en humus d'environ 4 %. Des mesures sont effectuées pour déterminer l'empreinte carbone et la comparer avec celle de la reserva. La photo ci-dessus représente une telle reserva, mais sa croissance est nettement inférieure à celle de la forêt amazonienne. Le Mato Grosso est encore subtropical et plus sec, avec 1.500 à 1.800 mm de précipitations par an.
L'exploitation pratique également la production de semences de maïs. Elle a loué ses porcheries ; le locataire produit 11.000 porcs à l'engrais par an en trois bandes. Tous les porcs sont élevés en stabulation libre, refroidie si nécessaire par des sprinklers. Les porcs sont vendus à 120 kg. Le lisier va dans une installation de biogaz et est ensuite utilisé comme engrais dans les champs. L'électricité est produite par le photovoltaïque de la ferme ; le reste est injecté dans le réseau.
Une fois de plus, nous découvrons les problèmes de logistique. Le port de Santos est à 2.300 km, celui de Santarem, au nord sur l'Amazone, à 1.500 km seulement, mais il faut alors transborder dans de petits bateaux qui vont jusqu'au port de l'Atlantique où les denrées sont à nouveau transbordées.
Dans le Mato Grosso, on a constamment besoin de nouveaux travailleurs, les salaires sont très bons par rapport au reste du Brésil.
Après la visite de la ferme, nous avons parcouru environ 300 km en bus pour retourner à Cuiaba. Les routes sont pleines de camions, il n'y a qu'une seule route entre Cuiaba et l'Amazonie.
Je dois y aller, nous dînons dans 10 minutes.
Encore une remarque. Nos rendez-vous sont très serrés et Internet n'est pas disponible partout, si bien que j'ai peu l'occasion de lire les commentaires et d'y répondre. Merci de votre compréhension.
Jour 7
RépondreSupprimerAujourd'hui, nous allons à Campo Verde. Ce n'est pas très loin de l'endroit où nous étions hier. Après seulement trois heures de route, nous arrivons à l'exploitation que nous visitons aujourd'hui. Nous apprenons chaque jour à quel point le Mato Grosso est grand à lui seul. Et ce n'est qu'un État parmi tant d'autres. Nous visitons une exploitation familiale de 9.000 ha, gérée par le père et le fils. Mais attention : il faut à nouveau déduire 35 % de reserva (surface forestière initiale). Il ne reste donc « que » 6.500 ha pour l'agriculture et l'élevage.
Le propriétaire de l'exploitation (75 ans) a commencé avec 20 ha dans le sud du Brésil et avec un supermarché à la frontière avec l'Argentine. Un jour, à cause de la guerre des Malouines, il n'y avait presque plus de clients (parce que l'argent manquait) et il a plié bagage. Il a acheté 200 hectares à Campo Verde, où se trouvaient en 1988 deux ou trois maisons, comme toujours sans électricité ni eau courante. Aujourd'hui, Campo Verde est une petite ville de 40.000 habitants où tout le monde vit d'une manière ou d'une autre avec et de l'agriculture. Les 200 hectares sont devenus peu à peu les 9.000 hectares actuels, reserva comprise.
Qu'est-ce qui est différent ?
L'exploitation produit du soja et du maïs, comme tout le monde ici. Mais aussi du coton, du riz et 500 ha de haricots, qui sont très souvent consommés ici. Une autre particularité est la production de viande avec l'élevage de vaches allaitantes. Les taureaux restent quatre mois dans le troupeau pour la monte naturelle. Il élève 3.000 animaux sur 2.500 ha. Je laisse à chacun le soin de calculer la charge en UGB par hectare. Voici une photo du pâturage. Je ne pense pas que vous puissiez reconnaître les animaux.
Pour la finition, les animaux arrivent à la ferme où ils sont nourris sur une litière de balle de riz pendant quelques semaines. Ils vont dans un abattoir à proximité (150 km). Il commercialise environ 75 % de sa viande dans son propre supermarché en ville. Le reste est exporté vers la Chine. Nous avons déjeuné dans ce supermarché. Cela aurait pu être un supermarché avec restaurant quelque part en Europe, sauf que les légumes étaient un peu différents. Il y avait des fruits que je n'avais jamais vus auparavant.
Les bovins sont abattus à un poids vif de 620 kg (mâle) et 450 kg (femelle), le taux de réforme est de 56 %. Au Brésil, la viande de bœuf arrive en première position, suivie de la volaille, puis seulement du porc. Selon ses déclarations, 150 kg sont consommés par habitant au Brésil. Sa déclaration : « Manger de la viande est bon pour la santé ». Lorsqu'on lui demande comment il voit l'avenir : positif, il y aura moins d'engraisseurs, la génétique s'améliore constamment et l'élevage est également de plus en plus professionnel. Il nourrit ses animaux exclusivement avec ses propres aliments (+ minéraux et vitamines). En fait, ce sont des bovins bio.
RépondreSupprimerEn faisant le tour, nous avons découvert un drone pour l'épandage de produits phytosanitaires. La quantité épandue par hectare est de 10 L (dix litres !!), le réservoir suffit pour 4 ha. Le pilote a besoin d'environ une minute pour changer la batterie et la recharger. Le drone vole à 4 mètres au-dessus de la culture et a une largeur de travail de 12 mètres. Le rendement journalier est de 150 ha. Le drone pourrait donc traiter quatre fois toutes les surfaces de mon exploitation en une journée...
Deux autres chiffres que j'ai calculés :
Si le seul Mato Grosso faisait 4 % de jachère, cela représenterait 3,7 millions d'hectares, soit environ un tiers des cultures allemandes.
Nous verrons demain une exploitation de 300.000 ha de grandes cultures. L'Allemagne compte 11 millions d'ha de terres arables. Il faudrait 37 chefs d'exploitation pour des exploitations de cette taille afin d'exploiter les terres arables de l'Allemagne.
Dans notre bus, il y a 35 agriculteurs. Nous en cherchons encore deux...
Bien sûr, ce ne sont que des jeux de chiffres. Mais ils peuvent donner matière à réflexion.
Encore une fois, à titre personnel : je décris ici dans mon journal ce que nous voyons. Ce n'est pas une évaluation. Je ne dis pas aujourd'hui si je trouve cela bon ou mauvais. Mais il se peut très bien que je le fasse après le voyage.
https://seppi.over-blog.com/2024/02/voyage-d-etude-au-bresil-jours-6-et-7.html
En Amérique du Nord et en Europe les arbres consomment très peu de gaz carbonique jusqu'à zéro pendant l'hiver, tandis qu'en régions ensoleillées ils consomment beaucoup mais toujours moins que les plantes. Sous serres ou en régions tropicales-équatoriales les plantes grandissent parfois de 20 cm par jour ! (8° % la nuit et 20 % le jour).
SupprimerC'est pourquoi en pays sous dictature ils font tout po éliminer les paysans qui osent nourrir la population humaine et animale.
Le Réseau mondial contre les armes et l'énergie nucléaire dans l'espace. Une table ronde de la 31e Conférence générale annuelle
RépondreSupprimerPar Michael Welch , Tamara Lorincz , Lisa Savage , Juyeon Rhee et Christian Sorensen
Recherche mondiale,
10 février 2024
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Global Research est un site Web axé principalement sur la vérité et la responsabilité des gouvernements, et l'une des divisions les plus importantes sur ce sujet concerne la question de la vérité derrière la guerre. [1]
Et même si nous parlons fréquemment ces dernières années de la question de la guerre en Ukraine, de la guerre au Yémen et des violences similaires contre la Libye, la Syrie, l'Afghanistan, l'Irak, la Yougoslavie, etc., il existe un autre élément important qui est quelque peu ignoré. Cette pièce a à voir avec la militarisation de l’espace.
La United States Space Force a été fondée en 2019. Il s'agit d'une division des forces armées américaines, aux côtés de la Marine, de l'Armée, des Marines et de l'Air Force, et existerait pour donner accès aux opérations spatiales et par conséquent un nouveau champ sur lequel cibler les ennemis. . Cette dimension supplémentaire semble rarement abordée dans les débats médiatiques publics. Mais ses conséquences pourraient être fondamentales pour quiconque s’inquiète de la guerre en 2023 et au-delà. [2]
Le Réseau mondial contre les armes et l'énergie nucléaire dans l'espace (GN) existe depuis 1992. Il a été fondé par la Coalition de Floride pour la paix et la justice (FCPJ) ; Citoyens pour la paix dans l'espace (Colorado Springs) ; et Karl Grossman, professeur de journalisme basé à New York . Bruce Gagnon en a été le coordonnateur. L'organisation a été un outil pédagogique efficace pour ses membres et les 170 organisations à travers le monde auxquelles elle est affiliée. [3]
Lors de cette 31e assemblée générale annuelle, qui s'est tenue sur ZOOM le 15 juillet, un certain nombre de discussions éloquentes résument non seulement les systèmes de défense antimissile balistique (Star Wars), mais également le développement de l'OTAN dans la région Asie-Pacifique, la domination du spectre complet et l'évolution de propagande à l’ère des médias sociaux et d’Internet. Ces discussions sont au centre de cette édition estivale du Global Research News Hour.
Étaient présents à cette discussion le président du conseil d'administration du GN , Dave Webb , l'américano-coréen Juyeon Rhee , le journaliste indépendant Christian Sorenson , l'éducatrice et organisatrice à la retraite Lisa Savage , et la militante pacifiste et universitaire canadienne Tamara Lorincz .
Dave Webb est professeur émérite et président du conseil d'administration du GN. Il est un professeur d'ingénierie universitaire à la retraite qui s'est tourné vers les études sur la paix et les conflits. Il a été président de la Campagne pour le désarmement nucléaire (CND) au Royaume-Uni, président de la CND de la région du Yorkshire et mécène du groupe britannique Scientists for Global Responsibility.
RépondreSupprimerJuyeon Rhee est membre de Nodutdol for Korean Community Development, basé à New York, depuis 2000. Elle est également membre du conseil d'administration du Korea Policy Institute et membre du comité directeur de la Tongil Peace Foundation. Elle est membre de plusieurs organisations coréennes à l’étranger soutenant le travail de paix et de réunification.
Christian Sorensen est un chercheur basé en Nouvelle-Angleterre et un journaliste indépendant aux États-Unis qui s'intéresse principalement aux entreprises qui profitent de la guerre. Vétéran de l’Air Force, il est l’auteur du livre Understanding the War Industry.
Lisa Savage est une éducatrice à la retraite, organisatrice et ancienne candidate au Sénat américain en 2020. Elle vit à Solon, dans le Maine et blogue sur https://went2thebridge.substack.com
Tamara Lorincz est candidate au doctorat en gouvernance mondiale à la Balsillie School for International Affairs de l'Université Wilfrid Laurier au Canada. Elle est membre de la Voix canadienne des femmes pour la paix et siège au conseil d'administration du GN.
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L' émission Global Research News Hour est diffusée tous les vendredis à 13 h CT sur CKUW 95.9FM à l'Université de Winnipeg. Le programme est également disponible en podcast sur globalresearch.ca .
Autres stations diffusant l'émission :
CIXX 106,9 FM, diffusant depuis le Fanshawe College de London, en Ontario. Il est diffusé le dimanche à 6 heures du matin.
Pour décarboner : de l’acide formique à partir du gaz carbonique « atmosphérique » ?
RépondreSupprimerle 10 février 2024
Les délires engendrés par l’affirmation sans fondements scientifiques de l’IPCC au sujet des quantités infinitésimales de gaz carbonique (0,041 % !) que contient l’atmosphère provoquant un réchauffement alarmant du climat ont conduit à des excès divers en pure perte comme l’installation de forêts de moulins à vent d’une rare inefficacité. L’angoisse existentielle alimentée par la présence de ce gaz considéré comme délétère pour le climat a conduit diverses entreprises créées pour la « bonne cause » par de fieffés coquins à imaginer des usines à gaz (c’est le cas de le dire) pour capturer cet excès de gaz carbonique et l’injecter dans le sous-sol.
Cela me rappelle l’escroquerie d’une entreprise française qui avait affirmé à la société TEPCO (Tokyo Electric Power Co/gestionnaire de centrales électrique au Japon) qu’elle maîtrisait une technique « prouvée » pour séparer l’eau tritiée accumulée dans des centaines de réservoirs sur le site de l’usine électro-nucléaire de Fukushima-Daïchi. Capturer le gaz carbonique de l’atmosphère est du même ordre de stupidité et du même ordre de grandeur dans le domaine de la fraude scientifique et de l’escroquerie.
Pourtant compte tenu de la composition physico-chimique de l’atmosphère les deux seuls gaz réactifs sont l’oxygène et paradoxalement le gaz carbonique. Et c’est ce dernier gaz qui a préoccupé une équipe de physico-chimistes de l’Université de Technologie de Wuhan et d’autres instituts de recherche de diverses universités de Chine pour prouver qu’il était possible de « capturer » le gaz carbonique contenu dans l’atmosphère par un procédé économique transposable industriellement selon les résultats obtenus en laboratoire qui valorise le produit de capture à des fins également industrielles en tant qu’intermédiaire de synthèse chimique. L’article relatant ces travaux paru dans la revue Nature le premier février 2024 m’a paru digne d’intérêt dans la mesure où la technique décrite est appuyée sur des faits scientifiques prouvés : toute publication scientifique doit permettre à quiconque dispose des moyens nécessaires de reproduire les expériences décrites y compris si celles-ci ont été brevetées et ce doit être le cas pour cet article dirigé par le Docteur Bao Yu Xia ( https://doi.org/10.1038/s41586-023-06917-5 ).
Typiquement le gaz carbonique sorti de la cheminée d’une centrale électrique ou d’une chaudière de raffinerie de pétrole brûlant un combustible carboné peut être capturé directement en utilisant de la chaux ou de la soude mais ce procédé est coûteux pour l’installation et en ce qui concerne l’apport continu de soude. L’équipe du Docteur Bao Yu Xia a mis à profit les propriétés chimiques du gaz carbonique pour transformer celui-ci dissous dans l’eau sous forme d’acide carbonique dans une cellule électro-catalytique à base de plomb judicieusement récupéré dans des batteries plomb-acide. Le potentiel négatif et le pH maintenu entre 1 et 2 permet de récupérer de l’acide formique. Sous l’effet du potentiel appliqué à la cellule de l’ordre de -0,6 / -0,8 volt et quelques milli-Ampères le transfert de protons conduit, selon le diagramme de Pourbaix liant la relation entre le pH et le potentiel appliqué à la cellule électro-catalytique, à de l’acide formique ( https://en.wikipedia.org/wiki/Pourbaix_diagram ).
RépondreSupprimer- voir schéma sur site -
Le plomb reste indemne au cours de ce processus et selon les auteurs de cette étude la cellule peut fonctionner de manière satisfaisante pendant plus de 5000 heures. De plus les matériaux utilisés sont peu coûteux et se prêtent à une extension industrielle infinie. Seule la membrane échangeuse de protons est critique dans la configuration de la cellule mais elle est déjà produite industriellement en particulier pour les piles à combustible. PEM = Proton exchange membrane
- voir schéma sur site -
Un procédé en milieu alcalin avait été décrit en 2008 par l’équipe de Docteur K. B. Kokoh à l’Université de Poitiers en France mais il n’avait pas été développé en vue d’applications industrielles adjoignant un catalyseur. Seul était mis à profit le pH alcalin du coté de la cathode et la présence d’une membrane échangeuses de cations de type Nafion … regrettable.
L’acide formique est un produit industriel important car 720 000 tonnes sont produites chaque année (1000 dollars/tonne) essentiellement par l’Allemagne (BASF) et la Chine (Feicheng Chemicals). Près du tiers de l’acide formique est utilisée dans les élevages pour préserver la qualité des fourrages ensilés pour les bovins afin de contrôler la fermentation lactique et l’alimentation dans les élevages de volailles pour éliminer les bactéries dont E. coli. Plus du quart de l’acide formique est consommé par les tanneries et le traitement des fibres textiles. La production industrielle d’acide formique sous forme d’ester méthylique est le produit de condensation du monoxyde de carbone avec du méthanol, l’ester est ensuite hydrolysé en acide et libération du méthanol qui est recyclé dans le processus. Quant au méthanol il est produit massivement par condensation à chaud et sous haute pression en présence d’un catalyseur cuivre-oxyde de zinc du monoxyde de carbone (CO) avec de l’hydrogène, deux gaz industriels communs. L’avenir du procédé de conversion du gaz carbonique en acide formique a probablement un avenir devant lui nonobstant les faibles tonnages espérés car en dehors des cheminées des grosses chaudières industrielles les quantités atmosphériques sont infiniment trop faibles pour alimenter un tel procédé électro-catalytique.
RépondreSupprimerhttps://jacqueshenry.wordpress.com/2024/02/10/pour-decarboner-de-lacide-formique-a-partir-du-co2-atmospherique/
Gaz : pourquoi le prix ne cesse d’augmenter ?
RépondreSupprimerL’escalade continue des prix du gaz n’est pas un phénomène passager mais une réalité économique aux racines profondes, aggravée par des facteurs structurels et conjoncturels. Entre demandes en baisse, coûts de réseau fixes et transition énergétique, comprendre les causes de cette hausse s’avère essentiel pour anticiper les défis à venir.
Par Rédaction
le 11 février 2024 à 11h30
La récente annonce d'une nouvelle hausse des prix du gaz en juillet prochain, oscillant entre 5,5 % et 10,4 % selon les foyers, a jeté un froid parmi les consommateurs français. Cette augmentation, loin d'être une surprise, s'inscrit dans un contexte énergétique complexe et préoccupant. L'évolution des prix reflète une série de facteurs interdépendants, dont la baisse de la demande, les coûts fixes de l'entretien du réseau, et les enjeux de la transition énergétique.
Demande en baisse, prix en hausse : un cercle vicieux
La baisse de la demande de gaz, encouragée par le gouvernement pour éviter une pénurie suite à la crise du gaz russe en été 2022, a entraîné un paradoxe économique. Moins de consommation devrait théoriquement mener à des prix plus bas, mais la réalité du marché énergétique est tout autre. « Comme on a toujours autant besoin des tuyaux et qu’on a la même exigence de qualité et de sécurité, si on répartit les dépenses d’utilisation du réseau sur moins de consommation, forcément, consommateur par consommateur, ça fait un tout petit peu plus », explique Emmanuelle Wargon, présidente de la Commission de régulation de l'énergie. Cette logique explique en partie pourquoi, même avec une consommation en baisse, les prix peuvent grimper.
Les coûts de l'entretien du réseau, incompressibles et fixes, doivent être répartis sur un nombre décroissant de consommateurs, entraînant inévitablement une augmentation du coût unitaire. Nicolas Golberg, associé Energie chez Colombus Consulting, précise que la facture d'énergie ne se limite pas au coût de la molécule elle-même mais inclut également les taxes et l'entretien du réseau.
La transition énergétique et ses coûts
L'avenir du marché du gaz est également marqué par les défis de la transition énergétique. La volonté de réduire la consommation de gaz fossile, au profit de sources moins polluantes mais plus coûteuses, annonce un avenir où les prix ne peuvent que continuer à augmenter. La mutation vers des gaz plus verts, tels que le biogaz ou l'hydrogène, nécessite des adaptations significatives du réseau de transport existant, ce qui représente un coût supplémentaire pour le système énergétique.
Patrice Geoffon, professeur au Laboratoire d'Economie de Paris-Dauphine, souligne l'ampleur de la transformation en cours pour accueillir ces nouvelles formes d'énergie dans le réseau. Cette transition, si elle est nécessaire pour des raisons environnementales, a un coût qui sera inévitablement répercuté sur les consommateurs.
RépondreSupprimerUne facture de gaz salée pour les consommateurs
Les implications de ces augmentations pour les consommateurs sont loin d'être négligeables. Avec la hausse des prix du gaz, s'ajoute la perspective d'augmentations similaires pour d'autres sources d'énergie, comme l'électricité et le pétrole, exacerbant le fardeau financier des ménages. Nicolas Leclerc, cofondateur du cabinet de conseil en énergie Omnegy, alerte sur une période d'au moins quatre années de hausse continue du prix du gaz, amplifiée par une fiscalité qui ne tendra qu'à augmenter pour compenser la baisse de la consommation.
L'amélioration de l'isolation des logements et l'optimisation des systèmes de chauffage deviennent des impératifs pour les foyers au gaz, souligne Nicolas Golberg. Face à l'augmentation inévitable des coûts énergétiques, la rénovation thermique des logements apparaît comme une des seules voies pour maintenir des factures à un niveau soutenable.
Cet avenir énergétique, marqué par des coûts croissants et des défis environnementaux, impose une réflexion profonde sur notre consommation et sur les moyens de la rendre plus durable et moins onéreuse. Les années à venir seront décisives dans la manière dont les consommateurs et les pouvoirs publics navigueront dans cette transition énergétique complexe, cherchant un équilibre entre impératifs écologiques et réalités économiques.
https://www.economiematin.fr/gaz-augmentation-prix-facture?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook
(...) Cette logique explique en partie pourquoi, même avec une consommation en baisse, les prix peuvent grimper. (...)
SupprimerLes gaz (propane & butane) proviennent des nappes pétrolières qui en poussent le pétrole brûlant à s'évacuer en derricks. Mais, il y a torchères ! Torchères qui n'auraient pas lieu d'être car le gaz se vend
C'est là le problème directeur des marchés !
L'ORF dément les données du GIEC sur la température depuis la dernière période glaciaire
RépondreSupprimer11 février 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Outre l’organisation des pandémies, la « lutte » contre le changement climatique prétendument causé par les activités humaines est actuellement la préoccupation la plus importante des organisations mondiales telles que l’UE, l’ONU ou le WEF et donc aussi de leurs médias. Les chaînes publiques, en particulier, s'emploient à dresser le tableau d'une « terre en ébullition » (© Secrétaire général de l'ONU, Antionio Guterres). Cependant, les données historiques sur la température et le climat disent le contraire et doivent donc être corrigées.
Ci-dessus, vous pouvez voir une capture d'écran d'un diagramme de température provenant d'un reportage de la chaîne de télévision autrichienne ORF III. À gauche se trouve également celle de l’organisation onusienne IPCC Intergovernmental Panel on Climate Change (Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique), connue sous le nom de « Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat ». Même cette organisation ne nie pas qu’il y ait eu des périodes nettement plus chaudes au cours de l’Holocène, la période qui s’est écoulée depuis la fin de la dernière période glaciaire il y a environ 12 000 ans, que pendant la période chaude moderne.
Il s'agit de l'émission sur la chaîne de télévision ORF III du 29 décembre 2023, pour laquelle le physicien Dr. Bernhard Strehl a déposé une plainte auprès de l'autorité de régulation compétente KommAustria. L’article était intitulé « Autriche – Toute l’histoire (5/10) » avec le sous-titre « Otages du froid » sur une longue période de froid.
La plainte indique :
« Le programme est qualifié de documentaire sur le thème de l’histoire. ….
Ce programme est truffé de désinformations, de demi-vérités, de distorsions, de fausses connexions, etc. En particulier, deux graphiques de température sont présentés au cours du programme, qui montrent tous deux une augmentation de température considérablement exagérée (« pics ») à l’heure actuelle. Ces représentations sont fausses, trompeuses, manipulatrices et ne sont étayées par aucune étude scientifique fiable.
Concernant les graphismes, la plainte explique :
Minute 17:32 Un graphique à taille humaine s'enroule de gauche à droite, montrant une progression de la température dans le temps depuis l'année 0 jusqu'à aujourd'hui.
- voir graph sur site -
Ce graphique et le deuxième graphique ci-dessous sont d'une importance cruciale pour l'évaluation du programme. C’est pourquoi les deux sont discutés de manière très détaillée.
Il y a quelques problèmes avec le graphique, comme « C° » au lieu de « °C ». De plus, les noms des axes ne sont pas corrects. La représentation en perspective crée une impression totalement fausse d’une augmentation de température sans précédent.
Dr. Strehl poursuit :
RépondreSupprimerCe graphique contient plusieurs informations incorrectes :
1. Les valeurs de température affichées ne reflètent pas la température moyenne mondiale. Dans la période indiquée, celle-ci se situe entre environ 13°C et environ 17°C. La valeur zéro est choisie de manière totalement arbitraire à un moment donné peu avant « aujourd’hui ».
2. L’intervalle de temps entre la période chaude romaine et la période chaude médiévale par rapport à l’intervalle de temps entre la période chaude médiévale et le petit âge glaciaire est beaucoup trop court. Cela donne l’impression que le Petit Âge Glaciaire a eu lieu très tard après la Période Chaude Médiévale. Mais cela a suivi immédiatement la période chaude médiévale.
3. Les valeurs de température de la courbe ne peuvent pas être vérifiées. M. Pfeiffer lui-même dit au début de l'émission (minute 02:21 voir ci-dessus) qu'il y avait un refroidissement moyen allant jusqu'à 2°C. Ce 2°C est également mentionné dans le texte d'information du programme ; voir pièce jointe. Dans le graphique ORF, la différence de température entre le maximum de la Période Chaude Médiévale et le minimum du Petit Âge Glaciaire est inférieure à 0,4°C, soit seulement un cinquième du refroidissement réel.
4. Le graphique montre une augmentation spectaculaire d’environ 1,7°C vers la fin de la courbe de température. Cela est contraire à la science. Comme déjà mentionné, le caractère dramatique de la montée est encore accentué par la coloration de la ligne et son élargissement supplémentaire.
Les fausses déclarations dans l’émission ont d’autres points forts :
Minute 17:49 Un deuxième graphique de température s'affiche de gauche à droite. M. Pfeifer déclare : « Cette image se dessine sur une période de 11 000 ans. »
Commentaire : Cependant, si vous regardez attentivement la chronologie, vous pouvez immédiatement voir que la période indiquée n'est pas de 11 000 ans, mais de 12 000 ans. La période de 0 à aujourd'hui ; c'est-à-dire 2 000 ans et en plus celui avant l'année zéro jusqu'à l'année 10 000.
Le physicien Strehl explique notamment : « Dans ce graphique, l'augmentation jusqu'à présent est encore plus spectaculaire ; il monte presque verticalement. La coloration à l'extrémité droite vers le haut est maintenant d'un rouge riche.
Le premier rapport d'évaluation du GIEC de 1990 mentionné ci-dessus contient également à la page 202 un diagramme de courbe de température pour la période allant d'il y a environ 12 000 ans à aujourd'hui (voir annexe GIEC AR 1 1990, page 202).
Le GIEC utilise la température de 1900 comme ligne de 0°C ; selon le GIEC, il y a environ 12 000 ans, les températures étaient de 4°C en dessous de la ligne zéro. Cependant, l’ORF n’avait qu’une température négative d’un peu moins de -1,0°C il y a 12 000 ans, ce qui s’écarte considérablement des -4°C du diagramme du GIEC. « Le graphique ORF déforme délibérément la courbe de température réelle et donne ainsi l'impression que des changements de température majeurs ne se sont produits que dans un passé récent ; "surtout comme si les températures actuelles étaient plus élevées qu'à tout autre moment au cours des 12 000 dernières années." Ce qui est tout simplement faux.
Et cette production de fausses nouvelles est financée par l’argent des impôts et des cotisations obligatoires.
Voici l'intégralité de la plainte :
- voir sur site -
https://tkp.at/2024/02/11/orf-leugnet-ipcc-daten-ueber-temperatur-seit-letzter-eiszeit/