Visualiser les modèles de densité de population en Afrique
PAR TYLER DURDEN JEUDI 8 FÉVRIER 2024 - 10H15
L’Afrique, le deuxième plus grand continent du monde, s’étend sur plus de 30 millions de km2 et abrite non seulement le plus grand désert du monde, mais aussi la deuxième plus grande forêt tropicale humide et, bien sûr, environ 1,4 milliard d’habitants.
Dans cette infographie, Nick Routley et Pallavi Rao de Visual Capitalist cartographient les modèles de densité de population du continent. C’est un excellent exemple de la façon dont les humains se rassemblent près de l’eau douce et aux abords des obstacles naturels.
- voir cadre sur site -
Ces données sur la densité de population proviennent de l’ensemble de données Gridded Population of the World créé par le Centre pour le réseau international d’information sur les sciences de la Terre (CIESIN) hébergé par le Centre de données et d’applications socio-économiques (SEDAC) de la NASA.
Classement : Pays africains les plus peuplés
Le Nigeria, deuxième économie d’Afrique, est également la plus peuplée : plus de 220 millions de personnes vivent dans ce pays diversifié d’Afrique de l’Ouest, composé de 250 groupes ethniques et parlant plus de 500 langues différentes.
Et la nation ne fait que croître. D’ici 2100, on estime que la population nigériane pourrait être plus de trois fois supérieure à sa population actuelle, soit près de 800 millions d’habitants, devenant ainsi le deuxième pays le plus peuplé du monde.
- voir cadre sur site -
Source : Département des affaires économiques et sociales des Nations Unies, World Population Prospects. (2022)
À l’est du continent, l’Éthiopie est le deuxième pays le plus peuplé du continent. Contrairement au Nigéria, qui compte près de 20 villes comptant au moins un demi-million d’habitants, plus des trois quarts des 127 millions d’habitants de l’Éthiopie vivent dans des communautés rurales.
Classé troisième, l’Égypte (112 millions) est le seul pays d’Afrique du Nord parmi les cinq premiers en termes de population. La République démocratique du Congo (RDC) arrive en quatrième position (102 millions), tandis que la Tanzanie (67 millions) complète le top cinq.
Classement : Pays africains à la croissance la plus rapide par population
En 1900, l’Afrique représentait 9 % de la population mondiale. Actuellement, sa part s'élève à près de 18 %. D’ici 2025, le Fonds monétaire international (FMI) estime qu’une personne sur quatre dans le monde vivra en Afrique et affirme que la transition démographique du continent a le pouvoir de « transformer le monde ».
Les pays africains les plus peuplés (RDC, Tanzanie, Éthiopie, Nigéria et Égypte) contribueront bien entendu à la plus grande part de cette croissance, mais au sein du continent, d’autres pays connaissent également une croissance démographique relativement rapide.
Au Soudan du Sud, le pays le plus récent du monde, la population augmente de près de 5 % chaque année. Entre-temps, la population subsaharienne dans son ensemble augmente deux fois moins vite. Outre un taux de fécondité plus élevé, le pays connaît également un afflux de réfugiés en provenance des zones de conflit du Soudan voisin.
Bien qu’aucun autre pays africain n’égale la croissance démographique du Soudan du Sud, plusieurs économies parmi les plus pauvres d’Afrique affichent également une croissance démographique annuelle de plus de 3 %, notamment le Niger, le Burundi et le Tchad.
Classement : Villes africaines les plus peuplées
Environ la moitié de l’Afrique vit dans des zones urbaines, ce qui est inférieur à la moyenne mondiale de 57 %. Les 10 villes les plus peuplées du continent comptent ensemble environ 115 millions d’habitants, soit plus de 1,5 fois la population totale du Royaume-Uni.
La capitale égyptienne, Le Caire, construite sur les rives du Nil, abrite plus de 22 millions d’habitants et est la plus grande ville d’Afrique. Cette métropole animée constitue un carrefour commercial important entre les continents depuis plus de 1 400 ans et reste, d’une manière ou d’une autre, l’une des villes les plus jeunes d’Égypte.
Au sud, à travers le désert du Sahara et près des rives de l’Atlantique, l’ancienne capitale du Nigeria, Lagos, compte un peu plus de 21 millions d’habitants. Le nom de la ville vient des nombreuses lagunes environnantes, et son nom original en yoruba, « Eko », signifie également « lac ». Les estimations de population de la ville sont souvent contestées en raison de la diversité des régions administratives, mais aussi de la rapidité de la croissance de Lagos : on estime que 2 000 nouveaux habitants s'y installent chaque jour.
Kinshasa, la capitale de la RDC, occupe la troisième place avec environ 15 millions d'habitants et devrait devenir la quatrième plus grande ville du monde, avec 35 millions d'habitants, d'ici 2050.
Johannesburg, en Afrique du Sud (15 millions) et Luanda, en Angola (9 millions) complètent le top cinq des villes africaines les plus peuplées.
Industrie : La transformation numérique pour accélérer la transition énergétique de l’industrie
Pour atteindre nos objectifs climatiques mondiaux, il faut trouver des solutions qui comblent les fossés et les fractures dans le monde. Accélérer la numérisation de l’industrie est l’une des meilleures solutions possibles.
Par Evgueny Fedotov le 9 février 2024 à 5h00
Les bâtiments, en Europe, sont responsables de 40 % de la demande d’énergie
Lors de sa conférence à Davos, le Forum économique mondial entend reconstruire la confiance entre toutes les parties-prenantes. Qu’il s’agisse de développer la coopération entre le nord et le sud, l’est et l’ouest, d’organiser la croissance et les emplois dans de nouveaux modèles, dans lesquels les technologies auront un rôle clé à jouer, ou encore de s’accorder sur les stratégies visant à protéger notre planète, la confiance doit être la clé de voute de notre réussite.
Les solutions qui ont un impact à grande échelle sont d’ores et déjà disponibles et bénéficient d'un large soutien de la part des parties prenantes. Il est de notoriété publique que l'industrie contribue actuellement à 32 % des émissions mondiales de gaz carbonique et que plus de 73 % des gaz à effet de serre proviennent de l'énergie. Digitaliser plus rapidement ces secteurs est la clé qui permettra d'améliorer leur efficacité et d’accélérer de manière significative le développement et le déploiement des énergies renouvelables.
Le Forum économique mondial estime que les technologies numériques mises en œuvre à grande échelle dans des secteurs difficiles à maîtriser, tels que l'énergie, le transport et les matériaux, pourraient réduire les émissions de 20 % d'ici à 2050.
Qu'il s'agisse d'améliorer l'efficacité énergétique, de minimiser les déchets, de réduire les émissions de carbone à la source ou de convertir les gaz à effet de serre nocifs en produits de base de grande valeur, nous disposons d’outils qui ont déjà fait leurs preuves. Parmi les gains constatés on peut citer une augmentation de 10% de la rentabilité, un retour sur investissement multiplié par trois, et des performances en matière de développement durable jusqu'à 20 % plus élevées.
Le moment est venu pour les entreprises d'abolir les silos et de s'unir pour agir en faveur du climat La numérisation et le tsunami technologique qui s'annoncent - de l'intelligence artificielle aux jumeaux numériques - constituent pour les acteurs industriels le moyen le plus efficace d'atteindre des résultats encore meilleurs. Cette connaissance numérique connectée va permettre aux industries d'assurer un avenir décarboné durable :
Le numérique favorise une collaboration unifiée entre les équipes internes et externes, entre les départements et même au-delà des frontières. Il peut favoriser l'échange d'informations en temps réel, la recherche et le développement collaboratifs, l'optimisation des chaînes d'approvisionnement et l'exploitation de l'analyse des données pour une prise de décision durable. Agir ensemble pour atteindre des objectifs communs devient également plus facile avec des données numériques. Les acteurs de l'écosystème - qu'il s'agisse d'équipes étendues, de développeurs, de partenaires ou de fournisseurs - peuvent tirer parti de plateformes hyperconnectées pour travailler ensemble, en favorisant l'efficacité et la durabilité tout au long de la chaîne de valeur. Atteindre nos objectifs climatiques et développer une économie durable est à notre portée. Selon une étude récente1, augmenter les investissements numériques de 2 % permettrait de réduire les émissions opérationnelles de 76 %.
Nous devons utiliser le Forum économique mondial pour aller au-delà des discussions et des clivages, mettre en œuvre des plans d'action, et établir de nouveaux partenariats afin de créer l'avenir vivable que nous souhaitons. En transformant la production industrielle en connaissances numériques, les entreprises peuvent accroître leur efficacité, leur résilience et leur impact durable, et réaliser leurs aspirations les plus audacieuses en matière de croissance et d'action climatique.
Vérification des faits : Steffi Lemke, ministre fédérale de 'l'Environnement, de la Protection de la Nature, de la Sécurité Nucléaire et de la Protection des Consommateurs' (Allemagne)
9 Février 2024 Ludger Weß chez Willi l'agriculteur*
Une contribution d'invité du Dr Ludger Weß, qui s'est penché sur les déclarations de la ministre de l'Environnement Steffi Lemke et a découvert de nombreuses incohérences.
La ministre de l'Environnement Steffi Lemke a accordé une interview (derrière un péage) au FAZ le 9 décembre 2023 au sujet de la nouvelle réglementation des technologies d'amélioration des plantes. L'interview contient de nombreuses affirmations sur les nouvelles technologies et les plantes qu'elles produisent – des affirmations avec lesquelles la ministre justifie son refus des propositions de nouvelle réglementation de la Commission. Mais ces affirmations sont-elles vraies ? Une vérification des faits.
Lemke : « Ce qui manque par exemple, c'est la vision des interactions et des écosystèmes. C'est pourquoi je ne partage en aucun cas l'affirmation selon laquelle ces plantes présentent en principe moins de risques pour l'environnement et la santé. »
Personne ne le prétend. Le consensus scientifique est que ces plantes ne présentent pas de risques plus élevés pour l'environnement et la santé que celles qui ont été produites par mutations (= génie génétique aléatoire). Pour supposer un risque plus élevé, il manque un motif d'inquiétude scientifiquement justifié. Ce n'est que dans ce cas que le principe de précaution peut être appliqué selon les critères de la Cour de Justice de l'Union Européenne et de la Commission Européenne. Cependant, étant donné que la mutagénèse aléatoire provoque beaucoup plus de modifications génétiques involontaires dans le génome que les « ciseaux génétiques » (plusieurs milliers à coup sûr contre quelques-unes potentiellement), on peut même supposer au contraire que le profil de risque des nouvelles plantes est inférieur [plus favorable] à celui des plantes non réglementées obtenues par mutagénèse aléatoire.
Lemke : « Premièrement, les ciseaux génétiques modernes peuvent pénétrer dans les régions du génome qui sont protégées par la nature contre les modifications. Ces régions ne sont pas facilement accessibles aux méthodes traditionnelles. »
Lemke : « Il n'est pas encore possible de savoir si l'utilisation de pesticides en sera réellement réduite. D'autres développements d'organismes issus de l'ancien génie génétique ont fait l'objet de cette promesse, et elle n'a pas été tenue. C'est pourquoi il faut examiner soigneusement de telles prévisions. »
Faux. Il existe une littérature abondante sur les plantes transgéniques résistantes à des insectes, qui prouve que ces plantes permettent de réduire considérablement l'utilisation d'insecticides. De plus, une étude publiée en juillet 2020 sur l'impact écologique des variétés génétiquement modifiées résistantes à des insectes et des herbicides entre 1996 et 2018 montre que l'utilisation de pesticides a diminué de 775,4 millions de kg et que le quotient d'impact environnemental qui y est associé a diminué de 18,5 %.
Dr. Ludger Weß
Littérature complémentaire
Leopoldina und DFG fordern wissenschaftsbasierte Positionierung in der EU-Debatte um neue genomische Techniken in der Pflanzenzucht (Leopoldina et la DFG demandent un positionnement fondé sur la science dans le débat européen sur les nouvelles techniques génomiques dans la sélection végétale)
Grünes Netzwerk Evidenzbasierte Politik: Wir kennen TATSÄCHLICH den Unterschied (Réseau Vert pour une Politique Fondée sur les Preuves : nous connaissons VRAIMENT la différence)
ad-hoc-Stellungnahme, 19. Oktober 2023: Für eine wissenschaftsbasierte Regulierung von mittels neuer genomischer Techniken gezüchteten Pflanzen in der EU (avis ad hoc, 19 octobre 2023 : pour une réglementation fondée sur la science des plantes produites au moyen de nouvelles techniques génomiques dans l'UE)
Nationale Akademie der Wissenschaften Leopoldina | Deutsche Forschungsgemeinschaft | Union der deutschen Akademien der Wissenschaften: Wege zu einer wissenschaftlich begründeten, differenzierten Regulierung genomeditierter Pflanzen in der EU (Académie Nationale des Sciences Leopoldina | Deutsche Forschungsgemeinschaft | Union des Académies Allemandes des Sciences : Voies vers une réglementation différenciée et scientifiquement fondée des plantes au génome édité dans l'UE)
Offener Brief von über 400 Pflanzenforscherinnen und -forschern aus Deutschland: Appell an Bundesminister/-innen, sich für evidenzbasiertes europäisches Gentechnikrechts einzusetzen (lettre ouverte de plus de 400 chercheurs en sciences végétales d'Allemagne : appel aux ministres fédéraux pour qu'ils s'engagent en faveur d'une législation européenne sur le génie génétique fondée sur des preuves)
L'armée disperse régulièrement (chemtrails) de la fibre de verre recouverte d'aluminium dans l'air
Par le Dr Joseph Mercola Mercola.com 9 février 2024
En plus des changements climatiques1 qui se produisent dans le monde entier, les militaires du monde entier dispersent également régulièrement de minuscules morceaux de fibre de verre et de plastique recouverts d’aluminium – appelés « paillettes » – dans la colonne d’air, pour protéger les avions et les navires des radars ennemis. 2 Il n'est pas surprenant que cela ait été fait pendant des décennies, sans preuve claire que cela soit sans danger pour les humains et l'environnement.
Selon un rapport du General Accounting Office de 19983 et un rapport de suivi de 19994 du Naval Research Laboratory, les impacts environnementaux, humains et agricoles des paillettes utilisées dans les scénarios d’entraînement militaire à l’époque étaient « négligeables et bien inférieurs à ceux d’autres hommes ». émis des émissions », mais cela signifie-t-il vraiment que c'est sûr ? Comme expliqué dans un article de Navy Medicine de 2001 :5
« Les paillettes radiofréquence (RF) sont une contre-mesure électronique conçue pour réfléchir les ondes radar et masquer les avions, les navires et autres actifs provenant des sources de suivi radar.
Les paillettes sont constituées de fibres de verre recouvertes d'aluminium (également appelées dipôles) d'une longueur allant de 0,8 à 0,75 cm. Les paillettes sont libérées ou distribuées par les véhicules militaires dans des cartouches ou des projectiles contenant des millions de dipôles.
Une fois déployé, un nuage diffus de dipôles se forme, indétectable à l’œil humain. Les paillettes sont un matériau très léger qui peut rester en suspension dans l'air de 10 minutes à 10 heures et parcourir des distances considérables depuis son point de rejet, en fonction des conditions atmosphériques dominantes.
La formation du personnel militaire, notamment des pilotes d’avion, à l’utilisation des paillettes est nécessaire pour déployer efficacement cette contre-mesure électronique. Comme pour la plupart des compétences acquises, le déploiement des paillettes doit être maintenu en pratiquant le largage en vol pendant la formation.
On estime que les forces armées américaines distribuent environ 500 tonnes de paillettes par an, la plupart étant libérées lors d’exercices d’entraînement sur la zone continentale des États-Unis.
Selon l’enquête de Naval Medicine, l’inhalation de fibres de paillettes entières et intactes ne présente « aucun risque » pour les humains en raison de leur plus grande taille. "S'ils sont inhalés, les dipôles devraient se déposer dans le nez, la bouche ou la trachée et être soit avalés, soit expulsés", indique le document.6
Notez cependant l’utilisation du mot « prédit ». Les prédictions ne sont pas des preuves. En gros, ils sont en train de deviner. Des questions restent également ouvertes sur ce qui se passe lorsque les fibres se dégradent.
"Plusieurs enquêtes ont démontré que les dipôles recouverts d'Al sont résistants aux intempéries et à la dégradation dans des conditions désertiques", indique le document.7
« Une étude de 1977, parrainée par la marine américaine, n'a trouvé aucune preuve indiquant que les paillettes se dégradent de manière significative ou rapide dans l'eau de la baie de Chesapeake et que ces matériaux n'ont pas non plus entraîné de lixiviation de quantités importantes d'aluminium dans la baie.
Une étude récente de notre groupe n'a trouvé aucune preuve que 25 années d'opérations de paillettes au détachement du Naval Research Laboratory à Chesapeake Beach, dans le Maryland, ont entraîné une augmentation significative des concentrations d'aluminium dans les sédiments ou dans le sol (Wilson et al 2000).
Cependant, des études supplémentaires sont nécessaires pour déterminer la demi-vie des dipôles de paillettes dans divers sols et conditions environnementales et si les dipôles se décomposent en particules respirables…
Bien qu'il n'existe aucune preuve définitive dans la littérature épidémiologique que l'exposition aux paillettes n'est pas nocive, il existe des informations épidémiologiques disponibles sur les travailleurs impliqués dans l'industrie de fabrication de la fibre de verre. Les données de ces études suggèrent que l’exposition à la fibre de verre n’est pas associée à un risque accru de décès par maladie respiratoire.
Le problème, c’est que les travailleurs de la fibre de verre sont équipés d’équipements de protection, notamment de respirateurs, de combinaisons Tyvek et de lunettes de sécurité8 – des équipements que les gens normaux ne portent pas lorsqu’ils sont en déplacement. Tout cela nous dit qu’il est peu probable que les paillettes nuisent à la santé publique, à condition que les gens portent des respirateurs, ce qui n’est pas le cas.
Il est remarquable qu’il n’existe pas grand-chose au-delà de ces trois rapports. Même si tous ont admis la nécessité de poursuivre les recherches, aucune ne semble avoir été publiée. On ne sait donc pas vraiment quel pourrait être l’impact dans le monde réel. Cela dit, le bon sens nous dit que l’aluminium et la fibre de verre dispersés dans l’air sont très susceptibles d’avoir un impact sur l’environnement et la santé humaine.
La géo-ingénierie existe depuis des décennies
L’aluminium et la fibre de verre ne sont pas les seules substances toxiques répandues dans notre ciel. Comme l'explique Dane Wigington, fondateur de Geoengineeringwatch.org, la modification du temps, également connue sous le nom de géo-ingénierie, dans laquelle divers métaux et produits chimiques toxiques sont dispersés à haute altitude, se poursuit depuis plus de 70 ans et est en augmentation plutôt qu'en déclin.
En réponse à un rapport du Intergovernmental Panel on Climate Change (Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique) des Nations Unies publié en août 2021,9,10 qui appelait à des mesures radicales pour empêcher une aggravation du réchauffement climatique, l’administration Biden a lancé un effort de recherche en 2022 pour déterminer le moyen le plus efficace de atténue le soleil.11
Une proposition consiste à injecter (de chemtrails par avions non-immatriculés) des aérosols de dioxyde de soufre dans la stratosphère terrestre. Les minuscules particules réfléchissantes renverraient la lumière du soleil dans l'espace plutôt que sur la surface de la Terre.12 Selon les chercheurs de Harvard,13 cette stratégie est non seulement « techniquement possible », mais aussi « remarquablement peu coûteuse », avec un prix « bien dans les limites des coûts ». portée de plusieurs nations.
Le climat de la Terre est largement contrôlé par la quantité de rayonnement solaire qui atteint la Terre et celle qui est absorbée par sa surface ou reradiée vers l’espace. La couverture nuageuse et les gaz à effet de serre sont des exemples de facteurs qui influencent la réflectance du rayonnement solaire.14
« Si les propositions de géo-ingénierie doivent influencer le climat mondial de manière significative, elles doivent intentionnellement modifier l’influence relative de l’un de ces mécanismes de contrôle », explique Britannica.15
Le rapport de l’ONU mentionne la gestion du rayonnement solaire et l’élimination des gaz à effet de serre comme des formes de géo-ingénierie.16 Les aérosols sulfatés entrent dans la catégorie de la gestion du rayonnement solaire. En réfléchissant davantage de rayonnement solaire dans l’espace, les aérosols abaissent les températures mondiales mais ont également un « effet secondaire » sérieux : ils diminuent les précipitations moyennes.
En conséquence, des techniques de géo-ingénierie supplémentaires – telles que l’éclaircissement des cirrus dans la haute atmosphère – seraient nécessaires pour contrecarrer la diminution des précipitations. Qu'est ce qui pourrait aller mal?
Les superordinateurs ont exécuté des modèles pour prédire comment la gestion du rayonnement solaire peut affecter différentes parties de la Terre, non seulement en termes de température mais aussi de précipitations et de chutes de neige. L’auteur du rapport, Govindasamy Bala, de l’Institut indien des sciences, a déclaré que « la science existe »,17 mais elle est loin d’être exacte.
« Je pense que la prochaine grande question, a déclaré Bala à Reuters, est la suivante : voulez-vous le faire ? … Cela implique de l’incertitude, des problèmes moraux, des problèmes éthiques et de gouvernance. Comme l’a rapporté Reuters : « C’est parce que chaque région serait affectée différemment. Alors que certaines régions pourraient bénéficier d’un monde artificiellement plus frais, d’autres pourraient souffrir, par exemple, du fait de ne plus avoir les conditions nécessaires pour cultiver. »18
« Risques catastrophiques »
Trois mois après que l'IPCC a publié son rapport incitant à la panique, des chercheurs australiens et britanniques ont publié un article de recherche original avertissant que l’injection d’aérosols stratosphériques comporte des « risques catastrophiques » qui pourraient bien nous conduire à « un sort pire que le réchauffement [global] » :19
« L’injection de particules dans l’atmosphère pour réfléchir la lumière du soleil, l’injection d’aérosols stratosphériques (SAI), représente une solution technologique potentielle à la menace du changement climatique. Mais le remède pourrait-il être pire que le mal ? …
Le SAI interagit de manière plausible avec d’autres calamités catastrophiques, notamment en exacerbant potentiellement les impacts d’une guerre nucléaire ou d’un événement météorologique spatial extrême. L’ISC pourrait contribuer au risque systémique en introduisant des facteurs de stress dans des systèmes critiques tels que l’agriculture.
Les facteurs de stress systémiques de SAI et les risques de cascades systémiques et de défaillances synchrones sont très peu étudiés. Le déploiement de l’ISC associe plus étroitement différents systèmes écologiques, économiques et politiques. Cela crée une situation précaire de risque latent, la plus grande source d’inquiétude…
Une utilisation bien coordonnée d’une petite quantité de SAI entraînerait des risques négligeables, mais il s’agit d’un scénario optimiste. À l’inverse, une utilisation plus large des ISC de manière non coordonnée présente de nombreux dangers potentiels. Nous ne pouvons pas déterminer de manière équivoque si l’ISC sera pire que le réchauffement. Pour l’instant, une forte dépendance à l’égard de l’ISC semble être une réponse politique imprudente.
En juin 2023, la Commission européenne a lancé un appel à « des négociations internationales sur les dangers et la gouvernance de la géo-ingénierie », avertissant que les projets de géo-ingénierie visant à modifier le climat mondial présentent des risques « inacceptables ». Lors d'une conférence de presse, le chef de la politique climatique de l'UE, Frans Timmermans, a déclaré :
« Personne ne devrait mener seul des expériences sur notre planète commune. Cela devrait être discuté dans le forum approprié, au plus haut niveau international.»
Le temps nous dira si de tels pourparlers auront lieu un jour. En septembre 2023, la Commission sur le dépassement climatique, présidée par Pascal Lamy, ancien chef de l'Organisation mondiale du commerce, a appelé à un moratoire mondial sur les expériences de modification du rayonnement solaire « qui comporteraient un risque de dommages transfrontaliers importants », et à se concentrer plutôt sur des stratégies visant à réduire émissions de gaz à effet de serre.20,21 Mais, pour l’instant, aucun moratoire de ce type n’a été convenu.
Zuzana Janosova Den Boer a connu le régime communiste en Tchécoslovaquie avant de déménager au Canada. Dans son article « J’ai survécu au communisme : êtes-vous prêt à votre tour ? » elle a détaillé les « signes bien trop familiers de la même propagande » qui commence à imprégner son pays d’adoption.22
En ce qui concerne la géo-ingénierie, elle souligne que le communisme a renversé le mouvement écologiste depuis les années 1970, lorsque Gus Hall, alors président du Parti communiste américain, a publié un livre intitulé « Ecology », dans lequel il déclarait :23
« La société humaine ne peut pas fondamentalement arrêter la destruction de l’environnement sous le capitalisme. Le socialisme est la seule structure qui le rende possible… Nous devons être les organisateurs, les dirigeants de ces mouvements.»
Den Boer écrit :24
« Cette idée a été intégrée au programme du Parti Vert américain en 1989… dans lequel les menaces fictives du « réchauffement climatique » et du « changement climatique » sont utilisées pour effrayer le public et lui faire croire que l’humanité doit « sauver la planète » :
« Cette urgence, ainsi que d'autres questions et thèmes verts qui y sont liés, font de la lutte contre l'effet de serre un puissant outil d'organisation… La survie est très motivante et peut nous aider à construire un mouvement de masse qui mènera à des changements politiques et sociétaux à grande échelle. changer en très peu de temps…
Tout d’abord, nous [devrons] informer le public que la crise est plus immédiate et plus grave qu’on ne le lui dit, que ses implications sont trop importantes pour attendre la confirmation scientifique universelle que seule une catastrophe écologique pourrait établir. '»
Le Intergovernmental Panel on Climate Change (Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique) de l'ONU, suggère Den Boer, ne promeut pas la science du climat mais l'idéologie socialiste, citant comme preuve les commentaires faits par Ottmar Georg Edenhofer, ancien coprésident du groupe de travail III du IPCC, qui, dans un L’interview de 2010 a déclaré que les questions climatiques sont une question d’économie et que :25
« Nous devons nous libérer de l’illusion selon laquelle la politique climatique internationale est une politique environnementale… Nous devons affirmer clairement que nous utilisons de facto la politique climatique pour redistribuer la richesse mondiale. »
La géo-ingénierie constitue une menace d’extinction pour l’humanité
Même sans prendre en compte le contrôle social, les risques pratiques de la géo-ingénierie sont impossibles à ignorer. Selon des études scientifiques, les particules dispersées lors de ces événements de géo-ingénierie « déchirent » la couche d’ozone. Ils perturbent également le cycle hydrologique (de la pluie), ce qui entraîne une multitude d’effets en aval, et cela s’ajoute à la propagation des toxines sur toute la surface de la planète.
Ainsi, même si une partie de la planète pourrait bénéficier de ces programmes, d’autres pourraient être décimées par des sécheresses, des incendies de forêt dévastateurs, des inondations ou des tempêtes. De plus, bien que le refroidissement global soit l’objectif déclaré de la plupart de ces programmes de géo-ingénierie, à mesure que la planète se réchauffe, les lois de la physique stipulent qu’il faut plus de précipitations pour la refroidir, et non moins, car l’atmosphère transporte plus d’humidité à mesure que la température augmente.
Pour refroidir la planète, il faut créer plus de pluie, mais ces programmes ont abouti à moins de pluie, et la raison de la réduction des précipitations est due aux particules présentes dans l'atmosphère. En plus de dévier la chaleur de l’extérieur, ces particules emprisonnent également la chaleur vers le bas, aggravant ainsi le réchauffement global de la planète.
Selon Dane Wigington, fondateur de Geoengineeringwatch.org, les risques de la géo-ingénierie sont si immenses qu’elle constitue une menace d’extinction pour l’humanité et que la fenêtre d’opportunité pour nous sauver se ferme rapidement. Les risques sont si immenses que Wigington prévient que la géo-ingénierie constitue déjà une menace d’extinction pour l’humanité. La fenêtre d’opportunité pour nous sauver se ferme rapidement.
Malheureusement, si les gens comprenaient vraiment l’ensemble de la situation – non seulement que le climat est manipulé, mais qu’en conséquence, les systèmes climatiques mondiaux se sont détériorés au point que la Terre entière est en grave difficulté ; en bref, que ces programmes ont pu créer un événement d’extinction incontrôlable – l’impact émotionnel pourrait être trop important à supporter pour beaucoup. Wigington en a parlé dans une interview que j'ai faite avec lui en 2016 :
« Notre situation est bien plus grave que ce que la plupart des gens imaginent », a-t-il déclaré. « Le génie climatique ne fait qu’aggraver la situation, au lieu de l’améliorer.
Donc [ils doivent] essayer d’empêcher la population de paniquer face à la gravité et à l’immédiateté de l’implosion climatique, et maintenir la population dans l’ignorance parce que les programmes d’intervention climatique ont contribué à accélérer ce processus et à toxifier chacun d’entre nous dans le monde. processus.
Chaque sujet humain que nous testons est rempli d’aluminium, de baryum – tous les métaux lourds que nous savons associés à ces programmes. Peu importe où ils vivent.
Et nous savons qu’il tombe dans les précipitations en quantités inimaginables – des quantités suffisantes pour modifier les valeurs du pH du sol dans le nord-ouest du Pacifique de 10 à 12 fois l’alcalinité totale – c’est une quantité inimaginable de métal tombant sous la pluie.
Si les populations comprenaient vraiment ce qui leur a été fait, ce qui a été fait à la planète… elles descendraient dans les rues avec des fourches et des torches partout dans le monde.
La vie des insectes aquatiques et terrestres de Californie a été décimée
Geoengineeringwatch.org répertorie un certain nombre de tests de laboratoire qui ont été effectués sur de l'eau de pluie, des échantillons d'air, etc., ainsi que leurs résultats. Vous pouvez les trouver dans la section Tests.
« En ce qui concerne l’effet sur l’environnement, rien qu’en Californie du Nord… ce que nous avons vu au cours de la dernière décennie… c’est un déclin de 90 % de la vie des insectes aquatiques et terrestres – un crash virtuel », m’a dit Wigington en 2016.
« Il y a tellement d'aluminium qui descend des précipitations, ce qui affecte le pH du sol et, c'est très important, le niveau de rayonnement UV est hors du commun, et nous pouvons le relier directement à l'ingénierie climatique… Nous constatons des niveaux d'UVB d'environ 1 000 %. plus élevé que ce qu'on nous dit. Cela brûle l’écorce des arbres. Cela tue le plancton. Cela affecte la vie des insectes…
[Il augmente le rayonnement UVB] car il détruit la protection naturelle de la planète. Lorsque vous mettez une particule dans l’atmosphère, peu importe qu’elle provienne de l’arrière d’un avion à réaction ou d’un volcan ; il provoque une réaction chimique dans l'atmosphère qui détruit l'ozone. Période. Ainsi, plus vous rejetez de ces particules dans l’atmosphère, plus la destruction de l’ozone est rapide. »
Compte tenu de tout cela, il est très peu probable que la dispersion des paillettes militaires n’ait aucun impact négatif. On pourrait faire valoir que les paillettes sont trop importantes pour un système de défense pour s’en débarrasser, et cela peut être vrai. Mais l’ingénierie spécifique au climat est une tout autre affaire.
En effet, le responsable du développement durable de HSBC a raison. L’année dernière, les réalités énergétiques ont contraint l’AIE à publier une mise à jour de sa feuille de route carboneutre, révisant considérablement à la hausse la demande de charbon et de pétrole.
Néanmoins, dans son dernier rapport, l'AIE prédit que la demande de pétrole et de gaz atteindra un pic avant 2030 - même si la demande bat record après record, ce qui contraste fortement avec les prévisions régulières de la demande et des tendances de l'offre de l'AIE et d'autres. Et ce n’est pas seulement une question de demande de pétrole. La demande de charbon augmente, tirée par la Chine et l’Inde. Cette dernière a récemment annoncé qu’elle réduirait le financement de transition destiné aux compagnies pétrolières publiques et doublerait sa capacité de production d’électricité au charbon.
Curieusement, l’Allemagne construit de nouvelles centrales électriques au gaz. Figure emblématique de la transition énergétique, le pays doté de l’une des plus grandes capacités en énergie éolienne et solaire, qui s’est récemment vanté de battre des records de production électrique, construit des centrales électriques au gaz. La motivation en est de « garantir la sécurité électrique à mesure que la part des énergies renouvelables intermittentes augmente et que le charbon est progressivement éliminé », selon Clean Energy Wire.
Pourtant, le charbon a été progressivement réduit l'année dernière après que la coalition au pouvoir en Allemagne a fermé les trois dernières centrales nucléaires du pays – malgré l'opposition de la moitié des Allemands. Ni l’AIE ni personne d’autre n’aurait pu prédire cela. Et pourtant, cela s’est produit, ainsi que d’autres événements apparemment imprévisibles, tels que : B. le ralentissement de la demande de véhicules électriques sur les marchés clés.
Pourtant, le charbon a été progressivement réduit l'année dernière après que la coalition au pouvoir en Allemagne a fermé les trois dernières centrales nucléaires du pays – malgré l'opposition de la moitié des Allemands. Ni l’AIE ni personne d’autre n’aurait pu prédire cela. Et pourtant, cela s’est produit, ainsi que d’autres événements apparemment imprévisibles, tels que : B. le ralentissement de la demande de véhicules électriques sur les marchés clés.
Pendant ce temps, les deux secteurs sont en difficulté malgré le soutien massif des gouvernements à l’énergie éolienne et solaire en Europe et en Amérique du Nord. Il ne fallait pas s’attendre à cela au vu des scénarios optimistes présentés aux investisseurs par l’AIE et d’autres défenseurs de la transition énergétique. En fait, la capacité éolienne et solaire devrait croître sans relâche. Mais il est devenu clair récemment que le soutien du gouvernement ne suffit pas à lui seul à garantir cette croissance effrénée.
Des facteurs tels que l'inflation et les coûts d'emprunt ainsi que les défis technologiques et la concurrence se sont également révélés valables pour l'industrie éolienne et solaire, comme pour toutes les autres industries. Les prévisions et les calendriers optimistes se sont heurtés de plein fouet à la réalité. Il est maintenant temps de se précipiter pour ajuster les objectifs de zéro émission nette que tant d’entreprises se sont fixés sur la base de ces prévisions.
La question est de savoir si les bureaucrates européens seront à un moment donné enclins à prendre note des faits. Il est à craindre qu’ils s’en tiennent encore longtemps à leurs projets destructeurs. En tout cas, les agriculteurs l’ont bien compris et ripostent.
D'une part ils polluent le ciel de milliards de milliards de nano-particules mortelles chemtraillées par avions et, d'autre part, ils s'attaquent aux survivants comme étant responsables de la mort des autres de par leurs émissions !!
« La grande réinitialisation » est arrivée : suivez l'argent. « Confinement insensé » de l’économie mondiale, « L’agenda vert »
Par F. William Engdahl Recherche mondiale, 8 février 2024
La réorganisation descendante de l’économie mondiale par une cabale de corporativistes technocratiques, dirigée par le groupe autour du Forum économique mondial de Davos – ce qu’on appelle la Grande Réinitialisation ou Agenda 2030 des Nations Unies – n’est pas une proposition future. C’est en passe de se concrétiser alors que le monde reste dans un confinement insensé à cause d’un virus. Le domaine d’investissement le plus en vogue depuis le début des confinements mondiaux liés au coronavirus est ce qu’on appelle l’investissement ESG.
Ce jeu hautement subjectif et très contrôlé déplace considérablement les flux de capitaux mondiaux vers un groupe sélectionné d’actions et d’obligations d’entreprises « approuvées ». Il fait notamment progresser l’Agenda 2030 dystopique de l’ONU ou l’agenda de la Grande Réinitialisation du WEF. Ce développement constitue l’un des changements les plus dangereux et les moins compris depuis au moins un siècle.
Le programme de l’ONU pour une « économie durable » est mis en œuvre discrètement par les mêmes banques mondiales qui ont créé les crises financières de 2008. Cette fois, elles préparent la Grande Réinitialisation du FEM de Klaus Schwab en dirigeant des centaines de milliards et bientôt des milliards d’investissements entre leurs mains. -sélectionné des entreprises « réveillées », et éloignées de celles « non réveillées » comme les sociétés pétrolières et gazières ou celles de charbon.
Ce que les banquiers et les fonds d’investissement géants comme BlackRock ont fait, c’est créer une nouvelle infrastructure d’investissement qui sélectionne les « gagnants » ou les « perdants » en fonction du sérieux de l’entreprise en matière d’ESG (environnement, valeurs sociales et gouvernance).
Par exemple, une entreprise obtient des notes positives pour le sérieux de son recrutement de cadres et d’employés diversifiés, ou prend des mesures pour éliminer son « empreinte » carbone en rendant ses sources d’énergie vertes ou durables pour reprendre le terme de l’ONU. La manière dont les entreprises contribuent à une gouvernance mondiale durable est la plus vague des ESG et pourrait inclure n'importe quoi, depuis les dons d'entreprises à Black Lives Matter jusqu'au soutien aux agences des Nations Unies telles que l'OMS.
L’objectif central crucial des stratèges ESG est de créer une transition vers des énergies alternatives inefficaces et coûteuses, l’utopie promise du Zéro Carbone. Cette tendance est portée par les principales institutions financières et banques centrales du monde. Ils ont créé un éventail éblouissant d’organisations pour mener leur programme d’investissement vert.
En 2013, bien avant le coronavirus, la grande banque de Wall Street, Morgan Stanley, a créé son propre Institut pour l’investissement durable. Cela a rapidement été élargi en 2015 lorsque Morgan Stanley a rejoint le comité directeur du Partnership for Carbon Accounting Financials (PCAF). Sur son site Internet, ils déclarent,
« Le PCAF s'appuie sur la position de l'Accord de Paris sur le climat selon laquelle la communauté mondiale devrait s'efforcer de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C au-dessus des niveaux préindustriels et que la société devrait se décarboniser et atteindre zéro émission nette d'ici 2050. »
En 2020, le PCAF comptait plus de 100 banques et institutions financières, dont ABN Amro, Nat West, Lloyds Bank, Barclays, Bank of America, Citi Group, CIBC, Danske Bank et d'autres . Plusieurs banques membres du PCAF ont été mises en examen dans des affaires de blanchiment d'argent. Ils perçoivent désormais un nouveau rôle en tant que modèles de vertu pour changer l’économie mondiale, si l’on en croit la rhétorique. Notamment, l'ancien gouverneur de la Banque d'Angleterre, Mark Carney , est un « observateur » ou consultant auprès du PCAF.
Anne Finucane, vice-présidente de la Bank of America, membre à la fois du PCAF et de la TCFD, a noté :
« Nous nous engageons à garantir que les risques et opportunités liés au climat soient correctement gérés au sein de notre entreprise et à travailler avec les gouvernements et les marchés pour accélérer les changements nécessaires… le changement climatique présente des risques pour le monde des affaires, et il est important que les entreprises expliquer comment ces risques sont gérés.
Le vice-président de Bank of America décrit comment ils évaluent les risques de son portefeuille de prêts immobiliers en évaluant « une analyse aiguë des risques physiques sur un échantillon de portefeuille de prêts hypothécaires résidentiels de Bank of America à travers les États-Unis. Chaque propriété a reçu une note basée sur le niveau de risque. associés à 12 dangers potentiels : tornade, tremblement de terre, cyclone tropical, tempête de grêle, incendie de forêt, crue de rivière, crue éclair, inondation côtière, foudre, tsunami, volcan et tempête hivernale.
De plus, le « risque » d'investissement des banques dans le pétrole et le gaz ainsi que dans d'autres secteurs industriels est examiné à l'aide des critères du TCFD de Carney. Tous les risques sont définis comme liés au gaz carbonique, malgré le fait qu’il n’existe aucune preuve scientifique concluante que les émissions anthropiques de gaz carbonique sont sur le point de détruire notre planète à cause du réchauffement climatique. Les preuves de l'activité solaire suggèrent plutôt que nous entrons dans une période de refroidissement instable, le Grand Minimum Solaire. Cela n’inquiète pas les intérêts financiers qui risquent de récolter des milliards au cours de la décennie à venir.
Un autre élément clé de la préparation financière à la Grande Réinitialisation , la transformation fondamentale d'une économie à haute intensité énergétique en une économie faible et économiquement inefficace, est le Sustainability Accounting Standards Board (SASB) .
Le SASB affirme qu'il « fournit un ensemble clair de normes pour la communication d'informations sur le développement durable dans un large éventail de domaines… » Cela semble rassurant jusqu'à ce que nous regardions qui compose les membres du SASB qui donneront l'Imprimatur respectueuse du climat. Les membres comprennent, outre le plus grand gestionnaire de fonds au monde, BlackRock (plus de 7 000 milliards de dollars sous gestion), également Vanguard Funds, Fidelity Investments, Goldman Sachs, State Street Global, Carlyle Group, Rockefeller Capital Management et de nombreuses grandes banques telles que Bank d'Amérique et UBS. Beaucoup d’entre eux sont responsables de l’effondrement financier mondial de 2008.
Que fait ce groupe-cadre ? Selon leur site Web, « Depuis 2011, nous travaillons vers un objectif ambitieux consistant à développer et à maintenir des normes comptables de développement durable pour 77 secteurs . »
Le but de tout cela est de créer un réseau d’entités financières basées à l’échelle mondiale qui contrôlent la richesse combinée, y compris les fonds d’assurance et de pension, pour ce qu’ils prétendent valoir 100 000 milliards de dollars. Ils fixent les règles et définiront une entreprise ou même un pays en fonction du degré d’émission de carbone qu’ils génèrent.
Si vous êtes propre et vert, vous obtenez potentiellement des investissements .
Si vous êtes considéré comme un pollueur de carbone comme le sont aujourd’hui les industries du pétrole, du gaz et du charbon, les flux de capitaux mondiaux désinvestiront ou éviteront de vous financer.
La cible immédiate de cette cabale financière est l’épine dorsale de l’économie mondiale, l’industrie pétrolière et gazière ainsi que le charbon. [Cela a également des implications géopolitiques et stratégiques].
La cible immédiate de ce cartel financier est l’épine dorsale de l’économie mondiale, le secteur du pétrole, du charbon et du gaz naturel. Les analystes de l'industrie pétrolière prédisent qu'au cours des cinq prochaines années ou moins, les flux d'investissement dans le plus grand secteur énergétique du monde diminueront considérablement. "Étant donné l'importance cruciale de la transition énergétique pour les perspectives de croissance de chaque entreprise, nous demandons aux entreprises de divulguer un plan sur la manière dont leur modèle commercial sera compatible avec une économie nette zéro", a écrit Larry Fink, président-directeur général de BlackRock, dans sa lettre de 2021 à PDG. Blackrock est le plus grand groupe d'investissement au monde avec plus de 7 000 milliards de dollars à investir. Un autre responsable de BlackRock a déclaré lors d’une récente conférence sur l’énergie : « là où BlackRock va, d’autres suivront ».
« Pour continuer à attirer des capitaux, les portefeuilles doivent être construits autour d'actifs de base privilégiés : des barils à faible coût, de longue durée et à faible intensité de carbone », a déclaré Andrew Latham , vice-président de l'exploration mondiale chez WoodMac, un cabinet de conseil en énergie .
L’administration Biden tient déjà sa promesse d’éliminer progressivement le pétrole et le gaz en interdisant les nouvelles concessions sur les terres fédérales et offshore ainsi que l’oléoduc Keystone XL. Le secteur pétrolier et gazier et ses dérivés comme la pétrochimie sont au cœur de l’économie mondiale. Les 50 plus grandes sociétés pétrolières et gazières du monde, qu’elles soient publiques ou cotées en bourse, ont enregistré des revenus d’environ 5 400 milliards de dollars en 2015.
Alors que la nouvelle administration Biden renforce son opposition idéologique aux soi-disant combustibles fossiles, le monde connaîtra un déclin précipité des investissements pétroliers et gaziers. Le rôle des mondialistes de Davos et des acteurs financiers ESG est là pour garantir cela.
Et les perdants seront nous.
Les prix de l’énergie vont monter en flèche, comme ils l’ont fait lors des récentes tempêtes de neige au Texas. Le coût de l’électricité dans les pays industrialisés deviendra prohibitif pour l’industrie manufacturière. Mais repose-toi bien. Tout cela fait partie de la Grande Réinitialisation en cours et de sa nouvelle doctrine d’investissement ESG.
En 2010, le chef du groupe de travail 3 du Intergovernmental Panel on Climate Change (Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique) le Dr Otmar Edenhofer, a déclaré lors d'un entretien : « …il faut dire clairement que nous redistribuons de facto la richesse mondiale par la politique climatique. Il faut se libérer de l’illusion selon laquelle la politique climatique internationale est une politique environnementale. Cela n’a presque plus rien à voir avec la politique environnementale … » La Grande Réinitialisation du WEF n’est pas simplement une grande idée de Klaus Schwab réfléchissant à la dévastation économique du coronavirus. Cela a été planifié depuis longtemps par les maîtres de l’argent.
Qu’est-ce qui retient l’humanité d’affronter les forces déterminées à la détruire ?
Par Julien Rose Recherche mondiale 8 février 2024
Introduction
La guerre, à un niveau autre qu’un conflit localisé, est un événement artificiel et planifié basé sur des arrière-pensées.
À l’ère de la mondialisation, la guerre est utilisée pour détourner l’attention de quelque chose d’une importance plus durable que les protagonistes souhaitent introduire sous le couvert de la fumée et du feu qui dominent l’imagerie et la rhétorique du champ de bataille.
Quelque chose qui asservirait davantage une grande partie de l’humanité pour se conformer à la fin du jeu souhaitée – et à un rythme beaucoup plus rapide que ce qui serait autrement possible.
La guerre est également motivée par l’opportunité d’une reprise économique pour le complexe militaro-industriel et, bien sûr, par le fait qu’elle est un signe avant-coureur du chaos.
Le chaos est un facteur essentiel pour inciter les populations traumatisées à appeler à un grand frère sauveur pour mettre fin au conflit.
Le conflit que ces mêmes agents de contrôle d’élite promoteurs de « sauveurs » ont joué un rôle majeur dans le déclenchement en premier lieu.
Étant donné que les événements mondiaux sont manipulés politiquement et économiquement pour donner toujours plus de pouvoir à un nombre toujours plus restreint d'institutions et de ceux qui les dirigent, les « ennemis du peuple » sont facilement identifiés.
Cependant, la différence entre un ennemi du 21 e siècle et un ennemi des époques précédentes réside dans le fait que la version du 21 e siècle utilise la manipulation psychologique avancée comme arme principale d'une armurerie de plus en plus virtuelle.
L’ennemi public numéro 1 d’aujourd’hui. 1 – est un maître de la tromperie. Comprendre cela signifie reconnaître que nous avons une nouvelle dimension à aborder pour développer une stratégie capable de mettre à nu cette tromperie et de faire exploser son emprise psychologique sur la meilleure partie de l’humanité.
Cela ne peut être fait que par ceux qui possèdent la prévoyance et la conscience qui leur permettent d’identifier les modèles de comportement et les motivations communs aux principaux acteurs du processus d’esclavage humain.
Cela implique de reconnaître les principaux éléments causals derrière l'hypnose de masse de l'humanité . L'induction d'un état d'esprit (et d'être) qui conduit les bonnes personnes à « ne pas agir » alors que tout autour d'elles exige instinctivement une action immédiate.
En examinant de plus près cette situation désastreuse, il devient évident que quelque chose bloque l’instinct de survie plus large d’une grande partie de la population humaine.
Par « état de survie », j’entends bien plus que le fait de réussir d’une manière ou d’une autre à rester en vie dans une crise où son être physique est en danger. L'état qui est bloqué n'est pas celui-là, il est au niveau psychique et spirituel.
Cet état qui donne instinctivement une idée de ce qui est bien et de ce qui ne va pas – et une connexion avec les autres ainsi qu’avec l’environnement naturel qui nous nourrit.
Lorsque cet état de connexion est sain, nous nous sentons immédiatement indignés qu’une partie de cette entité vivante collective dont nous faisons partie soit menacée par les actes flagrants d’autres êtres humains.
Mais lorsqu’il n’est pas en bonne santé – lorsqu’il est malade – cette indignation instinctive ne parvient pas à intervenir. Au lieu de cela, l’émotion prédominante est celle du retrait et de l’auto-préservation passive. Et c’est ce repli dans une impasse égoïste d’indifférence à l’égard du sort de la famille de l’homme et de la nature – qui est la véritable pandémie de notre époque.
J'ai décrit dans des articles précédents comment le dieu techno-industriel numérisé de l'abstraction de masse, associé à sa promesse d'une « culture de la commodité », a joué un rôle important en détournant l'humanité de tout effort pour se connecter à sa nature profonde, pour répondre à l’appel d’un objectif plus élevé et d’une âme directrice.
Une préoccupation égoïste concernant les préférences personnelles s’accompagne d’une indulgence pour des préoccupations essentiellement cosmétiques. Et cela arrive au moment même où le monde est déchiré par des divisions planifiées et durement appliquées qui vampirisent les valeurs humaines et préparent le terrain pour que le système de contrôle central devienne totalement despotique.
Ceux qui sont capables de s’offrir le faux luxe d’un intérêt égoïste dans une période comme celle-ci se présentent brutalement comme d’excellents exemples d’un effondrement complet des sensibilités humanitaires et spirituelles qui donnent à la vie sa véritable résonance et son véritable sens.
Ce que nous devons faire pour parvenir à résoudre cette crise omniprésente, c’est identifier la source et la nature de cette grande tromperie perpétrée sur une humanité en grande partie non résistante.
Pas seulement la technologie, mais aussi ce qui se cache derrière la technologie et qui a hypnotisé les êtres vivants pour qu’ils suivent son programme empoisonné de surveillance et de contrôle.
Ici, une fois que nous regardons assez profondément, nous trouvons le programme anti-vie qui appartient à cette catégorie de maladies humaines que nous appelons psychotiques, psychopathiques et sadiques.
C'est une conviction sectaire. C'est la position prédominante occupée aujourd'hui par la majorité des « dirigeants » mondiaux.
Leur état d’être prédominant, rien de moins. Les plus jeunes ont été formés par Klaus Schwab et ses acolytes pour être impénétrables et immunisés contre les sentiments humains. Ceci est considéré comme un impératif pour la pleine prise en charge techno-numérique de la vie quotidienne.
Notre travail consiste donc à comprendre cela. Ne pas le mettre dans une boîte étiquetée « maladie des 2 % » et le mettre sur le rebord de la fenêtre pour qu'il soit oublié. C’est à nous de reconnaître notre part en acceptant et en permettant ce siège culte de la vie sur terre.
Nous, le peuple, sommes responsables d’au moins 90 % du problème. À chaque moment historique, lorsque les conditions offraient la possibilité de briser le sortilège des ténèbres, nous nous sommes retirés. Nous n’avons pas réussi à agir et à prendre le contrôle de notre destinée en tant qu’êtres humains qui valorisent la vérité, la sagesse et la justice par-dessus tout.
Le rôle du Forum économique mondial
Au lieu de cela, nous avons permis que le tapis rouge soit déroulé pour que les « jeunes leaders » du WEF et autres chercheurs de pouvoir psychotiques fassent de leur mieux. Aidé par des milliardaires maniaques de l’ego, des rois d’entreprise, des reines et des banquiers vautours.
Et si un groupe courageux se lève et bloque le centre du pouvoir répressif, comme au Canada par exemple, alors les applaudissements de « nous, le peuple », sont nourris.
Cependant, à titre individuel, la plupart disent « Bravo à eux ! » mais ils reviennent néanmoins à un état d'isolement impassible, confiant l'événement susceptible de changer leur vie dans la même boîte sur la cheminée de la fenêtre, tout en ruinant l'occasion manquée de s'élever ensemble et de renverser le cours de l'histoire.
Il ne fait aucun doute que chacun de ces « non-soulèvements » est un cadeau fait à nos sombres esclavagistes. Chaque répression qui s’ensuit est plus envahissante et plus brutale que la précédente.
La peur, l’anxiété et la confusion qui en découlent sont le carburant dont la secte a besoin pour maintenir son régime oppressif.
Ce ne sont pas des paroles vaines. Ceux qui adorent l'autel de Baphomet s'engagent à veiller à ce que leur maître monstre soit bien nourri. Des temples maçonniques existent au sein de la Chambre du Parlement britannique. Partout où l’ambition implique de piétiner les autres pour atteindre les objectifs souhaités, des forces oppressives sont impliquées.
Washington DC, Canberra (capitale de l'Australie) et le Vatican à Rome sont conçus architecturalement selon le « symbolisme satanique » qui embrasse et vénère l'argent et le pouvoir comme le but suprême de la vie. Le « mile carré » de la City de Londres adopte cette même obsession et sans aucun doute Wall Street aussi – et d'autres centres de culte effréné de Mammon.
Les agents de l’État profond ne pourraient pas mettre en œuvre leur régime mondial d’application sans un lien direct avec les centres d’énergie noire. Les plus déterminés à être les meilleurs seront prêts à tout pour parvenir à leurs fins.
Alors, qu’est-ce qui maintient l’humanité à genoux face à ceux qui se livrent librement à des actes de meurtre continus ?
Peur? Incrédulité? Trop de confort ? Satisfaction cynique face à « l’esclavage marchand du moment » ?
Quelque chose de chacun, sans doute. Mais avant tout, je soutiens que la clé réside dans le manque de confiance en soi . Et la confiance en soi ne signifie pas « un grand ego », bien au contraire. Cela signifie savoir que l'on répond à ce qui offre une orientation au niveau le plus profond de son être.
Les actions qui proviennent de cette source sont les seules qui finiront par détruire les auteurs du mal profond. Il n’y a pas d’autre réponse pour parvenir à l’émancipation de l’humanité. Il n’existe aucune autre force capable de dégonfler et de vaincre les vagabonds mondialistes dont la haine manifeste de la vie se propage – presque sans contrôle – dans un monde déchiré par la guerre.
Pour certains d’entre nous, la spiritualité peut être la réponse
Notre véritable travail, ici et maintenant, est de renforcer ce lien que nous entretenons chacun avec notre Créateur et ainsi de devenir des guerriers spirituels correctement préparés, prêts à affronter ce qui a l'intention de nous détruire et toute trace de cette Étincelle Divine qui remue nos âmes et fait de nous de véritables êtres humains.
Entretenir cette étincelle pour qu’elle se transforme en un feu qui ne s’éteint jamais – tel est notre véritable défi aujourd’hui. L’appel lancé à nous tous sera le véritable catalyseur pour chasser les parasites et provoquer la naissance d’une nouvelle civilisation.
Courage, chers amis, courage. La victoire nous appartient si nous la voulons vraiment – et si nous sommes prêts à nous battre pour elle.
L'esprit de toutes et tous est envahi de multiples sélections, options, alternatives voire suggestions. A chacune et chacun de ce monde de se rendre compte de part elle ou lui-même de la réalité des propos. La confiance en soi est nourrie de diverses mesures tant réelles que facultatives. A chacune et chacun de s'en défendre, d'observer et d'en réfléchir les consentements proposés. Votre vie VOUS appartient. En faire ce que vous voudrez qu'elle soi.
BP a perdu 1 milliard de dollars dans l'énergie éolienne et est passé d'une réduction de 40 % du pétrole à une augmentation
Par Jo Nova February 9th, 2024
Il ne fait aucun doute qu’il s’agit d’un retournement de situation majeur Des livres d’histoire seront écrits sur les erreurs des entreprises.
Il y a vingt ans, BP s’appelait « Au-delà du pétrole » et en 2020, l’entreprise était déterminée à y parvenir. Ils se sont engagés à réduire leur propre production de pétrole de 40 % d’ici 2030 et à se tourner vers les énergies renouvelables. Les médias ont été ravis : « BP évite les combustibles fossiles », a déclaré Politico, et met en lumière le « pétrole et le gaz bloqués ». Il y a seulement deux ans, BP parlait d’« accélérer » ses investissements verts. Ensuite, le prix du pétrole et du gaz a explosé et les problèmes liés au manque de fiabilité de l’énergie ont commencé à se multiplier.
Aujourd’hui, BP annule un milliard de dollars d’investissements éoliens offshore, et le nouveau PDG appelle au « pragmatisme ». L’entreprise est passée d’une réduction de 40 % de sa production de pétrole d’ici 2030 à une augmentation de celle-ci.
Le nouveau chef, Murray Achincloss, a déclaré qu’ils voulaient toujours être « une société énergétique intégrée » (sans doute pour que cela ressemble moins à un retour en arrière qu’à un « ajustement »), mais il s’est trahi lorsqu’il a déclaré : « nous voyons une croissance demande actuelle d’énergie à travers le monde ». "Cela ne ralentit pas." Lorsqu’il parle d’énergie, il parle de pétrole et de gaz.
BP va augmenter sa production de pétrole, déclare son nouveau chef Par Stanley Reed, New York Times
BP a le projet de devenir ce que M. Auchincloss a appelé une société énergétique intégrée. Mais en attendant, « nous constatons actuellement une demande croissante d’énergie à travers le monde », a-t-il déclaré. "Cela ne ralentit pas."
Il veut juste rendre le pétrole et le gaz moins chers pour nous, vraiment…
BP « va investir dans le système énergétique actuel pour s’assurer que les prix ne deviennent pas incontrôlables », a déclaré M. Auchincloss. « Cela revient donc à investir dans le pétrole et le gaz », a-t-il ajouté, tout en investissant également dans des sources d’énergie alternatives comme les biocarburants et l’hydrogène.
Mais toutes ces promesses de réduire la production pétrolière de 40 % ont disparu avec le vent :
… La production pétrolière et gazière principale de l’entreprise a augmenté de 2,6 % l’année dernière. Les approvisionnements en gaz naturel liquéfié – un carburant comprimé réfrigéré transporté par navires – ont augmenté de plus de 20 pour cent.
M. Auchincloss a déclaré que la production pétrolière continuerait d'augmenter de 2 à 3 pour cent par an jusqu'en 2027 en raison de l'augmentation de la production à Abu Dhabi, en Angola, aux États-Unis et ailleurs.
Chasser les arcs-en-ciel verts a été une erreur coûteuse :
BP abandonne l’énergie éolienne offshore américaine Par Benjamin Storrow, E&E News
Appelez cela une erreur d’un milliard de dollars.
BP a annoncé mardi avoir réduit la valeur de son activité éolienne offshore aux États-Unis de 1,1 milliard de dollars l'année dernière, consolidant ainsi un changement stratégique pour le géant pétrolier britannique alors qu'il augmente sa production de pétrole et de gaz tout en recalibrant ses efforts pour produire de l'électricité propre à partir de turbines océaniques.
Entre-temps, son partenariat avec Equinor ressemblait de plus en plus à un albatros, un dirigeant d’entreprise qualifiant le marché américain de l’éolien offshore de « fondamentalement brisé ».
Les actions de BP sont restées stables, tandis que celles d'Exxons ont augmenté de 40 % Auchincloss n’est sans doute que trop conscient du retard du cours de l’action de BP par rapport à ses concurrents ces dernières années, que beaucoup attribuent au programme vert de l’entreprise. Les actions de BP se négocient globalement aux niveaux d’avant la pandémie, mais en revanche, le cours de l’action d’ExxonMobil a bondi d’environ 40 % au cours de la période. – – L’agenda vert de BP tout en mer, Jillian Ambrose, The Guardian.
Enfin, les actionnaires exigent des bénéfices et des plans raisonnables Un actionnaire de BP est devenu activiste en octobre dernier et a écrit une lettre extraordinaire à l’entreprise pour faire pression sur elle pour qu’elle abandonne l’objectif « irrationnel » de zéro émission nette et même limogeage d’un membre du conseil d’administration ayant des liens avec BlackRock.
Bluebell Capital est un hedge fund à Londres et il a eu des demandes remarquables :
BP attaqué par un investisseur pour son passage « irrationnel » aux énergies propres Matt Oliver, Le télégraphe
Dans une lettre de 30 pages, Bluebell a appelé BP à renoncer à son engagement de réduire ses activités pétrolières et gazières d'un quart au cours de cette décennie, à arrêter les investissements dans les projets d'énergies renouvelables et à réécrire ses objectifs de zéro émission nette pour préciser qu'ils seront atteints « en ligne avec avec la société ».
Bluebell a fait valoir que les objectifs limiteraient artificiellement BP et le désavantageraient par rapport à des concurrents tels que Shell et ExxonMobil…
L’activiste exige également que BP restitue 16 milliards de dollars supplémentaires (12,6 milliards de livres sterling) aux actionnaires au cours de cette décennie et a exhorté le géant pétrolier à limoger un administrateur du conseil d’administration ayant des liens avec le géant du financement Blackrock, qu’il a qualifié de « champion mondial de l’incohérence et de l’incohérence ESG ». hypocrisie".
Comme Bluebell l’a si bien fait remarquer :
« Et à court terme, ne réduisez pas votre propre production, car vous rendez simplement service aux autres compagnies [pétrolières] ».
Bluebell Capital semble avoir investi dans BP parce qu’elle était « sous-évaluée » et pariait sur un plan de redressement de l’entreprise. Ils ont fait valoir que BP aurait valu 50 % de plus sur le marché des actions sans cette « stratégie mal conçue » et ont souligné de manière cinglante que BP devrait se tenir à l’écart des projets d’énergies renouvelables pour lesquels elle dispose de peu d’expertise spécialisée.
À long terme, le PDG ne voit pas d’éoliennes, il voit du gaz et encore du gaz. Ce n’est sûrement pas une coïncidence si le nouveau PDG a fait cette déclaration il y a à peine un mois :
L'IA déclenchera une augmentation mondiale de la demande de gaz, déclare le patron de BP Johnathon Leake, Le télégraphe
L’essor d’outils tels que ChatGPT signifie que les centres de données nécessitent plus de puissance
M. Auchincloss a déclaré : « La production de gaz diminuera probablement un peu cette décennie, puis augmentera considérablement au fur et à mesure que nous avancerons dans les décennies suivantes… L’IA générative est quelque chose qui crée un niveau de demande d’électricité encore plus élevé. »
La quantité d’énergie consommée par les 8 000 centres de données dans le monde devrait augmenter de 73 % pour atteindre 800 térawattheures (TWh) d’ici 2026, selon l’Agence internationale de l’énergie.
À titre de comparaison, le Royaume-Uni consomme 321 térawattheures d’électricité par an.
Selon une étude réalisée par les experts en données Digiconomist, pour migrer l’ensemble de ses opérations de moteurs de recherche vers l’IA, Google aurait besoin d’autant d’électricité pour alimenter un pays de la taille de l’Irlande.
À l’heure actuelle, BP agit comme si elle était redevenue une compagnie pétrolière, mais elle continue de dire que les récents revers ne sont qu’un retard. Mais n’importe quelle entreprise effectuant un renversement complet dirait cela, n’est-ce pas ?
Il y a un an, nous avons assisté à un changement radical de langage au sein de l’entreprise –– parlant de leur déception face aux énergies renouvelables et de leur retour au pétrole et au gaz. Alors ils commençaient déjà le backflip, peut-être que le plan Bluebell était d'attendre le bon moment pour serrer les vis ?
L’UE se met à genoux devant les agriculteurs : abandonne des dispositions clés de sa proposition climatique pour 2040
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 09 FÉVRIER 2024 - 10H15
La Commission européenne s'est mise à genoux devant les agriculteurs protestataires et abandonne des passages clés d'une proposition pour un nouvel objectif à l'horizon 2040 visant à réduire la pollution par les gaz à effet de serre.
Selon le plan de l'exécutif européen, « tous les secteurs » doivent désormais contribuer à cet effort – mais la réduction de 30 % de la production agricole d'ici 2040, précédemment imposée, a disparu. Le projet révisé a également exclu l'obligation pour les citoyens de modifier leur mode de vie, comme manger moins de viande, et de mettre fin aux subventions aux combustibles fossiles, rapporte Politico.
Des manifestations d’agriculteurs ont éclaté dans de nombreux pays d’Europe ces dernières semaines, le secteur agricole exprimant son mécontentement face aux politiques vertes de l’UE. Certaines des plus grandes manifestations ont eu lieu en Allemagne, provoquées par la réduction des subventions au diesel. Bruxelles a fait face à des appels de groupes industriels et de certains partis politiques pour qu’ils établissent une trajectoire climatique à l’horizon 2040 qui n’enflamme pas davantage la colère.
Le plan de l'UE devrait être présenté mardi et recommandera une réduction de 90 pour cent des émissions totales de l'UE d'ici 2040 par rapport aux niveaux de 1990 – une suggestion conforme aux avis scientifiques.
La version mise à jour du plan, qui est encore sujette à changement, présente l'agriculture sous un jour plus positif que les versions précédentes. Le rôle que joue le secteur dans la « souveraineté alimentaire » de l’UE a également été souligné.
"Nous devons nous assurer d'avoir une approche équilibrée", a déclaré la Commission européenne Wopke Hoekstra, qui a dévoilé la proposition révisée. "La grande majorité de nos citoyens sont conscients des effets du changement climatique, veulent être protégés, mais s'inquiètent également de ce que cela implique pour leurs moyens de subsistance."
Dans le même temps, la BBC rapporte que l'UE a également abandonné son projet de réduire de moitié l'utilisation des pesticides dans l'ensemble de l'UE, qui devait entrer en vigueur d'ici 2030 dans le cadre du soi-disant « Green Deal ».
Les changements ont été menés par le puissant Parti populaire européen (PPE) de centre-droit, la famille politique de la plus haute dirigeante européenne Ursula Von der Leyen, et constitue le groupe le plus important du Parlement européen.
"Nos agriculteurs méritent d'être écoutés", a déclaré Mme von der Leyen lors d'une réunion parlementaire mardi. "Je sais qu'ils s'inquiètent de l'avenir de l'agriculture et de leur avenir en tant qu'agriculteurs."
Le porte-parole du PPE pour l'environnement, Peter Liese, a déclaré lundi que l'objectif d'une réduction de 90 % par rapport aux niveaux de 1990 d'ici 2040 était conditionné à une plus grande attention accordée aux « opportunités positives » pour les agriculteurs, et moins à « de nouveaux instruments qui considèrent plutôt les agriculteurs comme des ennemis du système ». politique climatique. »
Cela dit, un responsable de l'UE a déclaré à Politico qu'il est difficile d'échapper à la réalité : le secteur agricole « pourrait et devrait » contribuer aux objectifs climatiques de l'UE.
"Malgré toute la sémantique de la [Commission], il existe une analyse d'impact sans équivoque qui présente des arguments (commerciaux) très convaincants en faveur d'un objectif global ambitieux et de tous les sous-objectifs pour les secteurs", a déclaré le responsable.
L'Australie se prépare à introduire l'identification numérique
9 février 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Le complexe numérique et financier a favorisé l’introduction mondiale de l’identité numérique, soit directement, par exemple par l’intermédiaire de la Banque mondiale, soit du Forum économique mondial (WEF). Le gouvernement australien se préparerait à déployer des cartes d'identité numériques auprès du public.
La technologie de l’identification numérique repose sur une extension du « certificat de vaccination numérique » de l’Union européenne. Le « passeport vaccinal » de l'UE a été remanié pour devenir une carte d'identité numérique qui peut relier les informations de « l'argent numérique » et le statut vaccinal des personnes dans une seule application qui utilise le « balayage optique » des codes QR pour la vérification. Des cartes d'identité supplémentaires, telles qu'un permis de conduire, ainsi que d'autres données personnelles sont ajoutées étape par étape à l'identification numérique.
Le Canada a récemment signé un accord avec l’UE pour travailler avec les dirigeants et les bureaucrates de l’UE sur un « système mondial d’identification numérique ». En Australie, le gouvernement s'apprête à déployer ce système auprès du public dans les prochains mois.
Les Australiens qui effectuent des transactions avec des gouvernements ou des détaillants ou utilisent des services en ligne devront alors fournir une identification numérique. Cela permet non seulement un contrôle total sur les vaccinations et les traitements médicamenteux obligatoires, mais également une censure et une surveillance totales, alors que la connexion à Internet n'est possible qu'avec l'identification numérique.
Le nouveau système remplace l'ancien processus australien de vérification d'identité en 100 points, qui a été exploité par des pirates informatiques pour voler l'identité des gens et, dans certains cas, leurs économies. Le gouvernement espère désormais que les identifications numériques trouveront du terrain dans un environnement où les Australiens perdent des milliards de dollars au profit des cybercriminels.
Cependant, certains craignent que l’enregistrement d’une identification numérique et son utilisation ne soient trop compliqués et déroutants pour les personnes âgées, les personnes handicapées et les communautés autochtones et isolées, les excluant potentiellement de nombreuses couches de la société.
Lors d'un point de presse avec ChannelNews Australia cette semaine, des responsables du Trésor ont déclaré que le gouvernement avait fixé au 1er juillet la date provisoire de déploiement. Cette date dépend toutefois de l'adoption de la loi par le Parlement fédéral.
Les Australiens ne recevront pas de carte physique, comme cela a été proposé pour l'Australia Card, qui a été abandonnée après les élections fédérales de 1987. Les responsables gouvernementaux décrivent l'identification numérique comme une extension du système de vérification MyGovID existant, dans lequel les utilisateurs saisissent leurs informations de connexion et un code généré pour accéder aux services.
Enquête appréciative : évaluation du développement, valeurs qui sous-tendent la recherche, apprentissage par la pratique, collecte de données Méthodes d’enquête appréciative et de collecte de données : réflexions sur le travail en tant qu’ancien coordonnateur de recherche
Par Tina Rénier Recherche mondiale, 9 février 2024
J'ai commencé mon parcours au Centre for Employment Innovation le lundi 26 octobre 2020 en tant que coordonnateur de recherche pour les projets Nova Scotia Works Diversity et Inclusion & Certification au Canada. Ce fut un mandat passionnant, accueillant et aussi difficile pour essayer de donner un sens à la grande variété de documents à examiner, comprendre et analyser, couplés aux lectures sur les méthodes de collecte et d'analyse de données pour le cours d'évaluation développementale pour l'impact social .
Introduction L’enquête appréciative s’est démarquée pour moi, car il s’agit à la fois d’une philosophie de recherche et d’une utilisation dans la collecte de données.
J'ai appris que l'enquête appréciative est un cadre ou une approche qui centre les contributions de la communauté et des parties prenantes dans un changement autodéterminé. Il est utilisé pour identifier les défis d’un point de vue systémique et pour examiner les forces des équipes et des communautés en utilisant les capacités internes.
Par exemple, au lieu qu'un expert extérieur demande à une communauté : « Qu'est-ce qui ne va pas et que puis-je faire pour résoudre le problème ? » un évaluateur développemental qui utilise l’approche d’enquête appréciative demanderait à la communauté :
Quels étaient les points forts ?
Quels ont été les points de tensions, de revers et de faiblesses ? Qu'avons-nous appris et que pouvons-nous appliquer à partir des moments forts dans le prochain plan d'action ? »
Cela est évident dans l'argument de Michael Patton (2011), où il affirme qu'un évaluateur développemental est intégré au projet et qu'il ne se contente pas de collecter des données, de les analyser et de rédiger un rapport, mais qu'il engage activement les communautés et les parties prenantes (p. 305). Il a ensuite expliqué que le processus de co-création implique : conceptualiser ensemble l'innovation sociale, générer des questions d'enquête, déterminer quelles données collecter et comment les collecter, suivre l'évolution des conditions, ce qui émerge et prêter attention aux nouveaux apprentissages ( Patton, 2011, p.307).
Cela signifie donc que l’enquête appréciative nécessite un changement de pensée, passant d’une vision des problèmes comme une question de déficit individuel à une reconnaissance du fait que les membres de l’écosystème ont un rôle déterminant à jouer dans l’innovation et le changement sociaux. Le changement ne se produit pas de manière linéaire et prévisible, et il ne se produit pas non plus lorsqu'il y a « UNE VOIX » qui façonne, dirige et détermine le récit. Le changement se produit lorsque la communauté impliquée est capable de se considérer comme des partenaires dans le processus de changement plutôt que comme de simples bénéficiaires des avantages du programme. Tous les membres de la communauté et les parties prenantes doivent être impliqués dans la conceptualisation, la conception, la collecte de données, leur analyse et l'élaboration du rapport comme un groupe, en assemblant les pièces d'un grand puzzle pour donner un sens à la situation dans son ensemble.
WEF – Davos 2024. Le monde s’effondre mais le spectacle doit continuer…
Il s’agit d’une réunion d’un cartel mondialiste de « dirigeants » non élus qui se donnent le droit de tenter de décider de l’avenir du monde.
Par Peter Koenig Recherche mondiale, 9 février 2024
"L'enfer est vide et tous les démons sont ici." - William Shakespeare, La Tempête
C'est une tempête du 21e siècle :
« Assurons-nous que les diables descendent là où ils appartiennent légitimement »
Vous trouverez ci-dessous un reportage d'actualité de Radio Canada (en français) faisant référence à Davos24 avec un titre destiné à rassurer ses lecteurs :
TRADUCTION:
« La « Grande Réinitialisation » n'est pas une conspiration visant à contrôler le monde .
« Cette initiative du Forum économique mondial pour repenser l’économie post-épidémique fait l’objet d’une importante campagne de désinformation »
M. Ch. Recherche mondiale, 15 janvier 2024
* * *
Introduction : Davos24. L'ordre du jour du FEM Au moment où ces lignes sont mises sous presse, quelque 3 000 invités se rendront en masse à la 54 e réunion annuelle du Forum économique mondial (WEF) à Davos, du 15 au 19 janvier. Une soixantaine de chefs d’État et de nombreux « dignitaires » – pour la plupart sans dignité –, en herbe de dirigeants d’une sorte ou d’une autre, de PDG d’entreprise, sont attendus.
Il s’agit d’une réunion d’un cartel mondialiste de « dirigeants » non élus qui se donnent le droit de tenter de décider de l’avenir du monde.
Parmi eux, bien sûr, les banquiers et l’élite financière – au premier rang desquels BlackRock, également sponsor et financier clé du WEF.
Cette cabale mondialiste va, comme chaque année, encombrer les aéroports de Zurich, Genève et Bâle, de leurs jets privés.
Comme les militaires du monde entier, ils vont bien au-delà du programme frauduleux de « changement climatique » qu’ils imposent à la plèbe commune.
Certains des chefs d'État invités par Klaus Schwab , l'éternel président-directeur général du WEF, pourraient être considérés comme des assassins de facto .
Alors que Volodymyr Zelenskyy , qui fait une apparition physique à Davos cette année, voyage avec des agents de sécurité de haut calibre, ses critiques sont assassinées chez lui. Comme le rapporte RT (12 janvier 2024) et confirmé par le Département d'État américain, le journaliste chilien-américain Gonzalo Lira a été torturé à mort dans une prison ukrainienne. Regarde ça .
Le président Zelensky est également responsable de l’envoi à la mort de dizaines de milliers de soldats ukrainiens dans une guerre impossible à gagner contre la Russie – pour laquelle la Russie a proposé à plusieurs reprises des négociations de paix . Zelensky a refusé sur ordre de l’OTAN et des dirigeants occidentaux.
D’autres participants au WEF, comme Isaac Herzog , président d’Israël, soutiennent l’horrible génocide qu’Israël inflige à la Palestine ; Antony Blinken , secrétaire d'État américain, remplaçant le président Biden, ainsi qu'Ursula von der Leyen (image de gauche avec Zelenskyy), présidente non élue du Conseil européen (CE) et membre du conseil d'administration du WEF – pourraient-elles également tomber dans le catégorie de meurtriers de facto pour avoir encouragé sans relâche Israël à poursuivre le génocide impitoyable contre Gaza, déjà étendu à la Cisjordanie et au sud du Liban ; tout en encourageant Zelensky avec d’innombrables milliards de dollars et un arsenal d’armes américaines et européennes sophistiquées pour poursuivre l’atroce guerre en Ukraine ?
Bill Gates , le roi du vaxx et promoteur de la nourriture pour insectes, tueur de fermes et eugéniste avant tout et franc, ainsi que le directeur général de l'OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus , pourraient-ils répondre aux critères de « déclenchement du dépeuplement »
La devise du WEF 2024 : Reconstruire la confiance Avec ce genre de nobles acabits, Davos 2024 démarre bien.
Ce n'est pas pour rien que la devise de cette année est « Reconstruire la confiance ». Vous plaisantez ? « Reconstruire la confiance », voilà tout. Quelque chose est en train de changer. Le WEF se rend compte que de plus en plus de personnes – y compris des cadres de haut niveau – ont perdu et perdent de plus en plus confiance dans cet ordre dystopique corrompu, fondé sur des règles et aspirant à un monde unique.
Un récent article du Telegraph, selon lequel le secrétaire à la Défense Grant Shaps envisage de recruter des femmes pour le service militaire, afin de compenser la diminution constante du nombre de recrues par courrier, montre d’autres indications selon lesquelles la confiance dans le système perd rapidement du terrain dans le monde entier.
Les jeunes ne font plus confiance à leurs gouvernements, et encore moins à leurs politiques de guerre. Ce n’est qu’une question de temps lorsque les femmes refuseront elles aussi de faire leur service de guerre pour le gouvernement. Peut-être que le moment est déjà venu. Regarde ça .
Une solution certaine pour la paix et l’harmonie dans le monde serait que TOUS les gens refusent de servir dans l’armée. Pas d’armée dans le monde, et le système s’effondrerait.
Le WEF pourrait plier bagage et Davos pourrait retrouver son illustre réputation de destination touristique prisée dans les Alpes orientales de la Suisse.
Le rêve mondialiste Soyez sûrs, WEF et Cie, que votre rêve mondialiste d’un ordre mondial unique , d’un gouvernement mondial unique et d’ un ordre sanitaire unique (voir ci-dessous) ne se réalisera pas. C'est une blague.
Cher M. Schwab, comment allez-vous « reconstruire la confiance » avec le même programme corrompu et les mêmes élitistes corrompus ? Vous n'avez pas changé d'un iota par rapport à la Grande Réinitialisation et à l'Agenda 2030 de l'ONU – objectifs principaux de réduction drastique de la population, d'euthanasie de larges pans de personnes, par tous les moyens possibles, et de numérisation complète de l'humanité restante, au point où votre professeur et frère israélien -in-Crime, Yuval Noah Hariri , demande sans ambages :
Que faire des mangeurs inutiles, une fois que les robots et les Intelligences Artificielles (IA) auront pris le relais ?
La réponse est claire.
Soyez sûr, cela n'a rien à voir avec l'établissement de la confiance En effet, les choses sont en train de changer . Et peut-être de manière imprévisible. Puisque nous ne vivons pas dans un monde linéaire et que la grande majorité de l’humanité ne veut pas d’un monde numérisé avec des humanoïdes numérisés et contrôlés numériquement. Attention, les gens se réveillent.
Davos24 : plus de 100 séances à huis clos L'agenda traditionnel et officiel du WEF pour Davos24 , sur le commerce, le changement climatique, l'IA et la numérisation, n'inspire pas confiance, surtout pas aux plus éveillés. Et bon nombre des plus de 3 000 invités d’élite sont de plus en plus conscients du réveil rapide de la population dans son ensemble.
En effet, un changement de conscience s’opère partout dans le monde. Peut-être que l’élite vient en nombre record à Davos24 , pour voir ce que le WEF a à offrir comme alternatives pour maintenir le statu quo le plus longtemps possible.
En plus de l'agenda officiel, qui est véritablement la clé de l'ordre du jour du WEF , il y a plus de 100 sessions secrètes à huis clos pour les invités sur invitation uniquement.
Au cours de ces séances, les psychopathes, ou Übermenschen planant au-dessus de l'humanité, dirigés par Schwab, discuteront de la manière de contrôler, tyranniser, réduire et robotiser la population mondiale – et de la manière la meilleure et la plus rapide de la priver de ses ressources durement gagnées et comment le transfert le plus rapide de ces ressources à une petite élite commerciale et privée.
Ces sujets secrets incluront très probablement des méthodologies sur la manière d’imposer à la société de nouveaux facteurs de peur – après que la fraude liée au covid, au confinement et au vaxx se révèle progressivement mais rapidement et disparaisse.
Pour tirer le meilleur parti de la campagne de peur et de la manipulation mentale de la population dans son ensemble, le WEF aurait pu inviter des experts de Tavistock, l'institut britannique pour l'ingénierie sociale des esprits collectifs et individuels.
Les points spéciaux de discussion peuvent inclure, comme priorités,
comment garantir que le nouveau président américain – élections en novembre 2024, SI elles ont lieu – jouera le jeu, à la manière de Biden ; mise en œuvre de la nouvelle maladie « X » encore à définir, qui sera plusieurs fois plus mortelle que le covid ; comment manipuler le Traité sur la pandémie et le nouveau Règlement sanitaire international (RSI) par le biais de l'Assemblée mondiale de la santé (AMS) en mai 2024, pour faire de l'OMS le tyran et le dictateur d'un ordre sanitaire unique (OHO), menant à un monde unique Gouvernement; prochaines dimensions de l'IA, de la robotisation, de la numérisation et de l'imposition générale de l'identification numérique et comment les lier à des comptes bancaires individuels et /ou à la monnaie numérique de la banque centrale (CBDC) – imposition immédiatement, ou progressivement, dans l'espoir de mettre un terme à une révolution; et Une cyberattaque Polygon pourrait également être à l’ordre du jour pour 2024. Après tout, nous, le peuple, avons récemment été avertis par le film Netflix produit par Barack et Michelle Obama, « Leave the World Behind » – décrivant une cyber-attaque menée par un ennemi inconnu, tentant de laisser les gens dans la crainte et la peur de ce qui pourrait arriver. à venir.
« Le WEF a mené une simulation de cyberattaques impliquant un scénario de paralysie de l'alimentation électrique, des communications, des transports et d'Internet .
« Klaus Schwab a laissé entendre sans équivoque, à partir de la simulation, qu'une cyberattaque :
« Cela pourrait entraîner un arrêt complet de l’approvisionnement en électricité, des transports, des services hospitaliers, de notre société dans son ensemble…
La crise du Covid-19 serait à cet égard considérée comme une petite perturbation par rapport à une cyberattaque majeure.» (c'est nous qui soulignons)
SANS PEUR, s’il vous plaît – est de l’Ordre. Nous, le peuple, devons prendre conscience du fait que le monde occidental est dirigé par une secte motivée par l’argent , une secte de la mort ou une secte diabolique.
Difficile à croire mais vrai.
Ce que nous avons vécu au cours des dernières décennies, ce sont des atteintes à la dignité humaine, aux émotions, par des avertissements provoquant la peur et l'obéissance. Ce sont des rituels typiques que les Cultes doivent suivre pour réussir leurs actions diaboliques.
Si nous n’y prêtons pas attention, surtout si nous ne tombons pas dans le piège du facteur peur et si nous ne les détestons pas pour ce qu’ils font, nous sommes en sécurité. Ils veulent que nous les détestions, parce que la haine émet les mêmes basses vibrations émotionnelles qu’elles utilisent pour leurs atrocités. Si nous émettons des signaux similaires, ils nous contrôlent.
Être indifférent à leur égard, voire les aimer, monstres qu'ils sont – selon la maxime, ils ne savent pas ce qu'ils font – est une nécessité pour s'élever des ténèbres de leur contrôle vers la lumière, où Nous, le Peuple, finalement. devenir des êtres libres, autonomes et souverains, prêts à créer une nouvelle société, une nouvelle civilisation.
Nous ne devons jamais succomber à leur contrôle, de peur qu’ils ne nous conduisent au cimetière , ou au mieux, à leur cour d’esclaves. Nous ne devons JAMAIS permettre cela.
Les 'hommes de l'ombre' (aussi appelés 'La 5e colonne') dirigent le monde depuis TOUJOURS. Ces forces obscures (derrière le rideau) placent ou déplacent des pions (appelés aussi empereurs, présidents ou rois) qui sont chargés de dicter et de faire appliquer les messages reçus. Ces dictatures en place se font appeler des 'démocraties' où LE PEUPLE DOIT FERMER SA GUEULE !! COMPRIS ??. Ces chefs d’États sont tous formés pédérastes et criminels dès leur plus jeune âge à soutenir leurs maîtres sans conditions sans quoi ils seraient eux-mêmes supprimés.
Or, la Démocratie est un tout autre monde ! La Démocratie (appliquée en Suisse) c'est le Peuple qui dirige ! Chaque citoyen suisse dépose en mairie (s'il le veut) un Projet de loi qui doit obtenir un certain nombre de signatures d'autres citoyens suisses avant donc d'être porté à Référendum. Le chef de l’État n'est là que pour une durée de un an (1er Janvier - 31 Décembre).
La plupart des habitants de la planète Terre ignore ce qu'est la Démocratie !!
Le fantôme d’United Fruit hante toujours l’Amérique latine Première partie
Par Andrew Laverdière Recherche mondiale, 9 février 2024
Introduction
Parmi tous les sujets de campagne dont les conservateurs aiment entendre parler, l'immigration clandestine figure parmi les 6 ou 7èmes sujets en importance derrière le boycott de Bud Light, les questions du 2ème amendement et la traîne des fanatiques de l'avortement.
Au-delà de la mise en scène d'AOC en train de pleurer à côté d'un parking vide pour essayer de faire passer le président Trump pour un raciste pour avoir séparé les enfants de leurs parents (une politique qui était curieusement un héritage de la présidence d'Obama), Les démocrates ont tendance à éviter de discuter du flot absolu de réfugiés sans papiers actuellement en attente de traitement, principalement parce qu’ils ne veulent pas contrarier leur sugar daddy George Soros ou donner une mauvaise image du président Biden.
Au cours des 12 mois se terminant le 30 septembre 2022, le CBP de l'Administration des douanes et de la protection des frontières a arrêté les migrants plus de 2 766 582 fois, contre 1,72 million de fois pour l'exercice 2021, le record annuel précédent. Les chiffres de 2022 s’expliquent en partie par la forte augmentation du nombre de Vénézuéliens, de Cubains et de Nicaraguayens faisant le voyage vers le nord, selon le CBP. Les principales sources d'immigration sont le Brésil, la Colombie, Cuba, l'Équateur, le Salvador, le Guatemala, Haïti, le Honduras, le Mexique, le Nicaragua et le Venezuela, avec 1 535 492 tentatives d'entrée jusqu'à présent cette année et 2 217 141 l'année dernière (voir ceci ).
Les révolutions de couleur et les coups d'État menés par les États-Unis, la guerre économique, les sanctions, le narcoterrorisme, le terrorisme communiste/maoïste, les catastrophes naturelles et l'extrême pauvreté causée par les politiques imposées par le Fonds monétaire international et la Banque mondiale constituent toutes les principales raisons pour lesquelles les gens fuient leur pays. pays d'origine.
Cependant, malgré le bilan tout à fait dégoûtant des États-Unis tout au long du 20e siècle et des 23 années de ce siècle en imposant une pauvreté écrasante, des paiements de dettes usuraires et des conditions économiques virtuellement coloniales, trop d’Américains répètent la ligne de « l’immigrant illégal » qui est le bouc émissaire préféré des croque-mitaines, maintenant que le « terrorisme/extrémisme musulman » n'est plus répété sans fin dans les journaux télévisés, ou pire, affirmer que « ce n'est pas leur problème », comme l'a déclaré récemment un de mes clients de taxi lorsque j'ai décrit le sujet de cet article.
Une opinion surprenante étant donné qu'un groupe de 300 réfugiés venant d'Algérie sont entreposés dans un auditorium à Portland dans le Maine et qui protestent contre leurs conditions et que des discussions sont en cours pour amener des réfugiés dans ma localité alors qu'il n'y a absolument aucun moyen de les soutenir. Un bref coup d'œil sur la seconde moitié du XXe siècle montre pourquoi de telles opinions sont totalement immorales. Après la Première Guerre mondiale, les États-Unis ont mené des guerres, des coups d’État et d’autres opérations militaires de toutes sortes dans l’hémisphère occidental, principalement sous couvert de « combattre le communisme ». En raison de la complexité de l’histoire communiste/socialiste/maoïste, de sa relation étrange avec l’ancien Empire britannique et de la façon dont ils s’intègrent dans les schémas de conflits perpétuels de divers géopoliticiens et ont un effet terrible sur la vie d’un nombre incalculable d’âmes, ce sujet sera sera longuement évoqué dans la deuxième partie.
Pendant la majeure partie des XIXe et XXe siècles , jusqu'au décès de l'homme d'État James G. Blaine, à l'assassinat du président McKinley et à l'ascendant du phénomène anglophile Teddy Roosevelt, la politique américaine de soutien à nos « républiques sœurs » via la doctrine Monroe a été transformée en une politique coloniale.
Une entreprise en particulier, illustre l’exploitation et le pillage de l’Amérique centrale et des Caraïbes, The United Fruit Company, souvent appelée « The Octopus » en raison de sa domination sur des pays entiers d’où vient le terme « République bananière ».
J'ai pensé que vous devriez voir à la fois le récit approuvé et aseptisé qui est généralement montré sur de nombreux sites Web et vidéos qui décrivent son histoire, puis la vilaine réalité que les historiens de marque x ne toucheront pas avec une perche de cent pieds.
Naissance de la pieuvre
1870 : La Boston Fruit Company est créée par le marin Lorenzo Dow Baker lorsqu'il commence à acheter des bananes en Jamaïque.
1899 : La société Tropical Trading and Transport Co. de Minor C. Keith fusionne avec la Boston Fruit Co. de son rival Andrew W. Preston pour former la United Fruit Company. Elle s'occupait de la production, du transport et de la commercialisation de bananes, de sucre, de cacao, d'abaca et d'autres produits agricoles tropicaux. Preston a apporté au partenariat ses plantations aux Antilles , une flotte de bateaux à vapeur et son marché dans le nord-est des États-Unis. Keith a apporté ses plantations et ses chemins de fer en Amérique centrale et son marché dans le sud et le sud-est des États-Unis. En quelques semaines, l'UFCo acquiert sept sociétés indépendantes opérant au Honduras. Preston est nommé président et Keith vice-président. L'avocat de Preston, Bradley Palmer, est nommé membre permanent du comité exécutif et directeur et, d'un point de vue commercial, Palmer était United Fruit.
1910 : Samuel Zemurray, rival de l'UFCo, conspire avec le général Manuel Bonilla, nouvellement exilé, et organise un coup d'État contre le président hondurien Dávila. La veille de Noël, Samuel Zemurray, le général américain Lee Christmas et le général Bonilla utilisent le yacht « Hornet » de Zemurray avec une bande de mercenaires de la Nouvelle-Orléans et attaquent les ports de Trujillo et La Ceiba, forçant le président Dávila à se retirer. Bonilla devient dictateur et accorde à l'UFCo des allégements fiscaux et d'énormes concessions de terres.
1928 : 25 000 travailleurs de la banane en Colombie se mettent en grève pour exiger une semaine de travail de 6 jours, un paiement en argent plutôt qu'en bons d'achat de l'entreprise, une indemnisation pour les accidents du travail et une augmentation des salaires pour les travailleurs gagnant moins de 100 pesos par mois. Alors que les résultats financiers sont menacés, les grévistes sont qualifiés de communistes et l'UFCo incite le gouvernement américain à menacer d'envahir, en utilisant le Corps des Marines américain stationné au large de Ciénaga, si le gouvernement colombien n'agit pas pour protéger les intérêts d'United Fruit. Le 6 décembre 1928, les troupes colombiennes abattent des manifestants devant le siège de l'UFCo. Le nombre de tués est contesté, mais un mois plus tard, l’ambassadeur américain à Bogota, Jefferson Caffery, a envoyé une dépêche informant Washington : « J’ai l’honneur de signaler… que le nombre total de grévistes tués par l’armée colombienne dépassait le millier. »
1929 : Après une guerre des prix infructueuse contre la Cuyamel Fruit Company de Samuel Zemurray qu'il avait achetée en 1910, United Fruit décide de racheter Zemurray. Il en devient finalement le plus gros actionnaire.
1930 : UFCo. a absorbé plus de vingt entreprises rivales et est le plus grand employeur d’Amérique centrale. Elle possédait ou louait des propriétés au Honduras, au Costa Rica, au Guatemala, au Panama, en Colombie, à Cuba, en Jamaïque et dans de nombreux autres pays d'Amérique centrale, d'Amérique du Sud et des Antilles.
1933 : Les membres du conseil d'administration de l'UFCo votent pour nommer Zemurray directeur général de l'entreprise.
1938 : Zemurray devient président de l'UFCo.
1947 : La valeur nette d'United Fruit dépasse 250 millions de dollars et la société contrôlait près d'un demi-mile de quai dans le port de la Nouvelle-Orléans pour le chargement et le déchargement de ses passagers, de ses bananes et de son fret général.
Juin 1954 Le président Jacobo Arbenz du Guatemala est devenu le premier dirigeant latino-américain renversé lors d'un coup d'État organisé par le gouvernement américain [SIC !]. En prenant le pouvoir, le président Arbenz avait proposé des réformes agraires considérées comme une menace pour les intérêts de la United Fruit Company, alors que seulement 15 % de leurs terres étaient utilisées. Arbenz a été qualifié de communiste par Washington et la société américaine a fait pression pour son renvoi. Entretien de la BBC avec le fils du président Jacobo Arbenz.
1958 : UFCo acquiert les droits d'exploration du pétrole et du gaz naturel en Colombie, au Panama et en Équateur. Dans les années 1950, l'UFCo. commence à acquérir de nombreuses sociétés telles que A&W Root Beer et Foster Grants.
1959 : Fidel Castro entame sa réforme agraire et s'empare des plantations sucrières d'United Fruit à Cuba.
Marques unies (1970-1984) Le raider d'entreprise Eli M. Black a acheté 733 000 actions d'United Fruit en 1968, devenant ainsi le plus grand actionnaire de la société. En juin 1970, Black fusionna United Fruit avec sa propre société publique, AMK (propriétaire du conditionneur de viande John Morrell ), pour créer la United Brands Company.
1974 : Les gouvernements d’Amérique centrale commencent à prélever une importante taxe à l’exportation sur les bananes. En septembre, l'ouragan Fifi a frappé l'Amérique centrale, détruisant 70 % des plantations honduriennes de l'entreprise et causant des pertes de plus de 20 millions de dollars. La hausse des coûts des aliments pour animaux met Morrell dans un trou de 6 millions de dollars. Black vend UFCo à Foster Grant pour près de 70 millions de dollars.
1 975 : Black se suicide en sautant de son bureau du bâtiment Pan-Am à New York. Les enquêtes qui ont suivi sa mort révèlent un scandale de corruption de plusieurs millions de dollars dans lequel Black et United Brands payent des pays d'Amérique centrale en échange de réductions d'impôts.
Chiquita Marques Internationales Après le suicide de Black, American Financial Group , basé à Cincinnati , l'une des sociétés du milliardaire Carl Lindner Jr. , a racheté United Brands. En août 1984, Lindner prend le contrôle de l'entreprise et la rebaptise Chiquita Brands International. Le siège social a été transféré de New York à Cincinnati en 1985.
2014 Chiquita Brands International réalise une fusion d'actions avec l'Irish Fruit Company Fyffes pour 1,07 milliard de dollars et contrôle 29 % du marché mondial de la banane. Depuis 2017, Fyffes appartient à la société japonaise Sumitomo Corporation.
2019 Les principaux bureaux de l'entreprise quittent les États-Unis et s'installent en Suisse.
« Chiquita Brands International est présent dans 70 pays et emploie environ 20 000 personnes en 2018. L'entreprise vend une variété de produits frais, notamment des bananes, des salades prêtes à l'emploi et des aliments santé. La marque Fresh Express de la société réalise un chiffre d'affaires annuel d'environ 1 milliard de dollars et une part de marché de 40 % aux États-Unis. Structure d'entreprise mondiale
Le corporatisme au sens large dans des montagnes de cadavres
« J’ai contribué à rendre le Mexique, en particulier Tampico, sûr pour les intérêts pétroliers américains en 1914. J’ai contribué à faire d’Haïti et de Cuba des endroits décents où les garçons de la National City Bank pouvaient collecter des revenus. J’ai contribué au viol d’une demi-douzaine de républiques d’Amérique centrale pendant des années. les avantages de Wall Street. Le palmarès du racket est long. J'ai contribué à purifier le Nicaragua pour la banque internationale Brown Brothers en 1909-1912. En 1916, j’ai fait la lumière sur les intérêts sucriers américains en République Dominicaine. En Chine, j’ai contribué à ce que la Standard Oil continue son chemin sans être inquiétée.» –Extrait d'un discours prononcé en 1933, par le major général Smedley Butler, USMC (retraité).
Lorsqu’on évoque des termes comme corporatisme, Mussolini ou Hitler sont évoqués en raison de la relation manifeste entre les financiers, les sociétés industrielles et le gouvernement/les dictatures. Bien avant que tout cela n’existe, il y avait la Compagnie des Indes orientales, une société à charte de la Couronne qui a pillé la Chine et le sous-continent indien pendant 300 ans, de 1600 à 1874, après quoi elle a été fusionnée avec l’Empire britannique. En Amérique, on trouve autour de Boston des familles très anciennes auxquelles on donne le surnom descriptif de sang bleu ou de brahmanes. Regarde ça .
La sociologue Harriet Martineau s'est rendue à Boston dans les années 1830 et a conclu que ses brahmanes étaient « peut-être une ville aussi aristocratique, vaniteuse et vulgaire, telle que décrite par son propre « premier peuple », que n'importe quelle autre ville au monde.
Il s’agissait généralement de familles de marchands qui se sont enrichies grâce au commerce des esclaves et de l’opium (ou commerce du clipper). Parmi les familles patriciennes américaines qui ont joué un rôle clé au sein de United Fruit et de la Compagnie britannique des Indes orientales figurent les Forbes, les Higginson et les Lees. D’autres familles épiscopales d’ancienne génération impliquées dans l’UFCo sont les Peabody de Morgan-Peabody, dont le patriarche, J. Endicott Peabody, a créé Groton Prep (l’Eton américain) pour laver le cerveau de générations de décideurs politiques américains dans le culte de l’Empire britannique. En 1899, ces familles anglophiles et d'autres ont organisé la fusion de la « Grande flotte blanche » de la Boston Fruit Co. avec l'International Railways of Central America (un chemin de fer sillonnant la région) pour former la United Fruit Company. Joseph Coolidge, Thomas Jefferson Coolidge et Thomas Jefferson Coolidge II, agent du syndicat Perkins de la guerre de l'opium, ont fusionné leur Old Colony Trust Company avec la First National Bank of Boston, de sorte que les conseils d'administration de la Bank of Boston et de l'UFCo vers 1929 étaient les mêmes.
La famille suisse Iselin était également impliquée par l'intermédiaire de la Central Trust Bank of New York, contrôleur des chemins de fer de la Nouvelle-Orléans jusqu'au Midwest. La Banque de Boston jouera plus tard un rôle en aidant le crime organisé à s’emparer d’Hollywood. En 1988, la Banque de Boston a été arrêtée en train de blanchir 2,5 millions de dollars provenant de la drogue en relation avec le tristement célèbre cartel colombien de la drogue de Medellin, lié à la banque BCCI. Elle s'en est pourtant tirée avec une amende de 500 000 dollars à cause du procureur général William Weld, dont la famille est également devenue extrêmement riche en 1988. Commerce de tondeuses en Chine. Regarde ça .
Pour plus d’informations sur cet aspect longtemps ignoré de la trahison, veuillez consulter les recherches historiques révolutionnaires d’Anton Chaitkins dans « Treason In America ».
L'autre côté d'United Fruit venait des Siciliens Joseph Macheca et de son successeur Charles Matranga, les chefs de la mafia de la Nouvelle-Orléans, la première organisation du crime organisé aux États-Unis à partir de la guerre civile. Regarde ça .
Macheca était un protégé de l'anarcho-révolutionnaire Guiseppi Mazzini, qui à son tour était un agent au service de Lord Palmerston, l'architecte du XIXe siècle des guerres de l'opium en Grande-Bretagne. Regarde ça .
Macheca possédait une petite compagnie maritime qui expédiait des marchandises de la Nouvelle-Orléans vers l'Amérique centrale à partir de 1874. La société Macheca Brothers a finalement vendu ses actifs de transport à United Fruit. Sa nécrologie de 1943 répertorie Matranga comme simplement un débardeur à la retraite pour la United Fruit Company et pour la Standard Fruit & Steamship Company, mais ses funérailles ont été suivies par l'élite des affaires de la Nouvelle-Orléans et le conseil d'administration de l'UFCo.
Samuel Zemurray, également gangster de la Nouvelle-Orléans, était venu aux États-Unis dans le cadre de la même vague d'immigration (parrainée par la Fondation Baron de Hirsch ) qui avait amené les Bronfman, Jacobs, Fishers et d'autres dans ce pays. Avec le soutien des Rothschild depuis Londres, ils ont soudé un réseau national de crime organisé pendant la Prohibition, puis, au milieu des années 1930, ont réorienté leurs activités commerciales rentables de l'alcool de contrebande vers les stupéfiants. Selon les anciennes autorités américaines chargées de la lutte antidrogue, environ 25 pour cent de la cocaïne entrant chaque année aux États-Unis était passée en contrebande sur les navires d'United Brands.
À son « honneur », United Fruit a organisé au siècle dernier deux invasions marines du Nicaragua, une guerre entre le Honduras et le Salvador, une tentative d’invasion nicaraguayenne du Costa Rica il y a trente ans et plus d’une douzaine de coups d’État. Dans le bain de sang qui a suivi le coup d'État de 1954 contre les forces républicaines d'Arbenz au Guatemala, 35 000 personnes ont été assassinées par des escadrons de la mort.
En 1929, le ministère de la Justice a exigé que Zemurray se vende à UF afin d'éviter une guerre que les deux sociétés avaient contribué à fomenter entre le Guatemala et le Honduras. Entre 40 000 et 50 000 autres personnes ont été tuées par la répression au Salvador et au Honduras. Si l’on ajoute aux décès subis sous Anastasio Somoza García, Luis Somoza Debayle et Anastasio Somoza Debayle qui ont dirigé le Nicaragua de 1933 à 1979, on peut estimer sans risque de se tromper que l’engagement d’United Fruit à préserver les « républiques bananières » et à anéantir tout potentiel de développement d’États souverains Les nations calquées sur les principes fondateurs de l’Amérique ont coûté la vie à des centaines de milliers de personnes au cours des 100 dernières années seulement. C’est l’histoire d’United Fruit : c’est l’anathème de tout ce que la république américaine a toujours défendu. C’est l’histoire de trafiquants de drogue, d’assassins et de meurtriers de masse engagés pour maintenir l’Amérique centrale comme fief arriéré d’un « empire » anglo-américain. Une relation mortelle entre des familles de sang bleu qui fixent les politiques, des mafieux qui fournissent les muscles et des dictateurs locaux impitoyables pour maintenir les esclaves dans le rang.
Fidèle à son surnom d' El Pulpo ou « La Poulpe » , on trouve des personnalités centrales comme John Foster Dulles, qui représentait United Fruit alors qu'il était associé juridique chez Sullivan & Cromwell – il a négocié l'accord crucial United Fruit avec les autorités guatémaltèques dans les années 1930 et a été Secrétaire d'État sous Eisenhower ; son frère Allen, qui effectuait des travaux juridiques pour l'entreprise et siégeait à son conseil d'administration, était à la tête de la Central Intelligence Agency sous Eisenhower et Kennedy.
Le cabinet d'avocats et les deux frères ont travaillé dans l'entreprise pendant 38 ans ; Henry Cabot Lodge (dont les ancêtres de la famille étaient impliqués dans la traite des esclaves aux Antilles), qui était l'ambassadeur des États-Unis auprès de l'ONU, était un important propriétaire d'actions de United Fruit ; Ed Whitman, l'homme des relations publiques d'United Fruit, était marié à Ann Whitman, la secrétaire personnelle de Dwight Eisenhower. Le neveu de Sigmund Freud, Edward Bernays, est embauché en 1941 comme consultant.
Son livre « Propagande » de 1928 affirmait : « La manipulation consciente et intelligente des habitudes organisées des masses est un élément important dans une société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme invisible de la société constituent un gouvernement invisible qui est le véritable pouvoir dirigeant de notre pays… Ce sont les minorités intelligentes qui doivent recourir à la propagande de manière continue et systématique. Dans les minorités prosélytes actives, dans lesquelles les intérêts égoïstes et l’intérêt public coïncident, résident le progrès et le développement de l’Amérique. » Sa méthode a été utilisée lors du coup d’État de 1954 au Guatemala en demandant aux journalistes d’inventer des histoires sinistres sur la « terreur communiste » et sur le fait qu’Arbenz « devenait communiste ». Avec des intérêts américains aussi puissants impliqués, pour dire que l’UFCo. a été mêlé à l'incident de la Baie des Cochons, à l'assassinat de Kennedy, a été impliqué dans des organisations terroristes israéliennes ou a promu des projets de dépopulation malthusiens ne devraient pas être exagéré.
À la fin des années 1940, par l’intermédiaire de Sam Zemurray et d’autres employés, l’UFCo s’est engagée dans un projet massif visant à faire passer clandestinement des armes aux groupes terroristes de la Haganah et de l’Irgun en Israël en utilisant les gouvernements fantoches d’Amérique centrale. L’un des résultats de ce projet a été la création du Mossad israélien. Israël, en retour, était l'un des principaux fournisseurs d'armes des dictatures fantoches d'Amérique centrale de l'UFCo, en particulier Anastasio Somoza. Pour le projet de la Haganah, Sam Zemurray a été coopté par Edmund de Rothschild au conseil d'administration de la Commission économique palestinienne (PEC) (voir ceci ) qui allait prochainement évoluer vers le secteur étatique de l'économie israélienne. Le co-parrain de ce poste sioniste de haut niveau était le sénateur Herbert H. Lehman de la société d'investissement Lehman Bros., qui dirigeait la partie américaine de la PEC. Lehman Bros., qui a acquis sa fortune initiale dans le secteur du coton et des esclaves après le blocus de Charleston et de la Nouvelle-Orléans par l'Union, a été la première banque à intégrer le conseil d'administration de l'UFCo. (Voir cet article JSTOR )
Le Dr Carlos Gutierrez du gouvernement de reconstruction nationale (GNR) post-Somoza a accordé une interview à Executive Intelligence Review sur l'histoire récente du Nicaragua en 1979.
Q : Docteur Gutierrez, l'un des faits que nous avons pu vérifier est que le sionisme soutient à bien des égards la dictature de Somoza. Il est bien connu qu’Israël fournit des armes à Somoza. Mais ce n'est pas tout. United Brands, anciennement le célèbre United Fruit, est dirigé par un dirigeant sioniste et l’on sait que les réseaux sionistes impliqués dans le trafic de drogue sont intimement associés à Somoza et à la Garde nationale. Que pouvez-vous nous dire à ce sujet ?
R : Eh bien, le problème de United Fruit a été quelque peu réduit au Nicaragua. Il y a de nombreuses années, nous étions un « pays bananier » ; Le Nicaragua a vécu une triste expérience. C'était un pays qui produisait des bananes en quantités effrayantes. Elle produisit la tuberculose dans la même proportion. Un membre du Groupe des Douze a réalisé aux États-Unis un documentaire qui comprend 400 photographies montrant l'histoire du Nicaragua… avec tout le processus dans lequel les États-Unis sont intervenus depuis William Walker, un flibustier de la Nouvelle-Orléans qui s'est fait président du Nicaragua. [pendant 10 mois en 1853- ndlr], fut reconnu en moins de 48 heures par les États-Unis, et voulut annexer notre territoire aux États esclavagistes. Sur certaines de ces photos, on voit les maisons – si on peut appeler cela des maisons – faites de paille, de feuilles de palmier, au milieu de l'eau et de la boue, appartenant aux travailleurs de la banane.
Des conditions de vie vraiment lamentables. … Et, de l’autre côté, nous voyons les manoirs parce qu’il s’agissait véritablement de manoirs – habités par les dirigeants d’United Fruit. La production de bananes au Nicaragua a chuté à cause des ambitions politiques de Somoza et de l'utilisation des méthodes d'exploitation de la production actuelle sans se soucier de replanter les bananiers. Bien entendu, nous avons encore des plantations. Beaucoup, en fait, appartiennent à Somoza et bon nombre des activités de culture et de transformation des fruits au Nicaragua sont représentées par des sociétés américaines ou des sociétés américaines associées à Somoza.
En ce qui concerne Israël, nous avons simplement ceci à dire : il est inimaginable qu’une nation pour laquelle le mot « génocide » a été inventé soit complice de la perpétration d’un génocide. C'est une énorme incongruité et, croyez-moi, je ne dis pas cela par haine, mais par colère. Personnellement, et les Nicaraguayens en général, je ne peux en aucun cas applaudir les crimes nazis contre le peuple juif. Comme toute l’humanité, nous les condamnons. Pour un homme civilisé, il est impossible d’accepter de telles choses. Mais, en même temps que nous condamnons Hitler pour ses crimes contre les Juifs, nous, Nicaraguayens, avons la douloureuse obligation de condamner Israël pour complicité dans le génocide, dans le massacre du peuple du Nicaragua. Vous savez qu’il y a eu plusieurs cas avérés de soutien israélien à Somoza – non pas au Nicaragua, mais à Somoza. Cela va des livraisons d’armes, de munitions, de roquettes, de bombes moutarde aux informations non confirmées selon lesquelles les Israéliens testent certaines armes sur le territoire nicaraguayen. »
Lorsque Somoza a aidé à parrainer l'invasion de la Baie des Cochons sur le Cuba de Castro en 1961, elle a été lancée depuis l'île Swan au Nicaragua sur un terrain appartenant en totalité à l'UFCo. ainsi qu'une tour de signalisation radio gérée par la CIA. Les plans d'invasion de la Baie des Cochons devinrent tout à fait fantastiques : les exilés cubains formés au Guatemala sous la protection de Castillo Armas devaient être transportés à Cuba sur deux navires de la United Fruit Co. ; des équipes formées dans un camp fourni par la mafia de la Nouvelle-Orléans devaient infiltrer Cuba et assassiner Castro ; les agents des casinos et des réseaux de drogue du gangster Meyer Lansky à Cuba devaient proclamer une « lutte de libération nationale » ; et la flotte navale américaine devait envahir pour soutenir ces forces « patriotiques ». L'ensemble de l'opération a lamentablement échoué en raison de la ferme opposition du président Kennedy à jouer le jeu des intrigues manipulées de l'Empire britannique pendant la guerre froide, malgré le fait que son père, Joseph Kennedy, avait fait sa fortune initiale en vendant du whisky de contrebande provenant de franchises britanniques exclusives d'alcool aux mêmes éléments de gangsters impliqués dans UFCo.
L'historien Anton Chaitkin décrit les groupements européens dont le général Lemnitzer a hérité après avoir été licencié et avoir rejoint l'OTAN ; "un appareil secret composé de tueurs de la mafia, de nazis hitlériens, de fascistes mussolini, d'irréductibles coloniaux français et de mercenaires blancs furieux de la perte de l'Afrique."
Les liens étroits entre United Fruit Co. et les réseaux désignés par le procureur du district de la Nouvelle-Orléans, Jim Garrison, comme étant à l'origine de l'assassinat de Kennedy peu après sont illustrés de manière graphique dans le cas de William Gaudet, éditeur du Latin American Report financé par l'UFCo dans les années 1950 et au début. années 1960.
Au moment de son emploi chez UFCo, Gaudet travaillait à l'International Trade Mart (ITM), une succursale de la Nouvelle-Orléans de Permindex Corp., créée en 1958, nominalement en tant que société de commerce international organisant des expositions commerciales et gérant des projets immobiliers. bureaux de direction d'entreprise. Le fondateur de Permindex était le major Louis Mortimer Bloomfield, un protégé personnel du chef des opérations spéciales britanniques, Sir William Stephenson. Bloomfield, en plus d’occuper une position centrale au sein de la Division Cinq du FBI et de l’Office of Naval Intelligence, était un canal financier de premier plan pour le cartel international des stupéfiants dirigé par Meyer Lansky. Parmi les principaux actionnaires de Permindex figuraient l'avocat de la mafia Roy M. Cohn ; George Mantello, avocat de la Maison de la noblesse noire italienne de Savoie ; Ferencz Nagy, l'ancien président pro-hitlérien de la Hongrie en temps de guerre ; et Tibor Rosenbaum, directeur des opérations du Mossad israélien en Europe occidentale dans les années 1960 (basé dans sa banque genevoise Meyer Lansky). Permindex avait été expulsé d'Italie et de Suisse en 1962 et avait également été identifié comme responsable de la tentative d'assassinat du président français de Gaulle. Partageant des bureaux avec Gaudet se trouvait le « Comité du Fair Play pour Cuba » de Lee Harvey Oswald et bien d'autres nommés par Garrison comme étant impliqués avec Oswald dans l'assassinat de Kennedy. Parmi eux se trouvait Clay Shaw, qui dirigeait ITM avec le successeur de Zemurray dans la mafia de la Nouvelle-Orléans, Carlos Marcelo.
Edward Bannister, directeur régional du Sud-Est de la Division Cinq (Contre-espionnage) du FBI, pour laquelle Bloomfield était le recruteur en chef et le gestionnaire d'agents au moment de l'assassinat de Kennedy, était également impliqué. Bannister a été nommé par Garrison comme étant chargé de fournir à Oswald une couverture communiste crédible. Lorsqu'Oswald s'est rendu au Mexique lors de son célèbre voyage pour visiter les ambassades soviétique et cubaine, la signature de l'agent de l'UFCo, William Gaudet, est apparue directement sous la sienne dans le registre de l'ambassade américaine lors d'un détour inexpliqué. Curieusement, la Commission Warren n'a jamais examiné le lien entre Gaudet et Oswald, ni les autres témoignages de Garrison.
Au moins trois membres de la Commission Warren avaient des liens personnels ou familiaux étroits avec United Fruit Co., principalement les frères Dulles, mais aussi des personnalités éminentes comme John J. McCloy, « président de l'establishment ». Membre honoraire de la famille Rockefeller, McCloy a été président du conseil d'administration de la Chase Manhattan Bank de David Rockefeller, administrateur de la Fondation Rockefeller et de United Fruit. Son pedigree peut être résumé par son attitude face à l'internement des Américains d'origine japonaise en 1942 : « S'il s'agit de la sécurité du pays. . . pourquoi la Constitution n'est pour moi qu'un bout de papier. »
McCloy, avec Allen Dulles, Whitney Shephardson, John Foster Dulles, William Draper et Averell Harriman, ont planifié de purger les services de renseignement de guerre et d'après-guerre et l'autorité d'occupation allemande d'après-guerre de tous les loyalistes de Franklin Roosevelt qui s'étaient engagés à éliminer toutes les formes de colonialisme. Lors du déclenchement de la crise des missiles de Cuba en octobre 1962, John J. McCloy, apparemment un simple citoyen mais toujours président du Conseil présidentiel de contrôle des armements et de désarmement, fut brusquement rappelé d'un voyage d'affaires en Europe et rapatrié par avion à Washington. Lorsqu'il fut informé pour la première fois de l'existence de missiles à capacité nucléaire à Cuba, la réponse de McCloy fut d'appeler à des frappes aériennes immédiates pour éliminer ces armes.
Un autre oligarque de premier plan de Wall Street, William F. Buckley, Sr., qui a travaillé avec les intérêts de Standard Oil, Royal Dutch Shell et Morgan-Lamont pour organiser de multiples tentatives de contre-coup d'État contre la révolution mexicaine jusqu'à ce qu'il soit expulsé du pays en 1921 en tant qu'homme politique. « étranger pernicieux » et ses avoirs pétroliers confisqués. Buckley a ensuite déménagé au Venezuela, où il a pris le contrôle des deux tiers des gisements pétroliers du pays en tant que partenaire junior de la Standard Oil de Rockefeller. Buckley, Sr. a personnellement formé Nelson Rockefeller qui a travaillé avec lui dans la filiale vénézuélienne de Standard, Creole Petroleum, pour mener une série de coups d'État à portes tournantes qui ont utilisé les réseaux de Buckley, le proche associé de Buckley, le dictateur argentin Juan Peron et le dictateur corporatiste espagnol. Francisco Franco. Creole Petroleum devait plus tard couvrir les opérations dirigées par les frères Dulles dans les Caraïbes, en travaillant avec la United Fruit Company pour orchestrer le coup d'État d'Arbenz en 1953 au Guatamala et l'invasion de la Baie des Cochons en 1963. Coudert Brothers, le cabinet d'avocats de l'empire pétrolier des Buckley, estimé à 110 millions de dollars, avait également un pedigree fasciste en tant que conseiller juridique de Vichy France. Regarde ça .
Les Buckley sont associés aux réseaux Permindex. George De Mohrenschildt, un aristocrate russe blanc assassiné avant de pouvoir témoigner sur son rôle de « contrôleur » de Lee Harvey Oswald, entretenait des liens étroits avec la famille. De Mohrenschildt a travaillé pour Nelson Rockefeller, alors coordinateur des affaires interaméricaines, pendant la Seconde Guerre mondiale ; Plus tard, il rejoint la société pétrolière Pantepec de Buckleys au Venezuela, qui est intégrée aux opérations de renseignement caribéennes de Standard Oil. Lorsque De Mohrenschildt a quitté Pantepec, il a développé plusieurs joint-ventures avec la Schlumberger Corporation, représentée par le cabinet d'avocats des Buckley, Coudert Brothers. Schlumberger n'est pas seulement un élément majeur de United Fruit/Creole Petroleum, une opération de renseignement privée qui gérait virtuellement la Baie des Cochons, mais Jean de Menil était également membre du conseil d'administration de Permindex et sa femme était une sponsor internationale des terroristes des Frères musulmans. Vous vous souvenez peut-être du rôle central joué par Schlumberger en tant que choix du vice-président Dick Cheney pour le pillage de l'Irak alors qu'il était membre du conseil d'administration, actionnaire majeur et recevait 100 000 $ de salaire différé tandis que sa femme Lynne était membre senior de l'American Enterprise Institute, un bénéficiaire d’un « don de charité ».
Un aparté est nécessaire à ce stade en raison de la nature de la discussion sur l'assassinat de Kennedy et du problème de la façon dont la majorité des historiens reproduisent les méthodes de Sherlock Holmes en passant en revue les détails de ce que portaient les principaux suspects, qu'ont-ils mangé pour le déjeuner. ce jour-là, l'endroit où ils se trouvaient le 21 novembre à 15h32, et des distractions similaires. Il devrait ressortir clairement de ce qui est discuté dans le document que Kennedy était confronté à des organisations qui n'avaient aucun scrupule à commettre des assassinats de haut niveau lorsque les intérêts économiques étaient menacés, ce qui était le thème ultime qui s'est joué tout au long de l'existence de l'administration. Une excellente étude est Battling Wall Street de Donald Gibson , une approche unique pour exposer la bataille fondamentale entre un gouvernement « du peuple, par et pour le peuple » et un gouvernement qui sert avant tout des intérêts privés égoïstes. Cela s'est produit tout au long de l'histoire de notre nation chaque fois que des présidents ont été assassinés ouvertement, comme les présidents Garfield et McKinley, ou plus secrètement, comme dans le cas des présidents Taylor ou Harding, et le résultat a été des changements fondamentaux dans les politiques nationales et économiques. Regarde ça .
Cui bono ? À qui profite-t-il ? (Voir ceci et ceci )
Donald Gibson a été interviewé par Michelle Steinberg, rédactrice en chef de l'EIR, le 5 mai 2000. Voir ceci .
» EIR : Vous abordez ce sujet dans le dernier chapitre de « Assassination Cover-Up » — le Wall Street Journal, Time-Life, Luce, etc. Une opposition amère.
Gibson : Lorsque j'ai terminé le premier livre, et que j'ai eu le sentiment que Kennedy était en fait en profond conflit avec Wall Street et d'autres intérêts, j'ai ensuite examiné le processus de dissimulation. Les personnes impliquées dans la création de la Commission Warren étaient essentiellement des agents des mêmes puissances qui s’opposaient à Kennedy. Donc, cela m’a vraiment relancé, en termes de nouveau cycle d’enquête et de recherche.
EIR : Il y a toujours une certaine opposition. Selon vous, qu’y avait-il de si unique dans ce que représentait Kennedy, qui aurait poussé l’establishment à prendre des mesures aussi drastiques ?
Gibson : Ce qui les dérangeait chez Kennedy, c'est que Kennedy menaçait de manière agressive presque toutes les grandes stratégies que la classe supérieure était en train d'adopter, et en fait, lui et, surtout si son frère l'avait suivi, se seraient mis en travers de son chemin. de tout, du post-industrialisme à la mondialisation. Les politiques de JFK orientées vers le développement et la croissance, orientées vers le pays, non seulement pour les États-Unis, mais aussi pour d'autres pays, auraient été en contradiction avec deux des axes centraux des 25 dernières années : à savoir l'économie postindustrielle. société et mondialisation. »
Gibson évoque de manière intéressante le rôle de Lord Bertrand Russell et sa création au début de 1964, du « Comité Who Killed Kennedy » (voir ceci et ceci ) des mois avant que la Commission Warren ne publie son rapport et son amitié avec le critique de la Commission Warren, Mark Lane et son Livre de 1966, Rush to Judgment, le premier des quelque 400 livres qui ont été produits, dans lequel Gibson identifie le rôle de Russell dans la direction de ce « qui est devenu une vaste industrie de détournement de fonds à propos de l'assassinat ». La Commission Rockefeller sur les activités intérieures de la CIA de 1975, dirigée par Nelson A. Rockefeller (voir ceci ), qui mettait en vedette Lyman Lemnitzer, l'ancien chef d'état-major fou des chefs d'état-major interarmées, qui s'est le plus prononcé en faveur d'une invasion de Cuba et pour avoir suggéré dans « Opération Northwoods » que le gouvernement utilise de faux Cubains pour commettre des incidents terroristes aux États-Unis afin de terrifier le public et de le pousser à soutenir une invasion. Vous pouvez en savoir plus à ce sujet dans « Body of Secrets: Anatomy of the Ultra-Secret National Security Agency » de James Bamford .
L'enquêteur en chef de la Commission Warren, David Belin, a fourni au sénateur Richard Schweiker (démocrate de Pennsylvanie) des documents de la CIA qui impliquaient un lien possible entre Castro et l'assassinat de Kennedy, sur la base des déclarations d'un transfuge cubain. En divulguant les documents à AP, Belin a indiqué que la Commission Warren avait accès aux mêmes documents mais les avait ignorés. Ironiquement, Belin venait d'écrire une absolution de « l'assassin solitaire » et de la « théorie magique de la balle unique » de la Commission Warren pour le National Review Magazine de William F. Buckley du 6 février 1976.
Le principal agronome de l'UFCo, William C. Paddock, est devenu membre d'un groupe de néo-malthusiens appelant à des « mesures de triage » de type temps de guerre pour le Mexique et l'Amérique centrale afin de réduire radicalement les populations. Paddock a reçu une formation en biologie végétale à Cornell et a commencé une carrière en agronomie tropicale à la fin des années 1940. Durant la décennie des années 1950, il vécut en Amérique centrale, principalement au Guatemala et au Honduras, et effectua de fréquents voyages au Mexique. Dans les années 1960, il a créé une société de conseil privée en agronomie tropicale, Paddock and Paddock, et a consacré une partie croissante de son temps à travailler avec son frère, Paul Paddock, sur la question de la croissance démographique mondiale.
Paul Paddock (décédé au début des années 1970) était un officier de carrière du Département d'État en poste au Mexique à la fin des années 1930. William a été président de l' Escuela Agricola Panamericana (école agricole panaméricaine), près de Tegucigalpa, au Honduras (voir ceci ). Cette école, fondée par United Brands, est depuis des décennies leur centre de « recherche » phare dans la région et est financée à ce jour par la Fondation United Brands. Le Fonds environnemental (voir ceci ), créé en 1973, avait pour but de promouvoir l'avortement et la stérilisation forcés, par opposition aux groupes de planification familiale plus traditionnels. Sa déclaration d’intention le décrivait comme « un effort visant à stimuler la réflexion sur l’impensable ».
Zero Population Growth (maintenant Population Connection PC Critique ) et la Federation for American Immigration Reform ( FAIR ) étaient des mouvements similaires de réduction de la population. Paddock siégeait au conseil d'administration de et était un financier. Son célèbre livre Famine, 1975 ! La décision américaine : qui survivra ? (1967) appelle explicitement à une planification familiale coercitive, William Hardin, biologiste formé à l'Université de Chicago, a publié un manifeste en 1968 (voir ceci ) pour l'Académie américaine pour l'avancement des sciences qui, pour la première fois, déclarait ouvertement que les programmes volontaires de contrôle des naissances étaient insuffisantes pour stopper la croissance démographique mondiale et pour répondre au besoin urgent d'une « économie de sauvetage », et le livre de Paul Ehrlich de 1968, The Population Bomb , a popularisé le travail de Paddock et Hardin. Il est devenu un best-seller national aux États-Unis. « De nombreuses décisions apparemment brutales et sans cœur devront être prises », a écrit Ehrlich. Ce travail fondateur de Paddock, Hardin et Ehrlich a eu lieu au cours des mêmes années, sous la direction générale d'un effort plus vaste : la création du Club de Rome par les agences de planification de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN).
Le Club de Rome, officiellement créé en 1969 sur la base d’efforts d’organisation dans lesquels Zbigniew Brzezinski a joué un rôle de premier plan, a immédiatement lancé le concept général au sein duquel le triage et l’éthique du canot de sauvetage ont trouvé leur place : les limites de la croissance. Des documents politiques thématiques similaires tels que Global 2000 (1977) qui recommande de réduire la population mondiale de 2 milliards de personnes d'ici la fin du siècle, le National Security Study Memorandum (NSSM200) d'Henry Kissinger, achevé en décembre 1974, spécifiait la réduction de la population comme moyen de contrôler la population mondiale. ressources naturelles, la Conférence de Bucarest sur la population menée par Rockefeller en 1974, d'où est né le mensonge du réchauffement climatique, le travail de destruction économique de « désintégration contrôlée » du président de la Réserve fédérale, Paul Volcker, et d'autres mesures telles que le régime génocidaire de Pol-Pot au Cambodge, toutes empruntées à Les théories des Paddocks et les ont concrétisées. (Regarde ça )
Hors du feu et au micro-ondes
Une fois arrivés dans les années 1970, l'UFCo. commence un nouveau chapitre avec le rachat en 1970 par Eli Black, la fusion avec United Brands, le mystérieux « suicide » de Black 5 ans plus tard et l'ascension de Max Fisher, alors junior « Zemurray » à la tête d'une petite société israélienne. la société de raffinage du pétrole (PAZ) et le Purple Gang de Détroit ; l'une des opérations d'extorsion juive et de contrebande d'alcool les plus violentes de l'époque de la prohibition, en collaboration avec la famille Bronfman au Canada.
Le début de la carrière de Fisher a été façonné par son association avec Jack Rothberg, membre du Purple Gang, qui l'a aidé à se lancer dans le secteur du raffinage de pétrole. Si vous avez l’estomac suffisamment solide, vous pouvez parcourir le site Web de culte mal codé The Max Fischer Archives qui a « Leader respecté » et « L’héritage d’un citoyen du monde » en haut. (Regarde ça )
En février 1975, Eli Black, président du conseil d'administration d'United Brands (UB), est sorti par une fenêtre du 4ème étage de l'immeuble Pan-American à New York. Moins de deux mois après sa mort mystérieuse, Max Fisher (qui avait menacé de divulguer des preuves incriminantes sur les divers stratagèmes de corruption de Black) a été nommé président par intérim de la société, puis en est devenu le nouveau président du conseil d'administration.
En 1975, Fisher et deux de ses proches associés, Carl Lindner de Cincinnati et Seymour Milstein de New York, détenaient un total de 48 pour cent des actions d'UB et de ses filiales. La nomination de Fisher a été parrainée par deux personnes : Sol Linowitz et Donald R. Gant, associé de Goldman Sachs et associé d'Henry Kissinger. Envoyé spécial de l'administration Carter pour les négociations du traité du canal de Panama, Linowitz était conseiller en politique internationale auprès de Maritime Fruit Company, l'homologue israélien de United Brands, et siégeait au conseil d'administration de la Marine Midland Bank, qui a fusionné en 1979 avec la banque de Hong Kong et de Shanghai. Corporation, qui a longtemps été la banque centrale de compensation pour le commerce de l'héroïne du Triangle d'Or en Extrême-Orient depuis les guerres de l'opium. L'une des premières actions de Fisher en tant que président du conseil d'administration a été de nommer Bert C. Reiss au poste de vice-président en charge des transports. Reiss venait de la National Bulk Carriers Corporation (NBC), une entreprise impliquée dans le transport maritime et la construction dans toute l'Amérique latine.
NBC appartenait à Daniel K. Ludwig, un associé de Meyer Lansky, qui était responsable du projet de dragage du port qui a conduit à la construction de Paradise Island, ravagée par le scandale, aux Bahamas. Une fois à UB, Reiss a exclu toutes les marchandises n'appartenant pas à l'entreprise des navires United Brands et de ses installations portuaires de la Nouvelle-Orléans, jetant ainsi un voile de secret total sur les activités maritimes de l'entreprise dans les Caraïbes et en Amérique centrale. Grâce à ses participations dans Paz, Fisher a ensuite acheté une part importante du secteur public israélien et a acquis la moitié des parts dans Zim Shipping Company, la plus grande compagnie maritime du Moyen-Orient, dont l'un des navires a été révélé en 1978 par le Jerusalem Post comme transportant des millions de dollars. de dollars de haschisch liquide à New York. (Regarde ça )
Entre 1959 et la fin des années 1980, Charles Keating était le partenaire commercial de Carl Lindner, le financier basé à Cincinnati, dans l'Ohio, qui fut l'une des figures centrales de l'effondrement de l'épargne et des prêts de 200 milliards de dollars et du sauvetage des contribuables en 1989. En 1959, Lindner et Keating a cofondé l'American Financial Corporation (AFC). Keating a été avocat général de la société d'hypothèques et d'assurances, puis vice-président. Entre 1974 et 1976, Lindner et Keating ont organisé une série d’achats d’actions et de fusions avec certains des dirigeants du syndicat du crime Lansky – qui avaient suivi la recette de la famille Bronfman et sont passés « des haillons, au racket, à la richesse, à la respectabilité ». .»
En 1975, l'AFC de Lindner s'est alliée au financier de Détroit Max Fisher ; Alfred Taubman, promoteur immobilier de Détroit (un associé de Fisher) ; et Paul et Seymour Milstein, pour prendre une participation majoritaire de 50 % dans United Fruit/Brands Company. Les responsables de la Drug Enforcement Administration avaient confirmé à l'Executive Intelligence Review qu'United Fruit était une force majeure dans le commerce de la cocaïne en Amérique latine – un commerce qui a explosé à la suite de l'affaire Lindner-Fisher et al. reprendre. Parallèlement à Lindner, Fisher et. Al. s'emparaient de United Fruit, l'AFC de Lindner s'est alliée simultanément à un groupe d'autres entités liées à Lansky pour établir un formidable pool de sociétés imbriquées qui formeraient collectivement le noyau de la tristement célèbre ère des années 1980 des pillards de junk-bonds, présentée dans des livres comme Predators Ball de Connie Bruck ou la « Money Machine : Comment KKR a fabriqué le pouvoir et les profits » de Sarah Bartlett.
Alors que Lindner et Keating forgaient leurs alliances commerciales avec Steinberg, Tisch, Fisher, Riklis et Posner, deux des principaux groupes financiers anglo-américains – JP Morgan et l'empire bancaire et de courtage du baron Edmund de Rothschild, la Banque Lambert de Bruxelles scellaient leur propre alliance. Ces grands banquiers ont transformé la banque d'investissement/maison de courtage relativement petite de Drexel Harriman Ripley, dans les années 1970, en Drexel Burnham Lambert. Le baron Edmund de Rothschild personnifiait l’intersection du monde de la haute finance et du monde souterrain. Entre les années 1950 et 1970, la société genevoise Rothschild avait financé la carrière de Max Fisher ; l'escroc pyramidal Bernie Cornfeld de l'infamie Investors Overseas Services (IOS) ; le pionnier du blanchiment d'argent de la drogue, Robert Vesco ; et le pirate des hedge funds George Soros.
Drexel Burnham, nouvellement construit, a envoyé le négociant en obligations Michael Milken dans son nouveau bureau de Beverly Hills, en Californie, pour ouvrir l'ère des Junk Bonds et des OPA hostiles. En 1979, le président de la Réserve fédérale, Paul Volcker, a commencé à faire monter les taux d'intérêt de plus de 20 %, vidant ainsi le secteur agro-industriel productif américain.
Il faut presque imaginer la campagne de bombardements stratégiques de la Seconde Guerre mondiale pour imaginer les rachats par emprunt et le pillage des usines automobiles, des entreprises sidérurgiques, des fonderies, des ateliers d’usinage et des industries lourdes similaires détruits systématiquement et les anciennes villes et villages prospères transformés en enfers infestés de drogue. L'adoption de la loi Staggers en 1980 et de Garn-St Germain en 1982, ainsi que d'autres mesures de déréglementation, ont transformé l'économie autrefois productive en un désert post-industriel dominé par les sociétés FIRE (Finance Insurance Real Estate) et par le nombre croissant de divertissements. et les drogues utilisées pour maintenir occupée et apaisée la majeure partie de la population dont le niveau de vie était de pire en pire.
À l'âge de 96 ans, Max Fisher est décédé le 3 mars 2005 à son domicile de Franklin, dans la banlieue de Détroit. Sa fortune était estimée à 775 millions de dollars dans le classement annuel du magazine Forbes des 400 individus les plus riches du pays. L’image flatteuse d’un homme d’affaires prospère et d’un philanthrope généreux envers des causes importantes est ce que vous trouvez en ligne sur Wikipédia ou sur d’autres sites Web comme celui de la Société historique juive du Michigan. JHSM « La réussite commerciale et financière n'est qu'une partie de l'impact mondial de Max Fisher. Il croyait fermement que son succès l'obligeait à redonner aux causes qu'il soutenait. Fisher est devenu un géant de la philanthropie. L'éducation, juive et laïque, était une priorité pour sa générosité. Il s’est concentré sur Israël et sur le soutien apporté par la communauté juive américaine. Il est devenu président de l’Appel juif uni, puis de l’Appel uni pour Israël. Il a présidé le conseil d’administration de l’Agence juive pour Israël pendant de nombreuses années, servant de diplomate fantôme entre les gouvernements israélien et américain. En 1977, le président Carter a invité Fisher à assister au premier ministre israélien et au président égyptien à la signature des accords de Camp David.
Les communistes, l’invention des meurtriers de masse impérialistes Mouvements communistes/maoïstes. L’excuse parfaite pour un bain de sang sans fin. Si quelqu’un se souvient encore du scandale Iran Contra, qui aurait pensé que c’était une bonne idée de financer une guérilla contre les « communistes impies » avec le produit de la vente de drogue fournie par les narcoterroristes, qui permet d’emprisonner un grand nombre des couches les plus pauvres de la population ? la société dans des prisons privatisées qui font également office de camps de travail pour esclaves ?
Bienvenue dans le monde bizarre de la logique de la guerre froide. Le réseau de Cubains entraînés par la CIA pour l'invasion de la Baie des Cochons était sous la supervision de Theodore G. Shackley, devenu célèbre lors du scandale Iran-Contra pour être le chef de « l'équipe secrète » chargée de transporter des armes vers le Nicaragua. Contras dans les avions de la CIA et retour des avions avec des cargaisons de cocaïne du cartel de Medellín. (Voir ceci ) Outre Shackley, « l’équipe » a été constituée par son assistant de longue date Thomas Cline et par le général Richard Secord. Parmi les principaux agents cubains du projet figuraient Rafael Quintero, Felix Rodriguez et Luis Posada Carriles, ancien responsable de la DISIP du Venezuela (l'agence de renseignement et de contre-espionnage créée en 1969).
En 1960, le directeur de la CIA, Allen Dulles, confia à Shackley la responsabilité de l'Opération 40, comme on appelait le plan d'invasion de Cuba, et de mener des opérations de sabotage et d'assassinat avec la collaboration de Meyer Lansky, Santos Trafficante et d'autres, qui contrôlaient la contrebande et la drogue. -trafic dans les Caraïbes. Sous la supervision de Shackley, le nom du plan fut changé en Opération Mongoose, pour laquelle deux bases furent établies, l'une à Miami et l'autre au Guatemala, cette dernière étant mentionnée ci-dessus par Figueres.
En 1965, l'opération Mongoose a été interrompue et Shackley et Cline ont été transférés au Laos. Ted Shackley a été nommé chef adjoint de la station de la CIA au Laos, et Cline son assistant.
Ils étaient accompagnés de divers agents cubains qu'ils avaient formés. La même opération a été répétée au Laos : former les locaux aux opérations terroristes et s'associer aux trafiquants de drogue pour financer leurs opérations. À leur arrivée au Laos, ils établissent le contact avec Vang Pao, un trafiquant d'opium, à qui ils apportent un soutien aérien. Regarde ça .
Les concurrents de Pao ont mystérieusement disparu. En 1971, Shackley a été transféré aux États-Unis en tant que chef des opérations dans l’hémisphère occidental. En 1973, il retourne en Asie du Sud-Est en tant que chef de station de la CIA au Vietnam, où il mène entre 1974 et 1975 l'opération Phoenix, dont la mission était d'éliminer toute l'élite administrative du Vietnam pour empêcher son fonctionnement après l'évacuation américaine. Durant cette période, il rejoint Richard Armitage qui était en charge des opérations financières de l'équipe secrète. Entre 1976 et 1979, diverses sociétés et filiales ont été créées pour cacher les opérations de l'équipe secrète. En Suisse, trois ont été créées : Lake Resources, Inc. ; Le Stanford Technology Trading Group, Inc. ; et la plus connue d'entre toutes, la Compagnie de Service Fiduciaire (CSF), fondée par Willard Zucker, également directeur du département juridique d'Investors Overseas Services (lOS) de Bernie Cornfeld et Robert Vesco.
CSF avait une filiale en Amérique centrale : CSF Investments, Ltd. En 1978, ils se sont rendus en Amérique centrale pour commencer leurs opérations, et en 1981, le lieutenant-colonel Oliver North a confié à l'équipe secrète la responsabilité des opérations de soutien aux Contras nicaraguayens.
Les Cubains Rafael Quintero, Felix Rodríguez et l'ancien commissaire du DISIP Luis Posada Carriles ont activement participé à cet effort.
Cuba : Terre du Mal
Étant donné que Cuba occupe une place centrale dans une grande partie du drame dont nous avons discuté, un bref historique pourrait être nécessaire. Depuis le débarquement de Christophe Colomb jusqu'à la guerre hispano-américaine, Cuba était une colonie espagnole.
La franc-maçonnerie a été abolie en 1824, mais des loges secrètes ont néanmoins vu le jour, pour militer en faveur de la fausse « indépendance » de l'île, souvent en connivence avec les francs-maçons basés aux États-Unis, entre autres pour assurer le maintien des institutions de l'esclavage et du libre-échange.
Dans les années 1850, les mouvements Jeune Amérique et Jeune Cuba de Mazzini fomentèrent la révolution sur l'île contre l'Espagne, tout en organisant simultanément l'invasion de mercenaires de New York – les « flibustiers » – qui espéraient prendre le contrôle de l'île et l'annexer à l'Union. comme un État esclavagiste. Un conflit sanglant qui durera 10 ans. La carrière du flibustier William Walker de la Nouvelle-Orléans et des Chevaliers du Cercle d'Or qui formèrent le noyau de ce qui allait devenir la Confédération puis le Ku Klux Klan lors de ses invasions du Mexique et du Nicaragua peut être considérée comme le prélude aux déprédations ultérieures de United Fruit (voir ceci ).
Après la défaite des Espagnols face aux États-Unis en 1898, Cuba est devenue un protectorat et a obtenu son indépendance en 1902 avec la base de Guantanamo Bay louée aux États-Unis. En 1906, avec l'effondrement du gouvernement, les États-Unis envahirent pour défendre les plantations sucrières et restèrent occupant jusqu'en 1909. En 1912, les États-Unis envahirent pour aider l'UFCo. dans la répression de la révolte afro-cubaine.
En 1917, les États-Unis envahissent à nouveau le pays pour défendre le système des plantations sucrières contre les rebelles de gauche qui contestaient l'élection contestée du président Menocal et restèrent une force d'occupation jusqu'en 1933, date à laquelle ils obtinrent à nouveau l'indépendance grâce à la politique de bon voisinage du président Roosevelt. Avec l'élection de Fulgencio Batista (fils d'un employé de United Fruit) en 1944 et sa dictature militaire en 1952, Cuba devient le siège du crime organisé, notamment Meyer Lansky (président du syndicat du crime pendant 50 ans), Morris « Moe » Dalitz , le chef de la mafia de Cleveland pour le Purple Gang, propriétaire de casinos à Las Vegas et à Miami, et Benjamin « Bugsy » Siegel .
Leur activité : les jeux d’argent, les stupéfiants, le blanchiment d’argent et le tourisme sexuel.
Après que Fidel Castro ait évincé Batista en 1959, le gouvernement cubain adopte une loi pour nationaliser les entreprises américaines en 1960 : la Compagnie cubaine d'électricité, la compagnie de téléphone (ITT), les raffineries de pétrole et 36 raffineries de sucre, d'une valeur approximative de 800 millions de pesos. La foule a également été forcée de quitter l'île et Lansky a mis en place des opérations aux Bahamas avec la complicité des autorités britanniques. Les États-Unis imposent un embargo sur le sucre et restreignent les exportations de tout, sauf de la nourriture et des médicaments.
Après l'invasion avortée de la Baie des Cochons en 1961, Castro appelle les Russes à l'aider à défendre Cuba contre les États-Unis, ce qui conduit à la crise des missiles cubains.
Après 13 jours terrifiants de blocus naval, les Russes retirent leurs missiles nucléaires et les États-Unis retirent leurs armes nucléaires de Turquie. Castro détient le titre de Premier ministre jusqu'en 1976, date à laquelle Cuba devient une dictature à parti unique avec Castro comme seul dirigeant jusqu'à ce que des problèmes de santé le fassent renoncer au pouvoir en 2008. Cependant, contrairement à l'histoire romantique populaire racontée par des communistes désemparés, Castro et le Che n'ont pas dirigé une révolution solitaire dans les montagnes rassemblant lentement à sa cause les Cubains mécontents jusqu'à ce qu'il en sorte victorieux. Comme tout ce dont nous avons parlé, l'histoire est bien plus compliquée que ce qu'on raconte habituellement et nécessite que vous mettiez de côté vos idées préconçues.
Comme Batista, le père de Castro travaillait dans une plantation de canne à sucre pour l'UFCo. puis possédait sa propre plantation dans la province de Mayari, lui offrant un niveau de vie de classe moyenne relativement décent. Fidel a fréquenté des écoles jésuites tout au long de sa jeunesse et après avoir obtenu son diplôme en 1946 au Colegio de Belén, à La Havane, le père Amando Llorente a écrit : « Vous pouviez voir ceci… Qu'il devait faire de grandes choses… Qu'il est pour de grandes choses, pas pour des choses ordinaires. .» [Voir l'Annexe A]
En 1947, alors qu'il était étudiant, Castro commença à se radicaliser suite à une tentative de la Ligue des Caraïbes récemment créée de renverser Rafael Trujillo, le dictateur de la République dominicaine. Les membres de la ligue étaient d'anciens communistes comme les Vénézuéliens Carlos Andrés Pérez et Rómulo Betancourt ; Pepe Figueres du Costa Rica ; Carlos Prío Socarrás de Cuba ; et le Péruvien Víctor Raúl Haya de la Torre. Regarde ça . Carlos Prío Socarrás en particulier, tout en utilisant le terme social-démocrate, lorsqu'il fut élu président de Cuba en 1948, donna sa pleine bénédiction à la prise de pouvoir de Meyer Lansky et fut jusqu'à sa mort membre du conseil d'administration de Permindex.
On estime qu'il a dépensé 5 millions de dollars pour financer des opérations terroristes contre Batista et qu'il a donné 250 000 dollars au mouvement de guérilla de Castro. La relation n'a cependant pas duré très longtemps puisque la plupart d'entre eux ont rompu avec Castro après 1961. La Légion des Caraïbes était parrainée à l'époque par des « socialistes du Département d'État » comme Jay Lovestone, David Dubinsky, Serafino Romualdi et Adolf Berle – tous financés par Nelson Rockefeller. L'UFCo./UB a maintenu Figueres comme l'un de ses principaux atouts dans la région au fil des années.
Par exemple, au cours de son deuxième mandat présidentiel au début des années 1970, Figueres a organisé l'achat à l'amiable par le gouvernement des participations d'UFCO au Costa Rica, un accord dont Figueres a largement profité par l'intermédiaire de son gendre, Danilo Jimenez Nevia, qui est devenu actionnaire d'UB. selon des sources diplomatiques centraméricaines fiables. Il convient également de noter que le financier inculpé Robert Vesco a obtenu l'asile et la résidence au Costa Rica pendant cette période – du président Figueres personnellement, en échange de l'investissement de Vesco dans la ferme de Figueres, « La Lucha ». C'est au cours de cette même période que Figueres autorisa également l'ouverture d'une grande ambassade soviétique dotée d'un personnel suffisant à San José, au Costa Rica. Entre-temps, Figueres déclarait à la revue Nouvelle République du 23 avril 1977 :
« J’ai fait tout mon possible pour impliquer les États-Unis et la CIA dans la politique centraméricaine, à une époque où les démocrates spéciaux de la région étaient menacés par les communistes d’un côté et les militaires de l’autre. »
L'APRA du Pérou et Víctor Raúl Haya de la Torre revêtent une importance particulière en raison de la propagation de mouvements terroristes de tendance nominalement communiste à travers l'Amérique centrale et du Sud, dont nous parlerons plus tard.
En 1971, Robert Vesco fuit les États-Unis pour échapper aux accusations de détournement de fonds concernant IOS et s'implante aux Bahamas et au Costa Rica. Il avait une nouvelle mission : diriger la fondation d’un « cartel » de cocaïne, organisant les opérations disparates des trafiquants en une « industrie » intégrée à l’échelle de l’Amérique, opérant dans le cadre d’une production, d’un transport, d’une distribution, d’un financement et d’une protection centralisés.
Les résultats ont transformé l’hémisphère occidental en la plus grande région productrice de drogue au monde, une région saignée par des armées narcoterroristes en maraude. Les reportages médiatiques selon lesquels Vesco aurait rejoint le Colombien Carlos Lehder et le Cubain Fidel Castro dans le commerce de la drogue à un moment donné, inversent la réalité. Dans trois domaines centraux, Vesco a joué un rôle essentiel dans la création des cartels de Medelin et de Cali associés, en tant qu'institutions :
Il a arrêté Lehder, un petit voyou colombien et ancien détenu, lui fournissant la protection politique et le soutien financier dont il avait besoin pour mettre en place le pipeline de transport de cocaïne entre la Colombie et les États-Unis ; Il a mis en place les premiers systèmes sophistiqués de blanchiment d'argent du cartel ; et Il a négocié la fourniture d'une protection politique et militaire pour l'expansion des plantations de drogue dans toute la région, par les forces terroristes alignées sur Cuba, protection que continuent aujourd'hui les membres du Forum de Sao Paulo. « Nouveaux instruments du hasard » Lorsqu'il a fui les États-Unis pour la première fois, Vesco a trouvé une protection assurée dans deux pays des Caraïbes qui avaient longtemps servi de bases d'opérations à la mafia de Meyer Lansky et aux « hommes au-dessus de tout soupçon » qui l'ont déployée : la colonie de la Couronne britannique et centre bancaire offshore des Bahamas (dont le premier ministre, Lynden Pindling, était dans la poche de Lansky) et du Costa Rica. Vesco s'est d'abord rendu aux Bahamas, puis en 1972, il a déménagé au Costa Rica, où il a vécu jusqu'en 1978, sous la protection personnelle du président José « Pepe » Figueres. Depuis qu’il a pris le pouvoir pour la première fois en 1948 au cours d’une ridicule « guérilla » de cinq semaines, Figueres avait dirigé le Costa Rica comme centre de déploiement régional de la Légion des Caraïbes, une machine politique social-démocrate liée à la mafia Lansky et soutenue par les Rockefeller. et les intérêts de J. Peter Grace.
La Légion, utilisant des combattants communistes exilés de la guerre civile espagnole, a entraîné diverses opérations de guérilla au fil des décennies ; son opération la plus célèbre fut son parrainage de l'expédition de retour de Castro à Cuba en 1957 sur le Granma. Figueres a envoyé une lettre en 1972 au président Richard Nixon, rapportant que Vesco « s'est rendu au Costa Rica en vue de nous aider à établir de nouveaux instruments de finance et de développement économique ». Figueres a promu les projets financiers de Vesco, qui comprenaient des projets visant à transformer les Caraïbes et l'Amérique centrale en un « Hong Kong occidental », arguant que cela était vital pour le « développement » régional.
Il a écrit,
« Je suis impressionné par ses idées, son groupe de chefs d'entreprise et l'ampleur des investissements prévus. Il pourrait fournir l’ingrédient qui manquait à nos projets visant à créer, au milieu de l’hémisphère occidental, une pièce maîtresse du développement démocratique.
Lorsqu'un nouveau président costaricain a pris ses fonctions en 1978, il a expulsé Vesco, qui est retourné aux Bahamas, où il avait déjà établi ses opérations. En 1977, Lehder avait commencé à établir un quartier général de transbordement de drogue sur une petite île des Bahamas, Norman Cays, qui appartint plus tard entièrement à Vesco et Lehder. Les associés de Lehder, devenus informateurs du gouvernement, ont rapporté plus tard que Lehder considérait Vesco comme un « génie financier » et leur a dit que Vesco « l'apprenait à utiliser les banques offshore pour blanchir de l'argent », selon le livre Kings of Cocaine , de Guy Gugliotta. et Jeff Léon (1989). Lehder s'est également vanté que c'était Vesco qui l'avait présenté au Premier ministre des Bahamas, Pindling, et à Castro.
Lorsque la chaleur des États-Unis l'a poussé à quitter les Bahamas en 1981, Vesco a commencé à se déplacer entre la colonie britannique d'Antigua et le Nicaragua sandiniste.
En 1983, cependant, il s'installe à La Havane, à Cuba. En complément du commerce de la drogue, Vesco a aidé le régime castriste à introduire clandestinement à Cuba des produits de haute technologie interdits par l'embargo américain. Le 4 août 1985, Castro a officialisé la protection accordée par Cuba à l’architecte du cartel. Il a déclaré aux journalistes étrangers : « Est-il juste que le pays où l’on parle tant des droits de l’homme [les États-Unis]… s’en prenne à quelqu’un qui aurait éludé le paiement des impôts ? Il a annoncé qu'il avait dit à Vesco : « Si tu veux vivre ici, vis ici. »
Depuis le début du cartel de Medellin, le rôle le plus crucial de Castro dans la transformation des Amériques en un empire de la drogue n’a pas été le soutien logistique étendu que le cartel a fourni sur l’île de Cuba ni les expéditions autorisées à travers le territoire cubain. Il s’agit plutôt du déploiement cubain du narcoterrorisme, dirigeant les forces terroristes alliées dans d’autres pays ibéro-américains, à la fois pour défendre le trafic de drogue et pour attaquer les forces gouvernementales et politiques cherchant à le réprimer.
Aujourd’hui, malgré leurs protestations, Cuba et ses alliés du Forum de Sao Paulo restent fortement impliqués dans le trafic de drogue. Les exemples les plus connus du narcoterrorisme allié à Cuba dans les années 1980 sont le M-19 de Colombie et les sandinistes du Nicaragua. L'alliance de Lehder avec le M-19 a été publiquement saluée par Lehder et les dirigeants du M-19. Le coup le plus dévastateur porté par le M19 au trafic de drogue a été la saisie et la destruction du palais de justice de Colombie en 1985 et le meurtre de 12 membres de la Cour suprême qui en ont résulté.
De même, les sandinistes nicaraguayens, dont la « révolution » de 1978-79 a été financée en partie par Pepe Figueres, partenaire de Vesco, ont été impliqués dès le début dans le trafic de drogue. Vesco était un visiteur fréquent au Nicaragua tout au long des années 1980 ; Des sources gouvernementales américaines ont identifié Vesco comme étant le patron de Federico Vaughn, l'ancien vice-ministre de l'Intérieur filmé par des agents infiltrés de la DEA en 1984 en train de charger de la cocaïne dans un avion en attente sur une base aérienne militaire du Nicaragua. Son arrestation en 1995 pour fraude impliquant le frère de Castro, Raul, et le fils de Richard Nixon, Robert, au sujet d'une expérience en laboratoire visant à enquêter sur un traitement anticancéreux, l'a mis en prison jusqu'à son décès en 2007, bien que son associé, « l'ancien » agent de la CIA Frank Terpil, affirme qu'il s'est échappé. en Sierra Leone en Afrique. (Voir ceci et ceci )
La raison pour laquelle Lansky et Vesco préfèrent utiliser les Bahamas est liée aux 300 ans d'histoire criminelle qui unissent tous les différents volets du blanchiment d'argent et du trafic de drogue, révélant comment les Britanniques orchestrent ce commerce. Son histoire pourrait se répéter pour chacun des autres centres financiers offshore britanniques exotiques. En 1973, les Bahamas ont obtenu une indépendance nominale. Même si le pays élit un Premier ministre, le roi Charles est le chef de l'État des îles, et la décision du Conseil privé du roi est définitive pour toutes les questions juridiques. La population est appauvrie, tandis que les banques et le tourisme constituent une part importante de l'économie fragile des Bahamas. Les Bahamas ont une double fonction : elles sont à la fois un point de dépôt et de transbordement de drogue et un centre de blanchiment de l'argent de la drogue. Les Bahamas sont un archipel de 700 îles dont la plus proche se trouve à 50 miles de la Floride.
Puisque seulement 40 des 700 îles sont peuplées, les autres constituent de parfaits points de dépôt pour la drogue. Au cours des années 1980, selon les rapports de la Drug Enforcement Administration des États-Unis, jusqu'à 75 % des drogues arrivant aux États-Unis en provenance d'Amérique latine passaient d'abord par les Bahamas. Les autorités américaines, craignant le flux de drogue vers les États-Unis, ont contraint les Bahamas à prendre des mesures pour réduire le flux de drogue.
Le Financial Times de Londres du 7 juin 1996 rapportait : « On estime que pas plus de 10 à 15 % des expéditions de drogues illégales vers les États-Unis transitent désormais par les îles. » C’est peut-être une sous-estimation, et le Financial Times admet que le flux de drogue augmente, maintenant que les radars américains destinés à surveiller le trafic de drogue ont été supprimés à Grand Bahamas, Exuma et Great Inagua, dans un souci d’économie.
Cela fait partie du profil historique des Bahamas. Pendant la guerre d'indépendance américaine (1775-1783) et la guerre de 1812, lorsque la Grande-Bretagne envahit l'Amérique, les Britanniques utilisèrent leur colonie des Bahamas comme base pour leurs assauts navals contre les États-Unis. Pour cette raison, en 1776, les révolutionnaires américains occupèrent les Bahamas. Après la guerre d'indépendance, les sympathisants conservateurs ont fui vers les Bahamas et sont devenus partie intégrante de l'establishment. Pendant le soulèvement confédéré de la guerre civile américaine, soutenu par les Britanniques, les Britanniques ont utilisé les Bahamas comme base pour faire traverser aux navires le blocus maritime imposé par le Nord contre le Sud. Un voyage de blocus réussi pourrait rapporter 300 000 $.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, le duc de Windsor, Édouard VIII, pro-nazi, fut exilé aux Bahamas, mais fut placé au poste très important de gouverneur général des Bahamas. Pendant ce temps, le duc a utilisé Axel Wenner-Gren, l'eugéniste suédois et agent nazi, pour blanchir de l'argent au Mexique. Dans les années 1960, le parrain du crime organisé, Meyer Lansky, a construit le casino Resorts International sur Paradise Island (où se trouve le manoir d'Axel Wenner-Gren) pour en faire un centre international de blanchiment d'argent. Les banques canadiennes qui blanchissent de l'argent dominent la scène bancaire des Bahamas, se cachant derrière le secret bancaire des Bahamas et les lois bancaires canadiennes laxistes pour abriter l'argent de la drogue. Dans la Gazette de Montréal du 24 décembre 1985, dans un article intitulé « Comment les banques canadiennes sont utilisées pour « blanchir » des millions de stupéfiants », William Marsden écrivait que l'argent de la drogue est « acheminé vers les banques canadiennes [à Nassau, Bahamas] en énormes piles. de petits billets, parfois des millions de dollars, fourrés à la fois dans des valises, des sacs polochons, des sacs en papier et des boîtes par des trafiquants de stupéfiants. . . Des chauffeurs de confiance et des agents de sécurité veillent à ce que leur argent arrive en toute sécurité dans les banques. Et une fois l'argent déposé, les lois qui interdisent aux banquiers bahamiens de divulguer les documents bancaires garantissent qu'il est à l'abri des enquêtes menées par les stupéfiants et les agents fiscaux étrangers. . .»
Les banques canadiennes, qui gèrent 80 % des activités bancaires aux Bahamas, sont devenues des instruments clés dans le « blanchiment » d'argent illicite – ce qui lui confère un historique clair – pour les passeurs qui cachent des centaines de millions de dollars aux agents de stupéfiants américains et canadiens. « En acceptant ces énormes dépôts en espèces, ce qui n'est pas illégal, les banques canadiennes facilitent les activités criminelles. . .» Au cours des quatre dernières années, la Banque de Nouvelle-Écosse a fait obstacle à deux reprises aux enquêtes américaines en refusant de remettre les dossiers bancaires des trafiquants de drogue à un grand jury [américain]. La banque a finalement cédé après avoir payé près de 2 millions de dollars d’amende.» Sous la pression des États-Unis, le système bancaire des Bahamas a modifié ses pratiques d'acceptation de l'argent, mais au cours de la dernière décennie, le volume de l'argent blanchi de la drogue a augmenté. Regarde ça .
Les centres de blanchiment d'argent britanniques et néerlandais des Caraïbes
Lorsque nous atteignons les années 1980 et au-delà, nous entrons désormais dans l’ère de la mondialisation et du tueur à gages économique. Le président Nixon, sous la direction de Milton Friedman, George Shultz et Henry Kissinger, met fin au système de taux de change fixe avec réserve d'or du système monétaire de Bretton Woods d'après la Seconde Guerre mondiale en 1973. Avec la fluctuation des monnaies, cela devient un jeu d'enfant pour les financiers internationaux. comme George Soros pour utiliser de grandes sommes d'argent provenant de centres britanniques de blanchiment d'argent offshore pour spéculer sur les devises, en combinaison avec les pressions des agences de prêt internationales comme le Fonds monétaire international, le FMI et la Banque mondiale pour amener les gouvernements à dévaluer leur monnaie, à privatiser les services et à vendre leurs monnaies nationales. actifs.
Comme John Perkins l'a rappelé dans son exposé « Confessions d'un tueur à gages économique », les maîtres de la dette mondiale emploient des « tueurs à gages économiques », comme lui, pour piéger les nations ciblées dans la faillite, puis les forcer à restituer leur patrimoine national de matières premières. richesse et force de travail. Lorsqu’un chef d’État nationaliste particulier résiste, les maîtres de la dette font ensuite appel aux « chacals », aux assassins professionnels, pour organiser un « accident » d’avion ou une autre « tragédie » commode afin d’éliminer le dirigeant égaré et de le notifier. ses successeurs qu'un tel comportement ne doit pas être toléré.
Dans les cas extrêmement rares où les chacals échouent dans leur mission, des prétextes sont trouvés et des guerres impériales de conquête comme l’invasion du Panama en 1989 et les invasions de l’Irak en 1991 et 2003 ont lieu. Dans les prochains chapitres, nous passerons en revue les exemples de chacun des pays répertoriés comme sources d'une grande partie de l'immigration/des migrants arrivant aux États-Unis et le rôle que le Fonds monétaire international et le narco-terrorisme lié aux communistes/maoïstes ont joué. joué dans le désastre total du raz-de-marée humain qui a frappé les États-Unis, dû uniquement à l’apathie et au mépris des effets que la politique américaine a sur les autres peuples.
Cependant, avec l'emprisonnement massif des gangs narcoterroristes au Nicaragua, l'approbation explicite du New Deal de Franklin Roosevelt par le président mexicain Manuel Lopez Obrador et Daniel Ortega interdisant aux jésuites d'entrer au Nicaragua (voir ceci et ceci ), il y a des signes de vie dans en plus du nombre croissant de pays décidant de participer aux politiques de développement international des pays BRICS. (Voir ce BRICS au Nicaragua )
Les BRICS sous la présidence russe : vers une architecture mondiale émergente ?
Par Kester Kenn Klomegah Recherche mondiale, 9 février 2024
Une association de cinq économies émergentes communément appelées BRICS sous la présidence russe (2024) a commencé ses travaux avec la première réunion des Sherpas/Sous-Sherpas, tenue du 30 janvier au 1er février, avec la participation de nouveaux pays – l'Éthiopie, l'Égypte, Iran, Émirats arabes unis et Arabie saoudite. La réunion a sans réserve noté les contributions substantielles à l'élaboration de l'agenda 2024 et du plan global d'activités prévues dans la Fédération de Russie.
Durant sa présidence des BRICS, la Russie fera de son mieux pour trouver des solutions aux problèmes économiques, politiques et humanitaires, afin de renforcer les consensus et les approches communs avec les pays partenaires.
Au cours de la réunion, présidée par Sergueï A. Ryabkov , vice-ministre des Affaires étrangères et sherpa russe des BRICS, les priorités de l'association ont été définies.
Les représentants des ministères et départements russes ont donné des exposés détaillés sur les principaux domaines de coopération. L'importance de la mise en œuvre d'un certain nombre d'initiatives russes a été soulignée, notamment le lancement d'un système intégré de réponse rapide aux risques de maladies infectieuses de masse, la création d'un centre de compétences industrielles basé sur l'ONUDI, l'Association médicale des BRICS et une revue spécialisée. et le renforcement de la coopération dans le domaine des transports et du tourisme.
Dans le cadre de la mise en œuvre des instructions des dirigeants des pays BRICS suite aux résultats du XVe sommet de l'association (Johannesburg, 22-24 août 2023), les discussions se sont poursuivies sur les modalités de la catégorie des États partenaires des BRICS, ainsi que ainsi que l'augmentation du rôle des monnaies nationales et des instruments de paiement dans les transactions transfrontalières des « dix » pays.
Tous les participants à la réunion ont confirmé leur concentration sur la poursuite du travail constructif dans les trois « paniers » du partenariat stratégique des BRICS : dans le domaine de la politique et de la sécurité, de l'économie et des finances, de la culture et des liens humanitaires.
Il a été souligné qu'il était temps de relever des défis extraordinaires et d'orienter l'association vers la création d'un monde plus juste et interactif. Une analyse rapide montre que la situation actuelle est en proie à de nouveaux conflits et à des menaces sans précédent qui mettent en danger la poursuite du développement durable. Mais de manière consciencieuse, les BRICS sont prêts à gérer les tâches et priorités collectives, la situation fragile en Ukraine, la catastrophe humaine découlant de l’horrible guerre israélienne contre la Palestine et son impact sur le Moyen-Orient et la Méditerranée.
Dans le même temps, l’Ukraine est apparue dans les discussions. Il a été souligné que la Russie accorde une grande attention et respecte les initiatives avancées par les pays BRICS concernant le règlement de la situation en Ukraine. Cela inclut l'initiative brésilienne, les propositions de la République populaire de Chine et le rôle exceptionnel de la République d'Afrique du Sud dans la discussion et la promotion d'approches en vue d'un éventuel règlement de paix.
En outre, les BRICS ciblent également un travail et des opportunités axés sur les résultats dans les pays en développement, en particulier ceux du Sud. Ses précieuses plateformes sont disponibles pour garantir des réponses cohérentes et durables aux défis, ainsi que pour favoriser la coopération et renouveler les partenariats multidimensionnels, par exemple avec l’Afrique.
Malgré des dizaines de demandes d'adhésion, les BRICS n'ont ajouté que cinq nouveaux membres le 1er janvier 2024. Sans surprise, l'Argentine a décliné son invitation, invoquant son droit souverain de prendre une décision finale basée sur des problèmes intérieurs et des ressources internes limitées. À l'heure actuelle, l'Algérie, Bahreïn, le Bangladesh, la Biélorussie, la Bolivie, Cuba, le Honduras, l'Indonésie, le Kazakhstan, le Koweït, le Maroc, le Nigeria, le Pakistan, la Palestine, le Sénégal, la Thaïlande, le Venezuela et le Vietnam attendent tous une invitation à rejoindre les BRICS après avoir déposé une demande officielle. demande d'adhésion.
Au cours de ces trois jours (30 janvier – 1er février), la réunion a tenu dix séances de travail, au cours desquelles des représentants des ministères et départements russes, des milieux économiques et universitaires ont présenté des informations détaillées sur les domaines clés de la coopération au sein des BRICS et les initiatives de la présidence russe. dans l'association. Les partenaires des BRICS ont assuré leur soutien aux projets de présidence et leur volonté de travailler vigoureusement ensemble cette année.
Des discussions fructueuses et constructives ont eu lieu sur un certain nombre de questions urgentes dans les domaines du commerce et de l'investissement, des transports et de l'énergie, de la technologie et de l'innovation, ainsi que du développement durable. Ils ont échangé des points de vue sur le renforcement de la coopération dans les domaines de l'éducation, de la santé et du sport et ont confirmé leur attachement au maintien et à l'approfondissement des liens entre les entreprises et les experts.
Cette année, les membres travailleront à la mise en œuvre de la stratégie de partenariat économique des BRICS jusqu'en 2025, notamment en renforçant les chaînes d'approvisionnement, en développant l'économie numérique, en soutenant les petites et moyennes entreprises, en stimulant les flux touristiques et l'interaction dans le domaine des transports. Ils visent à lancer le Groupe de contact des BRICS sur le climat et le développement durable, initié par la partie russe.
Il a noté le grand potentiel de coopération entre les pays BRICS dans le domaine de la santé et espère que cette année, les travaux pratiques du système intégré d'alerte précoce sur les risques de maladies infectieuses massives seront lancés. La réunion prévoit de faciliter la connexion de nouveaux pays au Centre de recherche sur les vaccins des BRICS. Il a également été proposé de créer une association médicale et une revue spécialisée des BRICS. Ils se félicitent du début du fonctionnement du groupe de travail sur la médecine nucléaire.
Sous la présidence de la Russie, les BRICS continueront également à se concentrer sur le renforcement de la coopération dans les domaines de la lutte contre le terrorisme, la corruption et la drogue, ainsi que dans le domaine de la sécurité internationale de l'information, et continueront à coordonner les approches des pays BRICS pour résoudre les problèmes de politique étrangère clés. questions politiques, y compris sur des plateformes internationales telles que l’ONU, le G20 et l’OMC.
Ils considèrent également qu'il est important de renforcer les liens humanitaires entre nos peuples, les contacts entre les gens ordinaires et d'élargir les possibilités d'enrichissement mutuel des pays membres de l'association.
L’association des BRICS constate un intérêt croissant de la part d’États amis partageant les mêmes idées partout dans le monde pour le développement de la coopération avec les BRICS. Ils sont impressionnés par les principes fondamentaux sur lesquels repose l'interaction : le respect du droit international, le respect des intérêts de chacun et le droit de chaque État à choisir souverainement sa voie de développement. Répondant au désir d'un large éventail de pays de renforcer leurs liens avec les BRICS, l'association a commencé à élaborer des modalités pour la catégorie des États partenaires de l'association. Il est également envisagé d'utiliser activement les mécanismes de sensibilisation/BRICS et de dialogue pour interagir avec les pays tiers afin d'apporter des contributions significatives à l'obtention de résultats pratiques dans tous les domaines du partenariat stratégique.
Les BRICS ont accueilli de nouveaux venus, notamment l'Éthiopie, l'Égypte, l'Iran, les Émirats arabes unis et l'Arabie saoudite . Sur la base de la décision prise par les dirigeants des BRICS à Johannesburg, ils sont officiellement devenus membres à part entière à partir de janvier 2024. L'Égypte espère que la présidence russe des BRICS relèvera les défis de dans le domaine de la sécurité alimentaire et énergétique, a déclaré Ragui al-Etrebi, vice-ministre égyptien des Affaires étrangères et chef de la délégation du pays auprès des BRICS, lors de la réunion.
«Nous sommes parfaitement conscients du fait que l'intégration progressive et l'adhésion totale de nouveaux membres aux travaux des BRICS constituent un défi de taille. Cependant, nous sommes convaincus que sous une direction compétente, tout sera géré pour résoudre avec succès chacun de ces défis », a déclaré le responsable.
Il a en outre abordé d'autres questions importantes telles que les finances, l'approfondissement de la coopération dans des domaines tels que l'investissement et le commerce, la transformation industrielle, l'utilisation des TIC [technologies de l'information et des communications] dans l'intérêt du développement, la stimulation du transport maritime, la logistique, ainsi que la recherche de solutions. des problèmes de manque de sécurité alimentaire et énergétique.
Téhéran s'attend à ce que le passage aux paiements en monnaies nationales au sein des BRICS s'accentue pendant la présidence russe, a déclaré le vice-ministre iranien des Affaires étrangères chargé des questions économiques, a déclaré Mehdi Safari, le sherpa des BRICS de la république, lors de la réunion. Cela était lié aux moyens d'utiliser plus activement les monnaies nationales et locales et les outils de paiement dans les transactions transfrontalières afin de réduire les effets secondaires négatifs du système économique mondial actuel dominé par le dollar.
La partie iranienne prévoit de participer activement aux événements des BRICS cette année, a ajouté le diplomate.
"Nous sommes également prêts à travailler sur toutes les solutions et documents nécessaires pour le 16e sommet des BRICS à Kazan en octobre", a-t-il noté. "En ce qui concerne 2024, nous espérons que les orientations économiques et financières de la coopération, en particulier les questions du secteur bancaire, des instruments de paiement, de l'annulation des monnaies transnationales et de l'utilisation des monnaies nationales, seront résolues."
Les réflexions de Lavrov lors de la réunion des BRICS
Le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, lors d'une réunion des sherpas et sous-sherpas des BRICS le 31 janvier, a également exposé les paramètres de l'ordre du jour – liés aux processus objectifs en cours et à la profonde transformation de l'architecture internationale. Cela relie également la notion actuelle de multilatéralisme et le slogan populaire de l’inclusion destinée à changer la politique, la sécurité et l’économie mondiales.
«Washington et ses satellites européens dépensent des sommes considérables pour contenir la Russie, ce qui contraste fortement avec l'approche des capitales occidentales à l'égard du Sud, en particulier des pays africains. Il existe des cas où le soutien à l'Ukraine est financé par la suspension de projets en Afrique et au Moyen-Orient», a déclaré Lavrov.
Néanmoins, la majorité mondiale – les États d’Eurasie, de la région Asie-Pacifique, du Moyen-Orient, d’Afrique, d’Amérique latine et des Caraïbes – prend pied plus fermement dans le système mondial. La plupart de ces pays affirment de plus en plus leurs intérêts et leur identité nationales et s’efforcent d’obtenir une véritable indépendance stratégique par des voies pragmatiques.
En principe, la présidence russe des BRICS vise à « renforcer le multilatéralisme pour un développement et une sécurité mondiaux équitables » – et les BRICS sont une association avec des principes mutuels pour le Sud et l'Est du monde. Ses principes fondamentaux reposent sur le respect mutuel, le choix souverain de la voie de développement et la mise en œuvre du principe fondamental de la Charte des Nations Unies, à savoir l'égalité souveraine des États.
Lavrov a parlé de l'impact visible de la situation géopolitique turbulente, des tendances clés de la formation d'un monde multipolaire, a souligné l'impact croissant du facteur culturel et civilisationnel sur la politique mondiale et l'importance de faciliter divers mécanismes de coopération qui résisteraient aux actions destructrices de pays hostiles. Il a également souligné la création réussie de la Nouvelle Banque de Développement (NDB) et du Centre de recherche et de développement de vaccins des BRICS.
Centre de R&D sur les vaccins des BRICS
En mars 2022, les BRICS ont fait un autre grand pas en avant, peut-être sous l’impulsion de la pandémie de Covid-19 qui s’est propagée à travers le monde, pour enfin lancer le centre de R&D sur les vaccins des BRICS, fortement soutenu par la Chine. Sous la direction de la Russie, ils ont d’abord proposé la coopération dans la lutte contre les maladies infectieuses comme une priorité pour les BRICS. La déclaration commune finale du sommet des BRICS de 2015 à Oufa, en Russie, contient des instructions données par les dirigeants pour qu'ils travaillent de manière cohérente à la gestion du risque d'épidémie.
« Nous sommes préoccupés par les menaces mondiales croissantes et diversifiées posées par les maladies transmissibles et non transmissibles. Cela a un impact négatif sur le développement économique et social, en particulier dans les pays en développement et les pays les moins avancés », indique la déclaration des BRICS de 2015.
Au sein du groupe, la Chine et l'Inde sont prêtes à partager des informations et des expériences avec les membres des BRICS, à mener des recherches conjointes et à développer des médicaments et des vaccins sur la base du respect de la souveraineté et des conditions nationales de chacun. Plus tard, pendant la présidence tournante de l'Afrique du Sud, il a fermement proposé à nouveau la création d'un centre de coordination de recherche et de développement à grande échelle et prévu de l'implanter à Johannesburg, en Afrique du Sud.
Néanmoins, aucune réalisation pratique n’a été enregistrée dans ce sens. Mais alors que la Chine a pris la tête des BRICS, à compter de janvier 2022, les experts et les analystes de recherche ont depuis manifesté un profond intérêt. Enfin, le 22 mars a marqué le lancement du Centre de recherche et de développement de vaccins des BRICS, auquel participent les chefs des agences compétentes des cinq pays. L'initiative visant à créer le centre de recherche et développement sur les vaccins des BRICS, comme indiqué précédemment, a été intégrée dans la déclaration finale du sommet des BRICS à Johannesburg, en Afrique du Sud (26 et 27 juillet 2018).
Il a rassemblé des instituts de recherche et des entreprises de premier plan dans les États membres – la Fondation Oswaldo Cruz (Brésil), l'Institut de recherche sur la grippe Anatoly Smorodintsev (Russie), le Conseil indien de la recherche médicale (Inde), la société Sinovac Life Sciences (Chine). ) et le Conseil sud-africain de la recherche médicale (Afrique du Sud).
L'objectif principal est de partager les meilleures pratiques et de renforcer la coopération pratique dans la recherche, le développement, la production et la distribution de vaccins afin d'assurer leur plus grande disponibilité, étant donné que les pays BRICS représentent 40 % de la population mondiale et que le potentiel de recherche est au plus haut niveau. Il permet de réagir rapidement aux menaces biologiques, de coordonner les efforts de contrôle des maladies infectieuses et d'assurer la protection de la population.
Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Wang Wenbin , a expliqué, lors de son point de presse régulier du 23 mars, que le centre de R&D sur les vaccins des BRICS et l'atelier sur la coopération en matière de vaccins seraient un réseau de centres virtuels basés sur Internet, et que la création de centres physiques ne commencerait qu'après une analyse approfondie. évaluation de la faisabilité.
La création du Centre de R&D sur les vaccins des BRICS a démontré la détermination des pays des BRICS à se concentrer sur la coopération en matière de vaccins, à approfondir la coopération en matière de santé publique et à promouvoir la coopération en matière de santé publique, scientifique et technologique entre les pays des BRICS. C'était la première initiative russe visant à établir le système intégré d'alerte précoce des BRICS pour prévenir les risques massifs de maladies infectieuses, mais le Centre a été créé sous la présidence chinoise des BRICS.
La Nouvelle Banque de Développement (NDB), créée par les pays BRICS, travaille de manière proactive sur les questions financières concernant les projets dans les pays membres. L'accord sur la création de la nouvelle banque de développement des BRICS a été conclu le 15 juillet 2014 à Fortaleza, au Brésil. Le capital de départ de la banque a été fixé à 100 milliards de dollars. La banque dont le siège est à Shanghai a été créée pour financer des projets d'infrastructure et des projets de développement durable des BRICS et d'autres pays en développement.
Au fil des ans, la banque a approuvé plus de 100 projets pour un total de plus de 33 milliards de dollars dans des domaines tels que les transports, l'approvisionnement en eau, l'énergie propre, les infrastructures numériques et sociales et la construction urbaine. En 2021, la NDB a commencé à élargir son nombre de membres et a admis le Bangladesh, l’Égypte, les Émirats arabes unis et l’Uruguay comme nouveaux pays membres. Elle possède le deuxième bureau de représentation en Afrique du Sud.
En tant qu'association, elle suit les mêmes tendances mais à l'échelle mondiale. Les BRICS représentent un réseau de coopération pour les processus régionaux et sous-régionaux en Asie, en Afrique et en Amérique latine. L’association des BRICS affiche un PIB global, en termes de parité de pouvoir d’achat, qui atteint environ un tiers de la valeur mondiale et dépasse celui des pays du G7. Les BRICS représentent 30 % des terres arides et 45 % de la population mondiale, une part substantielle de la production mondiale de pétrole et d'autres ressources, et environ 25 % des exportations mondiales. En un mot, l’association a désormais la capacité d’élaborer un programme mondial en défendant systématiquement les intérêts de la majorité mondiale.
BonSens.org alerte les députés sur les excès liberticides du projet de loi sur les dérives sectaires.
le 09 février 2024 - 18:17
Dans une lettre aux députés intitulée « projet de loi sur les dérives sectaires », l’association BonSens.org alerte la représentation nationale sur les clauses inacceptables pour la démocratie, les libertés fondamentales, la liberté d’expression qui vont des débats scientifiques à la liberté d’expression des scientifiques et médecins et la protection des lanceurs d’alerte.
Le courrier a été envoyé ce 9 février 2024 aux présidents de groupes de l’Assemblée Nationale ainsi qu’aux non inscrits et par mail à chaque député français afin qu'ils prennent conscience de cette situation critique. A savoir le fait que la commission des lois a trouvé bon de restaurer des "ces articles qui n’ont trouvé droit de cité que dans les pires dictatures."
"Avec ce projet de loi que vous vous préparez à voter, et notamment les articles 4 et 5, ces alertes médicales et scientifiques ne pourraient plus être lancées sous peine de risque d’emprisonnement et d’amendes pour qui s’y risquerait."
Le courrier en entier est reproduit ci-après.
Madame la Députée, Monsieur le Député
L’heure est très grave pour notre démocratie, nos libertés fondamentales, la liberté des débats scientifiques, la liberté de s’exprimer des médecins et des scientifiques, et la protection des lanceurs d’alerte.
Vous allez devoir voter prochainement un projet de loi [1] visant à « renforcer la lutte contre les dérives sectaires ». Dans ce texte de loi, pourtant récemment expurgé par le Sénat de trois articles dangereux pour notre vie républicaine et démocratique, notamment l’article 4 et 5, visant à instaurer des nouveaux délits dans le Code Pénal, la commission des lois a jugé bon de restaurer ces articles qui n’ont trouvé droit de cité que dans les pires dictatures.
Si vous n’êtes pas convaincus du danger que représentent ces articles 4 et 5 il faut vous rappeler que l’histoire récente a révélé, grâce à un presse libre et des lanceurs d’alertes courageux, de nombreux scandales sanitaires où les autorités elles-mêmes ont été condamnées. Voici deux exemples assez récents que vous n’avez certainement pas encore oubliés.
Dans l’affaire du MEDIATOR des laboratoires SERVIER [2] , médicament commercialisé pendant 33 ans de 1976 à 2009, accusé d’avoir causé la mort de 1 500 à 2 100 personnes en France, sans compter celles souffrant encore des conséquences des effets secondaires.
La Lanceuse d’alerte de l’époque, était la pneumologue IRÈNE FRACHON.
Les CONDAMNATIONS ont été prononcés en 2021, (et en 2023 après appel du Groupe Servier)
Le Groupe Serviera été reconnu coupable de mise en danger de la santé, escroquerie, homicides et blessures involontaires, trafic d’influence et d’obtention indue de mise sur le marché et condamné à hauteur de 180 millions d’euros versés aux victimes et 415 millions d’euros aux organismes sociaux/ Mutuelles L’ANSMa été condamnée pour négligences à 303 000 euros d’amende. (à l’époque Afssaps pour Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) Dans l’affaire du LEVOTHYROX [3] , le changement de formule du médicament en 2017 par Merck avait entrainé de nombreuses déclarations d’effets indésirables en pharmacovigilance et des victimes avaient porté plainte. L’ANSM avait assuré que les effets indésirables étaient dus à un déséquilibre thyroïdien causé par le changement de traitement et pas à la nouvelle formule. Pourtant en mars 2018, une enquête au pénal était ouverte. Des chercheurs de l’Université de Toulouse concluaient que la nouvelle formule ne présentait pas de garanties suffisantes pour les patients. Merck était condamnée en 2020 pour avoir commis une faute lors du changement de formule et a dû verser 3,3 millions d’euros aux plaignants.
Fin 2022, Merck a été mis en examen pour tromperie aggravée et l’ANSM a également été mise en examen pour tromperie.
Il y a également eu les affaires du sang contaminé, de la Dépakine, du Distilbène, des hormones de croissance, de l’Isoméride, du Vioxx, du Thalidomide que les français ont en mémoire.
Avec ce projet de loi que vous vous préparez à voter, et notamment les articles 4 et 5, ces alertes médicales et scientifiques ne pourraient plus être lancées sous peine de risque d’emprisonnement et d’amendes pour qui s’y risquerait.
Il est critique que vous preniez conscience de cela.
Même le Conseil d’État s’est prononcé contre ces dispositions.
Dans un avis du 9 novembre 2023 [4], le CONSEIL D’ÉTAT avait estimé que les faits ciblés étaient déjà couverts par la répression de l’exercice illégal de la médecine. Selon cet avis, la mesure pourrait porter atteinte à la liberté d’expression, quand elle s’exerce au travers d’ « un discours général et impersonnel, par exemple tenu sur un blog ou un réseau social » et remettre en cause, « par une incrimination de contestations de l’état actuel des pratiques thérapeutiques, la liberté des débats scientifiques et le rôle des lanceurs d’alerte« .
Ce qui est vrai un jour en science, ne l’est pas toujours le lendemain, et c’est ainsi depuis que le monde est monde car la science est en perpétuelle évolution par les nouvelles données qui émergent.
La critique constructive et la remise en question des informations sont des aspects essentiels du processus scientifique, et cela doit être fait de manière transparente et respectueuse. Un consensus scientifique n’a de valeur que sur une période limitée et que s’il prend en compte des opinions divergentes La science est un débat permanent, étouffer ce débat au nom d’un faux consensus revient à tuer à la fois tout progrès ou tout mécanisme correctif. C’est le pluralisme des idées – et non la censure – qui nous fait progresser.
Face à l’influence anormale et souvent illégale (pratiques connues de corruption et prise d’intérêt) des laboratoires pharmaceutiques dans les décisions de Santé Publique, il est essentiel de préserver le garde-fou qu’est la liberté d’expression sur ces questions de santé, et notamment pour les médecins, les scientifiques, et les associations de défense des citoyens ou les associations de victimes d’effets indésirables des médicaments.
Par exemple, parce que les autorisations de mise sur le marché des vaccins Covid-19 l’ont été uniquement sur la base d’essais cliniques menés par les fabricants de vaccins eux-mêmes, qu’aucune étude clinique randomisée n’avait été réalisée de manière indépendante, alors nous assistons à un échec retentissant mettant à mal la parole publique, changeant de discours au gré des nouvelles données. Malheureusement aujourd’hui la vaccination classique souffre de ces erreurs, de ces annonces erronées par les autorités sanitaires qui se sont décrédibilisées.
Rappelez-vous, dans la crise Covid-19 que nous avons traversée, le discours des autorités sanitaires a évolué de : « Tous vaccinés, Tous protégés » avec des vaccins « sûrs et efficaces » avec 95% d’efficacité vers un discours où les vaccins finalement ne protégeaient pas de l’infection, mais seulement des formes graves et, enfin plusieurs mois après le début des vaccinations, des effets indésirables graves reconnus de myocardites et péricardites surtout chez les jeunes hommes, population non à risque qui n’avait pas besoin d’être vaccinée et à qui on a fait courir un risque inutile d’une maladie chronique potentiellement d’évolution très grave, ou des troubles menstruels hémorragiques (reconnus tardivement par les autorités de santé) nécessitant potentiellement des hospitalisations chez des jeunes femmes dont à cette heure il n’y a aucune certitude sur l’impact que cela a pu avoir sur leur fertilité.
Rappelez-vous, il y a même eu abandon de certains vaccins (AstraZeneca, Johnson et Johnson) pour les moins de 55 ans à cause de risques très graves de thromboses, dont le décès du jeune Anthony Rio, 24 ans, qui a été reconnu lié à la vaccination [5]. Sans les alertes de médecins, scientifiques, associations de victimes, combien de morts ces vaccins auraient pu provoquer chez les jeunes ?
Dans l’Histoire c’est toujours ainsi que les scandales sanitaires ont été mis à jour : par la parole libre des médecins, des scientifiques, des citoyens, des associations de victimes, associations de citoyens, qui se battent, des mois ou même des années durant, avant que les autorités sanitaires ne réagissent ou que la justice ne puisse se prononcer.
Avez-vous pensé cette loi d’un point de vue international ? Savez-vous que des traitements contre certaines pathologies sont autorisés dans certains pays ( Covid19 [6] [7], Cancer [8] [9], Maladie de Lyme [10] etc) et pas dans d’autres comme la France ? Que penser des autorités sanitaires de ces pays ? Que ce sont des sectes ? Juste parce que leurs protocoles nationaux sont différents de ceux décidés en France par l’ANSM et la HAS9 ? Voyez-vous le non-sens de cette loi ?
Et enfin avez-vous pensé à la Recherche scientifique française ?
Lorsque l’article 4 du projet annonce « Lorsque ces délits sont commis par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle, les dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables en ce qui concerne la détermination des personnes responsables. », mais qu’en est-il de la presse et des médias étrangers ?
Juridiquement les scientifiques français qui publieront dans un journal étranger pourront-ils être passibles de poursuites selon le contenu de leur étude ou leur prise de position scientifique ?
L’article 4 de ce projet de loi [11] empêcherait les scientifiques français de publier leurs travaux, y compris dans des revues scientifiques françaises et internationales, et cela serait un risque majeur pour la crédibilité de la recherche française.
Certes l’Ordre des médecins n’y a pas pensé car il ne fait pas de recherche scientifique, mais VOUS, vous devez y penser et empêcher cela.
Il est essentiel de voter contre les articles 4 et 5 du projet de loi contre « les dérives sectaires » car ces articles n’ont rien à voir avec le sujet des sectes, ils ne sont que censure dangereuse pour la science et pour la santé publique.
Pour conclure, il nous semble important de rappeler que la liberté d’expression a été consacrée successivement dans l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (24 août 1789 [12], l’article 10 de 1950 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales [13] et l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme [14].
Les articles 4 et 5 de ce projet de loi rappellent également des heures sombres de l’histoire et notamment la Loi des Suspects [15].
Votée le 12 août 1793, en pleine Terreur dont elle devient le meilleur instrument, cette loi permettait l’arrestation immédiate, sans motif comme sans preuve, de tous ceux qui « n’ont pas constamment manifesté leur attachement à la Révolution » ou de ceux qui « n’ayant rien fait contre la Liberté, n’ont rien fait pour elle».
Ici, ces articles permettront de poursuivre sans preuve, tous ceux qui auront une opinion différente de celle des autorités sanitaires sur les vertus thérapeutiques de produits (éventuellement nouveaux) mis sur le marché par les laboratoires pharmaceutiques. Aucune critique n’en sera permise et à la fin seront suspects de dérives sectaires, non seulement ceux qui douteront de la qualité de ces produits, mais aussi tous ceux qui refuseront de les prescrire.
Il faut cependant se souvenir que la « loi des Suspects a emporté les révolutionnaires eux-mêmes, qui ont fini par tomber à leur tour sous le coup de cette loi à double tranchant qu’ils ont faite pour se débarrasser de leurs ennemis.»
N’oublions jamais cela.
Nous vous remercions d’avoir pris connaissance de notre alerte sur ce qu’il convient de nommer une dérive législative – a minima – sur le plan de la science et de son évolution.
Bien respectueusement,
Toute l’équipe de BonSens.org
Un des administrateurs de BonSens.org déclare :
"la restauration de ces éléments entrainerait une perte de liberté d'expression au détriment des français, des patients. Nous ne pouvons laisser faire, et il était de notre devoir, de bon sens, d'alerter tous les députés afin de stopper cette dérive liberticide".
Pascal Tripier-Constantin, France-Soir le 09 février 2024 - 15:37
TRIBUNE - Ce matin, je pleure. Je pleure pour cette famille paysanne d’Ariège endeuillée jusqu’à la moelle. Je pleure sur leur sort, leur don.
De quelle infinie dignité ils ont fait preuve ! Quelle infinie tristesse.
La vie moderne, c’est celle des paysans si bien décrite par Raymond Depardon dans son documentaire du même nom il y a seize ans. Le photographe et réalisateur nous montrait alors une vie paysanne invisible, rude et pourtant si humaine dont nous sommes les héritiers. Accompagnée par la musique de l’ariégeois Gabriel Fauré, La vie moderne portait avec une douceur humble les difficultés et les espoirs de la paysannerie.
Que pèse la vie d’une famille paysanne à l’heure de l’Union européenne, des accords de libre-échange ?
Cette même paysannerie crie actuellement sa douleur et son désespoir. Elle ne trouve plus sa place dans ce monde taillé pour les startups et la gouvernance mondiale. Que pèse la modeste vie d’une famille paysanne à l’heure de l’Union européenne, des accords de libre-échange et des flux mondiaux continus ? Rien.
L’accident dont a été victime cette famille paysanne d’Ariège, les Sonac, résume à lui seul le monde dans lequel nous sommes plongés.
Depuis la chute du mur de Berlin, la mondialisation des échanges et les grandes institutions internationales ont dissous progressivement les Etats-nations comme lieux de solidarités au sein d’une communauté de destin. Cette dissolution progressive a été rendue possible par le soutien d’une bourgeoisie de masse occidentale qui a validé par son vote le déploiement de l’Union européenne et l’arrivée au pouvoir de forces politiques favorables à la mondialisation et au néolibéralisme. En France, cette bourgeoisie de masse a voté depuis 2007 pour Sarkozy, Royal, Hollande et Macron...
Néolibéralisme lippmannien
La seconde mondialisation des échanges (la première date de la fin du XIXe siècle), s’opère dans le cadre d’un néolibéralisme théorisé dès les années 1920 et officialisé lors du colloque Walter Lippmann de l’été 1938, à Paris. Ce néolibéralisme lippmannien insiste sur l’inexorable réalité d’une mondialisation capitaliste dont il faut maîtriser le développement par une gouvernance internationale pilotée par des élites et des experts, très au fait de la complexité de ce nouveau monde. La démocratie, les sphères de communautés et de solidarités s’éloignent des peuples, les destins sont broyés dans un tout global. Les flux de personnes et des biens deviennent des variables d’ajustement à l’échelle européenne ou mondiale...
Dans ces conditions, la paysannerie locale est percutée de plein fouet par la concurrence déloyale du bout du monde ou par l’emploi d’une main-d’œuvre immigrée peu coûteuse. Bien plus tragiquement encore, une voiture conduit par des demandeurs d’asile sous OQTF ôte la vie de plusieurs membres d’une famille paysanne venue défendre son droit de vivre dignement du fruit de son travail. Cet accident est hélas la conséquence, ô combien symbolique et douloureuse, de la réalité du programme néolibéral mondial dans lequel les élites et les experts, soutenus par la bourgeoisie de masse occidentale, souhaitent nous entraîner.
La mort d’Alexandra Sonac et de sa fille ne doit pas tomber dans l’oubli.
Jeux Olympiques 2024 : voici tout ce que vous ne pourrez pas faire
Les Jeux Olympiques de Paris arrivent à grands pas et la pression monte du côté des autorités. Un site internet et une campagne publicitaire ont été mis en place afin de conseiller les Parisiens sur ce qu’il leur est recommandé de faire, ou plutôt de ne pas faire pendant les jeux.
Par Axelle Ker 7 février 2024 à 9h00
Le budget des Jeux Olympiques de 2024 s'élèverait à 8,8 milliards d'euros.
Jeux Olympiques 2024 : entre saturation et ligne fermées, il faudra adapter vos déplacements Les Jeux Olympiques transformeront radicalement le visage de Paris et de l'Île-de-France et tous les parisiens n'auront pas la chance de pouvoir s'éclipser de la capitale pendant les jeux. Plus de 15,3 millions de touristes sont attendus et les épreuves seront éparpillées dans toute la région. Le ministère chargé des Transports, qui ne dispose toujours pas de ministre suite au remaniement du gouvernement, avait déjà insisté à plusieurs reprises sur la nécessité de repenser nos modes de déplacement. La maire de la capitale, Anne Hidalgo, avait, elle aussi, prévenu dès novembre 2023 : « les transports ne seront pas prêts pour les JO ». Selon les prévisions, la fréquentation des transports devrait augmenter de 20% pendant l'évènement sportif et le ticket de métro passera à 4 euros l'unité. La recommandation sur le site anticiperlesjeux est claire : il faudra favoriser le télétravail pour limiter les déplacements professionnels, et pour les trajets incontournables, privilégier la marche ou le vélo.
Certaines stations de métro, de RER et de bus, comme Châtelet-les-Halles, qui accueille près déjà près de 750.000 voyageurs, anticipent une affluence record, avec des temps d'attente qui pourraient atteindre 15 minutes aux heures de pointe (7 heures - 9 heures ; 17 heures - 19 heures). Les lignes 10 et 8, qui sont également très fréquentées, verront certaines de leurs stations fermer, notamment celles à proximité directe des sites olympiques.
Évitez toutes livraisons de colis et déménagements
L'autre grand volet des recommandations concerne la réception de colis et les déménagements. Face à l'augmentation prévue du trafic routier et aux restrictions de circulation, le gouvernement demande tout simplement de ne pas se faire livrer de colis après le 24 juillet jusqu'au 11 août 2024, et du 28 août au 8 septembre 2024 pour les jeux paralympiques. Pour les déménagements, il faudra demander une autorisation directement auprès de la mairie.
Ce sont surtout les commerçants qui seront impactés par les JO de 2024. En vue de l'interdiction de circulation dans certaines rues, les autorités leur demandent aux commerçants de faire un maximum de stock et de réduire leurs livraisons en produits non périssables.
Bon, çà on le sait, les 'jeux olympiques' ne SERVENT A RIEN et FOUTENT LA MERDE ! Idem pour les matches de foot ou de rugby ou 'le tour de France à bicyclette' ! Mais cela permet aux merdias de faire des titres à la con et des commentaires qui ne servent à rien !
La consigne sur les bouteilles est de retour en France !
La France voit depuis fin 2023 le retour de la consigne pour les bouteilles en verre (et en plastique PET durci). Une pratique autrefois courante qui avait disparu avec l’avènement des emballages à usage unique. Ce système, qui consiste à retourner les bouteilles après usage contre une 'petite somme d’argent', se réinstalle progressivement chez les distributeurs, porté par des acteurs majeurs de la distribution et de l’industrie des boissons.
Par Paolo Garoscio le 8 février 2024 à 10h27
Le taux de recyclage des emballages est de 72% en France.
L’Île-de-France : terrain d’expérimentation de la consigne
Les distributeurs E.Leclerc, Système U, et Carrefour sont à l'avant-garde de cette initiative, expérimentant la consigne du verre et du PET durci pour réemploi en... Île-de-France. C’est ce que révèle Olivier Dauvers, journaliste spécialisé dans la consommation, le 7 février 2024. Après Carrefour, qui a lancé le principe en décembre 2023, c’est donc au tour de Système U et de E.Leclerc de faire de même.
Ces enseignes s'engagent dans une démarche volontaire, en réponse à l’appel du gouvernement. Ce dernier n’a pas rendu la consigne obligatoire, malgré les demandes des défenseurs du climat, et a opté pour le principe du volontariat en septembre 2023.
Les marques s’intéressent à la consigne sur les bouteilles… pour du greenwashing ?
Des géants de l'industrie des boissons comme Coca-Cola, Vittel, Perrier, et Lorina, ainsi que des acteurs locaux tels que la brasserie Météor, se sont joints à cette démarche. Ces marques proposent désormais leurs produits dans des bouteilles consignées, disponibles dans une sélection de points de vente.
Parmi les marques, on en trouve deux propriété de Nestlé Waters (Perrier et Vittel), régulièrement épinglée pour sa pollution et tout juste au centre d’un potentiel scandale de traitement interdit de son eau. Coca-Cola, de son côté, a gagné le prix de premier pollueur plastique mondial pour la sixième année consécutive selon l’étude de l’ONG Break Free From Plastic publiée le 7 février 2024. Pas vraiment des acteurs du changement climatique…
Comment fonctionne la consigne ?
Le principe est 'simple' : les consommateurs achètent leurs boissons dans des bouteilles consignées, moyennant une consigne de 10 à 20 centimes selon la taille de la bouteille. Une fois le produit consommé, ils rapportent les bouteilles en magasin, où des machines spéciales récupèrent les contenants et remboursent la consigne sous forme de bons d'achat.
Mais rien n’est obligatoire… et c’est ce qui pourrait faire échouer l’expérimentation. Car les consommateurs vont devoir acheter la bouteille plus cher, et également être obligés de dépenser l’argent de la consigne dans le même magasin, car le bon d’achat n’est pas valable partout. Une double contrainte et des engagements financiers qu’il n’est pas certain que les Français vont accepter de bon coeur.
La consigne obligatoire : seul moyen pour que ça marche ?
C’est justement ce que reproche l'association Zéro Waste France, acteur clé dans la lutte pour la réduction des déchets au système : son côté optionnel et facultatif, autant pour les distributeurs que pour les industriels et les consommations. Selon Charlotte Soulary, responsable du plaidoyer à Zéro Waste France, il faut « un pilotage national et des objectifs contraignants » menés par le gouvernement.
« Il y a une infrastructure et une logistique à mettre en place au niveau national, avec des standards de bouteilles réemployables, pour que la même bouteille puisse être utilisée par différentes marques. Donc tout ça, ça s'organise, ça se finance, et ça peut se mettre en place au niveau d'une région ou d'un territoire national très simplement. Pour ça, on a besoin d'une politique publique », a-t-elle expliqué à FranceInfo le 7 février 2024.
(...) Le principe est 'simple' : les consommateurs achètent leurs boissons dans des bouteilles consignées, moyennant une consigne de 10 à 20 centimes selon la taille de la bouteille. (...)
'une consigne de 10 à 20 centimes selon la taille de la bouteille' qui sera facturée en caisses de 10 à 20 centimes PLUS CHER ! WHOÂW ! l'astuce !! (mais 'remboursée' en... bons d'achat' sur l'achat... de ces mêmes putains de bouteilles !!).
Donc: inutiles d'enfiler des bouteilles de pinards pour en avoir à la sortie !
Taxe abri de jardin : elle augmente encore en 2024 !
L’année 2024, dans le secteur immobilier, commence mal avec l’augmentation de la taxe abri de jardin. Cet impôt, appelé officiellement « taxe d’aménagement », ne cesse de grimper d’année en année. Faire des travaux sur sa propriété devient toujours plus cher !
Par Paolo Garoscio é le 9 février 2024 à 6h02
La taxe abri de jardin avait augmenté de 8% en 2023.
Qu'est-ce que la taxe abri de jardin ?
La taxe abri de jardin, officiellement connue sous le nom de taxe d'aménagement, est un impôt local qui s'applique à toutes les constructions, reconstructions ou agrandissements de bâtiments nécessitant une autorisation d'urbanisme.
Elle est due dès la réalisation de travaux créant une surface de plancher ou une emprise au sol supérieure à 5 m² et dont la hauteur sous plafond est au moins de 1,80 m. Les recettes de la taxe d’aménagement sont perçues par les communes, les départements, et en Île-de-France également par la Région, afin de financer principalement les équipements publics nécessaires aux nouvelles constructions.
Taxe abri de jardin : quel taux d'augmentation en 2024 ?
En 2024, la taxe abri de jardin connaît une augmentation de 3,2 % par rapport à l'année précédente, ce que confirme le site Service Public. Son augmentation est liée à la hausse entre le troisième trimestre 2022 et le troisième trimestre 2023, de l’indice du coût de la construction de l’Insee. Ce dernier est passé de 2.037 à 2.106 sur la période. L’augmentation de 2024 suit celle de 2023, lorsque la taxe abri de jardin avait bondi de 8%.
Les valeurs forfaitaires par mètre carré, servant de base au calcul de cette taxe, sont fixées à 1.036 euros en Île-de-France et 914 euros dans les autres régions pour les constructions telles que les abris de jardin. Pour les piscines, elle est fixée à 258 euros le mètre carré partout en France.
Comment calculer la taxe abri de jardin ?
Le calcul de la taxe d'aménagement se base sur la surface taxable de la construction multipliée par une valeur forfaitaire par m², elle-même ajustée annuellement en fonction de l'indice du coût de la construction. À cette somme s'appliquent ensuite les taux fixés par les collectivités territoriales (commune, département, et région). Par exemple, pour un abri de jardin de 20 m² situé en province, le calcul sera le suivant : 20 m² x 914 € (valeur 2024) x taux communal/départemental/régional.
Il aura fallu près d’un siècle après le dépôt de brevet du moteur à vapeur déposé en 1769 en Angleterre pour en voir les effets sur la puissance industrielle de l’autre côté de l’Atlantique. Et quelques semaines à peine à ChatGPT pour conquérir 100 millions d’utilisateurs. Une vitesse d’adoption inégalée dans l’histoire, y compris technologique. Un an après l’avènement de ChatGPT, le déploiement de l’IA générative, une rupture technologique majeure, met en lumière le potentiel de l’IA.
Par Olivier de Berranger le 9 février 2024 à 4h30
Les développeurs sont ainsi déjà de 30 à 50% plus productifs grâce à l'IA générative
L’IA générative signe en effet une montée en puissance inédite. Evalué à 29 milliards de dollars en 2022, le marché mondial de l’IA générative devrait en effet peser 668 milliards en 2030, selon une récente étude de Fortune Business Insights, soit un taux de croissance annuel moyen de +47,5%.
Bien des secteurs sont concernés, de la santé au divertissement, des services financiers aux biens de grande consommation. Placée sous le signe de l’IA générative, l’édition 2024 du CES, qui s’est achevée en janvier à Las Vegas, en a témoigné avec des innovations dévoilées dans l’industrie des jeux vidéo, de l’électroménager ou encore de la robotique, qui entre dans une nouvelle ère.
L’IA s’invite dans nos vies personnelles et professionnelles. L’IA améliore déjà le quotidien de bien des manières : les moteurs de recherche, les plateformes d’e-commerce, ou encore les réseaux sociaux l’ont massivement adoptée pour améliorer la performance de leurs produits. Les plateformes de cybersécurité l’adoptent quant à elles pour protéger quotidiennement utilisateurs, entreprises et gouvernements dans le monde entier. L’IA est à l’origine de nouveaux usages, comme la voiture autonome par exemple : Tesla réalise ainsi d'importants progrès avec le FSD et Waymo propose déjà des taxis autonomes à Phoenix en Arizona…
L’IA s’impose aussi comme le nouveau paradigme pour la compétitivité des entreprises. Alimentée par des tendances exponentielles, la croissance des données, la prolifération du cloud, l'évolution des réseaux de neurones artificiels et le développement d'applications, l’IA confère aux entreprises qui l’adoptent une longueur d’avance pouvant se révéler significative. L’IA augmente incontestablement la productivité : les développeurs sont ainsi déjà de 30 à 50% plus productifs grâce à l'IA générative qui leur permet de créer en quelques clics du code informatique. Dans le domaine de la santé, les perspectives du secteur sont en hausse grâce au développement accéléré de nouvelles thérapies ou l’analyse du génome humain. L’IA sert, par exemple, à modéliser des molécules pour développer de nouvelles thérapies, comme en témoignent les avancées des grands laboratoires comme AstraZeneca, Merck, Eli Lilly, ou encore de la biotech allemande Biontech. Dans tous les secteurs, les entreprises qui construisent de solides fondations d’IA sont les mieux positionnées pour se transformer et gagner en agilité compétitive. C’est le cas pour les entreprises technologiques qui ont été parmi les premières à la développer, à l’image de Nvidia, leader des cartes graphiques, devenues le "cerveau de l’IA", ou encore de la cybersécurité, avec des valeurs comme Crowdstrike. Les champions de l’IA affichent déjà une croissance jusqu’à 50% supérieure à celle de leurs pairs [1]. De quoi créer au long cours un territoire riche d’opportunités d’investissement.
Véritable outil d’émancipation, l’IA est devenue incontournable, et il va falloir apprendre à travailler et à vivre avec des machines intelligentes.
LIA c'est quoi ? Des directives ! Vous ne devez plus penser ! C'EST ELLE qui commande ! Si elle (le programme malfaisant proposé) vous dit qu'un rond est carré C'EST QUI EST CARRÉ ! COMPRIS??!
Les démocrates échouent à l'égard de la jeunesse américaine alors que des dizaines d'écoles de l'Illinois et du Maryland n'ont aucun enfant maîtrisant les mathématiques
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 09 FÉVRIER 2024 - 01:25
"Les démocrates se félicitent toujours d'être le seul parti véritablement préoccupé par l'éducation, en particulier celle des plus défavorisés, et attaquent régulièrement les conservateurs et les républicains pour leur "indifférence insensible". La Plate-forme du Parti démocrate, se présentant comme un sauveur de la classe marginale, réclame des milliards. "De nouveaux investissements audacieux" de la part des gouvernements fédéral et étatiques pour rendre de bonnes écoles publiques accessibles à tous les enfants, "quel que soit le code postal dans lequel ils vivent", lit-on dans un extrait du livre "Shame of the Schools".
Bien que les démocrates investissent des dizaines de milliards dans l’enseignement public de la maternelle à la 12e année, les écoles de tout le pays échouent dans leur mission principale d’éduquer.
La réponse des démocrates aux écoles défaillantes est de dépenser, dépenser, dépenser. Cependant, la preuve que les démocrates dépensent dans l’oubli pour l’éducation, produisant des résultats positifs pour la génération future, ne s’est pas encore matérialisée :
"Les résultats moyens aux tests des adolescents américains de 13 ans ont chuté en lecture et ont fortement chuté en mathématiques depuis 2020, selon de nouvelles données du National Assessment of Educational Progress.
« Les résultats moyens des tests donnés l'automne dernier ont diminué de 4 points en lecture et de 9 points en mathématiques par rapport aux tests donnés au cours de l'année scolaire 2019-2020, et sont les plus bas depuis des décennies. étudiants performants, mais ont chuté dans tous les percentiles", a rapporté NPR.
Dans le Maryland et l’Illinois, deux États contrôlés par des démocrates radicaux, il est de plus en plus évident que les progressistes ne parviennent pas à éduquer la jeunesse.
La société de recherche indépendante Wirepoints a découvert que, de manière choquante, 53 écoles de l’Illinois ne comptaient aucun élève maîtrisant les mathématiques au niveau scolaire. L’État dépense 40,6 milliards de dollars pour l’éducation de la maternelle à la 12e année, soit 21 750 dollars par élève – l’un des plus élevés du pays.
Pas un seul élève ne peut faire de mathématiques au niveau scolaire dans 53 écoles de l’Illinois. pic.twitter.com/LMYxvD7oGq – Marina Medvin 🇺🇸 (@MarinaMedvin) 6 février 2024
Et aussi lire.
Pas un seul élève ne sait lire au niveau scolaire dans 30 écoles de l’Illinois.
Je parie qu’ils peuvent nommer une douzaine de genres et expliquer pourquoi les Blancs sont mauvais. pic.twitter.com/0fIfgDyzaJ – Libs de TikTok (@libsoftiktok) 6 février 2024
De même, le journaliste d'investigation Chris Papst du Project Baltimore de Fox45 News a découvert l'année dernière que 23 écoles de la ville de Baltimore n'avaient pas un seul élève maîtrisant les mathématiques au niveau scolaire. Encore une fois, un autre district scolaire doté d'un budget éducatif massif mais de dépenses plus élevées n'entraîne pas de meilleurs résultats pour les élèves.
RUPTURE : 23 écoles de la ville de Baltimore n'ont soumis aucun élève à un test de compétence en mathématiques lors du dernier test de l'État du Maryland. Cela comprend 10 lycées. « Sortez vos enfants de ces écoles », a déclaré un activiste communautaire à @FOXBaltimore @Project_Bmore https://t.co/MSyOLKEhf7 – Chris Papst (@chrispapst) 7 février 2023
C'est très triste pour l'avenir de cette nation.
23 écoles de Baltimore n'ont aucun élève maîtrisant les mathématiques, selon les résultats des tests d'État.
Les écoles publiques du comté de Baltimore dépensent 14 883 $ par élève chaque année. Son revenu annuel s’élève à 1 891 725 000 $, mais les enfants ne peuvent pas faire de mathématiques à leur niveau scolaire.
Rappel que Baltimore est dirigée par les démocrates… pic.twitter.com/6LfJLQqO3J – Je meme donc je suis 🇺🇸 (@ImMeme0) 9 février 2023
Pendant ce temps, "les démocrates de gauche font des heures supplémentaires pour établir l'idée que l'échec de nos écoles de centre-ville est entièrement la responsabilité de républicains mesquins, avares et carrément racistes, prêts à jeter les enfants des minorités dans le tas de cendres sociales", a-t-il déclaré. extrait du livre Shame of the Schools noté.
Les démocrates ont besoin d’un plan de sauvetage pour sauver le système éducatif public américain de la maternelle à la 12e année, défaillant, qu’ils supervisent. Cela n’aide probablement pas lorsque les gauchistes injectent du CRT et du DEI toxiques dans les programmes éducatifs.
Revenons à l'apprentissage réel et à la pensée critique, ce qu'Elon Musk encourage avec sa nouvelle école privée de la maternelle à la 12e année au Texas.
Par Marie-France de Meuron Mondialisation.ca, 08 février 2024
Pourtant déjà le siècle avant J.-C, Horace – Romain ayant étudié en Grèce – énonçait : «Il faut de la mesure en toute chose». Qu’en est-il aujourd’hui ?
Cette réflexion m’est venue lorsque j’ai découvert «Icon of the Seas», [image en vedette] ce paquebot géant de 365m de long (5 fois la taille du Titanic) pouvant contenir près de 10 000 personnes.1
- voir photo sur site -
L’armateur en est la Royal Caribbean International, compagnie maritime américano-norvégienne qui le présente avec des avantages au superlatif : «Ces vacances ne seront pas simplement mieux. Ce sont les meilleures vacances en famille au monde, où vous passerez les meilleurs moments de votre vie».
Il n’est pas mentionné qu’une telle organisation prive chaque individu de créer le cadre et la nature de ses occupations ; il s’agit là d’une forme de superlatif de la passivité !
Alors qu’on évoque constamment les menaces écologiques, on peut se questionner sur la consommation des paquebots géants : SI l’Icon of the Seas carbure au GNL (le gaz naturel liquéfié), les écologistes ne sont pas convaincus.
De son côté, le Wonder of the Seas, mastodonte de 230 000 tonnes, sorti des Chantiers de l’Atlantique de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) en novembre 2021… En moyenne, le géant consomme 270 tonnes de fioul par 24 heures. Dans ses cales, deux types de carburant : le MGO (marine gaz oil), plus léger, allégé en souffre mais plus cher que le HFO (heavy fuel oil), du mazout lourd à faible prix. Le premier est utilisé dans les ports, par obligation, le second prend sa place dès la limite des cinq kilomètres des côtes franchie, par économie.2
En contrepartie, il existe des «Astérix» dans ce monde du voyage qui savent proposer des découvertes personnalisées :
Les Routes du Monde dont la devise est :
«Chaque voyage est une toile et chaque voyageur est son artiste !». Depuis 1998, NOUS sommes l’alternative dans le monde du voyage ! Contrairement aux conglomérats actuels de l’industrie qui ont comme objectif la rentabilité des actionnaires, nous sommes des voyageurs qui avons pour objectif de vous aider à réaliser le voyage de vos rêves ! Nous privilégions les contacts humains plutôt que la course aux visites. Notre mission est de permettre aux gens de découvrir les coins moins touristiques de la planète tout en favorisant un tourisme durable afin de maximiser les retombées économiques locales et de minimiser les impacts négatifs sur l’environnement naturel et la société».3
Lors de la covidémie, des démesures magistrales et effarantes ont illustré à quel point des systèmes qui dirigent ou gèrent la société reçoivent ou subissent des impulsions portant à des conséquences dévastatrices pour l’entité humaine et sa santé globale. La focalisation sur un virus a simplifié de façon démesurée le rôle de ce micro-organisme qui n’est que le révélateur du terrain qui l’accueille, minimisant par conséquent toute la complexité de l’organisme humain.
Nous avons subi ou assisté à des démesures sur plusieurs plans. À commencer par l’usage d’une certaine science au détriment de l’ensemble des sciences.
Le principe de l’injection génique comme unique solution – avec la négation absolue de tout traitement existant – a conduit à des coûts par milliards, auxquels se sont ajoutés les coûts de la destruction des vaccins anti-covid inutilisables.4
La démesure va jusqu’à rompre les principes de la démocratie et de l’éthique :
«L’Office fédéral de la santé publique (OFSP) refuse de révéler combien il a payé pour les quelque 61 millions de doses de vaccin Covid-19. Malgré une recommandation claire du Préposé fédéral à la protection des données et à la transparence (PFPDT) de rendre publics des passages décisifs des contrats de vaccins, l’office s’en tient aux nombreux caviardages».5
Nous constatons à quel point la société d’aujourd’hui a perdu, délaissé ou bafoué la sacralité du corps humain et celle de l’art médical. Des exemples despotiques ont été donnés par l’obligation aux enfants de porter des masques sans tenir compte de leurs impacts physiques et psychiques, aux hôpitaux de réserver des places pour les atteintes du Covid en délaissant des malades, aux médecins de refuser de donner des consultations pendant le confinement, à quoi s’ajoute encore l’imposition de baser le diagnostic sur le test PCR malgré ses insuffisances6, d’insuffler les injonctions aux enfants «de ne pas tuer papy et mamy», de laisser des aînés mourir seuls dans leur EMS ou EHPAD, de sanctionner les médecins qui travaillent selon leur conscience.
Démesure aussi du pouvoir donné aux décideurs comme aux médecins de plateau, sans tenir compte du bilan économique désastreux pour maints commerces allant jusqu’à de nombreuses faillites.
Comme l’exprime magistralement un anthropologue de la santé dans son livre «Anatomie d’un désastre». «On a colonisé les esprits d’une manière terriblement préoccupante pour l’avenir».7
Toutefois, les démesures au niveau de la prise en charge des problèmes de santé sont présentes déjà bien avant la covidémie. Depuis fort longtemps, Big Pharma s’infiltre et s’impose dans un maximum de domaines quitte à faire des ravages :
«Plusieurs médicaments courants sont liés à la démence». Les médicaments les plus connus sont les anticholinergiques, mais le lien s’étend aux antidépresseurs et aux médicaments contre les brûlures d’estomac».8
Ou encore :
«Des scientifiques affirment que des médicaments populaires pour perdre du poids comme Wegovy et Ozempic pourraient avoir des effets indésirables sur la santé mentale des consommateurs».9
En outre, tout étant relié dans le corps, il est aberrant de focaliser sur un mécanisme biochimique :
«Les statines sont les hypocholestérolémiants les plus prescrits dans la prévention cardiovasculaire (CV). Certains essais cliniques randomisés ont révélé un risque accru de diabète de type 2 (DT2) sous statines».10
Ainsi, la nature humaine cherche tune autre voie pour tenter d’équilibrer la modification imposée biochimiquement. «Effet diabétogène des statines : balance bénéfices-risques»11
Les industries pharmaceutiques cherchent aussi à coloniser des secteurs où l’efficacité des remèdes naturels est prouvée depuis longtemps : «Malaria business : les laboratoires contre la médecine naturelle».12
S’ils parviennent à le faire, c’est qu’il y a une lame de fond politico-économico-juridique qui les soutient ou s’y soumet. La science est alors utilisée comme bon leur semble.
Ainsi l’art médical se retrouve perverti. Un exemple laisse songeur :
«Une Américaine se fait volontairement amputer un pied» Souffrant depuis des années de douleurs infernales au pied droit, l’Américaine Sierra Diller a décidé de prendre une décision radicale. Elle a demandé à ses médecins de l’amputer. Les médecins trouvent un hémangiome géant».13
Il est temps que la médecine conventionnelle s’allie aux autres médecines.
La démesure amène forcément au réductionnisme de tout ce qui est mis de côté pour lui laisser la place qu’elle exige. Une illustration en est donnée par l’alerte : «Un plan à 90 millions pour sauver les soins infirmiers vaudois».14
La question est claire : la profession des soins infirmiers n’attire plus les étudiants. Au lieu de se poser la question au niveau fondamental, à savoir l’intérêt pour le contact avec les patients et l’accompagnement global dans leurs problèmes exprimés physiquement, psycho-affectivement et spirituellement, on remet la responsabilité au système politique : Comment le Canton va-t-il s’y prendre pour sauver les soins infirmiers ? Et la réduction de la réponse est donnée par une mesure économique : «Le Canton dévoile sa recette pour résorber la pénurie de soignants». Elle est définie par des chiffres : «Chaque école devra former 20% d’étudiants et étudiantes en plus» et évidemment par une somme conséquente : 90 Millions !
Y a-t-il une limite entre la croissance et l’excroissance ?
«Projet à 100 millions. Le hub médical de Genolier se veut catalyseur d’innovations». Le centre permettra d’accélérer l’accès des patients aux résultats de la recherche».15
Ainsi, on n’incite pas les patients à prendre conscience d’eux et de leur façon de connaître comment ils fonctionnent pour apprendre à gérer leur santé mais on les incite à chercher toujours plus à l’extérieur d’eux-mêmes ce qui peut modifier voire supprimer leurs symptômes.
Une croissance qui alerte : celle du coût des caisses maladie. «Si on laisse le système de santé tel quel, il va péricliter».16
Il faut bien qu’il y ait des signaux d’alerte pour dénoncer que le système assécurologique périclite déjà depuis quelques temps.
Le coût n’est pas le seul élément qui démontre que le système sanitaire officiel et conventionnel fait fausse route : La pénurie de médicaments en est un autre signal, Déjà en 2020, le Parlement suisse en a débattu.17
Comme le problème continue, on peut constater qu’une pareille démesure ne relève pas d’abord du système politique ou du moins que celui-ci est nettement insuffisant pour régler une pareille démesure.
En Suisse comme en France, les pénuries se manifestent de plus en plus. Que signifient-elles ? Évidemment, au premier degré, matériel, on peut toujours avancer bien des causes économiques. Au second degré, on doit en chercher les causes psychologiques, rationnelles et sociales.
Nous remarquons que la pénurie de médicaments va de pair avec la pénurie de généralistes. C’est le signe d’une profonde mutation. D’un côté, la pénurie révèle qu’il y a un usage démesuré de certains médicaments, prescrits selon des protocoles correspondant à des diagnostics, alors qu’un traitement individuel selon un bilan global du malade peut faire appel à des thérapies très variées.
De même, les médecins généralistes manquent car le système impose des modes de diagnostic et de soins très délimités, ce qui fut encore plus patent lors de la covidémie. De ce fait, les médecins n’ont pas le choix de soigner selon leur âme et conscience, selon l’élan profond qui les a incités à s’engager dans cette profession.
Une telle situation s’empire depuis plusieurs années : les médecins doivent obéir aux diktats des caisses maladies dont un exemple fort est celui de consacrer le moins de temps possible à écouter le patient et, par conséquent, prescrire un médicament indiqué au premier plan.
Même s’ils ne sont plus visibles dans maintes zones, les «Astérix» de la médecine générale continuent d’exister et d’exprimer leurs droits à être reconnus. Le site «DE LA MEDECINE GENERALE, seulement de la médecine générale» les présente ainsi :
«Les médecins généralistes constituent le groupe professionnel le plus important en santé publique d’un point de vue économique, médical et social. La médecine générale manque pourtant de reconnaissance : elle n’est pas assez enseignée, elle ne fait pas l’objet d’assez de recherches, elle ne reçoit pas assez de ressources. C’est pourtant elle qui innove tous les jours dans la relation médecin patient et qui lutte contre la déshumanisation de la médecine tout entière. Vive la médecine générale !»18
Il est particulier de découvrir que «depuis des siècles, le QI des Hommes ne cesse de progresser, c’est l’effet Flynn. Or, depuis quelque temps, il est en baisse dans toute l’Europe occidentale, d’environ 2,44 points de QI par décennie».19
Serait-ce pour cela que l’art médical s’est cantonné à la technoscience médicale ?
Il est frappant de constater que les médecines alternatives (Homéopathie uniciste, Médecine Traditionnelle Chinoise, Médecine ayurvédique) et les thérapies complémentaires tenant compte de la nature énergétique de l’être humain sont pareillement mises de côté voire interdites.
Alors qu’elles ont donné leurs preuves depuis des décennies voire des siècles, le système officiel jure surtout par les «études randomisées en double aveugle» dont les biais peuvent être divers et qui ne tiennent pas compte de la cohérence entre les différents organes d’un individu.
«La surestimation des résultats dans les essais randomisés».20
La simplification d’un acte médical atteint son paroxysme quand il est limité à l’injection d’un vaccin en pharmacie : «Accès accru aux vaccins directement en pharmacie».21
La liste est complétée par les hépatites A et B, la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, la poliomyélite et le papillomavirus humain notamment. Il est étrange qu’à une époque où l’on défend tellement la nourriture biologique, on puisse injecter des produits aussi artificiels, de plus dont l’injection viole la barrière épidermique, sans tenir compte de l’homéostasie. On s’adresse à l’idée de se protéger de maladies graves, souvent sans connaître leur réalité globale. Le geste du pharmacien est loin d’un acte médical qui s’enquiert en profondeur de l’état de santé de son client donc des réels besoins de l’instant présent. Les injections géniques anti-covid considérées comme des vaccins ont montré combien les effets secondaires peuvent être distincts selon les prédispositions de ceux qui les subissent.
Une nouvelle démesure prend forme dans l’objectif de prolonger la longévité humaine tout en s’appuyant sur des sommes colossales, ce qui montre bien que la longévité n’est pas seulement au niveau de l’être humain mais surtout au niveau financier !
«Rebaptisée Timeline, la start-up Amazentis lancée par Patrick Aebischer décroche 56 millions. Partenaire depuis cinq ans, Nestlé remet au pot».22
«Le montant en fait, à l’échelle de la Suisse, l’une des plus importantes levées de fonds décrochées par une PME des biotechnologies ces derniers mois. D’autant qu’en tête des signataires du chèque figurent deux multinationales en vue. Issus d’un laboratoire de l’EPFL, les compléments alimentaires Timeline ont convaincu L’Oréal et Nestlé…»23
Un autre type de produit surstimule les financiers : «Un remède de chameau – La révolution des nanocorps».24
Du hasard de leur découverte aux applications et espoirs qu’ils suscitent dans le traitement de maladies comme Alzheimer et le cancer, retour sur la success-story des anticorps fabriqués par les camélidés, ces mammifères aux superpouvoirs.
Sanofi rachète pour 3,9 milliards d’euros la start-up fondée par les universitaires de Bruxelles pour développer des programmes thérapeutiques. Ainsi, on peut constater la démesure du fossé entre de pareils décideurs soutenus par leurs actionnaires et les citoyens qui nécessitent des traitements individualisés.
La démesure peut s’effectuer dans un sens inverse, à savoir son annihilation là où le bon sens l’attendrait : «Suisse : 24 journalistes inquiets de l’uniformité des médias». Il est pourtant évident que : sans diversité de vue, pas de journalisme».25
Le manque de rigueur dans les chiffres a permis des statistiques démesurées : «Les chiffres du COVID-19 ne sont pas fiables».26
«Notre société, d’une manière générale considère ces chiffres comme une vérité. Les politiciens basent sur eux certaines de leurs décisions. Il n’y a aucune culture du doute remettant en cause ces chiffres. Cette certitude infondée sur les chiffres du COVID-19 représente-t-elle un danger pour notre société ? Sommes-nous collectivement en train de nous fourvoyer aveuglément avec ces chiffres ?»
L’OMS s’est arrogé des droits internationaux très étendus et cherche à les poursuivre.
«Le traité de l’OMS sur les pandémies et les enjeux de souveraineté».27
«À l’analyse, ce projet de traité semble poser un problème de fond ainsi qu’un problème de forme. Sur le fond, il constitue, au prétexte de la prophylaxie et d’une vision globale de la gestion d’une future pandémie, une immixtion importante dans les prérogatives inhérentes à la souveraineté interne des Etats membres. Ce qui amène une nécessité de forme : la nécessité d’en respecter le cadre constitutionnel contraignant pour procéder à sa ratification».
Il est évident que toute démesure appelle un coup de balancier par un bilan : «La pandémie était une hypnose de masse».28
À l’ère actuelle, la démesure se développe dans bien des dimensions. Ainsi, certains se prennent pour les maîtres de la gouvernance mondiale : «Le FEM et ceux qui tirent les ficelles – Une conspiration mondiale ?» Une émission de kla.tv nous en présente les acteurs et les rouages.29
La nature subit aussi des démesures
• Par des coupes rases de forêts pour en faire des granulés de bois.30
«Dans ses sols : De nouvelles études environnementales démontrent que la mine Antapaccay de Glencore, au Pérou, contamine l’air, l’eau et les sols. Depuis des années, la population locale se mobilise contre cette pollution nocive pour la santé et contre les tentatives de l’expulser de ses terres contre son gré.
Dans la province d’Espinar, située à 4100 mètres d’altitude, au cœur des Andes péruviennes, Glencore exploite depuis 2013 une gigantesque mine de cuivre. Pour les quelque 60 000 habitant·e·s de la province, dont la plupart appartiennent aux populations autochtones Quechuas et K’ana, la mine a des conséquences dramatiques».31
• Dans l’air qui peut être envahi par des industries :
«Car même si vous n’avez jamais pris de Dépakine, vous pourriez en subir les effets: il suffirait de respirer à proximité d’une usine qui en produit !»32
«Alors qu’on alerte sur l’importance de l’écologie, nous constatons que beaucoup «d’élites» volent avec des jets privés. L’usage démesuré de l’énergie apparaît dans un tout autre domaine : il est organisé une Coupe du monde de ski alpin de nuit, à grand renfort de projecteurs».33
Et que dire de cette entreprise d’envergure : «Comment Mark Zuckerberg prépare secrètement la fin du monde ?»34
«Le fondateur de Facebook fait construire à Hawaï une résidence de luxe autarcique, dont un immense bunker souterrain. S’il n’est pas le premier milliardaire à se préparer à un effondrement de la société, il met la barre très haut».
Je vais m’arrêter là concernant la liste des démesures.
En fait, chacun peut repérer celles qui le concernent particulièrement dans son cadre de vie.
Il est temps de répondre à la question du titre : Que penser et déduire de la démesure actuelle ?
Quelles causes sont à l’origine de pareils déséquilibres ? Quelles tendances stimulent certaines décisions, tout en laissant de côté des paramètres très importants ?
Il s’agit de reprendre une large vision de notre environnement et de nos différentes dimensions tant personnelles que sociales.
Olivier Rey, auteur, mathématicien, philosophe et professeur d’université, a intitulé avec beaucoup de sagacité un de ses ouvrages «Itinéraire de l’égarement. Du rôle de la science dans l’absurdité contemporaine».
«Parallèlement à ses travaux sur les équations aux dérivées partielles non linéaires il développe une réflexion critique sur la place de la science dans la société contemporaine».
Lors de son émission dans «Les grands entretiens de Mazarine Pingeot», il nous expose avec une grande lucidité les divers paramètres en jeu et les différents états d’esprit les animant.35
«Il interroge les travers de la modernité, les dévoiements de la rationalité. Il fait la critique de l’abstraction retrouvée dans la statistique, les formules chimiques, le langage d’expert et plus globalement dans la rationalisation de la société. Une chose qui nous menace particulièrement aujourd’hui, c’est une certaine forme de cécité aux enjeux essentiels qui se jouent sur le plan quantitatif. À un moment, on atteint des effets de seuil qui peut nous faire basculer dans un autre régime complètement différent.
Dans l’université moderne, on a séparé le quantitatif (les maths du côté des sciences) et le qualitatif (la philosophie du côté des lettres). Le philosophe s’est cantonné à un domaine conceptuel où il ignore tout du quantitatif. Ainsi on a une séparation entre les quantités de faits dont s’occupe la science et de l’autre côté la morale, les valeurs complètement déracinées de tout ancrage dans les choses».
Dans une vidéo de 27 minutes, Olivier Rey s’exprime avec beaucoup de clarté et de fluidité. Sa conclusion est très posée :
«Donner un sens positif à la limite. Dans le cosmos la limite a un sens positif : il faut respecter la mesure. La modernité en voit toujours un obstacle à franchir. Elle est soit déniée soit on la reconnaît comme une contrainte.
Dans l’écologie actuelle, c’est la restriction ou la mort !
Mais la limite est d’abord une question de vertu : Recevoir la limite comme quelque chose d’éminemment positif, comme quelque chose qui fait être, qui donne forme, qui fait échapper à l’informe, ce qui est du ressort de la vertu. La philosophe n’est peut-être pas la meilleure possibilité, les mythes de l’antiquité l’étaient beaucoup plus.
Le narratif est plus efficace que le spéculatif pour donner un sens positif à la limite».
La première mesure inquiétante qui doit être examinée est l'obligation du... port du masque !! Tout scientifique qui a un microscope chez lui peut examiner le masque et connaît la réponse: LE MASQUE EST INUTILE ! Le masque n'est porté que dans un bloc opératoire afin d"éviter les projections de postillons. C'est tout ! Il n'existe pas au monde de masque capable d'être anti-microbes ou anti nano-poussières (appelées 'virus').
Alors... pourquoi cette obligation de porter cette horreur e dehors de chez soi ? La réponse est toute simple, comme la nano poussière désignée comme étant mortelle et dans l'air n'existe pas, elle doit être respirée grâce aux masques qui en sont imprégnés !
Puis, les criminels dans les merdias ont parlé de l'arrivée d'un 'vaccin anti poussières' !! Cette expérimentation génique d'essai permettra d'injecter par piqûre létale la dose qu'il faut là où il faut ! Plus de 1 milliard de morts !
Avec en plus des gels hydroalcoolique et cotons d'écouvillons pour les faux tests 'RT-PCR' infectés eux aussi par des nano-particules d'oxyde de graphène !! + des hydres !! + des spikes !! + diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins de serpents différents !! Cette analyse a été faite par des scientifiques qui ont examinés au microscope a balayage électronique le contenu des flacons injectables (Dr Astrid Stuckelberger & Dr Carrie Madej).
Mais la question demeure: Pourquoi cette volonté de détruire le monde ? Pourquoi vouloir tuer ? Nous n'en sommes plus aux siècles passés où les terres étaient envahies par des ennemis qui en prenaient possession pour vivre, ni en des régions où peuvent vivre des anthropophages ! Tuer est devenu le plaisir des psychopathes consanguins. Ces milliardaires qui dirigent sont des criminels très dangereux.
Il ne faut pas se leurrer ! La nano-poussière 'cocovide19' ou appelée plus tard 'Alpha-Bravo-Charlie-Omicron' et j'en passe N'EXISTE PAS !! AUCUN LABORATOIRE AU MONDE qui examine tous les jours la qualité de l'air NE L'A TROUVÉ ! AUCUN ! Seuls les criminels au pouvoir l'auraient vu !!
Qui va sauver nos enfants de leur exposition à la sexualisation précoce, hébergée par les.. garderies et écoles? Rapport explosif de SOS Education.
FÉVRIER 6, 2024 PAR LHK
Découvrez le face-à-face entre Sophie Audugé, déléguée générale de SOS Éducation, et Mathieu Bock-Côté, sur CNews le le 27 janvier 2024 – Sophie Audugé y dévoile les grandes lignes du rapport d’analyse sur l’éducation à la sexualité dans le cadre scolaire produit par SOS Éducation, avant sa sortie officielle le 29 janvier ! Accédez au dossier complet en suivant ce lien : https://soseducation.org/notes-etudes-entretiens-tribunes/education-sexualite-ecole
Absolument tout donne à penser que les enfants sont confrontés dès leur plus jeune âge à une « éducation » sexuelle qui, en réalité, pourrait constituer une véritable agression morale, psychique, et émotionnelle dans le cadre de l’école, un lieu qui devrait offrir la sécurité à l’enfant.
- voir clip sur site -
Qui est Alfred Kinsey, le prophète de la curieuse éducation sexuelle?
Le prophète de ce qui ressemble à une violence (pour ne pas dire violation) mentale qui devrait aboutir tôt ou tard à une violence physique, venant par exemple des petits copains, eux-mêmes traumatisés, est le sinistre Alfred Kinsey . L’idéologie de cet homme a trouvé écho dans les antres de l’OMS, financée copieusement par la Fondation Gates. Or Bill Gates a été éclaboussé par le scandale Du pédophile notoire Epstein.
« En 1947, il a fondé au sein de l’université de l’Indiana à Bloomington, un Institute for Sex Research (« Institut pour la recherche sur le sexe »), rebaptisé plus tard Kinsey Institute for Research in Sex, Gender and Reproduction (appelé couramment Kinsey Institute). L’Institute for Sex Research est à ce jour le seul institut de recherche spécialisé dans l’étude de la sexualité humaine dans le monde anglo-saxon et l’un des rares au monde parmi la quinzaine d’actives. Dans le milieu germanophone, c’est l’Institut pour la recherche sexuelle de Magnus Hirschfeld à l’université de Berlin qui sera le premier fondé en 19194. Dans le milieu francophone, c’est l’Université du Québec à Montréal qui fondera un département de sexologie indépendant en 1969, auquel sont greffés deux chaires de recherches actives5.
Ses travaux ont suscité maintes controverses tant scientifiques que non scientifiques. On lui a principalement reproché ses motivations personnelles à promouvoir son objet d’étude et la médiocre représentativité de l’échantillon de population étudié par son institut.
Visualiser les modèles de densité de population en Afrique
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 8 FÉVRIER 2024 - 10H15
L’Afrique, le deuxième plus grand continent du monde, s’étend sur plus de 30 millions de km2 et abrite non seulement le plus grand désert du monde, mais aussi la deuxième plus grande forêt tropicale humide et, bien sûr, environ 1,4 milliard d’habitants.
Dans cette infographie, Nick Routley et Pallavi Rao de Visual Capitalist cartographient les modèles de densité de population du continent. C’est un excellent exemple de la façon dont les humains se rassemblent près de l’eau douce et aux abords des obstacles naturels.
- voir cadre sur site -
Ces données sur la densité de population proviennent de l’ensemble de données Gridded Population of the World créé par le Centre pour le réseau international d’information sur les sciences de la Terre (CIESIN) hébergé par le Centre de données et d’applications socio-économiques (SEDAC) de la NASA.
Classement : Pays africains les plus peuplés
Le Nigeria, deuxième économie d’Afrique, est également la plus peuplée : plus de 220 millions de personnes vivent dans ce pays diversifié d’Afrique de l’Ouest, composé de 250 groupes ethniques et parlant plus de 500 langues différentes.
Et la nation ne fait que croître. D’ici 2100, on estime que la population nigériane pourrait être plus de trois fois supérieure à sa population actuelle, soit près de 800 millions d’habitants, devenant ainsi le deuxième pays le plus peuplé du monde.
- voir cadre sur site -
Source : Département des affaires économiques et sociales des Nations Unies, World Population Prospects. (2022)
À l’est du continent, l’Éthiopie est le deuxième pays le plus peuplé du continent. Contrairement au Nigéria, qui compte près de 20 villes comptant au moins un demi-million d’habitants, plus des trois quarts des 127 millions d’habitants de l’Éthiopie vivent dans des communautés rurales.
Classé troisième, l’Égypte (112 millions) est le seul pays d’Afrique du Nord parmi les cinq premiers en termes de population. La République démocratique du Congo (RDC) arrive en quatrième position (102 millions), tandis que la Tanzanie (67 millions) complète le top cinq.
Classement : Pays africains à la croissance la plus rapide par population
En 1900, l’Afrique représentait 9 % de la population mondiale. Actuellement, sa part s'élève à près de 18 %. D’ici 2025, le Fonds monétaire international (FMI) estime qu’une personne sur quatre dans le monde vivra en Afrique et affirme que la transition démographique du continent a le pouvoir de « transformer le monde ».
Les pays africains les plus peuplés (RDC, Tanzanie, Éthiopie, Nigéria et Égypte) contribueront bien entendu à la plus grande part de cette croissance, mais au sein du continent, d’autres pays connaissent également une croissance démographique relativement rapide.
- voir cadre sur site -
Source : CIA World Factbook.
Au Soudan du Sud, le pays le plus récent du monde, la population augmente de près de 5 % chaque année. Entre-temps, la population subsaharienne dans son ensemble augmente deux fois moins vite. Outre un taux de fécondité plus élevé, le pays connaît également un afflux de réfugiés en provenance des zones de conflit du Soudan voisin.
RépondreSupprimerBien qu’aucun autre pays africain n’égale la croissance démographique du Soudan du Sud, plusieurs économies parmi les plus pauvres d’Afrique affichent également une croissance démographique annuelle de plus de 3 %, notamment le Niger, le Burundi et le Tchad.
Classement : Villes africaines les plus peuplées
Environ la moitié de l’Afrique vit dans des zones urbaines, ce qui est inférieur à la moyenne mondiale de 57 %. Les 10 villes les plus peuplées du continent comptent ensemble environ 115 millions d’habitants, soit plus de 1,5 fois la population totale du Royaume-Uni.
La capitale égyptienne, Le Caire, construite sur les rives du Nil, abrite plus de 22 millions d’habitants et est la plus grande ville d’Afrique. Cette métropole animée constitue un carrefour commercial important entre les continents depuis plus de 1 400 ans et reste, d’une manière ou d’une autre, l’une des villes les plus jeunes d’Égypte.
- voir cadre sur site -
Source : Agglomérations urbaines (2023) Citypopulation.de.
Au sud, à travers le désert du Sahara et près des rives de l’Atlantique, l’ancienne capitale du Nigeria, Lagos, compte un peu plus de 21 millions d’habitants. Le nom de la ville vient des nombreuses lagunes environnantes, et son nom original en yoruba, « Eko », signifie également « lac ». Les estimations de population de la ville sont souvent contestées en raison de la diversité des régions administratives, mais aussi de la rapidité de la croissance de Lagos : on estime que 2 000 nouveaux habitants s'y installent chaque jour.
Kinshasa, la capitale de la RDC, occupe la troisième place avec environ 15 millions d'habitants et devrait devenir la quatrième plus grande ville du monde, avec 35 millions d'habitants, d'ici 2050.
Johannesburg, en Afrique du Sud (15 millions) et Luanda, en Angola (9 millions) complètent le top cinq des villes africaines les plus peuplées.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/visualizing-africas-population-density-patterns
Industrie : La transformation numérique pour accélérer la transition énergétique de l’industrie
RépondreSupprimerPour atteindre nos objectifs climatiques mondiaux, il faut trouver des solutions qui comblent les fossés et les fractures dans le monde. Accélérer la numérisation de l’industrie est l’une des meilleures solutions possibles.
Par Evgueny Fedotov
le 9 février 2024 à 5h00
Les bâtiments, en Europe, sont responsables de 40 % de la demande d’énergie
Lors de sa conférence à Davos, le Forum économique mondial entend reconstruire la confiance entre toutes les parties-prenantes. Qu’il s’agisse de développer la coopération entre le nord et le sud, l’est et l’ouest, d’organiser la croissance et les emplois dans de nouveaux modèles, dans lesquels les technologies auront un rôle clé à jouer, ou encore de s’accorder sur les stratégies visant à protéger notre planète, la confiance doit être la clé de voute de notre réussite.
Les solutions qui ont un impact à grande échelle sont d’ores et déjà disponibles et bénéficient d'un large soutien de la part des parties prenantes. Il est de notoriété publique que l'industrie contribue actuellement à 32 % des émissions mondiales de gaz carbonique et que plus de 73 % des gaz à effet de serre proviennent de l'énergie. Digitaliser plus rapidement ces secteurs est la clé qui permettra d'améliorer leur efficacité et d’accélérer de manière significative le développement et le déploiement des énergies renouvelables.
Le Forum économique mondial estime que les technologies numériques mises en œuvre à grande échelle dans des secteurs difficiles à maîtriser, tels que l'énergie, le transport et les matériaux, pourraient réduire les émissions de 20 % d'ici à 2050.
Qu'il s'agisse d'améliorer l'efficacité énergétique, de minimiser les déchets, de réduire les émissions de carbone à la source ou de convertir les gaz à effet de serre nocifs en produits de base de grande valeur, nous disposons d’outils qui ont déjà fait leurs preuves. Parmi les gains constatés on peut citer une augmentation de 10% de la rentabilité, un retour sur investissement multiplié par trois, et des performances en matière de développement durable jusqu'à 20 % plus élevées.
Le moment est venu pour les entreprises d'abolir les silos et de s'unir pour agir en faveur du climat
La numérisation et le tsunami technologique qui s'annoncent - de l'intelligence artificielle aux jumeaux numériques - constituent pour les acteurs industriels le moyen le plus efficace d'atteindre des résultats encore meilleurs. Cette connaissance numérique connectée va permettre aux industries d'assurer un avenir décarboné durable :
Le numérique favorise une collaboration unifiée entre les équipes internes et externes, entre les départements et même au-delà des frontières. Il peut favoriser l'échange d'informations en temps réel, la recherche et le développement collaboratifs, l'optimisation des chaînes d'approvisionnement et l'exploitation de l'analyse des données pour une prise de décision durable.
RépondreSupprimerAgir ensemble pour atteindre des objectifs communs devient également plus facile avec des données numériques. Les acteurs de l'écosystème - qu'il s'agisse d'équipes étendues, de développeurs, de partenaires ou de fournisseurs - peuvent tirer parti de plateformes hyperconnectées pour travailler ensemble, en favorisant l'efficacité et la durabilité tout au long de la chaîne de valeur.
Atteindre nos objectifs climatiques et développer une économie durable est à notre portée. Selon une étude récente1, augmenter les investissements numériques de 2 % permettrait de réduire les émissions opérationnelles de 76 %.
Nous devons utiliser le Forum économique mondial pour aller au-delà des discussions et des clivages, mettre en œuvre des plans d'action, et établir de nouveaux partenariats afin de créer l'avenir vivable que nous souhaitons. En transformant la production industrielle en connaissances numériques, les entreprises peuvent accroître leur efficacité, leur résilience et leur impact durable, et réaliser leurs aspirations les plus audacieuses en matière de croissance et d'action climatique.
1 Données de McDermott et Schneider Electric
https://www.economiematin.fr/transformation-numerique-industrie-energie-fedotov
Vérification des faits : Steffi Lemke, ministre fédérale de 'l'Environnement, de la Protection de la Nature, de la Sécurité Nucléaire et de la Protection des Consommateurs' (Allemagne)
RépondreSupprimer9 Février 2024
Ludger Weß chez Willi l'agriculteur*
Une contribution d'invité du Dr Ludger Weß, qui s'est penché sur les déclarations de la ministre de l'Environnement Steffi Lemke et a découvert de nombreuses incohérences.
La ministre de l'Environnement Steffi Lemke a accordé une interview (derrière un péage) au FAZ le 9 décembre 2023 au sujet de la nouvelle réglementation des technologies d'amélioration des plantes. L'interview contient de nombreuses affirmations sur les nouvelles technologies et les plantes qu'elles produisent – des affirmations avec lesquelles la ministre justifie son refus des propositions de nouvelle réglementation de la Commission. Mais ces affirmations sont-elles vraies ? Une vérification des faits.
Lemke : « Ce qui manque par exemple, c'est la vision des interactions et des écosystèmes. C'est pourquoi je ne partage en aucun cas l'affirmation selon laquelle ces plantes présentent en principe moins de risques pour l'environnement et la santé. »
Personne ne le prétend. Le consensus scientifique est que ces plantes ne présentent pas de risques plus élevés pour l'environnement et la santé que celles qui ont été produites par mutations (= génie génétique aléatoire). Pour supposer un risque plus élevé, il manque un motif d'inquiétude scientifiquement justifié. Ce n'est que dans ce cas que le principe de précaution peut être appliqué selon les critères de la Cour de Justice de l'Union Européenne et de la Commission Européenne. Cependant, étant donné que la mutagénèse aléatoire provoque beaucoup plus de modifications génétiques involontaires dans le génome que les « ciseaux génétiques » (plusieurs milliers à coup sûr contre quelques-unes potentiellement), on peut même supposer au contraire que le profil de risque des nouvelles plantes est inférieur [plus favorable] à celui des plantes non réglementées obtenues par mutagénèse aléatoire.
Lemke : « Premièrement, les ciseaux génétiques modernes peuvent pénétrer dans les régions du génome qui sont protégées par la nature contre les modifications. Ces régions ne sont pas facilement accessibles aux méthodes traditionnelles. »
Lemke : « Il n'est pas encore possible de savoir si l'utilisation de pesticides en sera réellement réduite. D'autres développements d'organismes issus de l'ancien génie génétique ont fait l'objet de cette promesse, et elle n'a pas été tenue. C'est pourquoi il faut examiner soigneusement de telles prévisions. »
RépondreSupprimerFaux. Il existe une littérature abondante sur les plantes transgéniques résistantes à des insectes, qui prouve que ces plantes permettent de réduire considérablement l'utilisation d'insecticides. De plus, une étude publiée en juillet 2020 sur l'impact écologique des variétés génétiquement modifiées résistantes à des insectes et des herbicides entre 1996 et 2018 montre que l'utilisation de pesticides a diminué de 775,4 millions de kg et que le quotient d'impact environnemental qui y est associé a diminué de 18,5 %.
Dr. Ludger Weß
Littérature complémentaire
Leopoldina und DFG fordern wissenschaftsbasierte Positionierung in der EU-Debatte um neue genomische Techniken in der Pflanzenzucht (Leopoldina et la DFG demandent un positionnement fondé sur la science dans le débat européen sur les nouvelles techniques génomiques dans la sélection végétale)
Grünes Netzwerk Evidenzbasierte Politik: Wir kennen TATSÄCHLICH den Unterschied (Réseau Vert pour une Politique Fondée sur les Preuves : nous connaissons VRAIMENT la différence)
ad-hoc-Stellungnahme, 19. Oktober 2023: Für eine wissenschaftsbasierte Regulierung von mittels neuer genomischer Techniken gezüchteten Pflanzen in der EU (avis ad hoc, 19 octobre 2023 : pour une réglementation fondée sur la science des plantes produites au moyen de nouvelles techniques génomiques dans l'UE)
Nationale Akademie der Wissenschaften Leopoldina | Deutsche Forschungsgemeinschaft | Union der deutschen Akademien der Wissenschaften: Wege zu einer wissenschaftlich begründeten, differenzierten Regulierung genomeditierter Pflanzen in der EU (Académie Nationale des Sciences Leopoldina | Deutsche Forschungsgemeinschaft | Union des Académies Allemandes des Sciences : Voies vers une réglementation différenciée et scientifiquement fondée des plantes au génome édité dans l'UE)
Offener Brief von über 400 Pflanzenforscherinnen und -forschern aus Deutschland: Appell an Bundesminister/-innen, sich für evidenzbasiertes europäisches Gentechnikrechts einzusetzen (lettre ouverte de plus de 400 chercheurs en sciences végétales d'Allemagne : appel aux ministres fédéraux pour qu'ils s'engagent en faveur d'une législation européenne sur le génie génétique fondée sur des preuves)
RépondreSupprimerhttps://seppi.over-blog.com/2024/02/verification-des-faits-steffi-lemke-ministre-federale-de-l-environnement-de-la-protection-de-la-nature-de-la-securite-nucleaire-et-de-la-protection-des-consommateurs-allemagne.html
L'armée disperse régulièrement (chemtrails) de la fibre de verre recouverte d'aluminium dans l'air
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
9 février 2024
En plus des changements climatiques1 qui se produisent dans le monde entier, les militaires du monde entier dispersent également régulièrement de minuscules morceaux de fibre de verre et de plastique recouverts d’aluminium – appelés « paillettes » – dans la colonne d’air, pour protéger les avions et les navires des radars ennemis. 2 Il n'est pas surprenant que cela ait été fait pendant des décennies, sans preuve claire que cela soit sans danger pour les humains et l'environnement.
Selon un rapport du General Accounting Office de 19983 et un rapport de suivi de 19994 du Naval Research Laboratory, les impacts environnementaux, humains et agricoles des paillettes utilisées dans les scénarios d’entraînement militaire à l’époque étaient « négligeables et bien inférieurs à ceux d’autres hommes ». émis des émissions », mais cela signifie-t-il vraiment que c'est sûr ? Comme expliqué dans un article de Navy Medicine de 2001 :5
« Les paillettes radiofréquence (RF) sont une contre-mesure électronique conçue pour réfléchir les ondes radar et masquer les avions, les navires et autres actifs provenant des sources de suivi radar.
Les paillettes sont constituées de fibres de verre recouvertes d'aluminium (également appelées dipôles) d'une longueur allant de 0,8 à 0,75 cm. Les paillettes sont libérées ou distribuées par les véhicules militaires dans des cartouches ou des projectiles contenant des millions de dipôles.
Une fois déployé, un nuage diffus de dipôles se forme, indétectable à l’œil humain. Les paillettes sont un matériau très léger qui peut rester en suspension dans l'air de 10 minutes à 10 heures et parcourir des distances considérables depuis son point de rejet, en fonction des conditions atmosphériques dominantes.
La formation du personnel militaire, notamment des pilotes d’avion, à l’utilisation des paillettes est nécessaire pour déployer efficacement cette contre-mesure électronique. Comme pour la plupart des compétences acquises, le déploiement des paillettes doit être maintenu en pratiquant le largage en vol pendant la formation.
On estime que les forces armées américaines distribuent environ 500 tonnes de paillettes par an, la plupart étant libérées lors d’exercices d’entraînement sur la zone continentale des États-Unis.
Les paillettes sont-elles sûres ?
RépondreSupprimerSelon l’enquête de Naval Medicine, l’inhalation de fibres de paillettes entières et intactes ne présente « aucun risque » pour les humains en raison de leur plus grande taille. "S'ils sont inhalés, les dipôles devraient se déposer dans le nez, la bouche ou la trachée et être soit avalés, soit expulsés", indique le document.6
Notez cependant l’utilisation du mot « prédit ». Les prédictions ne sont pas des preuves. En gros, ils sont en train de deviner. Des questions restent également ouvertes sur ce qui se passe lorsque les fibres se dégradent.
"Plusieurs enquêtes ont démontré que les dipôles recouverts d'Al sont résistants aux intempéries et à la dégradation dans des conditions désertiques", indique le document.7
« Une étude de 1977, parrainée par la marine américaine, n'a trouvé aucune preuve indiquant que les paillettes se dégradent de manière significative ou rapide dans l'eau de la baie de Chesapeake et que ces matériaux n'ont pas non plus entraîné de lixiviation de quantités importantes d'aluminium dans la baie.
Une étude récente de notre groupe n'a trouvé aucune preuve que 25 années d'opérations de paillettes au détachement du Naval Research Laboratory à Chesapeake Beach, dans le Maryland, ont entraîné une augmentation significative des concentrations d'aluminium dans les sédiments ou dans le sol (Wilson et al 2000).
Cependant, des études supplémentaires sont nécessaires pour déterminer la demi-vie des dipôles de paillettes dans divers sols et conditions environnementales et si les dipôles se décomposent en particules respirables…
Bien qu'il n'existe aucune preuve définitive dans la littérature épidémiologique que l'exposition aux paillettes n'est pas nocive, il existe des informations épidémiologiques disponibles sur les travailleurs impliqués dans l'industrie de fabrication de la fibre de verre. Les données de ces études suggèrent que l’exposition à la fibre de verre n’est pas associée à un risque accru de décès par maladie respiratoire.
Le problème, c’est que les travailleurs de la fibre de verre sont équipés d’équipements de protection, notamment de respirateurs, de combinaisons Tyvek et de lunettes de sécurité8 – des équipements que les gens normaux ne portent pas lorsqu’ils sont en déplacement. Tout cela nous dit qu’il est peu probable que les paillettes nuisent à la santé publique, à condition que les gens portent des respirateurs, ce qui n’est pas le cas.
RépondreSupprimerIl est remarquable qu’il n’existe pas grand-chose au-delà de ces trois rapports. Même si tous ont admis la nécessité de poursuivre les recherches, aucune ne semble avoir été publiée. On ne sait donc pas vraiment quel pourrait être l’impact dans le monde réel. Cela dit, le bon sens nous dit que l’aluminium et la fibre de verre dispersés dans l’air sont très susceptibles d’avoir un impact sur l’environnement et la santé humaine.
La géo-ingénierie existe depuis des décennies
L’aluminium et la fibre de verre ne sont pas les seules substances toxiques répandues dans notre ciel. Comme l'explique Dane Wigington, fondateur de Geoengineeringwatch.org, la modification du temps, également connue sous le nom de géo-ingénierie, dans laquelle divers métaux et produits chimiques toxiques sont dispersés à haute altitude, se poursuit depuis plus de 70 ans et est en augmentation plutôt qu'en déclin.
En réponse à un rapport du Intergovernmental Panel on Climate Change (Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique) des Nations Unies publié en août 2021,9,10 qui appelait à des mesures radicales pour empêcher une aggravation du réchauffement climatique, l’administration Biden a lancé un effort de recherche en 2022 pour déterminer le moyen le plus efficace de atténue le soleil.11
Une proposition consiste à injecter (de chemtrails par avions non-immatriculés) des aérosols de dioxyde de soufre dans la stratosphère terrestre. Les minuscules particules réfléchissantes renverraient la lumière du soleil dans l'espace plutôt que sur la surface de la Terre.12 Selon les chercheurs de Harvard,13 cette stratégie est non seulement « techniquement possible », mais aussi « remarquablement peu coûteuse », avec un prix « bien dans les limites des coûts ». portée de plusieurs nations.
Le climat de la Terre est largement contrôlé par la quantité de rayonnement solaire qui atteint la Terre et celle qui est absorbée par sa surface ou reradiée vers l’espace. La couverture nuageuse et les gaz à effet de serre sont des exemples de facteurs qui influencent la réflectance du rayonnement solaire.14
« Si les propositions de géo-ingénierie doivent influencer le climat mondial de manière significative, elles doivent intentionnellement modifier l’influence relative de l’un de ces mécanismes de contrôle », explique Britannica.15
Le rapport de l’ONU mentionne la gestion du rayonnement solaire et l’élimination des gaz à effet de serre comme des formes de géo-ingénierie.16 Les aérosols sulfatés entrent dans la catégorie de la gestion du rayonnement solaire. En réfléchissant davantage de rayonnement solaire dans l’espace, les aérosols abaissent les températures mondiales mais ont également un « effet secondaire » sérieux : ils diminuent les précipitations moyennes.
RépondreSupprimerEn conséquence, des techniques de géo-ingénierie supplémentaires – telles que l’éclaircissement des cirrus dans la haute atmosphère – seraient nécessaires pour contrecarrer la diminution des précipitations. Qu'est ce qui pourrait aller mal?
Les superordinateurs ont exécuté des modèles pour prédire comment la gestion du rayonnement solaire peut affecter différentes parties de la Terre, non seulement en termes de température mais aussi de précipitations et de chutes de neige. L’auteur du rapport, Govindasamy Bala, de l’Institut indien des sciences, a déclaré que « la science existe »,17 mais elle est loin d’être exacte.
« Je pense que la prochaine grande question, a déclaré Bala à Reuters, est la suivante : voulez-vous le faire ? … Cela implique de l’incertitude, des problèmes moraux, des problèmes éthiques et de gouvernance. Comme l’a rapporté Reuters : « C’est parce que chaque région serait affectée différemment. Alors que certaines régions pourraient bénéficier d’un monde artificiellement plus frais, d’autres pourraient souffrir, par exemple, du fait de ne plus avoir les conditions nécessaires pour cultiver. »18
« Risques catastrophiques »
Trois mois après que l'IPCC a publié son rapport incitant à la panique, des chercheurs australiens et britanniques ont publié un article de recherche original avertissant que l’injection d’aérosols stratosphériques comporte des « risques catastrophiques » qui pourraient bien nous conduire à « un sort pire que le réchauffement [global] » :19
« L’injection de particules dans l’atmosphère pour réfléchir la lumière du soleil, l’injection d’aérosols stratosphériques (SAI), représente une solution technologique potentielle à la menace du changement climatique. Mais le remède pourrait-il être pire que le mal ? …
Le SAI interagit de manière plausible avec d’autres calamités catastrophiques, notamment en exacerbant potentiellement les impacts d’une guerre nucléaire ou d’un événement météorologique spatial extrême. L’ISC pourrait contribuer au risque systémique en introduisant des facteurs de stress dans des systèmes critiques tels que l’agriculture.
Les facteurs de stress systémiques de SAI et les risques de cascades systémiques et de défaillances synchrones sont très peu étudiés. Le déploiement de l’ISC associe plus étroitement différents systèmes écologiques, économiques et politiques. Cela crée une situation précaire de risque latent, la plus grande source d’inquiétude…
RépondreSupprimerUne utilisation bien coordonnée d’une petite quantité de SAI entraînerait des risques négligeables, mais il s’agit d’un scénario optimiste. À l’inverse, une utilisation plus large des ISC de manière non coordonnée présente de nombreux dangers potentiels. Nous ne pouvons pas déterminer de manière équivoque si l’ISC sera pire que le réchauffement. Pour l’instant, une forte dépendance à l’égard de l’ISC semble être une réponse politique imprudente.
En juin 2023, la Commission européenne a lancé un appel à « des négociations internationales sur les dangers et la gouvernance de la géo-ingénierie », avertissant que les projets de géo-ingénierie visant à modifier le climat mondial présentent des risques « inacceptables ». Lors d'une conférence de presse, le chef de la politique climatique de l'UE, Frans Timmermans, a déclaré :
« Personne ne devrait mener seul des expériences sur notre planète commune. Cela devrait être discuté dans le forum approprié, au plus haut niveau international.»
Le temps nous dira si de tels pourparlers auront lieu un jour. En septembre 2023, la Commission sur le dépassement climatique, présidée par Pascal Lamy, ancien chef de l'Organisation mondiale du commerce, a appelé à un moratoire mondial sur les expériences de modification du rayonnement solaire « qui comporteraient un risque de dommages transfrontaliers importants », et à se concentrer plutôt sur des stratégies visant à réduire émissions de gaz à effet de serre.20,21 Mais, pour l’instant, aucun moratoire de ce type n’a été convenu.
L’idéologie socialiste, pas la science du climat
RépondreSupprimerZuzana Janosova Den Boer a connu le régime communiste en Tchécoslovaquie avant de déménager au Canada. Dans son article « J’ai survécu au communisme : êtes-vous prêt à votre tour ? » elle a détaillé les « signes bien trop familiers de la même propagande » qui commence à imprégner son pays d’adoption.22
En ce qui concerne la géo-ingénierie, elle souligne que le communisme a renversé le mouvement écologiste depuis les années 1970, lorsque Gus Hall, alors président du Parti communiste américain, a publié un livre intitulé « Ecology », dans lequel il déclarait :23
« La société humaine ne peut pas fondamentalement arrêter la destruction de l’environnement sous le capitalisme. Le socialisme est la seule structure qui le rende possible… Nous devons être les organisateurs, les dirigeants de ces mouvements.»
Den Boer écrit :24
« Cette idée a été intégrée au programme du Parti Vert américain en 1989… dans lequel les menaces fictives du « réchauffement climatique » et du « changement climatique » sont utilisées pour effrayer le public et lui faire croire que l’humanité doit « sauver la planète » :
« Cette urgence, ainsi que d'autres questions et thèmes verts qui y sont liés, font de la lutte contre l'effet de serre un puissant outil d'organisation… La survie est très motivante et peut nous aider à construire un mouvement de masse qui mènera à des changements politiques et sociétaux à grande échelle. changer en très peu de temps…
Tout d’abord, nous [devrons] informer le public que la crise est plus immédiate et plus grave qu’on ne le lui dit, que ses implications sont trop importantes pour attendre la confirmation scientifique universelle que seule une catastrophe écologique pourrait établir. '»
Le Intergovernmental Panel on Climate Change (Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique) de l'ONU, suggère Den Boer, ne promeut pas la science du climat mais l'idéologie socialiste, citant comme preuve les commentaires faits par Ottmar Georg Edenhofer, ancien coprésident du groupe de travail III du IPCC, qui, dans un L’interview de 2010 a déclaré que les questions climatiques sont une question d’économie et que :25
« Nous devons nous libérer de l’illusion selon laquelle la politique climatique internationale est une politique environnementale… Nous devons affirmer clairement que nous utilisons de facto la politique climatique pour redistribuer la richesse mondiale. »
La géo-ingénierie constitue une menace d’extinction pour l’humanité
RépondreSupprimerMême sans prendre en compte le contrôle social, les risques pratiques de la géo-ingénierie sont impossibles à ignorer. Selon des études scientifiques, les particules dispersées lors de ces événements de géo-ingénierie « déchirent » la couche d’ozone. Ils perturbent également le cycle hydrologique (de la pluie), ce qui entraîne une multitude d’effets en aval, et cela s’ajoute à la propagation des toxines sur toute la surface de la planète.
Ainsi, même si une partie de la planète pourrait bénéficier de ces programmes, d’autres pourraient être décimées par des sécheresses, des incendies de forêt dévastateurs, des inondations ou des tempêtes. De plus, bien que le refroidissement global soit l’objectif déclaré de la plupart de ces programmes de géo-ingénierie, à mesure que la planète se réchauffe, les lois de la physique stipulent qu’il faut plus de précipitations pour la refroidir, et non moins, car l’atmosphère transporte plus d’humidité à mesure que la température augmente.
Pour refroidir la planète, il faut créer plus de pluie, mais ces programmes ont abouti à moins de pluie, et la raison de la réduction des précipitations est due aux particules présentes dans l'atmosphère. En plus de dévier la chaleur de l’extérieur, ces particules emprisonnent également la chaleur vers le bas, aggravant ainsi le réchauffement global de la planète.
Selon Dane Wigington, fondateur de Geoengineeringwatch.org, les risques de la géo-ingénierie sont si immenses qu’elle constitue une menace d’extinction pour l’humanité et que la fenêtre d’opportunité pour nous sauver se ferme rapidement.
Les risques sont si immenses que Wigington prévient que la géo-ingénierie constitue déjà une menace d’extinction pour l’humanité. La fenêtre d’opportunité pour nous sauver se ferme rapidement.
Malheureusement, si les gens comprenaient vraiment l’ensemble de la situation – non seulement que le climat est manipulé, mais qu’en conséquence, les systèmes climatiques mondiaux se sont détériorés au point que la Terre entière est en grave difficulté ; en bref, que ces programmes ont pu créer un événement d’extinction incontrôlable – l’impact émotionnel pourrait être trop important à supporter pour beaucoup. Wigington en a parlé dans une interview que j'ai faite avec lui en 2016 :
« Notre situation est bien plus grave que ce que la plupart des gens imaginent », a-t-il déclaré. « Le génie climatique ne fait qu’aggraver la situation, au lieu de l’améliorer.
Donc [ils doivent] essayer d’empêcher la population de paniquer face à la gravité et à l’immédiateté de l’implosion climatique, et maintenir la population dans l’ignorance parce que les programmes d’intervention climatique ont contribué à accélérer ce processus et à toxifier chacun d’entre nous dans le monde. processus.
Chaque sujet humain que nous testons est rempli d’aluminium, de baryum – tous les métaux lourds que nous savons associés à ces programmes. Peu importe où ils vivent.
Et nous savons qu’il tombe dans les précipitations en quantités inimaginables – des quantités suffisantes pour modifier les valeurs du pH du sol dans le nord-ouest du Pacifique de 10 à 12 fois l’alcalinité totale – c’est une quantité inimaginable de métal tombant sous la pluie.
RépondreSupprimerSi les populations comprenaient vraiment ce qui leur a été fait, ce qui a été fait à la planète… elles descendraient dans les rues avec des fourches et des torches partout dans le monde.
La vie des insectes aquatiques et terrestres de Californie a été décimée
Geoengineeringwatch.org répertorie un certain nombre de tests de laboratoire qui ont été effectués sur de l'eau de pluie, des échantillons d'air, etc., ainsi que leurs résultats. Vous pouvez les trouver dans la section Tests.
« En ce qui concerne l’effet sur l’environnement, rien qu’en Californie du Nord… ce que nous avons vu au cours de la dernière décennie… c’est un déclin de 90 % de la vie des insectes aquatiques et terrestres – un crash virtuel », m’a dit Wigington en 2016.
« Il y a tellement d'aluminium qui descend des précipitations, ce qui affecte le pH du sol et, c'est très important, le niveau de rayonnement UV est hors du commun, et nous pouvons le relier directement à l'ingénierie climatique… Nous constatons des niveaux d'UVB d'environ 1 000 %. plus élevé que ce qu'on nous dit. Cela brûle l’écorce des arbres. Cela tue le plancton. Cela affecte la vie des insectes…
[Il augmente le rayonnement UVB] car il détruit la protection naturelle de la planète. Lorsque vous mettez une particule dans l’atmosphère, peu importe qu’elle provienne de l’arrière d’un avion à réaction ou d’un volcan ; il provoque une réaction chimique dans l'atmosphère qui détruit l'ozone. Période. Ainsi, plus vous rejetez de ces particules dans l’atmosphère, plus la destruction de l’ozone est rapide. »
Compte tenu de tout cela, il est très peu probable que la dispersion des paillettes militaires n’ait aucun impact négatif. On pourrait faire valoir que les paillettes sont trop importantes pour un système de défense pour s’en débarrasser, et cela peut être vrai. Mais l’ingénierie spécifique au climat est une tout autre affaire.
Après les masques imprégnés, les piqûres létales obligatoires voici encore les chemtrails de nano-particules mortelles répandues dans les airs !
RépondreSupprimerEn effet, le responsable du développement durable de HSBC a raison. L’année dernière, les réalités énergétiques ont contraint l’AIE à publier une mise à jour de sa feuille de route carboneutre, révisant considérablement à la hausse la demande de charbon et de pétrole.
RépondreSupprimerNéanmoins, dans son dernier rapport, l'AIE prédit que la demande de pétrole et de gaz atteindra un pic avant 2030 - même si la demande bat record après record, ce qui contraste fortement avec les prévisions régulières de la demande et des tendances de l'offre de l'AIE et d'autres. Et ce n’est pas seulement une question de demande de pétrole. La demande de charbon augmente, tirée par la Chine et l’Inde. Cette dernière a récemment annoncé qu’elle réduirait le financement de transition destiné aux compagnies pétrolières publiques et doublerait sa capacité de production d’électricité au charbon.
Curieusement, l’Allemagne construit de nouvelles centrales électriques au gaz. Figure emblématique de la transition énergétique, le pays doté de l’une des plus grandes capacités en énergie éolienne et solaire, qui s’est récemment vanté de battre des records de production électrique, construit des centrales électriques au gaz. La motivation en est de « garantir la sécurité électrique à mesure que la part des énergies renouvelables intermittentes augmente et que le charbon est progressivement éliminé », selon Clean Energy Wire.
Pourtant, le charbon a été progressivement réduit l'année dernière après que la coalition au pouvoir en Allemagne a fermé les trois dernières centrales nucléaires du pays – malgré l'opposition de la moitié des Allemands. Ni l’AIE ni personne d’autre n’aurait pu prédire cela. Et pourtant, cela s’est produit, ainsi que d’autres événements apparemment imprévisibles, tels que : B. le ralentissement de la demande de véhicules électriques sur les marchés clés.
Pourtant, le charbon a été progressivement réduit l'année dernière après que la coalition au pouvoir en Allemagne a fermé les trois dernières centrales nucléaires du pays – malgré l'opposition de la moitié des Allemands. Ni l’AIE ni personne d’autre n’aurait pu prédire cela. Et pourtant, cela s’est produit, ainsi que d’autres événements apparemment imprévisibles, tels que : B. le ralentissement de la demande de véhicules électriques sur les marchés clés.
Pendant ce temps, les deux secteurs sont en difficulté malgré le soutien massif des gouvernements à l’énergie éolienne et solaire en Europe et en Amérique du Nord. Il ne fallait pas s’attendre à cela au vu des scénarios optimistes présentés aux investisseurs par l’AIE et d’autres défenseurs de la transition énergétique. En fait, la capacité éolienne et solaire devrait croître sans relâche. Mais il est devenu clair récemment que le soutien du gouvernement ne suffit pas à lui seul à garantir cette croissance effrénée.
RépondreSupprimerDes facteurs tels que l'inflation et les coûts d'emprunt ainsi que les défis technologiques et la concurrence se sont également révélés valables pour l'industrie éolienne et solaire, comme pour toutes les autres industries. Les prévisions et les calendriers optimistes se sont heurtés de plein fouet à la réalité. Il est maintenant temps de se précipiter pour ajuster les objectifs de zéro émission nette que tant d’entreprises se sont fixés sur la base de ces prévisions.
La question est de savoir si les bureaucrates européens seront à un moment donné enclins à prendre note des faits. Il est à craindre qu’ils s’en tiennent encore longtemps à leurs projets destructeurs. En tout cas, les agriculteurs l’ont bien compris et ripostent.
https://tkp.at/2024/02/09/netto-null-ziele-scheitern-am-realitaetscheck/
D'une part ils polluent le ciel de milliards de milliards de nano-particules mortelles chemtraillées par avions et, d'autre part, ils s'attaquent aux survivants comme étant responsables de la mort des autres de par leurs émissions !!
Supprimer« La grande réinitialisation » est arrivée : suivez l'argent. « Confinement insensé » de l’économie mondiale, « L’agenda vert »
RépondreSupprimerPar F. William Engdahl
Recherche mondiale,
8 février 2024
La réorganisation descendante de l’économie mondiale par une cabale de corporativistes technocratiques, dirigée par le groupe autour du Forum économique mondial de Davos – ce qu’on appelle la Grande Réinitialisation ou Agenda 2030 des Nations Unies – n’est pas une proposition future. C’est en passe de se concrétiser alors que le monde reste dans un confinement insensé à cause d’un virus. Le domaine d’investissement le plus en vogue depuis le début des confinements mondiaux liés au coronavirus est ce qu’on appelle l’investissement ESG.
Ce jeu hautement subjectif et très contrôlé déplace considérablement les flux de capitaux mondiaux vers un groupe sélectionné d’actions et d’obligations d’entreprises « approuvées ». Il fait notamment progresser l’Agenda 2030 dystopique de l’ONU ou l’agenda de la Grande Réinitialisation du WEF. Ce développement constitue l’un des changements les plus dangereux et les moins compris depuis au moins un siècle.
Le programme de l’ONU pour une « économie durable » est mis en œuvre discrètement par les mêmes banques mondiales qui ont créé les crises financières de 2008. Cette fois, elles préparent la Grande Réinitialisation du FEM de Klaus Schwab en dirigeant des centaines de milliards et bientôt des milliards d’investissements entre leurs mains. -sélectionné des entreprises « réveillées », et éloignées de celles « non réveillées » comme les sociétés pétrolières et gazières ou celles de charbon.
Ce que les banquiers et les fonds d’investissement géants comme BlackRock ont fait, c’est créer une nouvelle infrastructure d’investissement qui sélectionne les « gagnants » ou les « perdants » en fonction du sérieux de l’entreprise en matière d’ESG (environnement, valeurs sociales et gouvernance).
Par exemple, une entreprise obtient des notes positives pour le sérieux de son recrutement de cadres et d’employés diversifiés, ou prend des mesures pour éliminer son « empreinte » carbone en rendant ses sources d’énergie vertes ou durables pour reprendre le terme de l’ONU. La manière dont les entreprises contribuent à une gouvernance mondiale durable est la plus vague des ESG et pourrait inclure n'importe quoi, depuis les dons d'entreprises à Black Lives Matter jusqu'au soutien aux agences des Nations Unies telles que l'OMS.
RépondreSupprimerL’objectif central crucial des stratèges ESG est de créer une transition vers des énergies alternatives inefficaces et coûteuses, l’utopie promise du Zéro Carbone. Cette tendance est portée par les principales institutions financières et banques centrales du monde. Ils ont créé un éventail éblouissant d’organisations pour mener leur programme d’investissement vert.
En 2013, bien avant le coronavirus, la grande banque de Wall Street, Morgan Stanley, a créé son propre Institut pour l’investissement durable. Cela a rapidement été élargi en 2015 lorsque Morgan Stanley a rejoint le comité directeur du Partnership for Carbon Accounting Financials (PCAF). Sur son site Internet, ils déclarent,
« Le PCAF s'appuie sur la position de l'Accord de Paris sur le climat selon laquelle la communauté mondiale devrait s'efforcer de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C au-dessus des niveaux préindustriels et que la société devrait se décarboniser et atteindre zéro émission nette d'ici 2050. »
En 2020, le PCAF comptait plus de 100 banques et institutions financières, dont ABN Amro, Nat West, Lloyds Bank, Barclays, Bank of America, Citi Group, CIBC, Danske Bank et d'autres . Plusieurs banques membres du PCAF ont été mises en examen dans des affaires de blanchiment d'argent. Ils perçoivent désormais un nouveau rôle en tant que modèles de vertu pour changer l’économie mondiale, si l’on en croit la rhétorique. Notamment, l'ancien gouverneur de la Banque d'Angleterre, Mark Carney , est un « observateur » ou consultant auprès du PCAF.
Anne Finucane, vice-présidente de la Bank of America, membre à la fois du PCAF et de la TCFD, a noté :
RépondreSupprimer« Nous nous engageons à garantir que les risques et opportunités liés au climat soient correctement gérés au sein de notre entreprise et à travailler avec les gouvernements et les marchés pour accélérer les changements nécessaires… le changement climatique présente des risques pour le monde des affaires, et il est important que les entreprises expliquer comment ces risques sont gérés.
Le vice-président de Bank of America décrit comment ils évaluent les risques de son portefeuille de prêts immobiliers en évaluant « une analyse aiguë des risques physiques sur un échantillon de portefeuille de prêts hypothécaires résidentiels de Bank of America à travers les États-Unis. Chaque propriété a reçu une note basée sur le niveau de risque. associés à 12 dangers potentiels : tornade, tremblement de terre, cyclone tropical, tempête de grêle, incendie de forêt, crue de rivière, crue éclair, inondation côtière, foudre, tsunami, volcan et tempête hivernale.
De plus, le « risque » d'investissement des banques dans le pétrole et le gaz ainsi que dans d'autres secteurs industriels est examiné à l'aide des critères du TCFD de Carney. Tous les risques sont définis comme liés au gaz carbonique, malgré le fait qu’il n’existe aucune preuve scientifique concluante que les émissions anthropiques de gaz carbonique sont sur le point de détruire notre planète à cause du réchauffement climatique. Les preuves de l'activité solaire suggèrent plutôt que nous entrons dans une période de refroidissement instable, le Grand Minimum Solaire. Cela n’inquiète pas les intérêts financiers qui risquent de récolter des milliards au cours de la décennie à venir.
Un autre élément clé de la préparation financière à la Grande Réinitialisation , la transformation fondamentale d'une économie à haute intensité énergétique en une économie faible et économiquement inefficace, est le Sustainability Accounting Standards Board (SASB) .
Le SASB affirme qu'il « fournit un ensemble clair de normes pour la communication d'informations sur le développement durable dans un large éventail de domaines… » Cela semble rassurant jusqu'à ce que nous regardions qui compose les membres du SASB qui donneront l'Imprimatur respectueuse du climat. Les membres comprennent, outre le plus grand gestionnaire de fonds au monde, BlackRock (plus de 7 000 milliards de dollars sous gestion), également Vanguard Funds, Fidelity Investments, Goldman Sachs, State Street Global, Carlyle Group, Rockefeller Capital Management et de nombreuses grandes banques telles que Bank d'Amérique et UBS. Beaucoup d’entre eux sont responsables de l’effondrement financier mondial de 2008.
RépondreSupprimerQue fait ce groupe-cadre ? Selon leur site Web, « Depuis 2011, nous travaillons vers un objectif ambitieux consistant à développer et à maintenir des normes comptables de développement durable pour 77 secteurs . »
Le but de tout cela est de créer un réseau d’entités financières basées à l’échelle mondiale qui contrôlent la richesse combinée, y compris les fonds d’assurance et de pension, pour ce qu’ils prétendent valoir 100 000 milliards de dollars. Ils fixent les règles et définiront une entreprise ou même un pays en fonction du degré d’émission de carbone qu’ils génèrent.
Si vous êtes propre et vert, vous obtenez potentiellement des investissements .
Si vous êtes considéré comme un pollueur de carbone comme le sont aujourd’hui les industries du pétrole, du gaz et du charbon, les flux de capitaux mondiaux désinvestiront ou éviteront de vous financer.
La cible immédiate de cette cabale financière est l’épine dorsale de l’économie mondiale, l’industrie pétrolière et gazière ainsi que le charbon. [Cela a également des implications géopolitiques et stratégiques].
Les hydrocarbures attaqués
RépondreSupprimerLa cible immédiate de ce cartel financier est l’épine dorsale de l’économie mondiale, le secteur du pétrole, du charbon et du gaz naturel. Les analystes de l'industrie pétrolière prédisent qu'au cours des cinq prochaines années ou moins, les flux d'investissement dans le plus grand secteur énergétique du monde diminueront considérablement. "Étant donné l'importance cruciale de la transition énergétique pour les perspectives de croissance de chaque entreprise, nous demandons aux entreprises de divulguer un plan sur la manière dont leur modèle commercial sera compatible avec une économie nette zéro", a écrit Larry Fink, président-directeur général de BlackRock, dans sa lettre de 2021 à PDG. Blackrock est le plus grand groupe d'investissement au monde avec plus de 7 000 milliards de dollars à investir. Un autre responsable de BlackRock a déclaré lors d’une récente conférence sur l’énergie : « là où BlackRock va, d’autres suivront ».
« Pour continuer à attirer des capitaux, les portefeuilles doivent être construits autour d'actifs de base privilégiés : des barils à faible coût, de longue durée et à faible intensité de carbone », a déclaré Andrew Latham , vice-président de l'exploration mondiale chez WoodMac, un cabinet de conseil en énergie .
L’administration Biden tient déjà sa promesse d’éliminer progressivement le pétrole et le gaz en interdisant les nouvelles concessions sur les terres fédérales et offshore ainsi que l’oléoduc Keystone XL. Le secteur pétrolier et gazier et ses dérivés comme la pétrochimie sont au cœur de l’économie mondiale. Les 50 plus grandes sociétés pétrolières et gazières du monde, qu’elles soient publiques ou cotées en bourse, ont enregistré des revenus d’environ 5 400 milliards de dollars en 2015.
Alors que la nouvelle administration Biden renforce son opposition idéologique aux soi-disant combustibles fossiles, le monde connaîtra un déclin précipité des investissements pétroliers et gaziers. Le rôle des mondialistes de Davos et des acteurs financiers ESG est là pour garantir cela.
Et les perdants seront nous.
Les prix de l’énergie vont monter en flèche, comme ils l’ont fait lors des récentes tempêtes de neige au Texas. Le coût de l’électricité dans les pays industrialisés deviendra prohibitif pour l’industrie manufacturière. Mais repose-toi bien. Tout cela fait partie de la Grande Réinitialisation en cours et de sa nouvelle doctrine d’investissement ESG.
En 2010, le chef du groupe de travail 3 du Intergovernmental Panel on Climate Change (Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique) le Dr Otmar Edenhofer, a déclaré lors d'un entretien : « …il faut dire clairement que nous redistribuons de facto la richesse mondiale par la politique climatique. Il faut se libérer de l’illusion selon laquelle la politique climatique internationale est une politique environnementale. Cela n’a presque plus rien à voir avec la politique environnementale … » La Grande Réinitialisation du WEF n’est pas simplement une grande idée de Klaus Schwab réfléchissant à la dévastation économique du coronavirus. Cela a été planifié depuis longtemps par les maîtres de l’argent.
https://www.globalresearch.ca/great-reset-follow-money/5740424
Qu’est-ce qui retient l’humanité d’affronter les forces déterminées à la détruire ?
RépondreSupprimerPar Julien Rose
Recherche mondiale
8 février 2024
Introduction
La guerre, à un niveau autre qu’un conflit localisé, est un événement artificiel et planifié basé sur des arrière-pensées.
À l’ère de la mondialisation, la guerre est utilisée pour détourner l’attention de quelque chose d’une importance plus durable que les protagonistes souhaitent introduire sous le couvert de la fumée et du feu qui dominent l’imagerie et la rhétorique du champ de bataille.
Quelque chose qui asservirait davantage une grande partie de l’humanité pour se conformer à la fin du jeu souhaitée – et à un rythme beaucoup plus rapide que ce qui serait autrement possible.
La guerre est également motivée par l’opportunité d’une reprise économique pour le complexe militaro-industriel et, bien sûr, par le fait qu’elle est un signe avant-coureur du chaos.
Le chaos est un facteur essentiel pour inciter les populations traumatisées à appeler à un grand frère sauveur pour mettre fin au conflit.
Le conflit que ces mêmes agents de contrôle d’élite promoteurs de « sauveurs » ont joué un rôle majeur dans le déclenchement en premier lieu.
Étant donné que les événements mondiaux sont manipulés politiquement et économiquement pour donner toujours plus de pouvoir à un nombre toujours plus restreint d'institutions et de ceux qui les dirigent, les « ennemis du peuple » sont facilement identifiés.
Cependant, la différence entre un ennemi du 21 e siècle et un ennemi des époques précédentes réside dans le fait que la version du 21 e siècle utilise la manipulation psychologique avancée comme arme principale d'une armurerie de plus en plus virtuelle.
L’ennemi public numéro 1 d’aujourd’hui. 1 – est un maître de la tromperie.
Comprendre cela signifie reconnaître que nous avons une nouvelle dimension à aborder pour développer une stratégie capable de mettre à nu cette tromperie et de faire exploser son emprise psychologique sur la meilleure partie de l’humanité.
Cela ne peut être fait que par ceux qui possèdent la prévoyance et la conscience qui leur permettent d’identifier les modèles de comportement et les motivations communs aux principaux acteurs du processus d’esclavage humain.
Cela implique de reconnaître les principaux éléments causals derrière l'hypnose de masse de l'humanité . L'induction d'un état d'esprit (et d'être) qui conduit les bonnes personnes à « ne pas agir » alors que tout autour d'elles exige instinctivement une action immédiate.
En examinant de plus près cette situation désastreuse, il devient évident que quelque chose bloque l’instinct de survie plus large d’une grande partie de la population humaine.
Par « état de survie », j’entends bien plus que le fait de réussir d’une manière ou d’une autre à rester en vie dans une crise où son être physique est en danger. L'état qui est bloqué n'est pas celui-là, il est au niveau psychique et spirituel.
RépondreSupprimerCet état qui donne instinctivement une idée de ce qui est bien et de ce qui ne va pas – et une connexion avec les autres ainsi qu’avec l’environnement naturel qui nous nourrit.
Lorsque cet état de connexion est sain, nous nous sentons immédiatement indignés qu’une partie de cette entité vivante collective dont nous faisons partie soit menacée par les actes flagrants d’autres êtres humains.
Mais lorsqu’il n’est pas en bonne santé – lorsqu’il est malade – cette indignation instinctive ne parvient pas à intervenir. Au lieu de cela, l’émotion prédominante est celle du retrait et de l’auto-préservation passive. Et c’est ce repli dans une impasse égoïste d’indifférence à l’égard du sort de la famille de l’homme et de la nature – qui est la véritable pandémie de notre époque.
J'ai décrit dans des articles précédents comment le dieu techno-industriel numérisé de l'abstraction de masse, associé à sa promesse d'une « culture de la commodité », a joué un rôle important en détournant l'humanité de tout effort pour se connecter à sa nature profonde, pour répondre à l’appel d’un objectif plus élevé et d’une âme directrice.
Une préoccupation égoïste concernant les préférences personnelles s’accompagne d’une indulgence pour des préoccupations essentiellement cosmétiques. Et cela arrive au moment même où le monde est déchiré par des divisions planifiées et durement appliquées qui vampirisent les valeurs humaines et préparent le terrain pour que le système de contrôle central devienne totalement despotique.
Ceux qui sont capables de s’offrir le faux luxe d’un intérêt égoïste dans une période comme celle-ci se présentent brutalement comme d’excellents exemples d’un effondrement complet des sensibilités humanitaires et spirituelles qui donnent à la vie sa véritable résonance et son véritable sens.
Ce que nous devons faire pour parvenir à résoudre cette crise omniprésente, c’est identifier la source et la nature de cette grande tromperie perpétrée sur une humanité en grande partie non résistante.
Pas seulement la technologie, mais aussi ce qui se cache derrière la technologie et qui a hypnotisé les êtres vivants pour qu’ils suivent son programme empoisonné de surveillance et de contrôle.
Ici, une fois que nous regardons assez profondément, nous trouvons le programme anti-vie qui appartient à cette catégorie de maladies humaines que nous appelons psychotiques, psychopathiques et sadiques.
C'est une conviction sectaire. C'est la position prédominante occupée aujourd'hui par la majorité des « dirigeants » mondiaux.
Leur état d’être prédominant, rien de moins. Les plus jeunes ont été formés par Klaus Schwab et ses acolytes pour être impénétrables et immunisés contre les sentiments humains. Ceci est considéré comme un impératif pour la pleine prise en charge techno-numérique de la vie quotidienne.
RépondreSupprimerNotre travail consiste donc à comprendre cela. Ne pas le mettre dans une boîte étiquetée « maladie des 2 % » et le mettre sur le rebord de la fenêtre pour qu'il soit oublié. C’est à nous de reconnaître notre part en acceptant et en permettant ce siège culte de la vie sur terre.
Nous, le peuple, sommes responsables d’au moins 90 % du problème. À chaque moment historique, lorsque les conditions offraient la possibilité de briser le sortilège des ténèbres, nous nous sommes retirés. Nous n’avons pas réussi à agir et à prendre le contrôle de notre destinée en tant qu’êtres humains qui valorisent la vérité, la sagesse et la justice par-dessus tout.
Le rôle du Forum économique mondial
Au lieu de cela, nous avons permis que le tapis rouge soit déroulé pour que les « jeunes leaders » du WEF et autres chercheurs de pouvoir psychotiques fassent de leur mieux. Aidé par des milliardaires maniaques de l’ego, des rois d’entreprise, des reines et des banquiers vautours.
Et si un groupe courageux se lève et bloque le centre du pouvoir répressif, comme au Canada par exemple, alors les applaudissements de « nous, le peuple », sont nourris.
Cependant, à titre individuel, la plupart disent « Bravo à eux ! » mais ils reviennent néanmoins à un état d'isolement impassible, confiant l'événement susceptible de changer leur vie dans la même boîte sur la cheminée de la fenêtre, tout en ruinant l'occasion manquée de s'élever ensemble et de renverser le cours de l'histoire.
Il ne fait aucun doute que chacun de ces « non-soulèvements » est un cadeau fait à nos sombres esclavagistes. Chaque répression qui s’ensuit est plus envahissante et plus brutale que la précédente.
La peur, l’anxiété et la confusion qui en découlent sont le carburant dont la secte a besoin pour maintenir son régime oppressif.
Ce ne sont pas des paroles vaines. Ceux qui adorent l'autel de Baphomet s'engagent à veiller à ce que leur maître monstre soit bien nourri. Des temples maçonniques existent au sein de la Chambre du Parlement britannique. Partout où l’ambition implique de piétiner les autres pour atteindre les objectifs souhaités, des forces oppressives sont impliquées.
RépondreSupprimerWashington DC, Canberra (capitale de l'Australie) et le Vatican à Rome sont conçus architecturalement selon le « symbolisme satanique » qui embrasse et vénère l'argent et le pouvoir comme le but suprême de la vie. Le « mile carré » de la City de Londres adopte cette même obsession et sans aucun doute Wall Street aussi – et d'autres centres de culte effréné de Mammon.
Les agents de l’État profond ne pourraient pas mettre en œuvre leur régime mondial d’application sans un lien direct avec les centres d’énergie noire. Les plus déterminés à être les meilleurs seront prêts à tout pour parvenir à leurs fins.
Alors, qu’est-ce qui maintient l’humanité à genoux face à ceux qui se livrent librement à des actes de meurtre continus ?
Peur? Incrédulité? Trop de confort ? Satisfaction cynique face à « l’esclavage marchand du moment » ?
Quelque chose de chacun, sans doute. Mais avant tout, je soutiens que la clé réside dans le manque de confiance en soi . Et la confiance en soi ne signifie pas « un grand ego », bien au contraire. Cela signifie savoir que l'on répond à ce qui offre une orientation au niveau le plus profond de son être.
Les actions qui proviennent de cette source sont les seules qui finiront par détruire les auteurs du mal profond. Il n’y a pas d’autre réponse pour parvenir à l’émancipation de l’humanité. Il n’existe aucune autre force capable de dégonfler et de vaincre les vagabonds mondialistes dont la haine manifeste de la vie se propage – presque sans contrôle – dans un monde déchiré par la guerre.
Pour certains d’entre nous, la spiritualité peut être la réponse
RépondreSupprimerNotre véritable travail, ici et maintenant, est de renforcer ce lien que nous entretenons chacun avec notre Créateur et ainsi de devenir des guerriers spirituels correctement préparés, prêts à affronter ce qui a l'intention de nous détruire et toute trace de cette Étincelle Divine qui remue nos âmes et fait de nous de véritables êtres humains.
Entretenir cette étincelle pour qu’elle se transforme en un feu qui ne s’éteint jamais – tel est notre véritable défi aujourd’hui. L’appel lancé à nous tous sera le véritable catalyseur pour chasser les parasites et provoquer la naissance d’une nouvelle civilisation.
Courage, chers amis, courage. La victoire nous appartient si nous la voulons vraiment – et si nous sommes prêts à nous battre pour elle.
https://www.globalresearch.ca/what-holds-mankind-back-from-confronting-forces-determined-destroy-it/5837455
L'esprit de toutes et tous est envahi de multiples sélections, options, alternatives voire suggestions. A chacune et chacun de ce monde de se rendre compte de part elle ou lui-même de la réalité des propos. La confiance en soi est nourrie de diverses mesures tant réelles que facultatives. A chacune et chacun de s'en défendre, d'observer et d'en réfléchir les consentements proposés.
SupprimerVotre vie VOUS appartient. En faire ce que vous voudrez qu'elle soi.
BP a perdu 1 milliard de dollars dans l'énergie éolienne et est passé d'une réduction de 40 % du pétrole à une augmentation
RépondreSupprimerPar Jo Nova
February 9th, 2024
Il ne fait aucun doute qu’il s’agit d’un retournement de situation majeur
Des livres d’histoire seront écrits sur les erreurs des entreprises.
Il y a vingt ans, BP s’appelait « Au-delà du pétrole » et en 2020, l’entreprise était déterminée à y parvenir. Ils se sont engagés à réduire leur propre production de pétrole de 40 % d’ici 2030 et à se tourner vers les énergies renouvelables. Les médias ont été ravis : « BP évite les combustibles fossiles », a déclaré Politico, et met en lumière le « pétrole et le gaz bloqués ». Il y a seulement deux ans, BP parlait d’« accélérer » ses investissements verts. Ensuite, le prix du pétrole et du gaz a explosé et les problèmes liés au manque de fiabilité de l’énergie ont commencé à se multiplier.
Aujourd’hui, BP annule un milliard de dollars d’investissements éoliens offshore, et le nouveau PDG appelle au « pragmatisme ». L’entreprise est passée d’une réduction de 40 % de sa production de pétrole d’ici 2030 à une augmentation de celle-ci.
Le nouveau chef, Murray Achincloss, a déclaré qu’ils voulaient toujours être « une société énergétique intégrée » (sans doute pour que cela ressemble moins à un retour en arrière qu’à un « ajustement »), mais il s’est trahi lorsqu’il a déclaré : « nous voyons une croissance demande actuelle d’énergie à travers le monde ». "Cela ne ralentit pas." Lorsqu’il parle d’énergie, il parle de pétrole et de gaz.
BP va augmenter sa production de pétrole, déclare son nouveau chef
Par Stanley Reed, New York Times
BP a le projet de devenir ce que M. Auchincloss a appelé une société énergétique intégrée. Mais en attendant, « nous constatons actuellement une demande croissante d’énergie à travers le monde », a-t-il déclaré. "Cela ne ralentit pas."
Il veut juste rendre le pétrole et le gaz moins chers pour nous, vraiment…
BP « va investir dans le système énergétique actuel pour s’assurer que les prix ne deviennent pas incontrôlables », a déclaré M. Auchincloss. « Cela revient donc à investir dans le pétrole et le gaz », a-t-il ajouté, tout en investissant également dans des sources d’énergie alternatives comme les biocarburants et l’hydrogène.
RépondreSupprimerMais toutes ces promesses de réduire la production pétrolière de 40 % ont disparu avec le vent :
… La production pétrolière et gazière principale de l’entreprise a augmenté de 2,6 % l’année dernière. Les approvisionnements en gaz naturel liquéfié – un carburant comprimé réfrigéré transporté par navires – ont augmenté de plus de 20 pour cent.
M. Auchincloss a déclaré que la production pétrolière continuerait d'augmenter de 2 à 3 pour cent par an jusqu'en 2027 en raison de l'augmentation de la production à Abu Dhabi, en Angola, aux États-Unis et ailleurs.
Chasser les arcs-en-ciel verts a été une erreur coûteuse :
BP abandonne l’énergie éolienne offshore américaine
Par Benjamin Storrow, E&E News
Appelez cela une erreur d’un milliard de dollars.
BP a annoncé mardi avoir réduit la valeur de son activité éolienne offshore aux États-Unis de 1,1 milliard de dollars l'année dernière, consolidant ainsi un changement stratégique pour le géant pétrolier britannique alors qu'il augmente sa production de pétrole et de gaz tout en recalibrant ses efforts pour produire de l'électricité propre à partir de turbines océaniques.
Entre-temps, son partenariat avec Equinor ressemblait de plus en plus à un albatros, un dirigeant d’entreprise qualifiant le marché américain de l’éolien offshore de « fondamentalement brisé ».
Les actions de BP sont restées stables, tandis que celles d'Exxons ont augmenté de 40 %
Auchincloss n’est sans doute que trop conscient du retard du cours de l’action de BP par rapport à ses concurrents ces dernières années, que beaucoup attribuent au programme vert de l’entreprise. Les actions de BP se négocient globalement aux niveaux d’avant la pandémie, mais en revanche, le cours de l’action d’ExxonMobil a bondi d’environ 40 % au cours de la période. – – L’agenda vert de BP tout en mer, Jillian Ambrose, The Guardian.
Enfin, les actionnaires exigent des bénéfices et des plans raisonnables
RépondreSupprimerUn actionnaire de BP est devenu activiste en octobre dernier et a écrit une lettre extraordinaire à l’entreprise pour faire pression sur elle pour qu’elle abandonne l’objectif « irrationnel » de zéro émission nette et même limogeage d’un membre du conseil d’administration ayant des liens avec BlackRock.
Bluebell Capital est un hedge fund à Londres et il a eu des demandes remarquables :
BP attaqué par un investisseur pour son passage « irrationnel » aux énergies propres
Matt Oliver, Le télégraphe
Dans une lettre de 30 pages, Bluebell a appelé BP à renoncer à son engagement de réduire ses activités pétrolières et gazières d'un quart au cours de cette décennie, à arrêter les investissements dans les projets d'énergies renouvelables et à réécrire ses objectifs de zéro émission nette pour préciser qu'ils seront atteints « en ligne avec avec la société ».
Bluebell a fait valoir que les objectifs limiteraient artificiellement BP et le désavantageraient par rapport à des concurrents tels que Shell et ExxonMobil…
L’activiste exige également que BP restitue 16 milliards de dollars supplémentaires (12,6 milliards de livres sterling) aux actionnaires au cours de cette décennie et a exhorté le géant pétrolier à limoger un administrateur du conseil d’administration ayant des liens avec le géant du financement Blackrock, qu’il a qualifié de « champion mondial de l’incohérence et de l’incohérence ESG ». hypocrisie".
Comme Bluebell l’a si bien fait remarquer :
« Et à court terme, ne réduisez pas votre propre production, car vous rendez simplement service aux autres compagnies [pétrolières] ».
Bluebell Capital semble avoir investi dans BP parce qu’elle était « sous-évaluée » et pariait sur un plan de redressement de l’entreprise. Ils ont fait valoir que BP aurait valu 50 % de plus sur le marché des actions sans cette « stratégie mal conçue » et ont souligné de manière cinglante que BP devrait se tenir à l’écart des projets d’énergies renouvelables pour lesquels elle dispose de peu d’expertise spécialisée.
À long terme, le PDG ne voit pas d’éoliennes, il voit du gaz et encore du gaz.
Ce n’est sûrement pas une coïncidence si le nouveau PDG a fait cette déclaration il y a à peine un mois :
L'IA déclenchera une augmentation mondiale de la demande de gaz, déclare le patron de BP
RépondreSupprimerJohnathon Leake, Le télégraphe
L’essor d’outils tels que ChatGPT signifie que les centres de données nécessitent plus de puissance
M. Auchincloss a déclaré : « La production de gaz diminuera probablement un peu cette décennie, puis augmentera considérablement au fur et à mesure que nous avancerons dans les décennies suivantes… L’IA générative est quelque chose qui crée un niveau de demande d’électricité encore plus élevé. »
La quantité d’énergie consommée par les 8 000 centres de données dans le monde devrait augmenter de 73 % pour atteindre 800 térawattheures (TWh) d’ici 2026, selon l’Agence internationale de l’énergie.
À titre de comparaison, le Royaume-Uni consomme 321 térawattheures d’électricité par an.
Selon une étude réalisée par les experts en données Digiconomist, pour migrer l’ensemble de ses opérations de moteurs de recherche vers l’IA, Google aurait besoin d’autant d’électricité pour alimenter un pays de la taille de l’Irlande.
À l’heure actuelle, BP agit comme si elle était redevenue une compagnie pétrolière, mais elle continue de dire que les récents revers ne sont qu’un retard. Mais n’importe quelle entreprise effectuant un renversement complet dirait cela, n’est-ce pas ?
Il y a un an, nous avons assisté à un changement radical de langage au sein de l’entreprise –– parlant de leur déception face aux énergies renouvelables et de leur retour au pétrole et au gaz. Alors ils commençaient déjà le backflip, peut-être que le plan Bluebell était d'attendre le bon moment pour serrer les vis ?
https://joannenova.com.au/2024/02/bp-lost-1b-in-wind-power-and-flips-from-trying-to-cut-oil-to-increasing-it/
L’UE se met à genoux devant les agriculteurs : abandonne des dispositions clés de sa proposition climatique pour 2040
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 09 FÉVRIER 2024 - 10H15
La Commission européenne s'est mise à genoux devant les agriculteurs protestataires et abandonne des passages clés d'une proposition pour un nouvel objectif à l'horizon 2040 visant à réduire la pollution par les gaz à effet de serre.
Selon le plan de l'exécutif européen, « tous les secteurs » doivent désormais contribuer à cet effort – mais la réduction de 30 % de la production agricole d'ici 2040, précédemment imposée, a disparu. Le projet révisé a également exclu l'obligation pour les citoyens de modifier leur mode de vie, comme manger moins de viande, et de mettre fin aux subventions aux combustibles fossiles, rapporte Politico.
Des manifestations d’agriculteurs ont éclaté dans de nombreux pays d’Europe ces dernières semaines, le secteur agricole exprimant son mécontentement face aux politiques vertes de l’UE. Certaines des plus grandes manifestations ont eu lieu en Allemagne, provoquées par la réduction des subventions au diesel. Bruxelles a fait face à des appels de groupes industriels et de certains partis politiques pour qu’ils établissent une trajectoire climatique à l’horizon 2040 qui n’enflamme pas davantage la colère.
Le plan de l'UE devrait être présenté mardi et recommandera une réduction de 90 pour cent des émissions totales de l'UE d'ici 2040 par rapport aux niveaux de 1990 – une suggestion conforme aux avis scientifiques.
La version mise à jour du plan, qui est encore sujette à changement, présente l'agriculture sous un jour plus positif que les versions précédentes. Le rôle que joue le secteur dans la « souveraineté alimentaire » de l’UE a également été souligné.
"Nous devons nous assurer d'avoir une approche équilibrée", a déclaré la Commission européenne Wopke Hoekstra, qui a dévoilé la proposition révisée. "La grande majorité de nos citoyens sont conscients des effets du changement climatique, veulent être protégés, mais s'inquiètent également de ce que cela implique pour leurs moyens de subsistance."
Dans le même temps, la BBC rapporte que l'UE a également abandonné son projet de réduire de moitié l'utilisation des pesticides dans l'ensemble de l'UE, qui devait entrer en vigueur d'ici 2030 dans le cadre du soi-disant « Green Deal ».
Les changements ont été menés par le puissant Parti populaire européen (PPE) de centre-droit, la famille politique de la plus haute dirigeante européenne Ursula Von der Leyen, et constitue le groupe le plus important du Parlement européen.
"Nos agriculteurs méritent d'être écoutés", a déclaré Mme von der Leyen lors d'une réunion parlementaire mardi. "Je sais qu'ils s'inquiètent de l'avenir de l'agriculture et de leur avenir en tant qu'agriculteurs."
Le porte-parole du PPE pour l'environnement, Peter Liese, a déclaré lundi que l'objectif d'une réduction de 90 % par rapport aux niveaux de 1990 d'ici 2040 était conditionné à une plus grande attention accordée aux « opportunités positives » pour les agriculteurs, et moins à « de nouveaux instruments qui considèrent plutôt les agriculteurs comme des ennemis du système ». politique climatique. »
RépondreSupprimerCela dit, un responsable de l'UE a déclaré à Politico qu'il est difficile d'échapper à la réalité : le secteur agricole « pourrait et devrait » contribuer aux objectifs climatiques de l'UE.
"Malgré toute la sémantique de la [Commission], il existe une analyse d'impact sans équivoque qui présente des arguments (commerciaux) très convaincants en faveur d'un objectif global ambitieux et de tous les sous-objectifs pour les secteurs", a déclaré le responsable.
https://www.zerohedge.com/political/eu-bends-knee-farmers-drops-key-provisions-2040-climate-proposal
L'Australie se prépare à introduire l'identification numérique
RépondreSupprimer9 février 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Le complexe numérique et financier a favorisé l’introduction mondiale de l’identité numérique, soit directement, par exemple par l’intermédiaire de la Banque mondiale, soit du Forum économique mondial (WEF). Le gouvernement australien se préparerait à déployer des cartes d'identité numériques auprès du public.
La technologie de l’identification numérique repose sur une extension du « certificat de vaccination numérique » de l’Union européenne. Le « passeport vaccinal » de l'UE a été remanié pour devenir une carte d'identité numérique qui peut relier les informations de « l'argent numérique » et le statut vaccinal des personnes dans une seule application qui utilise le « balayage optique » des codes QR pour la vérification. Des cartes d'identité supplémentaires, telles qu'un permis de conduire, ainsi que d'autres données personnelles sont ajoutées étape par étape à l'identification numérique.
Le Canada a récemment signé un accord avec l’UE pour travailler avec les dirigeants et les bureaucrates de l’UE sur un « système mondial d’identification numérique ». En Australie, le gouvernement s'apprête à déployer ce système auprès du public dans les prochains mois.
Les Australiens qui effectuent des transactions avec des gouvernements ou des détaillants ou utilisent des services en ligne devront alors fournir une identification numérique. Cela permet non seulement un contrôle total sur les vaccinations et les traitements médicamenteux obligatoires, mais également une censure et une surveillance totales, alors que la connexion à Internet n'est possible qu'avec l'identification numérique.
Le nouveau système remplace l'ancien processus australien de vérification d'identité en 100 points, qui a été exploité par des pirates informatiques pour voler l'identité des gens et, dans certains cas, leurs économies. Le gouvernement espère désormais que les identifications numériques trouveront du terrain dans un environnement où les Australiens perdent des milliards de dollars au profit des cybercriminels.
Cependant, certains craignent que l’enregistrement d’une identification numérique et son utilisation ne soient trop compliqués et déroutants pour les personnes âgées, les personnes handicapées et les communautés autochtones et isolées, les excluant potentiellement de nombreuses couches de la société.
Lors d'un point de presse avec ChannelNews Australia cette semaine, des responsables du Trésor ont déclaré que le gouvernement avait fixé au 1er juillet la date provisoire de déploiement. Cette date dépend toutefois de l'adoption de la loi par le Parlement fédéral.
RépondreSupprimerLes Australiens ne recevront pas de carte physique, comme cela a été proposé pour l'Australia Card, qui a été abandonnée après les élections fédérales de 1987. Les responsables gouvernementaux décrivent l'identification numérique comme une extension du système de vérification MyGovID existant, dans lequel les utilisateurs saisissent leurs informations de connexion et un code généré pour accéder aux services.
https://tkp.at/2024/02/09/australien-bereitet-einfuehrung-der-digitalen-id-vor/
Enquête appréciative : évaluation du développement, valeurs qui sous-tendent la recherche, apprentissage par la pratique, collecte de données
SupprimerMéthodes d’enquête appréciative et de collecte de données : réflexions sur le travail en tant qu’ancien coordonnateur de recherche
Par Tina Rénier
Recherche mondiale, 9 février 2024
J'ai commencé mon parcours au Centre for Employment Innovation le lundi 26 octobre 2020 en tant que coordonnateur de recherche pour les projets Nova Scotia Works Diversity et Inclusion & Certification au Canada. Ce fut un mandat passionnant, accueillant et aussi difficile pour essayer de donner un sens à la grande variété de documents à examiner, comprendre et analyser, couplés aux lectures sur les méthodes de collecte et d'analyse de données pour le cours d'évaluation développementale pour l'impact social .
Introduction
L’enquête appréciative s’est démarquée pour moi, car il s’agit à la fois d’une philosophie de recherche et d’une utilisation dans la collecte de données.
J'ai appris que l'enquête appréciative est un cadre ou une approche qui centre les contributions de la communauté et des parties prenantes dans un changement autodéterminé. Il est utilisé pour identifier les défis d’un point de vue systémique et pour examiner les forces des équipes et des communautés en utilisant les capacités internes.
Par exemple, au lieu qu'un expert extérieur demande à une communauté : « Qu'est-ce qui ne va pas et que puis-je faire pour résoudre le problème ? » un évaluateur développemental qui utilise l’approche d’enquête appréciative demanderait à la communauté :
Quels étaient les points forts ?
Quels ont été les points de tensions, de revers et de faiblesses ? Qu'avons-nous appris et que pouvons-nous appliquer à partir des moments forts dans le prochain plan d'action ? »
Cela est évident dans l'argument de Michael Patton (2011), où il affirme qu'un évaluateur développemental est intégré au projet et qu'il ne se contente pas de collecter des données, de les analyser et de rédiger un rapport, mais qu'il engage activement les communautés et les parties prenantes (p. 305). Il a ensuite expliqué que le processus de co-création implique : conceptualiser ensemble l'innovation sociale, générer des questions d'enquête, déterminer quelles données collecter et comment les collecter, suivre l'évolution des conditions, ce qui émerge et prêter attention aux nouveaux apprentissages ( Patton, 2011, p.307).
Cela signifie donc que l’enquête appréciative nécessite un changement de pensée, passant d’une vision des problèmes comme une question de déficit individuel à une reconnaissance du fait que les membres de l’écosystème ont un rôle déterminant à jouer dans l’innovation et le changement sociaux. Le changement ne se produit pas de manière linéaire et prévisible, et il ne se produit pas non plus lorsqu'il y a « UNE VOIX » qui façonne, dirige et détermine le récit. Le changement se produit lorsque la communauté impliquée est capable de se considérer comme des partenaires dans le processus de changement plutôt que comme de simples bénéficiaires des avantages du programme. Tous les membres de la communauté et les parties prenantes doivent être impliqués dans la conceptualisation, la conception, la collecte de données, leur analyse et l'élaboration du rapport comme un groupe, en assemblant les pièces d'un grand puzzle pour donner un sens à la situation dans son ensemble.
ARTICLE CENSURÉ !
WEF – Davos 2024. Le monde s’effondre mais le spectacle doit continuer…
RépondreSupprimerIl s’agit d’une réunion d’un cartel mondialiste de « dirigeants » non élus qui se donnent le droit de tenter de décider de l’avenir du monde.
Par Peter Koenig
Recherche mondiale,
9 février 2024
"L'enfer est vide et tous les démons sont ici." - William Shakespeare, La Tempête
C'est une tempête du 21e siècle :
« Assurons-nous que les diables descendent là où ils appartiennent légitimement »
Vous trouverez ci-dessous un reportage d'actualité de Radio Canada (en français) faisant référence à Davos24 avec un titre destiné à rassurer ses lecteurs :
TRADUCTION:
« La « Grande Réinitialisation » n'est pas une conspiration visant à contrôler le monde .
« Cette initiative du Forum économique mondial pour repenser l’économie post-épidémique fait l’objet d’une importante campagne de désinformation »
M. Ch. Recherche mondiale, 15 janvier 2024
* * *
Introduction : Davos24. L'ordre du jour du FEM
Au moment où ces lignes sont mises sous presse, quelque 3 000 invités se rendront en masse à la 54 e réunion annuelle du Forum économique mondial (WEF) à Davos, du 15 au 19 janvier. Une soixantaine de chefs d’État et de nombreux « dignitaires » – pour la plupart sans dignité –, en herbe de dirigeants d’une sorte ou d’une autre, de PDG d’entreprise, sont attendus.
Il s’agit d’une réunion d’un cartel mondialiste de « dirigeants » non élus qui se donnent le droit de tenter de décider de l’avenir du monde.
Parmi eux, bien sûr, les banquiers et l’élite financière – au premier rang desquels BlackRock, également sponsor et financier clé du WEF.
Cette cabale mondialiste va, comme chaque année, encombrer les aéroports de Zurich, Genève et Bâle, de leurs jets privés.
Comme les militaires du monde entier, ils vont bien au-delà du programme frauduleux de « changement climatique » qu’ils imposent à la plèbe commune.
Certains des chefs d'État invités par Klaus Schwab , l'éternel président-directeur général du WEF, pourraient être considérés comme des assassins de facto .
RépondreSupprimerAlors que Volodymyr Zelenskyy , qui fait une apparition physique à Davos cette année, voyage avec des agents de sécurité de haut calibre, ses critiques sont assassinées chez lui. Comme le rapporte RT (12 janvier 2024) et confirmé par le Département d'État américain, le journaliste chilien-américain Gonzalo Lira a été torturé à mort dans une prison ukrainienne. Regarde ça .
Le président Zelensky est également responsable de l’envoi à la mort de dizaines de milliers de soldats ukrainiens dans une guerre impossible à gagner contre la Russie – pour laquelle la Russie a proposé à plusieurs reprises des négociations de paix . Zelensky a refusé sur ordre de l’OTAN et des dirigeants occidentaux.
D’autres participants au WEF, comme Isaac Herzog , président d’Israël, soutiennent l’horrible génocide qu’Israël inflige à la Palestine ; Antony Blinken , secrétaire d'État américain, remplaçant le président Biden, ainsi qu'Ursula von der Leyen (image de gauche avec Zelenskyy), présidente non élue du Conseil européen (CE) et membre du conseil d'administration du WEF – pourraient-elles également tomber dans le catégorie de meurtriers de facto pour avoir encouragé sans relâche Israël à poursuivre le génocide impitoyable contre Gaza, déjà étendu à la Cisjordanie et au sud du Liban ; tout en encourageant Zelensky avec d’innombrables milliards de dollars et un arsenal d’armes américaines et européennes sophistiquées pour poursuivre l’atroce guerre en Ukraine ?
Bill Gates , le roi du vaxx et promoteur de la nourriture pour insectes, tueur de fermes et eugéniste avant tout et franc, ainsi que le directeur général de l'OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus , pourraient-ils répondre aux critères de « déclenchement du dépeuplement »
La devise du WEF 2024 : Reconstruire la confiance
Avec ce genre de nobles acabits, Davos 2024 démarre bien.
Ce n'est pas pour rien que la devise de cette année est « Reconstruire la confiance ». Vous plaisantez ? « Reconstruire la confiance », voilà tout. Quelque chose est en train de changer. Le WEF se rend compte que de plus en plus de personnes – y compris des cadres de haut niveau – ont perdu et perdent de plus en plus confiance dans cet ordre dystopique corrompu, fondé sur des règles et aspirant à un monde unique.
Un récent article du Telegraph, selon lequel le secrétaire à la Défense Grant Shaps envisage de recruter des femmes pour le service militaire, afin de compenser la diminution constante du nombre de recrues par courrier, montre d’autres indications selon lesquelles la confiance dans le système perd rapidement du terrain dans le monde entier.
RépondreSupprimerLes jeunes ne font plus confiance à leurs gouvernements, et encore moins à leurs politiques de guerre. Ce n’est qu’une question de temps lorsque les femmes refuseront elles aussi de faire leur service de guerre pour le gouvernement. Peut-être que le moment est déjà venu. Regarde ça .
Une solution certaine pour la paix et l’harmonie dans le monde serait que TOUS les gens refusent de servir dans l’armée. Pas d’armée dans le monde, et le système s’effondrerait.
Le WEF pourrait plier bagage et Davos pourrait retrouver son illustre réputation de destination touristique prisée dans les Alpes orientales de la Suisse.
Le rêve mondialiste
Soyez sûrs, WEF et Cie, que votre rêve mondialiste d’un ordre mondial unique , d’un gouvernement mondial unique et d’ un ordre sanitaire unique (voir ci-dessous) ne se réalisera pas. C'est une blague.
Cher M. Schwab, comment allez-vous « reconstruire la confiance » avec le même programme corrompu et les mêmes élitistes corrompus ? Vous n'avez pas changé d'un iota par rapport à la Grande Réinitialisation et à l'Agenda 2030 de l'ONU – objectifs principaux de réduction drastique de la population, d'euthanasie de larges pans de personnes, par tous les moyens possibles, et de numérisation complète de l'humanité restante, au point où votre professeur et frère israélien -in-Crime, Yuval Noah Hariri , demande sans ambages :
Que faire des mangeurs inutiles, une fois que les robots et les Intelligences Artificielles (IA) auront pris le relais ?
La réponse est claire.
Soyez sûr, cela n'a rien à voir avec l'établissement de la confiance
En effet, les choses sont en train de changer . Et peut-être de manière imprévisible. Puisque nous ne vivons pas dans un monde linéaire et que la grande majorité de l’humanité ne veut pas d’un monde numérisé avec des humanoïdes numérisés et contrôlés numériquement. Attention, les gens se réveillent.
Davos24 : plus de 100 séances à huis clos
RépondreSupprimerL'agenda traditionnel et officiel du WEF pour Davos24 , sur le commerce, le changement climatique, l'IA et la numérisation, n'inspire pas confiance, surtout pas aux plus éveillés. Et bon nombre des plus de 3 000 invités d’élite sont de plus en plus conscients du réveil rapide de la population dans son ensemble.
En effet, un changement de conscience s’opère partout dans le monde. Peut-être que l’élite vient en nombre record à Davos24 , pour voir ce que le WEF a à offrir comme alternatives pour maintenir le statu quo le plus longtemps possible.
En plus de l'agenda officiel, qui est véritablement la clé de l'ordre du jour du WEF , il y a plus de 100 sessions secrètes à huis clos pour les invités sur invitation uniquement.
Au cours de ces séances, les psychopathes, ou Übermenschen planant au-dessus de l'humanité, dirigés par Schwab, discuteront de la manière de contrôler, tyranniser, réduire et robotiser la population mondiale – et de la manière la meilleure et la plus rapide de la priver de ses ressources durement gagnées et comment le transfert le plus rapide de ces ressources à une petite élite commerciale et privée.
Ces sujets secrets incluront très probablement des méthodologies sur la manière d’imposer à la société de nouveaux facteurs de peur – après que la fraude liée au covid, au confinement et au vaxx se révèle progressivement mais rapidement et disparaisse.
Pour tirer le meilleur parti de la campagne de peur et de la manipulation mentale de la population dans son ensemble, le WEF aurait pu inviter des experts de Tavistock, l'institut britannique pour l'ingénierie sociale des esprits collectifs et individuels.
Les points spéciaux de discussion peuvent inclure, comme priorités,
comment garantir que le nouveau président américain – élections en novembre 2024, SI elles ont lieu – jouera le jeu, à la manière de Biden ;
mise en œuvre de la nouvelle maladie « X » encore à définir, qui sera plusieurs fois plus mortelle que le covid ;
comment manipuler le Traité sur la pandémie et le nouveau Règlement sanitaire international (RSI) par le biais de l'Assemblée mondiale de la santé (AMS) en mai 2024, pour faire de l'OMS le tyran et le dictateur d'un ordre sanitaire unique (OHO), menant à un monde unique Gouvernement;
prochaines dimensions de l'IA, de la robotisation, de la numérisation et de l'imposition générale de l'identification numérique et comment les lier à des comptes bancaires individuels et /ou à la monnaie numérique de la banque centrale (CBDC) – imposition immédiatement, ou progressivement, dans l'espoir de mettre un terme à une révolution; et
Une cyberattaque Polygon pourrait également être à l’ordre du jour pour 2024.
Après tout, nous, le peuple, avons récemment été avertis par le film Netflix produit par Barack et Michelle Obama, « Leave the World Behind » – décrivant une cyber-attaque menée par un ennemi inconnu, tentant de laisser les gens dans la crainte et la peur de ce qui pourrait arriver. à venir.
Il convient également de noter qu’en 2021 :
RépondreSupprimer« Le WEF a mené une simulation de cyberattaques impliquant un scénario de paralysie de l'alimentation électrique, des communications, des transports et d'Internet .
« Klaus Schwab a laissé entendre sans équivoque, à partir de la simulation, qu'une cyberattaque :
« Cela pourrait entraîner un arrêt complet de l’approvisionnement en électricité, des transports, des services hospitaliers, de notre société dans son ensemble…
La crise du Covid-19 serait à cet égard considérée comme une petite perturbation par rapport à une cyberattaque majeure.» (c'est nous qui soulignons)
SANS PEUR, s’il vous plaît – est de l’Ordre.
Nous, le peuple, devons prendre conscience du fait que le monde occidental est dirigé par une secte motivée par l’argent , une secte de la mort ou une secte diabolique.
Difficile à croire mais vrai.
Ce que nous avons vécu au cours des dernières décennies, ce sont des atteintes à la dignité humaine, aux émotions, par des avertissements provoquant la peur et l'obéissance. Ce sont des rituels typiques que les Cultes doivent suivre pour réussir leurs actions diaboliques.
Si nous n’y prêtons pas attention, surtout si nous ne tombons pas dans le piège du facteur peur et si nous ne les détestons pas pour ce qu’ils font, nous sommes en sécurité. Ils veulent que nous les détestions, parce que la haine émet les mêmes basses vibrations émotionnelles qu’elles utilisent pour leurs atrocités. Si nous émettons des signaux similaires, ils nous contrôlent.
Être indifférent à leur égard, voire les aimer, monstres qu'ils sont – selon la maxime, ils ne savent pas ce qu'ils font – est une nécessité pour s'élever des ténèbres de leur contrôle vers la lumière, où Nous, le Peuple, finalement. devenir des êtres libres, autonomes et souverains, prêts à créer une nouvelle société, une nouvelle civilisation.
Nous ne devons jamais succomber à leur contrôle, de peur qu’ils ne nous conduisent au cimetière , ou au mieux, à leur cour d’esclaves. Nous ne devons JAMAIS permettre cela.
https://www.globalresearch.ca/wef-davos-2024-world-falling-apart-show-must-go-on/5846274
Les 'hommes de l'ombre' (aussi appelés 'La 5e colonne') dirigent le monde depuis TOUJOURS. Ces forces obscures (derrière le rideau) placent ou déplacent des pions (appelés aussi empereurs, présidents ou rois) qui sont chargés de dicter et de faire appliquer les messages reçus.
SupprimerCes dictatures en place se font appeler des 'démocraties' où LE PEUPLE DOIT FERMER SA GUEULE !! COMPRIS ??. Ces chefs d’États sont tous formés pédérastes et criminels dès leur plus jeune âge à soutenir leurs maîtres sans conditions sans quoi ils seraient eux-mêmes supprimés.
Or, la Démocratie est un tout autre monde ! La Démocratie (appliquée en Suisse) c'est le Peuple qui dirige ! Chaque citoyen suisse dépose en mairie (s'il le veut) un Projet de loi qui doit obtenir un certain nombre de signatures d'autres citoyens suisses avant donc d'être porté à Référendum.
Le chef de l’État n'est là que pour une durée de un an (1er Janvier - 31 Décembre).
La plupart des habitants de la planète Terre ignore ce qu'est la Démocratie !!
Le fantôme d’United Fruit hante toujours l’Amérique latine
RépondreSupprimerPremière partie
Par Andrew Laverdière
Recherche mondiale,
9 février 2024
Introduction
Parmi tous les sujets de campagne dont les conservateurs aiment entendre parler, l'immigration clandestine figure parmi les 6 ou 7èmes sujets en importance derrière le boycott de Bud Light, les questions du 2ème amendement et la traîne des fanatiques de l'avortement.
Au-delà de la mise en scène d'AOC en train de pleurer à côté d'un parking vide pour essayer de faire passer le président Trump pour un raciste pour avoir séparé les enfants de leurs parents (une politique qui était curieusement un héritage de la présidence d'Obama), Les démocrates ont tendance à éviter de discuter du flot absolu de réfugiés sans papiers actuellement en attente de traitement, principalement parce qu’ils ne veulent pas contrarier leur sugar daddy George Soros ou donner une mauvaise image du président Biden.
Au cours des 12 mois se terminant le 30 septembre 2022, le CBP de l'Administration des douanes et de la protection des frontières a arrêté les migrants plus de 2 766 582 fois, contre 1,72 million de fois pour l'exercice 2021, le record annuel précédent. Les chiffres de 2022 s’expliquent en partie par la forte augmentation du nombre de Vénézuéliens, de Cubains et de Nicaraguayens faisant le voyage vers le nord, selon le CBP. Les principales sources d'immigration sont le Brésil, la Colombie, Cuba, l'Équateur, le Salvador, le Guatemala, Haïti, le Honduras, le Mexique, le Nicaragua et le Venezuela, avec 1 535 492 tentatives d'entrée jusqu'à présent cette année et 2 217 141 l'année dernière (voir ceci ).
Les révolutions de couleur et les coups d'État menés par les États-Unis, la guerre économique, les sanctions, le narcoterrorisme, le terrorisme communiste/maoïste, les catastrophes naturelles et l'extrême pauvreté causée par les politiques imposées par le Fonds monétaire international et la Banque mondiale constituent toutes les principales raisons pour lesquelles les gens fuient leur pays. pays d'origine.
Cependant, malgré le bilan tout à fait dégoûtant des États-Unis tout au long du 20e siècle et des 23 années de ce siècle en imposant une pauvreté écrasante, des paiements de dettes usuraires et des conditions économiques virtuellement coloniales, trop d’Américains répètent la ligne de « l’immigrant illégal » qui est le bouc émissaire préféré des croque-mitaines, maintenant que le « terrorisme/extrémisme musulman » n'est plus répété sans fin dans les journaux télévisés, ou pire, affirmer que « ce n'est pas leur problème », comme l'a déclaré récemment un de mes clients de taxi lorsque j'ai décrit le sujet de cet article.
Une opinion surprenante étant donné qu'un groupe de 300 réfugiés venant d'Algérie sont entreposés dans un auditorium à Portland dans le Maine et qui protestent contre leurs conditions et que des discussions sont en cours pour amener des réfugiés dans ma localité alors qu'il n'y a absolument aucun moyen de les soutenir. Un bref coup d'œil sur la seconde moitié du XXe siècle montre pourquoi de telles opinions sont totalement immorales. Après la Première Guerre mondiale, les États-Unis ont mené des guerres, des coups d’État et d’autres opérations militaires de toutes sortes dans l’hémisphère occidental, principalement sous couvert de « combattre le communisme ». En raison de la complexité de l’histoire communiste/socialiste/maoïste, de sa relation étrange avec l’ancien Empire britannique et de la façon dont ils s’intègrent dans les schémas de conflits perpétuels de divers géopoliticiens et ont un effet terrible sur la vie d’un nombre incalculable d’âmes, ce sujet sera sera longuement évoqué dans la deuxième partie.
RépondreSupprimerPendant la majeure partie des XIXe et XXe siècles , jusqu'au décès de l'homme d'État James G. Blaine, à l'assassinat du président McKinley et à l'ascendant du phénomène anglophile Teddy Roosevelt, la politique américaine de soutien à nos « républiques sœurs » via la doctrine Monroe a été transformée en une politique coloniale.
Une entreprise en particulier, illustre l’exploitation et le pillage de l’Amérique centrale et des Caraïbes, The United Fruit Company, souvent appelée « The Octopus » en raison de sa domination sur des pays entiers d’où vient le terme « République bananière ».
J'ai pensé que vous devriez voir à la fois le récit approuvé et aseptisé qui est généralement montré sur de nombreux sites Web et vidéos qui décrivent son histoire, puis la vilaine réalité que les historiens de marque x ne toucheront pas avec une perche de cent pieds.
Naissance de la pieuvre
1870 : La Boston Fruit Company est créée par le marin Lorenzo Dow Baker lorsqu'il commence à acheter des bananes en Jamaïque.
1899 : La société Tropical Trading and Transport Co. de Minor C. Keith fusionne avec la Boston Fruit Co. de son rival Andrew W. Preston pour former la United Fruit Company. Elle s'occupait de la production, du transport et de la commercialisation de bananes, de sucre, de cacao, d'abaca et d'autres produits agricoles tropicaux. Preston a apporté au partenariat ses plantations aux Antilles , une flotte de bateaux à vapeur et son marché dans le nord-est des États-Unis. Keith a apporté ses plantations et ses chemins de fer en Amérique centrale et son marché dans le sud et le sud-est des États-Unis. En quelques semaines, l'UFCo acquiert sept sociétés indépendantes opérant au Honduras. Preston est nommé président et Keith vice-président. L'avocat de Preston, Bradley Palmer, est nommé membre permanent du comité exécutif et directeur et, d'un point de vue commercial, Palmer était United Fruit.
1910 : Samuel Zemurray, rival de l'UFCo, conspire avec le général Manuel Bonilla, nouvellement exilé, et organise un coup d'État contre le président hondurien Dávila. La veille de Noël, Samuel Zemurray, le général américain Lee Christmas et le général Bonilla utilisent le yacht « Hornet » de Zemurray avec une bande de mercenaires de la Nouvelle-Orléans et attaquent les ports de Trujillo et La Ceiba, forçant le président Dávila à se retirer. Bonilla devient dictateur et accorde à l'UFCo des allégements fiscaux et d'énormes concessions de terres.
1928 : 25 000 travailleurs de la banane en Colombie se mettent en grève pour exiger une semaine de travail de 6 jours, un paiement en argent plutôt qu'en bons d'achat de l'entreprise, une indemnisation pour les accidents du travail et une augmentation des salaires pour les travailleurs gagnant moins de 100 pesos par mois. Alors que les résultats financiers sont menacés, les grévistes sont qualifiés de communistes et l'UFCo incite le gouvernement américain à menacer d'envahir, en utilisant le Corps des Marines américain stationné au large de Ciénaga, si le gouvernement colombien n'agit pas pour protéger les intérêts d'United Fruit. Le 6 décembre 1928, les troupes colombiennes abattent des manifestants devant le siège de l'UFCo. Le nombre de tués est contesté, mais un mois plus tard, l’ambassadeur américain à Bogota, Jefferson Caffery, a envoyé une dépêche informant Washington : « J’ai l’honneur de signaler… que le nombre total de grévistes tués par l’armée colombienne dépassait le millier. »
RépondreSupprimer1929 : Après une guerre des prix infructueuse contre la Cuyamel Fruit Company de Samuel Zemurray qu'il avait achetée en 1910, United Fruit décide de racheter Zemurray. Il en devient finalement le plus gros actionnaire.
1930 : UFCo. a absorbé plus de vingt entreprises rivales et est le plus grand employeur d’Amérique centrale. Elle possédait ou louait des propriétés au Honduras, au Costa Rica, au Guatemala, au Panama, en Colombie, à Cuba, en Jamaïque et dans de nombreux autres pays d'Amérique centrale, d'Amérique du Sud et des Antilles.
1933 : Les membres du conseil d'administration de l'UFCo votent pour nommer Zemurray directeur général de l'entreprise.
1938 : Zemurray devient président de l'UFCo.
1947 : La valeur nette d'United Fruit dépasse 250 millions de dollars et la société contrôlait près d'un demi-mile de quai dans le port de la Nouvelle-Orléans pour le chargement et le déchargement de ses passagers, de ses bananes et de son fret général.
Juin 1954 Le président Jacobo Arbenz du Guatemala est devenu le premier dirigeant latino-américain renversé lors d'un coup d'État organisé par le gouvernement américain [SIC !]. En prenant le pouvoir, le président Arbenz avait proposé des réformes agraires considérées comme une menace pour les intérêts de la United Fruit Company, alors que seulement 15 % de leurs terres étaient utilisées. Arbenz a été qualifié de communiste par Washington et la société américaine a fait pression pour son renvoi. Entretien de la BBC avec le fils du président Jacobo Arbenz.
1958 : UFCo acquiert les droits d'exploration du pétrole et du gaz naturel en Colombie, au Panama et en Équateur. Dans les années 1950, l'UFCo. commence à acquérir de nombreuses sociétés telles que A&W Root Beer et Foster Grants.
RépondreSupprimer1959 : Fidel Castro entame sa réforme agraire et s'empare des plantations sucrières d'United Fruit à Cuba.
Marques unies (1970-1984)
Le raider d'entreprise Eli M. Black a acheté 733 000 actions d'United Fruit en 1968, devenant ainsi le plus grand actionnaire de la société. En juin 1970, Black fusionna United Fruit avec sa propre société publique, AMK (propriétaire du conditionneur de viande John Morrell ), pour créer la United Brands Company.
1974 : Les gouvernements d’Amérique centrale commencent à prélever une importante taxe à l’exportation sur les bananes. En septembre, l'ouragan Fifi a frappé l'Amérique centrale, détruisant 70 % des plantations honduriennes de l'entreprise et causant des pertes de plus de 20 millions de dollars. La hausse des coûts des aliments pour animaux met Morrell dans un trou de 6 millions de dollars. Black vend UFCo à Foster Grant pour près de 70 millions de dollars.
1 975 : Black se suicide en sautant de son bureau du bâtiment Pan-Am à New York. Les enquêtes qui ont suivi sa mort révèlent un scandale de corruption de plusieurs millions de dollars dans lequel Black et United Brands payent des pays d'Amérique centrale en échange de réductions d'impôts.
Chiquita Marques Internationales
Après le suicide de Black, American Financial Group , basé à Cincinnati , l'une des sociétés du milliardaire Carl Lindner Jr. , a racheté United Brands. En août 1984, Lindner prend le contrôle de l'entreprise et la rebaptise Chiquita Brands International. Le siège social a été transféré de New York à Cincinnati en 1985.
2014 Chiquita Brands International réalise une fusion d'actions avec l'Irish Fruit Company Fyffes pour 1,07 milliard de dollars et contrôle 29 % du marché mondial de la banane. Depuis 2017, Fyffes appartient à la société japonaise Sumitomo Corporation.
2019 Les principaux bureaux de l'entreprise quittent les États-Unis et s'installent en Suisse.
« Chiquita Brands International est présent dans 70 pays et emploie environ 20 000 personnes en 2018. L'entreprise vend une variété de produits frais, notamment des bananes, des salades prêtes à l'emploi et des aliments santé. La marque Fresh Express de la société réalise un chiffre d'affaires annuel d'environ 1 milliard de dollars et une part de marché de 40 % aux États-Unis. Structure d'entreprise mondiale
Le corporatisme au sens large dans des montagnes de cadavres
« J’ai contribué à rendre le Mexique, en particulier Tampico, sûr pour les intérêts pétroliers américains en 1914. J’ai contribué à faire d’Haïti et de Cuba des endroits décents où les garçons de la National City Bank pouvaient collecter des revenus. J’ai contribué au viol d’une demi-douzaine de républiques d’Amérique centrale pendant des années. les avantages de Wall Street. Le palmarès du racket est long. J'ai contribué à purifier le Nicaragua pour la banque internationale Brown Brothers en 1909-1912. En 1916, j’ai fait la lumière sur les intérêts sucriers américains en République Dominicaine. En Chine, j’ai contribué à ce que la Standard Oil continue son chemin sans être inquiétée.» –Extrait d'un discours prononcé en 1933, par le major général Smedley Butler, USMC (retraité).
RépondreSupprimerLorsqu’on évoque des termes comme corporatisme, Mussolini ou Hitler sont évoqués en raison de la relation manifeste entre les financiers, les sociétés industrielles et le gouvernement/les dictatures. Bien avant que tout cela n’existe, il y avait la Compagnie des Indes orientales, une société à charte de la Couronne qui a pillé la Chine et le sous-continent indien pendant 300 ans, de 1600 à 1874, après quoi elle a été fusionnée avec l’Empire britannique. En Amérique, on trouve autour de Boston des familles très anciennes auxquelles on donne le surnom descriptif de sang bleu ou de brahmanes. Regarde ça .
La sociologue Harriet Martineau s'est rendue à Boston dans les années 1830 et a conclu que ses brahmanes étaient « peut-être une ville aussi aristocratique, vaniteuse et vulgaire, telle que décrite par son propre « premier peuple », que n'importe quelle autre ville au monde.
Il s’agissait généralement de familles de marchands qui se sont enrichies grâce au commerce des esclaves et de l’opium (ou commerce du clipper). Parmi les familles patriciennes américaines qui ont joué un rôle clé au sein de United Fruit et de la Compagnie britannique des Indes orientales figurent les Forbes, les Higginson et les Lees. D’autres familles épiscopales d’ancienne génération impliquées dans l’UFCo sont les Peabody de Morgan-Peabody, dont le patriarche, J. Endicott Peabody, a créé Groton Prep (l’Eton américain) pour laver le cerveau de générations de décideurs politiques américains dans le culte de l’Empire britannique. En 1899, ces familles anglophiles et d'autres ont organisé la fusion de la « Grande flotte blanche » de la Boston Fruit Co. avec l'International Railways of Central America (un chemin de fer sillonnant la région) pour former la United Fruit Company. Joseph Coolidge, Thomas Jefferson Coolidge et Thomas Jefferson Coolidge II, agent du syndicat Perkins de la guerre de l'opium, ont fusionné leur Old Colony Trust Company avec la First National Bank of Boston, de sorte que les conseils d'administration de la Bank of Boston et de l'UFCo vers 1929 étaient les mêmes.
La famille suisse Iselin était également impliquée par l'intermédiaire de la Central Trust Bank of New York, contrôleur des chemins de fer de la Nouvelle-Orléans jusqu'au Midwest. La Banque de Boston jouera plus tard un rôle en aidant le crime organisé à s’emparer d’Hollywood. En 1988, la Banque de Boston a été arrêtée en train de blanchir 2,5 millions de dollars provenant de la drogue en relation avec le tristement célèbre cartel colombien de la drogue de Medellin, lié à la banque BCCI. Elle s'en est pourtant tirée avec une amende de 500 000 dollars à cause du procureur général William Weld, dont la famille est également devenue extrêmement riche en 1988. Commerce de tondeuses en Chine. Regarde ça .
RépondreSupprimerPour plus d’informations sur cet aspect longtemps ignoré de la trahison, veuillez consulter les recherches historiques révolutionnaires d’Anton Chaitkins dans « Treason In America ».
L'autre côté d'United Fruit venait des Siciliens Joseph Macheca et de son successeur Charles Matranga, les chefs de la mafia de la Nouvelle-Orléans, la première organisation du crime organisé aux États-Unis à partir de la guerre civile. Regarde ça .
Macheca était un protégé de l'anarcho-révolutionnaire Guiseppi Mazzini, qui à son tour était un agent au service de Lord Palmerston, l'architecte du XIXe siècle des guerres de l'opium en Grande-Bretagne. Regarde ça .
Macheca possédait une petite compagnie maritime qui expédiait des marchandises de la Nouvelle-Orléans vers l'Amérique centrale à partir de 1874. La société Macheca Brothers a finalement vendu ses actifs de transport à United Fruit. Sa nécrologie de 1943 répertorie Matranga comme simplement un débardeur à la retraite pour la United Fruit Company et pour la Standard Fruit & Steamship Company, mais ses funérailles ont été suivies par l'élite des affaires de la Nouvelle-Orléans et le conseil d'administration de l'UFCo.
Samuel Zemurray, également gangster de la Nouvelle-Orléans, était venu aux États-Unis dans le cadre de la même vague d'immigration (parrainée par la Fondation Baron de Hirsch ) qui avait amené les Bronfman, Jacobs, Fishers et d'autres dans ce pays. Avec le soutien des Rothschild depuis Londres, ils ont soudé un réseau national de crime organisé pendant la Prohibition, puis, au milieu des années 1930, ont réorienté leurs activités commerciales rentables de l'alcool de contrebande vers les stupéfiants. Selon les anciennes autorités américaines chargées de la lutte antidrogue, environ 25 pour cent de la cocaïne entrant chaque année aux États-Unis était passée en contrebande sur les navires d'United Brands.
À son « honneur », United Fruit a organisé au siècle dernier deux invasions marines du Nicaragua, une guerre entre le Honduras et le Salvador, une tentative d’invasion nicaraguayenne du Costa Rica il y a trente ans et plus d’une douzaine de coups d’État. Dans le bain de sang qui a suivi le coup d'État de 1954 contre les forces républicaines d'Arbenz au Guatemala, 35 000 personnes ont été assassinées par des escadrons de la mort.
RépondreSupprimerEn 1929, le ministère de la Justice a exigé que Zemurray se vende à UF afin d'éviter une guerre que les deux sociétés avaient contribué à fomenter entre le Guatemala et le Honduras. Entre 40 000 et 50 000 autres personnes ont été tuées par la répression au Salvador et au Honduras. Si l’on ajoute aux décès subis sous Anastasio Somoza García, Luis Somoza Debayle et Anastasio Somoza Debayle qui ont dirigé le Nicaragua de 1933 à 1979, on peut estimer sans risque de se tromper que l’engagement d’United Fruit à préserver les « républiques bananières » et à anéantir tout potentiel de développement d’États souverains Les nations calquées sur les principes fondateurs de l’Amérique ont coûté la vie à des centaines de milliers de personnes au cours des 100 dernières années seulement. C’est l’histoire d’United Fruit : c’est l’anathème de tout ce que la république américaine a toujours défendu. C’est l’histoire de trafiquants de drogue, d’assassins et de meurtriers de masse engagés pour maintenir l’Amérique centrale comme fief arriéré d’un « empire » anglo-américain. Une relation mortelle entre des familles de sang bleu qui fixent les politiques, des mafieux qui fournissent les muscles et des dictateurs locaux impitoyables pour maintenir les esclaves dans le rang.
Fidèle à son surnom d' El Pulpo ou « La Poulpe » , on trouve des personnalités centrales comme John Foster Dulles, qui représentait United Fruit alors qu'il était associé juridique chez Sullivan & Cromwell – il a négocié l'accord crucial United Fruit avec les autorités guatémaltèques dans les années 1930 et a été Secrétaire d'État sous Eisenhower ; son frère Allen, qui effectuait des travaux juridiques pour l'entreprise et siégeait à son conseil d'administration, était à la tête de la Central Intelligence Agency sous Eisenhower et Kennedy.
Le cabinet d'avocats et les deux frères ont travaillé dans l'entreprise pendant 38 ans ; Henry Cabot Lodge (dont les ancêtres de la famille étaient impliqués dans la traite des esclaves aux Antilles), qui était l'ambassadeur des États-Unis auprès de l'ONU, était un important propriétaire d'actions de United Fruit ; Ed Whitman, l'homme des relations publiques d'United Fruit, était marié à Ann Whitman, la secrétaire personnelle de Dwight Eisenhower. Le neveu de Sigmund Freud, Edward Bernays, est embauché en 1941 comme consultant.
Son livre « Propagande » de 1928 affirmait : « La manipulation consciente et intelligente des habitudes organisées des masses est un élément important dans une société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme invisible de la société constituent un gouvernement invisible qui est le véritable pouvoir dirigeant de notre pays… Ce sont les minorités intelligentes qui doivent recourir à la propagande de manière continue et systématique. Dans les minorités prosélytes actives, dans lesquelles les intérêts égoïstes et l’intérêt public coïncident, résident le progrès et le développement de l’Amérique. » Sa méthode a été utilisée lors du coup d’État de 1954 au Guatemala en demandant aux journalistes d’inventer des histoires sinistres sur la « terreur communiste » et sur le fait qu’Arbenz « devenait communiste ». Avec des intérêts américains aussi puissants impliqués, pour dire que l’UFCo. a été mêlé à l'incident de la Baie des Cochons, à l'assassinat de Kennedy, a été impliqué dans des organisations terroristes israéliennes ou a promu des projets de dépopulation malthusiens ne devraient pas être exagéré.
RépondreSupprimerÀ la fin des années 1940, par l’intermédiaire de Sam Zemurray et d’autres employés, l’UFCo s’est engagée dans un projet massif visant à faire passer clandestinement des armes aux groupes terroristes de la Haganah et de l’Irgun en Israël en utilisant les gouvernements fantoches d’Amérique centrale. L’un des résultats de ce projet a été la création du Mossad israélien. Israël, en retour, était l'un des principaux fournisseurs d'armes des dictatures fantoches d'Amérique centrale de l'UFCo, en particulier Anastasio Somoza. Pour le projet de la Haganah, Sam Zemurray a été coopté par Edmund de Rothschild au conseil d'administration de la Commission économique palestinienne (PEC) (voir ceci ) qui allait prochainement évoluer vers le secteur étatique de l'économie israélienne. Le co-parrain de ce poste sioniste de haut niveau était le sénateur Herbert H. Lehman de la société d'investissement Lehman Bros., qui dirigeait la partie américaine de la PEC. Lehman Bros., qui a acquis sa fortune initiale dans le secteur du coton et des esclaves après le blocus de Charleston et de la Nouvelle-Orléans par l'Union, a été la première banque à intégrer le conseil d'administration de l'UFCo. (Voir cet article JSTOR )
Le Dr Carlos Gutierrez du gouvernement de reconstruction nationale (GNR) post-Somoza a accordé une interview à Executive Intelligence Review sur l'histoire récente du Nicaragua en 1979.
Q : Docteur Gutierrez, l'un des faits que nous avons pu vérifier est que le sionisme soutient à bien des égards la dictature de Somoza. Il est bien connu qu’Israël fournit des armes à Somoza. Mais ce n'est pas tout. United Brands, anciennement le célèbre United Fruit, est dirigé par un dirigeant sioniste et l’on sait que les réseaux sionistes impliqués dans le trafic de drogue sont intimement associés à Somoza et à la Garde nationale. Que pouvez-vous nous dire à ce sujet ?
R : Eh bien, le problème de United Fruit a été quelque peu réduit au Nicaragua. Il y a de nombreuses années, nous étions un « pays bananier » ; Le Nicaragua a vécu une triste expérience. C'était un pays qui produisait des bananes en quantités effrayantes. Elle produisit la tuberculose dans la même proportion. Un membre du Groupe des Douze a réalisé aux États-Unis un documentaire qui comprend 400 photographies montrant l'histoire du Nicaragua… avec tout le processus dans lequel les États-Unis sont intervenus depuis William Walker, un flibustier de la Nouvelle-Orléans qui s'est fait président du Nicaragua. [pendant 10 mois en 1853- ndlr], fut reconnu en moins de 48 heures par les États-Unis, et voulut annexer notre territoire aux États esclavagistes. Sur certaines de ces photos, on voit les maisons – si on peut appeler cela des maisons – faites de paille, de feuilles de palmier, au milieu de l'eau et de la boue, appartenant aux travailleurs de la banane.
Des conditions de vie vraiment lamentables. … Et, de l’autre côté, nous voyons les manoirs parce qu’il s’agissait véritablement de manoirs – habités par les dirigeants d’United Fruit. La production de bananes au Nicaragua a chuté à cause des ambitions politiques de Somoza et de l'utilisation des méthodes d'exploitation de la production actuelle sans se soucier de replanter les bananiers. Bien entendu, nous avons encore des plantations. Beaucoup, en fait, appartiennent à Somoza et bon nombre des activités de culture et de transformation des fruits au Nicaragua sont représentées par des sociétés américaines ou des sociétés américaines associées à Somoza.
RépondreSupprimerEn ce qui concerne Israël, nous avons simplement ceci à dire : il est inimaginable qu’une nation pour laquelle le mot « génocide » a été inventé soit complice de la perpétration d’un génocide. C'est une énorme incongruité et, croyez-moi, je ne dis pas cela par haine, mais par colère. Personnellement, et les Nicaraguayens en général, je ne peux en aucun cas applaudir les crimes nazis contre le peuple juif. Comme toute l’humanité, nous les condamnons. Pour un homme civilisé, il est impossible d’accepter de telles choses. Mais, en même temps que nous condamnons Hitler pour ses crimes contre les Juifs, nous, Nicaraguayens, avons la douloureuse obligation de condamner Israël pour complicité dans le génocide, dans le massacre du peuple du Nicaragua. Vous savez qu’il y a eu plusieurs cas avérés de soutien israélien à Somoza – non pas au Nicaragua, mais à Somoza. Cela va des livraisons d’armes, de munitions, de roquettes, de bombes moutarde aux informations non confirmées selon lesquelles les Israéliens testent certaines armes sur le territoire nicaraguayen. »
Lorsque Somoza a aidé à parrainer l'invasion de la Baie des Cochons sur le Cuba de Castro en 1961, elle a été lancée depuis l'île Swan au Nicaragua sur un terrain appartenant en totalité à l'UFCo. ainsi qu'une tour de signalisation radio gérée par la CIA. Les plans d'invasion de la Baie des Cochons devinrent tout à fait fantastiques : les exilés cubains formés au Guatemala sous la protection de Castillo Armas devaient être transportés à Cuba sur deux navires de la United Fruit Co. ; des équipes formées dans un camp fourni par la mafia de la Nouvelle-Orléans devaient infiltrer Cuba et assassiner Castro ; les agents des casinos et des réseaux de drogue du gangster Meyer Lansky à Cuba devaient proclamer une « lutte de libération nationale » ; et la flotte navale américaine devait envahir pour soutenir ces forces « patriotiques ». L'ensemble de l'opération a lamentablement échoué en raison de la ferme opposition du président Kennedy à jouer le jeu des intrigues manipulées de l'Empire britannique pendant la guerre froide, malgré le fait que son père, Joseph Kennedy, avait fait sa fortune initiale en vendant du whisky de contrebande provenant de franchises britanniques exclusives d'alcool aux mêmes éléments de gangsters impliqués dans UFCo.
L'historien Anton Chaitkin décrit les groupements européens dont le général Lemnitzer a hérité après avoir été licencié et avoir rejoint l'OTAN ; "un appareil secret composé de tueurs de la mafia, de nazis hitlériens, de fascistes mussolini, d'irréductibles coloniaux français et de mercenaires blancs furieux de la perte de l'Afrique."
Les liens étroits entre United Fruit Co. et les réseaux désignés par le procureur du district de la Nouvelle-Orléans, Jim Garrison, comme étant à l'origine de l'assassinat de Kennedy peu après sont illustrés de manière graphique dans le cas de William Gaudet, éditeur du Latin American Report financé par l'UFCo dans les années 1950 et au début. années 1960.
RépondreSupprimerAu moment de son emploi chez UFCo, Gaudet travaillait à l'International Trade Mart (ITM), une succursale de la Nouvelle-Orléans de Permindex Corp., créée en 1958, nominalement en tant que société de commerce international organisant des expositions commerciales et gérant des projets immobiliers. bureaux de direction d'entreprise. Le fondateur de Permindex était le major Louis Mortimer Bloomfield, un protégé personnel du chef des opérations spéciales britanniques, Sir William Stephenson. Bloomfield, en plus d’occuper une position centrale au sein de la Division Cinq du FBI et de l’Office of Naval Intelligence, était un canal financier de premier plan pour le cartel international des stupéfiants dirigé par Meyer Lansky. Parmi les principaux actionnaires de Permindex figuraient l'avocat de la mafia Roy M. Cohn ; George Mantello, avocat de la Maison de la noblesse noire italienne de Savoie ; Ferencz Nagy, l'ancien président pro-hitlérien de la Hongrie en temps de guerre ; et Tibor Rosenbaum, directeur des opérations du Mossad israélien en Europe occidentale dans les années 1960 (basé dans sa banque genevoise Meyer Lansky). Permindex avait été expulsé d'Italie et de Suisse en 1962 et avait également été identifié comme responsable de la tentative d'assassinat du président français de Gaulle. Partageant des bureaux avec Gaudet se trouvait le « Comité du Fair Play pour Cuba » de Lee Harvey Oswald et bien d'autres nommés par Garrison comme étant impliqués avec Oswald dans l'assassinat de Kennedy. Parmi eux se trouvait Clay Shaw, qui dirigeait ITM avec le successeur de Zemurray dans la mafia de la Nouvelle-Orléans, Carlos Marcelo.
Edward Bannister, directeur régional du Sud-Est de la Division Cinq (Contre-espionnage) du FBI, pour laquelle Bloomfield était le recruteur en chef et le gestionnaire d'agents au moment de l'assassinat de Kennedy, était également impliqué. Bannister a été nommé par Garrison comme étant chargé de fournir à Oswald une couverture communiste crédible. Lorsqu'Oswald s'est rendu au Mexique lors de son célèbre voyage pour visiter les ambassades soviétique et cubaine, la signature de l'agent de l'UFCo, William Gaudet, est apparue directement sous la sienne dans le registre de l'ambassade américaine lors d'un détour inexpliqué. Curieusement, la Commission Warren n'a jamais examiné le lien entre Gaudet et Oswald, ni les autres témoignages de Garrison.
Au moins trois membres de la Commission Warren avaient des liens personnels ou familiaux étroits avec United Fruit Co., principalement les frères Dulles, mais aussi des personnalités éminentes comme John J. McCloy, « président de l'establishment ». Membre honoraire de la famille Rockefeller, McCloy a été président du conseil d'administration de la Chase Manhattan Bank de David Rockefeller, administrateur de la Fondation Rockefeller et de United Fruit. Son pedigree peut être résumé par son attitude face à l'internement des Américains d'origine japonaise en 1942 : « S'il s'agit de la sécurité du pays. . . pourquoi la Constitution n'est pour moi qu'un bout de papier. »
McCloy, avec Allen Dulles, Whitney Shephardson, John Foster Dulles, William Draper et Averell Harriman, ont planifié de purger les services de renseignement de guerre et d'après-guerre et l'autorité d'occupation allemande d'après-guerre de tous les loyalistes de Franklin Roosevelt qui s'étaient engagés à éliminer toutes les formes de colonialisme. Lors du déclenchement de la crise des missiles de Cuba en octobre 1962, John J. McCloy, apparemment un simple citoyen mais toujours président du Conseil présidentiel de contrôle des armements et de désarmement, fut brusquement rappelé d'un voyage d'affaires en Europe et rapatrié par avion à Washington. Lorsqu'il fut informé pour la première fois de l'existence de missiles à capacité nucléaire à Cuba, la réponse de McCloy fut d'appeler à des frappes aériennes immédiates pour éliminer ces armes.
RépondreSupprimerUn autre oligarque de premier plan de Wall Street, William F. Buckley, Sr., qui a travaillé avec les intérêts de Standard Oil, Royal Dutch Shell et Morgan-Lamont pour organiser de multiples tentatives de contre-coup d'État contre la révolution mexicaine jusqu'à ce qu'il soit expulsé du pays en 1921 en tant qu'homme politique. « étranger pernicieux » et ses avoirs pétroliers confisqués. Buckley a ensuite déménagé au Venezuela, où il a pris le contrôle des deux tiers des gisements pétroliers du pays en tant que partenaire junior de la Standard Oil de Rockefeller. Buckley, Sr. a personnellement formé Nelson Rockefeller qui a travaillé avec lui dans la filiale vénézuélienne de Standard, Creole Petroleum, pour mener une série de coups d'État à portes tournantes qui ont utilisé les réseaux de Buckley, le proche associé de Buckley, le dictateur argentin Juan Peron et le dictateur corporatiste espagnol. Francisco Franco. Creole Petroleum devait plus tard couvrir les opérations dirigées par les frères Dulles dans les Caraïbes, en travaillant avec la United Fruit Company pour orchestrer le coup d'État d'Arbenz en 1953 au Guatamala et l'invasion de la Baie des Cochons en 1963. Coudert Brothers, le cabinet d'avocats de l'empire pétrolier des Buckley, estimé à 110 millions de dollars, avait également un pedigree fasciste en tant que conseiller juridique de Vichy France. Regarde ça .
Les Buckley sont associés aux réseaux Permindex. George De Mohrenschildt, un aristocrate russe blanc assassiné avant de pouvoir témoigner sur son rôle de « contrôleur » de Lee Harvey Oswald, entretenait des liens étroits avec la famille. De Mohrenschildt a travaillé pour Nelson Rockefeller, alors coordinateur des affaires interaméricaines, pendant la Seconde Guerre mondiale ; Plus tard, il rejoint la société pétrolière Pantepec de Buckleys au Venezuela, qui est intégrée aux opérations de renseignement caribéennes de Standard Oil. Lorsque De Mohrenschildt a quitté Pantepec, il a développé plusieurs joint-ventures avec la Schlumberger Corporation, représentée par le cabinet d'avocats des Buckley, Coudert Brothers. Schlumberger n'est pas seulement un élément majeur de United Fruit/Creole Petroleum, une opération de renseignement privée qui gérait virtuellement la Baie des Cochons, mais Jean de Menil était également membre du conseil d'administration de Permindex et sa femme était une sponsor internationale des terroristes des Frères musulmans. Vous vous souvenez peut-être du rôle central joué par Schlumberger en tant que choix du vice-président Dick Cheney pour le pillage de l'Irak alors qu'il était membre du conseil d'administration, actionnaire majeur et recevait 100 000 $ de salaire différé tandis que sa femme Lynne était membre senior de l'American Enterprise Institute, un bénéficiaire d’un « don de charité ».
RépondreSupprimerUn aparté est nécessaire à ce stade en raison de la nature de la discussion sur l'assassinat de Kennedy et du problème de la façon dont la majorité des historiens reproduisent les méthodes de Sherlock Holmes en passant en revue les détails de ce que portaient les principaux suspects, qu'ont-ils mangé pour le déjeuner. ce jour-là, l'endroit où ils se trouvaient le 21 novembre à 15h32, et des distractions similaires. Il devrait ressortir clairement de ce qui est discuté dans le document que Kennedy était confronté à des organisations qui n'avaient aucun scrupule à commettre des assassinats de haut niveau lorsque les intérêts économiques étaient menacés, ce qui était le thème ultime qui s'est joué tout au long de l'existence de l'administration. Une excellente étude est Battling Wall Street de Donald Gibson , une approche unique pour exposer la bataille fondamentale entre un gouvernement « du peuple, par et pour le peuple » et un gouvernement qui sert avant tout des intérêts privés égoïstes. Cela s'est produit tout au long de l'histoire de notre nation chaque fois que des présidents ont été assassinés ouvertement, comme les présidents Garfield et McKinley, ou plus secrètement, comme dans le cas des présidents Taylor ou Harding, et le résultat a été des changements fondamentaux dans les politiques nationales et économiques. Regarde ça .
Cui bono ? À qui profite-t-il ? (Voir ceci et ceci )
RépondreSupprimerDonald Gibson a été interviewé par Michelle Steinberg, rédactrice en chef de l'EIR, le 5 mai 2000. Voir ceci .
» EIR : Vous abordez ce sujet dans le dernier chapitre de « Assassination Cover-Up » — le Wall Street Journal, Time-Life, Luce, etc. Une opposition amère.
Gibson : Lorsque j'ai terminé le premier livre, et que j'ai eu le sentiment que Kennedy était en fait en profond conflit avec Wall Street et d'autres intérêts, j'ai ensuite examiné le processus de dissimulation. Les personnes impliquées dans la création de la Commission Warren étaient essentiellement des agents des mêmes puissances qui s’opposaient à Kennedy. Donc, cela m’a vraiment relancé, en termes de nouveau cycle d’enquête et de recherche.
EIR : Il y a toujours une certaine opposition. Selon vous, qu’y avait-il de si unique dans ce que représentait Kennedy, qui aurait poussé l’establishment à prendre des mesures aussi drastiques ?
Gibson : Ce qui les dérangeait chez Kennedy, c'est que Kennedy menaçait de manière agressive presque toutes les grandes stratégies que la classe supérieure était en train d'adopter, et en fait, lui et, surtout si son frère l'avait suivi, se seraient mis en travers de son chemin. de tout, du post-industrialisme à la mondialisation. Les politiques de JFK orientées vers le développement et la croissance, orientées vers le pays, non seulement pour les États-Unis, mais aussi pour d'autres pays, auraient été en contradiction avec deux des axes centraux des 25 dernières années : à savoir l'économie postindustrielle. société et mondialisation. »
Gibson évoque de manière intéressante le rôle de Lord Bertrand Russell et sa création au début de 1964, du « Comité Who Killed Kennedy » (voir ceci et ceci ) des mois avant que la Commission Warren ne publie son rapport et son amitié avec le critique de la Commission Warren, Mark Lane et son Livre de 1966, Rush to Judgment, le premier des quelque 400 livres qui ont été produits, dans lequel Gibson identifie le rôle de Russell dans la direction de ce « qui est devenu une vaste industrie de détournement de fonds à propos de l'assassinat ». La Commission Rockefeller sur les activités intérieures de la CIA de 1975, dirigée par Nelson A. Rockefeller (voir ceci ), qui mettait en vedette Lyman Lemnitzer, l'ancien chef d'état-major fou des chefs d'état-major interarmées, qui s'est le plus prononcé en faveur d'une invasion de Cuba et pour avoir suggéré dans « Opération Northwoods » que le gouvernement utilise de faux Cubains pour commettre des incidents terroristes aux États-Unis afin de terrifier le public et de le pousser à soutenir une invasion. Vous pouvez en savoir plus à ce sujet dans « Body of Secrets: Anatomy of the Ultra-Secret National Security Agency » de James Bamford .
L'enquêteur en chef de la Commission Warren, David Belin, a fourni au sénateur Richard Schweiker (démocrate de Pennsylvanie) des documents de la CIA qui impliquaient un lien possible entre Castro et l'assassinat de Kennedy, sur la base des déclarations d'un transfuge cubain. En divulguant les documents à AP, Belin a indiqué que la Commission Warren avait accès aux mêmes documents mais les avait ignorés. Ironiquement, Belin venait d'écrire une absolution de « l'assassin solitaire » et de la « théorie magique de la balle unique » de la Commission Warren pour le National Review Magazine de William F. Buckley du 6 février 1976.
Le principal agronome de l'UFCo, William C. Paddock, est devenu membre d'un groupe de néo-malthusiens appelant à des « mesures de triage » de type temps de guerre pour le Mexique et l'Amérique centrale afin de réduire radicalement les populations. Paddock a reçu une formation en biologie végétale à Cornell et a commencé une carrière en agronomie tropicale à la fin des années 1940. Durant la décennie des années 1950, il vécut en Amérique centrale, principalement au Guatemala et au Honduras, et effectua de fréquents voyages au Mexique. Dans les années 1960, il a créé une société de conseil privée en agronomie tropicale, Paddock and Paddock, et a consacré une partie croissante de son temps à travailler avec son frère, Paul Paddock, sur la question de la croissance démographique mondiale.
RépondreSupprimerPaul Paddock (décédé au début des années 1970) était un officier de carrière du Département d'État en poste au Mexique à la fin des années 1930. William a été président de l' Escuela Agricola Panamericana (école agricole panaméricaine), près de Tegucigalpa, au Honduras (voir ceci ). Cette école, fondée par United Brands, est depuis des décennies leur centre de « recherche » phare dans la région et est financée à ce jour par la Fondation United Brands. Le Fonds environnemental (voir ceci ), créé en 1973, avait pour but de promouvoir l'avortement et la stérilisation forcés, par opposition aux groupes de planification familiale plus traditionnels. Sa déclaration d’intention le décrivait comme « un effort visant à stimuler la réflexion sur l’impensable ».
Zero Population Growth (maintenant Population Connection PC Critique ) et la Federation for American Immigration Reform ( FAIR ) étaient des mouvements similaires de réduction de la population. Paddock siégeait au conseil d'administration de et était un financier. Son célèbre livre Famine, 1975 ! La décision américaine : qui survivra ? (1967) appelle explicitement à une planification familiale coercitive, William Hardin, biologiste formé à l'Université de Chicago, a publié un manifeste en 1968 (voir ceci ) pour l'Académie américaine pour l'avancement des sciences qui, pour la première fois, déclarait ouvertement que les programmes volontaires de contrôle des naissances étaient insuffisantes pour stopper la croissance démographique mondiale et pour répondre au besoin urgent d'une « économie de sauvetage », et le livre de Paul Ehrlich de 1968, The Population Bomb , a popularisé le travail de Paddock et Hardin. Il est devenu un best-seller national aux États-Unis. « De nombreuses décisions apparemment brutales et sans cœur devront être prises », a écrit Ehrlich. Ce travail fondateur de Paddock, Hardin et Ehrlich a eu lieu au cours des mêmes années, sous la direction générale d'un effort plus vaste : la création du Club de Rome par les agences de planification de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN).
Le Club de Rome, officiellement créé en 1969 sur la base d’efforts d’organisation dans lesquels Zbigniew Brzezinski a joué un rôle de premier plan, a immédiatement lancé le concept général au sein duquel le triage et l’éthique du canot de sauvetage ont trouvé leur place : les limites de la croissance. Des documents politiques thématiques similaires tels que Global 2000 (1977) qui recommande de réduire la population mondiale de 2 milliards de personnes d'ici la fin du siècle, le National Security Study Memorandum (NSSM200) d'Henry Kissinger, achevé en décembre 1974, spécifiait la réduction de la population comme moyen de contrôler la population mondiale. ressources naturelles, la Conférence de Bucarest sur la population menée par Rockefeller en 1974, d'où est né le mensonge du réchauffement climatique, le travail de destruction économique de « désintégration contrôlée » du président de la Réserve fédérale, Paul Volcker, et d'autres mesures telles que le régime génocidaire de Pol-Pot au Cambodge, toutes empruntées à Les théories des Paddocks et les ont concrétisées. (Regarde ça )
RépondreSupprimerHors du feu et au micro-ondes
Une fois arrivés dans les années 1970, l'UFCo. commence un nouveau chapitre avec le rachat en 1970 par Eli Black, la fusion avec United Brands, le mystérieux « suicide » de Black 5 ans plus tard et l'ascension de Max Fisher, alors junior « Zemurray » à la tête d'une petite société israélienne. la société de raffinage du pétrole (PAZ) et le Purple Gang de Détroit ; l'une des opérations d'extorsion juive et de contrebande d'alcool les plus violentes de l'époque de la prohibition, en collaboration avec la famille Bronfman au Canada.
Le début de la carrière de Fisher a été façonné par son association avec Jack Rothberg, membre du Purple Gang, qui l'a aidé à se lancer dans le secteur du raffinage de pétrole. Si vous avez l’estomac suffisamment solide, vous pouvez parcourir le site Web de culte mal codé The Max Fischer Archives qui a « Leader respecté » et « L’héritage d’un citoyen du monde » en haut. (Regarde ça )
En février 1975, Eli Black, président du conseil d'administration d'United Brands (UB), est sorti par une fenêtre du 4ème étage de l'immeuble Pan-American à New York. Moins de deux mois après sa mort mystérieuse, Max Fisher (qui avait menacé de divulguer des preuves incriminantes sur les divers stratagèmes de corruption de Black) a été nommé président par intérim de la société, puis en est devenu le nouveau président du conseil d'administration.
En 1975, Fisher et deux de ses proches associés, Carl Lindner de Cincinnati et Seymour Milstein de New York, détenaient un total de 48 pour cent des actions d'UB et de ses filiales. La nomination de Fisher a été parrainée par deux personnes : Sol Linowitz et Donald R. Gant, associé de Goldman Sachs et associé d'Henry Kissinger. Envoyé spécial de l'administration Carter pour les négociations du traité du canal de Panama, Linowitz était conseiller en politique internationale auprès de Maritime Fruit Company, l'homologue israélien de United Brands, et siégeait au conseil d'administration de la Marine Midland Bank, qui a fusionné en 1979 avec la banque de Hong Kong et de Shanghai. Corporation, qui a longtemps été la banque centrale de compensation pour le commerce de l'héroïne du Triangle d'Or en Extrême-Orient depuis les guerres de l'opium. L'une des premières actions de Fisher en tant que président du conseil d'administration a été de nommer Bert C. Reiss au poste de vice-président en charge des transports. Reiss venait de la National Bulk Carriers Corporation (NBC), une entreprise impliquée dans le transport maritime et la construction dans toute l'Amérique latine.
RépondreSupprimerNBC appartenait à Daniel K. Ludwig, un associé de Meyer Lansky, qui était responsable du projet de dragage du port qui a conduit à la construction de Paradise Island, ravagée par le scandale, aux Bahamas. Une fois à UB, Reiss a exclu toutes les marchandises n'appartenant pas à l'entreprise des navires United Brands et de ses installations portuaires de la Nouvelle-Orléans, jetant ainsi un voile de secret total sur les activités maritimes de l'entreprise dans les Caraïbes et en Amérique centrale. Grâce à ses participations dans Paz, Fisher a ensuite acheté une part importante du secteur public israélien et a acquis la moitié des parts dans Zim Shipping Company, la plus grande compagnie maritime du Moyen-Orient, dont l'un des navires a été révélé en 1978 par le Jerusalem Post comme transportant des millions de dollars. de dollars de haschisch liquide à New York. (Regarde ça )
Entre 1959 et la fin des années 1980, Charles Keating était le partenaire commercial de Carl Lindner, le financier basé à Cincinnati, dans l'Ohio, qui fut l'une des figures centrales de l'effondrement de l'épargne et des prêts de 200 milliards de dollars et du sauvetage des contribuables en 1989. En 1959, Lindner et Keating a cofondé l'American Financial Corporation (AFC). Keating a été avocat général de la société d'hypothèques et d'assurances, puis vice-président. Entre 1974 et 1976, Lindner et Keating ont organisé une série d’achats d’actions et de fusions avec certains des dirigeants du syndicat du crime Lansky – qui avaient suivi la recette de la famille Bronfman et sont passés « des haillons, au racket, à la richesse, à la respectabilité ». .»
En 1975, l'AFC de Lindner s'est alliée au financier de Détroit Max Fisher ; Alfred Taubman, promoteur immobilier de Détroit (un associé de Fisher) ; et Paul et Seymour Milstein, pour prendre une participation majoritaire de 50 % dans United Fruit/Brands Company. Les responsables de la Drug Enforcement Administration avaient confirmé à l'Executive Intelligence Review qu'United Fruit était une force majeure dans le commerce de la cocaïne en Amérique latine – un commerce qui a explosé à la suite de l'affaire Lindner-Fisher et al. reprendre. Parallèlement à Lindner, Fisher et. Al. s'emparaient de United Fruit, l'AFC de Lindner s'est alliée simultanément à un groupe d'autres entités liées à Lansky pour établir un formidable pool de sociétés imbriquées qui formeraient collectivement le noyau de la tristement célèbre ère des années 1980 des pillards de junk-bonds, présentée dans des livres comme Predators Ball de Connie Bruck ou la « Money Machine : Comment KKR a fabriqué le pouvoir et les profits » de Sarah Bartlett.
Alors que Lindner et Keating forgaient leurs alliances commerciales avec Steinberg, Tisch, Fisher, Riklis et Posner, deux des principaux groupes financiers anglo-américains – JP Morgan et l'empire bancaire et de courtage du baron Edmund de Rothschild, la Banque Lambert de Bruxelles scellaient leur propre alliance. Ces grands banquiers ont transformé la banque d'investissement/maison de courtage relativement petite de Drexel Harriman Ripley, dans les années 1970, en Drexel Burnham Lambert. Le baron Edmund de Rothschild personnifiait l’intersection du monde de la haute finance et du monde souterrain. Entre les années 1950 et 1970, la société genevoise Rothschild avait financé la carrière de Max Fisher ; l'escroc pyramidal Bernie Cornfeld de l'infamie Investors Overseas Services (IOS) ; le pionnier du blanchiment d'argent de la drogue, Robert Vesco ; et le pirate des hedge funds George Soros.
RépondreSupprimerDrexel Burnham, nouvellement construit, a envoyé le négociant en obligations Michael Milken dans son nouveau bureau de Beverly Hills, en Californie, pour ouvrir l'ère des Junk Bonds et des OPA hostiles. En 1979, le président de la Réserve fédérale, Paul Volcker, a commencé à faire monter les taux d'intérêt de plus de 20 %, vidant ainsi le secteur agro-industriel productif américain.
Il faut presque imaginer la campagne de bombardements stratégiques de la Seconde Guerre mondiale pour imaginer les rachats par emprunt et le pillage des usines automobiles, des entreprises sidérurgiques, des fonderies, des ateliers d’usinage et des industries lourdes similaires détruits systématiquement et les anciennes villes et villages prospères transformés en enfers infestés de drogue. L'adoption de la loi Staggers en 1980 et de Garn-St Germain en 1982, ainsi que d'autres mesures de déréglementation, ont transformé l'économie autrefois productive en un désert post-industriel dominé par les sociétés FIRE (Finance Insurance Real Estate) et par le nombre croissant de divertissements. et les drogues utilisées pour maintenir occupée et apaisée la majeure partie de la population dont le niveau de vie était de pire en pire.
À l'âge de 96 ans, Max Fisher est décédé le 3 mars 2005 à son domicile de Franklin, dans la banlieue de Détroit. Sa fortune était estimée à 775 millions de dollars dans le classement annuel du magazine Forbes des 400 individus les plus riches du pays. L’image flatteuse d’un homme d’affaires prospère et d’un philanthrope généreux envers des causes importantes est ce que vous trouvez en ligne sur Wikipédia ou sur d’autres sites Web comme celui de la Société historique juive du Michigan. JHSM « La réussite commerciale et financière n'est qu'une partie de l'impact mondial de Max Fisher. Il croyait fermement que son succès l'obligeait à redonner aux causes qu'il soutenait. Fisher est devenu un géant de la philanthropie. L'éducation, juive et laïque, était une priorité pour sa générosité. Il s’est concentré sur Israël et sur le soutien apporté par la communauté juive américaine. Il est devenu président de l’Appel juif uni, puis de l’Appel uni pour Israël. Il a présidé le conseil d’administration de l’Agence juive pour Israël pendant de nombreuses années, servant de diplomate fantôme entre les gouvernements israélien et américain. En 1977, le président Carter a invité Fisher à assister au premier ministre israélien et au président égyptien à la signature des accords de Camp David.
RépondreSupprimerLes communistes, l’invention des meurtriers de masse impérialistes
Mouvements communistes/maoïstes. L’excuse parfaite pour un bain de sang sans fin. Si quelqu’un se souvient encore du scandale Iran Contra, qui aurait pensé que c’était une bonne idée de financer une guérilla contre les « communistes impies » avec le produit de la vente de drogue fournie par les narcoterroristes, qui permet d’emprisonner un grand nombre des couches les plus pauvres de la population ? la société dans des prisons privatisées qui font également office de camps de travail pour esclaves ?
Bienvenue dans le monde bizarre de la logique de la guerre froide. Le réseau de Cubains entraînés par la CIA pour l'invasion de la Baie des Cochons était sous la supervision de Theodore G. Shackley, devenu célèbre lors du scandale Iran-Contra pour être le chef de « l'équipe secrète » chargée de transporter des armes vers le Nicaragua. Contras dans les avions de la CIA et retour des avions avec des cargaisons de cocaïne du cartel de Medellín. (Voir ceci ) Outre Shackley, « l’équipe » a été constituée par son assistant de longue date Thomas Cline et par le général Richard Secord. Parmi les principaux agents cubains du projet figuraient Rafael Quintero, Felix Rodriguez et Luis Posada Carriles, ancien responsable de la DISIP du Venezuela (l'agence de renseignement et de contre-espionnage créée en 1969).
En 1960, le directeur de la CIA, Allen Dulles, confia à Shackley la responsabilité de l'Opération 40, comme on appelait le plan d'invasion de Cuba, et de mener des opérations de sabotage et d'assassinat avec la collaboration de Meyer Lansky, Santos Trafficante et d'autres, qui contrôlaient la contrebande et la drogue. -trafic dans les Caraïbes. Sous la supervision de Shackley, le nom du plan fut changé en Opération Mongoose, pour laquelle deux bases furent établies, l'une à Miami et l'autre au Guatemala, cette dernière étant mentionnée ci-dessus par Figueres.
En 1965, l'opération Mongoose a été interrompue et Shackley et Cline ont été transférés au Laos. Ted Shackley a été nommé chef adjoint de la station de la CIA au Laos, et Cline son assistant.
RépondreSupprimerIls étaient accompagnés de divers agents cubains qu'ils avaient formés. La même opération a été répétée au Laos : former les locaux aux opérations terroristes et s'associer aux trafiquants de drogue pour financer leurs opérations. À leur arrivée au Laos, ils établissent le contact avec Vang Pao, un trafiquant d'opium, à qui ils apportent un soutien aérien. Regarde ça .
Les concurrents de Pao ont mystérieusement disparu. En 1971, Shackley a été transféré aux États-Unis en tant que chef des opérations dans l’hémisphère occidental. En 1973, il retourne en Asie du Sud-Est en tant que chef de station de la CIA au Vietnam, où il mène entre 1974 et 1975 l'opération Phoenix, dont la mission était d'éliminer toute l'élite administrative du Vietnam pour empêcher son fonctionnement après l'évacuation américaine. Durant cette période, il rejoint Richard Armitage qui était en charge des opérations financières de l'équipe secrète. Entre 1976 et 1979, diverses sociétés et filiales ont été créées pour cacher les opérations de l'équipe secrète. En Suisse, trois ont été créées : Lake Resources, Inc. ; Le Stanford Technology Trading Group, Inc. ; et la plus connue d'entre toutes, la Compagnie de Service Fiduciaire (CSF), fondée par Willard Zucker, également directeur du département juridique d'Investors Overseas Services (lOS) de Bernie Cornfeld et Robert Vesco.
CSF avait une filiale en Amérique centrale : CSF Investments, Ltd. En 1978, ils se sont rendus en Amérique centrale pour commencer leurs opérations, et en 1981, le lieutenant-colonel Oliver North a confié à l'équipe secrète la responsabilité des opérations de soutien aux Contras nicaraguayens.
Les Cubains Rafael Quintero, Felix Rodríguez et l'ancien commissaire du DISIP Luis Posada Carriles ont activement participé à cet effort.
Cuba : Terre du Mal
Étant donné que Cuba occupe une place centrale dans une grande partie du drame dont nous avons discuté, un bref historique pourrait être nécessaire. Depuis le débarquement de Christophe Colomb jusqu'à la guerre hispano-américaine, Cuba était une colonie espagnole.
La franc-maçonnerie a été abolie en 1824, mais des loges secrètes ont néanmoins vu le jour, pour militer en faveur de la fausse « indépendance » de l'île, souvent en connivence avec les francs-maçons basés aux États-Unis, entre autres pour assurer le maintien des institutions de l'esclavage et du libre-échange.
Dans les années 1850, les mouvements Jeune Amérique et Jeune Cuba de Mazzini fomentèrent la révolution sur l'île contre l'Espagne, tout en organisant simultanément l'invasion de mercenaires de New York – les « flibustiers » – qui espéraient prendre le contrôle de l'île et l'annexer à l'Union. comme un État esclavagiste. Un conflit sanglant qui durera 10 ans. La carrière du flibustier William Walker de la Nouvelle-Orléans et des Chevaliers du Cercle d'Or qui formèrent le noyau de ce qui allait devenir la Confédération puis le Ku Klux Klan lors de ses invasions du Mexique et du Nicaragua peut être considérée comme le prélude aux déprédations ultérieures de United Fruit (voir ceci ).
RépondreSupprimerAprès la défaite des Espagnols face aux États-Unis en 1898, Cuba est devenue un protectorat et a obtenu son indépendance en 1902 avec la base de Guantanamo Bay louée aux États-Unis. En 1906, avec l'effondrement du gouvernement, les États-Unis envahirent pour défendre les plantations sucrières et restèrent occupant jusqu'en 1909. En 1912, les États-Unis envahirent pour aider l'UFCo. dans la répression de la révolte afro-cubaine.
En 1917, les États-Unis envahissent à nouveau le pays pour défendre le système des plantations sucrières contre les rebelles de gauche qui contestaient l'élection contestée du président Menocal et restèrent une force d'occupation jusqu'en 1933, date à laquelle ils obtinrent à nouveau l'indépendance grâce à la politique de bon voisinage du président Roosevelt. Avec l'élection de Fulgencio Batista (fils d'un employé de United Fruit) en 1944 et sa dictature militaire en 1952, Cuba devient le siège du crime organisé, notamment Meyer Lansky (président du syndicat du crime pendant 50 ans), Morris « Moe » Dalitz , le chef de la mafia de Cleveland pour le Purple Gang, propriétaire de casinos à Las Vegas et à Miami, et Benjamin « Bugsy » Siegel .
Leur activité : les jeux d’argent, les stupéfiants, le blanchiment d’argent et le tourisme sexuel.
Après que Fidel Castro ait évincé Batista en 1959, le gouvernement cubain adopte une loi pour nationaliser les entreprises américaines en 1960 : la Compagnie cubaine d'électricité, la compagnie de téléphone (ITT), les raffineries de pétrole et 36 raffineries de sucre, d'une valeur approximative de 800 millions de pesos. La foule a également été forcée de quitter l'île et Lansky a mis en place des opérations aux Bahamas avec la complicité des autorités britanniques. Les États-Unis imposent un embargo sur le sucre et restreignent les exportations de tout, sauf de la nourriture et des médicaments.
Après l'invasion avortée de la Baie des Cochons en 1961, Castro appelle les Russes à l'aider à défendre Cuba contre les États-Unis, ce qui conduit à la crise des missiles cubains.
Après 13 jours terrifiants de blocus naval, les Russes retirent leurs missiles nucléaires et les États-Unis retirent leurs armes nucléaires de Turquie. Castro détient le titre de Premier ministre jusqu'en 1976, date à laquelle Cuba devient une dictature à parti unique avec Castro comme seul dirigeant jusqu'à ce que des problèmes de santé le fassent renoncer au pouvoir en 2008. Cependant, contrairement à l'histoire romantique populaire racontée par des communistes désemparés, Castro et le Che n'ont pas dirigé une révolution solitaire dans les montagnes rassemblant lentement à sa cause les Cubains mécontents jusqu'à ce qu'il en sorte victorieux. Comme tout ce dont nous avons parlé, l'histoire est bien plus compliquée que ce qu'on raconte habituellement et nécessite que vous mettiez de côté vos idées préconçues.
RépondreSupprimerComme Batista, le père de Castro travaillait dans une plantation de canne à sucre pour l'UFCo. puis possédait sa propre plantation dans la province de Mayari, lui offrant un niveau de vie de classe moyenne relativement décent. Fidel a fréquenté des écoles jésuites tout au long de sa jeunesse et après avoir obtenu son diplôme en 1946 au Colegio de Belén, à La Havane, le père Amando Llorente a écrit : « Vous pouviez voir ceci… Qu'il devait faire de grandes choses… Qu'il est pour de grandes choses, pas pour des choses ordinaires. .» [Voir l'Annexe A]
En 1947, alors qu'il était étudiant, Castro commença à se radicaliser suite à une tentative de la Ligue des Caraïbes récemment créée de renverser Rafael Trujillo, le dictateur de la République dominicaine. Les membres de la ligue étaient d'anciens communistes comme les Vénézuéliens Carlos Andrés Pérez et Rómulo Betancourt ; Pepe Figueres du Costa Rica ; Carlos Prío Socarrás de Cuba ; et le Péruvien Víctor Raúl Haya de la Torre. Regarde ça . Carlos Prío Socarrás en particulier, tout en utilisant le terme social-démocrate, lorsqu'il fut élu président de Cuba en 1948, donna sa pleine bénédiction à la prise de pouvoir de Meyer Lansky et fut jusqu'à sa mort membre du conseil d'administration de Permindex.
On estime qu'il a dépensé 5 millions de dollars pour financer des opérations terroristes contre Batista et qu'il a donné 250 000 dollars au mouvement de guérilla de Castro. La relation n'a cependant pas duré très longtemps puisque la plupart d'entre eux ont rompu avec Castro après 1961. La Légion des Caraïbes était parrainée à l'époque par des « socialistes du Département d'État » comme Jay Lovestone, David Dubinsky, Serafino Romualdi et Adolf Berle – tous financés par Nelson Rockefeller. L'UFCo./UB a maintenu Figueres comme l'un de ses principaux atouts dans la région au fil des années.
Par exemple, au cours de son deuxième mandat présidentiel au début des années 1970, Figueres a organisé l'achat à l'amiable par le gouvernement des participations d'UFCO au Costa Rica, un accord dont Figueres a largement profité par l'intermédiaire de son gendre, Danilo Jimenez Nevia, qui est devenu actionnaire d'UB. selon des sources diplomatiques centraméricaines fiables. Il convient également de noter que le financier inculpé Robert Vesco a obtenu l'asile et la résidence au Costa Rica pendant cette période – du président Figueres personnellement, en échange de l'investissement de Vesco dans la ferme de Figueres, « La Lucha ». C'est au cours de cette même période que Figueres autorisa également l'ouverture d'une grande ambassade soviétique dotée d'un personnel suffisant à San José, au Costa Rica. Entre-temps, Figueres déclarait à la revue Nouvelle République du 23 avril 1977 :
RépondreSupprimer« J’ai fait tout mon possible pour impliquer les États-Unis et la CIA dans la politique centraméricaine, à une époque où les démocrates spéciaux de la région étaient menacés par les communistes d’un côté et les militaires de l’autre. »
L'APRA du Pérou et Víctor Raúl Haya de la Torre revêtent une importance particulière en raison de la propagation de mouvements terroristes de tendance nominalement communiste à travers l'Amérique centrale et du Sud, dont nous parlerons plus tard.
En 1971, Robert Vesco fuit les États-Unis pour échapper aux accusations de détournement de fonds concernant IOS et s'implante aux Bahamas et au Costa Rica. Il avait une nouvelle mission : diriger la fondation d’un « cartel » de cocaïne, organisant les opérations disparates des trafiquants en une « industrie » intégrée à l’échelle de l’Amérique, opérant dans le cadre d’une production, d’un transport, d’une distribution, d’un financement et d’une protection centralisés.
Les résultats ont transformé l’hémisphère occidental en la plus grande région productrice de drogue au monde, une région saignée par des armées narcoterroristes en maraude. Les reportages médiatiques selon lesquels Vesco aurait rejoint le Colombien Carlos Lehder et le Cubain Fidel Castro dans le commerce de la drogue à un moment donné, inversent la réalité. Dans trois domaines centraux, Vesco a joué un rôle essentiel dans la création des cartels de Medelin et de Cali associés, en tant qu'institutions :
Il a arrêté Lehder, un petit voyou colombien et ancien détenu, lui fournissant la protection politique et le soutien financier dont il avait besoin pour mettre en place le pipeline de transport de cocaïne entre la Colombie et les États-Unis ;
RépondreSupprimerIl a mis en place les premiers systèmes sophistiqués de blanchiment d'argent du cartel ; et
Il a négocié la fourniture d'une protection politique et militaire pour l'expansion des plantations de drogue dans toute la région, par les forces terroristes alignées sur Cuba, protection que continuent aujourd'hui les membres du Forum de Sao Paulo.
« Nouveaux instruments du hasard » Lorsqu'il a fui les États-Unis pour la première fois, Vesco a trouvé une protection assurée dans deux pays des Caraïbes qui avaient longtemps servi de bases d'opérations à la mafia de Meyer Lansky et aux « hommes au-dessus de tout soupçon » qui l'ont déployée : la colonie de la Couronne britannique et centre bancaire offshore des Bahamas (dont le premier ministre, Lynden Pindling, était dans la poche de Lansky) et du Costa Rica. Vesco s'est d'abord rendu aux Bahamas, puis en 1972, il a déménagé au Costa Rica, où il a vécu jusqu'en 1978, sous la protection personnelle du président José « Pepe » Figueres. Depuis qu’il a pris le pouvoir pour la première fois en 1948 au cours d’une ridicule « guérilla » de cinq semaines, Figueres avait dirigé le Costa Rica comme centre de déploiement régional de la Légion des Caraïbes, une machine politique social-démocrate liée à la mafia Lansky et soutenue par les Rockefeller. et les intérêts de J. Peter Grace.
La Légion, utilisant des combattants communistes exilés de la guerre civile espagnole, a entraîné diverses opérations de guérilla au fil des décennies ; son opération la plus célèbre fut son parrainage de l'expédition de retour de Castro à Cuba en 1957 sur le Granma. Figueres a envoyé une lettre en 1972 au président Richard Nixon, rapportant que Vesco « s'est rendu au Costa Rica en vue de nous aider à établir de nouveaux instruments de finance et de développement économique ». Figueres a promu les projets financiers de Vesco, qui comprenaient des projets visant à transformer les Caraïbes et l'Amérique centrale en un « Hong Kong occidental », arguant que cela était vital pour le « développement » régional.
Il a écrit,
« Je suis impressionné par ses idées, son groupe de chefs d'entreprise et l'ampleur des investissements prévus. Il pourrait fournir l’ingrédient qui manquait à nos projets visant à créer, au milieu de l’hémisphère occidental, une pièce maîtresse du développement démocratique.
Lorsqu'un nouveau président costaricain a pris ses fonctions en 1978, il a expulsé Vesco, qui est retourné aux Bahamas, où il avait déjà établi ses opérations. En 1977, Lehder avait commencé à établir un quartier général de transbordement de drogue sur une petite île des Bahamas, Norman Cays, qui appartint plus tard entièrement à Vesco et Lehder. Les associés de Lehder, devenus informateurs du gouvernement, ont rapporté plus tard que Lehder considérait Vesco comme un « génie financier » et leur a dit que Vesco « l'apprenait à utiliser les banques offshore pour blanchir de l'argent », selon le livre Kings of Cocaine , de Guy Gugliotta. et Jeff Léon (1989). Lehder s'est également vanté que c'était Vesco qui l'avait présenté au Premier ministre des Bahamas, Pindling, et à Castro.
RépondreSupprimerLorsque la chaleur des États-Unis l'a poussé à quitter les Bahamas en 1981, Vesco a commencé à se déplacer entre la colonie britannique d'Antigua et le Nicaragua sandiniste.
En 1983, cependant, il s'installe à La Havane, à Cuba. En complément du commerce de la drogue, Vesco a aidé le régime castriste à introduire clandestinement à Cuba des produits de haute technologie interdits par l'embargo américain. Le 4 août 1985, Castro a officialisé la protection accordée par Cuba à l’architecte du cartel. Il a déclaré aux journalistes étrangers : « Est-il juste que le pays où l’on parle tant des droits de l’homme [les États-Unis]… s’en prenne à quelqu’un qui aurait éludé le paiement des impôts ? Il a annoncé qu'il avait dit à Vesco : « Si tu veux vivre ici, vis ici. »
Depuis le début du cartel de Medellin, le rôle le plus crucial de Castro dans la transformation des Amériques en un empire de la drogue n’a pas été le soutien logistique étendu que le cartel a fourni sur l’île de Cuba ni les expéditions autorisées à travers le territoire cubain. Il s’agit plutôt du déploiement cubain du narcoterrorisme, dirigeant les forces terroristes alliées dans d’autres pays ibéro-américains, à la fois pour défendre le trafic de drogue et pour attaquer les forces gouvernementales et politiques cherchant à le réprimer.
Aujourd’hui, malgré leurs protestations, Cuba et ses alliés du Forum de Sao Paulo restent fortement impliqués dans le trafic de drogue. Les exemples les plus connus du narcoterrorisme allié à Cuba dans les années 1980 sont le M-19 de Colombie et les sandinistes du Nicaragua. L'alliance de Lehder avec le M-19 a été publiquement saluée par Lehder et les dirigeants du M-19. Le coup le plus dévastateur porté par le M19 au trafic de drogue a été la saisie et la destruction du palais de justice de Colombie en 1985 et le meurtre de 12 membres de la Cour suprême qui en ont résulté.
De même, les sandinistes nicaraguayens, dont la « révolution » de 1978-79 a été financée en partie par Pepe Figueres, partenaire de Vesco, ont été impliqués dès le début dans le trafic de drogue. Vesco était un visiteur fréquent au Nicaragua tout au long des années 1980 ; Des sources gouvernementales américaines ont identifié Vesco comme étant le patron de Federico Vaughn, l'ancien vice-ministre de l'Intérieur filmé par des agents infiltrés de la DEA en 1984 en train de charger de la cocaïne dans un avion en attente sur une base aérienne militaire du Nicaragua. Son arrestation en 1995 pour fraude impliquant le frère de Castro, Raul, et le fils de Richard Nixon, Robert, au sujet d'une expérience en laboratoire visant à enquêter sur un traitement anticancéreux, l'a mis en prison jusqu'à son décès en 2007, bien que son associé, « l'ancien » agent de la CIA Frank Terpil, affirme qu'il s'est échappé. en Sierra Leone en Afrique. (Voir ceci et ceci )
RépondreSupprimerLa raison pour laquelle Lansky et Vesco préfèrent utiliser les Bahamas est liée aux 300 ans d'histoire criminelle qui unissent tous les différents volets du blanchiment d'argent et du trafic de drogue, révélant comment les Britanniques orchestrent ce commerce. Son histoire pourrait se répéter pour chacun des autres centres financiers offshore britanniques exotiques. En 1973, les Bahamas ont obtenu une indépendance nominale. Même si le pays élit un Premier ministre, le roi Charles est le chef de l'État des îles, et la décision du Conseil privé du roi est définitive pour toutes les questions juridiques. La population est appauvrie, tandis que les banques et le tourisme constituent une part importante de l'économie fragile des Bahamas. Les Bahamas ont une double fonction : elles sont à la fois un point de dépôt et de transbordement de drogue et un centre de blanchiment de l'argent de la drogue. Les Bahamas sont un archipel de 700 îles dont la plus proche se trouve à 50 miles de la Floride.
Puisque seulement 40 des 700 îles sont peuplées, les autres constituent de parfaits points de dépôt pour la drogue. Au cours des années 1980, selon les rapports de la Drug Enforcement Administration des États-Unis, jusqu'à 75 % des drogues arrivant aux États-Unis en provenance d'Amérique latine passaient d'abord par les Bahamas. Les autorités américaines, craignant le flux de drogue vers les États-Unis, ont contraint les Bahamas à prendre des mesures pour réduire le flux de drogue.
Le Financial Times de Londres du 7 juin 1996 rapportait : « On estime que pas plus de 10 à 15 % des expéditions de drogues illégales vers les États-Unis transitent désormais par les îles. » C’est peut-être une sous-estimation, et le Financial Times admet que le flux de drogue augmente, maintenant que les radars américains destinés à surveiller le trafic de drogue ont été supprimés à Grand Bahamas, Exuma et Great Inagua, dans un souci d’économie.
Cela fait partie du profil historique des Bahamas. Pendant la guerre d'indépendance américaine (1775-1783) et la guerre de 1812, lorsque la Grande-Bretagne envahit l'Amérique, les Britanniques utilisèrent leur colonie des Bahamas comme base pour leurs assauts navals contre les États-Unis. Pour cette raison, en 1776, les révolutionnaires américains occupèrent les Bahamas. Après la guerre d'indépendance, les sympathisants conservateurs ont fui vers les Bahamas et sont devenus partie intégrante de l'establishment. Pendant le soulèvement confédéré de la guerre civile américaine, soutenu par les Britanniques, les Britanniques ont utilisé les Bahamas comme base pour faire traverser aux navires le blocus maritime imposé par le Nord contre le Sud. Un voyage de blocus réussi pourrait rapporter 300 000 $.
RépondreSupprimerPendant la Seconde Guerre mondiale, le duc de Windsor, Édouard VIII, pro-nazi, fut exilé aux Bahamas, mais fut placé au poste très important de gouverneur général des Bahamas. Pendant ce temps, le duc a utilisé Axel Wenner-Gren, l'eugéniste suédois et agent nazi, pour blanchir de l'argent au Mexique. Dans les années 1960, le parrain du crime organisé, Meyer Lansky, a construit le casino Resorts International sur Paradise Island (où se trouve le manoir d'Axel Wenner-Gren) pour en faire un centre international de blanchiment d'argent. Les banques canadiennes qui blanchissent de l'argent dominent la scène bancaire des Bahamas, se cachant derrière le secret bancaire des Bahamas et les lois bancaires canadiennes laxistes pour abriter l'argent de la drogue. Dans la Gazette de Montréal du 24 décembre 1985, dans un article intitulé « Comment les banques canadiennes sont utilisées pour « blanchir » des millions de stupéfiants », William Marsden écrivait que l'argent de la drogue est « acheminé vers les banques canadiennes [à Nassau, Bahamas] en énormes piles. de petits billets, parfois des millions de dollars, fourrés à la fois dans des valises, des sacs polochons, des sacs en papier et des boîtes par des trafiquants de stupéfiants. . . Des chauffeurs de confiance et des agents de sécurité veillent à ce que leur argent arrive en toute sécurité dans les banques. Et une fois l'argent déposé, les lois qui interdisent aux banquiers bahamiens de divulguer les documents bancaires garantissent qu'il est à l'abri des enquêtes menées par les stupéfiants et les agents fiscaux étrangers. . .»
Les banques canadiennes, qui gèrent 80 % des activités bancaires aux Bahamas, sont devenues des instruments clés dans le « blanchiment » d'argent illicite – ce qui lui confère un historique clair – pour les passeurs qui cachent des centaines de millions de dollars aux agents de stupéfiants américains et canadiens. « En acceptant ces énormes dépôts en espèces, ce qui n'est pas illégal, les banques canadiennes facilitent les activités criminelles. . .» Au cours des quatre dernières années, la Banque de Nouvelle-Écosse a fait obstacle à deux reprises aux enquêtes américaines en refusant de remettre les dossiers bancaires des trafiquants de drogue à un grand jury [américain]. La banque a finalement cédé après avoir payé près de 2 millions de dollars d’amende.» Sous la pression des États-Unis, le système bancaire des Bahamas a modifié ses pratiques d'acceptation de l'argent, mais au cours de la dernière décennie, le volume de l'argent blanchi de la drogue a augmenté. Regarde ça .
RépondreSupprimerLes centres de blanchiment d'argent britanniques et néerlandais des Caraïbes
Lorsque nous atteignons les années 1980 et au-delà, nous entrons désormais dans l’ère de la mondialisation et du tueur à gages économique. Le président Nixon, sous la direction de Milton Friedman, George Shultz et Henry Kissinger, met fin au système de taux de change fixe avec réserve d'or du système monétaire de Bretton Woods d'après la Seconde Guerre mondiale en 1973. Avec la fluctuation des monnaies, cela devient un jeu d'enfant pour les financiers internationaux. comme George Soros pour utiliser de grandes sommes d'argent provenant de centres britanniques de blanchiment d'argent offshore pour spéculer sur les devises, en combinaison avec les pressions des agences de prêt internationales comme le Fonds monétaire international, le FMI et la Banque mondiale pour amener les gouvernements à dévaluer leur monnaie, à privatiser les services et à vendre leurs monnaies nationales. actifs.
Comme John Perkins l'a rappelé dans son exposé « Confessions d'un tueur à gages économique », les maîtres de la dette mondiale emploient des « tueurs à gages économiques », comme lui, pour piéger les nations ciblées dans la faillite, puis les forcer à restituer leur patrimoine national de matières premières. richesse et force de travail. Lorsqu’un chef d’État nationaliste particulier résiste, les maîtres de la dette font ensuite appel aux « chacals », aux assassins professionnels, pour organiser un « accident » d’avion ou une autre « tragédie » commode afin d’éliminer le dirigeant égaré et de le notifier. ses successeurs qu'un tel comportement ne doit pas être toléré.
Dans les cas extrêmement rares où les chacals échouent dans leur mission, des prétextes sont trouvés et des guerres impériales de conquête comme l’invasion du Panama en 1989 et les invasions de l’Irak en 1991 et 2003 ont lieu. Dans les prochains chapitres, nous passerons en revue les exemples de chacun des pays répertoriés comme sources d'une grande partie de l'immigration/des migrants arrivant aux États-Unis et le rôle que le Fonds monétaire international et le narco-terrorisme lié aux communistes/maoïstes ont joué. joué dans le désastre total du raz-de-marée humain qui a frappé les États-Unis, dû uniquement à l’apathie et au mépris des effets que la politique américaine a sur les autres peuples.
RépondreSupprimerCependant, avec l'emprisonnement massif des gangs narcoterroristes au Nicaragua, l'approbation explicite du New Deal de Franklin Roosevelt par le président mexicain Manuel Lopez Obrador et Daniel Ortega interdisant aux jésuites d'entrer au Nicaragua (voir ceci et ceci ), il y a des signes de vie dans en plus du nombre croissant de pays décidant de participer aux politiques de développement international des pays BRICS. (Voir ce BRICS au Nicaragua )
https://www.globalresearch.ca/ghost-united-fruit-still-haunts-latin-america/5848936
Les BRICS sous la présidence russe : vers une architecture mondiale émergente ?
RépondreSupprimerPar Kester Kenn Klomegah
Recherche mondiale,
9 février 2024
Une association de cinq économies émergentes communément appelées BRICS sous la présidence russe (2024) a commencé ses travaux avec la première réunion des Sherpas/Sous-Sherpas, tenue du 30 janvier au 1er février, avec la participation de nouveaux pays – l'Éthiopie, l'Égypte, Iran, Émirats arabes unis et Arabie saoudite. La réunion a sans réserve noté les contributions substantielles à l'élaboration de l'agenda 2024 et du plan global d'activités prévues dans la Fédération de Russie.
Durant sa présidence des BRICS, la Russie fera de son mieux pour trouver des solutions aux problèmes économiques, politiques et humanitaires, afin de renforcer les consensus et les approches communs avec les pays partenaires.
Au cours de la réunion, présidée par Sergueï A. Ryabkov , vice-ministre des Affaires étrangères et sherpa russe des BRICS, les priorités de l'association ont été définies.
Les représentants des ministères et départements russes ont donné des exposés détaillés sur les principaux domaines de coopération. L'importance de la mise en œuvre d'un certain nombre d'initiatives russes a été soulignée, notamment le lancement d'un système intégré de réponse rapide aux risques de maladies infectieuses de masse, la création d'un centre de compétences industrielles basé sur l'ONUDI, l'Association médicale des BRICS et une revue spécialisée. et le renforcement de la coopération dans le domaine des transports et du tourisme.
Dans le cadre de la mise en œuvre des instructions des dirigeants des pays BRICS suite aux résultats du XVe sommet de l'association (Johannesburg, 22-24 août 2023), les discussions se sont poursuivies sur les modalités de la catégorie des États partenaires des BRICS, ainsi que ainsi que l'augmentation du rôle des monnaies nationales et des instruments de paiement dans les transactions transfrontalières des « dix » pays.
Tous les participants à la réunion ont confirmé leur concentration sur la poursuite du travail constructif dans les trois « paniers » du partenariat stratégique des BRICS : dans le domaine de la politique et de la sécurité, de l'économie et des finances, de la culture et des liens humanitaires.
Il a été souligné qu'il était temps de relever des défis extraordinaires et d'orienter l'association vers la création d'un monde plus juste et interactif. Une analyse rapide montre que la situation actuelle est en proie à de nouveaux conflits et à des menaces sans précédent qui mettent en danger la poursuite du développement durable. Mais de manière consciencieuse, les BRICS sont prêts à gérer les tâches et priorités collectives, la situation fragile en Ukraine, la catastrophe humaine découlant de l’horrible guerre israélienne contre la Palestine et son impact sur le Moyen-Orient et la Méditerranée.
Dans le même temps, l’Ukraine est apparue dans les discussions. Il a été souligné que la Russie accorde une grande attention et respecte les initiatives avancées par les pays BRICS concernant le règlement de la situation en Ukraine. Cela inclut l'initiative brésilienne, les propositions de la République populaire de Chine et le rôle exceptionnel de la République d'Afrique du Sud dans la discussion et la promotion d'approches en vue d'un éventuel règlement de paix.
RépondreSupprimerEn outre, les BRICS ciblent également un travail et des opportunités axés sur les résultats dans les pays en développement, en particulier ceux du Sud. Ses précieuses plateformes sont disponibles pour garantir des réponses cohérentes et durables aux défis, ainsi que pour favoriser la coopération et renouveler les partenariats multidimensionnels, par exemple avec l’Afrique.
Malgré des dizaines de demandes d'adhésion, les BRICS n'ont ajouté que cinq nouveaux membres le 1er janvier 2024. Sans surprise, l'Argentine a décliné son invitation, invoquant son droit souverain de prendre une décision finale basée sur des problèmes intérieurs et des ressources internes limitées. À l'heure actuelle, l'Algérie, Bahreïn, le Bangladesh, la Biélorussie, la Bolivie, Cuba, le Honduras, l'Indonésie, le Kazakhstan, le Koweït, le Maroc, le Nigeria, le Pakistan, la Palestine, le Sénégal, la Thaïlande, le Venezuela et le Vietnam attendent tous une invitation à rejoindre les BRICS après avoir déposé une demande officielle. demande d'adhésion.
Au cours de ces trois jours (30 janvier – 1er février), la réunion a tenu dix séances de travail, au cours desquelles des représentants des ministères et départements russes, des milieux économiques et universitaires ont présenté des informations détaillées sur les domaines clés de la coopération au sein des BRICS et les initiatives de la présidence russe. dans l'association. Les partenaires des BRICS ont assuré leur soutien aux projets de présidence et leur volonté de travailler vigoureusement ensemble cette année.
Des discussions fructueuses et constructives ont eu lieu sur un certain nombre de questions urgentes dans les domaines du commerce et de l'investissement, des transports et de l'énergie, de la technologie et de l'innovation, ainsi que du développement durable. Ils ont échangé des points de vue sur le renforcement de la coopération dans les domaines de l'éducation, de la santé et du sport et ont confirmé leur attachement au maintien et à l'approfondissement des liens entre les entreprises et les experts.
Cette année, les membres travailleront à la mise en œuvre de la stratégie de partenariat économique des BRICS jusqu'en 2025, notamment en renforçant les chaînes d'approvisionnement, en développant l'économie numérique, en soutenant les petites et moyennes entreprises, en stimulant les flux touristiques et l'interaction dans le domaine des transports. Ils visent à lancer le Groupe de contact des BRICS sur le climat et le développement durable, initié par la partie russe.
RépondreSupprimerIl a noté le grand potentiel de coopération entre les pays BRICS dans le domaine de la santé et espère que cette année, les travaux pratiques du système intégré d'alerte précoce sur les risques de maladies infectieuses massives seront lancés. La réunion prévoit de faciliter la connexion de nouveaux pays au Centre de recherche sur les vaccins des BRICS. Il a également été proposé de créer une association médicale et une revue spécialisée des BRICS. Ils se félicitent du début du fonctionnement du groupe de travail sur la médecine nucléaire.
Sous la présidence de la Russie, les BRICS continueront également à se concentrer sur le renforcement de la coopération dans les domaines de la lutte contre le terrorisme, la corruption et la drogue, ainsi que dans le domaine de la sécurité internationale de l'information, et continueront à coordonner les approches des pays BRICS pour résoudre les problèmes de politique étrangère clés. questions politiques, y compris sur des plateformes internationales telles que l’ONU, le G20 et l’OMC.
Ils considèrent également qu'il est important de renforcer les liens humanitaires entre nos peuples, les contacts entre les gens ordinaires et d'élargir les possibilités d'enrichissement mutuel des pays membres de l'association.
L’association des BRICS constate un intérêt croissant de la part d’États amis partageant les mêmes idées partout dans le monde pour le développement de la coopération avec les BRICS. Ils sont impressionnés par les principes fondamentaux sur lesquels repose l'interaction : le respect du droit international, le respect des intérêts de chacun et le droit de chaque État à choisir souverainement sa voie de développement. Répondant au désir d'un large éventail de pays de renforcer leurs liens avec les BRICS, l'association a commencé à élaborer des modalités pour la catégorie des États partenaires de l'association. Il est également envisagé d'utiliser activement les mécanismes de sensibilisation/BRICS et de dialogue pour interagir avec les pays tiers afin d'apporter des contributions significatives à l'obtention de résultats pratiques dans tous les domaines du partenariat stratégique.
Nouveaux arrivants chez les BRICS
RépondreSupprimerLes BRICS ont accueilli de nouveaux venus, notamment l'Éthiopie, l'Égypte, l'Iran, les Émirats arabes unis et l'Arabie saoudite . Sur la base de la décision prise par les dirigeants des BRICS à Johannesburg, ils sont officiellement devenus membres à part entière à partir de janvier 2024. L'Égypte espère que la présidence russe des BRICS relèvera les défis de dans le domaine de la sécurité alimentaire et énergétique, a déclaré Ragui al-Etrebi, vice-ministre égyptien des Affaires étrangères et chef de la délégation du pays auprès des BRICS, lors de la réunion.
«Nous sommes parfaitement conscients du fait que l'intégration progressive et l'adhésion totale de nouveaux membres aux travaux des BRICS constituent un défi de taille. Cependant, nous sommes convaincus que sous une direction compétente, tout sera géré pour résoudre avec succès chacun de ces défis », a déclaré le responsable.
Il a en outre abordé d'autres questions importantes telles que les finances, l'approfondissement de la coopération dans des domaines tels que l'investissement et le commerce, la transformation industrielle, l'utilisation des TIC [technologies de l'information et des communications] dans l'intérêt du développement, la stimulation du transport maritime, la logistique, ainsi que la recherche de solutions. des problèmes de manque de sécurité alimentaire et énergétique.
Téhéran s'attend à ce que le passage aux paiements en monnaies nationales au sein des BRICS s'accentue pendant la présidence russe, a déclaré le vice-ministre iranien des Affaires étrangères chargé des questions économiques, a déclaré Mehdi Safari, le sherpa des BRICS de la république, lors de la réunion. Cela était lié aux moyens d'utiliser plus activement les monnaies nationales et locales et les outils de paiement dans les transactions transfrontalières afin de réduire les effets secondaires négatifs du système économique mondial actuel dominé par le dollar.
La partie iranienne prévoit de participer activement aux événements des BRICS cette année, a ajouté le diplomate.
"Nous sommes également prêts à travailler sur toutes les solutions et documents nécessaires pour le 16e sommet des BRICS à Kazan en octobre", a-t-il noté. "En ce qui concerne 2024, nous espérons que les orientations économiques et financières de la coopération, en particulier les questions du secteur bancaire, des instruments de paiement, de l'annulation des monnaies transnationales et de l'utilisation des monnaies nationales, seront résolues."
Les réflexions de Lavrov lors de la réunion des BRICS
RépondreSupprimerLe ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, lors d'une réunion des sherpas et sous-sherpas des BRICS le 31 janvier, a également exposé les paramètres de l'ordre du jour – liés aux processus objectifs en cours et à la profonde transformation de l'architecture internationale. Cela relie également la notion actuelle de multilatéralisme et le slogan populaire de l’inclusion destinée à changer la politique, la sécurité et l’économie mondiales.
«Washington et ses satellites européens dépensent des sommes considérables pour contenir la Russie, ce qui contraste fortement avec l'approche des capitales occidentales à l'égard du Sud, en particulier des pays africains. Il existe des cas où le soutien à l'Ukraine est financé par la suspension de projets en Afrique et au Moyen-Orient», a déclaré Lavrov.
Néanmoins, la majorité mondiale – les États d’Eurasie, de la région Asie-Pacifique, du Moyen-Orient, d’Afrique, d’Amérique latine et des Caraïbes – prend pied plus fermement dans le système mondial. La plupart de ces pays affirment de plus en plus leurs intérêts et leur identité nationales et s’efforcent d’obtenir une véritable indépendance stratégique par des voies pragmatiques.
En principe, la présidence russe des BRICS vise à « renforcer le multilatéralisme pour un développement et une sécurité mondiaux équitables » – et les BRICS sont une association avec des principes mutuels pour le Sud et l'Est du monde. Ses principes fondamentaux reposent sur le respect mutuel, le choix souverain de la voie de développement et la mise en œuvre du principe fondamental de la Charte des Nations Unies, à savoir l'égalité souveraine des États.
Lavrov a parlé de l'impact visible de la situation géopolitique turbulente, des tendances clés de la formation d'un monde multipolaire, a souligné l'impact croissant du facteur culturel et civilisationnel sur la politique mondiale et l'importance de faciliter divers mécanismes de coopération qui résisteraient aux actions destructrices de pays hostiles. Il a également souligné la création réussie de la Nouvelle Banque de Développement (NDB) et du Centre de recherche et de développement de vaccins des BRICS.
Centre de R&D sur les vaccins des BRICS
En mars 2022, les BRICS ont fait un autre grand pas en avant, peut-être sous l’impulsion de la pandémie de Covid-19 qui s’est propagée à travers le monde, pour enfin lancer le centre de R&D sur les vaccins des BRICS, fortement soutenu par la Chine. Sous la direction de la Russie, ils ont d’abord proposé la coopération dans la lutte contre les maladies infectieuses comme une priorité pour les BRICS. La déclaration commune finale du sommet des BRICS de 2015 à Oufa, en Russie, contient des instructions données par les dirigeants pour qu'ils travaillent de manière cohérente à la gestion du risque d'épidémie.
« Nous sommes préoccupés par les menaces mondiales croissantes et diversifiées posées par les maladies transmissibles et non transmissibles. Cela a un impact négatif sur le développement économique et social, en particulier dans les pays en développement et les pays les moins avancés », indique la déclaration des BRICS de 2015.
RépondreSupprimerAu sein du groupe, la Chine et l'Inde sont prêtes à partager des informations et des expériences avec les membres des BRICS, à mener des recherches conjointes et à développer des médicaments et des vaccins sur la base du respect de la souveraineté et des conditions nationales de chacun. Plus tard, pendant la présidence tournante de l'Afrique du Sud, il a fermement proposé à nouveau la création d'un centre de coordination de recherche et de développement à grande échelle et prévu de l'implanter à Johannesburg, en Afrique du Sud.
Néanmoins, aucune réalisation pratique n’a été enregistrée dans ce sens. Mais alors que la Chine a pris la tête des BRICS, à compter de janvier 2022, les experts et les analystes de recherche ont depuis manifesté un profond intérêt. Enfin, le 22 mars a marqué le lancement du Centre de recherche et de développement de vaccins des BRICS, auquel participent les chefs des agences compétentes des cinq pays. L'initiative visant à créer le centre de recherche et développement sur les vaccins des BRICS, comme indiqué précédemment, a été intégrée dans la déclaration finale du sommet des BRICS à Johannesburg, en Afrique du Sud (26 et 27 juillet 2018).
Il a rassemblé des instituts de recherche et des entreprises de premier plan dans les États membres – la Fondation Oswaldo Cruz (Brésil), l'Institut de recherche sur la grippe Anatoly Smorodintsev (Russie), le Conseil indien de la recherche médicale (Inde), la société Sinovac Life Sciences (Chine). ) et le Conseil sud-africain de la recherche médicale (Afrique du Sud).
L'objectif principal est de partager les meilleures pratiques et de renforcer la coopération pratique dans la recherche, le développement, la production et la distribution de vaccins afin d'assurer leur plus grande disponibilité, étant donné que les pays BRICS représentent 40 % de la population mondiale et que le potentiel de recherche est au plus haut niveau. Il permet de réagir rapidement aux menaces biologiques, de coordonner les efforts de contrôle des maladies infectieuses et d'assurer la protection de la population.
Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Wang Wenbin , a expliqué, lors de son point de presse régulier du 23 mars, que le centre de R&D sur les vaccins des BRICS et l'atelier sur la coopération en matière de vaccins seraient un réseau de centres virtuels basés sur Internet, et que la création de centres physiques ne commencerait qu'après une analyse approfondie. évaluation de la faisabilité.
La création du Centre de R&D sur les vaccins des BRICS a démontré la détermination des pays des BRICS à se concentrer sur la coopération en matière de vaccins, à approfondir la coopération en matière de santé publique et à promouvoir la coopération en matière de santé publique, scientifique et technologique entre les pays des BRICS. C'était la première initiative russe visant à établir le système intégré d'alerte précoce des BRICS pour prévenir les risques massifs de maladies infectieuses, mais le Centre a été créé sous la présidence chinoise des BRICS.
Nouvelle banque de développement des BRICS
RépondreSupprimerLa Nouvelle Banque de Développement (NDB), créée par les pays BRICS, travaille de manière proactive sur les questions financières concernant les projets dans les pays membres. L'accord sur la création de la nouvelle banque de développement des BRICS a été conclu le 15 juillet 2014 à Fortaleza, au Brésil. Le capital de départ de la banque a été fixé à 100 milliards de dollars. La banque dont le siège est à Shanghai a été créée pour financer des projets d'infrastructure et des projets de développement durable des BRICS et d'autres pays en développement.
Au fil des ans, la banque a approuvé plus de 100 projets pour un total de plus de 33 milliards de dollars dans des domaines tels que les transports, l'approvisionnement en eau, l'énergie propre, les infrastructures numériques et sociales et la construction urbaine. En 2021, la NDB a commencé à élargir son nombre de membres et a admis le Bangladesh, l’Égypte, les Émirats arabes unis et l’Uruguay comme nouveaux pays membres. Elle possède le deuxième bureau de représentation en Afrique du Sud.
En tant qu'association, elle suit les mêmes tendances mais à l'échelle mondiale. Les BRICS représentent un réseau de coopération pour les processus régionaux et sous-régionaux en Asie, en Afrique et en Amérique latine. L’association des BRICS affiche un PIB global, en termes de parité de pouvoir d’achat, qui atteint environ un tiers de la valeur mondiale et dépasse celui des pays du G7. Les BRICS représentent 30 % des terres arides et 45 % de la population mondiale, une part substantielle de la production mondiale de pétrole et d'autres ressources, et environ 25 % des exportations mondiales. En un mot, l’association a désormais la capacité d’élaborer un programme mondial en défendant systématiquement les intérêts de la majorité mondiale.
https://www.globalresearch.ca/brics-driving-emerging-new-global-architecture/5849084
BonSens.org alerte les députés sur les excès liberticides du projet de loi sur les dérives sectaires.
RépondreSupprimerle 09 février 2024 - 18:17
Dans une lettre aux députés intitulée « projet de loi sur les dérives sectaires », l’association BonSens.org alerte la représentation nationale sur les clauses inacceptables pour la démocratie, les libertés fondamentales, la liberté d’expression qui vont des débats scientifiques à la liberté d’expression des scientifiques et médecins et la protection des lanceurs d’alerte.
Le courrier a été envoyé ce 9 février 2024 aux présidents de groupes de l’Assemblée Nationale ainsi qu’aux non inscrits et par mail à chaque député français afin qu'ils prennent conscience de cette situation critique. A savoir le fait que la commission des lois a trouvé bon de restaurer des "ces articles qui n’ont trouvé droit de cité que dans les pires dictatures."
"Avec ce projet de loi que vous vous préparez à voter, et notamment les articles 4 et 5, ces alertes médicales et scientifiques ne pourraient plus être lancées sous peine de risque d’emprisonnement et d’amendes pour qui s’y risquerait."
Le courrier en entier est reproduit ci-après.
Madame la Députée, Monsieur le Député
L’heure est très grave pour notre démocratie, nos libertés fondamentales, la liberté des débats scientifiques, la liberté de s’exprimer des médecins et des scientifiques, et la protection des lanceurs d’alerte.
Vous allez devoir voter prochainement un projet de loi [1] visant à « renforcer la lutte contre les dérives sectaires ». Dans ce texte de loi, pourtant récemment expurgé par le Sénat de trois articles dangereux pour notre vie républicaine et démocratique, notamment l’article 4 et 5, visant à instaurer des nouveaux délits dans le Code Pénal, la commission des lois a jugé bon de restaurer ces articles qui n’ont trouvé droit de cité que dans les pires dictatures.
Si vous n’êtes pas convaincus du danger que représentent ces articles 4 et 5 il faut vous rappeler que l’histoire récente a révélé, grâce à un presse libre et des lanceurs d’alertes courageux, de nombreux scandales sanitaires où les autorités elles-mêmes ont été condamnées. Voici deux exemples assez récents que vous n’avez certainement pas encore oubliés.
Dans l’affaire du MEDIATOR des laboratoires SERVIER [2] , médicament commercialisé pendant 33 ans de 1976 à 2009, accusé d’avoir causé la mort de 1 500 à 2 100 personnes en France, sans compter celles souffrant encore des conséquences des effets secondaires.
RépondreSupprimerLa Lanceuse d’alerte de l’époque, était la pneumologue IRÈNE FRACHON.
Les CONDAMNATIONS ont été prononcés en 2021, (et en 2023 après appel du Groupe Servier)
Le Groupe Serviera été reconnu coupable de mise en danger de la santé, escroquerie, homicides et blessures involontaires, trafic d’influence et d’obtention indue de mise sur le marché et condamné à hauteur de 180 millions d’euros versés aux victimes et 415 millions d’euros aux organismes sociaux/ Mutuelles
L’ANSMa été condamnée pour négligences à 303 000 euros d’amende. (à l’époque Afssaps pour Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé)
Dans l’affaire du LEVOTHYROX [3] , le changement de formule du médicament en 2017 par Merck avait entrainé de nombreuses déclarations d’effets indésirables en pharmacovigilance et des victimes avaient porté plainte. L’ANSM avait assuré que les effets indésirables étaient dus à un déséquilibre thyroïdien causé par le changement de traitement et pas à la nouvelle formule. Pourtant en mars 2018, une enquête au pénal était ouverte. Des chercheurs de l’Université de Toulouse concluaient que la nouvelle formule ne présentait pas de garanties suffisantes pour les patients. Merck était condamnée en 2020 pour avoir commis une faute lors du changement de formule et a dû verser 3,3 millions d’euros aux plaignants.
Fin 2022, Merck a été mis en examen pour tromperie aggravée et l’ANSM a également été mise en examen pour tromperie.
Il y a également eu les affaires du sang contaminé, de la Dépakine, du Distilbène, des hormones de croissance, de l’Isoméride, du Vioxx, du Thalidomide que les français ont en mémoire.
Avec ce projet de loi que vous vous préparez à voter, et notamment les articles 4 et 5, ces alertes médicales et scientifiques ne pourraient plus être lancées sous peine de risque d’emprisonnement et d’amendes pour qui s’y risquerait.
Il est critique que vous preniez conscience de cela.
Même le Conseil d’État s’est prononcé contre ces dispositions.
RépondreSupprimerDans un avis du 9 novembre 2023 [4], le CONSEIL D’ÉTAT avait estimé que les faits ciblés étaient déjà couverts par la répression de l’exercice illégal de la médecine. Selon cet avis, la mesure pourrait porter atteinte à la liberté d’expression, quand elle s’exerce au travers d’ « un discours général et impersonnel, par exemple tenu sur un blog ou un réseau social » et remettre en cause, « par une incrimination de contestations de l’état actuel des pratiques thérapeutiques, la liberté des débats scientifiques et le rôle des lanceurs d’alerte« .
Ce qui est vrai un jour en science, ne l’est pas toujours le lendemain, et c’est ainsi depuis que le monde est monde car la science est en perpétuelle évolution par les nouvelles données qui émergent.
La critique constructive et la remise en question des informations sont des aspects essentiels du processus scientifique, et cela doit être fait de manière transparente et respectueuse. Un consensus scientifique n’a de valeur que sur une période limitée et que s’il prend en compte des opinions divergentes La science est un débat permanent, étouffer ce débat au nom d’un faux consensus revient à tuer à la fois tout progrès ou tout mécanisme correctif. C’est le pluralisme des idées – et non la censure – qui nous fait progresser.
Face à l’influence anormale et souvent illégale (pratiques connues de corruption et prise d’intérêt) des laboratoires pharmaceutiques dans les décisions de Santé Publique, il est essentiel de préserver le garde-fou qu’est la liberté d’expression sur ces questions de santé, et notamment pour les médecins, les scientifiques, et les associations de défense des citoyens ou les associations de victimes d’effets indésirables des médicaments.
Par exemple, parce que les autorisations de mise sur le marché des vaccins Covid-19 l’ont été uniquement sur la base d’essais cliniques menés par les fabricants de vaccins eux-mêmes, qu’aucune étude clinique randomisée n’avait été réalisée de manière indépendante, alors nous assistons à un échec retentissant mettant à mal la parole publique, changeant de discours au gré des nouvelles données. Malheureusement aujourd’hui la vaccination classique souffre de ces erreurs, de ces annonces erronées par les autorités sanitaires qui se sont décrédibilisées.
Rappelez-vous, dans la crise Covid-19 que nous avons traversée, le discours des autorités sanitaires a évolué de : « Tous vaccinés, Tous protégés » avec des vaccins « sûrs et efficaces » avec 95% d’efficacité vers un discours où les vaccins finalement ne protégeaient pas de l’infection, mais seulement des formes graves et, enfin plusieurs mois après le début des vaccinations, des effets indésirables graves reconnus de myocardites et péricardites surtout chez les jeunes hommes, population non à risque qui n’avait pas besoin d’être vaccinée et à qui on a fait courir un risque inutile d’une maladie chronique potentiellement d’évolution très grave, ou des troubles menstruels hémorragiques (reconnus tardivement par les autorités de santé) nécessitant potentiellement des hospitalisations chez des jeunes femmes dont à cette heure il n’y a aucune certitude sur l’impact que cela a pu avoir sur leur fertilité.
RépondreSupprimerRappelez-vous, il y a même eu abandon de certains vaccins (AstraZeneca, Johnson et Johnson) pour les moins de 55 ans à cause de risques très graves de thromboses, dont le décès du jeune Anthony Rio, 24 ans, qui a été reconnu lié à la vaccination [5]. Sans les alertes de médecins, scientifiques, associations de victimes, combien de morts ces vaccins auraient pu provoquer chez les jeunes ?
Dans l’Histoire c’est toujours ainsi que les scandales sanitaires ont été mis à jour : par la parole libre des médecins, des scientifiques, des citoyens, des associations de victimes, associations de citoyens, qui se battent, des mois ou même des années durant, avant que les autorités sanitaires ne réagissent ou que la justice ne puisse se prononcer.
Avez-vous pensé cette loi d’un point de vue international ? Savez-vous que des traitements contre certaines pathologies sont autorisés dans certains pays ( Covid19 [6] [7], Cancer [8] [9], Maladie de Lyme [10] etc) et pas dans d’autres comme la France ? Que penser des autorités sanitaires de ces pays ? Que ce sont des sectes ? Juste parce que leurs protocoles nationaux sont différents de ceux décidés en France par l’ANSM et la HAS9 ? Voyez-vous le non-sens de cette loi ?
Et enfin avez-vous pensé à la Recherche scientifique française ?
Lorsque l’article 4 du projet annonce « Lorsque ces délits sont commis par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle, les dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables en ce qui concerne la détermination des personnes responsables. », mais qu’en est-il de la presse et des médias étrangers ?
Juridiquement les scientifiques français qui publieront dans un journal étranger pourront-ils être passibles de poursuites selon le contenu de leur étude ou leur prise de position scientifique ?
L’article 4 de ce projet de loi [11] empêcherait les scientifiques français de publier leurs travaux, y compris dans des revues scientifiques françaises et internationales, et cela serait un risque majeur pour la crédibilité de la recherche française.
Certes l’Ordre des médecins n’y a pas pensé car il ne fait pas de recherche scientifique, mais VOUS, vous devez y penser et empêcher cela.
RépondreSupprimerIl est essentiel de voter contre les articles 4 et 5 du projet de loi contre « les dérives sectaires » car ces articles n’ont rien à voir avec le sujet des sectes, ils ne sont que censure dangereuse pour la science et pour la santé publique.
Pour conclure, il nous semble important de rappeler que la liberté d’expression a été consacrée successivement dans l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (24 août 1789 [12], l’article 10 de 1950 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales [13] et l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme [14].
Les articles 4 et 5 de ce projet de loi rappellent également des heures sombres de l’histoire et notamment la Loi des Suspects [15].
Votée le 12 août 1793, en pleine Terreur dont elle devient le meilleur instrument, cette loi permettait l’arrestation immédiate, sans motif comme sans preuve, de tous ceux qui « n’ont pas constamment manifesté leur attachement à la Révolution » ou de ceux qui « n’ayant rien fait contre la Liberté, n’ont rien fait pour elle».
Ici, ces articles permettront de poursuivre sans preuve, tous ceux qui auront une opinion différente de celle des autorités sanitaires sur les vertus thérapeutiques de produits (éventuellement nouveaux) mis sur le marché par les laboratoires pharmaceutiques. Aucune critique n’en sera permise et à la fin seront suspects de dérives sectaires, non seulement ceux qui douteront de la qualité de ces produits, mais aussi tous ceux qui refuseront de les prescrire.
Il faut cependant se souvenir que la « loi des Suspects a emporté les révolutionnaires eux-mêmes, qui ont fini par tomber à leur tour sous le coup de cette loi à double tranchant qu’ils ont faite pour se débarrasser de leurs ennemis.»
N’oublions jamais cela.
Nous vous remercions d’avoir pris connaissance de notre alerte sur ce qu’il convient de nommer une dérive législative – a minima – sur le plan de la science et de son évolution.
Bien respectueusement,
Toute l’équipe de BonSens.org
Un des administrateurs de BonSens.org déclare :
"la restauration de ces éléments entrainerait une perte de liberté d'expression au détriment des français, des patients. Nous ne pouvons laisser faire, et il était de notre devoir, de bon sens, d'alerter tous les députés afin de stopper cette dérive liberticide".
https://www.francesoir.fr/politique-france/bonsensorg-alerte-les-deputes-sur-les-exces-liberticides-du-projet-de-loi-sur-les
La vie moderne : mort de la paysannerie
RépondreSupprimerPascal Tripier-Constantin, France-Soir
le 09 février 2024 - 15:37
TRIBUNE - Ce matin, je pleure. Je pleure pour cette famille paysanne d’Ariège endeuillée jusqu’à la moelle. Je pleure sur leur sort, leur don.
De quelle infinie dignité ils ont fait preuve ! Quelle infinie tristesse.
La vie moderne, c’est celle des paysans si bien décrite par Raymond Depardon dans son documentaire du même nom il y a seize ans. Le photographe et réalisateur nous montrait alors une vie paysanne invisible, rude et pourtant si humaine dont nous sommes les héritiers. Accompagnée par la musique de l’ariégeois Gabriel Fauré, La vie moderne portait avec une douceur humble les difficultés et les espoirs de la paysannerie.
Que pèse la vie d’une famille paysanne à l’heure de l’Union européenne, des accords de libre-échange ?
Cette même paysannerie crie actuellement sa douleur et son désespoir. Elle ne trouve plus sa place dans ce monde taillé pour les startups et la gouvernance mondiale. Que pèse la modeste vie d’une famille paysanne à l’heure de l’Union européenne, des accords de libre-échange et des flux mondiaux continus ? Rien.
L’accident dont a été victime cette famille paysanne d’Ariège, les Sonac, résume à lui seul le monde dans lequel nous sommes plongés.
Depuis la chute du mur de Berlin, la mondialisation des échanges et les grandes institutions internationales ont dissous progressivement les Etats-nations comme lieux de solidarités au sein d’une communauté de destin. Cette dissolution progressive a été rendue possible par le soutien d’une bourgeoisie de masse occidentale qui a validé par son vote le déploiement de l’Union européenne et l’arrivée au pouvoir de forces politiques favorables à la mondialisation et au néolibéralisme. En France, cette bourgeoisie de masse a voté depuis 2007 pour Sarkozy, Royal, Hollande et Macron...
Néolibéralisme lippmannien
La seconde mondialisation des échanges (la première date de la fin du XIXe siècle), s’opère dans le cadre d’un néolibéralisme théorisé dès les années 1920 et officialisé lors du colloque Walter Lippmann de l’été 1938, à Paris. Ce néolibéralisme lippmannien insiste sur l’inexorable réalité d’une mondialisation capitaliste dont il faut maîtriser le développement par une gouvernance internationale pilotée par des élites et des experts, très au fait de la complexité de ce nouveau monde. La démocratie, les sphères de communautés et de solidarités s’éloignent des peuples, les destins sont broyés dans un tout global. Les flux de personnes et des biens deviennent des variables d’ajustement à l’échelle européenne ou mondiale...
Dans ces conditions, la paysannerie locale est percutée de plein fouet par la concurrence déloyale du bout du monde ou par l’emploi d’une main-d’œuvre immigrée peu coûteuse. Bien plus tragiquement encore, une voiture conduit par des demandeurs d’asile sous OQTF ôte la vie de plusieurs membres d’une famille paysanne venue défendre son droit de vivre dignement du fruit de son travail. Cet accident est hélas la conséquence, ô combien symbolique et douloureuse, de la réalité du programme néolibéral mondial dans lequel les élites et les experts, soutenus par la bourgeoisie de masse occidentale, souhaitent nous entraîner.
La mort d’Alexandra Sonac et de sa fille ne doit pas tomber dans l’oubli.
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-vie-moderne-mort-de-la-paysannerie
Jeux Olympiques 2024 : voici tout ce que vous ne pourrez pas faire
RépondreSupprimerLes Jeux Olympiques de Paris arrivent à grands pas et la pression monte du côté des autorités. Un site internet et une campagne publicitaire ont été mis en place afin de conseiller les Parisiens sur ce qu’il leur est recommandé de faire, ou plutôt de ne pas faire pendant les jeux.
Par Axelle Ker
7 février 2024 à 9h00
Le budget des Jeux Olympiques de 2024 s'élèverait à 8,8 milliards d'euros.
Jeux Olympiques 2024 : entre saturation et ligne fermées, il faudra adapter vos déplacements
Les Jeux Olympiques transformeront radicalement le visage de Paris et de l'Île-de-France et tous les parisiens n'auront pas la chance de pouvoir s'éclipser de la capitale pendant les jeux. Plus de 15,3 millions de touristes sont attendus et les épreuves seront éparpillées dans toute la région. Le ministère chargé des Transports, qui ne dispose toujours pas de ministre suite au remaniement du gouvernement, avait déjà insisté à plusieurs reprises sur la nécessité de repenser nos modes de déplacement. La maire de la capitale, Anne Hidalgo, avait, elle aussi, prévenu dès novembre 2023 : « les transports ne seront pas prêts pour les JO ». Selon les prévisions, la fréquentation des transports devrait augmenter de 20% pendant l'évènement sportif et le ticket de métro passera à 4 euros l'unité. La recommandation sur le site anticiperlesjeux est claire : il faudra favoriser le télétravail pour limiter les déplacements professionnels, et pour les trajets incontournables, privilégier la marche ou le vélo.
Certaines stations de métro, de RER et de bus, comme Châtelet-les-Halles, qui accueille près déjà près de 750.000 voyageurs, anticipent une affluence record, avec des temps d'attente qui pourraient atteindre 15 minutes aux heures de pointe (7 heures - 9 heures ; 17 heures - 19 heures). Les lignes 10 et 8, qui sont également très fréquentées, verront certaines de leurs stations fermer, notamment celles à proximité directe des sites olympiques.
Évitez toutes livraisons de colis et déménagements
L'autre grand volet des recommandations concerne la réception de colis et les déménagements. Face à l'augmentation prévue du trafic routier et aux restrictions de circulation, le gouvernement demande tout simplement de ne pas se faire livrer de colis après le 24 juillet jusqu'au 11 août 2024, et du 28 août au 8 septembre 2024 pour les jeux paralympiques. Pour les déménagements, il faudra demander une autorisation directement auprès de la mairie.
Ce sont surtout les commerçants qui seront impactés par les JO de 2024. En vue de l'interdiction de circulation dans certaines rues, les autorités leur demandent aux commerçants de faire un maximum de stock et de réduire leurs livraisons en produits non périssables.
https://www.economiematin.fr/jeux-olympiques-2024-recommandations-autorites
Bon, çà on le sait, les 'jeux olympiques' ne SERVENT A RIEN et FOUTENT LA MERDE ! Idem pour les matches de foot ou de rugby ou 'le tour de France à bicyclette' ! Mais cela permet aux merdias de faire des titres à la con et des commentaires qui ne servent à rien !
SupprimerLa consigne sur les bouteilles est de retour en France !
RépondreSupprimerLa France voit depuis fin 2023 le retour de la consigne pour les bouteilles en verre (et en plastique PET durci). Une pratique autrefois courante qui avait disparu avec l’avènement des emballages à usage unique. Ce système, qui consiste à retourner les bouteilles après usage contre une 'petite somme d’argent', se réinstalle progressivement chez les distributeurs, porté par des acteurs majeurs de la distribution et de l’industrie des boissons.
Par Paolo Garoscio
le 8 février 2024 à 10h27
Le taux de recyclage des emballages est de 72% en France.
L’Île-de-France : terrain d’expérimentation de la consigne
Les distributeurs E.Leclerc, Système U, et Carrefour sont à l'avant-garde de cette initiative, expérimentant la consigne du verre et du PET durci pour réemploi en... Île-de-France. C’est ce que révèle Olivier Dauvers, journaliste spécialisé dans la consommation, le 7 février 2024. Après Carrefour, qui a lancé le principe en décembre 2023, c’est donc au tour de Système U et de E.Leclerc de faire de même.
Ces enseignes s'engagent dans une démarche volontaire, en réponse à l’appel du gouvernement. Ce dernier n’a pas rendu la consigne obligatoire, malgré les demandes des défenseurs du climat, et a opté pour le principe du volontariat en septembre 2023.
Les marques s’intéressent à la consigne sur les bouteilles… pour du greenwashing ?
Des géants de l'industrie des boissons comme Coca-Cola, Vittel, Perrier, et Lorina, ainsi que des acteurs locaux tels que la brasserie Météor, se sont joints à cette démarche. Ces marques proposent désormais leurs produits dans des bouteilles consignées, disponibles dans une sélection de points de vente.
Parmi les marques, on en trouve deux propriété de Nestlé Waters (Perrier et Vittel), régulièrement épinglée pour sa pollution et tout juste au centre d’un potentiel scandale de traitement interdit de son eau. Coca-Cola, de son côté, a gagné le prix de premier pollueur plastique mondial pour la sixième année consécutive selon l’étude de l’ONG Break Free From Plastic publiée le 7 février 2024. Pas vraiment des acteurs du changement climatique…
Comment fonctionne la consigne ?
Le principe est 'simple' : les consommateurs achètent leurs boissons dans des bouteilles consignées, moyennant une consigne de 10 à 20 centimes selon la taille de la bouteille. Une fois le produit consommé, ils rapportent les bouteilles en magasin, où des machines spéciales récupèrent les contenants et remboursent la consigne sous forme de bons d'achat.
Mais rien n’est obligatoire… et c’est ce qui pourrait faire échouer l’expérimentation. Car les consommateurs vont devoir acheter la bouteille plus cher, et également être obligés de dépenser l’argent de la consigne dans le même magasin, car le bon d’achat n’est pas valable partout. Une double contrainte et des engagements financiers qu’il n’est pas certain que les Français vont accepter de bon coeur.
La consigne obligatoire : seul moyen pour que ça marche ?
RépondreSupprimerC’est justement ce que reproche l'association Zéro Waste France, acteur clé dans la lutte pour la réduction des déchets au système : son côté optionnel et facultatif, autant pour les distributeurs que pour les industriels et les consommations. Selon Charlotte Soulary, responsable du plaidoyer à Zéro Waste France, il faut « un pilotage national et des objectifs contraignants » menés par le gouvernement.
« Il y a une infrastructure et une logistique à mettre en place au niveau national, avec des standards de bouteilles réemployables, pour que la même bouteille puisse être utilisée par différentes marques. Donc tout ça, ça s'organise, ça se finance, et ça peut se mettre en place au niveau d'une région ou d'un territoire national très simplement. Pour ça, on a besoin d'une politique publique », a-t-elle expliqué à FranceInfo le 7 février 2024.
https://www.economiematin.fr/consigne-bouteille-verre-plastique-france
(...) Le principe est 'simple' : les consommateurs achètent leurs boissons dans des bouteilles consignées, moyennant une consigne de 10 à 20 centimes selon la taille de la bouteille. (...)
Supprimer'une consigne de 10 à 20 centimes selon la taille de la bouteille' qui sera facturée en caisses de 10 à 20 centimes PLUS CHER ! WHOÂW ! l'astuce !! (mais 'remboursée' en... bons d'achat' sur l'achat... de ces mêmes putains de bouteilles !!).
Donc: inutiles d'enfiler des bouteilles de pinards pour en avoir à la sortie !
Après, passera-t-on au papier-cul ?
Taxe abri de jardin : elle augmente encore en 2024 !
RépondreSupprimerL’année 2024, dans le secteur immobilier, commence mal avec l’augmentation de la taxe abri de jardin. Cet impôt, appelé officiellement « taxe d’aménagement », ne cesse de grimper d’année en année. Faire des travaux sur sa propriété devient toujours plus cher !
Par Paolo Garoscio
é le 9 février 2024 à 6h02
La taxe abri de jardin avait augmenté de 8% en 2023.
Qu'est-ce que la taxe abri de jardin ?
La taxe abri de jardin, officiellement connue sous le nom de taxe d'aménagement, est un impôt local qui s'applique à toutes les constructions, reconstructions ou agrandissements de bâtiments nécessitant une autorisation d'urbanisme.
Elle est due dès la réalisation de travaux créant une surface de plancher ou une emprise au sol supérieure à 5 m² et dont la hauteur sous plafond est au moins de 1,80 m. Les recettes de la taxe d’aménagement sont perçues par les communes, les départements, et en Île-de-France également par la Région, afin de financer principalement les équipements publics nécessaires aux nouvelles constructions.
Taxe abri de jardin : quel taux d'augmentation en 2024 ?
En 2024, la taxe abri de jardin connaît une augmentation de 3,2 % par rapport à l'année précédente, ce que confirme le site Service Public. Son augmentation est liée à la hausse entre le troisième trimestre 2022 et le troisième trimestre 2023, de l’indice du coût de la construction de l’Insee. Ce dernier est passé de 2.037 à 2.106 sur la période. L’augmentation de 2024 suit celle de 2023, lorsque la taxe abri de jardin avait bondi de 8%.
Les valeurs forfaitaires par mètre carré, servant de base au calcul de cette taxe, sont fixées à 1.036 euros en Île-de-France et 914 euros dans les autres régions pour les constructions telles que les abris de jardin. Pour les piscines, elle est fixée à 258 euros le mètre carré partout en France.
Comment calculer la taxe abri de jardin ?
Le calcul de la taxe d'aménagement se base sur la surface taxable de la construction multipliée par une valeur forfaitaire par m², elle-même ajustée annuellement en fonction de l'indice du coût de la construction. À cette somme s'appliquent ensuite les taux fixés par les collectivités territoriales (commune, département, et région). Par exemple, pour un abri de jardin de 20 m² situé en province, le calcul sera le suivant : 20 m² x 914 € (valeur 2024) x taux communal/départemental/régional.
https://www.economiematin.fr/taxe-abri-jardin-2024-montants-augmentation?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook
IA : Anatomie d’une ascension
RépondreSupprimerIl aura fallu près d’un siècle après le dépôt de brevet du moteur à vapeur déposé en 1769 en Angleterre pour en voir les effets sur la puissance industrielle de l’autre côté de l’Atlantique. Et quelques semaines à peine à ChatGPT pour conquérir 100 millions d’utilisateurs. Une vitesse d’adoption inégalée dans l’histoire, y compris technologique. Un an après l’avènement de ChatGPT, le déploiement de l’IA générative, une rupture technologique majeure, met en lumière le potentiel de l’IA.
Par Olivier de Berranger
le 9 février 2024 à 4h30
Les développeurs sont ainsi déjà de 30 à 50% plus productifs grâce à l'IA générative
L’IA générative signe en effet une montée en puissance inédite. Evalué à 29 milliards de dollars en 2022, le marché mondial de l’IA générative devrait en effet peser 668 milliards en 2030, selon une récente étude de Fortune Business Insights, soit un taux de croissance annuel moyen de +47,5%.
Bien des secteurs sont concernés, de la santé au divertissement, des services financiers aux biens de grande consommation. Placée sous le signe de l’IA générative, l’édition 2024 du CES, qui s’est achevée en janvier à Las Vegas, en a témoigné avec des innovations dévoilées dans l’industrie des jeux vidéo, de l’électroménager ou encore de la robotique, qui entre dans une nouvelle ère.
L’IA s’invite dans nos vies personnelles et professionnelles. L’IA améliore déjà le quotidien de bien des manières : les moteurs de recherche, les plateformes d’e-commerce, ou encore les réseaux sociaux l’ont massivement adoptée pour améliorer la performance de leurs produits. Les plateformes de cybersécurité l’adoptent quant à elles pour protéger quotidiennement utilisateurs, entreprises et gouvernements dans le monde entier. L’IA est à l’origine de nouveaux usages, comme la voiture autonome par exemple : Tesla réalise ainsi d'importants progrès avec le FSD et Waymo propose déjà des taxis autonomes à Phoenix en Arizona…
RépondreSupprimerL’IA s’impose aussi comme le nouveau paradigme pour la compétitivité des entreprises. Alimentée par des tendances exponentielles, la croissance des données, la prolifération du cloud, l'évolution des réseaux de neurones artificiels et le développement d'applications, l’IA confère aux entreprises qui l’adoptent une longueur d’avance pouvant se révéler significative. L’IA augmente incontestablement la productivité : les développeurs sont ainsi déjà de 30 à 50% plus productifs grâce à l'IA générative qui leur permet de créer en quelques clics du code informatique. Dans le domaine de la santé, les perspectives du secteur sont en hausse grâce au développement accéléré de nouvelles thérapies ou l’analyse du génome humain. L’IA sert, par exemple, à modéliser des molécules pour développer de nouvelles thérapies, comme en témoignent les avancées des grands laboratoires comme AstraZeneca, Merck, Eli Lilly, ou encore de la biotech allemande Biontech. Dans tous les secteurs, les entreprises qui construisent de solides fondations d’IA sont les mieux positionnées pour se transformer et gagner en agilité compétitive. C’est le cas pour les entreprises technologiques qui ont été parmi les premières à la développer, à l’image de Nvidia, leader des cartes graphiques, devenues le "cerveau de l’IA", ou encore de la cybersécurité, avec des valeurs comme Crowdstrike. Les champions de l’IA affichent déjà une croissance jusqu’à 50% supérieure à celle de leurs pairs [1]. De quoi créer au long cours un territoire riche d’opportunités d’investissement.
Véritable outil d’émancipation, l’IA est devenue incontournable, et il va falloir apprendre à travailler et à vivre avec des machines intelligentes.
https://www.economiematin.fr/intelligence-artificielle-ia-croissance-berranger?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook
LIA c'est quoi ? Des directives ! Vous ne devez plus penser ! C'EST ELLE qui commande ! Si elle (le programme malfaisant proposé) vous dit qu'un rond est carré C'EST QUI EST CARRÉ ! COMPRIS??!
SupprimerLes démocrates échouent à l'égard de la jeunesse américaine alors que des dizaines d'écoles de l'Illinois et du Maryland n'ont aucun enfant maîtrisant les mathématiques
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 09 FÉVRIER 2024 - 01:25
"Les démocrates se félicitent toujours d'être le seul parti véritablement préoccupé par l'éducation, en particulier celle des plus défavorisés, et attaquent régulièrement les conservateurs et les républicains pour leur "indifférence insensible". La Plate-forme du Parti démocrate, se présentant comme un sauveur de la classe marginale, réclame des milliards. "De nouveaux investissements audacieux" de la part des gouvernements fédéral et étatiques pour rendre de bonnes écoles publiques accessibles à tous les enfants, "quel que soit le code postal dans lequel ils vivent", lit-on dans un extrait du livre "Shame of the Schools".
Bien que les démocrates investissent des dizaines de milliards dans l’enseignement public de la maternelle à la 12e année, les écoles de tout le pays échouent dans leur mission principale d’éduquer.
La réponse des démocrates aux écoles défaillantes est de dépenser, dépenser, dépenser. Cependant, la preuve que les démocrates dépensent dans l’oubli pour l’éducation, produisant des résultats positifs pour la génération future, ne s’est pas encore matérialisée :
"Les résultats moyens aux tests des adolescents américains de 13 ans ont chuté en lecture et ont fortement chuté en mathématiques depuis 2020, selon de nouvelles données du National Assessment of Educational Progress.
« Les résultats moyens des tests donnés l'automne dernier ont diminué de 4 points en lecture et de 9 points en mathématiques par rapport aux tests donnés au cours de l'année scolaire 2019-2020, et sont les plus bas depuis des décennies. étudiants performants, mais ont chuté dans tous les percentiles", a rapporté NPR.
Dans le Maryland et l’Illinois, deux États contrôlés par des démocrates radicaux, il est de plus en plus évident que les progressistes ne parviennent pas à éduquer la jeunesse.
La société de recherche indépendante Wirepoints a découvert que, de manière choquante, 53 écoles de l’Illinois ne comptaient aucun élève maîtrisant les mathématiques au niveau scolaire. L’État dépense 40,6 milliards de dollars pour l’éducation de la maternelle à la 12e année, soit 21 750 dollars par élève – l’un des plus élevés du pays.
Pas un seul élève ne peut faire de mathématiques au niveau scolaire dans 53 écoles de l’Illinois. pic.twitter.com/LMYxvD7oGq
RépondreSupprimer– Marina Medvin 🇺🇸 (@MarinaMedvin) 6 février 2024
Et aussi lire.
Pas un seul élève ne sait lire au niveau scolaire dans 30 écoles de l’Illinois.
Je parie qu’ils peuvent nommer une douzaine de genres et expliquer pourquoi les Blancs sont mauvais. pic.twitter.com/0fIfgDyzaJ
– Libs de TikTok (@libsoftiktok) 6 février 2024
De même, le journaliste d'investigation Chris Papst du Project Baltimore de Fox45 News a découvert l'année dernière que 23 écoles de la ville de Baltimore n'avaient pas un seul élève maîtrisant les mathématiques au niveau scolaire. Encore une fois, un autre district scolaire doté d'un budget éducatif massif mais de dépenses plus élevées n'entraîne pas de meilleurs résultats pour les élèves.
RUPTURE : 23 écoles de la ville de Baltimore n'ont soumis aucun élève à un test de compétence en mathématiques lors du dernier test de l'État du Maryland. Cela comprend 10 lycées. « Sortez vos enfants de ces écoles », a déclaré un activiste communautaire à @FOXBaltimore @Project_Bmore https://t.co/MSyOLKEhf7
– Chris Papst (@chrispapst) 7 février 2023
C'est très triste pour l'avenir de cette nation.
23 écoles de Baltimore n'ont aucun élève maîtrisant les mathématiques, selon les résultats des tests d'État.
Les écoles publiques du comté de Baltimore dépensent 14 883 $ par élève chaque année. Son revenu annuel s’élève à 1 891 725 000 $, mais les enfants ne peuvent pas faire de mathématiques à leur niveau scolaire.
Rappel que Baltimore est dirigée par les démocrates… pic.twitter.com/6LfJLQqO3J
– Je meme donc je suis 🇺🇸 (@ImMeme0) 9 février 2023
Pendant ce temps, "les démocrates de gauche font des heures supplémentaires pour établir l'idée que l'échec de nos écoles de centre-ville est entièrement la responsabilité de républicains mesquins, avares et carrément racistes, prêts à jeter les enfants des minorités dans le tas de cendres sociales", a-t-il déclaré. extrait du livre Shame of the Schools noté.
Les démocrates ont besoin d’un plan de sauvetage pour sauver le système éducatif public américain de la maternelle à la 12e année, défaillant, qu’ils supervisent. Cela n’aide probablement pas lorsque les gauchistes injectent du CRT et du DEI toxiques dans les programmes éducatifs.
RépondreSupprimerRevenons à l'apprentissage réel et à la pensée critique, ce qu'Elon Musk encourage avec sa nouvelle école privée de la maternelle à la 12e année au Texas.
https://www.zerohedge.com/political/democrats-fail-americas-youth-dozens-schools-illinois-maryland-have-zero-kids-proficient
Si LIA te dit que 1 + 1 = 3 C'EST QUE C'EST VRAAAAAIIII !
SupprimerQue signifie la démesure actuelle ?
RépondreSupprimerPar Marie-France de Meuron
Mondialisation.ca,
08 février 2024
Pourtant déjà le siècle avant J.-C, Horace – Romain ayant étudié en Grèce – énonçait : «Il faut de la mesure en toute chose». Qu’en est-il aujourd’hui ?
Cette réflexion m’est venue lorsque j’ai découvert «Icon of the Seas», [image en vedette] ce paquebot géant de 365m de long (5 fois la taille du Titanic) pouvant contenir près de 10 000 personnes.1
- voir photo sur site -
L’armateur en est la Royal Caribbean International, compagnie maritime américano-norvégienne qui le présente avec des avantages au superlatif : «Ces vacances ne seront pas simplement mieux. Ce sont les meilleures vacances en famille au monde, où vous passerez les meilleurs moments de votre vie».
Il n’est pas mentionné qu’une telle organisation prive chaque individu de créer le cadre et la nature de ses occupations ; il s’agit là d’une forme de superlatif de la passivité !
Alors qu’on évoque constamment les menaces écologiques, on peut se questionner sur la consommation des paquebots géants : SI l’Icon of the Seas carbure au GNL (le gaz naturel liquéfié), les écologistes ne sont pas convaincus.
De son côté, le Wonder of the Seas, mastodonte de 230 000 tonnes, sorti des Chantiers de l’Atlantique de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) en novembre 2021… En moyenne, le géant consomme 270 tonnes de fioul par 24 heures. Dans ses cales, deux types de carburant : le MGO (marine gaz oil), plus léger, allégé en souffre mais plus cher que le HFO (heavy fuel oil), du mazout lourd à faible prix. Le premier est utilisé dans les ports, par obligation, le second prend sa place dès la limite des cinq kilomètres des côtes franchie, par économie.2
En contrepartie, il existe des «Astérix» dans ce monde du voyage qui savent proposer des découvertes personnalisées :
Les Routes du Monde dont la devise est :
«Chaque voyage est une toile et chaque voyageur est son artiste !». Depuis 1998, NOUS sommes l’alternative dans le monde du voyage ! Contrairement aux conglomérats actuels de l’industrie qui ont comme objectif la rentabilité des actionnaires, nous sommes des voyageurs qui avons pour objectif de vous aider à réaliser le voyage de vos rêves ! Nous privilégions les contacts humains plutôt que la course aux visites. Notre mission est de permettre aux gens de découvrir les coins moins touristiques de la planète tout en favorisant un tourisme durable afin de maximiser les retombées économiques locales et de minimiser les impacts négatifs sur l’environnement naturel et la société».3
Lors de la covidémie, des démesures magistrales et effarantes ont illustré à quel point des systèmes qui dirigent ou gèrent la société reçoivent ou subissent des impulsions portant à des conséquences dévastatrices pour l’entité humaine et sa santé globale. La focalisation sur un virus a simplifié de façon démesurée le rôle de ce micro-organisme qui n’est que le révélateur du terrain qui l’accueille, minimisant par conséquent toute la complexité de l’organisme humain.
RépondreSupprimerNous avons subi ou assisté à des démesures sur plusieurs plans. À commencer par l’usage d’une certaine science au détriment de l’ensemble des sciences.
Le principe de l’injection génique comme unique solution – avec la négation absolue de tout traitement existant – a conduit à des coûts par milliards, auxquels se sont ajoutés les coûts de la destruction des vaccins anti-covid inutilisables.4
La démesure va jusqu’à rompre les principes de la démocratie et de l’éthique :
«L’Office fédéral de la santé publique (OFSP) refuse de révéler combien il a payé pour les quelque 61 millions de doses de vaccin Covid-19. Malgré une recommandation claire du Préposé fédéral à la protection des données et à la transparence (PFPDT) de rendre publics des passages décisifs des contrats de vaccins, l’office s’en tient aux nombreux caviardages».5
Nous constatons à quel point la société d’aujourd’hui a perdu, délaissé ou bafoué la sacralité du corps humain et celle de l’art médical. Des exemples despotiques ont été donnés par l’obligation aux enfants de porter des masques sans tenir compte de leurs impacts physiques et psychiques, aux hôpitaux de réserver des places pour les atteintes du Covid en délaissant des malades, aux médecins de refuser de donner des consultations pendant le confinement, à quoi s’ajoute encore l’imposition de baser le diagnostic sur le test PCR malgré ses insuffisances6, d’insuffler les injonctions aux enfants «de ne pas tuer papy et mamy», de laisser des aînés mourir seuls dans leur EMS ou EHPAD, de sanctionner les médecins qui travaillent selon leur conscience.
Démesure aussi du pouvoir donné aux décideurs comme aux médecins de plateau, sans tenir compte du bilan économique désastreux pour maints commerces allant jusqu’à de nombreuses faillites.
Comme l’exprime magistralement un anthropologue de la santé dans son livre «Anatomie d’un désastre». «On a colonisé les esprits d’une manière terriblement préoccupante pour l’avenir».7
Toutefois, les démesures au niveau de la prise en charge des problèmes de santé sont présentes déjà bien avant la covidémie. Depuis fort longtemps, Big Pharma s’infiltre et s’impose dans un maximum de domaines quitte à faire des ravages :
«Plusieurs médicaments courants sont liés à la démence». Les médicaments les plus connus sont les anticholinergiques, mais le lien s’étend aux antidépresseurs et aux médicaments contre les brûlures d’estomac».8
RépondreSupprimerOu encore :
«Des scientifiques affirment que des médicaments populaires pour perdre du poids comme Wegovy et Ozempic pourraient avoir des effets indésirables sur la santé mentale des consommateurs».9
En outre, tout étant relié dans le corps, il est aberrant de focaliser sur un mécanisme biochimique :
«Les statines sont les hypocholestérolémiants les plus prescrits dans la prévention cardiovasculaire (CV). Certains essais cliniques randomisés ont révélé un risque accru de diabète de type 2 (DT2) sous statines».10
Ainsi, la nature humaine cherche tune autre voie pour tenter d’équilibrer la modification imposée biochimiquement. «Effet diabétogène des statines : balance bénéfices-risques»11
Les industries pharmaceutiques cherchent aussi à coloniser des secteurs où l’efficacité des remèdes naturels est prouvée depuis longtemps : «Malaria business : les laboratoires contre la médecine naturelle».12
S’ils parviennent à le faire, c’est qu’il y a une lame de fond politico-économico-juridique qui les soutient ou s’y soumet. La science est alors utilisée comme bon leur semble.
Ainsi l’art médical se retrouve perverti. Un exemple laisse songeur :
«Une Américaine se fait volontairement amputer un pied» Souffrant depuis des années de douleurs infernales au pied droit, l’Américaine Sierra Diller a décidé de prendre une décision radicale. Elle a demandé à ses médecins de l’amputer. Les médecins trouvent un hémangiome géant».13
Il est temps que la médecine conventionnelle s’allie aux autres médecines.
La démesure amène forcément au réductionnisme de tout ce qui est mis de côté pour lui laisser la place qu’elle exige. Une illustration en est donnée par l’alerte : «Un plan à 90 millions pour sauver les soins infirmiers vaudois».14
La question est claire : la profession des soins infirmiers n’attire plus les étudiants. Au lieu de se poser la question au niveau fondamental, à savoir l’intérêt pour le contact avec les patients et l’accompagnement global dans leurs problèmes exprimés physiquement, psycho-affectivement et spirituellement, on remet la responsabilité au système politique : Comment le Canton va-t-il s’y prendre pour sauver les soins infirmiers ? Et la réduction de la réponse est donnée par une mesure économique : «Le Canton dévoile sa recette pour résorber la pénurie de soignants». Elle est définie par des chiffres : «Chaque école devra former 20% d’étudiants et étudiantes en plus» et évidemment par une somme conséquente : 90 Millions !
RépondreSupprimerY a-t-il une limite entre la croissance et l’excroissance ?
«Projet à 100 millions. Le hub médical de Genolier se veut catalyseur d’innovations». Le centre permettra d’accélérer l’accès des patients aux résultats de la recherche».15
Ainsi, on n’incite pas les patients à prendre conscience d’eux et de leur façon de connaître comment ils fonctionnent pour apprendre à gérer leur santé mais on les incite à chercher toujours plus à l’extérieur d’eux-mêmes ce qui peut modifier voire supprimer leurs symptômes.
Une croissance qui alerte : celle du coût des caisses maladie. «Si on laisse le système de santé tel quel, il va péricliter».16
Il faut bien qu’il y ait des signaux d’alerte pour dénoncer que le système assécurologique périclite déjà depuis quelques temps.
Le coût n’est pas le seul élément qui démontre que le système sanitaire officiel et conventionnel fait fausse route : La pénurie de médicaments en est un autre signal, Déjà en 2020, le Parlement suisse en a débattu.17
Comme le problème continue, on peut constater qu’une pareille démesure ne relève pas d’abord du système politique ou du moins que celui-ci est nettement insuffisant pour régler une pareille démesure.
En Suisse comme en France, les pénuries se manifestent de plus en plus. Que signifient-elles ? Évidemment, au premier degré, matériel, on peut toujours avancer bien des causes économiques. Au second degré, on doit en chercher les causes psychologiques, rationnelles et sociales.
Nous remarquons que la pénurie de médicaments va de pair avec la pénurie de généralistes. C’est le signe d’une profonde mutation. D’un côté, la pénurie révèle qu’il y a un usage démesuré de certains médicaments, prescrits selon des protocoles correspondant à des diagnostics, alors qu’un traitement individuel selon un bilan global du malade peut faire appel à des thérapies très variées.
RépondreSupprimerDe même, les médecins généralistes manquent car le système impose des modes de diagnostic et de soins très délimités, ce qui fut encore plus patent lors de la covidémie. De ce fait, les médecins n’ont pas le choix de soigner selon leur âme et conscience, selon l’élan profond qui les a incités à s’engager dans cette profession.
Une telle situation s’empire depuis plusieurs années : les médecins doivent obéir aux diktats des caisses maladies dont un exemple fort est celui de consacrer le moins de temps possible à écouter le patient et, par conséquent, prescrire un médicament indiqué au premier plan.
Même s’ils ne sont plus visibles dans maintes zones, les «Astérix» de la médecine générale continuent d’exister et d’exprimer leurs droits à être reconnus. Le site «DE LA MEDECINE GENERALE, seulement de la médecine générale» les présente ainsi :
«Les médecins généralistes constituent le groupe professionnel le plus important en santé publique d’un point de vue économique, médical et social. La médecine générale manque pourtant de reconnaissance : elle n’est pas assez enseignée, elle ne fait pas l’objet d’assez de recherches, elle ne reçoit pas assez de ressources. C’est pourtant elle qui innove tous les jours dans la relation médecin patient et qui lutte contre la déshumanisation de la médecine tout entière. Vive la médecine générale !»18
Il est particulier de découvrir que «depuis des siècles, le QI des Hommes ne cesse de progresser, c’est l’effet Flynn. Or, depuis quelque temps, il est en baisse dans toute l’Europe occidentale, d’environ 2,44 points de QI par décennie».19
Serait-ce pour cela que l’art médical s’est cantonné à la technoscience médicale ?
Il est frappant de constater que les médecines alternatives (Homéopathie uniciste, Médecine Traditionnelle Chinoise, Médecine ayurvédique) et les thérapies complémentaires tenant compte de la nature énergétique de l’être humain sont pareillement mises de côté voire interdites.
Alors qu’elles ont donné leurs preuves depuis des décennies voire des siècles, le système officiel jure surtout par les «études randomisées en double aveugle» dont les biais peuvent être divers et qui ne tiennent pas compte de la cohérence entre les différents organes d’un individu.
RépondreSupprimer«La surestimation des résultats dans les essais randomisés».20
La simplification d’un acte médical atteint son paroxysme quand il est limité à l’injection d’un vaccin en pharmacie : «Accès accru aux vaccins directement en pharmacie».21
La liste est complétée par les hépatites A et B, la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, la poliomyélite et le papillomavirus humain notamment. Il est étrange qu’à une époque où l’on défend tellement la nourriture biologique, on puisse injecter des produits aussi artificiels, de plus dont l’injection viole la barrière épidermique, sans tenir compte de l’homéostasie. On s’adresse à l’idée de se protéger de maladies graves, souvent sans connaître leur réalité globale. Le geste du pharmacien est loin d’un acte médical qui s’enquiert en profondeur de l’état de santé de son client donc des réels besoins de l’instant présent. Les injections géniques anti-covid considérées comme des vaccins ont montré combien les effets secondaires peuvent être distincts selon les prédispositions de ceux qui les subissent.
Une nouvelle démesure prend forme dans l’objectif de prolonger la longévité humaine tout en s’appuyant sur des sommes colossales, ce qui montre bien que la longévité n’est pas seulement au niveau de l’être humain mais surtout au niveau financier !
«Rebaptisée Timeline, la start-up Amazentis lancée par Patrick Aebischer décroche 56 millions. Partenaire depuis cinq ans, Nestlé remet au pot».22
«Le montant en fait, à l’échelle de la Suisse, l’une des plus importantes levées de fonds décrochées par une PME des biotechnologies ces derniers mois. D’autant qu’en tête des signataires du chèque figurent deux multinationales en vue. Issus d’un laboratoire de l’EPFL, les compléments alimentaires Timeline ont convaincu L’Oréal et Nestlé…»23
Un autre type de produit surstimule les financiers : «Un remède de chameau – La révolution des nanocorps».24
Du hasard de leur découverte aux applications et espoirs qu’ils suscitent dans le traitement de maladies comme Alzheimer et le cancer, retour sur la success-story des anticorps fabriqués par les camélidés, ces mammifères aux superpouvoirs.
Sanofi rachète pour 3,9 milliards d’euros la start-up fondée par les universitaires de Bruxelles pour développer des programmes thérapeutiques. Ainsi, on peut constater la démesure du fossé entre de pareils décideurs soutenus par leurs actionnaires et les citoyens qui nécessitent des traitements individualisés.
RépondreSupprimerLa démesure peut s’effectuer dans un sens inverse, à savoir son annihilation là où le bon sens l’attendrait : «Suisse : 24 journalistes inquiets de l’uniformité des médias». Il est pourtant évident que : sans diversité de vue, pas de journalisme».25
Le manque de rigueur dans les chiffres a permis des statistiques démesurées : «Les chiffres du COVID-19 ne sont pas fiables».26
«Notre société, d’une manière générale considère ces chiffres comme une vérité. Les politiciens basent sur eux certaines de leurs décisions. Il n’y a aucune culture du doute remettant en cause ces chiffres. Cette certitude infondée sur les chiffres du COVID-19 représente-t-elle un danger pour notre société ? Sommes-nous collectivement en train de nous fourvoyer aveuglément avec ces chiffres ?»
L’OMS s’est arrogé des droits internationaux très étendus et cherche à les poursuivre.
«Le traité de l’OMS sur les pandémies et les enjeux de souveraineté».27
«À l’analyse, ce projet de traité semble poser un problème de fond ainsi qu’un problème de forme. Sur le fond, il constitue, au prétexte de la prophylaxie et d’une vision globale de la gestion d’une future pandémie, une immixtion importante dans les prérogatives inhérentes à la souveraineté interne des Etats membres. Ce qui amène une nécessité de forme : la nécessité d’en respecter le cadre constitutionnel contraignant pour procéder à sa ratification».
Il est évident que toute démesure appelle un coup de balancier par un bilan : «La pandémie était une hypnose de masse».28
À l’ère actuelle, la démesure se développe dans bien des dimensions. Ainsi, certains se prennent pour les maîtres de la gouvernance mondiale : «Le FEM et ceux qui tirent les ficelles – Une conspiration mondiale ?» Une émission de kla.tv nous en présente les acteurs et les rouages.29
La nature subit aussi des démesures
• Par des coupes rases de forêts pour en faire des granulés de bois.30
«Dans ses sols : De nouvelles études environnementales démontrent que la mine Antapaccay de Glencore, au Pérou, contamine l’air, l’eau et les sols. Depuis des années, la population locale se mobilise contre cette pollution nocive pour la santé et contre les tentatives de l’expulser de ses terres contre son gré.
Dans la province d’Espinar, située à 4100 mètres d’altitude, au cœur des Andes péruviennes, Glencore exploite depuis 2013 une gigantesque mine de cuivre. Pour les quelque 60 000 habitant·e·s de la province, dont la plupart appartiennent aux populations autochtones Quechuas et K’ana, la mine a des conséquences dramatiques».31
RépondreSupprimer• Dans l’air qui peut être envahi par des industries :
«Car même si vous n’avez jamais pris de Dépakine, vous pourriez en subir les effets: il suffirait de respirer à proximité d’une usine qui en produit !»32
«Alors qu’on alerte sur l’importance de l’écologie, nous constatons que beaucoup «d’élites» volent avec des jets privés. L’usage démesuré de l’énergie apparaît dans un tout autre domaine : il est organisé une Coupe du monde de ski alpin de nuit, à grand renfort de projecteurs».33
Et que dire de cette entreprise d’envergure : «Comment Mark Zuckerberg prépare secrètement la fin du monde ?»34
«Le fondateur de Facebook fait construire à Hawaï une résidence de luxe autarcique, dont un immense bunker souterrain. S’il n’est pas le premier milliardaire à se préparer à un effondrement de la société, il met la barre très haut».
Je vais m’arrêter là concernant la liste des démesures.
En fait, chacun peut repérer celles qui le concernent particulièrement dans son cadre de vie.
Il est temps de répondre à la question du titre : Que penser et déduire de la démesure actuelle ?
Quelles causes sont à l’origine de pareils déséquilibres ? Quelles tendances stimulent certaines décisions, tout en laissant de côté des paramètres très importants ?
Il s’agit de reprendre une large vision de notre environnement et de nos différentes dimensions tant personnelles que sociales.
Olivier Rey, auteur, mathématicien, philosophe et professeur d’université, a intitulé avec beaucoup de sagacité un de ses ouvrages «Itinéraire de l’égarement. Du rôle de la science dans l’absurdité contemporaine».
«Parallèlement à ses travaux sur les équations aux dérivées partielles non linéaires il développe une réflexion critique sur la place de la science dans la société contemporaine».
Lors de son émission dans «Les grands entretiens de Mazarine Pingeot», il nous expose avec une grande lucidité les divers paramètres en jeu et les différents états d’esprit les animant.35
RépondreSupprimer«Il interroge les travers de la modernité, les dévoiements de la rationalité. Il fait la critique de l’abstraction retrouvée dans la statistique, les formules chimiques, le langage d’expert et plus globalement dans la rationalisation de la société. Une chose qui nous menace particulièrement aujourd’hui, c’est une certaine forme de cécité aux enjeux essentiels qui se jouent sur le plan quantitatif. À un moment, on atteint des effets de seuil qui peut nous faire basculer dans un autre régime complètement différent.
Dans l’université moderne, on a séparé le quantitatif (les maths du côté des sciences) et le qualitatif (la philosophie du côté des lettres). Le philosophe s’est cantonné à un domaine conceptuel où il ignore tout du quantitatif. Ainsi on a une séparation entre les quantités de faits dont s’occupe la science et de l’autre côté la morale, les valeurs complètement déracinées de tout ancrage dans les choses».
Dans une vidéo de 27 minutes, Olivier Rey s’exprime avec beaucoup de clarté et de fluidité. Sa conclusion est très posée :
«Donner un sens positif à la limite. Dans le cosmos la limite a un sens positif : il faut respecter la mesure. La modernité en voit toujours un obstacle à franchir. Elle est soit déniée soit on la reconnaît comme une contrainte.
Dans l’écologie actuelle, c’est la restriction ou la mort !
Mais la limite est d’abord une question de vertu : Recevoir la limite comme quelque chose d’éminemment positif, comme quelque chose qui fait être, qui donne forme, qui fait échapper à l’informe, ce qui est du ressort de la vertu. La philosophe n’est peut-être pas la meilleure possibilité, les mythes de l’antiquité l’étaient beaucoup plus.
Le narratif est plus efficace que le spéculatif pour donner un sens positif à la limite».
Marie-France de Meuron
*
Cet article a été initialement publié sur le site Réseau international.
RépondreSupprimerNotes :
1.https://www.bluewin.ch/le-colosse-flottant-icon-of-the-seas-prendra-bientot-le-large
2.https://www.ouest-france.fr/wonder-of-the-seas-un-impact-ecologique-geant
3.https://www.routesdumonde.com
4.https://www.epochtimes.fr/les-etats-europeens-detruisent-4-milliards-deuros-de-vaccins-anti-covid-inutilisables-et-pfizer-fait-pression-pour-continuer-les-livraisons
5.https://www.watson.ch/covid-19-les-contrats-d-achat-du-vaccin-au-coeur-de-la-loi
6.https://www.voltairenet.org/article215217
7.https://www.limpertinentmedia.com/on-a-colonisé-les-esprits-d-une-manière-terriblement-préoccupante-pour-l-avenir
8.https://www.epochtimes.fr/plusieurs-medicaments-courants-sont-lies-a-la-demence
9.https://www.epochtimes.fr/ces-deux-medicaments-connus-pour-la-perte-de-poids-auraient-de-graves-effets-indesirables-sur-les-consommateurs
10.https://www.cardio-online.fr/Les-effets-secondaires-musculaires-des-statines
11.https://www.revmed.ch/3596852/RMS_659_1454.pdf
12.https://www.youtube.com/watch?v=W6TgP5RlsDQ&t=2s
13.https://www.msn.com/on-ne-peut-pas-le-couper-une-américaine-se-fait-volontairement-amputer-un-pied
14.https://www.24heures.ch/vaud-90-millions-de-francs-pour-sauver-les-soins-infirmiers
15.https://www.24heures.ch/projet-a-100-millions-le-hub-medical-de-genolier-se-veut-catalyseur-dinnovations
16.https://www.tdg.ch/assurance-maladie-debat-a-geneve-sur-le-systeme-de-sante
17.https://www.parlament.ch/suche-curia-vista/geschaeft
18.https://docteurdu16.blogspot.com
19.https://www.breizh-info.com/2023/12/27/focus-sur-le-qi-sur-la-baisse-du-quotient-intellectuel
20.https://docteurdu16.blogspot.com 21/204
21.https://www.tdg.ch/sante-a-geneve-acces-accru-aux-vaccins-directement-en-pharmacie
22.https://www.24heures.ch/complements-alimentaires-la-pilule-anti-age-de-lepfl-tape-dans-loeil-de-loreal
23.https://www.bilan.ch/marche-de-la-longevite-timeline-leve-56-millions-de-francs-et-se-lie-a-loreal
24.https://www.arte.tv/un-remede-de-chameau-la-revolution-des-nanocorps
25.https://www.covidhub.ch/suisse-24-journalistes-inquiets-uniformite-medias
26.https://www.mondialisation.ca/les-chiffres-du-covid-19-ne-sont-pas-fiables
27.https://infodujour.fr/le-traite-de-loms-sur-les-pandemies-et-les-enjeux-de-souverainete
28.https://www.msn.com/la-pandémie-était-une-hypnose-de-masse
29.https://www.kla.tv/27892?autoplay=true
30.https://www.youtube.com/watch?v=zeR7SwmpaOA
31.https://responsabilite-multinationales.ch/glencore-pollue-une-region-entiere-au-perou
32.https://www.leslignesbougent.org/depakine-mettons-fin-a-ce-scandale-sanitaire-ignore-par-letat
33.https://www.24heures.ch/le-ski-sous-les-projecteurs-la-suisse-pense-aux-slaloms-nocturnes-sans-se-presser
34.https://www.watson.ch/comment-mark-zuckerberg-prepare-secretement-la-fin-du-monde
35.https://www.youtube.com/watch?v=TMZt_GLC94I
https://www.mondialisation.ca/que-signifie-la-demesure-actuelle/5686106?doing_wp_cron=1707463386.2142651081085205078125
La première mesure inquiétante qui doit être examinée est l'obligation du... port du masque !! Tout scientifique qui a un microscope chez lui peut examiner le masque et connaît la réponse: LE MASQUE EST INUTILE ! Le masque n'est porté que dans un bloc opératoire afin d"éviter les projections de postillons. C'est tout ! Il n'existe pas au monde de masque capable d'être anti-microbes ou anti nano-poussières (appelées 'virus').
SupprimerAlors... pourquoi cette obligation de porter cette horreur e dehors de chez soi ? La réponse est toute simple, comme la nano poussière désignée comme étant mortelle et dans l'air n'existe pas, elle doit être respirée grâce aux masques qui en sont imprégnés !
Puis, les criminels dans les merdias ont parlé de l'arrivée d'un 'vaccin anti poussières' !! Cette expérimentation génique d'essai permettra d'injecter par piqûre létale la dose qu'il faut là où il faut !
Plus de 1 milliard de morts !
Avec en plus des gels hydroalcoolique et cotons d'écouvillons pour les faux tests 'RT-PCR' infectés eux aussi par des nano-particules d'oxyde de graphène !! + des hydres !! + des spikes !! + diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins de serpents différents !!
Cette analyse a été faite par des scientifiques qui ont examinés au microscope a balayage électronique le contenu des flacons injectables (Dr Astrid Stuckelberger & Dr Carrie Madej).
Mais la question demeure: Pourquoi cette volonté de détruire le monde ? Pourquoi vouloir tuer ? Nous n'en sommes plus aux siècles passés où les terres étaient envahies par des ennemis qui en prenaient possession pour vivre, ni en des régions où peuvent vivre des anthropophages !
Tuer est devenu le plaisir des psychopathes consanguins. Ces milliardaires qui dirigent sont des criminels très dangereux.
Il ne faut pas se leurrer ! La nano-poussière 'cocovide19' ou appelée plus tard 'Alpha-Bravo-Charlie-Omicron' et j'en passe N'EXISTE PAS !! AUCUN LABORATOIRE AU MONDE qui examine tous les jours la qualité de l'air NE L'A TROUVÉ ! AUCUN ! Seuls les criminels au pouvoir l'auraient vu !!
Qui va sauver nos enfants de leur exposition à la sexualisation précoce, hébergée par les.. garderies et écoles? Rapport explosif de SOS Education.
RépondreSupprimerFÉVRIER 6, 2024
PAR LHK
Découvrez le face-à-face entre Sophie Audugé, déléguée générale de SOS Éducation, et Mathieu Bock-Côté, sur CNews le le 27 janvier 2024 – Sophie Audugé y dévoile les grandes lignes du rapport d’analyse sur l’éducation à la sexualité dans le cadre scolaire produit par SOS Éducation, avant sa sortie officielle le 29 janvier ! Accédez au dossier complet en suivant ce lien : https://soseducation.org/notes-etudes-entretiens-tribunes/education-sexualite-ecole
Absolument tout donne à penser que les enfants sont confrontés dès leur plus jeune âge à une « éducation » sexuelle qui, en réalité, pourrait constituer une véritable agression morale, psychique, et émotionnelle dans le cadre de l’école, un lieu qui devrait offrir la sécurité à l’enfant.
- voir clip sur site -
Qui est Alfred Kinsey, le prophète de la curieuse éducation sexuelle?
Le prophète de ce qui ressemble à une violence (pour ne pas dire violation) mentale qui devrait aboutir tôt ou tard à une violence physique, venant par exemple des petits copains, eux-mêmes traumatisés, est le sinistre Alfred Kinsey . L’idéologie de cet homme a trouvé écho dans les antres de l’OMS, financée copieusement par la Fondation Gates. Or Bill Gates a été éclaboussé par le scandale Du pédophile notoire Epstein.
« En 1947, il a fondé au sein de l’université de l’Indiana à Bloomington, un Institute for Sex Research (« Institut pour la recherche sur le sexe »), rebaptisé plus tard Kinsey Institute for Research in Sex, Gender and Reproduction (appelé couramment Kinsey Institute). L’Institute for Sex Research est à ce jour le seul institut de recherche spécialisé dans l’étude de la sexualité humaine dans le monde anglo-saxon et l’un des rares au monde parmi la quinzaine d’actives. Dans le milieu germanophone, c’est l’Institut pour la recherche sexuelle de Magnus Hirschfeld à l’université de Berlin qui sera le premier fondé en 19194. Dans le milieu francophone, c’est l’Université du Québec à Montréal qui fondera un département de sexologie indépendant en 1969, auquel sont greffés deux chaires de recherches actives5.
Ses travaux ont suscité maintes controverses tant scientifiques que non scientifiques. On lui a principalement reproché ses motivations personnelles à promouvoir son objet d’étude et la médiocre représentativité de l’échantillon de population étudié par son institut.
ENCORE 3 ARTICLES CENSURÉS ! (120 - 3 = 117)
RépondreSupprimer