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mercredi 21 février 2024

« Le buffet de Frankenstein à l'Agenda 2030 » – Ce que vous devez savoir d'urgence sur les substituts de viande !

 

117 commentaires:

  1. « Le buffet de Frankenstein à l'Agenda 2030 » – Ce que vous devez savoir d'urgence sur les substituts de viande !


    20.02.2024
    www.kla.tv/28243


    « Est-ce que vraiment aucun animal ne meure pour produire de la viande artificielle ? » « Et le fait de manger des tumeurs, est-ce une alternative saine pour son propre corps et pour l'environnement ? » « Les déchets biologiques toxiques générés par la production artificielle ne sont-ils vraiment pas nocifs ? » « Comment sont produits les aliments qui, selon l'Agenda 2030, doivent éliminer la faim dans le monde et garantir la sécurité alimentaire ? » Sz03_ questions devrait être connue de TOUT LE MONDE !

    Avez-vous remarqué, chers téléspectateurs, lors de vos dernières courses, que presque tous les supermarchés, qu'ils s'appellent Rewe, Aldi, Lidl ou autre, ont désormais des rayons entiers consacrés aux végétaliens ? McDonalds, Burger King et autres proposent également des burgers ou des nuggets plant based, c'est-à-dire « à base de plantes ». Les végétariens et les végétaliens devraient se réjouir de cette évolution : plus de choix, une alimentation plus consciente, cela ne peut être que bon pour l'homme, l'animal et l'environnement – pourrait-on penser. Mais l'Agenda 2030 de l'ONU, de l'OMS et du FEM, poursuivi avec insistance, et l’avancée systématique vers l'application de leurs plans prouvent qu'il n’y a pas de sollicitude ni de prudence derrière tout cela.

    Comme Kla.TV l'a déjà précisé dans l'émission « L’arme alimentaire » www.kla.tv/27996 , l'Agenda 2030 est une énorme tromperie sur la marchandise.

    Pour rappel :

    L'objectif 2 de l'Agenda 2030 prévoit selon ses dires d‘éliminer la faim, d‘assurer la sécurité alimentaire, d‘améliorer la nutrition et de promouvoir une agriculture durable.
    En commençant par les paysans déjà découragés, on observe cependant que l'agriculture naturelle à petite échelle est détruite, tandis que, dans le même temps, les multinationales contrôlent de plus en plus la production alimentaire mondiale par le biais d'une agriculture industrielle, du génie génétique et de l'agrochimie.

    Une des nombreuses annonces sur la manière dont Bill Gates et consorts veulent apaiser la faim dans le monde et garantir la sécurité alimentaire réside dans les aliments synthétiques et l'agriculture verticale, qui est censée n’offrir que des avantages.

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  2. En octobre 2023, Uncut-News a publié un article intitulé « Pourquoi les aliments synthétiques sont-ils très dangereux ». Nous en résumons pour vous les principaux points et abordons les questions suivantes :

    • Qu'en est-il du bien-être des animaux lors de la production de viande artificielle ?
    • Les substituts de viande synthétique sont-ils sûrs pour le consommateur ?
    • Que disent les experts sur les éventuelles impuretés présentes dans la viande artificielle ?
    • La production de viande artificielle génère-t-elle des biodéchets toxiques ?
    • Que viennent faire des organismes résistants aux antibiotiques dans la viande artificielle ?
    • La production de viande synthétique permet-elle réellement d'économiser du gaz carbonique ?
    Qu'en est-il du bien-être des animaux lors de la production de viande artificielle ?

    La viande cultivée est un exemple d'aliment synthétique. Les partisans de ce substitut de viande insistent sur le fait que ce produit n'est pas de la « viande artificielle », mais de la « vraie viande », à la seule différence qu'il ne nécessite pas l'abattage d'un animal pour sa production.
    De nombreuses personnes se tournent vers la viande cultivée en raison du bien-être des animaux et d'une approche consciente de l'alimentation. Malheureusement, ils tombent alors dans le piège d'une énorme tromperie en matière de relations publiques. En effet, l'affirmation selon laquelle aucun animal n'est tué dans le cadre de ce processus est tout simplement fausse. Actuellement, la plupart des viandes de culture ou à base de cellules sont produites à l'aide de sérum fœtal de bovin (FBS), qui est obtenu à partir du sang de veaux à naître. En bref, selon les affirmations de l'article d'Uncut News, les vaches gestantes sont abattues pour prélever le sang du fœtus à naître.

    Les substituts de viande synthétique sont-ils sûrs pour le consommateur ?

    Pour faire croître les cultures cellulaires, certaines entreprises utilisent par exemple des cellules immortelles, qui sont techniquement précancéreuses, c'est-à-dire qu'elles sont en fait complètement cancéreuses. D'autres entreprises utilisent des cellules souches embryonnaires ou des cellules d'animaux vivants.
    Les substituts de viande cultivés sur des cellules cancéreuses pourraient donc être considérés comme des tumeurs, puisque la viande est entièrement composée de cellules cancéreuses. La raison pour laquelle on utilise des cellules immortelles est que les cellules qui se comportent normalement ne peuvent pas se diviser indéfiniment. Ainsi, si on voulait cultiver des milliers de kilos de tissus avec des cellules de viande musculaire normales à partir d'un petit nombre de cellules, cela ne fonctionnerait pas.

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  3. Que disent les experts sur les éventuelles impuretés présentes dans la viande artificielle ?

    En ce qui concerne la sécurité, on pourrait également argumenter que la viande de bœuf naturelle pourrait être contaminée lors de la transformation, de l'emballage, du transport, du stockage ou pendant le processus de cuisson. Et de même dans le cas de la viande cultivée, chaque ingrédient et chaque étape de transformation présente un potentiel de contamination, et chacun des centaines d'ingrédients pourrait avoir des effets toxiques, seul ou en synergie. Une analyse approfondie des données disponibles, publiée en mai 2023 par l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et un groupe d'experts de l'OMS, a conclu qu'au moins 53 risques potentiels pour la santé sont associés à la viande cultivée en laboratoire. Il s'agit notamment de la possibilité de contamination par des métaux lourds, des Sz08_, des nanoplastiques et des produits chimiques, des additifs allergènes, des composants toxiques et des antibiotiques. Cela vaut également pour les produits de substitution à base de plantes déjà disponibles dans le commerce. À cet égard, il convient de souligner que même les produits déclarés comme « végétaux » ne sont absolument pas sains. Ils sont eux aussi fabriqués à grand renfort de produits chimiques et contiennent entre autres des quantités inquiétantes d'huile minérale.

    La production de viande artificielle génère-t-elle des biodéchets toxiques ?

    Comme nous l'avons brièvement mentionné précédemment, la production de viande cultivée génère également des biodéchets toxiques. Les biodéchets issus de ces fermentations biologiques synthétiques doivent d'abord être désactivés, puis éliminés en toute sécurité. Ils ne doivent pas finir dans une décharge.
    Chers spectateurs, il faut prendre le temps de réfléchir à ce qui suit : La fabrication de produits que nous sommes censés manger génère des déchets dangereux qui ne peuvent pas être éliminés de manière traditionnelle, alors qu’ils seraient totalement inoffensifs pour nous ?

    Que viennent faire des organismes résistants aux antibiotiques dans la viande artificielle ?

    La chair obtenue dans la solution nutritive doit être résistante aux antibiotiques, car elle doit survivre aux antibiotiques utilisés pour tuer d'autres organismes indésirables dans la cuve dans laquelle la masse est cultivée. En conséquence, des organismes résistants aux antibiotiques sont également intégrés dans le produit final, et on ne peut que supposer quels types de maladies d'origine alimentaire pourraient être causés par des E. coli génétiquement modifiés et résistants aux antibiotiques. Voici une citation tirée de l'émission « L’arme alimentaire » [www.kla.tv/27996] :

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  4. « (…) Parallèlement, Gates investit beaucoup d'argent dans la recherche et la modification du microbiome, un écosystème complexe composé de bactéries, de champignons, d’archéobactéries et de virus qui, sous le terme général de « flore intestinale », contrôle de manière déterminante les processus digestifs et exerce une grande influence sur le développement mental et physique d'un enfant, en particulier au cours de sa première année de vie. »

    La production de viande synthétique permet-elle réellement d'économiser du CO2 ?

    On prétend également que la viande cultivée et les autres aliments synthétiques sont plus respectueux de l'environnement. Cela aussi est incorrect : non seulement la production génère des déchets spéciaux, mais en plus, l'industrie de la viande de laboratoire produit 4 à 25 fois plus de gaz cazrbonique que l'élevage traditionnel. Cette information est destinée à ceux qui croient encore à l'arnaque du gaz cazrbonique. Car tout cet agenda concernant la sécurité alimentaire, etc. repose sur un mensonge concernant le gaz cazrbonique, qui justifie la prétendue nécessité de réduire l'agriculture naturelle. Dans d'autres émissions, Kla.TV a abordé la question des vaches tueuses de climat [« Les vaches, tueuses de climat ? » ainsi que celle du Green Deal [« Destruction ciblée de l'agriculture ».

    Comme nous venons de le voir, avec l'Agenda 2030, il est difficile pour les agriculteurs de bien nous nourrir, nous, la population qui dépend d'eux, et encore moins de maintenir leur existence.
    Comme vous l'avez vu, les aliments synthétiques et transformés ne sont pas promus dans un réel souci de durabilité. Non, la biologie synthétique est recherchée pour mettre en place un énorme mécanisme de contrôle. Ceux qui détiendront toute la production alimentaire synthétique domineront littéralement le monde.
    Voici une citation de Henry Kissinger à ce sujet :

    « Celui qui contrôle l'approvisionnement alimentaire contrôle les gens ; celui qui contrôle l'énergie peut contrôler des continents entiers ; celui qui contrôle l'argent peut contrôler le monde. »

    C'est également Kissinger qui, en 1974, a rédigé un document stratégique secret pour le « Conseil de sécurité nationale » dans lequel il déclarait, en d'autres termes, que la nourriture était un « instrument de puissance nationale ».

    En bref, les mondialistes possèdent et contrôlent déjà la majeure partie des produits agricoles naturels cultivés dans le monde aujourd'hui. En remplaçant les véritables aliments d'origine animale par des alternatives protéinées brevetées et produites en laboratoire, on se dirige vers un pouvoir sans précédent sur la population mondiale. On sait également que la consommation d'aliments ultra-transformés contribue aux maladies, et le bénéficiaire est bien entendu Big Pharma. Pendant de nombreuses décennies, l'industrie alimentaire a encouragé les maladies chroniques, qui sont ensuite traitées par des médicaments plutôt que par une meilleure alimentation.

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  5. Notre nourriture originelle est pourtant une création parfaite et, sous sa forme naturelle, elle est adaptée à 100 % aux besoins de tous les êtres vivants. Et si Bill et consorts y touchent, ils nous créent « un buffet diabolique de Frankenstein avec un arrière-goût écœurant ». Toutefois, à Kla.TV, nous serions volontiers prêts à suivre les mondialistes, Big Pharma et les profiteurs de l'Agenda 2030 sur une période d’expérimentation plus longue, afin qu'ils puissent nous prouver dans leur propre chair quels sont les avantages de leurs produits.

    Merci de diffuser cette émission et de rester avec nous pour que les projets de l'Agenda 2030 pour les peuples du monde puissent être mis à jour et ainsi déjoués. Ensemble, brisons le mur de la complexité et de l'ignorance.

    de abu./tt.
    Sources / Liens :

    Pourquoi les aliments synthétiques sont très dangereux / Citation de New Scientist Albert-László Barabási
    https://uncutnews.ch/warum-synthetische-lebensmittel-sehr-gefaehrlich-sind/

    Pollution par les huiles minérales et additifs chimiques dans les produits végétariens/végétaliens
    https://www.agrarheute.com/land-leben/oeko-test-veggie-wuerste-mineraloelen-belastet-585760

    https://www.chip.de/news/Wurst-Alternative-im-Test-Fast-alle-Produkte-muessen-Kritik-einstecken_184187264.html

    Les investissements de Gates dans les substituts de viande et les aliments synthétiques
    https://odysee.com/@investmentdenker:c/Teil12:4

    Document stratégique de Henry Kissinger de 1974
    https://pdf.usaid.gov/pdf_docs/pcaab500.pdf

    Objectifs de l'Agenda 2030
    www.kla.tv/19023

    L'arme alimentaire
    https://www.kla.tv/27996

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  6. Contrôle des aliments / Vertical Farming / Citation de Kissinger / Contrôle des semences
    https://www.kla.tv/23292

    Découverte du mensonge sur le climat
    https://www.kla.tv/27736

    Décimation de l'élevage bovin
    https://www.kla.tv/25420

    Destruction ciblée de l'agriculture / Green Deal
    https://www.kla.tv/22252

    Interview avec Heiko Schöning :Covid 2.0 : nouvelle attaque terroriste avec des bactéries !?
    https://www.kla.tv/27963

    https://www.kla.tv/fr

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  7. L’OMS a persuadé des pays, dont l’Allemagne et l’Irlande, d’accepter d’acheter des vaccins si une pandémie était déclarée. Avec cette nouvelle définition de la pandémie en place, l’OMS, qui est une organisation étroitement liée aux fabricants de vaccins, a déclaré la pandémie de grippe porcine en 2009 sans aucune preuve. Le résultat fut que les vaccins contre la grippe porcine furent vendus aux gouvernements sur la base de contrats « dormants » dans lesquels les gouvernements s'étaient engagés à acheter des vaccins en cas de pandémie déclarée. Cependant, le porc n’était en aucun cas le virus mortel que prétendaient les sociétés pharmaceutiques et l’OMS. Ils prédisaient des millions de morts « si » les gens ne se faisaient pas vacciner, mais en réalité, il n’y a eu pratiquement aucun décès dû à la grippe porcine, voire aucun. Semble familier?

    En Allemagne, le virologue Drosten a été l'un de ceux qui ont semé la panique dans la population, affirmant à plusieurs reprises que la grippe porcine allait tuer des millions de personnes. Ce canular d'entreprise a été dénoncé par le Dr Wolfgang Wodarg, membre du Bundestag allemand.

    La plupart des Allemands ont rejeté le vaccin contre la grippe porcine et des millions de doses du vaccin ont dû être détruites. En 2010, le gouvernement irlandais a également été contraint d'acheter plusieurs millions de doses de vaccin contre la grippe porcine H1N1.

    Les soi-disant « conseillers experts » qui conseillaient les gouvernements ont ensuite été dénoncés. Il semble qu'ils aient reçu d'importants « pots-de-vin » de la part des fabricants de vaccins contre la grippe porcine[1]. Il semble qu’il s’agisse d’un cas évident de fraude commerciale truquée générant des milliards de dollars de bénéfices pour les sociétés pharmaceutiques, tandis que les contribuables de ces pays payaient la note. Cependant, personne n’a été tenu responsable. Cela aurait-il pu être un essai pour le canular Covid-19 de 2020 ?

    La pandémie de Covid-19 semble avoir été une répétition de cette formule à l’échelle mondiale pour créer un marché truqué valant potentiellement des milliards de dollars via la vente de plus de 50 milliards de vaccins ; et créer la peur et le chaos social. Cela a facilité un contrôle accru du gouvernement via des mesures dites sanitaires, notamment la vaccination de masse.

    Notons également qu’en Allemagne, la pandémie de Covid-19 semble avoir été déclarée sur la base d’une seule opinion – celle de la même personne que celle impliquée dans le canular de la grippe porcine. En mars 2020, le Bundestag allemand a annoncé une situation épidémique d'importance nationale et, sur la base de cette annonce, tous les droits constitutionnels essentiels ont été suspendus pour une durée imprévisible. Il apparaît que cette décision gouvernementale reposait sur une seule opinion, celle de M. Drosten, et constituait donc une violation du principe d'écoute des deux parties avant de prendre une décision. Il semble que M. Drosten soit la même personne dont les tactiques alarmistes étaient au cœur du canular de la grippe porcine et de l'arnaque des entreprises 12 ans plus tôt.

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  8. Créer des ennemis invisibles – Les « virus » deviennent les ennemis des gouvernements du monde entier
    Après la soi-disant « chute du communisme » en Union soviétique en 1990, les puissances de l’OTAN n’avaient plus d’ennemis à combattre. Cependant, le complexe militaro-industriel des méga-entreprises avait besoin que les pays aient des « ennemis » pour que des tensions accrues, voire des guerres, puissent éclater. Le résultat évident de cette intensification des tensions géopolitiques conduit invariablement à justifier de vastes ventes d’armes et une augmentation des budgets militaires. Le communisme en Union soviétique devait être remplacé par un système plus capitaliste, et les élites se rendirent compte qu’elles manquaient d’ennemis qui justifieraient d’énormes dépenses gouvernementales en contrats militaires.

    [À part : l’histoire plus profonde du lien entre les banques capitalistes occidentales et le communisme en Russie est évoquée dans mon livre Transcending the Climate Change Deception Toward Real Sustainability . Le capitalisme et le communisme n’étaient, en réalité, que des outils utilisés par un groupe de financiers qui contrôlent le système bancaire mondial (communément appelés mondialistes) pour réaliser leurs plans de contrôle des richesses et des ressources mondiales.]

    Les ennemis ont souvent été fabriqués ou « exagérément » afin de susciter la peur, la colère et l’angoisse au sein de la population en général, justifiant ainsi que d’énormes sommes d’argent des contribuables/financements gouvernementaux soient dépensées pour des projets militaro-industriels.

    « Je suis à court de démons » – Colin Powell, secrétaire d'État américain, alors qu'il tentait de justifier une armée de 300 milliards de dollars dans l'après-guerre froide

    Les propriétaires des méga-banques et des méga-entreprises du complexe militaro-industriel sont les véritables gagnants de chaque guerre, car les guerres créent d’énormes dettes et nécessitent d’énormes quantités de production industrielle. En 1990, il était temps de « créer » davantage d’ennemis. Ces ennemis devaient être des terroristes et des virus invisibles. Il faut créer une crise qui permette, ou donne une excuse, aux marionnettes du gouvernement de faire ce qui a été « conseillé » par les institutions internationales du gouvernement mondial non élu, comme l'OTAN, l'ONU, le WEF et l'OMS.

    Après les terribles événements du 11 septembre, qui étaient clairement une démolition contrôlée, voir les vidéos dans cet article , l'événement semble avoir été utilisé comme prétexte pour lancer une « guerre contre le terrorisme » pour retrouver des « terroristes invisibles ».

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  9. Mes recherches indiquent que les terribles événements du 11 septembre ont été planifiés à l’avance comme prétexte pour mettre en œuvre des plans géopolitiques élaborés des années auparavant, notamment l’invasion de sept pays du Moyen-Orient. Au milieu du débat en cours sur l’identité des responsables du 11 septembre, je note que dans une interview en 2010, le Dr Alan Sabrowsky, directeur des études au US Army War College, a décrit avec une candeur étonnante des faits intrigants sur l’implication d’Israël dans les événements du 11 septembre : sont généralement inconnus dans les médias grand public[2].

    « Il est certain à 100 % que le 911 était une opération du Mossad (renseignement israélien)… Tous (les bâtiments) étaient programmés pour être démolis… Le 911 a directement fait 60 000 morts et blessés parmi les Américains, Dieu sait combien de centaines de milliers de personnes y ont été tuées. Dans d’autres pays que nous avons tués, blessés ou rendus sans abri, si les Américains apprennent un jour qu’Israël a fait cela, ils les effaceront de la terre… les sionistes jouent cela comme un véritable exercice du tout ou rien… » – Dr Alan Sabrowsky, directeur de Études, US Army War College, 2010

    « Chaque fois que nous faisons quelque chose, vous me dites que l’Amérique fera ceci et cela, laissez-moi vous le dire… Nous, le peuple juif, contrôlons l’Amérique, et les Américains le savent » – Premier ministre israélien, Ariel Sharon

    Les États-Unis ont ensuite passé des années à poursuivre, soi-disant, Oussama Ben Laden, qui, disait-on au monde, était un terroriste caché quelque part dans une grotte. Aux États-Unis, le « Patriot Act » a été adopté, dans le cadre duquel les libertés et les droits à la vie privée des citoyens ont été empiétés, cela vous semble familier ? Vous vous souviendrez peut-être également qu’il y a eu des mois de propagande médiatique préparant la population mondiale à une invasion américaine de l’Irak. Pendant ce temps, les médias ont passé des mois à dire au monde que l’Irak possédait des armes de destruction massive. Cependant, il s’est avéré plus tard que l’Irak ne possédait aucune arme de destruction massive. L’invasion de l’Irak a été justifiée par ce mensonge.

    La prochaine guerre devait être une guerre bactériologique contre une bio-terreur invisible, à savoir les virus .

    Mes recherches indiquent que des jeux de simulation/exercices de pandémie ont eu lieu de 1999 à 2005, et que le scénario « Lockstep » de Rockefeller, une stratégie de contrôle totalitaire pendant une pandémie, a été publié en 2010. Les personnes participant à ces jeux de simulation/exercices de pandémie comprenaient des seniors. responsables gouvernementaux, journalistes de premier plan, membres de haut rang de l’industrie biopharmaceutique, de l’OMS, etc., les vaccinations de masse faisaient régulièrement partie de ces jeux de simulation.

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  10. Selon le chercheur Paul Schreyer, les exercices ont été nommés « Dark Winter » (2001), « Global Mercury » (2003), « Atlantic Storm » (2005), « Clade X » (2018) et le tristement célèbre « Event 201 » ( 2019)[3]. Les plans de préparation à la pandémie mis en œuvre après la soi-disant véritable pandémie de Covid-19 en 2020 avaient été simulés et discutés pendant environ 20 ans. Ces simulations précédentes contenaient un langage tel que :

    « La question est de savoir comment et dans quelle mesure nous appliquons ces choses. À quel point avez-vous recours à la violence pour maintenir les gens chez eux ?… En cas de pandémie, les droits civils fondamentaux, tels que le droit de réunion ou la liberté de circulation, ne pourraient plus être considérés comme acquis ».

    Schreyer décrit qu'en 1998, un chapitre intitulé « Guerre contre les germes du vingt et unième siècle », rédigé par le directeur des programmes de biodéfense de la sécurité intérieure, est apparu dans un document de stratégie interne du Pentagone, intitulé « Champ de bataille du futur : enjeux de guerre du 21e siècle » .

    La même année, le Centre pour la biodéfense civile a été fondé, il s'appelle désormais Centre pour la sécurité sanitaire de l'Université Johns Hopkins. Ainsi, les États-Unis disposent désormais d'un centre pour « combattre l'ennemi invisible », c'est-à-dire les germes, et les germes ont été « reconditionnés » comme une menace à la biosécurité nationale. A noter que ce centre était également partenaire des jeux de simulation de pandémie de l’événement WEF 201 qui a eu lieu vingt ans plus tard en 2019.

    Exercices de pandémie depuis 1999 – Chronologie du lancement de Covid-19
    Paul Schreyer décrit que des symposiums de simulation de pandémie ont eu lieu en 1999 et 2000, parrainés par le Johns Hopkins Center for Health Security, le ministère américain de la Santé et des Services sociaux et l'Infectious Diseases Society of America. En 2002, divers gouvernements ont lancé des initiatives visant à améliorer la sécurité sanitaire dans le monde. Ces initiatives comprenaient des tests de dépistage d’une pandémie de grippe et des simulations de pandémie à l’échelle internationale. En 2003, la simulation de pandémie « Global Mercury » a eu lieu. Il s’agissait d’un exercice de poste de commandement impliquant les pays du Programme de sécurité sanitaire mondiale (GHSAG). Ce groupe était composé de plus de 70 pays, d'organisations internationales et non gouvernementales, d'entreprises du secteur privé réunies pour lutter contre les menaces sanitaires mondiales posées par les maladies infectieuses, ainsi que de l'OMS et de la Commission européenne. La simulation consistait notamment à s'entraîner à transmettre des informations aux médias et à éliminer toutes les informations contraires via des stratégies de censure et de « flot d'informations ». En 2005, la simulation de pandémie « Atlantic Storm » a eu lieu. Dans celui-ci, Madelaine Albright jouait le rôle du président américain.

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  11. Il semble que tous ces exercices de simulation portaient également sur la suppression des droits de l’homme, la vaccination de masse et les politiques autoritaires. En 2009, la soi-disant « pandémie de grippe porcine », un essai pour le Covid, a été lancée dans le monde réel. En 2010, le document Rockefeller « Scénarios pour l’avenir » a été publié, qui inclut le tristement célèbre scénario « Lockstep ».

    En 2017, les ministres de la Santé des pays du G20 se sont réunis pour la première fois à Berlin et ont envisagé un scénario de pandémie de virus respiratoire. La même année, le Conseil consultatif international sur la santé mondiale a été fondé, comprenant des membres de la Fondation Gates et du Wellcome Trust. En 2018, un autre scénario de pandémie s’est produit. Le titre de celui-ci était : « Une secte élitiste de haut rang développe un virus pour réduire la population mondiale ».

    En octobre 2019, à peine 3 mois avant la soi-disant véritable pandémie, le tristement célèbre exercice de simulation de pandémie WEF Event 201 a eu lieu. Il s'agissait d'un exercice de simulation de coronavirus de haut niveau, et les participants comprenaient des représentants de haut niveau de la Fondation Gates, de l'ONU. Foundation, le Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies, le fabricant de vaccins Johnson and Johnson, Edelman, de grandes compagnies aériennes et un ancien directeur adjoint de la CIA.

    Toutes ces simulations ont été financées par des fondations ultra-riches. L'événement 201 a réuni de hauts représentants des gouvernements et des méga-entreprises ultra-riches du monde. C'était leur dernière séance d'entraînement. Ces personnes sont les bras et les jambes des soi-disant élites.

    Répétition de la Fondation Rockefeller et stratégie « Lockstep » pour un contrôle totalitaire
    Un document de la Fondation Rockefeller il y a plus de dix ans prédit en détail tout ce qui s’est passé pendant le Covid-19. Il prédisait la pandémie mondiale, le confinement mondial, l’effondrement de l’économie mondiale et l’application d’un contrôle autoritaire. Le document est intitulé « Scénario pour l'avenir de la technologie et du développement international ».

    Tout est dit : « un scénario pour l’avenir ». Il contient un chapitre intitulé « Lockstep », dans lequel une pandémie mondiale est rapportée comme si elle s'était produite dans le passé, mais qui est évidemment conçue comme une répétition d'un futur « moyen de contrôler la population ». Le document Rockefeller définit « Lockstep » comme :

    « Un monde où le contrôle gouvernemental est plus strict et où le leadership est plus autoritaire »

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  12. Le « Scénario pour l'avenir » compare deux réponses différentes à la pandémie annoncée : les États-Unis se contentent de « fortement décourager » les gens de prendre l'avion, tandis que la Chine impose une quarantaine obligatoire à tous ses citoyens. La réponse américaine est accusée de constituer un danger pour la santé, tandis que l’application du confinement est saluée. Le document Lockstep arrive à la conclusion que le seul moyen d’atténuer une pandémie mondiale était d’utiliser le confinement strict de l’État policier chinois comme modèle mondial.

    Puis, en mars 2020, après que la pandémie de Covid-19 a été « déclarée » dans la vie réelle, presque tous les gouvernements ont mis en œuvre presque exactement les mêmes plans, exactement au même moment, comme cela avait été décrit en détail dans la stratégie « Lockstep » de Rockefeller. Ce n’est évidemment pas un hasard ou une coïncidence. Le document décrit la mise en œuvre de contrôles totalitaires – voir un extrait pertinent ci-dessous :

    « L'imposition et l'application rapides par le gouvernement chinois d'une quarantaine obligatoire pour tous les citoyens, ainsi que la fermeture instantanée et quasi hermétique de toutes les frontières, ont sauvé des millions de vies, stoppant la propagation du virus bien plus tôt que dans d'autres pays et permettant une Une reprise post-pandémique plus rapide… Pendant la pandémie, les dirigeants nationaux du monde entier ont fait preuve d’autorité et imposé des règles et des restrictions strictes, allant du port obligatoire de masques faciaux aux contrôles de la température corporelle à l’entrée des espaces communs comme les gares et les supermarchés.

    De toute évidence, l’exercice de l’autorité est la réponse souhaitée. Cependant, la situation est encore pire, selon ce « scénario du futur » :

    « Même après la disparition de la pandémie, ce contrôle et cette surveillance plus autoritaires des citoyens et de leurs activités sont restés et même intensifiés…. Dans les pays développés, cette surveillance accrue a pris de nombreuses formes : identifications biométriques pour tous les citoyens, par exemple, et réglementation plus stricte des industries clés dont la stabilité était jugée vitale pour les intérêts nationaux.

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  13. Manuel Rockefeller sur la mise en œuvre d'un contrôle autoritaire pendant une pandémie
    Dans le scénario ci-dessus de la Fondation Rockefeller, une pandémie mondiale doit entraîner un contrôle accru, où les gens abandonnent volontiers leur liberté, afin de se sentir à nouveau en sécurité. C'était la première étape. La Fondation Rockefeller a ensuite proposé la deuxième étape, qui consistait en un manuel sur la manière de mettre en œuvre de nouveaux systèmes de contrôle autoritaires pendant une pandémie. Ce manuel s'intitule « Plan d'action national pour les tests Covid-19 – Étapes pragmatiques pour rouvrir nos lieux de travail et nos communautés ». Le livre recommande que tous les mécanismes et réseaux de contrôle nécessaires soient en place avant que la société mondiale ne puisse s'ouvrir à nouveau.

    Le plan global devient clair lorsque l’on combine les deux documents Rockefeller. Premièrement, ils déclarent une pandémie mondiale de coronavirus et concluent à ce à quoi elle devrait conduire, à savoir un tout nouvel État policier de contrôle autoritaire basé sur le modèle chinois. Deuxièmement, ils donnent des recommandations pratiques sur la manière d'appliquer ce système de contrôle. Voici des illustrations et des citations de leur manuel sur le contrôle autoritaire :

    « Les applications numériques et les logiciels de suivi protégés par la confidentialité devraient être largement utilisés pour permettre un suivi plus complet des contacts…. Afin de contrôler pleinement l'épidémie de Covid-19, nous devons tester chaque semaine la majorité de la population.

    Dans leur « Scénario du futur », la population mondiale entière devrait recevoir une identification numérique indiquant qui a reçu tous les vaccins. Les personnes qui ne sont pas suffisamment vaccinées se verraient refuser l’accès aux écoles, aux concerts, aux restaurants, aux églises, aux transports publics, etc. Lorsque la pandémie de Covid-19 a été déclarée, l’autoritarisme ci-dessus est exactement ce qu’apparemment presque tous les gouvernements ont réclamé et mis en œuvre.

    Pourquoi presque tous les gouvernements ont-ils répondu à l’unisson à la pandémie exactement de la même manière ?

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  14. Pourquoi presque tous les gouvernements du monde se sont-ils conformés et ont-ils répondu à la pandémie presque exactement de la même manière et avec presque exactement les mêmes plans, exactement au même moment, comme cela avait été décrit en détail dans la stratégie « Lockstep » de Rockefeller. Le monde entier a été placé en « confinement », la recherche des contacts a été rapidement déployée et des plans de vaccination de masse ont été lancés partout. C'était comme si tous les gouvernements du monde avaient été hypnotisés pour agir au même rythme par un hypnotiseur de scène. Même un troupeau de moutons gardé par un chien de berger ne se serait pas déplacé de manière aussi uniforme.

    Après que la pandémie a été déclarée, des « plans de préparation à la pandémie » ont été mis en œuvre. Ces plans devaient être activés dans tous les pays membres de l’OMS lorsqu’une pandémie serait déclarée. Les plans ont été initialement élaborés par des entreprises partenaires de l’OMS, notamment la Fondation Bill et Melinda Gates, la Banque mondiale et le Fonds monétaire international. Les grands médias ont joué leur rôle de corruption en incitant psychologiquement les populations à espérer une vaccination de masse pour se sauver d’une mort supposément imminente.

    Divers médecins et scientifiques ont souligné que le test PCR Covid était faux, mais ces professionnels n’ont pas eu de contribution aux politiques publiques, ni de tribune dans les médias d’entreprise et gouvernementaux, et certains ont même perdu leur emploi. Judy Wilyman, une experte qui a mené des recherches doctorales sur les justifications gouvernementales de la politique de vaccination, résume la situation comme suit :

    « L’OMS n’utilise plus d’informations scientifiques objectives dans la conception des politiques de santé mondiale auxquelles tous les pays membres ont adhéré dans le cadre des réglementations sanitaires internationales. Les gouvernements nationaux ont perdu leur souveraineté en adhérant à ces sociétés, ce qui met la race humaine en danger sérieux pour sa santé et sa capacité à être contrôlée et surveillée par le gouvernement. " —Judy Wilyman Ph.D.

    La recherche des contacts dans le monde n’avait pas pour but de contrôler un virus, c’était une tentative de contrôler l’humanité

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  15. Bill Gates a également parlé de l’utilisation d’une identification numérique pour contrôler les gens, affirmant que seules les personnes ayant reçu le vaccin Covid-19 devraient être autorisées à voyager, aller à l’école, assister à des réunions et aller travailler[ 4]. Des programmes de développement visant à relier les vaccins aux identifications numériques avaient déjà été lancés[5], et Gates possède déjà un brevet sur la technologie, appelé WO2020-0 6 0 6 0 6, qui permet de retrouver le corps d'un individu n'importe où[6]. En outre, Gates souhaitait mettre en place un réseau de surveillance mondial, qui suivrait toutes les personnes ayant été en contact avec le Covid-19[7].

    Compte tenu des informations ci-dessus, il n’est pas surprenant que le suivi et la recherche des contacts aient été rapidement introduits après la déclaration de la pandémie, malgré les nombreux avertissements concernant la menace que représente la recherche des contacts pour la liberté humaine et la vie privée. Essentiellement, les personnes au courant de la fausse pandémie qui ne consentaient pas à ce suivi et à cette traçabilité se trouvaient en conflit avec leurs propres gouvernements, leurs propres institutions nationales et avec presque tous les médias.

    Technologie biométrique pour surveiller la population mondiale

    Les grandes technologies et les grandes sociétés pharmaceutiques veulent que nous soyons tous connectés à des réseaux mondiaux capables de nous surveiller en permanence. Ils voudraient nous dicter si nous pouvons ou non nous déplacer librement, pendant ce qu’on appelle les pandémies. En 2015, Richard Rothschild a breveté une méthode qui implique l'utilisation d'une technologie biométrique pour transmettre les informations de santé d'une personne vers le « cloud », où les données sont analysées pour indiquer si la personne souffre d'un virus, tel que le soi-disant virus. Covid-19, voir la capture d'écran ci-jointe[8].

    Pourquoi Richard Rothschild, qui est avocat, a-t-il voulu faire cela ? Lorsque toutes ces données sont dans « le cloud », elles peuvent être utilisées par les autorités pour nous surveiller et nous contrôler. Dans le « cloud », les données sont transmises à des algorithmes informatiques d’intelligence artificielle. La technologie cloud est détenue et contrôlée par les grandes entreprises technologiques, qui, nous le savons, sont déjà impliquées dans des partenariats public-privé mondiaux avec les gouvernements, par exemple via les mécanismes de l'OMS, du WEF et de diverses fondations. Si la recherche des contacts est établie à long terme, la surveillance mondiale de la population devient tout à fait possible. Cela semble être l’avenir que ces méga-narcissiques ont tenté de mettre en œuvre.

    Simulation d'une pandémie de coronavirus 3 mois avant la véritable pandémie de coronavirus
    Trois mois avant que l’OMS ne proclame la véritable pandémie de coronavirus, Bill Gates, en partenariat avec le WEF et le Johns Hopkins Center for Health Security, a organisé un événement à New York, appelé Event 201.

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  16. L'événement était un « exercice de simulation de pandémie de coronavirus » et contenait le slogan « Nous devons nous préparer à l'événement qui se transformera en pandémie ». Bill Gates a organisé un événement pratique pour une pandémie mondiale de coronavirus, juste avant que la pandémie mondiale de coronavirus ne se produise. Ce n’était pas une coïncidence, la simulation Event 201 consistait en réalité à planifier, pratiquer et préparer la « véritable » pandémie de coronavirus. Parmi les participants à l’événement de simulation figurent certaines des mêmes personnes qui se sont profondément impliquées dans la lutte contre la soi-disant véritable pandémie et qui en ont également profité. Les citations suivantes sont tirées de la simulation de pandémie de coronavirus Event 201 :

    « Nous sommes au début de ce qui semble être une grave pandémie et des problèmes émergent qui ne peuvent être résolus que par une collaboration entre les entreprises mondiales et les gouvernements » – Tom Ingelsby, Johns Hopkins Center for Health Security

    « Les agences de santé publique ont émis des avis aux voyageurs tandis que certains pays ont interdit les voyages en provenance des zones les plus touchées… Les pays réagissent de différentes manières quant à la meilleure façon de gérer la quantité écrasante de désinformation et de mésinformation circulant sur Internet, dans certains cas. des coupures limitées d’Internet sont mises en œuvre » – Simulation de diffusion d’informations sur la pandémie de coronavirus

    « Les gouvernements doivent être prêts à faire des choses qui s'écartent de leur perspective historique – c'est vraiment sur un pied de guerre que nous devons être » – Stephen Redd, Centers for Disease Control des États-Unis

    « Les plateformes de médias sociaux doivent aller de l'avant… en s'associant avec les communautés scientifiques et sanitaires pour contrebalancer, voire inonder la zone d'information » – Matthew Harrington, Edelman

    « une mesure de la part des gouvernements en matière de mesures coercitives contre les fausses nouvelles » – Lavan Thiru, Autorité monétaire de Singapour

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  17. Peu de temps après cette simulation de pandémie de coronavirus, Bill Gates a exprimé son enthousiasme à l’idée de vendre des vaccins l’année prochaine dans le tweet suivant affiché ci-dessous. En résumé, le numéro un mondial. Un revendeur de vaccins a garanti qu’une pandémie mondiale de coronavirus se produirait dans les prochaines années. Il a ensuite organisé une simulation d’une pandémie imminente de coronavirus, affirmant que les vaccins seraient la seule solution. Par la suite, il tweete à quel point il est enthousiaste à l’idée de vendre des vaccins l’année prochaine. Environ deux mois plus tard, la pandémie de Covid-19 éclate. Comme le montre mon livre No Worries No Virus, les numéros de cas de Covid étaient faux car ils étaient basés sur un faux test PCR. Gates proclame alors que la seule solution pour l’humanité est d’acheter ses vaccins.

    Smoking Gun : 100 milliards de dollars Bill Gates contacte l'accord TRACE six mois avant Covid-19

    Si vous pensez que tout ce qui précède n’est qu’une coïncidence, alors examinez l’énigme suivante : comment pouvez-vous négocier un accord de 100 milliards de dollars impliquant les sous-produits de la surveillance d’une pandémie via la technologie de traçage en août 2019, c’est-à-dire six à sept mois avant l’apparition de la pandémie ? la pandémie arrive-t-elle ? Mais c’est exactement ce qu’a fait Bill Gates. Il semble que cette situation irréfutable ait été signalée pour la première fois par les chercheurs expérimentés John Moynihan et Larry Doyle. Ils ont rapporté comment Bill Gates a négocié un accord de recherche des contacts de 100 milliards de dollars avec un membre du Congrès du Parti démocrate qui parrainait la loi controversée sur les tests pour atteindre et contacter tout le monde (TRACE) six mois avant que la pandémie ne survienne[9].

    John Moynihan et Larry Doyle ont décrit ceci :

    Aux États-Unis, la loi controversée TRACE a été présentée devant le Parlement par Bobby L Rush.
    des représentants de la fondation Gates ont rencontré le membre du Congrès Rush au Rwanda, en Afrique de l'Est, à la mi-août 2019, pour discuter de qui bénéficierait de l'aubaine d'un programme gouvernemental de recherche des contacts. L’événement auquel Rush s’est rendu a été financé par la Fondation Gates et le Fonds Rockefeller.
    Pourquoi auriez-vous besoin d’établir un programme gouvernemental de recherche des contacts en août 2019 ? Il n’y avait pas de pandémie à l’époque et personne n’était censé avoir entendu parler du Covid-19 à ce stade. Six mois seulement après cette réunion, la soi-disant pandémie a frappé et neuf mois seulement après la réunion, Rush a introduit la loi TRACE de traçage des contacts HR6666 de 100 milliards de dollars.

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  18. Cela a établi un programme CDC pour les tests de contact nationaux et la recherche des contacts. Étonnamment, comment ont-ils su que ce système de test et de recherche des contacts de 100 milliards de dollars était nécessaire neuf mois avant la date prévue ? Il semble que cette « tempête parfaite » était en réalité un marché truqué de profits d'entreprises, car les vaccinations de masse et la recherche massive des contacts étaient, par conséquent, très demandées.

    L'accord portait sur 100 milliards de dollars pour la première année et sanctionne « les sommes jugées nécessaires pour tout exercice financier ultérieur au cours duquel la période d'urgence se poursuit ». Il s'agissait essentiellement d'un chèque en blanc pour un système de recherche des contacts contrôlé par le gouvernement afin de suivre les personnes « considérées » dangereuses ou infectées. Toute la situation pue la corruption préméditée, le profit et la surveillance sinistre.

    Le WEF a tenté une « réinitialisation » technocratique mondiale en même temps que le confinement mondial pré-orchestré par le Covid
    Il convient de noter qu’en mars 2020, les banquiers centraux ont lancé une « réinitialisation » financière planifiée et coordonnée sous couvert du confinement mondial ; et le Covid-19 a été une excuse pour une tentative de « réinitialisation » technocratique mondiale du FEM en même temps que le confinement mondial pré-orchestré.

    Ces sujets, y compris le plan de réinitialisation du WEF pour une quatrième révolution industrielle et les contraintes de cette technocratie dite du nouvel ordre mondial, sont détaillés dans mon livre No Worries No Virus .

    *

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    Mark Gerard Keenan est un ancien scientifique du Département de l'énergie et du changement climatique du gouvernement britannique et de la Division de l'environnement des Nations Unies. Il est l'auteur des livres suivants :

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  19. Moon Landing 2023 – Science ou science-fiction ?
    Fausse science impie
    Dépasser la tromperie du changement climatique vers une véritable durabilité
    Canular climatique sur le gaz carebonique – Comment les banquiers ont détourné le véritable mouvement environnemental
    Pas de soucis, pas de virus
    L’économie démoniaque et les astuces des banquiers
    Les mensonges de la politique verte et comment le Parti vert a trahi le peuple irlandais
    Les livres électroniques de Mark au format PDF sont disponibles sur https://mkeenan.ie/shop/ .

    Faites un don pour les articles de Mark via Paypal .

    Remarques

    [1] Sources : https://www.globalresearch.ca/who-scandal-exposed-advisors-received-kickbacks-from-h1n1-vaccine-manufacturers/19587

    https://greatgameindia.com/who-vaccine-industry/

    Avril 2009, La pandémie H1N1 : Mensonges politiques et désinformation médiatique concernant l’épidémie de grippe porcine – Global Research – Centre de recherche sur la mondialisation à : https://www.globalresearch.ca/politique-lies-and-media-disinformation-regarding- la-pandémie-de-grippe-porc/13433

    [2] Sources : https://www.veteranstodayarchives.com/2012/01/05/911-and-israel-alan-sabroskys-candid-interview/

    https://www.scribd.com/document/58318030/US-Military-Knows-Israel-Did-9-11-Alan-Sabrosky-USMC

    [3] Tiré d'un article de Paul Schreyer intitulé « Pandemie-Planspiele – Vorbereitung einer neuen Ara ? » (Traduction : Préparation à une pandémie pour une nouvelle ère ?)

    [4] Source : https://www.youtube.com/watch?time_continue=3563&v=FIGjQMlLFj8&feature=emb_logo

    [5] Source : https://www.biometricupdate.com/201909/id2020-and-partners-launch-program-to-provide-digital-id-with-vaccines

    [6] Source : https://patentscope.wipo.int/search/en/detail.jsf?docId=WO2020060606

    [7] Source : https://www.theverge.com/2020/4/23/21232782/bill-gates-coronavirus-contact-tracing-interviewers-database-analysis

    [8] Source : https://nl.espacenet.com/searchResults?ST=singleline&locale=nl_NL&submit=true&DB=&query=covid+rothschild

    [9] Sources décrivant l’accord TRACE de 100 milliards de dollars de Bill Gates (août 2019)

    https://www.youtube.com/watch?v=h_waL-VmC_0&feature=youtu.be

    https://truepundit.com/exclusive-bill-gates-negotiated-100-billion-contact-tracing-deal-with-democratic-congressman-sponsor-of-bill-six-months-before-coronavirus-pandemic/

    HR 6666 (sponsor Bobby Rush) https://www.congress.gov/bill/116th-congress/house-bill/6666/titles

    Bobby Rush se rend au Ruanda en août 2019

    https://projects.propublica.org/represent/members/R000515-bobby-l-rush/privately-funded-travel/116

    https://www.globalresearch.ca/creating-invisible-enemies-timeline-launch-trillion-dollar-covid-19-deception/5850013

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  20. Experts en histoire du COVID : « l’hypnose » utilisée pendant la pandémie pour accroître la peur et contrôler les masses


    19/02/2024
    Belle Carter


    "The End of Covid" est une série documentaire - une bibliothèque de vidéos de plus de 90 sessions - qui raconte les vérités honnêtes et terrifiantes que Big Pharma et le gouvernement ne voulaient pas que le public connaisse sur le coronavirus de Wuhan (COVID -19) pandémie.

    Lors d'un récent épisode du "Health Ranger Report" de Mike Adams, Alec Zeck et Mike Winner, les créateurs de ladite compilation vidéo, ont révélé comment les gens avaient reçu des scénarios et des récits de "conditionnement mental" qui encourageaient l'alarmisme pour amener le public à se soumettre à n'importe quoi. protocoles déployés par les « autorités sanitaires ». Le fondateur de Brighteon a mentionné une étude couverte par Natural News sur les études sur l'hypnose, dans laquelle des individus hypersensibles à l'herbe à puce ont été sélectionnés. Un chercheur leur a demandé de tendre la main sur une table puis leur a dit : « Je vais vous brosser la main avec une feuille d'herbe à puce. Le chercheur ferait effectivement cela, mais pas la plante vénéneuse. Mais des éruptions cutanées éclataient quand même ; leur esprit l'a rendu réel.

    "Il y a eu une autre étude dans laquelle un chercheur faisait semblant d'éteindre une cigarette allumée sur la peau d'une personne, même s'il n'utilisait en fait qu'une gomme à crayon, et la peau de la personne éclatait en réaction de brûlure parce qu'elle pensait que c'était une brûlure, ", a-t-il en outre cité. "L'esprit est très puissant. Si cela doit expliquer une partie de ce que nous avons vu pendant la pandémie, alors c'est très effrayant car le pouvoir de la fausse autorité dans le système médical et dans les médias est bien plus puissant que la plupart des gens ne le pensent."

    Zeck était d'accord, reliant même cela aux nouvelles tactiques « alarmistes » désormais liées à la « maladie X ». "Tout le monde a tellement peur qu'ils vont lancer une autre "arme biologique" sur les masses", a-t-il déclaré. "La manifestation de symptômes, surtout dans un état de peur accru, est une chose réelle. Et ce que nous enseignons dans le documentaire, en particulier dans les derniers modules, c'est que nous approfondissons en détail l'éclat du corps humain et le comprendre qu’il n’y a rien à craindre. »

    Selon Zeck, une fois que les gens prennent conscience des choses, ils peuvent rester en bonne santé. De plus, comprendre que les symptômes de la maladie en eux-mêmes ne sont pas mauvais. "Comprenant que votre corps est un brillant vaisseau intelligemment conçu qui sait exactement ce qu'il est censé faire et qui possède tout ce dont il a besoin en interne, étant donné le bon environnement et les bons nutriments pour guérir, il fera exactement ce pour quoi il a été conçu. pour guérir", a-t-il déclaré, ajoutant que le film vise en fait à dissiper la peur qui est actuellement répandue parmi une grande partie des partisans de la liberté en matière de santé.

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  21. Winner est intervenu, ajoutant qu'il est vrai que les humains ont d'énormes carences à l'ère moderne, en particulier en cellules et en sels minéraux, car nous n'en avons plus dans notre alimentation en raison de « l'agriculture de masse ». Il a félicité les magasins Adam's Health Ranger et Brighteon ainsi que des entreprises comme celles-ci, pour avoir vendu les suppléments nécessaires. "Notre corps ne peut pas suivre cette progression naturelle du cycle pléomorphique, par exemple. Les bonnes bactéries endogènes qui sont en nous, qui sont souvent confondues avec une infection bactérienne, si elles deviennent incontrôlables, ne proviennent pas d'un vecteur d'attaque exogène de cette mauvaise bactérie, c'est parce que nous sommes déficients et incapables de terminer ce cycle naturel", a-t-il ajouté.

    Le sida était le premier programme pilote pour le COVID-19

    Ailleurs dans l'émission, le trio a également évoqué le fait que le syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA) était en fait un « programme pilote antérieur pour le COVID-19 », alors que ladite maladie était responsable de tout, tout comme c'était le cas avec le coronavirus. il y a quelques années.

    Winner a déclaré en plaisantant que le sida était responsable de sa virginité dans les années 1980. "J'ai vraiment peur du SIDA quand j'étais un enfant des années 80 et un grand fan de Magic Johnson. J'ai grandi à Los Angeles en tant que fan des Lakers. Donc, quand ils ont lancé Johnson, j'avais le SIDA et j'étais septième ou En huitième année, je me disais : "Je ne ferai jamais l'amour."

    Après un petit rire, Adams a poursuivi en disant qu'à cette époque, on faisait croire aux gens que même les couples hétérosexuels, qui étaient monogames, allaient toujours contracter le SIDA. "Cela viole totalement toute la théorie de la transmission", a-t-il souligné. Il a également noté que les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont reçu un financement massif en réponse à la diffusion des histoires alarmistes liées au SIDA. Et ce qui est « bizarre », c’est qu’Anthony Fauci, ancien conseiller médical en chef de la Maison Blanche, ait été impliqué dans la « campagne contre le sida ». En outre, les médicaments qui ont été proposés pour traiter le SIDA ont provoqué les symptômes diagnostiqués comme étant du SIDA, qui peuvent être comparés aux vaccins actuels contre la COVID-19. (En relation : ReFounding America : Les pandémies de COVID-19 et de sida sous la surveillance de Fauci partagent des similitudes – Brighteon.TV.)

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  22. Il y a encore les tests du SIDA, qui n'étaient pas uniquement biochimiques ou physiologiques. Les « patients » ont été interrogés sur le nombre de leurs partenaires sexuels, s'ils avaient déjà utilisé des aiguilles intraveineuses, s'ils étaient toxicomanes et d'autres questions sur leur mode de vie. "Je pensais que c'était censé être scientifique. Je pensais que vous alliez voir quelque chose au microscope", a fait remarquer Adams. "Il s'avère que tout comme les tests PCR [réaction en chaîne par polymérase] avec le COVID, les tests du SIDA ont été des conneries tout le temps."

    Les modules « La fin du COVID » seront disponibles sur BrightU.com à partir du 10 février à 12h00. EST jusqu'au 22 février à 12h00 HNE.

    Consultez ScienceDeception.com pour plus d’histoires sur la rhétorique scientifique frauduleuse et truquée imposée au public aux États-Unis.

    Regardez l'épisode complet du « Health Ranger Report » avec Mike Adams avec Alec Zeck et Mike Winner ci-dessous.

    This video is from the Health Ranger Report channel on Brighteon.com.

    Sources for this article include:

    Brighteon.com
    Brightu.com

    https://www.naturalnews.com/2024-02-19-hypnosis-during-the-pandemic-killed-health-freedom.html

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  23. Les « vaccins » à ARN auto-réplicatifs et auto-amplifiants sont des désastres sous stéroïdes


    21 février 2024
    par DDr. Siguna Mueller


    Bien que présentés comme une solution aux problèmes d’ARNm de première génération, ils aggravent les problèmes existants et manquent de toute preuve ou raison justifiant une sécurité accrue. Le nouveau battage médiatique autour de la technologie de l’ARN auto-répliquant/auto-amplifiant s’est intensifié. Récemment, des rapports sur les résultats de deux études prétendument réussies ont inondé les médias en une journée.

    La première nouvelle concerne les recherches de Replicate Bioscience , qui ont fièrement annoncé que « le vaccin antirabique à ARNsr de Replicate est efficace en phase 1 ». Le second fait l'éloge des résultats de l'essai de phase 3 de CSL/Arcturus Therapeutics (ARCT) et souligne : « Les nouveaux résultats d'ARNm du COVID-19 sa de CSL et Arcturus Therapeutics montrent une durée d'immunité plus longue par rapport au vaccin traditionnel à ARNm du COVID-19 -Booster ».

    Les aspects dangereux connus et nouveaux des vaccins à ARNm sont ignorés et présentés comme bénéfiques. Les nouvelles plateformes exacerbent clairement les problèmes existants et peuvent également introduire de nouveaux risques.

    L’essence de la technologie de l’ARN auto-réplicant/auto-amplifié
    Ces plateformes d’ARN étaient déjà explorées avant la pandémie, même si leurs sérieuses limites étaient connues il y a des années. J'en ai discuté en détail dans mon livre .

    L’objectif de ces technologies a toujours été d’obtenir une plus grande quantité d’antigène à partir d’une plus petite quantité de vaccin.
    Essentiellement, ceci est réalisé grâce à une construction d’ARNm auto-amplifiant in vivo. Cela signifie qu’en plus de l’ARN qui code pour la protéine cible, les injections génétiques codent également pour les composants de la réplicase qui peuvent contrôler l’amplification intracellulaire de l’ARNm.
    Encore une fois, il est important de noter que le seul objectif du divertissement est d’exprimer des niveaux élevés de l’antigène souhaité le plus longtemps possible .
    Qu'est-ce qui est promis ?
    Les biosciences décrivent comme suit la nécessité d’une technologie d’auto-réplication (ARNsr) et les avantages promis :

    « Replicate Bioscience, une société de portefeuille d'Apple Tree Partners, est une société de stade clinique qui fait progresser la puissance des thérapies à base d'ARN grâce à sa nouvelle technologie d'ARN auto-réplicant (ARNsr) pour surmonter les lacunes des approches d'ARNm existantes, avec des améliorations potentielles de la bioactivité à des doses plus faibles, l’induction de réponses immunitaires plus robustes et durables et une meilleure tolérance.

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  24. CSL/Arcturus Therapeutics ont également souligné dans leur annonce « l' analyse de suivi d'une étude de phase 3 dans laquelle une dose de rappel d'ARCT-154 , le premier vaccin auto-amplifiant à ARN messager (ARNm) contre la COVID-19 au monde) , « a été examiné », soulignant les avantages allégués :

    « Les vaccins à ARNm auto-amplifiants amènent l’organisme à produire davantage d’ARNm et de protéines pour renforcer la réponse immunitaire. »

    et

    « La nouvelle analyse six mois après la vaccination montre qu'ARCT-154 provoque une réponse immunitaire plus longue et offre un avantage en termes de persistance des anticorps par rapport à Comirnaty pour la souche originale de Wuhan et la variante Omicron BA.4/5 .

    En effet, ARCT-154 a été administré à un sixième de la dose de Comirnaty® (5 µg versus 30 µg). Mais ce n’est pas seulement une question de dose injectée.

    Lacunes des études
    Cette note ne fait pas référence aux études elles-mêmes. Cependant, plusieurs défauts sont immédiatement perceptibles :

    Il est important de noter qu’aucune des études n’était un ECR indépendant testé contre un véritable groupe placebo.
    a) Dans le cas de Bioscience, tous les participants ont reçu une ou deux doses du vaccin ARNsr.

    b) L'ARCT a décrit son étude comme un « essai randomisé, en double aveugle et contrôlé activement ». Les essais contrôlés actifs comparent un traitement expérimental à un traitement établi. Dans leur cas, les résultats du rappel du nouveau vaccin ont été comparés à ceux du Comirnaty®. Puisqu’il s’agit d’un rappel de vaccination, cela signifie également que les participants ont déjà reçu une ou plusieurs injections.

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  25. Il n’existe aucune information indépendante sur la présélection des patients, le traitement des données, etc. Le slogan selon lequel le médicament a été bien toléré (« aucun effet indésirable grave ») n’a aucun sens dans un tel contexte. (J’ai un chapitre entier dans mon livre consacré aux problèmes liés aux « vaccins » à ARNm Covid-19).
    Ce qui a été évalué n’était pas une véritable immunité conduisant à une véritable protection contre l’infection. Il s’agit plutôt d’une « mesure de protection de remplacement ».
    Comme l'a déclaré Replicate Bioscience,

    « À toutes les doses étudiées, le RBI-4000 a obtenu une forte réponse immunitaire avec des titres d’anticorps protecteurs neutralisant le virus supérieurs au niveau de substitut immunologique défini par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour la protection contre le virus de la rage. »

    C’est une astuce courante ces dernières années. Dans presque toutes les études, la « protection » est désormais assimilée au titre d’anticorps neutralisants. Cependant, il s’agit d’un substitut inutilisable (plus d’informations à ce sujet ci-dessous).

    Résultats de l'étude
    Le 5 février 2024 , l'ARCT a annoncé les résultats d'un essai de phase 3 comparant le vaccin auto-amplificateur à ARN messager (ARNm) contre la COVID-19, ARCT-154, à un vaccin « conventionnel » à ARNm contre la COVID-19 qui a été boosté.

    Effet sur Wuhan-Hu-1 :

    Au départ, les participants des groupes ARCT-154 et Comirnaty® présentaient des titres moyens géométriques (GMT) similaires d'anticorps de substitution neutralisants contre la souche Wuhan Hu-1 (le rapport GMT était de 0,94 (IC à 95 % 0,78-1,13)).
    Un mois après la vaccination de rappel (pb), le groupe ARCT-154 avec un GMT de 5390 (IC 95 % 4899-5931, n = 378) a montré une réponse immunitaire plus élevée que le groupe Comirnaty® avec un GMT de 3738 ( IC 95 % 3442-4060, n = 367).

    Trois mois de pb, les GMT étaient de 5 928 (IC à 95 % 5 414-6 491, n = 369) et de 2 899 (2 648-3 175, n = 356). Il convient de noter que les titres au jour 91 étaient égaux ou supérieurs aux titres au jour 29 chez 205 des 369 (55-6 % [IC à 95 % 50-3-60-7]) receveurs d'ARCT-154 , mais seulement chez 108 sur 356 (30 -3% [25-6-35-4]) Destinataires Comirnaty®.

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  26. 4. Au jour 181, les GMT étaient de 4 119 (IC à 95 % 3 723-4 557, n = 332) et de 1 861 (1 667-2 078, n = 313) dans les groupes ARCT-154 et Comirnaty®, respectivement. Les GMT contre Wuhan-Hu-1 sont restés numériquement plus élevés 180 jours après ARCT-154 que les valeurs observées 28 jours après le boost Comirnaty®.

    Ce résultat frappant de titres d’anticorps élevés et prolongés est résumé ci-dessous.

    - voir graph sur site -

    Ce qui semble particulièrement inquiétant est :

    Dans le cas des vaccins auto-amplificateurs, les titres ont augmenté même après un mois et ont apparemment atteint leur maximum environ trois mois après le rappel (à titre de comparaison : avec les vaccins à ARNm de première génération, les titres les plus élevés étaient généralement observés environ 28 jours après le rappel). le booster).
    Même six mois après le rappel, les titres de la nouvelle plateforme étaient toujours supérieurs à ceux de 28 jours après le rappel avec le vaccin original.
    (En revanche, l’immunité adaptative repose sur la mémoire immunitaire, et la diminution des anticorps est une réponse de sécurité inhérente visant à restaurer l’homéostasie – plutôt que de stimuler continuellement une réponse immunitaire).
    La découverte de niveaux d’anticorps aussi incroyablement élevés 6 mois après la vaccination est choquante.

    Quant à Omicron, ARCT affirme ce qui suit :

    "Le même schéma d'immunogénicité supérieure et un déclin plus lent des anticorps neutralisants d'Omicron BA.4/5 ont été observés."

    Les détails peuvent être trouvés ici, résumés dans l’image ci-dessous. Ironiquement, ces données suggèrent fortement que même l’ objectif principal des vaccins auto-amplifiés ne peut pas être atteint dans le contexte d’un virus à mutation rapide .

    - voir graph sur site -

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  27. Malgré tous les efforts visant à augmenter le titre d’anticorps, la figure ci-dessus montre que cela viole les principes naturels de base :

    Le titre beaucoup plus faible (par rapport à la souche Wuhan) suggère la présence de multiples mécanismes qui contredisent les critères de conception des plateformes auto-réplicatives/auto-amplifiantes.
    Ces technologies ne peuvent pas atténuer les effets tels que l'empreinte immunitaire (où la réponse immunitaire réelle provoquée par une exposition répétée à des souches virales antigéniquement différentes est influencée par des expositions antérieures et peut être plus susceptible d'être nocive dans le contexte des vaccins à ARNm - j'ai cela dans mon livre discuté en détail).
    Parce que ces technologies ne sont pas conçues pour fournir une immunité stérilisante , et ne peuvent pas le faire, elles ne peuvent pas empêcher l’évasion immunitaire virale, l’inadéquation des vaccins et d’autres épidémies virales (plus de détails à ce sujet dans mon livre).
    Les plans et objectifs de développement contrastent fortement avec les conclusions précédentes
    Ce qui est particulièrement inquiétant, c’est que les sociétés pharmaceutiques reconnaissent les lacunes des approches actuelles à base d’ARNm. Pour cette raison, affirment-ils, de nouvelles plates-formes sont nécessaires de toute urgence.

    Bien qu'il existe de nombreux défauts et pièges connus des technologies d'ARNm existantes, certains des plus fondamentaux sont les suivants (je les ai tous décrits plus en détail dans mon livre) :

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  28. Large répartition du matériel injecté (comme on le sait désormais, il ne reste pas seulement « dans le bras »).
    Absence de relation dose-réponse claire entre le matériel injecté et l'effet biologique produit : les raisons en sont diverses et vont de nombreux problèmes de fabrication à l'environnement immunologique et physiopathologique unique des vaccinés.
    Persistance du matériau injecté (ici aussi, de nombreux facteurs influencent le degré de dégradation du matériau synthétique, voire pas du tout ; comme on le sait maintenant, la faible dégradabilité de l'ARNm spécialement stabilisé, qui est en outre « protégé » par les nanoparticules lipidiques « devient, effrayant).
    Il devrait désormais être clair que forcer les cellules humaines à produire des protéines étrangères (par exemple le Spike) n’est pas une bonne idée. Même si cela se produit à une échelle limitée, la réponse immunitaire à ces toxines peut être extrêmement destructrice et déclencher une cascade d’effets négatifs.
    La réponse immunitaire déclenchée par les vaccins à ARNm est difficile à prévoir : le résultat réel est là encore très individuel ; cependant, s’il existe un schéma commun, il implique une corruption et une mauvaise orientation des deux bras du système immunitaire (par exemple, réponses immunitaires excessives et destructrices, réponses auto-immunes, développement de la tolérance et amorçage immunitaire).
    L’idée selon laquelle l’immunisation systémique devrait être capable de renforcer l’immunité des muqueuses (comme cela serait nécessaire pour les agents pathogènes respiratoires tels que le SRAS-CoV-2).
    Les injections d’ARNm ne sont pas stérilisantes , ce qui favorise la fuite du virus et conduit à une inadéquation persistante des vaccins.
    Aucun de ces problèmes n’est atténué par les vaccins à ARN auto-amplificateurs. En revanche, les efforts visant à prolonger et à améliorer l’expression des antigènes, en plus de susciter une réponse immunitaire plus forte et plus large, font plus que doubler les graves défauts des vaccins à ARNm existants.

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  29. La sécurité est ignorée

    Aucun des résultats de l’étude ci-dessus n’indique clairement que la sécurité ait été un facteur déterminant. Si tel était le cas, les problèmes de sécurité ci-dessus et ceux liés aux vaccins à ARNm seraient connus et toute la conversation aurait déjà été tuée dans l’œuf.

    Même avec les nouvelles plateformes, le matériau injecté passera partout, résistera à la dégradation normale, déclenchera une variété d'effets indésirables/négatifs, le tout sans aucune preuve de sa sécurité ou de son efficacité.

    La sécurité des technologies génétiques ne peut pas être démontrée en utilisant un petit nombre de participants en bonne santé dans une étude échappant à un contrôle public clair et menée en quelques semaines ou quelques mois. Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles la FDA a jusqu'à présent insisté pour que ces types de thérapies soient testés sur plusieurs années, car les effets retardés à long terme peuvent en fait n'apparaître qu'après 10 à 12 ans ou dans les générations suivantes (plus d'informations à ce sujet dans mon article). Livre).

    Exacerbation des problèmes existants
    La technologie srRNA/saRNA devrait exacerber certains des problèmes connus des vaccins à ARNm de première génération (voir mon livre pour plus de détails).

    ARN indésirables/nocifs :
    On sait depuis longtemps que l’ARN créé synthétiquement n’est pas toujours la belle chaîne d’ARN complète et monocaténaire à laquelle on s’attend. A la place, vous pouvez trouver :

    ARNdb – directement issus du processus de fabrication in vitro, mais également générés in vivo. J'ai consacré beaucoup d'attention aux ARNdb dans mon livre. Bien avant la pandémie, leur rôle nocif en tant que sous-produit indésirable des vaccins à ARNm était connu. Ceux-ci incluent des réponses immunitaires excessives, mais également leur potentiel à avoir un impact négatif sur la mémoire immunitaire. J'ai également décrit pourquoi les ARNdb des vaccins ont un potentiel mutagène important et j'ai décrit divers mécanismes par lesquels ils pourraient conduire à une modification génétique des cellules humaines ou du microbiome humain.
    Molécules d'ARNm fragmentées – qui ne codent pas pour la protéine cible (par exemple le pic) ou pourraient conduire à des produits indésirables hors cible. Selon le procédé de fabrication utilisé, des hybrides ARN/ADN et d’autres espèces d’ARN divergentes peuvent également apparaître.
    Les aspects potentiellement extrêmement nocifs des ARN vaccinaux, qui agissent comme des ARN régulateurs , ont été largement sous-estimés.
    Ces problèmes peuvent être exacerbés par les plateformes ARN sa/sr :

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  30. La bioscience, par exemple , affirme que sa technologie est supérieure à l'ARNm linéaire. Récemment, les ARNm circulaires et d'autres ont attiré énormément d'attention car ils promettent l'avantage de faire en sorte que le ribosome produise simplement de plus en plus de protéines et ne dépérisse pas ; en réalité, la fiabilité de la production de protéines pourrait être gravement perturbée. Il n’y a aucune raison de croire que le ribosome continuera à traiter ces ARNm synthétiques sans problème comme prévu. Il est plus probable que les diverses modifications de l’ARNm conduisent à des propriétés involontaires (par exemple repliement, charge ribosomique, effets sur la traduction) et à des protéines aberrantes, comme c’est déjà le cas pour la pseudouridine.
    Expression de l'ARNm :

    Le principe de base des nouvelles technologies est toujours le même, bien que sous une forme considérablement élargie : la cellule est détournée pour agir comme une usine de production de toxines et produire la plus grande quantité possible de toxines.
    Plusieurs mécanismes ont été discutés (voir mon livre pour plus de détails) qui expliquent pourquoi, même dans les vaccins à ARNm de première génération, une expression continue de l'ARNm synthétique peut se produire (y compris la possibilité que l'ARNm pénètre dans le noyau cellulaire ou... dans l'organisme humain). le microbiote est ingéré, combiné au constat que la matière synthétique ne se dégrade pas). Ces problèmes ne sont pas atténués par les srRNA/saRNA.
    En revanche, avec les ARNs/ARNsa, il y a beaucoup moins de possibilités de changement : par exemple, bien que Bioscience promette que sa plateforme garantit une « amplification contrôlée et auto-limitée » de l’ARNm, cela ne rappelle que trop la promesse antérieure de « « expression contrôlée et limitée dans le temps » de l’ARNm dans les vaccins à ARNm existants.
    Le type de protéine produite :

    L’ARNm des vaccins à ARNm existants a été modifié synthétiquement à des fins de stabilisation et d’immunité. Ironiquement, alors que certains célèbrent encore l’invention lauréate du prix Nobel consistant à remplacer « l’uridine » par la « N1-méthylpseudouridine », les ribosomes humains rencontrent des problèmes avec le vaccin Pfizer. Comme cela a été clairement démontré, dans environ 8 % des cas, la modification synthétique entraîne un « changement de cadre ribosomique », amenant les cellules à produire des protéines non ciblées qui peuvent être très nocives. Il est clair que ce n’est pas un problème nouveau :

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  31. Diverses sociétés pharmaceutiques et chercheurs recherchent depuis longtemps d’autres moyens de modifier l’ARNm. Comme l’a démontré la débâcle de la méthylpseudouridine, le problème reste mal compris. Cependant, les plateformes sa/srRNA augmentent en réalité le besoin de modifications de l’ARNm (par exemple pour augmenter la stabilité ou pour empêcher le système immunitaire d’attaquer et de détruire le produit lui-même).
    De plus, les sa/srARN sont susceptibles d’utiliser des astuces supplémentaires d’optimisation des codons pour améliorer encore la production d’antigènes. Cela entraînera probablement l'apparition de protéines supplémentaires hors cible et une toxicité accrue (par exemple, protéines nocives ou prions pathogènes).

    De nombreuses stratégies d'optimisation et modifications synthétiques sont protégées par le droit d'auteur et ne sont pas accessibles au public pour examen et discussion.
    Potentiel accru d’événements indésirables
    Comme mentionné, CSL et Arcturus Therapeutics affirment qu’une plus grande quantité d’ARNm et d’antigènes augmentera la réponse immunitaire. Cette affirmation est très inexacte, comme on le sait depuis des années (voir mon livre pour plus de détails).

    La présence accrue et continue du même antigène peut en fait réguler négativement toute réponse immunitaire protectrice (c'est-à-dire l'épuisement ou la tolérance des lymphocytes T).
    D’un autre côté, une plus grande quantité d’ARNm et d’antigènes peut conduire à des réactions immunitaires excessives ou à une auto-immunité .

    Leur présence accrue/prolongée est susceptible d'augmenter leurs effets toxiques sur (a) les vaccinés eux-mêmes, (b) ceux qui sont en contact étroit avec eux (c'est-à-dire l'excrétion), (c) leur progéniture.
    L’une de nos pires craintes concernant les vaccins à ARNm s’est récemment confirmée. Les femmes vaccinées ne transmettent pas seulement les antigènes à leur progéniture – comme cela a déjà été observé dans des modèles murins en 2017 avec des vaccins à ARNm auto-amplificateurs (SAM) qui codent pour des antigènes bactériens (décrits dans mon livre).

    Malheureusement, il est maintenant confirmé que les bébés reçoivent à la fois l’ARNm du vaccin Covid-19 et la protéine Spike via l’apport sanguin du placenta. Bien que les questions les plus urgentes concernant les niveaux, les réponses immunitaires, les implications complètes sur le développement et les événements indésirables futurs soient inconnues, il est clair que l’amplification de ces toxines, comme cela se produit via les sa/srARN, n’est pas une bonne idée.

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  32. Les niveaux d’anticorps ne sont PAS un indicateur de protection
    En janvier 2022, un article de Nature soulignait qu’en ce qui concerne l’immunité contre les coronavirus, « les anticorps ont volé la vedette », montrant à quel point « l’immunité basée sur les anticorps peut être fragile face à un virus en évolution ».

    J'ai un chapitre entier consacré à ce sujet et à des sujets connexes dans mon livre, montrant pourquoi les niveaux d'anticorps ne sont pas un indicateur utile de protection. Un exemple:

    Déjà en 2021, Pfizer reconnaissait l’importance de l’immunité des lymphocytes T.
    Les titres d’anticorps sériques sont souvent corrélés à la gravité de la maladie : les patients atteints d’une forme grave de la maladie Covid-19 peuvent avoir des taux d’anticorps sériques anti-SARS-CoV-2 plus élevés que les patients qui se rétablissent rapidement.
    Immunité systémique versus immunité muqueuse : les taux plasmatiques d’IgG ne constituent pas une mesure de l’immunité muqueuse, qui serait essentielle pour les virus respiratoires tels que le SRAS-CoV-2.

    Le chevauchement entre l’immunité systémique et muqueuse montre que le récit d’une présentation accrue et prolongée de l’antigène peut conduire au développement d’une tolérance, à l’épuisement des lymphocytes T et au changement de classe d’IgG, qui entraînent tous une protection décroissante, voire négative.
    Une protection décroissante et négative a été observée pour la première fois dans certaines études israéliennes en 2022 après la quatrième dose de vaccins à ARNm - les effets négatifs se sont produits malgré une énorme augmentation des titres d'IgG et de neutralisation après le rappel.
    Dès le 19 mai 2021, la FDA a déconseillé l’utilisation des anticorps du SRAS-CoV-2 comme substitut à la protection immunitaire, notant
    "Les résultats des tests d'anticorps anti-SRAS-CoV-2 actuellement approuvés ne doivent à aucun moment être utilisés pour évaluer le niveau d'immunité ou de protection d'une personne contre le COVID-19, et surtout pas après que la personne a été vaccinée contre le COVID-19."

    Le titre NAb ne peut pas être assimilé à une protection immunitaire ; ce n'est pas un substitut approprié à la protection, mais il donne plutôt un faux sentiment d'immunité et ne répond pas à des problèmes tels que l'empreinte du système immunitaire et la fuite du virus conduisant à une résistance.

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  33. conclusion

    Les plates-formes Sa/srRNA ne résolvent pas un seul problème connu des technologies d’ARNm de première génération (voir mon livre pour d’autres références non spécifiquement mentionnées ci-dessus). Ils font le contraire :

    Alors que leurs prédécesseurs étaient, selon la législation, des « techniques de thérapie génique » (voir mon livre), les nouvelles plateformes sont des injections génétiques sous stéroïdes.
    Ils sont conçus pour exacerber certains des problèmes les plus graves. Ils sont conçus pour valoriser et préserver les composants les plus toxiques.

    Ce qui est décrit comme une immunogénicité supérieure repose uniquement sur des mesures erronées : les titres d’anticorps neutralisants ne constituent pas un substitut adéquat à la protection. Cela a même été souligné par la FDA en 2021, mais le discours a maintenant changé, renforçant ce récit erroné d’un proxy inutile et trompeur.

    Ces plateformes n’ont même pas l’intention de prévenir l’infection ou de fournir une immunité stérilisante.

    Il ne s'agit pas de la dose injectée. Les technologies d’ARNm sont similaires aux médicaments actifs. Ce qui compte, c'est la manière dont l'organisme gère ces médicaments, et non leur rapport coût-efficacité (les fabricants exigent des doses plus faibles).

    Toutes les informations connues et inconnues sur ces technologies sont préoccupantes. Nous ne disposons pas d’études de grande envergure et impartiales avec un suivi à long terme. De plus, de nombreux détails sont protégés par le droit d’auteur et ne seront pas publiés.

    Nous ne connaissons pas les détails techniques de la fabrication elle-même, ce qui signifie que nous ne savons pas clairement quels sont les problèmes de contamination, en particulier lors d'une production à grande échelle.

    Le fait que les entreprises s’éloignent même des ARN linéaires est préoccupant, car on sait que les ARN circulaires et autres conduisent à des constructions aberrantes et indésirables.

    Il existe également un manque d’informations claires et impartiales sur les composants viraux utilisés dans la fabrication pour fournir les enzymes qui facilitent l’amplification de l’ARNm. De nombreuses questions restent sans réponse, par ex. B. leurs activités ciblées et hors cible, leur persistance et leur dégradation dans le corps, ainsi que les problèmes de fabrication.

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  34. On sait depuis des années que les sous-produits d’ARNdb, en particulier, posent toute une série de problèmes aux technologies d’ARNm. À mon humble avis, ce sujet est largement sous-estimé. J'ai consacré de grandes sections de mon livre à ces graves problèmes. On sait depuis longtemps que ces problèmes deviendront encore plus graves avec les technologies d’auto-réplication/auto-amplification.

    L’un des plus grands dangers des ARNdb et autres espèces aberrantes associés aux technologies ARNm est leur fort potentiel mutagène : plusieurs mécanismes sont désormais connus pour la façon dont ils pénètrent dans le noyau cellulaire et même le génome humain ou son microbiote peuvent être (rétro)intégrés.

    La stratégie « d’optimisation » des technologies ARN sr/sa augmentera intrinsèquement leur potentiel d’excrétion – ce qui a été initialement reconnu même par Pfizer lors des essais de ses vaccins de première génération.

    Il est impossible de croire que les ARN synthétiques ou les produits créés ne puissent pas affecter le microbiome humain.

    Les risques environnementaux, dus par exemple à diverses interactions involontaires entre les injections génétiques et d'autres êtres vivants ou lors de leur élimination, devraient également augmenter.

    Parmi les dangers les plus graves liés à la présence accrue/prolongée des produits vaccinaux, outre l’impact direct sur l’immunogénicité et le développement de la progéniture des femmes vaccinées, figure également le risque de falsification génétique de ces bébés.

    https://tkp.at/2024/02/21/selbstreplizierende-und-selbstverstaerkende-rna-impfstoffe-sind-katastrophen-auf-steroiden/

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  35. SILVANO TROTTA OFFICIEL
    @silvano_trotta
    Témoignage d'un embaumeur :

    "Il s'agit d'une vidéo dans laquelle je retire un des étranges caillots fibreux blancs de la veine jugulaire droite. La personne qui l'a enregistrée est Nicky King, qui est également embaumeur. Je ne l'ai remarqué que lorsque j'ai soulevé le vaisseau. Je pouvais le sentir à l'intérieur de la veine. Je ne montre cela que parce que les gens n'y croient toujours pas et demandent une preuve vidéo. Quelle en est la cause ? Je ne peux pas le dire avec certitude, mais je n'ai commencé à observer ce phénomène qu'au début de l'année 2021. Malheureusement, je trouve encore des caillots étranges dans plusieurs corps que j'embaume." https://x.com/r_hirschman/st

    https://twitter.com/r_ hirschman/status/1759337235042758748

    https://twitter.com/silvano_trotta

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  36. Dr Astrid Stuckelberger a reposté

    jean-claude perez
    @JCPEREZCODEX

    Les données portant sur 100 millions de vaccinés font apparaitre des signaux de sécurité forts pour les myocardies et péricardies (au moins X2 des risques ) https://pgibertie.com/2024/02/19/les-donnees-portant-sur-100-millions-de-vaccines-font-apparaitre-des-signaux-de-securite-forts-pour-les-myocardies-et-pericardies-au-moins-x2-des-risques/
    via @GibertiePatrice

    https://pgibertie.com/2024/02/19/les-donnees-portant-sur-100-millions-de-vaccines-font-apparaitre-des-signaux-de-securite-forts-pour-les-myocardies-et-pericardies-au-moins-x2-des-risques/

    https://twitter.com/Stuckelberger/status/1759621264753258957?cn=ZmxleGlibGVfcmVjcw%3D%3D

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  37. L’EMA sur la contamination par l’ADN – Croyez-nous : non pertinent, preuves inutiles


    21 février 2024
    par le Dr. Hans-Joachim Kremer et JG Ogg


    Les autorités pharmaceutiques européennes se sont apparemment mises d’accord sur une tactique dilatoire en ce qui concerne la contamination par l’ADN des vaccins modRNA. Les concentrations d’ADN constatées sont environ 100 fois supérieures à la valeur limite. Un arrêt immédiat des ventes est indispensable. Après cela, des investigations plus approfondies sont nécessaires. Une résurgence de la responsabilité des fabricants est probable.

    Fin décembre, j'ai (HJK) découvert que l'EMA avait déjà élargi la section 1 de la FAQ pour inclure le sujet des impuretés d'ADN dans les vaccins modRNA depuis le 1er décembre 2023 . Apparemment, ces déclarations n’ont pas été prises en compte, du moins sur la scène critique germanophone.

    Des ruptures de logique, des déclarations générales et le manque de référence aux réponses de la FAQ m'ont amené (HJK) à dresser une liste de 32 questions , auxquelles ont ensuite répondu les députés européens Zimniok (AfD, D), Kuhs (AfD , D) et de Graeff (FvD, NL) ont été adressés à l'EMA.

    Nous discutons ci-dessous des aspects clés de la réponse de l'EMA à ces questions.

    Nomenclature utile : ARNm ou ARNmod ?
    Au début, nous voulions savoir pourquoi, contrairement aux faits biologiques et pharmacologiques et aux omissions des fabricants, c'est-à-dire Pfizer-Biontech 2 et Moderna, l'EMA parle encore d'« ARNm » ou depuis quand exactement, même si elle devrait raisonnablement être appelé modRNA.

    La réponse de l’EMA semble enfantine et opiniâtre :

    Attention, le terme « ARN messager » désigne un ARN qui correspond à une séquence d'ADN et qui est utilisé dans une cellule pour fabriquer une protéine. La description que nous utilisons pour ces vaccins est donc valable.

    "… valide". Devise : Plus de discussion ! Raison : Aucune.

    Hormis certains politiciens de la (non)santé, il devrait au moins être clair pour l'EMA que la particularité des vaccins modRNA réside moins dans la complexation en nanoparticules lipidiques que dans la modification de l'ARN, à savoir que dans cette molécule d'ARN, l'uridine naturelle est La 1-méthylpseudouridine artificielle a été remplacée, explicitement dans le but de protéger l'ARN ainsi modifié, c'est-à-dire le modRNA, d'une dégradation rapide par les nucléases. Vous pouvez même en savoir plus sur Wikipédia. C'est pourquoi Pfizer-Biontech, par exemple, a parlé de « modRNA » dans ses documents d'approbation 2.

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  38. Dans ce contexte, je voudrais juste vous rappeler la déclaration d'Alena Buyx dans un talk-show selon laquelle l'ARNm serait immédiatement décomposé dans le corps. Cela est certainement vrai pour le vrai ARNm, mais pas pour le modRNA. Apparemment, tous les « experts » ne sont pas bien informés.

    Alors pourquoi l’EMA continue-t-elle d’insister sur cette confusion de termes ? Certaines personnes trouvent évidemment ennuyeux que des célébrités disent des bêtises comme celle ci-dessus.

    C’est déjà clair ici : l’EMA ne veut admettre aucune erreur.

    Contrôle de l'ADN dans le processus de fabrication
    Nous considérons que cette partie de la réponse de l’EMA est suffisante. Cette déclaration claire est importante :

    La limite d'ADN résiduel dans les lots de médicaments Comirnaty… correspond à <10 nanogrammes d'ADN par dose adulte (30 microgrammes d'ARN) de Comirnaty.

    Cette déclaration fait référence au produit final, car il n’existe pas de dose dans un produit préliminaire. De plus, c’est sans ambiguïté : pas plus de 10 ng d’ADN ne peuvent être contenus par dose.

    - voir cadre sur site -

    Si l'on prend en compte ces détails du produit, alors un maximum de 75 ng d'ADN par flacon pour le concentré pour adultes, correspondant à 33 ng d'ADN par ml dans la solution diluée finie, serait acceptable (calcul en annexe ). Si ces valeurs sont dépassées, une situation hors spécifications (OOS) se produirait, ce qui entraînerait une action immédiate (voir ci-dessous).

    Le problème suspecté d’OOS a également été abordé dans le questionnaire. L’EMA a répondu succinctement :

    ... l'hypothèse selon laquelle il existe une situation « hors spécifications »...<)> n'est pas étayée par les preuves scientifiques disponibles.

    Ici, l'EMA reste fidèle à la ligne exposée ci-dessus : elle ne fournit aucune référence à cette déclaration ni accès aux fichiers et nie complètement les circonstances.

    Plus haut dans la lettre de réponse, l’EMA explique :

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  39. L’ADN résiduel est testé par qPCR… dans la substance active.

    Il y a probablement une astuce linguistique ici. Pour déterminer le modRNA, l’EMA écrit qu’il est déterminé « dans le principe actif et dans le produit final ». Ce choix de termes masque le fait que, selon le cahier des charges, la teneur en ADN n'est pas déterminée dans le produit final, mais plutôt dans l'un des produits préliminaires. Cette différence discrète est importante car seul le produit final est contrôlé par des laboratoires officiels, appelés OMCL. En revanche, lors de la libération des lots de produits préliminaires, les autorités s'appuient uniquement sur les données fournies par les fabricants. Donc sur le papier, qui sait être patient. En fait, nulle part dans les tests de lots finaux, il n’y a de test d’ADN dans le produit final.

    C'est déjà assez dommage que l'ADN du produit final ne soit pas systématiquement testé. Mais si vous trouvez plus de 10 ng/ml, il y a un problème.

    Or, les études allemandes sur la teneur en ADN de 5 lots différents ont montré que même le « meilleur » lot dépassait la valeur limite de 83 fois, le pire même de 350 fois.

    Tableau : Résultats de mesure de la teneur en ADN

    - voir cadre sur site -

    Résultats de mesure du professeur Brigitte König à partir de différents lots Comirnaty, toujours à partir de la solution diluée. aimablement fourni par le Dr. Jürgen O. Kirchner, extrait du livre « Soiled ».
    Ces excès sont si importants qu’ils ne peuvent plus s’expliquer par un stockage inadéquat, notamment l’évaporation, ou par le vieillissement. Cela doit être souligné car l’Île-du-Prince-Édouard allemande a invoqué de telles excuses. Il n’existe aucun processus biochimique qui pourrait même expliquer une augmentation de l’ADN dans un flacon stérile.

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  40. De telles découvertes auraient normalement nécessité un certain nombre de mesures d'urgence :

    Le simple soupçon raisonnable d'une telle contamination aurait dû conduire à des analyses analytiques immédiates par les autorités elles-mêmes, d'abord sur tous les lots courants, puis sur ceux mentionnés ci-dessus, puis sur tous les lots. Apparemment, cela n’est pas arrivé à ce jour !
    Un arrêt immédiat de la vente de tous les lots aurait dû être imposé jusqu'à la fin de ces contrôles (quarantaine).
    Seuls les lots conformes aux spécifications , c'est-à-dire avec une teneur en ADN <10 ng/ml, ont pu être libérés de quarantaine .
    Toute destruction d’échantillons de réserve pour tous les vaccins contre la COVID-19 aurait dû être immédiatement interdite sous peine de sanctions .
    Il convient de noter à ce stade que Kevin McKernan avait déjà publié le 16 février 2023 les premiers résultats sur le contenu en ADN des vaccins modRNA . Trop de temps a été perdu dans l’inaction.

    En outre, il faut se demander comment cette situation OOS extrême a pu se produire malgré la libération des lots par OMCL. Nous ne voyons que deux possibilités : soit les fabricants ont intentionnellement falsifié les données pour le contrôle en cours de production, ce qui entraînerait alors une responsabilité globale pour « faute », soit les autorités l'ont délibérément ignoré.

    En principe, on pourrait aussi considérer que les autorités ont tout simplement négligé ces problèmes. Cependant, la persistance de la tactique du mur en lien avec la contamination de l’ADN s’oppose clairement à cette idée.

    Quoi qu’il en soit, il est incompréhensible que les autorités ou les OMCL dissimulent au public des données sur le contrôle en cours du contenu de l’ADN . Il est évident que l’invocation des secrets commerciaux est utilisée. Parce que les données de contrôle technique ne peuvent pas mettre en péril les brevets.

    Sécurité des produits modRNA

    Le traitement de ces aspects par l'EMA est extrêmement négligent. Bien qu'au moins 12 références au thème du turbo-cancer aient été mentionnées dans les questions, l'EMA ne fait aucun effort pour y répondre et formule une affirmation générale :

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  41. Nous voudrions …. soulignez qu’il n’y a eu aucun signe confirmé de survenue d’un cancer, y compris de ce que vous qualifiez de « turbo cancer », suite à la vaccination contre la COVID-19.

    Aucune référence, aucune discussion, aucune tentative de réfutation concrète, aucune propre enquête telle que les analyses de disproportionnalité des données de pharmacovigilance qui sont obligatoires pour les autorités ne sont utilisées ici. Rien! Faut-il craindre que des données concrètes confirment les mauvais soupçons ?

    Désintérêt total de l'autorité pour la santé publique et la santé publique ! Une telle autorité peut-elle encore être crédible d’une manière ou d’une autre ?

    Perspectives : nouvelles mesures
    Après les mesures immédiates indispensables, des enquêtes plus approfondies devraient être ouvertes. Celles-ci relèvent clairement de la responsabilité des fabricants et des autorités .

    Un vaste programme d'essais toxicologiques doit être mis en place pour déterminer dans quelle mesure différentes concentrations d'ADN sont responsables de toxicités, notamment en matière de cancer. Bien entendu, de telles études doivent être réalisées conformément aux exigences des Bonnes Pratiques de Laboratoire (BPL).
    Les échantillons conservés pour chaque ancien lot doivent être vérifiés pour leur teneur en ADN. Si ceux-ci ont été détruits entre-temps, tous les certificats d'analyse en cours avec toutes les données doivent être publiés.
    Par conséquent, toutes les données de pharmacovigilance doivent être analysées statistiquement pour déterminer leur relation avec la teneur en ADN des lots respectifs, en particulier pour déterminer s'il existe un lien entre la teneur en ADN et le cancer.
    Remarques finales

    L’argument de l’OOS peut paraître trop formel et peu scientifique. Mais n’oubliez pas : il doit y avoir de bonnes raisons pour cette spécification. Maintenant que les valeurs limites ont été massivement dépassées, il n’est en aucun cas permis d’agir comme s’il n’y avait jamais eu de bonnes raisons. Si les raisons n'étaient pas viables, il faut maintenant présenter de bien meilleures raisons, c'est-à-dire des données, qui montrent clairement et sans équivoque que la contamination par l'ADN est inoffensive. En attendant, il faut continuer à supposer le contraire. Les produits OOS ne sont plus autorisés à circuler. Comme avec n’importe quel autre produit.

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  42. La balle est désormais dans le camp des constructeurs et des autorités. Ils ne bougeront probablement que si le public fait pression sur eux. L'ensemble du sujet est d'ailleurs essentiel car ces incidents justifient directement la relance de la responsabilité des constructeurs . Cela est d'autant plus important que les contrats des fabricants avec les gouvernements, qui sont par nature immoraux, transfèrent la quasi-totalité de la responsabilité des fabricants.

    La teneur de la réponse de l'EMA est similaire aux réponses que nous avons reçues de l'Île-du-Prince-Édouard et de Swissmedic. Devise : Croyez-nous : non pertinent, preuves inutiles.

    Informations d'identification:
    1 Là : « Y a-t-il de l’ADN dans les vaccins à ARNm ? » Les déclarations de l’EMA sont également consignées dans les questions des parlementaires et n’ont pas encore été modifiées. Cependant, la référence à la date a désormais été supprimée. PDF ci-joint .

    2 Module Pfizer-Biontech 2.5 (aperçu clinique du m25, section 2.5.1.2.). Il s'agit du principal document d'approbation, disponible sur https://clinicaldata.ema.europa.eu/web/cdp/home ,

    Pièces jointes

    Capture d'écran actuelle de la FAQ de l'EMA « Y a-t-il de l'ADN dans les vaccins à ARNm ? » :

    EMA-FAQ-Y a-t-il-de-l'ADN-dans-les-vaccins-à-ARNm

    Lettre des membres du Parlement européen à l'EMA :

    Lettre de motivation à l'EMA des députés européens Zimniok, Kuhs et de Graaff

    La réponse de l'EMA à ceci :

    2024_01_30_Reply_to_letter_from_MEPs_Bernhard_Zi_240131_085422_hjk

    Calcul de la valeur limite :

    Limite d'ADN de calcul

    https://tkp.at/2024/02/21/ema-zu-dna-verunreinigungen-glaubt-uns-einfach-nicht-relevant-evidenz-unnoetig/

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  43. Klebsiella pneumoniae (CRKP), la bactérie tueuse que la covid a fait exploser (et les injections?) Devinez les molécules efficaces?


    le 20 février 2024
    par pgibertie


    Derrière chaque grande épidémie virale il y a une bactérie tueuse , la pire celle qui sévit dans les hôpitaux

    L’une des menaces nosocomiales les plus alarmantes était celle de Klebsiella pneumoniae (CRKP), résistante aux carbapénèmes. La surveillance de l’incidence du CRKP et de la résistance aux antimicrobiens à l’échelle mondiale et locale est d’une importance vitale.

    Klebsiella pneumoniae est une bactérie intestinale commune pouvant provoquer des infections potentiellement mortelles. Sa résistance aux antibiotiques de dernier recours (les carbapénèmes) s’est propagée dans toutes les régions du monde. K. pneumoniae est une cause majeure d’infections nosocomiales : pneumonies, infections sanguines et infections des nouveau-nés et des patients en unités de soins intensifs

    Plusieurs questions se posent:

    Pourquoi cette explosion récente?

    Pourquoi les macrolides, l’artemesinine et l’ivermectine sont elles efficaces?

    Quid des injections ???

    L’Europe reconnaît les risques de cancers, de résistance aux antibiotiques, de fertilité et d’intégration de l’ADN plasmidique dans le génome mais…uniquement pour les animaux

    Dans une étude rétrospective, l’incidence du CRKP au cours de la période pré-COVID-19 (2017-2019) et de la pandémie de COVID-19 (2020-2022) a été étudiée à l’hôpital militaire central de Ružomberok, en République slovaque.

    L’incidence relative du CRKP a augmenté de manière significative au cours de la période COVID-19, de 4,8 fois, passant de 0,18 à 0,76 %.

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  44. Dans le même temps, 47 % des patients CRKP-positifs souffraient également du COVID-19. Vingt-six isolats producteurs de KPC et soixante-neuf isolats producteurs de NDM ont été identifiés. Les CRKP isolés en 2022 ont été soumis au séquençage du génome entier et leur sensibilité a été testée au céfidérocol, à la ceftazidime – avibactam, à l’imipénème – relebactam et au méropénème – vaborbactam, avec d’excellents résultats. Les isolats producteurs de KPC étaient également très sensibles à la colistine (92 %). Les isolats de NDM ont révélé des taux de sensibilité plus faibles, dont seulement 57 % de sensibilité à la colistine. ST-307 prédominait dans les KPC et ST-11 dans les isolats de NDM. Malgré l’excellente activité des nouveaux antimicrobiens, une politique antibiotique rationnelle doit être scrupuleusement suivie, appuyée par des traitements complémentaires et des précautions anti-épidémiques strictes.

    - voir doc sur site -

    Avec la propagation inquiétante de la Klebsiella pneumoniae hypervirulente résistante aux carbapénèmes en Europe.

    - voir doc sur site -

    L’European Centre for Disease Prevention and Control (ECDC) a récemment tiré la sonnette d’alarme quant à la dissémination rapide d’une souche de Klebsiella pneumoniae aux caractéristiques préoccupantes.

    Cette bactérie, qualifiée d’hypervirulente et de résistante aux carbapénèmes qui sont des antibiotiques de dernier recours, est en effet en train de se propager à un rythme inquiétant à travers l’Europe. Selon l’ECDC, la Klebsiella pneumoniae hypervirulente résistante aux carbapénèmes (CR-HvKP) représente une menace particulièrement préoccupante. Contrairement aux souches classiques de K. pneumoniae, bactérie opportuniste affectant généralement des patients fragiles, la version hypervirulente peut causer des infections sévères même chez des personnes jeunes et en bonne santé.

    Son spectre de maladie est également plus étendu, avec une présentation multifocale et une dissémination métastatique fréquentes. Des abcès hépatiques pyogènes, des méningites, des fasciites nécrosantes ou encore des endophtalmies font ainsi partie du tableau clinique. Entre 2021 et début 2024, le nombre de pays européens touchés est passé de 4 à 10 selon l’ECDC. La France, l’Italie, la Norvège ou encore les Pays-Bas font partie des nouveaux pays rapportant des cas d’infection à cette souche baptisée CR-HvKP.

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  45. En parallèle, le nombre de cas recensés est passé de seulement 12 à 143 en l’espace de 3 ans. Une augmentation vertigineuse qui ne serait que la face émergée de l’iceberg selon les experts, la capacité de détection faisant encore défaut dans beaucoup d’établissements hospitaliers européens. Autre élément aggravant, cette souche combine hypervirulence et résistance aux antibiotiques de dernier recours. Si les premiers cas de K. pneumoniae hypervirulente ont initialement été décrits en Asie dans les années 1980-1990, sans résistance associée, la situation a désormais radicalement changé.

    L’acquisition récente de divers gènes de résistance aux carbapénèmes confère à la bactérie une multirésistance très inquiétante. La CR-HvKP est ainsi redoutable à double titre. D’une part, son caractère hypervirulent lui permet de causer des infections graves y compris chez des personnes auparavant en bonne santé. D’autre part, ses mécanismes de résistance aux carbapénèmes compromettent sérieusement la capacité à traiter ces infections.

    Or, les carbapénèmes sont considérés comme les derniers antibiotiques efficaces contre les bactéries multirésistantes. Face à la CR-HvKP, l’arsenal thérapeutique est donc extrêmement limité. Cette caractéristique est d’autant plus préoccupante que l’ECDC considère très probable que cette souche soit en train de devenir la cause dominante d’infections nosocomiales en Europe. Autrement dit, la CR-HvKP se propagerait de manière foudroyante au sein même des hôpitaux et cliniques du continent. Sa dissémination silencieuse chez des patients fragiles risque donc de mener à une augmentation sensible de la morbidité et de la mortalité dans un futur proche, craint l’agence européenne.

    Face à ce constat alarmant, l’ECDC presse les États membres à réagir rapidement. Elle insiste notamment sur le besoin crucial d’augmenter les capacités de dépistage par des tests moléculaires rapides. Seule une identification précoce des porteurs, qu’ils soient symptomatiques ou non, permettra de déceler les chaînes de transmission nosocomiales et de les interrompre. L’agence appelle également à un renforcement des mesures d’hygiène et de confinement dans les établissements de santé. À défaut d’une mobilisation d’envergure de l’ensemble des maillons de la chaîne de soins, l’Europe court un risque sanitaire majeur. L’épidémie rampante de CR-HvKP pourrait rapidement échapper à tout contrôle et provoquer une crise aussi grave que mal anticipée. La flambée de cas survenue en quelques années doit servir de signal d’alarme avant qu’il ne soit trop tard, alerte l’ECDC. Alors, voilà la nouvelle pandémie infernale ? Peut-être…

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  46. https:// mostraak.com/la-prochaine-p andemie-se-profile/ …

    https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC9758284/#:~:text=Doxycycline%20has%20also%20successfully%20treated,at%208%20h%20in%20K.

    La ciprofloxacine est le meilleur antibiotique pour inhiber la croissance de Klebsiella pneumoniae non-BLSE et de Klebsiella pneumoniae BLSE par rapport au cotrimoxazole et à la doxycycline . L’effet inhibiteur augmente avec l’augmentation de la concentration.

    https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37541531

    Objectifs : Cette méta-analyse a examiné l’effet des macrolides sur la résolution de la pneumonie communautaire (PAC) et l’interprétation du bénéfice clinique en fonction de la microbiologie ; l’accent est mis sur les pays sous-déclarés (URC).

    Méthodes : Cette méta-analyse comprenait 47 publications publiées entre 1994 et 2022. Les publications ont été analysées pour la mortalité à 30 jours (58 759 patients) et la résolution de la PAC (6 465 patients). Une méta-analyse distincte a été réalisée pour la prévalence des agents pathogènes respiratoires dans les URC.

    Résultats : La mortalité après 30 jours a été réduite par l’ajout de macrolides (rapport de cotes [OR] 0,65, intervalle de confiance [IC] à 95 % 0,51-0,82). Le RC pour la résolution du CAP lorsque des macrolides étaient ajoutés au schéma thérapeutique était de 1,23 (IC à 95 % 1,00-1,52). Dans l’analyse de résolution CAP, l’agent pathogène le plus répandu était Streptococcus pneumoniae (12,68 % ; IC à 95 % 9,36-16,95 %). L’analyse de l’épidémiologie des pathogènes des URC comprenait 12 publications. Les agents pathogènes les plus répandus étaient S. pneumoniae (24,91 %) et Klebsiella pneumoniae (12,90 %).

    Conclusion : L’ajout de macrolides au schéma thérapeutique a entraîné une diminution relative de 35 % de la mortalité à 30 jours et une augmentation relative de 23 % de la résolution du CAP.

    Paramètres cliniques de la maladie hypervirulente de Klebsiella pneumoniae et du traitement à l’ivermectine chez les bébés otaries de Nouvelle-Zélande (Phocarctos hookeri)

    Ces dernières années, l’utilisation de matières végétales comme complément alimentaire et comme médecine alternative a augmenté. Les herbes médicinales sont une riche source d’agents antimicrobiens. Dans cette enquête, les effets antimicrobiens des extraits de feuilles au méthanol et à l’éthanol d’Artemisia annua contre Staphylococcus aureus PTCC 1431, Salmonella enterica PTCC 1231, Klebsiella pneumonia PTCC 1053, Shigella dysenteriae PTCC 1188 et Escherichia coli PTCC 1399 ont été étudiés, en utilisant la méthode de diffusion par puits. Les extraits au méthanol et à l’éthanol obtenus à partir de feuilles d’A. annua ont présenté une activité antimicrobienne contre les micro-organismes testés. L’extrait méthanolique d’A. annua a montré une forte inhibition de la croissance de S. aureus PTCC 1431, S. enterica PTCC 1231 avec des inhibiteurs de 16,5 et 15,5 mm, avec une moyenne de 13,7 mm. Les résultats indiquent que des extraits d’A. annua pourraient être utilisés efficacement contre des maladies causées par des agents pathogènes humains sélectionnés

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  47. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35239682

    - voir doc sur site -

    https://www.researchgate.net/publication/264347453_In_vitro_Antimicrobial_Activity_of_Artemisia_annua_Leaf_Extracts_against_Pathogenic_Bacteria

    Ces dernières années, l’utilisation de matières végétales comme complément alimentaire et comme médecine alternative a augmenté. Les herbes médicinales sont une riche source d’agents antimicrobiens. Dans cette enquête, les effets antimicrobiens des extraits de feuilles au méthanol et à l’éthanol d’Artemisia annua contre Staphylococcus aureus PTCC 1431, Salmonella enterica PTCC 1231, Klebsiella pneumonia PTCC 1053, Shigella dysenteriae PTCC 1188 et Escherichia coli PTCC 1399 ont été étudiés, en utilisant la méthode de diffusion par puits. Les extraits au méthanol et à l’éthanol obtenus à partir de feuilles d’A. annua ont présenté une activité antimicrobienne contre les micro-organismes testés. L’extrait méthanolique d’A. annua a montré une forte inhibition de la croissance de S. aureus PTCC 1431, S. enterica PTCC 1231 avec des inhibiteurs de 16,5 et 15,5 mm, avec une moyenne de 13,7 mm. Les résultats indiquent que des extraits d’A. annua pourraient être utilisés efficacement contre des maladies causées par des agents pathogènes humains sélectionnés

    https://pgibertie.com/2024/02/20/klebsiella-pneumoniae-crkp-la-bacterie-tueuse-que-la-covid-a-fait-exploser-et-les-injections-devinez-les-molecules-efficaces/

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  48. Les véhicules électriques lourds et NON RESPECTUEUX de l’environnement déchirent les routes, alourdiront les parkings et « mettront une pression supplémentaire sur l’infrastructure de transport américaine ».


    19/02/2024
    Ethan Huff


    Malgré toutes les allégations « respectueuses de l’environnement » qui les entourent, les véhicules électriques (VE) sont tout sauf bons pour l’environnement. En fait, ils font des ravages sur les infrastructures déjà en difficulté du pays en raison de leur poids.
    Selon les dernières données, certains véhicules électriques pèsent jusqu'à 50 % de plus que les véhicules à moteur à combustion interne traditionnels, ce qui, nous dit-on, « nuit » à l'environnement. Quel effet tout ce poids excessif a-t-il sur les routes, les ponts et les parkings du pays ?

    La réponse est que les véhicules électriques causent beaucoup de dégâts à l’infrastructure américaine en ruine, qui a actuellement désespérément besoin de réparations si elle veut durer et assurer le bon fonctionnement des affaires et de l’économie.

    C'est quelque chose que beaucoup de gens négligent lorsqu'ils considèrent les facteurs « verts » associés aux véhicules électriques, mais leur simple poids signifie que chaque voiture qui passe sur l'autoroute s'use beaucoup plus.

    "Les problèmes associés aux véhicules électriques sont sur le point de s'aggraver à mesure que de plus en plus de consommateurs achètent des voitures dans le cadre du plan de l'administration Biden visant à éliminer les véhicules à essence et les émissions d'échappement qui les accompagnent", lit-on dans un rapport du Washington Times sur la menace environnementale et infrastructurelle des véhicules électriques. .

    Les ingénieurs écrivant pour Structure Magazine sont d'accord, ayant écrit un article appelant les entreprises de construction et les codes du bâtiment à procéder aux ajustements et aux aménagements nécessaires pour tout ce poids supplémentaire, qui augmente constamment à mesure que de plus en plus de personnes achètent des véhicules électriques pour signaler leur amour pour la planète.

    "L'augmentation significative du poids des véhicules de tourisme, combinée à la réduction récente des exigences de conception structurelle, entraînera une réduction des facteurs de sécurité et une augmentation des coûts d'entretien et de réparation des structures de stationnement", préviennent les ingénieurs.

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  49. "Il existe de nombreux cas de défaillances de structures de stationnement, et la demande croissante de véhicules électriques ne fera qu'augmenter la probabilité de défaillance."

    Les garde-corps traditionnels sont également menacés par les véhicules électriques très lourds, qui ont tendance à les traverser au bulldozer, ce qui va complètement à l’encontre de leur objectif. Cela crée des dangers pour les autres voitures qui risquent de se faire percuter par un « pilote automatique » Tesla devenu voyou, par exemple.

    (Connexe : avez-vous vu notre rapport expliquant pourquoi les véhicules électriques sont une arnaque ?)

    Les véhicules électriques comptent sur des nations NON AMICALES pour les pièces et les matériaux
    Un autre problème sérieux avec les véhicules électriques est le fait qu’ils ne peuvent pas, du moins selon les règles actuelles d’exploitation minière et de production, être produits ici en Amérique du Nord. Bien sûr, ils peuvent être assemblés ici, mais les matériaux et les pièces, y compris les minéraux de terres rares, proviennent généralement d'autres pays.

    Le problème est aggravé par le fait que la plupart des régions d’où proviennent les pièces et les matériaux des véhicules électriques sont des pays voyous comme la Chine communiste qui sont des ennemis des États-Unis.

    Ensuite, il y a le fait qu’il faut beaucoup d’énergie pour alimenter tous les véhicules électriques qui inondent les routes, mais pas assez d’infrastructures énergétiques pour assurer leur recharge quotidienne. Cela pourrait éventuellement conduire à un scénario de panne du réseau, avec des baisses de tension et des pannes d’électricité qui interrompraient le service électrique régulier pour les foyers et les entreprises.

    Malgré tout cela, le régime Biden continue de promouvoir les véhicules électriques auprès des Américains comme solution au soi-disant « changement climatique » et au « réchauffement climatique », même si certains à droite, dont le sénateur Marco Rubio (Républicain de Floride) mettre en garde contre eux.

    "Les véhicules électriques sont généralement beaucoup plus lourds que les véhicules à essence de taille similaire, ce qui exercera une pression supplémentaire sur l'infrastructure de transport américaine", aurait déclaré Rubio.

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  50. "L'American Society of Civil Engineers prévient qu'une augmentation du nombre de véhicules électriques pourrait réduire considérablement la durée de vie des routes et des ponts, ce qui nécessiterait des investissements supplémentaires dans les infrastructures."

    Les véhicules électriques ne sont vraiment pas tout ce qu’ils prétendent être. Apprenez-en davantage sur les dangers et les menaces sur GreenTyranny.news.

    Les sources de cet article incluent :

    WND.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2024-02-19-environmentally-unfriendly-ev-roads-strain-infrastructure.html

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  51. EUSEW 2024 : on recherche de jeunes ambassadeurs de l’énergie !

    La Semaine Européenne de l’Énergie Durable (EUSEW) a lancé un appel à candidatures pour les Jeunes Ambassadeurs de l’Énergie. Cette opportunité unique est destinée aux jeunes professionnels âgés de 18 à 34 ans contribuant à la transition énergétique à travers l’Union Européenne. Ils seront le jeune public de l’événement et agiront comme multiplicateurs de sa campagne.


    Eusew 2024
    Par EUSEW


    Cette opportunité tombe à pic pour les jeunes passionnés par l'énergie durable et désirant être à l'avant-garde du mouvement. Ils peuvent saisir cette chance en postulant au programme des Jeunes Ambassadeurs de l'Énergie, une opportunité pour les jeunes de contribuer au changement mondial vers un avenir plus vert.

    Les Jeunes Ambassadeurs de l'Énergie sont invités à promouvoir les messages de l'EUSEW au sein de la jeune communauté de l'énergie et parmi les actionnaires, ainsi qu'à défendre le thème de cette année : « Des solutions énergétiques zéro-net pour une Europe compétitive ». En retour, ils bénéficieront d'un partenariat et d'une grande visibilité sur les canaux de communication officiels.

    Les candidatures prennent fin le 3 mars

    La date limite pour les candidatures est le dimanche 3 mars. Le groupe sera composé de 30 jeunes à travers l'Europe, issus de différents secteurs et étapes de carrière (études, emploi, engagement personnel). Le processus de sélection privilégie la diversité en termes de genre, d'âge, de profession et de nationalité.

    D'avril 2024 à juin 2025 : le programme ambassadeur

    Lors de l'évaluation des candidatures, trois critères clés seront évalués, chacun sur une échelle de 1 à 10 : profils, action et impact. Les candidats doivent montrer leurs atouts, décrire leur parcours et fournir une description détaillée des actions tangibles qu'ils ont entreprises. De plus, la candidature doit démontrer explicitement l'impact des activités décrites.

    L'un des membres du groupe sélectionné participera aux activités de la Journée Européenne de l'Énergie des Jeunes qui auront lieu à Bruxelles, pendant l'événement. Le programme ambassadeur se déroulera d'avril 2024 à juin 2025. L'équipe organisatrice de l'EUSEW couvrira les frais de voyage et d'hébergement.

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  52. À propos de l'EUSEW

    La Semaine Européenne de l'Énergie Durable (EUSEW) est le plus grand événement dédié aux énergies renouvelables et à l'utilisation efficace de l'énergie en Europe, organisé par la Direction Générale de l'Énergie de la Commission Européenne et l'Agence Exécutive Européenne pour le Climat, les Infrastructures et l'Environnement (CINEA). En 2024, l'EUSEW se tiendra dans un format hybride, en ligne et sur site à Bruxelles, du 11 au 13 juin. Le titre de la conférence est « Des solutions énergétiques nettes zéro pour une Europe compétitive ». La Semaine Européenne de l'Énergie Durable comprend une conférence politique de trois jours, la cérémonie de remise des Prix Européens de l'Énergie Durable, la Foire de l'Énergie et la cinquième édition de la Journée Européenne de l'Énergie des Jeunes. Les participants auront également accès à des Journées de l'Énergie Durable organisées indépendamment, se déroulant en ligne et en formats physiques dans le monde entier, de mars à juin 2024. Pour ne rien manquer sur l'agenda et le lieu des événements, veuillez consulter ec.europa.eu/eusew et #EUSEW2024 sur les réseaux sociaux.

    Cet article est publié dans le cadre de la Semaine européenne de l'énergie renouvelable dont EconomieMatin et l'Energeek sont partenaires. L'article a été traduit par l'IA avec relecture humaine. Vous trouverez également la version originale sur EconomieMatin ici.

    https://www.economiematin.fr/eusew-2024-recherche-jeunes-ambassadeurs-energie

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    1. Ces jeunes demeurés trisomiques devront porter le badge représentant la photo de Gréta (sa tête ou son cul) ou celle du chef de l'Etat. Ils auront pour mission de couper tous les fils électrique et brûler toutes les voitures qui osent consommer de l'énergie ! Hahahaha !

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  53. Les écologistes veulent castrer les écureuils et tuer les cerfs , Bill Gates veut enfouir 28millions d’ha de forêt, et les huitres réchauffent la planète: TOUS CINGLÉS


    le 20 février 2024
    par pgibertie


    La presse se fait l’écho d’idées géniales pour sauver la planète. The Telegraph rapporte la nécessité de castrer les écureuils et d’abattre les cerfs . Quand on part d’un délire, on reste dans le délire. En faisant du gaz carbonique l’indicateur de la fin du monde alors qu’il est l’indicateur de la vie, on est dans l’inverse absolu de ce qu’il faut faire. Et on ira de catastrophes en catastrophes.

    Ouest France:

    Après les vaches, les huîtres ! On savait déjà que les flatulences des bovins généraient du méthane. On apprend que celles des huîtres aussi, dans une étude, publiée vendredi par le journal spécialisé Scientific Reports.

    Selon les chercheurs, les huîtres, moules, palourdes et autres crustacés bivalves élevées en mer Baltique sont responsables de 10 % des émissions de gaz à effet de serre, méthane et protoxyde d’azote, produits par cette mer intracontinentale du nord de l’Europe.

    Gaz à effet de serre

    Les crustacés jouent ainsi « un rôle important dans la production des gaz à effet de serre » mais ce dernier « est négligé », notent les auteurs de l’enquête. Même s’il est produit en petite quantité, le méthane est un gaz bien plus néfaste en termes de réchauffement climatique que le dioxyde de carbone généré par les voitures.

    Les écureuils seront castrés chimiquement et les cerfs seront abattus, cuits et servis aux prisonniers dans le cadre des plans net zéro visant à protéger les arbres d’Angleterre.

    Le gouvernement élabore des options pour contrôler la population de cerfs et d’écureuils afin de protéger les zones boisées dans le but de limiter la production de carbone du pays et d’aider les espèces indigènes.

    La population de cerfs la plus élevée depuis 1 000 ans dévaste les forêts, tandis que l’on estime que les écureuils gris coûtent à l’économie 37 millions de livres sterling par an en impacts négatifs sur les arbres, tout en ravageant les populations d’écureuils roux .

    Les risques pour les forêts menacent également de saper les efforts visant à accroître le recours à la construction de maisons à ossature bois, dans le cadre des plans visant à réduire les émissions de carbone dans le secteur de la construction.

    Le ministère de l’Environnement, de l’Alimentation et des Affaires rurales (Defra) devrait publier une stratégie sur les cerfs et les écureuils pour résoudre ce problème.

    https://pgibertie.com/2024/02/20/les-ecologistes-veulent-castrer-les-ecureuils-et-tuer-les-cerfs-bill-gates-veut-enfouir-28millions-dha-de-foret-et-les-huitres-rechauffent-la-planete-tous-cingles/

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  54. Transport : 8 Français sur 10 dépendants de leur voiture ?

    La relation des Français avec leur voiture est marquée par une dépendance quasiment totale. Les Français ne peuvent en effet pas s’en passer, y compris pour les besoins primaires. Or, c’est un problème lorsque le coût de la voiture augmente en flèche, comme c’est le cas depuis plusieurs années.


    Par Paolo Garoscio
    le 21 février 2024 à 14h57


    Une voiture coûte en moyenne 35.474 euros en France.

    La dépendance des Français envers leur voiture est claire
    La voiture est essentielle dans la vie quotidienne des Français, servant non seulement pour les déplacements primaires mais aussi comme vecteur de lien social. C’est l’enseignement principal, mais peu étonnant, de l’étude menée par l’Ifop pour Roole et publiée le 20 février 2024. Les chiffres sont éloquents : 79 % des Français dépendent de leur voiture pour les courses et les rendez-vous médicaux, 75 % pour se rendre au travail, et 80 % pour visiter famille et amis.

    Cette dépendance s'accentue loin des centres urbains, soulignant une fracture territoriale où la voiture est synonyme d'autonomie « 90 % des habitants des communes rurales sont ainsi dépendants de leur voiture pour rendre visite à des proches, contre 66 % dans l’agglomération parisienne », écrit l’étude.

    Avoir une voiture coûte… cher !

    La gestion du budget automobile est une préoccupation majeure pour les ménages français. Avec 65 % des propriétaires dépensant plus de 100 euros par mois et 16 % plus de 300 euros, la voiture représente une charge financière significative. Sur une année, ça représenterait une charge comprise entre 1.200 et 3.600 euros. Sans compter les problèmes qui peuvent survenir de manière inattendue.

    Pour y faire face, les Français adoptent diverses stratégies d'économie : « 65 % des Français évitent de prendre l’autoroute, dont 35 % de manière régulière (46% d’une manière régulière parmi les catégories pauvres contre 23 % chez les catégories aisées). De la même manière, près d’un automobiliste sur deux (49 %) a revu à la baisse ses contrats (assurance, parking…). ».

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  55. L’écologie ou l’économie ? Les Français n’ont pas encore choisi

    Malgré une conscience écologique croissante, les pratiques vertes peinent à s'imposer. L'écoconduite est largement adoptée (83 % des Français), mais le covoiturage reste marginal, et ce malgré les gains. « 2 à 3 Français sur 10 envisagent le covoiturage longue distance ou le « colis-voiturage » pour rentabiliser les coûts de leur voiture. » « En matière de covoiturage, les motivations financières (33 %) dominent également devant les convictions écologiques (18 %). 35 % des conducteurs indiquent toutefois que les deux raisons comptent autant dans leur attitude. »

    L’économie « de débrouille », selon les termes de l’étude Ifop pour Roole, serait une option pour 50% des interrogés. « 51 % songent à choisir des pièces de rechange d’occasion plutôt que des neuves en cas de réparation » et « 25 % pensent à installer un boîtier ou un kit permettant de rouler au bio-éthanol ».

    https://www.economiematin.fr/voiture-francais-dependance-economies-solution

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  56. Transport : les vélos-cargos de Babboe seraient dangereux

    Vous disposez d’un vélo-cargo ? Prenez garde ! Plusieurs modèles de Babboe ont été épinglés par l’Autorité néerlandaise de sécurité des aliments et des produits de consommation (NVWA) pour défaut de fabrication, mettant en danger la sécurité de milliers d’usagers.


    Par Axelle Ker
    le 21 février 2024 à 12h32


    vs vélos-cargos de Babboe vont de 2.000 à 10.000 euros

    Babboe suspend la vente de ses vélos-cargos et rappelle certains de ces modèles
    Coup dur pour le leader mondial néerlandais des vélos-cargos, Babboe : la NVWA lui a ordonné de suspendre, depuis le 14 février 2024, la vente de plusieurs de ses modèles. Cette mesure drastique fait suite à la découverte de risques significatifs pour la sécurité des usagers.

    L'entreprise hollandaise a annoncé sur son site le rappel de ses vélos concernés et incite les utilisateurs à ne plus les utiliser. Le défaut de fabrication serait lié au cadre du vélo qui serait susceptible de se rompre lors de son utilisation. Et compte tenu de la popularité de la marque et de la diversité des modèles impliqués, des milliers de personnes seraient concernées.

    8 modèles rappelés par Babboe :

    Babboe Carve-E / Carve Mountain
    Babboe Max-E
    Babboe Big / Big-E
    Babboe Dog / Dog-E
    Babboe Curve / Curve-E / Curve Mountain
    Babboe City / City-E / City Mountain
    Babboe Pro Trike / Trike-E / Trike XL
    Babboe Mini-E / Mini Mountain
    Babboe, leader mondial des vélos-cargos

    L'essor des vélos-cargos a transformé les rues de nos villes. Fondée aux Pays-Bas, Babboe s'est rapidement imposée comme le leader mondial du vélo-cargo, grâce à une vision innovante et un engagement envers la qualité et la durabilité. Avec des ventes s'échelonnant entre 2.000 et 10.000 euros (pour les modèles électriques), Babboe a su conquérir un large public, offrant des solutions de transport alternatives pour les familles, les professionnels et les passionnés de cyclisme urbain.

    Les vélos-cargos de Babboe, qui étaient jusqu'alors reconnus pour leur robustesse et leur fonctionnalité, ont permis à de nombreux usagers de remplacer la voiture par une alternative plus écologique et saine pour la santé. Malgré plusieurs rappels, notamment en 2019, l'entreprise n'a semble-t-il pas mis en place des moyens suffisants pour pallier à ces problèmes de sécurité. L'annonce de la NVWA pourrait porter un sacré coup à Babboe, allant jusqu'à lui faire perdre sa position de leader sur le marché. Les utilisateurs et les entreprises qui utilisent les vélos-cargos de Babboe sont invités à contacter le Customer Contact Center ou le 00.31+90.00.38.8.

    https://www.economiematin.fr/transport-velo-cargo-babboe-securite-rappel

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  57. Température et gaz carbonique

    L'un des principaux domaines de recherche de M. Clark est la paléoclimatologie (l'étude des conditions climatiques à l'aide d'enregistrements indirects tels que les données sur les cernes des arbres, les carottes de glace et d'autres enregistrements indirects), et en particulier la paléohydrogéologie arctique, qui est l'étude de l'eau de la Terre. à travers l'histoire.

    "Pendant les périodes glaciaires, nous avons connu de grandes variations de température, et cela n'est pas dû à l'activité solaire directe, mais à la quantité d'activité solaire qui frappe la Terre à certains moments.

    « Le gaz carbonique ne provoque pas de réchauffement climatique. Le réchauffement climatique provoque davantage de gaz carbonique», a déclaré Edwin Berry, physicien théoricien et météorologue consultant certifié. Il a qualifié la position de la Royal Society sur le gaz carbonique de « pure science indésirable ».
    Ian Clark, professeur émérite au Département des sciences de la Terre et de l'environnement de l'Université d'Ottawa, convient que si toutes les émissions de gaz à effet de serre cessaient aujourd'hui, la Terre continuerait de se réchauffer, mais pas à cause du gaz carbonique.
    Il a déclaré que contrairement à l’opinion populaire, la température ne suit pas le gaz carbonique, mais plutôt le az carbonique qui, lui-même, est dû à l’activité solaire.

    Température et gaz carbonique

    L'un des principaux domaines de recherche de M. Clark est la paléoclimatologie (l'étude des conditions climatiques à l'aide d'enregistrements indirects tels que les données sur les cernes des arbres, les carottes de glace et d'autres enregistrements indirects), et en particulier la paléohydrogéologie arctique, qui est l'étude de l'eau de la Terre. à travers l'histoire.

    "Pendant les périodes glaciaires, nous avons connu de grandes variations de température, et cela n'est pas dû à l'activité solaire directe, mais à la quantité d'activité solaire qui frappe la Terre à certaines latitudes importantes, toutes causées par des événements célestes", a déclaré M. » dit Clark.

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  58. « La Terre, dans notre système solaire, bouge et est bousculée. Et nous avons différents modèles d’orbite qui affectent l’apport solaire, ce qui crée des périodes glaciaires et des périodes interglaciaires – dans lesquelles nous nous trouvons actuellement. Et le gaz carbonique suit cela. Nous assisterons donc à d’énormes changements de température, allant des périodes glaciaires aux périodes interglaciaires, et le gaz carbonique deviendra très faible pendant les périodes glaciaires et très élevé pendant les périodes interglaciaires.

    « Cela donne l’impression que le gaz carbonique détermine le climat, mais en réalité, il le suit. Il y a environ 800 ans de retard. »

    M. Clark a déclaré que pendant les périodes glaciaires, et en particulier au cours des 10 000 dernières années, les scientifiques ont une assez bonne idée de la température, grâce à des enregistrements indirects. Il a déclaré que ces documents montrent que la période chaude médiévale était probablement beaucoup plus chaude qu'aujourd'hui et que l'agriculture et la civilisation étaient florissantes.

    Mais le Petit Âge Glaciaire a suivi cela entre les années 1400 et 1800. « Et c’est à ce moment-là que nous avons eu des difficultés avec l’agriculture », a déclaré M. Clark.

    « La Tamise a gelé. Nous avons toutes sortes de souvenirs sur le froid, et certains diraient misérable, à cette époque-là. Mais ensuite, la température a recommencé. Ainsi, environ tous les 1 000 ans environ, nous semblons avoir ces fluctuations. Cela est dû à l’activité solaire, et c’est là que l’on voit l’importance du soleil, qui est la source d’énergie ultime au-delà de l’énergie géothermique et nucléaire. L’énergie solaire stimule le climat.

    Une autre étude évaluée par des pairs, réalisée par le scientifique William Jackson, a examiné la relation entre les niveaux de gaz carbonique et la température au cours des 425 derniers millions d'années.

    M. Jackson est un chercheur distingué et professeur émérite du département de chimie de l'UC-Davis, spécialisé dans la compréhension du rôle que jouent des molécules telles que le gaz carbonique, l'azote et le monoxyde de carbone dans l'atmosphère planétaire.

    Son article, publié en 2017, révèle que « les changements dans la concentration atmosphérique de gaz carbonique n’entraînaient pas de changement de température dans l’ancien climat ».

    - voir graph sur site -

    De même, un groupe de chercheurs dont le rapport a été publié dans Nature a découvert qu'en examinant les compositions isotopiques du carbone à l'échelle d'un million d'années, le gaz carbonique atmosphérique à long terme n'était pas lié à la température et montrait même une tendance inverse, en particulier après des événements majeurs tels que comme les éruptions volcaniques.

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  59. Ils ont en outre constaté que lorsque la température et le gaz carbonique atmosphérique atteignaient un certain niveau, l’enfouissement du carbone organique augmentait considérablement, entraînant finalement une diminution significative des niveaux de gaz carbonique atmosphérique.

    Cette activité, a déclaré M. Berry, consiste à équilibrer les niveaux de gaz carbonique par la nature, ce qui est un processus continu.

    Entrée et sortie

    Le gaz carbonique s'écoule de l'atmosphère vers les plantes par la photosynthèse et le sol par la décomposition, est absorbé par les océans, puis libéré par la respiration, l'évaporation et la combustion de combustibles fossiles. L’ensemble du processus s’appelle le cycle du carbone.

    De plus, M. Berry a déclaré qu'une fois que le gaz carbonique dans l'atmosphère augmente jusqu'à un certain niveau, la nature augmente automatiquement le flux sortant.

    "C'est presque comme une baignoire, qui peut avoir un bec ouvert pour que l'eau puisse s'écouler si elle atteint un certain niveau", a-t-il déclaré. « Un certain réglage de l’afflux fera monter le niveau jusqu’à un certain point. Et plus le niveau [de l’eau] monte, plus elle s’écoulera vite. Il existe un niveau d’équilibre pour tout paramètre d’afflux : un niveau d’équilibre où tout reste le même. En d’autres termes, les sorties sont égales aux entrées. Et lorsque le flux sortant atteint le flux entrant, il atteint son niveau d’équilibre et ne s’accumule plus.

    M. Berry a déclaré que l’hypothèse selon laquelle les humains sont seuls responsables de l’augmentation du gaz carbonique est problématique.

    Selon l'IPCC de l'ONU, depuis 1750, la concentration de gaz carbonique est passée de 280 parties par million (ppm) à plus de 420 ppm, et l'IPCC affirme que cette augmentation est anthropique ou causée par l'homme. .

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  60. « Les concentrations actuelles de gaz carbonique et de CH4 [méthane] atmosphériques dépassent de loin les valeurs préindustrielles trouvées dans les enregistrements de carottes de glace polaires sur la composition atmosphérique remontant à 650 000 ans », déclare l'IPCC.
    « De multiples éléments de preuve confirment que l’augmentation post-industrielle de ces gaz ne découle pas de mécanismes naturels. ... Les émissions de gaz carbonique dues à l'utilisation de combustibles fossiles et aux effets du changement d'affectation des terres sur le carbone des plantes et des sols sont les principales sources d'augmentation du gaz carbonique atmosphérique.

    M. Berry a qualifié la déclaration du IPCC de « totalement inutile ».

    "J'ai utilisé les propres données du IPCC sur le cycle du carbone, qui, selon l'IPCC, sont précises à environ 20 %", a-t-il déclaré. « Le modèle ne donne pas aux humains une production de 140 ppm. Il ressort plus proche de 30 ppm. Ce qui signifie essentiellement que l'IPCC a tort.»

    M. Berry a déclaré qu’il n’y avait aucune base scientifique pour affirmer qu’« une certaine quantité de dioxyde de carbone dans l’air provoque une certaine augmentation de la température ».

    « Ils disent que nous devons réduire le gaz carbonique à 350 ppm pour le refroidir à la température d'il y a quelque temps ? Il n’y a pas de physique là-dedans », a-t-il déclaré.

    « Toute cette affirmation est totalement absurde. Le gaz carbonique ne provoque pas de changement de température ; la température provoque un changement de gaz carbonique.
    Climat dicté par le soleil
    "Si nous réduisions complètement les émissions, le gaz carbonique cesserait d'augmenter au rythme actuel", a déclaré M. Clark. « Mais il continuerait probablement à augmenter jusqu’à un certain point, puis il pourrait redescendre. Mais cela dépendrait de la température.
    M. Clark a déclaré que dans différentes parties du monde et à différents moments de l’année, le gaz carbonique fluctue « entre 15 et 20 %t », et cela dépend de la température des saisons.

    « Si nous commençons à avoir des étés plus frais et des hivers plus froids, ces fluctuations commenceraient à faire baisser davantage le gaz carbonique. Mais dans l’ensemble, le climat fera tout ce que le soleil lui dictera », a-t-il déclaré.

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  61. « Nous comprenons assez bien les différents cycles que peut traverser le soleil et la manière dont ils s’accumulent. Parfois, ils s’amplifient mutuellement. Parfois, ils s’annulent. Nous recevons donc un signal plutôt chaotique, mais certains se manifestent assez fortement : ce cycle de 1 000 ans semble être assez fort.
    « Nous avons eu la période chaude romaine, puis la période chaude médiévale, et maintenant nous avons la période chaude moderne ; un deux trois. Et l’histoire et les archives nous disent qu’elles ne durent que quelques centaines d’années, et nous en sommes déjà à une centaine d’années.

    En plus de ne pas affecter la température, M. Clark a déclaré que les tentatives visant à réduire le gaz carbonique sont dangereuses en raison de l'effet attendu sur les plantes.

    « Les plantes C4, comme le maïs, ont évolué il y a seulement 20 à 30 millions d’années. Et ils ont évolué en réponse à la diminution du gaz carbonique dans l’atmosphère. Ils sont donc arrivés relativement tardivement dans notre biosphère et reflètent le danger d’une diminution des émissions de gaz carbonique », a-t-il déclaré.

    La majorité des plantes, comme les arbres, le blé et le riz, sont ce que l’on appelle des plantes C3, qui prospèrent à des niveaux de gaz carbonique plus élevés, de 800 à 1 500 ppm.

    M. Clark a déclaré que l’un des avantages de l’augmentation des émissions de CO2 est l’amélioration des rendements céréaliers mondiaux et le verdissement général de la planète.

    En réponse à la demande de commentaires d'Epoch Times sur les conclusions de la Royal Society selon lesquelles la température continuera d'augmenter pendant des centaines, voire des milliers d'années, même si les émissions de gaz carbonique cessaient aujourd'hui, Alex Matthews-King, attaché de presse principal du groupe, a déclaré par courrier électronique. "Il s'agit d'un rapport évalué par des pairs, rédigé conjointement par des membres de la Royal Society et de la National Academy of Science des États-Unis."

    Il a souligné l’avant-propos du rapport, qui déclare : « Le changement climatique est l’un des problèmes déterminants de notre époque. Il est désormais plus certain que jamais, sur la base de nombreux éléments de preuve, que les humains modifient le climat de la Terre. L’atmosphère et les océans se sont réchauffés, ce qui s’est accompagné d’une élévation du niveau de la mer, d’un fort déclin de la banquise arctique et d’autres changements liés au climat.

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  62. « Les impacts du changement climatique sur les populations et la nature sont de plus en plus évidents. Les inondations, les vagues de chaleur et les incendies de forêt sans précédent ont coûté des milliards de dégâts. Les habitats subissent des changements rapides en réponse aux changements de températures et de régimes de précipitations. Les appels à l’action se font de plus en plus forts.

    M. Clark a convenu que les humains « ont une empreinte sur cette planète, cela ne fait aucun doute ».

    Mais il a suggéré que l’effet plus important, sous-estimé, se fait sentir dans les océans, où les humains ont « tué 90 %t de la population de grands poissons, ainsi que les baleines et tout le reste ».

    Il a déclaré qu’il pensait que l’argent et les ressources consacrés aux conférences sur le climat pourraient servir à « réellement améliorer les problèmes environnementaux ».

    « Quiconque est réaliste sur le plan climatique reconnaît que l'argent que nous dépensons pour l'atténuation – où nous pensons que nous réduisons le thermostat du gaz carbonique ou que nous essayons de revenir au thermostat et d'éviter au monde un réchauffement de 1,5 degré – sait que c'est un fantasme. . Nous ne pouvons en aucun cas affecter le climat avec ce que nous faisons. »

    https://www.theepochtimes.com/article/fixation-on-co2-ignores-real-driver-of-temperature-say-experts-5588495?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge

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  63. Goldman stimule les échanges d'uranium physique dans un contexte de flambée des prix


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 21 FÉVRIER 2024 - 00H20
    Par Tsvetana Paraskova de OilPrice.com


    Goldman Sachs, Macquarie et certains hedge funds ont stimulé les échanges physiques et les transactions d'options sur l'uranium dans un contexte de flambée des prix, alors que de nombreux pays cherchent à augmenter la production d'énergie nucléaire pour atteindre leurs objectifs climatiques tout en réduisant les besoins d'importations de combustibles fossiles.

    Goldman a augmenté le commerce de l'uranium physique et a créé un dérivé du commerce de l'uranium en vendant des options sur l'uranium physique pour les hedge funds, ont déclaré à Reuters des sources des hedge funds et du secteur du trading familiarisées avec ces transactions.

    Alors que le géant des banques d'investissement Goldman Sachs fait principalement affaire avec des hedge funds et d'autres clients financiers, Macquarie a intensifié ses échanges avec la production d'uranium des mineurs, a déclaré à Reuters une source qui a fait affaire avec les deux banques.

    L'uranium est dans un marché haussier alors que de nombreuses économies cherchent à utiliser davantage la production d'énergie nucléaire dans le cadre d'une renaissance de la technologie après la crise énergétique et l'invasion russe de l'Ukraine.

    Lors du sommet sur le climat COP28 à la fin de l’année dernière, les États-Unis et 21 autres pays se sont engagés à tripler leurs capacités d’énergie nucléaire d’ici 2050, affirmant qu’incorporer davantage d’énergie nucléaire dans leur mix énergétique est essentiel pour atteindre leurs objectifs de zéro émission nette dans les décennies à venir.

    "La Déclaration reconnaît le rôle clé de l'énergie nucléaire pour atteindre zéro émission nette de gaz à effet de serre à l'échelle mondiale d'ici 2050 et maintenir l'objectif de 1,5 degré Celsius à portée de main", a déclaré le Département d'État américain.

    En raison de la résurgence de l'énergie nucléaire, les prix de l'uranium ont grimpé au début de cette année pour atteindre leur plus haut niveau depuis 16 ans après que Kazatomprom, le plus grand producteur d'uranium au monde, ait déclaré en janvier que les pénuries d'acide sulfurique et les retards dans la construction des gisements récemment découverts pourraient conduire à la résurgence de l'énergie nucléaire. l’entreprise n’a pas atteint ses objectifs de production – des défis qui pourraient persister l’année prochaine.

    Les prix de l'uranium ont doublé au cours de l'année écoulée pour atteindre plus de 100 dollars la livre, dans un contexte de resserrement de l'offre, et les sociétés minières occidentales cherchent à augmenter leur production.

    https://www.zerohedge.com/markets/goldman-boosts-physical-uranium-trades-amid-soaring-prices

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  64. "Faire face à l'inévitable crise du chocolat" - Retracer le chaos sur les marchés du cacao


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 20 FÉVRIER 2024 - 02h00


    Le chroniqueur de Bloomberg Opinion, Javier Blas, qui couvre l'énergie et les matières premières, s'est exprimé lundi dans un article sur "l'effondrement imminent" de l'industrie mondiale du chocolat après des décennies de sous-investissement dans les pays d'Afrique de l'Ouest.

    "Contrairement à la plupart des autres produits agricoles, le cacao n'est pas devenu une entreprise de plantation", a déclaré Blas, ajoutant que les agriculteurs pauvres dominent les producteurs de cacao en Afrique de l'Ouest, responsables de 75 % de la production mondiale de cacao. Dans le même temps, il a souligné que les investissements n'étaient destinés qu'à la transformation des fèves en chocolat - "et non à la plantation, à la culture et à la récolte des cacaoyers".

    C'est pour cette raison qu'il a prévenu : "Nous sommes tous désormais confrontés à l'inévitable crise du chocolat".

    Le premier graphique que Blas a fourni aux lecteurs était celui des contrats à terme sur le cacao à New York qui se mettaient en orbite. Ces prix atteignent désormais 6 000 dollars la tonne, battant récemment le record de 1977.

    - voir graph sur site -

    Source : Bloomberg

    "Fin 2023, le cacao était l'un des quatre principaux produits de base qui s'échangeaient encore en dessous de leurs prix record fixés dans les années 1970, lors du précédent boom des matières premières", a déclaré Blas.

    Les analystes des matières premières ont déclaré que certaines prévisions suggèrent que le coût du cacao à New York pourrait atteindre 10 000 dollars la tonne.

    Ce qui est imminent, c'est que la pénurie de cacao en Afrique de l'Ouest se fera sentir dans les supermarchés du monde entier.

    Il y a quelques semaines à peine, Michele Buck, directrice générale de The Hershey Co., a prévenu :

    "Nous ne pouvons pas parler des prix futurs... étant donné la situation actuelle des prix du cacao, nous utiliserons tous les outils à notre disposition, y compris la tarification, pour gérer l'entreprise."

    Les quatre principaux pays producteurs, représentant 75 % de la production mondiale de cacao, sont la Côte d'Ivoire, le Ghana, le Cameroun et le Nigeria.

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  65. - voir graph sur site -

    Source : Bloomberg

    L'Afrique de l'Ouest est le roi du cacao.

    - voir graph sur site -

    Source : Bloomberg

    Blas a présenté un graphique illustrant le déficit de fèves de cacao le plus important de l'histoire moderne. Il a ajouté que les initiés du secteur estiment que "le marché se dirige vers un déficit de 300 000 à 500 000".

    - voir graph sur site -

    Source : Bloomberg

    Et les stocks mondiaux de cacao s’effondrent.

    - voir graph sur site -

    Source : Bloomberg

    "Je ne suis pas convaincu que le changement climatique ait quelque chose à voir avec la crise actuelle", a noté Blas.

    Séparé de Blas, Bloomberg s'est récemment entretenu avec Paul Davis, responsable du cacao chez le principal négociant de softs Sucres et Denrees SA, qui a averti que les marchés mondiaux du cacao seraient « dans un équilibre très serré » pendant encore 18 mois à trois ans.

    Davis a poursuivi: "Aucune cavalerie ne vient à la rescousse."

    Soupir...

    https://www.zerohedge.com/commodities/cocoa-crisis-charts

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  66. Environnement : vous devez manger moitié moins de viande

    Afin de parvenir à réduire les émissions de gaz à effet de serre dans le secteur de l’agriculture jusqu’aux niveaux auxquels la France s’est engagée, tout en adoptant une alimentation plus saine, les Français devraient diminuer de moitié leur consommation hebdomadaire de viande, affirme la Société française de nutrition.


    Par Anton Kunin
    é le 21 février 2024 à 8h00


    La France s’était engagée à réduire les émissions de gaz à effet de serre du secteur agricole de 46% d’ici 2050..

    Viande : 450 g par semaine suffisent pour satisfaire les besoins nutritionnels
    D’après une étude réalisée par la Société française de nutrition, la France pourrait parvenir à respecter ses engagements climatiques (en ce qui concerne le secteur de l’agriculture) en diminuant de 50% sa consommation de viande. (Rappelons que la France s’était engagée à réduire les émissions de gaz à effet de serre du secteur agricole de 46% d’ici 2050.) Cette initiative, en harmonie avec les besoins nutritionnels, éviterait le recours à des compléments alimentaires et marquerait un pas significatif vers la durabilité.

    La mise en œuvre d’un tel choix par tous à un niveau individuel pourrait réduire l'empreinte carbone de l'alimentation française de 20% à 50%. (Cette fourchette est large parce qu’elle prend en compte différents scénarios, selon les autres ajustements alimentaires que les gens adopteront en plus de la diminution de la consommation de viande.) L'étude précise que limiter l'apport en viande à 450 g par semaine contribuerait significativement à cette baisse d'impact environnemental, tout en respectant les besoins nutritionnels. Cette approche est soutenue par diverses études menées précédemment, notamment les scénarios Transition(s) 2050 de l'ADEME, qui préconisent une consommation accrue d'aliments d'origine végétale.

    La recommandation de consommer 300-630 g de viande par semaine maximum existe déjà ailleurs en Europe
    La nécessité de réviser le Programme National Nutrition Santé (PNNS) est soulignée, la France devant s'adapter aux standards internationaux qui intègrent les enjeux environnementaux dans les recommandations alimentaires. Tel est déjà le cas dans les recommandations alimentaires nationales de la Suède (depuis 2015), du Danemark (depuis 2021) et de l'Espagne (depuis 2022). « Les guides alimentaires de ces pays montrent qu’il est donc possible d’élaborer des recommandations favorables à la fois à la santé des populations et à l’environnement », écrivent les auteurs de l’étude.

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  67. Si vous souhaitez adhérer d’ores et déjà à cette recommandation, sans attendre qu’elle soit officielle, sachez que la Société française de nutrition recommande donc de ne pas consommer plus de 450 g de viande par semaine, incluant l’ensemble des viandes : viande rouge (boeuf, porc, etc.), volaille, charcuterie et autres viandes transformées (saucisses, cordons bleus, etc.), en précisant que la consommation de charcuterie ne doit pas dépasser 150 g par semaine (conformément à la recommandation du PNNS actuel sur la charcuterie).

    https://www.economiematin.fr/viande-reduire-consommation-moitie-recommandation-etude

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    1. (...) Afin de parvenir à réduire les émissions de gaz à effet de serre dans le secteur de l’agriculture jusqu’aux niveaux auxquels la France (...)

      FAUX ! 'La France' NE S'EST JAMAIS ENGAGÉE ! Mais seulement le ou la trou de cul au ministère de l'Escroquerie !

      Il n'y a AUCUNE 'empreinte carbone ou méthane' dans l'air car... TOUS les gaz se recyclent immédiatement depuis toujours car, s'ils ne le faisaient pas... l'(humanité ne serait même pas apparue !

      Notez bien que la 'Société française de nutrition' est un nom flambant neuf que n'importe qui peut déposer comme la 'Société française de la vraie nutrition' vous conseille de manger de la viande tous les jours !

      En réalité, derrière cette agression ministérielle se cache une perspective beaucoup, beaucoup plus alarmante: le vol ! Le vol dans des fermes ! Le vol de vaches, porcs, volailles, etc, car la revente offrirait une marge très importante ! C'est donc une politique poussant à développer l'agression, le meurtre envers la communauté rurale.

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  68. L'Australie autorise les bananes génétiquement modifiées


    20 février 2024
    de Thomas Oysmüller


    Pour les scientifiques, il s’agit de la première banane génétiquement modifiée au monde à être autorisée aux consommateurs.

    Les clients australiens se verront bientôt proposer des bananes génétiquement modifiées dans les supermarchés. La banane OGM, réputée résistante à la « maladie de Panama », est autorisée à être disséminée et a été approuvée pour la consommation humaine. La variété QCAV-4 est, selon les scientifiques, « la première banane génétiquement modifiée au monde et sera le premier fruit génétiquement modifié approuvé par le gouvernement australien pour la culture en Australie ». À long terme, la banane OGM pourrait également remplacer les bananes classiques en Europe.

    L'ère des gènes

    La banane est menacée dans le monde entier par la maladie de Panama (TR4), une maladie fongique qui prive les bananiers de leurs nutriments et finit par les tuer. La banane génétiquement modifiée est vendue comme une « option de réserve » et comme « une étape importante vers la construction d’un filet de sécurité pour les bananes Cavendish du monde contre le TR4. » Elle est « sûre » à manger, selon un sous-paragraphe du rapport actuel du revue Permis Nature

    Les scientifiques affirment qu’« un gène de banane a été transféré d’une banane à une autre », ce qui n’est « pas inhabituel ». Jusqu'à présent, le TR4 est également « assez bien contrôlé » en Australie, de sorte que la banane OGM n'est pas nécessaire : « Mais cela peut changer, c'est donc vraiment notre filet de sécurité », a déclaré le professeur Dale, qui dirige la recherche.

    Après plus de sept ans d'essais sur le terrain dans le Territoire du Nord de l'Australie, les bananes QCAV-4 sont désormais testées sur les parcours du Queensland. Par ailleurs, l’équipe de recherche se concentrera immédiatement sur une autre version OGM de la banane « résistante à d’autres maladies ». L'Australie est à la recherche de la super banane.

    "Les modifications génétiques sont beaucoup moins préoccupantes, en particulier pour les régulateurs et les consommateurs, c'est donc la prochaine étape, une version génétiquement modifiée", a poursuivi Dale. Le génie génétique peut rendre les bananes « à l’épreuve du temps ».

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  69. Un argument très similaire est avancé dans l’UE, où les aliments OGM ont été massivement déréglementés. Une fois que la banane génétiquement modifiée sera sur le marché, l’UE devra également être prête à l’accueillir. Il ne devra pas être contresigné, comme l'exige la nouvelle réglementation.

    La liesse suscitée par l'approbation en Australie ressemble beaucoup à la propagande de l'UE. Dale dit :

    « Nous aurons besoin de ce type de technologies pour réduire l’utilisation de pesticides, mais aussi pour développer de nouvelles variétés capables de faire face aux nouvelles conditions, car nous devons nous adapter à un climat beaucoup plus difficile. »

    https://tkp.at/2024/02/20/australien-erlaubt-gen-banane/

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    1. La banane est le fruit le plus consommé dans le monde.

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  70. Les végans pètent sept fois plus que les autres! Et ils veulent réduire de moitié la consommation de viande… On fait quoi?


    Publié le 21 février 2024
    par pgibertie


    évidement le méthane sera alors relâché directement par le consommateur et non l’animal. Les végan pètent 7 fois plus et chaque pet contient 50% de plus de méthane Non comptabilisé dans l’étude

    - voir doc sur site -

    Pour atteindre cet objectif il faudrait manger de 3 à 14 fois plus de légumes. Sans même atteindre le même apport calorique global.

    - voir doc sur site -

    https://pgibertie.com/2024/02/21/les-vegans-petent-sept-fois-plus-que-les-autres-et-ils-veulent-reduire-de-moitie-la-consommation-de-viande-on-fait-quoi/

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    1. Effectivement, entr'autres les fayots, font péter, tandis que la viande ne le fait pas !
      Les vaches mangent de l'herbe (comme les chèvres, moutons, éléphants, girafes, etc !).

      En aparté: Les poules (en cages de 30x30 cm !) comme les poules 'au sol' (enfermée nuit et jour dans un hangar fermé elles n'ont jamais vu le soleil depuis leur naissance !), développent des maladies (grippes aviaire) et ne peuvent s'épouiller dans la terre !.
      Une poule mange de l'herbe et peu de grains (blé). Mais en élevages...

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  71. Eau minérale en bouteille : Foodwatch attaque Nestlé et Alma

    L’organisation non gouvernementale Foodwatch a relancé une affaire qui ébranle la confiance des consommateurs français dans l’eau en bouteille : les pratiques illégales de traitement de l’eau par de grands noms de l’industrie, telles que Nestlé Waters et le groupe Alma, qui commercialisent des marques bien connues comme Cristalline, Perrier, Vittel, et Saint-Yorre. Ces entreprises auraient utilisé des méthodes de filtration non autorisées.


    Par Paolo Garoscio
    Modifié le 21 février 2024 à 10h49



    Le prix moyen d'une bouteille de 1,5 litre est d'environ 0,55 euro

    Eau en bouteille : que reproche Foodwatch ?

    Foodwatch, armée des résultats d'une enquête menée par la cellule d'investigation de Radio France et Le Monde publiée le 29 janvier 2024, accuse ces entreprises d'avoir recours à des systèmes de traitement de leurs eaux minérales interdits par la réglementation. Ces méthodes incluent l'utilisation de filtres à charbon actif et de filtres UV, pratiques normalement réservées au traitement de l'eau du robinet et non à l'eau minérale, censée être naturellement pure.

    « D’après cette enquête, le gouvernement était au courant. C’est une tromperie pour les consommateurs et consommatrices, qui n’en n’ont rien su. Foodwatch va porter plainte et demande des comptes à l’État », écrivait l’ONG dans son communiqué du 31 janvier 2024. Désormais, c’est chose faite.

    Pourquoi l'ONG porte-t-elle plainte ? Quelles accusations ?
    La plainte déposée par Foodwatch auprès du Tribunal judiciaire de Paris ce 21 février 2024 vise à mettre en lumière ces pratiques frauduleuses et à demander des comptes non seulement aux entreprises concernées mais aussi à l'État français. L'ONG accuse l'État de complicité pour avoir été informé de ces agissements sans prendre les mesures nécessaires pour en informer les consommateurs ni les autorités européennes.

    « Nestlé Waters et Sources Alma ont fait croire à leurs consommateurs qu’elles leur vendaient de l’eau minérale naturelle, conformément à ce que cela implique en termes de bienfaits pour la santé et de qualités nutritionnelles, tandis qu’elles leur vendaient, en fait, de l’eau anciennement contaminée qui avait été traitée de façon illégale. Ces techniques ont nécessairement eu un impact sur les constituants essentiels de l’eau, dès lors qu’elles ont eu pour effet de la purifier afin de la rendre potable », explique Me François Lafforgue, l’avocat de Foodwatch, cité dans le communiqué.

    Une fraude massive sur l’eau en bouteille ?

    Foodwatch ne se contente pas de dénoncer ; l'organisation appelle à un renforcement des contrôles, de la transparence et des sanctions dans le secteur agroalimentaire. Elle souligne l'importance de la confiance des consommateurs dans les produits qu'ils achètent et consomment au quotidien.

    « La fraude est massive. Un tiers des eaux vendues en France ont ainsi subi des traitements non-conformes, dont la marque Cristaline la plus vendue mais aussi Perrier, Vittel, Hépar et Contrex notamment. Selon l’enquête des journalistes, concernant Nestlé, ce sont 100% des marques qui sont concernées par l’utilisation de traitements interdits », souligne l’ONG.

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  72. Les neuf accusation de Foodwatch contre Nestlé et Alma
    Utilisation de produits et procédés de traitement qui modifient la composition de l'eau dans ses constituants essentiels ;
    Information fausse et de nature à induire en erreur sur les qualités substantielles du produit ;
    Tromperie quant aux qualités substantielles d’une marchandise ;
    Non-conformité portant sur une qualité substantielle du produit ;
    Falsification de boissons destinées à être vendues ;
    Absence de mention des traitements sur l’étiquetage de l’eau minérale ;
    Modification de la composition analytique de l’eau minérale ;
    Absence d’information du ministre chargé de la Santé ;
    Absence d’information de la Commission européenne et des Etats membres par le gouvernement ;

    https://www.economiematin.fr/eau-minerale-bouteille-foodwatch-plainte-fraude

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  73. Les autorités espagnoles envoient la police anti-émeute pour réprimer les protestations des agriculteurs


    19/02/2024
    Ramón Tomey


    Les autorités espagnoles ont déployé la police anti-émeute pour réprimer les protestations des agriculteurs, alors que plusieurs autres pays membres de l'Union européenne (UE) assistent à des manifestations similaires.

    Le 9 février, un groupe d'agriculteurs a annoncé son intention de se rassembler le 24 février à Madrid, la capitale espagnole, près du siège du Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE). Le Premier ministre espagnol sortant, Pedro Sanchez, est actuellement secrétaire général du PSOE, depuis juin 2017.

    Mais le ministre espagnol de l'Intérieur, Fernando Grande-Marlaska, qui entretient des liens étroits avec le PSOE, a prévenu qu'"ils ne permettront pas" aux manifestations d'atteindre le siège du parti. Les agriculteurs protestataires ont organisé des déplacements de tracteurs et des barrages routiers dans plusieurs villes espagnoles en opposition aux réglementations européennes strictes en matière d'agriculture. (Connexe : Des protestations d'agriculteurs éclatent à travers l'Europe contre les POLITIQUES VERTES qui exigent l'anéantissement de la production alimentaire.)

    Selon le journal El Mundo, des centaines d'agents de l'Unité d'intervention policière (UIP) du Corps national de la police espagnole (CNP) ont été déployés à Madrid et à Valladolid pour lever les barrages routiers érigés par les agriculteurs protestataires. "Les manifestations devraient se poursuivre dans les semaines à venir", poursuit le Daily Expose.

    Le 9 février également, la circulation sur l'autoroute A-2 en direction de Madrid, près de la ville centrale de Torija, a ralenti derrière un convoi de tracteurs arborant des drapeaux espagnols et klaxonnant. Des agriculteurs portant des gilets jaunes brandissaient des baguettes depuis un viaduc vers les véhicules en contrebas.

    Pendant ce temps, des images devenues virales sur les réseaux sociaux montraient un groupe de manifestants près de la ville de Jerez, dans le sud du pays. Les agriculteurs auraient saisi des boîtes de tomates cerises dans un camion et auraient jeté leur contenu. Selon les manifestants, les tomates étaient d'origine marocaine.

    Un autre rapport d'El Mundo a fait état d'un affrontement entre manifestants et policiers près de la ville de Mérida, dans le sud-ouest du pays. Les manifestants ont lancé des pierres sur les policiers, ce qui a incité les forces de l'ordre à déployer des gaz lacrymogènes pour les disperser.

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  74. La police mondialiste d'Eurogendfor déployée contre les agriculteurs
    Outre le personnel de l’UIP, les publications sur les réseaux sociaux ont également confirmé le déploiement de la force multinationale de gendarmerie européenne (Eurogendfor) contre les agriculteurs. Ces membres d'Eurogendfor auraient été impliqués dans des agressions contre des manifestants. Une de ces vidéos circulant sur les réseaux sociaux indiquait que la police paramilitaire avait été déployée « pour écraser les agriculteurs de Grenade », située dans le sud de l'Espagne.

    Par ailleurs, un autre utilisateur de Twitter a souligné que l'agression contre les agriculteurs protestataires n'est pas une signature du CNP. Citant comme exemple des images prises dans la ville de Murcie, l'utilisateur de Twitter a expliqué : « Le [CNP] a mis en place des barrages de rues que les agriculteurs contournent facilement, … n'agissent pas et les laissent faire leur travail. Eurogendfor, au contraire, ils combattez-vous. »

    Selon son profil X, l'Eurogendfor "est une force de police multinationale née pour participer à la stabilisation des zones de crise et de conflit en dehors de l'UE". Il a été créé en octobre 2007 après que cinq pays membres de l'UE – la France, l'Italie, les Pays-Bas, le Portugal et l'Espagne – ont signé un traité affirmant son existence. La Roumanie et la Pologne ont ensuite rejoint les cinq membres fondateurs de l'Eurogendfor.

    "Depuis sa création, Eurogendfor a été déployé – sous l'égide des principales organisations internationales – sur différents théâtres d'opérations tels que la Bosnie-Herzégovine, l'Afghanistan, Haïti, la République centrafricaine, la Libye, le Niger et le Mali", explique le Daily Expose.

    "Bien qu'Eurogendfor ait clairement déclaré qu'il n'est déployé qu'en dehors de l'UE, si Eurogendfor avait été déployé contre les agriculteurs espagnols, ce ne serait pas la première fois au sein du [bloc]."

    The Expose a raconté qu'en 2018, on pensait que la force paramilitaire avait été déployée lors d'une manifestation en France. Il cite des témoignages oculaires attestant de la présence de véhicules blindés arborant le drapeau de l'UE ou des emblèmes étrangers.

    D'autres témoins oculaires ont également reconnu les armoiries de l'Eurogendfor – une épée, une plante en pot et une couronne de feuilles en dessous, le tout à l'intérieur d'un bouclier bleu. Certains ont également reconnu la devise de la force « Lex Paciferat » (la loi fait la paix).

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  75. Visitez Revolt.news pour plus d’histoires sur les manifestations agricoles en cours en Espagne et dans d’autres pays de l’UE.

    Regardez cette séquence d'agriculteurs protestataires expulsant les forces de l'ordre d'un rassemblement dans la ville de Logrono, dans le nord de l'Espagne.

    This video is from the Alex Hammer channel on Brighteon.com.

    More related stories:

    Farmers across EU rise up against tyrannical "green" mandates that threaten food supply.

    Protesting farmers in Germany force government to renegotiate planned cuts to their benefits.

    Farmer rebellion spreads to PARIS where tractors are creating blockades to protest climate insanity.

    Tensions escalate as Dutch farmers protest after police discharged firearms over "threatening situation."

    Dutch farmers block roads with tractors in protest of government plan to seize thousands of farms over "climate change."

    Sources include:

    Expose-News.com
    USNews.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2024-02-19-spanish-authorities-send-riot-police-farmer-protests.html

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  76. Vague de protestations, des centaines de tracteurs ont bloqué les principales rues de Prague. Les agriculteurs tchèques accusés d’être « pro-russes ».


    Par Lucas Leiroz de Almeida
    Mondialisation.ca,
    20 février 2024


    Les sentiments anti-russes des dirigeants européens les empêchent d’agir de manière rationnelle face à la vague de protestations qui déferle actuellement sur le continent. Dans une récente déclaration, le Premier ministre tchèque Peter Fiala a accusé les manifestants d’être des « partisans de Moscou », discréditant ainsi les revendications des agriculteurs en les associant à un « ennemi » de l’UE.

    M. Fiala a fait cette déclaration alors que les manifestations atteignaient leur apogée en République tchèque. Le 19 février, des centaines de tracteurs ont bloqué les principales rues de Prague, interrompant la circulation aux abords du ministère de l’agriculture. Ces manifestations s’inscrivent dans le cadre d’un « soulèvement paysan » en Europe, les travailleurs ruraux exigeant la fin des importations de céréales ukrainiennes et une révision des « politiques vertes » de l’Union européenne.

    Réagissant à la pression exercée par les paysans, M. Fiala a publié sur son compte X (anciennement Twitter) une déclaration selon laquelle les manifestants ne cherchent pas réellement à protéger les intérêts des agriculteurs. Selon lui, les manifestants ne sont que des « partisans du Kremlin » et visent à déstabiliser l’Europe pour favoriser les intérêts russes, l’agriculture n’étant qu’un prétexte pour appeler à des manifestations.

    Selon le dirigeant tchèque, le gouvernement national est déjà en train de dialoguer avec les agriculteurs pour tenter de répondre à leurs intérêts. Il nie cependant que les manifestants aient des liens avec les organisations syndicales et les syndicats ruraux, ce qui délégitime les protestations. M. Fiala affirme que Prague cherche constamment à protéger les intérêts « réels » des agriculteurs, mais prétend que les manifestants n’ont rien à voir avec ces intérêts, n’étant que des émeutiers pro-russes qui « compliquent » la vie des autres citoyens tchèques.

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  77. « La manifestation d’aujourd’hui n’a pas grand-chose à voir avec la lutte pour de meilleures conditions pour les agriculteurs. La manifestation est organisée par des personnes qui, par exemple, ne cachent pas leur soutien au Kremlin et poursuivent des objectifs autres que les intérêts des agriculteurs (…) Le gouvernement discute en permanence avec tous ceux qui sont intéressés par le dialogue. C’est pourquoi nous sommes en mesure de trouver de bonnes solutions. Nous l’avons fait à de nombreuses reprises au cours des deux dernières années. Malheureusement, les organisateurs des manifestations d’aujourd’hui ne font pas partie de ceux qui se soucient d’améliorer la qualité de vie dans notre pays et sa prospérité. Cela montre aussi leur progrès, qui complique la vie des citoyens de la capitale et n’apportera aucune solution aux vrais problèmes des agriculteurs tchèques », a-t-il déclaré.

    L’un des principaux arguments de Fiala contre la légitimité des manifestations est le manque de participation des principales organisations d’agriculteurs du pays, telles que la Chambre agraire, l’Union agricole et l’Association de l’agriculture privée. Cependant, Fiala a ignoré le fait que ces mêmes groupes, bien qu’absents des manifestations du 19, ont annoncé qu’ils lanceraient leur propre manifestation contre les politiques vertes de l’UE, prévue pour le 22. Par conséquent, l’argument de Fiala semble infondé, puisque les organisations rurales officielles partagent les mêmes intérêts que les manifestants autonomes.

    En fait, le mécontentement à l’égard de l’orientation de l’agriculture européenne est un phénomène très répandu. Des manifestations ont lieu sur l’ensemble du continent, des pays les plus occidentaux, comme la France et l’Espagne, aux pays les plus orientaux, comme la Pologne et les pays baltes. Les travailleurs ruraux européens sont parmi les plus touchés par les politiques irresponsables de l’UE en faveur de l’Ukraine. Comme on le sait, les États européens maintiennent depuis 2022 une politique d’importation systématique de céréales ukrainiennes. Dans le but de soutenir Kiev économiquement, ces pays ont commencé à acheter massivement des produits agricoles ukrainiens bon marché et ont ainsi cessé de promouvoir leurs propres entreprises agroalimentaires, ce qui a débouché sur une crise sociale majeure.

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  78. L’Ukraine étant l’un des pays les plus fertiles et les plus productifs du monde, les pays d’Europe occidentale sont incapables de rivaliser avec Kiev sur le marché agricole, ce qui explique la faillite des travailleurs ruraux européens. En ce sens, la demande d’arrêt des importations de produits ukrainiens est un besoin fondamental pour les paysans européens.

    De même, la fin des politiques vertes est vitale pour la viabilité de la production agricole européenne. Confrontés à de nombreux problèmes économiques et à une faible productivité, les agriculteurs européens dépendent des aides gouvernementales pour payer la production et le transport des céréales. Cependant, l’UE impose un programme idéologique écologiste radical et fait payer à ses producteurs ruraux la facture du réchauffement climatique, ce qui rend l’agro-industrie irréalisable.

    Les revendications des travailleurs semblent donc justes et normales. Les agriculteurs se battent pour leurs droits et pour de meilleures conditions de vie et de travail. Rien ne prouve que ces travailleurs soient véritablement « pro-russes ». S’ils éprouvent des sentiments de sympathie pour la Russie, ceux-ci découlent naturellement de leur rejet de l’idéologie anti-russe de l’UE, qui est directement responsable des pertes qu’ils ont subies.

    Tant que les dirigeants européens se préoccuperont davantage d’accuser les manifestants que de résoudre leurs problèmes, la crise continuera de s’aggraver.

    https://www.mondialisation.ca/vague-de-protestations-des-centaines-de-tracteurs-ont-bloque-les-principales-rues-de-prague-les-agriculteurs-tcheques-accuses-detre-pro-russes/5686646?doing_wp_cron=1708499913.8942430019378662109375

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  79. Le FBI met en garde contre les escroqueries « généralisées » aux codes QR commises par des cybercriminels pour voler votre argent


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 20 FÉVRIER 2024 - 23h40
    Rédigé par Tom Ozimek via The Epoch Times


    Le FBI a lancé un nouvel avertissement aux Américains les invitant à faire preuve de prudence lorsqu'ils scannent des codes QR avec leurs smartphones, car les cybercriminels falsifient les codes pour voler des informations de connexion et financières.

    Un code QR (le code-barres carré que les gens peuvent scanner avec l'appareil photo de leur smartphone) peut fournir un accès rapide et pratique à un site Web ou à un paiement direct à un destinataire prévu.

    Les entreprises utilisent les codes QR pour fournir un accès sans contact à des services, par exemple en permettant d'accéder aux éléments du menu d'un restaurant sur un smartphone et de les commander ensuite facilement.

    Cependant, le FBI a déclaré dans une première alerte fin janvier avoir découvert que des cybercriminels falsifiaient les codes QR physiques et numériques pour les échanger contre des codes malveillants qui, une fois scannés, présentent un risque pour les utilisateurs.

    "Malheureusement, ils sont relativement répandus", a déclaré Stephanie Walker, chef de section adjointe de la division cyber du FBI, à ABC News le 16 février, l'agence réitérant son appel à la prudence lors de la numérisation des codes QR.

    Les criminels utilisent des codes QR malveillants modifiés pour diriger les personnes vers des sites malveillants afin de voler leurs données, pénétrer dans les appareils des victimes en y intégrant des logiciels malveillants ou rediriger les paiements pour un gain financier immédiat.

    "Ce qui se passe lorsque vous scannez un code QR qui n'est pas celui que vous êtes censé scanner, c'est que cela peut donner au criminel l'accès à votre téléphone, ce qui lui permet ensuite d'accéder à toutes les applications que vous utilisez habituellement", a déclaré Mme Walker. dit.

    "Il peut également supprimer une sorte de logiciel de type intrusion informatique qui peut altérer votre téléphone et voler des informations d'identification."

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  80. Le FBI a expliqué dans son alerte précédente qu’après avoir accédé aux informations d’identification d’une personne et à d’autres informations financières, les cybercriminels peuvent les utiliser pour retirer des fonds des comptes des victimes.

    "Les forces de l'ordre ne peuvent garantir la récupération des fonds perdus après le transfert", a déclaré le FBI.

    La division El Paso du FBI a déclaré en septembre 2023 que l’agence avait commencé à recevoir des rapports en 2022 selon lesquels des personnes étaient victimes d’escroqueries par code QR, la fraude par crypto-monnaie étant un sujet particulièrement préoccupant.

    Étant donné que les transactions cryptographiques sont souvent effectuées via des codes QR associés à des comptes cryptographiques, cela fait de ces transactions des « marques faciles », a déclaré le FBI à l'époque.

    Il a été constaté que les fraudeurs utilisaient des codes QR et des cartes-cadeaux malveillants dans le cadre d'un seul stratagème.

    « Les fraudeurs peuvent appeler et dire qu’ils vont envoyer un code QR sur votre téléphone afin que vous puissiez recevoir une carte-cadeau gratuite de 100 $. En réalité, le code QR peut vous diriger vers un site Web malveillant », a déclaré la division El Paso du FBI.

    "Si vous effectuez un paiement via un mauvais code QR, il est difficile, voire impossible, de récupérer ces fonds."

    Se protéger

    Le FBI a proposé plusieurs conseils pour éviter d'être victime d'une arnaque au code QR.

    Tout d’abord, l’agence affirme que les gens doivent s’assurer que l’adresse du site Web, ou URL, qui apparaît lorsqu’un QR est scanné semble légitime et correspond au site prévu. Les domaines malveillants peuvent imiter l'URL prévue mais présenter de légères modifications telles que des fautes de frappe ou des lettres mal placées.

    Les gens sont également invités à faire preuve de prudence lorsqu'ils fournissent des informations sensibles après avoir scanné un code QR, en particulier des informations de connexion ou financières.

    Le FBI affirme que lors de la numérisation d’un code QR physique, les utilisateurs doivent vérifier que le code n’a pas été falsifié, par exemple en ajoutant un autocollant sur le dessus.

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  81. En outre, l'agence met en garde contre le téléchargement d'applications directement à partir de codes QR. Au lieu de cela, le FBI affirme que les gens devraient s’appuyer sur la boutique d’applications de leur téléphone pour des téléchargements plus sûrs.

    Si elles sont invitées à effectuer un paiement via un code QR dans un e-mail réclamant un échec de transaction, les personnes doivent contacter directement l'entreprise pour confirmer l'authenticité du message, selon le FBI. Ils doivent également obtenir les coordonnées de l’entreprise auprès d’une source fiable, et non à partir de l’e-mail contenant le code QR.

    De plus, les gens devraient éviter de télécharger des applications de scanner de code QR afin de minimiser le risque de logiciels malveillants. La plupart des smartphones disposent de fonctionnalités intégrées de numérisation de code QR dans les applications d'appareil photo.

    De manière générale, le FBI recommande aux gens d'éviter d'effectuer des paiements via un site accessible à partir d'un code QR. Au lieu de cela, saisir manuellement une URL connue et fiable pour effectuer le paiement est une option plus sûre.

    https://www.zerohedge.com/technology/fbi-warns-widespread-qr-code-scams-cybercriminals-steal-your-money

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  82. Courses : pourquoi elles coûteront encore plus cher ?

    L’entrée en vigueur de la loi Descrozaille le 1er mars 2024 va conduire à un changement dans les habitudes de consommation des Français et une augmentation du prix des courses. Cette nouvelle réglementation plafonnera désormais les promotions sur les produits non alimentaires. Quels impacts cette loi aura-t-elle sur votre panier de courses ?


    Par Paolo Garoscio
    le 21 février 2024 à 8h23


    La loi Descrozaille va interdire les promotions de plus de 34 % sur certains produits de grande consommation.

    Budget : qu'est-ce que la loi Descrozaille qui interdit les promotions ?
    La loi Descrozaille, du nom du député Renaissance Frédéric Descrozaille, a été adoptée en mars 2023 avec l'objectif de rééquilibrer les forces entre fournisseurs et distributeurs. En limitant les promotions à 34 % sur les produits d'hygiène, d'entretien et de beauté, ainsi que sur certains produits alimentaires comme l'alcool, le législateur entend protéger les petits producteurs et les PME.

    Mais le corollaire, forcément, c’est que les Français n’auront plus droit aux promotions de type « 1 acheté, 1 gratuit » qu’ils ont déjà vu disparaître pour les produits alimentaires. Et sans ces promotions, les courses vont coûter un peu plus cher.

    Les dernières promotions pour faire baisser le budget des courses

    Cette mesure conçue pour protéger l'économie locale inquiète quant à son impact sur le pouvoir d'achat. Les promotions, souvent perçues comme un moyen d'alléger la facture des ménages, seront désormais encadrées, poussant les consommateurs à repenser leurs stratégies d'achat.

    La loi Descrozailles entrera en vigueur le 1er mars 2024… et les enseignes de grande distribution, telles que Carrefour, E.Leclerc, ou encore Intermarché, ne cachent pas leur mécontentement. En effet, elles voient dans cette réglementation une menace pour leur compétitivité et leur capacité à attirer les consommateurs.

    Pour ne pas rater le coche de possibles augmentations des ventes, cette fin février 2024 est aussi l'occasion pour ces géants du retail de proposer des remises exceptionnelles sur des produits phares. Les consommateurs peuvent ainsi trouver des produits à -50% voire plus dans les grandes surfaces, durant cette dernière semaine de février 2024.

    https://www.economiematin.fr/courses-loi-descrozaille-promotions-interdiction

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    Réponses
    1. Vous souvenez-vous de l'annonce dans les merdias qu'il n'y avait (bientôt) plus de moutarde ? les gens se sont jetés dessus et ont vidé les rayons où la moutarde avait sont prix doublé !

      En réalité existait un trop grand nombre de stock de moutarde difficile à écouler, l'astuce a donc été de faire croire à une pénurie !! Et hop !! Tout est parti en quelques jours !! Hahahaha !

      Maintenant, annonces sur la fin des soldes, promotions 'à prix cassés' ! Suffit de dire "Profitez vite avant ce soir de la forte hausse des prix, les produits passeront de 28,80 € à 17,19 € ! HAHAHA !

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  83. PIB de l’Allemagne : Fake news !


    le 20 février 2024


    Il paraît que l’économie de l’Allemagne évaluée par son PIB a dépassé celle du Japon … Quand j’ai découvert cette information je me suis demandé si on ne prenait pas les citoyens (de tous les pays) pour des idiots. Il est nécessaire de remettre les choses en place. Le calcul du PIB, notion sans signification réelle, tient compte du montant des emprunts émis par chaque pays vers les marchés qui sont intégrés dans ce calcul alors qu’il n’est pas tenu compte de la charge de la dette et les salaires des fonctionnaires sont comptabilisés dans le calcul, du grand n’importe quoi, en d’autres termes ce calcul est un rideau de fumée pour facilement dissimuler la santé réelle de l’économie d’un pays. Le Japon a fusionné le Trésor et la BoJ et la dette du pays est détenue à hauteur de 93 ou 94 % par des résidents japonais, qu’il s’agisse des citoyens dont par exemple leur système de retraite qui est garanti par des obligations émises par la BoJ, ou des entreprises tenues de constituer les fonds de pension de leurs employés, sans oublier les banques japonaises. De plus le Japon détient quelques 1000 milliards de dollars sous forme de T-bonds, ce montant a tendance à diminuer, des T-bonds aussi liquides que le billet vert ainsi que des réserves de change considérables (aucunes statistiques accessibles) dont en renminbi puisqu’il existe des accords de swap yen/renminbi (voir note en fin d’article).

    - voir graph sur site -

    En examinant le Forex ( https://tradingeconomics.com/commodity/baltic ) on constate que la BoJ a laissé « filer » le yen par rapport au dollar et à l’euro provoquant une dévaluation de la monnaie nippone de plus de 40 % depuis la fin de l’épidémie de SARS-CoV-2 ! Donc le passage de l’économie allemande en termes de PIB par rapport à celui du Japon est une pure propagande qui ne tient pas compte du Forex. Souvenons-nous des accords dits du Plaza qui obligèrent le gouvernement japonais à réévaluer le yen car sa faiblesse risquait de propulser l’économie nippone devant celle des USA. Cette intervention provoqua les « décennies perdues » par l’économie japonaises. Aujourd’hui les Américains ont besoin du Japon pour attaquer la Chine en particulier depuis l’immense installation militaire d’Okinawa et ils ne renouvelleront pas leur coup scandaleux des accords du Plaza.

    - voir graph sur site -

    Quant à l’indice Nikkei-225 (les deux graphiques datent de ce 19 février) son embellie est étroitement proportionnelle à la dévaluation du yen mais ce n’est pas en raison de la dévaluation du yen mais parce que les indices boursiers n’ont plus aucune signification réelle également. Le facteur qui embellit ces indices est du au fait que quelques valeurs seulement, par exemple pour la France les entreprises du luxe, Total, Air Liquide ou Essilor, et c’est la même situation à la bourse de Tokyo. Conclusion évidente : l’économie allemande est en chute libre comme celles de la France, de la Belgique, de l’Italie et des Pays-Bas mises à part l’Espagne et l’Irlande (mais pour combien de temps encore ?). La dévaluation bénéficie à l’économie de la Turquie alors que tous les pays de la zone euro pâtissent de la fermeté artificielle de l’euro, cette devise commune qui n’a jamais correctement fonctionné et représente une entrave pour toutes les économies d’Europe. Donc prétendre que le PIB de l’Allemagne est supérieur à celui du Japon est bien une grotesque « fake-news » …

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  84. Il existe peut-être une autre explication qui consiste à dissimuler l’état de délabrement de l’économie allemande dont les causes remontent à 2011 à la suite de l’accident de la centrale nucléaire japonaise de Fukushima-Daiichi. Le gouvernement allemand décida d’abandonner l’énergie nucléaire et de développer les énergies dites « renouvelables » subissant la pression des écologistes viscéralement opposés au nucléaire, le gaz naturel devenant alors un élément essentiel pour réguler le réseau électrique puisque seul le gaz permet de produire de l’électricité en poussant un bouton ce qui n’est pas le cas d’une usine utilisant du charbon, au minimum une heure de délai si elle en arrêt chaud temporaire, et pour une usine nucléaire c’est tout simplement impossible. L’Allemagne s’est retrouvée dépendante du gaz russe d’un prix accessible. On connaît la suite. L’économie de l’Allemagne est aujourd’hui littéralement mourante et ce pays a voulu entrainer les autres économies européennes, en particulier celle de la France, en faisant pression sur la Commission européenne pour créer un marché européen de l’électricité indexé sur le prix du gaz naturel (schématiquement). Les évènements d’Ukraine et le sabotage par les Américains des gazoducs sous-marins ont fait le reste. L’attitude de l’Allemagne a donc précipité l’Europe dans une crise économique qui n’en est qu’à ses débuts et classer le PIB allemand avant celui du Japon et le faire savoir haut et fort n’est qu’un écran de fumée pour dissimuler la ruine de l’économie allemande.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2024/02/20/pib-de-lallemagne-fake-news/

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  85. Euro numérique : indignation face à la propagande de la BCE


    21 février 2024
    de Thomas Oysmüller


    La BCE continue de promouvoir intensivement l’euro numérique. Mais cet outil de surveillance est extrêmement impopulaire et mal accueilli.

    Les monnaies numériques sont travaillées partout dans le monde : que ce soit en Inde (qui est particulièrement avancée), en Biélorussie, au Brésil ou dans l'UE. La BCE a déjà lancé un appel d'offres pour les contrats de développement. Selon le TKP , la population est souvent mise devant le fait accompli.

    Récemment, un journal allemand du ministère de l'Intérieur a fait la lumière : avec l'euro numérique, tout ce dont les critiques mettent en garde sera possible : la nouvelle « monnaie » aura (pourra) une date d'expiration et sera (pourra) être réservée. dans un but précis. TKP a rapporté ici. Conclusion : votre argent – ​​il ne vous appartiendra plus.

    Des ballons d’essai de propagande sont lancés en l’air par la BCE pour l’euro CBDC (CBDC signifie « Central Bank Digital Currency »). C'est ce qui s'est passé lundi sur le compte X de la Banque centrale européenne. Dans une vidéo promotionnelle d’une minute, le dirigeant monétaire de l’UE explique les (prétendument) grands avantages de l’euro numérique. Cela « simplifierait et normaliserait les paiements dans l'UE et offrirait de nouvelles opportunités aux entreprises qui traitent les paiements. » Les sociétés de paiement en particulier bénéficieraient de grands avantages de la CBDC Euro.

    Mais le ballon test de propagande a terriblement mal tourné – les critiques sont massives et ce depuis des jours. Phillip Mattheis, journaliste et auteur à succès, a décortiqué avec justesse la BCE : « L’euro numérique est une solution à aucun problème. Personne n’a besoin de lui.

    Le journaliste citoyen et critique du Covid, David Thunder, est plus clair :

    « La BCE essaie de nous vendre une monnaie programmable et centralisée qui a le potentiel de nous transformer en esclaves économiques. Bien sûr, au début, ce ne sera qu’une application sympa qui nous facilitera la vie. Mais si les citoyens s’engagent dans cette voie, ils sèment les graines de leur propre asservissement.»

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  86. La courte vidéo a été commentée plus d’un millier de fois. Le ton est unanime : personne n’a besoin de l’euro numérique, personne n’en veut. Le Bitcoin est souvent annoncé à la place, mais l'UE rend les règles plus strictes en matière de cryptographie.

    Même si la BCE continue de travailler sans compromis et de manière cohérente sur ce projet, celui-ci suscite une grande résistance. Des millions de citoyens de l’UE sont plus que conscients des risques et des dangers de l’euro numérique.

    https://tkp.at/2024/02/21/digitaler-euro-empoerung-ueber-ezb-propaganda/

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  87. Guangxi : un modèle de développement méconnu mais spectaculaire


    Par Jan Jonckheere
    Recherche mondiale,
    20 février 2024


    La région du Guangxi, dans le sud de la Chine, est frappée par la pauvreté, mais son niveau de développement s'élève comme une flèche vers le ciel. Quel est le secret de ce modèle de développement spectaculaire ? Jan Jonckheere, un expert belge en Chine, a effectué un voyage d'étude dans la région et a cherché des réponses.

    Politique à deux voies
    Le Guangxi est une région autonome du sud de la Chine. Elle abrite près de 50 millions de personnes issues de divers groupes ethniques. La région est vallonnée et caractérisée par des paysages dits karstiques, dont Guilin est le plus connu.

    C'est une région frappée par la pauvreté. Son PIB par habitant est 64 fois inférieur à celui du Royaume-Uni. En 2015, dans le Guangxi, 6,3 millions de personnes vivaient dans une pauvreté extrême, soit 13 % de la population. Le gouvernement chinois a décidé de s'attaquer à cette situation de pauvreté et de sous-développement. Une politique à deux voies a émergé.

    D’une part, un projet de réduction de la pauvreté à grande échelle a été associé à de solides investissements économiques et technologiques dans la région. D’autre part, la coopération commerciale et économique a été fortement encouragée, principalement avec les pays d’Asie du Sud-Est.

    Réduction de la pauvreté et investissement économique et technologique

    Avec l'aide d'organisations internationales comme la Banque mondiale, le gouvernement a conçu un plan de lutte à grande échelle contre la pauvreté. Elle a envoyé une armée de chercheurs dans 5 000 villages pour déterminer la condition de chaque famille. Il mettait les données obtenues dans une base de données pour traitement.

    Au cours des cinq dernières années, le Guangxi a également relocalisé 710 000 personnes de zones inhospitalières vers d’autres endroits. Presque tous les villageois déplacés ont ainsi pu trouver un emploi à proximité de leur nouveau domicile.

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  88. L’un des aspects les plus frappants du programme de réduction de la pauvreté a été la coopération avec la province voisine du Guangdong, plus prospère.

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    Source : Wikimédia Commons

    À partir de 2016, cette province plus riche a investi beaucoup d’argent dans des projets de réduction de la pauvreté, couvrant les infrastructures, l’emploi, l’éducation et la santé. Ces projets et investissements conjoints ont permis d'améliorer les infrastructures, telles que la construction de routes pour relier les villages isolés et améliorer l'accès aux marchés.

    Cela a facilité le commerce des produits locaux et stimulé l’activité économique, ce qui a contribué à améliorer les moyens de subsistance de la population locale.

    Le Guangdong a également envoyé des dizaines à des centaines d'enseignants, de médecins et d'infirmières dans le Guangxi. Deux cadres du Parti communiste ont également été envoyés par district pour superviser et coordonner l'ensemble du projet.

    Un bon exemple de coopération entre les deux régions est le jumelage pour la réduction de la pauvreté de Shenzhen, une ville de plusieurs millions de dollars du Guangdong, avec Hechi, la ville du Guangxi ayant le taux de pauvreté le plus élevé. Les entreprises de Shenzhen ont été invitées à investir à Hechi. Des dizaines d’écoles de Shenzhen étaient reliées aux écoles de Hechi et il en était de même avec les hôpitaux.

    Les sommes d’argent débloquées pour ce projet de développement à grande échelle sont tout simplement impressionnantes. En 2018, les entreprises du Guangxi et du Guangdong ont signé des centaines de projets de coopération pour un investissement total de 394 milliards de yuans (55 milliards de dollars). À titre de comparaison, l’aide publique totale au développement de tous les pays riches combinés s’est élevée à 211 milliards de dollars l’année dernière.

    Les investissements ne se sont pas produits uniquement dans le secteur industriel. Des coopératives d'élevage ont été créées pour les agriculteurs qui parvenaient à peine à joindre les deux bouts en cultivant du maïs. Les jeunes ont eu la possibilité de recevoir une formation professionnelle.

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  89. Le Guangdong et le Guangxi ont également mis en place un programme commun visant à réduire la pauvreté grâce au développement du tourisme dans la région aux paysages karstiques.

    Ces programmes ont non seulement contribué à générer des revenus pour les personnes vivant auparavant dans la pauvreté, mais ont également contribué au développement des compétences et au renforcement de l'économie locale.

    En matière de développement technologique, le Guangxi s'est concentré sur l'innovation et la coopération avec des centres technologiques de premier plan, tels que le parc technologique de Zhongguancun à Pékin. La création d'une zone d'innovation à Nanning, la capitale du Guangxi, a conduit à la création d'entreprises de haute technologie et à la promotion de la recherche et du développement.

    Cette innovation technologique exploite pleinement l’intelligence artificielle et le big data. Sur cette base, les tickets de métro, par exemple, sont remplacés par des photos. Les drones sont introduits dans l'agriculture et grâce à l'IA, à l'irrigation intelligente, aux caméras, aux capteurs et aux systèmes de température contrôlés via un smartphone et le cloud computing, les gens cultivent des fruits et des légumes avec une télécommande.

    Après tout, la Chine s’attend à ce qu’il y ait de moins en moins d’agriculteurs disponibles, de sorte que l’évolution vers une agriculture de haute technologie semble inévitable.

    Le secteur public n’est pas non plus en reste en matière de développement technologique. 7 000 bus fonctionnent aujourd'hui à l'électricité, mais Nanning prévoit de remplacer cette flotte par des bus à hydrogène.

    Porte d'entrée vers l'Asie du Sud-Est

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  90. Cette stratégie d’innovation est également conçue dans le contexte des Nouvelles Routes de la Soie, notamment en direction des pays d’Asie du Sud-Est, également appelés pays de l’ASEAN. En d’autres termes, outre la réduction de la pauvreté et son propre développement économique, le Guangxi s’est également concentré sur la promotion de la coopération commerciale et économique avec les pays de la région.

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    Pays de l’ASEAN : Carte : Wikimedia Commons

    Cette approche a été couronnée de succès. Ces dernières années, les échanges commerciaux entre le Guangxi et l’ASEAN ont considérablement augmenté. Cela s’explique en partie par des initiatives telles que le Partenariat économique régional global (RCEP), le plus grand bloc commercial de l’économie mondiale. Actuellement, les échanges avec les autres pays du RCEP représentent 56 pour cent du commerce extérieur du Gaungxi.

    Les 15 États membres du RCEP représentent environ 30 % de la population mondiale et 30 % du PIB mondial. Carte : Wikipédia

    Une part importante de ce commerce concerne les produits agricoles, et nous constatons dans ce cas un déplacement du commerce traditionnel des fruits frais vers les produits alimentaires transformés. Les exportations de voitures particulières électriques, de batteries lithium-ion et de cellules solaires ont également connu une forte hausse.

    Le Guangxi s'est positionné en quelques années seulement comme un acteur majeur de la coopération régionale et du commerce en Asie du Sud-Est, contribuant ainsi au développement économique de la région.

    Modèle de développement puissant

    Grâce à une combinaison d'investissements publics, de coopération avec une province voisine prospère et de développements innovants, le Guangxi a connu une transformation impressionnante.

    Les résultats ont été spectaculaires. En moins d’une décennie, l’extrême pauvreté a non seulement été éliminée, mais la région a également fait un bond en avant en termes de développement économique et d’innovation technologique. D’une région agricole arriérée, elle est aujourd’hui devenue un partenaire commercial majeur en Asie du Sud-Est.

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  91. Le Guangxi est sur le point de passer de la réduction de la pauvreté à la relance de ses zones rurales. Pour ce faire, elle n’hésitera pas à déployer des solutions intelligentes. Aujourd’hui, cela ne se fait qu’en interne, mais plus tard, la région proposera également ces solutions aux pays de l’ASEAN et aux États situés le long des nouvelles routes de la soie.

    Le modèle occidental de développement des pays du Sud repose en grande partie sur le financement d’ONG étrangères axées sur des projets principalement locaux. Hormis les exceptions, cela ne donne pas grand-chose de plus que quelques manipulations marginales.

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    La Chine est responsable des trois quarts de l’éradication de l’extrême pauvreté dans le monde. Graphique : Banque mondiale

    Malgré toutes les bonnes intentions – supposons qu’elles aient inspiré les initiatives occidentales – et les milliards d’aide au développement, les pays du Sud restent enfermés dans leur rôle d’exportateurs de matières premières bon marché et d’importateurs de produits finis et technologiques coûteux, et restent donc pauvres.

    Nous voyons ici un modèle de développement beaucoup plus puissant à l’œuvre. Depuis les années 1980, la Chine a contribué pour les trois quarts à l’éradication de l’extrême pauvreté dans le monde et a réussi à échapper au sous-développement économique et technologique.

    Cela donne matière à réflexion.

    Diverses sources, propre visite.

    https://www.globalresearch.ca/guangxi-unknown-spectacular-development-model/5850068

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    Réponses
    1. Oui la campagne fait vivre mais doivent se développer des coopérations entr'elles.
      Un paysan qui fait du blé (peut faire son pain) et élever des poules. Mais le problème est le vêtement, l'énergie, et divers consommables venus d'ailleurs.

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  92. Argentine : Milei enregistre un excédent budgétaire mensuel

    Dans cette édition je vous propose une réflexion centrée sur la dette. La dette de notre pays a pour cause un budget déficitaire chaque année depuis l’an de grâce 1974 ! Oui.


    Par Charles Sannat
    le 21 février 2024 à 10h30


    L'inflation en Argentine atteint 254 % sur un an.

    Cela fait donc 50 ans en France que nous enchaînons les déficits budgétaires.

    Il n’aura fallu à Milei que 2 mois pour faire enregistrer à son pays le premier budget mensuel excédentaire.

    Rien n’est encore gagné pour l’Argentine bien évidemment, mais pour redresser la barre, encore faut-il commencer. Simplement commencer.

    Tenir un budget est d’une simplicité enfantine.

    Il faut simplement dépenser moins que ce que l’on gagne.

    Pour l’Argentine, les marchés ne financent plus ce pays depuis bien longtemps. Ils vivent d’aides du FMI et de création monétaire… et subissent une inflation importante correspondant non pas à la hausse des prix mais à la baisse de valeur de leur monnaie.

    L’Argentine a enregistré en janvier son premier excédent budgétaire mensuel

    « Javier Milei, l’économiste ultralibéral élu président de l’Argentine en novembre, l’avait promis : il mettrait fin au déficit budgétaire chronique qui affecte l’économie du pays. C’était chose faite en janvier. Pour la première fois depuis douze ans, le solde des finances du secteur public est redevenu positif, de 589 millions de dollars. Il s’agit du « premier excédent financier (mensuel) depuis août 2012 », a déclaré le ministère de l’Économie.

    Javier Milei n’est officiellement en poste que depuis décembre, mais l’économiste n’a pas tardé à mettre en œuvre son programme libéral, qui vise à juguler l’inflation galopante en Argentine (254  % sur un an en janvier).

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  93. Le retour à l’équilibre budgétaire passe notamment par une baisse drastique des dépenses publiques. Du fait de difficultés à obtenir le soutien du Congrès, le nouveau président a pour l’instant dû limiter ses économies à la suppression ou la baisse de dépenses qui relèvent du pouvoir exécutif. Il a par exemple supprimé des subventions versées aux entreprises des secteurs du transport et de l’énergie, ou encore des transferts financiers vers les régions. Selon le Financial Times, ces mesures devraient toutefois conduire à une hausse des prix facturés aux consommateurs dans les mois qui viennent. Ce devrait par exemple être le cas des tickets de bus et de métro dans certaines régions.

    L’inflation a atteint 20,6  % en janvier, contre 25,5 % en décembre. «  Si l’on prend le chiffre seul, isolé, c’est horrible. Et c’est vrai, mais il faut regarder où nous étions et quelle était la tendance », a réagi cette semaine Javier Milei. »

    Appliquer cette méthode à la France ?

    Nous serons obligés à un moment de réduire nos dépenses, et d’ailleurs, c’est à se demander où passent les sommes folles pour ne pas dire totalement délirantes que nous dépensons chaque année.

    Je vous invite à regarder l’article de cette édition consacré aux différents budgets de notre pays.

    Pour l’éducation et la formation supérieure c’est 100 milliards d’euros chaque année qui sont dépensés alors que le niveau des élèves français s’effondre.

    Avec 3 100 milliards d’euros de dettes à la fin de l’année 2024, si le coût moyen de la dette de la France atteint les 3 % cela nous coûtera plus de 90 milliards rien que pour les intérêts. Il est illusoire de penser qu’il est certain que nous retrouverons des taux négatifs. La probabilité est largement aussi forte pour que les banques centrales qui ont réussi à normaliser les taux nominaux ne refassent pas la bêtise de taux directeurs négatifs. Si les taux restent durablement entre 2 et 3 % la dette de l’Etat deviendra un fardeau ingérable.

    Un véritable mur de la dette.

    Il faudra donc, inévitablement reprendre le contrôle de nos dépenses et cesser de croire comme le disait Hollande président, « ça ne coûte rien c’est l’état qui paye ».

    Cela en dit plus long sur l’incurie et la démagogie de ceux qui nous dirigent depuis 50 ans que toutes mes démonstrations économiques.

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  94. Quand nous aurons touché le fond, dans un temps plus ou moins indéterminé, alors nous appliquerons une méthode à la Milei.

    Nous définirons ce qui est essentiel et ce qui est accessoire. Nous reparlerons de ce qui est de la juste solidarité et de ce qui relève de la mauvaise solidarité.

    Ce n’est qu’une question de temps, même si personne n’en connait ni le jour, ni l’heure.

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

    Préparez-vous !

    https://www.economiematin.fr/milei-budget-deficit-dette-argentine-sanna

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  95. Impôts : ces taxes qui augmentent malgré les promesses

    Le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire nous aurait-il menti ? Avec l’inflation persistante, chaque centime compte, et contrairement aux assurances du ministre, auprès de nos confrères de TF1, dimanche 18 février 2024, plusieurs taxes vont bien augmenter en 2024.


    Par Axelle Ker
    le 21 février 2024 à 14h00


    Les taxes sur le carburant rapportent 41 milliards d'euros par an à l'État.

    Les taxes locales qui vont augmenter en 2024

    Alors que Bruno Le Maire affirmait haut et fort qu'aucune hausse d'impôt n'était à prévoir dimanche 18 février 2024 : la France aurait-elle changé de modèle économique ? Il y a malheureusement peu de chance que ce soit le cas. L'année 2024 n'épargnera pas les propriétaires, qui ne sont jamais épargnés par les hausses d'impôt. La taxe foncière, qui a augmenté de 7 % en 2023, subira une nouvelle hausse en 2024. Cette augmentation est directement liée à l'indexation sur l'inflation, mais aussi à la décision de certaines municipalités d'augmenter leurs taux pour compenser la disparition graduelle de la taxe d'habitation sur les résidences principales. Concrètement, si votre commune ou intercommunalité ne réduit pas son taux d'imposition, attendez-vous à voir votre taxe foncière augmenter d'environ 4 %.

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  96. Parallèlement, les frais médicaux subissent également une augmentation significative. Le Président Emmanuel Macron l'avait annoncé lors de son « rendez-vous avec la nation » au mois de janvier 2024 : la franchise médicale a doublé, passant de 50 centimes à 1 euro. Même chose pour la franchise sur les transports sanitaires qui va passer de 2 à 4 euros à partir du 1ᵉʳ mars 2024. L'objectif de cette mesure ? Réduire le déficit de la Sécurité sociale. L'État espère ainsi lui faire économiser 800 millions d'euros. À noter également qu'au vu de la trajectoire que prennent les négociations entre l'Assurance maladie et les syndicats des médecins libéraux, les Français pourraient voir le prix de leur consultation chez leur médecin généraliste passer de 26,50 à 30 euros.

    Les hausses à prévoir sur les énergies

    Avec la fin progressive du bouclier tarifaire, les taxes sur les énergies et les carburants repartent de plus belle. Le tarif de l'électricité a déjà augmenté de 8,6% pour les contrats de base et de 9,8% pour les contrats heures pleines / heures creuses au 1ᵉʳ février 2024. Le gaz naturel n'est pas en reste. Depuis le 1ᵉʳ janvier 2024, l'accise sur le gaz naturel et l'électricité a doublé. Une seconde hausse, de +27,5 %, est prévue au mois de juillet 2024 sur les tarifs de distribution du gaz. La Commission de régulation de l'énergie et le ministre de l'Économie ont toutefois voulu se montrer rassurants : selon ces derniers, l'impact de cette hausse de juillet 2024 sera « indolore » pour les ménages français abonnés au gaz en raison de la baisse du prix du gaz sur le marché de gros. Une tendance qui s'observe effectivement depuis le mois de décembre 2023. Ces prévisions qui restent néanmoins fragiles en raison de la volatilité du prix du gaz. Par ailleurs, les coûts d'approvisionnement n'étant connus qu'un mois à l'avance, les projections restent plus que limitées dans le temps...

    Nous ne nous en rendons pas forcément compte, mais nous payons des taxes quotidiennement, sur presque tous les produits que nous consommons. Et c'est bien sur les petites taxes que le gouvernement se frotte les mains. D'autant plus que ce derniera annoncé que l'État allait devoir économiser 10 milliards d'euros après avoir revu à la baisse ses prévisions de croissance pour l'année 2024. Rien de très étonnant : après avoir distribué des aides à tire-larigot (leasing social, réparation vélo, bonus écologique, etc.) - payées par le contribuable français - et affiché un déficit commercial record, le gouvernement cherche à renflouer les caisses. Quoi de mieux pour ce faire que de se tourner vers la quatrième source de revenus de l'État (41 milliards d'euros par an) qui n'est autre que le carburant ? Les taxes sur ces derniers représentent pas moins d'un tiers du prix à la pompe. Les automobilistes ne seront par conséquent pas épargnés en 2024, ces derniers devront s'attendre à payer +3 centimes / litre lors de leurs prochains passages à la pompe.

    https://www.economiematin.fr/impot-augmentations-taxes-2024-bruno-le-maire

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  97. Comportement « émergent » de l’IA et destinée humaine


    Par Michael Tennant
    TomDispatch.com
    21 février 2024


    Oui, il est déjà temps de s’inquiéter – très s’inquiéter. Comme l’ont montré les guerres en Ukraine et à Gaza, les premiers drones équivalents aux « robots tueurs » sont arrivés sur le champ de bataille et se sont révélés être des armes dévastatrices. Mais au moins, ils restent largement sous contrôle humain. Imaginez un instant un monde de guerre dans lequel ces drones aériens (ou leurs équivalents terrestres et maritimes) nous contrôlaient, plutôt que l’inverse. Nous serions alors sur une planète destructrice différente, d’une manière qui pourrait sembler presque inimaginable aujourd’hui. Malheureusement, c’est tout sauf inimaginable, étant donné les travaux sur l’intelligence artificielle (IA) et les armes robotiques que les grandes puissances ont déjà commencés. Maintenant, laissez-moi vous emmener dans ce monde mystérieux et essayer d’imaginer ce que l’avenir de la guerre pourrait signifier pour le reste d’entre nous.

    En combinant l’IA avec une robotique avancée, l’armée américaine et celles d’autres puissances avancées travaillent déjà d’arrache-pied pour créer une gamme de systèmes d’armes « autonomes » autoguidés – des drones de combat capables d’employer une force meurtrière indépendamment de tout officier humain censé les commander. . Appelés « robots tueurs » par les critiques, ces appareils comprennent une variété d’avions, de chars, de navires et de sous-marins sans équipage ou « sans pilote », capables de fonctionner de manière autonome. L’US Air Force, par exemple, développe son « avion de combat collaboratif », un véhicule aérien sans pilote (UAV) destiné à rejoindre les avions pilotés dans des missions à haut risque. L’armée teste également divers véhicules terrestres sans pilote (UGV) autonomes, tandis que la marine expérimente à la fois des navires de surface sans pilote (USV) et des navires sous-marins sans pilote (UUV ou sous-marins drones). La Chine, la Russie, l’Australie et Israël travaillent également sur de tels armements pour les champs de bataille du futur.

    L’apparition imminente de ces machines à tuer a suscité inquiétude et controverse à l’échelle mondiale, certains pays cherchant déjà à les interdire totalement et d’autres, dont les États-Unis, envisageant d’autoriser leur utilisation uniquement sous surveillance humaine. À Genève, un groupe d'États a même cherché à interdire le déploiement et l'utilisation d'armes entièrement autonomes, citant un traité de l'ONU de 1980, la Convention sur certaines armes classiques, qui vise à limiter ou interdire les munitions non nucléaires considérées comme particulièrement nocives pour la population. civils. Pendant ce temps, à New York, l’Assemblée générale des Nations Unies a tenu son premier débat sur les armes autonomes en octobre dernier et prévoit un examen à grande échelle du sujet cet automne.

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  98. Pour l’essentiel, le débat sur l’utilisation de tels dispositifs sur le champ de bataille dépend de leur capacité à tuer des personnes sans surveillance humaine. De nombreuses organisations religieuses et de la société civile affirment que de tels systèmes seront incapables de faire la distinction entre les combattants et les civils sur le champ de bataille et devraient donc être interdits afin de protéger les non-combattants contre la mort ou les blessures, comme l'exige le droit international humanitaire. Les responsables américains, quant à eux, affirment que de tels armements peuvent être conçus pour fonctionner parfaitement dans le cadre de contraintes juridiques.

    Cependant, aucune des deux parties dans ce débat n'a abordé l'aspect potentiellement le plus troublant de leur utilisation au combat : la probabilité que, tôt ou tard, ils soient capables de communiquer entre eux sans intervention humaine et, étant « intelligents », capables de proposer leurs propres tactiques imprévues pour vaincre un ennemi – ou quelque chose de complètement autre. Une telle pensée de groupe pilotée par ordinateur, qualifiée de « comportement émergent » par les informaticiens, ouvre une multitude de dangers qui n'ont pas encore été pris en compte par les responsables de Genève, de Washington ou de l'ONU.

    Pour le moment, la plupart des armes autonomes développées par l’armée américaine seront des versions sans pilote (ou, comme on dit parfois, « inhabitées ») des plates-formes de combat existantes et seront conçues pour fonctionner en conjonction avec leurs homologues avec équipage. Bien qu’ils puissent également avoir une certaine capacité à communiquer entre eux, ils feront partie d’une équipe de combat « en réseau » dont la mission sera dictée et supervisée par des commandants humains. L’avion de combat collaboratif, par exemple, devrait servir d’« ailier fidèle » au chasseur furtif habité F-35, tout en menant des missions à haut risque dans un espace aérien contesté. L’Armée et la Marine ont largement suivi une trajectoire similaire dans leur approche du développement d’armes autonomes.

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  99. L’attrait des « essaims » de robots

    Cependant, certains stratèges américains ont défendu une approche alternative à l’utilisation d’armes autonomes sur les futurs champs de bataille, dans laquelle ils serviraient non pas comme collègues juniors dans des équipes dirigées par des humains, mais comme membres égaux d’essaims de robots autogérés. De telles formations seraient constituées de dizaines, voire de centaines, d'UAV, d'USV ou d'UGV compatibles avec l'IA, tous capables de communiquer entre eux, de partager des données sur l'évolution des conditions du champ de bataille et de modifier collectivement leurs tactiques de combat si l'esprit de groupe le juge nécessaire.

    « Les technologies robotiques émergentes permettront aux forces de demain de combattre en essaim, avec une masse, une coordination, une intelligence et une vitesse supérieures à celles des forces en réseau d'aujourd'hui », prédit Paul Scharre, l'un des premiers enthousiastes du concept, dans un rapport de 2014 pour le Center for a New. Sécurité américaine (CNAS). « Les systèmes autonomes en réseau et coopératifs », écrivait-il alors, « seront capables d’un véritable essaimage – un comportement coopératif entre des éléments distribués qui donnera naissance à un tout cohérent et intelligent ».

    Comme Scharre l’a clairement indiqué dans son rapport prophétique, toute réalisation complète du concept d’essaim nécessiterait le développement d’algorithmes avancés qui permettraient aux systèmes de combat autonomes de communiquer entre eux et de « voter » sur les modes d’attaque préférés. Cela, a-t-il noté, impliquerait la création d’un logiciel capable d’imiter les fourmis, les abeilles, les loups et d’autres créatures qui présentent un comportement « en essaim » dans la nature. Comme le dit Scharre : « Tout comme les loups en meute présentent à leur ennemi un flou toujours changeant de menaces venant de toutes les directions, les véhicules inhabités capables de coordonner les manœuvres et les attaques pourraient être bien plus efficaces que des systèmes non coordonnés fonctionnant en masse. »

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  100. En 2014, cependant, la technologie nécessaire pour rendre possible un tel comportement de machine en était encore à ses balbutiements. Pour remédier à cette lacune critique, le ministère de la Défense a financé la recherche dans le domaine de l’IA et de la robotique, même s’il a également acquis ces technologies auprès d’entreprises privées comme Google et Microsoft. L’une des figures clés de cette initiative était Robert Work, ancien collègue de Paul Scharre au CNAS et l’un des premiers passionnés de la guerre en essaim. Work a occupé le poste de secrétaire adjoint à la Défense de 2014 à 2017, un poste qui lui a permis d'affecter des sommes d'argent toujours croissantes au développement d'armes de haute technologie, en particulier de systèmes sans pilote et autonomes.

    De la mosaïque au réplicateur

    Une grande partie de cet effort a été déléguée à la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), l’organisation interne de recherche de haute technologie du Pentagone. Dans le cadre du développement de l'IA pour de telles opérations collaboratives en essaim, la DARPA a lancé son programme « Mosaic », une série de projets destinés à perfectionner les algorithmes et autres technologies nécessaires pour coordonner les activités des systèmes de combat avec et sans pilote dans les futurs combats de haute intensité. combat avec la Russie et/ou la Chine.

    "En appliquant la grande flexibilité du concept de mosaïque à la guerre", a expliqué Dan Patt, directeur adjoint du Bureau de technologie stratégique de la DARPA, "des systèmes moins coûteux et moins complexes peuvent être reliés entre eux d'un grand nombre de façons pour créer les effets souhaités et entrelacés sur mesure". à n’importe quel scénario. Les parties individuelles d’une mosaïque sont attribuables [dispensables], mais ensemble, elles sont inestimables pour la façon dont elles contribuent à l’ensemble.

    Ce concept de guerre sous-tend apparemment la nouvelle stratégie « Réplicateur » annoncée par la secrétaire adjointe à la Défense Kathleen Hicks l’été dernier. « Replicator est destiné à nous aider à surmonter le plus grand avantage [de la Chine], à savoir la masse. Plus de navires. Plus de missiles. Plus de monde », a-t-elle déclaré aux responsables de l’industrie de l’armement en août dernier. En déployant des milliers de drones, USV, UUV et UGV autonomes, a-t-elle suggéré, l’armée américaine serait en mesure de déjouer, de déjouer et de maîtriser l’armée chinoise, l’Armée populaire de libération (APL). « Pour garder une longueur d’avance, nous allons créer un nouvel état de l’art… Nous contrecarrerons la masse de l’APL avec la nôtre, mais la nôtre sera plus difficile à planifier, plus difficile à frapper, plus difficile à battre. »

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  101. Pour obtenir à la fois le matériel et les logiciels nécessaires à la mise en œuvre d'un programme aussi ambitieux, le ministère de la Défense recherche désormais des propositions auprès d'entrepreneurs de défense traditionnels comme Boeing et Raytheon, ainsi que de startups d'IA comme Anduril et Shield AI. Bien que des appareils à grande échelle comme l'avion de combat collaboratif de l'armée de l'air et l'UUV Orca Extra-Large de la marine puissent être inclus dans ce projet, l'accent est mis sur la production rapide de systèmes plus petits et moins complexes comme le drone d'attaque Switchblade d'AeroVironment, maintenant utilisé par l'Ukrainien. troupes pour éliminer les chars et les véhicules blindés russes derrière les lignes ennemies.

    Dans le même temps, le Pentagone appelle déjà les startups technologiques à développer les logiciels nécessaires pour faciliter la communication et la coordination entre des unités robotiques aussi disparates et leurs plates-formes habitées associées. Pour faciliter cela, l’Air Force a demandé au Congrès 50 millions de dollars dans son budget de l’exercice 2024 pour financer ce qu’elle appelle de manière assez inquiétante le projet VENOM, ou « Viper Experimentation and Next-Generation Operations Model ». Dans le cadre de VENOM, l'Air Force convertira les avions de combat existants en drones régis par l'IA et les utilisera pour tester des logiciels autonomes avancés dans des opérations multi-drones. L'armée et la marine testent des systèmes similaires.

    Quand les essaims choisissent leur propre chemin

    En d’autres termes, ce n’est qu’une question de temps avant que l’armée américaine (et probablement celle de la Chine, de la Russie et peut-être celle de quelques autres puissances) soit en mesure de déployer des essaims de systèmes d’armes autonomes équipés d’algorithmes leur permettant de communiquer entre eux. les autres et choisissent conjointement des manœuvres de combat nouvelles et imprévisibles en mouvement. Tout membre robotique participant à de tels essaims se verrait attribuer un objectif de mission (« rechercher et détruire tous les radars ennemis et batteries de missiles anti-aériens situés dans ces coordonnées géographiques [spécifiées] »), mais ne recevrait pas d’instructions précises sur la manière de le faire. Cela leur permettrait de choisir leurs propres tactiques de combat en consultation les uns avec les autres. Si l’on en croit les données de test limitées dont nous disposons, cela pourrait signifier l’emploi de tactiques très non conventionnelles jamais conçues pour (et impossibles à reproduire par) les pilotes et commandants humains.

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  102. La propension de ces systèmes d’IA interconnectés à produire des résultats nouveaux et imprévus est ce que les experts en informatique appellent un « comportement émergent ». Comme l’explique ScienceDirect, un recueil de revues scientifiques : « Un comportement émergent peut être décrit comme un processus par lequel des modèles plus larges apparaissent à travers des interactions entre des entités plus petites ou plus simples qui elles-mêmes ne présentent pas de telles propriétés. » En termes militaires, cela signifie qu'un essaim d'armes autonomes pourrait choisir conjointement d'adopter des tactiques de combat pour lesquelles aucun des dispositifs individuels n'était programmé - obtenant éventuellement des résultats étonnants sur le champ de bataille, mais aussi, éventuellement, s'engageant dans des actes d'escalade involontaires et imprévus par leurs humains. commandants, y compris la destruction d’infrastructures civiles critiques ou d’installations de communication utilisées pour les opérations nucléaires et conventionnelles.

    À ce stade, bien sûr, il est presque impossible de prédire ce qu’un esprit de groupe extraterrestre pourrait choisir de faire s’il était armé de plusieurs armes et coupé de la surveillance humaine. Apparemment, de tels systèmes seraient équipés de mécanismes de sécurité exigeant qu'ils retournent à la base si les communications avec leurs superviseurs humains étaient perdues, que ce soit à cause d'un brouillage ennemi ou pour toute autre raison. Qui sait, cependant, comment de telles machines pensantes fonctionneraient dans des conditions exigeantes du monde réel ou si, en fait, l’esprit de groupe se révélerait capable d’outrepasser de telles directives et de se lancer seul.

    Et alors ? Pourraient-ils choisir de continuer à combattre au-delà de leurs limites préprogrammées, provoquant une escalade involontaire – même, en théorie, de type nucléaire ? Ou choisiraient-ils d'arrêter leurs attaques contre les forces ennemies et d'interférer avec les opérations des forces amies, peut-être en leur tirant dessus et en les dévastant (comme le fait Skynet dans la série de films de science-fiction classique Terminator) ? Ou pourraient-ils adopter des comportements qui, pour le meilleur ou pour l’infiniment pire, dépassent totalement notre imagination ?

    De hauts responsables militaires et diplomatiques américains insistent sur le fait que l’IA peut effectivement être utilisée sans encourir de tels risques futurs et que ce pays n’emploiera que des dispositifs intégrant des garanties tout à fait adéquates contre tout futur mauvais comportement dangereux. C’est en fait le point essentiel de la « Déclaration politique sur l’utilisation militaire responsable de l’intelligence artificielle et de l’autonomie » publiée par le Département d’État en février 2023. De nombreux responsables éminents de la sécurité et de la technologie ne sont cependant que trop conscients du potentiel risques de comportements émergents dans les futurs armements robotiques et continuent d’émettre des avertissements contre l’utilisation rapide de l’IA dans la guerre.

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  103. Il convient de noter en particulier le rapport final que la Commission de sécurité nationale sur l'intelligence artificielle a publié en février 2021. Co-présidée par Robert Work (de retour au CNAS après son passage au Pentagone) et Eric Schmidt, ancien PDG de Google, la commission a recommandé que utilisation rapide de l’IA par l’armée américaine pour assurer la victoire dans tout conflit futur avec la Chine et/ou la Russie. Cependant, il a également exprimé son inquiétude quant aux dangers potentiels de champs de bataille saturés de robots.

    « L’utilisation incontrôlée de tels systèmes à l’échelle mondiale risque potentiellement une escalade involontaire des conflits et une instabilité de crise », note le rapport. Cela pourrait se produire pour un certain nombre de raisons, notamment « en raison de la complexité difficile et non testée de l’interaction entre les systèmes d’armes basés sur l’IA et les systèmes d’armes autonomes [c’est-à-dire les comportements émergents] sur le champ de bataille ». Compte tenu de ce danger, conclut-il, « les pays doivent prendre des mesures axées sur la réduction des risques associés aux systèmes d’armes autonomes et basés sur l’IA ».

    Lorsque les principaux partisans des armes autonomes nous disent de nous inquiéter des dangers involontaires que pose leur utilisation au combat, le reste d’entre nous devrait effectivement s’inquiéter. Même si nous n’avons pas les compétences mathématiques nécessaires pour comprendre les comportements émergents de l’IA, il devrait être évident que l’humanité pourrait être confrontée à un risque important pour son existence si les machines à tuer acquéraient la capacité de penser par elles-mêmes. Peut-être qu’ils surprendraient tout le monde et décideraient d’assumer le rôle de soldats de la paix internationaux, mais étant donné qu’ils sont conçus pour combattre et tuer, il est bien plus probable qu’ils choisissent simplement d’exécuter ces instructions de manière indépendante et extrême.

    Si tel est le cas, il ne pourrait y avoir personne pour mettre un R.I.P. sur la pierre tombale de l’humanité.

    Reprinted with permission from TomDispatch.com.

    https://www.lewrockwell.com/2024/02/no_author/emergent-ai-behavior-and-human-destiny/

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    1. Aujourd'hui, des drones (aussi petits qu'un oiseau) peuvent entrer en reconnaissance dans les fenêtres ouvertes ! Leur mission est d'uniquement filmer en direct l'intérieur des maisons avant qu'un drone-tueur entre en action !

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  104. Trouver, créer (et conserver) un emploi à l'ère de l'IA


    19 février 2024


    Ce qui est précieux, ce sont des compétences flexibles, entrepreneuriales et fondées sur l'expérience qui peuvent être appliquées à une variété de problèmes, y compris ceux qui ne se sont pas encore posés.

    Trouver ou créer un emploi présentant de réels avantages – et le conserver – est depuis longtemps un défi de plus en plus difficile. La mondialisation a exposé l’économie et la main-d’œuvre à une concurrence sans précédent en matière de réduction des coûts, et l’automatisation a rongé un travail qui aurait pu être réduit à la routine. L’IA introduit désormais un nouveau niveau d’automatisation dans des secteurs jusqu’alors protégés.

    Nous pouvons résumer la situation ainsi : si l’IA ne perturbe pas le secteur dans lequel vous travaillez, quelque chose d’autre le fera.

    Je pense au travail, aux emplois, à l'argent, à l'automatisation, à l'IA et à l'économie depuis de nombreuses années, réflexions qui ont abouti à mes livres Obtenez un emploi, construisez une carrière et défiez une économie déconcertante (2014), Un monde radicalement bénéfique : Automatisation, technologie et création d'emplois pour tous (2015), Argent et travail déchaînés (2017) et Serez-vous plus riche ou plus pauvre ? : profit, pouvoir et IA. dans un monde traumatisé (2019).

    Si je devais tout résumer à quelques paragraphes, je commencerais par ceci :

    1. Les entreprises et les gouvernements sont fondamentalement des entités qui résolvent des problèmes. Ils organisent le travail, le capital et les outils pour résoudre les problèmes. Cela clarifie notre compréhension de la valeur du travail humain : nous résolvons tous des problèmes d’une sorte ou d’une autre. Ceux qui sont capables de résoudre une variété de problèmes seront toujours recherchés quelque part dans la société et l’économie.

    2. On nous dit d'acquérir des diplômes comme preuve de nos connaissances, mais la voie la plus directe consiste à nous accréditer en démontrant et en enregistrant nos compétences réelles en résolution de problèmes. Les diplômes accréditent l'achèvement d'un programme d'études, mais ils n'accréditent pas réellement des connaissances ou des compétences en résolution de problèmes qui peuvent être utilement appliquées dans le monde réel. Nous servons nos meilleurs intérêts en les accréditant nous-mêmes.

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  105. 3. Le monde regorge de diplômes qui n'accréditent pas réellement ce que les employeurs et les clients apprécient le plus. Le résultat net est que la valeur des diplômes diminue, car il existe une inadéquation entre l'offre et la demande : ce qui est précieux, ce sont des compétences flexibles, entrepreneuriales et fondées sur l'expérience qui peuvent être appliquées à une variété de problèmes, y compris ceux qui ne se sont pas encore posés. .

    4. La connaissance de soi est aussi essentielle que la capacité à résoudre des problèmes. Nous ne pouvons pas réaliser pleinement notre potentiel tant que nous n’avons pas identifié nos intérêts fondamentaux, nos talents et nos traits de caractère et que nous ne les avons pas alignés sur ce que j’appelle les huit compétences essentielles en résolution de problèmes. Personne n'est talentueux dans tous les domaines, et nous devons donc choisir un travail qui exploite ce pour quoi nous sommes bons et que nous trouvons intéressant, et compenser du mieux que nous pouvons ce que nous ne savons gérer que passablement.

    En tant qu'auteur, c'est une chose rare et précieuse de recevoir la plus haute distinction possible, c'est-à-dire de constater que quelque chose que nous avons écrit a apporté un peu de connaissance utile et d'encouragement à quelqu'un qui en a fait bon usage. J'ai récemment reçu un tel honneur de la part de la lectrice Jenna Tucker, dont le récit incarne tout ce que j'essaie de communiquer sur l'acquisition de la connaissance de soi, la compréhension de l'économie à mesure qu'elle évolue, l'accumulation de compétences précieuses et la recherche de moyens de les appliquer pour faire avancer sa propre carrière de manière bénéfique. employeurs, clients et notre communauté :

    "Cher Charles Hugh Smith, j'étais si heureux de voir votre présence sur Patreon, car je voulais vous écrire une lettre de remerciement depuis quelques années maintenant. J'ai lu votre livre Obtenez un emploi, construisez une carrière. , Et défier une économie déconcertante après avoir déménagé à travers le pays pour mes études supérieures et, au cours du premier trimestre de mon programme de deux ans, j'ai reconnu que le domaine de carrière que je poursuivais s'effondrait rapidement. J'ai décidé de rester et de monter une étude interdisciplinaire de mon propre choix. Je savais que j'aurais besoin de trouver un autre domaine de carrière et je cherchais des stratégies alternatives.

    Vos idées correspondaient si bien à mon propre sens intuitif des choses. L’affirmation, la clarté supplémentaire et les conseils pratiques ont fait toute la différence pour moi. Cette poignée d'outils allant de la compréhension de la courbe en S à la recherche de compétences avec des courbes d'apprentissage abruptes et continues en passant par la création d'un historique de travail principal comme base pour la création de CV et la recherche de références était si réfléchie et puissante. Merci beaucoup d'avoir pris le temps d'écrire ce livre. La bonne volonté et la générosité ont été très importantes pour moi, de la manière la plus pratique et la plus tangible.

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  106. J'ai toujours été un enfant talentueux et responsable, et j'ai recherché les conseils d'une personne bien intentionnée et sage, plus âgée que moi, pendant des décennies. Et je n'ai rien trouvé d'aussi utile que ce que vous avez transmis dans votre petit livre. J'ai d'abord trouvé et lu un livre sur la façon de gérer mon argent à 18 ans avant d'aller à l'université et j'ai lu de nombreux autres livres au fil des ans. Ils avaient tous à peu près le même conseil, que je suivis scrupuleusement. Et pourtant, j’approchais de la trentaine, toujours si proche d’un retour à l’insécurité alimentaire, et aucune responsabilité ou excellence ne semblait changer la tendance de manière vraiment significative.

    Je n'avais aucun exemple ni aucun conseil au-delà de ce qu'on me disait de réussir à l'école, d'aller à l'université et de respecter un budget strict, ce que je faisais religieusement. Pourtant, dans les années qui ont précédé la lecture de votre livre, le maximum que j'avais gagné au cours d'une année fiscale était de 27 000 $. Depuis lors, j'ai basculé trois fois vers des carrières plus lucratives et je viens de préparer mes impôts pour ma première année où je gagnais un revenu à six chiffres supérieur à 100 000 $ en travaillant comme ingénieur logiciel autodidacte et communautaire. Sachez que votre travail était très nécessaire, chéri et apprécié par ce lecteur et mécène en particulier. Et merci encore !

    Jenna Tucker"

    Merci, Jenna, d'avoir partagé votre voyage inspirant avec nous. J’honore votre succès bien mérité. Vous avez accompli tant de choses et en partageant votre propre histoire, vous aidez les autres à avancer dans leur propre voyage.

    Voici quatre instantanés de l’économie et du travail dans cette économie :

    My recent books:

    Disclosure: As an Amazon Associate I earn from qualifying purchases originated via links to Amazon products on this site.

    The Asian Heroine Who Seduced Me (Novel) print $10.95, Kindle $6.95 Read an excerpt for free (PDF)

    When You Can't Go On: Burnout, Reckoning and Renewal $18 print, $8.95 Kindle ebook; audiobook Read the first section for free (PDF)

    Global Crisis, National Renewal: A (Revolutionary) Grand Strategy for the United States (Kindle $9.95, print $24, audiobook) Read Chapter One for free (PDF).

    A Hacker's Teleology: Sharing the Wealth of Our Shrinking Planet (Kindle $8.95, print $20, audiobook $17.46) Read the first section for free (PDF).

    Will You Be Richer or Poorer?: Profit, Power, and AI in a Traumatized World
    (Kindle $5, print $10, audiobook) Read the first section for free (PDF).

    The Adventures of the Consulting Philosopher: The Disappearance of Drake (Novel) $4.95 Kindle, $10.95 print); read the first chapters for free (PDF)

    https://www.oftwominds.com/blogfeb24/jobs-AI2-24.html

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  107. Liberté de la presse 2.0 – les vents contraires se font plus forts


    21 février 2024
    par Andrea Drescher


    Deux médias, deux orientations différentes au-delà du récit, une réaction : des problèmes. Le rédacteur en chef du magazine imprimé « Die Krähe » a été exclu du club des journalistes autrichiens, Info-DIREKT a été supprimé de Tiktok.

    Info-DIREKT, qui, en tant que média patriotique imprimé et en ligne, appartient probablement au spectre de la droite la plus radicale, a probablement été l'une des premières victimes de la « loi sur les services numériques ». Le « Digital Service Act » de l’UE est entré en vigueur samedi. Le 19 février Le rédacteur en chef Michael Scharfmüller a découvert que la « chaîne TikTok Info-DIREKT » avait été supprimée. La chaîne existe depuis le 30 avril 2020 et, rien qu'en 2020, 135 courtes vidéos qui ont reçu plus de 1,66 million de vues y ont été publiées.

    Lorsqu'on lui demande pourquoi le compte a été bloqué, Michael Scharfmüller répond : « Le message était le suivant : votre compte a été bloqué en raison de violations des directives sous « Comportement violent et activités criminelles ». Nous avons identifié cette violation sur la base de notre propre enquête.

    Il ne peut pas non plus expliquer les raisons de ces allégations. « Comportement violent ou activité criminelle dans la vidéo – comment est-ce censé fonctionner ? Nous n’avons publié aucune opération policière ni bagarre. Nous n’avons jamais rien publié qui montre de la violence. Le plus violent a été mon expulsion personnelle d'une manifestation Corona par la police. Et la vidéo date de plusieurs années. "

    Il soupçonne que la chaîne figurait déjà sur une liste de chaînes qui seront supprimées avec l'introduction de la loi sur les services numériques. Sa tentative d’opposition a entraîné la fermeture de la fenêtre TikTok et il lui a été demandé de se reconnecter. La chaîne avait finalement disparu et il n'y avait plus accès. Il considère qu'un litige écrit est inutile car il a constaté que les grands fournisseurs ne répondent tout simplement pas aux e-mails ou aux lettres.

    Sur le site Internet de « Die Krähe », on peut lire : « Le rédacteur en chef de Die Krähe expulsé de l'association des journalistes ». On y lit ensuite : « Liza Ulitzka, rédactrice en chef de « Die Krähe », est exclue du Club des journalistes autrichiens parce qu'elle y soutenait Julian Assange. Elle est bannie de la maison et doit restituer sa carte d'identité de journaliste. "

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  108. Le rédacteur en chef résume la situation comme suit : « En raison d’ un différend qui s’est intensifié au sujet d’une action d’Assange, j’ai été démis du conseil d’administration et exclu de l’association. Je ne peux même plus participer à l'assemblée générale et présenter mon point de vue, car je suis également interdite d'accès à la maison." La journaliste engagée doit également restituer sa carte de presse, ce qui la prive de fait de la base pour travailler dans un contexte officiel, même si on peut généralement travailler sans ce document.

    Le magazine en petits caractères peut se situer dans le spectre politiquement plus classique de la gauche, un positionnement que Liza Ulitzka n'aime pas : « Nous sommes un média qui essaie de faire du journalisme de qualité et qui traite également de sujets présentés comme de droite. À mon avis, les critiques à l’égard des éoliennes se situent déjà dans le spectre de la droite. « The Crow » traite depuis longtemps de sujets critiques. Notre contact s'est fait grâce à son article sur le Königswarte, dans lequel elle évoquait, entre autres, la violation de la neutralité autrichienne via cette station d'écoute.

    Cependant, son article détaillé sur l'expulsion n'a pas apporté beaucoup de joie au Club des journalistes autrichiens. Elle a d'abord reçu un email du président lui demandant de supprimer l'article. Cela a été suivi d'un e-mail de l'avocat du club, également avec une demande de cesser et de s'abstenir, faute de quoi des poursuites judiciaires seraient engagées à leur encontre.

    Comme le magazine n'est pas encore autofinancé et que Liza Ulitzka vit de ses économies ou de petits projets en tant que journaliste indépendante - entre autres, elle travaille actuellement sur un documentaire sur la loi sur les services numériques - un soutien financier sous forme d' abonnements supplémentaires pour « Die Krähe» serait utile pour garantir l'existence continue d'un journalisme libre et indépendant.

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  109. Qu'il s'agisse d'info-DIREKT ou de « Die Krähe » : le journalisme critique n'est pas particulièrement valorisé aujourd'hui. Du moins pas de la part des structures dirigeantes. Les lecteurs de médias alternatifs mais aussi les journalistes comme nous ici au TKP devraient montrer leur appréciation et leur solidarité.

    Nous devons tous travailler ensemble pour nous protéger contre les effets de la censure, que la loi sur les services numériques peut encore prendre sous des formes qui remontent à une époque dont personne ne veut se souvenir.

    Pour Julian Assange, tout cela est déjà un cadeau brutal. #FreeAssangeNow devrait être le #hashtag le plus important aujourd’hui !

    https://tkp.at/2024/02/21/pressefreiheit-2-0-der-gegenwind-wird-schaerfer/

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  110. ENCORE 1 ARTICLE CENSURÉ (120 - 1 =119)

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