- ENTREE de SECOURS -



mardi 13 février 2024

La France et l’européanisation des armes nucléaires

Par Philippe Rosenthal

Mondialisation.ca,

 13 février 2024


Die Welt titre, «la France possède 300 têtes nucléaires. C’est plus que suffisant comme moyen de dissuasion». Berlin lorgne sur la dissuasion nucléaire française. Les forcres politiques en Allemagne, qui veulent affronter militairement la Russie, se réjouissent à l’idée de pouvoir utiliser les armes nucléaires françaises. Marine Le Pen (RN) a accusé le président français, Emmanuel Macron, de rechercher la participation nucléaire d’autres partenaires de l’UE, notamment celle de l’Allemagne.

«Lorsqu’en 2019, nous alertions sur la volonté d’Emmanuel Macron de partager notre puissance nucléaire, avec la signature du traité d’Aix-la-Chapelle, nous étions accusés de complotisme. Européaniser notre puissance nucléaire est une folie dont Emmanuel Macron ne comprend pas la portée», a déclaré la chef du Rassemblement National (RN), Marine Le Pen. Selon le leader du parti des Patriotes, Florian Philippot, donner à l’Union européenne l’accès au potentiel nucléaire français n’est rien d’autre que de la haute trahison. La raison de l’indignation de l’opposition française était les déclarations du président français faites lors de sa visite en Suède.

À la remarque que «la France possède une force navale capable et robuste et est, par ailleurs, le seul pays d’Europe à avoir également une capacité nucléaire», et à la question si le président français actuel, a «le sentiment d’avoir une responsabilité particulière à cet égard», Emmanuel Macron a répondu durant sa conférence de presse en Suède:

«Oui cela ne fait aucun doute. Pas de manière à provoquer une escalade, mais le fait que nous travaillons avec nos alliés, nos partenaires européens, afin de préserver ce que j’appellerais la liberté de la souveraineté et les libertés fondamentales qui sont garanties par l’ordre juridique international. Oui, nous avons le sentiment d’avoir une responsabilité particulière. Par ailleurs, je l’ai dit à l’issue de mon discours, il y a quelques années. Je l’avais dit sans ambages. Nos intérêts vitaux, Ce que nous définissons comme intérêts vitaux sont, en partie, essentiellement européen ce qui nous confère une responsabilité particulière en ce qui concerne ce que nous possédons et notre capacité de dissuasion, pour dire les choses clairement».

Selon les médias, le président a déclaré que «la France a la responsabilité de fournir sa dissuasion nucléaire à l’UE» et que la connexion de ses intérêts vitaux avec l’Union européenne impose une «responsabilité particulière» au pays. Au cours des dernières années, Emmanuel Macron s’est prononcé à plusieurs reprises sur une éventuelle européanisation des armes nucléaires françaises, directement et dans des lieux plus importants que la Suède.

En juin 2022, le Tagesspiegel a fait savoir que «le secrétaire d’État aux Affaires européennes Clément Beaune, proche conseiller du président Emmanuel Macron, avait déclaré à Berlin: «Cette proposition [de mettre à disposition la dissuasion nucléaire française à l’Europe] du président Macron est toujours sur la table», ajoutant: «Nous pensons que la dissuasion nucléaire française est un moyen de protéger les intérêts européens». «L’Allemagne doit soutenir l’offre de Macron de renforcer les capacités nucléaires de l’Europe», a lancé à ce moment, Friedrich Merz, le président de la CDU. «Compte tenu de la situation mondiale, une capacité nucléaire européenne commune est notre assurance vie», avait-il rajouté, prouvant l’intérêt de Berlin de posséder l’arme atomique de la France.

Ces idées ont été incitées par le président français par le débat public qui a débuté en Allemagne fin 2016, immédiatement après l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis. Les politiciens et les experts allemands ont, alors, commencé à parler sérieusement et haut et fort de la nécessité pour l’Union européenne, voire l’Allemagne elle-même, d’acquérir son propre potentiel nucléaire au cas où Washington déciderait soudainement de retirer ses garanties de sécurité. À la veille de la prochaine élection présidentielle américaine, le thème de la bombe nucléaire paneuropéenne redevient d’actualité.

«Je pense que c’est très réaliste», a estimé le président d’Airbus, René Obermann, dans un entretien accordé à Die Zeit. L’Allemagne, selon lui, jouera un rôle clé dans le développement d’un potentiel nucléaire paneuropéen, même si cela contredit les traités internationaux actuellement en vigueur.

«Tôt ou tard, l’Allemagne sera contrainte d’assumer de plus grandes responsabilités au sein de l’architecture de sécurité nucléaire européenne, au-delà de ce qu’on appelle aujourd’hui la participation nucléaire de l’OTAN», a martelé René Oberman. On peut supposer que ce haut responsable de l’industrie sait de quoi il parle. La filiale d’Airbus est engagée dans le développement et la production de missiles pour les forces stratégiques françaises.

Des experts et des hommes politiques faisant autorité discutent désormais sérieusement de la création d’armes nucléaires européennes en Allemagne. La Pologne n’est pas opposée à une telle évolution des événements, comme l’a récemment laissé entendre de manière transparente le chef du ministère polonais des Affaires étrangères, Radoslaw Sikorski, lors de sa visite à Berlin.

«Au sein de l’UE, Radosław Sikorski appelle à la fin de la domination franco-allemande», soulignele Frankfurter Allgemeine Zeitung qui rappelle la position de Marin Le Pen à ce sujet: «L’européanisation de nos armes nucléaires serait une folie! Emmanuel Macron ne comprend pas les implications». Certes, le chancelier Olaf Scholz a récemment déclaré dans un entretien au même Zeit que les garanties nucléaires américaines envers l’Allemagne et l’Union européenne sont tout à fait suffisantes et plus réalistes que les rêves d’une bombe nucléaire européenne. Mais, cette opinion pourrait bien changer si les résultats des prochaines élections américaines ne correspondent pas à ceux souhaités par les Européens.

D’ailleurs, des forces politiques puissantes à Berlin comme l’un des fondateurs du parti des Verts, Joschka Fischer, qui n’avaient pas hésiter à donner l’ordre de bombarder la Serbie sans l’accord de l’ONU, sont pour l’arme atomique au service de l’UE: «L’UE a besoin de sa propre dissuasion nucléaire».

https://www.mondialisation.ca/la-france-et-leuropeanisation-des-armes-nucleaires/5686351?doing_wp_cron=1707829247.0769259929656982421875 

114 commentaires:

  1. Les 'armes nucléaires' n'ont plus cours (sauf à celle de se faire hara-kiri), car ces 'maîtrises de dissuasion' ne sont plus (depuis longtemps) des systèmes agressifs envers l''ennemi'. Depuis longtemps existe 'HAARP' et sa très haute technologie scalaire qui permet de repérer un sous-martins à plus de 1000 m et de le détruire au fond des mers. Donc, faites un trait sur les 'bunkers' vantés et vendus aux défébrilisés de ce monde. Les tremblements de terre (de type 'Fukushima' qui venaient du ciel et non de la Terre) et autres ouragans catastrophiques ou cataclysmiques règnent sur notre planète surchauffé ou sur-refroidie à souhaits. Faites un trait sur les cultures à venir qui peuvent être 'victimes de gelées très locales' comme des incendies ou sécheresses.

    Si vous ne devez pas manger VOUS NE DEVEZ PAS MANGER ! COMPRIS ?!

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  2. Le Premier ministre britannique présente les victimes vaccinées en direct à la télévision


    13 février 2024
    de Thomas Oysmüller


    Un Britannique blessé par l’injection d’ARNm a confronté en direct à la télévision le Premier ministre Richi Sunak au sujet des dommages causés par la vaccination.

    Mauvaise surprise pour Richi Sunak, le Premier ministre britannique, à la télévision. Lors du « Forum des citoyens », un programme télévisé sur la chaîne privée GB News, un citoyen a confronté Sunak au sujet des dommages causés par sa vaccination. Il voulait savoir pourquoi les victimes de la vaccination étaient laissées « pourrir ».

    Traumatisme et douleur

    John a parlé avec beaucoup d'émotion à Sunak. Le Premier ministre a immédiatement tenté de calmer le jeu en évoquant « un autre » citoyen présent dans la salle qui « souffrait » également de la vaccination. John Watt a déclaré à Sunak : "Je veux que tu me regardes dans les yeux, Rishi Sunak, et je veux que tu voies la douleur, le traumatisme et le regret que j'ai dans mes yeux." Sunak a déclaré à plusieurs reprises pendant Covid Les politiciens ( y compris au Parlement) que les injections d’ARNm seraient « sûres ».

    Sunak a essayé de se sortir de cette affaire. Il a été « choqué » d’en entendre parler et son équipe va se pencher sur le dossier. Et il s’est réfugié dans la « science » : les politiques n’ont fait que suivre les conseils des experts, et il y a finalement eu une « pandémie ».

    La critique acerbe du citoyen à l'égard de Sunak en anglais écossais n'est pas facile à comprendre, mais tout le monde devrait pouvoir percevoir son émotion :

    Voici l'intégralité du discours de John Watt dans la transcription (traduite avec DeepL) :

    Bonjour Rishi Sunak. J'ai tellement de choses à dire, mais si peu de temps. Je m'appelle John Watt et je suis l'une des victimes du vaccin COVID dans ce pays.

    Je veux que tu me regardes dans les yeux, Rishi Sunak, et je veux que tu voies la douleur, le traumatisme et le regret que j'ai dans mes yeux. Nous n’avons reçu aucune aide.

    Ce n’est pas seulement moi ici qui ai été blessé par le vaccin ; Il y a un autre homme là-bas dont la vie a été gâchée par ce vaccin contre le Covid-19. Je connais des gens qui ont perdu des jambes – des amputations. Je connais des gens qui ont des problèmes cardiaques comme moi, Rishi Sunak.

    Pourquoi ai-je dû créer un groupe de soutien en Écosse pour s’occuper des personnes touchées par ce vaccin contre le Covid-19 ? Pourquoi les responsables qui nous ont dit de faire ce qui était juste ont-ils échoué envers nous tous et contre moi-même ainsi que contre les milliers et dizaines de milliers de personnes dans ce pays ? »

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  3. Rishi Sunak, regarde-moi dans les yeux. Quand commencerez-vous à faire ce qu’il faut ? Le système d’indemnisation des dommages causés par la vaccination n’est pas adapté. Il y a actuellement plus de 30 000 personnes en Écosse sous le système de la carte jaune qui ont eu une réaction indésirable à ce vaccin.

    Selon les deux victimes vaccinées présentes dans le public, Sunak n’a pas tenu sa promesse de parler en privé après le spectacle. Sous le tweet du Premier ministre sur le « Forum des citoyens », de plus en plus de personnes dénoncent les dégâts causés par la vaccination.

    L'intervention citoyenne fait des vagues. Un rédacteur en chef du Daily Mirror s’est plaint à la télévision du petit-déjeuner Good Morning Britain du fait que le citoyen était un « anti-vaccin ». Apparemment, il n’y a toujours pas de blessures vaccinales pour lui.

    https://tkp.at/2024/02/13/impf-opfer-stellt-uk-premier-im-live-tv/

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  4. Les deux gros mensonges de Nico (le Parisien): l’efficacité des mesures covid et la courbe de hockey de Mann sont toujours contestées et il fait croire le contraire


    le 12 février 2024
    par pgibertie


    Nicolas Berrod du Parisien devrait lire en entier les études et les articles à partir desquels il prend la défense de la doxa. Ainsi en soutenant la thèse de l’efficacité des mesures anti covid il s’appuie sur un modèle mathématique contredit par les faits et les scientifiques du monde entier.

    De même quand il apprend que deux bloggeurs qui avaient comparé Mann à un prédateur sexuel, ont été condamnés, il ne devrait pas en déduire que c’est la contestation scientifique de Mann qui est condamnée. Ross McKitrick va très bien et n’ a pas été condamné

    - voiir graph sur site -

    Les études avec méthodologie adéquate ont des résultats opposés (faible efficacité des mesures et de la vaccination de masse), par exemple Herby et al. (méta-analyse des études utilisant la méthode des double différences – une des seules méthodes pour prouver la causalité),ou Quinn et al. https://mdpi.com/2077-0383/13/2/334… montrant que la progression de l’épidémie est corrélée avec des facteurs naturels saisonniers et très peu avec les confinements et la vaccination de masse.

    Conclusion: en relayant cette étude visant à défendre la politique de la crise, vous participez à la désinformation scientifique.

    @nicolasberrod Merci d’apporter une meilleure information à la population à l’avenir.

    @CorinneReverbel

    Cela ne fait ni chaud ni froid à Mr@nicolasberrod de faire la promo d’une étude (basée sur des modèles) qui contredit totalement les données réelles. Par exemple celles mesurées par l’unité #comete du bataillon des@MarinsPompiersde Marseille, qui montraient de manière précise que confinements, couvre-feux, masques généralisés n’avaient aucun intérêt. https://x.com/corinnereverbel/status/1331627157823631362?s=46&t=uXLPZxunpbMrhsbKO3VCmw

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  5. Selon Nicolas Berrod , Mann a fait condamner deux adversaires qui allaient contre ses thèses, en réalité ils le comparaient à un prédateur sexuel et ont été condamnés

    Le procès a débuté le 18 janvier à Washington, DC, 12 ans après que Mann ait poursuivi pour la première fois Simberg et Steyn, pour diffamation.

    «Ils ont franchi une ligne», a déclaré Mann au jury depuis la barre des témoins. « Ils m’ont comparé à un agresseur d’enfants reconnu coupable et ont formulé de fausses allégations de mauvaise conduite scientifique à mon encontre. »

    PAS DE CONDAMNATION POUR LES SCIENTIFIQUES QUI DEMONTENT les theses de Mann

    L’escroquerie de la courbe de hockey de Mann: des preuves ahurissantes…ils n’ont pas tenu compte des 3/4 des données observées
    Publié le 14 décembre 2023 par pgibertie

    - voiir graph sur site -

    #Climat depuis l’An 1000 : la reconstruction des cernes d’arbres (dendochronologie) montre l’Optimum médiéval et le 20ème siècle chaud. À l’opposé de la courbe de Mann en « crosse de hockey. »

    Pour fabriquer la fameuse courbe de hockey qui fait l’impasse sur l’optimum médiéval, MANN et Jacoby ont oublié de prendre en compte les données qui ne confirmaient pas l’explosion climatique. Heusement, les archives ressortent et l’escroquerie apparait au grand jour, dix sites d’observation ont été retenus et 26 cachés….

    @RossMcKitrick

    Il y a 20 ans, mon co-auteur

    @ClimateAudit a essayé d’obtenir des données sur les cernes des arbres de l’AK en 1979 par le climatologue G Jacoby qui les gardait secrètes. Steve vient de le trouver en ligne https://climateaudit.org/2023/12/12/discovery-of-data-for-one-of-the-other-26-jacoby-series/… En tant qu’indicateur temporaire, il montre le chaud 11e S. et le 20e S., sans exception. À l’opposé du bâton de hockey.

    Jacoby (l’une des principales sources de Mann) avait échantillonné 36 sites à la limite forestière du nord, parmi lesquels il en avait sélectionné 10, sur la base desquels il prétendait discerner la température du 20e siècle. En 2004, j’ai demandé les données des 26 sites considérés et exclus. Jacoby a refusé.

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  6. J’ai demandé à la revue (Climatic Change) d’exiger que Jacoby archive les données des 36 sites. Jacoby refusait toujours. Il a déclaré : « Si nous obtenons une bonne histoire climatique à partir d’une chronologie, nous rédigeons un article en l’utilisant. C’est notre mission financée. Les données rejetées sont mises de côté et non archivées ».Il s’avère que l’un des 26 ensembles de données « négligés » a miraculeusement survécu. Jacoby est décédé en octobre 2014. Quelques mois avant sa mort, l’Université de Columbia a archivé des dizaines d’ensembles de données de mesure accumulés par Jacoby au fil des ans, dont beaucoup n’avaient pas été archivés.

    Discovery of Data for One of the « Other 26 » Jacoby Series

    Le faussaire Michael Mann a reçu un coup de crosse de hockey sur le crane, depuis il délire: ceux qui doutent de l’apocalypse climatique seraient payés par les Russes

    https://pgibertie.com/2024/02/12/les-deux-gros-mensonges-de-nico-le-parisien-lefficacite-des-mesures-covid-et-la-courbe-de-hockey-de-mann-sont-toujours-contestees-et-il-fait-croire-le-contraire/

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  7. Offensive médiatique et politique contre les lanceurs d’alerte: publier des études scientifiques en désaccord avec la doxa de BIG PHARMA devient une dérive sectaire


    le 13 février 2024
    par pgibertie


    Lisez l’article 4 ci dessous , rien ne peut garantir que les victimes d’effets secondaires et les scientifiques en désaccord avec un produit de Big Pharma, pourront librement s’exprimer , bien au contraire

    Terminées les remises en question du Vioxx, du Médiator! Terminés les compte rendus d’études publiées comme je le fais ici depuis trois ans

    LE CONSEIL D ‘ÉTAT PARTAGE LES CRAINTES

    Le Gouvernement a décidé de rendre public l’avis du Conseil d’État sur un projet de loi visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires et la répression des emprises mentales gravement dommageables.

    1. Le Conseil d’Etat a été saisi, le 19 octobre 2023, d’un projet de loi visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires, qui comprend 7 articles répartis en cinq chapitres. Le texte a fait l’objet d’une saisine rectificative, reçue le 9 novembre 2023. L’étude d’impact a été transmise le 25 octobre 2023 et a fait l’objet de deux saisines rectificatives, reçues les 6 et 9 novembre 2023.

    Considérations générales

    2. Le Gouvernement caractérise, dans l’étude d’impact, l’ampleur actuelle du phénomène sectaire en France à l’aune de l’augmentation continue du nombre de signalements par les victimes auprès de la mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (MIVILUDES) et de la transformation du phénomène avec la multiplication de petites structures et l’émergence de « gourous » dans le domaine de la santé et du bien-être qui, le plus souvent, propagent leur influence en recommandant des pratiques ou des comportements, souvent gravement dommageables pour les personnes, sur les réseaux sociaux.

    3. En dépit du titre choisi par le Gouvernement, visant seulement les phénomènes sectaires, le projet de loi appréhende en réalité des menaces et agissements très hétérogènes, dont la plupart de ceux qui émergent ne se réfèrent plus à des croyances ou des idéologies et tirent une large part de leur dangerosité du recours aux réseaux sociaux. Le Conseil d’Etat suggère de ce fait de modifier le titre du projet, en y ajoutant la « lutte contre les emprises gravement dommageables ». Dans le cadre de sa stratégie de lutte contre ces phénomènes, le gouvernement entend renforcer les sanctions pénales. Alors que l’état du droit, élaboré à la suite d’une ample concertation, résultant de la loi du 12 juin 2001 tendant à renforcer la prévention et la répression des mouvements sectaires portant atteinte aux droits de l’homme et aux libertés fondamentales, reposait sur la sanction de l’abus de faiblesse, il est proposé de sanctionner désormais l’emprise créant un état de sujétion lorsqu’il a de graves conséquences. Le projet vise aussi à accroitre l’action des associations dans ce domaine, à réprimer les atteintes à la santé résultant de discours ou pratiques nuisibles prônant des méthodes ou produits sans valeur thérapeutique et dangereux, et à améliorer l’information des différents acteurs.

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  8. 4. L’étude d’impact, qui a été complétée à la demande du Conseil d’Etat, et devrait encore l’être afin de mieux caractériser, malgré des difficultés méthodologiques avérées, la nécessité de l’évolution de la réponse pénale aux dérives sectaires et aux phénomènes d’emprise ayant des conséquences gravement dommageables, répond dans l’ensemble aux exigences de l’article 8 de la loi organique du 15 avril 2009 relative à l’application des articles 34-1, 39 et 44 de la Constitution.

    5. Outre ces considérations générales, et sous réserve d’améliorations de rédaction qu’il suggère au Gouvernement de retenir, ce projet de loi appelle de la part du Conseil d’Etat les observations et propositions suivantes.

    CHAPITRE Ier : FACILITER ET RENFORCER LES POURSUITES PENALES

    Créer un délit autonome permettant de réprimer les agissements qui ont pour effet de créer un état d’assujettissement psychologique ou physique

    6. La loi du 12 juin 2001 citée précédemment a réuni au sein de l’article 223-15-2 du code pénal l’incrimination d’abus de faiblesse « objective », résultant d’une caractéristique de la victime (minorité, particulière vulnérabilité en raison de l’âge, de l’état de santé ou de grossesse), et le nouveau cas qu’elle a créé d’abus de faiblesse « subjective » de l’état de sujétion psychologique ou physique de la victime. Tout en conservant l’incrimination d’abus frauduleux, le projet de loi crée une nouvelle incrimination tenant au simple fait de placer ou maintenir une personne dans un état de sujétion psychologique ou physique, par l’exercice direct de pressions graves ou réitérées ou de techniques propres à altérer son jugement, ayant pour effet de causer une dégradation grave de son état de santé physique ou mentale ou de conduire cette personne à un acte ou à une abstention qui lui sont gravement préjudiciables.

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  9. 7. Les dispositions pénales en vigueur reposent sur l’équilibre issu de débats approfondis lors de l’examen parlementaire de la loi du 12 juin 2001. Face à l’impossibilité de définir un délit de « manipulation mentale » sans porter atteinte de manière disproportionnée à la liberté personnelle, le législateur a alors décidé d’incriminer le fait d’abuser de l’état de vulnérabilité d’une personne sous emprise, et non le fait même de placer ou maintenir une personne dans un état de sujétion psychologique ou physique. La Cour de cassation a jugé que cette disposition législative est rédigée en termes suffisamment clairs et précis pour permettre son interprétation et sa sanction, qui relèvent de l’office du juge pénal, sans risque d’arbitraire (cf. arrêt n° 13 84.585 du 10 février 2016).

    8. Il appartient au législateur d’assurer la conciliation entre, d’une part, les libertés individuelles, notamment la liberté personnelle, la liberté de conscience et la liberté d’opinion garanties respectivement par les articles 2, 10 et 11 de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen du 26 août 1789 ainsi que par les articles 8, 9 et 10 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’Homme et des libertés fondamentales, d’une part, et l’objectif de sauvegarde de la dignité humaine et de l’ordre public, d’autre part (cf. décision n° 2018 761 QPC du 1er février 2019). Il lui incombe également, en vertu de l’article 8 de la Déclaration de 1789, de respecter le principe de nécessité et de proportionnalité des peines, en s’assurant que les atteintes portées à l’exercice des libertés individuelles sont adaptées, nécessaires et proportionnées aux objectifs poursuivis (cf. décisions n° 2011 625 DC du 10 mars 2011 et n° 2017 625 QPC du 7 avril 2017). Pour tenir compte de l’objection formulée par le Conseil d’Etat, s’agissant du champ d’application très large de la mesure, une saisine rectificative est venue préciser que les phénomènes visés devaient résulter d’actions directes, c’est-à-dire dirigées vers une personne identifiée, et non d’un discours général et impersonnel, par exemple tenu sur un réseau social. L’étude d’impact devrait être complétée pour mentionner les principaux cas possibles d’application du nouveau délit hors du champ des dérives sectaires. Le Conseil d’Etat considère que le principe constitutionnel et conventionnel de légalité des délits et des peines n’est pas méconnu par la création de ce nouveau délit, qui n’est pas manifestement inapproprié pour répondre à l’objectif poursuivi par le Gouvernement d’appréhender l’ensemble des phénomènes d’emprise dans les limites précisées par le texte.

    9. Afin de faciliter l’identification de cette nouvelle incrimination sans remettre en cause l’ensemble de la jurisprudence existante, le Conseil d’Etat a proposé au Gouvernement, qui l’a accepté dans sa saisine rectificative, de renuméroter le nouvel article créé et de conserver la terminologie de « sujétion » pour caractériser cette situation de vulnérabilité, plutôt que le terme d’« assujettissement ». Il note que les quanta de peine prévus correspondent à la gradation des peines correctionnelles résultant de l’article 131 4 du code pénal et que les critères d’aggravation retenus (peine simple, peine aggravée par une circonstance, peine plus aggravée par plusieurs circonstances ou par la commission en bande organisée) relèvent également d’un mécanisme habituel en droit pénal. Le Conseil d’Etat estime que ces quanta de peine échappent à tout grief de disproportion manifeste.

    Introduire une circonstance aggravante d’assujettissement psychologique ou physique pour le meurtre, les actes de torture et de barbarie, les violences et les escroqueries

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  10. 10. Le Conseil d’Etat rappelle que les circonstances aggravantes, déterminées de façon limitative par la loi et rattachées à un comportement pénalement répréhensible, entraînent un accroissement de la sévérité des peines encourues dans des proportions définies par le législateur. La circonstance aggravante de vulnérabilité existe pour un grand nombre d’infractions d’atteintes aux personnes ou aux biens : meurtre ; tortures et actes de barbarie, y compris en bande organisée ; violence ayant entraîné la mort sans intention de la donner, une mutilation ou une infirmité permanente, une incapacité totale de travail pendant plus ou moins huit jours ou n’ayant entrainé aucune incapacité totale de travail ; violences habituelles sur mineur ou personne vulnérable ; escroquerie. Le projet de loi complète chacun de ces cas par la création d’une circonstance aggravante lorsque la victime est en état de sujétion psychologique ou physique et que l’auteur de l’infraction connait cette vulnérabilité particulière, afin de mieux appréhender pénalement les infractions commises dans un cadre sectaire.

    11. Le Conseil d’Etat constate que, dès lors que la prise en compte de l’état de sujétion psychologique ou physique de la victime ne constitue pas un des éléments constitutifs de ces infractions, sa prise en compte par le projet de loi comme circonstance aggravante ne méconnait pas le principe de légalité des délits et des peines (cf. décision n° 2014 448 QPC du 6 février 2015 du Conseil constitutionnel). Il en déduit que l’absence d’application d’une telle circonstance aggravante pour le viol ou l’extorsion, dont la contrainte constitue déjà un des éléments constitutifs, respecte le principe de légalité des délits et des peines.


    CHAPITRE II : RENFORCER L’ACCOMPAGNEMENT DES VICTIMES

    Etendre les catégories d’associations pouvant se constituer partie civile en matière d’emprise sectaire

    12. La loi du 12 juin 2001, adaptant sur ce point la loi du 15 juin 2000 renforçant la protection de la présomption d’innocence et les droits des victimes, a prévu que peuvent se constituer partie civile, à l’occasion d’actes commis dans le cadre d’un mouvement ou organisation ayant pour but ou pour effet de créer, maintenir ou exploiter une sujétion psychologique ou physique, les associations reconnues d’utilité publique, régulièrement déclarées depuis au moins cinq ans à la date des faits, qui se proposent, par leurs statuts, de défendre et d’assister les victimes. Le législateur a depuis multiplié les cas dans lesquels sont admises les constitutions de partie civile des associations sans préjudice personnel, sous réserve de conditions d’agrément, d’ancienneté et de spécialité des statuts, mais sans conditionnement au critère de la reconnaissance d’utilité publique. Afin de renforcer la défense des victimes devant les tribunaux, le Gouvernement propose que la procédure d’agrément ministériel, plus souple que celle de reconnaissance d’utilité publique, suffise pour permettre à plus associations sérieusement investies dans la lutte contre les dérives sectaires de se constituer partie civile.

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  11. 13. Le Conseil d’Etat considère que cet assouplissement de la possibilité de se constituer partie civile ne contrevient à aucune règle constitutionnelle ou conventionnelle, dès lors que les conditions d’agrément, qui seront être définies par décret en Conseil d’Etat, permettront de garantir le respect des droits de la défense (cf. décision n° 2015 492 QPC du 16 octobre 2015 du Conseil constitutionnel), de s’assurer du sérieux de l’engagement des associations concernées dans la lutte contre les dérives sectaires, et de retirer cet agrément en cas d’abus. Dans un souci d’homogénéisation du droit applicable, il suggère, en accord avec le Gouvernement, de réserver aux associations ayant fait l’objet d’un tel agrément, plutôt qu’à celles reconnues d’utilité publique comme c’est actuellement le cas, la possibilité de se constituer partie civile, tout en maintenant à titre transitoire la possibilité d’action des associations reconnues d’utilité publique pour les procédures en cours et pendant un délai de neuf mois après l’entrée en vigueur de la nouvelle procédure d’agrément.

    CHAPITRE III : PROTEGER LA SANTE

    Réprimer la provocation à l’abandon ou l’abstention de soins ou à l’adoption de pratiques dont il est manifeste qu’elles exposent la victime à un risque grave ou immédiat pour sa santé

    14. L’étude d’impact mentionne que les signalements reçus par la MIVILUDES en lien avec la santé ont connu une augmentation significative depuis 2020 et représentent un quart des saisines reçues en 2021 et près de 70 % de ces saisines concernent des pratiques de soins dites « non conventionnelles ». Ces évolutions, dans un contexte de discours anti-scientifique amplifié notamment par l’usage des réseaux sociaux depuis l’épidémie de Covid 19, sont de nature à constituer un risque pour la santé publique compte tenu de l’état de vulnérabilité ou de faiblesse de personnes qui peuvent se laissent convaincre de suivre des pratiques non conventionnelles de soins susceptibles d’être dangereuses pour leur santé.

    15. Afin de sanctionner la multiplication des pratiques consistant à promouvoir, y compris par voie de presse, certaines pratiques abusivement présentées comme bénéfiques pour la santé, ou l’abandon de traitement médicaux qui sont pourtant nécessaires à la santé des personnes concernées, le projet de loi prévoit d’instituer une nouvelle infraction pénale. Celle ci permettrait de sanctionner le fait de provoquer des malades à ne pas suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique prescrit par des professionnels de santé lorsque cela est manifestement susceptible d’entraîner des conséquences graves pour la santé physique ou mentale des personnes concernées. De même, le projet de loi vise à réprimer la provocation à adopter des pratiques thérapeutiques ou prophylactiques ou présentées comme telles, dont il est manifeste qu’elles exposent les personnes concernées à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente.

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  12. 16. Le Conseil d’Etat estime toutefois que ni la nécessité, ni la proportionnalité de ces nouvelles incriminations ne sont avérées.

    Il constate en premier lieu que si les faits incriminés sont commis par une personne en relation directe avec une autre, la répression pénale de l’exercice illégal de la médecine ou de la pharmacie (articles L. 4161 1 et L. 4223 1 du code de la santé publique), mais aussi celle des pratiques commerciales trompeuses (article L. 121 2 du code de la consommation), de la non-assistance à personne en danger (article 223 6 du code pénal), de la mise en danger de la vie d’autrui (article 223 1 du code pénal), du délaissement d’une personne hors d’état de se protéger (article 223 3 du code pénal) ou de l’entrave aux mesures d’assistance et de l’omission de porter secours (article 223 5 du code pénal) couvrent d’ores et déjà amplement les faits visés, et que l’utilité de compléter ces dispositions par une nouvelle incrimination n’est pas établie par l’étude d’impact et les informations données par le Gouvernement.. Il ajoute, s’agissant des professionnels de santé, que les sanctions ordinales constituent également des moyens de régulation d’exercice déviant de ces professions dont il n’est pas établi qu’ils manqueraient d’efficacité.

    Le Conseil d’Etat rappelle en deuxième lieu que lorsque les faits incriminés résultent d’un discours général et impersonnel, par exemple tenus sur un blog ou un réseau social, si l’objectif de protection de la santé, découlant du onzième alinéa du Préambule de la Constitution de 1946, peut justifier des limitations à la liberté d’expression (cf. décision n° 2020 803 DC du 9 juillet 2020 du Conseil constitutionnel), il convient de garantir un équilibre entre ces droits constitutionnels, afin, notamment, de ne pas remettre en cause, par une incrimination de contestations de l’état actuel des pratiques thérapeutiques, la liberté des débats scientifiques et le rôle des lanceurs d’alerte. Il estime qu’en tant qu’elles viseraient à empêcher la promotion de pratiques de soins dites « non conventionnelles » dans la presse, sur internet et les réseaux sociaux, de telles dispositions constituent une atteinte portée à l’exercice de la liberté d’expression, protégée par l’article 11 de la Déclaration de 1789. Or une telle atteinte doit être nécessaire, adaptée et proportionnée à l’objectif poursuivi, y compris s’agissant de la libre communication des pensées et des opinions au moyen de services de communication au public en ligne (cf. décision n° 2020 801 DC du 18 juin 2020 du Conseil constitutionnel). Il souligne que la Cour européenne des droits de l’Homme déduit également de l’article 10 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’Homme et des libertés fondamentales la liberté d’accepter ou de refuser un traitement médical spécifique, ou de choisir un autre type de traitement, qui est essentielle à la maîtrise de son propre destin et à l’autonomie personnelle, en l’absence de pressions inappropriées (cf. CourEDH, arrêt n° 302/02 du 10 juin 2010). Alors même que la légitimité de l’objectif poursuivi par le projet de loi est incontestable, le Conseil d’Etat constate qu’il ne lui a pas été loisible, dans le délai imparti pour l’examen du texte, d’élaborer une rédaction tenant compte de ces critiques. Il propose donc de ne pas retenir les dispositions en cause.

    Obliger les parquets à informer les ordres professionnels de santé lorsque des professionnels de santé sont mis en examen ou poursuivis

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  13. 17. Le Conseil d’Etat rappelle que le secret de l’enquête et de l’instruction, garanti par l’article 11 du code de procédure pénale, vise à garantir le bon déroulement de l’enquête et de l’instruction, poursuivant ainsi les objectifs de valeur constitutionnelle de prévention des atteintes à l’ordre public et de recherche des auteurs d’infractions, et à garantir le droit au respect de la vie privée et de la présomption d’innocence des personnes concernées par une enquête ou une instruction (cf. décision n° 2017 693 QPC du 2 mars 2018 du Conseil constitutionnel). Il note toutefois que la loi prévoit que l’autorité judiciaire peut informer une administration publique, une personne morale de droit privé chargée d’une mission de service public ou un ordre professionnel des décisions pénales prises contre un agent qu’elle emploie ou une personne placée sous leur contrôle. De plus, à titre dérogatoire, l’autorité judiciaire a l’obligation, et non plus seulement la faculté, d’informer l’administration, en cas d’infractions de nature sexuelle, d’une condamnation, même non définitive, prononcée à l’encontre d’une personne qui exerce une activité professionnelle ou sociale impliquant un contact habituel avec des mineurs et dont l’exercice est contrôlé par l’administration.

    18. Dans l’objectif de limiter la propagation de dérives thérapeutiques de nature sectaire au moyen du prononcé rapide de sanctions ordinales, le projet de loi prévoit une obligation d’information des ordres professionnels de santé par les parquets, pour toute infraction concernant des professionnels de santé mis en examen ou poursuivis, sauf si cette transmission d’information est susceptible de porter atteinte au bon déroulement de la procédure judiciaire et sous réserve de la protection de la confidentialité des informations transmises. Le Conseil d’Etat rappelle que la transmission d’informations nominatives à caractère pénal par le ministère public doit être justifiée par des impératifs de protection d’autres droits ou intérêts de même valeur avec lesquels les droits ou intérêts légitimes de la personne concernée doivent se concilier. Ainsi, le Conseil d’Etat considère qu’en fonction des risques encourus dans un domaine d’activité déterminé, le maintien de l’ordre public, la sécurité des personnes ou des biens ou le bon fonctionnement du service public peuvent justifier la transmission à l’administration ou à l’autorité chargée du contrôle de cette activité d’informations nominatives à caractère pénal.

    19. Le Conseil d’Etat considère que la mesure proposée ne peut être acceptée dans son principe que dans la mesure où elle vise à faciliter les sanctions disciplinaires dans un objectif de protection de la santé publique, à condition donc de concerner un champ délimité d’infractions en lien avec cet objectif. C’est pourquoi, dans sa saisine rectificative, le Gouvernement a limité l’obligation de transmission aux seuls cas de condamnation ou de placement sous contrôle judiciaire pour une infraction liée à une dérive sectaire telle que définie par le présent projet et concernant un professionnel de santé. Si le Conseil d’Etat estime que cette délimitation stricte du champ de la mesure proposée respecte les exigences constitutionnelles, il lui parait cependant préférable, dans un souci de sobriété législative et alors qu’une telle obligation légale non sanctionnée n’aurait pas d’effet substantiellement distinct de celui d’une instruction donnée par le garde des sceaux aux parquets, qu’une circulaire de politique pénale recommande aux parquets de procéder, sous leur appréciation de chaque situation individuelle, à une telle communication, dès lors que la loi prévoit déjà cette possibilité, ou d’enclencher eux-mêmes directement des poursuites devant les juridictions ordinales. Le Conseil d’Etat suggère donc de ne pas retenir la disposition proposée dans le projet de loi.

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  14. CHAPITRE IV : ASSURER L’INFORMATION DES ACTEURS JUDICIAIRES SUR LES DERIVES SECTAIRES

    Permettre la transmission à l’autorité judiciaire de toute information utile sur les phénomènes sectaires

    20. Le Gouvernement souhaite que la MIVILUDES puisse transmettre à l’autorité judiciaire, dans le cadre de procédures en cours concernant des personnes soupçonnées de placer des victimes en état de sujétion psychologique ou physique, des informations d’ordre général sur l’emprise sectaire, sans porter d’appréciation sur les faits reprochés à la personne poursuivie ou mise en examen. Le Conseil d’Etat considère qu’un service de l’Etat, non spécialement habilité en tant qu’expert devant les tribunaux, ne saurait intervenir de sa propre initiative dans des procédures judiciaires sans porter atteinte au droit à un procès équitable garanti par les articles 16 de la Déclaration de 1789 et 6 de la Convention européenne des droits de l’Homme. Dans le cadre des travaux devant le Conseil d’État, le Gouvernement a, suivant la recommandation qui lui était faite, retenu dans une saisine rectificative une disposition se bornant à permettre aux parquets ou aux juridictions de solliciter l’expertise de tout service de l’Etat, figurant sur une liste fixée par arrêté interministériel, dont la compétence serait de nature à l’éclairer utilement sur les phénomènes sectaires.

    21. Enfin les dispositions du chapitre V relatives à l’application outre-mer n’appellent pas de commentaires de la part du Conseil d’Etat.

    Cet avis a été délibéré par l’assemblée générale du Conseil d’Etat dans sa séance du jeudi 9 novembre 2023.

    - voir cadre sur site :

    https://pgibertie.com/2024/02/13/offensive-mediatique-et-politique-contre-les-lanceurs-dalerte-publier-des-etudes-scientifiques-en-desaccord-avec-la-doxa-de-big-pharma-devient-une-derive-sectaire/

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  15. Mortalité associée au vaccin COVID-19 dans l’hémisphère sud

    Livre électronique sur la recherche mondiale, Centre de recherche sur la mondialisation (CRG)
    Par le Pr Denis Rancourt , le Dr Marine Baudin , le Dr Joseph Hickey et le Dr Jérémie Mercier


    Recherche mondiale,
    13 février 2024


    [Cet eBook a été publié pour la première fois en septembre 2023.]

    Mortalité associée au vaccin COVID-19 dans l’hémisphère sud


    Par le Pr Denis Rancourt, la Dre Marine Baudin,
    le Dr Joseph Hickey et le Dr Jérémie Mercier
    Livre électronique sur la recherche mondiale, septembre 2023

    Copyright, septembre 2023 : Pr Denis Rancourt, Dr Marine Baudin,
    Dr Joseph Hickey et Dr Jérémie Mercier

    Abstrait

    Dix-sept pays de l’équateur et de l’hémisphère sud ont été étudiés (Argentine, Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour, Afrique du Sud, Suriname, Thaïlande, Uruguay), dont 9.10 % de la population mondiale, 10,3 % des injections mondiales de COVID-19 (taux de vaccination de 1,91 injections par personne, tous âges), pratiquement tous les types et fabricants de vaccins COVID-19, et couvrent 4 continents.

    Dans les 17 pays, il n’existe aucune preuve d’un effet bénéfique des vaccins contre la COVID-19 en matière de mortalité toutes causes confondues (MAC) selon le temps. Il n’y a aucune association dans le temps entre la vaccination contre le COVID-19 et une réduction proportionnelle de l’ACM. Le contraire se produit.

    Les 17 pays connaissent des transitions vers des régimes d’ACM élevée, qui se produisent lorsque les vaccins contre la COVID-19 sont déployés et administrés.

    Neuf des 17 pays n'ont enregistré aucun excès détectable de MCA au cours de la période d'environ un an après qu'une pandémie a été déclarée le 11 mars 2020 par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), jusqu'à ce que les vaccins soient déployés (Australie, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay). , Philippines, Singapour, Suriname, Thaïlande, Uruguay).

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  16. Des pics sans précédent d’ACM se produisent au cours de l’été (janvier-février) 2022 dans l’hémisphère sud et dans les pays de latitude équatoriale, qui sont synchrones ou immédiatement précédés par le déploiement rapide de doses de rappel de vaccin contre la COVID-19 (3e ou 4e doses). Ce phénomène est présent dans tous les cas avec suffisamment de données sur la mortalité (15 pays). Deux des pays étudiés disposent de données insuffisantes sur la mortalité en janvier-février 2022 (Argentine et Suriname).

    Les données détaillées sur la mortalité et la vaccination pour le Chili et le Pérou permettent une résolution par âge et par nombre de doses. Il est peu probable que les pics de mortalité toutes causes confondues observés en janvier-février 2022 (et en juillet-août 2021 au Chili ; juillet-août 2022 au Pérou), dans chacun des deux pays et dans chaque tranche d’âge des personnes âgées, puissent être dû à une cause autre que le déploiement rapide des doses de rappel du vaccin COVID-19 associé dans le temps. De même, il est peu probable que les transitions vers des régimes d’ACM élevée, coïncidant avec le déploiement et l’administration soutenue des vaccins contre la COVID-19, dans les 17 pays de l’hémisphère Sud et des latitudes équatoriales, puissent être dues à une cause autre que les vaccins.

    La synchronicité entre les nombreux pics d'ACM (dans 17 pays, sur 4 continents, dans tous les groupes d'âge âgés, à des moments différents) et les déploiements rapides de rappels associés permettent cette conclusion ferme concernant la causalité et une quantification précise de la toxicité du vaccin COVID-19.

    Le taux de mortalité par dose de vaccin (vDFR) pour tous les âges , qui est le rapport entre les décès induits par le vaccin et les doses de vaccin administrées dans une population, est quantifié pour que le pic de l'ACM de janvier à février 2022 se situe dans la fourchette de 0,02 % (Nouveau Zélande) à 0,20% (Uruguay). Au Chili et au Pérou, le vDFR augmente de façon exponentielle avec l'âge (doublant environ tous les 4 ans) et est le plus élevé pour les dernières doses de rappel, atteignant environ 5 % dans les tranches d'âge de 90 ans et plus (1 décès pour 20 injections de dose 4). ). Des résultats comparables se produisent pour l’hémisphère Nord, comme indiqué dans des articles précédents (Inde, Israël, États-Unis).

    Nous quantifions le vDFR global tous âges pour les 17 pays à (0,126 ± 0,004) %, ce qui impliquerait 17,0 ± 0,5 million de décès dus au vaccin COVID-19 dans le monde, à partir de 13,50 milliards d'injections jusqu'au 2 septembre 2023. Cela correspondrait à un événement iatrogène de masse qui a tué (0,213 ± 0,006) % de la population mondiale (1 décès pour 470 personnes vivantes, en moins de 3 ans) et n'a empêché aucun décès de manière mesurable.

    Le risque global de décès induit par l’injection des vaccins contre la COVID-19 dans les populations réelles, déduit de la surmortalité toutes causes confondues et de sa synchronicité avec les déploiements, est généralisé à l’échelle mondiale et bien plus important que ce qui a été rapporté dans les essais cliniques, la surveillance des effets indésirables et l’étude des causes. statistiques de décès à partir des certificats de décès, de 3 ordres de grandeur (1 000 fois plus).

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  17. La forte dépendance à l'âge et les valeurs élevées de vDFR quantifiées dans cette étude portant sur 17 pays sur 4 continents, utilisant tous les principaux types et fabricants de vaccins contre le COVID-19, devraient inciter les gouvernements à mettre immédiatement fin à la politique de santé publique sans fondement consistant à donner la priorité aux résidents âgés pour l'injection de vaccin. Vaccins contre la COVID-19, jusqu’à ce que des analyses risques-avantages valides soient effectuées.

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    Table des matières

    Abstrait

    Tableau des figures

    Tableau des tableaux

    1. Introduction

    2. Données

    3. Méthode pour détecter les transitions temporelles vers des régimes de mortalité élevée toutes causes confondues

    4. Méthodes pour quantifier le vDFR à partir de la mortalité toutes causes confondues

    4.1 Tendance historique de référence pour une période (ou un pic) de mortalité (Méthode 1)

    4.2 Cas particulier d'un seul point historique intégré (Méthode 2)

    4.3 Application des méthodes aux pays spécifiques

    5. Résultats

    5.1 Transitions vers des régimes d'ACM élevée

    5.2 Surmortalité en période Covid par rapport à la surmortalité en période de vaccination COVID-19, dans les 17 pays de cette étude

    5.3 Tous les pays étudiés, tous âges, MCA et déploiement de vaccins au niveau national

    5.4 Chili par groupe d'âge dose 4 ― Déploiements nationaux de la MCA et de la dose de vaccin 4 (90+, 85-89, 80-84, 75-79, 70-74, 65-69 et 60-64 ans)

    5.5 Chili par groupe d'âge dose 3 ― Déploiements nationaux de la ACM et de la dose de vaccin 3 (90+, 85-89, 80-84, 75-79, 70-74, 65-69 et 60-64 ans)

    5.6 Pérou par groupe d'âge dose 3 ― Déploiement national de la ACM et de la dose de vaccin 3 (90+, 85-89, 80-84, 75-79, 70-74, 65-69 et 60-64 ans)

    5.7 Pérou par groupe d'âge dose 4 ― Déploiement national de la ACM et de la dose de vaccin 4 (90+, 85-89, 80-84, 75-79, 70-74, 65-69 et 60-64 ans)

    5,8 vDFR par âge ― Taux de mortalité par dose de vaccin stratifiés par âge pour les doses 3 et 4 au Chili et au Pérou

    5.9 Nouvelle-Zélande, doses 3 et 4 pour tous les âges ― Déploiement national des ACM et des doses de vaccin

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  18. 6. Discussion

    6.1 Les vaccins contre la COVID-19 peuvent causer la mort

    6.2 Absence de surmortalité jusqu’à ce que les vaccins contre la COVID-19 soient déployés

    6.3 Les vaccins contre la COVID-19 n'ont pas sauvé des vies et semblent être des agents toxiques mortels

    6.4 Preuves solides d'une association causale et de la toxicité mortelle du vaccin

    6.5 La causalité de la surmortalité est amplement démontrée

    6.6 Évaluation d’autres interprétations de la cause de la surmortalité

    6.7 Implications concernant la dépendance à l'âge de la toxicité mortelle des vaccins contre la COVID-19

    6.8 Excès de MCA par période précédant le déploiement du vaccin contre la COVID-19

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    7. Conclusion

    7.1 Causalité prouvée

    7.2 Mortalité vaccinale réelle bien supérieure à celle déduite à tort de données erronées

    7.3 Il faut mettre un terme à la politique consistant à donner la priorité aux résidents âgés pour la vaccination contre le COVID-19

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    Les références

    Annexe A : Sources de données sur la mortalité et la vaccination

    Annexe B : Exemples de données sur la mortalité toutes causes confondues et sur la vaccination

    Annexe C : Informations techniques et spécifiques aux applications des méthodes aux données

    Annexe D : Quantification par méthode monopoint de la surmortalité en période Covid

    Annexe E : Quantification par méthode monopoint de la surmortalité pendant la période de vaccination

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  19. Tableau des figures

    Figure 1 : Carte du monde montrant les 17 pays considérés dans la présente étude, par rapport à l'équateur et aux tropiques ― Argentine, Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour , Afrique du Sud, Suriname, Thaïlande et Uruguay.

    Figure 2 : Transitions entre les régimes de mortalité ― ACM par période (semaine ou mois) (bleu), administration du vaccin par période (semaine) (orange) et moyenne mobile rétrospective sur 1 an de l'ACM par période (semaine ou mois) (rouge), selon la légende, pour les 17 pays de cette étude. La date de déclaration de la pandémie du 11 mars 2020 est indiquée par une ligne grise verticale dans chaque panneau. Les sources de données sont spécifiées à l’annexe A.

    Figure 3 : (trois panneaux) ACM excédentaire pendant la période de Covid versus ACM excédentaire pendant la période de vaccination (en haut), première vue agrandie (au milieu), deuxième vue agrandie (en bas), avec une ligne 1 : 1 comme référence.

    Figure 4 : ACM pour tous les âges par semaine (2019-2023) ou par mois (2017-2023) (noir), avec déploiement des vaccins pour tous les âges, doses 1 et 2 (bleu) et rappels (orange), pour les 17 pays du cette étude (telle qu'étiquetée) ; montrant également la date du 11 mars 2020 et les limites d'intégration pour le pic nominal de janvier-février 2022 en ACM (lignes verticales). Les sources de données sont spécifiées à l'annexe A.

    Figure 5 : ACM tous âges par semaine ou par mois (bleu clair), 2015-2023, avec intégrations pour le pic nominal de janvier à février 2022 en ACM (bleu foncé), pour les 17 pays (comme indiqué). Les sources de données sont spécifiées à l'annexe A.

    Figure 6 : ACM pour tous les âges par semaine (2019-2023) ou par mois (2017-2023) (noir), avec déploiement du vaccin COVID-19 pour tous les âges et toutes les doses (bleu), pour les 17 pays de cette étude ; indiquant également la date du 11 mars 2020 (en gris) et les limites d'intégration (en pointillés, en bleu) pour la période de vaccination. Les sources de données sont spécifiées à l’annexe A.

    Figure 7 : ACM tous âges par semaine (ACM/w) ou par mois (ACM/m) (bleu clair), 2015-2023, avec intégrations (bleu foncé) et lignes de tendance (orange), pour la vaccination période, pour les 17 pays de cette étude (comme indiqué). Les sources de données sont spécifiées à l'annexe A.

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  20. Figure 8 : Excédent national de MCA pour tous les âges au cours de la période des pics nominaux de MCA de janvier à février 2022 (cercles pleins) ou pendant la période de vaccination (losanges ouverts, méthode de calcul de la méthode 2) par rapport aux injections totales nationales de vaccins pour tous les âges. sur la même période, en utilisant à la fois les données ACM hebdomadaires (bleues) et mensuelles (oranges), pour les 17 pays (comme indiqué). Gamme complète (panneau supérieur). Vue développée (panneau inférieur). Le coefficient de corrélation de Pearson est r = +0,94.

    Figure 9 : vDFR (période de vaccination) versus vDFR (période de pointe de l'ACM de janvier à février 2022), avec analyse de corrélation. Les valeurs vDFR sont exprimées en fractions et non en %, et l'échelle est x1e−3, donc « 4 » correspond à 0,4 %, et ainsi de suite. Les lignes d'analyse ont les mêmes significations que dans la figure 8. Le coefficient de corrélation de Pearson est r = +0,74.

    Figure 10 : Valeurs vDFR tous âges pour la période de vaccination (orange, méth. 2) et pour la période du pic janvier-février 2022 en ACM (bleu), par pays, par ordre décroissant, par rapport aux listes des fabricants de vaccins . Les valeurs du vDFR pour tous les âges proviennent du tableau 2.

    Figure 11 : Chili (avec déploiements), ACM par semaine (noir), 2019-2023, par tranche d'âge (90+, 85-89… 60-64 ans), avec déploiements de vaccins toutes doses (bleu) et dose-4 (x4 amplifié, rose). Les sources de données sont spécifiées à l’annexe A.

    Figure 12 : Chili (dose 4), ACM par semaine (bleu clair), 2010-2022, par tranche d'âge (90+, 85-89… 60-64 ans), avec intégrations, dose-4-vaccination sur 14 semaines. période (bleu foncé, points) et ligne de tendance (orange). Les sources de données sont spécifiées à l’annexe A.

    Figure 13 : Chili (dose 3), ACM par semaine (bleu clair), 2010-2022, par tranche d'âge (60+, 90+, 85-89… 60-64 ans), avec intégrations, dose-3 sur 22 semaines -période de vaccination (bleu foncé, points) et ligne de tendance (orange). Les sources de données sont spécifiées à l'annexe A.

    Figure 14 : Pérou (avec déploiements), ACM par semaine (noir), 2019-2022, par tranche d'âge (60+, 90+, 85-89… 60-64, 50-59… 20-29, 0-19 ans ), avec des déploiements de vaccins toutes doses (bleu) et dose-4 (x4 amplifiées, rose). Les sources de données sont spécifiées à l’annexe A.

    Figure 15 : Pérou (dose 3), ACM par semaine (bleu clair), 2017-2022, par tranche d'âge (60+, 90+, 85-89… 60-64 ans), avec intégrations, dose-3 sur 26 semaines -période de vaccination (bleu foncé, points) et ligne de tendance (orange). Les sources de données sont spécifiées à l'annexe A.

    Figure 16 : Pérou (dose 4), ACM par semaine (bleu clair), 2017-2022, par tranche d'âge (60+, 90+, 85-89… 60-64 ans), avec intégrations, dose-4 sur 25 semaines -période de vaccination (bleu foncé, points) et ligne de tendance (orange). Les sources de données sont spécifiées à l'annexe A.

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  21. Figure 17 : vDFR en fonction de l'âge, pour le Chili et pour le Pérou, pour le pic de janvier-février 2022 (dose 4 au Chili, dose 3 au Pérou), pour le pic de juillet-août 2022 (Pérou, dose 4) et pour le mois de juillet-août. Pic 2021 (Chili, dose 3), avec crises exponentielles. Échelle linéaire (en haut), échelle logarithmique (en bas).

    Figure 18 : (en haut) Nouvelle-Zélande (avec déploiements), ACM tous âges par semaine (noir), 2019-2023, avec déploiements de vaccins pour tous les âges, dose 1 à dose 4 (couleurs). (en bas) ACM par semaine pour la tranche d'âge de plus de 80 ans (noir) et mêmes limites d'intégration (lignes verticales pointillées). La date de déclaration de la pandémie du 11 mars 2020 est indiquée par une ligne verticale grise. Les sources de données sont spécifiées à l’annexe A.

    Figure 19 : Nouvelle-Zélande (dose 3), ACM tous âges par semaine (bleu clair), 2011-2023, avec intégrations, période de vaccination de la dose 3 de 28 semaines (bleu foncé, points) et ligne de tendance (orange) . Les sources de données sont spécifiées à l'annexe A.

    Figure 20 : Nouvelle-Zélande (dose 4), ACM par semaine (bleu clair), 2011-2023, avec intégrations, période de vaccination dose-4 de 31 semaines (bleu foncé, points) et ligne de tendance (orange). Les sources de données sont spécifiées à l'annexe A.

    Figure 21 : Annexe B – Exemples de données sur la mortalité toutes causes confondues, pour tous les âges (en bleu) et sur l'administration du vaccin à toutes les doses (en orange), pour les 17 pays de cette étude (comme indiqué). La ligne grise verticale indique la déclaration de pandémie du 11 mars 2020 par l’OMS. Les sources de données sont spécifiées à l'annexe A.

    Figure 22 : Annexe D – Méthode du point historique unique (Méthode 2) pour les excès d'ACM dans les périodes Covid des 17 pays de cette étude. Période Covid (orange), période de référence historique à un point (vert), meilleur ajustement (rouge). L'index temporel est le numéro de la semaine ou du mois à partir du début de 2015. La date de déclaration de la pandémie du 11 mars 2020 est indiquée par une ligne grise verticale. Les sources de données sont spécifiées à l’annexe A.

    Figure 23 : Annexe E – Méthode du point historique unique pour l’excès d’ACM (Méthode 2) dans les périodes de vaccination des 17 pays de cette étude. Période de vaccination (orange), période de référence historique à un point (vert), meilleur ajustement (rouge). L'index temporel est le numéro de la semaine ou du mois à partir du début de 2015. La date de déclaration de la pandémie du 11 mars 2020 est indiquée par une ligne grise verticale. Les sources de données sont spécifiées à l’annexe A.

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  22. Tableau des tableaux

    Tableau 1 : Surmortalités totales en période de Covid et de vaccination, nombre d'injections en période de vaccination, population

    Tableau 2 : Taux nationaux de mortalité par dose de vaccin (vDFR) pour tous les âges, extraits de la période du pic nominal d'ACM de janvier à février 2022 (« pic S22 ») et de toute la période de vaccination (« période v ») , pour les 17 pays de cette étude

    Tableau 3 : Extrait des âges doublés, augmentation de l'âge jusqu'à doubler le risque de décès par injection

    Tableau 4 : Annexe A – Types de données et sources de données

    Tableau 5 : Annexe C – Paramètres utilisés pour appliquer la méthode de la ligne de tendance (Méthode 1) aux données

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    1. Introduction

    La mortalité toutes causes confondues selon le temps constitue la donnée la plus fiable pour détecter et caractériser épidémiologiquement les événements causant la mort, et pour évaluer l’impact au niveau de la population de toute augmentation ou effondrement des décès, quelle qu’en soit la cause.

    Ces données peuvent être collectées par juridiction ou région géographique, par groupe d’âge, par sexe, etc. ; et il n'est pas susceptible de biais de déclaration ni de biais dans l'attribution des causes de décès dans la mortalité elle-même.

    (Aaby et al., 2020 ; Bilinski et Emanuel, 2020 ; Bustos Sierra et al., 2020 ; Félix-Cardoso et al., 2020 ; Fouillet et al., 2020 ; Kontis et al., 2020 ; Mannucci et al., 2020 ; Mills et al., 2020 ; Olson et al., 2020 ; Piccininni et al., 2020 ; Rancourt, 2020 ; Rancourt et al., 2020 ; Sinnathamby et al., 2020 ; Tadbiri et al., 2020 ; Vestergaard et al., 2020 ; Villani et al., 2020 ; Achilleos et al., 2021 ; Al Wahaibi et al., 2021 ; Anand et al., 2021 ; Böttcher et al., 2021 ; Chan et al., 2021 ; Dahal et al., 2021 ; Das-Munshi et al., 2021 ; Deshmukh et al., 2021 ; Faust et al., 2021 ; Gallo et al., 2021 ; Islam, Jdanov, et al., 2021 ; Islam, Shkolnikov, et al., 2021 ; Jacobson et Jokela, 2021 ; Jdanov et al., 2021 ; Joffe, 2021 ; Karlinsky et Kobak, 2021 ; Kobak, 2021 ; Kontopantelis et al., 2021a, 2021b ; Kung et al., 2021a, 2021b ; Liu et al., 2021 ; Locatelli et Rousson, 2021 ; Miller et al., 2021 ; Moriarty et al., 2021 ; Nørgaard et al., 2021 ; Panagiotou et al., 2021 ; Pilkington et al., 2021 ; Polyakova et al., 2021 ; Rancourt et al., 2021a, 2021b ; Rossen et coll., 2021 ; Sanmarchi et coll., 2021 ; Sempé et coll., 2021 ; Soneji et coll. 2021 ; Stein et coll., 2021 ; Stokes et coll., 2021 ; Vila-Corcoles et al., 2021 ; Wilcox et coll., 2021 ; Woolf et coll., 2021 ; Woolf, Masters et Aron, 2021 ; Yorifuji et coll., 2021 ; Ackley et coll., 2022 ; Acosta et coll., 2022 ; Engler, 2022 ; Faust et coll., 2022 ; Ghaznavi et al., 2022 ; Gobiņa et al., 2022 ; Lui et al., 2022 ; Henry et coll., 2022 ; Jha et coll., 2022 ; Johnson et Rancourt, 2022 ; Juul et coll., 2022 ; Kontis et coll., 2022 ; Kontopantelis et al., 2022 ; Lee et coll., 2022 ; Leffler et coll., 2022 ; Lewnard et coll., 2022 ; McGrail, 2022 ; Neil et coll., 2022 ; Neil et Fenton, 2022 ; Pálinkás et Sándor, 2022 ; Ramírez-Soto et Ortega-Cáceres, 2022 ; Rancourt, 2022 ; Rancourt et al., 2022a, 2022b ; Razak et coll., 2022 ; Redert, 2022a, 2022b ; Rossen et coll., 2022 ; Safavi-Naini et al., 2022 ; Schöley et al., 2022 ; Sy, 2022 ; Thoma et Declercq, 2022 ; Wang et coll., 2022 ; Aarstad et Kvitastein, 2023 ; Bilinski et coll., 2023 ; de Boer et coll., 2023 ; de Gier et coll., 2023 ; Démétriou et al., 2023 ; Donzelli et coll., 2023 ; Haugen, 2023 ; Jones et Ponomarenko, 2023 ; Kuhbandner et Reitzner, 2023 ; Lytras et coll., 2023 ; Masselot et al., 2023 ; Matveeva et Shabalina, 2023 ; Neil et Fenton, 2023 ; Paglino et coll., 2023 ; Rancourt et coll., 2023 ; Redert, 2023 ; Schellekens, 2023 ; Scherb et Hayashi, 2023 ; Sorli et al., 2023 ; Woolf et coll., 2023).

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  23. Nous avons précédemment signalé plusieurs cas dans lesquels des pics anormaux de mortalité toutes causes confondues (MAC) sont temporellement associés à des déploiements rapides de doses de vaccin contre la COVID-19 et des cas dans lesquels le début de la campagne de vaccination contre la COVID-19 coïncide avec le début d'une nouvelle campagne de vaccination. régime de mortalité élevée et soutenue ; en Inde, en Australie, en Israël, aux États-Unis et au Canada, y compris dans les États et les provinces (Rancourt, 2022 ; Rancourt et al., 2022a, 2022b, 2023).

    Ces études nous ont permis de faire les premières déterminations quantitatives du taux de mortalité par dose de vaccin (vDFR) , qui est le rapport entre les décès induits par le vaccin et les doses de vaccin administrées dans une population, sur la base d'une évaluation de l'excès de ACM sur une période de temps donnée. , par rapport au nombre de doses de vaccin administrées au cours de la même période.

    La valeur du vDFR pour tous les âges et toutes les doses était généralement d'environ 0,05 % (1 décès pour 2 000 injections), avec une valeur extrême de 1 % pour le cas particulier de l'Inde (Rancourt, 2022).

    Nos travaux, utilisant de nombreuses données sur l'Australie et Israël, ont également montré que le vDFR est exponentiel avec l'âge (doublant tous les 5 ans), atteignant environ 1 % pour les 80 ans et plus (Rancourt et al., 2023).

    L'exemple le plus clair est celui d'un pic d'ACM relativement marqué survenu en janvier-février 2022 en Australie, qui est synchrone avec le déploiement rapide de la troisième dose du vaccin contre la COVID-19 en Australie ; survenant dans 5 des 8 États australiens et dans tous les groupes d’âge les plus âgés (Rancourt et al., 2022a, 2023).

    En revanche, il faut souvent faire face à l’effet confondant de la variation saisonnière intrinsèque de l’ACM ; cependant, dans ce cas pour l'Australie, ledit pic de janvier à février 2022 se produit à un moment du cycle saisonnier intrinsèque où l'on devrait avoir un minimum estival stable (hémisphère sud) ou un creux estival dans l'ACM. Il n’existe aucun exemple antérieur d’un tel pic en été dans le record historique d’ACM pour l’Australie (Rancourt et al., 2022a).

    Peu de juridictions nationales disposent de données aussi détaillées sur la mortalité et la vaccination, stratifiées par âge, que celles disponibles en Australie et en Israël. Deux autres pays de ce type sont le Chili et le Pérou. Ici, nous montrons que le Chili et le Pérou, comme l'Australie, connaissent un pic d'ACM relativement important survenant en janvier-février 2022, ce qui est synchrone avec le déploiement rapide de la dose 4 au Chili et de la dose 3 au Pérou du vaccin COVID-19, respectivement, se produisant respectivement. pour toutes les tranches d’âge les plus âgées.

    Cette caractéristique commune au Chili, au Pérou et à l’Australie nous a amenés à rechercher davantage d’exemples du phénomène de pic ACM de janvier à février 2022 dans l’hémisphère sud et dans les régions équatoriales. Les pays équatoriaux n’ont pas de saisons d’été et d’hiver ni de variations saisonnières dans leurs modèles de ACM. Nous avons constaté le même phénomène partout où les données étaient disponibles (Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour, Afrique du Sud, Thaïlande, Uruguay), bien qu'incomplètes pour la Bolivie et non pour la Bolivie. comme distinctif de la Nouvelle-Zélande. Nous rapportons ici ces résultats.

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  24. 2. Données

    Les sources des données sur la mortalité et sur l’administration des vaccins sont présentées à l’Annexe A : Sources des données sur la mortalité et la vaccination.

    L'Annexe B : Exemples de données sur la mortalité toutes causes confondues et sur la vaccination contient des exemples de données : ACM nationale pour tous les âges par période (semaine ou mois), de 2015 à 2023, et administration de vaccin pour tous les âges, toutes doses par semaine, en utilisant Y. -échelles partant de zéro, pour les 17 pays considérés dans la présente étude : Argentine, Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Equateur, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour, Afrique du Sud, Suriname, Thaïlande, et l'Uruguay.

    - voir carte sur site -

    La figure 1 montre les 17 pays considérés, par rapport à l'équateur sur une carte du monde.

    Figure 1 : Carte du monde montrant les 17 pays considérés dans la présente étude, par rapport à l'équateur et aux tropiques ― Argentine, Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour , Afrique du Sud, Suriname, Thaïlande et Uruguay.

    3. Méthode pour détecter les transitions temporelles
    aux régimes de mortalité élevée, toutes causes confondues

    Nous implémentons la méthode suivante développée par l'un de nous (JH) pour détecter les changements de régime dans les données ACM par temps (jour, semaine, mois, trimestre).

    Il s’agit de détecter les transitions dans le temps (à mesure que l’on avance dans le temps à partir d’une période historique stable) vers des régimes d’ACM « plus élevés que d’habitude » ou « plus élevés que récents », qui peuvent être associés à la déclaration d’une pandémie ou au déploiement de vaccins. Bien qu'un œil exercé puisse détecter de telles transitions dans l'ACM brut grâce aux données temporelles elles-mêmes, il est utile d'appliquer une transformation statistique, conçue pour éliminer en grande partie la difficulté confondante des variations saisonnières de l'ACM, qui se produisent dans les pays non équatoriaux.

    Puisque la période dominante des variations saisonnières de l'ACM est de 1 an et que nous souhaitons détecter les changements évoluant dans le temps, nous adoptons l'approche suivante. Nous appliquons une moyenne mobile rétrospective d’un an à l’ACM par données temporelles. Chaque instant de la moyenne mobile rétrospective sur 1 an est simplement l'ACM moyen pour l'année se terminant à ce moment précis, et nous traçons cette moyenne mobile par temps. Les changements de régime de l'ACM apparaissent alors comme des ruptures (en pente ou en valeur) de la moyenne mobile dans le temps.

    Notez que la méthode de la moyenne mobile rétrospective sur 1 an produit un artefact significatif mais facile à discerner : des pics relativement importants et nets de l'ACM donnent lieu à des baisses artificielles de la moyenne mobile un an avant (plus tard) lesdits pics relativement importants et nets. en ACM.

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  25. 4. Méthodes pour quantifier le vDFR
    de la mortalité toutes causes confondues

    4.1 Tendance historique de référence pour une période (ou un pic) de mortalité (Méthode 1)
    Notre première méthode (Méthode 1) de quantification des vDFR par tranche d'âge (ou tous âges) et par numéro de dose de vaccin (ou toutes doses) est la suivante (Rancourt et al., 2022a, 2023), ici améliorée pour ajuster les variations saisonnières systématiques. effets:

    je. Tracez l'ACM par heure (jour, semaine, mois) pour le groupe d'âge (ou tous les âges) sur une grande échelle de temps, y compris les années précédant la pandémie déclarée.

    ii. Identifiez la date (jour, semaine, mois) du début du déploiement du vaccin (déploiement de la première dose) pour le groupe d’âge (ou tous les âges).

    iii. Notez, par souci de cohérence, que l’ACM subit une augmentation progressive jusqu’à des valeurs plus élevées à l’approche de la date du début du déploiement du vaccin.

    iv. Intégrez (ajoutez) l'ACM depuis le début du déploiement du vaccin jusqu'à la fin des données disponibles ou la fin des vaccinations (toutes les doses), selon la première éventualité. Il s'agit de la fenêtre temporelle d'intégration de base utilisée dans le calcul, des dates de début à fin.

    v. Appliquer cette fenêtre et cette intégration sur des périodes successives et sans chevauchement de durée égale, en remontant aussi loin que les données le permettent.

    vi. Commencez chaque nouvelle fenêtre d’intégration au même moment du cycle saisonnier que le début de la fenêtre d’intégration de base de la période vaccinale, même si cela introduit des écarts entre les périodes d’intégration successives.

    vii. Tracez les valeurs d'intégration résultantes en fonction du temps et notez, par souci de cohérence, que la valeur présente une tendance à la hausse, bien discernée à partir de la ou des tendances historiques, pour la période de vaccination.

    viii. Extrapoler la tendance historique des valeurs intégrées à la période de vaccination. La différence entre les valeurs intégrées mesurées et extrapolées (tendance historique prévue) de l’ACM au cours de la période de vaccination est la surmortalité associée à la période de vaccination.

    ix. L'extrapolation, en pratique, est réalisée en ajustant une ligne droite aux points d'intégration choisis avant la vaccination.

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  26. X. Si trop peu de points sont disponibles pour l'extrapolation, ce qui donne une trop grande incertitude sur la pente ajustée, alors imposer une pente nulle, ce qui revient à utiliser une moyenne de valeurs récentes. Dans certains cas, même un seul point (généralement le point de la fenêtre d'intégration immédiatement précédente) peut être utilisé.

    XI. L’erreur dans la valeur extrapolée est le plus souvent la principale source d’erreur dans le calcul de la surmortalité. Estimez « l'erreur de précision » dans la valeur extrapolée comme l'écart moyen de la différence de valeur absolue avec la ligne ajustée (moyenne des valeurs absolues des résidus) pour les points choisis de l'ajustement. Cette erreur est une mesure des variations de la période d'intégration, toutes causes confondues, sur une région proche ayant une tendance linéaire supposée.

    XII. Ladite « erreur de précision » est généralement plus grande que « l’erreur de précision » (ou erreur statistique) dans la valeur extrapolée, car elle représente la variabilité d’une année sur l’autre de l’ACM intégré dans la fenêtre d’intégration au cours des années précédant le Covid. ou les périodes de vaccination.

    XIII. S'il y a trop peu de fenêtres d'intégration dans les années normales disponibles avant le pic ou la région d'intérêt pour obtenir une bonne estimation de la variabilité historique d'une année à l'autre, ou si les erreurs statistiques dans les valeurs intégrées sont relativement importantes, alors faites utilisation des erreurs statistiques pour estimer au mieux l’incertitude nécessaire.

    XIV. Appliquez la même fenêtre d’intégration (dates de début à fin pendant la vaccination) pour compter toutes les doses de vaccin administrées pendant cette période.

    XV. En fonction des circonstances particulières des données, il peut être nécessaire d'utiliser des limites d'intégration différentes (fenêtres différentes) pour l'ACM et pour l'administration du vaccin. Nous n’en avons vu aucune nécessité et nous n’avons pas essayé de mettre en œuvre ou de tester une telle optimisation.

    XVI. Définir vDFR = (surmortalité de la période de vaccination) / (doses de vaccin administrées au cours de la même période de vaccination). Calculez l’incertitude du vDFR en utilisant l’erreur estimée dans la surmortalité de la période de vaccination.

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  27. La même méthode est adaptée à toute région d'intérêt (comme un pic d'ACM) de durée sous-annuelle, en traduisant la fenêtre d'intégration (de la région d'intérêt) vers l'arrière par incréments d'un an.

    La méthode décrite ci-dessus est robuste et idéalement adaptée à la nature des données ACM. L'ACM intégré aura généralement une petite erreur statistique.

    Une large fenêtre d'intégration temporelle (par exemple, pour toute la période de vaccination) élimine en grande partie les difficultés liées aux variations saisonnières intrinsèques ; et cette difficulté est en outre résolue en commençant chaque nouvelle fenêtre d'intégration au même moment du cycle saisonnier que le début de la fenêtre d'intégration de base pour la période de vaccination (point vi, ci-dessus).

    La tendance historique est analysée sans introduire d'hypothèses ou d'incertitudes de modèle, au-delà de l'hypothèse que la tendance proche peut être modélisée par une ligne droite, lorsque les données elles-mêmes le justifient. Une telle analyse, par exemple, prend en compte les changements d’une année à l’autre dans la taille des cohortes d’âge découlant de la structure par âge de la population. La seule hypothèse est qu’une tendance proche localement linéaire pour la population non perturbée (non perturbée du point de vue ACM) est réaliste.

    Bien que la méthode ci-dessus soit conçue pour les cas (juridictions) dans lesquels il n'y a aucune preuve dans les données ACM d'une mortalité causée par des facteurs autres que le déploiement des vaccins, tels que les mesures Covid (protocoles de traitement, impositions sociétales, isolement, etc. ; puisqu'aucun la surmortalité se produit pendant la période pré-vaccination de la période Covid), elle peut être facilement adaptée aux cas dans lesquels la mortalité pendant la période de vaccination est confondue avec des facteurs causals supplémentaires (période Covid) qui ne peuvent être exclus.

    Une approche consiste simplement à adapter la méthode ci-dessus aux années civiles, indépendamment du fait qu’une surmortalité se produise ou non avant le déploiement du vaccin contre la COVID-19. On obtient un excès d'ACM par année civile, par rapport à la valeur attendue à partir de la tendance historique déduite par extrapolation linéaire à partir d'une plage choisie de valeurs annuelles d'ACM pour < 2020 (pour les années antérieures à 2020, lorsque l'annonce d'une pandémie le 11 mars 2020 a été faite). ). On compare ensuite l’excédent d’ACM pour 2020 et pour 2021. Dans de nombreux (la plupart) pays, il n’y a pratiquement pas eu de vaccination contre le COVID-19 en 2020, et un déploiement rapide a essentiellement commencé en janvier 2021.

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  28. 4.2 Cas particulier d'un seul point historique intégré (Méthode 2)
    Dans les cas où il n'est pas possible ou pratique d'obtenir plus d'une valeur d'intégration pour l'extrapolation nécessaire (étapes v à ix ci-dessus), plutôt que de supposer une pente nulle pour l'extrapolation (étape x ci-dessus), la deuxième méthode suivante (Méthode 2) peut être appliquée.

    Si Y(−1) est le seul point historique intégré, alors prenez simplement la valeur extrapolée nécessaire, Y(0), comme étant :

    Y(0) = Y(−1) + m ΔT W (1)
    où m est la pente du meilleur ajustement droit à travers l'ACM d'origine par unité de temps (jour, semaine, mois…) par rapport à l'unité de temps numérotée, ΔT est le nombre d'unités de temps entre Y(0) et Y(−1 ) (c'est-à-dire entre le début de la fenêtre d'intégration Y(0) et le début de la fenêtre d'intégration Y(−1)), et W est la largeur inclusive de la fenêtre d'intégration en nombre d'unités de temps.

    Cela suppose que l'ACM dans le temps varie sur une ligne droite, nonobstant les variations saisonnières, sur le segment proche utilisé pour obtenir le meilleur ajustement droit.

    La surmortalité résultante pour la fenêtre ou période d’intégration, xACM(0), est alors :

    xACM(0) = ACM(0) − Y(0) (2)
    où ACM(0) est l’ACM intégré dans la période d’intérêt.

    L'erreur statistique (écart type) en xACM(0) est alors donnée par :

    sig(xACM(0)) = sqrt [ ACM(0) + Y(−1) + (ΔT W sig(m)) 2 ] (3)
    où sig(m) est l'erreur nominalement statistique en m.

    S'il n'y a pas de variation saisonnière de l'ACM, comme c'est le cas dans les juridictions de latitude équatoriale, alors sig(m) est l'erreur statistique réelle en m. Avec les variations saisonnières de l'ACM, sig(m) extrait des moindres carrés correspondant à une droite n'a pas de signification simple. Dans ce cas, sig(m) intégrera l'incertitude résultant des variations saisonnières et augmentera avec l'amplitude croissante de la variation saisonnière.

    4.3 Application des méthodes aux pays spécifiques
    Les paramètres d'application des méthodes (Méthodes 1 et 2) aux données sont donnés en Annexe C : Informations techniques et spécifiques aux applications des méthodes aux données.

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  29. 5. Résultats

    5.1 Transitions vers des régimes d'ACM élevée
    La figure 2 montre l'ACM par heure (semaine ou mois) (bleu), l'administration du vaccin par heure (semaine) (orange) (source : OWID, 2023a) et la moyenne mobile rétrospective sur 1 an de l'ACM par heure (semaine ou mois). mois, respectivement) (rouge), pour les 17 pays de cette étude. La date de déclaration de la pandémie du 11 mars 2020 est indiquée par une ligne grise verticale dans chaque panneau.

    L'administration du vaccin par semaine (par exemple, orange, figure 2), pour les analyses tous âges dans le présent article, est obtenue à partir des données cumulatives originales (OWID, 2023a) en interpolant pour obtenir toutes les dates, puis en additionnant par semaine. Par conséquent, lorsqu’il y a des sauts soudains dans les données cumulées, cela peut produire une valeur hebdomadaire importante en tant qu’artefact, comme pour les Philippines (Figure 2). De même, les baisses des valeurs cumulées peuvent produire des valeurs hebdomadaires négatives artificielles, comme le montrent quelques cas ci-dessous.

    - voir graph sur site -

    Figure 2 : Transitions entre les régimes de mortalité ― ACM par période (semaine ou mois) (bleu), administration du vaccin par période (semaine) (orange) et moyenne mobile rétrospective sur 1 an de l'ACM par période (semaine ou mois) (rouge), selon la légende, pour les 17 pays de cette étude. La date de déclaration de la pandémie du 11 mars 2020 est indiquée par une ligne grise verticale dans chaque panneau. Les sources de données sont spécifiées à l’annexe A.

    Ici (Figure 2), 9 des 17 pays n’ont pas de surmortalité détectable au cours de l’année environ entre l’annonce d’une pandémie le 11 mars 2020 et le début du premier déploiement de vaccins dans chaque pays. Autrement dit, dans 9 des 17 pays, il n’y a pas de surmortalité détectable jusqu’à ce que les vaccins soient déployés (Australie, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Philippines, Singapour, Suriname, Thaïlande, Uruguay).

    Dans les 8 autres pays sur 17, un nouveau régime de mortalité plus élevée est instauré après le 11 mars 2020 et avant toute administration de vaccin contre la COVID-19 (Argentine, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Pérou, Afrique du Sud).

    Dans les 17 pays, la vaccination est associée à un régime de mortalité élevée, et il n’y a aucune association dans le temps entre la vaccination contre le COVID-19 et une réduction proportionnelle de l’ACM.

    5.2 Surmortalité pendant la période de Covid par rapport à la surmortalité pendant la période de vaccination contre le COVID-19, dans les 17 pays de cette étude
    Nous appliquons la méthode « Cas particulier d’un seul point intégré historique » (Méthode 2, ou « méthode monopoint », Équations 1 à 3, voir Méthodes) pour quantifier l’excès d’ACM sur toute la période Covid (ou « Période Covid » ), de la semaine ou du mois du 11 mars 2020 à la semaine ou au mois, respectivement, du dernier (le plus récent) point utilisable ou choisi dans l'ACM par données temporelles. Cette méthode prend en compte le récent changement linéaire décennal de l’ACM historique dans l’extrapolation nécessaire pour la mortalité de référence.

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  30. La méthode et le calcul de l’excédent de mortalité en période Covid sont illustrés en Annexe D : Méthode de quantification en un seul point de la surmortalité en période Covid, pour l’ensemble des 17 pays de cette étude.

    Nous effectuons le même calcul pour toute la période de vaccination contre le COVID-19 (ou « période de vaccination ») excédentaire d’ACM, depuis la première semaine ou le premier mois de vaccination contre le COVID-19 jusqu’à la même semaine ou le même mois, respectivement, qui a été considéré comme étant la dernière semaine ou le dernier mois, respectivement, de la période Covid pour chaque pays, qui est illustrée dans l'Annexe E : Méthode monopoint quantification de la surmortalité dans la période de vaccination.

    Les résultats des calculs sont donnés dans le tableau 1, pour l'excès d'ACM en période Covid (colonne intitulée « Covid période ACM ») et pour l'excès d'ACM en période de vaccination (colonne intitulée « Période de vaccination ACM »), et leurs erreurs associées. (Équation 3, Méthodes).

    Le nombre total d’injections de vaccin contre la COVID-19 pour les mêmes périodes de vaccination est également indiqué (colonne intitulée « Injections pendant la période de vaccination »), ainsi que les populations projetées pour 2022 (Nations Unies, 2023). La période Covid et la période de vaccination se terminent à la même date pour chaque pays. Les totaux sont également donnés, avec des erreurs propagées. La couleur orange correspond aux pays qui n'ont pas d'excès apparent d'ACM avant le début de la vaccination, conformément à la figure 2, tandis que la couleur bleue correspond aux pays qui présentent un excès d'ACM avant le début de la vaccination (et après qu'une pandémie soit déclarée le 11 mars 2020).

    Tableau 1 : Surmortalités totales en période de Covid et de vaccination, nombre d'injections en période de vaccination, population

    - voir cadrer sur site -

    Les résultats du tableau 1 sont illustrés dans la figure 3. Ici, le même codage couleur des symboles que pour le tableau 1 est utilisé : points orange pour les pays qui n'ont pas d'excès apparent de MCA avant le début de la vaccination, conformément à la figure 2, et points bleus pour les pays qui présentent un excès de MCA avant le début de la vaccination (et après la déclaration d’une pandémie le 11 mars 2020).

    - voir graph sur site -

    Figure 3 : (trois panneaux) ACM excédentaire pendant la période de Covid versus ACM excédentaire pendant la période de vaccination (en haut), première vue agrandie (au milieu), deuxième vue agrandie (en bas), avec une ligne 1 : 1 comme référence.

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  31. 5.3 Tous les pays étudiés Tous âges MCA nationaux et déploiements de vaccins
    La figure 4 montre les ACM nationales disponibles pour tous les âges (en noir) par mois (2017-2023) ou par semaine (2019-2023), par rapport aux déploiements de doses de vaccin contre la COVID-19, pour : l'Australie, le Chili, la Colombie, l'Équateur, Nouvelle-Zélande, Pérou, Afrique du Sud (données ACM hebdomadaires) ; et Argentine, Bolivie, Brésil, Malaisie, Paraguay, Philippines, Singapour, Suriname, Thaïlande et Uruguay (données ACM mensuelles). Les lignes verticales grises indiquent l'annonce d'une pandémie par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) le 11 mars 2020, et les lignes verticales en pointillés orange montrent les limites de la fenêtre d'intégration pour le pic d'intérêt de janvier-février 2022 (mêmes limites que pour la figure 5 et le tableau). 2). L’administration du vaccin pour la dose 1 et la dose 2 par semaine ou par mois est en bleu ; alors que l'administration de rappel (doses au-delà de la dose 2) par semaine ou par mois est en orange. Les données sur le vaccin proviennent de Our World in Data (2023a), où les données sur les doses 1 et 2 (en bleu) ont été obtenues en soustrayant les doses de rappel (en orange) des données sur toutes les doses.

    - voir graph sur site -

    Figure 4 : ACM pour tous les âges par semaine (2019-2023) ou par mois (2017-2023) (noir), avec déploiement des vaccins pour tous les âges, doses 1 et 2 (bleu) et rappels (orange), pour les 17 pays du cette étude (telle qu'étiquetée) ; montrant également la date du 11 mars 2020 et les limites d'intégration pour le pic nominal de janvier-février 2022 en ACM (lignes verticales). Les sources de données sont spécifiées à l’annexe A.

    La figure 5 montre l'ACM nationale disponible pour tous les âges par période (semaine ou mois), de 2015 à 2023, les points d'intégration qui ont été utilisés pour quantifier l'excès d'ACM lors du pic d'intérêt de janvier-février 2022, et les lignes de tendance linéaires qui ont été utilisé pour extrapoler aux valeurs attendues (méthode « Base de référence de tendance historique pour une période (ou pic) de mortalité », Méthode 1, voir Méthodes), pour : Australie, Chili, Colombie, Équateur, Nouvelle-Zélande, Pérou, Afrique du Sud ( données ACM hebdomadaires ); et pour l'Argentine, la Bolivie, le Brésil, la Malaisie, le Paraguay, les Philippines, Singapour, le Suriname, la Thaïlande et l'Uruguay (données ACM mensuelles).

    Le chiffre comporte : ACM par semaine ou par mois (bleu clair) ; ACM intégrée par fenêtre d'intégration de la période de vaccination de 26 semaines ou de 7 mois (bleu foncé, points), le dernier point correspondant à la période d'intérêt elle-même ; ligne d'extrapolation utilisée pour calculer l'excès d'ACM pendant la période de rappel (orange). Un point d'intégration est positionné dans le temps au début de la fenêtre d'intégration. Voir Méthodes.

    Par souci d'exhaustivité, dans les figures 5 et 4, nous incluons les pays pour lesquels le calcul ne peut pas être effectué en raison de données ACM insuffisantes dans la région d'intérêt de janvier à février 2022. L'Argentine, la Bolivie et le Suriname disposent de données ACM incomplètes dans la région d'intégration d'intérêt, ce qui entraîne une faible valeur d'intégration en tant qu'artefact (Figure 5).

    Par souci de simplicité et de comparaison, dans les figures 5 et 4 (et dans le tableau 2), nous avons standardisé essentiellement la même fenêtre d'intégration pour tous les pays (voir l'annexe C) : fenêtre de 26 semaines avec données ACM par semaine (semaine 2021). 42 à 2022-semaine-15, soit 182 jours) ou une fenêtre de 7 mois avec des données ACM par mois (2021-mois-10 à 2022-mois-04, soit 212 jours).

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  32. Figure 5 : ACM tous âges par semaine ou par mois (bleu clair), 2015-2023, avec intégrations pour le pic nominal de janvier à février 2022 en ACM (bleu foncé), pour les 17 pays (comme indiqué). Les sources de données sont spécifiées à l’annexe A.

    La figure 6 montre le même type de graphique que celui représenté à la figure 4, sauf que toute la période de vaccination contre le COVID-19 disponible est mise en évidence, au lieu de simplement la région de déploiement de rappel liée au pic nominal de janvier-février 2022 dans l'ACM, pour l'ensemble des 17. pays étudiés (Argentine, Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour, Afrique du Sud, Suriname, Thaïlande, Uruguay).

    Ici (Figure 6 et Figure 7), la période de vaccination est définie comme commençant à la première semaine ou au premier mois de l’administration du vaccin contre la COVID-19, et se terminant effectivement au plus tard au plus tard à l’heure de l’administration du vaccin ou à la dernière date des données ACM disponibles. Voir l'Annexe C : Informations techniques et spécifiques pour les applications des méthodes aux données pour les plages spécifiées utilisées.

    L'idée est de capturer l'impact à long terme de la vaccination, pour tous les âges et toutes les doses, dans chaque pays, avec une valeur calculée correspondante de vDFR, et de la comparer avec la valeur obtenue à partir de la concentration ciblée sur le rappel associé nominalement à janvier- Pic de février 2022 en ACM.

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    Figure 6 : ACM pour tous les âges par semaine (2019-2023) ou par mois (2017-2023) (noir), avec déploiement du vaccin COVID-19 pour tous les âges et toutes les doses (bleu), pour les 17 pays de cette étude ; indiquant également la date du 11 mars 2020 (en gris) et les limites d'intégration (en pointillés, en bleu) pour la période de vaccination. Les sources de données sont spécifiées à l’annexe A.

    La figure 7 montre les intégrations correspondant aux périodes de vaccination illustrées sur la figure 6.

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  33. Figure 7 : ACM tous âges par semaine (ACM/w) ou par mois (ACM/m) (bleu clair), 2015-2023, avec intégrations (bleu foncé) et lignes de tendance (orange), pour la vaccination période, pour les 17 pays de cette étude (comme indiqué). Les sources de données sont spécifiées à l’annexe A.

    Nous avons également appliqué notre méthode alternative (Méthode 2 : Équations 1 à 3 ; méthode « Cas particulier d'un seul point historique intégré ») pour obtenir la surmortalité dans les périodes de vaccination de l'ensemble des 17 pays, en utilisant toutes les mêmes limites d'intégration que celles utilisées dans en appliquant la première méthode (Méthode 1) ci-dessus. Ces calculs sont illustrés à l’Annexe E : Quantification par méthode monopoint de la surmortalité sur la période de vaccination.

    Le tableau 2 compare les valeurs calculées du vDFR pour tous les âges, pour les 17 pays de l'étude, pour deux périodes d'intérêt différentes et en utilisant deux méthodes de quantification différentes :

    La première colonne de chiffres (de gauche à droite) fournit les valeurs nationales de vDFR calculées pour tous les âges à l'aide de la méthode « Tendance de référence historique pour une période (ou un pic) de mortalité » (méthode 1) et la période de janvier- Pic de l'ACM de février 2022 (comme illustré dans les figures 5 et 4), pour 14 des 17 pays de l'étude, qui disposent de données ACM couvrant ledit pic. Trois pays disposent de données ACM incomplètes pour la période considérée (Argentine, Bolivie, Suriname). Les périodes d'intégration, tant pour l'ACM que pour l'administration totale du vaccin, sont : 2021-semaine-42 à 2022-semaine-15 (26 semaines = 182 jours d'intégration, avec données ACM par semaine) et 2021-mois-10. jusqu'au mois 2022-04 (7 mois = intégration sur 212 jours, avec données ACM mensuelles).

    La deuxième colonne de chiffres fournit l'erreur dans les chiffres de la première colonne, qui provient de l'ampleur de l'écart moyen par rapport aux points de ligne droite utilisés pour la tendance historique (Méthode 1, voir Méthodes). Il s'agit donc d'une erreur de « précision », résultant d'une variabilité due à une incertitude saisonnière souvent inévitable (voir Méthodes).
    La troisième colonne de chiffres fournit les valeurs nationales de vDFR calculées pour tous les âges à l'aide de la méthode « Tendances de base historiques pour une période (ou un pic) de mortalité » (méthode 1) et la période de vaccination pour toutes les doses (comme illustré dans les figures 6 et 6). Figure 7), pour 15 des 17 pays de l’étude, qui disposent de suffisamment de données historiques ACM utilisables pour que la méthode puisse être appliquée. Dans la plupart des cas, des erreurs de « précision » significatives ne peuvent pas être évaluées pour les chiffres de cette colonne. Deux pays ne disposent pas de suffisamment de données ACM (Chili, Pérou), pour plus d'un point nécessaire d'intégration historique de l'ACM, pour qu'une valeur vDFR fiable soit calculée, avec l'ensemble de données utilisé.

    La quatrième colonne de chiffres fournit les valeurs nationales de vDFR calculées pour tous les âges à l'aide de la méthode du « Cas particulier d'un seul point historique intégré » (Méthode 2) et de la période de vaccination pour toutes les doses (comme illustré à l'Annexe E), pour les 17 pays. dans l'étude.

    La cinquième colonne de nombres fournit l'erreur dans les nombres de la quatrième colonne, qui est calculée à l'aide de l'équation 3 de la méthode « Cas particulier d'un seul point historique intégré » (Méthode 2), avec les valeurs de pente (m) données dans la figure 23. En tant que telle, cette erreur représente une estimation de l'erreur de « précision », qui est plus grande qu'une erreur statistique, puisque l'erreur statistiquement calculée en m est affectée par l'étalement saisonnier des valeurs ACM par unité de temps.

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  34. Tableau 2 : Taux nationaux de mortalité par dose de vaccin (vDFR) pour tous les âges, extraits de la période du pic nominal d'ACM de janvier à février 2022 (« pic S22 ») et de toute la période de vaccination (« période v ») , pour les 17 pays de cette étude.

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    La figure 8 montre l'excès national de MCA pour tous les âges au cours de la période des pics nominaux de MCA de janvier à février 2022 (cercles pleins) ou au cours des périodes de vaccination (losanges ouverts), comme obtenu à partir des analyses illustrées dans la figure 5 ou la figure 23. , respectivement, par rapport aux injections totales nationales de vaccin pour tous les âges, toutes les doses, au cours de chacune des mêmes périodes que les fenêtres temporelles d'intégration de l'ACM, telles qu'obtenues à partir des analyses illustrées dans la Figure 4 ou la Figure 6, respectivement, pour les 17 pays de l’étude, sous réserve de la disponibilité des données. La plage complète est affichée dans le panneau supérieur et une vue développée près de l'origine est affichée dans le panneau inférieur.

    Les résultats des données ACM hebdomadaires (symboles bleus) et des données ACM mensuelles (symboles orange) sont comparables, même s'ils utilisent des largeurs de fenêtre d'intégration différentes, car il s'agit de mortalités excédentaires dans des pics anormaux plutôt que de mortalités totales. Le coefficient de corrélation de Pearson global (tous les points de la figure 8) est r = +0,94.

    Conformément à sa légende, la figure 8 montre également :

    Le meilleur ajustement en ligne droite (ajustement des moindres carrés) utilisant les erreurs Y dans les points, supposées proportionnelles à l'erreur vraie (ligne noire pointillée)
    Limites supérieures et inférieures du meilleur ajustement en ligne droite, en utilisant respectivement la plus grande ordonnée à l'origine et la plus grande pente ou la plus petite ordonnée à l'origine et la plus petite pente, dans les limites d'erreur sur l'ordonnée à l'origine et la pente (lignes noires continues)

    Les limites standard de l'intervalle de confiance, n'utilisant pas les erreurs Y, et supposant donc des erreurs Y égales et normales pour tous les points (lignes grises courbes)
    Les paramètres d'ajustement de la meilleure ligne sont tels que spécifiés dans la figure : ordonnée à l'origine = +20 ± 900 décès, pente = (7,1 ± 1,0) x 10 −4 décès par injection (r = +0,94). À titre de comparaison, si seules les données pour la période du pic nominal de l’ACM de janvier à février 2022 sont utilisées (cercles pleins dans la figure 8), on obtient : ordonnée à l’origine = −500 ± 1 000 décès, pente = (6,4 ± 0,9) x 10 −4 décès par injection (r = +0,97).

    Figure 8 : Excédent national de MCA pour tous les âges au cours de la période des pics nominaux de MCA de janvier à février 2022 (cercles pleins) ou pendant la période de vaccination (losanges ouverts, méthode de calcul de la méthode 2) par rapport aux injections totales nationales de vaccins pour tous les âges. sur la même période, en utilisant à la fois les données ACM hebdomadaires (bleues) et mensuelles (oranges), pour les 17 pays (comme indiqué). Gamme complète (panneau supérieur). Vue développée (panneau inférieur). Le coefficient de corrélation de Pearson est r = +0,94.

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  35. Dans la figure 8, les points pour la période de vaccination (losanges ouverts) ont généralement des valeurs Y plus grandes que les points pour la période du pic nominal de l'ACM de janvier à février 2022 (cercles pleins), par rapport à la ligne de tendance globale. Cela correspondrait à des valeurs généralement plus élevées de vDFR pour tous les âges spécifiques au pays, puisque vDFR = valeur Y/valeur X pour chaque point. Cette différence systématique est analysée dans la figure 9.

    Figure 9 : vDFR (période de vaccination) versus vDFR (période de pointe de l'ACM de janvier à février 2022), avec analyse de corrélation. Les valeurs vDFR sont exprimées en fractions et non en %, et l'échelle est x1e−3, donc « 4 » correspond à 0,4 %, et ainsi de suite. Les lignes d'analyse ont les mêmes significations que dans la figure 8. Le coefficient de corrélation de Pearson est r = +0,74.

    Selon sa légende, sur la figure 9, la pente est de 1,8 ± 0,6 et l'ordonnée à l'origine est nulle, à l'erreur près (−3 ± 30). Le coefficient de corrélation de Pearson est de +0,74.

    L'Afrique du Sud a la plus grande valeur de vDFR tous âges (0,44 %), parmi les 17 pays étudiés, suivie du Suriname (0,30 %), de la Bolivie (0,301 %), du Paraguay (0,24 %) et des Philippines (0,157 %). Ceci est illustré dans la figure 10, pour tous les pays et pour les deux périodes d’intégration, comparée aux listes de fabricants de vaccins par pays (OWID, 2023b).

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    Figure 10 : Valeurs vDFR tous âges pour la période de vaccination (orange, méth. 2) et pour la période du pic janvier-février 2022 en ACM (bleu), par pays, par ordre décroissant, par rapport aux listes des fabricants de vaccins . Les valeurs du vDFR pour tous les âges proviennent du tableau 2.

    5.4 Chili par groupe d'âge Dose 4 ― Déploiements nationaux de ACM et de vaccin Dose 4 (90+, 85-89, 80-84, 75-79, 70-74, 65-69 et 60-64 ans)

    La figure 11 montre l'ACM nationale par semaine pour le Chili (noir), de 2019 à 2023, ainsi que toutes les doses (bleu) et la dose 4 (amplification x4) (rose) des déploiements de vaccins contre la COVID-19, pour tous les âges et pour chacun des pays. les tranches d’âge analysées (90+ ans jusqu’à 60-64 ans), comme indiqué. Pour de nombreux groupes d'âge, les quatre doses différentes sont visuellement résolues sous forme de pics distincts dans les données pour toutes les doses, ce qui est confirmé par les données spécifiques à la dose (non présentées).

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  36. Figure 11 : Chili (avec déploiements), ACM par semaine (noir), 2019-2023, par tranche d'âge (90+, 85-89… 60-64 ans), avec déploiements de vaccins toutes doses (bleu) et dose-4 (x4 amplifié, rose). Les sources de données sont spécifiées à l’annexe A.

    La figure 12 montre l'ACM nationale par semaine pour le Chili (bleu clair), de 2010 à 2023, ainsi que les points d'intégration sur 14 semaines (bleu foncé) et la ligne de tendance (orange) qui ont été utilisés pour quantifier l'excès d'ACM en janvier-février 2022. pic d'intérêt (méthode « Tendance historique de référence pour une période (ou pic) de mortalité », méthode 1, voir Méthodes), correspondant au déploiement de la dose 4 du vaccin, pour chacune des tranches d'âge (90 ans et plus jusqu'à 60-64 ans). ans, comme indiqué). Ici, les fenêtres d'intégration (14 semaines) sont sélectionnées pour les données par groupe d'âge et sont donc différentes de la fenêtre d'intégration utilisée pour tous les âges (Figure 5 et Figure 4) (voir l'Annexe C). Le dernier point d'intégration (en 2022) concerne la période de dose 4 du vaccin elle-même, et chaque point d'intégration est positionné dans le temps au début de la fenêtre d'intégration. Voir Méthodes pour plus de détails.

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    Figure 12 : Chili (dose 4), ACM par semaine (bleu clair), 2010-2022, par tranche d'âge (90+, 85-89… 60-64 ans), avec intégrations, dose-4-vaccination sur 14 semaines. période (bleu foncé, points) et ligne de tendance (orange). Les sources de données sont spécifiées à l’annexe A.

    5.5 Chili par groupe d'âge Dose 3 ― Déploiement national de l'ACM et de la dose de vaccin 3 (90+, 85-89, 80-84, 75-79, 70-74, 65-69 et 60-64 ans)
    Étant donné que le déploiement de la dose 3 est bien défini et distinct des autres déploiements, dans des groupes d'âge spécifiques au Chili (Figure 11), et qu'il existe une surmortalité au cours de la période de déploiement de la dose 3, nous avons également quantifié pour la dose 3 au Chili, même s'il existe une confusion avec un pic saisonnier de l'ACM et aucun pic associé isolé, net et distinct, de l'ACM, bien que plus de 90 ans montrent une épaule bien formée (Figure 11) (voir Méthodes et voir ci-dessous).

    La figure 13 montre l'ACM nationale par semaine pour le Chili (bleu clair), de 2010 à 2023, ainsi que les points d'intégration sur 22 semaines (bleu foncé) et la ligne de tendance (orange) qui ont été utilisés pour quantifier l'excès d'ACM au cours du mois nominal de juillet. Région d'intérêt d'août 2021 (méthode « Tendance historique de référence pour une période (ou pic) de mortalité », méthode 1, voir Méthodes), correspondant au déploiement de la dose 3 du vaccin, pour chacune des tranches d'âge (60 ans et plus, et 90+ ans jusqu'à 60-64 ans, comme indiqué). Ici, comme dans les figures 12 et 11, les fenêtres d'intégration (22 semaines) sont sélectionnées pour les données par groupe d'âge (annexe C). Le dernier point d'intégration (en 2021) concerne la période de dose 3 du vaccin elle-même, et chaque point d'intégration est positionné dans le temps au début de la fenêtre d'intégration. Voir Méthodes pour plus de détails.

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  37. Figure 13 : Chili (dose 3), ACM par semaine (bleu clair), 2010-2022, par tranche d'âge (60+, 90+, 85-89… 60-64 ans), avec intégrations, dose-3 sur 22 semaines -période de vaccination (bleu foncé, points) et ligne de tendance (orange). Les sources de données sont spécifiées à l’annexe A.

    5.6 Pérou par groupe d'âge Dose 3 ― Déploiements nationaux de ACM et de vaccin Dose 3 (90+, 85-89, 80-84, 75-79, 70-74, 65-69 et 60-64 ans)
    La figure 14 montre l'ACM nationale par semaine pour le Pérou (noir), de 2019 à 2022, et les déploiements de vaccins contre la COVID-19 par dose (toutes les doses, en bleu ; et la dose 4, en rose), pour tous les âges et pour chacun des pays. tranches d'âge examinées (60+, 90+, 85-89, 80-84, 75-79, 70-74, 65-69, 60-64, 50-59, 40-49, 30-39, 20-29, et 0-19 ans), comme indiqué. L’administration de toutes les doses de vaccin par semaine est en bleu, l’administration de la dose de vaccin à 4 doses par semaine (amplification x4) est en rose. Pour de nombreux groupes d'âge, les quatre doses différentes sont visuellement résolues sous forme de pics distincts dans les données pour toutes les doses, ce qui est confirmé par les données spécifiques à la dose (non présentées).

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    Figure 14 : Pérou (avec déploiements), ACM par semaine (noir), 2019-2022, par tranche d'âge (60+, 90+, 85-89… 60-64, 50-59… 20-29, 0-19 ans ), avec des déploiements de vaccins toutes doses (bleu) et dose-4 (x4 amplifiées, rose). Les sources de données sont spécifiées à l’annexe A.

    La figure 15 montre l'ACM nationale par semaine pour le Pérou (bleu clair), de 2017 à 2022, ainsi que les points d'intégration sur 26 semaines (bleu foncé) et la ligne de tendance (orange) qui ont été utilisés pour quantifier l'excès d'ACM en janvier-février 2022. pic d'intérêt (« méthode de référence de tendance historique pour une période (ou pic) de mortalité », méthode 1, voir Méthodes), associé au déploiement de la dose 3 au Pérou, pour la tranche d'âge de 60 ans et plus et pour chacune des plus groupes d’âge spécifiques analysés (90+, 85-89, 80-84, 75-79, 70-74, 65-69 et 60-64 ans). Le dernier point (positionné fin 2021) concerne la période de vaccination de la dose 3 elle-même, et chaque point d'intégration est positionné dans le temps au début de la fenêtre d'intégration. Voir Méthodes pour plus de détails.

    Figure 15 : Pérou (dose 3), ACM par semaine (bleu clair), 2017-2022, par tranche d'âge (60+, 90+, 85-89… 60-64 ans), avec intégrations, dose-3 sur 26 semaines -période de vaccination (bleu foncé, points) et ligne de tendance (orange). Les sources de données sont spécifiées à l’annexe A.

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  38. 5.7 Pérou par groupe d'âge Dose 4 ― Déploiements nationaux de ACM et de vaccin Dose 4 (90+, 85-89, 80-84, 75-79, 70-74, 65-69 et 60-64 ans)
    De la même manière que la figure 15, la figure 16 montre l'ACM nationale par semaine pour le Pérou (bleu clair), de 2017 à 2022, ainsi que les points d'intégration sur 25 semaines (bleu foncé) et la ligne de tendance (orange) qui ont été utilisés pour quantifier l'excès d'ACM dans un pic (nominalement, juillet-août 2022) (« méthode de référence de tendance historique pour une période (ou pic) de mortalité », méthode 1, voir Méthodes) associé au déploiement de la dose 4 au Pérou, pour la tranche d'âge de 60 ans et plus, et pour chacun des groupes d'âge plus spécifiques analysés (90+, 85-89, 80-84, 75-79, 70-74, 65-69 et 60-64 ans). Le dernier point (positionné début 2022) concerne la période de vaccination de la dose 4 elle-même, et chaque point d'intégration est positionné dans le temps au début de la fenêtre d'intégration. Voir Méthodes pour plus de détails.

    Figure 16 : Pérou (dose 4), ACM par semaine (bleu clair), 2017-2022, par tranche d'âge (60+, 90+, 85-89… 60-64 ans), avec intégrations, dose-4 sur 25 semaines -période de vaccination (bleu foncé, points) et ligne de tendance (orange). Les sources de données sont spécifiées à l’annexe A.

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    5.8 vDFR par âge ― Taux de mortalité par dose de vaccin stratifiés par âge pour les doses 3 et 4 au Chili et au Pérou
    La figure 17 (panneau supérieur) montre le vDFR national (échelle linéaire) en fonction de l'âge (« Tendance historique de référence pour une période (ou pic) de mortalité », méthode 1, voir Méthodes), pour le Chili et pour le Pérou, pour la période janvier-février. Pic d'intérêt pour 2022 (dose 4 au Chili ; dose 3 au Pérou), pour le pic (nominalement, juillet-août 2022) associé au déploiement de la dose 4 au Pérou, et pour le pic (nominalement, juillet-août 2021) associé à la dose 3 au Chili. déploiement, avec des ajustements exponentiels. La figure 17 (panneau inférieur) montre les mêmes données en utilisant une échelle logarithmique pour vDFR. Chaque point est positionné dans le temps à l'âge de départ de la tranche d'âge.

    Les ajustements exponentiels ont été effectués sans utiliser les erreurs spécifiques à Y (c'est-à-dire les erreurs de vDFR) indiquées. Par conséquent, l'erreur résultante sur le paramètre d'ajustement du temps de doublement T2 (τ, tau , dans les légendes des figures) est basée sur les valeurs Y résiduelles non pondérées.

    Figure 17 : vDFR en fonction de l'âge, pour le Chili et pour le Pérou, pour le pic de janvier-février 2022 (dose 4 au Chili, dose 3 au Pérou), pour le pic de juillet-août 2022 (Pérou, dose 4) et pour le mois de juillet-août. Pic 2021 (Chili, dose 3), avec crises exponentielles. Échelle linéaire (en haut), échelle logarithmique (en bas).

    Dans la figure 17, l'âge (valeur sur l'axe X, en années) attribué à un groupe d'âge donné est l'âge de départ de la fenêtre d'âges pour le groupe d'âge. Ce choix particulier fait peu de différence car la traduction des valeurs x par n'importe quel nombre constant, par exemple, n'affecte pas le temps de doublement obtenu en ajustant une fonction exponentielle, et n'affecte que légèrement l'ordonnée à l'origine y à x = 0 (le préfacteur dans l'exponentielle) .

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  39. 5.9 Nouvelle-Zélande, doses 3 et 4 pour tous les âges ― Déploiement national des ACM et des doses de vaccin
    C’est le cas de la Nouvelle-Zélande, parmi nos 15 pays disposant de suffisamment de données ACM, dans lequel un pic nominal de janvier à février 2022 est le moins important. Néanmoins, le pic est mesurablement présent en Nouvelle-Zélande, en particulier dans la tranche d'âge de 80 ans et plus.

    La figure 18 montre l'ACM nationale pour tous les âges par semaine pour la Nouvelle-Zélande (noir), de 2019 à 2023, par rapport au déploiement des doses de vaccin contre la COVID-19. Les lignes verticales indiquent l'annonce d'une pandémie par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) le 11 mars 2020 (gris) et les limites des fenêtres d'intégration pour les régions d'intérêt correspondant au déploiement des doses 3 et 4 (respectivement orange et rose). Le panneau inférieur montre les données ACM pour la tranche d'âge de 80 ans et plus, ainsi que les mêmes lignes verticales, à titre de référence.

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    Figure 18 : (en haut) Nouvelle-Zélande (avec déploiements), ACM tous âges par semaine (noir), 2019-2023, avec déploiements de vaccins pour tous les âges, dose 1 à dose 4 (couleurs). (en bas) ACM par semaine pour la tranche d'âge de plus de 80 ans (noir) et mêmes limites d'intégration (lignes verticales pointillées). La date de déclaration de la pandémie du 11 mars 2020 est indiquée par une ligne verticale grise. Les sources de données sont spécifiées à l’annexe A.

    La figure 19 présente l’ACM nationale tous âges par semaine pour la Nouvelle-Zélande (bleu clair), de 2011 à 2023, et les points d’intégration sur 28 semaines qui ont été utilisés pour quantifier l’excès d’ACM lors du pic d’intérêt de janvier-février 2022 (« "Tendance de base historique pour une période (ou un pic) de mortalité", méthode 1, voir Méthodes) (points bleu foncé et ligne de tendance orange), associée au déploiement de la dose 3 en Nouvelle-Zélande (période de 28 semaines, lignes verticales pointillées orange limites indiquées à la figure 18).

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    Figure 19 : Nouvelle-Zélande (dose 3), ACM tous âges par semaine (bleu clair), 2011-2023, avec intégrations, période de vaccination de la dose 3 de 28 semaines (bleu foncé, points) et ligne de tendance (orange) . Les sources de données sont spécifiées à l’annexe A.

    La figure 20 montre l’ACM nationale tous âges par semaine pour la Nouvelle-Zélande (bleu clair), de 2011 à 2023, et les points d’intégration sur 31 semaines qui ont été utilisés pour quantifier l’excès d’ACM lors d’un pic de juillet-août 2022 (« Historique- "Tendance de base pour une période (ou un pic) de mortalité", méthode 1, voir Méthodes) (points bleu foncé et ligne de tendance orange), associée au déploiement de la dose 4 en Nouvelle-Zélande (période de 31 semaines, limites des lignes verticales en pointillés roses affichées dans la figure 18).

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  40. Figure 20 : Nouvelle-Zélande (dose 4), ACM par semaine (bleu clair), 2011-2023, avec intégrations, période de vaccination dose-4 de 31 semaines (bleu foncé, points) et ligne de tendance (orange). Les sources de données sont spécifiées à l’annexe A.

    Les valeurs vDFR correspondantes pour tous les âges, spécifiques à la dose, pour la Nouvelle-Zélande sont : (0,05 ± 0,01) % (nominalement janvier-février 2022, dose 3) et (0,21 ± 0,03) % (nominalement juillet-août 2022, dose 4).

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    *

    6. Discussion

    6.1 Les vaccins contre la COVID-19 peuvent causer la mort
    Il est important de discerner la question de savoir si une injection de vaccin contre la COVID-19 peut entraîner la mort du patient et la question de savoir si un excès d’ACM (niveau de population, par définition) est associé de manière causale au déploiement du vaccin contre la COVID-19.

    Même s’il existe des preuves cliniques et pathologiques que les injections peuvent provoquer la mort de sujets individuels, cela ne démontre pas de relation causale entre un déploiement rapide du vaccin et un pic temporellement associé d’excès d’ACM. Avec un nombre nécessairement limité de cas documentés de décès individuels, cela prouve seulement que ladite relation causale est possible. Une considération formelle de la causalité dans la surmortalité doit néanmoins être effectuée, ce qui est fait dans les sections ci-dessous.

    Dans ce contexte, il est bien établi que les injections du vaccin contre la COVID-19 ont provoqué et sont susceptibles de provoquer des décès d’individus, comme le montrent :

    de nombreuses études d'autopsie détaillées (par exemple, Choi et al., 2021 ; Edler et al., 2021 ; Schneider et al., 2021 ; Sessa et al., 2021 ; Gill et al., 2022 ; Mörz, 2022 ; Murata et al. , 2022 ; Suzuki et al., 2022 ; Takahashi et al., 2022 ; Tan et al., 2022 ; Yeo et al., 2022 ; Yoshimura et al., 2022 ; Chaganti et al., 2023 ; de Boer, Crawford, Parsons, 2023 ; Esposito et al., 2023 ; Hulscher et al., 2023 ; Jeon et al., 2023 ; Manu, 2023 ; Nushida et al., 2023 ; Onishi et al., 2023 ; Schwab et al., 2023) ,
    surveillance des effets indésirables (Rose et McCullough, 2021 ; Hickey et Rancourt, 2022),
    des études sur les pathologies induites par les vaccins (par exemple, Goldman et al., 2021 ; Kuvandik et al., 2021 ; Turni et Lefringhausen, 2022 ; Edmonds et al., 2023 ; Wong et al., 2023),
    un lien de causalité établi avec une pathologie induite par le vaccin, par histopathologie et coloration immunohistochimique des échantillons de biopsie cutanée (Sano et al., 2023),
    analyse secondaire des événements indésirables graves signalés dans des essais cliniques randomisés de phase III contrôlés par placebo (par exemple, Fraiman et al., 2022),
    plus de 1 250 publications évaluées par des pairs sur les effets indésirables du vaccin contre la COVID-19 (React 19, 2022), et
    les programmes connus d’indemnisation des dommages causés par les vaccins dans les États du monde entier, qui incluent les décès résultant des vaccins contre la COVID-19 (Mungwira et al. 2020 ; Wood et al., 2020 ; Crum et al., 2021 ; Kamin-Friedman et Davidovitch, 2021), où le Japon, le Canada et le Royaume-Uni ont accordé une compensation pour les décès induits par le vaccin COVID-19 ( The Japan Times , 26 juillet 2022 ; Corbett, 6 septembre 2022 ; Wise, 2022).
    Ces données et circonstances soutiennent, mais ne prouvent pas en elles-mêmes, la conclusion d'un lien de causalité probable, qui est tirée dans plusieurs études au niveau de la population, notamment :

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  41. une étude d'enquête récente (Skidmore, 2023),
    nos évaluations quantitatives antérieures du taux de létalité des doses de vaccin (vDFR) à partir des données de mortalité toutes causes (ACM) dans plusieurs pays (Rancourt, 2022 ; Rancourt et al., 2022a, 2022b, 2023), et
    la présente étude, qui conclura que la causalité dans la surmortalité est démontrée.
    Enfin, il existe des explications détaillées basées sur les principes de l'immunologie quant aux mécanismes cellulaires, moléculaires et systémiques responsables des dommages graves causés par les vaccins contre la COVID-19, et sur les raisons pour lesquelles, par exemple, des doses répétées peuvent engendrer des réactions non linéaires plus graves ( Palmer et coll., 2023).

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    6.2 Absence de mortalité excessive jusqu’à ce que les vaccins contre la COVID-19 soient déployés
    Auparavant, nous avons démontré que dans plusieurs pays et États, il n'y avait pas d'excès de MCA détectable ou pratiquement pas pendant la pandémie déclarée, par rapport au record historique récent, jusqu'à ce que les vaccins contre le COVID-19 soient déployés, suivi d'une forte surmortalité pendant et après. déploiement du vaccin :

    1. Inde (Rancourt, 2022)

    2. Australie et chacun de ses huit États (Rancourt et al., 2022a)

    3. Israël (relativement moins de surmortalité) (Rancourt et al., 2023)

    4. Canada (relativement moins de surmortalité) (Rancourt et al., 2021b, 2022c ; Rancourt, 2023)

    De même, dans le présent article, nous montrons que 9 des 17 pays étudiés n’ont pas d’excès de MCA détectable jusqu’à ce que les vaccins soient déployés : Australie, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Philippines, Singapour, Suriname, Thaïlande et Uruguay.

    Ceci est illustré de manière concluante dans la figure 2 et les quantifications correspondantes sont données dans le tableau 1 et la figure 3.

    Cela signifie que, dans ces 9 pays (Australie, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Philippines, Singapour, Suriname, Thaïlande, Uruguay), pendant environ un an après la déclaration de pandémie par l'OMS le 11 mars 2020, il n'y a eu aucun décès supplémentaire net. qui pourrait être attribuée à une pandémie ou à des mesures médicales ou gouvernementales en réponse à une pandémie. Ces pays n’ont connu aucun décès supplémentaire jusqu’à ce qu’ils soient soumis à une administration massive et rapide du vaccin contre la COVID-19 (Figure 2).

    Cela fait partie des preuves solides d’un lien de causalité, décrites ci-dessous.

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  42. 6.3 Les vaccins contre la COVID-19 n’ont pas sauvé des vies et semblent être des agents toxiques mortels
    Étant donné que la surmortalité s’est produite uniquement après le début (et pendant) des campagnes de vaccination dans 9 pays (Australie, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Philippines, Singapour, Suriname, Thaïlande, Uruguay ; figure 2), les vaccins n’ont pas réduit les maladies graves (comme le prétend par les fabricants) suffisamment pour réduire tout risque de décès.

    Dans les 17 pays de la présente étude, il n’existe aucune preuve dans les données temporelles de l’ACM d’un quelconque effet bénéfique des vaccins contre la COVID-19. Il n’y a aucune association dans le temps entre la vaccination contre le COVID-19 et une réduction proportionnelle de l’ACM.

    Au contraire, l’administration du vaccin présente des caractéristiques épidémiologiques connues d’exposition soudaine de l’ensemble de la population à une substance toxique mortelle, dans l’ensemble des 17 pays et dans les tranches d’âge étudiées :

    je. Une transition vers un régime d'ACM plus élevé au début d'une provocation prolongée avec l'agent toxique mortel (Figure 2, Figure 6, Figure 7)

    ii. Pics spécifiques d'ACM associés temporellement (synchrones ou immédiatement après) à tous les pics brusques de provocation de masse avec (administration à l'échelle de la population d') un agent toxique mortel (déploiement de rappels) (Figure 5, Figure 4, Figure 12, Figure 11, Figure 13, Figure 15, Figure 16, Figure 14, Figure 18, Figure 19, Figure 20)

    iii. Proportionnalité entre le nombre d'agressions individuelles à l'échelle de la population avec l'agent toxique présumé mortel (injections individuelles) et la surmortalité temporellement associée (Figure 8, Figure 9)

    iv. Une toxicité mortelle (vDFR) augmentant de façon exponentielle ou quasi-exponentielle avec l'âge des individus soumis à l'agent toxique (Figure 17)

    v. Valeurs cohérentes de la toxicité mortelle calculée de l'agent toxique (valeurs de vDFR) dans de nombreuses populations et pour différents épisodes de déploiements soudains (toutes les doses et déploiements de rappel) (Tableau 2, Figure 8, Figure 9, Figure 10)

    vi. Dépendance apparente de la toxicité mortelle à la nature toxicologique de l'agent administré (dépendance du vDFR au type/fabricant de vaccin)

    En ce qui concerne le point iv, des études sur les intoxications et les surdoses chez l'animal et chez l'homme montrent que la toxicité mortelle augmente et augmente de façon exponentielle avec l'âge (par exemple, Wiberg et al., 1970 ; Rogers et Heard, 2007 ; Chen et al., 2009 ; Phua et al. ., 2009 ; Shively et al., 2017).

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  43. Concernant le point v, les valeurs du vDFR pour tous les âges, dans les 17 pays étudiés, sont cohérentes dans un ordre de grandeur (Tableau 2, Figure 9, Figure 10). Dans la figure 9, les valeurs généralement plus élevées du vDFR pour tous les âges pour la période de vaccination par rapport à la période de pointe de l'ACM de janvier à février 2022 peuvent être dues à des facteurs tels que : différentes populations étant préférentiellement vaccinées, les individus fragiles étant éliminés avant la période de pointe. , des différences dans le type de vaccin utilisé, la politique de rappel ou la pression sociétale dans laquelle les individus fragiles sont évités pendant la période de pointe, une plus grande contribution des décès de tous âges non liés au vaccin contre la COVID-19 (c'est-à-dire dus aux mesures médicales et gouvernementales) dans les premiers stades de la vaccination contre le COVID-19, et ainsi de suite.

    Les données du Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) des États-Unis montrent également une toxicité mortelle du vaccin à tous âges plus faible par injection pour les rappels par rapport aux injections de pré-rappel (Hickey et Rancourt, 2022 ; leur tableau 1). D'autres facteurs qui pourraient affecter la différence systématique entre les doses de rappel et de pré-rappel comprennent : de plus petites quantités d'ingrédients actifs utilisées dans les rappels par rapport aux doses de pré-rappel, et une modification de la réponse immunitaire suite à des défis répétés (Palmer et al., 2023). .

    Concernant le point vi (par rapport aux points iv et v), les différences d'un pays à l'autre dans les valeurs du vDFR pour tous les âges dépendront de la structure par âge de la population âgée (> 60 ans) et de l'état de santé des personnes âgées. . Malgré ces effets de confusion importants, il existe certaines preuves de l’effet possible du type ou du fabricant du vaccin contre la COVID-19 :

    L'Afrique du Sud a la plus grande valeur de vDFR tous âges (Tableau 2, Figure 9, Figure 10) et une grande partie de ses vaccins provenaient de Johnson & Johnson : 24,6 %, contre 2,1 % pour l'Union européenne, qui est la plus grande fraction. d’utilisation de ce vaccin dans la base de données (OWID, 2023c).
    Dans le VAERS américain, le vaccin Janssen (Johnson & Johnson) est 4 fois plus toxique (par injection) que le vaccin Pfizer, tant pour les tranches d'âge de 18 à 64 ans que pour les tranches d'âge de 65 ans et plus (Hickey et Rancourt, 2022 ; leur tableau 1). ).
    Contrairement aux vaccins à base de lipides et de nanoparticules à ARNm, le vaccin Johnson & Johnson est un vaccin à vecteur viral basé sur un adénovirus humain modifié pour contenir un gène permettant de fabriquer la protéine de pointe du SRAS-CoV-2. Le vaccin a l’habitude d’être interrompu et interrompu.
    Le Paraguay a utilisé le vaccin indien Covaxin, alors que l'Inde avait un vDFR tous âges d'environ 1 % (Rancourt, 2022).
    L’Uruguay avait le vaccin chinois Sinovac comme fraction dominante de ses vaccins : 55 %, bien que seuls les rappels Pfizer aient été utilisés par la suite (OWID, 2023c).
    Le Suriname s’est largement appuyé sur le vaccin indien Covishield ; sur le chinois Covilo et sur le Spikevax de Moderna.
    La Bolivie a utilisé Sinovac, Covilo, Covishield, Janssen, Spoutnik V et Comirnaty de Pfizer.

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  44. 6.4 Preuves solides d’une association causale et de la toxicité mortelle des vaccins
    Premièrement : l'une des preuves les plus solides d'une association causale et de la toxicité mortelle du vaccin réside dans les associations temporelles remarquables entre les premières doses rapides et le déploiement des rappels et les pics immédiats de CMA, dans des groupes d'âge spécifiques de personnes âgées, y compris les pics de mortalité survenant parfois au cours des cycles saisonniers. alors que les pics ne se produisent pratiquement jamais. Cela a déjà été illustré graphiquement pour Israël (Rancourt et al., 2023 ; leur annexe 2 : figure A2 F1). Dans le présent article, il existe de nombreux exemples de ce type de preuves, pour le Chili (Figure 12, Figure 11, Figure 13) et pour le Pérou (Figure 15, Figure 16, Figure 14), dans tous les cas où la mortalité et la mortalité stratifiées par âge des données de vaccination stratifiées par âge (et par dose) sont disponibles.

    Ces résultats sont concluants. Les associations sont nombreuses et systématiques, et il n’existe pas de contre-exemples. Nous n’avons trouvé aucune preuve dans nos recherches approfondies sur l’ACM que les vaccins contre la COVID-19 aient eu un effet bénéfique. Si les vaccins prévenaient la transmission, l’infection ou une maladie grave, il devrait y avoir une diminution de la mortalité après le déploiement des vaccins, et non une augmentation, comme dans chaque groupe d’âge âgé observé soumis à des rappels rapides. Et la mortalité n’augmenterait pas uniquement lorsque les vaccins seraient déployés, alors qu’aucune surmortalité ne se produirait avant le déploiement des vaccins, comme nous l’avons documenté ici, dans 9 pays sur 3 continents.

    Deuxièmement : un autre élément de preuve solide en faveur d’une association causale et de la toxicité mortelle du vaccin est présent dans les données qui ne sont pas stratifiées par âge. Ces données sur la mortalité et la vaccination sont en partie faussées par le manque de stratification par âge. Cela est principalement dû à la propagation et au chevauchement de l’administration du vaccin à différents groupes d’âge. Néanmoins, il existe plusieurs exemples clairs dans les données non stratifiées par âge d’associations temporelles entre les pics d’ACM tous âges et les pics de déploiement de vaccination tous âges. Cela a déjà été démontré pour l’Australie et chacun de 5 de ses 8 États (Rancourt et al., 2022a), concernant les caractéristiques de janvier à février 2022 étudiées à nouveau ici (Figure 5, Figure 4, Figure 8, Figure 9, Figure 10).

    Dans le présent article, chaque pays disposant de données suffisantes sur la mortalité (15 pays : Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour, Afrique du Sud, Thaïlande, Uruguay) présente un taux de mortalité sans précédent. et un pic ou une augmentation relativement forte de l'ACM tous âges entre janvier et février 2022 ou à proximité (milieu de l'été dans l'hémisphère sud), qui est synchrone ou immédiatement précédé par un déploiement rapide (tous âges) d'un vaccin contre la COVID-19. rappel (dose 3 ou dose 4, selon le pays), tandis que les doses autres que de rappel sont également administrées en même temps : Figure 5, Figure 4, Figure 11 (panneau supérieur), Figure 14 (deux panneaux supérieurs), Figure 18 , Figure 19 et Figure 21 (Annexe B : Exemples de données sur la mortalité toutes causes confondues et sur la vaccination).

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  45. Troisièmement : concernant les preuves à l’appui de la causalité et de la toxicité, nous devons inclure les exemples frappants décrits ci-dessus (section « Absence de mortalité excessive jusqu’à ce que les vaccins contre la COVID-19 soient déployés ») où aucune surmortalité détectable ne se produit jusqu’à ce que les vaccins contre la COVID-19 soient déployés » déployé, dans de nombreux pays, sur plusieurs continents.

    Quatrièmement : Et nous devons inclure le caractère reproductible et cohérent du phénomène (« Les vaccins contre le COVID-19 n’ont pas sauvé des vies et semblent être des agents toxiques mortels »).

    Nous devrions également inclure des études antérieures sur le même phénomène, dans différentes juridictions, qui trouvent des résultats compatibles avec la présente étude. Outre l’Inde (Rancourt, 2022), l’Australie (Rancourt et al., 2022a, 2023), le Canada (Rancourt et al., 2021b, 2022c ; Rancourt, 2023) et Israël (Rancourt et al., 2023), le Les États-Unis connaissent un pic saisonnier anormal d’ACM se produisant à la fin de l’été ou à l’automne 2021, qui est important dans la tranche d’âge des 25 à 64 ans dans 21 États des États-Unis, notamment l’Alabama, le Mississippi, la Géorgie, la Floride et la Louisiane. Ce pic d’ACM est synchrone avec une augmentation rapide de l’administration de vaccins (considérée comme une augmentation progressive de l’administration cumulée de toutes les doses de vaccin), au cours de la période correspondant aux campagnes dites « d’équité vaccinale » aux États-Unis (Rancourt et al., 2022b ; leurs figures 10C, 10D et 11A-F). Pour l’ensemble des USA et tous âges, ledit pic d’ACM de la fin de l’été ou de l’automne 2021 correspond à une surmortalité d’environ 160 K décès, sur une période de plus de 2 mois où environ 60 M d’injections (toutes doses confondues) ont été administrés. Cela correspond à une valeur nationale de vDFR pour tous les âges d'environ 0,3 % pour cette période, qui serait plus élevée pour les États et les âges contribuant le plus à la surmortalité (forte pauvreté, plupart des personnes âgées).

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    6.5 La causalité de la surmortalité est amplement démontrée
    Les éléments de preuve décrits ci-dessus à l’appui d’une relation causale entre l’administration du vaccin contre la COVID-19 et l’excès d’ACM associé dans le temps peuvent être résumés comme suit :

    je. Il n’existe aucune preuve dans les données ACM par période d’un quelconque effet bénéfique des vaccins contre la COVID-19. Il n’y a aucune association dans le temps entre la vaccination contre le COVID-19 et une réduction proportionnelle de l’ACM.

    ii. Au contraire, on assiste à l’apparition ou à l’augmentation d’un excès important d’ACM lors du déploiement des vaccins contre la COVID-19, dans chaque pays, état ou province étudié à ce jour, sur pratiquement tous les continents, y compris pour les déploiements initiaux ayant lieu à des moments significativement différents. (de plusieurs mois).

    iii. Ce phénomène se manifeste par un nouveau régime soutenu d’excès élevé d’ACM – ponctué de pics supplémentaires d’ACM associés à des déploiements rapides spécifiques (rappels) – qui augmente au début de la vaccination, qu’il y ait ou non une surmortalité avant la vaccination. .

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  46. iv. Dans de nombreuses juridictions (y compris chaque État d’Australie), il n’y a pas d’excès d’ACM détectable jusqu’à ce que les vaccins soient déployés, lorsque de nouveaux régimes d’ACM excédentaire élevé sont lancés.

    v. Dans tous les cas étudiés dans lesquels les données disponibles sur l'ACM et le déploiement du vaccin sont résolues par âge (Israël, Chili, Pérou), il existe une synchronicité entre chaque déploiement de rappel et un pic ou une caractéristique prononcée de l'ACM, dans chaque tranche d'âge des personnes âgées (> 60 ans). ans), soit une trentaine d'événements distincts de synchronicité, à différents moments selon des schémas saisonniers, dans les deux hémisphères.

    vi. Avec des données d'ACM et de vaccination qui ne sont pas résolues par l'âge, il existe néanmoins plusieurs exemples de synchronicité entre une poussée de vaccination et un pic anormal d'ACM, en particulier le pic nominal d'ACM de janvier à février 2022, dans les 15 pays disposant de suffisamment de données d'ACM. dans la présente étude et dans 5 des 8 États d’Australie (Rancourt et al., 2022a).

    vii. Il existe une proportionnalité observée (et non une simple corrélation) entre le nombre d’injections de vaccin contre la COVID-19 (tous âges) et l’excès d’ACM pour tous les âges associé dans le temps, que l’on utilise des pics spécifiques d’ACM ou la période de vaccination nominalement entière. Ceci est illustré à la figure 8.

    viii. Les toxicités correspondantes pour tous les âges (vDFR, excès d'ACM/nombre d'injections de vaccin) pour des pics spécifiques d'ACM et pour la période de vaccination sont proportionnelles les unes aux autres, quelles que soient les différences de valeurs d'un pays à l'autre. Ceci est illustré à la figure 9.

    ix. Les valeurs du vDFR pour tous les âges varient d'un pays à l'autre, comme on pourrait s'y attendre en raison des différences nationales dans l'état de santé de la population et de son hétérogénéité nationale, et éventuellement des différences nationales dans le type de vaccin utilisé, mais elles se situent toujours dans une fourchette d'environ 0,02 % à 0,40 % (Figure 8, Figure 9, Figure 10 et Tableau 2), atteignant 1 % dans le cas exceptionnel de l'Inde (Rancourt, 2022).

    X. La toxicité déduite (vDFR) augmente considérablement avec l'âge (Figure 17), ce qui est une caractéristique connue des conséquences graves et fatales liées à la dose dues aux poisons (Wiberg et al., 1970 ; Rogers et Heard, 2007 ; Chen et al., 2009). ; Phua et al., 2009 ; Shively et al., 2017).

    XI. Les vaccins contre la COVID-19 sont connus pour être intrinsèquement dangereux et ont causé la mort d’individus de tous âges (voir : la section « Les vaccins contre la COVID-19 peuvent causer la mort » et les références qui y figurent).

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  47. XII. Il existe des preuves de l’effet possible du type ou du fabricant du vaccin contre la COVID-19 (voir la section : « Les vaccins contre la COVID-19 n’ont pas sauvé des vies et semblent être des agents toxiques mortels »).

    Ainsi, les critères robustes décrits par Ioannidis (2016) pour prouver la causalité sont amplement satisfaits :

    Expérience : Le même phénomène est observé indépendamment dans des juridictions distinctes, pour des groupes d'âge distincts et à des moments différents, ce qui constitue une ample vérification dans des expériences indépendantes à grande échelle dans le monde réel.

    Temporalité : les nombreuses augmentations progressives et les pics anormaux de l'ACM sont synchrones avec le déploiement des vaccins ; y compris dans les juridictions dans lesquelles la surmortalité ne s’est pas produite jusqu’à ce que la vaccination soit mise en œuvre après environ un an après le début de la pandémie déclarée.

    Cohérence : Le phénomène est qualitativement le même et d’ampleur comparable à chaque fois qu’il est observé.

    Il ne fait aucun doute que les campagnes de vaccination de masse contre le COVID-19 ont provoqué la surmortalité temporellement associée dans les 17 pays de la présente étude et dans d’autres pays étudiés jusqu’à présent.

    Concernant la quantification (calcul du vDFR pour tous les âges), une incertitude majeure surgit lorsque la période de vaccination nominalement entière est utilisée. Dans ce cas, lorsqu'il y a un excès de MCA avant le début de la vaccination contre la COVID-19, en raison de causes autres que la vaccination contre la COVID-19 (c'est-à-dire des mesures médicales et gouvernementales), il faut se demander si ces causes persistent, dans une certaine mesure, dans la période de vaccination contre la COVID-19.

    Il existe des preuves de cela. Par exemple, trois pays présentant les ratios vDFR pour tous les âges pendant la période de vaccination les plus élevés par rapport aux ratios vDFR pour tous les âges pendant la période de pointe (Pérou, Équateur, Colombie ; Figure 9) présentent également de très grands excès de caractéristiques de MCA pour tous les âges avant la vaccination (Figure 9). 2, figure 6).

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  48. Trois pays ayant les ratios vDFR tous âges sur période de vaccination les plus faibles par rapport à la période de pointe tous âges vDFR (Uruguay, Singapour, Malaisie ; Figure 9) n'ont pas d'ACM excédentaire tous âges avant la vaccination (Figure 2, Figure 6). Cependant, parmi les cinq pays ayant les plus grandes valeurs de vDFR sur la période de vaccination tous âges (Afrique du Sud, Suriname, Bolivie, Paraguay, Philippines ; figure 10, tableau 2), trois n'ont pas d'excès de MCA tous âges dans la période pré-vaccination. période (Suriname, Paraguay, Philippines ; Figure 2, Figure 6).

    Dans l'ensemble, il n'y a pas de variation constante et systématique entre les valeurs de vDFR pour tous les âges et la période pré-vaccination pour tous les âges en excès d'ACM, et il existe essentiellement la même proportionnalité (avec une ordonnée à l'origine de zéro) entre l'excès d'ACM pour tous les âges et les injections administrées pour l'intégration. périodes examinées (figure 8).

    Il est important de noter que nous devons également garder à l’esprit, dans le cadre d’évaluations pour tous les âges, que les interventions menées avant la période de vaccination contre la COVID-19 provoquant un excès de MCA (par exemple, les mesures gouvernementales) peuvent avoir une contribution importante dans les groupes d’âge plus jeunes, alors que les décès dus au vaccin (par exemple, rappels notamment ; doses 3 et 4) sont essentiellement réservés aux plus de 60 ans (Figure 11, Figure 14 ; et voir Rancourt et al., 2021a, 2022b, 2023).

    En outre, la vaccination contre la COVID-19 vise à atténuer ou à éliminer la nécessité de mesures autres que la vaccination contre la COVID-19 et à réduire la mortalité, ce qui devrait réduire les mesures de vaccination non liées à la COVID-19 pendant la période de vaccination. Enfin, il est possible que certains pays aient intensifié leurs campagnes de vaccination contre la grippe saisonnière fin 2020.

    Lorsqu'une région d'intégration de pic d'ACM est utilisée (pour quantifier un vDFR pour tous les âges), une incertitude peut surgir d'une région d'intégration non optimisée pour compter les injections qui sont temporellement associées au pic d'ACM, ce qui peut conduire à certains sous-estimation ou surestimation. De manière générale, il semble que toutes ces incertitudes soient faibles par rapport à la grande variabilité d’un pays à l’autre des valeurs vDFR pour tous les âges, qui est rapportée ci-dessous.

    Par conséquent, le nombre total de décès déduit dans la présente étude de 17 pays équatoriaux et de l’hémisphère Sud qui ont été causés par les injections du vaccin COVID-19 est de 1 745 000 ± 49 000, pour un total de 1 388 145 365 injections au cours des mêmes périodes de vaccination nominalement entières de les 17 pays, par rapport à la surmortalité globale de la période Covid de 2 393 000 ± 88 000 (Tableau 1).

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  49. Ainsi, la valeur globale de la période de vaccination du vDFR pour tous les âges pour les 17 pays de l’étude est la suivante : vDFR = (1 745 000 ± 49 000 décès) / (1 388 145 365 injections) = (0,1257 ± 0,0035) %. La variabilité moyenne d'un pays à l'autre, par rapport à cette valeur globale du vDFR pour tous les âges, est de 0,079 % (Tableau 1, voir également Tableau 2). Par conséquent, les résultats vDFR pour tous les âges des 17 pays peuvent être résumés comme suit :

    vDFR global tous âges = (0,126 ± 0,004) % (4a)
    Variabilité moyenne d'un pays à l'autre pour tous les âges vDFR = 0,079 % (4b)
    Auparavant, nous avions estimé qu’une valeur mondiale représentative serait de 0,1 %, ce qui représenterait environ 13 millions de décès dus aux vaccins contre la COVID-19, sur 13,25 milliards d’injections jusqu’au 24 janvier 2023 (Rancourt et al., 2023). Ce chiffre peut être mis à jour comme suit : (0,1257 ± 0,0035) % x 13,50 milliards d’injections (2 septembre 2023, OWID, 2023a) = (16,97 ± 0,47) millions de décès dus au vaccin COVID-19 dans le monde, à ce jour. Cette estimation actuelle est basée sur : 10,3 % des injections mondiales de COVID-19, 9,10 % de la population mondiale et un taux de vaccination de 1,91 injections par personne (tous âges confondus), dans 17 pays.

    Cela implique que 17,0 ± 0,5 millions de décès dus au vaccin COVID-19 auraient eu lieu dans le monde, jusqu'au 2 septembre 2023. En d'autres termes, l'analyse de l'ACM par période dans les 17 pays étudiés montre que la campagne mondiale de vaccination contre le COVID-19 a été en fait un événement iatrogène de masse qui a tué (0,213 ± 0,006) % de la population mondiale et n’a évité aucun décès de manière mesurable.

    En gardant à l’esprit les mises en garde mentionnées ci-dessus, le tableau 1 suggère également que, globalement, dans les 17 pays étudiés,

    (1 744 829 ± 49 285) / (2 392 831 ± 87 904) = (73 ± 3) %

    des décès excédentaires sur toute la période nominale de Covid (du 11 mars 2020 à la fin, généralement en 2023, des données disponibles, voir Annexe C) étaient des décès précoces induits causalement par les injections du vaccin COVID-19, en gardant à l’esprit que dans 9 des dans les 17 pays, cette fraction était de 100 % (section « Absence de surmortalité jusqu’au déploiement des vaccins contre la COVID-19 »). Cela s’est produit dans des circonstances dans lesquelles il n’existe aucune preuve, dans les données ACM par période, que les campagnes de vaccination ont évité quelque décès que ce soit.

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  50. 6.6 Évaluation d'autres interprétations de la cause de la surmortalité
    Des interprétations concurrentes de la ou des causes de la surmortalité dans les pics d’ACM nominalement de janvier à février 2022 survenant dans les pays de latitude équatoriale et de l’hémisphère sud sont indiquées (en italique) et actualisées comme suit :

    I. Les pics sont des pics saisonniers ou sont confondus par les variations saisonnières de l'ACM. Peu probable. Les pics sont relativement étroits et surviennent pendant la période estivale de l’hémisphère sud, qui correspond normalement à un creux de mortalité. Il n’y a pas de composante saisonnière d’augmentation de la mortalité correspondant à l’augmentation de la mortalité en janvier-février dans l’hémisphère sud ; et les pays équatoriaux ne présentent pas de schémas saisonniers de mortalité.

    II. Les pics sont dus aux intenses canicules estivales. Peu probable. Les pics de mortalité dus aux vagues de chaleur, lorsqu’ils surviennent, sont beaucoup plus étroits et ne se produisent jamais de manière synchrone dans un hémisphère global. Aucun événement climatique de ce type n’a été enregistré en janvier-février 2022 dans les pays inclus dans cette étude.

    III. Les pics sont dus à un ou plusieurs tremblements de terre. Peu probable. Les pics des séismes sont initialement très étroits, dus à des personnes écrasées dans des bâtiments qui s'effondrent, et ils se produisent localement, près de l'épicentre du séisme.

    IV. Ces pics sont dus à des flambées simultanées et de courte durée de guerre, de famine ou de maladie mortelle en janvier-février 2022, sous les latitudes équatoriales et dans l’hémisphère sud. Peu probable. Aucun événement de ce type ne s’est produit dans les pays étudiés. (L’émergence soudaine de variantes mortelles du COVID-19 est abordée au point VII et ci-dessous.)

    V. Les pics sont dus à des mesures, traitements ou réponses agressifs contre le Covid (autres que l’administration de rappels vaccinaux) appliqués en janvier-février 2022. Peu probable. Les mesures, traitements ou réponses contre la Covid varient considérablement d'une juridiction à l'autre, tout comme les données démographiques des populations les plus à risque (par exemple, Johnson et Rancourt, 2022). Aucune mesure, traitement ou réponse n’a été appliqué de manière uniforme et synchrone en janvier-février 2022 dans les régions équatoriales et dans l’hémisphère sud.

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  51. VI. Les pics sont dus à des problèmes de santé sous-jacents de la population et/ou à des comorbidités des personnes décédées. Peu probable. Les conséquences mortelles des problèmes de santé sous-jacents et la présence de maladies chroniques chez les personnes ayant l’espérance de vie la plus courte ne peuvent pas survenir soudainement et accidentellement, au niveau de la population, et provoquer un pic de mortalité. Au contraire, ces circonstances sous-jacentes contribueront à provoquer une variabilité d’un pays à l’autre dans la réponse mortelle à tout agent toxique introduit rapidement. De plus, il n'y a aucune preuve dans les données ACM d'un soi-disant effet d'amadou sec : ceux qui sont morts pendant les pics de mortalité ne seraient pas morts dans le court laps de temps qui a suivi, et les surmortalités sont des excès nets importants sur l'échelle de plusieurs années. années.

    VII. Les pics sont dus à l’émergence d’une ou plusieurs variantes du SRAS-CoV-2 provoquant des pics de mortalité synchrones en janvier-février 2022, dans les régions équatoriales et dans l’hémisphère sud. Peu probable. La théorie épidémiologique d'une maladie respiratoire virale se propageant par contact prédit un large délai (mois, années) entre l'apparition d'un nouveau variant et une croissance exponentielle mesurable de la mortalité (ou pic de nouvelles infections), en fonction de manière sensible des caractéristiques de la société (par exemple , Parham et Michael, 2011 ; Hasegawa et Nemoto, 2016 ; Ma et al., 2022).

    Sur la question des comorbidités, on sait que des conditions ou des défis nouvellement imposés à des individus fragiles ou sensibles peuvent induire une mort prématurée. Une mort prématurée est la mort. Plus la fragilité est élevée, plus la réponse fatale est probable et immédiate. Dans de telles circonstances, les conditions ou défis nouvellement imposés ont sans ambiguïté causé le décès. Cela serait vrai dans le cas d’un violent accident de la route, mais également en cas de problèmes liés à une substance toxique ou à des circonstances nouvellement imposées provoquant un stress psychologique important. En ce qui concerne l'attribution logique de la cause du décès, il n'est pas pertinent, par exemple, que dans tous les cas, le cœur ait finalement cessé de fonctionner et que la respiration se soit arrêtée.

    Concernant la théorie de l’émergence d’un ou plusieurs variant(s) du SARS-CoV-2, cette émergence devrait provoquer des pics et des poussées simultanées de mortalité dans 17 pays sur 4 continents (Figure 1, Figure 2, Figure 4, Figure 11). , Figure 14, Figure 18), ce qui est statistiquement impossible si l'on accepte les théories des mutations virales spontanées et de la propagation par contact des maladies respiratoires virales ; et tous les pics de mortalité qui en résulteraient auraient la coïncidence remarquable de se produire précisément au moment où les rappels de vaccins seraient déployés.

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  52. En faisant progresser les interprétations de la surmortalité basées sur l’évolution des prédominances des variantes, il faut se méfier du fait que l’évaluation de la prédominance des variantes basée sur les données des réseaux de surveillance génomique est une nouvelle méthodologie à ses balbutiements, essentiellement introduite lors de la dernière pandémie (COVID-19) déclarée par le l’OMS, qui peut être motivée par des intérêts institutionnels et industriels, plutôt que par des efforts rigoureux visant à déterminer la fiabilité analytique. À ce stade, l’établissement public de santé s’appuie en partie sur des enquêtes auprès d’experts pour évaluer la robustesse de la méthode, et même ces experts sélectionnés estiment que les scores de confiance varient dans une large gamme allant de « très faible » à « très élevé », en fonction des détails méthodologiques et application prévue (Worp et al., 2023).

    Une limite principale de la surveillance génomique, qui n’a pas été quantifiée ni résolue, est que les mesures génomiques, supposées valides et destinées à représenter une région donnée à un moment donné, sont prises à partir de petites cohortes non randomisées. La randomisation est essentielle parce que les gens se rendent dans les cliniques et les hôpitaux (où les échantillons destinés aux mesures génomiques sont volontaires) précisément parce qu'ils ont des préoccupations ou des conditions particulières. Selon les mots des nombreux auteurs d’un récent aperçu de la surveillance génomique : « Les conclusions de ce rapport sont soumises à au moins quatre limites. Premièrement, les estimations pourraient être biaisées par un échantillonnage non aléatoire de spécimens ou par des différences temporelles de déclaration… » (Lambrou et al., 2022). En outre, la surveillance elle-même cible les « variantes de consensus », qui sont arbitrairement choisies (Lambrou et al., 2022).

    De plus, les caractéristiques virales attribuées par les auteurs à une variante particulière considérée comme prédominante sont généralement attribuées par un raisonnement circulaire pour obtenir l’interprétation souhaitée des données épidémiologiques, plutôt que obtenues dans le cadre d’essais cliniques contrôlés. Ce fut le cas lors d’une récente tentative visant à expliquer un événement de surmortalité en Inde : Dhar et al. (2021) ont postulé que la « deuxième vague » d’avril-juillet 2021 à Delhi (Inde) était due à la variante Delta, qui aurait rapidement balayé Delhi pour devenir prédominante car elle aurait eu une transmissibilité plus élevée et une évasion immunitaire plus importante que celle circulant de manière concomitante. variantes. Cependant, Dhar et al. estimé les caractéristiques nécessaires de Delta en ajustant un modèle aux données épidémiologiques et à la prédominance des variantes (estimée par des mesures génomiques de petites cohortes non randomisées). Les caractéristiques déduites de Delta ont été obtenues en ajustant lesdites caractéristiques aux données épidémiologiques, plutôt que par une détermination indépendante via une étude clinique, sur modèle animal ou in vitro .

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  53. 6.7 Implications concernant la dépendance à l'âge de la toxicité mortelle des vaccins contre la COVID-19
    Les données détaillées sur l'âge et la dose pour le Chili et le Pérou sont remarquables et permettent une certitude sans précédent dans l'attribution d'associations temporelles entre des pics nets d'ACM et des pics nets dans des déploiements de rappel spécifiques à des groupes d'âge spécifiques. Cela permet également une certitude sans précédent dans la quantification de la dépendance selon l’âge de la toxicité mortelle des vaccins contre la COVID-19.

    Le risque de décès par injection (vDFR) augmente de façon exponentielle avec l'âge, à partir de 60 ans, doublant environ tous les 4 ans, et atteint des valeurs d'environ 5 % pour les 90 ans et plus soumis à la dose 4 (2e rappel) en le Chili et le Pérou (Figure 17), pour lesquels des données différenciées selon l’âge et la dose sont disponibles. vDFR = 5 % correspond à 1 décès pour 20 injections de dose 4 pour les personnes de plus de 90 ans au Chili et au Pérou (Figure 11, Figure 14, Figure 17).

    Les augmentations exponentielles du vDFR avec l'âge trouvées pour le Chili et le Pérou dans la présente étude (Figure 17) sont essentiellement les mêmes que celles précédemment mesurées pour Israël et l'Australie (Rancourt et al., 2023 ; leur Figure 3), et les âges de doublement extraits (T2) (augmentation de l'âge pour doubler le risque de décès par injection, vDFR) sont cohérents entre toutes les valeurs déterminées à ce jour :

    Tableau 3 : Extrait des âges doublés, augmentation de l'âge jusqu'à doubler le risque de décès par injection

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    Dans le tableau 3, les erreurs citées sont des erreurs 1-sigma. Pour l’Australie et Israël, les nombres de doses n’ont pas fait l’objet de discrimination et le calcul est basé sur des périodes de vaccination nominalement entières, plutôt que sur des pics spécifiques d’ACM (Rancourt et al., 2023).

    Cet âge de doublement (T2) d'environ 4 à 5 ans pour le risque de décès par injection des vaccins COVID-19 (Tableau 3) est environ la moitié de l'âge de doublement de 10 ans pour le risque par an (ou par toute unité fixe suffisamment petite du temps) de décès, toutes causes confondues, dans une population humaine moderne, ainsi que des principales maladies liées à la vieillesse, le cancer, la pneumonie et les maladies cardiaques (Strehler et Mildvan, 1960).

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  54. Cette différence entre le doublement de l'âge du risque de décès par injection et le risque annuel de décès toutes causes confondues signifie que l'effet de l'âge est plus important sur le risque de mourir suite à une injection de vaccins contre la COVID-19 que sur le risque de mourir (par unité de temps fixe) de la vieillesse en général. Un âge doublé peut être une caractéristique du type de défi. Par exemple, le risque de décès dû à un accident automobile violent serait relativement indépendant de l’âge, correspondant à un T2 élevé. De même, si le risque de décès dû au défi est lié à un système physiologique qui se dégrade plus rapidement avec l'âge, pour les âges avancés, que le vieillissement global causant la mort lui-même, alors T2 serait inférieur à sa valeur de risque (par unité de temps fixe). ) de mourir de toutes causes. Par conséquent, le doublement de l’âge (T2) fournit des informations sur le mécanisme de décès par provocation par injection du vaccin COVID-19, chez les sujets âgés.

    Plus important encore et plus concrètement, nos résultats établissent des valeurs élevées et dépendantes de l'âge du vDFR chez les personnes âgées, pouvant atteindre 5 % (1 décès pour 20 injections) mesurées chez les personnes de plus de 90 ans au Chili et au Pérou (Figure 17), 1 %. (1 décès pour 100 injections) (nominalement tous âges) en Inde (Rancourt, 2022), 0,55 % (1 décès pour 180 injections) pour les plus de 80 ans en Israël (Rancourt et al., 2023 ; leur tableau 2), et 0,93 % (1 décès pour 110 injections) pour les personnes de plus de 85 ans en Australie (Rancourt et al., 2023 ; leur tableau 1).

    Cela bouleverse la politique de santé publique consistant à donner la priorité aux personnes âgées pour l’injection de vaccins contre la COVID-19, dans des circonstances réelles dans lesquelles il n’y avait pas d’essais cliniques contrôlés fiables axés sur des sujets âgés représentatifs.

    La notion de santé publique selon laquelle les personnes âgées et vulnérables doivent être prioritaires pour la vaccination contre la COVID-19 suppose :

    je. un vDFR constant indépendant de l’âge

    ii. une petite valeur de vDFR (estimée de manière optimiste à partir d'essais gérés, financés par l'industrie pharmaceutique)

    Nos recherches montrent que les deux hypothèses (i et ii) sont fausses, et loin de la réalité sur le terrain, à l’échelle des nations.

    Cette notion de santé publique a toujours été sans fondement car elle n'était pas ancrée dans une évaluation suffisante du risque de décès stratifié par âge dû aux injections de COVID-19 (par exemple, Veronese et al., 2021 ; Abbatecola et al., 2022 ; Gao et al., 2022), et s’avère désormais incorrecte.

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  55. 6.8 Excès de MCA par période précédant le déploiement du vaccin contre la COVID-19
    Aucun des 17 pays étudiés n'a connu de pics de surmortalité anormaux avant la déclaration de pandémie par l'OMS le 11 mars 2020 (Figure 2, Figure 12, Figure 15, Figure 20, Figure 21, Figure 22), comme c'est généralement le cas pour tous les pays étudiés. précédemment.

    Huit des 17 pays étudiés connaissent des pics d’excès significatifs d’ACM au cours de la période d’environ un an entre le 11 mars 2020 et les premières injections de vaccin contre la COVID-19 (ci-après « période de pré-vaccination ») (Figure 2, Figure 6, Figure 21). : Argentine, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Pérou et Afrique du Sud.

    Deux des huit pays présentant des pics d’excès significatifs d’ACM au cours de la période précédant la vaccination (l’Argentine et le Brésil) ont simplement des pics saisonniers plus importants à la mi-2020, et aucun autre excès anormal d’ACM ne se présente au cours de la période précédant la vaccination (Figure 6).

    Les 6 autres pays sur les 8 présentant des pics d’ACM excédentaires significatifs au cours de la période pré-vaccination (Bolivie, Chili, Colombie, Équateur, Pérou, Afrique du Sud) ont des pics d’ACM très importants, sans précédent et relativement marqués au cours de la période pré-vaccination. (Figure 6) :

    L’Équateur connaît un pic stupéfiant qui surgit littéralement immédiatement après la déclaration de pandémie le 11 mars 2020 (Figure 6), qui n’est pas sans rappeler les événements de mortalité anormale synchrone à New York (États-Unis), en Lombardie (Italie), à ​​Madrid (Espagne), à ​​Stockholm. (Suède) et d’autres points chauds où cette anomalie s’est produite. Ces pics de points chauds ont été interprétés comme étant causés par des changements soudains dans les protocoles médicaux et institutionnels et dans les réponses gouvernementales, liés à la déclaration d'une pandémie, et qu'ils ne peuvent pas être dus à une maladie respiratoire virale se propageant à l'échelle mondiale (Rancourt, 2020, 2023). ; Rancourt et al., 2020, 2021a, 2021b).
    De la même manière, la Bolivie, le Chili, le Pérou et l’Afrique du Sud connaissent des pics d’ACM très importants, sans précédent et relativement marqués, comme on l’a vu pour l’Équateur, qui ne se produisent pas immédiatement mais peu après la déclaration du 11 mars 2020 (Figure 6). Nous interpréterions ces pics de la même manière que pour l’Équateur, comme étant causés par des changements soudains dans les protocoles médicaux et institutionnels et dans les réponses du gouvernement, suite à la déclaration de pandémie le 11 mars 2020, et qu’ils ne sont pas dus à une propagation virale respiratoire à l’échelle mondiale. maladie.
    Le Pérou connaît un deuxième pic spectaculaire d’ACM qui suit immédiatement son premier pic de ce type, créant une structure à double pic au cours de la période précédant la vaccination (Figure 6). L’Équateur connaît également un deuxième pic (relativement plus petit) d’ACM, qui suit le premier pic de la période pré-vaccination (Figure 6).

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  56. En plus des caractéristiques décrites ci-dessus, la Colombie et l’Afrique du Sud connaissent des pics importants et marqués d’ACM, qui précèdent immédiatement le début de la vaccination (Figure 6). De même, le Pérou, l’Équateur et la Bolivie connaissent des augmentations de l’ACM, qui précèdent et mènent immédiatement à la période de vaccination (Figure 6). Il est possible que ces pics et augmentations soient dus à l’intensification des programmes de vaccination contre la grippe à ce moment-là, ou à des changements soudains imposant des mesures gouvernementales agressives.
    En outre, l’Australie, la Malaisie, la Nouvelle-Zélande et l’Uruguay semblent avoir des ACM légèrement plus faibles au cours de la période précédant la vaccination, qui dure environ un an, par rapport à la tendance historique récente (Figure 2, Figure 6, Figure 20, Figure 21). Ces mortalités réduites au cours de la période précédant la vaccination sont proches de la limite de signification statistique par rapport aux comportements historiques de l'ACM au fil du temps. S’ils sont réels, et s’ils sont dus à des mesures institutionnelles et gouvernementales mises en œuvre après le 11 mars 2020, alors quelques questions se posent :

    i. Pourquoi cela s’est-il produit dans seulement 4 des 17 pays étudiés, et l’inverse dans 8 des pays ?

    ii. Pourquoi ces pays ont-ils mis en place une vaccination forcée contre le COVID-19, après un an d’observations aussi positives ?

    Dans l’ensemble, les tendances et l’ampleur des MCA varient énormément d’un pays à l’autre au cours de la période précédant la vaccination (Figure 6) :

    de l’absence totale de surmortalité (9 pays sur 17),
    à des pics saisonniers significativement mais modérément plus importants à la mi-2020 (Brésil, Argentine),
    à des nombres variables (1, 2 ou presque 3, en comptant une augmentation de l'ACM avant la vaccination) de très forts pics d'ACM, survenant à des moments différents selon les pays (Bolivie, Chili, Colombie, Equateur, Pérou, Afrique du Sud).
    En outre, un pays comme la Bolivie, qui connaît un pic extraordinairement important d’excès de MCA au cours de la période précédant la vaccination, peut partager une frontière terrestre importante avec un pays comme le Paraguay, qui n’a aucun excès détectable de MCA au cours de la période précédant la vaccination. .

    Nous attribuons cette variabilité dans la période précédant la vaccination aux grandes différences d'un pays à l'autre dans les mesures médicales et gouvernementales agressives, liées aux structures démographiques sous-jacentes d'individus fragiles, de la même manière aux grandes différences d'un État à l'autre aux États-Unis (Rancourt et al., 2021a ; Johnson et Rancourt, 2022).

    En comparaison, les tendances et l’ampleur des MCA selon le temps sont relativement constantes, d’un pays à l’autre, au cours de la période de vaccination (Figure 6) :

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  57. les 17 pays ont tous un excès significatif de MCA au cours de la période de vaccination,
    la quasi-totalité des 17 pays connaissent des pics importants d’excès de MCA au début de 2021, lorsque les vaccins contre la COVID-19 sont déployés pour la première fois,
    suivi d’un pic d’excès d’ACM au début de 2022 (le pic nominal de janvier à février 2022) lorsque les boosters sont déployés.
    Pour Singapour, les deux pics de la période de vaccination sont plus tardifs, mais chacun est immédiatement précédé par un maximum dans l’administration des injections de vaccin (Figure 6). Pour le Suriname, le pic de la première période de vaccination dans l'ACM a en fait une structure à deux pics, mais chaque pic de la paire est précédé d'un maximum dans l'administration de l'injection de vaccin (Figure 6).

    Nous attribuons cette relative constance d’un pays à l’autre de l’excès de MCA selon le moment de la période de vaccination comme étant due à la grande uniformité du calendrier de déploiement du vaccin contre la COVID-19 et des rappels dans les 17 pays ; alors que les mesures médicales et gouvernementales étaient généralement plus disparates dans la période précédant la vaccination.

    *

    7. Conclusion

    7.1 Causalité prouvée
    Les 17 pays étudiés (Argentine, Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour, Afrique du Sud, Suriname, Thaïlande, Uruguay) représentent 9,10 % de la population mondiale, soit 10,3 %. des injections mondiales de COVID-19 (taux de vaccination de 1,91 injections par personne, tous âges), pratiquement tous les types et fabricants de vaccins COVID-19, et couvrent 4 continents.

    Les tests scientifiques de causalité sont largement satisfaits, comme le démontrent en détail les sections suivantes du présent article :

    Les vaccins contre la COVID-19 peuvent causer la mort
    Absence de surmortalité jusqu’à ce que les vaccins contre la COVID-19 soient déployés
    Les vaccins contre la COVID-19 n’ont pas sauvé des vies et semblent être des agents toxiques mortels
    Preuve solide d’une association causale et de la toxicité mortelle du vaccin
    La causalité de la surmortalité est amplement démontrée
    Évaluer d’autres interprétations de la cause de la surmortalité
    Implications concernant la dépendance à l'âge de la toxicité mortelle des vaccins contre la COVID-19
    En outre, il n’existe aucun fait connu qui réfute la relation causale déduite et quantitative entre les pics excessifs d’ACM observés et les déploiements de vaccins et de rappels contre la COVID-19 associés dans le temps.

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  58. 7.2 Mortalité vaccinale réelle bien supérieure à celle déduite à tort de données erronées
    Il ne fait aucun doute que les pics d'excès d'ACM sont causés par les vaccinations contre le COVID-19, avec une toxicité mortelle moyenne tous âges par injection de vDFR = (0,126 ± 0,004) %, soit environ 1 décès pour 800 injections, ce qui est on peut raisonnablement s’attendre à ce qu’elle soit représentative à l’échelle mondiale.

    Il s’agit d’un nombre stupéfiant, comparé à ce que l’on croit généralement à propos des vaccins traditionnels, qui est d’environ un effet indésirable grave par million (Malhotra, 2023). C’est trois ordres de grandeur (mille fois) plus grand.

    Contrairement à ce grand nombre de données ACM, les valeurs vDFR effectives pour tous les âges déduites d'autres sources - le petit nombre de confirmations d'autopsie, la surveillance des effets indésirables des décès, le petit nombre d'indemnisations nationales pour blessures causées par les vaccins pour les décès, l'industrie pharmaceutique. les rapports d’essais cliniques, les certificats de décès et les statistiques correspondantes sur les causes de décès déclarées par le gouvernement – ​​pour les vaccins contre le COVID-19 sont nettement inférieurs, là encore par ordres de grandeur.

    Par conséquent, nous concluons avec un degré élevé de certitude que la surveillance des effets indésirables, les rapports d’essais cliniques et les statistiques des certificats de décès sous-estiment grandement la toxicité mortelle des injections.

    Le grand écart entre les valeurs de vDFR incorrectement déduites et réelles au niveau de la population est probablement dû à l’évitement systémique d’admettre les injections comme cause possible de décès chez les patients fragiles et vulnérables. Par exemple, la ou les causes du décès seront attribuées à des défaillances particulières d’un organe ou d’un système, sans référence au vaccin, même si l’injection était récente et que le patient était auparavant stable.

    Le vDFR mesuré pour tous les âges de (0,126 ± 0,004) % implique que 17,0 ± 0,5 millions de décès dus au vaccin COVID-19 se seraient produits dans le monde, jusqu'au 2 septembre 2023. Il semble que la campagne mondiale de vaccination contre le COVID-19 ait été en fait une campagne de masse. événement iatrogène qui a tué (0,213 ± 0,006) % de la population mondiale (1 décès pour 470 personnes vivantes, en moins de 3 ans) et n'a évité aucun décès de manière mesurable.

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  59. 7.3 Il faut mettre fin à la politique consistant à donner la priorité aux résidents âgés pour la vaccination contre la COVID-19
    Les données détaillées selon l’âge et la dose pour le Chili et le Pérou permettent une certitude sans précédent dans la quantification de la dépendance selon l’âge de la toxicité mortelle des vaccins contre la COVID-19. Le risque de décès par injection (vDFR) augmente de façon exponentielle avec l'âge, à partir de 60 ans, doublant environ tous les 4 ans, et atteint des valeurs d'environ 5 % pour les 90 ans et plus soumis à la dose 4 (2e rappel). vDFR = 5 % correspond à 1 décès pour 20 injections de dose 4 pour les plus de 90 ans.

    Ces valeurs vDFR sont cohérentes avec toutes les évaluations antérieures basées sur l'ACM :

    1 % (1 décès pour 100 injections) (nominalement tous âges) en Inde (Rancourt, 2022)
    0,55 % (1 décès pour 180 injections) pour les plus de 80 ans en Israël (Rancourt et al., 2023 ; leur tableau 2)
    0,93 % (1 décès pour 110 injections) pour les 85 ans et plus en Australie (Rancourt et al., 2023 ; leur tableau 1)
    La dépendance à l'âge du vDFR au niveau de la population (doublant tous les 4 ans) et sa grande ampleur devraient inciter les gouvernements à mettre immédiatement en œuvre une pause absolue dans la politique de santé publique sans fondement consistant à donner la priorité aux personnes âgées pour l'injection de vaccins contre la COVID-19, jusqu'à ce qu'elles soient valides. des analyses risques-avantages sont réalisées et rendues publiques. Il en va peut-être de même pour les vaccins contre la grippe saisonnière.

    *

    Les références

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    Ackley, Californie et coll. (2022) /// Estimations au niveau des comtés de la surmortalité associée au COVID-19 aux États-Unis /// SSM – Population Health , 17, p. 101021. https://doi.org/10.1016/j.ssmph.2021.101021

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  60. Acosta et coll. (2022) : Acosta RJ, Patnaik B, Buckee C, Kiang MV, Irizarry RA, Balsari S et al. /// Surmortalité toutes causes confondues dans 90 municipalités du Gujarat, en Inde, pendant la pandémie de COVID-19 (mars 2020-avril 2021). /// PLOS Glob Public Health , 2022, 2(8) : e0000824. https://doi.org/10.1371/journal.pgph.0000824

    Al Wahaibi et al. (2021) : Adil Al Wahaibi, Amal Al-Maani, Fatma Alyaquobi, Khalid Al Harthy, Amina Al-Jardani, Bader Al Rawahi, Seif Al-Abri /// Effets du COVID-19 sur la mortalité : une population sur 5 ans- étude basée à Oman /// International Journal of Infectious Diseases 104 (2021) 102-107. https://doi.org/10.1016/j.ijid.2020.12.054

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  74. Tan et coll. (2022) : Lii Jye Tan, Cai Ping Koh, Shau Kong Lai, Woon Cheng Poh, Mohammad Shafie Othman, Huzlinda Hussin. /// Un examen systémique et une recommandation pour une approche autopsie du décès ont suivi la vaccination contre le COVID 19. /// Forensic Science International , Volume 340, 2022, 111469, ISSN 0379-0738, https://doi.org/10.1016/j.forsciint.2022.111469.

    The Japan Times (26 juillet 2022) : Le Japon accorde le premier paiement en cas de décès lié à la vaccination contre la COVID. /// https://www.japantimes.co.jp/news/2022/07/26/national/science-health/japan-first-covid-19-vaccine-compensation/ – archivé ici : https://archive .ph/OfUhm

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    Worp et coll. (2023) :Worp, N. et coll. ///Vers le développement d'un outil d'évaluation des risques des variants du SRAS-CoV-2 : consultation d'experts sur l'évaluation des preuves scientifiques sur les variants émergents /// Lancet Microbe , publié : 25 août 2023, DOI : https://doi. org/10.1016/S2666-5247(23)00179-9

    Yeo et coll. (2022) : Audrey YEO, Benjamin KUEK, Mandy LAU et al. /// Décès post-vaccinaux liés au COVID-19 – Les premières expériences de Singapour, /// Forensic Science International , Volume 332, 2022, 111199, ISSN 0379-0738, https://doi.org/10.1016/j.forsciint.2022.111199

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  76. Yorifuji et coll. (2021) : Takashi Yorifuji, Naomi Matsumoto, Soshi Takao /// Mortalité excessive toutes causes confondues pendant l'épidémie de COVID-19 au Japon /// Journal of Epidemiology , 2021, Volume 31, Numéro 1, Pages 90-92, publié le J-STAGE 5 janvier 2021, publication anticipée en ligne le 31 octobre 2020, en ligne ISSN 1349-9092, imprimé ISSN 0917-5040, https://doi.org/10.2188/jea.JE20200492, https://www.jstage. jst.go.jp/article/jea/31/1/31_JE20200492/_article/-char/en

    Yoshimura et coll. (2022) : Yukihiro Yoshimura, Hiroaki Sasaki, Nobuyuki Miyata et al. /// Un cas d'autopsie de syndrome de détresse respiratoire aiguë de type COVID-19 après vaccination par l'ARNm-1273 contre le SRAS-CoV-2 /// International Journal of Infectious Diseases 121 (2022) 98-101, https://doi.org/ 10.1016/j.ijid.2022.04.057

    annexe
    Annexe A : Sources de données sur la mortalité et la vaccination
    Le tableau 4 décrit les données et les sources des données utilisées dans ce travail : mortalité toutes causes confondues (MAC) et administration du vaccin COVID-19, pour les 17 pays.

    Tableau 4 : Annexe A – Types de données et sources de données

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    Notes pour le tableau 4 :

    1 seule année d'âge disponible. Les données pour les âges annuels sont additionnées pour créer des données pour les groupes d'âge spécifiques utilisés dans cette étude.

    2 Cinq catégories : Dose 1, Dose 2, Dose 3, Dose 4, Dose unique

    3 Six doses : Dose 1, Dose 2, Dose 3, Dose 4, Dose 5, Dose 6. Il n'y avait aucune donnée pour une dose 7 ; et nous n’avons pas utilisé les données des doses 8 et 9, qui étaient constituées de petits nombres.

    4 Quatre tranches d'âge : 0-29, 30-59, 60-79, 80+

    5 Cinq catégories : Dose 1, Dose 2, Dose 3 (appelée « Premiers rappels » dans les données sources), Dose 4 (appelée « Deuxième rappels » dans les données sources), Troisième dose primaire

    6 Les données de vaccination ont été initialement téléchargées le 24 février 2023 (Health NZ, 2023), et nous avons vérifié qu'elles étaient essentiellement identiques à celles téléchargées plus récemment (14 septembre 2023, Stats NZ, 2023b).

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  77. Nous utilisons une somme de jours pour générer des ACM par semaine (ACM/w), de la même manière pour les données de vaccination.

    Les données de vaccination de l’OWID (2023) sont de deux types :

    Doses de vaccin, cumulatives ou nouvelles par jour
    Doses de rappel du vaccin, cumulées
    Dans la Figure 2, la Figure 4, la Figure 6 et la Figure 21, les données ACM proviennent de WMD (2023) et les données de vaccination proviennent d'OWID (2023).

    Dans la Figure 5, la Figure 7, la Figure 22 et la Figure 23, les données ACM proviennent de WMD (2023).

    Dans la figure 11, les données ACM proviennent de DEIS (2023) et les données de vaccination proviennent de MinCiencia (2023).

    Dans la figure 12 et dans la figure 13, les données ACM proviennent de DEIS (2023).

    Dans la figure 14, les données ACM proviennent du MINSA (2023a) et les données de vaccination proviennent du MINSA (2023b).

    Dans la Figure 15 et la Figure 16, les données ACM proviennent du MINSA (2023a).

    Dans la figure 18, les données ACM proviennent de Stats NZ (2023a) et les données de vaccination proviennent de Stats NZ (2023b).

    Dans la figure 19 et la figure 20, les données ACM proviennent de Stats NZ (2023a).

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    Références de l'Annexe A

    DEIS (2023) : Departamento de Estadísticas e Información de Salud – Ministryio de Salud – Gobierno de Chile /// Datos abiertos /// Fichiers « Defunciones por Causa 1990 – 2019 CIFRAS OFICIALES » et « Defunciones por Causa 2020 – 2023 CIFRAS PRELIMINARES ( Actualización semanal)” /// consulté le 23 mars 2023 https://deis.minsal.cl/#datosabiertos

    Health NZ (2023) : Te Whatu Ora /// Données sur le vaccin COVID-19 /// consulté le 24 février 2023 https://www.tewhatuora.govt.nz/our-health-system/data-and-statistics/covid- données sur les vaccins#par jour

    MinCiencia (2023) : Ministryio de Ciencia (« Datos obtenidos desde el Ministryio de Ciencia y producidos por el Ministryio de Salud ») /// Datos-COVID19 /// Data Product 78 – Avance por sexo y edad en Campaña de Vacunación COVID- 19 : Ce produit donne un aperçu de l'avancée de la campagne de vaccination contre le Sars-Cov-2 pendant l'âge (en ans) et le sexe. /// consulté le 31 mars 2023 https://github.com/MinCiencia/Datos-COVID19 https://github.com/MinCiencia/Datos-COVID19/tree/master/output/producto78

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  78. MINSA (2023a) : Ministryio de Salud – Gobierno de Perú /// Plataforma Nacional de Datos Abiertos /// SINADEF : Certificado Defunciones /// Fichier « SINADEF – Defunciones » /// consulté le 27 juillet 2023 https://www.datosabiertos .gob.pe/dataset/sinadef-certificado-defunciones

    MINSA (2023b) : Ministryio de Salud – Gobierno de Perú /// Plataforma Nacional de Datos Abiertos /// Data Completa de Vacunación COVID-19 – [Ministerio de Salud ] /// Fichier « VACUNAS_COVID » /// consulté le 27 juillet 2023 https://www.datosabiertos.gob.pe/dataset/vacunaci%C3%B3n-contra-covid-19-ministerio-de-salud-minsa/resource/db673c08-4812-4844-ae7f

    OWID (2023) : Our World In Data /// Vaccinations contre le coronavirus (COVID-19) /// consulté le 5 août 2023 https://ourworldindata.org/covid-vaccinations

    Stats NZ (2023a) : Stats NZ Tatauranga Aotearoa /// Portail de données COVID-19 /// Santé – Total des décès (toutes causes) − Décès hebdomadaires par âge /// consulté le 24 février 2023 https://www.stats.govt .nz/experimental/covid-19-data-portal

    Stats NZ (2023b) : Stats NZ Tatauranga Aotearoa /// Portail de données COVID-19 /// Santé – Vaccinations contre la COVID-19 − Vaccins contre la COVID-19 administrés – Total quotidien /// consulté le 14 septembre 2023 https://www.stats .govt.nz/experimental/covid-19-data-portal

    WMD (2023) : World Mortality Dataset /// Données internationales sur la mortalité toutes causes confondues /// consulté le 3 août 2023 https://github.com/akarlinsky/world_mortality/blob/main/world_mortality.csv — L'ensemble de données sur la mortalité mondiale est le travail de Karlinsky & Kobak 2021, Suivi de la surmortalité à travers les pays pendant la pandémie de COVID-19 avec l'ensemble de données sur la mortalité mondiale, eLife https://doi.org/10.7554/eLife.69336

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    Annexe B : Exemples de données sur la mortalité toutes causes confondues et sur la vaccination
    Les panneaux suivants montrent l'ACM par période (semaine ou mois, comme le montrent les graphiques) (échelle bleue, à gauche) et l'administration du vaccin (tous les numéros de dose) par semaine (échelle orange, à droite), 2015-2023, pour les 17 pays. dans cette étude, comme indiqué (Argentine, Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour, Afrique du Sud, Suriname, Thaïlande et Uruguay). La fine ligne grise verticale, dans chaque panneau, indique la date (11 mars 2020) à laquelle une pandémie a été déclarée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

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  79. Figure 21 : Annexe B – Exemples de données sur la mortalité toutes causes confondues, pour tous les âges (en bleu) et sur l'administration du vaccin à toutes les doses (en orange), pour les 17 pays de cette étude (comme indiqué). La ligne grise verticale indique la déclaration de pandémie du 11 mars 2020 par l’OMS. Les sources de données sont spécifiées à l’annexe A.

    Annexe C : Informations techniques et spécifiques pour les applications des méthodes aux données
    Le tableau 5 présente les paramètres utilisés pour appliquer la méthode décrite dans « Tendance historique de référence pour une période (ou un pic) de mortalité » (Méthode 1, voir Méthodes) aux données. Dans cette méthode, on calcule les lignes de tendance ajustées (droites ajustées par minimisation des moindres carrés) à l'ACM intégrées sur des périodes de durée égale à la période d'intérêt (la période de vaccination ou une période de déploiement spécifique). Lesdites lignes de tendance sont utilisées pour calculer la mortalité intégrée de base dans les périodes d'intérêt, afin d'obtenir l'excédent ACM des périodes d'intérêt. Tous les comptages de doses de vaccin s'effectuent sur le même intervalle de temps que l'intervalle d'intégration pour l'ACM dans la période d'intérêt.

    Les mêmes fenêtres d'intégration (date de début à date de fin, par semaine ou par mois inclus) ont été utilisées pour la Méthode 2, pour les cas où la Méthode 2 a également été appliquée.

    Tableau 5 : Annexe C – Paramètres utilisés pour appliquer la méthode de la ligne de tendance (Méthode 1) aux données

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    † La période d’intérêt « Booster » fait référence à la période encadrant le pic nominal de janvier à février 2022 de l’ACM, dans les données pour tous les âges.

    * Le format est le suivant : ANNÉE-SEMAINE ou ANNÉE-MOIS. Par exemple:

    [2021-S07 – 2023-S12] signifie que la période d’intérêt s’étend de la semaine 7 de 2021 à la semaine 12 de 2023 inclusivement.
    [2021-M01 – 2023-M03] signifie que la période d’intérêt s’étend du mois 1 (janvier) 2021 au mois 3 (mars) 2023 inclus.
    La définition du numéro de semaine, tout au long du document, est celle donnée par ABS (2022) : « Le numéro de semaine est basé sur le système de date de la semaine ISO (Organisation internationale de normalisation). Dans ce système, les semaines sont définies comme des périodes de sept jours commençant un lundi. La semaine 1 d'une année donnée est la semaine qui commence le lundi le plus proche du 1er janvier et dont la majorité des jours tombent en janvier (soit quatre jours ou plus). La semaine 1 contient donc toujours le 4 janvier et contient toujours le premier jeudi de l'année. En utilisant la structure ISO, certaines années (par exemple 2015 et 2020) contiennent 53 semaines.

    + A partir du point d'intégration indiqué dans le tableau, inclus, en reculant. Le dernier point d'intégration (le point d'intégration d'intérêt) est 0. Par exemple :

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  80. 2 points d'intégration utilisés à partir du -1 signifie que 2 points d'intégration ont été utilisés pour ajuster la ligne de tendance : le point d'intégration (-1), précédant directement le dernier (0, celui qui nous intéresse), et un point d'intégration supplémentaire (- 2) avant cela.
    6 points d'intégration utilisés à partir du -3 signifie que 6 points d'intégration ont été utilisés pour ajuster la ligne de tendance : du -3 au point d'intégration -8 inclus, où 0 est le point d'intégration d'intérêt (le plus récent).
    Ceci s'applique à la méthode utilisant plusieurs points d'intégration de la période historique (Méthode 1). Les données du Chili (tous âges) et du Pérou (tous âges) étaient insuffisantes pour appliquer la méthode 1.

    *

    Références de l'Annexe C

    ABS (2022) : Australian Bureau of Statistics /// Provisional Mortality Statistics /// fichiers « Provisional Mortality Statistics, Weekly Dashboard, Jan – Sep 2022 » et « Deaths by week of occurrence, 2015-21 » /// consulté le 23 janvier 2023 https://www.abs.gov.au/statistics/health/causes-death/provisional-mortality-statistics/latest-release

    Annexe D : Quantification par méthode à point unique de la surmortalité pendant la période COVID
    La figure 22 suivante illustre l'application de notre méthode « Cas particulier d'un seul point historique intégré » (Méthode 2) pour quantifier la surmortalité sur la période nominalement entière de Covid, du 11 mars 2020, date à laquelle une pandémie a été déclarée, jusqu'à une date de fin pratique. considérée comme étant la même que la date de fin de la période nominale de vaccination (qui dépend de la disponibilité des données de mortalité et de vaccination), pour les 17 pays de cette étude. Les limites d'intégration pour les périodes pour chaque pays sont précisées en Annexe C : Informations techniques et spécifiques aux applications des méthodes aux données.

    Ici, selon la légende, la période Covid est en orange (à la fois son ACM par temps et son point d'intégration), la seule période de référence historique utilisée est en vert (à la fois son ACM par temps et son point d'intégration), la meilleure ligne L'ajustement (ajustement des moindres carrés) de l'ACM historique par temps est en rouge, et la valeur prédite extrapolée de l'intégration pour la période Covid est également en rouge, avec sa barre d'erreur. Les semaines ou les mois sont comptés consécutivement dans l'ordre à l'aide d'un index temporel, où la semaine numéro 1 est la semaine 1 de 2015 et le mois numéro 1 est le mois 1 (janvier) de 2015. La semaine 1 de 2015 contient les dates du 29 décembre 2014. jusqu'au 4 janvier 2015. La fine ligne grise verticale, dans chaque panneau, indique la date (11 mars 2020) à laquelle une pandémie a été déclarée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

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  81. Figure 22 : Annexe D – Méthode du point historique unique (Méthode 2) pour les excès d'ACM dans les périodes Covid des 17 pays de cette étude. Période Covid (orange), période de référence historique à un point (vert), meilleur ajustement (rouge). L'index temporel est le numéro de la semaine ou du mois à partir du début de 2015. La date de déclaration de la pandémie du 11 mars 2020 est indiquée par une ligne grise verticale. Les sources de données sont spécifiées à l’annexe A.

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    Annexe E : Méthode de quantification en un seul point de la surmortalité au cours de la période de vaccination
    La Figure 23 suivante illustre l'application de notre méthode « Cas particulier d'un seul point historique intégré » (Méthode 2) aux mêmes limites d'intégration, pour la période de vaccination, que pour la Méthode 1 (méthode de tendance historique, présentée dans la Figure 6 et Figure 7), pour les 17 pays de cette étude. Les limites d’intégration sont précisées en annexe C.

    Ici, selon la légende, la période de vaccination est en orange (à la fois son ACM par temps et son point d'intégration), la seule période de référence historique utilisée est en vert (à la fois son ACM par temps et son point d'intégration), la meilleure ligne L'ajustement (ajustement des moindres carrés) de l'ACM historique par temps est en rouge, et la valeur prédite extrapolée de l'intégration pour la période de vaccination est également en rouge, avec sa barre d'erreur. Les semaines ou les mois sont comptés séquentiellement à l'aide d'un index temporel, où la semaine ou le mois numéro 1 est la semaine ou le mois contenant le 1er janvier 2015. La semaine 1 pour 2015 contient les dates du 29 décembre 2014 au 4 janvier 2015. La fine ligne grise verticale , dans chaque panneau, indique la date (11 mars 2020) à laquelle une pandémie a été déclarée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

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    Figure 23 : Annexe E – Méthode du point historique unique pour l’excès d’ACM (Méthode 2) dans les périodes de vaccination des 17 pays de cette étude. Période de vaccination (orange), période de référence historique à un point (vert), meilleur ajustement (rouge). L'index temporel est le numéro de la semaine ou du mois à partir du début de 2015. La date de déclaration de la pandémie du 11 mars 2020 est indiquée par une ligne grise verticale. Les sources de données sont spécifiées à l’annexe A.

    https://www.globalresearch.ca/covid-19-vaccine-associated-mortality-in-the-southern-hemisphere/5832840

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  82. En 2021, le pilote américain Lelon Albert Lewis, âgé de 66 ans, s'est écrasé dans un petit avion quelques heures après avoir reçu son deuxième vaccin à ARNm Moderna contre la COVID-19.
    Plus de 1 150 décès le même jour que le vaccin à ARNm


    Par le Dr William Makis
    Recherche mondiale,
    12 février 2024


    En 2021, le pilote Lelon Albert Lewis, âgé de 66 ans, s'est écrasé dans un petit avion quelques heures après avoir reçu le vaccin à ARNm Moderna. Voici son histoire :

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    Cliquez ici pour regarder la vidéo

    3 avril 2021 – Nécrologie de Lelon Albert Lewis

    Crash d'avion du 3 avril 2021 – Lelon Albert Lewis : Magnus Fusion 212, N434MA ; accident mortel à Conifer, comté de Jefferson, Colorado

    Le 3 avril 2021, vers 17 h 35, heure avancée du Centre, un avion Magnus Fusion 212, N434MA, a été considérablement endommagé lorsqu'il a été impliqué dans un accident près de Conifer, Colorado. Le pilote sportif a été mortellement blessé .

    Un examen des informations du contrôle de la circulation aérienne (ATC) a révélé que l'avion avait décollé vers 16 h 58 de l'aéroport Colorado Air and Space Port (FCO), à Denver, Colorado. L'avion a volé vers le sud-ouest et les dernières informations ATC ont été enregistrées vers 17 h 29 alors que l'avion volait près de Deckers, au Colorado, à environ 800 pieds au-dessus du niveau du sol (agl). L'avion a continué vers l'ouest en direction d'un terrain ascendant et une transmission de balise de localisation d'urgence (ELT) a été enregistrée vers 17 h 35.

    Un témoin près de Wigwam Trail, dans la forêt nationale de Pike, a observé l'avion voler lentement vers le nord-ouest et a ensuite tourné à gauche pour entrer dans un canyon à moins de 500 pieds agl. Après être entré dans le canyon, l’avion a viré brusquement vers la droite et le témoin a perdu de vue l’avion. L'avion a percuté un terrain boisé escarpé avec une assiette en piqué et une faible vitesse d'avancement.

    L'avion était équipé d'un système de récupération de parachute. L'examen du système sur place a révélé qu'il n'était pas déployé. L'avion sera examiné plus en détail dans un lieu de récupération.

    *

    COMTÉ DE JEFFERSON, Colorado (CBS4) – Le pilote tué dans un accident d'avion ce week-end a été identifié. Lelon Albert Lewis, 66 ans, était la seule personne à bord de l'avion lorsqu'il s'est écrasé samedi dans une zone accidentée au nord-ouest de Deckers.

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  83. L'avion a été porté disparu pour la première fois samedi. Finalement, l'emplacement de l'avion abattu a été découvert dimanche depuis un avion au-dessus de lui.

    Avec l'aide du bureau du shérif du comté de Jefferson, le personnel de recherche et de sauvetage de l' équipe de sauvetage alpin s'est rendu sur le site dans la région sauvage de Lost Creek et a trouvé le seul occupant de l'avion, identifié lundi après-midi comme étant Lewis, mort.

    On ne sait pas exactement ce qui a causé l'accident, mais l'avion, un monomoteur Magnus Fusion 212, était un avion de sport de fabrication hongroise, conçu pour la voltige. La Federal Aviation Administration et le National Transportation Safety Board enquêtent sur l'accident.

    RAPPORT VAERS (1167407) :

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    Mon avis…
    Le pilote de 66 ans, Lelon Albert Lewis, s'est écrasé dans un petit avion dans le Colorado quelques heures après avoir reçu son deuxième vaccin Moderna à ARNm contre la COVID-19.

    L'avion a pris un virage serré avant l'accident et le système de récupération du parachute n'a pas été déployé. Il est fort probable que le pilote se soit effondré et ait perdu connaissance, ce qui a ensuite conduit à l'accident de l'avion.

    Le fait qu’il existe un rapport du VAERS suggère que la famille pensait qu’il avait probablement eu une réaction à son deuxième vaccin à ARNm Moderna COVID-19, qui a conduit à l’accident d’avion et à sa mort.

    Ce cas est unique, dans la mesure où il s'agit du seul accident d'avion enregistré au VAERS après la vaccination contre le COVID-19. Cependant, les décès le jour même après le vaccin sont en réalité un phénomène choquant.

    Il y a au moins 1 150 décès documentés dans le VAERS survenus le jour même où ils ont pris le vaccin COVID-19.

    https://www.globalresearch.ca/66-year-old-us-pilot-lelon-albert-lewis-crashed-small-airplane-hours-after-receiving-2nd-moderna-covid-19-mrna-vaccine/5849237

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  84. Arrêt cardiaque dû à une dissection spontanée de l'artère coronaire – Une déchirure dans une artère
    Cas d'une infirmière albertaine de 39 ans vaccinée contre le COVID-19 que je connais, qui a eu un arrêt cardiaque en conduisant !


    Par le Dr William Makis
    Recherche mondiale,
    12 février 2024


    Juin 2022 – Edmonton, Alberta, Canada – Terry, infirmière de 39 ans (vaccinée à l'ARNm contre le COVID-19), a eu un arrêt cardiaque alors qu'elle conduisait et s'est conduite elle-même à l'hôpital où elle a failli mourir.

    - voir photo sur site -

    « Alors que je conduisais, j'ai soudainement ressenti une vive douleur allant du cou à l'épaule… la douleur est devenue si insupportable et la panique s'est installée… Je me suis rendu à l'hôpital juste à temps et il s'est avéré que j'avais une crise cardiaque. »

    « Je n'ai pas encore 40 ans, je suis coureuse active, cycliste, infirmière, épouse et maman. Mais c'est le problème. Cela pourrait arriver à TOUT LE MONDE »
    « On m’a diagnostiqué une SCAD – Dissection spontanée de l’artère coronaire »

    Mon avis…
    Cette infirmière d'Edmonton fait partie de mon cercle médical. Elle est entièrement vaccinée contre le COVID-19.

    Pourquoi cette affaire est-elle importante ?

    Les femmes vaccinées contre l’ARNm du COVID-19 sont décimées par les blessures cardiaques et les décès. Elle l’a découvert elle-même (même si elle n’a pas fait le lien jusqu’au vaccin à base d’ARNm) :

    - voir photo sur site -

    Ces arrêts cardiaques peuvent survenir en conduisant et sont extrêmement dangereux.

    Elle a subi une dissection de son artère lorsqu'elle a recommencé à courir (les dangers de faire de l'exercice lorsqu'on est vacciné contre le COVID-19)

    - voir photo sur site -

    On lui a diagnostiqué une SCAD – Dissection spontanée de l’artère coronaire qui a entraîné un arrêt cardiaque. "Une pathologie rare entraînant une déchirure de l'artère". Il ne s’agit pas d’une maladie congénitale – spontanée signifie qu’elle s’est produite de façon inattendue et peut arriver à n’importe qui.

    Les vaccins à ARNm contre la COVID-19 endommagent les vaisseaux sanguins, ce qui a été prouvé dans de nombreux cas publiés par autopsie. Ils peuvent provoquer deux types de lésions des vaisseaux sanguins :

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  85. anévrismes
    dissection

    Novembre 2022 (Takashi et al) – Un rapport de cas d'autopsie de dissection aortique compliquée d'une péricardite histiolymphocytaire et d'une inflammation aortique après une vaccination par ARNm COVID-19.

    Un Japonais de 90 ans a reçu sa 3e dose de Pfizer.

    Il s'est présenté chez le médecin une semaine plus tard pour fatigue et dyspnée et a été renvoyé chez lui avec des médicaments.
    Il a été retrouvé mort dans la cuisine 4 jours après la visite chez le médecin.
    L'autopsie a révélé : L'aorte ascendante présentait une déchirure intimale de 2,5 cm à 4 cm au-dessus de l'anneau aortique. La média aortique a été disséquée et l'adventice a été perforée dans la cavité péricardique.
    La déchirure aortique est illustrée ci-dessous (l'aorte ascendante a été disséquée. L'intima aortique a été rompue horizontalement (flèches blanches))

    - voir photo sur site -

    Mars 2022 (Chida et al) – Rupture d’un anévrisme disséquant l’artère vertébrale après une vaccination anti-COVID-19 à ARNm : un rapport de deux cas.

    Les injections d’ARNm endommagent également les vaisseaux sanguins du cerveau

    Cas 1 : une femme de 60 ans a développé une rupture d'anévrisme disséquant l'artère vertébrale (VADA), le lendemain de son 1er ARNm Moderna
    Cas 2 : Une femme de 72 ans a développé une rupture d'anévrisme disséquant l'artère vertébrale (VADA), 7 jours après la première dose de l'ARNm de Pfizer
    les deux cas ont survécu et ont subi une embolisation par spirale assistée par stent sous anesthésie générale

    Conclusion
    L’arrêt cardiaque soudain induit par le vaccin à ARNm COVID-19 ne doit pas nécessairement être uniquement dû à une myocardite ou à une péricardite.

    Les vaccins à ARNm contre la COVID-19 endommagent les vaisseaux sanguins en raison de l’expression inappropriée de protéines de pointe dans les parois des vaisseaux et de la réponse immunitaire et de l’inflammation aberrantes qui en résultent.

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  86. Les dommages aux vaisseaux sanguins peuvent survenir n’importe où dans le corps, mais la dissection aortique est probablement la plus dangereuse.

    - voir photo sur site -

    Un aperçu de la dissection aortique

    Terry réalise-t-elle qu'elle est blessée par le vaccin à ARNm COVID-19 et qu'elle a failli mourir à cause d'une blessure à l'ARNm ? Elle ne le fait pas. Au moins pas encore.

    https://www.globalresearch.ca/cardiac-arrest-due-spontaneous-coronary-artery-dissection-tear-artery/5849339

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  87. 2 millions de Français contraints de changer d’adresse ?

    La France se prépare à une transformation majeure de son système d’adressage qui va toucher directement la vie de près de 2 million de ses citoyens. Ce changement, dicté par la loi 3DS (Différenciation, Décentralisation, Déconcentration, et Simplification), vise à clarifier et à uniformiser les adresses sur tout le territoire, en particulier dans les petites communes de moins de 2.000 habitants.


    Par Paolo Garoscio
    le 13 février 2024 à 8h19


    En 2017, 3,5 millions de Français n'avaient pas d'adresse.

    L'objectif ? Faciliter l'accès aux services publics et privés, améliorer la géolocalisation pour les secours et optimiser la connectivité à des services essentiels comme la fibre optique. Or, sans adresse claire, c’est impossible.

    De nouvelles adresses pour des milliers de communes

    Les communes de moins de 2.000 habitants, au nombre de 20.000 en France, se trouvent face à un défi de taille : elles doivent, avant le 1er juin 2024, nommer et numéroter toutes leurs voies, une tâche complexe pour celles qui, jusqu'à présent, n'avaient pas cette obligation.

    Ce processus implique une mise à jour conséquente de la "Base adresse locale",qui contribue à la création d’une base nationale des adresses. Une mise à jour qui va également simplifier la vie des concernés : elle permet d’éliminer les doublons et les erreurs de localisation qui ont longtemps compliqué la livraison de services.

    Les adresses de millions de Français vont changer

    La loi 3DS, promulguée en février 2022, répond à un besoin criant de modernisation et d'efficacité, en rendant obligatoire l'adressage complet des communes. Les lieux-dits, par exemple, devraient être supprimés ou, tout du moins, supplantés par des adresses exactes et standardisées. « La loi 3DS ne demande pas de renseigner les noms des lieux-dits en écrivant ‘Rue’, ‘Route’… devant. En ajoutant un type de voie, la commune donne le nom à une voie qui y conduit et non au lieu-dit lui-même. Alors le nom du lieu-dit, c’est le nom du lieu-dit, voilà pour les délibérations sur les lieux-dits », explique le site adresse.data.gouv.fr.

    Cette réforme de l'adressage va avoir des conséquences directes pour environ 1,8 million de Français : ils verront leur adresse changer. La fin des Français sans adresse va donc sonner le 1er juin 2024. Il restait, début 2024, environ 55 % des communes de moins de 2.000 habitants qui n’avaient pas encore mis à jour la base de données des adresses locales.

    https://www.economiematin.fr/adresse-changement-obligatoire-villages-3ds?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook

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  88. Prix du stationnement des SUV à Paris : la fausse bonne idée

    Après la consultation menée le 4 février par la Mairie de Paris sur les tarifs de stationnement des SUV, la CSIAM appelle urgemment à repenser l’approche de la transition écologique dans le secteur automobile, afin de réduire la pollution des véhicules grâce à des mesures réellement équitables et incitatives.


    Par Athina Argyriou
    é le 13 février 2024 à 5h30


    Les SUV ont représenté 51% des ventes au premier semestre 2023 en Europe.

    Dimanche 4 février 2024, les habitants de Paris étaient invités à exprimer leur avis sur la proposition suivante : « Êtes-vous pour ou contre l'instauration d'un tarif spécifique pour le stationnement des véhicules individuels lourds, volumineux et polluants ? ». Au terme de cette consultation, seuls 3% des parisiens se sont prononcés en faveur de l'application d'un tarif spécial pour les voitures considérées comme 'lourdes et encombrantes'.

    La CSIAM regrette cette campagne, qui visait particulièrement les SUV sans pour autant définir clairement cette catégorie de véhicules. Un raccourci trompeur a été établi entre l'impact environnemental des voitures et leur poids, omettant de prendre en compte à la fois les données scientifiques et les évolutions technologiques du secteur.

    La transition écologique, un enjeu majeur dans le domaine de la mobilité et particulièrement pour le secteur automobile, qui est en pleine mutation, nécessite plus que jamais de faire l’objet d’un débat nuancé et éclairé. L’adoption de mesures efficaces par les politiques est nécessaire pour répondre à ce débat de santé publique. Compte tenu de l'importance de ces enjeux, et face à la confusion entourant les discussions et déclarations sur ce sujet, la CSIAM souhaite éclairer le débat :

    La pollution liée aux automobiles ne dépend pas tant du modèle de véhicule, mais plutôt de sa technologie et de son utilisation. Ainsi, un ‘SUV’ thermique récent, doté de technologies propres et efficaces, peut avoir un impact environnemental inférieur à celui de voitures plus anciennes ou moins bien entretenues, même si ces dernières sont plus légères.

    Le stationnement payant pour les véhicules hybrides et électriques va à l’encontre de l’accompagnement de la décarbonation de la mobilité. La transition vers l'électrification, l'hybridation, et l'utilisation de carburants alternatifs est essentielle pour réduire les émissions de tous les véhicules. En stigmatisant les ‘SUV’, la mairie de Paris passe à côté de l'objectif plus large de réduction des émissions polluantes des véhicules et envoie un signal négatif à ceux qui avaient fait le pas de l’électrification ou qui envisagent de le faire.
    La tarification au poids annoncée par la Mairie de Paris ne s’appuie pas sur des bases scientifiques et réglementaires solides. Si la Mairie de Paris souhaite moduler le tarif de stationnement en fonction des 3 critères (durée du stationnement, surface occupée par le véhicule ou son impact sur la pollution atmosphérique) que lui permet le Code général des collectivités (art. L.2333-87), il faut que la méthode soit revue. La surface occupée par un véhicule n’est pas liée à son poids (aucune corrélation) et le critère scientifique établi pour évaluer la pollution atmosphérique des véhicules est les vignettes CritAir et non le poids.

    Cette politique s’appuie sur une démarche à la fois injuste et exclusive : cibler exclusivement les visiteurs et discriminer les utilisateurs de ‘SUV’ ayant des justifications légitimes telles que des besoins familiaux ou des impératifs liés à leur mode de vie, remet en question le principe fondamental de la liberté de choix individuel. Les ‘SUV’ ont été construits pour répondre à des besoins de mobilité des familles.

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  89. La CSIAM appelle donc à repenser cette approche et à rechercher des solutions inclusives et efficaces pour permettre la réduction de la pollution et la transition écologique du secteur sans exclure ou discriminer. Des initiatives telles que les tarifications modulées en fonction des émissions, les primes à la conversion pour les véhicules propres, ou encore les avantages pour les véhicules électriques et hybrides, l'investissement dans les transports publics sont des exemples de mesures qui peuvent contribuer à un environnement plus propre et plus inclusif pour tous les citadins.

    La solution aux défis environnementaux ne réside pas dans la division ou la stigmatisation, mais dans l'adoption d'une vision holistique qui promeut des alternatives durables pour tous grâce à un véritable débat éclairé sur cette question avec les citoyens et la Mairie de Paris. Cette démarche inclusive doit s'appuyer sur des stratégies éprouvées, comme les Zones à Faibles Émissions (ZFE), qui ont déjà montré leur efficacité à l'échelle européenne dans la réduction des émissions de polluants atmosphériques nocifs tels que les oxydes d'azote (NOx) et les particules fines (PM10 et PM2.5). En limitant l'accès des véhicules les plus polluants, la Mairie de Paris joue un rôle décisif dans ce processus, non seulement en appliquant le cadre réglementaire des ZFE, mais aussi en assurant que ces mesures soient adaptées, acceptées et efficaces localement.

    Pour proposer une tribune à EconomieMatin, vous pouvez écrire à la rédaction sur cette adresse exclusivement : lesexperts@economiematin.fr, avec votre proposition de texte, une mini-biographie, et une photo de l’auteur petit format. La rédaction se réserve le droit de publier ou non les textes reçus, ainsi que d’éditer les éléments de titraille (titre, intertitre, chapeau, légende).

    https://www.economiematin.fr/prix-stationnement-suv-paris-pollution-argyriou?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook

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    Réponses
    1. Il n'y aura pas beaucoup de temps à attendre avant que la première marche d'entrée dans un bus soit équipée d'une balance et donc le prix du billet suivant le poids de la personne qui voyage !
      Puis les personnes trop petites pour marcher sur le trottoir où les caméras a reconnaissance faciale auraient du mal à les saisir perdues dans la foule ! Ou l'instauration d'un écart obligatoire de 2 m entre chaque individu qui marche.

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  90. Jean-Loup Izambert – Les destructeurs


    Par Jean-Loup Izambert et Le Saker Francophone
    Mondialisation.ca,
    12 février 2024


    Jean-Loup Izambert avait bouclé sa série sur la Santé par un dernier sur les dangers de la “vaccination”. Dans ce nouveau livre, il change son angle d’analyse pour se concentrer sur l’Empire Américain, pronostiquant même sa fin et l’émergence d’un nouveau pole d’attraction à l’Est de l’Europe.

    Le livre pose les bases historiques de cet Empire pour permettre au lecteur de comprendre comment les dirigeants américains officiels ou dans l’ombre ont façonné les évènements depuis au moins la chute du mur de Berlin pour pousser leur avantage, du moins c’est ce qu’ils pensaient.

    Le livre vaut aussi pour les chapitres consacrés à John Perkins, dont le nom ne vous sans doute pas inconnu, car il est l’auteur du fameux livre, 'Les Confessions d’un assassin financier'. Il nous raconte par le menu comment les multinationales américaines pouvaient avoir la main mise sur les marchés, comment l’état américain et ses organisations affiliées y compris celles officiellement neutres comme le FMI, pouvaient endetter et tenir les états cibles pour piller tout ce qui était possible. John Perkins a même cette remarque terrible sur les dérives actuelles :

    Des activités qui auraient été considérées comme immorales, inacceptables et illégales à mon époque sont maintenant devenues des pratiques courantes.

    Des allées de Wall-Street à celles de la Maison-Blanche, rien n’échappe à cette mafia et Jean-Loup Izambert nous montre comment ces dernières cette pourriture s’est installée dans les capitales européennes grâce notamment à la crise Covid qui aura servie de cheval de Troie aux multinationales de l’Empire. La France n’est pas en reste avec son gouvernement actuel : l’affaire Alsthom, le dépeçage du service public par les fameux cabinets de conseils et le pillage de nos armées pour envoyer tout ce qui est possible alimenter la guerre en Ukraine.

    Le livre se termine sur une émergence qui se lève à l’Est. Certains pays qui avaient résisté à la pression de ces fameux destructeurs, bâtissent patiemment des structures nouvelles pour accueillir les états qui souhaitent s’émanciper de leur lourde tutelle occidentale. OCS, BRICS, Route de la soie sont les outils de cette reconquête.

    Pour la France inféodée, la route sera longue mais si vous avez ce livre entre les mains, les analyses de l’auteur vous seront d’un grand secours pour comprendre les crises actuelle et être vous-même les acteurs du renouveau.

    *
    Interview
    Le Saker francophone : A quel moment les USA sont-ils devenus un Empire ?

    Jean-Loup Izambert : L’impérialisme des Etats-Unis commence avec la fusion entre le capital industriel et le capital bancaire et se développe au cours du XIXème siècle lorsque les grandes banques deviennent propriétaires du capital industriel. C’est à la fin de ce siècle que les plus grandes puissances capitalistes se partagent les richesses du monde au terme d’une colonisation violente des Amériques, de l’Afrique et de l’Asie.

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  91. La possession des matières premières a été une des motivations majeures de cette politique d’agression et de domination des peuples. Il est bien de la rappeler car les livres d’histoire ont perdu la mémoire de la première grande guerre impérialiste qui fut menée par les Etats-Unis à partir de mars 1918 avec les forces armées de quatorze pays dont la France. Sans aucune déclaration de guerre ces pays ont envahi la Russie, organisé son blocus, planifié des assassinats contre les dirigeants bolcheviks et tenté de s’accaparer les richesses de ses régions, or, platine, pétrole, charbon, minerais précieux, bois et autres ressources naturelles, industrielles. Il faudra quatre années de guerres pour que l’Armée rouge vienne à bout de ces corps expéditionnaires et de leurs alliés des armées blanches.

    Bien avant cette agression et pendant la période de leur Déclaration d’indépendance du 4 juillet 1776, les Etats-Unis volent leurs territoires aux Indiens et massacrent leur civilisation, exploitent près de 14 millions d’esclaves importés d’Afrique, déclenchent des guerres contre le Mexique. Par une succession d’opérations, essentiellement militaires, ils prennent la Louisiane à la France (1803), achètent la Floride à l’Espagne (1819), annexent le Texas par la guerre contre le Mexique (1845), puis la Californie (1848), s’approprient la moitié de l’Oregon sur le Canada (1848), l’île de Vancouver et d’autres comme Hawaï, l’Alaska et Cuba. Ils vont ensuite se projeter dans une multitude de guerres à travers le monde associant une diplomatie du mensonge à une multitude de guerres de rapines.

    L’impérialisme est aussi culturel dès ses origines. Ainsi, les habitants des colonies se déclarent Américains dès 1776 comme si toutes les Amériques leur appartenaient, de l’Alaska au cap Horn, alors qu’ils ne sont qu’Etasuniens. L’impérialisme est devenu dès le début des années 1900 économique, financier, culturel et surtout militaire. J’illustre cette transformation progressive du capitalisme dans Les destructeurs avec l’invasion de Haïti. En décembre 1914, quatre années seulement avant leur agression contre la Russie révolutionnaire, les Etats-Unis pillèrent toutes les réserves d’or de Haïti qu’ils emmenèrent dans les coffres de banquiers de Wall Street, massacrèrent des milliers d’Haïtiens et imposèrent au pays une dictature sanglante après en avoir chassé les français.

    De leur Déclaration d’indépendance de 1776 jusqu’en 2022, les États-Unis ont été en guerre 228 ans soit près de 94 % de leurs 246 années d’existence ! La seule fois où ils sont demeurés cinq ans sans être en guerre fut la période isolationniste de la Grande dépression (1935-1940). Pour la seule période contemporaine, toutes les opérations militaires importantes lancées depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale l’ont été par les États-Unis. De 1990 à la fin 2023, de la guerre contre l’Irak à celle contre la Fédération de Russie par Ukraine interposée, plus de 10 millions de personnes sont mortes dans les guerres de Washington. C’est le seul Etat au monde a avoir agressé continuellement les peuples pour s’emparer de leurs richesses ce qui fait des Etats-Unis un véritable « Empire de la mort ».

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  92. S.F. : Jusqu’ou faut il remonter dans l’Histoire pour comprendre les racines de la domination occidentale ?

    J-L.I. : Cette domination fait suite aux expéditions et aux découvertes des explorateurs occidentaux. Les monarchies occidentales vont y voir un moyen de s’enrichir et d’étendre leur pouvoir en s’emparant des territoires par le sabre et le goupillon. A leur suite, ils vont envoyer dans ces nouveaux territoires des convois plus importants, essentiellement militaires, afin d’imposer leur système de prédation, esclavagiste, leur culture et leur religion. Entre le XVe et le XVIIIe siècle, les principales puissances européennes s’opposent pour la maîtrise des terres et des ressources du Nouveau monde. Après que Christophe Colomb ait découvert l’Amérique en 1492, pendant cinq siècles les découvertes puis les pillages vont se succéder dans des aventures coloniales de toutes sortes. Les conquistadores espagnols et portugais, l’Angleterre, la France, les Pays-Bas, la Belgique, l’Allemagne et l’Italie vont se disputer et se partager les richesses du monde comme si celui-ci leur appartenait. Les musées occidentaux regorgent de biens appartenant à ces peuples colonisés. Selon une étude très documentée des chercheurs de l’University College of London (UCL)1, « 55 millions d’indigènes sont morts suite à la conquête européenne des Amériques à partir de 1492. Cela a conduit à l’abandon et à la succession secondaire de 56 millions d’hectares de terres » en Amérique du Sud, en Amérique centrale et en Amérique du Nord.

    Cette colonisation a notamment eu pour conséquences la destruction plus ou moins complète de la culture de ces peuples, « l’effondrement de la population autochtone […] principalement causé par l’introduction d’ agents pathogènes inconnus sur le continent américain (« épidémies de sols vierges ») ainsi que par la guerre et l’esclavage » et l’abandon de vastes étendues de terres agricoles. Les débats qui vont agiter les classes dominantes, la noblesse puis la bourgeoisie occidentale, en disent long sur l’arrogance, la prétention et la nature impérialiste de leurs systèmes politiques : controverse de Valladolid en 1550 sur la nature, humaine ou non, des indigènes, puis plus tard les débats contre l’esclavage avec le siècle des Lumières, le développement de la traite négrière et l’esclavage pour piller les colonies et développer les économies occidentales. En Amérique du Nord, la Grande-Bretagne qui s’était assurée le contrôle des régions côtières de l’Atlantique se heurta à la présence française au Canada, dans la région des grands lacs et la vallée du Mississipi.

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  93. L’Espagne occupait alors le Sud, notamment en Floride. Les colons anglais installés dans treize colonies se débarrasseront de la couronne anglaise en proclamant leur indépendance en 1776. Il s’en suivra une guerre de sept années qui se soldera par le traité de Paris de septembre 1783 par lequel le Royaume-Uni les reconnaîtra comme des « Etats libres et souverains ». Les premiers barons financiers véreux de la bourse de Wall Street créée en mai 1792 seront les négriers et propriétaires d’esclaves. Ursula Gertrud von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, connaît bien ce sujet puisqu’elle est elle-même descendante de l’une des principales familles esclavagiste et raciste propriétaires et marchands d’esclaves des Etats-Unis des années 1760-1800, les Ladson.

    Son ancêtre James H. Ladson estimait qu’« améliorer le nègre est une tâche bien plus ardue que beaucoup, qui n’ont aucune expérience dans leur enseignement, ne le savent », considérant qu’ils sont « naturellement ternes et d’un intellect faible.»2 C’était bien avant que son père, Ernst Albrecht, collabore avec d’anciens nazis comme Walter Hallstein recyclés au sein de la première Commission européenne de la Communauté européenne du charbon et de l’acier (CECA) de 1951. Il y sera, en 1954, attaché auprès du conseil des ministres puis chargé de la rédaction du traité de Rome avant d’être nommé chef de cabinet de l’ancien nazi Hans von der Groeben. C’est, brièvement résumé, le passage du colonialisme à celui de l’impérialisme dans le début des années 1900 avec un événement important qui va s’y opposer : la révolution russe d’octobre 1917.

    S.F. : Faut-il avoir peur de la fin de cette domination ? Faut il même la souhaiter ?

    J-L.I. : Il faut la souhaiter afin que les peuples retrouvent leur souveraineté, effacent la guerre de leur quotidien et construisent un avenir de paix et de coopérations mutuellement avantageuses. C’est ce que font les peuples de plus en plus de pays tels ceux qui se retrouvent au sein de l’Organisation de coopération et de sécurité – dite aussi Organisation de coopération de Shanghai – OCS – (www.eng.sectsco.org) -, de l’Union économique eurasiatique – UEE – (www.eaeunion.org), des BRICS+ (www.infobrics.org) et d’autres organisations régionales. Quand vous regardez les progrès que font ces peuples, établissant des coopérations dans un respect mutuel malgré les différences de leur histoire, de leur culture, de leurs régimes politiques et de leur développement vous pouvez imaginer le monde plus beau. C’est la raison pour laquelle j’ai souhaité clore mon enquête sur Les destructeurs par une note optimiste en montrant quelques aspects de ce nouveau monde qui émerge.

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  94. Alors qu’ils pensaient conquérir le monde par la force, les dirigeants impérialistes de Washington sont aujourd’hui acculés à sauver leur système de domination et d’exploitation. Une quarantaine d’années plus tard, la petite phrase de Georgi Arbatov, conseiller politique de plusieurs dirigeants du Parti communiste d’Union soviétique, spécialiste en relations internationales et fin connaisseur de l’Amérique du Nord, commence à prendre tout son sens. Rencontrant en 1987 des représentants de l’Administration étasunienne, il leur déclara : « Nous allons vous rendre le pire des services : nous allons vous priver d’ennemi ! ».

    Quatre ans plus tard, la prétendue « menace communiste », bien identifiée, répétée à longueur de propagande, prévisible, facile à désigner au travers du mur de Berlin, allait disparaître avec la suppression du « rideau de fer ». Ce fut un pas important pour que le continent européen retrouve dans un premier temps l’intégrité de son espace géographique, condition essentielle de ses retrouvailles politiques, économiques, culturelles d’Est en Ouest. Certains occidentaux sont aujourd’hui nostalgiques de cette période de guerre froide. Ils se mettent, comme la Finlande et les Pays Baltes, à reconstruire eux-mêmes un nouveau « rideau de fer » pour barricader leurs frontières. Ils n’ont visiblement pas retenu grand-chose des leçons de l’Histoire. Avec une âme de valet, ils laissent les dirigeants impérialistes de Washington diviser à nouveau le continent européen et décider de leurs frontières. Ceux-ci ont besoin d’ennemi pour emmener les peuples dans les guerres nécessaires à la subsistance du capitalisme. La fin de cette domination ne se fera pas sans casse.

    Déjà, au-travers de l’Otan l’Union européenne accueille sur son sol des contingents entiers de soldats étrangers, multiplie des manœuvres militaires d’envergure et provocations aux portes de la Fédération de Russie. De plus elle accompagne Washington dans l’aggravation des conflits sur le Proche Orient, du Liban au Yémen en passant par la Palestine. Ces actions, caractéristiques de préparatifs de guerre, provoquent une rupture du processus de paix sur l’Europe occidentale et ont pour objectif premier de diviser les Européens entre eux. La destruction de la République fédérative de Yougoslavie, à partir de 1986, permit à l’état-major étasunien d’évaluer les réactions de leurs « alliés »européens et d’analyser jusqu’où et comment ils devaient procéder pour les emmener dans leurs guerres. Afghanistan, Yougoslavie, Irak, Libye, Ukraine, destruction d’infrastructures européennes comme le sabotage le lundi 26 septembre 2022 des gazoducs du Nord Stream 1 (NS1) et 2 (NS2) qui devaient relier la Russie à l’Europe occidentale…. Partout où flotte le drapeau de l’Otan ce ne sont que provocations, déstabilisation, guerre et destruction. Sauf à vouloir continuer de payer financièrement et humainement les guerres des impérialistes de Washington et leurs conséquences, sortir du bloc militaire de l’Otan est une urgence pour tous les Européens attachés à la paix et à la réunification du continent Européen.

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  95. S.F. : Au delà de l’hégémon Américain, il y a l’Europe vassalisée mais aussi la Corée du Sud et le Japon. Le pillage de ces dominions assumé par le cœur de l’Empire n’est il pas une solution de court terme qui accélère la fin ?

    J-L.I. : Oui, effectivement. Au-delà de la sauvegarde de leur système, les grandes puissances financières capitalistes sont concurrentes entre elles. Elles ont besoin de l’Etat pour survivre et assurer la sauvegarde de leur système déclinant. Mais celui-ci est de plus en plus appauvri par leur prédation (évitement fiscal, chiffres d’affaires de sociétés exporté dans des structures offshore, destruction des services publics, désindustrialisation, etc.). Les dirigeants dont elles ont assuré la promotion au sein du pouvoir renflouent par des aides financières de toutes sortes les trésoreries des mêmes sociétés transnationales qui évadent partie de leurs profits dans des structures offshore tout en multipliant les plans de suppression d’emplois, les délocalisations et fermetures d’entreprises. Je rappelle dans Les destructeurs que lors de la crise financière de 2008-2009, General Electric (GE) aurait déposé son bilan si le gouvernement étasunien n’avait pas injecté 139 milliards de dollars dans l’entreprise en 2008 pour la sauver de la crise des subprimes. Puis qu’en 2016, GE qui venait de s’approprier Alstom avec le soutien actif du ministre de l’Economie de l’époque, Emmanuel Macron, était à nouveau surendettée à hauteur d’environ 135 milliards de dollars et supprimera des dizaines de milliers d’emplois dans ses filiales en Europe.

    C’est encore l’Etat qui intervient pour faciliter leurs opérations d’accaparement de territoires, de richesses, d’entreprises stratégiques. Et c’est toujours l’Etat qui intervient pour financer et mener les guerres indispensables à cette fuite en avant pour préserver le capitalisme. Depuis la disparition de l’Union soviétique le capitalisme appert plus fortement sous son vrai jour : l’augmentation des guerres de Washington accompagne l’accélération de l’effondrement économique, financier, politique, culturel et moral des pays occidentaux. Les manœuvres incessantes contre la République populaire de Chine, contre Taïwan et les actions diverses contre les Corées et la Japon sont loin des préoccupations des Etasuniens. Elles témoignent de l’affolement des impérialistes qui voient le monde leur échapper mois après mois. Une donnée ne doit pas être sous-estimée : de plus en plus d’Etasuniens prennent conscience que ces guerres sont complètement étrangères à leurs intérêts comme à ceux des Etats-Unis. Leur pays est en délabrement, leurs conditions de vie se détériorent, les budgets sociaux et de développement sont régulièrement amputés de centaines de milliards de dollars au bénéfice du complexe militaro-industriel alors que plus de 65 millions d’Etasuniens survivent avec un revenu inférieur au seuil de pauvreté, que l’insécurité alimentaire touche 40 millions d’entre eux et qu’en plus leurs enfants vont mourir dans des guerres qui ne les concernent en rien. Petit à petit la fracture s’agrandit entre le peuple et les milieux impérialistes qui ont fait main basse sur le pouvoir de Washington depuis des décennies. Comment vont-ils se débarrasser de ceux-ci est une autre histoire mais une histoire en devenir.

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  96. S.F. : Pourrait-on revoir un monde bipolaire comme on l’a connu après la 2nd Guerre mondiale ? Pour combien de temps et avec quelles porosités ?

    J-L.I. : Pour l’essentiel, le temps du monde bipolaire est enterré depuis le début des années 1990. Mais l’accélération du processus de multipolarité, nécessaire pour en finir avec l’US Imperium, exige des acteurs de cette multipolarité un engagement total, sur tous les fronts – politique, financier, économique, culturel, militaire – contre les forces impérialistes. Or, les conditions ne sont pas encore complétement réunies. Le pouvoir de la Fédération de Russie s’il joue un rôle important et décisif dans cette libération des peuples de l’US Imperium reste, de mon avis, trop sur la défensive. Pourquoi avoir attendu sept années, entre 2015 et 2022, pour assurer la protection des Ukrainiens dont près de 20 000 d’entre eux ont été assassinées pour s’opposer à la dictature de Kiev, à sa violation des accords de Minsk de septembre 2014 et février 2015 et à son génocide contre toute personne s’exprimant en russe ?

    Le commerce d’armes et de technologies de pointe sont encore en cours par des pays membres de l’OCS ou des BRICS+ avec les Etats-Unis et des pays occidentaux au prétexte déclaré par quelques uns d’équilibre des relations et de neutralité. Mais quel « équilibre » et quelle « neutralité » peut-il bien y avoir avec des dirigeants d’Etats comme ceux des Etats-Unis ou de la plupart des pays membres de l’Union européenne qui passent leur temps à piétiner les conventions et accords internationaux ? On ne peut vouloir agir à la fois pour un monde de paix et de coopération et maintenir de telles relations avec des dirigeants qui n’ont de cesse de contaminer les peuples avec leur crise et de vouloir les soumettre par leurs guerres. La Fédération de Russie peut se passer des pays d’Europe occidentale et centrale. Elle n’a pas besoin de leurs capitaux ni de leurs entreprises mais ceux-ci semblent oublier qu’ils ont besoin de la Russie.

    Il est évident que l’organisation du monde multipolaire est un long processus qui est en bonne voie tant il est vrai qu’il faut plus de temps pour gagner les consciences sur des faits réels et complexes, faisant appel à l’intelligence, que pour les chloroformer par des campagnes politico-médiatiques comme le font les centres de propagande des Etats-Unis et de l’Union européenne. Dans ce chaos qui gagne en ampleur la dédollarisation continue des économies favorise le processus d’émancipation des pays de l’US Imperium. Selon les statistiques publiées par le Fonds Monétaire international (FMI) en décembre 2023, la part du dollar US dans les réserves des banques centrales a chuté de 70 % à 59,2 %, son plus bas niveau depuis 25 ans. De même l’euro, deuxième monnaie la plus détenue dans les réserves mondiales, a également connu une baisse en tombant juste en dessous de 20 %.

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  97. Ce processus doit s’inscrire dans la durée tout en développant dans le même temps une monnaie commune aux pays souhaitant en finir avec l’US Imperium. Au sein du groupe des pays BRICS+ qui représente près de 50 % de la population mondiale au 1er janvier 2024 un système de paiement se met en place qui permet à tous ses pays membres, mais également à leurs partenaires, de procéder à des échanges économiques et financiers à partir de leurs propres devises. La Nouvelle banque de développement (NDB) créée en 2014 comme alternative à la Banque mondiale et au Fonds monétaire international (FMI) a ouvert ses portes à de nouveaux membres et poursuit son développement avec succès.

    L’un des constats essentiels de ces vingt dernières années est qu’il ne peut plus y avoir de monde bipolaire dans un monde ou quelques Etats occidentaux, emmenés par les impérialistes de Washington, foulent systématiquement le droit international pour guerroyer contre les peuples et s’approprier leurs richesses. Ces pays s’isolent d’eux-mêmes du reste du monde qui rejette leur arrogance, leurs prétentions hégémoniques et leurs guerres. Bien entendu, compte tenu de l’impuissance de l’ONU à résoudre les conflits et à assurer la paix, il est nécessaire que les dirigeants russes et étasuniens puissent se parler pour de multiples raisons. Mais ce ne peut être le cas actuellement en raison de l’infirmité cérébrale aggravée de l’occupant du bureau ovale qu’il l’empêche de voir le monde tel qu’il est mais cela peut changer avec les élections présidentielles à venir.

    S.F. : Ou autre scénario, pourrait-on voir l’Europe occidentale basculer vers l’Asie dans un sursaut pour s’arrimer à cet espoir qui se lève à l’Est comme vous l’écrivez ?

    J-L.I. : C’est un scénario envisageable mais celui-ci ne peut se réaliser qu’avec la marginalisation et la liquidation politique des dirigeants atlantistes au pouvoir porteurs de l’US Imperium. Il appartient aux peuples de l’Union européenne de faire leur choix. La sortie de l’Union européenne et l’arrivée au pouvoir de dirigeants soucieux des intérêts de leurs pays, de sa souveraineté, de la démocratie et de la coopération entre pays européens favoriserait cette situation. L’intérêt des peuples européens, de la mer d’Irlande au détroit de Béring, est d’assurer la paix sur le continent Européen et de développer des coopérations mutuellement avantageuses.

    C’est ce que veulent empêcher à tout prix les dirigeants impérialistes de Washington car ils savent que cette grande Europe réelle deviendrait alors la première puissance mondiale, situation qui mettrait fin à leur hégémonie au-travers de l’Union européenne. Mais, dès aujourd’hui, on pourrait très bien imaginer que des représentants de partis opposés à l’US Imperium s’intéressent au fonctionnement de l’Union économique eurasiatique et de l’OCS par le fait que ces organisations joueront un jour un rôle important dans les relations que pourraient développer une France souveraine, débarrassée du carcan de l’Union européenne, avec les autres pays libres d’Europe. Mais il faut pour cela des dirigeants qui réfléchissent au développement de leur pays sur le moyen et long terme et à son rôle dans l’Europe réelle.

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  98. S.F. : Quels sont les critères que les gens peuvent observer pour mesurer dans quelle mesure l’Empire se renforce ou se délite ?

    J-L.I. : Les meilleurs critères résident dans leur vécu de la politique de l’Union européenne. Dans un ouvrage à paraître aux Editions Jean-Cyrille Godefroy le 7 mai prochain sous le titre Bilan noir – L’Union européenne contre la France – je fais le point, secteur par secteur, de 74 années de supranationalité dont 32 d’Union européenne. Je ne vais pas évoquer ici en détail la situation des Français dont 7 sur 10 renoncent à se soigner en raison de l’éloignement géographique, de délais d’attente trop longs pour obtenir une consultation ou d’un reste à charge trop important, ni celle des 15 millions de citoyens touchés d’une manière ou d’une autre par la politique désastreuse du logement, la désindustrialisation continue du pays, le déficit agricole sans précédent depuis 1945, celui du commerce extérieur également en déficit de 105 milliards d’euros pour l’année 2023 ou la détresse des marins pêcheurs menés en bateau par l’Union européenne.

    Je citerai simplement un rapport du Système européen d’analyse politique et stratégique (ESPAS). Cet organisme ne peut être soupçonné d’être communiste et révolutionnaire puisqu’il est l’expression de la collaboration institutionnelle entre les fonctionnaires du Conseil européen, de la Commission européenne, du Parlement européen, du Conseil de l’Union européenne et du Service européen pour l’action extérieure avec différents organismes de l’Union. Ce rapport prévoit à l’horizon 2030 « une augmentation de 45 % du chômage, un risque accru de pauvreté touchant près de 130 millions d’Européens et l’exclusion des jeunes – dont 14 millions ne sont ni étudiants ni employés -». Cette étude souligne notamment que « de manière plus générale, les membres vulnérables de la société – jeunes, femmes, travailleurs en fin de carrière, immigrants – seront les plus touchés par l’augmentation des inégalités en Europe. » 3

    Cette projection statistique confirme les grandes tendances actuelles. Rester dans l’Union européenne ne fera donc qu’aggraver encore plus la situation des peuples de l’Union. C’est l’une des raisons pour lesquelles je pense que le boycott des élections des eurodéputés qui doivent se tenir au mois de juin et auquel appelle le Pôle de renaissance communiste en France (PRCF) doit être suivi. Les dirigeants de partis politiques comme le Pcf qui prétendent depuis les années 2000 « réorienter la politique de l’Union européenne » et d’autres qui présentent des « eurodéputés résistants » trompent les citoyens. Qu’ils aient au moins l’honnêteté de faire leur bilan ! Ce n’est pas en cautionnant l’Union européenne, organisation atlantiste, anti-nationale, anti-démocratique et militariste que l’on sortira de la domination de la grande finance.

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  99. Et même si chacun de ces groupes avaient 15 ou 20 eurodéputés élus que pourraient-ils faire d’autre que des discours sans lendemain dans une organisation conçue dès les origines de la supranationalité, entre 1940 et 1950, pour être dominé par les forces atlantistes ?! C’est l’occasion de créer par l’abstention les conditions pour quitter l’Union européenne, la zone euro et l’Otan afin de prolonger les luttes qui se développent et faire de la France un pays souverain rétablissant la paix sur le continent. Il n’y a pas d’autre alternative pour sortir de la crise et de la guerre que de chasser du pouvoir ceux que Jacques Chirac stigmatisa dans son Appel de Cochin, en décembre 1978, comme « les partisans du renoncement et les auxiliaires de la décadence du parti de l’étranger. »

    S.F. : Ce livre est un hymne à l’Europe des peuples Mais sont-ils toujours là ?

    J-L.I. : A force de renoncements, égaré par un déluge de propagande politico-médiatique, en l’absence de grand parti révolutionnaire influent et d’abandons successifs du parti gaulliste, le peuple français s’est laissé neutraliser dans sa masse. Un fait peu médiatisé illustre en 2024 la décadence des peuples de l’Union européenne dont les hauts fonctionnaires de l’Union européenne enlèvent jusqu’à leur dignité : A la demande d’Eurostat – la direction de la Commission européenne chargée de l’information statistique à l’échelle communautaire –, depuis le mois de mai 2018 l’Insee a intégré le produit financier du trafic de drogue, illégal, dans le calcul de la croissance (Produit intérieur brut – PIB). Ce système permet de camoufler le recul du niveau de vie au sein des pays membres de l’Union européenne par la production de statistiques biaisées.

    En 2020, alors que la dépense de consommation finale totale des ménages présentait « une chute sans précédent dans l’histoire des comptes nationaux français » de – 7,1 % avec une chute du PIB de -7,9 % – celle-ci était réduite par l’augmentation de la consommation de drogues. L’Insee estime alors à 51,5 milliards d’euros les dépenses des Français pour l’alcool, le tabac et la drogue. Dans ce budget, 4,2 milliards d’euros sont estimés destinés à l’achat de drogues. De plus la France ne devrait pas manquer de s’aligner sur les recommandations de la Commission européenne et d’Eurostat de prendre également en compte le produit d’autres activités criminelles comme la prostitution. Déjà, des pays – Autriche, Estonie, Finlande, Norvège, Slovénie, Suède, Espagne, Italie – intègrent les revenus de la prostitution et/ou de la drogue dans le calcul de leur PIB comme une simple activité économique. J’explique dans Les destructeurs comment l’Etat manipule ces statistiques économiques de la comptabilité nationale en faisant des drogués et des prostituées une richesse nationale.

    Pour les dirigeants de l’Union européenne qui n’arrêtent pas de discourir sur les droits de l’Homme, sans doute est-il normal qu’une femme soit contrainte d’être réduite à l’état de « travailleuse de sexe » pour survivre ou rembourser les passeurs qui lui ont permis de goûter au « rêve occidental » ? Autre aspect de la décadence : des hommes se font transformer en femme, des femmes en hommes, se marient et achètent des enfants vendus par des agences spécialisées, sorte de trafic d’êtres humains légalisé. Et, comme le décrit l’écrivain Claude Janvier, « le wokisme, la théorie du genre et le lobby du LGBétisme (LGBTQIA+63) sont largement promus par des multinationales. »4

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  100. L’affaire Jeffrey Epstein5 dont le volet français fut très vite oublié par les médias, la pédophilie impliquant des milliers de prêtres dans les structures de l’église catholique, les relations de la mafia avec des dirigeants de la Maison Blanche6, la pénétration du secteur financier par l’argent criminel tout particulièrement dans les places offshore, le développement du trafic des drogues ne sont plus de simples faits divers sporadiques. Tout n’a pas encore été dit sur le réseau Epstein que côtoyaient de plus ou moins près, les uns pour leurs relations mondaines entre milliardaires, d’autres pour profiter sexuellement de jeunes filles mineures dans des partouzes, des personnages comme les Clinton et leur fondation, des membres de la couronne anglaise, des ministres, des magistrats, des dirigeants de grandes banques et de sociétés importantes de nombreux pays.

    Ce sont les symptômes du pourrissement des sociétés par le capitalisme auquel le crime organisé est de plus en plus étroitement lié. Ces derniers temps de nombreux ouvrages paraissent sur ces questions importantes qui ont en commun d’être systématiquement ignorés par les médias subventionnés. C’est le cas de l’enquête du journaliste Xavier Raufer sur Jeffrey Epstein publiée aux Editions du Cerf ou de l’un des plus importants travaux sur la criminalité financière débridée réalisé par Jean-François Gayraud. Ce haut fonctionnaire de la police nationale décrit fort bien et de manière très accessible ces phénomènes très complexes dans son ouvrage Le nouveau capitalisme criminel7. Pendant ce temps, comme je le montre dans Les destructeurs en passant en revue le développement des relations entre les nombreux pays de l’OCS, des BRICS+ et de l’Union économique eurasiatique (UEE), la jeunesse de ces peuples travaille aux grands chantiers de l’avenir. Par exemple, dans le cadre d’un programme conjoint entre la République populaire de Chine et la Fédération de Russie, les étudiants qui se spécialisent dans les matières phares en Russie telles que l’aviation et l’espace, la fabrication mécanique et l’ingénierie des nouveaux matériaux pétroliers ont la priorité de sélection lorsqu’ils postulent pour étudier en Fédération de Russie. La totalité des frais de scolarité est payée par la partie russe tandis que le gouvernement chinois finance les voyages et fournit des subventions. Où en sont les peules français et russe, pour ne prendre que ces deux exemples ? Au plan économique, le président Macron déclarait en mars 2022 que « la Russie est en cessation de paiement », ce qui était un mensonge grossier. Son « sinistre » de l’Economie, l’esbroufeur Bruno le Maire, et la présidente Von der Leyen de la Commission européenne rêvaient tout haut de « provoquer l’effondrement de l’économie russe ».

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  101. Où en sommes-nous deux ans plus tard ? Début 2024, alors l’Union européenne s’enfonce dans la récession, que la France connaît un déficit commercial et agricole historique, une dette publique de plus de 3000 milliards d’euros auxquels s’ajoute un endettement des entreprises et des ménages de 4000 milliards d’euros, que la désindustrialisation se poursuit et que le chômage, la précarité et la pauvreté augmentent, la Fédération de Russie est en plein développement économique. Quelques chiffres de l’année 2023 en témoignent : progression économique avec un PIB en augmentation de + 3,7 %, augmentation moyenne du salaire réel de 12 % avec une montée du pouvoir d’achat dans les régions qui étaient défavorisées, un développement de la construction, de l’agriculture, de l’industrie – notamment manufacturière -, du commerce de détail8…

    Au point que la Fédération de Russie est devenue en parité de pouvoir d’achat la première puissance économique européenne et s’approche de l’autosuffisance alimentaire malgré les sanctions occidentales ! Le départ de certaines entreprises occidentales à la demande de Washington et de l’Union européenne a été bénéfique puisque les entreprises russes y ont vu l’opportunité de gagner des parts de marchés. La croissance importante de leurs investissements pour développer leurs systèmes de production locaux a déjà produit des retombées en 2023 et en aura bien plus dans les années à venir. Il faut remercier les sanctionneurs occidentaux qui ont finalement permis à la fois à la Fédération de Russie de renforcer plus rapidement sa souveraineté économique et financière et de développer ses relations en les diversifiant avec de très nombreux pays d’Asie, d’Afrique, du Golfe et d’Amérique latine et centrale.

    De plus ces sanctions ont vraiment mis « l’économie russe à genoux » en favorisant… le développement de l’emploi jusqu’à une situation de plein emploi. Les 72 millions de travailleurs russes employés en décembre 2022 dans les entreprises de tous secteurs sont 74 millions en décembre 2023 soit une augmentation exceptionnelle de 2 millions de travailleurs en seulement une année ! Cela a également provoqué une amélioration de la qualité de l’emploi puisque les 2,8% de chômeurs actuels sont des personnes à la recherche d’un emploi plus rémunérateur et/ou plus qualifié leur convenant mieux.

    Combien la France et les pays de l’Union européenne ont-ils perdus d’entreprises délocalisées, fermées et d’emplois dans la même période ?!… Le peuple russe est donc bien debout et ses relations s’accélèrent aujourd’hui avec les autres peuples du groupe BRICS+ et de l’OCS notamment. De manière plus générale, en début d’année 2023, ils représentaient 32,1 % du PIB mondial. Le Fonds monétaire international (FMI) prévoit que cette part va continuer d’augmenter par le fait que la croissance des pays du groupe BRICS+ soutenue par la Fédération de Russie, la République de l’Inde et la République populaire de Chine est beaucoup plus forte que celle des pays occidentaux et celle-ci pourrait représenter 33,6 % du PIB mondial9 en 2028. De plus, cette projection ne tient pas compte de la future adhésion de nouveaux pays au groupe BRICS+. Il y a donc des pays où les peuples sont bien vivants et s’efforcent de construire un avenir meilleur dans la paix pendant que ceux des Etats-Unis et de l’Union européenne sombrent dans la crise et s’enlisent dans les guerres de Washington.

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  102. Notes :
    1.Earth system impacts of the European arrival and Great Dying in the Americas after 1492 (Impacts sur le système terrestre de l’arrivée des Européens et de la grande mort dans les Amériques après 1492), par Alexander Koch, Chris Brierley, Matk M.Maslin, Simon L.Lewis, dans Quaternary Science Reviews, Volume 207, 2019, pages 13-36, ISSN 0277 3791. https://doi.org/10.1016/j.quascirev.2018.12.004 (https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0277379118307261)

    2.L’instruction religieuse des nègres, par James H. Ladson (1845). Parmi les ancêtres de Von der Leyen, née Albrecht, figurent notamment Joseph Wragg et Benjamin Smith, deux des plus grands marchands d’esclaves en Amérique du Nord britannique. Au moment où l’esclavage fut aboli aux États-Unis, son ancêtre James H. Ladson (1795–1868) détenait environ deux cents esclaves. Source : The history of Georgetown County, South Carolina, University of South Carolina Press, 1970, p. 297.

    3.ESPAS (European Strategy and Policy Analysis System), Rapport Tendances mondiales à l’horizon 2030 : l’Union européenne peut-elle relever les défis à venir ? p.65, Luxembourg, Office des publications de l’Union européenne, 2015. www.espas.secure.europarl.europa.eu

    4.Les démasqués, par Claude Janvier, KA’Editions

    5.Jeffrey Epstein, l’âme damnée de la IIIè culture, par Xavier Raufer, éd. du Cerf

    6.La mafia et la Maison Blanche, un secret bien gardé de Roosevelt à nos jours, par Jean-François Gayraud, éd. Plon

    7.Le nouveau capitalisme criminel, par Jean-François Gayraud, préface de Paul Jorion, éd. Odile Jacob.

    8.Voir l’émission La fin de l’économie russe ? avec l’interview de l’économiste Jacques Sapir sur République souveraine (www.republique-souveraine.fr)

    9.Source : Données du FMI, 12 avril 2023

    https://www.mondialisation.ca/jean-loup-izambert-les-destructeurs/5686332?doing_wp_cron=1707826319.5614790916442871093750

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    1. Chaque personne qui naît EST l'instigatrice d'un monde nouveau, elle représente LE progrès. Très loin donc des ravitailleurs de rayons en 'super marchés' qui en augurent la destruction finale de l'effacement des intellectuelles et intellectuels des habitants de ce monde qui ne réalisent pas (encore) l'importance des enjeux économiques qui les laissent vivre ou survivre.

      Le capitalisme criminel n'évoque qu'une malchance ou déviance des agents directeurs au QI très inférieur au Peuple du monde. Il n'ont 'que les armes pour détruire'. Ces engins mortifères de toute dernière génération (ou dégénération) sont en premier lieu les espèces sonnantes & trébuchantes des 'images de Mickey' distribuées à foison par la planche-à-billet qui ne veut rien dire de la valeur des choses et, ces armes destructrices jusqu'à plus rien font la guerre entre un nano-groupuscule de psychopathes au pouvoir et le Peuple d'aujourd'hui réduit à moins de 7 milliards d'habitants pas encore piqué.

      L'être humain n'est pas (ou plus) une bête mais une savante construction neuronique qui en fait l'être humain d'aujourd'hui capable de créer l'avenir. Il invente TOUT ! Il progresse ! Il avance en compétition avec les humains à des milliers ou millions de kilomètres !
      Le savoir-vaincre n'est pas de supprimer une intelligence mais de la surpasser.

      Au diable donc ces idées de domestications (animales ou humaines), l'envie est à la recherche de compléments métalliques, industriels et 'savantocrates' qui mécaniquement énergétiques peuvent apporter un complément aux tâches difficiles.

      C'est çà la vie sur Terre d'aujourd'hui et non celle du retour vers un passé d’échéant qui ruinait chaque être en vie.

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  103. Les agriculteurs sont constamment surveillés


    12 février 2024
    de Thomas Oysmüller


    L’agriculture européenne est opprimée par le contrôle européen et est constamment surveillée. Cette surveillance a atteint des proportions massives.

    Le degré d’avancement de l’État de surveillance numérique se voit déjà dans l’agriculture. À la suite des protestations des agriculteurs, un certain nombre de choses qui n'avaient jusqu'alors que peu d'intérêt ont été révélées. Les agriculteurs de l’UE sont soumis à une surveillance constante par satellite.

    Surveillance par satellite

    Dans le Lippische Wochenzeitung, le président de l'Association agricole du district de Lippe, Dieter Hagedorn, explique la situation actuelle de l'activité agricole. Les exigences et les réglementations forment une jungle sauvage que « l’on ne peut presque plus comprendre ». Dans l’agriculture d’aujourd’hui, on ne peut plus guère parler de « travail indépendant » – et la surveillance de l’État a atteint des proportions absurdes.

    L'article paru vendredi dans le journal régional déclare (c'est moi qui souligne : TKP) :

    Par exemple, les agriculteurs sont soumis à une surveillance satellite permanente par la Chambre d'agriculture. Les terres arables sont photographiées, contrôlées et comparées tous les cinq jours. Dieter Hagedorn se plaint : « La surveillance est un peu plus effrayante. S’il y a des incohérences sur la photo, des inspecteurs viendront vérifier sur place. Vous n’avez pas besoin de vous inscrire. » Souvent, poursuit l’agriculteur de Lagen, ce ne sont pas des experts, ce qui entraîne toujours des problèmes.

    Selon Dieter Hagedorn, cette surveillance ainsi que toutes les autres réglementations sont basées sur ce que l’on appelle le « Green Deal » de l’UE. Hagedorn se plaint que cela et les exigences qui en résultent sont totalement irréalistes. Cela comprend les 4% de terres arables mises en jachère à partir de cette année ainsi que les règles de semis qui doivent être respectées au jour le jour (surveillance par satellite).

    Les réglementations ignorent complètement la réalité, mais elles rendent le travail des agriculteurs extrêmement difficile. Hagedorn poursuit dans le journal : « Le mois de novembre dernier montre à quel point cela est absurde et irréaliste. Les semis prévus le 15 novembre n'ont pas pu être effectués en raison de la quantité de pluie. Un agriculteur est aussi un entrepreneur et doit décider lui-même, quelles que soient les conditions météorologiques, quand planter quelque chose dans le sol.»

    La surveillance par satellite s'applique également en Autriche. Vous pouvez par exemple en savoir plus sur la méthode de contrôle auprès de la Chambre d'agriculture de Carinthie. Il précise : « Les images utilisées pour la surveillance de la zone proviennent des satellites Sentinel, qui orbitent au-dessus de l’Autriche tous les trois à cinq jours. Cependant, un examen de la superficie épandue à l'aide d'images satellite n'est pas effectué au même intervalle, mais tous les 14 jours pendant la principale saison de croissance et une fois par mois en dehors de la principale saison de croissance. » Sans ce contrôle, il n'y a pas de subventions.

    Les exigences et les réglementations ne manquent pas : interdiction des sillons hivernaux sur les champs récoltés, restriction massive de la rotation des cultures, protection des landes, gestion permanente des prairies, bandes tampons, interdiction de brûler les champs de chaume. Et chaque réglementation est réglementée dans les moindres détails.

    Le verdict de l'agriculteur : « Bruxelles ou Berlin ne peuvent pas vraiment décider comment Hagedorn doit travailler, mais ils le font. Mais notre travail n’est pas abstrait et il peut être réalisé depuis notre bureau.

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  104. Mais la politique de l’UE continue. L'hebdomadaire conclut :

    La loi sur la réduction des pesticides est également en préparation et le dernier plan consiste à enregistrer tous les sols et leurs conditions à travers l'Europe. « Quelle folie des données. Il est urgent de revenir à la normale. On a l'impression que beaucoup de gens manquent de professionnalisme et que l'action idéologique est plutôt au premier plan», déclare le président de l'association du district agricole de Lippe.

    L'agriculteur affirme que ses collègues des secteurs de l'élevage et des produits laitiers sont touchés de manière différente et parfois même pire. Il a répondu à la question sur le centime prévu par le ministre de l'Agriculture pour le bien-être animal en disant que l'expérience montre que toutes les réglementations sur les primes dans le passé ont montré qu'elles ne profitaient pas aux agriculteurs.

    « Il ne faut pas oublier que nous, les agriculteurs, sommes toujours là pour nourrir les gens. "Les exigences nombreuses et massives conduisent finalement à la destruction de l'idée régionale", a conclu Hagedorn, prédisant que les protestations se poursuivraient.

    https://tkp.at/2024/02/12/landwirte-permanent-ueberwacht/

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  105. La plus grosse blague (depuis les avions renifleurs ) faite aux sénateurs sur l’intéret des énergies renouvelables intermittentes …


    le 13 février 2024
    par pgibertie


    Auditionné par le Sénat avec un « scientifique » diplômé de Sciences Po ,Nicolas Meilhan fut le témoin d’une très tres grosse fumisterie dislillée par le dit sciencepologue.

    Thomas Pellerin affirmait que le recours aux » renouvelables « intermittentes avait soulagé la facture des consommateurs de 23 milliards en un an

    La réalité, c’est dix fois moins pour des coôuts de productions et des investissments montrueux

    - voir clip suir site -

    Les importations d’électricité ont coûté 7 milliards d’euros à la France en 2022, contre 2 milliards de bénéfices en moyenne annuelle entre 2014 et 2019.

    - voir graph suir site -

    https://sunmind.co/la-fluctuation-des-prix-de-lelectricite-une-realite-aux-causes-multiples

    Le marché de l’électricité : – 25 % de notre consommation – 50 % de l’électricité sur notre facture en kWh – 75 % de l’électricité sur notre facture en € – 100 % du doublement du TRV en 4 ans Tout ça pour qu’une centaine de sangsues qui produisent 5% de notre électricité survivent.

    La difficulté n’est pas nouvelle : la Cour des comptes avait elle-même estimé, dans son rapport de 2021 sur « L’analyse des coûts du système de production électrique », que le coût de production du mégawattheure pour les années 2011 à 2020, pouvait être soit de 42 € (retenu pour l’Arenh à l’époque) si l’on adoptait une méthode « comptable », soit de 60 € si l’on optait pour une approche « économique ». Soit un écart de 50 %, excusez du peu.

    Alors, quel est donc le coût de production du mégawattheure produit par EDF. Autour de 60 € ? Ou plutôt autour de 70 ? Une chose semble acquise, il est au-dessus des 42 € auxquels EDF est contraint de le vendre à ses concurrents dans le cadre de l’Arenh. Il est également au-dessus des 48 € calculés par la CRE en 2020 et des 53 € demandés par EDF la même année.

    Comment l’art de l’exégèse comptable permet-il en trois ans, de faire bondir de 50 % l’évaluation du coût de production des centrales nucléaires ? La CRE n’a pas répondu à Ouest-France. EDF, pour sa part, déclare ne pas vouloir faire de commentaires sur les hypothèses de la CRE ».

    Les nouveaux chiffres sont, par ailleurs, à rapprocher des 30 à 40 € estimés par RTE, le gestionnaire du système électrique français (filiale à 50 % d’EDF), en 2021.

    Cette fourchette, explique RTE, concernait seulement le coût de la prolongation d’activité des 56 réacteurs existants d’EDF, alors que François Hollande puis Emmanuel Macron lors de son premier mandat, s’engageaient vers des fermetures anticipées.

    Cette estimation avait été produite par RTE dans « Futurs énergétiques 2050 », la fameuse étude de près de 1 000 pages qui, mettant en évidence la hausse de consommation électrique nécessaire à la décarbonation de la France d’ici à 2050, a pu contribuer à convaincre Emmanuel Macron, à la fin de son premier mandat, de renoncer à la réduction du nucléaire et au contraire à le relancer.

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  106. Quelle compétitivité face aux énergies renouvelables ?

    Ces chiffres donnaient au nucléaire existant un avantage sur les coûts de production de la plupart des énergies renouvelables, tels qu’estimés par RTE en 2030 : l’éolien terrestre était entre 30 et 60 € du MWh, l’éolien en mer posé entre 40 et 60 € et l’éolien en mer flottant entre 60 et 80 €, tandis que le photovoltaïque au sol était autour de 35 €.

    RTE assume ces chiffres avantageux pour le nucléaire « historique » en rappelant qu’ils ne prennent pas en compte le coût du capital investi à la création des centrales, seulement celui de la prolongation.

    https://www.ouest-france.fr/environnement/nucleaire/quel-est-le-vrai-cout-de-lelectricite-nucleaire-dedf-dc9e23cc-57d9-11ee-a19a-bfe39da75904

    Le marché de gros est « le marché où l’électricité et le gaz sont négociés (achetés et vendus) avant d’être livrés sur le réseau à destination des clients finaux (particuliers ou entreprises) ».

    Le prix de l’électricité est fixé par un mécanisme appelé Merit Order (en français « logique d’appel des différentes sources de production électrique dans l’ordre des coûts marginaux croissants »). Les coûts marginaux représentent les coûts des combustibles et le coût des quotas d’émissions CO2. Un graphique illustrant ce concept (source : Enerplan) :

    Les énergies renouvelables dites « fatales » (éolien, photovoltaïque, hydraulique au fil de l’eau), avec un coût marginal quasi-nul, sont ainsi appelées en premier dans le Merit Order, suivies des moyens de base (nucléaire) puis de semi-pointe (centrales à charbon et à gaz) pour finir par les moyens de pointe et d’extrême pointe (fioul notamment) et les flexibilités (hydro, batteries).

    1ère erreur : il fallait diviser par 3 car les 23,6 Milliards d’€ sont sur 3 ans. 2ème erreur : il faut diviser diviser par 4 car le marché ne représente que 25% de notre consommation

    https://t.co/u1kwtpmqEz

    23,6 Mrds d’€ d’économies sur 3 ans pour 1200 TWh d’électricité consommée = 20€/MWh d’économie sur le prix de gros de 250€/MWh. Comme le marché ne représente que 25% de notre consommation, l’économie n’est pas de 350€/habitant/an mais de 30€/habitant/an soit 10x moins.

    L’augmentation multifactorielle de la facture d’électricité, expliquée par Fabien Bouglé, résulte de divers éléments tels que la composante énergétique stable, la taxe de raccordement (Turp), et la Taxe Intérieure sur la Consommation Finale d’Électricité (TICE). Cette hausse est également attribuée aux subventions croissantes envers les énergies intermittentes, telles que l’éolien et le solaire, avec des prix garantis. Le marché européen de l’électricité, notamment influencé par la spéculation basée sur le « merit order », a un impact défavorable sur les consommateurs français, en désavantageant la production nucléaire nationale. La crise énergétique, exacerbée par des tensions géopolitiques et des fluctuations du marché du gaz, a contraint la France à des achats coûteux sur le marché européen, augmentant ainsi les coûts d’électricité pour les consommateurs et les entreprises du pays.

    https://pgibertie.com/2024/02/13/la-plus-grosse-blague-depuis-les-avions-renifleurs-faite-aux-senateurs-sur-linteret-des-energies-renouvelables-intermittentes/

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    1. A SUIVRE: La production d'une centrale électrique est de x, (quelle soit alimentée par le gaz, le pétrole ou le charbon), mais - ce qu'il faut savoir est que cette production n'est pas la puissance arrivée chez le consommateur !

      1/3 sert à pousser l'énergie sur les câbles (idem pour un moteur-pompe d'arrosage pour le jardin. Un tuyau va vous permettre d'arroser à 50 m, mais à 100 ou 200 m... plus rien ! Çà alors !! Bêh oui ! le moiteur n'est pas assez puissant !).

      Le 2/3 ème tiers lui, il se perd en cours de route ! (Défense de s'approcher de pylônes électrique à haute tension !).

      et, le 3/3 ème tiers lui, il arrive chez le consommateur.

      Donc: divisez par 3 la production énergétique. (sauf les panneaux solaire qui ont une distance de quelques mètres entre la production et l'ampoule chez vous).

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  107. Infiltrateurs plumeux : le cas de l'espion pigeon


    Par le Dr Binoy Kampmark
    Recherche mondiale,
    13 février 2024


    Les animaux ont parfois reçu le même traitement dédaigneux que les humains aiment se donner. Qu'il s'agisse de détention, de torture, de procès ou d'exécution, les créatures inconscientes se retrouvent dans les situations les plus étranges, anthropomorphisées avec toutes les caractéristiques de la volonté, de la pensée et de l'intention. A titre d'exemple effroyable, la ville normande de Falaise a accueilli l'exécution d'un cochon en 1386 pour avoir « cédé au mauvais penchant de manger des nourrissons dans la rue », et condamné à mutiler par la chaleur et les pattes avant avant d'être pendu.

    Un domaine dans lequel un tel problème s’est produit et continue de surgir est celui de l’espionnage. L’espionnage, cette activité très humaine, peu recommandable et souvent dangereuse, a vu un certain nombre d’animaux s’engager dans cette cause. Sans qu’on leur ait demandé et sans doute sans avoir été informés, diverses espèces ont été jetées dans des guerres, des conflits et des désaccords, toutes causes de l’humanité, pour procurer un avantage ou un gain à l’une ou l’autre des parties.

    Nous connaissons des programmes tels que le « Projet Acoustic Kitty » de la Central Intelligence Agency, qui a duré cinq ans dans les années 1960 et a coûté 20 millions de dollars sans grand bénéfice. L’hybride androïde félin, qui possédait une antenne sous sa fourrure et un micro dans son oreille, n’a pas réussi à fonctionner. Acoustic Kitty, après avoir été conduite dans un parc désigné avec pour mission de capturer la conversation de deux hommes sur un banc, s'est mise à errer dans la rue, où elle a été rapidement écrasée par un taxi. "Notre examen final de chats dressés", conclut une note de la CIA sur le sujet, "nous a convaincus que le programme ne se prêterait pas, d'un point de vue pratique, à nos besoins hautement spécialisés."

    Parmi tous les animaux figurant dans l’inventaire des services de renseignement, un se démarque. Le pigeon a joué un rôle important dans les deux guerres mondiales, une petite créature discrète, idéale pour accomplir diverses tâches. Les messages peuvent être transmis subrepticement dans des conditions de communications interrompues. Des photos et des images peuvent être prises par des caméras fixées sur l'oiseau, à l'insu des agents humains au sol. «Sur les centaines de milliers de pigeons voyageurs envoyés sous le feu ennemi, 95 % ont accompli leur mission», nous informe le Musée international de l'espionnage . "Les pigeons ont continué à servir courageusement dans le monde entier tout au long des années 1950, remportant plus de médailles d'honneur que tout autre animal."

    Plus récemment, le pigeon est de nouveau apparu en tant qu'agent espion. Les rapports sur l'oiseau en question imputaient un degré de sensibilité et de conscience rien de moins qu'humain. Les humains en question, cependant, semblaient franchement grossiers. Tout a commencé en mai, lorsque l'oiseau a été capturé près d'un port de Mumbai. Ses pattes portaient deux anneaux, portant une puce et une écriture chinoise soi-disant cursive. Ce doit être une affaire d'espionnage, pensa la police locale. Une période de détention a suivi, en grande partie passée au sein de la Bombay Society for the Prevention of Cruelty to Animals.

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  108. Au fil des événements, les soupçons d’espionnage se sont révélés infondés. L'enquête de trois mois a révélé que l'oiseau s'était échappé de Taïwan, où il s'était produit en tant que voyageur en eau libre. L'organisation militante PETA (People for the Ethical Treatment of Animals) s'est indignée , comme elle aurait dû l'être. "Un pigeon détenu pendant huit mois dans un hôpital vétérinaire en Inde, soupçonné d'être utilisé à des fins d'espionnage, est à nouveau libre de voler grâce à l'aide de PETA Inde."

    Il aurait été difficile de garder un visage impassible en entendant ce qui suit de la part de Meet Ashar de PETA Inde. "PETA Inde traite 1 000 appels par semaine concernant des urgences animales, mais il s'agissait de notre premier cas d'espion présumé qui devait être libéré d'un emprisonnement injustifié."

    Malgré ce constat, Sana Hashmi, membre de la Taiwan-Asia Exchange Foundation, a estimé qu’une réflexion sérieuse s’imposait. « Cet épisode souligne les efforts accrus de l'Inde pour contrer les tentatives d'espionnage chinoises. Cette suspicion s'étend au point que même les oiseaux, qui rappellent les expériences passées d'espionnage d'oiseaux impliquant le Pakistan, sont perçus comme des outils potentiels de l'espionnage chinois.

    L’obsession sous-continentale pour l’espionnage des pigeons est persistante. En octobre 2016, le journal pakistanais The Frontier Star rapportait que trois personnes avaient été appréhendées ce mois-là à Vikram Chowk, dans la ville de Jammu, dans le Jammu-et-Cachemire occupé par l'Inde. Pourquoi? Ils ont été retrouvés transportant quelque 150 pigeons gardés dans des caisses de bananes.

    Des accusations de cruauté envers les animaux ont suivi. Les oiseaux ont ensuite été transférés à une ONG Save Animals Value Environment (SAVE), dont le président, Rumpy Madan, s'est profondément intéressé aux raisons pour lesquelles certains des pigeons étaient dotés d'anneaux magnétiques spéciaux. L’affaire a ensuite été portée devant les agences de renseignement, où les renseignements semblaient rares. "On nous a dit", avait déclaré Madan à l'époque, "qu'il s'agissait d'un cas de danger appréhendé". Ces oiseaux, a-t-elle poursuivi, « peuvent être facilement dressés à des fins d’espionnage ou de messagerie et ils ont la particularité de revenir vers leur dresseur même après avoir parcouru de grandes distances ».

    Avec tant d’éloges et un raisonnement maladroit – le pigeon espionne-t-il vraiment s’il l’ignore ? – nous ne devrions guère être surpris par les informations absurdes du même mois selon lesquelles un pigeon gris aurait été « arrêté » par les forces de sécurité des frontières indiennes (BSF) au Pendjab indien. L'intrus à plumes a été dûment accusé d'espionnage au profit du Pakistan. Il aurait en sa possession une petite lettre en ourdou contenant un message menaçant adressé au Premier ministre indien Narendra Modi : « Modi, nous ne sommes plus les mêmes personnes de 1971. Désormais, chaque enfant est prêt à se battre contre l'Inde. » Le pigeon a été dûment puni : ses ailes ont été coupées pour l'empêcher de revenir.

    https://www.globalresearch.ca/feathery-infiltrators-case-pigeon-spy/5849413

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  109. Les lois anti-libertés les plus dangereuses actuellement


    13 février 2024
    de Thomas Oysmüller


    Censure, atteintes à la liberté d’expression, surveillance de masse, contrôle total : alors que les manifestations « pour la démocratie » se déroulent principalement dans les rues d’Allemagne, l’UE adopte des lois particulièrement menaçantes pour la démocratie et la liberté. Un aperçu.

    La démocratie est-elle menacée par les partis d’opposition comme l’AfD, le FPÖ ou Le Pen en France ? On s'interroge sur cette question. En Autriche, par exemple, seul le FPÖ réclame un référendum obligatoire (même si celui-ci n'est jamais mis en œuvre sous la responsabilité du gouvernement), ce qui ne semble pas particulièrement antidémocratique. Dans le même temps, notamment à Bruxelles, des lois sont adoptées qui affectent directement la liberté de l'individu et menacent les libertés civiles fondamentales et la « démocratie ».

    Censure et surveillance

    La journaliste allemande Janina Lionello a publié sur le portail Reichelt NIUS une étude compacte qui résume « les cinq lois anti-liberté les plus problématiques ». Quatre des cinq lois qui pourraient facilement être utilisées à mauvais escient de manière antidémocratique concernent le niveau européen, une concerne le droit allemand. Un aperçu:

    Tout d’abord, il y a le « Digital Service Act », qui est ouvertement présenté comme une « grève contre le capitalisme de surveillance » parce que les citoyens sont censés être renforcés contre les entreprises.

    Le règlement est en vigueur depuis le mois d'août - TKP en a parlé en détail et très précisément à l'époque : « Le visage laid de l'UE : la loi sur les services numériques en vigueur ». À partir de 2024, la réglementation pourrait conduire à une censure généralisée. En particulier en cas de « crise », des « mesures » de grande envergure contre la « désinformation » sont autorisées ; le DSA a massivement élargi les pouvoirs de la Commission européenne et du gouvernement pour agir contre la liberté de la presse et la liberté d’expression.

    Le prochain projet n’a pas encore été mis en œuvre, mais est en préparation depuis 2022 : ce qu’on appelle le « contrôle du chat ». Si la proposition de la Commission est mise en œuvre, les autorités pourront fouiller les communications privées sans motif. Officiellement, pour lutter contre la pédopornographie et la maltraitance des enfants. Cependant, les algorithmes utilisés à cet effet sont connus pour être extrêmement sujets aux erreurs et les communications qui ne sont pas pénalement pertinentes sont souvent reconnues. Lionello : « En effet, les algorithmes analysent automatiquement le contenu et sonnent souvent l'alarme pour les photos de plage, de bikini ou de nu prises légalement, ainsi que les messages d'adultes à contenu sexuel. De cette manière, des données privées sensibles peuvent tomber entre de mauvaises mains. Presque personne ne souhaite que ses photos de vacances finissent au BKA.»

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  110. Attention aux philanthropes !


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 12 FÉVRIER 2024 - 15:11
    Rédigé par Jim Quinn via le blog The Burning Platform,


    Je pense que ce mot inventé dans le mème ci-dessous capture parfaitement les psychopathes milliardaires tyranniques qui semblent avoir pris le contrôle du monde en utilisant leurs milliards, tout en se présentant comme les sauveurs de l'humanité.

    Chaque fois que je vois le terme Fondation associé à l'un de ces psychopathes, je sais que la Fondation n'est rien de plus qu'une façade pour réaliser leur programme maléfique.

    Et si jamais il s’agissait d’une figure emblématique des philanthropes du monde entier, ce serait Bill Gates, monsieur le dépeuplement/pousseur de vaccins/agriculteur, et sa Fondation Gates.

    Gates, Soros, Bloomberg et les Clinton représentent les forces du mal dans ce monde, utilisant leur richesse, leur pouvoir et leur contrôle sur les médias du régime pour promouvoir leur programme de chaos, de mort, de destruction et de dépeuplement. Ils utilisent tous leurs fondations « caritatives » comme un moyen pour parvenir à leurs fins néfastes, tout en étant décrits par les médias qu’ils ont achetés comme de généreux philanthropes améliorant la vie des pauvres et des opprimés.

    Tout cela n’est qu’une ruse, facilement révélée à quiconque est prêt à creuser juste sous la surface de ces fondations Potemkine.

    Bill Gates a ouvertement exprimé sa conviction que le monde a besoin de milliards de personnes en moins.

    Tout ce qu'il fait, soutient et finance, favorise activement la réalisation de son souhait de mort psychotique pour ceux qu'il considère comme des mangeurs inutiles. Gates a financé l’événement 201 en octobre 2019, établissant le plan directeur pour la plandémie de Covid, tout en finançant en même temps les vaccins contre une maladie qui n’existait pas encore.

    Ce psychopathe a joué un rôle central en poussant des milliards de personnes à travers le monde à se faire injecter cette concoction toxique non testée altérant l’ADN.

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  111. Il est désormais prouvé sans équivoque que ces vaccins ont tué des millions de personnes immédiatement, des millions plus lentement et méthodiquement, et ont empêché des millions d'autres de naître en modifiant radicalement la fertilité de jeunes qui n'avaient aucun risque de contracter le covid, mais qui ont été forcés de se faire injecter par les autorités et leurs laquais achetés. Ce psychopathe a également financé l’introduction de moustiques OGM dans la nature. Soudain, les cas de paludisme ont augmenté. Ce déficient mental a financé de la fausse viande produite chimiquement, tout en achetant des terres agricoles à travers le pays, sans aucune intention de cultiver. Il finance de nouveaux vaccins, en utilisant les Africains comme cobayes. Il finance la géo-ingénierie (alias chemtrails) pour bloquer le soleil, car son diplôme d’études secondaires fait de lui non seulement un expert en vaccins, mais aussi un expert du climat.

    Le psychopathe Soros a gagné ses milliards en manipulant les marchés financiers grâce à des informations privilégiées. Il se considère désormais comme le marionnettiste des politiciens, des médias et des ONG du monde entier. Il est à lui seul responsable de la destruction continue de l’Amérique et de la majeure partie du monde occidental. Il a fallu des milliards de dollars pour transporter les millions d’envahisseurs placés à notre frontière sud. Soros est le psychopathe qui finance cette invasion sous le couvert de sa fondation et des centaines d’organisations « caritatives » qu’il finance pour s’assurer que les envahisseurs aient les moyens de réussir à entrer dans notre pays et en Europe occidentale.

    Son seul objectif est de détruire la culture américaine et occidentale, de créer le chaos, de maximiser les conflits sociétaux et de détruire tout vestige de communauté, de normalité et de coexistence pacifique. Soros est à l’origine de la sélection des DA dans chaque enclave urbaine d’Amérique, qui refusent d’appliquer la loi, d’encourager le crime et de détruire délibérément les villes qu’ils ont été chargés de protéger. Soros veut une criminalité endémique, des immigrants illégaux envahissant les villes, une consommation de drogue incontrôlée, des sans-abris de masse, des élections truquées par la fraude par correspondance et la chute de l'Amérique. Tout cela se fait par des moyens « légaux » et soutenu par les médias du régime qu’il finance.

    Je pourrais continuer avec des exemples sur Bloomberg et les Clinton, mais cela devient répétitif, car ces philanthropes ont tous le même objectif général. Ils utilisent leur richesse, leur pouvoir et leur contrôle massifs pour obtenir davantage de richesse, de pouvoir et de contrôle, tout en infligeant leurs croyances psychopathiques à une population sans méfiance qui essaie simplement de vivre sa vie.

    La plupart des gens ne sont pas des psychopathes. Seule cette micro-fraction de personnes véritablement perverses et dotées d’énormes richesses est notre véritable ennemi à tous. Ils sont relativement faciles à exposer.

    Si la plèbe avait un jour le courage de tenir tête à ces psychopathes et de donner l’exemple à quelques-uns, la tendance pourrait peut-être s’inverser. Je ne suis pas optimiste, mais il suffit d’en faire un.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/beware-philanthropaths

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