- ENTREE de SECOURS -



vendredi 11 août 2017

Planet Earth: problèmes sérieux

31.07.2017


Même face à la crise environnementale évidente et notoire, une partie considérable de l'humanité considère encore la Terre comme une "espèce" infinie; C'est-à-dire qu'ils comprennent que les ressources naturelles et énergétiques contenues dans la nature et qui soutiennent l'activité de la production économique ne sont pas épuisables et que les services écosystémiques dont dépend la vie humaine sont là pour servir nos abus débridés.

Marcus Eduardo de Oliveira

Pendant longtemps, les hommes des temps modernes, appelés hommes modernes, ont regardé la Terre comme une sorte de tronc inépuisable, dont la matière et l'énergie peuvent être dessinées en quantité suffisante pour satisfaire les désirs et les désirs de la consommation matérielle. Même aujourd'hui, surtout en raison de la force dominante du marché économique, la Terre continue d'être traitée uniquement comme une source et un puits sans fond: elle est une source de ressources naturelles et énergétiques, et c'est un foyer où les déchets sont éjectés de la production le processus est éliminé.

Intérêts économiques et de marché

Ainsi, en réduisant la Terre aux intérêts du marché économique, l'humanité, avec sa stupide manie consumériste, «nourrit» la production industrielle mondiale à un rythme toujours plus étouffant. Il stimule la production industrielle contre la préservation de l'environnement, dépassant les limites planétaires. C'est pourquoi l'affirmation actuelle que nous créons un monde à part est valide; Un monde qui ressemble plus à un hypermarché colossal. Il semble même que nous soyons sur une planète de commodité où tout est extrait / produit / consommé / rejeté de tout, toujours à une vitesse effrayante. C'est précisément pour cette raison que la terre est dite malade, malade et faible. De là vient l'expression bien connue "les gémissements" de la Terre.

Pour glorifier la société de consommation, miroir du capitalisme avancé, une partie considérable de l'humanité a utilisé et abusé des conditions de soutien que la Terre peut offrir, comme si elle était infinie.

Le paradigme de la conquête, une notion développée par les plus riches (20% de la population mondiale), est de plus en plus dirigé vers l'accumulation matérielle et continue d'être considéré comme synonyme de progrès humain. Le problème est que cette action obscurcit la vision de la destruction de l'environnement et la rupture met la corde autour de notre cou; C'est-à-dire qu'il nous laisse au bord de la survie.

C'est une erreur de prendre plus que la Terre renouvelle

En raison notamment de la cupidité consumériste de certains, il est vrai que l'une des plus grandes erreurs de l'humanité a été de prendre plus que la Terre renouvelle.

Deux cents ans après le début de l'industrialisme, lorsque l'humanité a commencé à utiliser les ressources du système écologique à plus grande échelle, l'homo sapiens n'a pas respecté les limites environnementales et n'a même pas laissé de temps pour la régénération de la nature.

La politique économique établie par les pays les plus industrialisés a depuis soumis la nature et l'environnement aux intérêts productifs et économiques. Avec cela, nous avons pu montrer notre incapacité totale à gérer la Terre, et pour cette raison, nous compacons une situation insidieuse de conflit-confrontation avec la nature.

Sans effort, il est possible de prouver notre incapacité à traiter avec la nature: au cours des 50 dernières années, nous avons réussi à nous rapprocher de l'épuisement de 60% des principaux services écosystémiques; Nous avons perdu 35% des mangroves, 40% des forêts et 50% des zones humides. Nous avons fait entre 10% et 30% des espèces de mammifères, oiseaux et amphibiens disparaître de notre point de vue pendant cette période.

À l'heure actuelle, les stocks de poissons sont 80% plus petits et la superficie cultivée de la planète a couvert 25% de la surface terrestre. Dans le monde, les forêts se réduisent à plus de neuf millions d'hectares par an. Dans 25 pays, ils ont complètement disparu, et dans 29 autres pays, plus de 90% de la couverture forestière a été perdue.

Situation au Brésil

Ici, dans notre vaste terrain qui envisage encore 20% de toute la biodiversité de la planète, les choses ne sont pas très différentes. Le Brésil a déjà détruit 88 % de la forêt Atlantique, et maintenant c'est la forêt amazonienne qui est détruite. D'autres biomes brésiliens sont également détruits par une action anthropique répondant aux exigences de la croissance économique: 54 % de la Caatinga, 45 % de la Pampa, 49 % du Cerrado, 20 % de l'Amazonie et 15 % du Pantanal.

Il n'y a nulle part où courir. Nous devons reconnaître que nous sommes en fait des agents potentiels de destruction écologique et de changement planétaire. James Lovelock, le créateur de Gaia Theory, met son doigt sur la plaie et souligne que «nous sommes devenus une infection de la Terre pour un temps long et incertain lorsque nous avons utilisé le feu et les outils délibérément, mais ce n'était rien d'autre. Il y a deux cents ans, la longue période d'incubation s'est terminée et la révolution industrielle a commencé, l'infection de la Terre est ainsi devenue irréversible.

Face à tout cela, il semble même difficile de réfuter la considération de Pascal Picq, paléoanthropologue du Collège de France: "quelque chose ne fonctionne pas bien sur Terre et ce qui ne marche pas, c'est l'homo sapiens".

42 commentaires:

  1. (...) C'est une erreur de prendre plus que la Terre renouvelle (...)

    Oui dans la mesure où des urbanistes irresponsables construisent des villes immenses pour 5 millions de personnes alors que la nappe phréatique (qui se renouvelle perpétuellement grâce aux infiltrations venues des océans passant par la chaleur magmatique) ne permet de ne fournir de l'eau qu'à 1 seul million.
    Pareillement aux cycles de l'eau (depuis des millions d'années des milliards de km3 d'eaux - venues des pluies, des rivières ou des fleuves - se sont jetés dans les océans - sans qu'ils ne montent !! se sont infiltrés dans les planchers océaniques jusqu'au magma où l'eau sale est chauffée/bouillie et ressort toute propre aux nappes phréatique et sources sous-marines ou terrestres), l'air se recycle depuis toujours et pour toujours.

    Mis à part le pétrole abiotique qui se renouvelle donc perpétuellement comme le fait le gaz carbonique qui se dissout dans l'eau et se change en oxygène, tout ce qui pousse sur Terre vient de la terre et... retourne d'où cela vient ! (depuis toujours et pour toujours). Donc, oui il y aura toujours à boire et à manger sur Terre même si la population mondiale est multipliée par 10

    https://huemaurice5.blogspot.fr/2014/01/un-grain-ou-un-oeuf-qui-peut-tout-faire.html

    (...) "quelque chose ne fonctionne pas bien sur Terre et ce qui ne marche pas, c'est l'homo sapiens" (...) qui ne comprend pas (ou ne veut pas comprendre) qui est préférable d'écouter les scientifiques plutôt que ces ordures de journalistes ou politiciens qui se disent scientifiques sans jamais avoir fait d'étude !!!

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  2. Un titre révélateur


    le 10 août 2017


    La bonne nouvelle d’aujourd’hui nous est offerte par la « déesse des petites victoires ». Non, le GIEC n’a pas été démantelé, non l’Union européenne ne s’est pas retirée de la CCNUCC, non les pages « Planète » du Journalderéférence n’ont pas fait amende honorable. Mais une évolution est quand même en train de se produire, à en croire le titre d’un article en première page du n°133 (8 juin – 7 septembre 2017) du journal de l’université de Genève :

    (NB : la version complète est disponible en ligne, elle ne reproduit malheureusement pas le titre de une.)

    Martin Beniston est en quelque sorte le Jean Jouzel de Suisse romande. C’est lui que les médias locaux appellent quand il s’agit de parler climat dans la ligne du parti (ou alors c’est Martine Rebetez, à laquelle j’avais indirectement eu affaire il y a quelque temps sur la RTS). Comme l’indique la première phrase du texte, Martin Beniston est donc poursuivi par le prix Nobel, à l’instar de Jean Jouzel. (En réalité, donc, il n’est pas plus prix Nobel que vous et moi ; ne doutons pas qu’il fera rectifier l’information trompeuse dans le prochain numéro du journal…)

    L’exposé mentionné dans l’article est une « conférence d’adieu », une pratique régulière de l’université de Genève lorsqu’un de ses membres part à la retraite. Ça n’existe guère en France, toujours est-il que si m’était donné l’occasion d’en faire une le jour J, je crois que j’essaierais de prendre un peu de hauteur : j’évoquerais mon travail en jouant les modestes vieux sages passeurs de témoin. En l’occurrence, la présentation de sa conférence diffusée au sein de son institut annonçait un exposé tout en rancœur et en ressentiment :

    - voir sur site -

    Pour ceux qui le souhaitent, voici le lien pour écouter la conférence. Celle-ci est tout à fait pitoyable (j’ai renoncé à la 33è minute de la vidéo), très en ligne avec l’annonce, mais mon sujet d’aujourd’hui est ailleurs. Il est dans le titre de l’article du journal de l’université : « Confessions d’un climato-convaincu ». Le terme crucial est le néologisme final. S’il est important, c’est pour la raison que j’ai exposée dans mon dernier livre, Ils s’imaginaient sauver le monde :

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  3. L’importance de la question langagière n’est jamais à négliger (…). La perspective intéressante n’est pas d’interroger le mot de climatosceptique, mais bien l’absence de mot pour désigner ce à quoi il s’oppose, la « théorie d’un bouleversement climatique d’origine humaine ». L’élément de langage originel de l’alarmisme climatique, le plus énorme de tous, est précisément le seul auquel personne ne songe jamais : le vocabulaire ne permet pas de désigner de façon raisonnablement neutre ceux qui adhèrent à ce que dit le giec.

    D’ordinaire, dans toute controverse durable, les pôles opposés sont nommés, ce qui permet à chacun de se définir à partir d’eux. Au temps de Copernic et de Galilée se sont ainsi affrontés les « géocentristes », partisans d’une Terre immobile au centre de l’univers, et les « héliocentristes », qui faisaient tourner la Terre autour du Soleil et l’ont finalement emporté. Bien des controverses scientifiques ont donné naissance à ce genre de néologisme, dont la nécessité se fait vite sentir lorsque le débat se prolonge et que les avis antagonistes se structurent autour de quelques idées-forces.

    L’effet de cet « élément de non-langage » est tout à fait clair, et n’est pas sans rappeler la fonction de la novlangue dans l’emprise totalitaire du monde imaginé par Orwell : celle d’empêcher par l’absence de mot la possibilité même de la contestation. Pour s’opposer à la théorie X, on peut se dire anti-X (ou éventuellement Y si l’on a une théorie alternative à proposer). Mais comment donner corps à une opposition à une théorie qui se terre dans l’indicible ?

    Il faut un pouvoir extrêmement fort, qu’il soit institutionnel, intellectuel ou moral, pour empêcher l’émergence d’un mot. À cet égard l’on ne peut qu’admirer l’extraordinaire efficacité de la théorie dominante, qui est silencieusement parvenue à échapper à toute désignation, délégitimant en creux toute opposition. L’on en est ainsi réduit à dire « les climatologues » (surtout pas « des climatologues »), ou même « les scientifiques », rejetant aussitôt dans les ténèbres de la pseudoscience toute éventuelle contestation sans avoir à le dire ou même à s’en rendre compte. Difficile de rêver mieux.

    Le jour où l’usage consacrera une désignation sera probablement celui où le giec aura perdu pour de bon son emprise sur les esprits.

    Et c’est exactement ce qui est amorcé ici. Je ne sais pas si « climato-convaincu » passera l’été, toujours est-il qu’il vient d’apparaître en titre d’un journal pas spécialement climato-sceptique (loin de là). Le journaliste a éprouvé le besoin de qualifier le carbocentriste Martin Beniston autrement que par le terme de « climatologue ». Ce besoin est une petite brèche, que mon optimisme habituel me fait voir comme un signe avant-coureur.

    https://mythesmanciesetmathematiques.wordpress.com/2017/08/10/un-titre-revelateur/

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    1. Chose visible la Suisse est envahit de faux drapeaux, de conférences-mensonges et d'escrocs en tous genres afin de supprimer bientôt le pouvoir Démocratique (UNIQUE AU MONDE !) qu'elle a ! Voir le rejet des centrales nucléaires et de l'adoption de l'escroquerie conseillée !

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  4. « Pesticides : le grand malentendu » sur Climat de Terreur


    11 Août 2017,
    par Seppi
    Glané sur la toile 167


    « Pesticides : le grand malentendu » ? Ne serait-ce pas plutôt « la grande manipulation » ?

    Ce billet est introduit en fanfare :

    « Pas un mois ne se passe aujourd'hui sans qu'un média se répande en diatribes violentes contre ce que certains qualifient de "saloperies" : je veux parler des pesticides.

    La télévision nous assène régulièrement des messages anxiogènes sur ces produits, avec l'aide de tous les effets bien connus au cinéma pour manipuler le spectateur, voix et musique angoissantes à l'appui. Les émissions sont systématiquement à charge, et certains investigateurs se sont même trouvé une spécialité dans la diffamation systématique et sans risque de produits qui ont eu la malchance d'être produits dans des usines elles-mêmes régulièrement accusées, appartenant à des entreprises vomies par ces investigateurs. Cette atmosphère délétère sciemment entretenue contre ces produits amène petit à petit le consommateur moyen et ignorant à se détourner des aliments susceptibles d'en contenir mêmes d'infimes traces. D'ailleurs, il suffit aujourd'hui, pour ces investigateurs animés par une haine soutenue par leur seule certitude, de dénoncer, au besoin sans preuve, mais en maniant habilement la syntaxe, la présence évidement critique d'un de ces produits, pour déclencher des mouvements de foule hostile. Et c'est bien là, d'ailleurs, l'objectif de ces personnes.

    Certains politiques, toujours à l'affut de ce qui, pensent-ils, leur procurera un électorat supplémentaire, annoncent qu'ils voudraient éradiquer l'usage de ces produits le plus tôt possible, d'autant plus rapidement d'ailleurs que d'une part ils ne connaissent généralement pas tous les tenants et les aboutissants du problème et que d'autre part ils sont sans cesse orientés par la propagande incessante d'un lobby tout puissant dont les motivations commerciales sont très évidentes. Mais je parlerai un peu plus loin de ce lobby.

    Cependant, avant de convoquer les grandes gueules de l'écologie qui sauront, soyons en sûrs, décider du grand soir de l'éradication, sans se préoccuper ou même avoir conscience une seule seconde des conséquences de ce genre de manifestation (voir le précédent constitué par le "Grenelle de l'environnement"), il conviendrait de fournir des éléments de réponse à deux questions concernant précisément la fin de l'usage des pesticides :

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  5. 1. A quoi servent les pesticides ?
    2. Quelles seraient les conséquences positives ou négatives de leur disparition ? »

    Pour la suite, allez sur le site.

    Il va sans dire que nous adhérons totalement à l'analyse de l'auteur.

    Avant et après le passage des chenilles légionnaires en Afrique du Sud

    Il y a une référence au « Grenelle de l'environnement ». En fait, il y a un précédent plus pertinent : l'interdiction de l'utilisation des produits phytosanitaires (de synthèse, ou plutôt non bio) est entrée en vigueur pour les collectivités publiques : certains effets sont déjà mesurables... et des aménagements ont été décidés en urgence, comme nous l'avons décrit dans « Sur Capital, la loi la bêtise... oups ! La loi Labbé ». La nouvelle majorité présidentielle procédera-t-elle – comme elle devrait le faire – à un audit de l'efficacité de cette disposition législative ?

    Aura-t-elle le courage de braver l'opinion dite publique – manipulée – et de supprimer la stupide interdiction des néonicotinoïdes ?

    Selon la Fondation Concorde, l'interdiction du seul glyphosate coûterait en gros un milliard d'euros à l'agriculture française et un demi-milliard à la SNCF.

    « Pesticides : le grand malentendu », c'est en tout cas un article fort bienvenu en ces temps d'États Généraux de l'Alimentation.

    http://seppi.over-blog.com/2017/08/pesticides-le-grand-malentendu-sur-climat-de-terreur.html

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    1. Faut avouer que toutes les pharmacies vendent 100 % des pesticides (prescrits par les médecins), car ce terme (évoquant la peste !) ne désigne que des remèdes contre les maladies. TOUTES les plantes du monde (comme les animaux) attrapent des maladies. Sans traitement immédiat, la plante est appelée 'bio', puis se fane, se flétrie, se rabougrie et crève en pourrissant. C'est ce qui est présenté au rayon 'bio' (vendus forcément plus cher puisque les survivants sont très rares).

      Par contre, lorsque l'on trouve des fruits & légumes frais en bonne santé: c'est que ces fruits & légumes ont donc été traités contre l'arrivée de maladies ou d'attaques d'insectes.)
      Pareillement que les animaux sont vaccinés contre la myxomatose, vache folle, grippe aviaire, etc (bizarrement peu meurent de cancer, parkinson, tumeur Alzheimer, rougeole, oreillons, etc !), ils sont comme nous fort heureusement non bio !

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  6. Les parcs éoliens britanniques payés pour ne pas fabriquer de saucisses


    August 11th, 2017


    OK, un parc éolien ne fait pas de saucisses, mais ce n'est pas une ferme.

    Rien à propos de cela n'a de sens, sauf si vous suivez l'argent.

    John Constable et Matt Ridley décrivent la règle absolue que les générateurs éoliens écossais sortent des clients britanniques de l'électricité. L'Écosse compte déjà 750 centrales éoliennes industrielles (les escrocs) dans leurs meilleurs moments, ce qui représente un total de 5 700 MW, ce qui est supérieur à la demande maximale de l'ensemble du réseau écossais. À l'heure actuelle, ce n'est pas seulement plus que l'Ecosse peut utiliser, mais même plus qu'il ne l'absorbe en toute sécurité, les esclaves britanniques ont été obligés de dépenser 1,8 milliard de livres sterling sur des interconnexions géantes en partie pour envoyer l'excès vers l'Angleterre et autres, sinon les bénéfices de la non-lucrative pourrait souffrir, et le temps pourrait ne pas être aussi agréable en 2100 (ou pas).

    Si ce n'est pas assez grave, ces plantes industrielles protégées produisent parfois un produit quand personne ne le veut, et ils sont toujours payés. Quand il serait dangereux de le décharger sur le marché. Les génies qui ont mis en place ont promis aux générateurs de vent qu'ils seraient encore payés. Et non seulement ils sont payés, mais comme Ridley et Constable documentent, avant 2011, ils ont été payés en moyenne, quatre fois ce qu'ils auraient perdu, et une ferme, 20 fois plus. Une fois que cela a été exposé, les paiements ont été réduits à moins de 50 à 100 % de plus que la perte. Bon travail si vous pouvez l'obtenir, et encore mieux si vous ne le pouvez pas.

    Aucun marché gratuit ici

    Dans un marché libre, les acheteurs se connectent avec les vendeurs. Dans une escroquerie de la planète socialiste, les acheteurs vont en prison s'ils ne paient pas un produit qu'ils n'ont pas utilisé et ne veulent pas, et les vendeurs se connectent avec des politiciens qui ne représentent que 10 % des acheteurs. Les personnes qui décident de construire ou d'approuver ou d'investir dans la construction d'un moulin à eau sans mort indésirable, ne sont pas ceux qui paient pour le produit. Chaque nouveau moulin à vent est un alimentateur automatique des consommateurs forcés britanniques. Il est donc dans les intérêts des gouvernements écossais de jeter cette situation pour tout ce qu'elle vaut et d'approuver chaque tour. Qu'est-ce qui les empêchera de transformer l'ensemble de l'Écosse en un éolien géant ? Peut-être seulement un Brexit dur avec l'Ecosse a-t-il laissé derrière lui.

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  7. Gardez à l'esprit que certains Scots pauvres doivent supporter ces tours, et ils protestent, mais se sont noyés par la rivière de la graisse pompée du sud.

    Les couches de stupides ne s'arrêtent pas là. Certaines entreprises risquent de faire escroquer les deux côtés de la frontière. Il y a des entreprises qui veulent construire encore plus de tours en Écosse, mais sur le côté sud de l'équation, ils peuvent être les mêmes payés des taux élevés pour se précipiter et compléter l'approvisionnement manquant à la dernière minute lorsque les éoliennes écossaises sont dit de s'éteindre. Il y a un prix non vu pour la volatilité de l'énergie éolienne.

    La raquette électrique éolienne
    Par John Constable et Matt Ridley

    Imaginez une usine de saucisses - l'usine de saucisse la plus chanceuse et rentable au monde. Ses machines ouvrent leurs saucisses, et les camions les transportent vers les supermarchés. Jusqu'à présent, c'est normal.

    Mais cette usine particulière fabrique autant de saucisses que la direction et le personnel choisissent. Si elles ont envie de prendre le jour de congé, les camions et les étagères restent vides. S'ils veulent aller un peu sauvage, ils font parfois tant de saucisses qu'il n'y a pas assez de camions pour les emporter. Ou ils continuent à démarrer des saucisses, même si les étagères sont déjà pleines.

    Et voici la chose vraiment étonnante: même lorsque les camions ne peuvent pas faire face ou qu'il n'y a pas de demande de saucisses, l'usine est payée. En effet, on leur paye plus pour ne pas envoyer les saucisses aux magasins que pour les envoyer. C'est une entreprise aussi géniale que l'usine est en train de construire une extension, de sorte qu'elle peut menacer de faire encore plus de saucisses indésirables.

    Est-ce que tout cela semble complètement fou ? Bien sûr, il le fait. Mais c'est ce qui se passe dans l'industrie britannique de l'électricité - où l'usine de saucisses d'imprimerie et de chantage est un parc éolien en Écosse.

    Lisez tout au CapX ...

    http://joannenova.com.au/2017/08/uk-wind-farms-paid-to-not-make-sausages/

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  8. Les scientifiques révèlent comment les poissons rouges font de l'alcool pour survivre sans oxygène


    11 août 2017


    Les scientifiques des universités d'Oslo et de Liverpool ont découvert le secret de la remarquable capacité d'un poisson rouge à produire de l'alcool comme moyen de survivre à des hivers rigoureux sous les lacs gelés.

    Les humains et la plupart des autres animaux vertébrés meurent en quelques minutes sans oxygène. Pourtant, les poissons rouges et leurs parents sauvages, les carpes cruciennes, peuvent survivre pendant des jours, voire des mois, dans de l'eau sans oxygène au fond des étangs couverts de glace.

    Pendant ce temps, les poissons sont capables de convertir de l'acide lactique produite anaérobie en éthanol, qui diffuse à travers leurs branchies dans l'eau environnante et évite une accumulation dangereuse d'acide lactique dans le corps.
    Le mécanisme moléculaire derrière cette capacité très inhabituelle, unique parmi les vertébrés et plus communément associé à la levure de bière, a été découvert et est publié dans la revue Scientific Reports.

    L'équipe internationale a montré que les muscles du poisson rouge et de la carpe crucienne ne contiennent pas seulement l'habituel, mais deux séries de protéines normalement utilisées pour canaliser les glucides vers leur rupture dans les mitochondries d'une cellule - une étape clé pour la production d'énergie.

    Bien qu'un ensemble de ces protéines semble très similaire à celui d'autres espèces, le deuxième ensemble est fortement activé par l'absence d'oxygène et montre une mutation qui permet de canaliser des substrats métaboliques à la formation d'éthanol en dehors des mitochondries.

    D'autres analyses génétiques suggèrent que les deux ensembles de protéines sont apparus dans le cadre d'un événement de duplication de génome complet dans un ancêtre commun de poissons rouges et de carpes cruciennes il y a environ 8 millions d'années.

    Le Dr Michael Berenbrink, un physiologiste de l'évolution de l'Université de Liverpool, a déclaré: "Pendant leur temps dans de l'eau exempte d'oxygène dans les étangs couverts de glace, qui peuvent durer plusieurs mois dans leur habitat du nord de l'Europe, les concentrations d'alcoolémie dans la carpe crucienne peuvent atteindre plus de 50 mg par 100 millilitres, ce qui dépasse la limite de conduite de boissons dans ces pays.

    "Cependant, c'est encore une situation bien meilleure que le remplissage de l'acide lactique, qui est le produit final métabolique pour d'autres vertébrés, y compris les humains, lorsqu'ils sont dépourvus d'oxygène".

    L'auteur principal, le Dr Cathrine Elisabeth Fagernes, de l'Université d'Oslo, a déclaré: «Cette recherche met l'accent sur le rôle des duplications du génome complet dans l'évolution de la nouveauté biologique et l'adaptation des espèces aux environnements inhospitaliers antérieurs.

    «La production d'éthanol permet aux carpes cruciennes d'être les seules espèces de poissons qui survivent et exploitent ces environnements difficiles, évitant ainsi la concurrence et échappant à la prédation par d'autres espèces de poissons avec lesquelles elles interagissent normalement dans de meilleures eaux oxygénées.

    "Ce n'est pas étonnant que le cousin de la carpe crucian, le poisson rouge, soit sans doute l'un des animaux les plus élastiques sous soins humains".

    https://phys.org/news/2017-08-scientists-reveal-goldfish-alcohol-survive.html

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  9. Une estimation d'épaisseur améliorée pour les continents terrestres


    11 août 2017
    Par Bob Yirka rapport


    (Phys.org) - Un trio de chercheurs de l'Université de Southampton dans l'U.K a utilisé une nouvelle technique pour mieux comprendre l'épaisseur des continents terrestres. Dans leur article publié dans la revue Science, Saikiran Tharimena, Catherine Rychert et Nicholas Harmon décrivent en utilisant des réflexions sismiques associées à des rebonds de surface pour mieux comprendre les limites de Craton. Brian Savage avec l'Université de Rhode Island offre une courte histoire de recherche sur les limites des continents dans une perspective dans le même numéro de journal, décrit le nouvel effort et explique comment les résultats s'inscrivent dans d'autres théories.

    La lithosphère terrestre comprend les océans, la croûte et les portions situées au-dessous du manteau. La lithosphère comprend également les continents. Bien que l'on sache beaucoup sur les continents, un mystère majeur reste - à quel point sont-ils épais? Plusieurs théories ont été développées avec des estimations allant de 135 à 400 kilomètres, mais personne n'a mis au point une méthode de consensus pour tester l'épaisseur. Dans ce nouvel effort, les chercheurs rapportent une nouvelle possibilité.

    Pour en savoir plus sur le fonctionnement interne de la planète, les scientifiques comptent principalement sur le suivi des ondes sismiques générées naturellement lors des tremblements de terre. De telles ondes sont classées en différents types et se déplacent dans différentes parties de la planète. En notant les changements dans la vitesse de ces ondes, les chercheurs peuvent en apprendre davantage sur les matériaux qu'ils rencontrent. Pour en savoir plus sur la profondeur continentale, les chercheurs ont recueilli des données sismiques de centaines de tremblements de terre qui se sont produites dans de multiples régions, notant où elles ont changé de vitesse par rapport aux cratons, qui sont considérés comme les parties les plus anciennes des continents: ils s'asseyent ou se rapprochent de Frontière entre la lithosphère et le manteau.

    Les chercheurs rapportent qu'ils ont constaté des changements de vitesse à des profondeurs de 130 à 190 kilomètres, ce qui semble être la même gamme de profondeur que les diamants trouvés dans les xénolithes (roches poussées à la surface par les volcans) qui se sont stabilisées. Il est également dans la même gamme que les dépôts de fusion trouvés par d'autres chercheurs. Collectivement, le travail suggère que l'épaisseur des continents est l'épaisseur de la croûte plus 130 à 190 kilomètres.

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  10. Les continents épais et rigides se déplacent sur le manteau sous-jacent faible, bien que les contraintes géophysiques et géochimiques sur l'épaisseur exacte et le mécanisme de définition des plaques continentales soient largement discordantes. Les xénolithes suggèrent une lithosphère chimique continentale de 175 kilomètres d'épaisseur, tandis que la tomographie sismique supporte une racine beaucoup plus épaisse (> 250 kilomètres) et une transition lithosphère-asthénosphère progressive, compatible avec une définition thermique. Nous avons modélisé les formes d'ondes précurseurs SS à partir d'intérieurs continentaux et avons trouvé une chute de vitesse de 7 à 9% à des profondeurs de 130 à 190 kilomètres. La profondeur de discontinuité est bien corrélée avec les profondeurs d'origine des xénolithes diamantés et correspond à la transition des xénolithes grossiers aux déformés. À cette profondeur, la géothermie dérivée du xénolite coupe également le solidate carbonate-silicate, ce qui suggère que la fusion partielle définit les limites des plaques sous l'intérieur continental.

    https://phys.org/news/2017-08-thickness-earth-continents.html#jCp

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  11. Les chercheurs utilisent CRISPR pour manipuler le comportement social dans les fourmis


    10 août 2017


    La technologie d'édition de gènes appelée CRISPR a révolutionné la façon dont la fonction des gènes est étudiée. Jusqu'à présent, CRISPR a été largement utilisé pour modifier précisément les organismes monocellulaires et, plus important encore, les types spécifiques de cellules dans des organismes plus complexes. Maintenant, deux équipes indépendantes d'enquêteurs signalent que le CRISPR a été utilisé pour manipuler les œufs de fourmis, ce qui entraîne des changements de la lignée germinale qui se produisent dans chaque cellule des animaux adultes dans toute la colonie de fourmis. Les articles apparaissent le 10 août dans Cell.

    «Ces études sont la preuve du principe selon lequel vous pouvez faire de la génétique dans les fourmis», explique Daniel Kronauer, professeur adjoint à l'Université Rockefeller et auteur principal de l'une des études. "Si vous êtes intéressé à étudier les comportements sociaux et leur base génétique, les fourmis sont un bon système. Maintenant, nous pouvons éliminer tout gène que nous pensons influencer le comportement social et voir ses effets".

    Parce qu'ils vivent dans des colonies qui fonctionnent comme des superorganismes, les fourmis sont également un modèle précieux pour l'étude de systèmes biologiques complexes. Mais les colonies de fourmis ont été difficiles à cultiver et à étudier dans le laboratoire en raison de la complexité de leurs cycles de vie.

    Les équipes ont trouvé un moyen de contourner cela, en utilisant deux espèces différentes de fourmis. L'équipe de Rockefeller a utilisé une espèce appelée fourmis clonales (Ooceraea biroi), qui manque de reines dans leurs colonies. Au lieu de cela, les œufs simples non fertilisés se développent comme des clones, créant un grand nombre de fourmis qui sont génétiquement identiques par la parthogenèse. "Cela signifie qu'en utilisant CRISPR pour modifier des oeufs simples, nous pouvons rapidement développer des colonies contenant la mutation du gène que nous voulons étudier", dit Kronauer.

    L'autre équipe, une collaboration entre les chercheurs de l'Université de New York et la NYU School of Medicine, l'Arizona State University, la Perelman School of Medicine à l'Université de Pennsylvanie et l'Université de Vanderbilt. , Ont utilisé des fourmis indiennes (saltator de Harpegnathos). «Nous avons choisi cette espèce car elles ont une caractéristique particulière qui permet de transformer facilement les travailleurs en reines», explique Claude Desplan, professeur d'argent à NYU et l'un des auteurs principaux de la deuxième étude. Si la reine meurt, les jeunes fourmis ouvrières commenceront le duel pour la domination. Finalement, l'un d'entre eux devient un «pseudoqueen», également appelé «gamergate», et est autorisé à pondre des œufs.

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  12. "Dans le laboratoire, nous pouvons injecter un embryon de travailleur pour changer son maquillage génétique", explique Desplan. "Nous convertions ensuite le travailleur en un pseudoqueen, qui peut jeter des œufs, propager les nouveaux gènes et engendrer une nouvelle colonie".

    Desplan, l'auteur co-senior Danny Reinberg, un investigateur de l'Institut médical Howard Hughes à NYU Langone, et Shelley Berger, professeur de l'Université Daniel S. Och aux départements de Biologie Cellulaire et de Développement et de Biologie à Penn, ont commencé à étudier ces fourmis il y a plusieurs années Comme moyen d'apprendre l'épigénétique, qui se réfère à des changements dans l'expression des gènes plutôt que des changements dans le code génétique lui-même. "Les reines et les fourmis ouvrières sont génétiquement identiques, essentiellement des sœurs jumelles, mais elles se développent très différemment", explique Desplan. "Cela en fait un bon système pour étudier le contrôle épigénétique du développement".

    Le gène que les deux équipes de recherche éliminées par CRISPR s'appelle orco (corecepteur de récepteur odorant). Les fourmis ont 350 gènes pour les récepteurs odorants, un nombre prohibitif pour gérer individuellement. Mais en raison de la biologie unique de la façon dont les récepteurs fonctionnent - un grand coup de chance, dans ce cas - les enquêteurs ont pu bloquer la fonction de tous les 350 avec un seul knockout. "Chacun de ces récepteurs doit faire équipe avec le corcepteur d'Orco afin d'être efficace", explique Waring Trible, un étudiant du laboratoire de Kronauer et le premier auteur de l'étude Rockefeller. Une fois que le gène a été éliminé, les fourmis ont effectivement été efficaces aveugles aux signaux de phéromone qu'elles utilisent normalement pour communiquer. Sans ces indices chimiques, elles deviennent asociales, errant hors du nid et ne cherchant pas de nourriture.

    Changements induits par l'édition génétique de la communication sociale

    Le selator Harpegnathos est un système modèle émergent pour étudier comment les processus épigénétiques régulent la fonction et le comportement du cerveau parce que les travailleurs adultes conservent la possibilité de transformer en personnes reproductrices qui agissent comme des reines.

    Plus étonnamment, le fait d'éliminer l'orco a également affecté l'anatomie du cerveau chez les animaux adultes des deux espèces. De la même manière que les humains ont des centres de traitement spécialisés dans le cerveau pour des choses comme la reconnaissance du langage et du visage, les fourmis ont des centres qui sont responsables de percevoir et de traiter les indices olfactifs qui sont élargis par rapport à d'autres insectes. Mais dans ces fourmis, les sous-structures de ces centres sensoriels, appelés glomérules de lobes antenaux, manquaient en grande partie.

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  13. "Il y a beaucoup de choses que nous ne connaissons toujours pas pourquoi c'est le cas", dit Kronauer. "Nous ne savons pas si les neurones meurent chez les adultes parce qu'ils ne sont pas utilisés ou qu'ils ne se développent jamais en premier lieu. C'est quelque chose que nous devons suivre. Et éventuellement, nous aimerions apprendre dans quelle mesure le phénomène chez les fourmis est similaire à ce qui se passe chez les mammifères, où le développement du cerveau dépend en grande partie de l'apport sensoriel ".

    "Une meilleure compréhension, en termes biochimiques, de la façon dont le comportement est façonné pourrait révéler des idées sur les troubles dans lesquels les changements dans la communication sociale sont une caractéristique, comme la schizophrénie ou la dépression", dit Berger.

    Dans une troisième étude connexe de l'Université de Pennsylvanie, les chercheurs dirigés par Roberto Bonasio ont modifié le comportement des fourmis en utilisant la corazonine chimique du cerveau. Lorsque la corazonine est injectée dans des fourmis en transition pour devenir une pseudo-reine, elle supprime l'expression de la vitellogénine de la protéine de cerveins. Ce changement a stimulé les comportements de chasse des travailleurs, tout en inhibant les comportements pseudo-reine, comme le duel et le dépôt d'oeufs.

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    Trois fourmis mutantes dans une colonie ont été conçues pour ne pas avoir le gène orco qui leur permet de «sentir l'odorat». À mesure que les fourmis communiquent à l'aide de phéromones, ces fourmis deviennent incapables d'interagir avec d'autres personnes ou de retrouver leur chemin à la maison en suivant les pistes de phéromone.

    De plus, lorsque l'équipe a analysé les protéines produites par le cerveau des fourmis pendant la transition pour devenir une pseudo-reine, elles ont constaté que la corazonine est similaire à une hormone reproductrice chez les vertébrés. Plus important encore, ils ont également découvert que la libération de corazonine est désactivée alors que les travailleurs devinrent pseudo-reines. La corazonine est également préférentiellement exprimée chez les travailleurs et les fourrages d'autres espèces d'insectes sociaux. En plus de la corazonine, plusieurs autres gènes ont été exprimés de manière spécifique au travail ou à la reine.

    «Les insectes sociaux tels que les fourmis sont des modèles exceptionnels pour étudier comment la régulation des gènes affecte le comportement», explique Bonasia, professeur adjoint de biologie des cellules et du développement. "C'est parce qu'ils vivent dans des colonies composées d'individus avec les mêmes génomes mais des ensembles de comportements très différents".

    https://phys.org/news/2017-08-gene-editing-induced-ant-social.html#jCp

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  14. Le Figaro: la Russie gagne une bataille dans la guerre des sanctions


    15:45 11.08.2017


    Malgré la hausse des prix, l'agriculture et l'élevage connaissent toujours une croissance ininterrompue depuis l'introduction des sanctions antirusses en 2014. Selon Le Figaro, la raison de cette réussite réside dans les contre-mesures efficaces prises par Vladimir Poutine en réponse aux actions de l'Occident.

    Les mesures protectionnistes que la Russie a adoptées le 1 er août 2014 face aux sanctions occidentales ont permis à certains secteurs de l'économie russe tels que l'agriculture et l'élevage de connaître une croissance considérable par rapport aux années précédentes, écrit Le Figaro.

    Agriculture

    Selon la publication, suite à une récolte incroyable en 2016, qui a projeté la Russie parmi les principaux exportateurs de céréales, il est devenu clair que le Kremlin a gagné une bataille dans la guerre des sanctions. Le fait que le secteur agricole connaisse 3 % de croissance par an depuis 2014 fait espérer que dans les années à venir la Russie devienne un pays indépendant dans le domaine. Un succès considérable, compte tenu que dans les années 1990, la Russie recevait une aide humanitaire, rappelle l'auteur de l'article.

    Ainsi, le Service fédéral des statistiques, Rosstat, indique que le volume des importations de 43 % au cours du premier trimestre de 2014 est tombé à 37 % pour la même période de cette année. Les meilleurs résultats ont été obtenus dans le commerce de la viande, où les importations ont été divisées par trois.

    Nouvelles sanctions antirusses : l’UE également ciblée

    Pourtant, il existe des facteurs qui exercent une influence négative sur le secteur, notamment le taux élevé de refinancement de crédit de 9%, ainsi que l'instabilité de l'environnement macroéconomique car la production nationale dépend des fluctuations du rouble ou de la présence de mesures protectionnistes.

    En outre, dans de nombreux domaines, certains importateurs ont été remplacés par d'autres. Par exemple, les pommes polonaises viennent maintenant du Mexique, les oranges espagnoles de l'Argentine et les crevettes du Canada ont été remplacées par des nicaraguayennes. Les produits laitiers sont achetés en Biélorussie, en Inde, en Serbie, en Uruguay et même en Suisse.

    Vendredi, Rosstat a signalé un ralentissement du taux d'inflation annuel en juillet à 3,9 %. Le ministère du Développement économique a rapporté que ce ralentissement était principalement lié à la sensible baisse des prix des fruits et légumes sur fond d’augmentation de l'offre.

    https://fr.sputniknews.com/economie/201708111032607898-figaro-russie-gurre-sanctions/

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  15. « Boulots de merde » : On revient à une économie de type féodale, une économie de la domesticité


    Nolwenn Weiler
    Bastamag.net
    mar., 08 août 2017 23:29 UTC


    Produire ou servir plus, avec moins : c'est l'injonction faite à tous les travailleurs, des chaînes de montage automobiles aux couloirs des hôpitaux, en passant par les salles de classe ou les bureaux de poste. A la souffrance de ces boulots dégradés, s'ajoute la précarité grandissante de travailleurs qui quittent le salariat pour la « liberté » de l'auto-entrepreunariat. Une violence sociale féroce dans laquelle les journalistes Julien Brygo et Olivier Cyran ont plongé pour écrire leur ouvrage Boulots de merde.

    Ils y décrivent l'âpre quotidien de celles et ceux qui exercent des métiers difficiles et souvent utiles, à comparer avec certains boulots très bien payés et plutôt confortables, mais qu'ils jugent socialement nuisibles. Entretien.

    Basta ! : Le titre de votre livre, Boulots de merde, se réfère au texte de l'anthropologue David Graeber sur les « bullshit jobs » [1]. Il y décrit les métiers absurdes qu'induit le capitalisme financier, tels que ceux exercés par les avocats d'affaire, lesquels s'ennuient prodigieusement au travail. Mais pour vous, les bullshit jobs ne concernent pas que les cols blancs, loin s'en faut. Pourquoi ?

    Julien Brygo et Olivier Cyran [2] : Nous avons été séduits par cette idée de David Graeber selon laquelle, dans le capitalisme financier, des millions d'individus sont employés à ne rien faire d'utile, comme effectivement les avocats d'affaire : ils sont bien payés et très reconnus socialement, mais ils s'ennuient tellement au travail qu'ils passent leur temps à télécharger des séries ou à réactualiser leur page Facebook. Ceci dit, il nous semble que les « vrais » boulots de merde, ce sont quand même plutôt ceux qui sont exercés en bas de l'échelle sociale dans les secteurs du nettoyage, de la restauration, de la livraison à domicile, de la distribution de prospectus publicitaires, etc. Bref : des métiers pénibles où l'on paie de sa personne, qui participent à la croissance du PIB et à la baisse des chiffres du chômage.

    Nous pouvons y ajouter les boulots « utiles » comme les infirmières, les professeurs ou les facteurs, dont les conditions se sont tellement dégradées qu'ils deviennent vraiment « merdiques » eux aussi. Nous avons voulu incarner ces vies et tracer un lien avec les gestionnaires de patrimoine et autres héros financiers tels que les journalistes boursiers, qui exercent des métiers nuisibles socialement : les gestionnaires de patrimoine font partie des organisateurs de ce qui est appelé béatement « l'optimisation fiscale » et qui prive la collectivité des recettes de l'impôt.

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  16. « À la faveur de l'entassement des richesses dans les mains d'une élite de plus en plus dodue et capricieuse, le secteur des tâches domestiques où l'on s'abaisse devant son maître se répand », dites-vous. Pouvez-vous détailler ?

    Entre 1995 et 2010, dans le monde, le nombre de travailleuses domestiques a grimpé de plus de 60 %. 52 millions de femmes exercent ces « métiers ». Cette hausse correspond à la montée des inégalités. On revient à une économie de type féodale, une économie de la domesticité dans laquelle les plus riches sous-traitent leur confort en employant une nounou, ou bien une, deux ou trois bonnes. Le tout avec le soutien de l'État puisque, par exemple, la gauche plurielle de Lionel Jospin a instauré en France le subventionnement de tous ces métiers via les crédits d'impôts.

    Des métiers que l'on croyait disparus, parce que réservés à une époque de semi-esclavagisme, refont leur apparition, comme les cireurs de chaussures, parfois avec l'étiquette « économie sociale et solidaire ».

    Suite à un appel à projets lancé en 2012 dans le département des Hauts-de-Seine, sous l'égide de Jean Sarkozy, le réseau « les Cireurs » a ainsi obtenu 50 000 euros de subvention au titre de « l'aide à l'économie sociale et solidaire ». Fondé par une diplômée d'école de commerce, ce réseau réunit des individus qui, en contrepartie du droit d'usage de l'enseigne ( censée appâter le chaland ), acceptent d'être auto-entrepreneurs. Pas d'indemnités en cas d'arrêt maladie, aucun droit aux allocations chômage.

    On entend partout que le Smic c'est « l'ennemi de l'emploi ». Mais le Smic n'existe plus depuis longtemps. Il existe de nombreuses manières de passer outre le salaire minimum. Par exemple, le CDI à temps partiel, avec la pré-quantification du temps de travail. C'est ce qui a été négocié par les géants de la distribution de prospectus publicitaires, Adrexo et Médiapost. Les salariés que nous avons rencontrés travaillent 30 % de plus en moyenne que ce qui est indiqué sur leur contrat, et que ce qui leur est payé. Un couple de retraités touchait à peine trois euros de l'heure, soit deux fois et demi moins que le Smic ! La convention collective de la restauration est un autre moyen de faire travailler les gens gratuitement : les heures supplémentaires ne sont pas payées. Résultat ? Les salariés sont payés 24 heures, et en font 60. Le reste étant - parfois - payé au black. Dans les secteurs où la France est championne - le tourisme, la grande distribution, l'hôtellerie-restauration... -, il y a au moins deux millions d'emplois payés entre 25 et 80 % du Smic !

    Il y a en fait une vraie fascination du patronat pour le travail gratuit, et les dirigeants politiques s'empressent de leur donner des outils juridiques qui légalisent cette gratuité : prenons le service civique payé deux fois moins qu'un Smic - et même seulement 1/10ème du Smic pour l'employeur - ; ou encore le contrat de professionnalisation auquel recourt beaucoup la grande distribution : pour 150 heures de formation théorique - qui consiste en fait à remplir des rayons ou à faire du nettoyage - l'entreprise touche 2 250 euros par contrat. Le dispositif coûte des millions d'euros aux contribuables chaque année.

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  17. Y a-t-il là une spécificité française ?

    La grande distribution, c'est une spécialité française. Et le secteur est friand de boulots dégradés. Le projet Europacity (immense centre commercial à proximité de Paris, ndlr), du groupe Mulliez et de sa filiale Immochan, c'est la promesse de 10 000 boulots de merde. Autre secteur passionné par cette économie du « larbinat » : le tourisme. Dans les Alpes, des vallées entières sont de véritables réservoirs à larbinat : tout le monde travaille pour les quelques privilégiés qui peuvent se payer des sports d'hiver. Il y a des contrats prévus pour les CDI à temps partiels, les intermittents, les apprentis, les stagiaires, etc. Précisons que la France est aussi championne du monde des anti-dépresseurs et des médicaments, notamment pour supporter tous ces travaux infernaux.

    Contre Europacity

    Le secteur privé n'est pas le seul à malmener les travailleurs. Les fonctionnaires sont eux aussi essorés par les « restructurations » de services et les suppressions de postes en pagaille. Que vous-ont raconté les fonctionnaires que vous avez rencontrés ?

    L'obsession pour la réduction des effectifs est un drame. Tout le monde semble s'accorder pour dire qu'il est important de réduire le chômage. C'est constamment dans la bouche des responsables politiques. Mais la phrase d'après, c'est : « Je m'engage à virer 500 000 fonctionnaires ». Parce qu'ils n'arrivent pas à se figurer que des métiers qui ne dégagent pas de marge financière puissent néanmoins être utiles. Tout doit être « rentable ». Nous payons des années de convergence idéologique entre les élites politiques et les détenteurs du capital. Les gens chargés de « réorganiser » drastiquement le CHU de Toulouse, où nous avons fait un reportage, sortent d'écoles de commerce. Ils ont officié chez Carrefour, Pimkie et Danone. Ils se retrouvent à gérer sur ordinateur de l'humain, alors qu'ils ne connaissent que les chiffres.

    Les aides soignantes et les infirmières sont censées remplir des chiffres bêtement sans se poser de questions. Elles doivent soigner tant de malades en une journée, peu importent les spécificités des personnes malades ou les imprévus. Elles ont tant à faire en si peu de temps que leur travail est devenu impossible (Ndlr : lire notre article sur le sujet : Sauver des vies en temps de crise : le difficile quotidien des infirmiers). En fin de journée, elles sont épuisées et complètement stressées parce qu'elles ne savent plus si elles ont posé correctement telle perfusion, donné tel médicament à la bonne personne au bon moment...

    Tous les services publics sont touchés par cette recherche de rentabilité. Les facteurs se sont ainsi transformés en vendeurs de systèmes de télésurveillance, ou en promeneurs de chiens. L'objectif est de soutirer de l'argent à cette importante manne financière que sont les vieux en France. Cela porte évidemment atteinte à la dignité des facteurs, qui ont toujours aidé les plus anciens au cours de leurs tournées, mais gratuitement ! Les policiers de leur côté sont devenus des machines à gazer des manifestants ou des réfugiés. Certains en ressentent un certain malaise. Être obligé de reconduire tant de migrants à la frontière chaque année, cela n'est pas sans conséquences mentales sur les personnes.

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  18. Vous expliquez que tous ces « remaniements » de services publics sont inspirés du « lean management », une méthode élaborée dans les années 1950 au Japon par les ingénieurs de Toyota, et revue par le très libéral Massachusetts Institute of Technology (MIT) aux États-Unis au début des années 1990. Comment cela se traduit-il dans le monde du travail ?

    Le « lean management » est devenu la marotte des directions de ressources humaines, et s'immisce et se propage dans tous les secteurs du monde du travail : dans les multinationales ou les services publics, chez les gros industriels et les sous-traitants. Il consiste à imposer aux salariés de faire plus avec moins, en s'attaquant notamment à tous les temps morts : les pauses jugées superflues, les respirations qualifiées d'improductives, toutes les minutes qui ne sont pas « rentables ». Dans nos reportages, tout montre que les travailleurs n'arrivent pas à faire face à cette intensification du travail. Ce qu'on leur impose en terme de rythme et d'objectifs n'a plus de sens. Nous nous dirigeons vers un état de souffrance au travail généralisée. Il y a des vagues de suicides partout. Et on parle là des secteurs de la santé ou de l'éducation : ce sont des secteurs fondamentaux de notre vie sociale.

    Tout cela ne se fait-il pas avec le prétendu assentiment des salariés, que l'on somme de participer au changement organisationnel ?

    Si. C'est toute la perfidie du « lean management ». On donne aux salariés l'illusion qu'ils peuvent changer le système ; en fait on les oblige à accepter de se faire humilier. C'est le principe de la bonne idée rémunérée chez PSA : 300 euros pour l'idée simple, 500 euros pour la super idée, 1 000 euros pour l'excellente idée. On fait croire aux salariés qu'ils sont d'accord et qu'ils valident le système. Alors que c'est faux, bien entendu. Neuf salariés sur dix pensent qu'ils ont besoin de plus de collègues, et de plus de temps pour pouvoir bien faire les choses. Un infirmer de Toulouse nous a expliqué qu'il a besoin de moins de produits anesthésiants lorsqu'il prend le temps de parler avec ses patients avant de les endormir. Mais ce n'est pas du tout intégré par la nouvelle organisation. Il doit faire vite, endormir tant de patients en une journée, peu importe si pour cela il doit consommer plus de produits. Toute cette organisation du travail a des effets criminels : il y a eu quatre suicides cet été à l'hôpital de Toulouse.

    En France, la « loi travail », qui a fait l'objet d'une intense mobilisation durant l'année 2016, a-t-elle pour conséquence d'entériner ces méthodes ?

    Avec cette loi, qui vise à faire passer le code du travail au second plan, on s'éloigne encore davantage du principe « une heure travaillée = une heure payée ». Elle est taillée sur mesure pour les entreprises qui veulent en finir avec le salariat. L'article 27 bis précise par exemple qu'il n'y a pas de lien de subordination entre les plate-formes de mise en relation par voie électronique comme Uber et les auto-entrepreneurs qui travaillent pour elles. C'est ce lien qui définit le salariat et permet entre autres aux travailleurs d'aller aux Prud'hommes faire valoir leurs droits. On désarme complètement les travailleurs, alors qu'ils subissent un vrai lien de subordination - ce sont les plate-formes qui leur donnent du travail, évaluent les travailleurs et les sanctionnent - sans les compensations garanties par le statut salarié.

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  19. Un livreur à vélo pour une « appli » de repas à domicile le souligne dans notre livre :
    « Pour arriver à un salaire intéressant, il faut travailler une soixantaine d'heures par semaine. Sur ce revenu, il faut payer environ 23% d'impôts au titre de l'auto-entrepreneuriat. L'arnaque totale. T'es taxé alors que eux, tes patrons, ils ne paient aucune cotisation sociale. »

    Les livreurs sont incités à aller très vite, quitte à frôler les accidents, étant donné qu'ils sont payés à la course. Et celui qui tombe de son vélo, il se fait non pas virer, mais « éliminer ». Il « quitte le jeu », en quelque sorte. Il ne touche plus aucun salaire, ni aucune indemnité. C'est un système d'une violence incroyable, qui se fait passer pour cool, jeune et dynamique. Les livreurs n'ont pas le droit au scooter, ils ne doivent rouler qu'à vélo - qu'ils doivent se procurer eux-mêmes - parce que cela donne une image écolo à l'entreprise...

    Vous reprochez aux médias leur complicité avec ces conceptions très libérales du travail...

    Les médias jouent un rôle central dans la diffusion de cette idée sous-jacente que la précarisation est nécessaire. Il faut travailler pour avoir une existence sociale quels que soient l'emploi et les conditions de travail. Le fait de donner chaque mois les chiffres du chômage nous plonge dans une vision statisticienne du monde, avec cet objectif de faire baisser le chômage quoi qu'il en coûte. Les journalistes relaient avec beaucoup de zèle cette idée selon laquelle « mieux vaut un mauvais travail que pas de travail du tout ». Cela devient légitime d'accepter un boulot de merde simplement parce qu'il est proposé. Évidemment, pour rien au monde les journalistes ne feraient ces boulots de merde. Nous avons là une vision de classe.

    Les médias jouent aussi beaucoup avec la culpabilisation du chômage, en répétant sans cesse à quel point c'est honteux de ne pas travailler, et en enchaînant les « Une » sur les avantages de l'auto-entreprenariat. Nous sommes étonnés de constater, même autour de nous, à quel point les gens ont honte de dire qu'ils touchent des prestations sociales. Alors que cet argent, les gens l'ont cotisé, via leurs boulots antérieurs. Ce sont des garde-fous qui ont été mis en place pour éviter que des gens ne tombent dans la misère totale.

    Les médias sont par ailleurs très sévères quand ils décrivent les luttes sociales, comparant volontiers les grévistes avec des preneurs d'otages, ou les manifestants avec des casseurs. Entre ces jugements très négatifs et la répression qui va grandissante, les luttes collectives peuvent-elles se faire une place, et redonner du sens au travail ?

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  20. Il nous semble que le patronat va tout faire pour imposer l'idée selon laquelle il faut qu'on accepte cette société de mini-jobs, sans salaire minimum, avec des contrats « modernes », c'est-à-dire au rabais, davantage proche de auto-entrepreneuriat que du salariat avec ses « acquis » sociaux qu'ils jugent « insupportables ». Au niveau juridique et législatif, tout est bouché. L'inspection du travail est attaquée de front. Les procédures prud'homales engendrent parfois plus de cinq ans d'attente - et de paperasse - pour obtenir réparation et se faire rembourser l'argent volé. C'est un combat très inégal.

    La criminalisation des mouvement sociaux et la répression des luttes collectives répondent à l'obsession politique clairement formulée qui vise à désarmer la CGT : ils veulent empêcher les travailleurs de reprendre le contrôle de leur travail et d'exercer leur capacité de nuisance sociale afin d'inverser un rapport de force. Cela indique que le patronat et ses relais politiques sont prêts à un affrontement, qu'ils exigent même la violence de cet affrontement.

    Ils veulent faire sauter les derniers verrous, ils veulent une société sans filets, où quelques privilégiés auront accès à des métiers survalorisés socialement et correspondant même à des compétences, tandis qu'en bas, ils poseront les jalons d'une société de logisticiens du dernier mètre payés à la tâche, esclaves des machines et de l'auto-exploitation auquel le capitalisme les auront assignés presque naturellement. Et lorsque le logisticien sera remplacé, il pourra toujours louer sa maison, sa guitare, sa voiture, pourquoi pas vendre père et mère, pour ne pas sombrer dans la misère ni « vivre avec la honte » d'être un « assisté ». On va sans doute aller vers une radicalisation des mouvements sociaux. Avec une grande répression derrière. C'est la seule possibilité pour le libéralisme économique de continuer à structurer nos vies : par la force.

    Propos recueillis par Nolwenn Weiler

    https://fr.sott.net/article/30960-Boulots-de-merde-On-revient-a-une-economie-de-type-feodale-une-economie-de-la-domesticite

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  21. L'insécurité de la sécurité sociale


    Par Tyler Durden
    11 août 2017 10:39
    Via RealInvestmentAdvice.com,


    Selon l'instantané de juin 2017 de l'Administration de la sécurité sociale, près de 61,5 millions de personnes recevaient un chèque de prestations mensuel, dont 68,2% étaient des retraités. Sur ces 41,9 millions de retraités, plus de 60 % comptent sur leur sécurité sociale pour être une source principale de revenus.

    Bien sûr, ce ratio de dépendance est directement lié à l'insolvabilité financière de la grande majorité des Américains. Selon une enquête sur l'investissement de Legg Mason, les baby boomers américains ont en moyenne 263 000 $ économisés dans des régimes à cotisations définies. Mais ce chiffre représente moins de la moitié des 658 000 $, ils disent qu'ils devront prendre leur retraite. Comme l'a noté GoBankingRates, plus de la moitié des Américains se retireront.

    C'est un énorme problème qui va non seulement influer sur les baby boomers en retraite, mais aussi sur l'économie et sur les marchés financiers. Il démontre également à quel point la sécurité sociale est essentielle pour les générations actuelles et futures des aînés.

    Bien sûr, le problème est que selon le dernier rapport du Conseil d'administration de la sécurité sociale publié le mois dernier, ces avantages pourraient être réduits pour 20% en retraite des retraités actuels et futurs si le Congrès ne parvenait pas à agir. Malheureusement, compte tenu de la fracture partisane actuelle au Congrès, qui ont été en guerre les uns avec les autres depuis la crise financière, il est apparemment peu capable de parvenir à un accord sur la façon de mettre la Sécurité sociale sur un pied d'égalité. Cela place ces «baby boomers», 78 millions d'Américains nés entre 1946 et 1964 qui ont commencé à se retirer l'année dernière, au risque potentiel pendant leur retraite.

    Bien que le rapport des fiduciaires prédit que les réserves d'actifs pourraient toucher 3 billions de dollars d'ici 2022, ce qui implique que le programme devrait rester opérationnel positif jusqu'en 2021, à compter de 2022, et chaque année par la suite jusqu'en 2091, la sécurité sociale versera plus d'avantages que Générant des revenus, entraînant un déficit de trésorerie de 12,5 trillions de dollars entre 2034 et 2091. C'est un problème qui ne peut être résolu sans réformes internes au fonds de pension en raison spécifiquement de deux facteurs: la démographie et le chômage structurel.

    En ce qui concerne le problème démographique, il s'agit d'un coup de poing "one-two knock out" qui frappera non seulement la sécurité sociale, mais aussi les systèmes de retraite municipaux et fédéraux du pays. Comme je l'ai déjà mentionné:

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  22. "L'un des principaux problèmes continue d'être la diminution du ratio des travailleurs par retraité à mesure que les retraités vivent plus longtemps (augmentant le nombre relatif de retraités) et des taux de natalité plus bas (en diminuant le nombre relatif de travailleurs). Ratio 'n'est pas seulement en baisse aux États-Unis, mais aussi dans une grande partie du monde développé. Cela s'explique par deux facteurs démographiques: l'augmentation de l'espérance de vie associée à un âge fixe de la retraite et une diminution du taux de fécondité ".

    Le changement structurel dans l'emploi, en raison de l'impact de la technologie et de l'automatisation, est un problème global auquel peu d'attention ne fait guère attention.

    Bien que les médias traditionnels concentrent leur attention sur la répartition quotidienne des points de données économiques, il existe une dépression économique cachée qui court le long du ventre du pays. Bien que le chômage signalé atteigne des niveaux historiquement bas, il y a une masse gonflée d'individus inconnus qui ont abandonné la recherche de travail ou qui travaillent à plusieurs emplois à temps partiel. Cela se voit clairement dans le tableau ci-dessous qui est la population en âge de travailler de personnes âgées de 16 à 54 ans en pourcentage de ce même groupe d'âge. Cela supprime l'argument de la retraite des baby-boomers, qui, ironiquement, ne se retirent pas parce qu'ils ne veulent pas, mais parce qu'ils ne peuvent pas se permettre.

    Ces niveaux plus élevés de sous et de chômage ont maintenu les pressions sur les salaires, même si les heures de travail ont été prolongées. La baisse du revenu réel est évidente car le bassin de travail «réel» en plein essor et la demande de travail salarié plus élevé supprime effectivement les salaires alors que les entreprises optent pour une productivité accrue, une externalisation continue et une rationalisation de l'emploi pour protéger les marges bénéficiaires des entreprises. Cependant, comme le coût de la vie est affecté par la hausse des prix des aliments, de l'énergie et des soins de santé sans augmentation compensatoire des revenus, plus de familles sont obligées de se tourner vers une assistance pour survivre.

    Sans générosité du gouvernement, beaucoup d'individus vivraient littéralement dans la rue. Le tableau ci-dessus montre tous les programmes gouvernementaux "sociaux" et les niveaux actuels à ce jour. La ligne noire représente la somme des sous-composants sous-jacents. Alors que l'assurance-chômage a diminué après sa forte hausse, la crise financière, la sécurité sociale, Medicaid, les prestations des anciens combattants et d'autres avantages sociaux ont continué d'augmenter.

    - voir graphiques sur site -

    Il est important de noter que, pour la personne moyenne, ces avantages sociaux sont essentiels à leur survie, car ils représentent plus de 22% des revenus personnels réels disponibles. Avec un quart des revenus dépendant des transferts gouvernementaux, il n'est pas surprenant que l'économie continue de se battre car les impôts recyclés utilisés à des fins de consommation n'ont pratiquement aucun impact sur l'ensemble de l'économie.

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  23. Au fur et à mesure que des millions de baby-boomers s'approchent de la retraite, plus de tension est appliquée au tissu social. Le moment précis de cette crise est moins important que son inévitabilité.

    Il y a deux facteurs critiques qui conduisent cette inévitabilité. Le premier est que le nombre d'employés «réels», tout en grandissant, se situe dans des emplois productifs et temporaires à faible revenu, et le taux de croissance de l'emploi est nettement inférieur à celui de la population. Étant donné que les cotisations de sécurité sociale sont calculées en pourcentage du revenu, les niveaux de revenu inférieurs produisent des cotisations plus faibles.

    Le deuxième facteur, comme indiqué ci-dessus, est que la part toujours plus importante des revenus personnels constitués des avantages du gouvernement réduit les cotisations de sécurité sociale.

    - voir graphiques sur site -

    Comme indiqué ci-dessus, le plus gros problème pour la sécurité sociale et les États-Unis en général vient lorsque la sécurité sociale commence à payer plus d'avantages que les taxes reçues. Au fur et à mesure que l'excédent de trésorerie est épuisé, ce qui est principalement le gouvernement de l'Union européenne, la sécurité sociale ne pourra pas bénéficier pleinement de ses recettes fiscales. Il faudra alors consommer des montants toujours croissants de revenus généraux pour faire face à ses obligations - l'argent qui paie maintenant pour tout, des programmes environnementaux à la construction d'autoroutes et à la défense. Finalement, tous les avantages devront être réduits ou le reste du gouvernement devra diminuer pour tenir compte de l'«État-providence». Il est très peu probable que ce dernier se produise.

    À mesure que des millions de baby-boomers commencent à prendre leur retraite, un autre problème émerge également. Les tendances démographiques sont assez faciles à prévoir et à prédire. Chaque année, d'ici 2025, nous verrons que les rondes successives des baby-boomers atteignent le seuil de 62 ans. Il y a un double problème causé par ces récoltes successives de baby-boomers qui se rendent à la retraite. La première est que chaque boomer n'a pas assez d'enfants pour se remplacer, ce qui entraîne une diminution du nombre de travailleurs qui paient des contributions. Il faut environ 25 ans pour développer un nouveau contribuable. Nous pouvons estimer, avec une précision surprenante, le nombre de personnes nées dans une année donnée pour vivre en retraite. Les retraités de 2070 sont nés en 2003, et nous pouvons les voir et les compter aujourd'hui.

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  24. Le deuxième problème est le problème de l'emploi. Le déclin de la prospérité économique, que nous avons discuté abondamment, causé par une dette excessive, une réduction de l'épargne, une baisse de la croissance des revenus due à des augmentations de productivité et le passage d'une société manufacturière à une société axée sur les services continuera à conduire à des niveaux inférieurs de revenus imposables avenir.

    Cette énigme du travail est critique. En 1950, alors que le baby-boom commençait tout juste à commencer, le bénéfice de chaque retraité était réparti entre 16 travailleurs. Les taxes pourraient être réduites. Aujourd'hui, ce nombre a chuté à 3 travailleurs par retraité, et d'ici 2025, il atteindra et restera à environ deux travailleurs par retraité. En d'autres termes, chaque couple marié devra payer, avec les frais de sa propre famille, les prestations de retraite de la sécurité sociale pour un retraité. Afin de payer les bénéfices promis, les impôts d'une certaine sorte doivent augmenter ou d'autres services gouvernementaux doivent être coupés. De retour en 1966, chaque salarié a bénéficié de 555 dollars de prestations sociales. Aujourd'hui, chaque employé doit supporter environ 18 000 $ de prestations. La tendance est évidemment insoutenable, à moins que les salaires ou l'emploi ne commencent à augmenter de façon spectaculaire et en fonction des tendances actuelles qui semblent très improbables.

    L'ensemble du cadre de soutien social est confronté à une conclusion inéluctable où aucun jugement ne changera ce résultat. La question est de savoir si nos dirigeants élus vont commencer à apporter les changements nécessaires plus tôt, alors qu'ils peuvent se faire par choix, ou plus tard, lorsqu'ils sont contraints à nous.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-08-10/insecurity-social-security

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    1. Lorsqu'il s'agit de cotiser, là il n'y a pas de problème, l'acceptation n'est pas sous 15 jours ou plusieurs mois mais immédiate ! Or, lorsque l'assuré(e) a un accident ou maladie, là, les choses se compliquent jusqu'à la norme la plus rapide: y a plus de sous !

      Suffit de regarder l'exemple d'outre-Atlantique: Des dizaines de millions d'immigré(e)s sont entrés en France et vivent d'allocations sans avoir cotisé un jour ou demandent leur retraite sans avoir cotisé et sans préférer se tourner vers leurs ambassades pour demander de l'aide à leurs pays respectifs !!

      Il faut donc que quelqu'un paye ! Devinez qui !

      C'est ainsi que dans toutes dictatures l'argent ira plutôt dans certaines poches que vers d'autres.

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  25. La Chine avertit Trump: "Nous empêcherons un changement de régime en Corée du Nord"


    Par Tyler Durden
    11 août 2017 à 7h41


    Dans une répugnante répugnance des demandes du président Donald Trump selon lesquelles Pékin fait plus pour freiner son voisin belliqueux, Pékin, par l'entremise des médias d'État, a averti vendredi le président américain qu'il interviendrait (militairement) au nom de la Corée du Nord si les États-Unis et La Corée du Sud lance une attaque préventive pour «renverser le régime nord-coréen», selon un communiqué dans l'influent journal de l'Etat Global Times.

    "Si les États-Unis et la Corée du Sud effectuent des grèves et tentent de renverser le régime nord-coréen et de changer le modèle politique de la péninsule coréenne, la Chine les empêchera de le faire", a -il déclaré.

    Dans le même temps, le régime chinois a précisé que son résultat préféré serait une continuation du statu quo, avertissant Kim Jong Un qu'il "resterait neutre si la Corée du Nord devait frapper en premier". L'article, cité par Rueters, réitère les appels à une solution diplomatique. Cependant, la possibilité de discussions entre les deux parties était de plus en plus éloignée, car Trump et Kim continuaient d'échanger contre les menaces d'anéantissement nucléaire, et Trump a précisé jeudi que sa promesse antérieure de répondre avec «le feu et la fureur» si le Nord continuait à menacer les États-Unis peuvent ne pas avoir été assez loin.

    La Chine - le partenaire commercial et le plus important de Corée du Nord - a réitéré les appels au calme pendant la crise actuelle. Pékin a exprimé sa frustration avec les essais répétés de nucléaire et de missiles de Pyongyang et avec des comportements de la Corée du Sud et des États-Unis, tels que les exercices militaires, qu'il considère comme des tensions croissants.

    "La Chine devrait également préciser que si la Corée du Nord lance des missiles qui menacent d'abord le sol des États-Unis et que les États-Unis réagissent, la Chine restera neutre", a déclaré Global Times, qui est largement lue mais ne représente pas la politique du gouvernement, dans un éditorial.

    Pendant ce temps, alors que le Nord planifiait son prochain lancement ICBM, les États-Unis intensifient les exercices militaires avec le Japon et la Corée du Sud.

    "Jeudi, les États-Unis et les troupes japonaises ont commencé un exercice de 18 jours sur l'île de Hokkaido, dans le nord de l'île japonaise, qui devait inclure les exercices d'artillerie et impliquant 3 500 soldats. Les forets de la Viper du Nord sont l'un des exercices programmés que les Forces d'autodéfense japonaises mènent régulièrement avec leurs homologues américains et ne répondent pas aux dernières tensions. Les troupes sud-coréennes et américaines se préparent également à une forge commune annuelle du 21 août, appelée Ulchi Freedom Guardian, où participeront jusqu'à 30 000 troupes américaines.

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  26. Les responsables américains ont également discuté des plans d'urgence coordonnés vendredi pour formuler exactement comment les alliés répondraient à une attaque.

    "Le conseiller de sécurité nationale de Corée du Sud, Chung Eui-yong, et son homologue américain H. R. McMaster, ont parlé au téléphone pendant 40 minutes plus tôt vendredi, a déclaré un porte-parole de la Maison bleue présidentielle à Séoul. Les deux ont discuté des réactions aux provocations nord-coréennes et à la situation sécuritaire dans la péninsule coréenne.

    Il n'est pas surprenant que les analystes aient comparé l'impasse entre les deux puissances nucléaires (le Nord est un membre récent, si non testé, de ce club) à une crise moderne des missiles cubains. "Cette situation commence à se développer dans le moment de crise des missiles cubains de cette génération", a déclaré l'économiste en chef d'ING, Robert Carnell, dans une note de recherche. "Alors que le président des États-Unis insiste sur la montée en flèche de la guerre des mots, il y a une possibilité décroissante de toute solution diplomatique".

    À en juger par la réaction des marchés au cours des 48 dernières heures, cette réalité troublante a finalement filtré pour risquer des actifs.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-08-11/china-promises-protect-north-korea-regime-change

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    1. Faut dire que cette supériorité suprême du dessus d'en haut qu'est attribuée à la valeureuse Corée du Nord n'est qu'un pet dans l'eau qui n'ira pas plus loin mais qui - d'après les Etats-Unis qui dernièrement ont révélé que 'James Bond Un' avait à ses crayons des bouts-gommes nucléaire miniaturisés capable d'anéantir le mon dentier avec toutes ses dents, doit être donc abattu/ratissé/exterminé/voire 'Fukushimé' !

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  27. La Grèce est parmi les pays ayant le travail le plus esclave en Europe


    Par Tyler Durden
    11 août 2017 4:15


    L'Union européenne a enregistré la plus grande augmentation de l'esclavage de toute région mondiale en 2017, avec l'arrivée de plus de 100 000 migrants, dont beaucoup sont extrêmement vulnérables à l'exploitation, ont annoncé les analystes jeudi. Comme l'indique KeepTalkingGreece.com, la Grèce, l'Italie, Chypre, la Roumanie et la Bulgarie sont les pays qui ont le plus de travail de l'esclavage au sein de l'UE.

    Le risque de travail des esclaves dans les secteurs de l'agriculture, de la construction et d'autres secteurs a augmenté dans la région, avec 20 des 28 États membres de l'UE qui ont enregistré une pire situation qu'en 2016 dans un indice global de l'esclavage mondial de la société anglais Analyisk Verisk Maplecroft.

    "La crise des migrants a augmenté le risque que les incidents de l'esclavage apparaissent dans les chaînes d'approvisionnement des entreprises en Europe", a déclaré Sam Haynes, analyste principal des droits de l'homme chez Verisk Maplecroft.

    À l'échelle mondiale, il y a 21 millions de personnes dans le travail forcé, y compris les enfants, dans une entreprise d'une valeur de 150 milliards de dollars par année, selon l'Organisation internationale du travail (OIT).

    L'indice, qui a évalué les incidents de trafic d'êtres humains ou d'esclavage, ainsi que les lois et l'application de la loi dans 198 pays, a classé la Roumanie, la Grèce, l'Italie, Chypre et la Bulgarie en tant que pays ayant le travail le plus esclave au sein de l'UE.

    Tous sont des points d'entrée clés pour les migrants dans la région, a déclaré Verisk Maplecroft.

    Quelque 115 000 migrants et réfugiés ont atteint l'Europe par voie maritime jusqu'en 2017, avec plus de 80 % d'arrivées en Italie, selon l'Organisation internationale pour les migrations (OIM).

    Beaucoup acceptent de payer beaucoup d'argent pour le voyage et finissent par travailler pratiquement gratuitement, piégés par les dettes envers les agents qui les ont amenés à travers la frontière, a déclaré Alexandra Channer, principale analyste des droits de l'homme chez Verisk Maplecroft.

    "De nombreux migrants illégaux entrant dans l'UE sont tellement endettés par un gang de trafic ou des agents sans scrupules qu'ils n'ont aucun espoir de payer ce coût", a-t-elle déclaré à la Fondation Thomson Reuters.

    Les autorités locales ont du mal à gérer efficacement le problème de l'esclavage en raison du grand nombre d'arrivées, at-elle ajouté.

    À l'échelle mondiale, la Corée du Nord a conservé la première place comme ayant le pire dossier de travail des esclaves, alors que, en dehors de l'UE, la Turquie a perdu le plus de terrain dans le classement, passant à la catégorie «à haut risque».

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  28. L'Inde a le plus progressé, passant de 15 à 49 ans, tandis que la Thaïlande a également réalisé des gains importants dans la lutte contre l'esclavage, passant de 21 places à 48.

    Mais les deux pays ont été classés comme «extrêmement risqués» avec des abus sévères signalés dans la construction, les fours à briques, la production de vêtements, la fabrication, l'agriculture, la pêche et la production de caoutchouc, selon l'analyse.

    Channer a déclaré que l'indice visait à aider les entreprises à identifier les pays les plus exposés au risque d'esclavage.

    Source: Thomson Reuters Foundation.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-08-10/greece-among-countries-most-slave-labor-europe

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    1. Faut dire que si a des camps de concentration qui auraient duré 10 ans, l'esclavage, lui, dure depuis 10 000 ans ! (et ce ne sont donc pas les 'blancs' qui l'ont inventé en Afrique !). Ainsi, PAREILLEMENT qu'au Rwanda où les merdias internationaux ont mis plus d'un an pour annoncer le massacre de plus d'un million de rwandais, ce n'est qu'aujourd'hui, Â bêh çà alors !!! que l'on apprendrait qu'il y aurait des esclaves en Europe ! (C'est une blague ou quoi ?). L'U.E. (dictature encerclant la Suisse) accepte de parler de baisse des salaires ! Si toi y en a pas être esclave toi mort !

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  29. Présence militaire américaine Champignons d'outre-mer: ici, là et partout


    Par Tyler Durden
    11 août 2017 2:00 AM
    Créé par Alex Groka via The Strategic Culture Foundation,


    Environ 200 000 soldats américains sont stationnés dans 177 pays à travers le monde. Les forces utilisent plusieurs centaines de bases, plus de 1000 si le chiffre comprend un entrepôt et des installations à l'étranger. Les États-Unis pourraient avoir besoin de plus rapidement, avec leur présence et leur participation aux conflits armés à la hausse.

    Il a été signalé le 7 août que le Pentagone envisage de faire des raids aériens sur l'État islamique (IS) aux Philippines. Ce mouvement fera partie des efforts déployés pour combattre les militants de l'IS qui occupaient Marawi, une ville du sud des Philippines, en mai, incitant le président Rodrigo Duterte à déclarer la loi martiale dans toute la région méridionale de Mindanao et à demander aux États-Unis de l'aide. En juin, le Groupe de travail spécial sur les opérations spéciales Trident s'est joint à la bataille.

    Trois jours plus tôt (le 4 août), le Pentagone a signalé qu'une équipe des Forces d'opérations spéciales (SOF) a été déployée au Yémen pour soutenir l'opération en cours des Émirats arabes unis (Émirats arabes unis) contre l'Al Qaida dans la péninsule arabique ( AQAP) groupe terroriste. Le navire d'assaut amphibie Bataan avec plusieurs centaines de marines à bord opère également dans la région. Les missions de soutien aérien dans l'offensive actuelle contre AQAP ne sont pas exclues.

    Le 7 août, les États-Unis auraient également envoyé des dizaines d'autres marines à la province d'Helmand dans le sud-ouest de l'Afghanistan. Le général d'armée John Nicholson, commandant des États-Unis dans ce pays, a fait du lobbying pour 3 000 à 5 000 soldats, en plus des 8 400 membres américains du service déjà sur le terrain.

    En juin, les États-Unis ont augmenté la taille de la force consultative des opérations spéciales intégrée aux forces démocratiques syriennes alors que le groupe a préparé son invasion de Raqqa, en Syrie. Environ 1 000 membres des services américains sont censés fonctionner là-bas.

    Le SOF joue un rôle particulier dans la mise en œuvre de la politique «ici, là et partout». En 2016, les équipes SOF des États-Unis ont mené des missions dans 138 pays, soit environ 70 pour cent des pays de la planète. Le commandement des opérations spéciales est chargé de mener 12 missions essentielles. L'année dernière, les SOF américains ont été déployés dans 32 pays africains, soit environ 60% des pays du continent. Navy SEALs, Green Bérets et d'autres opérateurs spéciaux effectuent actuellement près de 100 missions dans 20 pays africains à tout moment donné. Ils sont déployés en Libye - le pays, qui a son avenir incertain après la participation de l'OTAN en 2011 à l'OTAN.

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  30. L'empreinte de la guerre des États-Unis se développe au Moyen-Orient sans un coup de pied en vue. Dans ses remarques lors de la Conférence d'action politique conservatrice (CPAC), Donald Trump a déclaré que les 15 dernières années de l'action militaire américaine au Moyen-Orient avaient été un gaspillage d'argent presque incompréhensible - six billions de dollars - et qu'après toute la guerre et l'ingérence américaines La région était réellement dans une forme pire qu'avant que les opérations n'aient été lancées. Donc, la politique était fausse, le président comprend cela et ... continue de faire la même chose à plus grande échelle !

    La présence en Europe augmente. Des troupes sont déployées dans des pays où elles n'avaient pas de présence, comme la Norvège et l'Estonie. Ce ne sont pas des forces, mais aussi l'infrastructure logistique coûteuse. Les militaires veulent plus d'exercices à grande échelle en Europe pour renforcer la présence et étendre l'infrastructure là-bas. Lors de son récent voyage à l'étranger, le vice-président Mike Pence a déclaré que l'US Air Force déploiera deux fois plus de jets lors de l'exercice russe Zapad-2017 qui se tiendra en septembre.

    L'armée américaine demande une présence encore plus grande en Europe. Le général de brigade de la Force aérienne, John Healy, directeur des exercices américains en Europe, déclare vouloir qu'une manœuvre de formation complète soit cruciale pour tester la préparation de l'OTAN à une confrontation mondiale avec la Russie. Comme il l'a dit, «Ce que nous finissons par nous est un programme d'exercices globalement intégré, afin que nous (tous) ... travaillons tous avec la même feuille de musique dans un exercice global combiné». Le chef militaire croit que l'exercice devrait englober tous les domaines de la guerre: la terre, la mer, l'air, l'espace et le cyber et implique les neuf commandants américains des combattants.

    Sous le président Trump, les attaques de drones dans le monde ont augmenté de 432 % à la mi-mars. Le bilan des civils est important en Irak et en Syrie à la suite du bombardement des États-Unis.

    Une guerre avec l'Iran semble être imminente. Une attaque contre la Corée du Nord est sur les cartes. Il est prévu de consacrer 8 milliards de dollars à accroître la présence américaine dans la région Asie-Pacifique au cours des cinq prochaines années en améliorant les infrastructures militaires, en menant des exercices supplémentaires et en déployant plus de forces et de navires.

    Tous ces faits font rappeler les événements qui ont eu lieu il y a quelques mois. Le président Trump a déclaré qu'il éviterait les interventions dans des conflits étrangers. Au lieu d'investir dans les guerres, il dépenserait de l'argent pour construire les routes, les ponts et les aéroports vieillissants de l'Amérique. Mais il y avait une échappatoire. Il a promis de rester loin de tous les autres conflits, sauf le militantisme de l'État islamique.

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  31. Tout le monde pensait qu'il ne voulait dire que des raids aériens au moyen-orient. Maintenant, il semble que le président a également désigné les autres régions. L'Etat islamique est présent en Afghanistan et en Afrique. Les terroristes des SI ont récemment organisé un acte terroriste en Iran. Ils prennent la responsabilité des attentats terroristes en Europe. Les djihadistes opèrent en Russie et en Asie centrale. Leur présence est menaçante dans la région Asie-Pacifique. Ils sont presque partout pour servir de prétexte aux invasions américaines ou aux préparatifs de guerre dans presque tous les coins du globe.

    Les États-Unis en fait d'une manière ou d'une autre ont participé à tous les points chauds de la carte du monde. Sans aucun doute, cela accroîtra la participation aux Philippines, en Somalie, en Afghanistan, au Yémen et renforcera la présence de la force navale et aérienne en Asie-Pacifique pour s'opposer à la Chine - un mouvement non lié à l'IS par toute imagination Renforcement des forces en Europe.

    Alors, c'est l'Europe, l'Asie-Pacifique, le Moyen-Orient et l'Afrique! On dirait que les États-Unis sont toujours en guerre ou se préparent à une guerre quelque part. Yémen le 4 août, Philippines le 7 août, peut-être un autre endroit quelques jours plus tard, vous ne savez jamais à quoi vous attendre. C'est comme la «guerre perpétuelle pour la paix perpétuelle» décrite par Charles Beard.

    Quelle que soit la taille des dépenses militaires, l'armée américaine est condamnée à être étirée jusqu'à ce que la politique ne soit pas modifiée. On ne peut pas carré le cercle ou embrasser l'illimité. La nation a une énorme dette nationale. Si l'ennemi est l'Etat islamique, les efforts militaires et de renseignement devraient être concentrés sur la mission de grève du groupe, pas un certain nombre de commandes élevées à accomplir à la fois en même temps.

    Avec une mission accomplie, les États-Unis pourraient examiner les priorités. La chose est - il ne sera jamais accompli parce que l'Etat islamique n'est pas seulement des militants, mais plutôt l'idéologie qui les entraîne. Ce mal ne peut être vaincu par les gens en uniforme seul. Mais c'est une histoire différente à laquelle on parle dans un autre article. Quoi qu'il en soit, étirer les ressources minces n'est pas une politique efficace. Les États-Unis suivront deux lièvres qui ne se rassembleront pas au lieu de fixer les priorités directement et de se concentrer sur la mission principale.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-08-10/us-military-presence-overseas-mushrooming-here-there-and-everywhere

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    1. Généralement, lorsqu'un pays est attaqué, il répond en tirant vers 'de là où çà vient' (soit 177 pays susceptibles d'être bombardés/exterminés/rasés en cas d'attaque des USA !). Et, quand on sait que s'il n'y a pas de terroristes, ces derniers se chargent d'en fabriquer...

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  32. Le LAPD devrait-il utiliser des drones ? Voici ce qui se cache derrière le débat animé

    Les militants de la Coalition d'espionnage LAPD Strike ont dénoncé l'utilisation de drones par le LAPD.


    Kate Mather
    August 8, 2017


    Pendant plus de trois ans, une paire de drones donnés au département de police de Los Angeles a été enfermée, recueillant de la poussière après un tollé public sur l'idée de la police utilisant la technologie controversée.

    La police de Seattle a vu un jeu semblable quand ils voulaient utiliser les appareils, mettant leur programme à la main au sol avant même de partir. Et récemment, l'utilisation par le Département du Sheriff du comté de Los Angeles d'un drone a été critiquée par des militants ainsi que par des commissaires de surveillance civile qui veulent que l'agence s'arrête.

    Mardi, le LAPD s'est de nouveau encerclé dans le débat animé, affirmant que le département voulait tester l'utilisation des drones dans un programme pilote d'un an.

    Les pompiers ont été salués par les forces de l'ordre dans tout le pays comme une technologie précieuse qui pourrait aider à trouver des randonneurs manquants ou surveiller des suspects armés sans compromettre la sécurité des agents. Mais les efforts déployés pour déployer les avions sans pilote ont souvent suscité de vives critiques des défenseurs de la vie privée ou des critiques de la police pour lesquels les dispositifs émettent des visions orwelliennes de la surveillance inappropriée ou illégale et des craintes des drones militaires et de l'armée qui patrouillent dans les cieux.

    Le LAPD a vu cette résistance mardi, même avant que le chef du département ne dévoile les détails de leur proposition à la Commission de police. Environ trois douzaines de militants se sont réunis avant la réunion du matin du conseil pour dénoncer toute utilisation de drones par le ministère. Lorsque la présentation a pris fin, certains de ces militants se sont levé.

    "LAPD sans drone, pas de drones à L.A. !" Ont-ils chanté.

    La majorité de l'organisme de surveillance civile veut L.A. Le shérif du comté pour arrêter de faire voler des drones
    La vision de la LAPD, si elle a été approuvée par la Commission de la police, consiste à faire voler un petit drone - mesurant environ un pied de long et 7 ½ pouces de hauteur - lors d'incidents tels que des impasses avec des preneurs d'otages ou des suspects bloqués, des menaces de bombe ou des tirs où un homme armé Cible toujours les gens. Les dispositifs pourraient aider à rassembler des informations cruciales à mesure que de telles situations se dérouleraient, sans mettre en danger les agents, a déclaré la chef adjointe Beatrice Girmala.

    Le LAPD établirait des critères stricts avant de voler des drones, a t-elle déclaré. Chaque utilisation nécessiterait l'approbation d'un haut fonctionnaire du département et serait documentée dans un rapport écrit pour s'assurer que les règles ont été suivies, a t-elle ajouté.

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  33. Le LAPD prévoit organiser des réunions publiques et rédiger des lignes directrices qui doivent être approuvées par la Commission de police avant que les drones puissent être pilotés. Le département aurait également besoin d'une certification de l'Administration fédérale de l'aviation et de former des agents pour utiliser les appareils, a déclaré Girmala. Le processus pourrait prendre quelques mois.

    Lorsque les fonctionnaires du LAPD ont décidé de revoir l'utilisation des drones, ils voulaient prendre leur temps et ne pas risquer la confiance du public «en imposant quelque chose de nouveau qui soit déjà controversé dans notre communauté».

    "Dans nos discussions, il était très clair que si cela devait être approuvé, il fallait qu'il soit très méthodique et qu'il fallait être très réfléchi", a-t-elle déclaré.

    C'est un contraste marqué avec l'approche adoptée par le Département du shérif du comté de Los Angeles pour lancer son drone. Cette initiative a été brusquement annoncée par le shérif Jim McDonnell lors d'une conférence de presse de janvier avant que le ministère n'ait recueilli les commentaires du public et que les députés avaient déjà été formés pour piloter l'appareil.

    La décision a agi contre l'indignation. Les activistes ont organisé une manifestation. Un avocat des libertés civiles a expliqué ce qu'il a qualifié de «décision unilatérale» par le ministère. Plusieurs membres de la Commission de surveillance civile du shérif se sont également inquiétés en disant qu'ils aimeraient que le Département du shérif cesserait de voler le drone.

    Mais la commission n'a pas le pouvoir direct d'obliger le département du shérif. Une porte-parole du shérif a déclaré que le département envisageait de continuer à utiliser son drone - et l'a fait lors d'une impasse avec un homme armé dans East L.A. la semaine dernière.

    La façon dont un département s'approche de l'utilisation d'un drone - et comment cela explique le public - peut influer sur la réaction des résidents locaux, a déclaré Dan Gettinger, co-directeur du Centre pour l'étude du drone chez Bard College. De nombreuses agences ont adopté la technologie sans beaucoup de réaction publique, a-t-il déclaré.

    "Les gens sont concernés parce qu'ils associent les drones que la police pourrait utiliser avec les drones qui sont utilisés par les militaires", a déclaré Gettinger. "Le mot 'drone' vient d'avoir cette implication."

    Près de 350 services de sécurité publique aux États-Unis ont acquis des drones, soit près de la moitié de l'année dernière, selon une étude réalisée par le centre de Gettinger au début de cette année. Les sceptiques ont exprimé leur appréhension non seulement sur la façon dont la police nous

    Près de 350 services de sécurité publique aux États-Unis ont acquis des drones, soit près de la moitié de l'année dernière, selon une étude réalisée par le centre de Gettinger au début de cette année. Les sceptiques ont exprimé leur appréhension, non seulement sur la façon dont la police utilise les drones aujourd'hui, a t-il dit, mais comment ils pourraient être utilisés à l'avenir.

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  34. "Nous venons de frapper la pointe de l'iceberg", a déclaré Gettinger. "Les systèmes vont évoluer, et cela leur apportera des questions sur la façon dont ils seront utilisés".

    Les drones ont déjà provoqué une vague d'action législative.

    Dans une tentative de trouver un équilibre entre la vie privée et la sécurité publique, au moins 18 États ont adopté des règles qui obligent les organismes d'application de la loi à obtenir des mandats avant d'utiliser des drones pour mener une surveillance ou des recherches, selon la Conférence nationale des législatures d'état. Une proposition similaire de l'Assemblée législative de la Californie a été veto par le gouverneur Jerry Brown en 2014.

    Mais la législation dans certains États a approfondi l'alarme des adversaires drone. En 2015, le Dakota du Nord est devenu le premier État à légaliser l'utilisation par la police de drones équipés de dispositifs moins létaux, comme les gaz lacrymogènes, les balles en caoutchouc ou les Tasers. Le Connecticut a flirté avec un projet de loi semblable plus tôt cette année qui aurait permis à la police d'armer des drones là-bas.

    Dans un clin d'œil à ces inquiétudes, Girmala a déclaré que les drones du LAPD ne seraient pas armés et que les agents devaient toujours obtenir un mandat de perquisition signé par un juge lorsque cela s'avère nécessaire.

    "Ce que nous regardons ... c'est vraiment juste un autre regard", a déclaré Charlie Beck, chef de la LAPD, après la réunion de la commission.

    La danse du LAPD avec des drones a commencé en 2014, lorsque le département a reçu deux drones Draganflyer X6 de la police à Seattle - drones l'agence de Washington déchargée après de lourdes critiques du public.

    Bien que le LAPD ait déclaré qu'il déploiera les drones pour des «utilisations étroites et prescrites», les défenseurs des libertés civiles ont remis en question leur utilisation de manière même limitée. Moins d'une semaine après avoir reçu les drones, Beck a déclaré qu'il ne les ferait pas voler jusqu'à ce que le département ait demandé des commentaires du public ainsi que l'approbation de la Commission de police.

    Le Beck de LAPD dit qu'il cherchera des commentaires avant d'envisager d'utiliser des drones

    "Je ne sacrifierai pas le soutien public pour un équipement de police", a déclaré Beck à l'époque.

    Les drones ont été enfermés dans le bureau de l'inspecteur général du LAPD. Ils ont été détruits plus tôt cette semaine, a déclaré Girmala, parce qu'ils étaient "obsolètes" et non ce que le ministère envisage d'utiliser maintenant. Le département n'a pas encore examiné les modèles spécifiques à tester dans un programme pilote, a t-elle ajouté.

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  35. Les opposants des drones de la police n'étaient pas satisfaits par l'engagement de la LAPD de ne les utiliser que sous des règles strictes. En plus d'exprimer des craintes à l'égard de la surveillance et de la militarisation de la police, les adversaires du drone ont déclaré mardi qu'ils s'inquiétaient du «scénario de la mission» - que la police étendrait silencieusement l'utilisation des drones au-delà de ce qui était permis pour la première fois. Les militants ont déclaré qu'ils ne faisaient pas confiance au LAPD pour utiliser les drones de manière appropriée et a déclaré que la peur d'être surveillée par le LAPD depuis le ciel était alarmante pour les résidents qui se sentent déjà visés par la police.

    Lorsque Girmala a déclaré à la Commission de police que les officiers SWAT utiliseraient les drones, de nombreux adversaires dans la salle se moquaient.

    "Nous allons nous battre jusqu'à la fin", a déclaré Jamie Garcia, un membre du Stop LAPD Spying Coalition, l'un des critiques les plus vocaux du département. "Il suffit de laisser tomber l'idée. Cela n'arrivera pas. "

    Matt Johnson, le président de la Commission de la police, a déclaré qu'il pensait que les drones avaient le potentiel d'aider à sauver des vies, et il a signé un soutien pour l'élaboration d'un programme pilote.

    "Notre défi sera de développer des politiques et des contrôles solides pour gouverner ce programme, gouverner contre le mauvais usage et le fouet de la mission", a-t-il déclaré. "Il est également essentiel que nous obtenions l'opinion publique comme nous l'avons reçue aujourd'hui".

    Ces commentaires devraient être pris au sérieux pour décider «d'aller de l'avant», a déclaré Melanie Ochoa, avocate de l'American Civil Liberties Union of Southern California.

    «Les drones représentent une menace importante pour la vie privée», a-t-elle déclaré aux commissaires. "Ils ne devraient être approuvés qu'après une discussion publique robuste".

    Le syndicat représentant les officiers de base du LAPD ont rejeté les critiques mardi, en déclarant que les drones étaient un «outil de bon sens qui peut assurer la sécurité des résidents et des agents dans des situations dangereuses».

    "Il est temps que les théoriciens du complot et les manifestants professionnels cessent d'entraver tous les efforts que nous faisons pour garder Angelenos en sécurité", a ajouté le syndicat.

    Beck et Girmala ont reconnu que les critiques les plus acharnées n'appuieraient probablement jamais l'utilisation par les LAPD des drones. Mais Girmala a déclaré qu'elle espérait que le processus public du département pour l'évaluation de la technologie aiderait à rassurer les autres.

    "Nous comprenons et respectons sincèrement ces préoccupations", a-t-elle déclaré. "Mais je crois ... ce temps prouvera que nous sommes aussi attentifs et respectueux des droits des peuples que possible."

    http://www.latimes.com/local/lanow/la-me-ln-lapd-drones-20170808-story.html

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    1. Les terroristes (officiels et amateurs) devront désormais avoir un permis (ou badge) en règle voire à payer des impôts sur l'argent ramassé.

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