La Démocratie est opposée à la dictature (monarchies, républiques ou empires). Une SEULE Démocratie existe au monde ! La Suisse. Les citoyens suisses proposent LEURS PROPRES IDÉES et votent LEURS PROPRES IDÉES.
(A ne pas confondre avec le ou les 'partis démocrates' dans le monde qui sont des partis OPPOSÉS à la Démocratie !!)
(A ne pas confondre avec le ou les 'partis démocrates' dans le monde qui sont des partis OPPOSÉS à la Démocratie !!)
La dictature est de laisser de FAUX REPRÉSENTANTS du Peuple voter n'importe quoi SANS DEMANDER l'avis du Peuple.
https://www.youtube.com/watch?v=wrOx_pVLUDk
«On nous impose un devoir de silence» : un député LREM justifie son absentéisme
RépondreSupprimer5 août 2017, 10:20
Sous le feu des critiques en raison de sa faible présence et de son activité quasi-nulle au palais Bourbon, un ex-député PS devenu élu LREM a pointé du doigt la discipline imposée à ses élus par le nouveau parti.
Jean-Michel Clément, député socialiste de la Vienne devenu député La République en marche (LREM) en 2017, est au cœur d'une polémique depuis que France Info a révélé son absentéisme chronique au palais Bourbon. Le député n'a en effet jamais effectué la moindre intervention en commission ou en séance, n'a signé aucun amendement et n'a jamais posé de question écrite.
Lire aussi
L’hémicycle le premier août 2017 Epuisés à la tâche ? Des députés LREM envisageraient d'abandonner leur mandat
Pour se défendre, l'intéressé soutient qu'il est avant tout actif dans sa circonscription, sur le terrain. Mais c'est surtout la discipline exigée aux parlementaires LREM qui semble dérouter cet élu de 62 ans. «De toute manière, il n'y a pas beaucoup d'intérêt à siéger dans cette majorité pléthorique, où on nous impose un devoir de silence», soupire-t-il, interrogé par France Info. «Passer son temps sur un banc à ne rien dire, ce n'est pas l'idée que je me fais de la vie parlementaire», ajoute-t-il encore.
Le député fait référence au règlement intérieur du groupe LREM à l'Assemblée, dont Le Canard Enchaîné avait publié des extraits au début du mois de juillet dernier et qui se révèle être particulièrement contraignant pour les élus de la majorité présidentielle. Ces derniers sont en effet par exemple tenus, par l'article 16, de ne jamais voter ou cosigner d'amendement émanant de l'opposition. L'exaspération de Jean-Michel Clément s'ajouterait ainsi à celle déjà exprimée par plusieurs membres du parti macroniste, qui ont estimé que leur rôle au sein de l'Assemblée était trop peu intéressant – certains auraient même exprimé le vœu d'abandonner leur mandat avant son terme.
Récemment, la grogne contre le manque de démocratie supposé de LREM a gagné les rangs des militants. Certains d'entre eux, assemblés au sein du collectif «La Démocratie en Marche», avaient contesté l'adoption des nouveaux statuts du parti en raison d'un vice de forme devant le tribunal de Créteil – leur demande a été rejetée.
https://francais.rt.com/france/41702-on-nous-impose-devoir-silence
SupprimerEffectivement, au 'parti socialiste' (comme aux autres partis) les adhérents n'ont le droit qu'à cotiser, distribuer des tracs et de fermer leur gueule (dans la rue comme dans les AG !!). Car, faute de Démocratie, les citoyens de tous bords n'ont JAMAIS droit à la parole en réunions, à poser des questions 'dérangeantes/indiscrètes/utilité du parti !'
Seuls les trous de cul peuvent péter en public depuis l'estrade appropriée.
Des «cris de chèvres» ciblent une députée LREM à l'Assemblée, Rugy promet des sanctions
RépondreSupprimer4 août 2017, 14:10
Visiblement agacé par l'intervention d'une députée LREM se réjouissant des mesures de moralisation de la vie politique portées par la majorité, un député a poussé des bêlements pour la fustiger. Le président de l'Assemblée a promis des sanctions.
Alors que l'Assemblée nationale continue de fonctionner à plein régime en ce mois d'août, il semblerait que les heures de travail estivales ne réussissent pas à tous les députés. A l'occasion de la prise de parole de la députée de la majorité Alice Thourot le 3 août, lors de laquelle celle-ci à défendu la suppression de la réserve parlementaire et le bienfait des lois de moralisation de la vie publique, un député a laissé exploser son irritation en... bêlant.
«Misogynie, cris de bêtes, propos déplacés... Est-ce donc cela le "professionnalisme" qui nous ferait tant défaut ?!», a réagi l'intéressée sur Twitter
L'imitation caprine a scandalisé plusieurs autres parlementaires, y compris des membres de l'opposition. Dénonçant une manifestation de la «mysoginie ordinaire», Jean-Luc Mélenchon a établi un parallèle entre cet épisode et le fait que la députée de la France Insoumise Mathilde Panot avait été accusée par des élus de lire un discours rédigé par lui-même.
D'autres députés de l'Assemblée nationale ont pointé du doigt des membres du groupe Les Républicains (LR), opposés aux lois destinées à rétablir la confiance dans la vie politique et qui, dans leur aspect pratique, suppriment une série d'avantages accordés aux parlementaires.
Ainsi, Saïd Ahamada, député de La République en marche (LREM), a volé au secours de sa collègue et accusé ouvertement le groupe LR. Il exige que celui-ci, mené par Christian Jacob à l'Assemblée nationale, condamne officiellement cet acte de goujaterie.
Enfin, citant le tweet de protestation de l'intéressée, le président de l'Assemblée nationale François de Rugy, lui aussi membre de LREM, a promis que l'auteur des cris désobligeants serait identifié et sanctionné.
Ce n'est pas le premier cri d'animal à retentir dans l'hémicycle. En 2013, Philippe Le Ray, député LR (à l'époque UMP), s'était illustré en poussant des cris de poule durant la prise de parole de la députée écologiste Véronique Massonneau, la forçant à interrompre son intervention et à s'exclamer : «Ça suffit ! Mais qui fait ça ? Je ne suis pas une poule.»
De plus en plus de voix s'élèvent à droite contre l’ampleur des mesures prises dans le cadre des deux projets de lois de confiance dans la vie politique. Il est notamment prévu qu'une batterie d'avantages dont bénéficient les députés soient supprimés, parmi lesquels la réserve parlementaire. Le député LR Marc Le Fur, entre autres, a récemment dénoncé dans l’hémicycle des mesures visant à jeter «l'opprobre sur le Parlement».
Lire aussi : Epuisés à la tâche ? Des députés LREM envisageraient d'abandonner leur mandat
https://francais.rt.com/france/41685-cris-chevres-pendant-intervention-deputee-lrem-lr-accuse
SupprimerCri de chèvre ou de mouton ? "Bêêêêêêêêh !"
Cri différencié (?) du cri de pute: "Des soooooouuuuus ! Des soooooouuuuus !"
Réintroduire des animaux dangereux voire nuisibles : quel intérêt ?
RépondreSupprimerle 5 août 2017
Il y a quelques semaines j’ai mentionné les dégâts provoqués par les loups réintroduits en France pour la plus grande gloire de l’équilibre du biotope naturel. Tout ça au nom de je ne sais quel principe de reconstitution de la nature telle qu’elle était lorsque nos ancêtres vivaient encore dans des cavernes et se vêtaient de peaux de bêtes, dont de peaux d’ours, qu’ils avaient tué pour se nourrir et se protéger contre leurs agressions incessantes. Mais l’idéologie moderne de retour à la nature primitive n’en est pas à ses premiers effets dévastateurs. Il s’agit d’un grave problème de société entretenu par des illuminés adorateurs de la Terre nourricière harmonieuse et généreuse qu’il faut à tout prix préserver au risque de voir des enfants se faire dévorer par des chiens errants.
À propos de chiens errants, j’ai toujours en mémoire cet épisode de panique que je vécus, seul, au bord d’une petite plage isolée sur la commune de Saint-François à la Guadeloupe. Il s’agissait de la fin d’un calvaire avec une petite chapelle remplie de bougies fondues. J’ai été attaqué par une meute de chiens errants et j’ai cru que ma dernière heure était arrivée. J’ai couru tout habillé dans l’eau et fort heureusement la plage était constituée de galets, d’excellents projectiles pour éloigner ces bêtes immondes couvertes de parasites. Les chiens ont horreur de recevoir des projectiles car ils n’ont alors plus de défense. J’ai donc parlé des loups qui massacrent ici et là quelques brebis mais c’est exactement la même situation avec les ours réintroduits dans les Pyrénées …
Dans les Pyrénées, comme dans les Alpes, quel que soit le côté de la frontière, les éleveurs pratiquent depuis des temps immémoriaux le pastoralisme qui est une forme de protection de la diversité biologique et qui de plus préserve la vie de la montagne. Les estives produisent une herbe de qualité appréciée par les bovins, en Suisse surtout, mais aussi par les moutons. Pendant des siècles, donc, les éleveurs ont tout fait pour se débarrasser des prédateurs carnassiers, les loups et les ours. Le dernier ours brun natif des Pyrénées a été abattu en 2004 et les éleveurs ont poussé un grand ouf ! car cet animal terrorise les moutons plus qu’il ne les massacre contrairement aux loups.
C’est ce qui est arrivé il y a quelques jours dans les Pyrénées où de part et d’autre de la frontière des ours en provenance de Slovénie ont été réintroduits pour justement reconstituer la nature originelle telle qu’elle était autrefois quand nos ancêtres vivaient dans des cavernes … Cette fois ce sont plus de 200 brebis qui se sont littéralement suicidées en se jetant dans le vide, poursuivies par un ours.
L’aspect le plus exécrable de cette histoire est que ce sont, des deux côtés de la frontière franco-espagnole, les contribuables qui vont indemniser les éleveurs pour leurs pertes comme ce sont ces mêmes contribuables qui ont financé la réintroduction de ce nuisible à grands frais. Et sous prétexte de protéger la nature c’est exactement le même scénario par exemple en Australie et dans les îles Salomon. Les crocodiles d’estuaire qui peuvent atteindre 7 mètres de long sont protégés. Seuls ceux qui ont dévoré un être humain – encore faut-il qu’il y ait un témoin de la scène – peuvent être abattus. Quand des randonneurs se feront dévorer par un ours (ou un loup) peut-être que l’opinion publique refusera de continuer à se faire mener en bateau par ces écologistes rêveurs d’un autre temps pour qui l’homme est l’animal le plus nuisible de la planète.
RépondreSupprimerSource de l’information : The Guardian
https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/06/28/nicolas-hulot-patauge-dans-la-boue-rouge-et-se-fait-mordre-par-les-loups/
https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/08/05/reintroduire-des-animaux-dangereux-voire-nuisibles-quel-interet/
Savoir écrire et compter : la France parmi les derniers de la classe
RépondreSupprimerPar Marie-Christine Corbier
08/10/2013 | 11:00 | mis à jour à 11:07
Selon une enquête de l’OCDE, les performances françaises des adultes dans le domaine de l’écrit et des chiffres sont bien plus faibles que dans la plupart des pays développés. Les résultats sont néanmoins meilleurs en France chez les plus jeunes.
Les capacités des Français à maîtriser des informations écrites ou chiffrées ne sont pas bonnes du tout. C’est ce que révèle une enquête internationale conduite entre 2011 et 2012 dans 24 pays de l’OCDE sur les compétences des adultes en la matière (Programme for the international assessment of adult competencies ou PIACC), et publiée ce mardi (1).
Sur les 24 pays de l’OCDE qui ont participé à l’étude, la France figure en bas de classement, avec 22 % des personnes âgées de 16 à 65 ans ayant des compétences jugées faibles dans le domaine de l’écrit et 28 % dans celui des chiffres. Autant de personnes qui ont ainsi du mal à trouver une information précise dans un texte court portant sur des sujets familiers et qui ont des difficultés à compter, classer ou faire des calculs simples avec des nombres entiers ou de l’argent. On est loin de la moyenne des 24 pays interrogés, où les proportions sont de 15,5 % (pour l’écrit) et de 19 % (pour les chiffres).
Deux spécificités françaises
Avec ces mauvais résultats, la France se situe à la 22e place sur les 24 pays étudiés pour l’écrit, et à la 21e position pour les chiffres. Seules l’Italie (27,7 %) et l’Espagne (27,5 %) ont des proportions plus importantes d’adultes ayant un faible niveau dans le domaine de l’écrit, notent les auteurs de l’étude. A l’opposé, le Japon n’a que 4,9 % des adultes classés dans les catégories faibles. La Finlande et les Pays-Bas figurent, comme le Japon, en haut de tableau, avec des scores élevés.
Pourquoi les performances sont-elles plus faibles en France qu’ailleurs ? L’étude note deux spécificités françaises. Les mauvais résultats tiennent d’abord aux adultes dont aucun des parents n’a fait d’études supérieures. Les résultats des Français dont au moins un des parents a fait des études supérieures se situent au contraire dans la moyenne de l’OCDE.
Autre particularité française : les différences y sont plus marquées qu’ailleurs en fonction du niveau de formation. Les adultes qui n’ont pas terminé le deuxième cycle de l’enseignement secondaire se situent 14 points en dessous de la moyenne OCDE, alors que ceux qui sont diplômés de l’enseignement supérieur sont très proches de cette moyenne.
RépondreSupprimerLes jeunes, bien meilleurs
Dans ce tableau noir, la lueur d’espoir vient des plus jeunes, qui obtiennent des scores plus élevés qu’ailleurs. Les 25-34 ans ont « davantage de facilité, en moyenne, pour tirer parti des informations écrites ou chiffrées », indique l’étude. Une situation qui prévaut dans la plupart des pays, mais en France l’écart avec les personnes plus âgées est plus marqué qu’ailleurs. Le score moyen de ces jeunes est supérieur à celui des 55-65 ans, qu’il s’agisse de lire et écrire (+36 points) ou de compter (+35 points).
« Les 25-34 ans sont moins souvent présents dans les groupes de compétence les plus faibles », selon les auteurs de l’étude. Ces derniers concluent même que, « par rapport aux autres pays, la France se classe un peu mieux pour ses jeunes adultes : les 16-24 ans occupent la 19e place dans le domaine de l’écrit, et la 16e dans le domaine des chiffres ». De quoi peut-être permettre à la France, d’ici quelques années, de se classer un peu mieux qu’aujourd’hui.
(1) En France, l’évaluation a été réalisée entre septembre et novembre 2012, auprès de 7.000 adultes âgés de 16 à 65 ans.
http://www.lesechos.fr/economie-politique/politique/actu/0203053215533-savoir-ecrire-et-compter-la-france-parmi-les-derniers-de-la-classe-614926.php
«Touche pas à mon short !» : les femmes manifestent pour leurs droits en Turquie (IMAGES)
RépondreSupprimer5 août 2017, 22:12 - Avec AFP
Plusieurs centaines de Turques ont manifesté le 5 août à Ankara pour réclamer le droit de s'habiller comme bon leur semble, après une série d'agressions contre des femmes dans le pays.
Des centaines de manifestants, dont une majorité de femmes, ont défilé dans la capitale turque sous haute surveillance policière le 5 août en scandant «Touche pas à mon short» et en brandissant des pancartes exhortant les Turques à «ne pas déserter les nuits, les rues et les places».
«Nous sommes dans la rue pour notre avenir, pour celui de nos enfants. A partir de maintenant, ils vont nous voir davantage dans les rues, nous les femmes», explique à l'AFP une manifestante, Rükiye Aker.
Des manifestations similaires ont été organisées la semaine dernière à Istanbul et Izmir, après que le surveillant d'un parc stambouliote eut demandé à une jeune femme de quitter les lieux au motif qu'elle portait «une tenue inappropriée». L'employé a été suspendu et une plainte déposée contre lui.
En outre, plusieurs agressions de femmes ces derniers mois, notamment dans les transports en commun, ont provoqué l'indignation en Turquie. Ainsi, en juin, à Istanbul, une femme âgée de 22 ans a été frappée dans un bus par un homme qui lui reprochait d'avoir mis un short pendant le mois de ramadan. L'agresseur a défendu son geste en affirmant avoir été «provoqué».
Une affaire similaire avait déjà suscité l'indignation d'associations féministes l'année dernière, lorsqu'un homme a asséné un coup de pied au visage d'une femme de 23 ans parce qu'elle portait un short. Dans ce procès, toujours en cours, l'agresseur risque jusqu'à neuf ans d'emprisonnement.
Les défenseurs des droits des femmes accusent le gouvernement islamo-conservateur turc de créer un contexte propice à un sentiment d'impunité, même si les dirigeants turcs condamnent régulièrement ces agressions. Les militants reprochent notamment au président Recep Tayyip Erdogan des remarques polémiques, comme l'année dernière, lorsque le chef de l'Etat turc avait estimé que les femmes étaient «incomplètes» sans enfants.
Lire aussi : Des femmes manifestent à Istanbul pour le droit de se vêtir comme elles l'entendent (VIDEO)
https://francais.rt.com/international/41724-touche-pas-mon-short-manifestation-pour-droits-femmes-ankara-turquie-images
Doug Casey sur la fin de l'État-nation
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
5 août 2017 22h30
Auteur de Doug Casey via InternationalMan.com,
Il y a eu un certain nombre de références au sujet des «phyles» dans les publications de Casey Research au fil des ans. Cet essai traitera le sujet en détail. Surtout comment les phyles sont susceptibles de remplacer l'État-nation, l'une des pires inventions de l'humanité.
Maintenant, ce serait un bon moment pour discuter du sujet. Nous aurons un flux presque ininterrompu de mauvaises nouvelles, sur plusieurs fronts, pour les années à venir. Il pourrait donc être utile de garder une perspective optimiste.
Commençons par examiner où nous en sommes. J'espère que vous pourrez excuser mon patinage sur toute l'histoire politique humaine dans quelques paragraphes, mais je tiens à fournir un cadre pour l'endroit où nous allons, plutôt qu'une monographie anthropologique.
Jusqu'à présent, l'humanité a traversé trois étapes principales de l'organisation politique depuis le premier jour, disent il y a 200 000 ans, lorsque des hommes anatomiquement modernes ont commencé à apparaître. Nous pouvons les appeler les tribus, les royaumes et les États-nations.
Karl Marx avait beaucoup de choses fausses, en particulier sa philosophie morale. Mais l'une des observations aiguës qu'il a faites était que les moyens de production sont peut-être le déterminant le plus important de la structure de la société. Sur la base de cela, jusqu'à maintenant dans l'histoire, seules deux choses très importantes se sont passées: la révolution agricole et la révolution industrielle. Tout le reste est juste une note de bas de page.
Voyons comment ces choses se rapportent.
La révolution agricole et la fin des tribus
À la préhistoire, le groupe politique / économique le plus important était la tribu. Dans cet homme est une créature sociale, il était assez naturel d'être fidèle à la tribu. Cela a du sens. Presque tout le monde dans la tribu était génétiquement lié, et le groupe était essentiel pour la survie mutuelle dans la nature sauvage. Cela leur a fait la totalité des personnes qui comptaient dans la vie d'une personne, à l'exception des «autres» de tribus étrangères, qui étaient en concurrence pour des ressources limitées et qui voudraient vous tuer pour une bonne mesure.
Les tribus ont tendance à être des méritocraties naturelles, avec le plus fort et le plus fort en assumant le leadership. Mais ce sont aussi des démocraties naturelles, assez petites pour que tous puissent avoir leur mot à dire sur des questions importantes. Les tribus sont assez petites pour que tout le monde connaisse les autres et sait quels sont leurs points faibles et forts. Tout le monde tombe dans un créneau d'avantage marginal, en faisant ce qu'il fait le mieux, simplement parce qu'il est nécessaire de survivre. Les mauvais acteurs sont ostracisés ou ne se réveillent pas, dans un bassin de leur propre sang, un matin. Les tribus sont socialement contraignantes, mais considérant les nombreux défauts de la nature humaine, une forme d'organisation naturelle et utile dans une société à technologie primitive.
Comme les gens ont construit leur bassin de capitaux et de la technologie au cours de nombreuses générations, les populations ont connu une croissance accrue. À la fin de la dernière ère glaciaire, il y a environ 12 000 ans, partout dans le monde, il y avait une explosion de population. Les gens ont commencé à vivre dans les villes et à s'appuyer sur l'agriculture par opposition à la chasse et à la collecte. De grands groupes de personnes vivant ensemble ont formé des hiérarchies, avec un roi d'une certaine description sur le tas.
RépondreSupprimerCeux qui se sont adaptés à la nouvelle technologie agricole et à la nouvelle structure politique ont accumulé les ressources excessives nécessaires à la guerre prolongée contre les tribus qui vivent toujours à un niveau de subsistance. Les sociétés les plus développées ont eu le nombre et les armes pour triompher complètement des retardataires. Si vous vouliez rester tribal, vous feriez mieux de vivre au milieu de nulle part, un endroit dépourvu des ressources que d'autres voudraient. Sinon, il était certain que le royaume voisin vous asservissait et que vous voiriez votre propriété.
La révolution industrielle et la fin des royaumes
D'environ 12 000 B.C. À peu près au milieu des années 1600, les cultures du monde étaient organisées sous des hommes forts, allant des seigneurs aux rois, aux pharaons ou aux empereurs.
C'est étrange, pour moi, au moins, combien l'animal humain semble aimer l'idée de la monarchie. Il est mythologisé, surtout dans un contexte médiéval, comme un système avec des rois nobles, des princesses justes et des braves chevaliers qui sortent de châteaux sur une colline à droite injustices. Comme mon ami Rick Maybury aime souligner, assez précisément, la réalité diffère un peu du mythe. Le roi est rarement plus qu'un voyou réussie, un Tony Soprano au mieux, ou peut-être un peu Stalin. La princesse était un hocheur incarné dans une ceinture de chasteté, le chevalier était un tueur loué et le château brillant sur la colline, le siège d'un camp de concentration, avec beaucoup de donjons pour les politiquement incorrects.
Avec les royaumes, les loyautés n'étaient pas tant pour le «pays» - un concept nébuleux et arbitraire - mais pour le souverain. Vous avez d'abord fait l'objet d'un roi. Vos affiliations linguistiques, ethniques, religieuses et autres étaient secondaires. Il est étrange que, quand les gens pensent à la période du royaume de l'histoire, ils ne pensent que ce que les classes dirigeantes ont fait et ont eu. Même si, si vous étiez né, les chances étaient de 98 %, vous seriez un simple paysan qui ne possédait rien, ne savait rien au-delà de ce qu'il leur disait, et envoyait la majeure partie de sa production excédentaire à ses dirigeants. Mais encore une fois, l'accumulation progressive de capitaux et de connaissances a permis de faire la prochaine étape: la révolution industrielle.
La révolution industrielle et la fin de l'État-nation
RépondreSupprimerComme les moyens de production ont changé, avec le remplacement des machines pour les muscles, la quantité de richesse a fait un énorme bond en avant. L'homme moyen n'a peut-être pas eu beaucoup, mais la possibilité de faire autre chose que de battre la terre avec un bâton pour toute sa vie ouverte, en grande partie à la suite de la Renaissance.
Ensuite, le jeu a complètement changé avec les révolutions américaines et françaises. Les gens ne se sentaient plus qu'ils appartenaient à un souverain; Au lieu de cela, ils ont maintenant donné leur fidélité à une nouvelle institution, l'État-nation. Quelque atavisme inné, remontant probablement avant que les humains ne se ramifient des chimpanzés il y a environ 3 millions d'années, semble dicter le singe nu pour donner sa fidélité à quelque chose de plus grand que lui. Ce qui nous a livré à la norme actuelle, l'État-nation, un groupe de personnes qui ont tendance à partager le langage, la religion et l'appartenance ethnique. L'idée de l'État-nation est particulièrement efficace quand elle est organisée comme une «démocratie», où la personne moyenne se voit conférer l'illusion qu'il a une certaine mesure de contrôle sur l'orientation du leviathan.
Sur le côté positif, à la fin du 18ème siècle, la révolution industrielle avait fourni à l'homme commun la liberté personnelle, ainsi que la capitale et la technologie, pour améliorer les choses à un rythme accéléré.
Qu'est-ce qui a provoqué le changement de la mer ?
Je spéculerais que cela s'explique en grande partie par un facteur intellectuel, l'invention de l'imprimerie; Et un facteur physique, l'utilisation répandue de la poudre à canon. L'imprimerie a détruit le monopole que les élites avaient sur la connaissance; L'homme moyen pouvait maintenant voir qu'ils n'étaient pas plus intelligents ou «mieux» qu'il ne l'était. S'il voulait les combattre (le conflit est, après tout, de quoi on parle de politique), il ne fallait pas seulement le dire, mais parce qu'il était motivé par une idée. Et maintenant, avec de la poudre à canon, il était sur un pied d'égalité avec les chevaliers et les soldats professionnels de la règle.
À l'heure actuelle, je crois que nous sommes à la pointe d'un autre changement, au moins aussi important que ceux qui ont eu lieu il y a environ 12 000 ans et il y a plusieurs centaines d'années. Même si les choses commencent à être vraiment sombres pour l'individu, avec des structures économiques en effondrement et des gouvernements de plus en plus virulents, je soupçonne que l'aide est sur le chemin de l'évolution historique. Tout comme la révolution agricole a mis fin au tribalisme et que la révolution industrielle a tué le royaume, je pense que nous nous dirigeons vers une autre révolution à plusieurs reprises qui fera de l'État-nation un anachronisme. Ce ne sera pas le mois prochain, ou l'année prochaine. Mais je parie que le modèle commencera à devenir clair au cours de la vie de plusieurs personnes qui lisent maintenant ceci.
De quel motif puis-je parler ? Encore une fois, une référence au génie du mal Karl Marx, avec son concept de «dévouement de l'État». À la fin de ce siècle, je soupçonne que les États-Unis et la plupart des autres États-nations auront, à toutes fins pratiques, cessé d'exister.
RépondreSupprimerLe problème avec l'État - et votre nation-État
Bien sûr, bien que je soupçonne que beaucoup d'entre vous sont sympathiques à ce sentiment, vous pensez également que le concept est trop loin et que je suis coupable de vœu pieux. Les gens croient que l'état est nécessaire et, en général, bon. Ils ne se demandent même pas si l'institution est permanente.
Mon point de vue est que l'institution de l'État lui-même est une mauvaise chose. Il ne s'agit pas de faire entrer les bonnes personnes dans le gouvernement; L'institution elle-même est désespérément erronée et nécessairement corrompt les personnes qui la composent, ainsi que les personnes qu'elles gouvernent. Cette déclaration choque invariablement les gens, qui croient que le gouvernement est à la fois une partie nécessaire et permanente du firmament cosmique.
Le problème est que le gouvernement est basé sur la coercition, et il est, au minimum, sous-optimal pour fonder une structure sociale sur la coercition institutionnalisée. Permettez-moi de vous exhorter à lire le superbe The Market for Liberty de Tannehills, disponible gratuitement, téléchargez ici.
L'un des grands changements apportés par l'imprimerie et avancée de façon exponentielle par Internet est que les gens peuvent facilement rechercher différents intérêts et points de vue. En conséquence, ils ont de moins en moins commun: vivre dans les mêmes frontières politiques ne suffit plus à en faire des compatriotes. C'est un grand changement de l'époque pré-agricole où les membres d'une même tribu ont tout à fait un problème, presque tout, en commun. Mais cela a été de plus en plus dilué dans les temps du royaume et de l'État-nation. Si vous êtes honnête, vous pouvez constater que vous avez très peu de points communs avec la plupart de vos compatriotes, en plus de superficialités et de trivialités.
Pensez à ce point pendant une minute. Qu'avez-vous en commun avec vos compatriotes ? Un mode de vie, (peut-être) une langue commune, éventuellement des expériences et des mythes communs, et un souverain commun. Mais très peu de sens réel ou d'importance. Pour commencer, ils sont plus susceptibles d'être un danger actif pour vous que les citoyens d'un pays présumé "ennemi", disons, comme l'Iran. Si vous gagnez une bonne vie, certainement si vous possédez une entreprise et avez des biens, vos autres Américains sont ceux qui présentent réellement le danger clair et présent. L'Américain moyen (environ 50 % d'entre eux maintenant) ne paie pas d'impôt sur le revenu. Même s'il n'est pas en fait un employé direct ou indirect du gouvernement, il est un bénéficiaire net de sa générosité, c'est-à-dire de votre richesse, de la sécurité sociale et d'autres programmes d'aide sociale.
Au cours des années, j'ai constaté que j'avais beaucoup plus de choses en commun avec les personnes de ma station ou de mon métier social ou économique en France, en Argentine ou à Hong Kong qu'avec un travailleur syndical américain à Detroit ou un résident des quartiers de Los Angeles. Je soupçonne que beaucoup d'entre vous seraient d'accord avec cette observation. Ce qui est réellement important dans les relations, c'est les valeurs partagées, les principes, les intérêts et la philosophie. La proximité géographique et la nationalité commune n'ont aucun sens, pas plus qu'un accident de naissance. J'ai beaucoup plus de fidélité à un ami au Congo - bien que nous ayons des couleurs différentes, des cultures différentes, des langues autochtones différentes et des expériences de vie différentes - que je le faisais aux Américains qui vivent dans l'autoroute dans le parc de remorques. Je vois le monde de la même manière que mon ami congolais; Il est un atout pour ma vie. Je suis nécessairement en désaccord avec beaucoup de "mes compatriotes Américains"; Ils sont une responsabilité active et croissante.
RépondreSupprimerCertains pourraient lire cela et trouver un manque de loyauté inquiétant envers l'État. Cela semble séditieux. Les jingoistes professionnels comme Rush Limbaugh, Sean Hannity, Bill O'Reilly, ou presque tout le monde autour du Washington Beltway s'enfoncent avec rage quand ils entendent parler comme ça. Le fait est que la loyauté envers un État, simplement parce que vous êtes né dans son bailliage, c'est tout simplement stupide.
Pour autant que je le sache, il n'y a que deux crimes fédéraux spécifiés dans la Constitution américaine: contrefaçon et trahison. C'est loin du monde d'aujourd'hui, où presque tout crime réel et imaginaire a été fédéralisé, soulignant que tout le document est une lettre morte sans signification, un peu plus qu'un artefact historique. Même ainsi, cela confirme également que la Constitution était tout à fait imparfaite, même dans sa forme originale. La contrefaçon est une simple fraude. Pourquoi devrait-il être souligné en particulier en tant que crime ? (D'accord, cela ouvre toute une nouvelle boîte de vers ... mais pas un que j'irai ici.) La trahison est généralement définie comme une tentative de renverser un gouvernement ou de retirer la loyauté d'un souverain. Une disposition assez étrange à avoir lorsque les rédacteurs de la Constitution ont fait juste que quelques années auparavant, on pourrait penser.
Comme je le vois, Thomas Paine a eu raison quand il a dit: "Mon pays est partout où la liberté vit".
Mais où vit la liberté aujourd'hui? En fait, il n'a plus de maison. Il est devenu un véritable réfugié puisque l'Amérique, qui était une excellente idée qui a pris ses racines dans un pays de ce nom, a dégénéré en États-Unis. Ce n'est qu'un autre État-nation malheureux. Et c'est sur la pente glissante.
http://www.zerohedge.com/news/2017-08-05/doug-casey-end-nation-state
Comme le souligne l'économiste Doug Casey, il y a un gros manque de Démocratie (depuis toujours) et, la mafia internationale est si grande que même un député russe s'est rallié à la mafia americaine !
SupprimerLa Californie a 11 comtés avec plus d'électeurs inscrits que les citoyens d'âge de vote
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
5 août 2017 21h30
Auteur de Mike Shedlock via MishTalk.com,
Le projet d'intégrité électorale de Californie fournit une liste de 11 comtés de la Californie qui ont plus d'électeurs inscrits que les citoyens votants.
En outre, les responsables du comté de Los Angeles ont informé le projet que «le nombre d'électeurs inscrits représente maintenant un nombre important de 144% du nombre total de citoyens résidents en âge de voter».
Le projet d'intégrité de l'élection California, Inc. a rejoint Judicial Watch, Inc., une organisation non partisane à Washington, DC, en envoyant une lettre d'avis de violation de la Loi sur l'enregistrement de l'article 8 de la Loi sur l'enregistrement des électeurs nationaux («NVRA») au secrétaire d'État de la Californie, Alex Padilla.
Extraits de la plainte NVRA
Cher secrétaire Padilla:
À partir des documents publics obtenus dans le cadre de l'Enquête électorale sur l'administration des élections de 2016 («EAVS») et à travers des comptes verbaux de diverses agences de comté, onze (11) comtés en Californie ont plus d'électeurs inscrits que l'âge des citoyens (CVAP) calculé par l'Enquête communautaire américaine de 2011-2015 du Bureau du recensement des États-Unis. Il s'agit d'une preuve forte et circonstancielle selon laquelle les municipalités californiennes ne procèdent pas à la maintenance raisonnable de la liste d'inscription des électeurs conformément aux dispositions de la NVRA.
Cette lettre sert d'avis légal que Election Integrity Project California, Inc., une société à but non lucratif enregistrée en Californie, et Judicial Watch, Inc., intenteront un procès contre vous et, le cas échéant, contre les comtés désignés dans la présente lettre, Si vous ne prenez pas de mesures spécifiques pour corriger ces violations de la Section 8 dans les 90 jours.
Les informations suivantes expliquent comment nous avons déterminé que votre état et les comtés mentionnés violaient l'article 8 de NVRA et les mesures correctives à prendre pour se conformer à la loi.
1. Les onze comtés de la Californie ont plus d'électeurs inscrits que le citoyen Voting Age Population
RépondreSupprimerD'après notre examen du rapport EAC EAVS de 2016, l'Enquête sur les collectivités américaines du Bureau du recensement des États-Unis de 2011-2015 et les enregistrements d'inscription électorale actifs et actifs les plus récents de la Californie, la Californie ne respecte pas les exigences de maintenance de la liste d'inscription des électeurs de la section 8 De la NVRA. Par exemple, une comparaison de l'Enquête sur la communauté américaine du Bureau du recensement des États-Unis de 2011-2015 et les enregistrements d'inscription des électeurs actifs et inactifs de Californie les plus récents indiquent qu'il y avait plus d'électeurs inscrits que les adultes âgés de plus de 18 ans vivant dans chacun des cas suivants Onze (11) comtés: impérial (102%), Lassen (102%), Los Angeles (112%), Monterey (104%), San Diego (138%), San Francisco (114%), San Mateo (111% ), Santa Cruz (109%), Solano (111%), Stanislaus (102%) et Yolo (110%). Nos propres recherches montrent que la situation dans ces comtés est, sinon quelque chose, pire que les données précédentes suggèrent. Par exemple, nous avons contacté directement le comté de Los Angeles en juin dernier. À cette époque, les fonctionnaires du comté nous ont informés que le nombre total d'électeurs enregistrés représente maintenant un nombre énorme de 144 % du nombre total de citoyens résidents en âge de voter.
2. Le NVRA vous oblige à entreprendre des efforts raisonnables pour maintenir des listes précises d'électeurs inscrits admissibles
3. Le défaut de respecter NVRA vous soumet à des poursuites et des coûts financiers
En passant la NVRA, le Congrès a autorisé un droit d'action privé pour faire respecter les dispositions de la NVRA, y compris la Section 8. Par conséquent, les personnes privées peuvent intenter un procès en vertu de la NVRA si les violations identifiées dans le présent document ne sont pas corrigées dans les 90 jours suivant la réception de cette lettre.
4. Éviter les litiges
Nous espérons que vous commencerez à engager rapidement des efforts pour se conformer à la section 8, de sorte qu'aucun procès ne sera nécessaire. Nous vous demandons et, dans la mesure où ils souhaitent répondre séparément, chaque comté identifié dans cette lettre, pour répondre à cette lettre par écrit au plus tard 30 jours à compter de ce jour, nous informant des mesures de conformité que vous prenez. Plus précisément, nous vous demandons: (1) de mener ou de mettre en œuvre un programme systématique, uniforme et non discriminatoire pour supprimer de la liste des électeurs admissibles le nom des personnes qui sont devenues incapables de voter en raison d'un changement de résidence; Et (2) mener ou mettre en œuvre des mesures de routine supplémentaires pour supprimer de la liste des électeurs admissibles les noms des personnes qui sont devenues incapables de voter en raison du décès, d'un changement de résidence ou d'une condamnation pénale disqualifiée et d'éliminer les non-citoyens qui se sont inscrits De voter illégalement.
5. Production des enregistrements
RépondreSupprimerEnfin, conformément à vos obligations en vertu de la NVRA, votre bureau et, dans la mesure où ils tiennent des registres séparés de votre bureau, chaque comté mentionné dans cette lettre devrait nous mettre à la disposition de tous les documents pertinents concernant «la mise en œuvre des programmes et des activités Menée dans le but d'assurer l'exactitude et la monnaie "des listes électorales officielles officielles de la Californie au cours des 2 dernières années. Veuillez inclure ces enregistrements avec votre réponse à cette lettre.
J'espère que les préoccupations identifiées dans cette lettre peuvent être réglées à l'amiable. Cependant, si nous croyons que vous n'avez pas l'intention de corriger les problèmes identifiés ci-dessus, un procès fédéral visant à obtenir des déclarations et des injonctions contre vous peut être nécessaire. Nous attendons avec impatience votre réponse rapide.
Cordialement,
JUDICIAL WATCH, INC.
S / Robert D. Popper
Robert D. Popper
Avocat, Judicial Watch, Inc.
Voici la lettre complète de six pages NVRA au secrétaire d'État de Californie, Alex Padilla.
Questions clés
Quelle est la fraude réelle contre la fraude possible ?
Combien coûte la fraude intentionnelle (permettant aux non-citoyens) de voter ?
À quelle fréquence les morts et les non-résidents votent-ils ?
http://www.zerohedge.com/news/2017-08-05/california-has-11-counties-more-registered-voters-voting-age-citizens
Ne confondons pas le parti démocrate (Gov. Brown) au pouvoir et la Démocratie !
SupprimerTrois ans d’embargo alimentaire: avantages, inconvénients et perspectives pour la Russie
RépondreSupprimer16:05 05.08.2017
Trois ans après l’embargo imposé par la Russie en riposte aux sanctions, il est temps d’en dresser le bilan. Alors que certains attestent de son caractère productif, favorisant le développement de l’industrie nationale, les autres tirent la sonnette d’alarme en pointant du doigt certaines faiblesses. Quelle est donc la vérité ?
Fruits
Pas de fromage français ou de jambon espagnol dans les grandes surfaces russes. Ces produits sont désormais remplacés par d'autres marchandises en provenance de pays différents de ceux auxquels le peuple russe s'était habitué, ou remplacés par leurs analogues, produits localement. Ce changement est-il plutôt bon ou mauvais? Après trois ans d'embargo alimentaire décrété par Moscou en représailles aux sanctions occidentales, la Russie se porte plutôt bien, malgré tous les pronostics. Il faut cependant plus de temps à certains secteurs afin d'améliorer leur compétitivité, tel pourrait être le constat. Essayons donc de déterminer quels ont été les avantages et les inconvénients de cette mesure. De même, tentons de pronostiquer la situation à venir.
Où en est-on aujourd'hui ?
Les producteurs russes sont plutôt optimistes sur ce sujet, caractérisant ces trois dernières années de «très productives».
«Grâce à l'introduction de l'embargo et au développement dynamique des programmes de substitution des importations, les fabricants russes ont réussi à augmenter la production de produits nationaux», affirme le directeur exécutif de l'Association des producteurs et des fournisseurs de produits alimentaires en Russie, Dmitri Vostrikov.
Selon lui, la quantité des produits russes dans les magasins représente à ce jour environ 77 % du total, tandis que pour certains produits, comme par exemple, le pain, le lait, la viande ou les œufs, elle atteint un taux 100 %. Il rappelle par ailleurs qu'avant l'introduction de contre-sanctions, les produits étrangers représentaient 40 % du total.
«Si l'on parle de la sécurité alimentaire et de l'approvisionnement du marché russe en produits locaux, la Russie a plus gagné que perdu», a renchéri l'analyste de Rosbank, Evgeniy Koshelev.
Qui plus est, l'embargo a incité de nombreux fabricants locaux à se lancer dans la production d'analogues russes de produits disparus des étalages. Trois ans plus tard, cette initiative va bon train et des «camemberts», des «bries» et des «mozzarellas» made in Russia conquièrent progressivement le marché local.
Avec un peu d'amertume…
Toutefois, l'effet de l'embargo alimentaire n'a pas été que positif. Ainsi, l'expert du centre analytique du gouvernement de la Russie, Roman Titov, déplore que certains produits, visés par les contre-sanctions, n'aient pas pu être pleinement remplacés. Ceci est dû au fait que l'augmentation de la production dans certains secteurs demande plus de temps.
De son côté, la directrice du centre de pronostics économiques Gazprombank, Daria Snytko, pointe du doigt un autre problème: la dévaluation du rouble par rapport aux devises mondiales a entraîné la réduction de l'importation de certaines marchandises et a freiné la substitution des importations dans certains secteurs. L'experte ajoute, en outre, que certains produits exportés auparavant par l'Union européenne proviennent désormais d'autres pays.
RépondreSupprimerL'embargo dope-t-il toujours la production locale ?
Trois ans après, ces restrictions continuent-elles à exercer une influence positive sur l'agriculture russe ?
Pour M.Vostrikov, certains secteurs ont besoin de quelques années de plus pour arriver à couvrir totalement la substitution des importations.
«C'est pour cela qu'il est encore trop tôt pour parler d'un épuisement du régime des contre-sanctions», constate-t-il.
Néanmoins, d'autres pensent que l'embargo mis en place par le gouvernement russe comme une mesure protectionniste pour les producteurs nationaux a stimulé par ce biais les petites entreprises agricoles en Russie.
Ainsi, grâce aux sanctions, les investissements gouvernementaux pour le secteur de l'agriculture ont considérablement augmenté tandis que les investissements dans les entreprises liées à l'agriculture en serre sont devenus populaires au sein des principaux hommes d'affaires russes
Secteurs fragilisés.
L’embargo commercial fait les beaux jours du fromage russe
En outre, les experts dénotent quelques secteurs nationaux qui pourraient se retrouver fragilisés par la levée de l'embargo, notamment en ce qui concerne les produits laitiers.
Toutefois, même si cette perspective de la levée des sanctions pourrait inquiéter les agriculteurs, ils sont plutôt optimistes pour leur avenir au vu des résultats déjà obtenus.
Ainsi, selon le ministère russe de l'Agriculture, le rendement des tomates et des concombres cultivés dans les serres russes en juillet 2017 a augmenté de 19,8 % par rapport aux chiffres de juillet 2016. Pour la substitution de la volaille ce taux s'élève à 95,2 %, pour le porc, elle est de 92,1 %. Mais c'est le sel qui bat tous les records, étant passé de 38 % à 65 % en quelques années seulement.
Et alors après l'embargo ?
D'après Dmitri Vostrikov, les producteurs se rendent bien compte que tôt ou tard, le marché russe sera de nouveau ouvert aux produits étrangers. C'est pourquoi la suppression du régime des contre-sanctions n'aura pas d'influence négative sur le développement de l'agriculture nationale.
Le Conseil de l'UE a décidé de proroger jusqu'à fin janvier 2018 les sanctions imposées à Moscou en juillet 2014, suite au rattachement à la Russie de la Crimée qui a suivi le coup d'État survenu en Ukraine. En réponse, Moscou a limité les importations des pays qui ont adopté les sanctions antirusses.
RépondreSupprimerAinsi, en vigueur depuis le 7 août 2014, l'embargo interdit l'importation en Russie des produits d'agriculture, des matières premières et des denrées alimentaires depuis les pays qui ont introduit des sanctions contre Moscou sur fond de crise ukrainienne. L'embargo russe a initialement visé les produits importés des États-Unis, d'Australie, de Norvège et du Canada. Le 13 août 2015, les autorités russes ont ajouté à cette liste noire l'Albanie, le Monténégro, l'Islande et le Liechtenstein, et enfin l'Ukraine le 1er janvier 2016.
Initialement adoptées pour une période d'un an, les restrictions ont été prolongées à plusieurs reprises — jusqu'au 5 août 2016, puis jusqu'à la fin de 2017. Cette fois, les sanctions ont été prolongées d'un an alors qu'il restait encore six mois jusqu'à leur expiration.
https://fr.sputniknews.com/russie/201708051032537476-embargo-sanctions-russie-economie/
Comme pour le Venezuela qui ne vivait que de son pétrole, l'embargo a permis de mettre une agriculture en place avec des rendements élevés. Ce temps de récolte est arrivé très vite et aujourd'hui, grâce à cette punition (Hahaha !) le Vénézuela - qui à l'avantage d'être en zone tropicale - consomme vénézuélien !
SupprimerEn définitive, ce sont les pays exportateurs vers le Venezuela et la Russie qui se sont punis depuis le début et (espérons-le) pour toujours !
Comment la Russie pourrait-elle frapper de nouveau contre les sanctions américaines dans 4 cartes simples
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
5 août 2017 17h00
Auteur de George Friedman, Xander Snyder et Ekaterina Zolotova via MauldinEconomics.com,
Le Congrès américain a adopté de nouvelles sanctions visant les entreprises énergétiques russes. Parmi les autres aspects notables des sanctions, c'est qu'ils retiennent un pouvoir du président des États-Unis (qui avait l'habitude de mettre en œuvre certaines mesures, mais pas d'autres, à sa discrétion) et l'accorder au Congrès.
Reconnaissant qu'un secteur vital dans son économie a encore moins de chances de soulagement qu'il ne l'avait autrefois, la Russie a réprimé. Il a réduit le nombre de diplomates qu'il a aux États-Unis et a saisi des agents utilisés par les diplomates américains en Russie.
Les ventes d'énergie sont une source importante de revenus, bien sûr, mais pour la Russie, ils sont plus que cela: ils sont un instrument de pouvoir géopolitique. Ils donnent à Moscou une influence considérable sur les pays dont les exportations russes répondent aux besoins énergétiques. Si la Russie a l'intention de prendre des mesures de répression contre les États-Unis, ses approvisionnements en énergie, en particulier ceux qu'elle envoie en Europe, peuvent être la meilleure option pour le faire.
Dépendance délibérée
Mais exactement combien d'huile le reste du monde importe-t-il ? Comment la Russie peut-elle en profiter ?
- voir carte sur site -
Collectivement, l'Union européenne importe 53 % de l'énergie qu'elle consomme. Cela comprend 90 % de son pétrole brut et 66% de son gaz naturel - un pourcentage plus élevé que la plupart des autres régions du monde, y compris l'Amérique du Nord, l'Asie de l'Est (mais pas le Japon) et l'Asie du Sud. En tout, l'énergie représente 20% de toutes les importations de l'UE.
Individuellement, certains pays comptent davantage sur les importations d'énergie que d'autres. La plupart des pays européens importent plus de 30 % de l'énergie qu'ils consomment. La Norvège fournit environ 35 % de ces importations, tandis que la Russie fournit environ 40 %. L'Allemagne, qui possède la plus grande économie de l'UE, importe plus de 60 % de l'énergie qu'elle consomme, et la France, qui compte la troisième économie, importe environ 45 %.
Certains pays d'Europe de l'Est dépendent encore plus de l'énergie étrangère. La Hongrie, l'Autriche et la Slovaquie importent environ 60 à 65 % de leurs besoins énergétiques. Cependant, la Bulgarie, la République tchèque et la Roumanie importent moins (37 %, 32 % et 17 %, respectivement). Dans les pays baltes, la Lituanie importe environ 75 % de l'énergie qu'elle consomme. La Lettonie importe 45 %, et l'Estonie importe 9 %.
La majeure partie de cette énergie provient de la Russie. En fait, la Russie fournit plus de 70 % du pétrole et du gaz naturel utilisés en Bulgarie, en Lettonie, en Lituanie, en Hongrie, en Slovaquie et en Finlande. Il fournit 62 % du gaz naturel et 56 % de l'huile utilisée en République tchèque, et 53 % du gaz naturel et 90 % de l'huile utilisée en Pologne.
RépondreSupprimerCultiver cette dépendance est un mouvement conscient au nom de la Russie. Le principal impératif de sécurité de la Russie est de maintenir un espace tampon entre celui-ci et l'Europe occidentale qui l'aiderait à repousser toute invasion qu'il a accomplie pendant l'ère soviétique en envahissant et en occupant des pays. La Russie n'est pas aussi puissante qu'elle l'était, mais elle a développé un levier économique qui lui permet d'exercer une pression sur les pays qui risqueraient de nuire à leur sécurité énergétique.
Conscient de la dangerosité d'une dépendance à l'égard de la Russie, ces pays essaient de diversifier leurs sources d'énergie en conséquence. La Pologne et la Lituanie, par exemple, ont commencé à importer du gaz naturel liquéfié des États-Unis. Il s'agit toutefois d'une solution à plus long terme, car l'importation de GNL nécessite le développement d'une infrastructure spécialisée pour la recevoir et la transporter.
Le meilleur pari
La France et l'Allemagne - les dirigeants de fait, si souvent inconciliables, de l'Union européenne - illustrent comment l'énergie russe peut façonner la politique étrangère. La France peut compter sur l'énergie étrangère, mais la majeure partie de son pétrole et de son gaz naturel provient d'Algérie, du Qatar, de l'Arabie Saoudite et de la Libye, et non pas de Russie. La France peut donc se permettre d'être plus agressive et de soutenir les sanctions contre la Russie.
Ce n'est pas le cas avec l'Allemagne, qui reçoit 57 % de son gaz naturel et 35 % de son pétrole brut en provenance de Russie. Berlin doit donc marcher à la légère entre son principal bienfaiteur de sécurité, les États-Unis et sa principale source d'énergie, la Russie.
C'est l'une des raisons pour lesquelles l'Allemagne a été un critique franche des récentes sanctions américaines qui pénalisent les entreprises de tout pays qui collaborent ou participent à des coentreprises avec des entreprises énergétiques russes. L'Allemagne soutient la construction de Nord Stream 2, un pipeline qui traverserait la mer Baltique, contournant l'Ukraine - l'état de transit par lequel l'Allemagne reçoit actuellement une grande partie de ses importations d'énergie. Le gazoduc aiderait à protéger les approvisionnements énergétiques allemands, car cela permettrait à la Russie de punir l'Ukraine en refusant les expéditions de gaz naturel sans punir des pays comme l'Allemagne en aval.
Bien sûr, l'Allemagne pourrait tenter de diversifier ses sources d'énergie, notamment la Libye, le Nigéria, le Kazakhstan, la Norvège et les Pays-Bas, mais cela aurait du mal à le faire. L'Allemagne s'appuie fortement sur les pipelines pour son énergie, en particulier le gaz naturel russe. Il dispose de quatre oléoducs transfrontaliers, quatre pipelines domestiques et trois ports pétroliers dans les mers du Nord et de la Baltique. Mais l'Allemagne a moins d'options pour le gaz naturel et aucune installation majeure de GNL. Autrement dit, l'Allemagne est redevable aux pays avec lesquels ses pipelines ont une connexion - quelque chose qui le rend vulnérable aux représailles.
RépondreSupprimer- voir carte sur site -
Mais il n'y a que beaucoup de Russie peut faire. Ses intérêts géopolitiques en Ukraine, par exemple, s'harmonisent avec les intérêts énergétiques allemands. L'Allemagne profiterait de Nord Stream 2 en obtenant une nouvelle voie de gaz naturel, et la Russie en profiterait en augmentant son influence sur l'Ukraine. Mais Washington ne voudrait pas que Moscou stoppe les flux d'énergie à travers l'Ukraine à son gré. Les États-Unis doivent essayer de gérer la situation de l'Ukraine d'une manière qui empêche un plus grand alignement allemand-russe général.
La Russie, en outre, ne peut pas intimider les États-Unis avec ses exportations d'énergie. Washington n'en a pas besoin. Mais la Russie pourrait influencer les alliés américains si elle choisissait de prendre des représailles plus qu'elle ne l'avait déjà fait. Comme les États-Unis sont beaucoup plus puissants que la Russie, diviser et conquérir peut être le meilleur pari de Moscou.
http://www.zerohedge.com/news/2017-08-05/how-russia-could-strike-back-against-us-sanctions-4-simple-maps
1400 tremblements de terre invitent à la question «Si le Yellowstone était en éruption, qu'est-ce qui serait laissé ?
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
5 août 2017 20h30
Le volcan Yellowstone a été frappé par 1400 tremblements de terre ces dernières semaines, ce qui a menacé que le supervolcan est prêt à souffler et à éliminer la vie sur terre.
L'activité sismique autour du parc national de Yellowstone au Wyoming, aux États-Unis, n'est pas rare, mais l'essaim le plus lourd en une demi-décennie a des gens très préoccupés.
Depuis le 12 juin, The Express rapporte qu'il y a eu plus de 1 400 tremblements dans la région, et les experts affirment que l'essaim pourrait durer encore un mois.
Cependant, les sismologistes affirment qu'il n'y a rien à craindre encore. Jamie Farrell à l'Université de l'Utah à Salt Lake City a déclaré à New Scientist:
"C'est un gros essaim, mais ce n'est pas le plus grand essaim que nous avons enregistré à Yellowstone.
"Les essaims sismiques sont assez courants à Yellowstone.
"Il n'y a aucune indication que cet essaim est lié au magma qui se déplace dans la croûte peu profonde".
Néanmoins, suite au plus grand tremblement de terre du Montana en 34 ans, un tremblement de 5,4 au début de juin, qui est sur la même ligne de faille que Yellowstone, et couplé avec l'essaim des tremblements de terre dans le parc national, beaucoup sont convaincus que le supervolcan est maintenant prêt à souffler.
Un local a écrit sur Twitter: "Le tremblement de terre à Bozeman = volcan Yellowstone vraiment terrifié va s'éteindre".
Alors, qu'arriverait-il ?
http://www.zerohedge.com/news/2017-08-05/sudden-1400-quake-swarm-prompts-question-if-yellowstone-erupted-what-would-be-left
L’Inde est un paradis pour le tourisme médical
RépondreSupprimerArnaud Lefebvre
4 août 2017
Sur le plan du tourisme médical, l’Inde est un marché en pleine croissance. L’année dernière, 361.060 patients étrangers ont été enregistrés dans le pays pour y subir un traitement médical, contre 233.918 en 2015.Cela représente une augmentation de 54,3 % sur un an, indique Mahesh Sharma, Ministre indien du tourisme et de la culture. Il y a trois ans, l’augmentation avait été de 95,9 %.
La majorité des patients sont originaires du moyen-orient, d’Afrique, du Bangladesh, d’Afghanistan, des Maldives, du Pakistan, du Bhoutan et du Sri Lanka.
Les spécialistes estiment que d’ici 2020, le tourisme médical en Inde engendrera un chiffre d’affaires de 8 milliards de dollars.
Produit d’exportation
Le bien-être et les traitements médicaux sont considérés par le Ministère indien du tourisme comme un important marché de niches.
Un rapport de la Confederation of Indian Industry souligne que la présence d’hôpitaux de classe mondiale et de médecins hautement formés a renforcé la position du pays en tant que destination préférée pour le tourisme de soins médicaux.
« Un traitement pour des chirurgies majeures coûte en Inde seulement une fraction de ce qui doit être payé dans les pays développés » souligne le rapport. Dans certains cas, les coûts équivalent à 10 % de ceux des pays développés.
Cet avantage sur le plan de la concurrence amènera, selon le rapport, l’Inde à pouvoir accueillir dans peu de temps un grand nombre de touristes médicaux des Etats-Unis et d’Europe.
Le pays qui actuellement offre un visa pour 3 visites à visée médical, veut assouplir davantage l’accès des patients étrangers à ses services médicaux.
Selon le rapport, les connaissances médicales des Indiens deviennent de plus en plus un produit d’exportation précieux. En témoigne notamment la demande croissante d’un certain nombre de pays africains qui compte sur l’assistance de partenaires indiens pour entre autres construire des hôpitaux et les gérer.
https://fr.express.live/2017/08/04/linde-paradis-tourisme-medical/
Pareillement qu'aux Venezuela où c'est toute la clientèle de l'arc antillais qui y va (compte tenu de l'indépendance des îles qui ont fait qu'une île n'a même pas les moyens de se payer des soins !!), l'Inde aussi peut offrir la guérison de maladies entretenue ailleurs !
RépondreSupprimerLes smartphones sont-ils en train de détruire une génération ?
RépondreSupprimerAudrey Duperron
4 août 2017
« Les adolescents qui passent plus de temps que la moyenne sur l’écran de leur smartphone sont plus enclins à être malheureux, et les adolescents qui passent plus de temps que la moyenne sur des activités hors écran sont plus susceptibles d’être plus heureux. Il n’y a aucune exception ».
Cette conclusion, c’est celle de la professeure de psychologie Jean M. Twenge de l’Université de San Diego, dans son ouvrage « iGen: Why Today’s Super-Connected Kids Are Growing Up Less Rebellious, More Tolerant, Less Happy—and Completely Unprepared for Adulthood—and What That Means for the Rest of Us.
Twenge a étudié l’impact des smartphones sur la vie quotidienne des adolescents, et a présenté cette semaine ce travail de recherche dans le magazine The Atlantic.
En route vers une destruction sociale
La psychologue explique que la génération des jeunes nés entre 1995 et 2012, qu’elle a surnommés “iGen” parce qu’aux Etats-Unis, 3 adolescents sur 4 possèdent un iPhone, a été façonnée par leur smartphone et la montée en puissance des médias sociaux. Presque tous ont un compte Instagram avant d’entrer au secondaire, et ils ont toujours connu internet. Ces jeunes, qui sont plus à l’aise en ligne que lors de rencontres physiques, courent moins le risque de se faire agresser que leurs homologues des générations passées, mais ils sont psychologiquement plus fragiles, et bien plus vulnérables aux crises de santé mentale.
Twenge a fait des observations stupéfiantes:
Les adolescents ont une vie amoureuse de plus en plus mince
A peine 56 % des élèves du secondaire ont eu un rendez-vous galant avec un(e) petit(e) ami(e) potentiel(le) en 2015. Pour les baby-boomers et la génération X (la génération entre les baby-boomers et les Millénials), ce ratio était de 85 %.
Leur développement est entravé
Twenge a étudié le comportement (relation à la boisson, aux rendez-vous amoureux, aux activités non surveillées…) de ces jeunes :
« Les jeunes de 18 ans se comportent plus comme des jeunes de 15 ans des générations précédentes, et ceux qui ont 15 ans se comportent plus comme des jeunes de 13 ans des générations précédentes. »
Ils ont plus de temps libre, mais ils le gaspillent…
Comme cette génération passe moins de temps sur ses devoirs que les générations précédentes, «ils passent le temps avec leur smartphone, dans leur chambre, seuls et souvent angoissés. »
« Le nombre d’adolescents qui rencontrent leurs amis presque tous les jours a chuté de plus de 40 % de 2000 à 2015 ». Les lieux de rencontre traditionnels des jeunes ont été remplacés par les espaces virtuels.
Les adolescents commettent moins de meurtres, mais plus de suicides
RépondreSupprimer« Les adolescents qui passent trois heures par jour ou plus sur des gadgets électroniques sont 35 % plus susceptibles de développer un facteur de risque de suicide, comme concevoir un projet de suicide. (…) Depuis 2007, le taux d’homicide chez les adolescents a décliné, mais le taux de suicide a augmenté ».
Les filles sont les plus mal loties
« En 2015, on recense 48 % de filles de plus qu’en 2010 qui disent qu’elles se sentent exclues, comparé à 27 % de garçons de plus. (…) Bien que le taux de suicide ait augmenté pour les deux sexes, on a recensé trois fois plus de suicides de filles en 2015 qu’en 2007, contre deux fois plus pour les garçons ».
https://fr.express.live/2017/08/04/smartphones-adolescents-generation-z-igen/
Même s"il y a un temps, un âge pour dire des conneries, ces nouveaux adeptes s'éduqueront certainement mieux qu'en écoles en allant sur Internet !
Supprimer