Demain, pour accompagner la raréfaction des hydrocarbures, les réacteurs nucléaires « à neutrons lents et rapides » constitueront un atout majeur pour produire de manière durable la chaleur et l’électricité propre.
Par Michel Gay.
22 AOÛT 2017
La baisse inéluctable de la production des hydrocarbures, les faiblesses structurelles des énergies intermittentes du vent et du soleil, ainsi que la volonté de diminuer les émissions de gaz à effet de serre ont ajouté une nouvelle légitimité « écologique » à la production d’électricité nucléaire.
Elle constituera le socle de l’avenir énergétique de l’humanité malgré la vigoureuse opposition d’une frange militante. La Chine, les Etats-Unis et l’Inde évoquent les « énergies propres » lesquels incluent… le nucléaire.
PARLER D’ÉNERGIE GRATUITE N’A PAS DE SENS.
De toutes les qualités prêtées un peu vite aux énergies renouvelables, la plus fallacieuse est la gratuité issue d’une mystique néo-rousseauiste. Le soleil et le vent seraient offerts généreusement et éternellement par Mère Nature.
Encore faut-il capter cette énergie intermittente avec des matériels appropriés (éoliennes, panneaux photovoltaïques,…), lesquels sont chers et le plus souvent non rentables… sans subventions publiques. Ces sources d’énergies, hors l’énergie hydraulique, resteront marginales et coûteuses.
Il faut remarquer que le charbon et le pétrole sont tout aussi gratuits. Ils sortent de terre sans avoir à les fabriquer. Ce sont les moyens d’’extraction, les transports, les transformations des produits, les taxes, etc,… qui ont un coût pour aboutir à une énergie utilisable.
RÉDUIRE NOTRE CONSOMMATION ?
Pour compenser la faible production erratique des énergies renouvelables, des Verts proposent de faire baisser fortement notre consommation. Un tel retour en arrière, à supposer qu’il soit possible et accepté, entraînerait une chute du niveau de vie et une augmentation du chômage avec de dramatiques effets sociaux et humains.
L’efficacité énergétique et les économies d’énergies préconisées (louables en elles-mêmes) ne pourront que limiter la progression de la hausse de la consommation mondiale.
Des recherches tentent depuis un siècle, et sans succès, de stocker massivement et à faible coût l’énergie électrique. La réalisation d’un stockage d’électricité correspondant aux besoins d’une nation n’est même pas en vue, et ne sera peut-être jamais possible malgré les rêves éveillés de quelques-uns.
À long terme, le refus du nucléaire est voué à l’échec.
À moyen terme, sa réduction peut provoquer des dégâts importants pour une nation moderne.
– L’Espagne est en pleine déconfiture énergétique avec ses éoliennes.
– L’Italie qui a refusé le nucléaire sans avoir de ressources énergétique sur son sol, importe une part importante de son électricité de France, d’Allemagne et d’Autriche.
– L’Allemagne se repose sur le charbon de son sous-sol et sur l’importation de gaz russe qui fournissent (à eux deux) 60% de l’électricité. Et ce pourcentage va augmenter car près de 20% de son électricité provient toujours des réacteurs nucléaires…
L’ÉNERGIE NUCLÉAIRE EST LA SEULE ÉNERGIE DE PRODUCTION MASSIVE ET PILOTABLE DISPONIBLE AUJOURD’HUI POUR PLUSIEURS … MILLÉNAIRES.
En effet, les réacteurs actuels à « neutrons lents » (génération 2 et 3) consomment moins d’un centième de l’uranium naturel (0,8% aujourd’hui avec un recyclage partiel). Le reste n’est pas utilisé.
Après 2050, les réacteurs à « neutrons rapides » en préparation (génération 4) consommeront prés de 100% de l’uranium naturel et multiplieront donc par 100 les réserves utiles.
Le nucléaire deviendra alors durable puisque les réserves mondiales d’uranium connues à ce jour permettraient d’alimenter plus de dix fois le parc mondial actuel pendant plusieurs milliers d’années.
5000 ANS DEVANT NOUS
En France, le stock d’uranium dit « appauvri » résultant de la préparation du combustible actuel (dit « enrichi »), et précieusement conservé sur notre sol, permettra en 2050 d’alimenter ces centrales nucléaires de quatrième génération pendant 5000 ans (cinq mille ans !)…. sans avoir à importer d’uranium ni aucun combustible.
La civilisation industrielle connaîtra une phase d’expansion nucléaire, comme elle a connu des phases bois, charbon, pétrole et gaz.
Dans la plupart des pays, la pression de la nécessité emportera, tôt ou tard, toutes les résistances. S’opposer à cette mutation en faisant miroiter des pseudo-solutions miracles, comme le vent et soleil, malmène l’intérêt collectif en retardant les évolutions avec des arguments et des procédures dilatoires. Ce comportement ne fait que rendre plus difficile le chemin vers le développement inéluctable de l’énergie nucléaire.
Demain, pour accompagner la raréfaction des hydrocarbures, puis pour leur succéder au moins partiellement, les réacteurs nucléaires « à neutrons lents et rapides » constitueront un atout majeur pour produire de manière durable la chaleur et l’électricité propre, bon marché, décarbonée et abondante dont nos enfants auront besoin.
4 (mauvaises) excuses du terrorisme
RépondreSupprimerLes excuses idéologiques ne manquent pas pour atténuer la responsabilité individuelle des terroristes. Le philosophe Michael Walzer en a réfuté 4 des plus répandues.
Par Frédéric Mas.
22 AOÛT 2017
Les attentats terroristes en Espagne ont suscité des réactions bien compréhensibles, de colère, de tristesse ou de protestation sur les réseaux sociaux. Face à l’émotion, les explications se sont multipliées, qu’elles viennent d’anonymes ou d’experts plus ou moins compétents sur les questions d’islamisme ou de terrorisme. Seulement, avec la même régularité d’horloge, après chaque attentat, réapparaît le même discours dans le débat public, celui des excuses idéologiques du terrorisme.
Dans un livre de 2004, le philosophe Michael Walzer s’était attaché à réfuter les 4 excuses idéologiques les plus souvent invoquées pour minimiser l’horreur du terrorisme. Walzer vient de la gauche de la gauche, et s’adresse en priorité à certains de ses camarades politiques, particulièrement impliqués dans les mouvements de libération et les luttes pour l’émancipation aux États-Unis et au Proche Orient.
Les opinions que Michael Walzer décrit et cherche à réfuter se retrouvent aujourd’hui bien au-delà du petit monde de la gauche radicale. Elles se confondent aujourd’hui avec un certain prêt à penser sur le terrorisme commun aux commentateurs paresseux de l’actualité.
En d’autres termes, ce qui était visé hier par Michael Walzer peut permettre de prendre de la distance avec certains biais idéologiques qui empêchent de penser correctement le problème du terrorisme aujourd’hui.
« LE TERRORISME, C’EST LE DERNIER RECOURS QUAND TOUT LE RESTE A ÉCHOUÉ»
C’est imaginer que les terroristes raisonnent comme des stratèges, évaluant et testant plusieurs alternatives, militaires et politiques, avant de s’en remettre à la violence à l’endroit des plus vulnérables.
Une fois écartée l’objection la plus simple, à savoir que même ne rien faire du tout se révèle être une option supérieure à celle de commettre un acte de violence terroriste, une autre intervient : à quel moment les terroristes ont-ils épuisé toutes leurs alternatives ? « Dans les faits, la plupart des fonctionnaires et des activistes qui plaident en faveur d’une stratégie terroriste le font en premier lieu. » Dans le cas de l’État islamiste, c’est à la fois une stratégie militaire et une technique effroyable de communication, qu’il n’a jamais songé à remplacer par d’autres solutions.
« LE TERRORISME, C’EST L’ARME DES PLUS FAIBLES CONTRE LES PUISSANTS »
L’argument très répandu au sein des mouvements de libération nationale se distingue du premier en posant le terrorisme comme premier recours. Pas besoin ici de trouver des artifices rhétoriques pour justifier la violence à l’endroit des populations. Politiquement en situation de faiblesse, les défenseurs du terrorisme estiment devoir en passer par le terrorisme.
Pour Walzer, il y a ici confusion entre deux sortes de faiblesses, l’une vis-à-vis de l’État (ou de la puissance dominante) qu’elle combat et l’autre vis-à-vis du peuple qu’elle dit défendre. C’est cette seconde faiblesse qui conduit les terroristes au terrorisme plutôt qu’aux manifestations de masse, aux grèves générales ou à la résistance non violente.
C’est parce que le terroriste n’a pas de soutien fort et affirmé dans la population qu’il prétend défendre ou incarner qu’il a recours aux armes.
RépondreSupprimerDans le cas de l’État islamique, la stratégie terroriste tous azimuts signe aussi son incapacité à susciter l’adhésion au sein de la grande majorité des Musulmans d’Europe : elle est certes inquiétante et mérite une réponse ciblée des pouvoirs publics, mais témoigne aussi de son peu d’impact sur les populations ciblées.
« LE TERRORISME EST LE SEUL MOYEN EFFICACE POUR QUE LES OPPRIMÉS S’EXPRIMENT »
Walzer explique qu’il existe une variante à l’argument « l’arme des plus faibles contre les puissants » : sans même la participation des opprimés à leur propre émancipation, le terrorisme réalise leurs objectifs avec efficacité.
En général, ceux qui invoquent cet argument reconnaissent le caractère immoral du terrorisme, mais expliquent que la fin justifie les moyens, que les conséquences positives du terrorisme peuvent très bien excuser son usage. Mais la fin recherchée n’aurait-elle pas pu être obtenue par des moyens moins nocifs ? L’excuse est ici tributaire des deux premières, déjà assez précaires.
« TOUTE POLITIQUE EST DANS LE FOND TERRORISTE »
Le premier moteur du terrorisme et le même que celui de toute politique, c’est la violence, ce qui fait du terrorisme une variété de politique un peu plus franche et honnête que ses autres versions. On ne peut pas reprocher aux terroristes d’agir comme tout le monde, ce ne sont pas des Saints, mais la sainteté n’existe pas en politique.
Seulement, la politique, contra Hobbes, ne repose pas uniquement sur la crainte universelle. Il est même fort probable que l’État terroriste dont l’assise ne repose que sur la crainte soit marginal ou illégitime.
Dans une version plus étroite, ce quatrième argument pose que la violence des terroristes, celle des opprimés, constitue une réponse à celle des oppresseurs : « le message est le même dans les deux cas : le terrorisme nie l’appartenance au peuple et l’humanité des groupes où il puise ses victimes ».
La coloration islamiste du terrorisme d’aujourd’hui nécessite sans doute d’apporter des compléments à l’analyse de Michael Walzer. Notons tout de même que c’est aussi en empruntant au langage de l’extrême-gauche anti-impérialiste qu’il a bâti sa réputation et élaboré sa propagande partout dans le monde : c’est aussi, sans doute, ce qui masque sa spécificité à grand nombre de ses commentateurs.
https://www.contrepoints.org/2017/08/22/297238-4-mauvaises-excuses-terrorisme
Un jour, quelqu’un aurait crié « Allah akbar ! » Avant de clouer son fils sur une croix.
SupprimerQuand la radicalisation débute à la maternelle…
RépondreSupprimerPauline Gilles
21 août 2017
Un rapport interne émanant de l’école Docteur Ovide Decroly à Renaix, une ville néerlandophone à facilités de Flandre-Orientale, affirme que certains enfants de cette école maternelle montrent des signes de radicalisation. Cela va d’un refus d’aller à l’école certains jours pour raisons religieuses, à des extrêmes tels que des menaces de mort à l’encontre d’autres enfants.
Dans le document intitulé “Indoctrinatie bij kleuters”, relayé par Het Laatste Nieuws ce lundi, les enseignants de la section maternelle s’inquiètent des signes de “radicalisation” observés chez les tout jeunes enfants. Les écoles flamandes travaillent depuis un certain temps pour lutter contre la radicalisation. Ainsi, depuis 2016, le Netwerk Islamexperten (Réseau d’experts de l’islam), qui leur propose des solutions sur-mesure pour endiguer le phénomène, a ouvert 481 dossiers sur des écoles qui lui ont rapporté avoir rencontré des problèmes à ce sujet. Mais c’est la première fois que les faits relatés concernent des enfants aussi jeunes, et il s’agit d’une grande première en Flandre.
Promesses de mariage et menaces de mort
Le rapport interne cite quelques comportements considérés comme problématiques qui ont été relevés par les enseignants lors de l’année scolaire précédente : “réciter des versets du Coran pendant la récréation”, “ne pas aller à l’école le vendredi pour des raisons religieuses”, “une fillette qui refuse de donner la main à un garçon et de se mettre en rang derrière lui”. Les professeurs écrivent même qu’une enfant “a déjà un ami au Maroc avec qui elle se mariera plus tard”.
Pire encore, un enfant a même prononcé des “menaces de mort” à l’encontre de “non-croyants”. D’autres ont traités des camarades de “cochons”, en imitant le signe d’égorgement avec un doigt devant la gorge .
Et comment réagissent les parents, lorsqu’on leur fait part de ces comportements ? Quand ils en parlent avec la famille, les enseignants affirment que les parents des enfants en question leur “sourient” et “ont l’air de soutenir” leur progéniture.
https://fr.express.live/2017/08/21/radicalisation-enfants-maternelle-renaix/
Un riz doré amélioré pour sauver des vies
RépondreSupprimerle 22 août 2017
Dans les pays où l’essentiel de la nourriture quotidienne est le riz il existe des carences alimentaires « cachées » car le riz est naturellement pauvre en zinc, en fer et en carotène. Dans le monde parmi les quelques 4 milliards de personnes se nourrissant presque exclusivement de riz près de 2 milliards d’entre elles – pas seulement dans les pays en voie de développement – souffrent de ces carences alimentaires qui contribuent largement à la mortalité néonatale en particulier. Plus de 40 % des enfants souffrent de ces carences. La carence en fer est responsable de retards du développement du cerveau et d’un système immunitaire déficient. La carence en zinc conduit à un hypogonadisme chez les enfants mâles et un retard prononcé de la croissance accompagné de troubles neuromoteurs. Quant à la carence en carotène, précurseur de la vitamine A, elle affecte plus de 250 millions d’enfants dont une grande partie sont condamnés à devenir rapidement aveugles et mourir de rougeole, de diarrhée ou de malaria en raison d’une réponse dégradée de leur système immunitaire.
Voilà un bien sombre tableau devant lequel se trouvent les spécialistes de la génétique des plantes et en particulier du riz. Or toute modification génétique du riz est considérée comme un tabou par les organisations non gouvernementales en dépit de l’évidence de ces carences alimentaires prononcées dans de nombreux pays, que ce soit en Inde, en Indonésie ou dans les pays d’Afrique (voir un lien sur ce blog). Par exemple le riz doré est toujours interdit dans la plupart des pays alors que ce riz est disponible gratuitement car il résulte de travaux universitaires dont en particulier ceux de l’Ecole Polytechnique Fédérale de Zürich (EPFZ). Néanmoins une équipe de biologistes de l’EPFZ a mis au point un riz « doré » de deuxième génération qui produit du beta-carotène et est enrichi en fer et en zinc – six fois plus riche que le riz poli normal de variété japonica – en introduisant divers gènes codant pour les enzymes requis pour la synthèse du carotène et des protéines fixant le zinc et le fer. Tous ces gènes sont d’origine végétale et leur expression est régulée par un promoteur également d’origine végétale.
La construction génique mise au point est considérée comme propre car elle n’inclue aucun gène jugé indésirable par les ONGs opposées au plantes transgéniques comme la résistance à certains antibiotiques, un argument sans aucune valeur scientifique, faut-il le rappeler encore ici. Plusieurs lignées de riz modifié permettent de pallier aux déficiences mentionnées plus haut à raison de deux bols de riz par jour. Malgré ces résultats extrêmement encourageants il faudra encore attendre plus de 5 ans pour pouvoir prouver qu’il n’y a pas dissémination des gènes ni un quelconque effet sur l’environnement ou encore aucun effet délétère sur les animaux de laboratoire, des procédures absurdes requise par la loi, souvent écrite sous la pression des ONGs dont en particulier Greenpeace que je considère personnellement comme une organisation criminelle.
RépondreSupprimerhttps://jacqueshenry.wordpress.com/2015/08/20/ogms-3-le-cas-du-riz-dore-greenpeace-une-organisation-criminelle/
https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/08/22/un-riz-dore-ameliore-pour-sauver-des-vies/
Le réseau crypté Tor condamne les racistes mais pas les pédophiles
RépondreSupprimerle 21 Août 2017
par France Révolution
Chassé de tous les hébergeurs américains, l’un des sites phares de la Droite radicale américaine, Daily Stormer, a été obligé de se réfugier sur le réseau crypté Torqui permet de surfer sur internet de manière anonyme. Les membres de l’équipe de développement du réseau ont pris position publiquement contre le racisme, une première d’autant plus étonnante que le réseau est utilisé par de nombreux pédophiles et trafiquants de drogue.
Le communiqué de l’équipe de Tor
« Nous avons entendu que le site haineux Daily Stormer avait migré sur les services de Tor.
Nous sommes dégoûtés, en colère et révulsés par tout ce que ces racistes représentent. Nous ressentons cela à chaque fois que le réseau Tor est utilisé dans de vils objectifs. Mais nous ne pouvons pas créer des outils gratuits et gratuits qui protègent les journalistes, les militants des droits de l’homme et les gens ordinaires du monde entier si nous contrôlons également qui utilise ces outils. Tor est conçu pour défendre les droits de l’homme et la vie privée en empêchant toute personne de censurer les choses, même nous.
Ironiquement, le logiciel Tor a été créé et écrit par une équipe diverse, incluant des personnes de plusieurs religions, races, identités de genre, orientations sexuelles et de positionnements politiques (légitimes, donc non nazis). Nous sommes tout ce qu’ils clament détester. Et nous travaillons chaque jour à défendre les droits humains auxquels ils s’opposent.
Il se sentent puissants en répandant la haine, en pleurant, en harcelant et en promouvant la violence contre les autres. Mais, ensemble, nous sommes plus puissants.
Tor s’élève contre le racisme et l’intolérance quels que soient l’endroit et le moment où une telle haine dresse son visage immonde. C’est notre travail de fournir à tous les meilleurs outils possibles de sécurité et de vie privée afin que la liberté et la dignité humaine puissent être promues dans le monde entier. »
Réactions indignées de nombreux internautes
C’est la toute première fois que l’équipe Tor se prononce publiquement sur l’utilisation qui est faite de ses services. Une communication qui interpelle alors que les services de Tor sont énormément utilisés par despédocriminels ou des trafiquants de drogues dures !
Cette prise de position a donc légitimement choqué plusieurs centaines d’internautes sur Twitter. Florilège.
« Je hais le racisme mais je croyais que vous étiez favorable à la neutralité du net ? »
« Votre logiciel est utilisé par des pédophiles de manière massive pour partager leurs images indécentes mais vous vous préoccupez uniquement du racisme ? Hilarant. »
« Pornographie enfantine ? SILENCE
Drogues illégales et armes ? SILENCE
Opinions politiques alternatives ? Oh non, nous devons publier un communiqué de presse ! »
L’atmosphère politique devient véritablement irrespirables aux Etats-Unis.
http://france-revolution-investigative-reporter.over-blog.com/2017/08/le-reseau-crypte-tor-condamne-les-racistes-mais-pas-les-pedophiles.html
SupprimerIl est tout à fait normal qu'un site libre (comme la rue) ne puisse empêcher des racistes (nazional socialiste) de s'exprimer. Il représente la Démocratie. Or, la 'NSA-qui-sait-tout' est donc présente sur TOR, mais, comme elle a son siège en pays anti-Démocratie, elle n'est là que pour renforcer la dictature et (peut-être) de créer volontairement des faux-drapeaux sur TOR comme il y en a des millions sur Internet.
Les biologistes montrent comment les plantes éliminent les gènes dont ils n'ont pas besoin
RépondreSupprimer22 août 2017
Une plante a un génome, une séquence spécifique de millions de paires de base de nucléotides. Pourtant, comment ce génome est exprimé peut varier d'une cellule à l'autre, et il peut changer à mesure que les plantes traversent différents stades de la vie, de la germination à la croissance végétative, à la floraison et à la dormance. Certains gènes doivent être allumés et d'autres sont fermés pour s'assurer que chaque cellule végétale fait ce qu'il faut faire lorsqu'il doit le faire.
Une nouvelle recherche menée par les biologistes de l'Université de Pennsylvanie et publiée cette semaine dans la revue Nature Genetics a identifié de petites séquences dans l'ADN végétal qui servent de panneaux pour éteindre l'activité génétique, en dirigeant le placement de protéines qui calment l'expression des gènes. La manipulation de ces fragments d'ADN courts offre le potentiel de développer des plantes avec une activation améliorée de certains traits, tels que la fructification ou la production de semences. La découverte peut également avoir des implications pour la compréhension de la régulation des gènes chez les plantes et les animaux.
"Une partie de l'identité est ce que vous n'êtes pas", a déclaré Doris Wagner, auteur principal de l'étude et professeur au Département de biologie de Penn à l'École des arts et des sciences. "Particulièrement pour les plantes parce qu'elles sont si variables et sensibles aux conditions environnementales, la partie du génome qui n'est pas nécessaire, ou qui pourrait fournir exactement les informations erronées, doit être fermée de manière fiable dans chaque état. Cette information est ensuite transmise Sur les cellules filles.
"Avec ces courtes séquences", a déclaré Wagner, "nous pourrions essayer de les manipuler en utilisant des techniques d'édition de gènes pour modifier l'expression des gènes sans ajouter de matériel génétique étranger à la plante et modifier épigénétiquement l'expression des traits".
L'étude portait sur la forme de la régulation des gènes connue sous le nom de répression de Polycomb. Les complexes de protéines Polycomb ont d'abord été découverts dans les mouches des fruits, ce qui montre une ADN étroitement compact et représente une modification épigénétique conduisant à l'inhibition des gènes. Les complexes Polycomb ont ensuite été découverts chez les plantes et les mammifères. Dans toutes les espèces, ils jouent un rôle important dans la détermination de l'identité cellulaire, aidant les cellules végétales à se rappeler, par exemple, qu'elles sont des cellules foliaires ou des cellules de fleurs.
En dépit de certaines études impliquant de courts segments d'ADN appelés éléments de réponse de Polycomb, ou PREs, dans le processus de ciblage de Polycomb dans les mouches, des questions restent à savoir si ces PRE ont joué un rôle important dans le silence des gènes chez les mammifères ou les plantes.
L'équipe de Wagner a examiné le complexe Polycomb appelé PRC2. À l'aide de jeux de données à grande échelle recueillis par son laboratoire et d'autres, les chercheurs ont identifié 170 segments d'ADN dans les espèces végétales Arabidopsis thaliana qui étaient susceptibles d'être des PRE. En testant cinq de ces PRE candidats, ils ont confirmé qu'ils agissaient tout comme les PRE faisaient des mouches des fruits, en recrutant le complexe Polycomb à des parties spécifiques du génome de la plante.
RépondreSupprimerLes chercheurs ont ensuite identifié 55 facteurs de transcription, des protéines qui se lient à des séquences d'ADN spécifiques et aident à réguler l'ADN transformé en ARN, fortement lié aux PRE, et ils ont vérifié que 30 d'entre eux ont eu une interaction physique avec PRC2.
"C'est juste ce qu'un recruteur devrait faire", a déclaré Wagner, "trouve la région appropriée dans le génome et amène Polycomb".
En voulant en savoir plus sur les éléments de la séquence d'ADN qui l'ont marqué pour le ciblage par les complexes Polycomb, les chercheurs sont retournés aux 170 candidats PRE, identifiant de façon informatique des séquences d'ADN courtes appelées motifs cis, ce que les facteurs de transcription reconnaissent lorsqu'ils numérisent le génome Pour leurs gènes cibles.
Avec une analyse supplémentaire, Wagner et ses collègues ont trouvé deux des motifs cis associés à deux des facteurs de transcription précédemment identifiés. Mettre ces motifs cis dans un génome de cellule végétale a révélé qu'ils étaient suffisants pour le recrutement de Polycomb, ce qui en faisait essentiellement un PRE synthétique.
"Nous avons réuni les facteurs cis (dans la séquence d'ADN) et trans (agissant sur une séquence d'ADN) pour montrer comment Polycomb cible des PRE précises et règle largement l'expression des gènes végétaux", a déclaré Wagner. "C'est la première démonstration que ce mécanisme-recrutement de Polycomb par ces panneaux dans l'ADN-agit dans des espèces en dehors des mouches des fruits. À l'avenir, je pourrais utiliser ces motifs pour améliorer épigénétiquement les traits souhaitables tels que le rendement ou la tolérance à la sécheresse sans changer de façon significative La séquence de codage ".
Dans le travail de suivi, Wagner veut explorer les PRE et ces motifs et facteurs de transcription dans les espèces de plantes en plus d'Arabidopsis. Elle voudrait également étudier à quelle vitesse le système peut changer si, par exemple, une plante est exposée à l'eau ou au stress salin.
Les résultats peuvent également guider le travail des chercheurs à l'extérieur du champ de la plante, ont noté Kenneth Zaret, directeur de l'Institut de médecine régénératrice de Penn, qui n'a pas participé à la présente étude, mais qui étudie la régulation des gènes chez les animaux.
"Trouver des séquences d'ADN spécifiques qui médient l'action du système répressif Polycomb a été le Saint Graal pour les biologistes de mammifères", a déclaré Zaret. "L'approche rigoureuse de l'étude de Wagner a révélé un mécanisme de répression de l'activité génétique qui aura sans aucun doute des implications au-delà du monde végétal".
https://phys.org/news/2017-08-biologists-genes-dont.html#jCp
SupprimerC'est aussi ce qui est appelé 'l'intelligence des plantes'. Ainsi, les arbres excrétophores (qui perdent leurs feuilles à l'automne) se déchargent de leurs poumons/langues qui leur servent à respirer le gaz carbonique (et à excréter de l'oxygène) et aussi à boire (quand il pleut beaucoup, on se réfugie sous un arbre !). Mais, remarque importante, les platanes (par exemple) ont des branches fines qui sont apparues sur les branches maîtresses. Ces branchettes leurs servent de dépotoirs-poubelles qui meurent quand elles sont 'pleines' de nutriments toxiques absorbés par les racines. Pareillement que leurs feuilles qui - malgré les températures chaudes d'automne - (non comparables avec les bas degrés du printemps quand les feuilles poussent) servent de kamikazes empoisonnées pour qu'elles tombent.
L'astéroïde Dino-Kill pourrait avoir poussé la Terre dans 2 ans d'obscurité
RépondreSupprimer21 août 2017
Des énormes quantités de suie, enfoncées dans les airs des feux de forêt à la suite d'une attaque massive d'astéroïsme il y a 66 millions d'années, auraient plongé la Terre dans l'obscurité pendant près de deux ans, selon une nouvelle recherche. Cela aurait fermé la photosynthèse, refroidi drastiquement la planète et contribué à l'extinction massive qui a marqué la fin de l'âge des dinosaures.
Ces nouveaux détails sur la façon dont le climat aurait considérablement changé suite à l'impact d'un astéroïde de 10 kilomètres de large seront publiés le 21 août dans les Actes de l'Académie nationale des sciences. L'étude, menée par le Centre national pour la recherche atmosphérique (NCAR) avec le soutien de la NASA et de l'Université du Colorado Boulder, a utilisé un modèle informatique de classe mondiale pour peindre une image riche de la façon dont les conditions de la Terre pourraient avoir regardé la fin du Crétacé Période, information que les paléobiologistes pourraient utiliser pour mieux comprendre pourquoi certaines espèces sont mortes, en particulier dans les océans, tandis que d'autres ont survécu.
Les scientifiques estiment que plus des trois quarts de toutes les espèces terrestres, y compris tous les dinosaures non aviaires, ont disparu à la limite des périodes Crétacé-Paléogène, un événement connu sous le nom d'extinction du K-Pg. Les preuves montrent que l'extinction s'est produite en même temps qu'un grand astéroïde a frappé la Terre dans ce qui est maintenant la péninsule du Yucatán. La collision aurait provoqué des tremblements de terre, des tsunamis et même des éruptions volcaniques.
Les scientifiques calculent également que la force de l'impact aurait lancé une roche vaporisée au-dessus de la surface de la Terre, où elle aurait été condensée en petites particules connues sous le nom de sphérules. Au fur et à mesure que les sphérules retombaient sur terre, elles auraient été chauffées par frottement à des températures suffisamment élevées pour éteindre les feux mondiaux et griller la surface de la Terre. Une mince couche de sphérules peut être trouvée dans le monde entier dans le registre géologique.
"L'extinction de nombreux animaux importants sur terre aurait pu être causée par les conséquences immédiates de l'impact, mais les animaux qui vivaient dans les océans ou ceux qui pourraient creuser sous terre ou se glisser sous l'eau temporairement pourraient avoir survécu", a déclaré Charles Bardeen, scientifique du NCAR , Qui a dirigé l'étude. "Notre étude reprend l'histoire après les effets initiaux - après les tremblements de terre, les tsunamis et le grillage. Nous voulions examiner les conséquences à long terme de la quantité de suie que nous pensons avoir été créée et de ces conséquences pour les Les animaux qui étaient restés ".
L'astéroïde Dino-Kill pourrait avoir poussé la Terre dans 2 ans d'obscurité
RépondreSupprimer21 août 2017
Des énormes quantités de suie, enfoncées dans les airs des feux de forêt à la suite d'une attaque massive d'astéroïsme il y a 66 millions d'années, auraient plongé la Terre dans l'obscurité pendant près de deux ans, selon une nouvelle recherche. Cela aurait fermé la photosynthèse, refroidi drastiquement la planète et contribué à l'extinction massive qui a marqué la fin de l'âge des dinosaures.
Ces nouveaux détails sur la façon dont le climat aurait considérablement changé suite à l'impact d'un astéroïde de 10 kilomètres de large seront publiés le 21 août dans les Actes de l'Académie nationale des sciences. L'étude, menée par le Centre national pour la recherche atmosphérique (NCAR) avec le soutien de la NASA et de l'Université du Colorado Boulder, a utilisé un modèle informatique de classe mondiale pour peindre une image riche de la façon dont les conditions de la Terre pourraient avoir regardé la fin du Crétacé Période, information que les paléobiologistes pourraient utiliser pour mieux comprendre pourquoi certaines espèces sont mortes, en particulier dans les océans, tandis que d'autres ont survécu.
Les scientifiques estiment que plus des trois quarts de toutes les espèces terrestres, y compris tous les dinosaures non aviaires, ont disparu à la limite des périodes Crétacé-Paléogène, un événement connu sous le nom d'extinction du K-Pg. Les preuves montrent que l'extinction s'est produite en même temps qu'un grand astéroïde a frappé la Terre dans ce qui est maintenant la péninsule du Yucatán. La collision aurait provoqué des tremblements de terre, des tsunamis et même des éruptions volcaniques.
Les scientifiques calculent également que la force de l'impact aurait lancé une roche vaporisée au-dessus de la surface de la Terre, où elle aurait été condensée en petites particules connues sous le nom de sphérules. Au fur et à mesure que les sphérules retombaient sur terre, elles auraient été chauffées par frottement à des températures suffisamment élevées pour éteindre les feux mondiaux et griller la surface de la Terre. Une mince couche de sphérules peut être trouvée dans le monde entier dans le registre géologique.
"L'extinction de nombreux animaux importants sur terre aurait pu être causée par les conséquences immédiates de l'impact, mais les animaux qui vivaient dans les océans ou ceux qui pourraient creuser sous terre ou se glisser sous l'eau temporairement pourraient avoir survécu", a déclaré Charles Bardeen, scientifique du NCAR , Qui a dirigé l'étude. "Notre étude reprend l'histoire après les effets initiaux - après les tremblements de terre, les tsunamis et le grillage. Nous voulions examiner les conséquences à long terme de la quantité de suie que nous pensons avoir été créée et de ces conséquences pour les Les animaux qui étaient restés ".
D'autres co-auteurs d'étude sont Rolando Garcia et Andrew Conley, tous deux scientifiques du NCAR, et Owen "Brian" Toon, chercheur à l'Université du Colorado Boulder.
RépondreSupprimerUn monde sans photosynthèse
Dans les études passées, les chercheurs ont estimé la quantité de suie qui aurait pu être produite par les incendies de forêt à l'échelle mondiale en mesurant les dépôts de suie encore conservés dans le registre géologique. Pour la nouvelle étude, Bardeen et ses collègues ont utilisé le modèle communautaire du système terrestre (CESM) basé sur NCAR pour simuler l'effet de la suie sur le climat global à l'avenir. Ils ont utilisé les estimations les plus récentes de la quantité de suie fine trouvée dans la couche de roche laissée après l'impact (15 000 millions de tonnes), ainsi que des quantités plus grandes et plus petites, pour quantifier la sensibilité du climat aux feux plus ou moins importants.
Dans les simulations, le suie chauffé par le Soleil a été renversé de plus en plus haut dans l'atmosphère, formant éventuellement une barrière globale qui a empêché la grande majorité de la lumière du soleil d'atteindre la surface de la Terre. "Au début, il aurait été assez sombre comme une nuit éclairée par la lune", a déclaré Toon.
Alors que les cieux se seraient progressivement éclairés, la photosynthèse aurait été impossible depuis plus d'un an et demi, selon les simulations. Parce que de nombreuses plantes sur terre auraient déjà été incinérées dans les feux, l'obscurité aurait probablement eu un impact majeur sur le phytoplancton, qui sous-tend la chaîne alimentaire océanique. La perte de ces minuscules organismes aurait eu un effet d'entraînement à travers l'océan, ce qui a finalement détruit de nombreuses espèces de la vie marine.
L'équipe de recherche a également constaté que la photosynthèse aurait été temporairement bloquée même à des niveaux beaucoup plus bas de suie. Par exemple, dans une simulation utilisant seulement 5 000 millions de tonnes de suie - environ un tiers de la meilleure estimation des mesures - la photosynthèse aurait été impossible pour toute une année.
Dans les simulations, la perte de lumière du soleil a entraîné une forte baisse des températures moyennes à la surface de la Terre, avec une baisse de 50 degrés Fahrenheit (28 degrés Celsius) sur terre et de 20 degrés Fahrenheit (11 degrés Celsius) sur les océans.
Alors que la surface de la Terre a refroidi dans les scénarios d'étude, l'atmosphère plus haut dans la stratosphère est devenue beaucoup plus chaude que la suie absorbée par le Soleil. Les températures plus chaudes ont causé la destruction de l'ozone et ont permis de stocker de grandes quantités de vapeur d'eau dans la haute atmosphère. La vapeur d'eau a ensuite réagi chimiquement dans la stratosphère pour produire des composés hydrogène qui ont entraîné une destruction supplémentaire de l'ozone. La perte d'ozone résultante aurait permis que des doses nocives de lumière ultraviolette atteignent la surface de la Terre après que la suie ait été dégagée.
Le grand réservoir d'eau dans la haute atmosphère formé dans les simulations a également provoqué la suppression de la couche de suie bloquant la lumière du soleil brusquement après des années, une découverte qui a surpris l'équipe de recherche. Comme la suie a commencé à s'établir hors de la stratosphère, l'air a commencé à refroidir. Ce refroidissement, à son tour, a entraîné la condensation de la vapeur d'eau dans des particules de glace, qui ont encore plus de sujéments dans l'atmosphère. À la suite de cette réaction, le refroidissement en boucle provoquant des précipitations qui a provoqué plus de refroidissement - la couche de suie éclaircie a disparu en quelques mois seulement.
RépondreSupprimerDéfier le modèle
Alors que les scientifiques pensent que la nouvelle étude donne une image robuste de la mesure dans laquelle de grandes injections de suie dans l'atmosphère peuvent affecter le climat, elles font également attention à ce que l'étude ait des limites.
Par exemple, les simulations ont été exécutées dans un modèle de la Terre moderne, pas un modèle représentant ce que la Terre ressemblait pendant la période du Crétacé, lorsque les continents se trouvaient dans des endroits légèrement différents. L'atmosphère, il y a 66 millions d'années, contenait également des concentrations de gaz quelque peu différentes, y compris des niveaux plus élevés de dioxyde de carbone.
En outre, les simulations n'ont pas essayé de tenir compte des éruptions volcaniques ou du soufre libéré de la croûte terrestre sur le site de l'impact des astéroïdes, ce qui aurait entraîné une augmentation des aérosols sulfatés réfléchissant la lumière dans l'atmosphère.
L'étude a également contesté les limites de la composante atmosphérique du modèle informatique, connue sous le nom de "Whole Atmosphere Community Climate Model" (WACCM).
"Une collision avec un astéroïde est une très grande perturbation - pas quelque chose que vous verrez normalement lors de la modélisation des scénarios climatiques futurs", a déclaré Bardeen. "Donc, le modèle n'a pas été conçu pour gérer cela et, au fur et à mesure que nous allions, nous devions ajuster le modèle afin qu'il puisse gérer certains impacts de l'événement, tels que le réchauffement de la stratosphère de plus de 200 degrés Celsius".
Ces améliorations au WACCM pourraient être utiles pour d'autres types d'études, y compris la modélisation d'un scénario "hiver nucléaire". À l'instar des incendies forestiers mondiaux, il y a des millions d'années, l'explosion d'armes nucléaires pourrait également injecter de grandes quantités de suie dans l'atmosphère, ce qui pourrait entraîner un refroidissement temporaire à l'échelle mondiale.
"La quantité de suie créée par la guerre nucléaire serait beaucoup moins importante que nous l'avons vu lors de l'extinction de K-Pg", a déclaré Bardeen. "Mais la suie altère encore le climat de manière similaire, refroidit la surface et chauffe la haute atmosphère, avec des effets potentiellement dévastateurs".
https://phys.org/news/2017-08-dino-killing-asteroid-earth-years-darkness.html#jCp
Notons qu'au 21è siècle, nous ne serions pas tous morts car, dans un tel cas, existent des serres où poussent des plantes et peuvent être élevés des animaux. La production électrique dépendrait toujours des barrages sur les fleuves ainsi que depuis les centrales nucléaires n'ayant nullement besoin d'oxygène pour fonctionner).
SupprimerLa polarisation pour des questions scientifiques controversées augmente avec plus d'éducation
RépondreSupprimer21 août 2017
Une solution communément proposée pour diffuser la polarisation politique et religieuse entourant des questions scientifiques controversées comme l'évolution ou le changement climatique est l'éducation.
Cependant, les chercheurs de l'Université Carnegie Mellon ont constaté que le contraire est vrai: les croyances des gens sur des sujets scientifiques associés à leurs identités politiques ou religieuses deviennent de plus en plus polarisées avec l'éducation, mesurée par les années scolaires, les cours de sciences et la littératie scientifique.
"Beaucoup de science est généralement acceptée et approuvée, mais certains sujets sont profondément polarisants. Nous voulions savoir quels facteurs sont liés à cette polarisation, et il s'avère que le« modèle de déficit », qui dit que les divisions sont dus à un manque d'éducation ou de compréhension - ne raconte pas toute l'histoire ", a déclaré Caitlin Drummond, l'auteur principal qui a récemment reçu son doctorat. Dans la recherche sur la décision comportementale du Département des sciences sociales et de la Décision de CMU et sera chercheur postdoctoral à l'Institut Erb à l'Université de Michigan cet automne.
Publié dans les Actes des Academies Nationales des Sciences (PNAS), Drummond et CMU Baruch Fischhoff ont utilisé les données de l'Enquête sociale générale représentée au niveau national. Ils ont examiné les prédicteurs des croyances des Américains concernant six problèmes potentiellement controversés: la recherche sur les cellules souches, le big bang, l'évolution humaine, les aliments génétiquement modifiés, les nanotechnologies et les changements climatiques. Et ils ont mesuré l'éducation au plus haut degré gagné, les cours de sciences suivis au lycée et au collège et les compétences sur les faits généraux de la science.
Ils ont constaté que les croyances étaient corrélées avec l'identité politique et religieuse pour la recherche sur les cellules souches, le big bang et l'évolution et avec l'identité politique seule sur le changement climatique.
Sur chacune de ces questions, les personnes ayant plus d'éducation, d'éducation scientifique et de littératie scientifique avaient des croyances plus polarisées.
Les chercheurs ont trouvé peu de preuves de polarisation politique ou religieuse pour la nanotechnologie et les aliments génétiquement modifiés.
"Ce sont des corrélations troublantes. Nous ne pouvons que spéculer sur les causes sous-jacentes", a déclaré Fischhoff, professeur de l'Université Howard Heinz à IPS et au Département d'ingénierie et de politique publique. "Une possibilité est que les personnes ayant plus d'éducation sont plus susceptibles de savoir ce qu'elles sont censées dire, sur ces questions polarisées, afin d'exprimer leur identité. Une autre possibilité est qu'ils ont plus de confiance dans leur capacité à plaider leur cas".
Les résultats ont également montré que pour les six problèmes, les personnes qui font plus confiance à la science sont également plus susceptibles d'accepter les résultats scientifiques.
RépondreSupprimer«Nous aimerions être en mesure de comprendre ce qui cause la relation que nous observons entre l'éducation et la polarisation et la façon dont certains sujets scientifiques ont été polarisés en premier», a déclaré Drummond. "Les désaccords sur la science semblent être plus que la science elle-même, mais aussi quelles sont les implications de la science pour l'identité d'une personne".
https://phys.org/news/2017-08-polarization-controversial-scientific-issues.html#jCp
Supprimer(...) Les chercheurs ont trouvé peu de preuves de polarisation politique ou religieuse pour la nanotechnologie et les aliments génétiquement modifiés. (...)
Il est certain que la science, la physique ne se discutent pas. Elles relèvent de la vérité constatée par tous, à l'inverse des religions et réchauffement climatique qui sont les pires des escroqueries inventées pour abêtir les humains et les rendre dociles et incapables de penser d'eux-mêmes !
Cartographier les villes les plus habitables du monde
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
23 août 2017 1:40
Si vous souhaitez déménager dans l'une des villes les plus habitables au monde, emballez vos bagages et réservez des vols en Australie ou au Canada ...
Infographie: Les villes les plus habitables du monde:
- voir carte sur site -
Comme l'a noté Niall McCarthy de Statista, The Economist a évalué 140 villes majeures dans le monde entier en matière de stabilité, de soins de santé, de culture et d'environnement, d'éducation et d'infrastructure, déclarant Melbourne la ville la plus habitable en 2017 pour la septième année consécutive. La deuxième ville la plus populeuse de l'Australie a enregistré 97,5 sur 100. Vienne, la capitale autrichienne, est arrivée deuxième et trois villes canadiennes ont complété les cinq premiers - Vancouver, Toronto et Calgary.
En plus de ces trois villes canadiennes, un total de trois en Australie ont fait la liste des 10 premiers (Adelaide et Perth ainsi que Melbourne). Il est intéressant de noter que les villes des États-Unis sont particulièrement absentes du sommet de la liste The Economist avec Auckland, Helsinki et Hambourg, toutes dotées de meilleurs scores de liveability.
La capitale syrienne de Damas était au sommet du classement avec un score de 30,2, avec Lagos au Nigeria (36,0) et Tripoli en Libye (36,6).
http://www.zerohedge.com/news/2017-08-22/mapping-worlds-most-liveable-cities
Plus une ville est grande (2 en Chine, Turquie, Nigéria avec plus de 21 millions d'hab. !), plus il y a de problèmes. Et, comme ce ne sont pas des Démocraties...
SupprimerLes habitants ne peuvent rien dire !
Outs of the right to Protest
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
22 août 2017 11:05 PM
Édité par John Whitehead via The Rutherford Institute,
"S'il existe un principe de la Constitution qui oblige plus impérieusement à l'attachement que tout autre, c'est le principe de la pensée libre - pas la pensée libre pour ceux qui sont d'accord avec nous, mais la liberté pour la pensée que nous déteste".
- Le juge de la Cour suprême Oliver Wendell Holmes
James Madison, le père de la Constitution, était très clair quant au fait qu'il avait écrit le premier amendement pour protéger la minorité contre la majorité.
Ce que Madison entend par minorité est «discours offensant».
Malheureusement, nous ne respectons pas autant ce principe que nous le devrions aujourd'hui. En fait, nous semblons être témoins d'une philosophie politiquement correcte en jeu, partagée à la fois par l'extrême gauche et l'extrême droite, qui vise à étouffer toute expression qui ne correspond pas à leurs paramètres de ce qu'ils considèrent comme "acceptable" discours.
En conséquence, nous avons vu la libération de la liberté d'expression ces dernières années, grâce à l'utilisation de soi-disant «zones de discours francais» sur les campus et dans les événements politiques, l'exigence de permis de parole dans les parcs et les rassemblements communautaires et la police des forums en ligne.
Au lieu d'encourager les gens à débattre des problèmes et à diffuser leurs points de vue, en approfondissant la liberté d'expression, nous contribuons à une sous-classe croissante des Américains qui se dit qu'ils ne peuvent pas participer à la vie publique américaine, à moins qu'ils ne s'inscrivent.
Cette tentative d'étouffer certaines formes de discours est l'endroit où nous nous trompons.
Les questions et réponses constitutionnelles suivantes, disponibles plus en détail à l'Institut Rutherford (www.rutherford.org), constituent un bon point de départ.
Q: PROTESTER ?
R: Le premier amendement interdit au gouvernement de «limiter la liberté d'expression ou la presse; Ou le droit des gens de se réunir pacifiquement et de demander au gouvernement une réparation des griefs. "La protestation est un exercice de ces droits constitutionnels parce qu'il s'agit de parler, par des personnes individuelles ou celles réunies en groupes, sur des questions d'intérêt public Et préoccupation.
Q: Où suis-je autorisé à PROTEGER ?
R: Le droit de protester s'étend généralement aux lieux publics qui sont détenus et contrôlés par le gouvernement, bien que tous les biens appartenant au gouvernement ne soient pas disponibles pour exercer les droits de parole et d'assemblée. Les lieux historiquement associés à l'exercice libre d'activités expressives, telles que les rues, les trottoirs et les parcs, sont des forums publics traditionnels et le pouvoir du gouvernement de limiter le discours et l'assemblage dans ces endroits est très limité. Cependant, l'expression et l'assemblage dans les forums publics traditionnels peuvent être limités par des règlements raisonnables, horaires et horaires. Des exemples de réglementation raisonnable incluent des restrictions sur le volume du son produit par l'activité ou une interdiction d'entraver le trafic des véhicules et des piétons.
Q: PEUT-JE ÊTRE RESTREINT DE CE QUI JE DIT, MÊME SI IL EST CONTROVERSIAL ?
RépondreSupprimerR: Non, le Premier amendement protège le discours, même si la plupart des gens le jugent offensant, blessant ou détestable. Le discours ne peut généralement pas être interdit en fonction de son contenu ou de son point de vue, car il incombe au gouvernement de déterminer ce qui peut et ne peut pas être dit. Un principe fondamental du premier amendement est que le gouvernement ne peut interdire l'expression d'une idée parce que la société l'estime offensant ou désagréable. En outre, le discours de protestation ne peut pas non plus être interdit en raison d'une crainte que d'autres réagissent violemment au discours. Les manifestants ne peuvent être punis ni interdit de parler parce qu'ils peuvent offenser une foule hostile. La Cour suprême a jugé qu'un «veto heckler» n'a pas sa place dans la loi du premier amendement.
Q: AVEZ-VOUS BESOIN D'UN PERMIS POUR CONDUIRE UNE PROTESTATION ?
R: En règle générale, non. Le gouvernement ne peut exiger que les individus ou les petits groupes obtiennent un permis pour parler ou protester dans un forum public. Cependant, si les personnes ou les organisations souhaitent organiser de plus grands rassemblements et manifestations, elles peuvent être requises par les lois locales pour obtenir un permis.
Q: QUE NE POUVEZ-JE PAS FAIRE EN L'EXERCICE DE MES DROITS POUR PROTÉGER ?
R: Le premier amendement protège le droit de mener une assemblée publique pacifique. Le premier amendement ne donne pas le droit de mener une réunion où il existe un danger clair et présent d'émeute, de désordre, d'ingérence dans la circulation dans les rues publiques ou d'autres menaces immédiates pour la sécurité publique.
Q: AJOUI-JE DEVOIR UNE ARME OU UNE ARME À FEU À LA DÉMONSTRATION OU LA PROTESTATION ?
R: Votre droit d'avoir une arme lors d'une manifestation dépend largement de la loi de l'État et il est peu probable qu'elle soit protégée par le premier amendement. Toutes les conductions ne peuvent être considérées comme «discours» protégées par la veille du premier amendement
Q: PROTESTRE ?
R: Le premier amendement interdit au gouvernement de «limiter la liberté d'expression ou la presse; Ou le droit des gens de se réunir pacifiquement et de demander au gouvernement une réparation des griefs. "La protestation est un exercice de ces droits constitutionnels parce qu'il s'agit de parler, par des personnes individuelles ou celles réunies en groupes, sur des questions d'intérêt public Et préoccupation.
Q: Où suis-je autorisé à PROTEGER ?
RépondreSupprimerR: Le droit de protester s'étend généralement aux lieux publics qui sont détenus et contrôlés par le gouvernement, bien que tous les biens appartenant au gouvernement ne soient pas disponibles pour exercer les droits de parole et d'assemblée. Les lieux historiquement associés à l'exercice libre d'activités expressives, telles que les rues, les trottoirs et les parcs, sont des forums publics traditionnels et le pouvoir du gouvernement de limiter le discours et l'assemblage dans ces endroits est très limité. Cependant, l'expression et l'assemblage dans les forums publics traditionnels peuvent être limités par des règlements raisonnables, horaires et horaires. Des exemples de réglementation raisonnable incluent des restrictions sur le volume du son produit par l'activité ou une interdiction d'entraver le trafic des véhicules et des piétons.
Q: PEUT-JE ÊTRE RESTREINT DE CE QUI JE DIT, MÊME SI IL EST CONTROVERSIAL ?
R: Non, le Premier amendement protège le discours, même si la plupart des gens le jugent offensant, blessant ou détestable. Le discours ne peut généralement pas être interdit en fonction de son contenu ou de son point de vue, car il incombe au gouvernement de déterminer ce qui peut et ne peut pas être dit. Un principe fondamental du premier amendement est que le gouvernement ne peut interdire l'expression d'une idée parce que la société l'estime offensant ou désagréable. En outre, le discours de protestation ne peut pas non plus être interdit en raison d'une crainte que d'autres réagissent violemment au discours. Les manifestants ne peuvent être punis ni interdit de parler parce qu'ils peuvent offenser une foule hostile. La Cour suprême a jugé qu'un «veto heckler» n'a pas sa place dans la loi du premier amendement.
Q: AVEZ-VOUS BESOIN D'UN PERMIS POUR CONDUIRE UNE PROTESTATION ?
R: En règle générale, non. Le gouvernement ne peut exiger que les individus ou les petits groupes obtiennent un permis pour parler ou protester dans un forum public. Cependant, si les personnes ou les organisations souhaitent organiser de plus grands rassemblements et manifestations, elles peuvent être requises par les lois locales pour obtenir un permis.
Q: QUE NE POUVEZ-JE PAS FAIRE EN L'EXERCICE DE MES DROITS POUR PROTÉGER ?
R: Le premier amendement protège le droit de mener une assemblée publique pacifique. Le premier amendement ne donne pas le droit de mener une réunion où il existe un danger clair et présent d'émeute, de désordre, d'ingérence dans la circulation dans les rues publiques ou d'autres menaces immédiates pour la sécurité publique.
Q: PUIS-JE AVOIR UNE ARME OU UNE ARME À FEU À LA DÉMONSTRATION OU LA PROTESTATION ?
RépondreSupprimerR: Votre droit d'avoir une arme lors d'une manifestation dépend largement de la loi de l'État et il est peu probable qu'elle soit protégée par le premier amendement. Toutes les conductions ne peuvent être considérées comme «discours» protégées par le premier amendement, même si la personne qui s'engage dans le comportement a l'intention d'exprimer une idée. La plupart des tribunaux ont jugé que l'acte de porter ouvertement une arme ou une arme à feu n'est pas protégé par l'expression du premier amendement. Cela dit, même si la possession d'armes est autorisée, leur présence lors de manifestations et de rassemblements peut être intimidante et provocante et ne contribue pas à la réalisation d'un discours civil et pacifique sur des questions d'intérêt public et de préoccupation.
Q: QUE NE PEUT PAS LA POLICE EN RÉPONSE AUX PROTETIS ?
R: Dans l'histoire récente, les défis au droit de protester sont venus sous plusieurs formes. Dans certains cas, la police a réagi aux manifestations en les déclarant «assemblées illégales» ou par des arrestations massives, un usage illégal de la force ou des couvre-feux. Ailleurs, l'expression est limitée par les manifestants de corrélation dans les «zones de liberté de parole». Les nouvelles technologies de surveillance sont de plus en plus tournées vers des personnes innocentes, recueillant des informations sur leurs activités en raison de leur association ou de leur proximité avec une manifestation donnée. Même sans obstruction active au droit de protester, l'intimidation et la peur inspirées par la police peuvent ralentir l'activité expressive et entraîner une autocensure. Toutes ces choses violent le Premier amendement et ce que la police ne peut pas faire pour censurer la liberté d'expression. À moins que l'assemblée ne soit violente ou que la violence soit clairement imminente, la police a un pouvoir limité en vertu de la loi pour éteindre les manifestants.
De toute évidence, comme en témoignent les récentes tensions à Charlottesville, en Virginie, nous sommes à la croisée des chemins concernant le droit constitutionnel à la liberté d'expression.
Pourtant, comme Benjamin Franklin l'a averti: «Quiconque renversera la liberté d'une nation doit commencer par subjuguer l'impartialité de la parole».
Comme je le précise dans mon livre Battlefield America: The War on the American People, assurer la liberté de ceux dans la minorité impopulaire constitue la tolérance ultime dans une société libre.
Si jamais il y avait un temps pour nous défendre le droit de parler librement, même si c'est la liberté de parole que nous détestions, le temps est maintenant.
http://www.zerohedge.com/news/2017-08-22/freedom-speech-we-hate-legal-ins-outs-right-protest
Notez bien que John Whitehead via The Rutherford Institute, ne parle JAMAIS de Démocratie !!!
SupprimerCar, la Démocratie n'a JAMAIS été proposée et appliquée aux États-Unis.
Cirrus Vision Jet : le jet privé le moins cher au monde coûte à peine 2 millions de dollars
RépondreSupprimerArnaud Lefebvre
22 août 2017
Le constructeur aéronautique américain Cirrus Aircraft vient de commencer la distribution mondiale de son Vision Jet pour le prix de 1,96 million de dollars, (1.667.328,42 € ) soit le jet privé le moins cher au monde.
Après avoir bénéficié de licences globales des autorités aériennes européennes et américaines, ce nouveau jet assez spacieux pour accueillir sept passagers commencera à atterrir dans les aéroports du monde entier.
Selon Cirrus, 600 jets auraient déjà été commandés. La marque entend également augmenter progressivement la production dès le début 2018 pour répondre à la demande croissante.
Selon observateurs, l’intérêt pour le Vision Jet n’est pas étonnant et cette appareil pourrait devenir le chef de file de l’aviation personnelle pratique.
Chinois
« The Vision Jet est construit autour d’un monocoque en fibre de carbone, ce qui rend l’appareil assez léger pour décoller sur des pistes d’une longueur de près de 2 .000 pieds de long (610 m)», explique Cirrus « En outre, le Vision Jet a un rayon d’action de 1.380 milles (2.220 km), avec une vitesse de croisière de 276 miles par heure (444 km/h)».
Via une altitude de vol maximale de 28.000 pieds (8.534 m) et une vitesse maximale de 345 milles par heure (555 km/h), l’appareil enregistrerait de meilleures performances que la flotte mondiale de turbopropulseurs. Sur le marché des jets personnels, l’appareil coûte seulement la moitié de la concurrence la moins chère.
« La finition de la cabine est semblable à celle d’un SUV ou d’une berline de luxe. La cabine offre également un niveau impressionnant de visibilité pour le pilote et les passagers, grâce aux grandes fenêtres. »
Le développement de Vision Jet fonctionne est en cours depuis plus de dix ans.
Cirrus Aircraf est situé à Duluth, dans le Minnesota. En 2011, l’avionneur est racheté par China Aviation Industry General Aircraft (CAIGA), une filiale de la compagnie étatique China Aviation Industry Corporation.
Depuis sa création au milieu des années 1980, Cirrus a vendu plus de six mille avions.
https://fr.express.live/2017/08/22/cirrus-vision-jet-jet-prive-cher-monde-coute-a-peine-2-millions-de-dollars/