Alors qu’EDF n’en finit pas de chercher une solution pour le financement du projet Hinkley Point C en Grande-Bretagne consistant en un EPR pour le moment et peut-être un deuxième EPR et que la même compagnie doit également trouver un autre financement, certes moindre mais tout de même également conséquent, pour racheter la division NP d’Areva, on se demande comment le fleuron énergétique français va pouvoir survivre à toutes ces ponctions. Faire appel aux investisseurs ? Pas question d’autant plus qu’EDF a été exclu du CAC40 en raison de la dépréciation du cours de l’action et que les investisseurs ne se précipiteront certainement pas pour investir dans une entreprise détenue à 80 % par l’Etat français qui ne brille pas par ses qualités de gestionnaire. Augmenter le prix du kW, pas question non plus puisque ce prix est décidé par les ronds de cuir qui sévissent autour des jupons de Ségolène. Parallèlement EDF doit acheter, selon la loi, des kW « renouvelables » hors de prix et les revendre à perte. Le cocktail est tellement défavorable que n’importe quel analyste spécialiste du secteur de l’énergie (dont je ne fais pas partie) peut émettre de sérieux doutes sur la viabilité financière de cette entreprise. Il reste naturellement les contribuables et les factures d’électricité … Au final de sont donc bien Monsieur et Madame Michu qui paieront la gestion étatique catastrophique tant d’EDF que d’Areva.
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Force est de constater que la France est maintenant en retard d’une génération, on peut même dire de deux générations, dans le domaine de l’électronucléaire et ce sont les Chinois et les Russes qui ont pris une avance indéniable. La Russie, comme je me suis plu à le rappeler dans ce blog, est le seul pays au monde à développer les surrégénérateurs refroidis avec du sodium, type Super-Phénix, une technologie lamentablement abandonnée par le gouvernement Jospin, mais ce n’est pas tout. La Chine termine la construction de deux unités jumelles pilotes du vrai réacteur nucléaire de quatrième génération, le surrégénérateur à haute température (HTR) avec refroidissement par de l’hélium directement couplé à une turbine fonctionnant selon le type dit de Brayton (voir le lien). Ce type de réacteur pourra « brûler » aussi bien de l’uranium-238 que du thorium et ne s’embarrassera pas des actinides que ne peut pas gérer un réacteur à eau pressurisée comme un EPR car ils seront également fissionnés et serviront de combustible.
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Ce type de réacteur présente deux particularités qui constituent des avantages considérables en regard de la complexité de fonctionnement des réacteurs à eau pressurisée. Il n’est pas nécessaire de l’arrêter tous les deux ans pour rechargement avec du combustible neuf. Les modélisations ont montré que ce type d’installation à neutrons rapides peut fonctionner au moins dix ans sans rechargement. De plus le rendement énergétique est considérablement amélioré par rapport à un réacteur de type EPR car le gaz de refroidissement sort du réacteur à la température de 850 degrés. En vertu du principe de Carnot également appelé deuxième principe de la thermodynamique le rendement de la machine tournante permettant de produire in fine de l’électricité est proportionnel à la différence de température entre le fluide entrant et le fluide sortant. Cependant dans une installation mettant en jeu une turbine en circuit fermé type Brayton, ce rendement énergétique est encore amélioré et atteint aisément celui des centrales électriques à gaz naturel, soit environ 60 %, ce qui n’a rien à voir avec le mirifique rendement promis pour un EPR d’environ 37 % si ma mémoire ne me fait pas trop défaut.
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Le schéma ci-dessous (Wikipedia) illustre clairement comment fonctionnera une telle installation et il va sans dire que les deux unités de démonstration d’une puissance totale de 210 MW électriques actionnant une seule turbine à gaz en cours de construction sur le site de Shidaowan dans la province de Shandong vont rester dans l’histoire de l’évolution de l’électronucléaire car il s’agit d’une avancée technologique considérable.
Comme on peut le constater dans la partie droite de l’illustration il s’agit d’un circuit fermé. Deux compresseurs couplés à la turbine renvoient le gaz sous pression et refroidi par deux échangeurs de chaleur vers le réacteur. Il ne s’agit plus d’une application directe du fameux principe de Carnot mais d’une amélioration de ce dernier à l’aide de compresseurs qui divertissent une partie de l’énergie fournie par la turbine pour compresser le fluide, ici de l’hélium qui sera chauffé par le réacteur. Contre-intuitivement ce type d’installation atteint des rendements idéaux tout en maintenant le fluide caloporteur en circuit fermé, ce que requiert un réacteur nucléaire pour éviter tout contamination externe. Le choix de l’hélium qui est un très mauvais capteur de neutrons (contrairement à l’eau) permet de mettre en place ce concept thermodynamique.
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On ne peut que constater que la Chine a maintenant une « génération » d’avance dans le domaine du nucléaire civil. Pour preuve un deuxième projet vient de passer avec succès les qualifications préliminaires. Il s’agit de deux installations de 600 MW comportant chacune trois unités de 200 MW et trois turbines Brayton dont la construction a été décidée sur le site de Ruijin dans la province du Jiangxi et programmée pour être couplée au réseau électrique dans le courant de l’année 2021. Ce développement de l’énergie nucléaire de quatrième génération en Chine est le fruit d’une étroite collaboration entre la China Nuclear Engineering Company et l’Université de Tsinghua qui concentre la fine fleur des ingénieurs spécialisés dans ce domaine. CNEC bénéficie d’une grande indépendance vis-à-vis du gouvernement central chinois qui lui a confié le soin de résoudre les problèmes énergétiques du pays en se focalisant sur ces énergies nouvelles qui n’ont rien à voir avec les moulins à vent ou les panneaux solaires.
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On ne peut donc que constater avec amertume que la France, encore leader mondial dans le domaine du nucléaire il y a 20 ans, a détruit son tissu industriel en raison d’une gestion étatique déplorable et sans aucune espèce de vision prospective, la recherche et le développement dans ce domaine crucial pour les générations futures ayant tout simplement été oblitérés par des décisions irrationnelles de nature politicienne. C’est un désastre annoncé depuis longtemps et confirmé par l’avènement de ces énergies dites renouvelables imposées par les mouvements « verts » qui aggravent la situation financière d’EDF et la prive de toute latitude pour s’orienter vers l’avenir. À en pleurer !
Source : World Nuclear Association, illustration : cuve du réacteur de Shidaowan, 25 mètres de haut et 700 tonnes, source China Huaneng.
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Comment les taux d'intérêt négatifs seront Turbocharge pour la crise des migrants
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 16/03/2016 20:10 -0400
Soumis par Nick Giambruno via InternationalMan.com,
Dans le film Batman de 1989, le Joker (joué par Jack Nicholson) arose toute une rue bondée de Gotham avec de l'argent gratuit.
Dans la scène, on dirait qu'il pleut des billets de cent dollars. Les gens l'aiment. Peu savent-ils, l'argent est en fait un piège. Une fois que le Joker a eux attirés dans la rue, il libère des gaz toxiques.
Je pense que le dernier truc pour stimuler l'économie est à peu près la même chose. C'est une des idées plus absurdes, que j'ai entendu parler depuis un moment. Et qui dit quelque chose, considérant les régimes scandaleux de que nos luminaires économiques ont récemment mis au point, comme...
• Feindre une invasion extraterrestre de l'espace pour aider à stimuler l'économie.
• Frappe d'une pièce de monnaie trillions de dollars.
• Taux d'intérêt négatifs.
• L'interdiction d'argent physique.
• Prime à la casse.
• Augmentation des cartouches d'impression de l'argent, appelle par euphémisme « assouplissement quantitatif ».
Ces idées serait comiques si gens au pouvoir n'a pas vraiment prendre au sérieux. Mais ils le font.
C'est la même mauvaise médecine que les sorciers économiques ont été prescrire pendant ans. Avec un palmarès comme ça, il est difficile d'imaginer qu'ils pourraient proposer quelque chose d'encore plus ridicule. Mais ils ont.
Ce dernier truc va bien au-delà de l'absurdité de leurs idées précédentes. C'est vérifiable fou. Et la partie la plus effrayante est, cette idée dangereuse est gagnent. Il se répand à travers le monde comme une épidémie de variole.
Hélicoptère argent
Politiciens et économistes création appellent cette idée effrayante « un revenu de base. » Je l'appelle folie.
Il est où le gouvernement vous donne l'argent juste parce que. Il n'y a aucune obligation de travailler ou même afficher une volonté de travailler. Vous pouvez rester à la maison toute la journée, regarder la télévision et encore obtenir un chèque du gouvernement.
Bref, un revenu de base est « libre » argent que le gouvernement remet à tous sans condition.
Les responsables politiques européens poussent fortement cette politique.
• La Finlande veut payer ses citoyens autour de $ 1 000 par mois.
• Les pays-bas et le Royaume-Uni ont également proposé concoctera argent gratuit.
• En Suisse, il y a une proposition visant à distribuer environ $ 2 800 par mois à tout le monde. Celui-ci est surprenant puisque les suisses sont généralement sensibles à l'argent.
• Le virus de revenu de base a également infecté Canada, qui a récemment annoncé un programme pilote en Ontario.
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C'est juste une question de temps avant que l'idée gagne traction aux États-Unis En fait, les planificateurs économiques centrales américain discutent déjà il.
RépondreSupprimerVous vous souvenez peut-être surnom de Fed ancien Président Ben Bernanke, « Helicopter Ben. » Il a obtenu le nom après avoir parlé publiquement à l'aide de gouttes d'hélicoptère d'argent à « stimuler » l'économie. Il s'agit d'une autre saveur d'un revenu de base.
Que vous l'appeler argent gratuit, un revenu de base, ou argent en hélicoptère, l'idée se répand. C'est la potion suivante les sorciers économiques utilisera une fois leur dernier arnaque — négative des taux d'intérêt, non seulement ne parvient pas à guérir nos maux économiques, mais prévisible rend pire.
N'importe, l'idée va être politiquement populaire. Qui protesteraient argent gratuit ?
Et, une fois qu'un pays adopte un revenu de base, il serait presque impossible de se débarrasser de lui, jusqu'à ce que le système s'effondre sous son propre poids. Qui votera pour un politicien qui s'arrête (ou même ralentit) le filon ?
Le Joker utilisé l'argent pour attirer la population de Gotham de gaz toxique. Maintenant les politiciens du monde réel sont en utilisant la même astuce. Ils utilisent l'argent gratuit pour attirer les masses dans une dépendance perpétuelle sur le gouvernement.
Plus de problèmes à venir pour l'Europe
Si les Européens pensent qu'ils ont un problème à migrants maintenant, attendez jusqu'à ce qu'ils ont un revenu de base de l'Institut.
Il est évident ce qui va arriver...
Une fois que les gouvernements européens commencent à chaque personne de remettre des milliers de dollars en argent gratuit chaque mois (plus de beaucoup en Afrique font en un an), tout le monde se bousculent pour l'Europe.
Un revenu de base est une recette sûre pour la catastrophe économique et une augmentation des tensions culturelles. C'est un environnement où blowhards et démagogues s'épanouir. Malheureusement, cela s'est produit à plusieurs reprises tout au long de l'histoire de l'Europe. Une fois de plus, il va conduire à des choses très mauvaises.
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Selon moi, qu'un revenu de base va grandement accélérer cette tendance récurrente.
RépondreSupprimerSans un revenu de base et autres prestations d'aide sociale, les immigrants sont habituellement qualifiés et le meilleur des gens. Mais l'européen moyen qui oubliera sûrement une fois que l'argent attire dans la racaille du monde.
C'est pourquoi, bien que les conséquences financières seront graves, ceux sociopolitique sera bien pire.
Voici la ligne de fond : tout ce que vous pouvez faire est de vous protéger contre les conséquences de toute cette bêtise. Il s'agit d'une grande raison pourquoi je pense que tout le monde devrait posséder peu d'or.
L'or est la forme ultime de la richesse d'assurance. Elle a conservé richesse des milliers d'années par le biais de tous les types de crise qu'on puisse imaginer. Elle préservera richesse au cours de la prochaine crise, trop.
Malheureusement, la plupart des gens n'aient aucune idée comment se préparer pour le prochain effondrement économique...
http://www.zerohedge.com/news/2016-03-16/how-negative-interest-rates-will-turbocharge-migrant-crisis
Qui parle d'effondrement du système quand on sait que cet argent est depuis toujours fabriqué par la planche-à-billets (et non par l'imprimerie nationale en fonction de la valeur de l'or contenu en soute) ? Cet 'hélicoptère' comme ce 'revenu de base' s'appelle autrement une allocation. Allocation chômage, allocation maladie, allocation familiale pour les enfants, allocation logement, c'est-à-dire que c'est comme une retraite car, contrairement à ce qu'a dit un crétin "Ce n'est pas vous qui payez mais l'Etat !", c'est le peuple qui paye !
SupprimerCe sont les productifs qui payent les improductifs (qui sont aussi appelés fonctionnaires).
Mais... dites-moi... QUI paye les routes, les chemins de fer, l'armée avec ses soldats, ses chars, ses avions, ses bateaux, sous-marins, munitions, etc ? Qui paye ses millions de fonctionnaires + assurance maladie + retraite (dorée) + vacances dans les îles, etc ? Qui paye tous ces bâtiments administratifs + électricité, chauffage et services annexes ?
Alors, pourquoi lever les sourcils/les bras au ciel quand il s'agit de : Rendre à César ce qui lui appartient ?!
Ministre de Suède dit qu'une société sans argent liquide n'est « Pas Possible » ; Personnes âgées, handicapées blâmées
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 16/03/2016 15:55 -0400
C'était juste un peu plus, il y a une semaine quand nous avons signalé que la Suède avait commencé un compte à rebours de 5 ans pour devenir une utopie sans numéraire.
Comme rapporté The Local, "opérations en espèces représentent aujourd'hui pas plus de deux pour cent de la valeur de tous les paiements effectués en Suède, [et qui estiment] chutera à moins de 0,5 % dans les cinq prochaines années."
Selon Visa, les suédois utilisent les cartes de débit trois fois plus que les autres européens. Même les sans-abri acceptent des paiements électroniques. « La diffusion des cartes de débit a eu un effet profond sur le niveau de la rue avec les marchands de fruits et de légumes voire des amuseurs publics et des détaillants de sans-abri magazines acceptant les cartes ou les paiements électroniques en utilisant l'application smartphone suédois populaire Swish, » The Local continue à noter.
Comme 65 ans Stefan Wikberg a déclaré au New York Times en décembre, à l'aide de SMS et lecteurs de cartes mobiles efficacement aidé lui sortir sans-abri après avoir perdu son ce job. Il vend des magazines Situation Stockholm, un organisme de bienfaisance et ses ventes ont augmenté de 30 % une fois qu'il est allé numérique. "Maintenant les gens ne peuvent pas s'en tirer," dit-il. « Quand ils disent, « Je n'ai pas de changement, » je leur dis qu'ils peuvent payer avec la carte ou même par SMS. »
Comme The Times passe à écrire, les églises et les musées préfèrent maintenant paiements scripturaux et "à plus de la moitié des branches des plus grandes banques du pays, SEB, Swedbank, Nordea Bank et d'autres, aucuns argent comptant n'est conservé sur place, ni ne les dépôts en espèces sont acceptés".
Cela peut sembler peu surréaliste à certains, mais pour les suédois, c'est non seulement normal, mais souhaitable. « Personne n'utilise en espèces, » a déclaré Hannah Ek, un étudiant de 23 ans à l'Université de Göteborg. "je pense que notre génération ne peut vivre sans elle."
Bien Hannah, c'est probablement parce que la plupart des gens si votre « génération » ne comprend pas exactement ce que veut dire aller sans numéraire. Ce n'est pas tous un effort pour rendre la vie plus facile. Vous pourriez vous demander si il y a aucun lien entre le changement rapide de votre pays vers cashlessness et descente rapide de la Banque centrale suédoise dans des taux négatifs. Voyez-vous, lorsque vous ne retirez aucun montant en espèces, la Riksbank peut décider que les banques devraient vous facturent pour vos dépôts si l'économie n'est pas en mouvement le long jeûne suffit. En d'autres termes, vous ne pouvez pas dépenser votre argent aujourd'hui, mais si vous ne peut pas recourir à la caisse, puis ce qui est pour éviter que la Banque vous charge de 20 % sur vos dépôts afin de faire que dépenser ? Ne pense pas trop fort : la réponse est « rien ».
(suite en dessous:)
Retrait en espèces supprime la limite inférieure efficace et ensuite, les banques centrales peuvent planifier centralement l'ensemble de l'économie à moins que jusqu'à ce que les gens tout simplement en reviennent à un système de troc.
RépondreSupprimerEt n'oubliez pas, ce phénomène se répand. Larry Summers a appelé à l'abolition de la facture de 100 $ et la BCE est prête à en finir avec la remarque de 500 euros (alors que apparemment réaliser un bénéfice).
Mais la Suède s'est heurté à un problème assez épineux dans sa quête incessante de cashlessness : personnes âgées.
« Il est important de nombreuses personnes âgées d'être en mesure d'utiliser les liquidités », Christina Tallberg, présidente de l'organisation suédoise pensioners' PRO, déclaré à la Radio suédoise plus tôt ce mois-ci.
Maintenant, cela pourrait être parce que les personnes âgées ne sont pas particulièrement aptes à l'utilisation des moyens de paiement électroniques, ou il pourrait être tout simplement qu'ils sont assez vieux et assez sage pour se rendre compte quand quelque chose est absolument fou - comme négatif, supprimant le cours légal et l'adoption de taux d'intérêt.
En tout cas, Mme Tallberg n'est pas le seul qui a remarqué cela "problem. » Mercredi, le ministre des marchés financiers par Bolund dit Bloomberg que les banques suédoises ne devrait pas s'attendre "à sortir complètement de l'entreprise de gestion de trésorerie."
Pourquoi ? Eh bien parce que malheureusement, certains citoyens encore l'utiliser « et continueront de le faire. »
« Suède n'est pas encore une société sans argent liquide et on ne vois pas que nous serons soit dans un avenir prévisible, » a-t-il dit, ajoutant que "some personnes ont du mal à l'aide de moyens de paiement électroniques, y compris ceux qui sont des personnes âgées ou handicapéeset nous avons pour s'assurer que l'économie fonctionne pour tout le monde, et que tout le monde peut choisir le mode de paiement qu'ils préfèrent. »
Cela fait suite à des observations faites par la Riksbank gouverneur Stefan Ingves plus tôt aujourd'hui, qui a donné des banques une tape sur la main pour enlever la trésorerie provenant des branches et a suggéré que la Suède devait passer une loi pour obliger les banques à fournir des cash services.
« Moins de 5 % de visites à nos succursales implique en espèces sous quelque forme, » compteurs de Swedbank. Bien sûr lorsque vous ne retenez pas n'importe quelle devise physique sur place, il est assez difficile pour les visites "encaisse."
En tout état de cause, peut-être Ingves devrait reconsidérer mendicités législateurs pour obliger les banques en tenant argent. Après tout, les taux sont déjà négatif 55bps. Plus bas et les banques du pays devra commencer en passant les coûts sur les déposants qui commencera alors exigeant la monnaie physique et réduisant la capacité de la Riksbank se plonger davantage dans l'INEP.
Après tout, il y a une autre solution. Suède pourrait interdire seulement les personnes âgées.
http://www.zerohedge.com/news/2016-03-16/sweden-minister-says-cashless-society-not-possible-elderly-disabled-people-blamed
Ces mêmes cas se répètent des millions de fois par jour où aux supermarchés (par exemple) une personne âgée paie avec une carte de crédit mais... ne se souvient plus du code ! sauf bien sûr si comme une conne elle a préféré le marquer en gros au dos de la carte !
SupprimerNotons que ce sont les personnes âgées qui sont les plus riches et que elles sont les plus nombreuses ! Donc, lorsque une banque affirme que la grande majorité paie avec une carte de crédit est un mensonge car on ne compte plus les interdits banxcaires ! Hahahaha !
La Suisse confrontée à une augmentation vertigineuse du nombre de réfugiés
RépondreSupprimer17 mars 2016
L’accord passé entre les pays Balkans et l’Autriche a rendu plus difficile l’accès à l’Allemagne pour les demandeurs d’asile, et la Suisse voit arriver de plus en plus de migrants sur son territoire, écrit le magazine Le Point.
Entre février 2015 et février 2016, le nombre d’arrivants a augmenté de 90%, un chiffre que le gouvernement a cherché en vain à minimiser.
La Suisse s’organise pour accueillir les futurs réfugiés, dont le nombre est estimé entre 120.000 et 150.000. Le gouvernement envisagerait d’utiliser des abris antiatomiques datant de la guerre froide pour les loger. L’armée aussi devrait venir à la rescousse des gardes-frontières suisses afin de garder la situation sous contrôle.
La fermeture de la route des Balkans va probablement obliger les demandeurs d’asile à passer par l’Albanie, puis par l’Italie, pour ensuite rejoindre la florissante Suisse (ce à quoi l’Italie les encouragerait fortement).
Un pays modèle pour le traitement des demandes d’asile
Jusqu’à présent, la Suisse constitue un exemple en ce qui concerne le délai de traitement des demandes d’asile et le sérieux avec lequel elles sont considérées. Le centre fédéral de Zurich essaie depuis plus de deux ans des techniques d’accélération du traitement des demandes. Le délai suisse, qui était déjà dans une moyenne très honorable avec 77 jours, est passé à 59 jours. Seuls 17,7% des décisions ont été appelées, soit un tiers de moins que la normale.
Ce délai minime permet un contrôle plus facile des personnes refusées et une mise au travail beaucoup plus rapide des demandeurs acceptés, ce qui réduit sensiblement le coût des aides.
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