- ENTREE de SECOURS -



mardi 29 mars 2016

Le film Vaxxed, exposant le lien entre vaccins et autisme, déprogrammé sous la pression des lobbies

14 commentaires:

  1. Le film Vaxxed, exposant le lien entre vaccins et autisme, déprogrammé sous la pression des lobbies

    Labo Soleil Vert
    dim., 27 mar. 2016 12:18 UTC

    Alors qu'il voulait projeter le film brûlot sur les dangers de la vaccination et ses conséquence sur l'explosion des cas d'autisme aux Etats-Unis et dans le monde, l'acteur et réalisateur Robert de Niro a fait machine arrière et a décidé, sous la pression des lobbys pro-Système, de renoncer finalement à la projection du film !

    Vidéo : « Vaxxed, de l'étouffement de l'affaire à la catastrophe », la bande annonce officielle du film anti-vaccination que les participants présents au Festival du film de Tribeca ne verront finalement pas...
    Une occasion manquée, une de plus, qui ne permettra pas d'alerter le public sur l'un des plus terribles scandales sanitaires de l'après-guerre !

    - voir clip sur site -

    Robert de Niro a un fils autiste, mais face aux pressions exercées par les lobbys pharmaceutique, il a finalement décidé de revenir sur sa décision de projeter le film controversé au festival de Tribeca [1].

    Comme la France, les Etats-Unis sont confrontés à une baisse spectaculaire du niveau de vie depuis quelques temps, mais visiblement, il semble très difficile de remettre en question le Système de santé publique établi, de plus en plus coûteux et de moins en moins efficace, qui se goinfrent sur le dos de la populace comme jamais par le passé et qui comptent bien ici comme ailleurs verrouiller ad vitam leur domination et défendre leurs pré-bandes...

    Circulez, y a rien à voir.

    [1] Robert De Niro pulls anti-vaccination film from Tribeca film festival - The Guardian - 27 Mars 2016

    http://fr.sott.net/article/27960-Le-film-Vaxxed-exposant-le-lien-entre-vaccins-et-autisme-deprogramme-sous-la-pression-des-lobbies

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  2. Attentats de Bruxelles : pourquoi on n'a pas « fait le lien »

    Alex Lantier et Andre Damon
    WSWS
    sam., 26 mar. 2016 17:58 UTC

    Les attaques terroristes de cette semaine en Belgique, qui ont fait 31 morts et 300 blessés, sont les dernières d'une série d'attaques similaires de haute visibilité ayant eu lieu au cours de quinze ans de « guerre contre le terrorisme. »

    Chacune d'entre elle suit un scénario similaire: les assaillants sont bien connus des agences de renseignement et sont des combattants actifs ou potentiels dans des opérations de déstabilisation et de changement de régime soutenu par l'Occident au Moyen-Orient ou en Eurasie. Après chaque attaque, l'absence de réaction sur des informations déjà en possession des services de renseignement est faussement justifiée par un prétendu « manque à faire le lien. » Enfin, malgré les défaillances monumentales des protocoles de sécurité, aucun responsable n'est licencié ou encore discipliné.

    -- Commentaire : Tant que la majorité de la population avale ce script des "méchants terroristes musulmans", pourquoi les Maîtres de l'Univers s'embêteraient à le changer ?

    11 signes pour reconnaître une opération sous fausse bannière --

    Dans des incidents antérieurs, comme les détournements d'avion du 11 septembre, les attentats du marathon de Boston, la fusillade à Charlie Hebdo et les attentats de novembre 2015 à Paris, l'étendue de la connaissance préalable des services de renseignements n'est apparue que dans les mois ou les années suivantes, permettant à ces faits d'être soigneusement cachés des médias et relégués au domaine de la « théorie du complot ».

    Mais ce qui est sans précédent dans les événements de mardi à Bruxelles est la rapidité avec laquelle a été révélée l'étendue de la connaissance préalable des attaques.

    Mercredi 23 mars, le quotidien israélien Ha'aretz a révélé que le renseignement belge avait des informations précises sur le moment où les attaques se produiraient et quels seraient leurs objectifs.

    Le lendemain, le président turc Recep Erdogan a déclaré que l'un des assaillants impliqués dans l'attentat de l'aéroport, Ibrahim el-Bakraoui, avait été par deux fois expulsé de Turquie vers les Pays-Bas après avoir tenté d'entrer en Syrie, et que les autorités belges avaient été informées de son affiliation aux milices islamistes. Le frère d'Ibrahim, Khalid, qui a participé à l'attaque de la station de métro Maelbeek, était connu pour être impliqué dans les attentats de Paris en novembre et faisait l'objet d'un mandat d'arrêt international.

    Ces révélations ont déclenché une crise au sein du gouvernement belge; le ministre de l'Intérieur Jan Jambon et le ministre de la Justice Koen Geens ont offert leur démission, rejetée par le Premier ministre Charles Michel.

    Qu'est-ce qui peut expliquer que ces attaques ne sont pas empêchées ?

    (suite en dessous:)

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  3. La réalité fondamentale est que tous ces attaquants sont tirés d'un vaste réservoir de combattants actifs dans les guerres en Irak, en Syrie et dans d'autres pays, qui ont été financés avec le soutien de l'OTAN et les agences de renseignement d'Europe et des États-Unis.

    Le New York Times reconnaissait dans un article publié le 24 mars que le « réseau franco-belge fait partie de la tendance plus large des combattants européens en Syrie et en Irak, estimés par les services de sécurité au nombre de 4.000 à 6.000 personnes. » Le journal ajoutait: « combien sont rentrés en Europe n'est pas clair; si certains responsables estiment leur nombre à 10 pour cent, d'autres ont contesté cette proportion comme exagérée. »

    Quel qu'en soit le nombre précis, il est clair que les individus qui ont effectué les attaques à la bombe du 22 mars, les attentats du 13 novembre et celui de Charlie Hebdo à Paris font partie d'un groupe plus large de personnes à qui il est permis de faire librement l'aller-retour du Moyen-Orient. La seule conclusion que l'on puisse tirer de la facilité avec laquelle ces forces passent les frontières nationales et mènent leurs opérations est que des protocoles sont en place pour faciliter leur passage et neutraliser les signaux d'alarme. Ils opèrent sous un voile de protection officielle.

    Les attentats comme ceux de Bruxelles ne sont pas des « défaillances » du renseignement, mais bien plutôt le résultat inévitable de la profonde intégration et des liens institutionnels entre réseaux terroristes et agences de renseignement en Europe et aux États-Unis.

    Arrêter leurs mouvements à travers les frontières, les soumettre à des protocoles standard de sécurité, aurait des conséquences négatives pour les guerres que ces forces mènent dans tout le Moyen-Orient. Cela mettrait en grand danger toute la stratégie poursuivie par l'administration Obama et ses alliés: l'utilisation des islamistes européens, souvent liés à Al-Qaïda ou à son rejeton l'État islamique, comme forces de procuration en remplacement de l'envoi de troupes au sol.

    Les attaques comme celles de Bruxelles sont soit des opérations « retour de bâton » d'Al-Qaïda ou de forces de l'EI, rendus amers par l'échec des États-Unis et des gouvernements européens à effectuer le renversement promis du régime Assad, soit elles sont facilitées par des sections de l'État pour qui les actes de terrorisme dans les pays occidentaux servent à changer la politique étrangère et intérieure - ou un mélange des deux.

    Il est à noter que les attaques de Bruxelles se sont produites moins d'une semaine après que The Atlantic a publié un long entretien avec le président américain Barack Obama, dans lequel celui-ci a défendu sa décision de ne pas consacrer au renversement du gouvernement Assad les ressources que beaucoup avaient exigées. Des figures de premier plan des médias américains comme les chroniqueurs du New York Times Thomas Friedman et Roger Cohen se sont déjà emparés des événements de Bruxelles pour appeler à une intervention américaine plus agressive en Syrie.

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  4. Quelles que soient leurs circonstances et leurs motivations spécifiques, les attaques de Bruxelles - comme celles de Paris l'an dernier et d'autres avant elles - découlent des opérations militaires des puissances impérialistes en Libye et en Syrie et de leur volonté de déstabiliser et de dominer le Moyen-Orient.

    Ces guerres caractérisées par l'irresponsabilité et la criminalité, qui ont conduit à la mort de milliers et de milliers et au déplacement de millions de gens, ont des conséquences à présent meurtrières pour la population européenne. Les actes horrifiants comme ceux de Belgique cette semaine ne peuvent être stoppés que si sont stoppées les guerres

    http://fr.sott.net/article/27965-Attentats-de-Bruxelles-pourquoi-on-n-a-pas-fait-le-lien

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  5. Une équipe d'experts de la sécurité israélienne a inspecté l'aéroport de Zaventem quelques semaines avant les attentats

    Mylène Vandecasteele
    Express
    ven., 25 mar. 2016 16:39 UTC

    -- Commentaire : Nous savions déjà que la sécurité de l'aéroport de Brussels-Zaventem était assurée par la société israélienne ICTS. De plus, l'article de DEBAKfile nous apprend que les bombes avaient été placées "à l'avance à des points stratégiques, soit par une équipe de terroristes déguisés en personnel de l'aéroport, soit par un employé du personnel." Considérant la longue histoire du Mossad dans les attentats sous faux drapeau, qui à part celui-ci était dans les meilleures dispositions pour réaliser ce genre d'opération ? --


    Il y a quelques semaines, le gouvernement belge a engagé une équipe d'experts de la sécurité israélienne pour inspecter les mesures de sécurité à l'aéroport de Zaventem.

    Cette entreprise a remis au gouvernement une liste de recommandations urgentes, mais rien n'a été fait à ce sujet, indique le site israélien DEBKAfile, qui se spécialise dans tout ce qui concerne la sécurité.

    Selon le site, les terroristes avaient l'intention d'organiser un massacre, mais ils n'ont pu réaliser que la première partie de leurs plans.

    Charleroi

    Les Israéliens ont été surpris par la faiblesse des mesures de contrôle des passagers à l'aéroport de Charleroi (Brussels South Charleroi Airport), qui est, selon eux, "une porte ouverte" pour les terroristes. Les passagers avec des vols de correspondance vers l'aéroport de Zaventem ne faisaient l'objet d'aucune fouille.
    Non seulement Zaventem est vulnérable à l'infiltration de terroristes, mais le second aéroport de Bruxelles, Charleroi l'est aussi. Il est également le terminus des vols à destination et en provenance de l'Algérie, de la Turquie et de la Tunisie.
    Le 29 Février, les forces de sécurité de l'UE ont appelé à un durcissement immédiat des mesures de sécurité dans les aéroports belges et aux frontières, qui offraient un accès sans entrave aux terroristes et qui ne disposaient pas des structures nécessaires pour la vérification des passagers, écrit DEBKAfile.

    La chance

    Les Israéliens n'ont pas été les seuls à faire ces recommandations d'améliorations urgentes de sécurité au cours des dernières semaines, et pourtant le 22 mars, aucune de ces recommandations n'avait été prise en compte. Selon DEBKAfile:
    "L'Etat islamique, qui a approuvé cette opération, avait envisagé une atrocité bien pire. Cela est attesté par la découverte de 3 sacs contenant des kits identiques d'armes à feu et de munitions, une ceinture de bombe, 2 fusils automatiques AK-47, des grenades à main et des magasins, tous intacts et inutilisés.

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  6. Ces kits avaient été dissimulés à l'avance, prêts à être utilisés pour cibler les personnels de secours, les équipes de soins, les forces de sécurité et les autres équipes de premiers secours. Ces kits ont été placés à l'avance à des points stratégiques, soit par une équipe de terroristes déguisés en personnel de l'aéroport, ou par un employé du personnel. Quand les enquêteurs ont examiné les fusils automatiques, ils ont découvert que quelqu'un s'était servi de l'un d'eux mais qu'il s'était enraillé. Cela pourrait expliquer pourquoi la seconde partie du plan des atrocités à l'aéroport de Bruxelles, le méga-massacre, a été stoppé".

    Des centaines de professionnels de la sécurité et des soins d'urgence ont évité de justesse de se retrouver piégés dans les 3 directions par des tirs nourris".

    http://fr.sott.net/article/27964-Une-equipe-d-experts-de-la-securite-israelienne-a-inspecte-l-aeroport-de-Zaventem-quelques-semaines-avant-les-attentats

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  7. L'Amérique Hits Rock Bottom : Villes paient des criminels $1000 par mois pour "Pas tuer"

    Soumis par Tyler Durden le 28/03/2016 16:29 -0400

    Il est bien connu que dans les 6 derniers mois, qu'il y a eu un fort débat sur l'argent de l'hélicoptère, c'est-à-dire donnant l'argent des gens ordinaires (sans passer par les banques) directement imprimé par la Fed. Ce qui est moins connu est que lorsqu'il s'agit du ventre plus abject de la société américaine, en espèces pour un montant de 1000 $ par mois est déjà en « héliportés » à certains des criminels plus effrontés, vivant aux États-Unis aujourd'hui avec une simple condition: «ne pas tuer des gens."

    * * *
    Prenons le cas de Lonnie Holmes, 21, qui vit à Richmond, une banlieue ouvrière au nord de San Francisco et dont quatre ses cousins étaient morts dans des fusillades. Il était un passager dans une voiture impliquée dans un drive-by shooting, a indiqué la police. Et il a été arrêté pour porter une arme chargée. Lorsque Holmes a été libéré de prison l'an dernier, fonctionnaires dans cette ville a offert quelque chose d'inhabituel essayer de le garder en vie : l'argent. Ils ont commencé à payer Holmes autant que $1000 par mois ne pas de commettre un autre crime de pistolet.

    Ce n'est pas juste apaisement : c'est pure idiotie pure et simple, et il ne fait que commencer.

    Selon l' Observatoire, "villes partout au pays, en commençant par le District de Columbia, sont déplacent copier approche controversée de Richmond, parce que les premières indications montrent il a aidé à réduire les taux d'homicide".

    Si les lecteurs sont choqués par ce paiement « modeste » c'est pour une bonne raison : le programme exige que les gouvernements de rejeter certains principes fondamentaux de l'application de la Loi, même si elle remet en question les notions de moyens appropriés de dépenser l'argent des contribuables.

    À Richmond, la ville a embauché des ex-détenus à encadrer des dizaines de ses plus violentes et leur permet de prendre des mesures non conventionnelles si cela signifie empêcher le prochain homicide. Par exemple, les mentors ont cajolé adolescents en état d'ébriété, menace de violence dans les voitures de la ville, pas pour un tour en prison mais à la maison pour cuver — parfois avec des armes à feu chargées encore dans leurs ceintures. Les mentors ont financé des voyages en Afrique du Sud, Londres et Mexico City pour les membres de gangs rivaux dans l'espoir qu'ont partagé leurs expériences et temps loin des rues de la ville pourrait apaiser les tensions et forger de nouvelles connexions.

    Et quand les efforts élaborés à engagement échouent, les mentors encore payer ceux qui s'engagent à améliorer, même quand, comme Holmes, ils sont pris avec une arme à feu, ou pour le pire — soupçonné de meurtre.

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  8. Les mentors de ville-payé fonctionnent à une distance de police. Pour conserver la confiance des jeunes hommes qu'ils sont directeurs, mentors n'informent pas la police de ce qu'ils savent sur les crimes commis. Au moins deux fois, qui a pu ses tueurs dans le programme d'allocation pour éluder sa responsabilité pour les homicides.

    Et pourtant, sur le programme est en pleine progression parmi les hommes politiques urbaines. Fonctionnaires à Miami, Toledo, Baltimore et plus d'une douzaine de villes entre les deux étudient comment reproduire le programme de Richmond.

    Le District de Columbia est en première ligne.

    L'arrivée de "Ne payer pas pour Spray" (que nous avons baptisée il) n'était pas sans controverse : implémentation du modèle de Richmond a émergé comme un combat central cette année entre maire Muriel E. Bowser et le Conseil de la DC.

    Bowser (D) s'oppose à la stratégie, arguant du fait que la ville doit plutôt utiliser ses ressources pour financer des programmes d'emploi et qu'il n'y a peu d'analyse indépendante du programme Richmond. Le maire ne comprenait pas l'argent pour elle dans son projet de budget 2017 publié jeudi, et le chef de la Police Cathy L. Lanier dit elle est sceptique quant à la nécessité pour le programme de Richmond-style et ne voit pas suffisamment de données pour vérifier ses résultats.

    Elle et Kevin Donahue, maire adjoint de Bowser pour la sécurité publique, la véracité des allégations de Richmond d'avoir sauvé tant de plus violentes de la ville, depuis les mentors en question — et pas de police — choisir les participants et n'a pas été un groupe de contrôle permettant de mesurer les résultats. « Il n'a jamais été une véritable évaluation du programme, » a déclaré Lanier. « Ils n'ont pas concevoir le programme afin qu'il puisse être évalué », a ajouté Donahue.

    Mais ce mois-ci, le Conseil de D.C. a approuvé à l'unanimité l'idée que la meilleure réponse à une vague de morts violentes qui ont secoué la ville l'an dernier. D. C. Conseil membre que kenyan R. McDuffie (D-quartier 5) a promis de transférer l'argent du maire d'autres priorités d'application de la loi pour lancer le programme. Il a dit que les succès à Richmond ne peuvent être ignorées par les dirigeants de ville sérieuses réduire la criminalité.

    En fait, il peut, parce que ce que fait ce programme est Maj incitatifs pour les Américains ordinaires de devenir des criminels extraordinaires dans l'espoir d'être récompensés par le gouvernement pour enrayer toute futures explosions de comportement violent.

    Mais quand il s'agit de nuances telles que celles-ci, le gouvernement rarement attention ; au lieu de cela, il ressemble à un cas isolé et extrapole. Dans ce cas, l'affaire est celle de Richmond. C'est ce qui s'est passé là-bas :

    Cinq ans après l'expérience de plusieurs millions de dollars de Richmond, 84 88 hommes jeunes qui ont participé au programme reste en vie, et 4 à 5 n'étaient pas soupçonnés d'un autre crime de pistolet ou subi une balle, selon DeVone Boggan, fondateur de l'effort de Richmond.

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  9. En 2007, tally homicide de Richmond avait a fait un bond de 47, ce qui en fait par habitant les plus meurtrier sixième ville du pays. Dans les 20 années avant cela, Richmond perdu 740 personnes à la violence armée, et plus de 5 000 avait été blessé par une balle. Les dirigeants élus de la ville fortement afro-américaine d'environ 100,000 a commencé à traiter les homicides comme une urgence de santé publique.

    Boggan, qui avait perdu un frère lors d'une fusillade dans le Michigan, est venu avec le noyau du programme après avoir lu sur une bourse de l'école entreprise rémunéré. Il se demande si troublée de jeunes hommes ne pouvait pas être abordées de la même manière et être payés pour améliorer leur vie. Mais il a dû recueillir l'argent parce qu'il n'a pas pu persuader les responsables pour donner de l'argent des contribuables directement aux délinquants violents armes à feu.

    Il a engagé des hommes qui avaient servi de temps sur la baie de San Francisco en Californie State Prison de San Quentin, souvent pour leurs propres crimes d'arme à feu dans les rues de Richmond.

    Boggan et son équipage streetwise d'ex-détenus sélectionné un premier groupe de 21 membres de gangs et des criminels présumés pour le programme. Une nuit en 2010, il persuada de venir à l'hôtel de ville, où il les a invités à travailler avec des mentors et plan d'un avenir sans armes à feu. Alors qu'ils quittaient, Boggan surpris chacun avec 1.000 $ — sans attaches.

    Comment fonctionne le système de paiement cas ?

    Inscrits dans le programme d'abord élaborer une « feuille de vie » et de fixer des objectifs, comme une demande d'emploi, qui remonte à l'école ou de communiquer mieux avec la famille. Ils rencontrent des personnalités qui, à l'insu de ces jeunes, sont des psychologues ou sociologues. Ensemble, ils parlent des problèmes dans ce qui équivaut à un traitement furtif.

    S'ils restent engagés pendant six mois, rencontre avec des mentors plusieurs fois par semaine, ils commencent à recevoir des paiements mensuels entre 1 $ et de 1 000 $, selon leur niveau de participation. Le montant maximum versé est de 9 000 $ au cours de la bourse de 18 mois.

    Le programme a remis $ 70 000 par an, en moyenne, depuis 2010, Boggan dit.

    Comment Boggan et son équipe sait qu'il ne va pas aux médicaments ? Ou des puces ? Ils soutiennent que l'argent est « un outil indispensable, un moyen de garder les enfants engagés assez longtemps pour faire une différence dans leur vie. »

    Bien sûr, ils n'ont aucun moyen de confirmant le scénario contrefactuel, tout comme les banques centrales ne peuvent confirmer que sans les 8 ans de ZIRP, INEP et QE le monde ne serait pas ont crû à un rythme soutenu maintenant. Ils peuvent seulement répéter il jusqu'à ce qu'ils perdent toute crédibilité.

    « C'est controversé, je l'obtiens, » Boggan dit. "Mais ce qui se passe vraiment, c'est qu'ils sont se récompensés pour faire du travail vraiment dur, et c'est un travail difficile précis quand vous parlez de ramasser une arme à feu pour résoudre vos problèmes d'arrêt."

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  10. Oui, vous avez lu ce droit : dans certains segments des États-Unis société il est considéré comme difficile travailler pour « arrêter ramasser une arme à feu pour résoudre vos problèmes. »

    Voici un autre « success story »: Sam Vaughn, principal mentor, est plus direct, tel qu'il est assis derrière le volant d'une berline de ville-émis un matin récent, un quartier à la recherche de ceux qui sont dans le programme de la croisière.

    « Nous ne savons pas où il va, et je ne suis pas sûr que nous voulons toujours savoir où il va, » dit-il. Les gestionnaires de programmes, tels que Vaughn, dire qu'ils espèrent que les jeunes hommes viennent de réaliser que l'argent est mieux dépensé sur les factures et de progrès vers un coffre-fort, la sécurisation des moyens de subsistance. Il propose son propre passé d'un récit édifiant : il a battu un homme dans un état végétatif avec le Canon d'un fusil et purgé 10 ans de prison.

    Vaughn tourne un coin et s'arrête à la vue d'une voiture noire garée devant une rangée de maisons vacantes, criblée de trous de balles.

    Holmes reporte sa fenêtre en voyant Vaughn. Un nuage d'évasions de la fumée de marijuana dans la matinée pluvieuse.

    Jusqu'à présent, l'attention et de l'argent — semble fonctionner pour Holmes. Bien que le $ 1 500, il a reçu depuis l'obtention de la prison l'automne dernier n'a pas conduit à une transformation miraculeuse, il lui a permis de verser un acompte sur son noir 2015 Nissan Versa — quelque chose de signicatif pour un jeune homme qui, pendant de nombreuses années, était sans abri.

    Il passe maintenant des heures chaque jour dans la voiture, circulaient avec des amis, souvent fumer pot mais ne pas de « chasse » — terme de Vaughn pour chercher le conflit avec ses rivaux.

    Sam Vaughn, à gauche et James Houston sont "neighborhood
    agents de changement » avec le Bureau de la sécurité du quartier dans
    Richmond, en Californie, qui s'efforcent de freiner les tournages

    La bonne nouvelle: « Holmes s'installe dans la voiture et ramasse un blunt nouvel est passé un
    mon pote sur la banquette arrière. Il s'arrêta avant l'inhalation. "S'ils le font
    D.C., certainement, je pense qu'il conservera les vols vers le bas,"dit-il."

    Eh bien, c'est clairement un appui retentissant. Malheureusement, il y a une côté laide à cette expérience en pure idiotie :

    Sur une récente journée, restrictions trois des 20 boursiers du programme samedi en prison, accusé d'avoir violé la liberté conditionnelle après que qu'ils se sont réunis avec présumés membres de gangs. L'un d'eux aussi était porteur d'une arme à feu lorsque la police est descendu sur le lieu de rencontre, ce qui signifie qu'il pourrait faire face à une longue peine si reconnu coupable.

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  11. Il y a eu des échecs pires. Quatre des boursiers du programme sont morts depuis 2010, dont deux ont été tués par les autres boursiers, a déclaré Boggan et Vaughn. Les tueurs présumés n'ont pas été inculpés et restent dans le programme.

    « Nous avons encore à faire face à ce collègue, » dit Vaughn. «Parce que qui est pour lui éviter de tuer un autre...? "

    Bien que le programme semble fonctionner en grande partie pour son petit groupe de recrues, ville pour homicides sont en hausse encore une fois, suscitant des interrogations sur son large impact sur Richmond.

    Après avoir atteint un record 11 homicides en 2014, meurtres a presque doublés à Richmond l'an dernier et visent le rythme pour correspondre à ça encore cette année.

    Et Boggan, 49 et Vaughn, 39, disent leur quatrième classe de recrues, plus jeunes que les trois premiers — sont progressent étonnamment lentement et les mentors reconnaissent qu'ils ont un moment plus difficile avec la classe de « jeunes ».

    C'est peut-être la constante fumer du pot acheté avec certains de l'anti-blood money ? Pendant ce temps, Vaughn et autres mentors se réunissent chaque matin pour parcourir les comptes Facebook et Instagram de boursiers, notant les emojis des fusils et des balles et des références aux dernières exécutions pour panneaux de brassage de conflit.

    Et puis vient le moment de la panne totale :

    Deux meurtres au cours du mois — d'un âgé de 14 ans et 15 ans — ont transpercé l'aura du succès. Tous les efforts déployés par les mentors identifier les plus susceptibles d'être pris dans la violence et les aligner sur le programme, ils n'étaient pas au courant d'une des victimes.

    Famille et amis quittent le lieu de sépulture au début du mois de
    un garçon de 14 ans qui a été abattu à proximité.

    Que, toutefois, ne semble ne pas décourager D.C., où la folie sera financée par les contribuables :

    Alors que la stratégie de Californie repose sur des donateurs privés pour financer les allocations et les voyages, le quartier utiliserez probablement environ un demi-million de dollars par an dans l'argent des contribuables.

    Et puis ceci: "Vaughn applaudit le District d'avoir proposé d'utiliser l'argent des contribuables, car dit-il, il donnerait citadins et dirigeants une participation dans la réussite du programme. La preuve de savoir si ça marche on le verra dans le décompte de homicide de la ville, dit-il. »

    Malheureusement, il ne donnera pas les résidents son mot à dire si les dépenses leur dur gagné des taxes sur les tueurs récidivistes de financement sont le meilleur usage du dit que l'argent.

    "Nous n'avons pas tout boursiers modèle — nous ne sommes pas diplômés droit école ici, » dit Vaughn. « Tout nous essayons de faire est d'obtenir ces gars de cesser de tuer les uns les autres. »

    Et « nous » faisons en se livrant à ce qu'a clairement a si bien fonctionné dans l'histoire récente de « Nouvelle normalité »: jeter de l'argent pour résoudre le problème et en espérant qu'il se fixe en quelque sorte.

    http://www.zerohedge.com/news/2016-03-28/america-hits-rock-bottom-cities-are-paying-criminals-1000-month-not-kill

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    1. $1000/mois c'est tout de même beaucoup moins que ce que touchent les terroristes qui entrent en Europe.

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  12. Un haut journaliste allemand admet que les médias traditionnels sont complètement faux: « nous sommes tous de mentir pour la CIA "

    Soumis par Tyler Durden le 28/03/2016 22:40 -0400

    Avec les guerres de propagande croissante, nous avons pensé qu'un rappel de juste comment naïf beaucoup d'occidentaux est quand il s'agit de leur fil de nouvelles. Comme Arjun Walia, de GlobalResearch.ca, notes, Dr Ulfakatte est allé à la télévision publique, affirmant qu'il était obligé de publier le œuvre des agents du renseignement sous son propre nom, ajoutant également que le non-respect de ces ordonnances se traduirait par lui de perdre son emploi.

    Il a récemment fait une apparition sur nouvelles RT de partager ces faits :

    J'ai été journaliste pendant environ 25 ans, et j'ai été éduqué à mentir, trahir et ne pas lui dire la vérité au public.

    Mais voir dès maintenant dans les derniers mois comment la des médias allemands et américains tente de porter la guerre au peuple en Europe, pour porter la guerre à la Russie — il s'agit d'un point de non retour et je vais à se lever et dire il n'est pas juste ce que j'ai fait dans le passé, à manipuler les gens, pour faire de la propagande contre la Russie , et il n'est pas juste ce que mes collègues et l'ont fait dans le passé parce qu'ils sont soudoyés à trahir le peuple, non seulement en Allemagne, dans toute l'Europe.

    Il est important de garder à l'esprit que le Dr Ulfakatte est pas la seule personne que ces prétentions ; plusieurs journalistes ont fait de même et ce genre de véracité est quelque chose que le monde a besoin de plus de.

    Un (parmi tant d'autres) grands exemples d'un reporter de la dénonciation est journaliste d'investigation et ancien journaliste de CBC News Sharyl Attkisson.

    Elle a prononcé un discours percutant de TEDx montrant comment mouvements populaires faux financés par la politiques, entreprises ou d'autres intérêts particuliers très efficacement manipuler et de déformer les messages médiatiques.

    Un autre bon exemple est Amber Lyon, un trois fois Emmy primé journaliste à CC, qui a dit qu'ils sont régulièrement payés par le gouvernement américain et les gouvernements étrangers pour signaler de façon sélective et même fausser les informations sur certains événements. Elle a également indiqué que le gouvernement a un contrôle éditorial sur le contenu.

    Depuis l'Opération Mockingbird, une initiative axée sur la CIA contrôle mainstream media, plus de gens expriment leur préoccupation que ce que nous voyons dans les médias est rien de moins que le lavage de cerveau.

    Cela ressort également par des mensonges flagrants qui continuent à spam l'écran du téléviseur, surtout quand il s'agit de sujets tels que la santé, nourriture, guerre («le terrorisme»), la pauvreté et plus.

    Choses n'ont pas changé, en fait, quand en vient d'intégrer les médias déformant l'information et de dire des mensonges. Ils ont obtenu beaucoup pire ces dernières années, en fait, donc c'est très encourageant que plus de gens commencent à voir à travers ces mensonges, même sans l'aide des dénonciateurs comme Dr. Ulfakatte.

    (suite en dessous:)

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  13. Un bon exemple est la prétendue "guerre contre le terrorisme", ou "le terrorisme sous fausse bannière." Il y a même desdocuments de Wikileaks , faisant allusion au fait que le gouvernement des États-Unis prévu pour "riposter et causer de la douleur" de pays refusant les OGM.

    Intégrer le soutien continuel de médias d'OGM fait rage, malgré le fait qu' un certain nombre de pays est désormais interdire ces produits.

    La liste des mensonges va indéfiniment. Il est temps d'éteindre votre T.V. et faites vos propres recherches si vous êtes curieux de savoir ce qui se passe sur notre planète. Il est temps de se réveiller.
    - voir 3 clips sur site:

    http://www.zerohedge.com/news/2016-03-28/top-german-journalist-admits-mainstream-media-completely-fake-we-all-lie-cia

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