La phagothérapie : une alternative efficace aux antibiotiques
Psychomedia mer., 02 mar. 2016 10:21 UTC
-- Commentaire : La montée en flèche de l'antibiorésistance est un phénomène mondial. La phagothérapie pourrait être d'une aide précieuse dans la lutte contre certaines bactéries surpuissantes, mais comme de bien-entendu, là ou il y a de la guérison, il y a peu de profit, et du danger, pour les laboratoires pharmaceutiques, de voir une partie de leur "clientèle" se détourner des traitements classiques pour s'orienter vers des thérapies efficaces et moins onéreuses. Phagothérapie, cette médecine qui vient de l'Est -- La phagothérapie, qui est l'utilisation de virus, dits bactériophages, pour traiter des infections bactériennes, fait son retour comme alternative potentielle aux antibiotiques pour les bactéries devenues multirésistantes aux antibiotiques comme l'Escherichia coli ou le staphylocoque doré.
Elle a été largement utilisée dans le monde avant la découverte des antibiotiques. Abandonnée par les pays occidentaux, elle est toujours employée et développée dans les pays de l'ancienne Union Soviétique. Le 18 février s'est tenu à l'Assemblée nationale française, un colloque afin de discuter du cadre réglementaire pour réintroduire ces médicaments biologiques.
Ces virus ont une activité plus limitée que les antibiotiques, ne détruisant que certaines souches spécifiques d'une bactérie, mais ne provoquent pratiquement jamais d'effets secondaires graves, explique le Dr Alain Dublanchet qui travaille depuis plusieurs années sur la phagothérapie. Il précise avoir guéri une quinzaine de patients ces dernières années.
Le développement de la phagothérapie se heurte au manque d'intérêt des grands laboratoires parce que les phages sont issus de la nature et donc non brevetables. Quelques start-up commencent néanmoins à s'intéresser à ces bactériophages. Aucun phage n'est encore autorisé chez l'homme en raison notamment de la nécessité de procéder à des essais cliniques qui peuvent prendre de nombreuses années et qui coûtent cher, explique le Dr Jean-Paul Pirnay, de l'hôpital militaire Reine-Astrid à Bruxelles, l'un des rares hôpitaux qui travaillent sur la phagothérapie en dehors de l'ex-bloc soviétique.
Aux États-Unis, les seuls phages commercialisés actuellement sont destinés à protéger les aliments contre des infections bactériennes. L'UE a lancé en 2013 un premier projet, baptisé « Phagoburn » pour tester des phages contre des bactéries résistantes s'attaquant aux plaies de grands brûlés. Sans attendre les résultats de l'essai, l'Agence du médicament (ANSM) a donné une première autorisation de traitement à titre compassionnel en novembre 2015 pour un brûlé grave.
Vous ne vous souvenez déjà plus de Rajendra Pachauri, tant mieux, c’était un sinistre individu grassement rétribué par l’ONU pour ses bons et loyaux services rendus à la cause mondiale du climat entre 2002 et 2015. Durant cette période riche en rebondissements climato-médiatiques Pachauri n’eut de cesse de culpabiliser les habitants de la planète entière car ni moralement ni éthiquement ils ne faisaient le moindre effort pour « sauver » le climat et par conséquent la Terre et ses habitants, y compris les cloportes et les fous de Bassan. Le nom de Pachauri, comme celui d’Al Gore, est devenu synonyme de changement du climat et d’environnement, tous deux nobélisés en 2007 avec une brochette d’autres activistes écologistes.
Pour être propulsé chef de l’IPCC, Pachauri avait une carte de visite et de l’entregent : il fut pendant 30 ans Directeur du fameux (fumeux) Energy and Research Institute (TERI) de New-Delhi et il se comporta en prédateur sexuel auprès de ses collaboratrices usant de sa notoriété mondialement reconnue pour tripoter le postérieur de collaboratrices innocentes souvent âgées d’à peine 20 ans ou d’exiger un baiser sous la menace. Une jeune femme de 29 ans a finalement osé déposer plainte et il faut admirer son courage car en Inde le harcèlement sexuel dans les entreprises est presque toléré. Toujours est-il qu’aujourd’hui Pachauri va devoir rendre compte de ses actes auprès de la justice qui examine un dossier épais de 1400 pages pas très flatteur pour cet individu écoeurant.
Quand la justice indienne a commencé à examiner les courriers électroniques libidineux que Pachauri envoyait à ses collaboratrices celui-ci s’est empressé de déclarer que sa boite mail avait été attaquée par des hackers, qu’il était innocent devant les dieux de l’Olympe hindouiste et que des cyber-criminels voulaient par tous les moyens détruire l’oeuvre immense qu’il avait accompli, pas toujours très honnêtement, pour sauver le climat.
Quand dans n’importe quelle entreprise une personne se plaint auprès de sa DRH d’harcèlement sexuel, la situation est prise très au sérieux. Apparemment, dans ce machin onusien qu’est l’IPCC, du temps du règne de Pachauri le harcèlement sexuel faisait partie du quotidien. O tempora o mores …
Source : Big Pictures News (bigpicnews.com), illustration Wikipedia
Ministre russe de l’Agriculture : merci aux paysans français qui nous ont appris l’autosuffisance
4 mars 2016
Alors que la France connaît une grave crise agricole, RT France a interviewé le ministre russe de l’Agriculture, Alexandre Tkatchev, qui a indiqué qu’avec l'embargo russe, la France avait perdu l’un de ses principaux partenaires sur le plan agricole.
L’embargo russe sur les produits agricoles européens a des répercussions considérables sur le secteur, a déclaré à RT France le ministre russe. Il a évalué les pertes des agriculteurs français à 1 milliard d’euros, soulignant qu’il s’agissait d’un grave coup porté à l’économie française «par ses propres mains». «Cela n’en valait pas la peine», a ajouté Alexandre Tkatchev.
Pour le ministre russe, des secteurs agricoles français comme la production de la viande de volaille, de porc, de fromage ou la production laitière ont subi le pertes les plus lourdes. Par exemple, les fromages français sont remplacés par les fromages biélorusses et suisses. De plus, la Russie développe ce domaine elle-même : des fromageries sont construites. Les premiers résultats sont déjà tangibles : la production de fromage russe a augmenté de 18% en un an et demi.
Encore deux ou trois ans, et on n’aura plus besoin de fromage étranger.
Il existe déjà des produits pour lesquels la Russie est autosuffisante et n’importe plus, a déclaré Alexandre Tkatchev. Il s’agit du blé, du sucre, de l’huile et des pommes de terre. Dans ces secteurs, la Russie ne comptera plus que sur elle-même pour les décennies à venir. En savoir plus : En pleine crise, François Hollande sous le feu des agriculteurs en colère au Salon de Paris (VIDEO)
Interrogé par RT France sur ce qu’il souhaitait dire au public français, le ministre russe de l’Agriculture a remercié les agriculteurs français.
Je veux remercier les fermiers français pour nous avoir donné la possibilité de nous nourrir.
La Russie a construit des centaines de fermes, a créé des milliers d’emplois et envisage l’exportation avec confiance, a confié Alexandre Tkatchev à RT France. «Encore deux ou trois ans de sanctions et nous oublierons le marché européens, comme les produits que nous avons importés historiquement. Le moment est venu de nous déshabituer», a-t-il conclu.
Il est vrai que ceux qui se mettent à travailler en serres s'aperçoivent que leur travail et leurs récoltes ne se limitent pas à 6 mois de l'année mais à 365 jours !
C'est ainsi que sous serres peuvent être aussi élevées des poules dans l'herbe comme bien d'autres animaux ! Et, lorsqu'il fait froid dehors, qu'il pleut, qu'il vente ou qu'il neige, la production est totalement différente.
Les Suisses retirent leur demande d’adhésion à l’UE
Mylène Vandecasteele 3 mars 2016
Le parlement suisse vient de décider le retrait de sa candidature à l’adhésion de l’UE datant de 1992, à l’époque où elle n’était encore que la Communauté Economique Européenne (CEE), rapporte le Daily Mail. Le Conseil national a accepté par 126 voix contre 46 la motion de Lukas Reimann du parti d’extrême droite UDC, le plus grand parti du pays, qui réclamait ce retrait.
Reimann a expliqué qu’il était “grand temps” de prendre cette décision, alors que le pays est en conflit avec la Commission européenne au sujet d’une restriction de la liberté de mouvement.
La Suisse n’a jamais été un membre de l’UE mais elle profite du libre commerce avec les membres du bloc depuis les années septante du siècle dernier. Elle est également membre de la zone Schengen, et depuis un traité signé en 1999, les citoyens suisses et les citoyens des Etats-membres de l’UE ont la possibilité de se déplacer librement entre les deux territoires.
Cependant, en 2014, au cours d’une votation, les Suisses se sont prononcés en faveur de la mise en place de quotas d’immigration pour les résidents de l’UE, impliquant une renégociation de l’accord bilatéral sur la libre circulation des personnes. Bruxelles a refusé d’accéder à cette demande, et le torchon brûle entre les deux parties à ce sujet depuis cette époque.
Le peuple suisse avait déjà rejeté la demande d’adhésion En 1992, peu après que le pays avait sollicité son adhésion à la CEE, le peuple suisse l’avait rejetée au cours d’un référendum, ce qui avait invalidé la demande. Cependant, le Conseil fédéral n’avait jamais procédé à son retrait officiel. L’UE n’intègre pas la Suisse dans la liste des pays candidats à l’adhésion européenne.
La Suisse, qui compte 8 millions d’habitants, est l’un des pays européens avec la plus forte proportion d’étrangers sur son territoire par tête.
Le Sénat devrait se prononcer sur la décision du retrait de la demande d’adhésion à l’UE dans quelques mois.
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Décryptage du système économique global [2/7] : Géopolitique du libre-échange
Le long cheminement du nouvel ordre mondial
Par Valérie Bugault le 21 février 2016
Introduction Le libre-échange est la déclinaison du principe plus vaste de liberté du commerce. Il s’agit donc d’un concept commercial mis en pratique par des entreprises de type capitalistiques.
Sous couvert de liberté du commerce, le libre-échange a pour conséquence la mise en concurrence, au niveau international, de toutes les entreprises du monde. Il en résulte, de façon inéluctable, la disparition des petites et moyennes entreprises au profit des multinationales économiquement plus performantes, en raison non pas de leur efficacité de fonctionnement, mais de leur poids sur les différents marchés. En d’autres termes, le libre-échange favorise concrètement sur toute la planète la prédation économique des agents les plus faibles par les plus gros d’entre eux, c’est-à-dire la concentration des capitaux. En raison de l’extrême prévisibilité de cette conséquence du libre-échange, on peut en déduire qu’elle est, en réalité, l’objectif inavoué du principe en question.
Ainsi, la liberté du commerce via le libre-échange n’a pas pour vocation de servir mais au contraire d’asservir – la concurrence faussée et débridée aidant – les petits commerçants. La liberté du commerce au moyen du libre-échange n’a pas non plus pour vocation de servir les intérêts du citoyen en occasionnant une baisse générale des prix puisque la concentration des capitaux, qui lui est consubstantielle, s’y oppose fondamentalement. La liberté du commerce par le libre-échange ne sert finalement les intérêts que d’un seul maître : la petite caste qui détient les principaux capitaux du monde. Caste qui a consciencieusement organisé, à la faveur de sa mainmise sur l’organisation bancaire – permettant l’organisation et l’entretien de crises bancaires et financières 1 – et commerciales du monde, l’accaparement de la majeure partie des biens matériels de cette planète.
Nous analyserons l’historique du mouvement de libre-échange (I) avant d’examiner en quoi il s’analyse en une négation du concept d’État (II) et quelle méthodologie il suit (III).
I) Historique du libre-échange Au niveau français : Le pilier fondateur du libre-échange, qui est aussi le premier acte de son avènement mondial, se situe formellement en 1791 en France, année qui a vu naître à la fois le décret d’Allarde (des 2 et 17 mars 1791) et la loi Le Chapelier (14 juin 1791).
Le décret d’Allarde, officiellement paré des vertus de la liberté, a supprimé les corporations, qui n’étaient rien d’autres que des associations réglementant dans chaque ville les personnes exerçant le même métier. Il s’agissait déjà de la suppression des barrières non tarifaires, c’est-à-dire réglementaires, mais à l’intérieur du territoire français.
La loi Le Chapelier, elle aussi parée des merveilleuses vertus de la liberté, a interdit les organisations ouvrières, notamment les corporations de métiers mais aussi les rassemblements paysans et ouvriers ainsi que le compagnonnage ; elle ne visait en revanche ni les clubs patronaux, ni les trusts et ententes monopolistiques qui ne furent jamais inquiétés.
Les deux nouveautés législatives que sont le décret d’Allarde et la loi Le Chapelier, au tout premier plan des avancées révolutionnaires, sont en réalité le premier pas vers ce que nous appelons aujourd’hui le libre-échange.
Au niveau européen :
S’agissant des institutions européennes, l’idéologie du libre-échange se déroule selon la chronologie suivante :
Le traité de Rome du 25 mars 1957 instituant la CEE : la libre circulation des capitaux, formellement inscrite, n’est pas encore effective.
La directive du Conseil européen dite Delors-Lamy de 1988 prévoit la libéralisation complète du marché des capitaux pour 1990.
Le Traité de Maastricht (1992) puis les articles 32, 45, 49 à 55 et 63 du TFUE 2 (liberté de circulation des marchandises, des travailleurs, liberté d’établissement et liberté de circulation des capitaux), issus du traité de Lisbonne – ratifié par la France moyennant une forfaiture politique – terminent au niveau européen le travail commencé en France en 1791 en imposant la liberté totale pour les groupes étrangers de s’installer sans limite sur des territoires européens qui ne protègent plus leurs ressortissants.
Il faut ici remarquer que l’institution européenne, qui a historiquement débuté en 1952 par la création d’un vaste marché du charbon et de l’acier (CECA), se termine par l’avènement d’institutions (Union européenne) à la solde des multinationales et par la disparition corrélative de la notion d’État en tant qu’entité politique – en raison de la disparition de toute souveraineté étatique; l’État est remplacé par des institutions supra-nationales fondamentalement indépendantes des peuples.
Au niveau international :
Au niveau international, l’année 1947 constitue le second acte, le second pilier fondateur, de la progression technique du libre-échange. Les accords internationaux du GATT mettent en place dès 1947 la matrice d’un commerce international fondé sur le libre-échange. Il aura néanmoins fallu attendre les accords de Marrakech de 1994 pour voir arriver l’OMC, qui instaure véritablement un ordre du libre-échange au niveau international. Il faut noter que la création de ce nouvel ordre international arrive presque en catimini car il résulte d’une simple annexe à l’acte final du Cycle de l’Uruguay.
La mise en œuvre de l’organisation économique mondiale autour du libre-échange avait initialement prévu d’être intégrée aux accords de Bretton Woods 3. Cependant, des désaccords ayant engendré un contre-temps, ce projet commercial de grande ampleur ne vit réellement le jour qu’à l’occasion de la création de l’OMC.
Une fois l’organisation mondiale du commerce (OMC) en place, les accords de libre-échange se sont mis à fleurir un peu partout sur la planète.
Les grands marchés transpacifique et transatlantique :
La réalisation et l’unification des grands marchés transatlantique – dont les négociations vont bon train – et trans-pacifique – signé le 4 février 2016 4 – constituera l’ultime étape de l’avènement du commerce comme ordre sociétal supérieur mondial.
Le grand marché transatlantique est matérialisé par divers accords de libre-échanges (TTIP/TAFTA, CETA/AECG, TISA) qui, ajoutés au grand marché trans-pacifique, seront, si la méthode appliquée à la création de l’Union européenne est suivie – ce qui est plus que probable compte tenu du succès rencontré –, le marchepied à l’avènement d’un traité plus vaste instaurant des institutions chargées de réguler le monde.
Du point de vue de la méthode, l’oligarchie prédatrice aura alors, pas à pas, amené les différents pays du monde au Nouvel Ordre Mondial (NOM) tant attendu. La technique utilisée par les partisans et auteurs du mondialisme est toujours la même : faire en sorte que la marche suivante soit rendue nécessaire par celle qui la précède. Il semble superfétatoire de préciser que le NOM est attendu, non pas par les peuples, mais bien par l’oligarchie transnationale d’origine anglo-saxonne 5, oligarchie qui a pris le pouvoir politique en Occident en utilisant méthodiquement la monnaie et le commerce 6, dont le libre échange est la composante essentielle, comme armes de domination politique. L’ordre militaire étatique, les milices privées et les guerres restent soit des moyens de secours, lorsque la domination politique par l’économie a échoué, soit des moyens pour imposer la domination économique à des dirigeants politiques récalcitrants.
Le contexte politique du marché transatlantique : les pouvoirs exécutifs européens contre leurs citoyens
Le Congrès américain avait voté, en juin 2015, des pouvoirs accrus au président Obama afin de lui permettre de conclure rapidement des accords commerciaux avec la région Asie-Pacifique et l’Union européenne ; mission aujourd’hui pleinement accomplie par ce président docile pour ce qui concerne l’Asie-Pacifique.
Concernant le marché transatlantique, les dirigeants français 7 et allemand 8 se déclarent très pressés de mettre un terme aux négociations en cours qui n’ont, de leur point de vue, que trop retardé la signature de ce marché. Les dirigeants occidentaux – gouvernements et commission européenne 9 – s’avèrent en effet extrêmement motivés pour arriver le plus tôt possible à l’étape de la signature ; leur objectif ultime 10 étant d’arriver à faire entrer en vigueur ce grand marché sans passer par l’accord des parlements, nationaux et européen, considérés comme trop lents et peu fiables. Signalons en effet qu’en raison d’une mobilisation citoyenne sans précédent, le Parlement européen a déjà reporté son vote sur ce sujet. Jamais la signature d’accords internationaux n’aura autant mobilisé un public très majoritairement hostile à ces traités 11.
II) Le libre-échange est une négation du concept d’État
Attardons-nous un instant sur le contenu modèle des traités de libre-échange instituant ces grands marchés.
Les barrières tarifaires – c’est-à-dire les droits de douane – et non tarifaires – c’est-à-dire toutes les réglementations protectrices des consommateurs et des citoyens – devront céder face à la sacro-sainte loi de l’investissement et des marchés.
Sous l’empire du libre-échange, aucune législation de juste prévention ou de simple précaution ne pourra plus voir le jour car elle constituera un obstacle aux investissements – plus ou moins audacieux – des grands cartels de l’agro-alimentaire et de l’industrie pharmaco-chimique. Concrètement, place doit être au faite au tout transgénique, aux élevages inhumains et intensifs d’animaux mal nourris et gavés d’antibiotiques (farines animales à des ruminants etc.), aux conditions de conservation douteuse des viandes et poissons (poulets chlorés), aux terres agricoles asphyxiées par les engrais et autres pesticides (dont le fameux round-up descendant direct du défoliant agent orange abondamment répandu au Vietnam par les Américains), à l’utilisation d’huiles impropres à la consommation dans la restauration et l’alimentation humaine etc.
Le libre-échange conduit à faire renoncer les États à une partie substantielle de leurs ressources fiscales – et donc de leur capacité budgétaire – ainsi qu’à leur prérogative régalienne d’édicter des règles générales – puisqu’il leur devient interdit d’édicter toute réglementation protectrice de leurs ressortissants. Ce programme est réalisé par les États dans l’objectif de favoriser, sur leurs territoires, l’implantation de multinationales détenues par quelques personnes.
Dans ce contexte, le libre-échange organise le sabordement, par l’État lui-même, du principe politique étatique. L’objectif du libre-échange est, ni plus ni moins, de voir les États supprimer eux-mêmes leur utilité publique ; ultime raffinement de l’oligarchie qui organise le suicide des États par l’anéantissement de leurs prérogatives régaliennes. En effet, une fois acquise la disparition de la fonction protectrice de l’État, son rôle et sa fonction en viennent tout naturellement à pouvoir être mis en cause – en premier lieu par ceux-là même qui ont organisé son affaiblissement. Une expression française reflète parfaitement cette stratégie politique : «Qui veut tuer son chien dit qu’il a la rage.»
Par ailleurs et pour s’assurer du respect des principes proclamés, le modèle des traités de libre-échange organise une clause, dite de règlement des différends, qui sanctionne la non-application par les États desdits principes.
La clause de règlement des différends incluse dans le modèle des traités de libre-échange donne aux multinationales le droit d’attaquer en justice les États qui auront eu l’audace d’édicter des réglementations protectrices dont l’effet secondaire serait de réduire ou annuler l’espoir de gain résultant d’un investissement fait par des multinationales.
A propos de cette clause particulière incluse dans le TTIP : pour faire bonne figure devant la levée de boucliers populaires, Cecilia Malmström, la négociatrice pour l’Union Européenne – commissaire européenne en charge du commerce –, envisage de transformer la cour d’arbitrage initialement prévue pour le règlement des différends en tribunal public. Un tribunal public permanent, payé par les con-tribuables européens, serait donc chargé de punir les États qui auront adopté des réglementations protectrices de leurs ressortissants dont l’effet aura été de réduire l’espoir de gain suscité par un investissement. Voilà l’avancée démocratique proposée par l’UE : remplacer une Cour d’arbitrage rémunérée par les parties en cause – entreprise et État – par un «tribunal d’investissement public» intégralement payé sur financement public – c’est-à-dire intégralement payé par les con-tribuables – pour protéger les investissements privés des multinationales. Belle rhétorique des mondialistes !
Le libre-échange est synonyme de «point de droit autre que celui de faire commerce illimité et sans condition de tout et partout» – produits et organes du corps humain inclus – permettant de facto, en raison de la disparition des contre-pouvoirs, l’empoisonnement de l’air, des sols et des aliments par les pesticides et autres productions du très puissant conglomérat pharmaco-chimique.
Le commerce et le libre-échange ne peuvent exister que débarrassés des barrières chargées de réguler le commerce et d’éviter l’accaparement. Dans ce contexte, les nations et leurs institutions apparaissent comme de potentiels freins à l’expansion du commerce tout azimut. Les États et leurs institutions, derniers remparts des peuples, ont – par la loi du libre-échange – vocation à disparaître du paysage politique qui deviendra vierge de tout corps constitué autre que par et pour servir l’oligarchie, laquelle est déjà officieusement au pouvoir.
La finalité du libre-échange est d’être fatal à la démocratie, à la liberté des peuples à disposer d’eux-mêmes, à la liberté individuelle et à la propriété privée pour tous. C’est l’oligarchie à la manœuvre qui profitera, à la faveur de l’illusion, savamment entretenue, de la liberté du commerce pour tous – les mondialistes sont d’incontestables maîtres en rhétorique – de la disparition des contre-pouvoirs étatiques.
Le libre-échange suppose conceptuellement une prise de pouvoir définitive des corps économiques constitués sur les institutions politiques contrôlées par les citoyens. Il est, en réalité, la mise en œuvre, par les élites capitalistiques, d’un objectif géopolitique de domination politique globale. Autrement dit, le libre-échange, élevé au rang de religion, est utilisé par l’oligarchie comme une arme, redoutablement efficace, de destruction des États, des nations, des peuples et des individus. Il sert en réalité les intérêts de la caste des acteurs dominant l’économie mondiale, dont l’ambition ouverte est d’instaurer une ploutocratie mondiale.
Le pouvoir sans contre-pouvoir, c’est-à-dire le pouvoir absolu, est l’essence même du libre-échange, c’est aussi la définition de la dictature 12. Il en résulte que l’avènement du nouvel ordre mondial (NOM) ne sera rien d’autre que la résurgence au niveau mondial du système féodal : un nouveau système de dépendance et d’asservissement fondé sur la domination monétaire et commerciale, c’est-à-dire le contrôle du monde par les quelques acteurs qui dominent l’économie mondiale.
La liberté révolutionnaire du commerce, faussement proclamée pour tous, a été, est et sera en définitive le plus sûr moyen de tuer la liberté politique, civile et patrimoniale du plus grand nombre.
Une fois la finalité du libre-échange clairement précisée, intéressons-nous à la raison qui a permis l’émergence d’un principe aussi ouvertement scélérat.
III) L’opacité et la corruption comme méthodologie du libre-échange
Le libre-échange est indéfectiblement lié à une utilisation massive, voire institutionnelle de la corruption ; il s’accompagne de la suppression des débats publics et d’une corruption de grande ampleur des décideurs politiques.
Un exemple canadien, bien qu’ancien, est à cet égard parfaitement instructif. Il laisse apparaître sans aucun doute possible que le libre-échange s’accompagne en coulisse, derrière les beaux et lénifiants discours officiels sur la liberté, d’une volonté puissante de domination et d’une corruption généralisée des élites politiques.
L’anecdote particulièrement significative des objectifs réels du libre-échange, a été rapportée par David Orchard dans son ouvrage Hors des griffes de l’aigle. Quatre siècles de résistance canadienne à l’expansionnisme américain, concernant les visées américaines sur l’État canadien.
Dans cet ouvrage, l’auteur cite le rapport au département d’État américain fait le 13 mai 1854 par un certain Isaac Andrews, agent secret des États-Unis d’Amérique : «Dans le but d’aider les mouvements partisans de l’annexion et du libre-échange au Canada, j’ai versé 5 000 dollars à un rédacteur de journal, 5 000 dollars à un procureur général, 5 000 dollars à un inspecteur général et 15 000 dollars à un député de l’assemblée du Nouveau-Brunswick. J’ai pris par conséquent les mesures qu’exigeait la situation au Nouveau-Brunswick afin de modérer l’opposition et de tranquilliser l’opinion publique. J’ai réussi à me rendre à […] avant la fin de la session de l’assemblée législative du Nouveau-Brunswick et ainsi éviter tout débat sur la proposition de traité de libre-échange à l’étude ou sur toute autre mesure législative néfaste. J’ai déversé plus de 100 000 dollars pour convaincre d’éminentes personnalités d’appuyer l’annexion du Canada par les États-Unis ou, sinon, le libre-échange avec les États-Unis. Mais cette somme n’est rien en comparaison des privilèges qui vont être obtenus de façon permanente et du pouvoir et de l’influence que cela donnera à jamais à notre Confédération.»
Le fonctionnement de l’Union européenne, institution fondée par et pour le libre-échange, est une autre illustration de l’utilisation massive, institutionnellement admise, de la corruption des décideurs publics par les firmes multinationales ; cette corruption porte le doux nom anglais de lobbying. En Union européenne, le pouvoir législatif est entre les mains de décideurs non élus, les commissaires européens, adoubés par les pouvoirs exécutifs européens et d’autres institutions comme le CFR – qui promeut la consolidation économique du monde en blocs régionaux. La Commission européenne est, par construction, toute acquise à la cause oligarchique.
Plus récemment, les conditions de secret qui entourent la gestation du grand marché transatlantique est une autre manifestation de la vaste entreprise d’opacité, visant à court-circuiter les institutions politiques des États, qui accompagne de façon structurelle le libre-échange. Les élus d’Europe n’ont qu’un accès tardif et réduit aux négociations du grand marché transatlantique, qui ne supportent aucun réel débat public. L’accès aux documents de travail des élus n’est possible que dans des conditions extrêmement surveillées 13. Les parlementaires allemands ayant, sans surprise, davantage accès auxdits documents que les parlementaires des autres États, tout en ayant une interdiction formelle de les photocopier 14.
Conclusion : de la liberté du commerce à la disparition de la civilisation
Le libre-échange organise au niveau mondial un pur schéma de prédation économique qui a tôt fait de se transformer en prédation politique, géopolitique et civilisationnelle. Cette prédation ultime est une conséquence mécanique de la prédation économique qui génère spontanément une énorme concentration de capitaux. Les très grandes entreprises, dirigées par leurs actionnaires majoritaires, prennent le contrôle institutionnel des États au moyen du libre-échange.
Le champ d’action de la liberté totale du commerce, compris comme la domination géopolitique de la caste des grands capitalistes, n’est plus, aujourd’hui, limitée que par les seules connaissances techniques et scientifiques ; elle se développe et progresse à mesure que progressent ces dernières. Ainsi, alors que la société commerciale permet de faire commerce de tout type de biens, licites ou illicites, elle permet aujourd’hui d’intégrer au commerce non seulement le corps humain mais aussi et surtout les produits et parties de celui-ci, remettant fondamentalement en cause la notion d’intégrité du corps humain. L’objectif à peine inavoué des principaux capitalistes à l’œuvre paraît bien être la possession de l’éternité, qui justifie les énormes capitaux investis – notamment par une entreprise comme Google – dans le projet transhumaniste.
Au-delà de la destruction des États, la liberté totale du commerce a pour conséquence sociologique d’engendrer une déstructuration profonde des sociétés humaines traditionnellement fondées sur un ancrage géographique et sur l’affection filiale et intergénérationnelle. Elle a également pour effet – à moins que ce ne soit un objectif ? – de détruire l’intégrité du corps humains, ravalant l’Homme au rang de bien matériel. Le libre-échange préfigure un monde dans lequel les classes financièrement inférieures seront reléguées au rang de fournisseur de pièces de rechange corporelles pour les plus riches.
Au bout du chemin du libre-échange il y a non seulement la disparition des États nations mais encore, et surtout, l’asservissement généralisé, voire même, un pas plus loin – si l’on en croit les indications du Georgia Guidestones – la disparition d’une bonne partie des populations vivant sur terre.
Cette voie, toute tracée pour nous par l’oligarchie à la manœuvre, n’est pas inéluctable. Nous verrons plus tard 15 que ce projet de domination planétaire, entièrement fondé sur la notion d’entreprise, peut être stoppé par une simple appropriation juridique par les États du concept d’entreprise. En d’autres termes, la survie – de la liberté et de l’humanité – suppose que l’entreprise de type capitalistique réintègre le corps social, dont elle a – grosso modo depuis la Révolution française – émergé comme une tumeur cancéreuse sur un organe sain. Un tel retournement des choses aurait pour effet de remettre le fait économique dans le giron du fait politique et de rendre à la notion d’État ses lettres de noblesses. Quel État, quel chef d’État, en sera capable ?
Valérie Bugault est Docteur en droit, ancienne avocate fiscaliste, analyste de géopolitique juridique et économique
À Suivre… Vendredi prochain même heure jusqu’en avril Notes 1. Lire à cet égard les articles à venir sur la géopolitique des banques centrales ainsi que celui qui sera consacré au fonctionnement des banques et des entreprises ? 2. Traité sur le Fonctionnement de l’Union européenne ? 3. http://lewebpedagogique.com/grunen/accords-de-bretton-woods-22-juillet-1944/ ; http://abc.economie.free.fr/gratuit/brettonwoods.html ? 4. http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/10/05/partenariat-transpacifique-un-accord-entre-les-etats-unis-et-onze-pays_4782836_3234.html ; http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2016/02/04/97002-20160204FILWWW00001-l-accord-de-partenariat-transpacifique-signe.php ? 5. Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine, de Carroll Quigley, publié aux États-Unis en 1981 et traduit en français cette année, avec une préface de Pierre Hillard ? 6. Lire nos articles concernant la géopolitique des banques centrales et le fonctionnement des entreprises et des banques ? 7. http://www.euractiv.fr/section/commerce-industrie/news/francois-hollande-veut-accelerer-les-negociations-commerciales-avec-les-etats-unis/ ; http://reporterre.net/La-mobilisation-contre-le-Traite ? 8. http://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20150305triba7dc96c4a/ttip-merkel-veut-signer-avec-les-etats-unis-en-2015.html ? 9. http://www.latribune.fr/opinions/blogs/vu-de-bruxelles/cecilia-malmstrom-une-infirmiere-au-chevet-du-ttip-475734.html ? 10. Voir par exemple : https://stoptafta.wordpress.com ? 11. http://fr.novopress.info/191459/25-millions-signatures-contre-tafta-poubelle/ ; http://www.marianne.net/susan-george-32-millions-signatures-contre-tafta-c-est-premiere-europe-100237158.html ; http://www.upr.fr/actualite/monde/tafta-l-upr-lance-une-grande-petition-pour-demander-a-francois-hollande-l-organisation-d-un-referendum ; http://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/europe-etats-unis-pourquoi-le-traite-tafta-ne-verra-pas-le-jour-en-2015_1643110.html ? 12. La dictature est, selon le dictionnaire Larousse, un «régime politique dans lequel le pouvoir est détenu par une personne ou par un groupe de personnes qui l’exercent sans contrôle, de façon autoritaire». ? 13. https://stoptafta.wordpress.com/2016/01/07/acces-des-eurodeputes-aux-documents-de-negociation-sur-le-tafta-ttip/ ; pour l’accès limité aux parlementaires français : http://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/arret-des-negociations-du-tafta-le-double-jeu-de-la-france_1720112.html ? 14. http://danielleauroi.fr/?p=10599 ; http://fr.sputniknews.com/opinion/20160127/1021251518/tafta-allemagne-documents-secrets.html ? 15. Les articles à suivre concernant la géopolitique de l’entreprise (parties 5 et 6)
L’Italie est maintenant le plus grand exportateur de vin du monde
Reeva Verlinden 4 mars 2016
En 2015, l’Italie est devenue le plus grand exportateur et producteur de vin mondial et les Etats-Unis, le plus grand consommateur de vins italiens. « Aujourd’hui, une bouteille exportée sur 5 vient d’Italie, le plus grand exportateur du monde », indique l’association agricole italienne Coldiretti dans un communiqué.
Le pays a exporté pour un chiffre record de €5 milliards, une augmentation de 575% en 30 ans, dit l’étude, qui a examiné comment le secteur s’était récupéré suite au scandale du méthanol en 1986, qui avait fait 23 morts, et rendu d’autres personnes malades sur le plan neurologique, ou aveugles.
L’association rappelle que l’image des produits italiens était alors gravement compromise, mais que cela avait aussi été le point de départ d’une révolution ayant permis à l’Italie de conquérir la première place.
Les appellations
L’amélioration forcée de la qualité du vin a provoqué l’augmentation des appellations, qui sont maintenant classifiées selon les labels de qualité: DOC pour Denominazione di origine controllata (‘appellation d’origine contrôlée’), DOCG pour Denominazione di Origine Controllata e Garantita (‘appellation d’origine contrôlée garantie’), ou IGT pour Indicazione Geografica Tipica (‘Indication Géographique Typique’).
Le premier pays consommateur de vins italiens, les USA, a importé pour €1,3 milliards en 2015, 13% de plus qu’en 2014, rétrogradant l’Allemagne en seconde position et la Grande-Bretagne en troisième.
La demande de Chianti et de Barolo continue d’augmenter en Chine, qui a importé pour €80 millions de vins italiens (18% d’augmentation), alors que le marché japonais augmentait de 2%.
En octobre, l’International Organisation of Wine avait consterné la France en annonçant que l’Italie était devenue le plus grand producteur de vin, détrônant les producteurs de l’hexagone.
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Zika : le lien entre le virus et la microcéphalie scientifiquement établi
L'Express ven., 04 mar. 2016 05:13 UTC
-- Commentaire : Reprise d'un commentaire précédent, avec modification.
Nous apprenons que Zika peut-être le déclencheur de certaines maladies, dans certaines conditions. Ils se trouve que ces maladies font aussi partie des effets secondaires générés par les vaccins : épilepsie, schizophrénie, TDHA, autisme, syndrome Guillain-Barré. Il serait intéressant de faire un comparatif entre les campagnes classiques de vaccination des populations, les zones ou le virus sévit, et l'apparition des maladies mentionnées ci-dessus... Selon une étude étouffée, les vaccins activent les maladies auto-immunes - Zika : cui bono ? - Virus Zika : les moustiques génétiquement modifiés à la base de l'épidémie ? - Zika, moustique OGM : petites expérimentations entre amis ?-- Au Brésil, Matheus et Kleisse s'occupent de leur fils de deux mois, Pietro, atteint de microcéphalie Une étude, publiée ce vendredi, établit la preuve d'un lien, jusqu'alors soupçonné, entre le virus Zika et la microcéphalie du fœtus.
Zika attaque et détruit des cellules cérébrales humaines en développement, ont démontré des chercheurs en laboratoire, établissant la première preuve scientifique d'un lien entre ce virus et la microcéphalie du fœtus, selon une recherche publiée vendredi. Jusqu'alors, cette relation de cause à effet n'avait pas été prouvée scientifiquement, mais le virus était fortement soupçonné d'être à l'origine des nombreux cas de microcéphalies - une taille anormalement petite du crâne et du cerveau des nouveau-nés - observés en particulier au Brésil où sévit l'épidémie. Cette malformation, grave et irréversible, se caractérise par une taille anormalement petite du crâne et du cerveau des nouveau-nés.
Près d'un tiers des cellules détruites
Les chercheurs ont travaillé avec des cellules souches humaines cultivées in-vitro, et leur résultat a été publié dans la revue américaine Cell Stem Cell. Ils ont déterminé que le virus infecte de façon sélective les cellules souches qui forment le cortex cérébral les empêchant de se diviser normalement pour former de nouvelles cellules ce qui entraîne leur destruction. "Les études menées sur des fœtus et des nouveaux-nés atteints de microcéphalie dans les zones géographiques touchées par l'infection de Zika, avaient mis en évidence des anomalies dans le cortex et le virus avait aussi été découvert dans des tissus fœtaux", relève dans un communiqué Guo-li Ming, professeur de neurologie à L'Institut d'ingénierie cellulaire à l'Université John Hopkins dans le Maryland, co-auteur de cette étude.
Pour ces expériences, les scientifiques ont exposé trois types de cellules humaines au virus Zika. Comme anticipé, le virus Zika a attaqué les cellules neuronales progénitrices humaines et après trois jours, 90% étaient infectées et près d'un tiers ont été détruites. Certaines cellules infectées ont été aussi utilisées par le Zika pour produire de nouvelles copies de lui-même. De plus, les gènes qui normalement se mobilisent pour combattre des agents viraux envahisseurs n'ont pas fonctionné ce qui est très inhabituel, soulignent ces scientifiques.
En revanche, les deux autres types de cellules humaines testés dans cette expérience de laboratoire (cellules-souches et neurones) ont largement été épargnées par le virus.
Vers un dépistage rapide de l'infection?
"Nos résultats démontrent clairement que le Zika peut directement infecter les cellules neuronales progénitrices humaines in vitro....avec une grande efficacité", conclut l'étude. "Maintenant que nous savons comment ces cellules neuronales formant le cortex cérébral sont vulnérables au Zika, elles pourraient aussi être utilisées pour un dépistage rapide de l'infection et mettre au point de nouvelles thérapies potentielles", explique Hongjun Song, également chercheur de l'Institute for Cell Engineering et co-auteur de l'étude.
En dehors du fœtus, le Zika lui-même, transmis le plus souvent par la piqûre d'un moustique, ne présente pas de danger, provoquant dans le pire des cas des symptômes de rhume ou de légère grippe, passant même parfois inaperçu. Mais avec sa propagation rapide dans plus d'une quarantaine de pays, surtout l'Amérique du Sud et les Caraïbes, on le suspecte d'être responsable du nombre inhabituellement élevé des cas de microcéphalie et d'autres syndromes graves, en particulier le syndrome de Guillain-Barré qui attaque le système nerveux.
A ce jour au Brésil, pays le plus touché par l'épidémie, 583 cas de microcéphalie ont été confirmés depuis octobre 2015, soit quatre fois plus que la moyenne annuelle historique. Vendredi, des scientifiques en Colombie ont fait part du premier cas de microcéphalie lié au Zika, selon la revue britannique Nature.
Soumis par Tyler Durden le 04/03/2016 20:05 -0500 Via SchiffGold.com,
Dans son plus récent caméscope or pour SchiffGold, Albert K Lu a interviewé John Rubino, fondateur de DollarCollapse.com. Rubino avait un assez convaincante explication de pourquoi il n'a pas été un énorme, a subi un effondrement économique il y a dix ans, et pourquoi il pense que c'est toujours TAPI à l'horizon.
« La raison pour laquelle nous sommes toujours là, quand nous vraiment devrions avoir sont effondrées basé sur combien dette il était là-bas et diverses autres mesures d'instabilité, est qu'une presse d'imprimerie s'est avéré être un excellent outil pour tromper les gens. »
Rubino a souligné que c'est la première fois dans l'histoire humaine que tous les gouvernements du monde sont armés avec une presse d'imprimerie de monnaie fiat pratiquement illimitée. La capacité de créer l'argent hors de l'air a permis aux gouvernements de prendre sur la dette plus que tout le monde imaginé possible. Rubino a noté que les économistes il y a 20 ans ne pouvait pas imaginer $ 7 billions d'obligations négociées à des taux d'intérêt négatifs et la dette mondiale à 300 % du PIB mondial, mais c'est là où nous sommes aujourd'hui. Il a poursuivi en expliquant comment le monde entier a pour aider les réserve fédérale Gardez les choses boitant après la crise de 2008. Par exemple, poste 2009, la Chine a emprunté plus d'argent que n'importe quel pays a jamais emprunté dans l'histoire.
Rubino dit il n'y a aucun moyen de savoir quand l'économie va frapper le mur, mais il sera probablement très bientôt. à un certain moment les banques centrales et gouvernements vont manquer de la capacité d'emprunter et d'imprimer, et ils devront repartir vivre selon leurs moyens.
Selon Rubino, il va y avoir une transition douloureuse. Donc, ce que cela signifie pour or? Lu et Rubino partagent leurs idées.
Suivre la transcription complète :
Albert : Tempêtes or vers le haut comme des actions américaines luttent pour étendre la strie. Salut, je suis Albert Lu, Bienvenue à SchiffGold. Qu'était un titre hors de MarketWatch et alors que la crise financière mondiale continue, l'intérêt en or semble croître. L'or est près de 16 % cette année, et que nous approchons de la réunion de mars de la Fed, c'est plus encore et plus que cette hausse des taux attendue pourrait être hors de la table. Me rejoindre maintenant est John Rubino, qui gère également les DollarCollapse.com et il est le co-auteur, l'effondrement du Dollar et comment, au Profit d'elle, ainsi que beaucoup d'autres beaux livres. John, Merci pour se joindre à moi aujourd'hui. Comment vas-tu?
John: bon, Merci de m'avoir sur, Albert. Bien de te parler.
Albert: bon d'en parler à toi, Jean. Je dois vous demander, tout d'abord, quand vous êtes sorti et a obtenu de ce domaine, dollarcollapse.com, vous pensiez à un bail de deux ans ?
John: Oui, j'ai effectivement attendiez-vous ce concert particulier pour durer juste quelques années puisqu'il s'agissait de 2004 lorsque j'ai créé le site original de dollarcollapse.com. Et il ne semblait pas vraiment comme si le système financier mondial était au bord du précipice. J'ai pensé la chronique de notre descente dans le chaos financier pour une couple d'années et ensuite passer à autre chose. Mais l'histoire s'est avéré avoir des jambes. Nous avons gardé il ensemble plus ou moins de manières que je ne m'attendais que nous soyons en mesure de. Et que la raison pour laquelle nous sommes encore, lorsque nous vraiment devrions avoir sont effondrées basé sur combien dette il était là-bas et diverses autres mesures d'instabilité, voici qu'une presse d'imprimerie s'est avéré être un excellent outil pour tromper les gens. C'est la première fois dans l'histoire humaine que tous les gouvernements du monde sont armés avec essentiellement une fiat illimitée monnaie imprimerie. Et alors, il leur a permis d'assumer plus de dettes que semblait réalisable basé sur l'histoire. Et de manipuler les taux d'intérêt à des niveaux que je ne pense pas que qui que ce soit vraiment prévu. Nous sommes dans un monde de taux d'intérêt négatif maintenant, ou nous entrons dans l'il. Et si vous avait passé 20 ans en arrière et a demandé 100 économistes si le monde n'a pas été possible, ils l'ont dit, "non, pas moyen. Vous n'aurez jamais de $ 7 billions d'obligations à taux d'intérêt négatifs, et vous n'aurez jamais la dette mondiale à 300 % du PIB mondial ; C'est tout simplement pas possible. » Et pourtant nous sommes ici. Mon sentiment et mon opinion là-dessus est que nous n'a pas fait réparer n'importe quoi. Nous avons fondamentalement juste acheté nous-mêmes temps accumuler une dette encore plus à nous mobiliser encore plus catastrophique et puis faire le calcul éventuel qui beaucoup plus grave. Je pense que ce qui va être différent de tout ce qui s'est passé dans la mémoire vivante, certainement, quelque chose de comparable à la dépression, mais sans doute bien pire. Et donc nous avons une décennie très intéressante devant nous, Albert. Et je souhaite que les détails étaient aisément prévisibles, mais ils ne sont pas, sauf pour dire volatilité et le chaos sont la règle pour notre ici futur immédiat.
Albert: Oui. Je pense que vous frappez sur quelque chose de très important il. Fondamentalement, nous avons je pense, c'est près de la moitié d'une négociation avec des rendements négatifs de la dette souveraine. Rendements négatifs persistants vers le haut de la courbe de rendement, jusqu'à cinq ans dans certains cas. Je pense qu'il a beaucoup aidé, et c'est peut-être ce qui ne était pas pris en compte dans nos calculs est à quel point le monde, le reste du monde pourrait aider la Banque centrale américaine dans ce jeu que nous jouons. Si les États-Unis devaient porter l'ensemble de l'économie sur le dos, je pense que nous aurions vu que, peut-être pas l'hyperinflation, mais nous aurions vu quelque chose de très mauvais. En s'articulant autour, en demandant l'aide de la Banque du Japon, en demandant l'aide de la BCE, je pense que cela s'est propagé peu les symptômes de la catastrophe qui parle de vous et James.
John: Oui. Message 2008-2009, la Chine a emprunté par exemple vraiment plus d'argent que n'importe quel pays a jamais emprunté dans l'histoire. Et c'était le grand pilote de « récupération » de ces dernières années. Ils ont juste acheté toutes les ressources naturelles dans le monde et a conduit le prix du minerai de fer et cuivre et du bois, huile à travers le toit. Et qui a créé un boom de la ressource globale. Et qui a tiré essentiellement nous sortir de la, ce qui aurait été une dépression après 2008-2009. Mais bien sûr, cela a été fait par l'intermédiaire des quantités énormes de nouvelles dettes. Et donc, le monde est maintenant quelque chose comme $ 60 billions plus endettée qu'il était à l'époque où la dette a été si accessible qu'elle presque sauter le système financier mondial en 2008. Et oui, la Banque centrale européenne et la Banque du Japon et la Fed nous, ainsi que la Banque de Chine populaire et le gouvernement chinois ont genre des allé retour en arrière d'emprunts d'argent et ensuite lui donnant les uns aux autres. Et ils ont permis au système s'accrocher pour beaucoup plus longtemps qu'il aurait s'il s'agissait d'un seul pays à faire des choses comme ça. Mais ce n'est pas une machine à mouvement perpétuel ; Nous ne pouvons pas continuer comme ce pour toujours, parce que nous construisons une dette de plus en plus. Et les grandes banques sont plus grands que jamais, ils sont plus mobilisés que jamais. Cette fois, les marchés émergents ont été tirés dedans avec quelque chose comme $ 9 billions de dette qu'ils ne parviennent pas libellée en dollars. Si à un certain moment, il explose. Et puis la question est, est-ce cette année ou est-il 2017 ou 2020 ? Il n'y a aucun moyen de savoir quand nous avons atteint ce mur. Mais je pense qu'il est très probable, sinon absolument garanti que nous frapper le mur très bientôt. Nous ne pouvons continuer pendant des décennies plus que nous sommes allés pour les trois dernières décennies. à un certain moment, nous manquer fondamentalement de la capacité d'emprunter et d'imprimer, et nous devons repartir vivre selon nos moyens. Et à ce moment-là, nous devons passer par une transition de ce qui est aujourd'hui insoutenable, pour quoi que nous fassions après ce qui est durable. Et il va y avoir une transition très douloureuse. Et il n'y a vraiment que deux façons d'arriver ; soit toute la dette ou la majeure partie de la dette que nous avons prises sur les valeurs par défaut, et nous avons un années 1930 de style dépression déflationniste, ou nous gonfler notre chemin hors de lui. C'est assez nouvelle monnaie pour faciliter les dettes d'aujourd'hui, nous créons, mais ce faisant, nous risquons de gens perdent la foi dans la fiat monnaies que nous créons avec une telle abandonnent et se retrouver avec une crise de change, et c'est tout. Ce sont nos deux choix. Les prochaines années permettra de déterminer lequel de ces cours que nous finissons par, et quel genre de crise que nous avons choisi, mais nous pouvons seulement a choisi l'un ou l'autre, c'est tout ce qui reste.
Albert: et clairement la préférence des grands penseurs aux banques centrales mondiales serait à gonfler la dette, donc pour cibler les taux d'inflation positifs, ceux qui sont supposés être une bonne chose. C'est 2 % maintenant ; Je vois que très bien en les augmentant. Mais la conséquence de cela, bien sûr, est que le marché reconnaît l'inflation des prix. Maintenant, or n'a pas été répondu, mais il semble que peut-être cette correction est approcher maintenant parce que l'or est en train de répondre de la façon dont vous attendez il répondre. Et une partie de la conséquence d'avoir cela être un effort mondial, toutes les banques centrales participant à différentes devises est parfois l'appréciation en or est masquée, ce qui signifie que le dollar américain comme unité de compte, le dollar américain pas participe à cette guerre des monnaies, mais dans d'autres monnaies, je crois que vous auriez vu la hausse or.
John: Oui. Eh bien, le dollar américain est la monnaie la plus forte dans le monde depuis ces dernières années. Et c'est en grande partie parce que... nous ne sommes pas en grande forme, mais nous attendons relativement bonnes par rapport au reste du monde. Donc beaucoup de capital circule dans aux États-Unis et qui crée une demande de dollars et le pousse vers le haut la valeur du dollar. Mais oui, comme vous le dites, si vous la valeur de l'or dans pratiquement n'importe quelle autre devise que c'est maintenant. Donc le marché baissier de l'or a pris fin quelque temps en 2013 ou 2014 selon le pays que vous êtes en se concentrant sur, et c'est été monter depuis lors. Et enfin, enfin, il a commencé à remonter en dollars. Donc, si c'est le début d'une nouvelle Etape dans le marché de l'or, ou juste une sorte d'une fausse sortie, avant que nous obtenions une jambe vers le bas plus avant le marché de l'or se poursuit, nous ne pouvons savoir que jusqu'en rétrospective, qu'après. Mais quand le marché haussier or reprend, c'est ce qu'il vous envie, c'est ce que sera le stade précoce. Et donc maintenant la question est, elle continuera sur le reste de l'année ? Je ne sais pas. Mais finalement, parce que l'or est la forme de monnaie que l'humanité a utilisé depuis 3 000 ans, et il a jugé sa valeur pour tout ce temps, elle tend à être où nous cacher quand les choses deviennent fous. Et comme les choses deviennent plus fou et plus fou et de plus en plus capital va s'écouler en or, et aussi en argent, afin que les autres choses étant égales par ailleurs, vous verrez une pression à la hausse sur leurs prix, même lorsque les prix en dollars au cours des prochaines années. Si c'est une progressive gentil, un peu à un marché haussier de temps ou une parabolique quand tout d'un coup en l'espace de quelques mois, nous voyons un autre $ 1 000 ajouté à or est prix en dollars, nous ne pouvons pas savoir, parce que cela dépend de l'autre substance qui va se passer là-bas. Nous aurons une guerre qui fait rage au Moyen-Orient qui faussent le commerce mondial ? La Chine aura une crise de crédit atterrissage dur ? Est l'Union européenne ou la zone euro va faire tourner dehors ? Et le dollar va faire quelque chose de fou comme spike d'ici ou à l'automne d'ici ? Nous ne pouvons pas connaître ces choses.
Mais nous pouvons dire avec un certain degré de certitude basé sur l'histoire que les choses vont vraiment volatil, et qu'ils obtiendront plus fou et plus fou que cette dette mord vraiment. Comme nos mauvaises décisions du dernier venu maison au perchoir et le monde sera parmi les bénéficiaires de cela, parce que c'est la manière dont il est travaillé dans toutes les précédentes crises monétaires. Vous pouvez revenir à l'Empire romain et la France dans les années 1700 et Weimar, Allemagne ; il a toujours été le même. Flux d'argent hors de ces mal géré les monnaies fiat et en argent réel comme, or et argent. Il n'y a aucune raison de penser que cela ne se reproduira plus, et la seule question est calendrier.
T: AlberJohn, avec seulement une minute à gauche, je tiens à obtenir votre opinion sur deux points. Nous avons obtenu une décision assez importante à venir en mars ; la Fed va décider de faire une pause ou pour aller de l'avant. Je pense que cette fois, il peut être différent, ce qui signifie que cette fois, or va gagner de toute façon au moins par rapport à la bourse, parce que si la Fed soulage, bien sûr, les stocks obtiendra une pause. Mais les investisseurs semblent être sensibilisés à l'inflation maintenant, donc je m'attends or pour monter plus. Si la Fed se resserre, or peut descendre, mais je pense que le marché boursier va juste être occultée. Ainsi, je veux obtenir votre opinion là-dessus. Et puis finalement comme nous fermer, où voyez-vous or va à la fin de l'année ?
John: Eh bien, permettez-moi de prendre d'abord la deuxième question. Je suis terrible à faire des prédictions à court terme, donc je n'ai absolument aucune idée. Gold peut être 900 $ ou $2.000 à la fin de l'année. Et ces deux crises serait justifiables basé sur tout ce qui se passe immédiatement sur les marchés financiers. Mais la première partie de votre question, je pense, est très intéressante, parce qu'il est possible que, quoi qu'il arrive au marché boursier et obligataire, les rendements et des choses comme ça, que capital va s'écouler en or à l'avenir, car or ne répond pas à un ensemble particulier de données économiques, mais à la volatilité et du stress sur les marchés. Donc si les choses semblent vraiment imprévisible et vraiment volatile, et effrayer les gens, ils passeront une partie de leur argent en or. Et beaucoup de choses peut effrayer les gens là-bas – une hausse parabolique en stock prix qui coïncident avec un marché baissier en obligations qui pourraient envoyer des gens en métaux précieux. Mais un effondrement de la bourse, même chose. Ce que nous avons vu en janvier de cette année, lorsque les stocks descendirent durs, et beaucoup de cet argent qui a été retiré de la bourse s'écoulait en métaux précieux ; donc l'or est passé, qui pourrait se produire trop. Je pense qu'à long terme, je n'ai aucune idée au sujet de cette année, mais à long terme l'or est un bénéficiaire de l'instabilité qui en découle nécessairement trop d'emprunts. Et donc, je pense que les gens qui achètent or progressivement, dès maintenant, pas tout à la fois à un prix donné, mais un peu à la fois sur une longue période de temps vont être heureux, qu'ils l'ont fait que cinq ans a partir de maintenant. Et qui sait à quoi ressemblera le monde, mais je pense que ça va être un monde plus stressant que d'aujourd'hui, et or sera un antidote au stress du monde en ce moment.
Albert: c'est très bons conseils, John. Nous sommes hors du temps, alors je dois vous laisser aller. Je vous remercie beaucoup pour me rejoindre sur le programme d'aujourd'hui. Je l'apprécie vraiment.
Gallup: "le montant de la dette américaine supportée est stupéfiante et croît chaque jour"
Soumis par Tyler Durden le 04/03/2016 17:08 -0500 Et les révélations continuent d'affluer tout de suite.
Un jour après que la Fed de Saint Louis a passé des milliers dans les fonds du contribuable à « découvrir » que, le souffle coupé, «consommateurs partout au pays empruntent davantage pour acheter des voitures et aller à l'école», oui vraiment...
Les consommateurs à travers le pays empruntent davantage pour acheter des voitures et aller à l'école https://t.co/mkKAoVya2o pic.twitter.com/DxMiHo7kki
— St. Louis nourris (@stlouisfed) 3 mars 2016
... aujourd'hui c'est au tour de Gallup à souligner ce qui a été très clair à tous les types de non-économiste et est la raison pourquoi la récupération de ce que l'on appelle reste rien d'autre qu'un mythe, à savoir que "américains sont enterrés sous une montagne de dette."
Plus de John Gleming : • Les américains qui n'ont pas assez pour vivre confortablement transporter des soldes de carte de crédit supérieurs • Ceux qui aiment dépenser de l'argent économiser plus de transporter plus de carte de crédit dette • Dette étudiante associée à un niveau plus élevé de l'endettement Le montant de la dette Qu'américains portent est stupéfiant et croît chaque jour.
Un précédent article explore les types et quantités d'endettement des consommateurs américains transportant, autres que les prêts hypothécaires. Gallup a trouvé que seulement un sous-ensemble des américains porte la majeure partie de la dette à la consommation. Cet article examine comment la dette de consommation affecte différents groupes d'américains, surtout millennials.
Ceux sans assez pour vivre confortablement utilisent les cartes de crédit pour compléter leurs ressources
Deux-tiers des Américains disent qu'ils ont assez d'argent pour vivre confortablement, avec les plus traditionalistes (76 %) et les baby-boomers (67 %) disent qu'ils font que la génération y (62 %) et la génération x (61 %).
Ceux qui disent qu'ils n'ont assez l'argent pour vivre confortablement semblent être en utilisant leurs cartes de crédit pour compléter leurs ressources disponibles avec crédit d'intérêt élevé. Il semble que même si leurs consommation totale dette soldes sont 17 % inférieurs à ceux des américains, qui disent qu'ils faire avoir assez d'argent pour vivre confortablement, à travers toutes les générations sauf traditionalistes, les Américains disent qu'ils n'ont pas assez d'argent pour vivre confortablement transporter 36 % plus grandes soldes de carte de crédit que ceux qui disent qu'ils n'ont pas assez d'argent.
La différence est particulièrement aigue parmi la génération y, où ceux qui disent qu'ils n'ont pas assez d'argent pour vivre confortablement transporter trois fois plus de carte de crédit dette que ceux qui disent qu'ils ont assez d'argent. Génération y, qui disent qu'ils n'ont pas assez d'argent pour vivre confortablement aussi comporter plus dette de prêt auto et prêt personnel que la génération y qui dit qu'ils ont assez d'argent. Génération y est la seule génération où ceux qui disent qu'ils n'ont pas assez d'argent pour vivre confortablement portent la dette de consommation totale de 8 % de plus que ceux qui disent qu'ils avez assez d'argent .
Les américains jouissent-ils économiser de l'argent ou dépenser de l'argent plus ?
Gallup effectue le suivi si américains profiter d'économies d'argent ou de dépenser de l'argent plus depuis 2001. En 2001, 48 % des américains apprécié enregistrant plus de dépenser de l'argent. La préférence pour dépenser de l'argent est resté à 48 % en 2005 et a ensuite commencé une baisse, ce qui a accéléré au cours de la grande récession.
Au plus fort de la grande récession en 2009, seulement 39 % des américains apprécié enregistrant plus de dépenser de l'argent. Le point faible pour une préférence à dépenser est venu en 2014, alors que 35 % dit qu'ils jouissent enregistrant plus de dépenser de l'argent. En 2015, la préférence des dépense s'est glissée retour jusqu'à 37 %. Dans la recherche actuelle, 39 % des américains dit qu'ils jouissent de plus de sauver, tandis que les 61 % restants profiter d'économiser plus d'argent de poche. Aucune de ces pourcentages s'écarte sensiblement de génération.
Ceux qui disent qu'ils aiment dépenser de l'argent plus tendent à gagner plus, mais également de transporter plus de dette.
Entre les générations, ceux qui aiment dépenser de l'argent plus comprend une plus grande proportion de ceux qui font $ 48 000 par an ou plus que le groupe de ceux qui préfèrent économiser de l'argent, qui comprennent une plus grande part de ceux qui font moins de $ 48 000. Le revenu annuel moyen des dépensiers est un peu plus de $ 78 500, 9 % plus élevée que pour les épargnants à un peu plus $ 72 000.
L'exception est millénaire, où la tendance est inversée. Parmi la génération y, les épargnants ont une proportion plus élevée de ces faisant la somme de 48 000 $ par année ou plus dépensiers, qui ont une plus grande part de ceux qui font moins de $ 48 000. Même avec ce modèle de revenu annuel, cependant, le revenu annuel moyen des épargnants millénaires est de 5 % inférieure à celle du millénaires dépensiers.
En règle générale, ceux qui aiment dépenser de l'argent plus portent plus dette de carte de crédit (81 %), plus la dette étudiante (4 % de plus), auto plus la dette (6 %) et la dette plus personnelle (37 %) que ceux qui préfèrent l'enregistrer.
Générationnelle, les seules exceptions à cette tendance sont parmi la génération x et les baby-boomers. Génération x qui aiment dépenser de l'argent plus transporter moins prêt aux étudiants (24 %) et moins auto prêt dette (11 %), mais double la dette de carte de crédit (102 %) et de manière significative la dette plus personnelle (75 %) que les épargnants. Et baby-boomers qui aiment dépenser de l'argent plus porter la dette nettement moins personnelle (23 %) que ceux qui préfèrent l'enregistrer.
Parmi la génération y, ceux qui aiment dépenser de l'argent plus transporter plus de carte de crédit dette (58 %), plus la dette étudiante (23 %), auto plus la dette (26 %) et la dette plus personnelle (18 %) que la génération y qui préfèrent sauver.
Gallup compare les différences de revenu et de la consommation totale dette entre ceux qui préfèrent dépenser de l'argent plus et ceux qui préfèrent l'enregistrer, génération x, génération du baby-boom et traditionalistes qui aiment dépenser de l'argent plus portent leur différence de revenu dans la dette de consommation supplémentaire. En d'autres termes, le rapport de la différence de la dette de consommation total divisée par la différence de revenu annuel entre ces deux groupes est environ 1,1 à 1 pour les membres de ces générations qui aiment dépenser plus.
Pour ceux qui dépensaient millénaire, cependant, le ratio est de 2,5 pour 1. En d'autres termes, ceux qui dépensaient millénaire transporter dette de consommation 2,5 fois plus que la différence de leurs revenus annuels par rapport aux épargnants.
Dette étudiante associée à un niveau plus élevé de l'endettement
Profitez de près de quatre sur 10 américains enregistrant plus de dépenser de l'argent, et ils portent une plus grande charge de la dette dans tous les domaines, même si leur revenu annuel est supérieur à ceux qui aiment économiser plus. Et même chez les personnes qui disent qu'ils ne sont pas avoir assez d'argent pour vivre confortablement, près d'un tiers (32 %) encore profiter de dépenser de l'argent plus d'enregistrer, même si cela signifie empilage sur plus de dette, en particulier les dette de carte de crédit. Ce groupe compte parmi les plus hauts niveaux de dette de carte de crédit--60 % plus élevé que tout le monde.
La dette étudiante--bien que pas très répandue--est associée avec les plus hauts niveaux d'endettement pour toutes les générations, mais surtout pour la génération y. Et comme l'illustrent les données, ceux dont la dette étudiante sont également plus susceptibles de contracter un prêt de voiture, ajoutant à leur endettement déjà élevé.
Pour les prêts aux étudiants, cette dette représente en moyenne 36 % de revenu annuel son, pourcentage le plus élevé parmi tous les types de dette à la consommation. En moyenne, total des comptes de la dette de consommation 37 % du revenu annuel--, mais elle représente 57 % du revenu annuel parmi les prêts aux étudiants. Il s'agit d'un pourcentage énorme lorsque considéré contre toutes autres demandes financières personnelles, telles que l'hypothèque ou loyer, nourriture, télécommunications (y compris Internet et cable), assurance, épargne et placements et carburant et auto entretien, dans les autres dépenses. Bien peu est le surplus de dépenses discrétionnaires et jusqu'à récemment, avaient été diminution de dépenses discrétionnaires en Amérique.
À l'exception de la génération y, ceux qui aiment dépenser de l'argent plus d'épargne correspond à la différence de leur revenu annuel (sur les épargnants) avec l'endettement des consommateurs supplémentaires qu'ils portent (sur les épargnants). Millénaires dépensiers, reporter, 2,5 fois plus de dettes que leur différence de revenu épargnants.
Ces résultats suggèrent qu'une partie importante de chaque génération est enterrée sous une montagne de plusieurs types différents d'endettement des consommateurs. Si les tranches assez importantes de chaque génération ne portent aucune dette, l'ampleur de combien dois américains avec la dette est une source d'inquiétude.
Des banques allemandes disent être pour commencer la thésaurisation de Cash
Soumis par Tyler Durden le 04/03/2016 14:32 -0500 Soumis par Simon Black via SovereignMan.com,
Juste superbe.
Journal allemand Der Spiegel a rapporté hier que le bavaroise Banking Association a recommandé que ses banques membres commencent du stockage physique CASH.
Europe, bien sûr, a été aux prises avec des taux d'intérêt négatifs pendant un certain temps.
Ce qui veut dire que les banques commerciales sont imputés intérêt pour la tenue de gros dépôts à la Banque centrale européenne.
Afin de générer une croissance économique artificielle, la BCE veut que les banques à consentir des prêts autant que possible, peu importe comment stupide ou idiot.
Ils croient que la croissance économique est tout simplement une fonction de prêts. Le plus d'argent qui a prêté dehors, plus l'économie se développera.
C'est le genre de théorie qui fonctionne vraiment bien dans un livre d'étude économique. Mais il ne fonctionne pas si bien dans un manuel d'histoire.
D'argent bon marché encourage les comportements à risque. Il donne des banques une incitation à accorder des prêts « aucun argent vers le bas » pour les sans-abri n'ayant aucun antécédent d'emploi.
Il crée des bulles (comme la bulle immobilière il y a 10 ans) et en fin de compte, les paniques financières (comme la crise bancaire de 8 ans).
Les banques sont censés pour être gestionnaires conservateurs, responsables de l'argent des autres.
Quand les politiques de la Banque centrale sanctionnent cette pratique, mauvaises choses ont tendance à se produire.
Traditionnellement quand une banque commerciale en Europe veut jouer la sécurité avec des fonds de ses clients, elles pouvaient contenir des réserves excédentaires en dépôt à la Banque centrale européenne.
Dans le passé, ils pourraient même ont été payés des intérêts sur ces réserves excédentaires comme une incitation supplémentaire à être prudente.
Maintenant, c'est exactement le contraire. Si une banque détient excès se réserve en dépôt auprès de la BCE afin d'assurer qu'ils ont une plus grande marge de sécurité, ils doivent maintenant payer 0,3 % à la BCE.
C'est ce que cela signifie d'avoir des taux d'intérêt négatifs. Et pour la Banque, il mange dans leurs profits, surtout quand ils ont des dizaines de milliards de réserves excédentaires.
Parler d'être entre le marteau et l'enclume.
D'une part, les banques risquent de perdre une tonne d'argent en intérêt négatif. En revanche, ils ont mis les dépôts de leurs clients à risque si elles ne détiennent pas les réserves supplémentaires.
Eh bien, l'Association des banques bavaroises en a marre de cette dictature financière.
Leur nouvelle recommandation concerne toutes les banques membres d'abandonner la BCE et plutôt début gardant leurs excès se réserve en espèces physique, stocké dans leurs propres coffres de la Banque.
C'est officiellement une révolution totale du système financier où les banques sont maintenant activement se rebellant contre la Banque centrale.
(Ce qui est encore plus étonnant, c'est que ce concept de traditionnel bancaire – exploitation comptant physique dans une chambre forte de banque – est maintenant considérée comme révolutionnaire et radicale).
Il n'y a qu'un seul petit problème teensy : il n'y a pas assez d'argent comptant physique dans l'ensemble du système financier pour soutenir même une infime fraction de la demande.
Dépôts bancaires total dépassent les milliers de milliards d'euros. Argent comptant physique constitue seulement un petit pourcentage de cette somme.
Donc si les banques allemandes démarrent thésaurisation monnaie physique, il n'y aura aucun laissé dans le système financier.
Cela va forcer la BCE à choisir entre deux options :
1) soutenir cette rébellion et d'autoriser l'émission d'argent plus physique ; ou 2) imposer des contrôles de capitaux.
Étant donné qu'il y a tout juste deux semaines, le Président de la BCE a parlé de la possibilité d'interdire certains supérieurs billets de trésorerie, il n'est pas difficile de comprendre ce qui va se passer.
Bien sûr que c'est là le moyen le plus sécuritaire de conserver ses avoir... même si l'argent-papier est supprimé au profit de l'électrique ! J'explique:
1°) Vous retirez (videz !) vos euros de votre compte.
2°) Vous échangez vos billets en monnaie(s) étrangère(s). Ces billets choisis (par exemple le CFA ayant cours en Afrique) n'est pas près de disparaître au profit des 'cartes banquaires' ! C'est donc là une sûreté assurée convertissable plus tard en d'autres monnaies si vous voulez.
Monsanto poursuit en Californie pour dire aux gens la vérité sur ses produits chimiques
Soumis par Tyler Durden le 04/03/2016 12:55 -0500 Soumis par Claire Bernish via TheAntiMedia.org,
Monsanto poursuit en justice l'Etat de Californie pour son intention d'inscrire au glyphosate, l'ingrédient principal dans sa très populaire, un herbicide Roundup — sur sa liste de produits chimiques toxiques Proposition 65.
Décision de la Californie est venue après l'Agence internationale de l'OMS pour la recherche sur le Cancer (CIRC) classées au glyphosate comme « cancérogène probable » en mars 2015. Chercheurs ont découvert des « preuves limitées » d'un lien entre le désherbant et lymphome non hodgkinien chez les humains, ainsi que « preuves convaincantes » de sa liaison à d'autres formes de cancer chez les rongeurs. Ainsi, CIRC a décidé à l'unanimité que le glyphosate est « probablement cancérogène ».
La Californie a annoncé en septembre qu'elle comprendrait le glyphosate parmi les produits chimiques nocifs en vertu de la proposition 65, qui « exige la notification et l'étiquetage de tous connus pour causer le cancer, malformations congénitales ou autres problèmes reproductifs et interdit leur rejet dans les eaux potables de l'Etat, » Alternet résumées.
Monsanto a repoussé contre la classification par le CIRC dès le début. Roundup glyphosate-laden reste l'herbicide le plus utilisé sur la planète — malgré une liste sans cesse grandissant des nations mettant en œuvre entières ou partielles des interdictions concernant la substance.
En effet, Center for Food Safety estime que l'ajout du glyphosate à la California Proposition 65 liste est donc impératif, Alternet, rapporte l'organisation a déposé une motion visant à intervenir dans le procès de Monsanto mercredi :
« CFS a été une des premières organisations d'intérêt public pour mieux faire connaître comment l'utilisation du glyphosate dans les systèmes de cultures Roundup Ready favorise les mauvaises herbes résistantes aux herbicides et augmente l'utilisation de l'herbicide et les effets néfastes qui lui sont associés et a à plusieurs reprises cherché à empêcher la plantation et l'approbation des cultures résistant au glyphosate, issus du génie génétique par le biais de poursuites fédérales. »
Écho de préoccupations d'un public de plus en plus averti, CFS croit en la transparence et le droit d'être informés des risques qu'ils soient exposés à des substances toxiques. Procès de Monsanto pour bloquer tel étiquetage dément son indifférence à nuire à la population mondiale et contaminer la planète — ou, pire, son but lucratif malgré un tel préjudice.
Si Monsanto est victorieux dans cette bataille judiciaire, elle constituerait une défaite majeure pour le droit du peuple de savoir quand ils pourraient être lésés. Pire, ce serait une victoire pour une industrie déjà agressivement arrogante plié sur le profit à tout prix.
Pourquoi Monsanto gagne toujours ? Parce que lui: il explique ! (ce que ne font JAMAIS les merdias). Il explique que le glyphosate est SÉLECTIF. Sélectif veut dire qu'il protègent certaines plantes et pas d'autres. Cela veut dire que les champs arrosés d'herbicide verront du blé pousser et se défaire du glyphosate tandis que d'autres plantes (mauvaises herbes) crèveront.
Petit exercice à faire chez vous: balancer du glyphosate (même pur !) sur du lierre ! le lierre ne crèvera jamais ! Car le lierre n'est pas une plante reconnue de pousser dans les champs mais seulement là où il y a des murs, des clôtures ou des grands arbres.
Pourquoi est-il nécessaire de désherber un champs avant de semer du blé ? Tout simplement que lorsque le blé va être amender et arrosé... d'autres herbes en feront autant ! et, elles seront peut-être aussi hautes que les tiges de blé ! Et, s'il y a de l'herbe dans un champs de blé... aucune moissonneuse-batteuse ne fera la différence et... fauchera les tiges et les mettra en balles (balles de pailles) et, de l'autre côté, les épis secoué laisseront tomber leurs grains dans des sacs qui seront fermés automatiquement après être remplis et éjectés de la machine.
Or, dans ce sac, il y a des grains de blé et... toute sorte de graines. Graines bien-sûr REFUSÉES PAR TOUS LES MEUNIERS ! Car, les minoteries n'acceptent pas que dans la farine il puisse y avoir des graines écrasées de mauvaises herbes (mauvaises herbes parfois urticantes comme aussi parfois vénéneuses !). Ainsi, serez-vous les premiers à refuser d'acheter du pain au couleurs douteuses de la mie ! Hahahaha !
Maintenant, pourquoi le glyphosate a t-il été reconnu comme cancérigène ? Tout simplement que les expériences ont été menées sur des animaux qui mangent de l'herbe glyphosatée et... seulement glyphosatée ! Or, les animaux qui paissent dans la nature NE MANGENT PAS N'IMPORTE QUELLE HERBE ! Ils choisissent ! Oui, ils choisissent et ne mangeront JAMAIS de l'herbe glyphosatée sauf... s'il n'ont d'autre choix que d'en manger comme il est fait en 'laboratoires' ! Hahahaha !
Une nuit avec Marilyn ? C’est possible, grâce à la science
Reeva Verlinden 4 mars 2016 Les souvenirs pourraient être physiquement supprimés pour traiter la souffrance chronique et les conséquences d’événements traumatiques, prédisent certains grands neurologues anglais.
Tim Bliss, du Francis Crick Institute à Londres, dit qu’il serait théoriquement possible que les chercheurs travaillent un jour à l’implantation de faux souvenirs, tels qu’une nuit avec Marilyn Monroe.
Le Brain Prize lui a été décerné cette semaine, conjointement à Graham Collingridge, de l’université de Bristol et à Richard Morris, de l’Université d’Edinburgh. Ce prix d’une valeur d’un million d’euros leur a été attribué parce qu’ils ont montré que la mémoire se forme au travers de liens entre les cellules du cerveau (les synapses) qui se fortifient graduellement au fur et à mesure de leur utilisation, grâce à une protéine connue sous le nom de récepteur NMDA.
Outre le fait de faire la lumière sur un grand mystère, leurs découvertes ont contribué au développement d’un médicament contre la maladie d’Alzheimer: la memantine.
Les chercheurs espèrent que leur travail pourra fournir la base à des traitements capables de réduire les symptômes des premiers stades de la maladie, en aidant le cerveau à former de nouveaux circuits.
La science pourra bientôt expliquer précisément comment nous apprenons et comment nous nous souvenons, ce qui pourrait en théorie permettre aux chercheurs d’altérer, ou même de créer des souvenirs.
A plus court terme, cette carte des structures fondamentales de la mémoire pourrait être utilisée pour affecter de façon pharmaceutique des souvenirs traumatiques causant des souffrances physiques et mentales chroniques.
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C'est pas nouveau et c'est ce que font les merdias tous les jours !
L’UE va financer des agents pour contrer les eurosceptiques sur Internet
By lejournaldusiecle 14 février 2013
Le Parlement européen va débourser environ 2,5 millions d’euros environ pour lancer une armée de "trolls" sur Internet, et en particulier les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter pour lutter contre l’euroscepticisme en vue des élections de 2014, qui auront lieu entre le 5 et le 8 juin 2014.
C’est le Daily Telegraph qui a révélé l’information le 3 Février 2013. Le journal a eu accès à des documents confidentiels qui révèlent la planification d’une campagne sans précédent de réorientation de l’opinion publique, avant et pendant les élections de juin 2014.
Au cœur de cette nouvelle stratégie : "des outils de contrôle de l’opinion publique" destinés à déterminer si certains débats de nature politique ayant lieu entre participants des médias sociaux et autres blogs sont susceptibles d’attirer l’attention médiatique et publique.
Les communicants des institutions parlementaires devront être capables de décrypter les "sujets tendances" au sein des conversations et d’y réagir rapidement, de manière ciblée et pertinente ; il s’agit pour eux de "se joindre aux conversations et de les influencer, par exemple en fournissant des faits et des chiffres déconstruisant les mythes".
Selon le document mis à jour par le Daily Telegraph, les "trolls" européistes auront pour mission de subvertir le sentiment qu’expriment de plus en plus d’Européens, à savoir que "l’Europe est le problème", et de le retourner, de sorte que chacun en vienne à considérer que la réponse aux défis actuels est "plus d’Europe", et non pas "moins d’Europe".
Une attention toute particulière doit être accordée, nous dit-on, aux pays qui ont connu une montée de l’euroscepticisme. La France, qui a massivement rejeté le Traité constitutionnel européen le 29 mai 2005 (55%), devrait donc être particulièrement ciblée par cette campagne de propagande, visant à redresser les jugements inadaptés – incorrects – sur la construction si prometteuse de ce "premier empire non impérial" qu’est l’UE, dixit Barroso.
En pleine crise économique, et alors que l’austérité est imposée aux États, l’UE ne devrait pas rechigner sur les moyens de sa propagande, puisqu’une augmentation de près de 2 millions d’euros des dépenses en "analyse qualitative des médias" serait prévue, principalement tirée de budgets pré-existants, et plus de 900.000 euros additionnels devraient être collectés l’an prochain.
Nigel Farage a été l’un des premiers députés européens à réagir aux révélations du Telegraph, le 7 février sur Russia Today, estimant que l’UE ne valait pas mieux qu’une "république bananière".
Sources : Daily Telegraph / Agoravox / Russia Today / Le Journal du Siècle
Pourquoi les Américains meurent plus tôt que les citoyens des autres pays riches
Redactie Express Business 4 mars 2016
L’espérance de vie des Américains est inférieure à celle des habitants d’autres pays à haut revenus, et une nouvelle étude nous explique pourquoi : ils portent eux-mêmes la responsabilité de ces morts prématurées par un comportement autodestructeur.
Les accidents de voiture, la violence armée et les overdoses tuent chaque année 100 000 personnes aux États-Unis, ce qui contribue à expliquer pourquoi les hommes et femmes américains ont une espérance de vie inférieure de 2,2 ans à celle des habitants de l’Autriche, du Danemark, de la Finlande, de l’Allemagne, de l’Italie, du Japon, des Pays-Bas, de la Norvège, de l’Espagne, de la Suède et du Royaume-Uni, comme expliqué dans une nouvelle étude publiée par le Centre national de statistiques sur la santé (NCHS).
Les hommes et femmes américains ont une espérance de vie de 76,4 et 81,2 ans respectivement, comparés à 78,6 et 83,4 ans pour leurs semblables à l’étranger.
« Cela semble ahurissant que l’on perde deux ans de vie juste par le fait de vivre ici », commentait l’auteur de l’étude Andrew Fenelon, auprès de l’Associated Press. Les morts par armes à feu, les accidents de voiture et les overdoses sont responsables pour moitié de cet écart, l’autre année perdue étant la conséquence d’une mortalité infantile plus élevée, de problèmes de santé liés à l’alimentation, et d’autres facteurs.
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(...) Les accidents de voiture, la violence armée et les overdoses (...) !! Faux sauf pour 'overdoses'. Par 'overdoses' il faut entendre: malbouffe, produits chimique, remèdes et vaccins mortels.
Par 'violence armée' il faut entendre: Flic qui tuent des personnes innocentes ou non et, immigration tentaculaire armée ! Car, comme ces immigrés n'ont aucun savoir et ne sont allés à l'école (comme ceux qui arrivent en Europe), ils ne leur restent plus que la violence, le vol ou le meurtre pour avoir quelque chose ! Et par 'accidents de la route' il faut entendre que depuis 8 ans, les routes ne sont plus... entretenues !!! et, que des 'nids de poules' en jalonnent les parcours ! comme autant d'herbes qui y poussent et des trucs tombés de camions qui ne sont ramassés par personne !
35% des revenus des français proviennent d’aides sociales
Reeva Verlinden 4 mars 2016
Le fait n’est pas nouveau mais vient d’être rappelé par un récent rapport de l’Insee : les prestations sociales constituent 35% du revenu disponible brut des Français, un record mondial. En 1949, cette proportion n’était que de 13,8%. Les causes principales ? Le vieillissement des Français, le taux élevé de chômage en France et une structure politique qui ne permet pas d’inverser la tendance.
Le pourcentage des prestations sociales dans les revenus des Français a augmenté de 50% depuis 1950 et s’est précipité depuis 2008 et si la hausse se poursuit à ce rythme, il pourrait atteindre 40% au cours de la prochaine décennie.
D’après Ronan Mahieu, de l’Insee, depuis les années 90, la population française subit le contrecoup du baby boom, qui provoque aujourd’hui un nombre important de retraités supplémentaires – alors qu’entre 1950 et 1980, la hausse du nombre des retraites n’était la conséquence que de changements de régime. Actuellement, presque 25% de la population française est âgée de 60 ans et plus.
Le chômage
De plus, 5 millions de Français sont aujourd’hui au chômage. Comme la France ne parvient pas à créer des emplois, elle a compensé avec un dispositif d’aides multiples pour les personnes écartées du marché du travail.
Malheureusement, une étude de la direction de la Recherche, des Études, de l’Évaluation et des Statistiques (DREES) conclut que le pays est arrivé à un stade où les prélèvements faits par l’Etat pour pouvoir payer les allocations et permettre à une partie de la population de conserver un moyen de subsistance sont si importants qu’ils appauvrissent les autres Français et neutralisent toute possibilité de reprise, et donc de création d’emploi.
La DREES note que les Français en conçoivent un sentiment d’injustice toujours plus grand (77% en 2013) et que 55% d’entre eux considéraient que les aides sociales étaient un handicap économique en 2013, mais seuls 30% se disent prêts à envisager une baisse de leurs allocations.
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Ces 'aides sociales' ne proviennent pas de la poche de ministres ou de tout autre fonctionnaires parce qu'ils sont reconnus comme étant improductifs et qui en font des dépendant à 100 % des 'aides sociales' versées tous les jours par les contribuables productifs !
Secundo, par 'français', il faudrait faire le distinguo entre ceux de souche et les terroristes récemment débarqués en Europe qui gagnent désormais plus que certains retraité ou érémistes ! (670€/par mois pour chaque terroriste immigré ! + allocs fam., log, mal., retr. etc).
Aux dernières nouvelles le virus Zika véhiculé par les moustiques sévit dans plus de 25 pays de la zone Amérique Centrale et du Sud et la Caraïbe. La situation s’aggrave à l’approche des Jeux Olympiques de Rio. En effet, selon deux études récentes, ce virus peut provoquer la maladie de Guillain-Barré et induire chez les femmes enceintes une grave malformation cérébrale du foetus appelée microcéphalie. Il y avait encore des doutes mais ces études les ont levé et il est donc maintenant reconnu que ce virus revêt un caractère redoutable (voir les liens) car il peut être transmis également par voie sexuelle et par voie sanguine.
Selon la première étude les cas de maladie de Guillain-Barré, une maladie auto-immune qui détruit les nerfs moteurs, ont été directement corrélés au Zika et le doute concernant les microcéphalies vient d’être levé définitivement. L’étude paru ce vendredi 4 mars 2016 dans le journal Cell montre clairement que le virus s’attaque aux cellules nerveuses précurseurs des neurones de la substance grise (cortex) entrainant une microcéphalie irréversible. Les premiers doutes sont apparus lorsqu’on a retrouvé le virus dans le liquide amniotique de deux enfants souffrant de microcéphalie. Puis les investigations ont rapidement montré que ce virus s’attaquait préférentiellement aux cellules précurseurs des neurones et pas n’importe lesquelles, seulement celles se différenciant ensuite en cellules du cortex cérébral.
En quelques heures seulement le virus attaque ces cellules et s’y reproduit rapidement conduisant à des dommages irréversibles. Les travaux ont été réalisés avec des cellules en culture mais ils prouvent indubitablement que ce virus est effectivement la cause des microcéphalies. Seules les lignées de cellules progénitrices des neurones du cortex sont sensibles à ce virus alors que des cellules embryonnaires ou des cellules neuronales immatures sont insensibles. Il paraît à la vue de ces travaux que le virus Zika présente divers tropismes cellulaires conduisant à l’apparition de la maladie de Guillain-Barré ou à ces malformations cérébrales.
(...) Les travaux ont été réalisés avec des cellules en culture mais ils prouvent indubitablement que ce virus est effectivement la cause des microcéphalies. (...)
voir clip sur ce blog à propos des phales et, pourquoi pas des... 'nano-céphales' ?
La phagothérapie : une alternative efficace aux antibiotiques
RépondreSupprimerPsychomedia
mer., 02 mar. 2016 10:21 UTC
-- Commentaire : La montée en flèche de l'antibiorésistance est un phénomène mondial. La phagothérapie pourrait être d'une aide précieuse dans la lutte contre certaines bactéries surpuissantes, mais comme de bien-entendu, là ou il y a de la guérison, il y a peu de profit, et du danger, pour les laboratoires pharmaceutiques, de voir une partie de leur "clientèle" se détourner des traitements classiques pour s'orienter vers des thérapies efficaces et moins onéreuses.
Phagothérapie, cette médecine qui vient de l'Est --
La phagothérapie, qui est l'utilisation de virus, dits bactériophages, pour traiter des infections bactériennes, fait son retour comme alternative potentielle aux antibiotiques pour les bactéries devenues multirésistantes aux antibiotiques comme l'Escherichia coli ou le staphylocoque doré.
Elle a été largement utilisée dans le monde avant la découverte des antibiotiques. Abandonnée par les pays occidentaux, elle est toujours employée et développée dans les pays de l'ancienne Union Soviétique. Le 18 février s'est tenu à l'Assemblée nationale française, un colloque afin de discuter du cadre réglementaire pour réintroduire ces médicaments biologiques.
Ces virus ont une activité plus limitée que les antibiotiques, ne détruisant que certaines souches spécifiques d'une bactérie, mais ne provoquent pratiquement jamais d'effets secondaires graves, explique le Dr Alain Dublanchet qui travaille depuis plusieurs années sur la phagothérapie. Il précise avoir guéri une quinzaine de patients ces dernières années.
Le développement de la phagothérapie se heurte au manque d'intérêt des grands laboratoires parce que les phages sont issus de la nature et donc non brevetables. Quelques start-up commencent néanmoins à s'intéresser à ces bactériophages. Aucun phage n'est encore autorisé chez l'homme en raison notamment de la nécessité de procéder à des essais cliniques qui peuvent prendre de nombreuses années et qui coûtent cher, explique le Dr Jean-Paul Pirnay, de l'hôpital militaire Reine-Astrid à Bruxelles, l'un des rares hôpitaux qui travaillent sur la phagothérapie en dehors de l'ex-bloc soviétique.
Aux États-Unis, les seuls phages commercialisés actuellement sont destinés à protéger les aliments contre des infections bactériennes. L'UE a lancé en 2013 un premier projet, baptisé « Phagoburn » pour tester des phages contre des bactéries résistantes s'attaquant aux plaies de grands brûlés. Sans attendre les résultats de l'essai, l'Agence du médicament (ANSM) a donné une première autorisation de traitement à titre compassionnel en novembre 2015 pour un brûlé grave.
http://fr.sott.net/article/27816-La-phagotherapie-une-alternative-efficace-aux-antibiotiques
Quand climat et sexe font bon ménage
RépondreSupprimerle 4 mars 2016
par jacqueshenry
Vous ne vous souvenez déjà plus de Rajendra Pachauri, tant mieux, c’était un sinistre individu grassement rétribué par l’ONU pour ses bons et loyaux services rendus à la cause mondiale du climat entre 2002 et 2015. Durant cette période riche en rebondissements climato-médiatiques Pachauri n’eut de cesse de culpabiliser les habitants de la planète entière car ni moralement ni éthiquement ils ne faisaient le moindre effort pour « sauver » le climat et par conséquent la Terre et ses habitants, y compris les cloportes et les fous de Bassan. Le nom de Pachauri, comme celui d’Al Gore, est devenu synonyme de changement du climat et d’environnement, tous deux nobélisés en 2007 avec une brochette d’autres activistes écologistes.
Pour être propulsé chef de l’IPCC, Pachauri avait une carte de visite et de l’entregent : il fut pendant 30 ans Directeur du fameux (fumeux) Energy and Research Institute (TERI) de New-Delhi et il se comporta en prédateur sexuel auprès de ses collaboratrices usant de sa notoriété mondialement reconnue pour tripoter le postérieur de collaboratrices innocentes souvent âgées d’à peine 20 ans ou d’exiger un baiser sous la menace. Une jeune femme de 29 ans a finalement osé déposer plainte et il faut admirer son courage car en Inde le harcèlement sexuel dans les entreprises est presque toléré. Toujours est-il qu’aujourd’hui Pachauri va devoir rendre compte de ses actes auprès de la justice qui examine un dossier épais de 1400 pages pas très flatteur pour cet individu écoeurant.
Quand la justice indienne a commencé à examiner les courriers électroniques libidineux que Pachauri envoyait à ses collaboratrices celui-ci s’est empressé de déclarer que sa boite mail avait été attaquée par des hackers, qu’il était innocent devant les dieux de l’Olympe hindouiste et que des cyber-criminels voulaient par tous les moyens détruire l’oeuvre immense qu’il avait accompli, pas toujours très honnêtement, pour sauver le climat.
Quand dans n’importe quelle entreprise une personne se plaint auprès de sa DRH d’harcèlement sexuel, la situation est prise très au sérieux. Apparemment, dans ce machin onusien qu’est l’IPCC, du temps du règne de Pachauri le harcèlement sexuel faisait partie du quotidien. O tempora o mores …
Source : Big Pictures News (bigpicnews.com), illustration Wikipedia
https://jacqueshenry.wordpress.com/2016/03/04/quand-climat-et-sexe-font-bon-menage/
Ministre russe de l’Agriculture : merci aux paysans français qui nous ont appris l’autosuffisance
RépondreSupprimer4 mars 2016
Alors que la France connaît une grave crise agricole, RT France a interviewé le ministre russe de l’Agriculture, Alexandre Tkatchev, qui a indiqué qu’avec l'embargo russe, la France avait perdu l’un de ses principaux partenaires sur le plan agricole.
L’embargo russe sur les produits agricoles européens a des répercussions considérables sur le secteur, a déclaré à RT France le ministre russe. Il a évalué les pertes des agriculteurs français à 1 milliard d’euros, soulignant qu’il s’agissait d’un grave coup porté à l’économie française «par ses propres mains». «Cela n’en valait pas la peine», a ajouté Alexandre Tkatchev.
Pour le ministre russe, des secteurs agricoles français comme la production de la viande de volaille, de porc, de fromage ou la production laitière ont subi le pertes les plus lourdes. Par exemple, les fromages français sont remplacés par les fromages biélorusses et suisses. De plus, la Russie développe ce domaine elle-même : des fromageries sont construites. Les premiers résultats sont déjà tangibles : la production de fromage russe a augmenté de 18% en un an et demi.
Encore deux ou trois ans, et on n’aura plus besoin de fromage étranger.
Il existe déjà des produits pour lesquels la Russie est autosuffisante et n’importe plus, a déclaré Alexandre Tkatchev. Il s’agit du blé, du sucre, de l’huile et des pommes de terre. Dans ces secteurs, la Russie ne comptera plus que sur elle-même pour les décennies à venir.
En savoir plus : En pleine crise, François Hollande sous le feu des agriculteurs en colère au Salon de Paris (VIDEO)
Interrogé par RT France sur ce qu’il souhaitait dire au public français, le ministre russe de l’Agriculture a remercié les agriculteurs français.
Je veux remercier les fermiers français pour nous avoir donné la possibilité de nous nourrir.
La Russie a construit des centaines de fermes, a créé des milliers d’emplois et envisage l’exportation avec confiance, a confié Alexandre Tkatchev à RT France. «Encore deux ou trois ans de sanctions et nous oublierons le marché européens, comme les produits que nous avons importés historiquement. Le moment est venu de nous déshabituer», a-t-il conclu.
https://francais.rt.com/opinions/16671-ministre-lagriculture--merci-autosuffisance
Il est vrai que ceux qui se mettent à travailler en serres s'aperçoivent que leur travail et leurs récoltes ne se limitent pas à 6 mois de l'année mais à 365 jours !
SupprimerC'est ainsi que sous serres peuvent être aussi élevées des poules dans l'herbe comme bien d'autres animaux ! Et, lorsqu'il fait froid dehors, qu'il pleut, qu'il vente ou qu'il neige, la production est totalement différente.
Les Suisses retirent leur demande d’adhésion à l’UE
RépondreSupprimerMylène Vandecasteele
3 mars 2016
Le parlement suisse vient de décider le retrait de sa candidature à l’adhésion de l’UE datant de 1992, à l’époque où elle n’était encore que la Communauté Economique Européenne (CEE), rapporte le Daily Mail. Le Conseil national a accepté par 126 voix contre 46 la motion de Lukas Reimann du parti d’extrême droite UDC, le plus grand parti du pays, qui réclamait ce retrait.
Reimann a expliqué qu’il était “grand temps” de prendre cette décision, alors que le pays est en conflit avec la Commission européenne au sujet d’une restriction de la liberté de mouvement.
La Suisse n’a jamais été un membre de l’UE mais elle profite du libre commerce avec les membres du bloc depuis les années septante du siècle dernier. Elle est également membre de la zone Schengen, et depuis un traité signé en 1999, les citoyens suisses et les citoyens des Etats-membres de l’UE ont la possibilité de se déplacer librement entre les deux territoires.
Cependant, en 2014, au cours d’une votation, les Suisses se sont prononcés en faveur de la mise en place de quotas d’immigration pour les résidents de l’UE, impliquant une renégociation de l’accord bilatéral sur la libre circulation des personnes. Bruxelles a refusé d’accéder à cette demande, et le torchon brûle entre les deux parties à ce sujet depuis cette époque.
Le peuple suisse avait déjà rejeté la demande d’adhésion
En 1992, peu après que le pays avait sollicité son adhésion à la CEE, le peuple suisse l’avait rejetée au cours d’un référendum, ce qui avait invalidé la demande. Cependant, le Conseil fédéral n’avait jamais procédé à son retrait officiel. L’UE n’intègre pas la Suisse dans la liste des pays candidats à l’adhésion européenne.
La Suisse, qui compte 8 millions d’habitants, est l’un des pays européens avec la plus forte proportion d’étrangers sur son territoire par tête.
Le Sénat devrait se prononcer sur la décision du retrait de la demande d’adhésion à l’UE dans quelques mois.
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Décryptage du système économique global [2/7] : Géopolitique du libre-échange
RépondreSupprimerLe long cheminement du nouvel ordre mondial
Par Valérie Bugault
le 21 février 2016
Introduction
Le libre-échange est la déclinaison du principe plus vaste de liberté du commerce. Il s’agit donc d’un concept commercial mis en pratique par des entreprises de type capitalistiques.
Sous couvert de liberté du commerce, le libre-échange a pour conséquence la mise en concurrence, au niveau international, de toutes les entreprises du monde. Il en résulte, de façon inéluctable, la disparition des petites et moyennes entreprises au profit des multinationales économiquement plus performantes, en raison non pas de leur efficacité de fonctionnement, mais de leur poids sur les différents marchés. En d’autres termes, le libre-échange favorise concrètement sur toute la planète la prédation économique des agents les plus faibles par les plus gros d’entre eux, c’est-à-dire la concentration des capitaux. En raison de l’extrême prévisibilité de cette conséquence du libre-échange, on peut en déduire qu’elle est, en réalité, l’objectif inavoué du principe en question.
Ainsi, la liberté du commerce via le libre-échange n’a pas pour vocation de servir mais au contraire d’asservir – la concurrence faussée et débridée aidant – les petits commerçants. La liberté du commerce au moyen du libre-échange n’a pas non plus pour vocation de servir les intérêts du citoyen en occasionnant une baisse générale des prix puisque la concentration des capitaux, qui lui est consubstantielle, s’y oppose fondamentalement. La liberté du commerce par le libre-échange ne sert finalement les intérêts que d’un seul maître : la petite caste qui détient les principaux capitaux du monde. Caste qui a consciencieusement organisé, à la faveur de sa mainmise sur l’organisation bancaire – permettant l’organisation et l’entretien de crises bancaires et financières 1 – et commerciales du monde, l’accaparement de la majeure partie des biens matériels de cette planète.
Nous analyserons l’historique du mouvement de libre-échange (I) avant d’examiner en quoi il s’analyse en une négation du concept d’État (II) et quelle méthodologie il suit (III).
I) Historique du libre-échange
Au niveau français :
Le pilier fondateur du libre-échange, qui est aussi le premier acte de son avènement mondial, se situe formellement en 1791 en France, année qui a vu naître à la fois le décret d’Allarde (des 2 et 17 mars 1791) et la loi Le Chapelier (14 juin 1791).
Le décret d’Allarde, officiellement paré des vertus de la liberté, a supprimé les corporations, qui n’étaient rien d’autres que des associations réglementant dans chaque ville les personnes exerçant le même métier. Il s’agissait déjà de la suppression des barrières non tarifaires, c’est-à-dire réglementaires, mais à l’intérieur du territoire français.
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La loi Le Chapelier, elle aussi parée des merveilleuses vertus de la liberté, a interdit les organisations ouvrières, notamment les corporations de métiers mais aussi les rassemblements paysans et ouvriers ainsi que le compagnonnage ; elle ne visait en revanche ni les clubs patronaux, ni les trusts et ententes monopolistiques qui ne furent jamais inquiétés.
RépondreSupprimerLes deux nouveautés législatives que sont le décret d’Allarde et la loi Le Chapelier, au tout premier plan des avancées révolutionnaires, sont en réalité le premier pas vers ce que nous appelons aujourd’hui le libre-échange.
Au niveau européen :
S’agissant des institutions européennes, l’idéologie du libre-échange se déroule selon la chronologie suivante :
Le traité de Rome du 25 mars 1957 instituant la CEE : la libre circulation des capitaux, formellement inscrite, n’est pas encore effective.
La directive du Conseil européen dite Delors-Lamy de 1988 prévoit la libéralisation complète du marché des capitaux pour 1990.
Le Traité de Maastricht (1992) puis les articles 32, 45, 49 à 55 et 63 du TFUE 2 (liberté de circulation des marchandises, des travailleurs, liberté d’établissement et liberté de circulation des capitaux), issus du traité de Lisbonne – ratifié par la France moyennant une forfaiture politique – terminent au niveau européen le travail commencé en France en 1791 en imposant la liberté totale pour les groupes étrangers de s’installer sans limite sur des territoires européens qui ne protègent plus leurs ressortissants.
Il faut ici remarquer que l’institution européenne, qui a historiquement débuté en 1952 par la création d’un vaste marché du charbon et de l’acier (CECA), se termine par l’avènement d’institutions (Union européenne) à la solde des multinationales et par la disparition corrélative de la notion d’État en tant qu’entité politique – en raison de la disparition de toute souveraineté étatique; l’État est remplacé par des institutions supra-nationales fondamentalement indépendantes des peuples.
Au niveau international :
Au niveau international, l’année 1947 constitue le second acte, le second pilier fondateur, de la progression technique du libre-échange. Les accords internationaux du GATT mettent en place dès 1947 la matrice d’un commerce international fondé sur le libre-échange. Il aura néanmoins fallu attendre les accords de Marrakech de 1994 pour voir arriver l’OMC, qui instaure véritablement un ordre du libre-échange au niveau international. Il faut noter que la création de ce nouvel ordre international arrive presque en catimini car il résulte d’une simple annexe à l’acte final du Cycle de l’Uruguay.
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La mise en œuvre de l’organisation économique mondiale autour du libre-échange avait initialement prévu d’être intégrée aux accords de Bretton Woods 3. Cependant, des désaccords ayant engendré un contre-temps, ce projet commercial de grande ampleur ne vit réellement le jour qu’à l’occasion de la création de l’OMC.
RépondreSupprimerUne fois l’organisation mondiale du commerce (OMC) en place, les accords de libre-échange se sont mis à fleurir un peu partout sur la planète.
Les grands marchés transpacifique et transatlantique :
La réalisation et l’unification des grands marchés transatlantique – dont les négociations vont bon train – et trans-pacifique – signé le 4 février 2016 4 – constituera l’ultime étape de l’avènement du commerce comme ordre sociétal supérieur mondial.
Le grand marché transatlantique est matérialisé par divers accords de libre-échanges (TTIP/TAFTA, CETA/AECG, TISA) qui, ajoutés au grand marché trans-pacifique, seront, si la méthode appliquée à la création de l’Union européenne est suivie – ce qui est plus que probable compte tenu du succès rencontré –, le marchepied à l’avènement d’un traité plus vaste instaurant des institutions chargées de réguler le monde.
Du point de vue de la méthode, l’oligarchie prédatrice aura alors, pas à pas, amené les différents pays du monde au Nouvel Ordre Mondial (NOM) tant attendu. La technique utilisée par les partisans et auteurs du mondialisme est toujours la même : faire en sorte que la marche suivante soit rendue nécessaire par celle qui la précède. Il semble superfétatoire de préciser que le NOM est attendu, non pas par les peuples, mais bien par l’oligarchie transnationale d’origine anglo-saxonne 5, oligarchie qui a pris le pouvoir politique en Occident en utilisant méthodiquement la monnaie et le commerce 6, dont le libre échange est la composante essentielle, comme armes de domination politique. L’ordre militaire étatique, les milices privées et les guerres restent soit des moyens de secours, lorsque la domination politique par l’économie a échoué, soit des moyens pour imposer la domination économique à des dirigeants politiques récalcitrants.
Le contexte politique du marché transatlantique : les pouvoirs exécutifs européens contre leurs citoyens
Le Congrès américain avait voté, en juin 2015, des pouvoirs accrus au président Obama afin de lui permettre de conclure rapidement des accords commerciaux avec la région Asie-Pacifique et l’Union européenne ; mission aujourd’hui pleinement accomplie par ce président docile pour ce qui concerne l’Asie-Pacifique.
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Concernant le marché transatlantique, les dirigeants français 7 et allemand 8 se déclarent très pressés de mettre un terme aux négociations en cours qui n’ont, de leur point de vue, que trop retardé la signature de ce marché. Les dirigeants occidentaux – gouvernements et commission européenne 9 – s’avèrent en effet extrêmement motivés pour arriver le plus tôt possible à l’étape de la signature ; leur objectif ultime 10 étant d’arriver à faire entrer en vigueur ce grand marché sans passer par l’accord des parlements, nationaux et européen, considérés comme trop lents et peu fiables. Signalons en effet qu’en raison d’une mobilisation citoyenne sans précédent, le Parlement européen a déjà reporté son vote sur ce sujet. Jamais la signature d’accords internationaux n’aura autant mobilisé un public très majoritairement hostile à ces traités 11.
RépondreSupprimerII) Le libre-échange est une négation du concept d’État
Attardons-nous un instant sur le contenu modèle des traités de libre-échange instituant ces grands marchés.
Les barrières tarifaires – c’est-à-dire les droits de douane – et non tarifaires – c’est-à-dire toutes les réglementations protectrices des consommateurs et des citoyens – devront céder face à la sacro-sainte loi de l’investissement et des marchés.
Sous l’empire du libre-échange, aucune législation de juste prévention ou de simple précaution ne pourra plus voir le jour car elle constituera un obstacle aux investissements – plus ou moins audacieux – des grands cartels de l’agro-alimentaire et de l’industrie pharmaco-chimique. Concrètement, place doit être au faite au tout transgénique, aux élevages inhumains et intensifs d’animaux mal nourris et gavés d’antibiotiques (farines animales à des ruminants etc.), aux conditions de conservation douteuse des viandes et poissons (poulets chlorés), aux terres agricoles asphyxiées par les engrais et autres pesticides (dont le fameux round-up descendant direct du défoliant agent orange abondamment répandu au Vietnam par les Américains), à l’utilisation d’huiles impropres à la consommation dans la restauration et l’alimentation humaine etc.
Le libre-échange conduit à faire renoncer les États à une partie substantielle de leurs ressources fiscales – et donc de leur capacité budgétaire – ainsi qu’à leur prérogative régalienne d’édicter des règles générales – puisqu’il leur devient interdit d’édicter toute réglementation protectrice de leurs ressortissants. Ce programme est réalisé par les États dans l’objectif de favoriser, sur leurs territoires, l’implantation de multinationales détenues par quelques personnes.
Dans ce contexte, le libre-échange organise le sabordement, par l’État lui-même, du principe politique étatique. L’objectif du libre-échange est, ni plus ni moins, de voir les États supprimer eux-mêmes leur utilité publique ; ultime raffinement de l’oligarchie qui organise le suicide des États par l’anéantissement de leurs prérogatives régaliennes. En effet, une fois acquise la disparition de la fonction protectrice de l’État, son rôle et sa fonction en viennent tout naturellement à pouvoir être mis en cause – en premier lieu par ceux-là même qui ont organisé son affaiblissement. Une expression française reflète parfaitement cette stratégie politique : «Qui veut tuer son chien dit qu’il a la rage.»
Par ailleurs et pour s’assurer du respect des principes proclamés, le modèle des traités de libre-échange organise une clause, dite de règlement des différends, qui sanctionne la non-application par les États desdits principes.
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La clause de règlement des différends incluse dans le modèle des traités de libre-échange donne aux multinationales le droit d’attaquer en justice les États qui auront eu l’audace d’édicter des réglementations protectrices dont l’effet secondaire serait de réduire ou annuler l’espoir de gain résultant d’un investissement fait par des multinationales.
RépondreSupprimerA propos de cette clause particulière incluse dans le TTIP : pour faire bonne figure devant la levée de boucliers populaires, Cecilia Malmström, la négociatrice pour l’Union Européenne – commissaire européenne en charge du commerce –, envisage de transformer la cour d’arbitrage initialement prévue pour le règlement des différends en tribunal public. Un tribunal public permanent, payé par les con-tribuables européens, serait donc chargé de punir les États qui auront adopté des réglementations protectrices de leurs ressortissants dont l’effet aura été de réduire l’espoir de gain suscité par un investissement. Voilà l’avancée démocratique proposée par l’UE : remplacer une Cour d’arbitrage rémunérée par les parties en cause – entreprise et État – par un «tribunal d’investissement public» intégralement payé sur financement public – c’est-à-dire intégralement payé par les con-tribuables – pour protéger les investissements privés des multinationales. Belle rhétorique des mondialistes !
Le libre-échange est synonyme de «point de droit autre que celui de faire commerce illimité et sans condition de tout et partout» – produits et organes du corps humain inclus – permettant de facto, en raison de la disparition des contre-pouvoirs, l’empoisonnement de l’air, des sols et des aliments par les pesticides et autres productions du très puissant conglomérat pharmaco-chimique.
Le commerce et le libre-échange ne peuvent exister que débarrassés des barrières chargées de réguler le commerce et d’éviter l’accaparement. Dans ce contexte, les nations et leurs institutions apparaissent comme de potentiels freins à l’expansion du commerce tout azimut. Les États et leurs institutions, derniers remparts des peuples, ont – par la loi du libre-échange – vocation à disparaître du paysage politique qui deviendra vierge de tout corps constitué autre que par et pour servir l’oligarchie, laquelle est déjà officieusement au pouvoir.
La finalité du libre-échange est d’être fatal à la démocratie, à la liberté des peuples à disposer d’eux-mêmes, à la liberté individuelle et à la propriété privée pour tous. C’est l’oligarchie à la manœuvre qui profitera, à la faveur de l’illusion, savamment entretenue, de la liberté du commerce pour tous – les mondialistes sont d’incontestables maîtres en rhétorique – de la disparition des contre-pouvoirs étatiques.
Le libre-échange suppose conceptuellement une prise de pouvoir définitive des corps économiques constitués sur les institutions politiques contrôlées par les citoyens. Il est, en réalité, la mise en œuvre, par les élites capitalistiques, d’un objectif géopolitique de domination politique globale. Autrement dit, le libre-échange, élevé au rang de religion, est utilisé par l’oligarchie comme une arme, redoutablement efficace, de destruction des États, des nations, des peuples et des individus. Il sert en réalité les intérêts de la caste des acteurs dominant l’économie mondiale, dont l’ambition ouverte est d’instaurer une ploutocratie mondiale.
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Le pouvoir sans contre-pouvoir, c’est-à-dire le pouvoir absolu, est l’essence même du libre-échange, c’est aussi la définition de la dictature 12. Il en résulte que l’avènement du nouvel ordre mondial (NOM) ne sera rien d’autre que la résurgence au niveau mondial du système féodal : un nouveau système de dépendance et d’asservissement fondé sur la domination monétaire et commerciale, c’est-à-dire le contrôle du monde par les quelques acteurs qui dominent l’économie mondiale.
RépondreSupprimerLa liberté révolutionnaire du commerce, faussement proclamée pour tous, a été, est et sera en définitive le plus sûr moyen de tuer la liberté politique, civile et patrimoniale du plus grand nombre.
Une fois la finalité du libre-échange clairement précisée, intéressons-nous à la raison qui a permis l’émergence d’un principe aussi ouvertement scélérat.
III) L’opacité et la corruption comme méthodologie du libre-échange
Le libre-échange est indéfectiblement lié à une utilisation massive, voire institutionnelle de la corruption ; il s’accompagne de la suppression des débats publics et d’une corruption de grande ampleur des décideurs politiques.
Un exemple canadien, bien qu’ancien, est à cet égard parfaitement instructif. Il laisse apparaître sans aucun doute possible que le libre-échange s’accompagne en coulisse, derrière les beaux et lénifiants discours officiels sur la liberté, d’une volonté puissante de domination et d’une corruption généralisée des élites politiques.
L’anecdote particulièrement significative des objectifs réels du libre-échange, a été rapportée par David Orchard dans son ouvrage Hors des griffes de l’aigle. Quatre siècles de résistance canadienne à l’expansionnisme américain, concernant les visées américaines sur l’État canadien.
Dans cet ouvrage, l’auteur cite le rapport au département d’État américain fait le 13 mai 1854 par un certain Isaac Andrews, agent secret des États-Unis d’Amérique : «Dans le but d’aider les mouvements partisans de l’annexion et du libre-échange au Canada, j’ai versé 5 000 dollars à un rédacteur de journal, 5 000 dollars à un procureur général, 5 000 dollars à un inspecteur général et 15 000 dollars à un député de l’assemblée du Nouveau-Brunswick. J’ai pris par conséquent les mesures qu’exigeait la situation au Nouveau-Brunswick afin de modérer l’opposition et de tranquilliser l’opinion publique. J’ai réussi à me rendre à […] avant la fin de la session de l’assemblée législative du Nouveau-Brunswick et ainsi éviter tout débat sur la proposition de traité de libre-échange à l’étude ou sur toute autre mesure législative néfaste. J’ai déversé plus de 100 000 dollars pour convaincre d’éminentes personnalités d’appuyer l’annexion du Canada par les États-Unis ou, sinon, le libre-échange avec les États-Unis. Mais cette somme n’est rien en comparaison des privilèges qui vont être obtenus de façon permanente et du pouvoir et de l’influence que cela donnera à jamais à notre Confédération.»
Le fonctionnement de l’Union européenne, institution fondée par et pour le libre-échange, est une autre illustration de l’utilisation massive, institutionnellement admise, de la corruption des décideurs publics par les firmes multinationales ; cette corruption porte le doux nom anglais de lobbying. En Union européenne, le pouvoir législatif est entre les mains de décideurs non élus, les commissaires européens, adoubés par les pouvoirs exécutifs européens et d’autres institutions comme le CFR – qui promeut la consolidation économique du monde en blocs régionaux. La Commission européenne est, par construction, toute acquise à la cause oligarchique.
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Plus récemment, les conditions de secret qui entourent la gestation du grand marché transatlantique est une autre manifestation de la vaste entreprise d’opacité, visant à court-circuiter les institutions politiques des États, qui accompagne de façon structurelle le libre-échange. Les élus d’Europe n’ont qu’un accès tardif et réduit aux négociations du grand marché transatlantique, qui ne supportent aucun réel débat public. L’accès aux documents de travail des élus n’est possible que dans des conditions extrêmement surveillées 13. Les parlementaires allemands ayant, sans surprise, davantage accès auxdits documents que les parlementaires des autres États, tout en ayant une interdiction formelle de les photocopier 14.
RépondreSupprimerConclusion : de la liberté du commerce à la disparition de la civilisation
Le libre-échange organise au niveau mondial un pur schéma de prédation économique qui a tôt fait de se transformer en prédation politique, géopolitique et civilisationnelle. Cette prédation ultime est une conséquence mécanique de la prédation économique qui génère spontanément une énorme concentration de capitaux. Les très grandes entreprises, dirigées par leurs actionnaires majoritaires, prennent le contrôle institutionnel des États au moyen du libre-échange.
Le champ d’action de la liberté totale du commerce, compris comme la domination géopolitique de la caste des grands capitalistes, n’est plus, aujourd’hui, limitée que par les seules connaissances techniques et scientifiques ; elle se développe et progresse à mesure que progressent ces dernières. Ainsi, alors que la société commerciale permet de faire commerce de tout type de biens, licites ou illicites, elle permet aujourd’hui d’intégrer au commerce non seulement le corps humain mais aussi et surtout les produits et parties de celui-ci, remettant fondamentalement en cause la notion d’intégrité du corps humain. L’objectif à peine inavoué des principaux capitalistes à l’œuvre paraît bien être la possession de l’éternité, qui justifie les énormes capitaux investis – notamment par une entreprise comme Google – dans le projet transhumaniste.
Au-delà de la destruction des États, la liberté totale du commerce a pour conséquence sociologique d’engendrer une déstructuration profonde des sociétés humaines traditionnellement fondées sur un ancrage géographique et sur l’affection filiale et intergénérationnelle. Elle a également pour effet – à moins que ce ne soit un objectif ? – de détruire l’intégrité du corps humains, ravalant l’Homme au rang de bien matériel. Le libre-échange préfigure un monde dans lequel les classes financièrement inférieures seront reléguées au rang de fournisseur de pièces de rechange corporelles pour les plus riches.
Au bout du chemin du libre-échange il y a non seulement la disparition des États nations mais encore, et surtout, l’asservissement généralisé, voire même, un pas plus loin – si l’on en croit les indications du Georgia Guidestones – la disparition d’une bonne partie des populations vivant sur terre.
Cette voie, toute tracée pour nous par l’oligarchie à la manœuvre, n’est pas inéluctable. Nous verrons plus tard 15 que ce projet de domination planétaire, entièrement fondé sur la notion d’entreprise, peut être stoppé par une simple appropriation juridique par les États du concept d’entreprise. En d’autres termes, la survie – de la liberté et de l’humanité – suppose que l’entreprise de type capitalistique réintègre le corps social, dont elle a – grosso modo depuis la Révolution française – émergé comme une tumeur cancéreuse sur un organe sain. Un tel retournement des choses aurait pour effet de remettre le fait économique dans le giron du fait politique et de rendre à la notion d’État ses lettres de noblesses. Quel État, quel chef d’État, en sera capable ?
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Valérie Bugault est Docteur en droit, ancienne avocate fiscaliste, analyste de géopolitique juridique et économique
RépondreSupprimerÀ Suivre…
Vendredi prochain même heure jusqu’en avril
Notes
1. Lire à cet égard les articles à venir sur la géopolitique des banques centrales ainsi que celui qui sera consacré au fonctionnement des banques et des entreprises ?
2. Traité sur le Fonctionnement de l’Union européenne ?
3. http://lewebpedagogique.com/grunen/accords-de-bretton-woods-22-juillet-1944/ ; http://abc.economie.free.fr/gratuit/brettonwoods.html ?
4. http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/10/05/partenariat-transpacifique-un-accord-entre-les-etats-unis-et-onze-pays_4782836_3234.html ; http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2016/02/04/97002-20160204FILWWW00001-l-accord-de-partenariat-transpacifique-signe.php ?
5. Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine, de Carroll Quigley, publié aux États-Unis en 1981 et traduit en français cette année, avec une préface de Pierre Hillard ?
6. Lire nos articles concernant la géopolitique des banques centrales et le fonctionnement des entreprises et des banques ?
7. http://www.euractiv.fr/section/commerce-industrie/news/francois-hollande-veut-accelerer-les-negociations-commerciales-avec-les-etats-unis/ ; http://reporterre.net/La-mobilisation-contre-le-Traite ?
8. http://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20150305triba7dc96c4a/ttip-merkel-veut-signer-avec-les-etats-unis-en-2015.html ?
9. http://www.latribune.fr/opinions/blogs/vu-de-bruxelles/cecilia-malmstrom-une-infirmiere-au-chevet-du-ttip-475734.html ?
10. Voir par exemple : https://stoptafta.wordpress.com ?
11. http://fr.novopress.info/191459/25-millions-signatures-contre-tafta-poubelle/ ;
http://www.marianne.net/susan-george-32-millions-signatures-contre-tafta-c-est-premiere-europe-100237158.html ; http://www.upr.fr/actualite/monde/tafta-l-upr-lance-une-grande-petition-pour-demander-a-francois-hollande-l-organisation-d-un-referendum ;
http://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/europe-etats-unis-pourquoi-le-traite-tafta-ne-verra-pas-le-jour-en-2015_1643110.html ?
12. La dictature est, selon le dictionnaire Larousse, un «régime politique dans lequel le pouvoir est détenu par une personne ou par un groupe de personnes qui l’exercent sans contrôle, de façon autoritaire». ?
13. https://stoptafta.wordpress.com/2016/01/07/acces-des-eurodeputes-aux-documents-de-negociation-sur-le-tafta-ttip/ ; pour l’accès limité aux parlementaires français :
http://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/arret-des-negociations-du-tafta-le-double-jeu-de-la-france_1720112.html ?
14. http://danielleauroi.fr/?p=10599 ;
http://fr.sputniknews.com/opinion/20160127/1021251518/tafta-allemagne-documents-secrets.html ?
15. Les articles à suivre concernant la géopolitique de l’entreprise (parties 5 et 6)
http://lesakerfrancophone.fr/decryptage-du-systeme-economique-global-27-geopolitique-du-libre-echange
L’Italie est maintenant le plus grand exportateur de vin du monde
RépondreSupprimerReeva Verlinden
4 mars 2016
En 2015, l’Italie est devenue le plus grand exportateur et producteur de vin mondial et les Etats-Unis, le plus grand consommateur de vins italiens. « Aujourd’hui, une bouteille exportée sur 5 vient d’Italie, le plus grand exportateur du monde », indique l’association agricole italienne Coldiretti dans un communiqué.
Le pays a exporté pour un chiffre record de €5 milliards, une augmentation de 575% en 30 ans, dit l’étude, qui a examiné comment le secteur s’était récupéré suite au scandale du méthanol en 1986, qui avait fait 23 morts, et rendu d’autres personnes malades sur le plan neurologique, ou aveugles.
L’association rappelle que l’image des produits italiens était alors gravement compromise, mais que cela avait aussi été le point de départ d’une révolution ayant permis à l’Italie de conquérir la première place.
Les appellations
L’amélioration forcée de la qualité du vin a provoqué l’augmentation des appellations, qui sont maintenant classifiées selon les labels de qualité: DOC pour Denominazione di origine controllata (‘appellation d’origine contrôlée’), DOCG pour Denominazione di Origine Controllata e Garantita (‘appellation d’origine contrôlée garantie’), ou IGT pour Indicazione Geografica Tipica (‘Indication Géographique Typique’).
Le premier pays consommateur de vins italiens, les USA, a importé pour €1,3 milliards en 2015, 13% de plus qu’en 2014, rétrogradant l’Allemagne en seconde position et la Grande-Bretagne en troisième.
La demande de Chianti et de Barolo continue d’augmenter en Chine, qui a importé pour €80 millions de vins italiens (18% d’augmentation), alors que le marché japonais augmentait de 2%.
En octobre, l’International Organisation of Wine avait consterné la France en annonçant que l’Italie était devenue le plus grand producteur de vin, détrônant les producteurs de l’hexagone.
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Zika : le lien entre le virus et la microcéphalie scientifiquement établi
RépondreSupprimerL'Express
ven., 04 mar. 2016 05:13 UTC
-- Commentaire : Reprise d'un commentaire précédent, avec modification.
Nous apprenons que Zika peut-être le déclencheur de certaines maladies, dans certaines conditions. Ils se trouve que ces maladies font aussi partie des effets secondaires générés par les vaccins : épilepsie, schizophrénie, TDHA, autisme, syndrome Guillain-Barré. Il serait intéressant de faire un comparatif entre les campagnes classiques de vaccination des populations, les zones ou le virus sévit, et l'apparition des maladies mentionnées ci-dessus...
Selon une étude étouffée, les vaccins activent les maladies auto-immunes
- Zika : cui bono ?
- Virus Zika : les moustiques génétiquement modifiés à la base de l'épidémie ?
- Zika, moustique OGM : petites expérimentations entre amis ?--
Au Brésil, Matheus et Kleisse s'occupent de leur fils de deux mois, Pietro, atteint de microcéphalie
Une étude, publiée ce vendredi, établit la preuve d'un lien, jusqu'alors soupçonné, entre le virus Zika et la microcéphalie du fœtus.
Zika attaque et détruit des cellules cérébrales humaines en développement, ont démontré des chercheurs en laboratoire, établissant la première preuve scientifique d'un lien entre ce virus et la microcéphalie du fœtus, selon une recherche publiée vendredi. Jusqu'alors, cette relation de cause à effet n'avait pas été prouvée scientifiquement, mais le virus était fortement soupçonné d'être à l'origine des nombreux cas de microcéphalies - une taille anormalement petite du crâne et du cerveau des nouveau-nés - observés en particulier au Brésil où sévit l'épidémie. Cette malformation, grave et irréversible, se caractérise par une taille anormalement petite du crâne et du cerveau des nouveau-nés.
Près d'un tiers des cellules détruites
Les chercheurs ont travaillé avec des cellules souches humaines cultivées in-vitro, et leur résultat a été publié dans la revue américaine Cell Stem Cell. Ils ont déterminé que le virus infecte de façon sélective les cellules souches qui forment le cortex cérébral les empêchant de se diviser normalement pour former de nouvelles cellules ce qui entraîne leur destruction.
"Les études menées sur des fœtus et des nouveaux-nés atteints de microcéphalie dans les zones géographiques touchées par l'infection de Zika, avaient mis en évidence des anomalies dans le cortex et le virus avait aussi été découvert dans des tissus fœtaux", relève dans un communiqué Guo-li Ming, professeur de neurologie à L'Institut d'ingénierie cellulaire à l'Université John Hopkins dans le Maryland, co-auteur de cette étude.
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Pour ces expériences, les scientifiques ont exposé trois types de cellules humaines au virus Zika. Comme anticipé, le virus Zika a attaqué les cellules neuronales progénitrices humaines et après trois jours, 90% étaient infectées et près d'un tiers ont été détruites. Certaines cellules infectées ont été aussi utilisées par le Zika pour produire de nouvelles copies de lui-même. De plus, les gènes qui normalement se mobilisent pour combattre des agents viraux envahisseurs n'ont pas fonctionné ce qui est très inhabituel, soulignent ces scientifiques.
RépondreSupprimerEn revanche, les deux autres types de cellules humaines testés dans cette expérience de laboratoire (cellules-souches et neurones) ont largement été épargnées par le virus.
Vers un dépistage rapide de l'infection?
"Nos résultats démontrent clairement que le Zika peut directement infecter les cellules neuronales progénitrices humaines in vitro....avec une grande efficacité", conclut l'étude. "Maintenant que nous savons comment ces cellules neuronales formant le cortex cérébral sont vulnérables au Zika, elles pourraient aussi être utilisées pour un dépistage rapide de l'infection et mettre au point de nouvelles thérapies potentielles", explique Hongjun Song, également chercheur de l'Institute for Cell Engineering et co-auteur de l'étude.
En dehors du fœtus, le Zika lui-même, transmis le plus souvent par la piqûre d'un moustique, ne présente pas de danger, provoquant dans le pire des cas des symptômes de rhume ou de légère grippe, passant même parfois inaperçu. Mais avec sa propagation rapide dans plus d'une quarantaine de pays, surtout l'Amérique du Sud et les Caraïbes, on le suspecte d'être responsable du nombre inhabituellement élevé des cas de microcéphalie et d'autres syndromes graves, en particulier le syndrome de Guillain-Barré qui attaque le système nerveux.
A ce jour au Brésil, pays le plus touché par l'épidémie, 583 cas de microcéphalie ont été confirmés depuis octobre 2015, soit quatre fois plus que la moyenne annuelle historique. Vendredi, des scientifiques en Colombie ont fait part du premier cas de microcéphalie lié au Zika, selon la revue britannique Nature.
http://fr.sott.net/article/27823-Zika-le-lien-entre-le-virus-et-la-microcephalie-scientifiquement-etabli
L'imprimerie : Une grande manière d'imbécile gens
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 04/03/2016 20:05 -0500
Via SchiffGold.com,
Dans son plus récent caméscope or pour SchiffGold, Albert K Lu a interviewé John Rubino, fondateur de DollarCollapse.com. Rubino avait un assez convaincante explication de pourquoi il n'a pas été un énorme, a subi un effondrement économique il y a dix ans, et pourquoi il pense que c'est toujours TAPI à l'horizon.
« La raison pour laquelle nous sommes toujours là, quand nous vraiment devrions avoir sont effondrées basé sur combien dette il était là-bas et diverses autres mesures d'instabilité, est qu'une presse d'imprimerie s'est avéré être un excellent outil pour tromper les gens. »
Rubino a souligné que c'est la première fois dans l'histoire humaine que tous les gouvernements du monde sont armés avec une presse d'imprimerie de monnaie fiat pratiquement illimitée. La capacité de créer l'argent hors de l'air a permis aux gouvernements de prendre sur la dette plus que tout le monde imaginé possible. Rubino a noté que les économistes il y a 20 ans ne pouvait pas imaginer $ 7 billions d'obligations négociées à des taux d'intérêt négatifs et la dette mondiale à 300 % du PIB mondial, mais c'est là où nous sommes aujourd'hui. Il a poursuivi en expliquant comment le monde entier a pour aider les réserve fédérale Gardez les choses boitant après la crise de 2008. Par exemple, poste 2009, la Chine a emprunté plus d'argent que n'importe quel pays a jamais emprunté dans l'histoire.
Rubino dit il n'y a aucun moyen de savoir quand l'économie va frapper le mur, mais il sera probablement très bientôt. à un certain moment les banques centrales et gouvernements vont manquer de la capacité d'emprunter et d'imprimer, et ils devront repartir vivre selon leurs moyens.
Selon Rubino, il va y avoir une transition douloureuse. Donc, ce que cela signifie pour or? Lu et Rubino partagent leurs idées.
Suivre la transcription complète :
Albert : Tempêtes or vers le haut comme des actions américaines luttent pour étendre la strie. Salut, je suis Albert Lu, Bienvenue à SchiffGold. Qu'était un titre hors de MarketWatch et alors que la crise financière mondiale continue, l'intérêt en or semble croître. L'or est près de 16 % cette année, et que nous approchons de la réunion de mars de la Fed, c'est plus encore et plus que cette hausse des taux attendue pourrait être hors de la table. Me rejoindre maintenant est John Rubino, qui gère également les DollarCollapse.com et il est le co-auteur, l'effondrement du Dollar et comment, au Profit d'elle, ainsi que beaucoup d'autres beaux livres. John, Merci pour se joindre à moi aujourd'hui. Comment vas-tu?
John: bon, Merci de m'avoir sur, Albert. Bien de te parler.
Albert: bon d'en parler à toi, Jean. Je dois vous demander, tout d'abord, quand vous êtes sorti et a obtenu de ce domaine, dollarcollapse.com, vous pensiez à un bail de deux ans ?
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John: Oui, j'ai effectivement attendiez-vous ce concert particulier pour durer juste quelques années puisqu'il s'agissait de 2004 lorsque j'ai créé le site original de dollarcollapse.com. Et il ne semblait pas vraiment comme si le système financier mondial était au bord du précipice. J'ai pensé la chronique de notre descente dans le chaos financier pour une couple d'années et ensuite passer à autre chose. Mais l'histoire s'est avéré avoir des jambes. Nous avons gardé il ensemble plus ou moins de manières que je ne m'attendais que nous soyons en mesure de. Et que la raison pour laquelle nous sommes encore, lorsque nous vraiment devrions avoir sont effondrées basé sur combien dette il était là-bas et diverses autres mesures d'instabilité, voici qu'une presse d'imprimerie s'est avéré être un excellent outil pour tromper les gens. C'est la première fois dans l'histoire humaine que tous les gouvernements du monde sont armés avec essentiellement une fiat illimitée monnaie imprimerie. Et alors, il leur a permis d'assumer plus de dettes que semblait réalisable basé sur l'histoire. Et de manipuler les taux d'intérêt à des niveaux que je ne pense pas que qui que ce soit vraiment prévu. Nous sommes dans un monde de taux d'intérêt négatif maintenant, ou nous entrons dans l'il. Et si vous avait passé 20 ans en arrière et a demandé 100 économistes si le monde n'a pas été possible, ils l'ont dit, "non, pas moyen. Vous n'aurez jamais de $ 7 billions d'obligations à taux d'intérêt négatifs, et vous n'aurez jamais la dette mondiale à 300 % du PIB mondial ; C'est tout simplement pas possible. » Et pourtant nous sommes ici. Mon sentiment et mon opinion là-dessus est que nous n'a pas fait réparer n'importe quoi. Nous avons fondamentalement juste acheté nous-mêmes temps accumuler une dette encore plus à nous mobiliser encore plus catastrophique et puis faire le calcul éventuel qui beaucoup plus grave. Je pense que ce qui va être différent de tout ce qui s'est passé dans la mémoire vivante, certainement, quelque chose de comparable à la dépression, mais sans doute bien pire. Et donc nous avons une décennie très intéressante devant nous, Albert. Et je souhaite que les détails étaient aisément prévisibles, mais ils ne sont pas, sauf pour dire volatilité et le chaos sont la règle pour notre ici futur immédiat.
RépondreSupprimerAlbert: Oui. Je pense que vous frappez sur quelque chose de très important il. Fondamentalement, nous avons je pense, c'est près de la moitié d'une négociation avec des rendements négatifs de la dette souveraine. Rendements négatifs persistants vers le haut de la courbe de rendement, jusqu'à cinq ans dans certains cas. Je pense qu'il a beaucoup aidé, et c'est peut-être ce qui ne était pas pris en compte dans nos calculs est à quel point le monde, le reste du monde pourrait aider la Banque centrale américaine dans ce jeu que nous jouons. Si les États-Unis devaient porter l'ensemble de l'économie sur le dos, je pense que nous aurions vu que, peut-être pas l'hyperinflation, mais nous aurions vu quelque chose de très mauvais. En s'articulant autour, en demandant l'aide de la Banque du Japon, en demandant l'aide de la BCE, je pense que cela s'est propagé peu les symptômes de la catastrophe qui parle de vous et James.
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John: Oui. Message 2008-2009, la Chine a emprunté par exemple vraiment plus d'argent que n'importe quel pays a jamais emprunté dans l'histoire. Et c'était le grand pilote de « récupération » de ces dernières années. Ils ont juste acheté toutes les ressources naturelles dans le monde et a conduit le prix du minerai de fer et cuivre et du bois, huile à travers le toit. Et qui a créé un boom de la ressource globale. Et qui a tiré essentiellement nous sortir de la, ce qui aurait été une dépression après 2008-2009. Mais bien sûr, cela a été fait par l'intermédiaire des quantités énormes de nouvelles dettes. Et donc, le monde est maintenant quelque chose comme $ 60 billions plus endettée qu'il était à l'époque où la dette a été si accessible qu'elle presque sauter le système financier mondial en 2008. Et oui, la Banque centrale européenne et la Banque du Japon et la Fed nous, ainsi que la Banque de Chine populaire et le gouvernement chinois ont genre des allé retour en arrière d'emprunts d'argent et ensuite lui donnant les uns aux autres. Et ils ont permis au système s'accrocher pour beaucoup plus longtemps qu'il aurait s'il s'agissait d'un seul pays à faire des choses comme ça. Mais ce n'est pas une machine à mouvement perpétuel ; Nous ne pouvons pas continuer comme ce pour toujours, parce que nous construisons une dette de plus en plus. Et les grandes banques sont plus grands que jamais, ils sont plus mobilisés que jamais. Cette fois, les marchés émergents ont été tirés dedans avec quelque chose comme $ 9 billions de dette qu'ils ne parviennent pas libellée en dollars. Si à un certain moment, il explose. Et puis la question est, est-ce cette année ou est-il 2017 ou 2020 ? Il n'y a aucun moyen de savoir quand nous avons atteint ce mur. Mais je pense qu'il est très probable, sinon absolument garanti que nous frapper le mur très bientôt. Nous ne pouvons continuer pendant des décennies plus que nous sommes allés pour les trois dernières décennies. à un certain moment, nous manquer fondamentalement de la capacité d'emprunter et d'imprimer, et nous devons repartir vivre selon nos moyens. Et à ce moment-là, nous devons passer par une transition de ce qui est aujourd'hui insoutenable, pour quoi que nous fassions après ce qui est durable. Et il va y avoir une transition très douloureuse. Et il n'y a vraiment que deux façons d'arriver ; soit toute la dette ou la majeure partie de la dette que nous avons prises sur les valeurs par défaut, et nous avons un années 1930 de style dépression déflationniste, ou nous gonfler notre chemin hors de lui. C'est assez nouvelle monnaie pour faciliter les dettes d'aujourd'hui, nous créons, mais ce faisant, nous risquons de gens perdent la foi dans la fiat monnaies que nous créons avec une telle abandonnent et se retrouver avec une crise de change, et c'est tout. Ce sont nos deux choix. Les prochaines années permettra de déterminer lequel de ces cours que nous finissons par, et quel genre de crise que nous avons choisi, mais nous pouvons seulement a choisi l'un ou l'autre, c'est tout ce qui reste.
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Albert: et clairement la préférence des grands penseurs aux banques centrales mondiales serait à gonfler la dette, donc pour cibler les taux d'inflation positifs, ceux qui sont supposés être une bonne chose. C'est 2 % maintenant ; Je vois que très bien en les augmentant. Mais la conséquence de cela, bien sûr, est que le marché reconnaît l'inflation des prix. Maintenant, or n'a pas été répondu, mais il semble que peut-être cette correction est approcher maintenant parce que l'or est en train de répondre de la façon dont vous attendez il répondre. Et une partie de la conséquence d'avoir cela être un effort mondial, toutes les banques centrales participant à différentes devises est parfois l'appréciation en or est masquée, ce qui signifie que le dollar américain comme unité de compte, le dollar américain pas participe à cette guerre des monnaies, mais dans d'autres monnaies, je crois que vous auriez vu la hausse or.
RépondreSupprimerJohn: Oui. Eh bien, le dollar américain est la monnaie la plus forte dans le monde depuis ces dernières années. Et c'est en grande partie parce que... nous ne sommes pas en grande forme, mais nous attendons relativement bonnes par rapport au reste du monde. Donc beaucoup de capital circule dans aux États-Unis et qui crée une demande de dollars et le pousse vers le haut la valeur du dollar. Mais oui, comme vous le dites, si vous la valeur de l'or dans pratiquement n'importe quelle autre devise que c'est maintenant. Donc le marché baissier de l'or a pris fin quelque temps en 2013 ou 2014 selon le pays que vous êtes en se concentrant sur, et c'est été monter depuis lors. Et enfin, enfin, il a commencé à remonter en dollars. Donc, si c'est le début d'une nouvelle Etape dans le marché de l'or, ou juste une sorte d'une fausse sortie, avant que nous obtenions une jambe vers le bas plus avant le marché de l'or se poursuit, nous ne pouvons savoir que jusqu'en rétrospective, qu'après. Mais quand le marché haussier or reprend, c'est ce qu'il vous envie, c'est ce que sera le stade précoce. Et donc maintenant la question est, elle continuera sur le reste de l'année ? Je ne sais pas. Mais finalement, parce que l'or est la forme de monnaie que l'humanité a utilisé depuis 3 000 ans, et il a jugé sa valeur pour tout ce temps, elle tend à être où nous cacher quand les choses deviennent fous. Et comme les choses deviennent plus fou et plus fou et de plus en plus capital va s'écouler en or, et aussi en argent, afin que les autres choses étant égales par ailleurs, vous verrez une pression à la hausse sur leurs prix, même lorsque les prix en dollars au cours des prochaines années. Si c'est une progressive gentil, un peu à un marché haussier de temps ou une parabolique quand tout d'un coup en l'espace de quelques mois, nous voyons un autre $ 1 000 ajouté à or est prix en dollars, nous ne pouvons pas savoir, parce que cela dépend de l'autre substance qui va se passer là-bas. Nous aurons une guerre qui fait rage au Moyen-Orient qui faussent le commerce mondial ? La Chine aura une crise de crédit atterrissage dur ? Est l'Union européenne ou la zone euro va faire tourner dehors ? Et le dollar va faire quelque chose de fou comme spike d'ici ou à l'automne d'ici ? Nous ne pouvons pas connaître ces choses.
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Mais nous pouvons dire avec un certain degré de certitude basé sur l'histoire que les choses vont vraiment volatil, et qu'ils obtiendront plus fou et plus fou que cette dette mord vraiment. Comme nos mauvaises décisions du dernier venu maison au perchoir et le monde sera parmi les bénéficiaires de cela, parce que c'est la manière dont il est travaillé dans toutes les précédentes crises monétaires. Vous pouvez revenir à l'Empire romain et la France dans les années 1700 et Weimar, Allemagne ; il a toujours été le même. Flux d'argent hors de ces mal géré les monnaies fiat et en argent réel comme, or et argent. Il n'y a aucune raison de penser que cela ne se reproduira plus, et la seule question est calendrier.
RépondreSupprimerT: AlberJohn, avec seulement une minute à gauche, je tiens à obtenir votre opinion sur deux points. Nous avons obtenu une décision assez importante à venir en mars ; la Fed va décider de faire une pause ou pour aller de l'avant. Je pense que cette fois, il peut être différent, ce qui signifie que cette fois, or va gagner de toute façon au moins par rapport à la bourse, parce que si la Fed soulage, bien sûr, les stocks obtiendra une pause. Mais les investisseurs semblent être sensibilisés à l'inflation maintenant, donc je m'attends or pour monter plus. Si la Fed se resserre, or peut descendre, mais je pense que le marché boursier va juste être occultée. Ainsi, je veux obtenir votre opinion là-dessus. Et puis finalement comme nous fermer, où voyez-vous or va à la fin de l'année ?
John: Eh bien, permettez-moi de prendre d'abord la deuxième question. Je suis terrible à faire des prédictions à court terme, donc je n'ai absolument aucune idée. Gold peut être 900 $ ou $2.000 à la fin de l'année. Et ces deux crises serait justifiables basé sur tout ce qui se passe immédiatement sur les marchés financiers. Mais la première partie de votre question, je pense, est très intéressante, parce qu'il est possible que, quoi qu'il arrive au marché boursier et obligataire, les rendements et des choses comme ça, que capital va s'écouler en or à l'avenir, car or ne répond pas à un ensemble particulier de données économiques, mais à la volatilité et du stress sur les marchés. Donc si les choses semblent vraiment imprévisible et vraiment volatile, et effrayer les gens, ils passeront une partie de leur argent en or. Et beaucoup de choses peut effrayer les gens là-bas – une hausse parabolique en stock prix qui coïncident avec un marché baissier en obligations qui pourraient envoyer des gens en métaux précieux. Mais un effondrement de la bourse, même chose. Ce que nous avons vu en janvier de cette année, lorsque les stocks descendirent durs, et beaucoup de cet argent qui a été retiré de la bourse s'écoulait en métaux précieux ; donc l'or est passé, qui pourrait se produire trop. Je pense qu'à long terme, je n'ai aucune idée au sujet de cette année, mais à long terme l'or est un bénéficiaire de l'instabilité qui en découle nécessairement trop d'emprunts. Et donc, je pense que les gens qui achètent or progressivement, dès maintenant, pas tout à la fois à un prix donné, mais un peu à la fois sur une longue période de temps vont être heureux, qu'ils l'ont fait que cinq ans a partir de maintenant. Et qui sait à quoi ressemblera le monde, mais je pense que ça va être un monde plus stressant que d'aujourd'hui, et or sera un antidote au stress du monde en ce moment.
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Albert: c'est très bons conseils, John. Nous sommes hors du temps, alors je dois vous laisser aller. Je vous remercie beaucoup pour me rejoindre sur le programme d'aujourd'hui. Je l'apprécie vraiment.
RépondreSupprimerJohn: Merci Albert aimé ça.
http://www.zerohedge.com/news/2016-03-04/printing-press-great-way-fool-people
Gallup: "le montant de la dette américaine supportée est stupéfiante et croît chaque jour"
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 04/03/2016 17:08 -0500
Et les révélations continuent d'affluer tout de suite.
Un jour après que la Fed de Saint Louis a passé des milliers dans les fonds du contribuable à « découvrir » que, le souffle coupé, «consommateurs partout au pays empruntent davantage pour acheter des voitures et aller à l'école», oui vraiment...
Les consommateurs à travers le pays empruntent davantage pour acheter des voitures et aller à l'école https://t.co/mkKAoVya2o pic.twitter.com/DxMiHo7kki
— St. Louis nourris (@stlouisfed) 3 mars 2016
... aujourd'hui c'est au tour de Gallup à souligner ce qui a été très clair à tous les types de non-économiste et est la raison pourquoi la récupération de ce que l'on appelle reste rien d'autre qu'un mythe, à savoir que "américains sont enterrés sous une montagne de dette."
Plus de John Gleming :
• Les américains qui n'ont pas assez pour vivre confortablement transporter des soldes de carte de crédit supérieurs
• Ceux qui aiment dépenser de l'argent économiser plus de transporter plus de carte de crédit dette
• Dette étudiante associée à un niveau plus élevé de l'endettement
Le montant de la dette Qu'américains portent est stupéfiant et croît chaque jour.
Un précédent article explore les types et quantités d'endettement des consommateurs américains transportant, autres que les prêts hypothécaires. Gallup a trouvé que seulement un sous-ensemble des américains porte la majeure partie de la dette à la consommation. Cet article examine comment la dette de consommation affecte différents groupes d'américains, surtout millennials.
Ceux sans assez pour vivre confortablement utilisent les cartes de crédit pour compléter leurs ressources
Deux-tiers des Américains disent qu'ils ont assez d'argent pour vivre confortablement, avec les plus traditionalistes (76 %) et les baby-boomers (67 %) disent qu'ils font que la génération y (62 %) et la génération x (61 %).
Ceux qui disent qu'ils n'ont assez l'argent pour vivre confortablement semblent être en utilisant leurs cartes de crédit pour compléter leurs ressources disponibles avec crédit d'intérêt élevé. Il semble que même si leurs consommation totale dette soldes sont 17 % inférieurs à ceux des américains, qui disent qu'ils faire avoir assez d'argent pour vivre confortablement, à travers toutes les générations sauf traditionalistes, les Américains disent qu'ils n'ont pas assez d'argent pour vivre confortablement transporter 36 % plus grandes soldes de carte de crédit que ceux qui disent qu'ils n'ont pas assez d'argent.
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La différence est particulièrement aigue parmi la génération y, où ceux qui disent qu'ils n'ont pas assez d'argent pour vivre confortablement transporter trois fois plus de carte de crédit dette que ceux qui disent qu'ils ont assez d'argent. Génération y, qui disent qu'ils n'ont pas assez d'argent pour vivre confortablement aussi comporter plus dette de prêt auto et prêt personnel que la génération y qui dit qu'ils ont assez d'argent. Génération y est la seule génération où ceux qui disent qu'ils n'ont pas assez d'argent pour vivre confortablement portent la dette de consommation totale de 8 % de plus que ceux qui disent qu'ils avez assez d'argent .
RépondreSupprimerLes américains jouissent-ils économiser de l'argent ou dépenser de l'argent plus ?
Gallup effectue le suivi si américains profiter d'économies d'argent ou de dépenser de l'argent plus depuis 2001. En 2001, 48 % des américains apprécié enregistrant plus de dépenser de l'argent. La préférence pour dépenser de l'argent est resté à 48 % en 2005 et a ensuite commencé une baisse, ce qui a accéléré au cours de la grande récession.
Au plus fort de la grande récession en 2009, seulement 39 % des américains apprécié enregistrant plus de dépenser de l'argent. Le point faible pour une préférence à dépenser est venu en 2014, alors que 35 % dit qu'ils jouissent enregistrant plus de dépenser de l'argent. En 2015, la préférence des dépense s'est glissée retour jusqu'à 37 %. Dans la recherche actuelle, 39 % des américains dit qu'ils jouissent de plus de sauver, tandis que les 61 % restants profiter d'économiser plus d'argent de poche. Aucune de ces pourcentages s'écarte sensiblement de génération.
Ceux qui disent qu'ils aiment dépenser de l'argent plus tendent à gagner plus, mais également de transporter plus de dette.
Entre les générations, ceux qui aiment dépenser de l'argent plus comprend une plus grande proportion de ceux qui font $ 48 000 par an ou plus que le groupe de ceux qui préfèrent économiser de l'argent, qui comprennent une plus grande part de ceux qui font moins de $ 48 000. Le revenu annuel moyen des dépensiers est un peu plus de $ 78 500, 9 % plus élevée que pour les épargnants à un peu plus $ 72 000.
L'exception est millénaire, où la tendance est inversée. Parmi la génération y, les épargnants ont une proportion plus élevée de ces faisant la somme de 48 000 $ par année ou plus dépensiers, qui ont une plus grande part de ceux qui font moins de $ 48 000. Même avec ce modèle de revenu annuel, cependant, le revenu annuel moyen des épargnants millénaires est de 5 % inférieure à celle du millénaires dépensiers.
En règle générale, ceux qui aiment dépenser de l'argent plus portent plus dette de carte de crédit (81 %), plus la dette étudiante (4 % de plus), auto plus la dette (6 %) et la dette plus personnelle (37 %) que ceux qui préfèrent l'enregistrer.
Générationnelle, les seules exceptions à cette tendance sont parmi la génération x et les baby-boomers. Génération x qui aiment dépenser de l'argent plus transporter moins prêt aux étudiants (24 %) et moins auto prêt dette (11 %), mais double la dette de carte de crédit (102 %) et de manière significative la dette plus personnelle (75 %) que les épargnants. Et baby-boomers qui aiment dépenser de l'argent plus porter la dette nettement moins personnelle (23 %) que ceux qui préfèrent l'enregistrer.
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Parmi la génération y, ceux qui aiment dépenser de l'argent plus transporter plus de carte de crédit dette (58 %), plus la dette étudiante (23 %), auto plus la dette (26 %) et la dette plus personnelle (18 %) que la génération y qui préfèrent sauver.
RépondreSupprimerGallup compare les différences de revenu et de la consommation totale dette entre ceux qui préfèrent dépenser de l'argent plus et ceux qui préfèrent l'enregistrer, génération x, génération du baby-boom et traditionalistes qui aiment dépenser de l'argent plus portent leur différence de revenu dans la dette de consommation supplémentaire. En d'autres termes, le rapport de la différence de la dette de consommation total divisée par la différence de revenu annuel entre ces deux groupes est environ 1,1 à 1 pour les membres de ces générations qui aiment dépenser plus.
Pour ceux qui dépensaient millénaire, cependant, le ratio est de 2,5 pour 1. En d'autres termes, ceux qui dépensaient millénaire transporter dette de consommation 2,5 fois plus que la différence de leurs revenus annuels par rapport aux épargnants.
Dette étudiante associée à un niveau plus élevé de l'endettement
Profitez de près de quatre sur 10 américains enregistrant plus de dépenser de l'argent, et ils portent une plus grande charge de la dette dans tous les domaines, même si leur revenu annuel est supérieur à ceux qui aiment économiser plus. Et même chez les personnes qui disent qu'ils ne sont pas avoir assez d'argent pour vivre confortablement, près d'un tiers (32 %) encore profiter de dépenser de l'argent plus d'enregistrer, même si cela signifie empilage sur plus de dette, en particulier les dette de carte de crédit. Ce groupe compte parmi les plus hauts niveaux de dette de carte de crédit--60 % plus élevé que tout le monde.
La dette étudiante--bien que pas très répandue--est associée avec les plus hauts niveaux d'endettement pour toutes les générations, mais surtout pour la génération y. Et comme l'illustrent les données, ceux dont la dette étudiante sont également plus susceptibles de contracter un prêt de voiture, ajoutant à leur endettement déjà élevé.
Pour les prêts aux étudiants, cette dette représente en moyenne 36 % de revenu annuel son, pourcentage le plus élevé parmi tous les types de dette à la consommation. En moyenne, total des comptes de la dette de consommation 37 % du revenu annuel--, mais elle représente 57 % du revenu annuel parmi les prêts aux étudiants. Il s'agit d'un pourcentage énorme lorsque considéré contre toutes autres demandes financières personnelles, telles que l'hypothèque ou loyer, nourriture, télécommunications (y compris Internet et cable), assurance, épargne et placements et carburant et auto entretien, dans les autres dépenses. Bien peu est le surplus de dépenses discrétionnaires et jusqu'à récemment, avaient été diminution de dépenses discrétionnaires en Amérique.
À l'exception de la génération y, ceux qui aiment dépenser de l'argent plus d'épargne correspond à la différence de leur revenu annuel (sur les épargnants) avec l'endettement des consommateurs supplémentaires qu'ils portent (sur les épargnants). Millénaires dépensiers, reporter, 2,5 fois plus de dettes que leur différence de revenu épargnants.
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Ces résultats suggèrent qu'une partie importante de chaque génération est enterrée sous une montagne de plusieurs types différents d'endettement des consommateurs. Si les tranches assez importantes de chaque génération ne portent aucune dette, l'ampleur de combien dois américains avec la dette est une source d'inquiétude.
RépondreSupprimerhttp://www.zerohedge.com/news/2016-03-04/gallup-amount-debt-americans-carry-staggering-and-grows-every-day
Des banques allemandes disent être pour commencer la thésaurisation de Cash
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 04/03/2016 14:32 -0500
Soumis par Simon Black via SovereignMan.com,
Juste superbe.
Journal allemand Der Spiegel a rapporté hier que le bavaroise Banking Association a recommandé que ses banques membres commencent du stockage physique CASH.
Europe, bien sûr, a été aux prises avec des taux d'intérêt négatifs pendant un certain temps.
Ce qui veut dire que les banques commerciales sont imputés intérêt pour la tenue de gros dépôts à la Banque centrale européenne.
Afin de générer une croissance économique artificielle, la BCE veut que les banques à consentir des prêts autant que possible, peu importe comment stupide ou idiot.
Ils croient que la croissance économique est tout simplement une fonction de prêts. Le plus d'argent qui a prêté dehors, plus l'économie se développera.
C'est le genre de théorie qui fonctionne vraiment bien dans un livre d'étude économique. Mais il ne fonctionne pas si bien dans un manuel d'histoire.
D'argent bon marché encourage les comportements à risque. Il donne des banques une incitation à accorder des prêts « aucun argent vers le bas » pour les sans-abri n'ayant aucun antécédent d'emploi.
Il crée des bulles (comme la bulle immobilière il y a 10 ans) et en fin de compte, les paniques financières (comme la crise bancaire de 8 ans).
Les banques sont censés pour être gestionnaires conservateurs, responsables de l'argent des autres.
Quand les politiques de la Banque centrale sanctionnent cette pratique, mauvaises choses ont tendance à se produire.
Traditionnellement quand une banque commerciale en Europe veut jouer la sécurité avec des fonds de ses clients, elles pouvaient contenir des réserves excédentaires en dépôt à la Banque centrale européenne.
Dans le passé, ils pourraient même ont été payés des intérêts sur ces réserves excédentaires comme une incitation supplémentaire à être prudente.
Maintenant, c'est exactement le contraire. Si une banque détient excès se réserve en dépôt auprès de la BCE afin d'assurer qu'ils ont une plus grande marge de sécurité, ils doivent maintenant payer 0,3 % à la BCE.
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C'est ce que cela signifie d'avoir des taux d'intérêt négatifs. Et pour la Banque, il mange dans leurs profits, surtout quand ils ont des dizaines de milliards de réserves excédentaires.
RépondreSupprimerParler d'être entre le marteau et l'enclume.
D'une part, les banques risquent de perdre une tonne d'argent en intérêt négatif. En revanche, ils ont mis les dépôts de leurs clients à risque si elles ne détiennent pas les réserves supplémentaires.
Eh bien, l'Association des banques bavaroises en a marre de cette dictature financière.
Leur nouvelle recommandation concerne toutes les banques membres d'abandonner la BCE et plutôt début gardant leurs excès se réserve en espèces physique, stocké dans leurs propres coffres de la Banque.
C'est officiellement une révolution totale du système financier où les banques sont maintenant activement se rebellant contre la Banque centrale.
(Ce qui est encore plus étonnant, c'est que ce concept de traditionnel bancaire – exploitation comptant physique dans une chambre forte de banque – est maintenant considérée comme révolutionnaire et radicale).
Il n'y a qu'un seul petit problème teensy : il n'y a pas assez d'argent comptant physique dans l'ensemble du système financier pour soutenir même une infime fraction de la demande.
Dépôts bancaires total dépassent les milliers de milliards d'euros. Argent comptant physique constitue seulement un petit pourcentage de cette somme.
Donc si les banques allemandes démarrent thésaurisation monnaie physique, il n'y aura aucun laissé dans le système financier.
Cela va forcer la BCE à choisir entre deux options :
1) soutenir cette rébellion et d'autoriser l'émission d'argent plus physique ; ou
2) imposer des contrôles de capitaux.
Étant donné qu'il y a tout juste deux semaines, le Président de la BCE a parlé de la possibilité d'interdire certains supérieurs billets de trésorerie, il n'est pas difficile de comprendre ce qui va se passer.
http://www.zerohedge.com/news/2016-03-04/revolution-begins-german-banks-told-start-hoarding-cash
Bien sûr que c'est là le moyen le plus sécuritaire de conserver ses avoir... même si l'argent-papier est supprimé au profit de l'électrique ! J'explique:
Supprimer1°) Vous retirez (videz !) vos euros de votre compte.
2°) Vous échangez vos billets en monnaie(s) étrangère(s). Ces billets choisis (par exemple le CFA ayant cours en Afrique) n'est pas près de disparaître au profit des 'cartes banquaires' ! C'est donc là une sûreté assurée convertissable plus tard en d'autres monnaies si vous voulez.
Monsanto poursuit en Californie pour dire aux gens la vérité sur ses produits chimiques
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 04/03/2016 12:55 -0500
Soumis par Claire Bernish via TheAntiMedia.org,
Monsanto poursuit en justice l'Etat de Californie pour son intention d'inscrire au glyphosate, l'ingrédient principal dans sa très populaire, un herbicide Roundup — sur sa liste de produits chimiques toxiques Proposition 65.
Décision de la Californie est venue après l'Agence internationale de l'OMS pour la recherche sur le Cancer (CIRC) classées au glyphosate comme « cancérogène probable » en mars 2015. Chercheurs ont découvert des « preuves limitées » d'un lien entre le désherbant et lymphome non hodgkinien chez les humains, ainsi que « preuves convaincantes » de sa liaison à d'autres formes de cancer chez les rongeurs. Ainsi, CIRC a décidé à l'unanimité que le glyphosate est « probablement cancérogène ».
La Californie a annoncé en septembre qu'elle comprendrait le glyphosate parmi les produits chimiques nocifs en vertu de la proposition 65, qui « exige la notification et l'étiquetage de tous connus pour causer le cancer, malformations congénitales ou autres problèmes reproductifs et interdit leur rejet dans les eaux potables de l'Etat, » Alternet résumées.
Monsanto a repoussé contre la classification par le CIRC dès le début. Roundup glyphosate-laden reste l'herbicide le plus utilisé sur la planète — malgré une liste sans cesse grandissant des nations mettant en œuvre entières ou partielles des interdictions concernant la substance.
En effet, Center for Food Safety estime que l'ajout du glyphosate à la California Proposition 65 liste est donc impératif, Alternet, rapporte l'organisation a déposé une motion visant à intervenir dans le procès de Monsanto mercredi :
« CFS a été une des premières organisations d'intérêt public pour mieux faire connaître comment l'utilisation du glyphosate dans les systèmes de cultures Roundup Ready favorise les mauvaises herbes résistantes aux herbicides et augmente l'utilisation de l'herbicide et les effets néfastes qui lui sont associés et a à plusieurs reprises cherché à empêcher la plantation et l'approbation des cultures résistant au glyphosate, issus du génie génétique par le biais de poursuites fédérales. »
Écho de préoccupations d'un public de plus en plus averti, CFS croit en la transparence et le droit d'être informés des risques qu'ils soient exposés à des substances toxiques. Procès de Monsanto pour bloquer tel étiquetage dément son indifférence à nuire à la population mondiale et contaminer la planète — ou, pire, son but lucratif malgré un tel préjudice.
Si Monsanto est victorieux dans cette bataille judiciaire, elle constituerait une défaite majeure pour le droit du peuple de savoir quand ils pourraient être lésés. Pire, ce serait une victoire pour une industrie déjà agressivement arrogante plié sur le profit à tout prix.
http://www.zerohedge.com/news/2016-03-04/monsanto-suing-california-telling-people-truth-about-its-chemicals
Pourquoi Monsanto gagne toujours ? Parce que lui: il explique ! (ce que ne font JAMAIS les merdias). Il explique que le glyphosate est SÉLECTIF. Sélectif veut dire qu'il protègent certaines plantes et pas d'autres. Cela veut dire que les champs arrosés d'herbicide verront du blé pousser et se défaire du glyphosate tandis que d'autres plantes (mauvaises herbes) crèveront.
SupprimerPetit exercice à faire chez vous: balancer du glyphosate (même pur !) sur du lierre ! le lierre ne crèvera jamais ! Car le lierre n'est pas une plante reconnue de pousser dans les champs mais seulement là où il y a des murs, des clôtures ou des grands arbres.
Pourquoi est-il nécessaire de désherber un champs avant de semer du blé ? Tout simplement que lorsque le blé va être amender et arrosé... d'autres herbes en feront autant ! et, elles seront peut-être aussi hautes que les tiges de blé ! Et, s'il y a de l'herbe dans un champs de blé... aucune moissonneuse-batteuse ne fera la différence et... fauchera les tiges et les mettra en balles (balles de pailles) et, de l'autre côté, les épis secoué laisseront tomber leurs grains dans des sacs qui seront fermés automatiquement après être remplis et éjectés de la machine.
Or, dans ce sac, il y a des grains de blé et... toute sorte de graines. Graines bien-sûr REFUSÉES PAR TOUS LES MEUNIERS ! Car, les minoteries n'acceptent pas que dans la farine il puisse y avoir des graines écrasées de mauvaises herbes (mauvaises herbes parfois urticantes comme aussi parfois vénéneuses !). Ainsi, serez-vous les premiers à refuser d'acheter du pain au couleurs douteuses de la mie ! Hahahaha !
Maintenant, pourquoi le glyphosate a t-il été reconnu comme cancérigène ? Tout simplement que les expériences ont été menées sur des animaux qui mangent de l'herbe glyphosatée et... seulement glyphosatée ! Or, les animaux qui paissent dans la nature NE MANGENT PAS N'IMPORTE QUELLE HERBE ! Ils choisissent ! Oui, ils choisissent et ne mangeront JAMAIS de l'herbe glyphosatée sauf... s'il n'ont d'autre choix que d'en manger comme il est fait en 'laboratoires' ! Hahahaha !
Une nuit avec Marilyn ? C’est possible, grâce à la science
RépondreSupprimerReeva Verlinden
4 mars 2016
Les souvenirs pourraient être physiquement supprimés pour traiter la souffrance chronique et les conséquences d’événements traumatiques, prédisent certains grands neurologues anglais.
Tim Bliss, du Francis Crick Institute à Londres, dit qu’il serait théoriquement possible que les chercheurs travaillent un jour à l’implantation de faux souvenirs, tels qu’une nuit avec Marilyn Monroe.
Le Brain Prize lui a été décerné cette semaine, conjointement à Graham Collingridge, de l’université de Bristol et à Richard Morris, de l’Université d’Edinburgh. Ce prix d’une valeur d’un million d’euros leur a été attribué parce qu’ils ont montré que la mémoire se forme au travers de liens entre les cellules du cerveau (les synapses) qui se fortifient graduellement au fur et à mesure de leur utilisation, grâce à une protéine connue sous le nom de récepteur NMDA.
Outre le fait de faire la lumière sur un grand mystère, leurs découvertes ont contribué au développement d’un médicament contre la maladie d’Alzheimer: la memantine.
Les chercheurs espèrent que leur travail pourra fournir la base à des traitements capables de réduire les symptômes des premiers stades de la maladie, en aidant le cerveau à former de nouveaux circuits.
La science pourra bientôt expliquer précisément comment nous apprenons et comment nous nous souvenons, ce qui pourrait en théorie permettre aux chercheurs d’altérer, ou même de créer des souvenirs.
A plus court terme, cette carte des structures fondamentales de la mémoire pourrait être utilisée pour affecter de façon pharmaceutique des souvenirs traumatiques causant des souffrances physiques et mentales chroniques.
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C'est pas nouveau et c'est ce que font les merdias tous les jours !
SupprimerL’UE va financer des agents pour contrer les eurosceptiques sur Internet
By lejournaldusiecle
14 février 2013
Le Parlement européen va débourser environ 2,5 millions d’euros environ pour lancer une armée de "trolls" sur Internet, et en particulier les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter pour lutter contre l’euroscepticisme en vue des élections de 2014, qui auront lieu entre le 5 et le 8 juin 2014.
C’est le Daily Telegraph qui a révélé l’information le 3 Février 2013. Le journal a eu accès à des documents confidentiels qui révèlent la planification d’une campagne sans précédent de réorientation de l’opinion publique, avant et pendant les élections de juin 2014.
Au cœur de cette nouvelle stratégie : "des outils de contrôle de l’opinion publique" destinés à déterminer si certains débats de nature politique ayant lieu entre participants des médias sociaux et autres blogs sont susceptibles d’attirer l’attention médiatique et publique.
Les communicants des institutions parlementaires devront être capables de décrypter les "sujets tendances" au sein des conversations et d’y réagir rapidement, de manière ciblée et pertinente ; il s’agit pour eux de "se joindre aux conversations et de les influencer, par exemple en fournissant des faits et des chiffres déconstruisant les mythes".
Selon le document mis à jour par le Daily Telegraph, les "trolls" européistes auront pour mission de subvertir le sentiment qu’expriment de plus en plus d’Européens, à savoir que "l’Europe est le problème", et de le retourner, de sorte que chacun en vienne à considérer que la réponse aux défis actuels est "plus d’Europe", et non pas "moins d’Europe".
Une attention toute particulière doit être accordée, nous dit-on, aux pays qui ont connu une montée de l’euroscepticisme. La France, qui a massivement rejeté le Traité constitutionnel européen le 29 mai 2005 (55%), devrait donc être particulièrement ciblée par cette campagne de propagande, visant à redresser les jugements inadaptés – incorrects – sur la construction si prometteuse de ce "premier empire non impérial" qu’est l’UE, dixit Barroso.
En pleine crise économique, et alors que l’austérité est imposée aux États, l’UE ne devrait pas rechigner sur les moyens de sa propagande, puisqu’une augmentation de près de 2 millions d’euros des dépenses en "analyse qualitative des médias" serait prévue, principalement tirée de budgets pré-existants, et plus de 900.000 euros additionnels devraient être collectés l’an prochain.
Nigel Farage a été l’un des premiers députés européens à réagir aux révélations du Telegraph, le 7 février sur Russia Today, estimant que l’UE ne valait pas mieux qu’une "république bananière".
Sources : Daily Telegraph / Agoravox / Russia Today / Le Journal du Siècle
http://lejournaldusiecle.com/2013/02/14/lue-va-financer-des-agents-pour-contrer-les-eurosceptiques-sur-internet/
Pourquoi les Américains meurent plus tôt que les citoyens des autres pays riches
RépondreSupprimerRedactie Express Business
4 mars 2016
L’espérance de vie des Américains est inférieure à celle des habitants d’autres pays à haut revenus, et une nouvelle étude nous explique pourquoi : ils portent eux-mêmes la responsabilité de ces morts prématurées par un comportement autodestructeur.
Les accidents de voiture, la violence armée et les overdoses tuent chaque année 100 000 personnes aux États-Unis, ce qui contribue à expliquer pourquoi les hommes et femmes américains ont une espérance de vie inférieure de 2,2 ans à celle des habitants de l’Autriche, du Danemark, de la Finlande, de l’Allemagne, de l’Italie, du Japon, des Pays-Bas, de la Norvège, de l’Espagne, de la Suède et du Royaume-Uni, comme expliqué dans une nouvelle étude publiée par le Centre national de statistiques sur la santé (NCHS).
Les hommes et femmes américains ont une espérance de vie de 76,4 et 81,2 ans respectivement, comparés à 78,6 et 83,4 ans pour leurs semblables à l’étranger.
« Cela semble ahurissant que l’on perde deux ans de vie juste par le fait de vivre ici », commentait l’auteur de l’étude Andrew Fenelon, auprès de l’Associated Press. Les morts par armes à feu, les accidents de voiture et les overdoses sont responsables pour moitié de cet écart, l’autre année perdue étant la conséquence d’une mortalité infantile plus élevée, de problèmes de santé liés à l’alimentation, et d’autres facteurs.
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(...) Les accidents de voiture, la violence armée et les overdoses (...) !! Faux sauf pour 'overdoses'. Par 'overdoses' il faut entendre: malbouffe, produits chimique, remèdes et vaccins mortels.
SupprimerPar 'violence armée' il faut entendre: Flic qui tuent des personnes innocentes ou non et, immigration tentaculaire armée ! Car, comme ces immigrés n'ont aucun savoir et ne sont allés à l'école (comme ceux qui arrivent en Europe), ils ne leur restent plus que la violence, le vol ou le meurtre pour avoir quelque chose ! Et par 'accidents de la route' il faut entendre que depuis 8 ans, les routes ne sont plus... entretenues !!! et, que des 'nids de poules' en jalonnent les parcours ! comme autant d'herbes qui y poussent et des trucs tombés de camions qui ne sont ramassés par personne !
35% des revenus des français proviennent d’aides sociales
RépondreSupprimerReeva Verlinden
4 mars 2016
Le fait n’est pas nouveau mais vient d’être rappelé par un récent rapport de l’Insee : les prestations sociales constituent 35% du revenu disponible brut des Français, un record mondial. En 1949, cette proportion n’était que de 13,8%. Les causes principales ? Le vieillissement des Français, le taux élevé de chômage en France et une structure politique qui ne permet pas d’inverser la tendance.
Le pourcentage des prestations sociales dans les revenus des Français a augmenté de 50% depuis 1950 et s’est précipité depuis 2008 et si la hausse se poursuit à ce rythme, il pourrait atteindre 40% au cours de la prochaine décennie.
D’après Ronan Mahieu, de l’Insee, depuis les années 90, la population française subit le contrecoup du baby boom, qui provoque aujourd’hui un nombre important de retraités supplémentaires – alors qu’entre 1950 et 1980, la hausse du nombre des retraites n’était la conséquence que de changements de régime. Actuellement, presque 25% de la population française est âgée de 60 ans et plus.
Le chômage
De plus, 5 millions de Français sont aujourd’hui au chômage. Comme la France ne parvient pas à créer des emplois, elle a compensé avec un dispositif d’aides multiples pour les personnes écartées du marché du travail.
Malheureusement, une étude de la direction de la Recherche, des Études, de l’Évaluation et des Statistiques (DREES) conclut que le pays est arrivé à un stade où les prélèvements faits par l’Etat pour pouvoir payer les allocations et permettre à une partie de la population de conserver un moyen de subsistance sont si importants qu’ils appauvrissent les autres Français et neutralisent toute possibilité de reprise, et donc de création d’emploi.
La DREES note que les Français en conçoivent un sentiment d’injustice toujours plus grand (77% en 2013) et que 55% d’entre eux considéraient que les aides sociales étaient un handicap économique en 2013, mais seuls 30% se disent prêts à envisager une baisse de leurs allocations.
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Ces 'aides sociales' ne proviennent pas de la poche de ministres ou de tout autre fonctionnaires parce qu'ils sont reconnus comme étant improductifs et qui en font des dépendant à 100 % des 'aides sociales' versées tous les jours par les contribuables productifs !
SupprimerSecundo, par 'français', il faudrait faire le distinguo entre ceux de souche et les terroristes récemment débarqués en Europe qui gagnent désormais plus que certains retraité ou érémistes ! (670€/par mois pour chaque terroriste immigré ! + allocs fam., log, mal., retr. etc).
Nouvelles du virus Zika : c’est plutôt alarmant !
RépondreSupprimerle 5 mars 2016
par jacqueshenry
Aux dernières nouvelles le virus Zika véhiculé par les moustiques sévit dans plus de 25 pays de la zone Amérique Centrale et du Sud et la Caraïbe. La situation s’aggrave à l’approche des Jeux Olympiques de Rio. En effet, selon deux études récentes, ce virus peut provoquer la maladie de Guillain-Barré et induire chez les femmes enceintes une grave malformation cérébrale du foetus appelée microcéphalie. Il y avait encore des doutes mais ces études les ont levé et il est donc maintenant reconnu que ce virus revêt un caractère redoutable (voir les liens) car il peut être transmis également par voie sexuelle et par voie sanguine.
Selon la première étude les cas de maladie de Guillain-Barré, une maladie auto-immune qui détruit les nerfs moteurs, ont été directement corrélés au Zika et le doute concernant les microcéphalies vient d’être levé définitivement. L’étude paru ce vendredi 4 mars 2016 dans le journal Cell montre clairement que le virus s’attaque aux cellules nerveuses précurseurs des neurones de la substance grise (cortex) entrainant une microcéphalie irréversible. Les premiers doutes sont apparus lorsqu’on a retrouvé le virus dans le liquide amniotique de deux enfants souffrant de microcéphalie. Puis les investigations ont rapidement montré que ce virus s’attaquait préférentiellement aux cellules précurseurs des neurones et pas n’importe lesquelles, seulement celles se différenciant ensuite en cellules du cortex cérébral.
En quelques heures seulement le virus attaque ces cellules et s’y reproduit rapidement conduisant à des dommages irréversibles. Les travaux ont été réalisés avec des cellules en culture mais ils prouvent indubitablement que ce virus est effectivement la cause des microcéphalies. Seules les lignées de cellules progénitrices des neurones du cortex sont sensibles à ce virus alors que des cellules embryonnaires ou des cellules neuronales immatures sont insensibles. Il paraît à la vue de ces travaux que le virus Zika présente divers tropismes cellulaires conduisant à l’apparition de la maladie de Guillain-Barré ou à ces malformations cérébrales.
Sources et illustration :
http://dx.doi.org/10.1016/j.ijid.2016.02.001
https://jacqueshenry.wordpress.com/2016/03/05/nouvelles-du-virus-zika-cest-plutot-alarmant/
(...) Les travaux ont été réalisés avec des cellules en culture mais ils prouvent indubitablement que ce virus est effectivement la cause des microcéphalies. (...)
Supprimervoir clip sur ce blog à propos des phales et, pourquoi pas des... 'nano-céphales' ?