- ENTREE de SECOURS -



samedi 3 octobre 2015

Un record de mensonges sur la « Canicule » planétaire de juillet 2015

Hacène Arezki
egaliteetreconciliation.fr
jeu., 01 oct. 2015 12:00 UTC
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Une nouvelle preuve de l'inexorable réchauffement de la Terre nous a été donnée. Les Français, bien préparés par la canicule du mois de juillet, tant par la chaleur ressentie que par ce qu'en ont dit les médias, ont appris avec le reste de l'humanité qu'ils avaient alors assisté, sans le savoir sur le moment, à un événement d'ampleur mondiale et historique : un nouveau record de température, moyenne mensuelle cette fois-ci. N'y aurait-il aucune raison de tempérer ces déclarations alarmistes, puisque « c'est marqué su'l'journal » ? Les plumitifs laborieux au savoir modeste et à la critique en berne, plus connus sous le nom de journalistes, ayant été quelque peu à la peine, sans doute n'est-il pas inutile de revenir de manière sérieuse sur le sujet.

Avant de regarder d'un œil critique comment la presse a relaté l'événement, attardons-nous en premier lieu sur les données scientifiques. Mieux vaut d'abord savoir de quoi l'on s'occupe avant d'en parler. Car à procéder comme les journalistes, on ne peut livrer qu'une information dont tout esprit bien formé ne peut savoir que faire. Ce qu'en toute rigueur on ne peut nommer « information ». À reprendre des interprétations toutes faites, on prend le risque de servir les intérêts de ceux qui les livrent.

Commentaire : N'est-ce pas en effet le rôle des journalistes des Grands Médias de servir ces intérêts sans vraiment poser de question.

Comment donc élabore-t-on une température moyenne globale ? Pour cela, il faut bien sûr des données issues des stations de mesure, réparties à la surface de la Terre. Vu de l'extérieur, rien de plus aisé : il suffit de recueillir les données et d'en faire une moyenne. Ce n'est hélas pas si simple.

Il faut d'abord que le réseau météorologique soit de qualité, que la mesure de la température de l'air ne soit pas entachée de biais variables dans l'espace et dans le temps, ce qui aurait pour effet de fausser grandement l'analyse. Hélas, nombre de stations sont dans un environnement ayant connu une importante évolution, ce qui n'est pas sans conséquence dans la mesure. Une part importante d'entre elles est contaminée par ce que l'on appelle l'îlot de chaleur urbain, ou plus globalement le changement d'usage des sols, jusque dans les campagnes. Même l'entretien de la station peut laisser à désirer, y compris au sein des pays les plus développés. Qu'en est-il des pays les moins favorisés ?

Commentaire : En effet, les stations météo finissent par se retrouver dans des parkings auto ou même des aéroports. L'urbanisation (un "thermomètre" situé initialement à la campagne se voit encercler par la ville au fil des années) et le déplacement des station de la campagne vers la ville (c'est plus facile ainsi) fait que les températures enregistrée sont biaisée vers l'augmentation et n'ont ainsi aucune validité. Les fameux "ajustements" sont encore un autre histoire.

Il est par ailleurs bien évident que le nombre de stations utilisables n'a pas été stable. En très faible nombre à la fin du XIXe siècle, on en comptait près de 6 000 dans les années 1970. Par la suite, ce fut la dégringolade, avec notamment la fin de l'empire soviétique au début des années 1990. Actuellement, environ 2000 stations sont utilisées. Une très grande partie est située aux États-Unis, qui sont certes un vaste pays, mais malgré tout une infime partie du monde. Il faut donc faire avec un réseau de stations au nombre très variable dans le temps et dans l'espace.
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Évolution du nombre de stations météorologiques du réseau américain GHCN, utilisé par la NOAA et la NASA. Trait plein : ensemble des stations ; tiretés : stations comportant des enregistrements sur les minima et maxima
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Localisation de l’ensemble des stations du réseau GHCN en 1996 (a) et en 1900 (b)
Pour faire face à ces difficultés, des parades sont mises en œuvre. Pour pallier la qualité variable des données de température (changement d'instruments, déplacement de la station, évolution de l'environnement, etc.), on procède à des homogénéisations. Qui peuvent bien sûr se justifier. Mais sont toujours dans le sens de l'accentuation du réchauffement (augmentation des températures récentes, diminution des températures passées). Quant aux nombreuses régions du monde sans station, le Goddard Institute for Space Studies (GISS), qui dépend de la NASA et est l'un des principaux laboratoires travaillant à l'élaboration et au suivi de cette température moyenne globale, a la solution : il suffit d'interpoler avec les stations présentes à « proximité », jusqu'à 1 200 km ! C'est ainsi que l'on sait que la Bolivie a connu un important réchauffement, alors que le nombre de stations utilisées sur son sol est tombé après 1990 à.... zéro ! Comme si, ignorant tout de l'évolution de la température à Dijon, vous remplissiez ce vide grâce aux données de Madrid et Copenhague ! Cela ne paraît pas très sérieux et pour tout dire pas très scientifique ? Ce n'est pas ce que pensent le GIEC, les politiques, les médias...

Avec ces données mal réparties dans l'espace, il faut maintenant faire une moyenne. Chacun a sa recette propre. Le GISS divise la Terre en trois parties : la zone intertropicale et ce qui reste des hémisphères nord et sud. La moyenne de température est calculée pour chacune des parties, puis la moyenne globale est faite, avec une légère pondération (0,4 pour la zone intertropicale, la plus étendue, 0,3 pour chacune des deux autres). La Climate Research Unit (CRU), qui dépend de l'université d'East Anglia au Royaume-Uni, l'autre grand fournisseur de données sur le réchauffement global, notamment pour le GIEC, procède plus simplement : compte tenu de la disproportion du nombre de stations dans les deux hémisphères, le calcul est d'abord effectué pour chacun, puis la moyenne calculée en pondérant de manière à accorder une plus grande importance à l'hémisphère boréal (0,68 ; 0,32 pour l'hémisphère austral).

Avec un tel bricolage, en utilisant les outils de la science et en croyant probablement en faire, on obtient une température moyenne des continents. Lesquels - faut-il le rappeler ? - représentent moins de 30 % de la surface de la Terre. Si l'on veut obtenir une température moyenne dite globale, il faut des données concernant les vastes espaces occupés par les océans. C'est là que cela devient vraiment risible.

Puisque les données utilisées pour les continents sont des températures de l'air mesurées à environ 1,5 ou 2 mètres au-dessus du sol, il faudrait en toute logique et en toute rigueur faire de même au-dessus de la surface des océans. Or, de telles mesures n'existent pas. Qu'à cela ne tienne, on utilise alors la température de surface des océans. Que l'on connaît grâce à un réseau de bouées dérivantes, en nombre important (3881), mais forcément un peu dérisoire face à l'ampleur de la tâche (361 millions de km²), et par les mesures effectuées par les bateaux.
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Emplacement, au 25 septembre 2015, des bouées dérivantes ARGO, mesurant, entre autres, les températures de surface des océans
La CRU (en association avec le Hadley Centre britannique, qui apporte les données marines) utilise des données de températures moyennes mensuelles sur une grille dont la maille fait un degré de latitude sur un degré de longitude (en simplifiant, un carré de 500 km de côté). Même si les océans ont, y compris en surface, une inertie thermique beaucoup plus importante que les continents, autrement dit que leur température est beaucoup moins sujette à fluctuation et que l'ont peut se satisfaire de moins de données que les deux quotidiennes sur les continents, il est assez surprenant de se dire que chaque maille de cette vaste grille est pourvu d'un nombre suffisant de mesures thermiques pour obtenir une moyenne mensuelle qui tienne la route. Nul doute qu'en maintes régions du monde, loin des voies maritimes et pour peu qu'aucune bouée n'y soit présente, la moyenne doit se résumer parfois à une seule valeur. Le calcul est alors vite fait ! Quoi qu'il en soit, le Hadley Centre affirme ne procéder à aucune interpolation et, de fait, il y a toujours des coins de l'océan mondial restant « blancs », sans données.

Afin de suivre une évolution de long terme, il faut bien sûr pouvoir remonter dans le temps, aussi loin que possible. Pour l'esprit scientifique, prêt à concéder que l'information sur la température moyenne mensuelle de l'océan mondial pour l'époque actuelle est à manipuler avec prudence, en sachant qu'il y a une imprécision encore assez importante (mais sans doute moins que pour les continents), il faut se résoudre à accepter que, pour le passé, la tâche est impossible, qu'il nous reste très largement inaccessible. Pas pour le Hadley Centre, dont la base de données remonte à 1850. Sans bouées dérivantes capables de nombreuses mesures, mais avec tout de même quelques navires remontant de temps à autre un saut d'eau afin d'en mesurer la température. Et plus tard, sur les bateaux plus modernes, les techniques de mesure évoluant dans le temps, avec des biais eux aussi changeants. Mais qu'on ne s'alarme pas. Pas plus qu'ailleurs, les données utilisées ne sont brutes. Il y a là encore de nombreuses corrections, elles aussi réactualisées de temps à autre. La marge d'erreur serait-elle malgré tout bien supérieure au phénomène que l'on souhaite étudier ? Apparemment pas. Sinon, on ne pourrait rien conclure et le but est quand même la conclusion...

Commentaire : Et pourtant, la marge d'erreur, l'incertitude compte aussi. Voir plus bas.

Avec maintenant ces données concernant d'une part les continents et, d'autre part, les océans, il n'y a plus qu'à faire la moyenne de ces moyennes, en pondérant en fonction du pourcentage de chacun d'eux à la surface de la Terre. Nous voilà désormais avec une variable dont on peut suivre l'évolution dans le temps, autrement dit mesurer le réchauffement climatique (qu'il soit anthropique ou non importe peu en l'occurrence), estimé à quelques dixièmes de degré Celsius sur un siècle : 0,74 °C entre 1906 et 2005. On appréciera la précision à deux décimales près, sachant le bricolage nécessaire pour y parvenir.
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Or, donc, une nouvelle fracassante, de portée mondiale. Un marronnier médiatique pouvant surgir à tout moment, une véritable antienne : il a fait chaud, très chaud, vraiment très, très chaud.

Puisqu'il n'est pas encore interdit d'être taquin et que l'on a le droit de citer, ne boudons pas notre plaisir et revenons brièvement sur quelques écrits trouvés dans la presse mainstream.

Le Figaro titre audacieusement que « Le mois de juillet 2015 a été le plus chaud de l'histoire », avant de nous apprendre que celle-ci ne commence pas avec l'écriture, comme on nous l'a expliqué à l'école, mais avec les premières données météorologiques en 1800. Et d'enfoncer le clou sous le poids du nombre :
« La Nasa, l'Agence américaine Océanique et atmosphérique et l'Agence météorologique japonaise ont en effet toutes trois confirmé que ce mois de juillet 2015 a été le plus chaud pour l'ensemble de la planète depuis le début des données météorologiques en 1800. »
On ne sait pas où le journaliste est allé chercher cette date. La NASA et la NOAA font débuter leur données en 1880, tandis que l'agence japonaise se contente de 1891.

Puis de poursuivre en expliquant que, d'après la Nasa (plus précisément le GISS, anciennement dirigé par l'inénarrable James Hansen), « la température moyenne au sol (sans doute le journaliste tente-t-il de parler de la température de surface) et sur [sic !] les océans a été de 0,75 °C au-dessus de la moyenne du XXe siècle ». Encore une fois, le gratte-papier chargé de rédiger cet article n'a pas été fichu d'obtenir une information précise. Le GISS a choisi comme période de référence la période 1951-1980, et non l'ensemble du siècle dernier.

Le suite ne vaut guère mieux, puisque cette fois-ci, non seulement le journaliste écrit une ânerie, mais, qui plus est, en se contredisant. Après nous avoir dit que les scientifiques japonais parvenaient aux mêmes conclusions que les Américains, il affirme maintenant que « l'Agence météorologique japonaise a publié un graphique qui démontre que le mois de juillet est le deuxième mois le plus chaud après le mois de juillet 1998 ». Il suffit de se reporter à cette courbe de température de l'agence nippone, mise en
lien hypertexte sur le site du Figaro, pour se rendre compte que c'est bien 2015 qui arrive en tête, devant 1998, comme dit plus haut dans l'article.
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Anomalies de température moyenne mensuelle au mois de juillet depuis 1891 d’après l’Agence météorologique japonaise
Écarts à la moyenne calculés sur la période 1981-2010 (en noir). Ligne bleue : lissage par moyenne mobile calculée sur 5 ans ; ligne rouge : tendance de long terme (régression linéaire)
Atlantico, qui annonce d'emblée le sérieux de ses références (« Nicolas Hulot avait probablement raison dans son documentaire Le Syndrome du Titanic (2008) lorsqu'il nous mettait en garde contre le réchauffement climatique »), s'est visiblement très fortement inspiré de l'article du Figaro paru la veille, puisqu'il reprend les informations précédentes avec précisément les mêmes erreurs. Des fois que l'on ne sache pas que la première source d'information des journalistes sont les journalistes eux-mêmes...

Malgré la faible marge de manœuvre pour trouver un titre original, les journalistes tentent malgré tout de se distinguer, avec une maladresse certaine :

Atlantico : « Juillet 2015 : le plus chaud mois de juillet dans le monde depuis 1800 ». Outre l'erreur déjà mentionnée, précisons qu'il eût été étonnant, pour le moins, que juillet fût le mois de janvier le plus chaud...
La Croix : « La planète a battu son record de chaleur cet été ». Quand on ne précise pas plus, on fait généralement référence au record absolu, qui lui ne concerne qu'une seule station et tient toujours, depuis plus d'un siècle. Il s'agit ici de la température globale moyenne mensuelle, dont le record aurait été battu selon les reconstructions expliquées ci-dessus. C'est évidemment beaucoup moins sûr que pour une station isolée, surtout si elle est restée rurale, dans un environnement n'ayant pas trop évolué du point de vue paysager.
Le Nouvel Obs : « Juillet 2015, le mois le plus chaud jamais enregistré », ou le sensationnalisme par enfonçage de portes ouvertes, puisque juillet est le mois le plus chaud de l'année à l'échelle globale.
Le Parisien tente la surenchère : « Le début de l'année 2015 a été le plus chaud depuis... 1880 ! » Avec l'évolution climatique, c'est toujours worse than we thought...
Slate.fr : « Juillet 2015, le mois le plus chaud de l'année qui devrait être la plus chaude jamais enregistrée ». Quand on connaît déjà la nouvelle, on comprend où le journaliste veut en venir, mais, en fait, il se contente de nous informer que juillet est cette année le mois le plus chaud, ce qui est toujours le cas. Quant à savoir si l'année 2015 sera la plus chaude depuis le milieu ou la fin du XIXe siècle, attendons, même s'il y a tout lieu de le penser : il n'y a pas seulement instrumentalisation de la science par la politique, mais pilotage politique de la science, qui n'en est donc finalement plus.

Revenons un instant sur la présentation des différentes températures moyennes obtenues par les différents organismes de recherche. Que ce soit pour des données mensuelles ou annuelles, ce sont rarement les résultats bruts qui sont utilisés, mais les écarts à une moyenne calculée sur une période choisie, variable là encore d'un organisme de recherche à un autre. Ces écarts à la moyenne sont appelés en statistiques des « anomalies ». C'est particulièrement utile pour la cartographie, afin de mettre en évidence les endroits qui ont été nettement plus chauds ou plus froids qu'en moyenne. Ces anomalies, ici positives, seront d'autant plus grandes que la période de référence sur laquelle est calculée la moyenne, autrement appelée « normale », est relativement fraîche. On ne s'étonnera donc pas que des trois organismes déjà cités, désignant tous 2015 comme ayant eu le mois de juillet le plus chaud, les médias ont retenu les deux mettant en avant les plus importants écarts à la moyenne : la NASA (le GISS), avec 0,75 °C de plus que la moyenne de la période 1951-1980, et surtout la NOAA, avec une anomalie de 0,80 °C par rapport à l'ensemble des mois de juillet du XXe siècle. Notons que l'anomalie rapportée par la presse était de 0,85 °C, mais qu'elle a été corrigée par la NOAA à 0,81 °C au début de la rédaction de cet article, avant d'être à nouveau réévaluée à la baisse, d'un centième de degré Celsius.

Il ne s'agit pas là de grande subtilités, mais elles ont pourtant eu pour effet d'embrouiller quelque peu l'esprit des journalistes. La Croix écrit en effet :
« L'année 2014 avait été déjà rapportée comme la plus chaude sur Terre : sur l'année complète, la température moyenne au sol et sur les océans avait été supérieure à celle du XXe siècle : 0,69 °C de plus. Les précédents records de 2005 et 2010 de 0,04 degré ont donc été largement dépassés. »
La confusion est totale ! L'anomalie de température de 0,69 °C concerne le mois de juillet 2014 et non l'ensemble de cette année, qui atteint pour la NOAA 0,74 °C. Par ailleurs les anomalies respectives de la température globale annuelle pour 2005 et 2010 sont de 0,66 °C et 0,70 °C, soit des différences à chaque fois de 0,04 °C. Le journaliste confond donc une anomalie mensuelle avec une anomalie annuelle, puis des anomalies annuelles avec les différences entre ces anomalies. Il y a encore des progrès à faire, mais que La Croix se console, Slate.fr (citant à n'en pas douter Slate.com), qui tente de relayer le prestigieux Washington Post, est lui aussi dans la confusion, à moins qu'il ne la cultive dans l'esprit de ses lecteurs : d'après l'Agence météorologique japonaise, « cinq des sept derniers mois jusque-là ont été les chauds [sic !] enregistrés. Les deux autres (février et mars) ont pris la troisième position ». C'est vraiment à se demander s'il y a un problème de compréhension ou de grandes difficultés à s'exprimer, car si l'on s'en tient strictement à ce qui est dit, il faudrait comprendre que le mois de février 2015, par exemple, a été plus chaud que juillet 2014. Ce n'est bien évidemment pas le cas. Ce qui est comparé, c'est bien sûr différentes années pour un mois donné. Le journaliste s'est risqué à comparer des anomalies de température (et qui plus est, les résultats ne sont pas exactement ceux annoncés par le Post) comme on compare des températures entre elles. Cela reviendrait à dire qu'il a fait plus chaud au centre du Groenland, qui aurait connu une température 2 °C au dessus de sa moyenne, qu'en plein centre du Sahara, 2 °C moins chaud que la « normale »...

Les différences de températures entre nouveau record et record précédent sont donc, on le voit, infimes. Ridicules même, pourrait-on dire : eu égard à la manière dont sont obtenues les moyennes, en quoi de tels écarts peuvent-ils être jugés pertinents ? Pour la NOAA, la différence avec les deux précédents mois de juillet les plus chauds (à égalité) est de 0,07 °C. Quant au GISS, juillet 2015 dépasse juillet 2011 de 0,01 °C, qui lui-même dépassait juillet 2009 de 0,02 °C, lui-même 0,01 °C au-dessus de juillet 1998. C'est ainsi que le réchauffement continue médiatiquement, les records se succédant par bonds dont la mesure est de l'ordre du centième de degré Celsius et que ces records tiennent tous dans les dix ou quinze dernières années. Ce qu'en bon esprit critique il convient d'appeler un plateau, l'évolution des températures étant quasi nulle.

On le voit, tout est dans la présentation qui est faite des données. Jusque dans leur représentation graphique. L'allure d'une courbe de température est la même que celle des anomalies de températures correspondantes, pour peu que l'on ajuste comme il faut l'échelle des ordonnées :
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On pourrait donc aisément se contenter de présenter les simples températures moyennes mensuelles et non leurs anomalies. Mais ces dernières présentent un avantage certain : sans artifice au niveau de l'échelle, les valeurs se répartissent autour de zéro, qui représente la moyenne de la période de référence. Rien de tel avec les températures. Pour que les deux courbes aient la même allure sur les graphiques ci-dessus, il faut ici que l'échelle des ordonnées du second commence à 14,5 °C, ce qui pourrait être dénoncé comme une astuce un peu grossière. Si, au contraire, on la fait débuter à zéro, la représentation des mêmes données produit un tout autre effet :
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Ce dernier graphique est beaucoup plus conforme à la tendance qu'il montre, puisque, selon les données de la NOAA, l'augmentation de la température moyenne globale du mois de juillet depuis 1880 est de 0,65 °C par siècle. On en conviendra, il n'y a là guère de quoi affoler, ce pour quoi une bonne courbe montant en flèche fait au contraire totalement l'affaire. Raison pour laquelle c'est bien sûr une telle illustration qui est mise sous le nez du lecteur, qui pourrait ne pas être affolé par des valeurs de températures somme toute guère alarmantes quand l'expert médiatique n'est pas présent pour rappeler que 0,65 °C en un siècle, c'est considérable et sans précédent, ce qui est faux, et qu'en conséquence, il faut agir.

Car c'est là que veulent en venir les prophètes de l'apocalypse climatique : la politique, l'action devant découler nécessairement du discours alarmiste. Slate.fr n'hésite pas à donner la parole à un blogueur américain mainstream, avant de s'aventurer sur la politique états-unienne et les prochaines élections présidentielles :
« Pour lui, "le réchauffement climatique est réel. Il est causé par des humains. Et il est dangereux. Très dangereux". Même conclusion chez Slate.com, qui, de son côté, passe en revue les points de vue des candidats Républicains sur le sujet. Et devinez quoi ? Ils ne sont pas tout à fait d'accord avec cette affirmation. »
Et devinez quoi ? Slate.com appartient au même groupe que le Washington Post, favorable aux Démocrates...

De leur côté, les journaux français se focalisent sur la conférence sur le climat (COP21) qui se tiendra à Paris en fin d'année. Selon Le Figaro, représentatif de l'unanimité en la matière, la COP21 « devrait ainsi avoir de nouveaux arguments pour inciter les chefs d'État à prendre des mesures collectives ». Des fois que l'on n'ait pas compris le pourquoi de tout ce foin médiatico-scientifique...

Mais pour résister à la vague unanimiste, il y a un autre moyen que le décorticage des données sujettes à caution, utilisées par tous ceux qui ont une idée, mondialiste, derrière la tête. Un moyen rapide, net et sans bavure : les satellites. Certes, les données ne parlent pas exactement de la même chose. Le réseau de stations au sol et de bouées en mer permet d'obtenir une température dite de surface, alors que les satellites fournissent des indications sur la température de la basse atmosphère. Dans un contexte de soi-disant réchauffement global pour cause d'émissions de gaz à effet de serre, c'est justement un atout de premier ordre : outre une couverture spatiale exceptionnelle, ils ont pour eux d'éviter l'écueil des changements d'usage des sols et notamment les îlots de chaleur urbains. Leur défaut est d'avoir une profondeur historique forcément réduite, mais de 35 ans tout de même. Une durée amplement suffisante pour suivre le dernier épisode de l'évolution récente du climat, celle marquée, nous dit-on, de l'empreinte de l'Homme.

Si l'Agence spatiale américaine préfère confier l'analyse de la température globale moyenne à des scientifiques (du GISS) tournant résolument le dos aux données satellitaires, celles-ci sont en revanche exploitées par deux sources communément citées : la société privée Remote Sensing System (RSS) et l'université d'Alabama à Huntsville (UAH). Pour l'une et l'autre, juillet 2015 n'est pas vraiment un record, puisqu'il n'arrive qu'en huitième et neuvième position parmi les 37 mois de juillet depuis 1979 inclus. On comprend que les journalistes ne se soient pas empressés d'y aller regarder de plus près, des fois que la vérité nuise à la bonne cause.
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Anomalies de température du mois de juillet depuis 1979, d’après les données recueillies au sol (NOAA, GISS, HadCRUT4) et par les satellites (RSS et UAH)
Que juillet 2015 apparaisse en tête de longues séries incertaines recueillies au sol, mais soit relégué presque à la dixième place par les satellites, aux données beaucoup plus sûres, devrait interroger la presse d'information. Mais l'exactitude n'est sans doute pas le moyen idéal pour servir son but réel, qui n'est guère d'informer, mais d'orienter. Raison pour laquelle il faut certainement se réjouir de ne pas être « dans les petits papiers du Mercure François » !

Pour rappel, la mise à jour de la marche irrésistible du réchauffement climatique :
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« Pas de réchauffement global depuis 18 ans et 7 mois » (anomalies de températures moyennes mensuelles, données RSS)
Notes

Commentaire : En effet, il faut se méfier des annonces pseudo-scientifiques (et politiquement correctes) et très souvent farfelues (au point d'en appeler à l'eugénisme par certains académiciens zélés) des médias dominants. En mettant des côté la qualité des données et leur ajustement (mot savant pour trafic de données) il faut souvent se poser en science la question de l'incertitude, ou inversement la précision. Si un jour on mesure 0°C avec une incertitude de 1°C (qui veut dire que la température vraie peut être quelconque entre -1°C et +1°C) et que le lendemain on mesure 0.01°C avec la même incertitude, parler d'une quelconque différence est ridicule (ou du foutage de gueule).

Concernant Juillet 2015, voici une illustration tirée de l'excellent blog
Pensée Unique pour Scientifiques :

Voici donc les données officielles, au sujet des mois de Juillet successifs (depuis 1997), publiées par le Goddard Institue (GISS) de la NASA (très proche de la NOAA qui utilise la même base de données thermométriques qui est d'ailleurs la seule existante, à gauche, en bleu sur le graphique suivant) et par l'organisme indépendant RSS- MSU qui mesure, à l'aide de satellites et avec des algorithmes qui lui sont propres, la température de l'atmosphère proche de la surface de la planète ( à droite, en rouge sur le graphique suivant)..
© pensee-unique.fr
Suivant les conventions habituelles, les segments verticaux au dessus et au dessous de chaque point (carré) de mesure indiquent les marges d'incertitudes. Celles-ci sont de ±0.1°C pour la NASA (et le HadCRUT) et de ±0.08°C revendiqués par le RSS-MSU. Les zones en grisé indiquent les zones d'incertitudes centrées sur les dernières mesures publiées du mois de Juillet 2015.

Pour ce qui est des valeurs numériques rapportées par le GISS de la NASA, et comme on le voit sur le graphique, en réalité, la température globale revendiquée pour le mois de Juillet 2015 ne diffère que très très peu de celle des mois de 2011 et que les écarts sont très inférieurs aux marges d'incertitudes.

Selon la NASA, Juillet 2015 a été plus chaud que
Juillet 2011 de +0,01°C (un centième de degré !)
Juillet 2009 de +0,03°C
Juillet 1998 de +0,04°C
Compte tenu des marges d'incertitudes de ±0.1°C, en réalité, le mois de juillet 2015 est quasiment indiscernable de 9 à 12 autres mois de juillet des années précédentes. On peut faire un peu mieux en usant de méthodes statistiques élaborées à l'aide des centiles comme ci-dessus, si on admet que les méthodes d'homogénéisation des stations de mesure des températures sont valides.

Le graphique et les données du RSS-MSU nous racontent une toute autre histoire. La température de l'atmosphère proche de la planète au mois de Juillet 2015 n'a absolument pas battu de records. Les mois de Juillet 1998 et 2010 ont été très significativement plus chauds (environ +0,3°C) que Juillet 2015, comme on le voit sur le graphique. A noter que les données de la dernière version (V6) de l' UAH qui utilisent des satellites et des méthodes différentes du RSS-MSU, sont très proches de ces dernières.

Commentaire : Plutôt que de parler de réchauffement climatique, nous devrions parler de refroidissement climatique.
La NASA confirme le refroidissement climatique à l'insu de son plein gré
La NASA doute-t-elle du réchauffement climatique
Réchauffement climatique Erreur il faut dire Refroidissement climatique
Allons-nous vers un réchauffement climatique Non C'est définitivement un refroidissement
L'un des co-fondateurs de Greenpeace met en garde contre le refroidissement de la Terre
Début du refroidissement climatique

http://fr.sott.net/article/26518-Un-record-de-mensonges-sur-la-Canicule-planetaire-de-juillet-2015

30 commentaires:

  1. Fusillade dans l'Oregon, 7 morts et propagande opportune pour cacher la honte vis-à-vis de la Russie

    Senorama
    ven., 02 oct. 2015 15:35 UTC

    Les États-Unis sont sous le choc d'une nouvelle fusillade qui a endeuillé, jeudi, un campus de l'Oregon.

    Un jeune homme a abattu une dizaine de personnes et fait au moins 7 blessés, en milieu de matinée, au sein de l'université d'Umpqua, située à Roseburg.

    Le forcené est mort lors d'un échange de tirs avec la police. D'après les médias américains, il s'agirait d'un homme de 26 ans qui vivait près de Roseburg. De quoi relancer le débat sur le port d'armes aux États-Unis.

    -- Commentaire : C'est toujours opportunément pratique quand les coupables meurent sur le coup. Pas moyen de leur poser des questions, ni d'entendre leur version des faits. Cette nouvelle, vraiment triste, est visiblement utilisée pour distraire le peuple américain. Elle fait la une de tous les journaux, pendant que l'on essaie de ne pas trop attirer l'attention sur les actions récentes de la Russie en Syrie, et de discuter les affirmations troublantes (et pertinentes) de Poutine. Obama joue le jeu, et se dit impuissant et fâché. Quel bon "timing" ! Et quelle drôle de manière de le montrer, en en profitant pour réduire toujours un peu plus les droits du citoyen. --

    "Les prières ne suffisent pas" Le président américain n'a pas caché sa colère et sa frustration quelques heures après la tuerie. "D'une certaine manière, c'est devenu une routine. La couverture médiatique est devenue une routine. Ma réponse ici au podium a fini par devenir une routine. Et la réponse de ceux qui s'opposent à toute loi de bon sens sur les armes est - elle aussi - devenue une routine. Il ne devrait pas être si facile pour quelqu'un qui veut faire du mal aux autres d'obtenir une arme", a déclaré Barack Obama depuis la Maison blanche.

    -- Commentaire : En effet ! Mais alors, pourquoi ne pas empêcher les mercenaires criminels de tuer à tout-va dans le Moyen-Orient ? Là-bas, ils n'ont pas seulement un accès facile aux armes, mais en plus, pour le prix d'un, ils peuvent aussi profiter d'un bel entraînement et d'un généreux financement. Quelle hypocrisie : ça ne dérange pas le gouvernement américain d'aller tuer des « métèques » en Syrie par l'intermédiaire de groupes fanatico-extrémistes qu'il finance et entraîne, mais il joue les vierges effarouchées quand ça se passe « à la maison ». Pourtant, ce genre de fusillades tragiques ne font que refléter à l'échelle nationale la politique criminelle du gouvernement américain à l'étranger.--

    (suite en dessous:)

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  2. Les tueries plus meurtrières que le terrorisme Barack Obama a également demandé aux médias américains de comparer le nombre de victimes du terrorisme avec celui des armes à feu aux États-Unis. Certains se sont très vite emparés de la question sur les réseaux sociaux, se voyant même "remerciés" par le président.

    -- Commentaire : Certains leaders n'ont pas honte, hein ? À moins qu'il ne dise cela parce qu'il s'agit d'une tuerie orchestrée par le gouvernement, auquel cas, la comparaison est facile à faire.--

    Le Congrès immobile

    Face au lobby des armes, le président américain est impuissant. Après la tuerie de Newtown en 2012, il avait tenté de faire durcir la législation et essuyé un camouflet du Congrès. Pourtant le phénomène semble en recrudescence. Rien qu'en septembre, deux autres fusillades ont eu lieu sur des campus, faisant au moins un mort à chaque fois. 32 000 personnes sont tuées chaque année par arme à feu aux États-Unis d'après l'association Brady Campaign (dont environ 20 000 suicides).

    http://fr.sott.net/article/26515-Fusillade-dans-l-Oregon-7-morts-et-propagande-opportune-pour-cacher-la-honte-vis-a-vis-de-la-Russie

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  3. L'Europe compte de nouveaux paradis fiscaux

    par Aude Ottevanger
    02 oct. 2015

    Gravement touchées par le chômage, les îles Canaries, qui dépendent de l'Espagne, tentent d'attirer les entreprises, avec des taxes vraiment peu élevées, rapporte le site Ozy.

    Elles espèrent ainsi pouvoir détrôner l'Irlande, considérée comme La Mecque des entreprises allergiques aux taxes, avec un taux d'impôt sociétés de 4%, c'est à dire un tiers de celui appliqué en Irlande, et le plus bas du continent. La TVA ne se monte qu'à 7% , contre 23% en Irlande.

    Grâce aux réformes concernant la création de "zones économiques spéciales" (SEZ), les îles sont maintenant (et jusqu'en 2026) ouvertes à toutes sortes d'entreprises. La nouvelle taxation aurait déjà attiré plus de 425 sociétés, dont un tiers étrangères.

    Mais les Canaries ne présentent pas que des avantages: leur accès est malaisé, elles possèdent peu d'infrastructures (si ce n'est pour le tourisme) et les démarches administratives y sont lourdes et compliquées pour les anglophones. De plus, l'UE envisage d'obliger les pays membres à partager le détail des taxes payées par les multinationales.

    Certaines entreprises sont pourtant intéressées par la proximité avec les marchés émergents d'Afrique et les avantages qu'elles peuvent offrir à leurs employés, surtout s'ils apprécient le climat exotique et la mer, à un coût bien moindre.

    Mais il n'y a aucune garantie que l'afflux d'entreprises étrangères aide l'économie locale, car selon l'expérience Irlandaise, les multinationales ne créent pas de postes dans les secteurs les plus en demande. Pour éviter de n'attirer que des sociétés écrans ou des sociétés étrangères, les autorités des îles ont établi une liste de critères à respecter pour bénéficier du taux réduit d'impôts société. Les sociétés candidates doivent employer au moins cinq personnes et un responsable résidant sur l'île.

    Les résidents sont plutôt sceptiques...

    http://www.express.be/business/fr/economy/leurope-compte-de-nouveaux-paradis-fiscaux/216016.htm

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  4. Après Noël, on pourrait compter un million de drones dans le ciel américain


    par Aude Ottevanger
    02 oct. 2015

    Aux Etats-Unis, la FAA, l'administration fédérale de l'aviation, est paniquée: elle s'attend à ce qu'un million de drones de tous types soient vendus pour Noël. Elle se dit fort inquiète de ce qui pourrait se passer lorsqu'ils entreront dans l'espace aérien.

    Lors du sommet de l'industrie de l'aviation commerciale, Rich Swayze, de la FAA, a déclaré: "Beaucoup de personnes qui n'ont aucune formation de pilotage font voler ces objets dans l'espace aérien". Le CEO d'Hawaiian Airlines, Mark Dunkerley, a été plus direct: "Il s'agit d'un véritable problème et il y a de grandes chances que tout ceci finisse mal". "Ce n'est pas seulement dans les aéroports et à proximité que les drones présentent un danger pour les voyageurs. Il y a beaucoup de zones distantes de 8 km des aéroports où un accident impliquant un drone pourrait se produire".
    Les utilisateurs de drones aux USA ont normalement l'obligation de déclarer leurs plans de vols auprès des services autorisés (Flight Service Station) avant le décollage.

    Certains législateurs désirent que des restrictions soient mises en place. Selon De Fazio, responsable du comité des transports et de l'infrastructure du congrès: "Beaucoup de pilotes constatent un usage irresponsable de ces jouets. Ceux-ci, à mon avis, devraient être montés de façon à ne pouvoir être mis sur le marché que s'ils disposent de censeurs limitant l'altitude et le rayon d'action".

    http://www.express.be/business/fr/technology/apres-noel-on-pourrait-compter-un-million-de-drones-dans-le-ciel-americain/216017.htm

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    1. Attention: Ne jamais tirer sur un drone (sauf fusil cartouches plombs) car, la balle (qui monte à 1 km) retombe et... fait un trou dans une voiture ou tue celui qui la reçoit !

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  5. Mark Carney qui chargé de notre politique climatique ?

    Qu'on le veuille ou non, l'ensemble de la modernité est issu des hydrocarbures. Nous n'allons jamais convaincre quiconque de quitter des combustibles fossiles dans le sol


    Par Jeremy Warner
    19:06 CEST 1er octobre 2015


    Comme pratiquement tout le monde, les banques centrales n'ont pas vu la crise financière à venir. Pour le commun des mortels, c'était excusable ; ils avaient le droit de penser que les autorités avaient la situation bien en main. Pour les banques centrales, gardiens du système monétaire mondial et soi-disant gardiens de la connaissance profonde sur les crises bancaires, il n'était pas.

    Leur récompense pour cet échec était... euh... à être dotée de davantage de pouvoirs et de responsabilités qu'ils avaient avant. La faute, il a été largement accepté, n'était pas qu'ils avaient trop de pouvoir et qu'il avaient omis de l'exercer correctement, mais trop peu.

    "Carney sur le réchauffement climatique ? Maintenant, la guerre en Syrie ? Pourquoi ne pas mettre la Banque d'Angleterre, responsable de tout ?"

    Ainsi que la fixation des taux d'intérêt et assurer la stabilité financière, tant de la Banque d'Angleterre et de la Banque centrale européenne (BCE) ont depuis été confiés micro réglementant le secteur bancaire.

    Tous deux ont également aventuré dans la sphère financière en se livrant à l'assouplissement quantitatif à grande échelle, tandis que Mario Draghi, le Président de la BCE, est même crédité d'avoir sauvé l'euro par le biais de ses paroles et actions.


    Mark Carney explique la notion de hauteur

    Où les gouvernements sont sont révélés inégaux à la tâche, les banques centrales ont monté au créneau et fait ce que les politiciens ne pouvaient pas. Comme pour frotter dans, M. Draghi a pris pour enseigne régulièrement les gouvernements sur la nécessité de douloureuses réformes budgétaires et structurelles. Petite merveille ces technocrates monétaires sont aujourd'hui jugés plus importants et influents que les politiciens, ils sont théoriquement responsables devant.

    Vous auriez pensé que gestion de l'économie serait bien assez pour être passe avec, mais non, si élevé au poste de demi-Dieu sur la scène mondiale, puis une certaine portée excessive est s'y attendre. Par cette semaine dans le climat change débat, Mark Carney, gouverneur de la Banque d'Angleterre, a indiqué qu'il n'y a presque aucun domaine du discours public qui peuvent être considéré comme hors limite. Que faire ensuite ? La guerre en Syrie ? Venez pour penser à lui, pourquoi ne pas mettre la Banque d'Angleterre, responsable de tout ?

    (suite en dessous:)

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  6. J'exagère, évidemment, et pour être honnête, la Banque manifestement a-t-il une sorte d'un intérêt légitime dans le réchauffement climatique. Plusieurs institutions financières sont très exposées à ses conséquences pour les demandes d'indemnisation et l'impact potentiel des épargnants si l'industrie des combustibles fossiles est forcée par l'action politique en retraite coûteux. Royal Dutch Shell seuls comptes pour près d'un dixième de tous les dividendes payés au Royaume-Uni. Si ces paiements sont sous la menace, puis il y a des implications énormes pour les fonds de pension et autres formes d'épargne. M. Carney a parfaitement le droit de pointer ces choses, même si elle paraît guère nécessaire ; la plupart des assureurs sont parfaitement conscients des risques et sont déjà bien en avance sur les gouvernements à préparer pour eux.


    Il pourrait être coûteux si tout ceci venait à fondre

    Il y avait, cependant, aussi quelque chose de vaguement insouciant et naïf sur l'intervention du gouverneur. Ce n'est aucun exagéré de dire que l'ensemble de la modernité est basée sur les hydrocarbures. Sans charbon, pétrole et gaz, nous serions encore à l'ère de l'espérance de vie limitée, subsistance de l'agriculture et de l'équitation au marché sur le cheval et la charrette. Même si nous pourrions lui souhaitons, cette dépendance ne va pas changer pendant une longue période à venir.

    « C'est totalement irréaliste de penser qu'une fois la limite atteinte, le monde s'arrête soudainement brûlant des hydrocarbures »

    Trente ans de recherches extraordinairement coûteuses et le développement a entraîné une industrie de sources d'énergie renouvelables qu'aujourd'hui les comptes pour un superbe – attendre – 1 % de l'approvisionnement énergétique mondial. Jamais l'esprit Asie, où ils sont encore déploiement nouvelles centrales au charbon à une vitesse record, Allemagne même moralisatrice, avec ses « Energiewende », ouvert un autre deux cette semaine alors que sanctionner simultanément une belle mine pour aider à alimenter les monter.

    M. Carney fait insisté dans son discours l'idée – ourdi par les Nations Unies parrainé par le groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat – que vers le haut pour un tiers de pétrole prouvées au monde, de gaz et les réserves de charbon devront être laissés dans le sol, ou « bloqués », si la hausse des températures mondiales doit être limitée aux degrés 2 prescrits.

    Ce qu'il fait foi prêt à un tel concept ténu ? Même si les nombreuses hypothèses – assez – tout discutables derrière le calcul s'est avéré être vrai, c'est totalement irréaliste de penser que, une fois que la limite a été atteinte, le monde va soudainement cesser de brûler les hydrocarbures. Tenir compte des faits. Le monde produit une huile au taux d'environ 93 millions de barils par jour. Juste pour répondre à cette demande, l'industrie pétrolière doit être constamment investir dans et développer ses réserves. S'il devait arrêter, production s'appauvrissent naturellement à un rythme très rapide, et à une époque de croissance toujours exponentielle de la demande, le prix des hydrocarbures pourrait passer par le toit. Ce serait vraiment donner M. Carney une crise financière de s'inquiéter.

    Le débat de « brin actif » est un faux-fuyant complet. Ce que les décideurs doivent se concentrer sur n'est pas la façon de limiter la production d'hydrocarbures, mais comment inciter ses décarbonisation grâce à l'utilisation de technologies propres. Intervention de M. Carney a été sans doute bien intentionné, mais il devrait s'en tenir à la journée de l'emploi.

    http://www.telegraph.co.uk/finance/mark-carney/11905076/Who-put-Mark-Carney-in-charge-of-our-climate-policy.html

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  7. Scandale VW : Les pilotes UK ne seront pas obligés de participer au rappel des émissions Volkswagen

    Rappel du géant de l'automobile allemand de plus de 1 million UK voitures pris dans la crise VW n'est pas obligatoire pour les conducteurs britanniques, le gouvernement a déclaré


    Par Julia Bradshaw
    13:33 CEST 2 octobre 2015


    Les automobilistes britanniques qui possèdent des voitures touchées par le scandale des émissions VW n'auront pas à obtenir leurs véhicules fixe quand le géant automobile allemand émet un avis de rappel massive.

    Le ministère des transports a déclaré pilotes avec les voitures équipées de logiciels de triche à la pollution de Volkswagen n'étaient pas tenus de renvoyer les véhicules au concessionnaires VW pour les faire modifier.

    « Si un pilote n'a pas renvoyer le véhicule, qui ne serait illégale », un porte-parole de DfT a, mais il a ajouté que l'omission de le faire pourrait affecter toute garantie sur la voiture ainsi que sa valeur de revente.

    Automobilistes ne seraient pas condamné à une amende ou pénalisés en quelque sorte si leurs voitures n'ont pas été fixées, « mais il est dans leur intérêt de le faire », a ajouté le porte-parole.

    • Que se passe-t-il si ma voiture VW a émissions logiciel de triche ?

    Scandale d'émissions

    • VW : quoi s'agit-il ?

    « La position du gouvernement est la suivante : nous avons dit clairement à VW que nous attendons le fabricant pour résoudre des problèmes à la satisfaction de toutes les parties, qui comprend les clients. »

    Des voitures 11 millions dans le monde entier, que VW a admis étaient munies de dispositifs antipollution, 1,2 millions sont au Royaume-Uni, soit un sur 10 voitures à moteur diesel sur les routes de Grande-Bretagne.

    Citons, entre autres, 508 276 VW, Audi 393 450, 76 733 sièges et Skodas 131 569, ainsi que 79 838 vans.

    On pense qu'en modifiant les moteurs, il fera les voitures « propre », mais plus cher à courir, laissant potentiellement automobilistes hors de la poche de £50 par an.

    VW Group UK prévoit de faire appel à des véhicules équipés de ce qu'on appelle « vaincre les dispositifs » et remplacez-les par État-of-the-art technologies gratuitement pendant des semaines.

    Le scandale de truquage des émissions a effacé des milliards de livres la valeur de VW et avocats représentant les propriétaires mécontents ont dit que cela pourrait conduire à la plus grande action de groupe Qu'au Royaume-Uni n'a jamais vu.

    Le constructeur automobile a mis de côté .5bn 6 € pour couvrir les dommages-intérêts, y compris des correctifs pour les véhicules, les amendes réglementaires potentielles et les poursuites judiciaires, mais le coût réel est probablement beaucoup plus élevé.

    (suite en dessous:)

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  8. Plusieurs pays ont lancé des enquêtes officielles sur l'affaire, tandis que VW propriétaires et actionnaires dans le monde entier poursuivent le constructeur automobile sur l'arnaque des émissions.

    Plus de 190 poursuites ont déjà été déposées comme recours collectifs en nous des tribunaux fédéraux dans au moins 37 Etats.

    L'Environmental Protection Agency des États-Unis est maintenant élargir sa recherche de dispositif de déconnexion pour les modèles de voitures diesel plus de deux douzaines de Chrysler, General Motors, Land Rover, BMW et Mercedes-Benz, selon le Financial Times.

    Mais comme le scandale soulève des questions sur les voitures à moteur diesel, beaucoup dans l'industrie ont mis en garde contre les défalquer les véhicules.

    Professeur Richard Folkson, Président de l'Institution of Mechanical Engineers, a déclaré: "nous ne devrions pas se précipiter à la ferraille des véhicules diesel quand ils font clairement une contribution considérable à la réduction des émissions de carbone au Royaume-Uni.

    « Si toutes les voitures neuves de combustible fossile devaient être uniquement essence demain, par exemple, nos émissions de carbone moyen augmenterait de 16pc. »

    Mike Hawes, chef de la direction de la société des constructeurs automobiles et les commerçants, a déclaré: « les consommateurs sont raison d'être inquiets suite aux événements des 10 derniers jours. Mais nous devons nous rappeler les actions d'une société ne signifient pas de collusion... impliquant d'autres marques ou sociétés serait injuste et erroné.

    "Il serait erroné de pénaliser tous les moteurs diesel. Les derniers véhicules diesel sont les plus propres jamais."

    Conseil de VW a nommé cabinet américain Jones Day à mener une enquête externe sur le scandale, qui selon elle, prendra au moins plusieurs mois.

    Il a également annulé une Assemblée générale extraordinaire prévue pour le 9 novembre et il actualiserait actionnaires « dans un avenir proche et à intervalles réguliers », a déclaré.

    http://www.telegraph.co.uk/finance/newsbysector/industry/11906684/VW-scandal-UK-drivers-wont-be-forced-to-take-part-in-Volkswagen-emissions-recall.html

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    1. (...) Les pilotes UK ne seront pas obligés (...) d'être rembousés par les escrocs !

      Comme je l'avais dernièrement signalé:

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/05/16-porte-containers-polluent-plus-que.html

      et que seuls les vrais pollueurs sont excusés !!!
      Voir, ci-dessous la Chine 12è sur 19 alors que les escrocs l'affichaient à la première place vu qu'ils [les chinois] sont les plus nombreux ! Donc, au lieu de rouler en Mobylettes 49 cm3 ils devraient se déplacer en cyclo de 20 ou 25 cm3 !!

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/11/pollution-et-pollution.htm

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  9. Après Volkswagen, la Commission Européenne enquête sur des téléviseurs truqués
    ECONOMIE Un logiciel truquerait les tests de consommation d’énergie de réfrigérateurs et de téléviseurs…

    20 Minutes avec AFP
    le 02.10.2015 à 20:35

    Une fois encore, les consommateurs pourraient avoir été trompés. Après les voitures polluantes du groupe Allemand Volkswagen, un nouveau scandale de tests truqués serait sur le point d’éclater.

    la Commission européenne va enquêter sur un éventuel recours à des logiciels de trucage dans l’électroménager, en particulier les téléviseurs, à la suite de rapports d’ONG soupçonnant de telles pratiques pour réussir des tests de consommation d’énergie.

    Une consommation d’énergie plus basse pendant les tests

    Selon le Bureau européen de l’environnement (BEE), un collectif d’ONG, « des responsables de plusieurs gouvernements semblent avoir identifié des dispositifs dans l’électroménager qui peuvent détecter les conditions de tests, et altérer leur comportement ». « Des preuves publiées existent pour les téléviseurs et les réfrigérateurs », rapporte Jack Hunter, du collectif BEE, faisant le parallèle avec les révélations sur le scandale Volkswagen.

    Un laboratoire indépendant, ComplianTV, a ainsi indiqué, après des tests, avoir observé un comportement sur différents téléviseurs soulevant la possibilité que l’appareil « détecte la procédure de contrôle et adopte sa consommation d’énergie en conséquence ». « Un tel phénomène n’a pas été prouvé par les tests de ComplianTV, mais certains téléviseurs contrôlés ont donné l’impression qu’ils détectaient une situation de test », souligne l’organisme.

    ComplianTV suggère dans son rapport que la réglementation « éco-conception » de l’Union européenne s’attaque au problème en interdisant une telle fonctionnalité.

    Une enquête sur d’autres secteurs

    Informée de ces études, la Commission « entend vérifier si ce problème a bien eu lieu et, si c’est le cas, évaluer à quelle échelle et si l’utilisation de tels dispositifs donne lieu à un résultat de conformité quand en réalité les produits ne le sont pas », a indiqué la porte-parole.

    Elle enquêtera également sur d’éventuelles pratiques similaires dans d’autres secteurs. Elle propose par ailleurs, alors que la réglementation sur « l’éco-conception » est en cours de révision, de clarifier le fait que ces pratiques sont illégales, a ajouté la porte-parole.

    Selon un document que l’AFP a pu consulter, l’Agence suédoise de l’énergie -qui dépend du ministère de l’Économie a repéré au cours d’un test en laboratoire des téléviseurs qui pouvaient reconnaître le film utilisé pour le test, et ajustaient « immédiatement » la luminosité afin de baisser la consommation d’énergie.

    L’agence concluait que ce moyen de contournement devait être pris en compte par la Commission.

    Selon MarketWatch, un collectif d’ONG spécialisé dans la question de la consommation d’énergie, le non-respect des étiquettes énergétiques coûte 10,5 milliards d’euros en économie d’énergies aux ménages des 28 Etats membres.

    http://www.20minutes.fr/economie/1700963-20151002-apres-volkswagen-commission-europeenne-enquete-televiseurs-truques

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  10. Cinq questions sur le scandale d'émissions de VW qui ne va pas disparaître
    Deux semaines après que le scandale d'émissions de Volkswagen s'est tout d'abord, les grandes questions restent sans réponses

    Par Jon Yeomans
    13:19 CEST 2 octobre 2015

    Cela fait exactement deux semaines que les autorités américaines est devenue publiques avec la révélation que les voitures à moteur diesel de Volkswagen avaient été tricherie dans les essais d'émissions.

    Grâce à un morceau de logiciel dans le moteur appelé un "dispositif d'invalidation", VW a pu rendre ses voitures plus propres qu'ils étaient réellement.

    Avec 11 millions de véhicules touchés et les retombées qui résonne encore dans le monde entier, VW a quelques explications à donner.

    Hier, il a dit « signale aux actionnaires sur tous les sujets pertinents dans un proche avenir et à intervalles réguliers ». Ces mises à jour ne peut pas venir assez rapidement pour des millions de conducteurs affectés, ou les actionnaires qui ont vu quelque 20 milliards d'euros essuyée de valeur de l'entreprise.

    Voici cinq questions épineuses qui n'ont pas encore répondu.

    1. qui est responsable ?

    Le logiciel du périphérique défaite a été produit par l'allemand Bosch ferme engineering, qui apparemment prévenu VW il y a huit ans que son utilisation pour manipuler des essais routiers serait illégale.

    Qui a installé ce logiciel dans des moteurs diesel et lui a permis de diffuser à travers de nombreux modèles entre 2009 et 2015 ? C'est la grande question face à Volkswagen et qui est maintenant préoccupant cabinet américain Jones Day, dont la société a embauché pour mener une enquête externe.

    N'oubliez pas que le logiciel a également été constaté dans l'Audi, Skoda et Seat voitures – toutes les marques détenues par le groupe Volkswagen mais les sociétés théoriquement distinctes – et l'ensemble des personnes qui aurait pu savoir à ce sujet se développe encore plus large.

    "Les personnes qui ont permis cela se produise, ou qui a pris la décision d'installer ce logiciel, ils ont agi pénalement. Ils doivent assumer la responsabilité personnelle,"Olaf se trouve, un membre du Conseil VW, déclaré à la BBC cette semaine. Mensonges de Monsieur est le ministre de l'Economie de Basse-Saxe, l'Etat allemand qui possède 20 % de Volkswagen en tant que telle comporte beaucoup d'influence sur l'avenir de la société.

    Malgré les rumeurs de suspensions, qu'une seule tête a roulé jusqu'au VW – l'ancien PDG Martin Winterkorn – et il dit qu'il ne savait pas sur les périphériques de triche.

    2. ce qu'a fait ancien patron Martin Winterkorn sait ?

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  11. Martin Winterkorn était un condamné à perpétuité VW qui a fait son chemin vers le haut grâce à l'ingénierie rôles avant d'accepter l'emploi supérieur en 2007.

    M. Winterkorn a démissionné le 23 septembre et a été remplacé par Matthias Mueller, le patron de Porsche, marque une autre détenue par VW.

    Ancien chef de VW Martin Winterkorn
    M. Winterkorn lui-même professé de « choqué » par l'inconduite découvert chez Volkswagen. Sur sa démission, il a dit: « Je fais cela dans l'intérêt de la société même si je ne suis pas au courant de tout mal faire ma part. »

    Hier procureurs allemands a pris une mesure inhabituelle de préciser que M. Winterkorn n'était pas sous enquête criminelle, malgré le dire plus tôt dans la semaine qu'il était l'objet de leur enquête. Ils sont toujours décider de « lancer une enquête contre ces employés responsables chez Volkswagen » ; leur déclaration initiale a été « formulée correctement ».

    La question reste, M. Winterkorn – célèbre pour son approche pratique – au courant de ce qui se passait ? Ou fait opérations tentaculaires de Volkswagen, il a presque 600 000 gloablly de personnel – rendent impossible pour une personne de gérer ?

    3. combien le scandale coûtera à VW ?

    Volkswagen a jusqu'à présent réservé .5bn 6 € pour couvrir les coûts de la crise –, mais il pourrait courir à des milliards de plus.

    La U.S. Environmental Protection Agency, qui tout d'abord exposé le scandale, a le pouvoir de fine VW $ 37 500 pour chaque voiture trouvée d'avoir enfreint la Loi sur l'assainissement de l'Air. Cette opération ajoute jusqu'à 18 $ pour les voitures diesel 482 000 affectées dans les seuls États-Unis.

    VW pourrait faire face à des amendes supplémentaires dans l'UE et dans les autres pays qui enquêtent sur elle, comme l'Afrique du Sud et l'Australie.

    Comment les actions de VW ont plongé depuis le scandale éclata
    Pendant ce temps les poursuites contre la société sont train de s'accélérer : plus de 190 poursuites – avec les revendications des milliards de dollars – ont été déposées dans le recours collectif devant les tribunaux fédéraux dans au moins 37 États américains.

    Au Royaume-Uni, cabinet d'avocats Leigh Day étudie de possibles revendications juridiques pour le compte des centaines de propriétaires de véhicules. Il a écrit à M. Mueller exige que la Société indemnise les consommateurs pour la prime ils ont payé pour ce qu'ils pensaient était des voitures à moteur diesel « propre », aussi bien que pour d'autres pertes, comme un grand succès à leur valeur de revente.

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  12. Prix de l'action VW a chuté 35 % de 161 € avant la crise à 103,05 €. Et puis, il y a le coût immatériel à la réputation du constructeur, qui pourrait appuyer sur les ventes à moyen terme.

    4. est-ce que le diesel est fini ?

    Certains analystes ont suggéré le scandale « n'est sans doute » signal de la fin du diesel, après plusieurs décennies d'autorités européennes promouvant le carburant au motif qu'elle produit moins de gazcarbonique que l'essence.

    En Grande-Bretagne, le nombre de voitures à moteur diesel est passé de 1,6 1 million depuis 1994, en partie à cause de la baisse des impôts par rapport aux voitures à essence.

    Mais l'ancien ministre britannique de la science Lord Drayson a affirmé cette semaine que la Grande-Bretagne n'allait pas à promouvoir des voitures à moteur diesel qui sont maintenant "tuer des gens".

    « Les personnes qui ont permis cela se produise, ou qui a pris la décision d'installer ce logiciel, ils ont agi pénalement »
    L'OLAF se trouve, membre du Conseil VW

    Le Dr Penny Woods, directeur exécutif de la British Lung Foundation, a déclaré: "les émissions de Diesel sont une cause connue de cancer du poumon et peut aggraver les maladies pulmonaires et autres problèmes de santé.

    « Inciter diesel peut avoir conduit à la réduction des émissions de gazcarbonique, mais le gouvernement doit de toute urgence examiner comment les conséquences imprévues de santé de la présente politique peuvent être contrecarrées. »

    Diesel peut tomber de la faveur avec les pilotes pour d'autres raisons. VW a proposé de corriger le logiciel dans toutes ses voitures diesel touchés, mais cela pourrait rendre moins de carburant efficace et donc plus coûteux à exécuter. Et ils sont plus coûteux, le diesel moins attrayant sera aux consommateurs.

    Cependant pas tout le monde est si pessimiste quant aux perspectives de diesel. "Il serait erroné de pénaliser tous les moteurs diesel. Les derniers véhicules diesel sont les plus propres jamais, » dit Mike Hawes, chef de la direction de la société des constructeurs automobiles et les commerçants.

    5. le scandale ripple dehors au-delà de l'industrie automobile ?

    Essais d'émissions de route à travers le monde sont maintenant sous contrôle, au milieu des revendications qu'ils ne sont pas aussi strictes qu'elles pourraient l'être.

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  13. Mais il ne peut pas s'arrêter là. Cette semaine, Samsung a été accusé de fabrication de téléviseurs qui étaient moins économe en énergie que ce qu'ils semblent être. Dans un parallèle avec le cas de Volkswagen, les télévisions apparemment passé les tests de laboratoire, mais n'a pas un contrôle réel.

    Samsung a nié avec véhémence que ses téléviseurs sont construits avec un appareil de triche. Néanmoins, l'affaire illustre au point qu'à la suite du scandale du VW, consommateurs et organismes de réglementation sera beaucoup plus sceptiques concernant les demandes de produits d'être respectueux de l'environnement, de l'environnement et économes en énergie.

    Comment s'est déroulé le scandale Volkswagen

    2009
    Volkswagen commence à installer « vaincre les périphériques »
    Les dispositifs de contournement plus sévères normes antipollution a présenté en 2008. Les règles plus sévères plafonnement des émissions d'azote (NOx) azote juridique.

    2013
    Anomalies relevées dans les tests
    Des chercheurs du Conseil sur la propreté des transports et de la West Virginia University Internationa voir anomalies entre le NOx émis par les véhicules VW dans des tests en laboratoire et sur la route.

    Mai 2014
    EPA enquête commence
    L'Environmental Protection Agency (EPA) commence une enquête sur VW. Le va-et-vient entre les deux dure plus d'un an, que VW fait valoir que les tests de tierce partie de ses voitures étaient viciées.

    3 septembre 2015
    VW admet astuces
    VW admet qu'il a utilisé un logiciel sophistiqué pour inciter les organismes de réglementation. Son logiciel surveille direction, utilisation et la pression barométrique pour déterminer si la voiture est à l'essai pour les émissions du moteur.

    18 septembre 2015
    Deception de VW entre en bourse
    L'EPA publie tromperie de VW, quitte l'entreprise Allemagne face jusqu'à 18 $ (£12bn) en amendes, ainsi que des cas potentiels de ministère de la Justice, du FBI et l'Union européenne.

    23 septembre 2015
    PDG de VW démissionne
    Dans le sillage du scandale, le PDG Martin Winterkorn démissionne. Depuis que l'EPA a sorti le vendredi précédent, actions VW ont perdu un tiers de leur valeur, et a été ternie la réputation de l'entreprise.

    Le 25 septembre. 2015
    Matthias Mueller nommé PDG
    La tête de sœur marque Porsche, Matthias Mueller, est nommé PDG. VW a dit que les voitures de 5m ont été touchées, en bas d'une estimation initiale de 11m

    30 septembre 2015
    voitures de 1,2 m touché au Royaume-Uni
    Volkswagen dévoile le nombre de wagons affectés sur les routes de UK - plus qu'un 10ème du total dans le monde entier.

    http://www.telegraph.co.uk/finance/newsbysector/industry/11906842/Five-questions-about-the-VW-emissions-scandal-that-wont-go-away.html

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    1. Pareillement que dans les bureaux des ministères l'on est pas tenu d'ouvrir les fenêtres lorsque quelqu'un pète, les pots d'échappement des automobiles seront désormais... à l'intérieur de l'habitacle !

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  14. L'esprit de M. Poutine (Tradition de politique étrangère Non interventionniste de l'Amérique exposée)

    Soumis par Tyler Durden le 02/10/2015 18:55 -0400
    Soumis par Patrick Buchanan via a LewRockwell.com,

    Si Vladimir Poutine dans son discours de l'ONU a résumé sa mise en accusation d'une politique étrangère des Etats-Unis qui a produit une série de catastrophes au Moyen-Orient (que nous n'avons pas besoin le dirigeant russe à nous décrire).

    Quatorze ans après nous ont envahi l'Afghanistan, les soldats afghans sont battent une fois de plus les forces des Taliban pour le contrôle de Kunduz. Seulement 10 000 soldats américains toujours dans ce pays ravagé empêchent le retour triomphal des talibans au pouvoir.

    Une dizaine d'années après que Bush a envahi l'Iraq, ISIS occupe ses contrôles de ville, Mossoul, deuxième plus grande province, Anbar et détient capitale d'Anbar, Ramadi, comme Bagdad tourne loin de nous, à Téhéran.

    Le coût pour les Irakiens de leur « libération »? Cent mille morts, la moitié d'un million veuves et enfants sans père, millions disparues du pays et, toujours, l'incessante guerre.

    Comment la Libye a réussi puisque nous « libérée » que la terre? Un État en faillite, il est déchiré par une guerre civile entre un islamiste « Libye Dawn » à Tripoli et un régime de Tobrouk, soutenu par le dictateur de l'Égypte.

    Il y a au Yémen. Depuis mars, quand les rebelles Houthi chassa une marionnette chaussette saoudien puissance, Riyad, soutenu par l'ordonnance sur les US et intel, a été bombardements que les plus pauvres des nations dans le monde arabe.

    Cinq mille sont morts et 25 000 blessés depuis mars. Et comme le Riyal 25 millions dépendent des importations pour se nourrir, qui ont été coupées dans une large mesure, ce qui se passe est décrite par un fonctionnaire de l'ONU comme une "catastrophe humanitaire".

    "Yémen après cinq mois ressemble à la Syrie après cinq ans," a déclaré le chef international de la Croix-Rouge à son retour.

    Lundi, la fête de mariage d'un combattant de Houthi fut frappé par missiles à lanceur aérien avec 130 personnes morte. Si nous n'a aidé à produire qui ?

    Que voit Poutine comme les racines idéologiques de ces catastrophes ?

    « Après la fin de la guerre froide, un seul centre de domination a émergé dans le monde, et puis ceux qui se sont retrouvés au sommet de la pyramide ont été tentés de penser qu'ils étaient forts et exceptionnelles, ils savaient mieux. »

    (suite en dessous:)

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  15. Puis, adopter des politiques « basé sur l'auto-suffisance et la croyance en son caractère exceptionnel et l'impunité, "ce « centre unique de domination", aux Etats-Unis, a commencé à exporter "soi-disant démocratique" révolutions.

    Comment tout tourneront? Poutine, dit :

    «Une ingérence étrangère agressive a entraîné une destruction éhontée des institutions nationales. … Au lieu du triomphe de la démocratie et le progrès, nous avons obtenu la violence, de pauvreté et de désastre social.

    Personne ne se soucie un peu de droits de l'homme, y compris le droit à la vie. »

    Poutine est faux dans sa description de ce qui est arrivé au Moyen-Orient après que nous avons plongé ? Ou son résumé de ce que les interventions américaines ont forgé font écho les mises en garde formulées contre eux ans par dissidents américains ?

    Concept de Poutine de « souveraineté » est la suivante : « nous sommes tous différents, et nous devrions respecter cela. Personne ne doit être conforme à un modèle de développement unique qui quelqu'un a définitivement reconnu comme celui de droite. »
    L'Union soviétique a essayé de cette façon, dit Poutine et a échoué. Maintenant, les Américains cherchent la même chose, et ils rejoindront la même fin.

    Contrairement à la plupart des discours U.N., Poutine mérite étude. Pour qu'il identifie non seulement la mentalité des américains qui ont permis de produire le nouveau désordre mondial, il identifie des principales causes de la seconde guerre froide émergents.

    À Poutine, l'exploitation de l'Occident de sa victoire de la guerre froide pour passer les portes de la Russie de l'OTAN a causé le recul russe viscéral. Le coup d'Etat soutenu par les Etats-Unis en Ukraine, qui a renversé le gouvernement pro-russe élu menait tout droit à la réaction violente dans le Donbass pro-russe.

    Ce que Poutine semble dire nous est la suivante :

    Si les élites de l'Amérique continuent d'affirmer leur droit d'intervenir dans les affaires intérieures des nations, pour les rendre conforme à un idéal de ce qui est une bonne société et légitime des États-Unis gouvernement, puis nous dirigeons vers des conflits sans fin. Et, un jour, cela se traduira inévitablement par la guerre, comme des nations plus résister à l'impérialisme moral de l'Amérique.

    (suite en dessous:)

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  16. Des Nations Unies ont le droit d'être eux-mêmes, dit Poutine.

    Ils ont le droit de tenir compte dans leurs institutions, leurs propres histoires, les croyances, les valeurs et les traditions, même si qui aboutit à ce que les américains considèrent comme démocraties intolérantes ou capitalisme autoritaire ou théocraties même musulmans.

    Il fut un temps, pas si longtemps auparavant, lorsque les américains n'avaient aucun problème avec cela, quand les américains a accepté une diversité de régimes à l'étranger. En effet, une croyance en la non-intervention à l'étranger était autrefois la pierre angulaire de la politique étrangère américaine.

    Mercredi et jeudi, les forces de m. Poutine en Syrie ont bombardé les camps des rebelles soutenus par les États-Unis, cherchant à renverser Assad. Poutine est l'envoi d'un signal: la Russie est prête à monter l'escalier roulant jusqu'à une collision avec les États-Unis pour empêcher nous et nos alliés sunnites arabes et turques de dumping au cours de l'Assad, qui pourrait apporter ISIS au pouvoir à Damas.

    Peut-être il est temps de descendre de notre cheval haute idéologique et commencent à respecter les intérêts vitaux des autres nations souveraines, alors même que nous protéger et défendre nos propres.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-10-02/mind-mr-putin-americas-non-interventionist-foreign-policy-tradition-exposed

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  17. Commerce: Les pièges et arnaques qui agacent le plus les Français

    ECONOMIE Les Français sont de plus en plus méfiants à l’égard des magasins physiques et en ligne, selon une étude…

    Nicolas Beunaiche
    le 06.05.2014 à 18:01

    Soixante millions de consommateurs, et presque autant de pièges et arnaques. L’étude réalisée par Mediaprism et dévoilée ce mardi par le magazine 60 millions de consommateurs fait état d’une suspicion grandissante des Français à l’égard des commerçants, dont ils redoutent de plus en plus les éventuelles pratiques douteuses. Deux personnes sur trois se déclarent ainsi plus méfiantes qu’il y a cinq ans. 20 Minutes fait le point sur les trois écueils qui jalonnent le plus souvent le quotidien d’un acheteur.

    Les faux rabais

    Les prix réduits qui n’en sont pas agacent fortement les consommateurs. Selon l’étude parue ce mardi, 64 % des sondés déclarent avoir acheté un article en promotion avant de découvrir qu’il était moins cher ailleurs. Certains sites s’en sont même fait une spécialité. Dans une étude publiée le 29 janvier, au moment des soldes, l’UFC-Que choisir faisait déjà ce constat, pointant les dérives des sites: les rabais mirifiques mais introuvables, le mélange des articles soldés et des articles non soldés, les rabais en trompe-l’œil… D’après l’association de consommateurs, certains sites n’hésitent ainsi pas à augmenter les prix un mois avant le début des soldes pour pouvoir afficher des rabais deux fois et demie plus élevés que ce qu’il en est vraiment. «Pire, dans 8 % des cas, les produits avaient été proposés avant les fêtes à un prix inférieur au prix soldé!» déplore l’UFC-Que choisir.

    L’obsolescence programmée

    La planification de la durée de vie d’un produit est un tabou. Et pourtant, de nombreux fabricants ont leurs petites astuces pour faciliter son usure ou rendre un appareil irréparable ou simplement dépassé. Selon l’étude de 60 millions de consommateurs, 92 % des sondés estiment d’ailleurs que les produits électroménagers ou de nouvelles technologies sont conçus pour ne pas durer. Pour y remédier, la loi Hamon sur la consommation, publiée le 18 mars 2014, a intégré deux mesures relatives à l’obsolescence programmée. La durée de la garantie légale de conformité et de la garantie relative aux défauts de la chose vendue a été portée à deux ans, dans le but d’inciter les producteurs à proposer des produits capables de durer. Par ailleurs, les producteurs doivent désormais, sur le lieu de vente des produits, communiquer au public la durée pendant laquelle les pièces détachées nécessaires à leur réparation seront disponibles. Problème: les associations estiment que la loi ne va pas assez loin.

    La relation anonyme avec le client

    Troisième enseignement de l’étude parue ce mardi: les sondés expriment une méfiance particulière à l’égard des agents immobiliers (83 %), assureurs (78 %) et opérateurs téléphoniques et fournisseurs d’accès Internet (74 %), les trois professions qui suscitent le plus de mécontentement chez les consommateurs, devant les banquiers (72 %). «Virtuoses des frais cachés, adeptes de la relation anonyme avec le client, rien de bien étonnant à ce qu’on les retrouve en queue de palmarès avec des scores de défiance impressionnants», estime ainsi 60 millions de consommateurs. D’autant que ces secteurs sont les spécialistes de l’envoi de factures incompréhensibles, des dépassements de forfaits ou des taxes, et qu’ils sont difficiles à joindre en cas de problème, ajoute l’association

    http://www.20minutes.fr/economie/1368937-20140506-commerce-pieges-arnaques-agacent-plus-francais

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  18. Pendant que la Russie attaque les islamistes en Syrie, l'Occident désinforme

    Marcus Graven
    Thérèse Zrihen-Dvir
    ven., 02 oct. 2015 21:43 UTC


    Fabius se taira peut-être bientôt en tant que Ministre des Affaires Etrangères.

    Il cumule si parfaitement les erreurs, les propos malencontreux, les initiatives à contretemps que même Christophe Barbier pense qu'il faut le sortir rapidement du Quai d'Orsay.

    Le 29 septembre, lors d'une conférence de presse à New York, son intervention a consisté à accuser le président russe de «parler beaucoup» de la Syrie mais de ne pas frapper Daesh (il ne dit jamais Etat islamique). Il a appelé Vladimir Poutine à entreprendre des actions «concrètes» et non «médiatiques» en engageant des avions dans le ciel syrien.
    Il n'avait pas fini son discours convenu que les premières frappes russes étaient annoncées par les... Américains.
    -- Commentaire : Et ce n'est pas la première fois que la diplomatie française se fait humilier ainsi par les "grands de ce monde". Cela devient une tradition-- .

    Non pour féliciter Moscou mais pour émettre des réserves. Car selon des observateurs, il y avait des doutes sur la nature des cibles de l'aviation russe.

    Comprendre, la CIA dictait des commentaires à ses serviteurs.

    Ainsi Zyad Majed, professeur à l'Université américaine de Paris lançait que « sous le grand slogan de la lutte contre le terrorisme, les Russes ciblent les forces qui sont les plus efficaces contre le régime » syrien.

    -- Commentaire : Utiliser le terme "régime" pour désigner le gouvernement syrien est une arme de propagande qu'utilise le... régime français à travers les médias au pas. N'est-il pas logique de cibler les groupes terroristes les plus "efficaces"? L'université américaine à Paris semble compter des génies dans ses rangs.--

    Quand on sait que les forces syriennes non djihadistes hostiles à Bachar al-Assad ne comptent pas plus de cinq individus opérationnels, selon le général Lloyd Austin, chef militaire des forces américaines au Moyen-Orient, on peut se poser des questions sur leur efficacité.

    -- Commentaire : Les États Unis en avaient annoncé plus, mais la plupart on rejoint les autres groupes djihadistes dès qu'ils ont posé le pied sur le sol syrien, d'autres se sont fait capturer. --

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  19. Une deuxième vague de désinformation est arrivée sur les pages des journaux : les bombardements russes étaient une aubaine pour... les djihadistes.

    Et la presse de citer un Oussama Abou Zayed d'une Armée syrienne libre qui n'existe plus que dans l'esprit de Fabius et des journaleux : « Nous renverrons les Russes chez eux dans des cercueils, comme nous l'avons fait pour le Hezbollah et les milices irakiennes. (...) La Syrie sera pour eux un nouvel Afghanistan ».

    Cette dernière phrase n'est pas à prendre à la légère. Elle pourrait être un avertissement de Washington aux Russes. Ceux-ci ont souffert en Afghanistan de la puissance des missiles sol-air comme le Stinger. Le Qatar et l'Arabie Saoudite en possèdent. Ils ont, pour l'instant, interdiction de les fournir aux islamistes en Syrie et en Irak. Cette interdiction sera-t-elle bientôt levée ?

    -- Commentaire : Le Qatar et l'Arabie Saoudite n'ont pas de scrupule à armer les terroristes, ils l'ont fait par le passé, il le font, et le referont. Ils ont la bénédiction de l'oncle Sam.--

    Mais la comparaison afghane sous-entend surtout que l'intervention russe va motiver de nouvelles recrues à rejoindre l'Etat islamique comme ce fut le cas avec le flot de moudjahidines des ex-républiques soviétiques qui partit tuer des kouffar dans les villes et les montagnes afghanes après 1979. Moudjahidines qui, rappelons-le, furent une création américano-pakistanaise. Depuis la créature a échappé à ses créateurs.

    Parallèlement, l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) affirmait que le raid français contre Daesh dans la province orientale de Deir ez-Zor, aux abords de la ville d'al-Jala'a avait tué 12 enfants-soldats.

    Rami Abdel Rahmane, le directeur de ce fameux OSDH, ONG basée à Londres dont les communiqués sont systématiquement repris par les agences de presse sans aucune vérification semble le seul et unique acteur de son organisation. Il en est le directeur, l'éditeur du site, le gestionnaire des pages Facebook et le porte-parole. Il prétend qu'il dispose en Syrie d'une équipe de plus de 200 correspondants. Dans la réalité, il collecte certainement ses informations sur les pages Internet des groupes djihadistes et des partisans du régime afin de les mettre au service de la propagande américaine.

    Depuis que la France a été ciblée par l'OSDH, les relations paraissent s'être refroidies entre Paris et Rami Abdel Rahmane.

    Pour faire bonne mesure, un groupe rebelle soi-disant entraîné par la CIA affirme avoir été visé. Quand on sait le poids des groupes entraînés par les Américains, on a le droit d'être sceptique.

    De plus, les groupes terroristes sont tellement enchevêtrés qu'il est difficile de frapper les uns sans toucher les autres.

    Mais au final, ce sont tous des groupes djihadistes. Parfois, ils s'affrontent pour dominer un trafic, puis se réconcilient sur le dos d'un autre groupe.

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  20. Les documents censés prouver que les frappes des Sukhoi russes visent des civils et des groupes de «modérés» sont sortis à jet continu, sans vérification, sans que rien ne les relie aux raids russes.

    Certaines manipulations sont évidentes comme celles de photos de victimes d'avant l'intervention russe devenues celles de l'aviation de Poutine.
    Cette désinformation a été relayée par les autorités occidentales et par l'ONU.

    Les Américains ont toutefois rétropédalé. Josh Earnest, porte-parole de la Maison-Blanche a avoué : «Il est trop tôt pour moi pour dire quelles cibles ils visaient et quelles cibles ont été touchées ».

    Faran Haq, porte-parole du secrétaire général de l'Onu, a reconnu à son tour que ces allégations n'étaient fondées que sur les informations de médias et d'organisations non gouvernementales. On sait ce que valent ces organisations.

    Quant à Fabius, il persévère. Les sables mouvants de la realpolitik finiront bientôt par l'engloutir.

    Il se dit qu'il devrait partir pantoufler au Conseil constitutionnel.

    http://fr.sott.net/article/26526-Pendant-que-la-Russie-attaque-les-islamistes-en-Syrie-l-Occident-desinforme

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  21. Ironie et hypocrisie : Un bombardement américain touche un hôpital de MSF en Afghanistan et tue au moins 9 personnes

    l'Humanité
    sam., 03 oct. 2015 10:19 UTC

    Le centre de soins de Médecins sans Frontières à Kunduz, ville afghane reprise aux talibans par l'armée, a été "fortement endommagé" par un bombardement nocturne qui a tué neuf membres du personnel.

    Neuf employés de Médecins sans Frontières (MSF) ont été tués et 37 personnes gravement blessées dans le bombardement de l'hôpital de l'ONG cette nuit. Le bilan de cette frappe menée dans la nuit pourrait s'alourdir, plus de 30 membres du personnel étant toujours portés disparus. Au moment du bombardement, 105 patients et 80 membres du personnel, des Afghans et des étrangers, étaient présents dans ce centre de soins, situé à proximité du centre-ville de Kunduz.

    Un habitant de Kunduz a raconté avoir tenté de joindre, en vain, six de ses amis, tous médecins et infirmiers à l'hôpital de MSF. "Je n'ai aucune nouvelle d'eux. Ils sont peut-être morts", a-t-il dit.

    "Nous sommes terriblement choqués par cette attaque, par la mort de nos collègues et de nos patients, et par la lourde perte infligée au système de santé à Kunduz," déclare Bart Janssens, directeur des opérations de MSF. "Nous ne connaissons pas encore exactement le nombre de victimes, notre équipe médicale donne les premiers secours, soigne les patients et les personnels MSF blessés, et fait le décompte des morts. Nous pressons toutes les parties au conflit à respecter la sécurité des structures de santé et du personnel médical."

    Depuis le début des combats, lundi, MSF a pris en charge 394 blessés. Quand l'attaque aérienne a eu lieu ce matin, 105 patients se trouvaient dans l'hôpital avec leurs accompagnants, ainsi que plus de 80 personnels MSF afghans et internationaux.

    Le centre de soins de MSF a apporté une aide cruciale à la population civile depuis lundi et la prise de Kunduz par les talibans, puis la contre-offensive des forces de sécurité afghanes. En tout, 60 personnes ont été tuées et plus de 400 blessées dans ces combats, selon le ministère afghan de la Santé.

    C'est le seul hôpital dans cette région du nord de l'Afghanistan capable de traiter des grands blessés. Il a fonctionné "au-delà de ses capacités" ces derniers jours.

    L'hôpital MSF est en effet la seule structure de santé de ce type dans la région nord-est de l'Afghanistan en apportant des soins de chirurgie traumatologique gratuits. Le personnel soignant de MSF prend en charge tous ceux qui en ont médicalement besoin sans aucune discrimination ethnique, religieuse ou politique.

    Kunduz, cette grande ville du nord afghan a été le théâtre d'âpres combats entre les talibans et les forces de sécurité afghanes cette semaine.

    En Afghanistan, les frappes aériennes de la coalition de l'Otan font l'objet d'une forte controverse quant à leur utilité et aux "dommages collatéraux" qu'elles engendrent. En juillet dernier, 10 soldats afghans avaient ainsi été tués par erreur dans un raid américain contre le barrage qu'ils tenaient dans la province orientale de Logar.

    (suite en dessous:)

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  22. La frappe qui a touché l'hôpital de MSF a été menée au coeur de la nuit et visait des "personnes qui menaçaient les forces de la coalition", a indiqué le colonel Brian Tribus, porte-parole de "Soutien résolu", la mission de l'Alliance atlantique en Afghanistan.

    "Elle pourrait avoir causé des dommages collatéraux dans un centre médical qui se trouvait à proximité. Une enquête a été ouverte", a-t-il précisé.

    -- Commentaire : Incroyable ! Et tout cela en pleine campagne de mensonges et de propagande de la part des gouvernements occidentaux, qui affirment que la Russie est en train de tuer des civils en Syrie. L'OTAN tue, et pas seulement des civils afghans, mais également des volontaires d'ONG occidentales ! --

    Lorsque l'on suppose (sans preuves) que la Russie fait la même chose, c'est une tragédie qu'on nous recrache dans les médias ; lorsque les États-Unis le font très probablement et de manière répétée, on parle de "dommages collatéraux".

    Les États-Unis ont déjà détruit l'Afghanistan. Mais apparemment, ça ne suffit pas : leur soif de sang est inextinguible.

    http://fr.sott.net/article/26525-Ironie-et-hypocrisie-Un-bombardement-americain-touche-un-hopital-de-MSF-en-Afghanistan-et-tue-au-moins-9-personnes

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  23. Hystérie anti-russe : les victimes en Syrie apparaissent avant même le décollage des avions russes !

    RT
    jeu., 01 oct. 2015 16:57 UTC

    Les données sur les victimes présumées parmi les civils syriens causées par les raids aériens russes en Syrie sont apparues dans les médias avant même le début de leur première mission de combat, a déclaré le président russe Vladimir Poutine.
    - voir photos sur site -

    Désinformation sur les frappes russes en #Syrie: un tweet utilise une photo du 25 septembre!

    Nous verrons un peu plus au sujet de ces "white helmets" et autres "ONG" prochainement.
    Nous verrons un peu plus au sujet de ces "white helmets" et autres "ONG" prochainement. Mais le chef d'Etat russe s'est dit prêt à de telles «attaques informationnelles» prétendant que la population civile souffre. Cependant, la Russie ne laisse pas ces provocations sans réponse : «Néanmoins, cela ne signifie pas que nous ne devons pas tendre l'oreille à de telles informations».

    Pour le faire, la Russie établit des contacts entre ses services spéciaux, entre ses services et les services des Etats-Unis ainsi qu'entre les ministères de la Défense des deux pays.«Ce travail est en cours, j'espère qu'il aboutira à la création d'un mécanisme permanent», a fait savoir Vladimir Poutine en ajoutant qu'un tel centre a d'ores et déjà été créé à Bagdad par la Russie, la Syrie, l'Iran et l'Irak.

    Pendant que les réseaux sociaux sont submergés de fausses photos de victimes, de désinformations et de données sans preuve sur ces victimes alléguées, le président russe souligne que «les autres pays portent des frappes sur le territoire syrien depuis déjà plus d'un an, sans résolution du Conseil de sécurité de l'ONU et sans demande appropriée de la part des autorités syriennes officielles».

    -- Commentaire : En effet, tous ces pays, États-Unis et France notamment, mais aussi Israël agissent en violation du droit international en agressant militairement un pays souverain. Ne pas aimer quelqu'un ne donne pas le droit d'aller le tuer.--

    Des dizaines de vidéos et de photos qui montreraient les conséquences des bombardements russes de zones d'habitation en Syrie ont été diffusées sur Internet avant même l'annonce de frappes contre Daesh par Moscou.
    -- Commentaire : De la propagande anti-russe venant tout droit de l'Observatoire syrien des droits de l'homme, un organisme de désinformation basé à Londres, et source principale des médias français, anglo-saxons et mêmes arabes (Al Jazeera).--

    Il est apparu dernièrement que cet Observatoire "syrien" (en Angleterre) des droits de l'homme serait en fait le fait d'un seul individu. Voilà le « professionnalisme » des merdias occidentaux.

    (suite en dessous:)

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  24. La Russie estime que ce n'est qu'une guerre d'information et a appelé les médias et les responsables étrangers à vérifier soigneusement l'information avant de la tenir pour vraie. Le porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova a qualifié mercredi ces actions de «guerre informationnelle» et a souligné que «certains étaient bien préparés».

    Les frappes portées par la Russie ont touché 12 cibles appartenant à Daesh dès le début de la campagne aérienne russe. Selon le ministère russe de la Défense, les militaires syriens fournissent les données aux forces russes en Syrie et ces données sont vérifiées deux fois avant de porter une frappe.

    -- Commentaire : L'Onu avoue s'être trompée en rapportant que les frappes russes tuent des civils, mais cela ne sera pas relayé par les médias aux abois - le mal est fait chez la population désinformée.--

    http://fr.sott.net/article/26524-Hysterie-anti-russe-les-victimes-en-Syrie-apparaissent-avant-meme-le-decollage-des-avions-russes

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  25. Obama accuse la Russie de s'en prendre aux « bons terroristes » soutenus par les USA

    Michel Chossudovsky
    Global Research
    jeu., 01 oct. 2015 15:26 UTC
    Traduit par Daniel pour Mondialisation.ca

    Abondamment confirmé dans de nombreux textes mais rarement abordé dans les reportages, l'État islamique en Irak et en Syrie (EIIS) est une création des services secrets des USA, dont les membres sont recrutés, entraînés et financés par ce pays et ses alliés dont la Grande-Bretagne, la France, l'Arabie saoudite, la Turquie, Israël et la Jordanie.

    Jusqu'à récemment, l'EIIS était connu sous le nom d'Al-Qaïda en Irak (AQI). Ce n'est qu'en 2014 que le groupe est devenu l'État islamique (État islamique en Irak et en Syrie, État islamique en Irak et au Levant).

    -- Commentaire : Il est intéressant de noter à quel point les changements de noms modifient le discours des médias : Al-Qaïda méchants, mais ISIS encore plus méchants. Alors Al-Qaïda gentils. L'utilisation de dichotomies simples (et souvent stupides) est une technique de propagande qui ne laisse aucune place à une analyse élaborée chez leurs consommateurs.--

    La Russie entre en guerre contre le terrorisme

    Nous assistons maintenant à un revirement majeur dans la dynamique de la guerre en Syrie et en Irak. La Russie est dorénavant directement engagée dans la lutte antiterroriste en coordination avec les gouvernements syrien et irakien.

    Washington a reconnu la détermination de Moscou, mais voilà maintenant qu'Obama se plaint que les Russes prennent pour cible les « bons terroristes » soutenus par Washington.

    Information privilégiée

    Extrait du Wall Street Journal (WSJ) :

    D'après des responsables étasuniens, les frappes aériennes russes en Syrie ont visé des rebelles soutenus par la CIA

    Un des secteurs touchés est une position tenue principalement par des rebelles financés, armés et entraînés par la CIA et les alliés.

    -- Commentaire : Par "rebelles", il faut comprendre "terroristes" et "mercenaires", car les "rebelles modérées" sont un mythe inventé par les officines de propagande pour justifier la guerre en Syrie. Lorsque votre pays, quel qu'il soit, fait face à une guerre aussi sauvage, vous ne prenez pas les armes pour soutenir les agresseurs dans leurs boucheries. C'est absurde, et même un idiot ne le ferait pas.--

    Un élément d'information important rapporté tacitement dans cet article du WSJ est que la CIA soutient des terroristes pour parvenir à un « changement de régime » en Syrie, ce qui implique des opérations de renseignement clandestines dans le territoire syrien :

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  26. « L'agence d'espionnage étasunienne arme et entraîne des rebelles en Syrie depuis 2013 pour combattre le régime d'Assad. » (WSJ, le 30 septembre 2015; soulignement ajouté. Note de l'auteur : un soutien tacite est fourni depuis le début de la guerre en mars 2011.)

    Ce qui précède est connu et confirmé, mais à peine rapporté dans les médias institutionnels.

    Le front Al-Nosra : « les bons terroristes »

    Le Pentagone, qui reconnaît maintenant candidement que la CIA soutient des groupes affiliés à Al-Qaïda à l'intérieur de la Syrie, dont le front Al-Nosra, déplore du même souffle que la Russie aurait pour cible les « bons terroristes » qui sont soutenus par Washington :
    Une des frappes aériennes [russes] a touché une position tenue principalement par des rebelles soutenus par la CIA et les services de renseignement alliés, d'après des responsables étasuniens (...).

    Sur les sept secteurs qui, d'après les médias nationaux syriens, ont été pris pour cible par les frappes russes, seulement un, qui se trouve à l'est de Salamiyah, dans la province de Hama, a une présence avérée de combattants de l'État islamique. Les autres secteurs sont largement dominés par des factions de rebelles modérés ou des groupes islamistes comme Ahrar al-Sham et le front Al-Nosra, affilié à Al-Qaïda. (WSJ, le 30 septembre 2015; soulignement ajouté.)

    -- Commentaire : C'est vrai que c'est pas très sympa de s'en prendre aux groupes terroristes takfiristes, ils coûtent si cher aux contribuables américains et européens.--

    Le front Al-Nosra, qui est effectivement affilié à Al-Qaïda, est une organisation terroriste « djihadiste » responsable d'innombrables atrocités. Depuis 2012, Al-Qaïda en Irak et le front Al-Nosra, avec le soutien des services secrets des USA, travaillent de concert à diverses menées terroristes à l'intérieur de la Syrie.

    Ce qui ressort des nouveaux développements, c'est que le gouvernement syrien a fixé ses propres priorités en vue de la campagne aérienne antiterroriste russe, qui consistent essentiellement à frapper le front Al-Nosra, qui est décrit comme le bras armé terroriste de l'Armée syrienne libre (ASL).

    Washington a qualifié le front Al-Nosra d'organisation terroriste au début de 2012. Ce qui ne l'a pas empêché de soutenir Al-Nosra et les soi-disant « rebelles modérés » en leur fournissant des armes, un entraînement, un soutien logistique, des recrues, etc. Ce soutien était fourni par l'intermédiaire de ses alliés du golfe Persique, dont le Qatar et l'Arabie saoudite, et entrait par la Turquie et Israël. .

    Fait ironique, dans une décision du Conseil de sécurité de l'ONU rendue en mai 2012, « le front Al-Nosra en Syrie a été mis sur la liste noire en tant qu'alias d'Al-Qaïda en Irak », autrement dit, de l'EIIS :

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  27. une décision qui se traduira par l'imposition de sanctions contre le groupe, dont un embargo sur les armes, une interdiction de voyager et le gel des avoirs, ont expliqué les diplomates.

    La mission étasunienne auprès de l'ONU a affirmé qu'aucun des 15 membres du Conseil ne s'était opposé à l'ajout du front Al-Nosra comme alias d'Al-Qaïda en Irak ce jeudi.

    Le front Al-Nosra, l'une des forces armées les plus efficaces dans la lutte contre le président Bachar al-Assad, a prêté allégeance le mois dernier au chef d'Al-Qaïda Ayman al-Zawahri. (Al Jazeera, mai 2012)

    -- Commentaire : C'est donc tout à fait officiel. La France, et autres vassaux européens des États Unis, soutiennent ainsi des groupes terroristes sanguinaires et sont complices, sinon responsables de leurs crimes. Les gens devraient apprendre à lire non seulement entre les lignes, mais les lignes elles-mêmes. --


    Voilà maintenant que la Russie est blâmée pour s'en prendre à une entité terroriste qui est non seulement sur la liste noire du Conseil de sécurité de l'ONU, mais qui a des liens avec l'État islamique en Irak et en Syrie (EIIS).

    Quelle est la portée de ces accusations ?

    Pendant que les médias rapportent que la Russie soutient la campagne antiterroriste, dans les faits, la Russie combat (indirectement) la coalition USA-OTAN en soutenant le gouvernement syrien contre les terroristes, qui se trouvent à être les fantassins de l'alliance militaire occidentale, qui comptent des mercenaires et des conseillers militaires occidentaux dans leurs rangs. Concrètement, la Russie combat des terroristes soutenus par les USA.

    La vérité inavouable, c'est qu'en fournissant une aide militaire à la Syrie et à l'Irak, la Russie s'en prend (indirectement) aux USA.

    Dans cette guerre par procuration, Moscou va soutenir ces deux pays dans leur lutte contre l'EIIS, qui est soutenu par les USA et ses alliés

    http://fr.sott.net/article/26523-Obama-accuse-la-Russie-des-en-prendre-aux-bons-terroristes-soutenus-par-les-USA

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