29 Septembre 2015
Par AWP
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Les Helvètes sont toujours les plus riches en termes de fortune par habitant. Paradoxalement, les ménages suisses présentent toujours la dette la plus élevée du monde.
Les Helvètes sont toujours les plus riches en termes de fortune par habitant. Paradoxalement, les ménages suisses présentent toujours la dette la plus élevée du monde avec une moyenne de 80'000 EUR par personne (87'343 CHF).
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Les actifs financiers nets par habitant ont atteint 157'450 EUR (environ 171'600 CHF) en Suisse l'an dernier, contre 146'540 EUR en 2013, selon le Global Wealth Report de l'assureur Allianz publié mardi. Dame Helvétie occupe la tête du classement depuis 2000.
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La Suisse occupe également la première marche du podium en termes de dette même si cette dernière n'a que peu augmenté ces dernières années. Le taux d'endettement en pourcentage du produit intérieur brut (PIB) est, cependant, resté élevé, en 2014, à 122%. A titre de comparaison, le niveau de dettes est de 55% en Allemagne et de 51% en Autriche.
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Sur le plan mondial, les actifs financiers nets ont progressé de 8,1% en 2014. Ils se sont élevés à un niveau record de 100'600 mrd EUR, selon le classement qui analyse le patrimoine et l'endettement des ménages dans plus de 50 pays.
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L'Asie (hors Japon) a tiré ce chiffre vers le haut. Ses actifs financiers nets ont augmenté de 18,2%, l'année passée. Et, depuis l'an 2000, la part de cette région dans le patrimoine mondial a plus que triplé.
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LA CHINE RESTE UN MOTEUR
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Quant à la situation actuelle, pour Michael Heise, chef économiste d'Allianz, le ralentissement chinois n'est pas inquiétant."Le pays est, aujourd'hui, bien plus prospère qu'il y a encore cinq ou dix ans. Il envoie donc toujours des impulsions de croissance vigoureuses vers nos économies et nos marchés financiers", souligne-t-il.
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Les autres régions émergentes, l'Amérique latine et l'Europe de l'Est, ont affiché une hausse beaucoup plus modérée de leurs actifs financiers nets. Ces dernières se sont chiffrées à respectivement 4,2% et 8,6%.
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En zone euro, la situation s'avère réjouissante. Pour la première fois, avec 6,2%, cette région du monde a enregistré une croissance supérieure à celle de l'Amérique du Nord (5,3%). Ce bon résultat est à mettre sur le compte de nombreux pays européens qui ont poursuivi leur processus de désendettement.
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Au sein des pays, les patrimoines sont très inégalement répartis. C'est aux Etats-Unis que les inégalités sont les plus criantes.
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Avec une valeur de 61,2 points, la Suisse se situe à un niveau inférieur à la moyenne des pays développés (64,6 points). A titre de comparaison, l'Allemagne et l'Autriche plafonnent à 73,3 points et 73,6 points.
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Sur sol helvétique, les inégalités ont progressé au cours de la dernière décennie. Le coefficient de Gini, l'indice utilisé pour mesurer ce phénomène, a gagné trois points en dix ans.
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Ce qui cause des changements climatiques c'est l'animal de l'agriculture, pas les combustibles fossiles
RépondreSupprimerle 1er octobre 2015
par Robert Barsocchini
Il y a une sorte de « cowspiracy » en cours... L'agriculture animale est la principale cause du changement climatique, mais personne ne semble vouloir à le résoudre.
Le documentaire Cowspiracy, disponible sur Netflix et par le biais du film site Web, etc, et vaut une montre, en particulier pour les raisons suivantes (en plus d'être divertissant/captivante dans l'ensemble) :
1) apprendre que l'agriculture animale est, de loin, la principale cause du changement climatique.
2) silences maladroits et équivoque de grands groupes environnementaux lorsqu'on lui demande ce qui semble être la question plus fondamentale à leur sujet d'expertise: "Ce qui est la principale cause du changement climatique?" Certains contourner en fin de compte, bien qu'à contrecoeur, et les raisons de leurs réticences sont fascinant et révélateur.
3) visual illustrations de combien terre/eau qu'elle prendrait pour « durablement » nourrir les exigences actuelles du monde pour la viande, produits laitier, oeufs, poissons et autres produits d'origine animale (c'est à dire en cuir). (Astuce : il n'est nulle part près possible.)
4) les statistiques sur les contributions faciles, on peut faire pour préserver l'environnement en réduisant simplement la quantité de produits d'origine animale on consomme. Par exemple :
2 500 gallons d'eau sont nécessaires pour produire 1 livre de bœuf. Manger un moins hamburger par mois permet d'économiser environ 600 gallons d'eau.
477 gallons d'eau sont nécessaires pour produire 1 lb d'oeufs. Manger trois moins oeufs par mois permet d'économiser environ 115 gallons d'eau.
Près de 900 gallons d'eau sont nécessaires pour 1 lb de fromage. Manger trois moins portions de 1 oz de fromage par mois permet d'économiser environ 168 gallons d'eau.
¼1 000 gallons d'eau sont nécessaires pour produire 1 gallon de lait. Découper ¼ gallon de lait par mois et économiser 250 gallons d'eau.
(Une ressource pour les choses à manger au lieu de cela, si l'on veut faire des réductions mais de maintenir le niveau actuel de l'apport calorique).
Ces quatre petites réductions ajoutent jusqu'à sauver plus de 1 000 gallons d'eau par mois. Ainsi, si même seulement 1 million de personnes aux Etats-Unis fait ces réductions, cela équivaudrait à une économie mensuelle de plus de 1 milliard de gallons d'eau. Cela ne veut ne pas parler de carbone et autres réductions qui viennent de réduire ou d'abandonner la consommation de produits animaux.
Les cinéastes listent leurs faits et les sources iciet ont créé le suivant info-graphique:
- voir tableau idiot sur site :
http://www.washingtonsblog.com/2015/10/leading-cause-of-climate-change-is-animal-agriculture-not-fossil-fuels.html
SupprimerCes 'chercheurs-ingénieurs-scientifiques' de mes deux ont trouvé (Cà y est !) que l'eau bu par les animaux (dont ne faisons partie) ne réapparaîtra plus ! Non ! C'est fini ! Y a plus d'eau !
Il faudrait que tous ces cons crachent en l'air pour faire l'expérience que depuis que le monde est monde il n'y a pas une goutte d'eau de plus ou de moins !
Apparemment, ce sont les mêmes trous de culs qui sont payés par Bruxelles qui ont écrit çà !
http://lejournaldusiecle.com/2013/02/14/lue-va-financer-des-agents-pour-contrer-les-eurosceptiques-sur-internet/
https://www.youtube.com/watch?v=4TFlLhhARhc
Blowback syrien comme la Russie, la Chine et l'Iran forme Coalition militaire
RépondreSupprimerNous assistons actuellement à la montée d'un bloc d'alimentation qui contient les deuxième et troisième plus grandes armées sur la planète, ainsi que la coopération active des gouvernements effectivement encourues par l'invasion d'ISIS.
30 septembre 2015,
par James Corbett
Un mois et demi, quand l'accord USA-Turquie pour la création de zones exemptes d'ISIS kurde était encore le gros point de parler dans la guerre de Syrie, la Russie a été engagée dans un effort diplomatique qui s'est envolé sous le radar. Leur plan : pour créer une « large coalition » de pays sérieusement face à la menace d'ISIS.
L'idée, émise par le ministre russe Lavrov lors des négociations nucléaires de l'Iran à Vienne et d'autres sites internationaux, a reçu peu d'attention et n'était pas prise très au sérieux par n'importe qui. Méprisé par le soi-disant « Conseil National syrien, » rejeté par les Saoudiens et, inévitablement, rejetée le froid par la maison blanche, il semblait que c'était destinée à être une autre initiative de politique étrangère russe qui serait whither sur la vigne.
Oh quelle différence un mois fait. Loin de renoncer à l'idée, la Russie tout simplement décidé de procéder à leur propre « coalition of the willing,"beaucoup au grand dam de la presse jaune de l'Ouest. Faux scandale sur la présence de conseillers militaires russes et de matériel dans le pays (ni un nouveau ni un développement surprenant vu alliance militaire de la Russie avec la Syrie) bientôt cédé la place à la consternation sur alliance/renseignement militaire de la Russie avec l'Iran et Irak et même l'extension possible de cette alliance pour inclure le Hezbollah et l'Yémen.
Mais la bombe de cette semaine qui menacent de faire sauter tout cela hors de l'eau : plus tard (à confirmer) les rapports indiquent que la Chine participe à la lutte.
Selon Al-Masdar Al-'Arabi, un fonctionnaire de haut rang armée syrienne a confirmé sur le site de nouvelles que la participation chinoise dans le conflit syrien est ici: « Les chinois arriveront dans les prochaines semaines ». Ceci fait suite à une semaine de spéculation piquée par le déploiement apparent d'un croiseur chinois à la Méditerranée que le sénateur russe Igor Morozov a affirmé participe à des opérations syriennes de la Russie.
(suite en dessous:)
Si ces rapports sont vrais, alors il y a un changement important qui se déroulent dans le récit de la Syrie, longtemps dominé par l'Occident, les pays du Golfe, les Israéliens, les Turcs et leurs organisations de marionnettes dans le pays. Nous assistons actuellement à la montée d'un bloc d'alimentation qui contient les deuxième et troisième plus grandes armées sur la planète, ainsi que la coopération active des gouvernements effectivement encourues par l'invasion d'ISIS. Qui apporte avec elle une légitimité que les États-Unis et la GCC pourraient seulement souhaiter dans le conflit.
RépondreSupprimerTous les regards sont désormais sur l'Assemblée générale des Nations Unies, où il semble Obama et Poutine se livrent à un tit-for-tat sur le conflit syrien et participation des parties concernées. Il est également évident que les États-Unis a perdu encore plus face à la communauté internationale que la Russie intensifie une fois de plus à la plaque avec réelles actions décisives qui montrent qu'ils ne plaisantons.
Cette tournure des événements est beaucoup plus proche de ce que l'on entend par l'explication de mielleux « blowback » qui a laissé les apologistes guerre amour d'utiliser pour expliquer des choses comme la montée d'Al Qaeda ou la naissance d'ISIS. Selon les partisans de la théorie de retour de bâton, le désordre actuel en Syrie n'était pas une stratégie délibérée pour fomenter un État islamique (que même l'ancien chef de la DIA a désormais publiquement accusé la maison blanche de faire) ; non, c'est de « retour de bâton » et « inattendues » par une administration « gâchie » qui « ne peut faire droit intervention. »
Eh bien voici blowback d'un genre bien différent. Aux États-Unis, les Turcs, les Saoudiens et les Israéliens, toutes ces parties ont utilisé le conflit comme une excuse pour showboating, se tordant les mains et faire progresser leurs propres programmes dans la région. Et maintenant, par conséquent, une coalition militaire qui est réellement intéressée à oblitérer le boogeyman de terreur ISIS a surgi.
Il reste à voir si c'est juste plus échecs 2D à l'appui de machinations 3D. Rumeurs que Poutine a voulu mettre Assad sur le billot, depuis le début du conflit persistent, et il sera intéressant de voir si la Russie met en fin de compte une sorte d'arrangement de « partage du pouvoir » Assad sur la table comme une concession pour faire bouger les déplacement diplomatique en Syrie.
Mais cependant il se joue ici, il n'y a pas de fin heureuse pour Obama et ses partenaires dans le crime. Leur boogeyman soigneusement construit terreur cherche de plus en plus comme ses jours sont comptés.
- voir clip sur site:
http://theinternationalforecaster.com/International_Forecaster_Weekly/Syrian_Blowback_as_Russia_China_and_Iran_Form_Military_Coalition
Syrie : Assad sous mandat Russe, les occidentaux qui doutent bien sûr des cibles frappées
RépondreSupprimerJean Bonnevey
Metamag
jeu., 01 oct. 2015 04:34 UTC
Poutine assume. Il s'engage militairement auprès du régime syrien à la demande de celui-ci. Il frappe pour aider Bachar el-Assad à reprendre du terrain et à se trouver en position d'affronter Daesh au sol au cœur d'une coalition. Cela implique que les Russes ne frappent peut-être pas exclusivement l'organisation de l'État islamique.
Mais être accusé de mensonge par les américains, champions toutes catégories de cette discipline depuis toujours notamment pour justifier la guerre inexpiable en Irak ,doit faire sourire Poutine. La tête de faux cul béni de Fabius sur le même registre doit également être un sujet de jubilation pour celui qui a cru- mais on ne l'y prendra plus- en notre action humanitaire en Libye.
La France toujours du coté de la morale et du droit bien sûr contre les méchants. Ainsi le lendemain du jour où François Hollande demande le départ de Bachar El-Assad, la justice française entame une action contre le président syrien pour "crime de guerre et crime contre l' humanité", alors que sort un livre document qui se veut accablant sur le sujet. Ça tombe bien non ?
Invité de RTL, le ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius, a réagi aux premiers bombardements de l'aviation russe en Syrie : « s'il s'agit pour les Russes, de frapper Daech, pourquoi pas ! Mais d'après les informations que nous avons, ils ont frappé, pour une bonne part, des résistants et les civils.»
-- Commentaire : On s'habitue, hélas, au discours politicien, mais quand on prête attention à la manière dont s'exprime Fabius, c'est tout de même sidérant d'approximation, de mauvaise foi, et, disons-le, de foutage de gueule. Le "Si" et le "pourquoi pas", pour minorer l'action russe et distiller le doute, le "d'après nos informations", vague au possible, mais forcément vrai-puisqu'on-nous-le-dit-et-que-c-est-une-preuve-suffisante-donc, le "pour une bonne part", d'une imprécision voulue qui amène forcément à penser que c'est la "part" principale. --
Le manque de courage journalistique pour oser ne pas relever de telles énormités révèle toujours plus, évidemment, la grossièreté d'une telle désinformation. Vous rappelle cela les accusations mensongères (et sans preuves) de l'année dernière concernant le vol MH17 ?
Il n'y a que les Français qui ne font pas de victimes civiles! Assad lui, en revanche, ne tue que des civils. Incroyable non ? Ce qui est sûr, c'est que les frappes russes posent un problème aux Américains et aux Français. Il faut tout faire pour éviter la bavure en plein ciel et donc discuter militairement avec Moscou.
(suite en dessous:)
Mis devant le fait accompli, le secrétaire d'État américain John Kerry a retrouvé son homologue russe Sergueï Lavrov au Conseil de sécurité de l'ONU. Ils ont annoncé, côte à côte devant la presse, s'être mis d'accord sur la nécessité d'une rencontre "entre militaires, aussi vite que possible, peut-être même demain" afin d'éviter tout incident entre leurs aviations en Syrie. Cette réunion entre les deux armées doit porter sur ce que John Kerry a appelé en anglais la "deconfliction". Il s'agit d'éviter un incident militaire entre les avions russes et ceux de la coalition internationale pilotée par les États-Unis, qui, depuis un an, frappe les positions de l'État Islamique. John Kerry a déclaré devant le Conseil de sécurité que Washington était disposé à "bien accueillir" le recours à la force aérienne russe, à condition de viser "réellement" l'EI et Al-Qaïda. Sinon, "nous aurions de sérieuses inquiétudes", a dit le secrétaire d'État. Moscou a répondu que son aviation avait effectué 20 sorties et touché "huit cibles du groupe État islamique". La télévision officielle syrienne a confirmé des bombardements dans les provinces de Hama (Nord-Ouest) et Homs (centre). L'armée syrienne a aussi mené un raid dans la région de Lattaquié (Nord-Ouest).
RépondreSupprimerLa Russie est montée en puissance en Syrie durant l'été, et surtout en septembre, en déployant avions, hélicoptères, tanks et soldats dans le nord-ouest du pays et en construisant une base dans l'aéroport de Lattaquié. Elle a intensifié ses livraisons d'armes à Damas. La Russie intervient aussi loin de son territoire pour la première fois depuis 36 ans : en 1979, il s'agissait pour les troupes soviétiques d'envahir l'Afghanistan. Elle rappelle ainsi qu'elle est un soutien indéfectible au président syrien, toujours au pouvoir après plus de quatre ans d'une guerre.
En engageant son armée pour encadrer celle de Bachar, il apporte une puissance incontournable à la coalition, cette force au sol qui, coordonnée avec les frappes aériennes, pourra faire reculer Daech. Mais Poutine veut un engagement international. Il connait bien le passé. En?1996, l'académie militaire russe Frounze publiait une autocritique des erreurs des Soviétiques en Afghanistan. Depuis tous les militaires étudient ce texte.
L'ours a hiberné, il se réveille mais ne veut plus commettre les mêmes erreurs qui lui ont coûté si cher.
http://fr.sott.net/article/26513-Syrie-Assad-sous-mandat-Russe-les-occidentaux-qui-doutent-bien-sur-des-cibles-frappees
François Hollande reçoit Vladimir Poutine à Paris après de nouvelles frappes russes en Syrie Tremblez !
RépondreSupprimerRTL
ven., 02 oct. 2015 13:07 UTC
Au lendemain de frappes russes en Syrie,le président François Hollande reçoit ce vendredi 2 octobre à Paris son homologue Vladimir Poutine. Alors que la Russie propose de coopérer dans la lutte contre Daesh, les Occidentaux soupçonnent au contraire Moscou de voler au secours du président Bachar al-Assad sous couvert de combattre le "terrorisme".
-- Commentaire : On ne pouvait attendre que cela des Occidentaux. Il faut qu'ils sauvent leur image !--
Cet entretien intervient alors que Paris, tout comme Washington, estime que les premières frappes russes en Syrie n'ont pas visé le groupe jihadiste. Le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius affirmait dans la nuit de jeudi que selon ses informations, des résistants auraient été bombardés. Selon le chef de l'opposition syrienne en exil Khaled Khoja, les frappes de Homs ont tué 36 civils "innocents" dans "des zones qui ont combattu" l'État islamique. "C'est Daesh qu'il faut viser et pas d'autres", a ainsi réclamé le président Hollande.
-- Commentaire : Tout d'abord, "estimer" n'équivaut pas à PROUVER. Donc, il est normal de demander : où sont les preuves ? Deuxièmement, il vaudrait mieux réduire un peu l'hypocrisie, lorsque l'on sait que la modération n'est pas le trait le plus caractéristique des rebelles entrainés et financés par L'Occident. Il suffit de regarder ce que les États-Unis ont détruit accompli au Moyen-Orient.--
Balayant les critiques, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a réaffirmé à l'ONU que les frappes visaient "l'EI, Al-Nosra et d'autres groupes terroristes", comme, selon lui, les frappes de la coalition internationale. Le secrétaire d'État américain John Kerry, également à New York, a annoncé d'autres discussions militaires russo-américaines "dans les prochains jours" afin d'éviter un incident dans l'espace aérien de Syrien.
-- Commentaire : Qui sont ces "autres groupes terroristes" ? Peut-être que ceux ceux-là à qui l'Occident de réfère lorsqu'il fait allusion à des victimes innocentes ? --
L'Ukraine également au rendez-vous
Après sa rencontre avec François Hollande, Vladimir Poutine doit s'entretenir également à l'Élysée avec la chancelière allemande Angela Merkel. De l'aveu même de l'entourage de François Hollande, "il va de soi" que le conflit syrien viendra "influencer le climat" du sommet de vendredi prévu de longue date sur le conflit ukrainien, même si la Syrie et l'Ukraine sont deux sujets qui doivent être dissociés. Les trois dirigeants vont tenter de relancer les accords de paix en Ukraine, qui peinent à se concrétiser et semblent éclipsés par les grandes manœuvres autour de la Syrie.
(suite en dessous:)
-- Commentaire : Hollande a besoin du soutien de Madame Merkel. Ouf ! Ils doivent avoir bien peur... Vont-ils revenir sur leurs pas, faute de choix ? Ou vont-ils prepétrer le cirque propagandiste de ces derniers temps, suivant les instructions de Washington ?--
RépondreSupprimerLes accords de Minsk 2, arrachés par la médiation franco-allemande en février, prévoient des étapes majeures de désescalade dans l'Est séparatiste d'ici à la fin de l'année qui tardent à prendre forme. Les Occidentaux accusent Moscou de soutenir en armes et munitions les séparatistes et d'avoir déployé des forces régulières dans l'Est rebelle où le conflit a fait plus de 8.000 morts depuis avril 2014. La Russie a toujours nié toute implication.
-- Commentaire : Voyez-vous la grande contradiction ? D'un côté, l'Occident est parfaitement d'accord pour soutenir en armes et munitions des mercenaires criminels, contre un gouvernement élu par voie démocratique, et luttant contre l'État Islamique. Mais si la Russie ose aide qui que ce soit après le Coupe d'État en Ukraine, là on se fâche. Un très bon exemple illustrant à quel point l'Occident a deux poids, deux mesures.--
http://fr.sott.net/article/26512-Francois-Hollande-recoit-Vladimir-Poutine-a-Paris-apres-de-nouvelles-frappes-russes-en-Syrie-Tremblez
Encore une affaire de manipulation des marchés ! Encore l’or !
RépondreSupprimerpar Philippe Herlin
02 oct. 2015
Le scandale Volkswagen stupéfie le monde entier et fait la une de l’actualité, mais dans le domaine de la finance et des marchés, nous sommes habitués à ce genre de manipulations. Un grand nombre de banques et de marchés sont plus toxiques que les moteurs diesels de la firme allemande !
Plusieurs scandales ont déjà éclaté dans ce domaine, comme la manipulation du LIBOR ou du marché des changes, des amendes sont tombées sur Citigroup pour le scandale des subprimes ou sur BNP Paribas pour avoir commercé avec des pays subissant un embargo américain (on peut dans ce cas reprocher une sévérité excessive, mais c’est un autre débat). Cependant, les pénalités payées par les banques ne semblent pas les dissuader de continuer à tricher.
Ainsi, les autorités suisses de la concurrence (Comco) ont annoncé le 28 septembre l'ouverture d'une enquête sur la fixation des prix sur le marché des métaux précieux contre UBS, HSBC, Deutsche Bank, Barclays, Morgan Stanley, Mitsui et Julius Baer. Que du beau monde parmi ces sept banques ! Ces établissements sont suspectés d’entente illicite sur les prix de l’or, de l’argent, du platine et du palladium. L’une de ces banques, Barclays, a déjà été condamnée par l’autorité britannique de régulation du secteur financier, la Financial Conduct Authority (FCA), à 26 millions de livres (32 millions d'euros) d'amende pour des manipulations sur le marché de l'or. Cela ne l’a manifestement pas découragé de continuer d’user des mêmes pratiques.
Ainsi, les marchés financiers sont manipulés de façon "officielle" et "avec bienveillance" par les banques centrales (taux à zéro, QE), et de façon illégale et inavouée par les plus grandes banques ; avec ça, fiez-vous aux prix affichés par ces marchés !
Et on notera que l’or est une fois de plus concerné dans cette affaire de manipulation. Nous qui défendons la détention d’or physique, prenons cela comme un hommage : faut-il que le métal précieux garde son importance et joue encore un rôle central pour que les manipulateurs s’y intéressent ! Ceci dit, eux jouent avec l’or papier un peu comme on danse au-dessus d’un volcan. Sur le COMEX, le principal marché à terme dans le monde, on est sur un ratio de plus de 200 (voir cet article) ! 200 onces d’or papier circulent pour une once d’or physique réellement présente dans les coffres de ce marché, autrement dit, si plus de 0,5% des investisseurs demandent la livraison effective de leur or, le système saute. Soyons rassurés, il n’y a rien d’illégal à cette situation, aucune enquête n’est ouverte. Heureusement que nos banquiers ne fabriquent pas nos voitures, sinon nous irions directement dans le fossé !
http://www.express.be/business/fr/economy/encore-une-affaire-de-manipulation-des-marches-encore-lor/216003.htm
Tous les marchés (or, pétrole, et autres Matières Premières) sont manipulés ! TOUS !
SupprimerEn ce qui concerne l'affaire VW, n'oublions pas:
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/05/16-porte-containers-polluent-plus-que.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/05/ou-les-voitures-invendues-du-monde-vont.html
http://lebulldozerdanslatete.over-blog.com/article-14000-eoliennes-abandonnees-aux-etats-unis-120464979.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2012/08/vous-avez-dit-voitures-electriques.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/10/a-propos-denergie-gratuite.html
« Ils sont sauts fous aux Etats-Unis et en Arabie saoudite »: des frappes russes en Syrie des étincelles Blitz de propagande des médias occidentaux épique
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 02/10/2015 08:33 -0400
Nous sommes maintenant depuis deux jours dans la campagne aérienne contre les forces anti-régime en Syrie par la Russie et Moscou et l'Occident sont précipitent pour faire tourner le récit.
La tentative frénétique des deux côtés de façonner l'opinion publique a été vraiment incroyable pour les yeux et l'énorme quantité de couverture parle ce que disait jeudi sur l'importance du conflit est vraiment pour le Moyen-Orient d'équilibre.
Pour les États-Unis, dépeignant les frappes russes comme favorable à un régime meurtrier et comme une menace imminente pour les civils est à la clé, car elle permet de Washington expliquer le fait que les Etats-Unis et ses alliés n'ont pas coordonné leurs efforts avec Moscou. Prendre la suivante de CNN par exemple, qui rapporte que la Russie a fait une "erreur stratégique" et qu'en ouvrant une campagne aérienne, risques Russie, soulevant le spectre de la guerre soviétique-afghane dans l'esprit des djihadistes potentiels qui vont se précipiter supposément en Syrie à se joindre au combat :
Il n'y a aucune ambiguïté maintenant sur la tactique actuelle de la Russie en Syrie--ils cherchent à prendre le relais de l'espace aérien dans la région et la force de priorités sur le terrain, plusieurs hauts fonctionnaires a déclaré à CNN.
« Démarche d'hier aux Etats-Unis par les autorités russes à Bagdad a été clair dans son intention », a déclaré un fonctionnaire de l'administration supérieure. « Assurez-vous que vous n'avez personne autour de cibles de ISIS et sortir l'air. »
Et tandis que les responsables américains ne prévoient pas de céder à la Russie tout terrain, ils ont aussi dit il semble que le Président russe Vladimir Putin fait un spectaculaire jeu d'échecs se déplacer que les Russes n'ont pas pensé à travers--un fonctionnaire a même appelé une « bourde stratégique ».
Si les Russes avaient été clairs qu'ils apportent leur soutien en Syrie pour empêcher l'effondrement du régime de président syrien Bashar al-Assad--un scénario qui profiterait ISIS--ils pourraient avoir obtenu quelque crédit sur la scène mondiale.
Mais leurs très premières frappes dans la région a frappé les forces rebelles d'anti-Assad soutenus par la CIA, Arizona républicain John McCain, Président du Comité de Services armés du Sénat, a déclaré jeudi sur CNN « New Day ».
Et des responsables américains note que chaque bombe contre une cible non - ISIS sunnites met plus au lit avec l'Iran et le Hezbollah, qui sont des chiites. Alliés des Etats-Unis dans le golfe Persique avertissent que cela pourrait déclencher un énorme conflit sectaire et que plus les Russes entrer dans ceci, les fonctionnaires plus difficiles pense qu'il sera d'obtenir un processus diplomatique avec les Saoudiens et les autres remis en marche.
(suite en dessous:)
« Il va être extrêmement tentant pour les Saoudiens commencer à financer leurs mecs à nouveau », a déclaré un autre responsable de l'administration supérieure. "La Syrie sera un pôle d'attraction pour tous djihadistes, qui vont se précipiter pour lutter contre les Russes, tout comme ils l'ont fait en Afghanistan. Le problème est alors que cela posera des problèmes pour les Russes, cela signifiera aussi mal pour le Golfe, quand les djihadistes viennent maison. "
RépondreSupprimer« Les Russes ne peut pas être stupides », a déclaré un autre responsable de l'administration supérieure. "Cela va être très cher. Et ils ne peuvent pas tenir longtemps. Ils savent, au bout du compte, qu'il n'y a pas d'avenir pour le gars (Assad) parce qu'ils devaient venir toute la raison est parce qu'Assad et ses troupes étaient extrêmement vulnérables. Alors nous espérons qu'ils vont reprendre leurs esprits, stabiliser la situation et puis nous sommes d'accord sur le morceau de Assad."
Maintenant de toute évidence, il y a trop de déclarations absurdes il pour compter, mais notez (encore) que la Russie a n'a jamais caché son soutien à Assad. Quand Charlie Rose dit à Poutine à la télévision nationale américaine qui certaines personnes croient que la Russie est en Syrie pour aider Assad, Poutine a déclaré, citation, « Eh bien, vous avez raison. » En plus de cela, elle est flagrante évident pour quelqu'un qui ne sait rien sur l'équilibre du pouvoir mondial, que la Russie est là pour soutenir Assad et c'est ridicule pour quiconque de suggérer que Poutine n'est pas conscient du fait qu'en soutenant le régime, la Russie tombe carrément sur le côté de l'Iran et le Hezbollah. Il est aussi criants que ISIS n'est pas le groupe seulement extrémiste luttant pour le contrôle du pays et la notion que les États-Unis a maintenant finalement réussi à identifier les « bons gars » en Syrie après avoir échoué à l'obtenir droite pendant quatre ans et que la Russie maintenant mal vise délibérément ces bons gars simplement parce qu'ils ont les bons est risible au point que l'on peut se demande si CNN et d'autres vers l'arrière sur d'être contraint au faire tourner de cette façon. En outre, il est un peu tard pour les Etats-Unis à se préoccuper de quelqu'un par inadvertance créer un théâtre qui dans l'esprit des jihadistes servira de la scène pour la bataille finale de l'humanité. Si Washington était inquiet qu'ils aurait pu éviter de s'impliquer en Syrie en premier lieu et ils certainement auraient évité les soldats de formation qui allait pour rejoindre le groupe très qui perpétue cette idée.
Et puis Voici WSJ:
La maison blanche a contesté la demande de la Russie que les frappes aériennes ont été ciblant des militants de l'État islamique, affirmant jeudi que Moscou menait « des opérations militaires sans discernement » dans les zones où le groupe n'est pas opérant. Un fonctionnaire de la maison blanche a également rejeté la possibilité que la Russie avait bombardé par inadvertance zones État non islamique. Des responsables américains disent russe militaire bombardé un secteur principalement tenu par les rebelles soutenus par la Central Intelligence Agency et espion allied services.
Contrairement aux affirmations du Ministère russe de la défense, aucun des domaines qui ont été touchés ont une présence de l'État islamique connue. Au moins deux des factions rebelles ont attaqué les Russes — Tajamu Al-Ezzeh et la Division centrale — ont reçu armes notamment avancé missiles antichars et financement des États-Unis et ses alliés, selon les chefs rebelles.
(suite en dessous:)
L'arc qui ont suivi les frappes aériennes russes commence autour de la ville de Jisr al-Choughour, dans la province septentrionale de Idlib près de la frontière turque et à côté d'une région agricole appelée la plaine Ghab. Il traverse les villes syriennes centrales de Hama et Homs et se termine à la frontière libanaise.
RépondreSupprimerAlawites — le régime de base d'appui — sont concentrés à l'ouest de l'arc dans une région qui comprend la province de Lattaquié.
Tout est est dominé par la majorité sunnite du pays, dont la plupart de ceux qui combat le régime appartiennent.
Une série de massacres de tit-for-tat pendant le conflit de plus de quatre ans ont solidifié cette ligne de faille sectaire.
Oui, la « ligne de faille sectaire » a été solidifiée et qui est une caractéristique de l'intervention occidentale dans le Moyen-Orient. La Syrie n'est pas différente.
Et la BBC:
Membres de la coalition dirigée par les États-Unis contre l'État islamique ont appelé la Russie à cesser les frappes aériennes, que disent-ils, frappent l'opposition syrienne et les civils.
Dans une déclaration conjointe vendredi, États-Unis, Royaume-Uni, Turquie et autres membres de la coalition a déclaré frappes russes « seulement alimenterait plus l'extrémisme ».
Et le meilleur de tous il est Al-Jazira (qui appartient bien sûr par le Qatar), qui le prend dans un cran en laissant entendre que la Russie est maintenant délibérément tué des civils :
La Russie a accusé de frapper des cibles civiles en Syrie
Militants disent avions de combat sont le ciblage des civils dans les zones sous contrôle des rebelles soutenus par l'Ouest, une revendication rejette la Russie.
Pour leur part, Bloomberg a fait le public américain une faveur en présentant l'histoire réelle, quoique dans un article qui porte le titre "US, alliés demande Russie Stop attaques sur l'Opposition syrienne":
Les forces russes prennent pour cible uniquement de l'État islamique, al-Qaïda affilié Nusra Front et autres groupes terroristes, ministre des affaires étrangères Sergei Lavrov a déclaré jeudi à New York. L'armée syrienne libre, un groupe de rebelles soutenus par les États-Unis, ne figurait pas parmi les cibles, et il devrait jouer un rôle dans le processus politique en Syrie, a-t-il ajouté.
« L'objectif est le terrorisme, » a-t-il dit. « Et nous ne soutenons pas quelqu'un contre leur propre peuple. »
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Gouvernement d'Assad se bat aux côtés de renforts iraniens pour sécuriser un corridor de la province côtière de Lattaquié, foyer de la minorité alaouite de Assad, qui s'étend à la capitale Damas, selon Reva Bhalla, vice-président d'analyse Stratfor, une intelligence géopolitique et société de Conseil basée à Austin, Texas. Le gouvernement a accusé le Qatar et l'Arabie saoudite de soutenir les "groupes terroristes" et a rejeté les critiques.
RépondreSupprimer"Ils sont sauts fous en Arabie saoudite, les Etats-Unis Et le Qatar en raison de leur défaite et la victoire de la Russie et la Syrie et l'éclatement du fait que les Etats-Unis et ses alliés ne sont pas sérieuses de la lutte contre"l'Etat islamique, législateur syrien Shehadeh Sharif a déclaré par téléphone depuis Damas. « Ceux qui prétendent être préoccupé par le peuple syrien sont l'abattage le peuple syrien par les terroristes. »
Là vous allez. Ce dernier passage à peu près tout dit.
Pendant ce temps, la machine de propagande russe est également à la vitesse supérieure que le Kremlin est de sauter sur l'occasion de dépeindre la Poutine comme l'homme qui a sauvé le monde quand personne d'autre n'était disposé à. Voici le nouveau Bloomberg:
Vladimir Poutine peut avoir attrapé les États-Unis et ses alliés au dépourvu par la suppression de la Syrie, mais sa machine de propagande était prêt.
« Une centaine de terroristes morts, » un présentateur télévisé sur le réseau n ° 2 de la Russie a annoncé jeudi matin, quelques heures après que le bombardement de ce que Poutine a appelé « méchants » a commencé. Elle a ensuite coupé à un correspondant en Syrie, qui a loué la précision des frappes comme images aériennes des attaques fournis par le ministère de la défense a été diffusé.
Sur le canal 1, la station la plus regardée, un défilé d'hommes politiques, les analystes et les chefs religieux--à la fois chrétien et musulman--roulés en justifiant le recours à la force pour des raisons juridiques et morales.
« Il s'agit plus seulement militaires frappes contre un Etat islamique, » a déclaré le rédacteur en chef du magazine de la défense nationale, Igor Korotchenko, après que le Parlement à l'unanimité autorise le recours à la force. "Nous protégeons les valeurs d'humanité et d'une prise de position contre les formes les plus extrêmes de l'obscurantisme et de la terreur".
Ce qui est amusant, il n'y a que comme surestimée car il est, que le récit est en réalité plus proche de la vérité que ce qui est alimenté au public par les médias occidentaux.
En tout état de cause, l'important ici est de couper à travers tout cela et extraire les bits qui aident à raconter l'histoire de ce qui se passe réellement en Syrie. Comme nous l'avons détaillé le jeudi, c'est en fait un coup d'Etat du Moyen-Orient par la Russie et l'Iran dans lequel Téhéran remplacera Riyad comme le courtier de puissance régional et Moscou supplantera à Washington comme le maître de marionnettes de superpuissance. Et sur cette note, nous clôturons avec un autre extrait de la pièce WSJ citée plus haut :
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Ministère des affaires étrangères de l'Iran s'est félicité de l'intervention militaire de la Russie en Syrie jeudi, disant que c'était la bonne démarche de lutte contre le terrorisme et une évolution vers une apporter la stabilité dans la région.
RépondreSupprimer"Lutte efficacement contre le terrorisme exige une volonté forte et grave et doit reposer sur la coopération avec les gouvernements de l'Irak et la Syrie" Marzieh Afkham, porte-parole du ministère, a déclaré selon les médias iraniens.
Ibrahim al-Amin, un commentateur libanais et le rédacteur en chef du journal proche du Hezbollah et l'Iran, a déclaré Moscou essentiellement fourni un feu vert pour une contre-offensive contre les rebelles dans l'ensemble de l'échiquier politique.
"De notre côté, nous ne pouvons plus ignorer la décision de l'axe de la résistance, soutenue par la Russie, pour non seulement prévenir la chute d'Assad, mais aussi affaiblir tous ses ennemis. Tous ses ennemis sans aucune distinction," a écrit M. Amin dans le quotidien libanais Al-Akhbar jeudi.
« Nous devons bénéficier de soutien russe pour lancer des batailles difficiles et décisives en plusieurs endroits en Syrie, » a-t-il ajouté.
Avant la dernière intervention des russes, l'Iran a joué un rôle essentiel étaiement-vers le haut régime favorable aux milices composés en grande partie des Alaouites et chiites. Il a orchestré des milliers de combattants chiites principalement du Liban et l'Irak avec le Hezbollah étant en tête.
Mais des milliers de rebelles se sont regroupés dans plusieurs enclaves au nord de Homs, dans des villes comme al-Rastan et Talbiseh. Jets russes a frappé des cibles civiles et militaires dans ces deux villes et cinq villages environnants, a déclaré Rashid al-Hourani, un officier de l'armée syrienne de la région qui ont fait défection aux rebelles en 2012.
Les frappes aériennes ont été suivies avec un barrage d'artillerie à partir de plusieurs positions à proximité où Pro-régime alaouite et chiite milices, y compris un groupe soutenu par l'Iran, appelé la Brigade de Ridha, ont été sa masse au cours des derniers jours, dit-il.
http://www.zerohedge.com/news/2015-10-02/theyre-hopping-mad-us-and-saudi-arabia-russian-strikes-syria-spark-epic-western-medi
L'Arabie saoudite puits de sonde de crimes de guerre des Nations Unies au Yémen, Washington reste muet
RépondreSupprimer2 octobre 2015 09:44
Pays-Bas a chuté de leur soumission à mettre en place une sonde indépendante menée par l'ONU sur les crimes de guerre au Yémen, cédant à une résolution alternative proposée par l'Arabie saoudite, qui est accusée d'avoir causé la plupart des civils morts dans le conflit.
Les Saoudiens dirigent une coalition de pays, qui, depuis fin mars, a utilisé son armée pour attaquer les rebelles Houthi au Yémen pour tenter de remettre le Président évincé Abd Rabbou Mansour Hadi en puissance. Selon les chiffres des Nations Unies publié mardi, au moins 2 355 civils ont été tués durant les six mois du conflit. La majorité d'entre eux sont morts dans les attentats saoudiens.
La plus récente des atrocités présumées dans la guerre au Yémen est une apparente airstrike saoudienne qui a tué 131 invités à une fête de mariage. Les Saoudiens, qui ont la supériorité aérienne dans l'espace aérien yéménite, a nié toute implication.
Selon Amnesty International, les nombreux massacres de civils au Yémen peuvent être considéré comme des crimes de guerre. En septembre, les droits de l'homme des Nations Unies sur que chef RA ad Zeid Al Hussein a réclamé une enquête internationale indépendante allégué des crimes de guerre dans le pays. Les Pays-Bas ont présenté un projet de résolution à l'ONU homme Conseil droits peu de temps après, qui, entre autres choses appelé pour les experts de l'ONU à être envoyée au Yémen pour enquêter sur les allégations de crimes commis par toutes les parties concernées. La proposition a été soutenue par un certain nombre de pays européens.
Le document a été opposé par l'Arabie saoudite et ses alliés arabes, Qatar et les Émirats Arabes Unis, tous les membres du Conseil, ainsi que le gouvernement yéménite en exil. Les Saoudiens auraient gagné leur place au Conseil par un accord secret avec le gouvernement britannique, selon les câbles exposés par site dénonciateur WikiLeaks.
Les Saoudiens a proposé une résolution alternative qui ne fournit pas une enquête internationale indépendante et plutôt appelle l'ONU à soutenir une sonde menée par le gouvernement de Hadi. Groupes de droits de l'homme s'est opposé à l'Arabie saoudite tend, disant qu'il mettrait une partie belligérante en charge de la sonde et laisserait finalement saoudiens crimes masqués.
Alors que les Saoudiens poussaient vers pour leur projet de résolution doit être passé, les Etats-Unis surtout gardé le silence sur le débat et n'a pas de voix en faveur de la proposition néerlandaise. La semaine dernière, envoyé de l'ONU américaine Samantha Power a publié une déclaration rédigée de manière ambiguë sur la question, qui selon que Washington était « les discussions en cours à Genève suit de près. »
"Nous croyons au Conseil des droits de l'homme et le HCDH [Bureau du Haut Commissaire aux droits de l'homme] ont un rôle important à jouer en ce qui concerne la situation humanitaire et me réjouis de travailler avec nos collègues de Genève" Powers a déclaré.
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Aux États-Unis aide son arabe allié d'Arabie saoudite au Yémen bombardements avec la logistique et le ciblage. L'Amérique est également le plus grand fournisseur d'armes aux forces armées de l'Arabie.
RépondreSupprimerMercredi, les Pays-Bas ont annoncé qu'ils tombaient de leur projet de résolution, laissant le document saoudien le seul candidat à la direction pour approbation des Nations Unies. Opposition de fait de Washington au document a joué un rôle important dans sa cession éventuelle, selon les nouvelles de Vice.
"C'était terrible, les États-Unis a été silencieuse pendant un temps très long" Nicolas Agostini, représentant à Genève pour la Fédération internationale pour les droits de l'homme, a déclaré le Vice nouvelles. "Le néerlandais aurait dû avoir un soutien public de partenaires clés, y compris les États-Unis tout au long du processus.
"Durant la deuxième semaine de négociations, il est devenu clair qu'ils ne serait pas obtenir ce genre de soutien. L'expression publique très fin [américain] de soutien pour le texte néerlandais et mettant l'accent sur la nécessité de parvenir à un consensus, bénéficié de facto les Saoudiens."
Human Rights Watch a condamné échec de la UN HRC pour créer une enquête indépendante du Yémen, disant que les yéménites subirait à cause de cela.
"Un tel mécanisme aurait été indispensable de confronter la poursuite l'impunité pour les crimes commis dans le pays... La population yéménite de plus en plus désespérée ne doit pas être ignorée par l'organisme de droits de l'homme par excellence du monde," le groupe de droits, dans un communiqué.
"Il tout est sur l'Arabie saoudite elle-même par une sonde internationale, vraiment, protéger" , a commenté Philippe Dam, directrice adjointe de HRW à Genève.
http://www.rt.com/news/317353-saudis-sink-yemen-probe/
Noublions pas:
Supprimerhttp://huemaurice5.blogspot.fr/2014/11/pollution-et-pollution.html
Qui est derrière l'Observatoire syrien des droits de l'homme ? Nimrod Kamer étudie pour RT
RépondreSupprimer2 octobre 2015 14:01
L'Observatoire syrien des droits de l'homme a été la principale source pour les nouvelles MSM-diffusé depuis le champ de bataille syrien. Mais combien sait-on vraiment sur cette organisation basée au Royaume-Uni et son directeur ? Journaliste et farceur Nimrod Kamer est allé à découvrir.
L'organisation a été une des sources pour les médias traditionnels construire leurs rapports sur la Syrie depuis le début de la guerre civile il y a quatre ans. L'organisation prétend avoir un large réseau de contacts dans la région qui se nourrissent de leurs informations au siège, où il est transformé et plus tard affiché sur le site Web, Facebook et Twitter de comptes.
Depuis le début de la campagne anti-ISIS de Moscou que Russie a commencé avec dans ses rapports aussi bien - et il a été rapidement repris par les principaux médias occidentaux. Un des derniers fils de l'Observatoire qui «des avions de combat russes [tuées] 30 civils à Homs, y compris des femmes et des enfants " vite fait dans les sources d'information principales.
"Au degré les gens choisissent de croire les médias sociaux, qu'ils peuvent être mon invité. Mais tout à fait contraire à ce que [Secrétaire d'État américain John Kerry] a dit, c'est un outil notoirement peu fiable sur lesquels aux arrêts de base," ancien agent de la CIA, Ray McGovern a dit RT
« Je ne suis pas une organisation de médias » - Rami Abdel Rahman RT a décidé d'enquêter sur qui est l'homme derrière l'Observatoire syrien des droits de l'homme, et pourquoi le média est si populaire avec la MSM. Journaliste bien connu et farceur Nimrod Kamer a repris le travail.
La maison de Coventry deux-pièces d'immigrant syrien Rami Abdel Rahman a été la base de l'organisation et la source d'information pour les médias grand public majeurs sur quoi que ce soit lié à la Syrie depuis les quatre dernières années, y compris le nombre de morts.
Tout à fait, personne ne sait qui Abdel Rahman a sur le terrain en Syrie, mais les informations juste garde s'écoulant sur et sur, généralement d'une façon dramatique et avec peu de détails.
Kamer marchait autour de la ville anglaise de Coventry, aborder les gens avec des questions sur Abdel Rahman et comment il a pu être localisé. Personne ne semble avoir la moindre idée qu'ils avaient la principale source de nouvelles de la ligne de front syrien vivant là dans leur quartier pittoresque Britannique.
Kamer eu aucune chance attraper le directeur à la maison. Lui appeler au téléphone, il a découvert que Abdel Rahman est sorti d'une boutique. Le journaliste est tout expliqué qu'il avait espéré attraper le directeur de l'Organisation pour lui quiz sur son « organisation de médias » –, mais que le terme a été accueillie avec hostilité de la part de Abdel Rahman.
(suite en dessous:)
Je ne suis pas une organisation de médias. Je travaille chez moi, ma maison privée".
RépondreSupprimerLe directeur de l'Observatoire semblait très angoissé, parler des dangers de réunion pour des entrevues pendant la journée car « ils essaient de tuer moi. » Il était difficile d'identifier qui "ils" ont été, mais Abdel Rahman n'était manifestement pas dans l'ambiance. Il a demandé de Kamer de lui envoyer son nom et le détail, Abdel Rahman enverrait ensuite à la police.
« Lorsque vous exécutez une organisation de médias vous devez s'attendre les journalistes à venir poser des questions, surtout si elle est telle une organisation de médias ombragé et unsourced... J'ai passé un bon moment. »
- voir clip sur site:
http://www.rt.com/news/317372-nimrod-kamer-syrian-observatory/
Noublions pas:
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Des troupes chinoises en Syrie… s’il le faut
RépondreSupprimerPar Philippe Grasset –
Le 25 septembre 2015 – Source: Dedefensa
Il y a des nouvelles selon lesquelles autour de 3 500 combattants ouïghours (Chinois musulmans) ont été rassemblés en Syrie par le Turkistan Islamic party (TIP), près de la frontière turque, sous l’égide des services de renseignement turcs, dans l’intention de les faire participer à la bataille des djihadistes contre Assad. C’est un aspect de plus de la politique à la fois erratique et extrémiste que la Turquie mène sous la direction d’un Erdogan de plus en plus coupé des réalités de son pays (la Turquie) et des conditions de désordre qui s’y répandent à cause des remous causés par la politique turque en Syrie et contre les Kurdes. La présence de ces Ouïghours a évidemment résonné comme un très grave signal d’alerte dans la direction chinoise, explique Christina Lin, experte de l’université John Hopkins, sur son blog de Times of Israel, le 20 septembre 2015.
Il en résulte, selon Lin, que l’on se trouve désormais devant la possibilité d’une intervention militaire chinoise en Syrie, si Assad le demandait. Les Chinois suivent en général avec rigueur le principe de non-intervention, sauf lorsque leur sécurité nationale est en jeu. De telles actions indirectement déstabilisantes pour les provinces musulmanes de Chine représentent effectivement une menace pour la sécurité nationale chinoise, exactement de la même façon que les Tchétchènes présents en Syrie au nom du djihadisme représentent une menace similaire contre la sécurité nationale de la Russie. La Syrie ne cesse de se transformer un chaudron multinational où la plupart des puissances vont se trouver de plus en plus impliquées, jusqu’à bouleverser l’ordre international… En effet, d’un autre côté, les perspectives évoquées par Lin peuvent se faire avec l’habillage d’une intervention chinoise en Syrie du légalisme de l’OCS (Organisation de Coopération de Shanghai), où la Syrie est observatrice et veut devenir membre, de même que l’Égypte. Le conflit syrien pourrait dans les mois qui viennent, voir une transformation radicale de l’OCS en alliance militaire, maintenant que la Chine et la Russie ont pris la mesure du danger djihadiste.
«… Maintenant que le TIP a établi une base en Syrie et qu’il augmente son influence et son recrutement grâce à ses sponsors turcs, la Chine va devoir appliquer sa recommandation de 2013 : «Prendre les armes contre le Turkestan oriental (ETIM) avant que la menace ne s’étende» et déployer des troupes en Syrie. La non-ingérence ne signifie pas ne pas défendre ses intérêts.
» Certains experts considèrent peut-être que le principe de non-ingérence de la Chine l’empêche d’agir. Mais le principe de non-ingérence de la Chine porte davantage sur l’ingérence dans la politique intérieure des autres pays, comme les États-Unis et l’Occident ont l’habitude de le faire en violant la souveraineté d’autres pays pour renverser les régimes autocratiques qui leur déplaisent. La politique de non-ingérence ne signifie pas l’inaction en cas de menace sur la sécurité et les intérêts de la Chine. La Chine n’a pas de difficulté à prendre des mesures lorsque ses intérêts fondamentaux sont menacés – c’est-à-dire, la violation de sa souveraineté, son intégrité territoriale, son développement économique et la survie de son régime.
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» Lors du Sommet de l’Asie sur la sécurité organisé par l’International Institute for Strategic Studies (IISS) en 2011, le ministre chinois de la Défense Liang Guanglie, a parlé les intérêts fondamentaux de la Chine en ces termes : «Nos intérêts essentiels incluent tout ce qui touche à la souveraineté, la stabilité et le mode de gouvernement. La Chine suit maintenant une course socialiste. Toute tentative de rejeter cette voie, menace les intérêts fondamentaux de la Chine. De même, toute tentative d’encourager une partie de la Chine à faire sécession menace les intérêts fondamentaux de la Chine liés à notre territoire, notre espace maritime et aérien. Ensuite, tout ce qui a rapport au développement économique et social national de la Chine touche également les intérêts fondamentaux de la Chine.»
RépondreSupprimer» Si le TIP continue de consolider son pouvoir au sein de l’Armée de conquête, un ramassis de djihadistes de différentes filiales d’al-Qaïda et d’extrémistes salafistes, Xinjiang pourrait devenir le prochain Afghanistan, et se mettre à ressembler à la zone Afpak, (Syrie / Irak), avec des forces militantes et des zones de refuges transnationales qui attirent des combattants étrangers et qui jouissent du soutien matériel et diplomatique de la Turquie et d’autres puissances extérieures dont l’idéologie et les intérêts sont semblables. En outre, le régime de Assad est toujours le gouvernement légal de la Syrie, reconnu par l’ONU, en dépit du fait qu’il ne tient qu’un tiers de son territoire. Si Assad demande et permet à la Russie, la Chine et d’autres membres de l’OCS de l’aider militairement, ce serait conforme au droit international.
» Ceci diffère des frappes aériennes actuelles de la coalition anti-ISIS dirigée par les Etats-Unis en Syrie qui opère sans mandat de l’ONU ni autorisation du gouvernement souverain, bien qu’elle bénéficie, dans une certaine mesure, d’une autorisation implicite du régime Assad pour combattre ISIS. En 2014, le britannique David Cameron a hésité à participer à des frappes aériennes en Syrie parce qu’il craignait précisément de violer le droit international. Du fait que Erdogan mène une guerre islamiste par procuration contre la Chine, les Kurdes, Assad, Sisi et Netanyahou via les affiliés de al-Qaïda, l’Armée de conquête, les Frères musulmans et le Hamas, il est pas étonnant qu’à la fois la Syrie et l’Égypte aient demandé à rejoindre L’Organisation de coopération de Shanghai (OCC) en juin de cette année.»
Traduction des parties en anglais : Dominique Muselet
http://lesakerfrancophone.net/des-troupes-chinoises-en-syrie-sil-le-faut/
Les alliés des Américains en Syrie: leurs performances honteuses sont parfaitement explicables
RépondreSupprimerNote de Dmitry Orlov
L'échec américain récent pour former et équiper des forces anti-Assad en Syrie n'est pas un incident isolé. C'est un symptôme d'un problème systémique. Cet article, paru récemment dans la presse russe, explique pourquoi.
Par Yevgeny Krutikov –
Le 29 septembre 2015 – Source Vzglyad via Club Orlov
Le scandale autour de la 30e Division, mise sur pied et entraînée par des formateurs américains pour la guerre contre Assad, et qui s’est immédiatement rendue au front islamiste al-Nosra dès que ses membres ont franchi la frontière turque, résonne maintenant tout autour de la planète. Il y aura beaucoup de ces scandales. Ils ont été prédéterminés par la méthodologie concernant la formation américaine des alliés, en Syrie, en Géorgie et en Ukraine.
Rappelons nous que le résultat final est que le Front al-Nosra (une branche d’al-Qaïda) a reçu des armes, de l’équipement et quelques pickups des États-Unis. Le commandant de la 30e Division se présente comme un représentant du Front et indique qu’ils ont dupé l’armée américaine afin d’obtenir des armes. Les problèmes à l’origine de cet événement peuvent être divisés en trois catégories inégales.
Problèmes avec les services secrets et la psychologie
L’image d’un agent de la CIA décidant qui choisir comme allié au Moyen-Orient a été indûment exagérée par Hollywood. Dans la majorité des cas, les agents se cramponnent à quiconque montre même les signes les plus superficiels de fidélité. Si quelqu’un semble utile, mais ne montre pas assez des signes requis, alors ils préfèreront acheter sa loyauté, même si ces partenaires sont considérés comme peu fiables dans le temps. Voici en gros, les principes selon lesquels la coalition anti-Assad a été assemblée.
Ajoutez à cela que le comportement des agents de la CIA est très étroitement réglementé. Chaque éventualité qui peut se présenter est consignée dans une instruction écrite, qu’ils sont tenue de connaître presque par cœur. Un écart avec des instructions opérationnelles provoque une sanction officielle. La liberté d’action d’un tel dispositif est limitée, et parfois ils sont tout simplement obligés de répondre à la lettre aux instructions au lieu de réagir à la situation. Ce problème empoisonne de nombreux services de renseignement, comme ceux des Américains. En outre, ils sont construits sur une idéologie et, dans une moindre mesure, sur des stéréotypes ethniques. D’une manière générale, tout enturbanné qui a un aspect authentique et qui est capable de prononcer de manière intelligible le mot démocratie a une chance de recevoir un financement et des armes. Mais personne n’a de contrôle sur sa destination ensuite, ni sur celle des armes. De même, les services de renseignement soviétiques de l’ère Brejnev avaient ce problème, sautant sur tout chef de tribu qui pouvait prononcer des mots comme Marx et Lénine.
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Tout cela est directement lié à l’affaire décrite. La 30e Division et Abd al-Tunisi ont démontré personnellement leur loyauté, ont gagné la confiance des Américains, ont reçu des armes et ont disparu avec elles. La perception stéréotypée et schématique du monde est une qualité surprenante et distinctive de la CIA. Bien sûr, cela résulte de la perte du principal adversaire, et de la perception du vainqueur, spécifiquement dans les domaines idéologiques plutôt qu’au sens physique de ce mot. La coalition anti-Assad, assemblée en utilisant une combinaison de menaces et de vœux pieux, est tombée en morceaux spécifiquement à cause des mauvaises instructions et des erreurs conséquentes faites par la CIA. Il n’est possible de recueillir et de traiter correctement des renseignements qu’avec l’aide de spécialistes exempts de biais idéologiques dans leur perception du monde, mais Langley [Siège de la CIA aux US, Ndt] a un déficit dans ce domaine. Le système de construction de carrière mis en place avait déjà tendance à marginaliser les gens possédant des façon de penser non standardisées, mais l’effort de recrutement massif réalisé sur une base d’anciens Marines a totalement prédéterminé le nivellement par le bas de ses capacités d’analyse.
RépondreSupprimerAussi le scandale autour de la 30e Division n’est pas le seul et de loin ; il y aura beaucoup de ces scandales. L’âge d’or du renseignement américain s’est perdu dans les collines de Hollywood.
Problèmes physiques
La formation américaine offerte aux soldats de ces douteux alliés est généralement une source de fierté pour ceux qui sont formés. Par exemple, Piotr Porochenko et son gouvernement deviennent extatiques en parlant des instructeurs américains et britanniques qui préparent les militaires ukrainiens sur la base de Yarov selon un programme accéléré. Compte tenu du fait qu’ils ne sont pas fournis en armes sérieuses, cette formation est finalement la seule forme d’aide militaire occidentale.
Dans la préparation des Ukrainiens (et, avant eux, des Géorgiens, des Croates, des Albanais, et maintenant, en Syrie, ces types anti-Assad comme la 30e Division), les Américains comptent sur la méthode observe et répète. En réalité, cela ressemble à un boot camp: course d’obstacles, bases du maniement des armes, entraînement physique. Les instructeurs enseignent également les bases de l’utilisation d’équipements radio et de cryptage, que les Ukrainiens n’ont tout simplement pas. Ils enseignent également comment transporter les victimes, pour minimiser les pertes, un sujet que les Ukrainiens qui ont eu leur baptême du feu dans l’Est de l’Ukraine connaissent bien, et sur lequel ils pourraient enseigner aux Américains une chose ou deux. Ils enseignent comment ouvrir les portes avec un bélier, mais quelle sorte de bélier vous attendez-vous à ce qu’un soldat porte sur un front large de centaines de kilomètres au milieu d’un espace ouvert ? Ils enseignent comment vérifier, à l’aide d’un crochet spécial fixé à une chaîne, si un corps est piégé, mais tous n’apprennent pas à le faire efficacement. En tout, le prétendu programme de rattrapage à Yarov contient 63 exercices répartis en trois cours, de deux mois chacun. Le résultat : beaucoup de gros mots et certains cas d’insubordination.
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Ceci n’est pas une formation militaire. C’est, tout au plus, une formation de police, mais même dans ce cas, c’est seulement élémentaire. Les représentants de l’armée américaine considèrent leurs étudiants comme des représentants du tiers monde, qui ont besoin d’être informés par quel bout de la mitrailleuse sortent les balles. Par exemple, les instructeurs à Yarov sont fâchés par les soldats ukrainiens qui reviennent du front de l’Est portant leurs mitrailleuses sans le cran de sûreté engagé. Cela, selon les instructeurs, est non professionnel. Mais beaucoup d’entre eux ont réussi à survivre précisément en raison de ce manque de professionnalisme [être capable d’ouvrir le feu sans clics d’avertissement].
RépondreSupprimerTout cela pourrait ressembler à une farce, mais cela reflète l’essence de la formation prodiguée au sein de l’armée américaine et qui est transférée à ses alliés. L’accent est mis sur les capacités physiques, la suppression de l’initiative individuelle, l’approfondissement de techniques spécifiques et, bien sûr, le travail d’équipe. En conséquence, quand un combattant se retrouve dans une situation non standard, il reste confus et ne peut pas appliquer les compétences d’un problème spécifique sur lequel il a été formé. Il a été aiguisé pour réagir à des situations qui sont compatibles, homogènes et construites artificiellement.
Rien de tout cela ne fonctionne, que ce soit en Ukraine ou en Syrie. Les instructeurs américains n’ont aucune idée de ce qu’est une guerre frontale, comment agir dans un combat rapproché, comment se cacher des salves d’un système de lance-roquettes multiples. Ils ne savent même pas comment mettre en place des positions défensives. L’expérience irakienne, dont le Pentagone est si fier, les a formés pour patrouiller, pour accompagner des convois, et être des hommes de garnisons au milieu du désert. Trois décennies d’abus aléatoires dirigés contre des adversaires faibles ont habitué l’armée américaine à compter sur la supériorité technologique, et elle a perdu une grande partie des compétences de combat rapproché. Maintenant, même à Yarov, la garde nationale et les militaires ukrainiens refusent d’obéir à des instructeurs, qu’ils voient comme des débutants complets.
Le Pentagone n’a pas remarqué le moment où pulvériser des adversaires démoralisés sans défense à l’aide de missiles de croisière a cessé d’être la seule méthode pour faire la guerre. Et maintenant, il est très difficile d’évaluer les capacités réelles de l’énorme masse de l’armée américaine ou du corps des Marines, s’ils devaient jamais rencontrer un ennemi qui aurait des capacités techniques plus ou moins égales aux leurs. Mais les alliés de l’Amérique et leurs compagnons de voyage doivent vraiment se battre dans ces guerres. Ils ont peu ou pas de maîtrise des airs, de missiles de croisière ou de porte-avions. Dans les déserts de Syrie ou les prairies de Novorussie, il n’y a pas besoin d’ouvrir des portes à l’aide d’un bélier dans le cadre d’un ratissage d’une zone peuplée où tous ont a déjà fui et se cachent. Là, vous devez maintenir des kilomètres de première ligne, en rase campagne, sous des tirs de roquettes.
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L’histoire récurrente sur la préparation individuelle des alliés et des compagnons de route s’est transformé en une comédie burlesque. Certains, comme dans le cas des éléments anti-Assad en Syrie, considèrent toute cette formation comme un mal nécessaire, envoyé par Allah, comme un test. Certains, comme les Ukrainiens, s’en plaignent à haute voix. Bien sûr, une telle formation ne va pas ruiner des combattants aguerris. Mais les Marines ukrainiens, formés de réservistes et sortis de Yarov (et, sur la base de cette distinction, étiquetés unité d’élite et envoyés sur une partie difficile du front), se désagrègent à leur premier contact avec les insurgés.
RépondreSupprimerLe dressage de masse des unités alliées en Irak et en Afghanistan (par exemple, ces mêmes Ukrainiens et Géorgiens) ont produit exactement les mêmes effets. Ces unités ont été annoncées comme élite en raison de cette expérience, mais elles se sont révélées inadaptées pour des guerres modernes sans (et ceci est important) l’appui technique de l’aviation américaine, des drones et de l’artillerie. D’autre part, leur capacité à prendre l’initiative et à faire preuve d’ingéniosité est aussi atrophiée que la capacité de leurs commandants à penser de façon indépendante, en commençant au niveau des compagnies.
Problèmes tactiques
Toute la préparation tactique est effectuée sur la base de l’expérience irakienne, qui, pour une raison quelconque, est considérée comme l’état de l’art. Cela se résume à des techniques pour patrouiller le territoire avec un échange minimal de coups de feu avec l’ennemi. Personne n’est formé pour engager un ennemi bien identifié en combat direct en nombre supérieur à celui des troupes ; à l’âge des cyberattaques, des systèmes satellitaires et des armes de précision, c’est considéré comme quelque chose de complètement obsolète. L’armée américaine avait tendance à être dédaigneuse à l’idée même d’engager l’ennemi à courte portée, et quand, en raison d’une erreur de calcul de l’artillerie, ces engagements se sont produits, soit ils ont essayé de se dégager en appelant à des frappes aériennes, soit ils ont subi de lourdes pertes de façon disproportionnée. Comme l’expérience de ces trois dernières décennies n’a pas entraîné de combats rapprochés, il n’y avait aucune raison de développer des plans de bataille modernes autour d’eux. Ce serait un problème seulement pour les Américains, si cela ne s’était pas propagé à toutes les armées qu’ils fréquentent dans tous les pays qui ont abdiqué leur sécurité pour le parapluie américain. La différence est particulièrement évidente dans les armées des anciennes républiques soviétiques, entre les unités formées par les Américains et celles qui sont encore commandées par des officiers ayant reçu une formation soviétique. L’armée géorgienne a notamment donné beaucoup d’information pour ce genre d’analyse.
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Voici un épisode caractéristique démontrant la valeur de la préparation tactique américaine à l’irakienne. Cela se passe pendant la guerre en Ossétie du Sud en 2008. (Particulièrement importante du fait de la faible qualité des décisions prises par les commandants.) À 23 heures, le 7 août, le 43e bataillon de la IVe brigade de l’armée géorgienne, située à l’ouest de Tskhinval, a commencé à nettoyer des villages sur la rive droite de la rivière Prone. Après avoir marché toute la nuit, le bataillon s’étalait en compagnies distinctes, et autour de 11h-12h, le 8 août, à 2 km du centre régional Znaur, l’une d’elles est tombée dans une embuscade. La force défensive ossète a ouvert le feu sur le groupe géorgien, blessant cinq d’entre eux immédiatement. Après cela, suite à un ordre du commandant du bataillon, toutes les compagnies ont été concentrées ensemble à cet endroit pour détruire la position clé de l’ennemi.
RépondreSupprimerAvant le début de l’attaque, le commandant du bataillon a demandé l’appui de l’artillerie, et il l’a reçu, et il a obtenu le renfort de trois chars. Le groupement géorgien a commencé à tirer sur la position des irréguliers ossètes, après quoi, autour de 16h, l’infanterie a pris d’assaut cette hauteur (!) où il n’y avait pas un seul ennemi en vue. De toute évidence, il n’y avait pas de victimes non plus. A 18h, le bataillon est arrivé en force au pont menant à Znaur, mais n’est pas entré dans la localité parce qu’il avait perdu le soutien de l’artillerie. Le bataillon était fatigué et avait besoin de repos. Le commandant a alors décidé de revenir à la position clé de l’ennemi et d’y camper pour la nuit. Autrement dit, toute la journée, le bataillon a erré dans des forêts et des montagnes, a découvert tout seul «une grande position ennemie défensive» (qui a été retrouvée plus tard et qui ne comportait pas plus de dix irréguliers ossètes qui, après avoir organisé l’embuscade, se sont tranquillement retirés), l’a marquée avec l’artillerie pendant une heure et demie, puis a marché vers l’objectif [Znaur], mais est ensuite retourné à la case départ parce que les soldats étaient fatigués.
Soulignons-le à nouveau : c’était une unité spécialement préparée pour servir en Irak. Ils ne comprennent pas ce que signifie marcher vite, frapper, manœuvrer ou organiser des percées, non-stop, jour et nuit. Ils ont agi en conformité avec la tactique de patrouille irakienne sans hâte, ce qui est tout à fait inapproprié pour les batailles se déroulant à découvert.
Voilà comment ils ont attaqué. Comment ils se sont défendus était encore pire. Suivant des ordres imprécis, le 43e bataillon a gaspillé son artillerie sur une position minuscule et a perdu sa force physique en marchant inutilement de village en village. Jusqu’à midi le 8 août, ils ne savaient pas ce qui se passait à Tskhinval ou Gori. Parce qu’ils étaient sous l’influence de l’euphorie idéologique, ils ont confondu les avions qui tournaient au dessus d’eux avec l’aviation géorgienne, tout simplement ils ne s’attendait pas à en voir une autre. Mais à midi, les soldats du 43e bataillon ont commencé à recevoir des informations sur les victimes dans d’autres compagnies de la brigade IV. La brigade a commencé à paniquer. A 19h, le 8 août, le 43e bataillon, qui était presque sur le point de se mutiner, a reçu l’ordre par la brigade irakienne de se retirer de Znaur, laissant certains réservistes complètement désorientés pour couvrir leur retraite.
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Ensuite, le 43e bataillon a reçu l’ordre de mettre en place une position défensive près du village de Pkhvenisi. Mais aucun d’eux ne savait comment le faire. Seuls quelques-uns se sont portés volontaires pour creuser des tranchées ; le reste a bivouaqué dans des fossés d’irrigation, en dépit du fait que du matériel de construction avait été livré sur le site pour la construction d’une ligne défensive. Toute la nuit, la brigade irakienne a flâné autour d’un verger de pommiers et a regardé les phares rougeoyants de colonnes russes descendant vers eux depuis la direction de Tskhinvali. Autour de 23h, le 10 août, un hélicoptère russe, volant autour de la zone, a été surpris de découvrir les positions défensives de la brigade irakienne et a immédiatement fait sauter le dernier char restant de la brigade IV et un pick-up avec une arme à feu de gros calibre, qui avaient été laissés sans camouflage en plein air. Personne n’a été assez courageux pour riposter ; à la place, ils ont commencé à paniquer. Aucune des deux roquettes anti-aériennes Strela tirées à l’épaule, dont ils disposaient, n’a fonctionné parce que personne n’a prêté attention à leur état de maintenance. A l’aube, le 11 août, le commandement géorgien a encore publié des ordres pour renforcer la position défensive alors inexistante près de Pkhvenisi, mais dans chaque compagnie, il n’y a eu, en moyenne, pas plus de 30 hommes prêts à exécuter l’ordre. Le quartier général de la brigade II, qui a été coincé près de Tskhinvali, a décidé d’exécuter cet ordre, même si la brigade irakienne avait depuis longtemps déserté sa position. En conséquence, tout en approchant Shindisi, le quartier général prenait des chars russes pour des Géorgiens (ils ne pouvaient pas imaginer que ces unités, tenues en haute estime grâce à leur formation américaine, s’étaient simplement enfuies) et elle a été complètement détruite.
RépondreSupprimerPour juger les résultats de l’action militaire d’août 2008, la compagnie reconnue comme la plus capable a été cette brigade II, qui était précédemment en poste en Géorgie occidentale, loin de toute action, et qui n’a reçu aucune formation américaine.
Ainsi, le scandale autour de la 30e Division en Syrie est seulement la pointe émergée de l’iceberg. Il est déjà possible de déclarer que ces problèmes ont un caractère systémique qui ne peut pas être expliqué par des erreurs psychologiques dues à la CIA. Dans un proche avenir, nous allons apprendre beaucoup de détails intéressants au sujet de la qualité de la formation que les Américains ont donnée à leurs alliés. Et quelqu’un va devoir en répondre.
Yevgeny Krutikov
Traduit par Hervé, relu par jj et Diane pour le Saker Francophone
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Courageuse petite Géorgie ?
http://lesakerfrancophone.net/les-allies-des-americains-en-syrie-leur-performance-honteuse-est-parfaitement-explicable/
VW affaire d'échappement : Ce que le diesel et l'énergie nucléaire ont en commun
RépondreSupprimerUne colonne par Wolfgang Münchau
Volkswagen et le gouvernement ont enchaîné à la technologie diesel d'hier, bien qu'ils savaient qu'il n'est pas propre. Maintenant, tout le pays doit payer le prix pour leur pari perdu.
Chaque pays a ses crises économiques déterminantes. Au Royaume-Uni, c'est le couplage de Los forcé du mécanisme de change européen en 1992. Aux États-Unis, c'est le crash immobilier, qui ont provoqué une crise financière mondiale. La zone euro ne sait rien de plus que la crise. Et maintenant l'Allemagne a VW.
Une voiture chancelier disait qu'il voulait faire de tout différent, mais seulement beaucoup mieux. Cette crise auto presque tout va changer et rien ne va mieux - pour les parties concernées.
Il s'effondre ici égal à trois mondes. Puisque le monde il y a déjà longtemps pas si idéal est l'une au sein de VW. La seconde est la technologie diesel, à laquelle l'industrie allemande a achevé un pari très risqué. Et puis, il y a le monde d'un système économique qui a été si stupid, malgré ses Schwadronierens sur les règlements de marché libérale de faire, qui dépendait à son tour une technologie sujette à caution, selon l' industrie automobile .
Beaucoup plus que le sort d'une entreprise
VW demandes proviennent d'aujourd'hui, qui sont au-delà de toute attente en Allemagne. Dans ce pays il n'y a aucun crime corporatif. Le principe de proportionnalité énoncé dans la Loi fondamentale éviter des pénalités draconiennes et donc respectueux de l'entreprise. Nous savons à ce stade, pas ce qui va nous faire tribunaux ou si il viendra aux règlements à l'amiable. Parce que vous avez ajouté la compensation et les pénalités, les sommes sont là souvent beaucoup plus élevé que le nôtre. Il y a toujours également des sanctions pour dommages à l'environnement, qui devraient être 18 milliards après l'annonce par l'Agence de protection de l'environnement américaine. Dans l'ensemble, vous pouvez dire que l'ensemble des risques pour VW à l'intérieur brille dans les trois chiffres milliards. Dans ce cas, l'avenir de la société n'est pas garanti.
Sur le plan économique, nous parlons beaucoup plus que le sort de l'entreprise. C'est également la plus importante technologie dans lequel les constructeurs automobiles allemands ont investi dans les dernières décennies. Si le diesel serait donc favorable à l'environnement, comme le prétendent ses partisans, comment se fait-il alors qu'une entreprises jusque-là respectable a défendu la technologie à l'énergie criminelle ? Cette question sera à préciser. Ma conjecture est qu'il en était autrement. La technologie est de garder uniquement avec des fonds criminels sur le marché.
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Et cela était largement connu dans l'industrie. Ingénieurs de VW et les directeurs des autres constructeurs automobiles savaient bien sûr ce que choqué dans leurs voitures. C'est différent qu'en 2008, quand l'administration de la Banque n'avais aucune idée des produits financiers complexes, ont jeté leurs courtiers sur le marché. Ceux qui travaillent dans l'industrie automobile, a été un Garagenmurkser souvent dans sa jeunesse. Vous savez chaque vis. Cela signifie aussi qu'ils savaient ce qu'ils faisaient.
RépondreSupprimerPas rentable sur le plan économique
La politique a aussi savait ce qu'elle faisait. Le gouvernement fédéral fait fort à la Commission européenne qu'il ne doit plus réalistes véhicules diesel de test. Signification : vous devez régler l'examen sur le misérable d'échappement des voitures, pas l'inverse. Diesel est comme l'énergie nucléaire : pas rentable sous normal point de vue économique. Il a besoin de lourdes subventions et impôts des distorsions. Et est dangereuse pour l'environnement.
Maintenant le moteur diesel allemand comme une fois Loriots de centrale nucléaire explose, et tout ce qui entoure l'industrie, est tombé avec elle. Comme ils le faisaient, la politique de technologie allemande a échoué à créer des solutions de rechange. Vous devrez investir dans les énergies renouvelables plus tôt. Aujourd'hui, l'Allemagne a raté la tendance à la voiture électrique. Il y a moins cher le diesel dans les stations d'essence.
Il n'est jamais bon quand dépendent des pays de différentes branches. Plus tôt, ils ont dit sur General Motors : ce qui est bon pour GM est bon pour l'Amérique. Ils disent n'est plus que. En Finlande, vous avez dit la même chose jusqu'à ce qu'il n'y a pas trop longtemps sur Nokia. Puis vint le Smartphone. La Finlande pas bon a eu un problème avec le changement. Comme excuse, vous pouvez utiliser que les petits pays n'ont souvent pas d'autre choix. Grands déjà à ce sujet. Pour un pays comme l'Allemagne, c'est assez stupide de s'en tenir lui-même qui avait leur apogée dans un autre siècle à une industrie.
Que doit faire le gouvernement fédéral ? Par l'amour de Dieu de sauver pas VW et certainement pas la technologie diesel. Laisser les tribunaux américains à la nourriture et le carburant diesel VW les pouvoirs nettoyage du marché. Il crée cela très rapidement sans aucun logiciel.
http://www.spiegel.de/wirtschaft/muenchau-kolumne-vw-diesel-und-kernkraft-a-1055849.html
En ce qui concerne l'affaire VW, n'oublions pas:
Supprimerhttp://huemaurice5.blogspot.fr/2015/05/16-porte-containers-polluent-plus-que.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/05/ou-les-voitures-invendues-du-monde-vont.html
http://lebulldozerdanslatete.over-blog.com/article-14000-eoliennes-abandonnees-aux-etats-unis-120464979.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2012/08/vous-avez-dit-voitures-electriques.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/10/a-propos-denergie-gratuite.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/11/pollution-et-pollution.html
Vulnérabilité stagefright 2.0 : Nouvelle menace pour des millions d'utilisateurs de smartphones
RépondreSupprimerUne vulnérabilité dans le système d'exploitation Android de Google menace des centaines de millions de téléphones mobiles. Avec la musique spécialement conçue et fichiers vidéo, les logiciels malveillants de pirates pourraient apporter sur les appareils.
Après sécurité chercheurs ont apporté des semaines publics il y a une vulnérabilité de sécurité Android appelé stagefright, avertir maintenant de stagefright 2.0. La vulnérabilité peut être exploitée en utilisant des fichiers MP3 et MP4. Les attaquants pourraient utiliser tant de musique et de vidéos, pour injecter des logiciels malveillants ou des données et à l'écoute des conversations.
Les experts de la société de sécurité Zimperium a révélé le fossé stagefrightavaient il y a à peine un mois. Il permet aux attaquants sans l'intervention de l'utilisateur par MMS sur les données des smartphones Android. Affectées sont les versions potentiellement tout Android 2.2. 950 millions d'unités, sont Zimperium calculé.
En réponse, Google introduit dans Vista, pour fournir des mises à jour de sécurité mensuelles à l'avenir. Un bon plan qui aide peu en réalité. Pour l'instant les mises à jour uniquement pour Google la série nexus, spécifiquement les nexus sont des unités fournies joueur 4, 5, 6, 7, 9, 10 et le nexus. Autres fabricants peuvent également utiliser le logiciel, mais habituellement prendre des mois pour les ajustements nécessaires.
Pour la nouvelle vulnérabilité, le Zimperium dite stagefright 2.0 et Google comme CVE-2015-6602, il n'y a actuellement toujours aucun patch.
Une seconde suffit
En fait, c'était même deux lacunes, selon le blog de Zimperium. L'un d'eux porte sur Android depuis la version 1.0, donc tous les appareils livrés à ce jour. Avec le second écart là est que la faille dans les dispositifs Android 5.0 et versions ultérieures peut utiliser.
La méthode décrite par des chercheurs en sécurité pour exploiter stagefright 2.0, sons pas très complexes. Le problème est évidemment dans le traitement de métadonnées Android de fichiers musicaux et vidéo. Donc il suffirait, par exemple, déjà lorsque la victime joue juste une vidéo ou une chanson, d'accéder à l'appareil touché.
Pas de panique
Selon Zimperium Google a donné très coopératif, après ils avaient décrit le nouveau gap les compagnies. Déjà la semaine prochaine une mise à jour devrait être prévue d'appareils nexus, y compris la nouvelle vulnérabilité. On ignore combien de temps il faudra attendre ce correctif logiciel sur des appareils d'autres fabricants. Pour de nombreux appareils plus anciens, il peut être, il ne sera pas ces mises à jour.
Est la nouvelle version de Zimperium Toutefois, aucune raison d'entrer en éruption dans la panique : jusqu'à présent, rien n'indique que l'écart stagefright 2.0 soit exploité, écrit de la société.
http://www.spiegel.de/netzwelt/gadgets/android-neue-gefahr-durch-sicherheitsluecke-stagefright-2-0-a-1055865.html
Le sirop de maïs, ce poison vendu par les industriels
RépondreSupprimerCitizen post
mer., 30 sept. 2015 09:47 UTC
Le sirop de maïs utilisé abondamment par l'industrie agro-alimentaire serait une des causes les plus importantes du diabète (et de l'obésité) touchant en masse les États-Unis et les autres pays industrialisés.
Selon une nouvelle étude, le nombre de diabétiques n'aurait jamais été aussi élevé aux États-Unis. En effet, 40 % des Américains sont perçus comme « pré-diabétiques » tandis que 14 % de la population est déjà atteinte de diabète. Ces chiffres du diabète concernent plus de la moitié des Américains, constituant un véritable problème de santé publique. Est pointé du doigt l'isoglucose, qui n'est autre que le « sirop de maïs à haute teneur en fructose », un additif massivement utilisé par l'industrie agro-alimentaire. Les chercheurs indiquent que ce sirop augmente la résistance à l'insuline et peut provoquer des infarctus et autres accidents cardio-vasculaires.
« Il existe un énorme corpus de preuves scientifiques, de données d'observation et de résultats d'essais cliniques qui suggèrent que le fructose ajouté - même par rapport à d'autres sucres - est le principal moteur du développement du diabète et de ses conséquences », explique alors le Dr James J. Di Nicolantonio pour la revue Mayo Clinics Proceedings.
Le sirop de maïs est chargé en fructose, un sucre simple que l'on retrouve beaucoup dans les fruits et le miel, dont le pouvoir sucrant est supérieur à celui du saccharose, version plus commune du sucre, issue de la canne à sucre ou de la betterave sucrière. Le fructose est naturellement présent dans les fruits, mais représente en réalité une toute petite partie de leur composition. Par exemple il faut compter à peine 1 % de fructose dans une simple pêche tandis que le sirop de maïs en contient entre 55 % et 90 %. Ce type de sucre, au-delà d'un pouvoir sucrant supérieur, est également moins cher, plus facile à diluer, ce qui en fait la star des sucres dans l'industrie, entrant majoritairement dans la composition des sodas et autres aliments sucrés, tandis qu'une part non négligeable concerne les plats salés.
Tous ces « avantages » ont fait exploser la consommation aux États-Unis, à tel point que le sirop de maïs se retrouve dans deux produits sous vide sur trois, une véritable invasion. On estime qu'en 1977, un Américain consommait 35 g de sirop de maïs par jour, alors qu'aujourd'hui, ce chiffre a grimpé à 54,7 g, soit 20 kg sur l'année entière. Ce même chiffre peut atteindre 72,8 g par jour pour la tranche d'âge des 12-18 ans.
En France, le sirop de maïs est consommé à raison de 42 g par jour et par habitant, ce qui est moins élevé que les Américains. Le diabète touche actuellement 4,6 % des Français (400 nouveaux cas chaque jour), mais ce chiffre pourrait s'emballer à cause de la suppression programmée des quotas de production européens, voyant l'arrivée massive de produits provenant d'outre-Atlantique.
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L'OMS a tenté tant bien que mal de communiquer à propos du sirop de maïs, mais cela s'avère difficile. En effet, alors que l'OMS préconise la consommation de 25 g de sirop de maïs maximum par jour, il faut tout de même savoir qu'une simple cuillère de ketchup contient 4 g de cet additif, et un soda environ 40 g.
RépondreSupprimerVoici un document publié en février 2014 par l'Union des Syndicats des Industries des Produits Amylacés et de leurs dérivés (USIPA) dans lequel l'intégralité des types de sucre est définie, dont l'isoglucose tant décrié.
-- Commentaire : Le sucre influe sur les niveaux de dopamine. Cette même dopamine dont la production est stimulée par l'alcool et certaines drogues dures, et qui entraine plaisir et dépendance... Une dépendance qui pousse à consommer toujours plus, pour la plus grande joie des industriels. Ces mêmes industriels qui font des pieds et des mains pour nous faire croire à l'innocuité de leurs produits. Ces produits dont la diffusion et la prolifération, facilitées par des traités du genre TAFTA, soutenues par une propagande diététique imparable et une industrie pharmaceutique corrompue, amènent à un affaiblissement généralisé de la population. Voyons voir de plus prés (raccourcis):
- Le sucre, l'ennemi « numéro 1 » de l'humanité
- Trop de sucre rend bête
- Le sucre « toxique » ?
- Le fructose mauvais pour nos enfants
- Le fructose fait manger davantage : la preuve par l'imagerie
- Sucre : le poison, et la bataille du Dr Robert Lustig
- L'abus de sucre est aussi mauvais pour la santé que l'alcool
- Santé : sucres, une douceur amère
- Le sucre dangereux pour la santé
- Sucre : comment l'industrie vous rend accros
- Un lien évident entre le sucre et le cancer --
http://fr.sott.net/article/26511-Le-sirop-de-mais-ce-poison-vendu-par-les-industriels